Accepter La Voie À Laquelle Dieu A Pourvue Au Temps De La Fin

Date: 63-0115 | La durée est de: 1 heure et 55 minutes | La traduction: Shp
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1          [...crois seulement. Frère Carl Williams demande: «Comment allez-vous, Frère Branham?» –N.D.E ]

            Comment ça va, Frère Carl? Bien. Merci. [Frère Williams dit à l’assemblée: «Asseyez-vous, s’il vous plaît.–N.D.E.] Faites reculer un autre fauteuil. Ça va. Est-ce le mien? [«Oui.»] Hum! C’est celui-ci.

2          Eh bien, il fait certainement bon revenir dans la maison du Seigneur ce soir, spécialement dans celle-ci, car j’ai eu le privilège de consacrer cette maison du Seigneur il y a quelque temps, après que notre précieux frère Sharrit a construit ce bâtiment. Et nous l’avions consacré au Seigneur pour Son service. Et il fait bon être dans la maison de Dieu n’importe quand, n’est-ce pas? [L’assemblée répond: «Amen.»–N.D.E.] C’est un très bon endroit où se retrouver.

3          Et ici dans cette région glaciale où cela... Je suis venu ici pour fuir le temps froid, et je me retrouve en plein dedans. Hier soir, je disais: «J’espère que ce n’est pas moi qui suis à la base, pour vous tous, de tous ces ennuis.» Eh bien, vous savez, on dit que l’été prend son repos d’hiver par ici. Et peut-être que l’hiver est venu lui rendre visite pour voir comment il va. Mais il fait bon être ici n’importe quand.

4          J’ai toujours aimé Phoenix depuis que j’étais un petit garçon. J’aime Phoenix. Et Phoenix a été la première ville où j’ai donc prêché aux gens qui n’étaient pas des blancs. C’étaient des Indiens. J’étais allé à la réserve. Je pense qu’il peut y avoir ici ce soir des gens qui se souviennent, quand j’avais fait une promesse à Dieu à l’estrade, que s’Il guérissait un alcoolique et une femme atteinte de tuberculose, j’irais aux réserves prêcher aux Indiens. Et on m’a rappelé cela. Et tous les deux ont été guéris. Alors, je suis allé à la réserve des Apaches, et là, le Seigneur nous a accordé une grande victoire.

5          Je ne me souviens plus du nom de cette dame qui avait été guérie du cancer là-bas. C’était un cas extraordinaire. Je pense qu’elle faisait l’oeuvre missionnaire là-bas, les Assemblées de Dieu, au mieux de mes souvenirs. Nous sommes allés avec elle, Mitchell. Et c’est ça. Y a-t-il ici quelqu’un qui était à cette réunion-là, à la réserve en ce temps-là, ce soir-là? Je me disais... Oui. C’est ça.

6          Je–je me disais que j’allais me butter à cela. Je–je n’arrivais pas à leur faire comprendre ce que je voulais dire. Je n’oublierai jamais ce soir-là. Il y avait un... bien après que je leur eus prêché un moment et leur eus parlé de Christ. Je me tenais sur les marches du hall de la mission. Et la salle était archicomble; ainsi, ils étaient tous dehors. Alors, je leur parlais. Et une chose remarquable ce soir-là, c’était un–un vieux frère Indien qu’on avait amené sur une planche, tard vers l’aube. Et ils–ils étaient trempés pour avoir traversé la–la rivière. Ils l’avaient traversée à gué. Ils l’avaient amené là quelque part.

7          J’ai demandé au jeune homme, disant: «Ne craignez-vous pas d’attraper la pneumonie?»

            Il a dit: «Jésus-Christ prend soin de moi. J’amène mon père.»

            «Bien, ai-je dit. Croyez-vous qu’il sera guéri?»

            «Oui.»

8          Il souffrait de la paralysie agitante. Il était transporté par deux jeunes gens. J’ai prié pour le vieil homme.

9          Peu après, j’ai entendu quelque chose crier. J’ai regardé en bas, le vieil homme portait la planche sur son propre dos, tournoyant, faisant signe de la main à tout le monde. Juste la simple foi de croire, c’est tout ce qu’il faut.

10        Je me rappelle, ce soir-là, une douce vieille Indienne; elle portait de longues tresses pendantes. Elle se servait des béquilles, vraiment bricolées, on dirait des manches à balai, avec un morceau de planche au bout, on dirait de deux pouces sur quatre, et puis, enroulé dans des lambeaux. Et, vraiment, le prochain à venir était... Elle était dans la ligne, elle venait de l’intérieur du bâtiment. Mais il y avait un petit, un jeune garçon indien, un petit gars, à le voir très fort, qui avait dépassé tous les autres pour entrer dans la ligne. Et la pauvre vieille cherchait à tendre ses bâtons. Elle avait vu deux ou trois guérisons avant d’entrer dans la ligne.

11        Et je me suis dit, lorsqu’elle m’a regardé, alors que les larmes coulaient dans les creux de ses joues, dans ces énormes rides profondes, je me suis dit: «C’est la maman de quelqu’un.» Je ne lui ai point adressé un seul mot, je n’ai point prié pour elle, rien. Elle a simplement levé les yeux vers moi. Et alors, elle m’a simplement tendu les béquilles et s’en est allée en marchant, tout aussi simple.

