Dieu A Pourvu À Une Voie

Date: 62-0728 | La durée est de: 1 heure et 37 minutes | La traduction: Shp
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1          Restons debout juste un instant maintenant avant de prier. Quelqu’un a-t-il ce soir une requête spéciale qu’il aimerait que Dieu exauce? Levez simplement la main. Alors, dans votre coeur, pensez à votre demande. D’accord. Il y a ici deux requêtes. Maintenant, inclinons la tête.

2          Notre Père céleste, nous nous approchons de Ton Trône de grâce. En aucun cas nous n’oserions venir autrement, car c’est la grâce qu’il nous faut, Seigneur. Nous ne pouvons pas nous tenir au Trône de jugement. Jésus s’y est tenu pour nous. Et maintenant, nous nous tenons au Trône de Sa grâce avec cette promesse bénie que si nous demandons quelque chose en Son Nom, cela nous sera accordé. Nous sommes un peuple très privilégié ce soir d’avoir une telle promesse.

            Et, Père, Tu as vu les mains, et je suis sûr que Tu sais ce qu’il y a sous ces mains, le désir du coeur. Exauce, Seigneur, selon les richesses de Ta gloire.

            Je prie pour la réunion, pour les pécheurs, les incroyants, les impies. Nous prions pour les malades et les affligés, à la fois ici et partout; pour les frères prédicateurs à travers le pays, qui tiennent haut les droits précieux du Seigneur Jésus et Sa Parole. Accorde-nous une grande effusion de Son Esprit ce soir, Seigneur, sur nous, de sorte qu’en partant nous puissions dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs cette nuit-là: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous alors qu’Il nous parlait en chemin?» Nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

3          Il fait bon être encore ici ce soir, et pendant les quelques dernières minutes, j’ai eu le privilège de serrer la main à des anciens amis, aux prédicateurs que je connais depuis longtemps. Frère Andrew Rasmussen en est un; un autre, c’est frère Toms ici, et les frères que j’ai rencontrés dans diverses réunions. On est très content de les avoir ici ce soir parmi nous afin de prier pour les réunions. Nous avons passé un moment glorieux hier soir dans notre petit rassemblement.

            Et comme je le dis souvent, j’aimerais m’excuser auprès de nos frères prédicateurs qui sont dans cette convention-ci. Ce n’était pas mon intention de venir ici au moment où vous teniez une convention, mais je suis juste de passage par ici. Et frère Eddie a dit: «Eh bien, nous faisons juste une escale d’une ou deux soirées sur la voie de sortie», espérant qu’un jour, grâce à la forte collaboration de tous les prédicateurs de toute l’île ici, nous pourrions tenir une grande réunion quelque part.

            Je suis venu ici avec frère Eddie pour ses amis Indiens. Et nous avons passé un moment glorieux là au Port Alberni, je pense que c’est comme ça qu’on l’appelle, avec nos amis Indiens, et aussi avec des amis Blancs. Nous avons passé un moment glorieux là, et nous espérons revenir bientôt vous revoir tous.

4          Celle-ci est ma onzième réunion d’affilée, et je me sens vraiment fatigué. Je dois donc quitter demain, après la réunion, pour ramener cela à... Je dois aller à... descendre à Tucson en Arizona; de là, aller peut-être à Phoenix. Je dois donc aller sur l’autoroute de l’Alaska pour un petit repos. J’y vais avec un ami, frère Eddie ici présent, et les autres. Je dois revenir vers le premier août, et on est vraiment en déplacement. Et puis, revenir pour aller outre-mer, aller au–au Tanganyika, en Ouganda et en Afrique du Sud; et, oh! pratiquement faire un tour du monde, essayer de revenir au prochain printemps, le Seigneur voulant, et s’Il veut que je continue à essayer d’évangéliser à... pour Sa gloire.

5          Je m’étais fait la promesse de commencer avec une grande nouvelle tente, des camions, des roulottes, et tout est payé. On n’a même pas eu à prélever des offrandes pour cela. C’est merveilleux, n’est-ce pas? Ainsi nous, nous espérons que cela... Si c’est la volonté de Dieu... Nous voulons toujours Sa volonté.

            Mon intention est donc de toujours tenir ma promesse: monter une tente dans une communauté, là où il n’y a pas de réveils, et tout le monde–tout le monde collabore, tenir une réunion le matin pour les frères prédicateurs, leur parler, et une réunion l’après-midi pour des instructions en vue de la guérison des malades; et enfin, la réunion du soir sera consacrée à un service d’évangélisation. Ainsi, laisser chaque dimanche après-midi libre, et tout, pour les autres églises qui ont des réunions. Nous ne voulons pas déranger les réunions ordinaires d’une communauté. C’est ce que nous avons toujours voulu faire. Et alors, rester un moment. Juste... Les gens ne savent pas comment être guéris. Ils ne comprennent pas cela, et c’est juste la première fois d’être là. Et puis, si nous enseignons cela, et que nous approfondissions l’étude et tout, je suis sûr que cela nous aidera tous. Je sais que cela m’aidera, d’avoir donc à parler toujours du Seigneur. Ainsi donc, je...

6          Frère Tom est ici ce soir. Je suis sûr qu’il a été présenté, et tout le monde le connaît dans le Saskatchewan. Il était l’un de mes premiers parrains quand j’étais venu à Saskatchewan, il y a quatorze, quinze ans, je pense. Oh! la la! Les frères, là, et...

            Je parle dans un mauvais micro. Qu’est-ce? Une bonne église, mais de mauvais bancs, est-ce vrai? D’accord. Je vois donc qu’il a mis cela de l’autre côté de la chaire. Généralement, je parle un peu à haute voix, vous savez, et alors je... Je me réserve d’abasourdir les gens dans cette salle, eh bien, je pense qu’il a placé cela là. D’accord. Nous allons écarter celui-ci et remettre celui-là en place.

7          Eh bien, combien L’aiment de tout leur coeur? Oh! c’est vraiment bien, vraiment bien. Eh bien, demain après-midi, afin que cela ne dérange les réunions nulle part... Eh bien, je ne sais pas où se tiendra la réunion évangélique en plein air. Je l’ai appris juste avant de venir ici, qu’il y avait une réunion évangélique en plein air. Ainsi donc, nous aurons des services demain après-midi vers quatorze ou quinze heures. Je pense que cela a été annoncé. Et–et vous qui n’irez pas à la réunion évangélique en plein air... Il s’agit juste de prendre ceux qui sont malades et affligés, et qui ne pourront pas aller à la réunion évangélique en plein air. C’est pourquoi nous consacrons cela à la prière pour les malades. Ainsi donc, demain après-midi, il y aura donc un service ici. Que le Seigneur soit avec vous et qu’Il vous bénisse.

8          Maintenant, j’aimerais lire un passage des Ecritures dans le Livre de la Genèse, verset 22 et le... chapitre 22 plutôt, verset 8:

          Abraham répondit: Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l’agneau pour l’holocauste. Et ils marchèrent tous deux ensemble.

            Et maintenant, dans l’Evangile selon saint Jean, chapitre 12, verset 32, c’est Jésus qui parle:

          Et moi, quand j’aurai été élevé de la terre, j’attirerai tous les hommes à moi.

9          Et maintenant, afin que nous ne traînions pas dans le service de ce soir... ça ne me–me dérange pas de vous garder les soirs en semaine, car les soirs en semaine, vous manquez une journée de travail; cela ne me dérange pas. Mais ne manquez pas l’école du dimanche quoi que vous fassiez; allez à l’école du dimanche. Et certains parmi vous les visiteurs, eh bien, ces pasteurs ici seront contents de vous avoir dans leurs églises par ici. Rendez-leur visite le matin. Ils vous feront du bien, si vous allez les écouter parler et que vous vous familiarisez les uns avec les autres, car nous avons une éternité à passer ensemble; familiarisons-nous donc maintenant.

            Et aussi, rappelez-vous maintenant, j’ai toujours dit: «C’est un péché pour vous d’envoyer vos enfants à l’école du dimanche.» Tout le monde le sait. Jamais ne... Quoi que vous fassiez, n’envoyez jamais vos enfants à l’école du dimanche. Ce n’est pas correct. Amenez-les. C’est vrai. Amenez-les toujours. Ne vous contentez pas de les envoyer. Donnez aussi un exemple. Amenez-les à l’école du dimanche. Allez avec eux. Mais ne vous contentez pas de les envoyer. Ce n’est pas bien. Ce qui est bien, c’est de les amener, car alors, vous y êtes avec eux.

10        Et maintenant, demain après-midi, nous allons essayer, le Seigneur voulant, de prier pour les malades et les affligés autant que possible, ou le groupe, à moins qu’il soit trop grand. Tant que ça reste juste un petit groupe comme celui-ci, eh bien, nous pouvons facilement faire cela. Si vous avez donc des malades et que vous voulez les amener pour la prière de demain après-midi, nous serons contents de prier pour eux.

            Maintenant, j’aimerais que vous invitiez aussi les frères qui sont vos pasteurs à venir nous visiter demain après l’école du dimanche si possible.

11        Maintenant, j’aimerais tirer de ce passage des Ecritures, Genèse, chapitre 22, verset 8: «Dieu se pourvoira d’un sacrifice», et puis, de Saint Jean 12.32, ce que j’ai noté et autres, mes passages des Ecritures par écrit, ce dont je voulais parler: «Et moi, quand J’aurai été élevé de la terre, J’attirerai tous les hommes à Moi», j’aimerais tirer de là un sujet: Dieu a pourvu à une voie.

            Maintenant, vous savez, je suis très content de savoir qu’il y a une voie à laquelle il a été pourvu. Voyez, il existe–il existe seulement deux voies pour toute chose; c’est la bonne voie et la mauvaise voie. Et c’est votre voie et la Voie de Dieu. Vous ne pouvez pas suivre à la fois et votre voie et la Voie de Dieu. Vous ne pouvez pas suivre la Voie de Dieu et suivre votre propre voie. Voyez? C’est donc soit l’une, soit l’autre. C’est soit votre voie, soit la Voie de Dieu. Ce sont soit vos pensées, soit la Parole de Dieu. Voyez? Vous devez accepter l’une. Vous ne pouvez pas adopter votre propre pensée. L’homme est donc un raté dès la naissance, il a toujours été un raté. Pourquoi donc essayer de compter sur votre propre intelligence? Pourquoi ne pas adopter la voie de Dieu là-dessus, car Il vous en fait toujours bien sortir?

12        Et alors, quand Il pourvoit à une voie et que les gens ne la suivent pas, alors ce n’est pas la faute de Dieu. Par exemple, une ville ici, on a le sémaphore, les feux rouges; et la ville en a pourvu à des croisements dangereux. Eh bien, si ce feu rouge s’allume et dit: «Ne passez pas maintenant», et que vous le brûlez (Voyez?), vous n’avez pas suivi la voie à laquelle il a été pourvu. Et si vous connaissez un accident, ne condamnez pas la municipalité. Elle a placé un avertissement là. Ne condamnez pas l’homme qui vous a cogné. C’est vous-même qui êtes à la base. Voyez? Et voyez, c’est soit vous suivez votre voie, soit la voie à laquelle il a été pourvu.

13        Par exemple, quand nous nous mettrons en route demain vers chez nous, eh bien, alors, et si je disais: «Permettez-moi de voir dans quelle direction j’habite là. J’habite quelque part à l’est, au sud, et tout. Je vais me diriger droit dans cette direction, prendre un raccourci, car je dois vite rentrer chez moi. D’accord. Je vais directement suivre cette voie-là.» Je me retrouverais quelque part ici dans le Puget Sound, enfoncé dans l’océan, ou je me retrouverais dans un champ boueux. Je ne peux pas faire cela. Si je le fais, je–je n’aboutirai nulle part.

            Eh bien, l’unique moyen pour moi de m’en sortir, c’est de prendre la carte routière, et il y a... Il a été pourvu à des autoroutes pour que je m’y déplace. Si seulement je me sers de la carte routière et que je la suis, je–j’y arriverai. Voyez? Simplement suivre des repères, je suis tenu d’arriver là. Cela peut me sembler une mauvaise voie, mais c’est une route à laquelle il a déjà été pourvu. Ainsi donc, ma pensée, si elle est contraire à la voie à laquelle il a été pourvu, que je ne pense donc pas; laissez-moi suivre les repères, et j’y arriverai.

            C’est pareil pour notre chemin vers le Ciel. Nous avons notre propre conception. Mais si nous nous en servons, nous allons nous retrouver tout à fait en erreur, tout accidenté quelque part. Mais si nous suivons la voie sur laquelle Dieu a placé des repères pour nous, nous arriverons là aussi sûr que deux fois deux font quatre, car Dieu a une voie.