12        Mon fils cherche à réajuster pour moi ici. M’entendez-vous mieux comme ça? Aujourd’hui, j’ai lu une histoire sur un–un–un cochon qui avait été amené au sanctuaire, je pense que vous avez vu cela. [Quelqu’un réajuste le micro de frère Branham.–N.D.E.] Maintenant, ça donne mieux, de toute façon. Ainsi va la vie. On a de toute façon beaucoup d’ennuis, n’est-ce pas?

13        Eh bien, il y a des gens debout, et–et nous ne–nous n’aimerions pas prendre plus de temps que nécessaire. Et vous êtes tellement aimables que je–j’aimerais bien vous parler longtemps.

14        Et nous sommes présentement en visite ici, à la communauté des Hommes d’Affaires du Plein Evangile. La convention proprement dite se tiendra là à Ramada, à partir de la dernière partie de... Voyons, à quelle date? [Quelqu’un dit: «24.»–N.D.E.] 24. Du 24 au 28, à l’Auberge Ramada. Il y aura de merveilleux orateurs là. Frère Oral Roberts et beaucoup d’autres. Et je... Nous passons chaque fois un bon moment. En fait, chaque fois qu’on se rassemble comme cela, nous passons un grand moment à l’Auberge Ramada.

15        Il se peut que frère Oral et moi tenions un service de guérison là-bas. On ne sait pas. Ça sera vraiment bien. Oui. Nous–nous n’en avons donc–donc jamais tenu un ensemble. Je ne sais pas ce qu’il penserait d’en tenir un, lui et moi ensemble, mais moi, je suis disposé. S’il peut me supporter, eh bien, nous essayerons, et alors, nous prierons pour les malades.

16        Et nous ne tenons pas de services de guérison, si vous avez bien remarqué. Nous n’avons pas distribué des cartes de prière ni rien, à cause de l’encombrement dans de petites églises, vous savez. Et les gens, c’est à peine si on peut les faire entrer et les faire sortir. Et puis, en le faisant, ça entraîne un attroupement; la police anti-incendie n’apprécierait pas cela. Aussi avons-nous jusqu’à présent mis de côté les services de guérison dans des réunions, et nous essayons simplement d’apporter un petit message simple de l’Evangile. A... Et votre présence, votre collaboration avec moi, vos prières pour moi, ça m’encourage à être ici. Et j’espère que les petits messages vous encouragent à continuer, à vivre pour Christ.

17        Et souvent, je vois les gens aller d’une église à l’autre. Et cela fait qu’on se connaît tous, et–et nous devenons juste comme... vraiment des amis les uns avec les autres. J’aime ça. Nous ferions mieux de rester assis ensemble ici, dans les lieux célestes, car c’est à ce genre de lieu que nous nous retrouverons ensemble, dans les lieux célestes, au Ciel.

18        L’autre jour, dans un courrier, j’ai attrapé un petit article qui est une critique. On peut bien le dire pendant que nous nous adaptons un peu à vous. Tout prédicateur le sait, on doit dire une chose ou une autre pour s’adapter un peu à l’assistance et adapter l’assistance à vous. Il y avait un...

19        Un homme d’affaires a publié un article dans leur... Voice des Hommes d’Affaires, sur–sur une petite... Je pense que nous allons bien appeler cela une vision. Et c’était un peu différent des visions que j’ai généralement. J’étais... J’ai été enlevé de là où je me trouvais. Ecoutez, ce lieu-là ne me paraissait pas plus loin que le plafond de ce bâtiment. Et j’étais là, à un autre endroit, où j’ai vu tous ceux qui sont morts. Beaucoup parmi vous ont lu l’article, évidemment. Et là, après qu’Il m’eut dit qu’ils étaient... qui ils étaient, et ils étaient tous redevenus jeunes. Et ils étaient vraiment...

20        J’avais toujours eu peur de mourir. Pas la peur d’être perdu, mais je ne voulais pas devenir un esprit. Seulement, je... Je veux rester un être humain, un homme. En effet, j’ai toujours compris comme un homme, serrer la main aux gens. Je me disais: «Et si, une fois arrivé là, je rencontrais frère Rose qui serait devenu un petit nuage blanc ou quelque chose comme cela? Je reconnaîtrais que c’est frère Rose, par un certain sens, mais je ne pourrais pas lui serrer la main. Je ne pourrais pas lui parler. Ou...» Je–je me demandais: «Ne serait-ce pas horrible?» Mais je me suis dit: «Puis, à mon retour, évidemment, Je ressusciterai.»

21        Ce passage des Ecritures ne m’était jamais venu à l’esprit auparavant: «Si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous avons déjà un édifice qui attend.»

22        Alors, ce matin-là, je me suis réveillé. Je me suis dit: «Mon gars, tu as cinquante ans. Si tu vas faire quelque chose pour le Seigneur, tu ferais mieux de te dépêcher. Tu vas devenir trop vieux d’ici peu.»