14        Maintenant, examinons l’une des voies de Dieu, et de la manière simple, afin que les gens comprennent. Avez-vous déjà vu un petit poussin qui cherche à venir sur cette terre? Que fait-il? De l’intérieur de la coquille où il se trouve, il cogne contre cette coquille jusqu’à ce qu’il se libère. Qu’est-ce? C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu. Il a un bec. Avant d’être à mesure de donner des coups de bec à la coquille, il a un bec. En effet, Dieu l’a doté d’un bec pour qu’il s’y prenne suivant la voie à laquelle Dieu a pourvu. Voyez?

            Oh! Il est un Père aimable. Voyez? Il fait tout correctement. Premièrement, Il a dû faire pousser un bec à l’oiseau, l’oiseau qui est engendré dans l’oeuf. Il a dû lui frayer une voie afin que ce dernier suive la voie à laquelle il est pourvu pour éclore. Voyez-vous comment Dieu s’y prend? Il pourvoit à une voie. Tout ce qu’il nous faut faire, c’est suivre Ses instructions et sortir tout à fait bien, toujours, chaque fois. Oui, oui. Il se fraye une issue, car il suit la voie à laquelle Dieu a pourvu.

15        Je me suis souvent demandé, quand j’arrive ici en automne à une partie de chasse... Et j’aime aller dans les hautes montagnes ici et observer les canards, juste au moment d’essaimage, et les oies. Eh bien, ils viennent du sud, ils viennent ici et entrent dans ces marais marécageux et sales, et ils se construisent un nid, pondent des oeufs et font éclore leurs petits.

            Eh bien, ces petits canards qui ont grandi dans cet étang-là, ou ce lac, ne connaissent rien d’autre en dehors de ce lac. Il est né là le printemps passé. Il a vécu là tout l’été. Il a de quoi subsister. Et d’une façon ou d’une autre, quand le long... Vers fin août ou fin septembre, quand les montagnes deviennent enneigées et que ce vent froid souffle dans la prairie là où les petits canards se trouvent, il sait que quelque chose est sur le point d’arriver.

            Eh bien, que fait-il? Ils commencent tous à se rassembler. Et en plein milieu de cet étang, un petit canard va s’avancer, il est né ce printemps-là dans cet étang. Il va droit au milieu de cet étang-là, dresse son petit bec en l’air, et fait: «Couin, couin, couin, couin, couin», et chaque canard dans cet étang vient directement vers lui. Voyez?

16        Eh bien, Dieu a pourvu ce canard d’un instinct–instinct, pour lui faire savoir qu’il va geler et qu’il mourra là. Il ne peut donc pas rester là; il n’a jamais été nulle part ailleurs en dehors de là. Mais Dieu a pour lui un autre endroit où aller, alors il... S’il a un autre endroit auquel il a été pourvu en Louisiane et au Texas, dans les rizières, après qu’il aura mangé toute votre avoine, autant qu’il le pouvait, il va alors descendre dans les rizières pour–pour vivre chez les Texans, là-bas.

            Eh bien alors, il est né ici sur ce lac. Il n’en sait rien, mais Dieu l’a d’un instinct, une voie à laquelle Dieu a pourvu pour lui faire savoir que des ennuis sont imminents, et il se met à flairer l’air.

17        Et non seulement... S’il leur faut essaimer, l’un irait dans telle voie et l’autre dans telle autre. Dieu a pourvu à un conducteur pour eux. C’est une honte que les humains n’aient pas, avec leur Saint-Esprit, autant de discernement que le canard avec l’instinct. Je ne saurais simplement pas dire... Evidemment, le canard croit à ce que Dieu a pourvu, mais l’homme n’y croit pas. Voyez? Nous essayons de prendre une réalisation de main d’homme pour nous tirer d’ennuis, alors que Dieu nous a donné le Saint-Esprit pour nous tirer des ennuis. Voyez? C’est vrai. Ainsi donc, lorsque nous flairons des ennuis en l’air, il n’y a qu’une seule chose à faire: C’est écouter le Conducteur. Le Saint-Esprit est le Conducteur. Il a été envoyé pour conduire l’Eglise.

18        Ainsi donc, rappelez-vous, ce petit canard n’a jamais quitté cet étang-là, mais chaque canard sur l’étang sait que c’est lui le conducteur. Mais quand ce petit canard, un matin, cet instinct en lui se réveille de telle façon qu’il lâche un autre cri, quitte l’étang, en disant: «Au revoir», alors chaque canard le suit.

            Il monte dans les airs. Il ne sait quelle voie suivre là, mais une sorte de voie à laquelle Dieu a pourvu, il dresse son petit front vers la Louisiane et il s’en va. Et il arrive là. Pourquoi? Il se confie à la voie à laquelle Dieu a pourvu pour lui. C’est pourquoi il peut réussir. Il s’est confié à la voie à laquelle Dieu a pourvu. Remarquez, comme c’est bon.

19        Observez ces oies, comment elles quittent là et essaiment. J’aime vraiment les entendre à l’automne. Elles traversent l’Indiana en criant de toute leur force; avec un drôle de conducteur là devant, le nez dressé tout droit vers la Louisiane, il y va, il n’y a jamais été auparavant. Il ne sait pas ce qu’il y a là.

            C’est comme les enfants d’Israël sous la conduite de la Colonne de Feu. Ils sont sortis de l’Egypte. Ils n’avaient jamais été dans cette voie-là auparavant. Mais ils sont allés droit vers la Terre promise, car ils suivaient la Colonne de Feu, le Conducteur auquel Dieu avait pourvu. Ils sont restés juste dans la voie à laquelle Dieu avait pourvu.

            Oh! c’est vraiment dommage que les êtres humains manquent tellement cela, parce que nous ne savons pas qui est notre Conducteur. C’est tout. Nous essayons d’adopter notre propre pensée. Nous nous embourbons toujours quelque part et nous faisons naufrage.

            Or, les canards et les oies vont au sud, ils ont un conducteur auquel il a été pourvu. Dieu, qu’Il vous envoie quelque part en route, c’est à Lui de pourvoir à un Conducteur pour vous guider sur la route. Toujours. Oui, oui. Dieu y pourvoit. Et si seulement vous observez la nature; ça a été ma première Bible, l’observation de la nature. Si vous observez cela, vous ne raterez jamais Dieu si vous pouvez observer la nature.

20        J’ai eu le privilège de voyager à travers le monde, et d’aller dans les temples de Bouddha, de musulman, de Jaïns, de Sikhs, et que sais-je encore. Mais chacun d’eux a une philosophie. Mais ils ont pour fondement un pressentiment. Et, oh! je ne sais comment vous tous vous appelez cela, la réincarnation, toutes sortes de choses. Mais le christianisme est fondé sur l’ensevelissement et la résurrection. C’est ça le principe.

            Or, la résurrection n’est pas un remplacement. La résurrection, c’est ramener la même chose qui était tombée. Eh bien, si ce morceau de papier tombe par terre, eh bien, si seulement je ramasse cet autre morceau de papier et que je le mette à la place de cet autre, ce n’est pas une résurrection; c’est le remplacement. Mais la résurrection consiste à relever la même chose qui était tombée. C’est ça la résurrection.

21        Eh bien, quand quelque chose sert le dessein de Dieu, cela doit subsister dans la voie à laquelle Dieu a pourvu. Prenons l’exemple de ces fleurs. Elles ont été placées ici pour servir le dessein de Dieu. Eh bien, vous les coupez comme cela, vous pensez que c’est leur fin. Non. Dieu se soucie de Ses fleurs. Si vous remarquez bien, une jolie fleur... Oh! Comme je vous vois, vous les Canadiens ici, vous avez ces beaux jardins et de très beaux endroits en fleurs.

            Eh bien, d’ici peu, il y aura de jeunes fleurs, de vieilles fleurs, de fleurs d’âge moyen. Mais une nuit, le gel va venir sur le pays: la mort. Et il frappera cette fleur-là, peu importe son âge. La mort ne fait acception d’aucun âge, de personne, ou d’habilité. La mort frappe tout. Qu’arrive-t-il? La petite fleur perd sa vie. Qu’arrive-t-il après? Les pétales commencent à tomber le lendemain matin, ça s’en va. De là tombe une petite semence, ça tombe par terre.

            Ensuite, un cortège funèbre passe. Vous pouvez ne pas croire cela, mais Dieu a un cortège funèbre pour Ses fleurs. Saviez-vous cela? Eh bien, remarquez. Après que le gel eut frappé, ensuite tombent les pluies d’automne. Dieu envoie là des nuages, ils versent de grosses gouttes d’eau et ensevelissent cette petite semence.

            Voyez, nous cherchons à trop compliquer cela. C’est ça le problème aujourd’hui. L’église est toujours sortie du chemin battu, on a cherché à trop Le compliquer comme si on devait être instruit pour y entrer. On n’entre pas en Christ par l’instruction; on y entre par la naissance, par l’Esprit de...?...

22        Eh bien, Dieu envoie les pleureuses et le convoi, c’est l’eau, et elle tombe sous forme de très grosses larmes et ensevelit cette petite semence. Cela va en terre, alors qu’on la porte là en bas. Puis, vient le blizzard de l’hiver, ça parcourt le pays. Le petit pétale a disparu, les feuilles tombent, la tige n’est plus là, le bulbe a séché, la petite semence a gelé et ça a éclaté. La pulpe en est sortie.

            Pauvre petite fleur, on dirait que c’est sa fin. Oh! Non, ce n’est pas sa fin. Quand le soleil chaud commence à ressortir, la terre occupe une position par rapport au soleil, il y a quelque part sous cette terre un germe de vie que la science ne peut jamais retrouver. Cette fleur revit. Pourquoi? Elle avait servi le dessein de Dieu selon la voie à laquelle Dieu avait pourvu, et Il a pourvu à la voie pour qu’elle revive.

            Et s’Il a pourvu à une voie pour qu’une fleur revive, celle qui avait servi Son dessein, à combien plus forte raison a-t-Il pourvu à une voie pour qu’un homme ou une femme revive, celui qui avait servi Son dessein, celui qui a marché dans la voie à laquelle Il avait pourvu. C’est si simple, rien que de voir cela.

23        Considérez l’arbre, comment les feuilles poussent là et pendent. Tout récemment, les quelques derniers mois passés, j’ai perdu ma mère, ma vieille mère pieuse. Elle était couchée là sur le lit, mourante. Et je–j’étais au Canada, ici en Colombie-Britannique, et je suis rentré. Maman était malade. Je suis allé la voir. On l’avait amenée à l’hôpital. Elle a dit: «Billy, c’est la fin, fils.»

            J’ai dit: «Ô maman! Oh! la la! Ce n’est pas la fin.»

            Elle a dit: «Si, c’est la fin.»

            Je ne pouvais pas abandonner cela. J’ai continué à prier et sa situation s’empirait tout le temps. Dieu ne me disait rien. Je me suis tenu là. Souvent, je faisais ce commentaire à la chaire, vous le savez, souvent je disais: «Si ma propre mère était couchée ici mourante, comment pourrais-je lui dire quelque chose d’autre que ce que Dieu m’a premièrement dit? Je ne peux dire que ce que Dieu dit.» Et cette chose-là vient de se passer, j’ai prié pour ma mère.

24        Ma soeur qui a tout récemment reçu le Saint-Esprit, et elle, l’unique fille, oh! cela l’inquiétait. J’étais là un jour et... la voir; la soeur était là. Maman a levé les yeux vers nous. Elle a dit: «Mon premier et ma dernière.» C’était moi l’aîné; Delores, la cadette. Il y a eu neuf garçons et une fille, la fille était la dernière.

            Ainsi donc, maman a dit: «Billy, a-t-elle dit, c’est toi qui as veillé à ce que je ne manque pas à manger. Tu m’as acheté des habits, tu m’as nourri après le départ de papa.» Elle a dit: «Delores, tu as été gentille envers moi. Tu es venue me voir, tu m’as aidé à faire la vaisselle, tu as nettoyé la maison et tout, quand je ne me sentais pas bien.»

            Et Delores et moi, nous nous sommes regardés, et j’ai dit: «Oh! Maman, tout va bien.» Et j’ai dit: «Certains d’entre eux vous ont brisé le coeur, maman. Certains des garçons buvaient, et cela vous a brisé le coeur.»

            Elle a dit: «Billy, c’est ce qui fait la vie des hommes.» Cette mère ne pouvait pas oublier, peu importe ce qu’ils avaient fait, malgré tout. Elle a donc dit: «Et, Billy, encore une chose, a-t-elle dit; c’est toi qui m’as conduit à Christ, qui représente tout en tout pour moi maintenant.»

            J’ai dit: «Maman, je suis allé à l’église, et l’église a dit que Dieu était dans Son église, disait le prêtre.» Et j’ai dit: «J’ai donc compris que Dieu était dans Sa Parole, et je me suis accroché à la Parole. J’ai essayé de t’enseigner la Parole.»Et elle a dit: «C’est maintenant que ça paie.»

25        Delores est rentrée à la maison. Elle m’a appelé, elle a dit: «Bill, je n’arrive simplement pas à supporter de voir maman mourir.»

            J’ai dit: «Delores, qu’est-ce qui te fait dire pareille chose?»

            Elle a dit: «Je n’arrive simplement pas à voir maman mourir. C’est notre unique maman, l’unique que nous ayons jamais eue.» Elle a dit: «Tu es là à cinquante-trois ans et moi, j’en ai vingt-sept.» Elle a dit: «Comment allons-nous supporter cela, Bill? Nous l’avons eue toute cette vie.»

            J’ai dit: «Delores, regarde par la fenêtre, là où tu te tiens au téléphone, à ta gauche. Que vois-tu? Y a-t-il un arbre là, un très gros chêne?»

            Elle a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Il y a deux mois, toutes les feuilles étaient jolies et vertes.»

            «Oui.»

            J’ai dit: «Quelle couleur ont-elles maintenant, Delores?»

            Et elle a dit: «Elles sont brunes il y en a des rouges, des jaunes et des vertes»

            J’ai dit: «Qu’y a-t-il?»

            Elle a dit: «La vie quitte la feuille.»

            J’ai dit: «Exact.» J’ai dit: «A quel moment est-elle la plus jolie?»

            Elle a dit: «Maintenant même.»

            J’ai dit: «C’est sa mort... Amen. Elle a du prix aux yeux de l’Eternel, la mort de Ses saints, voir ces vieux saints arriver au bout, au dernier moment.»

26        Alors que maman n’arrivait plus à parler, j’ai dit: «Maman, c’est en ordre si tu peux... je...?...» J’ai dit: «En tant que ton fils prédicateur, j’aimerais te demander: Que représente Christ pour toi?»

            Elle a dit: «Tout en tout, tout en tout. Il est plus précieux maintenant que jamais.»

            Et alors qu’elle ne pouvait plus parler, j’ai dit: «Maman, tu ne peux plus parler. Tu vas partir dans quelques minutes. Je veux confier ton âme à Dieu, pendant que je me tiens ici. Maman, si tu ne peux plus me parler maintenant, si Christ représente toujours tout pour toi, alors que tu es sur le point de mourir, si tu ne peux plus parler, bats les yeux.» Elle a battu les yeux et elle s’en est allée à la rencontre de Dieu.

            Oh! la la! Il a du prix aux yeux de l’Eternel, ce beau témoignage, alors que Satan se tenait là, disant: «Je vais amener Bill, Delores et les autres à Te tourner le dos. Laisse-moi la prendre et la torturer un peu.» Mais, oh! la la! voir cette vieille sainte se tenir là au bout et aller à la rencontre de Dieu, pareille à une feuille qui s’en va.

27        Je regarde un précieux ami à moi assis ici, un ancien témoin de Jéhovah. Son nom est Banks Wood, c’est mon voisin. Il est venu, pas...

            La première fois qu’il est venu, sa femme et lui, ils avaient un petit garçon qui souffrait de la polio. Et il était à la réunion de Texas. D’abord à Louisville, là où il avait vu une jeune fille (devenue comme de la craie, ou comme une pierre) être guérie, monter et descendre les marches; elle avait étonné tous les médecins et tout. Ils ont amené leur petit garçon atteint de polio au Texas. C’est là que l’Ange de l’Eternel s’était fait photographier, la Colonne de Feu.

            Et puis, après que j’étais parti en Norvège et en Suède, je suis revenu. J’étais dans l’Ohio. Ils ont amené le petit garçon là, je ne le savais pas en ce moment-là. Un soir, le Saint-Esprit a parlé, disant: «Le petit garçon en chemise jaune là derrière est guéri. AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Et en ce moment-là, le Saint-Esprit est descendu, Il a redressé la jambe recroquevillée, tout aussi parfaitement...?... David est-il dans la–dans la salle ce soir? Non, il est retourné à la maison, n’est-ce pas? Voilà son père. Levez la main, Banks. Sa mère est assise quelque part. Où êtes-vous, soeur Wood? Ils sont là, comme témoins.

28        Eh bien, ils m’ont tellement aimé qu’ils ont déménagé pour devenir mes voisins. Et ce sont aussi de vrais voisins selon Actes 2.4. Ils le sont vraiment; tous les deux ont reçu le Saint-Esprit. Et toute sa famille, pratiquement tout le monde, c’étaient des lecteurs chez les Témoins de Jéhovah; par des visions et les puissances de Dieu, tout le monde a été amené au baptême du Saint-Esprit.

            Les membres de famille de sa femme étaient tous des méthodistes, de bonnes femmes et de bons hommes et tout, chaque membre de sa famille, tout le groupe, ils sont venus, ils ont reçu le baptême du Saint-Esprit, à l’exception d’un seul. Observer Dieu...

            Et frère Banks et moi, nous aimons chasser l’écureuil. Je ne sais pas si quelqu’un... Combien sont déjà allés chasser l’écureuil? Oh! la la! De quelle partie du Kentucky êtes-vous après tout? Voyez? Il n’y a pas de chasse semblable à celle-là, pas du tout, nulle part. Nous chassons l’écureuil avec de calibre, des coups de feu à 50 yards [45,7 m], des tirs dans l’oeil. Nous n’attrapons pas trop d’écureuils, mais nous passons un grand moment lorsque je suis en vacances.

29        Un jour, là, c’était... L’automne a été très sec, il y a de cela deux ans, et nous campions là; on n’avait pas pris de bain depuis quelques semaines, nos visages étaient tout couverts de barbe, et on avait du sang d’écureuils. Nous étions sales. Mais je me détendais après des réunions, en m’éloignant un peu dans la nature. Je vois toujours Dieu dans la nature, j’observe la voie à laquelle Il a pourvu. Remarquez.

            Et alors, il faisait très sec, quand nous entrions dans les bois, ces bois sans vie, un petit brisement de la feuille... Et vous parlez de Houdini comme un professionnel d’évasion, c’est un amateur par rapport à l’un de ces écureuils. Il s’en allait, comme ça. Et tirer un coup de fusil, et alors dans l’oeil, c’est une chose difficile à réaliser.

            Alors, frère Banks a dit: «Tu sais, je connais un homme qui a cinq cents hectares de bois tout dans les creux.» Combien savent ce que c’est un creux? D’accord. C’est en bas, dans une espèce de vallée, là où l’eau coule. Il a dit: «Nous pouvons aller là nous promener.» Nous y sommes donc allés voir cet homme. Il a dit: «Tout ce qu’il y a, c’est que cet homme est un incroyant, un incroyant très horrible.»

30        Eh bien, nous avons traversé les champs et tout jusqu’à atteindre sa résidence. Et quand nous sommes arrivés chez cet infidèle, cet incroyant, il était assis là sous un arbre, lui et un autre vieil homme étaient assis là, les chapeaux tirés, chiquant du tabac et crachant, comme cela. Alors, frère Wood est sorti du véhicule, il s’est avancé et a dit: «Puis-je chasser l’écureuil un moment chez vous?»

            Il a dit: «Comment t’appelles-tu?»

            Il a dit: «Wood.»

            Il a dit: «Quel Wood es-tu?»

            Et il a dit: «Banks.»

            Il a dit: «Es-tu le fils de Jim Wood?»

            Il a dit: «Oui.» C’était son père.

            Il a dit: «Eh bien, n’importe quel fils ou n’importe quel membre de la famille de Jim Wood est le bienvenu chez moi, partout où il veut aller.»

            Alors, il a dit: «J’ai amené avec moi mon pasteur. Peut-il aussi chasser?» Ce vieil homme a craché et a dit: «Wood, tu ne veux pas me dire que tu es tombé si bas qu’il te faut trimbaler un prédicateur partout où tu vas!»

31        Et alors, je me suis dit qu’il était pratiquement temps pour moi de sortir du véhicule. Je suis alors sorti du véhicule, et je suis allé là. J’ai dit: «Bonjour.»

            Il a dit: «Est-ce vous le prédicateur?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Et avant que frère Wood ait l’occasion de me présenter, eh bien, il a dit: «Vous savez, le problème avec vous, a-t-il dit, c’est que vous aboyez à un mauvais arbre.» Vous savez ce qu’un... un chien chasseur de ratons laveurs qui aboie à un arbre où il n’y a rien, c’est un menteur (voyez?). Alors que le raton laveur s’en est allé, il ne fait qu’aboyer là où il n’y a rien. Alors, il a dit: «Vous aboyez trop à un arbre où il n’y a rien.»

            J’ai dit: «Que voulez-vous dire?»

            Il ne croyait pas que Dieu existe, et il n’en savait rien.

            «Eh bien, me suis-je dit, eh bien, ce vieil homme n’est pas mauvais. Il n’en a pas l’intention.»

            Il a dit: «Il parle de ceci, il parle de cela, et il n’y a rien là. Je suis ici même, je n’ai rien vu qui ressemble à cela. Je peux lever les yeux dans cette direction-là, et je ne vois rien; dans cette direction-ci, je ne vois rien.»

            Il a dit: «Eh bien, ils sont...»

32        Vous voyez, le problème en est que, c’est juste comme les gens qui viennent à l’une des réunions. Il y a trop d’arbres qui vous cachent la forêt. C’est exactement ça. Voyez? Ainsi donc, il était assis là, vous savez, un petit moment. Et je me suis dit: «Seigneur, si seulement Tu me viens en aide maintenant, peut-être que nous pourrons attraper le vieil homme pour le Royaume de Dieu.» Et il y avait là un pommier, et les guêpes... Combien savent ce que c’est une guêpe? Il était... Elles dévoraient les pommes. J’ai tendu la main et j’ai cueilli... J’ai dit: «Puis-je cueillir une de ces pommes?»

            Il a dit: «Vas-y. Les guêpes les mangent.» Je me suis donc mis à essuyer cela, comme ça. Et il a dit: «Il y eut une fois un prédicateur ici, voilà de cela environ trois ou quatre ans, il était venu ici dans une petite ville appelée Acton.» Et il a dit: «Acton est une toute petite ville où il y a un terrain de camping méthodiste.» Il a dit: «Ce prédicateur venait d’Indiana, et il avait cette place-là bondée là pendant trois soirées.»

33        Et il a dit: «Une vieille dame (d’un certain nom) là haut sur la colline souffrait du cancer de l’estomac.» Et il a dit: «Son état s’était tellement empiré qu’on n’arrivait plus à la placer sur le bassin hygiénique. On utilisait les alèses.» Et il a dit: «Ma femme et moi y allions deux fois la journée et nous lui changions le lit.» Il a dit: «Les médecins l’avaient abandonnée à la mort quelques semaines avant cela et, a-t-il dit, il n’y avait rien qui pouvait être fait. C’est à peine qu’elle arrivait à parler. Elle n’arrivait même pas à garder de l’eau tiède dans son estomac.»

            Il a dit: «Sa soeur est allée à cette réunion cette nuit-là.» Et il a dit: «Ce prédicateur se tenait là (jamais de sa vie il n’avait été dans cette contrée-ci auparavant), il a regardé là au fond de l’assistance et a dit: ‘Cette femme assise là derrière s’appelle Unetelle. En quittant la maison ce soir, elle a mis... elle a retiré de sa commode à droite un petit mouchoir avec un motif bleu, qu’elle a mis dans son porte-monnaie. Si... Elle a une soeur malade. Elle a une soeur malade du nom d’Unetelle qui habite par ici et qui se meurt du cancer. AINSI DIT LE SEIGNEUR, prenez ce mouchoir et déposez-le sur votre soeur et elle sera guérie.’»

34        Et il a dit: «La femme est sortie du fauteuil où elle était assise, elle est allée, elle a posé ce mouchoir sur cette autre femme.» Et il a dit: «Eh bien, on... je pensais qu’on avait fait venir l’armée du salut là au sommet de la colline.» Elle a dit: «Je n’avais jamais entendu autant de cris, vers minuit, cette nuit-là.»

            Eh bien, il y avait un groupe de gens là, posant ce mouchoir sur cette vieille dame, et elle fut guérie, juste conformément à la Parole du Seigneur: Elle s’est levée, elle a bondi partout, poussant des cris, louant le Seigneur.

35        Et il a dit: «Le lendemain matin, ma femme et moi, nous sommes allés là.» Il a dit: «Il se faisait tard, vers minuit. Nous avions pensé que la vieille dame... Nous nous attendions à ce qu’elle meure à tout moment, après tout. Nous avions pensé que c’étaient ses enfants qui criaient, qu’elle était déjà morte.» Et il a dit: «Nous sommes allés là le lendemain matin. Elle était là avec son mari, assis à table en train de manger des frites de pommes de terre et de boire du café.» Et il a dit: «Elle fait son travail et le travail de la voisine.»

            Je me suis dit: «Oh! Oh! C’est pourquoi... Je suis content que vous ayez dit cela.» Et Frère Banks allait dire: «Eh bien, ce...»

            «Non. Voyez? Non.» J’ai dit: «Est-ce vrai?»

            Il a dit: «Oui, c’est vrai.»

            J’ai dit: «Vous ne croyez pas cela, n’est-ce pas?»

            Il a dit: «Montez droit là-haut le découvrir.» Voyez, il me prêchait alors en retour. Voyez. Voyez-vous? «Montez-y droit le découvrir. Le nom de la femme, c’est tel. Elle habite juste au coin.»

            Et l’autre vieil homme assis là a dit: «C’est vrai.» Voyez? Et j’ai dit: «Voulez-vous dire que c’est la vérité?»

            Il a dit: «Eh bien, allez-y découvrir par vous-même.»

            J’ai dit: «Oh! la la!» J’ai dit: «Quel était le nom de ce gars-là?»

            Il a dit: «Je ne sais pas.» Il a dit: «J’oublie ça.» Il a dit: «Un prédicateur de là en Indiana», a-t-il dit.

36        Et j’ai dit: «Oui, monsieur.» Je mangeais cette pomme-là, vous savez, et j’ai dit: «C’est une bonne pomme.»

            Il a dit: «Oh! oui.» Il a dit: «Elle est succulente. Nous pouvons en cueillir chaque année.»

            J’ai dit: «Quel âge a cet arbre?»

            «Oh! a-t-il dit, nous... C’est moi-même qui l’ai planté il y a environ cinquante ans, quelque chose comme cela.» Il avait soixante-seize ans, je pense.

            J’ai dit: «Oui, oui, oui.» J’ai dit: «J’aimerais vous poser une question.»

            Et il a dit: «Oui, monsieur.» Il venait de dire: «Si jamais ce prédicateur revenait par ici, on dirait qu’il avait quelque chose dans le ventre.» Il a dit: «J’irai lui demander comment il avait su que cette femme était dans cette situation-là, et qu’elle guérirait?»

            Et j’ai dit: «Vous dites que c’est vous qui avez planté cet arbre depuis si longtemps?»

            «Oui.» J’ai dit: «J’aimerais vous poser une question. On est pratiquement en mi-août, nous n’avons même pas eu une soirée où il fait frais. Pourquoi ces feuilles tombent-elles de l’arbre?»

            «Oh! a-t-il dit, la vie les a quittées.»«Oh! ai-je dit, est-ce vrai? Eh bien, qu’est-il arrivé à la vie?»

            «Oh! dit-il, elle est descendue dans les racines de l’arbre.»

            J’ai dit: «Pourquoi est-elle descendue là en bas?»

            Il a dit: «Eh bien, si elle ne le fait pas, elle mourra. L’hiver la tuera. Le germe de vie ne peut pas rester dans cet arbre ici.»

            J’ai dit: «Oh! Eh bien, ai-je dit, qu’est-ce qui amène cela à descendre avant qu’il y ait un coup de vent froid?»

            «Eh bien, a-t-il dit, cela descend simplement.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, maintenant...»

            Il a dit: «C’est simplement la nature. Cela en fait descend simplement.»

37        J’ai dit: «Eh bien, si je prends un sceau d’eau et que je le place ici sur cette souche de caroubier, quand l’automne arrive, est-ce que cette eau sortira de ce seau pour descendre directement au bout de la souche, et au prochain printemps remonter, ramenant un autre seau d’eau?»

            Il a dit: «Non.»

            J’ai dit: «Il doit donc y avoir une Intelligence. Cet arbre n’a pas d’intelligence. C’est un–c’est un arbre, une plante. Il doit y avoir un genre d’Intelligence qui amène cela à descendre cacher sa vie, et ensuite, remonter vous produire encore un tas de pommes.»

            Il a dit: «Eh bien, vous savez quoi?» Il a dit: «Je n’y avais jamais pensé sous cet angle-à.»

            Et j’ai dit: «Je vais vous le dire, pensez-y. Et n’importe quand que vous arrivez à trouver l’Intelligence qui dit à cet arbre: ‘Laisse tomber ta feuille. Dépêche-toi de descendre dans les racines, et restes-y, et au prochain printemps remonte.’, dès que vous aurez trouvé cette Intelligence qui a conduit cet arbre à faire cela, je vous dirai quelle Intelligence m’avait dit que cette femme se mourait du cancer, qu’on place le mouchoir sur elle, et qu’elle guérirait.»

            Il a dit: «Vous n’êtes pas ce prédicateur là?»

            J’ai dit: «Si, si, c’est moi. Je suis Frère Branham.»

            Il a dit: «C’est ça le nom.»

38        Ce vieil homme est devenu un chrétien, il a donné son coeur à Christ. L’année passée, frère Wood et moi étions là, j’ai conduit jusque-là pour voir le vieil homme. Et sa femme était assise sous la véranda de derrière, en train de peler des pommes du même arbre. Je me suis avancé et je lui ai parlé. Et elle a dit: «Frère Branham, cette simple petite histoire a conduit le vieux frère à Christ. Il est mort dans la foi chrétienne il y a un an.»

            Eh bien, qu’était-ce? Il avait trouvé la voie à laquelle Dieu avait pourvu. En voyant comment Il avait pourvu à une issue face à la mort pour cet arbre-là, il a trouvé la voie de revivre à laquelle Dieu avait pourvu pour lui.

39        Observez simplement la voie à laquelle Dieu a pourvu. Dieu pourvoit toujours à une voie; et nous devons la suivre. Eh bien, Dieu a pourvu à une voie pour la race humaine, afin d’échapper aux jugements qui viennent. Du temps de Noé, Dieu avait pourvu à une voie.

            Mais quand Dieu pourvoit à une voie et que l’homme refuse de la suivre, alors s’il rate cela, ce n’est pas la faute de Dieu, pas plus que ce n’est pas la faute de la municipalité si vous brûlez le feu rouge. Voyez? Il a pourvu à une voie.

            Et Dieu, avant de détruire le monde, Il a construit... Il a fait construire une arche. Non seulement cela, mais Il avait pourvu à un prophète avec Sa Parole pour frayer une issue pour les gens. Et tous ceux qui avaient cru et qui avaient suivi la voie à laquelle Dieu avait pourvu, par le messager auquel Dieu avait pourvu pour leur montrer la voie à laquelle Dieu avait pourvu, ils ont échappé à la colère et au jugement de la mort.

            Dieu a ce soir un Messager appelé le Saint-Esprit. Il est la Parole. Et la Parole... C’est un... c’est Lui qui manifeste la Parole. Mais vous devez suivre cette voie-là. Vous devez écouter le Messager de Dieu, qui est Sa Parole, et suivre cette voie-là. C’est une voie qui est préparée, pour être... comme échappatoire.

40        Job, l’un des plus anciens Livres de la Bible, écrit, dit-on, avant que Genèse soit écrite... Et Job était un homme juste, craignant Dieu. Il savait que Dieu existait quelque part, et il voulait savoir s’il pouvait aller auprès de Lui aux jours de sa détresse. Il a dit: «Si seulement je connaissais Sa demeure, je pourrais aller frapper à Sa porte et Lui parler, si seulement je pouvais trouver une voie, une voie quelconque, me permettant de voir Dieu...»

            Et Dieu lui a parlé et Il a pourvu à une voie. Et Il voulait trouver un intermédiaire, quelque chose qui pouvait se tenir entre un homme pécheur et un Dieu saint, placer une main sur le Dieu saint et l’autre main sur l’homme pécheur, faire le pont entre les deux et établir la paix.

            Dieu est descendu dans un tourbillon. Job s’est ceint les reins. Dieu a pourvu à une voie, et l’Esprit de Dieu est venu sur le prophète. Il a vu la Venue de Christ et a dit: «Je sais que mon Rédempteur est vivant, et qu’Il se tiendra le dernier sur la terre. Quand bien même les vers qui sont dans mon corps l’auront détruit, cependant, je verrai Dieu de mes propres yeux.» Amen. Voyez? Dieu lui montrait la voie à laquelle Il avait pourvu.

41        Job 14, il avait vu les arbres. Il a dit: «Si un arbre meurt, il y a de l’espoir qu’il revive. Mais quand un homme meurt, il rend cependant l’âme et perd sa force. Où est-il? Que ses fils viennent le pleurer, lui rendre hommage, il ne s’en aperçoit pas. Oh! si Tu voulais me cacher dans le séjour des morts, m’y tenir à couvert jusqu’à ce que Ta colère fut passée.»

            Il pouvait comprendre que quand une–une fleur meurt, elle revit. Et quand un arbre meurt, il revit. Mais il a dit: «Un homme se couche, il rend l’âme. On ne le voit pas revenir.» Il plantait une semence sous terre, il la voyait mourir, pourrir, produire une autre vie. Mais un homme allait sous terre et il gisait là.

            Alors, Dieu lui a expliqué pourquoi l’homme gisait là, c’est que l’homme avait péché et il était sorti de la voie à laquelle Dieu avait pourvu, la voie originelle. Et la voie originelle pour l’homme, c’était de vivre selon la Parole de Dieu.

42        Dieu a protégé Son Eglise avec Sa Parole. Et quand ils se sont éloignés de cette Parole, s’En éloigner juste un peu, c’est ce qui est à la base de tout ça. Chaque chagrin, chaque tristesse, chaque déception, chaque cimetière, chaque vieillesse, chaque maladie, chaque affliction, ça a été causé par le fait que la race humaine a simplement écouté le raisonnement plutôt que la Parole. C’est ce qui est à la base de tout.

            «Oh! direz-vous, eh bien, cela ne fait vraiment pas de différence.» Ça fait la différence. Dieu, par Son Messager, parla à Lot et à sa femme, et aux enfants, disant: «Ne regardez même pas derrière.» Et la femme de Lot... avec ses propres enfants et ses arrières petits-fils brûlant dans les jugements de Dieu, une mère qui a simplement tourné légèrement la tête pour regarder en arrière, a été maudite en devenant une colonne de sel. Vous devez garder chaque Parole de Cela. «L’homme ne vivra pas de pain seulement, dit Jésus, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.»

43        Job savait alors que l’homme avait péché. Mais alors, Dieu lui a montré Sa Venue, la à laquelle il avait pourvu, qu’il viendrait Quelqu’un qui pouvait placer sa main sur un homme pécheur et un Dieu saint, et qui peut faire le pont. Et il a dit: «Je sais que mon Rédempteur est vivant, et qu’Il se lèvera le dernier sur la terre. Quand bien même les vers de mon corps l’auront détruit, cependant je verrai Dieu de mes propres yeux, je Le verrai moi-même. Mes yeux Le verront, pas ceux d’un autre.» Alléluia! Ce Rédempteur est bien venu une fois.

44        Le temps pour la délivrance arriva pour Israël. Dieu avait pourvu à un prophète avec la Parole originelle de promesse: la voie à laquelle Dieu avait pourvu. Or, Israël était dans la servitude. Eh bien, Moïse avait premièrement manqué cela. C’était un militaire. Il s’était dit: «J’irai là tuer quelques-uns parmi eux, ils auront peur de moi.» Voyez?

            C’est ce que l’homme essaie toujours de faire, prendre... accomplir ses propres réalisations. Mais vous ne le pouvez pas. La voie est déjà frayée. Dieu a frayé la voie. Voyez?

            Peu importe quel Juif très intelligent qui se serait levé et aurait dit: «Vous savez quoi? Nous pouvons aplatir nos épées, nous pouvons vaincre cette nation», cela n’aurait jamais marché. Dieu avait une voie pour y arriver, et Dieu leur avait promis qu’Il le ferait.

45        Et quand Dieu a envoyé un homme là, un prophète, à qui la Parole vient, il avait la Parole originelle de Dieu. «J’ai entendu les gémissements de Mon peuple et Je me suis souvenu de Ma promesse.» Alléluia! Ce Dieu ne change pas. Il reste fidèle à cette Parole, mot à mot. Non seulement cela, mais Il a confirmé Son prophète.

            Il est descendu. Il avait une Colonne de Feu au-dessus de lui. Il l’a confirmé. Il était le... de Dieu. C’était Dieu confirmant que l’homme avait raison, car il était parfaitement conforme à la Parole. Oh! la la! Il a prêché la Parole. Dieu travaillait avec lui, confirmant les Paroles par des signes qui suivaient.

            Moïse faisait exactement ce que Dieu lui ordonnait. Moïse a eu beaucoup d’imitateurs. Mais dans chaque cas, Dieu surmontait toujours la vague de tous les imitateurs et confirmait cela. Jésus a dit... La Bible le dit: «Dans les derniers jours, de même que Jannès et Jambrès s’opposèrent à Moïse, il s’élèvera des hommes dans les derniers jours»; l’imitation, cela est promis.

46        Mais quand Moïse jeta sa verge par terre, et que ces hommes là debout, avec leur perception super sensorielle, ont jeté les leurs, faisant la même chose que Moïse... Seulement, Moïse suivait la conduite de Dieu.

            Et qu’arriva-t-il? Il n’y avait rien que cet homme pouvait faire. Il avait accompli son devoir. Quand vous faites tout votre possible dans la ligne du devoir, alors c’est l’affaire de Dieu de pourvoir à une voie pour...?... Dieu se pourvoira d’un sacrifice. Voyez?

            Alors, Moïse jeta sa verge, et Aaron jeta la sienne, et cela se transformant en serpents. Et ces gens dotés d’une perception super sensorielle, arrivèrent et jetèrent leurs verges, et elles se transformèrent. Et alors, Moïse ne pouvait rien faire d’autre. Dieu a alors pourvu à une voie. Leurs verges ont dévoré les autres. Qu’arriva-t-il à ces verges? Est-ce que le serpent était devenu plus grand, ou qu’arriva-t-il? Oh! Dieu a toujours pourvu à une voie, et Il est capable de frayer une voie quand il n’y en a pas. Il est la voie.

47        Comme les Egyptiens ne croyaient pas les signes que Moïse accomplissait... Ils ne croyaient pas cela. Alors, il a fait venir la mort. Et quand un homme ne croit pas la Parole de Dieu, cela le sépare toujours de Dieu. Quand Ève a manqué de croire la Parole de Dieu, cela les a séparés elle et Adam, de Dieu, car les deux étaient un.

            Remarquez bien, quand quelqu’un ne croit pas la Parole de Dieu... La Parole de Dieu est la Voie à laquelle Dieu a pourvu. Personne ne doit y ajouter quoi que ce soit, ni En retrancher quoi que ce soit. Ça doit être exactement Telle que C’est écrit. Or, quand quelqu’un retranche de Cela ou ajoute à Cela, eh bien, il se sépare de Dieu. Il est alors séparé.

            Les Egyptiens ne croyaient pas le signe du prophète qu’il était descendu accomplir là en présence de tous. Eh bien, eh bien, il est... Cela cause la mort. La mort, c’est la séparation. Et quand la mort est sur le point de frapper, Dieu prend des dispositions pour séparer les croyants des incroyants, et c’était par le sang.

48        Le sang a opéré une séparation. Ceux qui croyaient réellement étaient venus sous le sang; ceux qui ne croyaient pas étaient restés loin du sang. Et c’est pareil aujourd’hui. Les croyants restent sous le Sang. C’est vrai. C’est l’unique endroit où rester en sécurité. C’est vrai.

            Le Sang a opéré la séparation entre le croyant et l’incroyant, car le Sang véhicule la Vie. Le sang... La Vie est dans le Sang. Ainsi, la Vie... Le Sang est dans la Vie. Et le croyant reste sous le Sang, c’est ce qui lui produit la Vie Eternelle. Et l’incroyant adopte son credo et va de l’avant. C’est vrai. Il n’y a pas moyen de s’en détacher. Très bien.

49        Après que Moïse les eut fait sortir, il arriva à la mer Rouge. En plein chemin du devoir, la mer Rouge leur bloquait le passage. Il fallut un pont à Moïse. Dieu pourvut au vent. Amen. Moïse n’avait donc pas... Il ne se servait donc pas d’un pont. Il a suivi la voie à laquelle Dieu avait pourvu, il s’est dirigé vers la mer. Celle-ci s’est ouverte, et Moïse et Israël ont traversé à sec, car ils suivaient la voie à laquelle Dieu avait pourvu.

            Ils ont traversé le désert, le pèlerinage, avec des chagrins et de la tristesse pendant la traversée. Moïse se faisait vieux, cent vingt ans, et un jour, il allait mourir. Alors, il est monté au sommet du mont Pisgah. Et pendant qu’il était là-haut, contemplant la Terre promise, la mort le frappa, ce prophète fidèle de Dieu, alors qu’il n’y en a jamais eu un qui ait vécu comme lui. Mais la mort le frappa. Et quand la mort le frappa, il eut besoin d’un lieu où il pouvait mourir. Dieu pourvut à un Rocher, ce même Rocher qui l’avait suivi au désert. Il monta sur le Rocher et mourut. Ensuite, il eut besoin des porteurs de cercueil pour l’ensevelir, et Dieu pourvut aux anges. Ils vinrent et l’emportèrent quelque part sous terre.

            Qu’était-ce? Dieu. Si nous suivons la voie à laquelle Dieu a pourvu, Dieu pourvoira à tout ce dont nous avons besoin. Dieu pourvoit. Quelles que soient les circonstances, Il pourvoit.

50        Enoch, un jour, lui qui avait marché cinq cents ans auparavant devant Dieu et qui avait eu le témoignage de Lui être agréable... Amen. Quel témoignage! Cinq cents ans, et il a eu le témoignage d’être agréable à Dieu; et un jour, il s’est mis à effectuer une promenade un après-midi, et il eut besoin d’un sentier. Alors, Dieu lui a donné une autoroute. Il est directement parti d’ici, escaladant directement l’échelle de Jacob, ou l’autoroute, montant à la maison. Voyez? Dieu avait pourvu pour lui à une voie pour rentrer à la maison. Exact.

51        Elie, après qu’il eut réprimandé Jézabel si fortement... Il nous faut un autre aujourd’hui. C’est vrai. Il l’a réprimandée... Comment le... Nous en avons besoin aujourd’hui. Comment les gens... Oh! c’est une disgrâce, ce que font les gens aujourd’hui! C’est juste... Et eux tous se disent chrétiens. Et certaines de ces modes que nos femmes modernes portent, certaines de ces femmes avec ces coiffures hydrocéphales, vous savez. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] J’ai vu la lèpre, mais jamais je n’ai vu pareille chose. Cette femme avait des yeux rouges et bleus, une histoire brune sur tout le visage, l’une de ces coiffures hydrocéphales. J’ai vraiment eu pitié d’elle. J’allais m’avancer et dire: «Soeur, excusez-moi. Qu’est-ce qui clochait chez vous? Je suis missionnaire. Voulez-vous que je prie pour vous? Je prie pour les malades.» Et pendant que je m’avançais vers la femme, deux ou trois autres sont venues dans la même direction. Je me suis dit: «Bonté divine! Cela ne pourrait certainement pas être si désagréable.» Horrible! Oh! la la! Quelle disgrâce! Oui. Et Elie avait réprimandé ces premières dames du pays et autres. Il en avait marre, Il était épuisé, et il rentrait à la maison. Alléluia! Il a traversé le Jourdain. Et il lui fallut une échelle. Mais Dieu lui a envoyé des chevaux de feu et un char de feu. Il a eu... Dieu avait une voie à laquelle Il avait pourvu pour faire sortir Son prophète de là. Je suis si content qu’Il reste toujours Dieu.

52        Josué, après la mort de Moïse, descendit au fleuve Jourdain. Il lui fallut aussi un pont pour traverser. Mais Dieu lui donna une puissance, l’Esprit qui arrêta le fleuve, et le retint là dans les montagnes jusqu’à ce qu’ils eussent traversé à sec. Gloire à Dieu!

            Daniel, en plein poste du devoir, se tenant là comme un prophète devant Dieu, proclamant la Parole de Dieu, il avait refusé de se prosterner devant n’importe quoi d’autre. En plein dans la ligne du devoir, il a été jeté dans la fosse aux lions affamés et furieux. Il lui fallut un intermédiaire. Il lui fallut une clôture pour le protéger contre les lions. Mais Dieu envoya un ange, la voie à laquelle Dieu avait pourvu pour lui. Daniel avait peut-être besoin d’une clôture, mais Dieu envoya un... envoya un ange qui pourvut à la voie pour lui. Combien Dieu est merveilleux, si seulement nous suivons la voie à laquelle Il a pourvu!

53        Un jour, les enfants hébreux eurent besoin d’un tuyau, un tuyau de pompe à incendie, là dans la fournaise ardente; ils avaient aussi été loyaux, en plein dans la ligne du devoir. Ils eurent besoin d’un tuyau pour éteindre le feu, mais Dieu leur envoya le quatrième Homme. Cela intrigua le roi. La voie à laquelle Dieu avait pourvu. Les mages de l’orient attendaient l’apparition de l’étoile de Jacob. Ils cherchaient un guide pour les conduire vers cela. Ils avaient besoin d’un guide, Dieu leur envoya une étoile. Il les guida exactement vers le jeune Roi.

            Je peux entendre la femme de Belzar dire: «Dis donc, Belzar, où vas-tu?»

            «Je vais à Jérusalem.» Oh! la la! Là, c’était à l’est, là loin en Inde. J’y étais tout récemment; là, ils s’assoient toujours de la même manière, les mages, dans des rues, à trois. Et il a dit: «Je m’en vais.» Eh bien, il leur fallait une boussole pour le guider.

            Vous direz: «Eh bien, tenez, vous avez oublié votre boussole.» «Je ne l’apporte pas cette fois-ci. Je suis la voie à laquelle Dieu a pourvu.» Amen. «Je suis la voie à laquelle il a été pourvu.» Cela l’a conduit droit vers le jeune Roi qui était né.

           

54        Un jour, le monde chercha un Sauveur. Ils ont eu besoin d’un Sauveur. Dieu a pourvu à Son Fils. Jésus, un Sauveur, devenu Sacrifice. Il était un Intermédiaire. Il devait se tenir entre le pécheur et la peine que Dieu allait lui infliger; s’interposer entre la mort et la vie, l’enfer et le Ciel. Il était l’Intermédiaire de Dieu, un Sauveur.

            Après Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, l’église eut besoin de la puissance pour prêcher Son Evangile. Eh bien, Il ne leur avait pas donné une instruction. Il ne leur avait pas construit une école. Il ne leur a pas formé une organisation, mais Il leur a donné le Saint-Esprit. C’était la voie à laquelle Dieu avait pourvu.

55        Dieu a pourvu à une voie. Nous cherchons à suivre une autre voie, mais Dieu a pourvu à une voie. Elle est toujours la meilleure à suivre, Sa voie. «Vous recevrez une puissance après que vous aurez décroché votre licence en lettres?» «Vous recevrez une puissance après que vous serez devenu un diacre?» «Vous recevrez une puissance après que le Saint-Esprit sera venu sur vous. Alors, vous serez Mes témoins à Jérusalem, en Judée (et à Victoria), jusqu’aux extrémités de la terre.» Oui, oui.

            Après deux mille ans d’incrédulité, d’apostasie, de credos, de doctrines, de dogmes ajoutés à l’église, il leur a fallu un signe pour savoir s’Il est toujours vivant ou pas. Oh! la la! Dieu a pourvu à une voie, l’évidence de Sa résurrection, un signe qu’Il avait promis à la postérité royale d’Abraham.

            Il avait promis à la postérité royale d’Abraham que ce même signe qu’avait vu Abraham (comme nous l’avons examiné hier soir), sa postérité royale verrait le même signe. Et nous vivons au temps du soir, dont le prophète a dit: «Vers le soir, la Lumière paraîtra.»

56        Qu’est-ce? La civilisation a évolué avec le soleil. La civilisation la plus ancienne que nous avons, c’est l’Inde, ou, je veux dire, la Chine. Ainsi donc, la civilisation a évolué dans le même sens que le soleil (et remarquez), et cela est allé jusqu’à la Côte Ouest. Eh bien, on ne peut pas aller plus loin. Si on y va, on retourne à l’est. Et remarquez. «Ce sera un jour, dit le prophète, qui ne sera appelé ni jour ni nuit.» C’était un jour brumeux, nuageux. Vous en connaissez par ici sur la côte. Vous avez assez de lumière, pour voir où vous déplacer, mais ce n’est pas comme la lumière du début, le soleil qui se lève par un matin clair. Et de même que le s-o-l-e-i-l se lève à l’est et se couche à l’ouest, l’Evangile du F-i-l-s s’est levé à l’est et se couche à l’ouest. Et maintenant, le même soleil qui se lève à l’est, le s-o-l-e-i-l, est le même soleil qui se couche à l’ouest. Le même F-i-l-s (Alléluia!) qui projette Sa lumière de l’Evangile, la puissance, Son signe messianique devant les gens de l’Orient... Dans les derniers jours donc, les nuages se dissipent de l’église, et le F-i-l-s se lève avec la guérison sous Ses ailes, apportant la puissance, l’évidence de Sa résurrection, qu’Il reste toujours le Fils de Dieu. «Vers le soir, la Lumière paraîtra.» La voie à laquelle Dieu a pourvu, oui.

57        Dieu a pourvu à Sa voie, le signe messianique, pour prouver qu’Il est, selon Hébreux 13.8, «Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement.» La même voie à laquelle Il avait pourvu pour Abraham, la même voie à laquelle Il avait pourvu pour la postérité naturelle d’Abraham, la même voie à laquelle Il a pourvu pour la postérité royale d’Abraham...

            Nous vivons dans les derniers jours, où les églises sont devenues formalistes, avec des credos et des dogmes. Et les gens sont devenus formalistes; le réveil est terminé, les gens retournent dans toutes sortes de mode de vie. Ils ne veulent plus aller à l’église. Ils restent à la maison et suivent la télévision. Ils sortent, des femmes s’habillent en cherchant à imiter la mode de Hollywood. Et des hommes, qui sont censés être des chefs de leurs propres foyers, permettent à leurs femmes de porter des shorts, de fumer la cigarette tout en se disant chrétiennes, et elles chantent dans des chorales, et des choses semblables, alors que tout devient plein de souillures et de vomissures.

58        Mais Dieu dit: «Je restaurai toutes les années qu’ont dévorées le gazam, le jélek et tous les autres insectes. Je restaurerai, dit l’Eternel.» Cette même Eglise qui était là le jour de la Pentecôte, qui était tombée, une église remplie, cette église romaine finalement, les jéleks devenus des organisations, des dénominations, ont dévoré cela jusqu’à ne laisser qu’une souche. Mais Dieu a dit qu’Il restaurerait cela dans les derniers jours.

            La Lumière du soir brillera. Nous avons besoin d’une évangélisation du temps du soir, avec un Message du temps du soir, pas un tas de credos. On a eu la pluie de la première et de l’arrière-saison. Le mot hébreu pour première, veut dire la pluie de semailles», et ensuite, la pluie de récolte. Semer... Qu’avons-nous fait de ce réveil? Plus de membres. Qu’avons-nous semé? Une semence dénominationnelle. Nous récoltons une récolte dénominationnelle.

            Les baptistes avaient un remarquable slogan là: Un million de plus en 44. Billy Graham, un grand revivaliste... C’est vrai. Nous apprécions ces hommes. Mais ce qu’il nous faut aujourd’hui, frère, c’est semer la semence de l’Evangile de la Parole de puissance, la résurrection de Christ, l’Etre vivant qui vit avec nous, en nous maintenant, au présent. «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.» Amen.

59        Il nous est promis un messager dans les derniers jours, dit Malachie 4, qui ramènera la foi des enfants aux pères. Les enfants pentecôtistes donc qui s’éloignent de cela, on les ramènera au Message originel de la Pentecôte originelle. Alléluia! Je me sens religieux. Amen, amen. «Je restaurerai.» Dieu a une voie à laquelle il a été pourvu aujourd’hui. C’est une Pentecôte restaurée, revenir aux mêmes choses, aux mêmes signes, au même Message. Amen. Vous y êtes.

60        Qu’est-ce que je dis? Dieu a pourvu à une voie, suivez la voie à laquelle Dieu a pourvu. Il a pourvu pour nous à un Messager, le Saint-Esprit. Il a pourvu pour nous à une Parole. Et si un esprit dit quelque chose de contraire à la Parole, ça ne peut pas être le Saint-Esprit, car c’est le Saint-Esprit qui a écrit la Parole. «Au commencement était la Parole, la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, Elle a habité parmi nous.» Hébreux 4.12: «La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants (Ça vous dépouille de toutes les choses charnelles du monde), et discerne les sentiments et les pensées du coeur.» Je restaurerai, dit l’Eternel, une route ... un chemin frayé et une route, qu’on appellera la voie sainte, nul impur n’y marchera.» Alléluia!

            Vous ne pouvez pas marcher à la fois avec Hollywood et avec l’église. Vous ne pouvez pas marcher à la fois avec Dieu et avec le monde. Vous ne pouvez pas aimer à la fois Dieu et Mamon.

            Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, ce n’est pas davantage d’organisations, davantage de membres d’église; mais nous avons besoin du nettoyage de l’église de la chaire au concierge, d’un bon réveil à la saint Paul, à l’ancienne mode, et du Saint-Esprit biblique, marcher dans la voie à laquelle Dieu a pourvu. Amen. Dieu a pourvu à une voie. Marchons-y.

            Dieu a promis, quand Il était ici sur terre, Il a promis: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Jésus a promis auparavant: «Ce qui arriva du temps de Lot, Sodome, arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» Qu’est-ce? La voie à laquelle Dieu a pourvu.

61        Un groupe de disciples étaient là une fois en mer. Ils avaient suivi une grande réunion ce jour-là, ils avaient vu un Homme qui pouvait rompre le pain, le couper, le déposer là et un autre morceau de pain pousser dessus, Il le déposait là jusqu’à ce qu’Il a nourri cinq mille personnes. Oh! la la! Ils ont dit: «Ça doit être Dieu. Rien en dehors de Dieu ne peut faire cela.» Il était là. Eux étaient là dans une barque sur la mer. Ils étaient partis sans cela... ils étaient partis sans Lui. Ils étaient là, ballottés, ils ne savaient quelle voie suivre. Les rames étaient cassées, la barque était remplie d’eau; les voiles étaient déchirés, ils n’avaient aucune voie pour échapper à la puissance de Satan qui coulait à flots sur eux.

62        Je me demande aujourd’hui si nous ne nous sommes pas aussi emballés dans un réveil pour bâtir de nouveaux endroits, nous disperser, construire de nouveaux grands bâtiments, tout en prêchant que la Venue de Christ est proche. Nos propres oeuvres témoignent contre nous. Oh! la la! Et des missionnaires sont pieds nus. Qu’y a-t-il, frère? Quelque chose cloche. Considérez cependant la condition dans laquelle se trouve l’église. Mais Dieu a promis qu’à partir de cela Il restaurerait, Il ramènerait, Il frayerait une voie.

63        Ces disciples, là, n’avaient plus d’espoir. Ils avaient déjà cédé. Ils ont dit: «Eh bien, nous ne pouvons simplement pas aller plus loin. Nous allons simplement mourir ici sur cette mer ce soir.» Et Jésus vint en marchant sur l’eau. Et le côté triste de cela, Dieu avait pourvu à une issue pour eux, et eux en avaient peur. Ils ont dit: «C’est un fantôme! Oh! c’est un esprit!» Et ils ont crié de frayeur.

            Jésus a dit: «N’ayez pas peur. Rassurez-vous, c’est Moi.»

            Dieu a pourvu à une voie pour les gens aujourd’hui, de voir que nous vivons au temps de la fin. N’ayez pas peur de cela; croyez cela.

64        Inclinons la tête juste un instant maintenant. Dieu a pourvu à une voie, ami. C’est une route toute jalonnée. Elle est étroite: «Spacieux est le chemin qui mène à la perdition; mais resserré est le chemin qui mène à la vie, et il y en a peu qui le trouveront.»

            Y en a-t-il ici ce soir qui ne connaissent pas cette voie-là, qui ne savent pas ce que ça représente de suivre la voie de la Vie? Vous ne connaissez pas Christ? Vous n’êtes pas remplis de l’Esprit? Je vais vous poser une question en tant que Son serviteur, avec la sincérité de mon coeur: si vous êtes ici et que vous ne Le connaissez pas comme votre Sauveur, voudriez-vous lever la main pour dire: «Frère Branham (Quand vous levez la main, cela témoignera en votre faveur), j’aimerais que vous priiez pour moi afin que Je suive la voie à laquelle Dieu a pourvu»?

            Vous pourrez être un membre d’église, cela ne représente rien. Regardez, vous direz: «Eh bien, je mène une bonne vie, une vie pure.» Cela ne représente toujours rien pour Dieu. Qui–qui pourrait être plus pur, qui pourrait parler plus saintement que ces pharisiens de l’époque? C’étaient des hommes loyaux, que nous appellerions des hommes qui craignent Dieu. Mais Jésus a dit: «Vous êtes de votre père le diable», car ils n’avaient pas reconnu leur Messie. Si vous ne Le connaissez pas personnellement...

65        Nous envoyons nos enfants à l’institut et au collège biblique, nous leur apprenons la Bible. A quoi cela sert-il de connaître la Bible si vous ne connaissez pas l’Auteur? La Bible ne recommande pas de connaître la Parole. Satan connaît la Parole mieux que n’importe quel étudiant dans le monde. Cela ne le sauve pas. Ce n’est pas par la connaissance de la Parole; c’est Le connaître Lui, qui est la Vie: Le connaître.

            Si vous ne Le connaissez pas, levez la main et dites: «Frère Branham, priez pour moi. Je veux Le connaître. Sincèrement, de tout mon coeur, je veux Le connaître. Y a-t-il des pécheurs ici qui lèveraient la main pour dire: «Priez pour moi. Je veux Le connaître. Je veux suivre Sa Voie, la voie à laquelle Dieu a pourvu. Je sais que j’ai adhéré à l’église, mais si je mourais maintenant même, j’aurais une peur bleue, je ne serais pas sauvé»? Que Dieu vous bénisse. Y en a-t-il un autre? «Je veux Le connaître.» Que Dieu vous bénisse, jeune fille. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, madame. C’est bien.

66        Frère Brent, que Dieu vous bénisse, monsieur. Je vous assure, cela exige qu’on soit un vrai homme pour accepter qu’on a tort. Quand on a tort, il faut l’accepter, j’ai beaucoup confiance en un tel homme. Quand une femme est en erreur et qu’elle accepte cela, j’ai beaucoup confiance en elle. Mais lorsqu’on est en erreur et qu’on ne veut pas accepter cela... «Celui qui cache son péché, ou le couvre, ne prospérera pas. Celui qui confesse son péché trouvera miséricorde.» Si vous êtes en erreur et que vous le reconnaissez, levez la main pour dire: «Priez pour moi, Frère Branham.» Que Dieu vous bénisse, frère. Un autre, juste avant la prière? Que Dieu vous bénisse, madame. Oui, que Dieu vous bénisse par ici, et vous, madame. Que Dieu vous bénisse. C’est–c’est du vrai courage, faire cela.

            Vous direz: «Oui, Seigneur. Je crois.» Je veux simplement voir les mains. Il voit aussi. Ne doutez pas; croyez simplement. Continuez simplement à prier, suivant le... Que cela... Réfléchissez-y donc maintenant partout, si vous mourriez. Avez-vous... Certainement que vous avez pris la décision. Votre décision est-elle correcte?

67        Notre Père céleste, il y a environ quinze mains ou plus qui se sont levées, au mieux de ma connaissance. Ils ont des besoins, Seigneur. Ils veulent lever la main pour dire: «Je suis en erreur. Priez pour moi.»

            Seigneur Dieu, je Te cite Ta Parole. Tu as dit dans l’Evangile selon saint Jean, chapitre 5, verset 24: «Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit à Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle. Il ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» C’était Ta promesse, Seigneur.

            Maintenant, ils ont levé la main, montrant qu’il y avait un Esprit près d’eux, leur esprit, leur disant qu’ils étaient en erreur. Et ils ont levé la main vers le Créateur qui les a créés pour Lui témoigner qu’ils étaient en erreur. Père, c’est l’expression du fond de leur coeur, ils sont passés de la mort à la Vie. Tu l’as promis. Tu as dit: «Celui qui Me confesse devant les hommes, Je le confesserai devant Mon Père et les saints anges.»

68        Voilà le Sacrifice auquel il a été pourvu. Dieu a pourvu pour notre maladie, pour notre salut. Pour tout ce dont nous avons besoin, Dieu a pourvu à une voie. Il est Jéhovah-Jiré, «le Seigneur peut se pourvoir d’un sacrifice.» Et Il l’a fait. Que Ta paix et Ta miséricorde reposent sur eux, Père. Ils sont à Toi. Ce sont eux que Jésus T’a donnés. Il a dit: «Nul ne peut les arracher de Ses mains.» Ils sont à Toi.

            Ils étaient sérieux là-dessus. Je crois, ô Dieu, de tout mon coeur qu’ils étaient sérieux là-dessus. Alors, j’offre cette prière de la foi pour eux, afin qu’ils sachent que Tu es Dieu, que Tu n’es pas mort, que Tu étais autrefois mort et Tu es ressuscité le troisième jour. Et deux mille ans de critique, et–et de toute voie du monde pour salir Ton Nom, et écarter la Bible; Elle subsiste toujours aujourd’hui, et Tu rends témoignage à cela. Il... «Je suis vivant aux siècles des siècles, et J’ai les clés de la mort et du séjour des morts», dit notre Sauveur.

69        Maintenant, Seigneur, ils sont à Toi. Devant cette communauté, cette armée du Ciel, l’Eglise du Dieu vivant, ils sont à Toi. Garde-les, Père. Et en ce glorieux jour-là, puissions-nous avoir le privilège de nous rencontrer encore les uns les autres autour de la table pour la communion ce soir-là, au Souper du Seigneur, dans le Royaume, une fois de plus avec Lui.

            Puissent-ils trouver une bonne église, une bonne église du Plein Evangile, se faire baptiser du baptême chrétien et alors, Père, recevoir le Saint-Esprit et mener une bonne vie après cela. Accorde-le, au Nom de Jésus. Amen.

70        Maintenant, juste avant que je vous demande de venir vous tenir ici pour la prière, combien de malades ici présents, ou de gens qui ont besoin de Dieu, n’ont pas de cartes de prière? Levez donc la main.

            Si la Parole est prêchée et que le Seigneur a confirmé la Parole qui a été prêchée, en accomplissant des miracles et des signes... Maintenant, hier soir, j’ai parcouru le... pour vous montrer ce Jésus, ce qu’était Son signe en tant que Messie, j’ai ramené cela au temps d’Abraham, j’ai montré que cela a mis fin à la dispensation des Juifs, cela s’est terminé là avec Abraham en son temps et cela a été promis par Jésus pour la postérité royale d’Abraham, qui est l’Eglise, en son temps. Je vous ai dit que Dieu ne peut jamais prendre une décision... Et s’Il a été appelé en scène pour faire quoi que ce soit, Il doit toujours faire cela de la même façon. Quand Dieu a été appelé à sauver un homme, s’Il avait dit: «Tiens-toi la tête en bas», cela devrait rester ainsi pour toujours. Dieu a sauvé un homme par le Sang versé d’un innocent, et cela est resté toujours comme cela.

71        Nous avons essayé l’instruction, la dénomination, toutes sortes de programmes, et ils ont tous échoué, et ça a éloigné davantage l’homme de Dieu et l’un de l’autre. Mais lorsque nous venons sous le Sang versé, méthodistes, baptistes, catholiques, presbytériens, peuvent tous s’accorder, car nous sommes dans la voie à laquelle Dieu a pourvu: la communion par le Sang de Jésus-Christ, l’unique lieu commun d’adoration qui existe, pour la communion.

            Peu nous importe que les princes, les juges ou je ne sais quoi soient près quand le Saint-Esprit tombe, nous sommes là pour adorer Dieu, car nous n’avons pas honte de l’Evangile de Jésus-Christ. Car c’est la puissance de Dieu pour le salut, la voie à laquelle il a été pourvu pour le pécheur.

            Jésus a dit: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.» Vous tous ici qui avez assisté aux réunions auparavant, vous savez à quoi je vais en venir. Eh bien, voici ce que je prédis: l’église est dans la situation la plus critique jamais connue.

72        Peu savaient ces esclaves d’Egypte, quand ils se tenaient sur le rivage, après avoir vu le grand réveil que ce prophète était tenu de leur apporter, ils avaient vu la main puissante de Dieu, ils avaient été pro–protégés et ils étaient sortis de là; ils dansaient en Esprit, après avoir traversé la mer Rouge et avoir vu leurs ennemis noyés derrière eux (toutes leurs habitudes et tout, comme nous appellerions cela aujourd’hui, noyés derrière eux), les choses qui les tourmentaient; et Miriam dansait par l’Esprit, Moïse chantait par l’Esprit et tout; peu savaient-ils qu’ils étaient seulement à environ dix jours de la Terre promise, sachant qu’ils étaient à quarante ans de cela... Pourquoi? Parce qu’ils avaient refusé de suivre Dieu. Ils voulaient une loi plutôt que la grâce. Et ils ont eu cela; ils ont donc pu se frayer leur propre voie et avoir leur propre ceci et cela. L’homme a toujours cherché à faire quelque chose de lui-même. Et Dieu a laissé chacun d’eux périr dans le désert, Il a suscité une autre génération et Il les a fait entrer dans la Terre promise.

73        Peu savait l’Eglise pentecôtiste d’il y a quarante ou cinquante ans, alors que vous dansiez par l’Esprit, ces vieilles mères aux longs cheveux, portant de longues robes, que leurs filles deviendraient donc des reines de Hollywood, comme elles essaient de le devenir aujourd’hui. Peu savaient-ils, alors que des hommes intègres, des hommes pieux qui mouraient pour cette Parole là, qui se sont tenus sous le coup de feu et tout le reste, qui étaient taxés de saints exaltés, jetés en prison, se tenant au coin de la rue, rejetés d’un coin, allant dans un autre, apportant l’Evangile, que leurs fils permettraient même qu’une telle chose ait lieu, amener l’église au même point que les autres dénominations.

            Maintenant, ils sont errants. C’est depuis quarante ans qu’ils le sont. Mais il y a une autre génération qui se lève. «Dieu restaurera, dit Dieu, quelqu’un qui marchera dans l’Esprit, qui apportera la vérité, qui dira la vérité, Josué. Jéhovah Sauveur, qui les a conduits à travers le Jourdain.

74        Maintenant, frère, soeur, Christ vit aujourd’hui. Il n’est pas mort. S’Il est mort, alors notre religion est vaine. Il est ressuscité, Il est vivant aux siècles des siècles. Il a seulement subi la mort pour pouvoir ôter le péché. C’était Emmanuel.

            Quand Il gravissait la montagne, l’abeille de la mort bourdonnait autour de Lui, sachant qu’il allait Le piquer, peu savaient-ils qu’Il était... Peu Satan croyait-il qu’Il était un Prophète. Eh bien, cette moquerie, on a placé un lambeau sur Son visage, on Lui a craché au visage, on L’a frappé à la tête avec un roseau, on a dit: «Si Tu es un Prophète, dis-nous qui T’a frappé.» Voyez? «Si Tu es le Fils de Dieu, change ces pierres en pains.» Voyez? Le vieux pharisien se tenant là a dit: «S’Il était un Prophète, Il saurait quel genre de femme est en train de Lui mouiller les pieds», comme s’Il ne le savait pas. Voyez?

75        Quand Il a vu Simon et qu’Il l’a appelé par son nom, disant: «Tu t’appelles Simon. Tu es le fils de Jonas», cette semence prédestinée de Dieu est très vite venue à la Vie. Quand Philippe est allé trouver Nathanaël et qu’il l’a amené là, Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»Il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

            Il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.» Il savait que c’était le signe du Messie. C’est vrai. C’était la voie à laquelle Dieu avait pourvu pour qu’ils Le voient.

76        Cet Ange là à Sodome, qui avait le dos tourné à la tente, qui a demandé à Abraham où était Sara, sa femme... Et elle était dans la tente. Il a dit: «Je te visiterai au temps de la vie.» Et Sara a ri en elle-même. Il a demandé: «Pourquoi Sara a-t-elle ri?», derrière lui.

            Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Lot arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» Abraham avait connu toutes sortes de signes et des oeuvres, mais juste avant le feu, il y eut ce signe-là. Israël avait connu toutes sortes de signes. Mais avant d’être excommuniés de la Présence de Dieu, ils ont vu ce signe messianique.

            L’église est passée par les luthériens, les baptistes, les presbytériens, jusqu’aux pèlerins de la sainteté, les nazaréens, les pentecôtistes, le parler en langues, mais la voilà. Ils ont... Quelque chose doit arriver. Il doit être le même Dieu. Je ne suis pas instruit. Je suis votre frère. Mais je vous dis la vérité. Et si je vous dis la vérité, Dieu est tenu de soutenir cette vérité. Et si ce n’est pas la vérité, Dieu n’aura rien à faire avec cela. C’est...

77        Vous tous... nous savons tous que la Parole du Seigneur venait aux prophètes. Les prophètes étaient la Parole du Seigneur rendue manifeste. Jésus était le Prophète, et c’est pourquoi Deutéronome dit: «L’Eternel ton Dieu te suscitera un Prophète.» Et quand ils L’ont vu accomplir cela, ils n’avaient pas eu de prophète depuis des centaines d’années, mais ils ont reconnu que c’était ce Prophète-là. Considérez cette petite pauvre femme là, une prostituée, dans Saint Jean 4, alors qu’elle se tenait là ce jour-là. Jésus est allé là, un Juif, Il lui a demandé à boire. Et la conversation a continué un peu longtemps. Jésus cherchait à découvrir son problème. Et quand Il a découvert son problème, Il a dit: «Va, chercher ton mari, et viens ici.» Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»Il a dit: «Exact. Tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.» Considérez cette petite femme. Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es ce Prophète-là.» Eh bien, si vous remarquez bien, la version King James dit un prophète, mais parcourez les notes en marge, c’est ce Prophète-là qui devait venir. On a demandé à Jean: «Es-tu ce Prophète-là?» Ils savaient que ce Messie devait être Prophète.

            Elle a dit: «Es-tu ce Prophète-là qui devait venir? Nous savons que quand le Messie, qu’on appelle Christ, sera venu, ça sera là Son signe. Il nous annoncera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu?» Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

78        Frère, ces pharisiens, très instruits, dénominationnels, se tenaient là, indomptables, et ils ont dit: «C’est un démon, Béelzébul, un diseur de bonne aventure.»

            Il a dit: «Je vous pardonne. Mais un jour, le Saint-Esprit viendra faire la même chose. Un seul mot contre Cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.»

            Il a dit: «Sondez les Ecritures. Ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi.» Il était la Parole de Dieu faite chair. Il est une manifestation. «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, ne Me croyez pas. Les Ecritures rendent témoignage de Moi.» En d’autres termes: «Ce sont les oeuvres mêmes qui disent ce que Je suis.»

79        Eh bien, les mêmes Ecritures qui indiquent le jour dans lequel nous vivons prouvent que nous sommes au temps du soir. Et Dieu a frayé une voie. Hâtez-vous aussi vite que possible. Cette Voie, c’est Jésus-Christ, le Saint-Esprit. Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former cela.

            Et cela ne dépend pas de... Je crois dans le fait de crier, de parler en langues et tout cela, mais ne comptez pas sur cela. C’est la Vie qui est à l’intérieur. Et cette Vie, c’est ce qui croit cette Parole-là.

            Peu importe que vous ayez parlé en langues, ce que vous avez fait, et si vous doutez toujours de cette Parole-là, ce n’est pas le Saint-Esprit en vous.

            Le Saint-Esprit a écrit la Parole, et le Saint-Esprit ne peut pas renier Sa propre Parole. Voyez? Le Saint-Esprit ponctuera chacune de ces phrases d’un «amen, amen», bien exactement; ligne après ligne, ligne après ligne, le Saint-Esprit le fera. Et le Saint-Esprit est Celui qui a fait la promesse. Tout homme sait que la Bible déclare que «Jésus-Christ est maintenant même le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.» Tout le monde sait que la Bible déclare (Hébreux 13.8) que «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» S’Il est le même Souverain Sacrificateur, Il doit agir de même s’Il est le même Souverain Sacrificateur. Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Quel genre d’oeuvres faisait-Il?

80        La Bible démontre clairement que nous sommes dans le dernier jour et avec le dernier signe. Je suis encore très jeune; j’ai cinquante-trois ans. Observez ceci: Au Nom du Seigneur, vous ne verrez rien de plus grand. Je sais que vous attendez quelque chose de grand, mais faites attention. Vous avez l’oeil... Vous êtes sur une fausse piste là même. Lisez les trois premiers chapitres de l’Apocalypse. Il n’a pas été promis beaucoup à l’église des nations. C’est vrai. Ces choses que vous lisez, ça arrivera là en Israël après le départ de l’Eglise. Faites donc attention, frère. Cela vous dépasse droit par-dessus la tête, et vous ne le savez pas.

81        «Lequel des prophètes vos pères n’ont-ils pas lapidé parce qu’ils ne connaissaient pas leur jour? Si vous M’aviez connu, vous auriez aussi connu Mon jour.» Ils n’ont pas reconnu Jean avant sa mort et son ensevelissement.

            Ils n’ont pas reconnu Jésus avant Sa mort et Son ensevelissement. Ils n’ont pas reconnu Saint Patrick. Jeanne d’Arc, l’Eglise catholique l’a brûlée sur le bûcher comme une sorcière, car cette femme avait la puissance dans la prière et elle avait des visions. Et eux ont dit que c’était une diseuse de bonne aventure, une sorcière, et ils ont brûlé cette femme-là, alors qu’elle implorait la miséricorde. Oh! Evidemment, vous avez fait pénitence deux cents ans plus tard, en déterrant les corps de ces prêtres et en les jetant... Mais cela était passé près de vous, et vous ne l’aviez pas reconnu. Même les disciples avaient dit: «Pourquoi les scribes disent-ils qu’Elie doit premièrement venir?»

            Il a dit: «Elie est déjà venu et vous ne l’avez pas su.» Cela passe par-dessus la tête et vous ne le savez pas. Ne manquez pas cela. Le Saint-Esprit, Christ est ici.

            Eh bien, rappelez-vous ces deux mots avant que je vous quitte: l’apparition de Christ et la Venue de Christ sont deux choses différentes. Christ apparaît maintenant dans la plénitude de Sa puissance. Sa Venue aura lieu après: Son apparition avant Sa Venue. Que Dieu soit miséricordieux.

82        Maintenant, que chaque personne ici soit très respectueuse. J’ai parlé, attendant de savoir que Sa Présence était là. Je vais Lui demander, au Nom de Jésus-Christ, de nous prendre entre Ses mains et de nous débarrasser de notre incrédulité. Ôte mes peurs, mes doutes et mes frustrations, ô Dieu. Ôte les frustrations de cette communauté, afin que Tu puisses accomplir les oeuvres que Tu as promises pour les derniers jours, afin que nous puissions partir d’ici ce soir, ô Dieu, le coeur brûlant au-dedans de nous de voir que le Dieu que nous avons servi, à qui nous avons crié, que nous avons loué, se manifeste ici vivant parmi nous. Accorde-le, Seigneur. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il en soit ainsi.

83        Maintenant, s’il y a des doutes dans le coeur de quelqu’un, qu’il vienne ici prendre ma place. Mais si je vous ai dit la vérité, Dieu est tenu de confirmer là cette vérité. Eh bien, vous qui avez levé la main, je vais vous demander de faire quelque chose dans une minute.

            Mais vous qui savez et qui croyez que ce que je vous ai dit est la vérité, priez donc et dites: «Seigneur, laisse-moi toucher Ton vêtement avec ma foi ce soir.» Eh bien, si vous me touchiez, moi, cela ne ferait aucun bien, pas plus que de toucher mes frères ici, ou n’importe qui dans l’assistance. Mais touchez-Le une fois.

            Suivez l’Esprit. C’est ainsi que nous connaissons Christ. Non pas par Son habillement, non pas par (comme je l’ai dit) la façon dont Il se peignait les cheveux, ou Sa barbe, ou par Son langage, Sa façon de parler, mais on L’a reconnu par Sa vie. Christ est une Vie. «Nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

84        Priez simplement, sincèrement. Ne soyez pas nerveux. Si vous l’êtes, vous ne saisirez jamais cela. Soyez bien simple. Dites simplement: «Seigneur...» C’est la simplicité que vous perdez de vue. Les gens rendent cela tellement compliqué qu’ils... C’est pourquoi ils avaient raté Jésus au départ. Ils disaient: «Esaïe a bien dit: Vous avez des yeux, et vous ne voyez pas; des oreilles et vous n’entendez pas.» Voyez? Cela vous rend... Rendez-vous simplement compte que Christ, le Fils de Dieu, vit.

            Maintenant, priez. Et si Dieu fait ce que la Bible dit qu’Il fait, alors la vérité est que la Bible est vraie. Mais s’Il ne le fait pas, alors ce n’est pas Dieu; et nous le savons. Tout le monde sait que Dieu est tenu à Sa Parole. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Il doit tenir Sa Parole. Eh bien, priez simplement maintenant et croyez de tout votre coeur que Dieu va l’accorder. Et maintenant, qu’Il fasse venir Son Esprit et qu’Il nous parle et confirme la Parole. Maintenant, observez très attentivement.

85        Maintenant, rappelez-vous, combien ici présents, pendant que vous priez en silence, ont vu la photo de cet Ange du Seigneur dans le journal? Assurément. Je pense qu’on a montré cela ici dans la salle. Je dis la vérité, avec cette Bible ici sur mon coeur: Au jour du Jugement, je serai jugé et vous serez jugé si vous ratez Christ. Cette même Lumière n’est pas à un pied [30,4 cm] de là où je me tiens maintenant même.

            Eh bien, Il a dit: «Je viens de Dieu et Je vais à Dieu.» Cette Lumière est descendue et s’est faite chaire. Elle est retournée de la résurrection à la Gloire, et Paul sur le chemin de Damas a été terrassé par Elle.

            Maintenant, si cette Lumière, ce monde scientifique a prouvé que c’est l’Etre surnaturel, si Cela ne produit pas la même Vie que Cela avait produite lorsque Cela était ici en Christ; si Cela ne fait pas la même chose dans Son Eglise, alors ce n’est pas la même Vie. Si Ça le fait, c’est la même Vie.

86        Tenez, je veux... Regardez ça. Il y a une petite femme assise ici même, elle avait juste la tête inclinée tout à l’heure. La foi, cherchant à croire, elle prie pour ses yeux. Elle a des yeux en mauvais état. Elle en est préoccupée. Elle regarde droit vers moi. Elle n’est pas... Elle vient de la Norvège. C’est vrai. Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas? Vous n’en avez pas besoin. Vos yeux se rétabliront maintenant même. Votre foi L’a touché.

            Ayez foi. Maintenant, je voudrais simplement... juste prendre notre temps juste un instant.

            Allez vers cette dame-là. Levez-vous juste une minute, je sais qui était cette femme. Où était-elle? Voyez, c’est une vision. C’est juste comme si je faisais un songe sur quelque chose. Où était cette femme-là? Eh bien, je pense que c’était bien ici derrière. Est-ce que ces choses étaient vraies, madame, ce qui a été dit? Levez la main. Etiez-vous en train de prier comme cela et tout?

            Comment pourrais-je savoir ce qu’elle disait dans la prière, et ce pour quoi elle priait et tout à ce sujet, et qui elle est, où elle est, ce qui est arrivé et tout? Comment pourrais-je savoir cela alors que cette femme m’est totalement inconnue? Je ne l’ai jamais vue de ma vie, et nous sommes de parfaits inconnus.

            Allez vers elle après le service et demandez-lui. Merci. Qu’a-t-elle fait? Cela confirme l’Ecriture: «Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.»

87        Tenez. Voici venir vers moi un homme. Une bouée de sauvetage apparaît ici. Cela est placé ici au bout de la rangée, il souffre de dos. Croyez-vous que Dieu va vous guérir de ce mal de dos, vous assis ici? Croyez-vous que Dieu vous guérira? Croyez-vous? Acceptez-vous votre guérison? Monsieur Sanders, croyez-vous que Dieu est un grand Guérisseur?

            J’aimerais vous poser une question. Regardez ici vers moi. Hier soir, vous avez éprouvé une sensation très étrange lorsque vous étiez ici dans la réunion. Quelque chose était arrivé. Eh bien, ce soir quand cela revient vers vous... Maintenant, croyez de tout votre coeur; cette maladie vous a quitté. Croyez-vous?

88        Tenez, je ne vous connais pas. Nous sommes inconnus. Vous voyez cela, n’est-ce pas? Regardez ici, frères. Regardez là, juste au-dessus de cet homme ici, une Lumière de couleur jaune ambre. Cet homme souffre. Il est dans un mauvais état. C’est la nervosité, il est en proie à une dépression. C’est pratiquement une dépression, c’est tout. Vous êtes un brave homme, vous avez une famille, un tas d’enfants, environ cinq. C’est vrai. Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas besoin. Tout est terminé maintenant, vous pouvez rentrer chez vous, gagner les moyens de subsistance pour vos enfants. Votre foi vous guérit.

            Voyez-vous ce jeune homme assis à côté de vous? Quand j’ai pointé le doigt là, il a sursauté. Si vous croyez, cette maladie de peau vous quittera aussi, et vous serez guéri. Croyez-vous cela? Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas besoin maintenant. Votre foi vous guérit.

89        Vous croyez de tout votre coeur, n’est-ce pas? Demandez à ces gens. Je ne les connais pas. Ils sont bien assis ici dans la réunion, mais ils ont la foi. Voici une dame assise ici en train de regarder droit vers moi, ici. Elle souffre aussi de dos. Elle croira... Mademoiselle Cobbles. Je ne vous connais pas. Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas besoin. Votre foi vous sauve.

            Est-Il le même hier, aujourd’hui et éternellement? C’est ça la Voie de Dieu; marchez-y. Qu’est-ce? Jésus-Christ ressuscité. Oubliez tous ces credos et toutes ces choses auxquelles vous essayez de vous accrocher. Débarrassez-vous-en. La Parole est faite chaire parmi nous. Nous voyons que c’est la Parole de Dieu.

90        L’aimez-vous? Aimeriez-vous venir Lui offrir votre vie comme une vie de sacrifice; même un service de consécration, Lui consacrer une fois de plus votre vie? Voudriez-vous le faire? Pendant qu’on est dans Sa Présence, j’aimerais que chaque personne ici qui aimerait consacrer de nouveau sa vie, vous tous qui avez levé la main il y a quelques instants, vous veniez vous tenir ici juste une minute. Je me sens conduit à faire ceci. Et pendant que je me sens conduit, c’est toujours la chose correcte. C’est vrai. Oh! Maintenant, vous verrez quelque chose arriver.

                 Oui, nous allons nous rassembler à la rivière

                 A la belle, belle rivière;

                 Oh! nous rassembler avec les saints à la rivière

                 Qui coule près du Trône de Dieu.

                 Oui, nous allons (nous tous)... à la rivière,

                 A la belle, la belle rivière;

                 Nous allons nous rassembler avec les saints à la rivière

                 Qui coule près du Trône de Dieu.

                 Nous allons nous rassembler à la rivière,

                 Là où les anges brillants ont foulé les pieds,

                 Avec sa vague de cristal à jamais.

            Levons les mains maintenant

                 Oui, nous allons nous rassembler à la rivière,

                 A la belle, la belle rivière;

                 Nous rassembler avec les saints à la rivière,

                 Qui coule du Trône de Dieu.

            Inclinons maintenant la tête. L’organiste continuera avec cela pendant que nous fredonnons cela dans notre coeur [Frère Branham se met à fredonner.–N.D.E.]

            Argenté...

            Continuez simplement à fredonner donc, vous représentant que vous entrez dans la Présence de l’Esprit de Dieu qui est ici avec nous.

            Nous allons nous rassembler à la rivière.

91        Père céleste, je m’avance devant ce groupe de pénitents, toute l’église là en dehors d’environ, environ dix ou quinze personnes se tiennent debout voulant Te connaître plus que profondément, marcher avec Toi, T’aimer davantage. Ils sont debout, Seigneur, chantant: «Nous allons nous rassembler à la rivière.» Oui, Seigneur, nous nous rassemblerons là-bas et ça ne tardera pas.

            Quand le temps sera accompli, alors l’Esprit de Dieu qui est ici maintenant même, le glorieux Saint-Esprit qui se meut dans cette salle, dans la douce communion qui nous rapproche de Lui, nous fera savoir que nos péchés sont pardonnés, que notre iniquité a disparu... Quand nous serons prêts à confesser nos torts, Dieu est disposé à nous pardonner.

92        Père céleste, alors que nous voyons le jour fort avancé maintenant, nous T’avons vu faire quelque chose ce soir comme Tu l’avais fait avant Ta crucifixion. Ce sont les mêmes oeuvres que Tu avais accomplies avant d’être crucifié. Et nous savons maintenant par cela, la promesse de la Parole qu’Il avait promise que cela se répétera, nous savons que Tu es ressuscité d’entre les morts et que Tu es vivant aux siècles des siècles.

            Deux mille ans de critique et de perversion de la théologie n’ont pas pu voiler cela de la Parole de Dieu. Nous voyons Christ entrer en scène et faire exactement la même chose qu’Il faisait quand Il était ici sur terre. Nous savons par cela qu’Il est vivant.

            Nous savons par cela que nous sommes acceptés, car l’Ange qui était allé chez Abraham et vers le groupe élu, pas à Sodome, mais auprès du groupe élu, avait accompli ce genre de signe. Et nous sommes très contents, ô Dieu, de ce que Tu nous as fait savoir que nous sommes cette Eglise-là qui est sortie et qui a été séparée, qui n’est plus là à Babylone, mais qui est née de nouveau, et nous sommes devenus de nouvelles créatures en Jésus-Christ, en attendant Sa Venue. Nous ne nous soucions pas de choses du monde, car nous sommes des pèlerins et des étrangers. Notre héritage est en haut, là où Dieu est assis sur Son Trône.

93        Nous Te prions, Père céleste, de recevoir chaque pénitent ici debout. Et j’ai trouvé grâce à Tes yeux, et nous avons prêché l’Evangile sans compromis, exactement telle que la Parole l’enseigne, et Tu as confirmé que c’est la vérité par Ta visitation parmi nous ce soir; ô Dieu, pardonne chaque péché. Ôte de gens toute froideur, et que le Saint-Esprit, par la puissance de la résurrection de Christ, entre dans chaque coeur et réchauffe ces coeurs. Remplis cela, Seigneur. Maintenant même, laisse qu’une autre Pentecôte descende sur cette assistance. Satan est vaincu. Que la puissance de Dieu entre dans les coeurs; sanctifie et remplis chaque coeur ici de la puissance divine du Saint-Esprit. Accorde-le, Seigneur.

            Je T’offre cette prière, ô Dieu. Au Nom de Jésus-Christ, accorde-le, Père. Que Ta grâce honore nôtre... nous... notre rassemblement ce soir et nos bénédictions auprès de Toi, Seigneur, dans les lieux célestes. Accorde-le, au Nom de Jésus.

94        Que tous ceux qui croient maintenant de tout leur coeur que Dieu leur pardonne, et qui promettent que par la grâce de Dieu, dans la Présence de cet Ange, le Saint-Esprit qui est ici maintenant, promettent qu’à partir de cette soirée, vivront pour Lui, prieront davantage, se sacrifieront, jeûneront, feront tout ce qui relève de leur pouvoir, par la grâce de Dieu, pour vivre pour Lui, lèvent la main et Le louent. Maintenant, dites: «Merci, Seigneur, de m’avoir donné cette foi pour croire cela.» Que Dieu vous bénisse. Amen.

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