23        Et tout d’un coup, j’ai été enlevé en ce lieu, et je pouvais regarder en arrière et me voir ici en bas. Je n’avais jamais eu pareille expérience. Je me suis plusieurs fois vu en vision, me tenant quelque part, et alors... Oh! si vous ne comprenez pas cela, vous penserez avoir perdu la tête. Vous, vous êtes ici, et vous vous voyez là. Et aussi, vous quittez ici, et vous êtes en vous-même là. Oui, oui. C’est peut-être là loin dans le passé, des années auparavant et tout. C’est difficile à expliquer. Non. Vous ne pouvez pas l’expliquer.

24        Vous ne pouvez pas expliquer Dieu. Il vous faut croire en Lui. Voyez? Si vous arrivez à expliquer cela, alors, ce n’est plus la foi. Il vous faut simplement croire cela.

25        Et après qu’Il m’eut parlé, voyant tous ces gens, et ils étaient... Ils avaient des corps. Ils... Il ne pouvait pas y avoir de péché. Les hommes et les femmes... Ces femmes m’étreignaient, et c’étaient des femmes. Mais il n’y avait donc pas moyen que le péché se retrouve là. En effet, voyez, les glandes de nos corps seront changées là-bas. Nous avons... Maintenant, nous avons des sexes différents, comme c’est pour remplir le monde; et notre–et notre mariage, c’est pour avoir des enfants. Mais alors, on n’en aura plus besoin. Les enfants ne naîtront plus. Nous n’aurons plus de glandes sexuelles dans le nouveau monde, voyez, pas du tout. Mais cependant, la femme restera femme, dans sa stature. Et de même les hommes resteront hommes. Mais ils ne seront plus mâle et femelle entre eux, dans ce sens-là. Et ces glandes ne seront plus là, il n’y aura donc plus du tout moyen pour Satan de les tromper encore. C’est ce que j’ai donc vu là-bas.

26        Ces femmes accouraient, m’entouraient de leurs bras, en disant: «Notre précieux frère, je suis si heureuse que vous soyez ici.» Eh bien, c’était frappant. Toutes, jeunes; toutes, les plus belles femmes, portant de longs cheveux, de longues robes, vous savez, on dirait des robes, on dirait des robes blanches en soie. Et qu’est-ce qu’elles étaient jolies!

27        Ensuite, des frères sont venus, juste... C’étaient les hommes les plus beaux que j’aie jamais vus, eux tous semblaient avoir vingt ans. Et leurs yeux scintillaient. Ils, oh! ils étaient à tout point de vue des hommes. Et je me suis émerveillé. Et ils me soulevaient, m’étreignaient et disaient: «Notre précieux frère.»

28        Je me suis demandé comment était-ce possible. J’ai regardé en arrière et je pouvais me voir ici en bas, toujours couché. Eh bien, alors, je me suis dit: «C’est étrange.» Et alors, je me suis posé des questions.

29        Une très belle dame s’est avancée, elle m’a entouré de ses bras en disant: «Oh! Frère Branham, nous sommes très contentes que tu sois ici, notre précieux frère.»

30        Je l’ai regardée alors qu’elle s’en allait. Et cette Voix qui me parlait a dit: «Ne la reconnais-tu pas?»

            J’ai dit: «Non, non.»

            Il a dit: «Elle avait plus de quatre-vingt-dix ans lorsque tu l’as conduite à Christ.»

31        Et elle était là, la plus belle créature que j’aie vue, comme femme. Et j’ai dit: «Il n’est pas étonnant qu’elle ait dit: ‘Précieux frère.’» Voyez? Maintenant, elle ne peut plus changer. Elle reste ainsi pour l’éternité.

            J’ai dit: «J’aimerais voir Jésus.»

32        La Voix a dit: «Il est plus haut qu’ici. Un jour, Il viendra, et tu seras jugé d’après l’Evangile que tu as prêché, parce que tu étais un conducteur.»

            J’ai demandé: «Eh bien, Paul devra-t-il être jugé avec son groupe?»

            Il a répondu: «Oui.»

            J’ai dit: «J’ai prêché le même Evangile que lui. J’ai prêché Cela exactement tel que lui L’a prêché.»

33        Et ces millions de voix se sont écriées: «C’est Là-dessus que nous nous reposons.»

34        Alors, il s’est passé quelque chose d’étrange. J’avais un petit cheval de selle que je–j’appelais Prince. Et (Oh!) comme j’aimais ce petit cheval! Je le chevauchais chaque matin avant l’école, je parcourais mes pièges. Et j’ai vu ce petit cheval venir vers moi, poser sa tête sur mon épaule et hennir. Je l’ai tapoté. J’ai dit: «Prince, je savais que tu serais ici.» Et j’ai senti quelque chose me lécher la main. C’était mon vieux chien avec lequel je chassais les ratons laveurs. Il m’a permis d’aller à l’école, d’acheter des habits, par la chasse. J’ai dit: «Prince, ou plutôt Fritz, je savais que toi aussi, tu serais ici.» Alors, j’ai senti quelque chose arriver. Je rentrais.

35        Cela a été écrit dans Voice des Hommes d’Affaires Chrétiens. Et un prédicateur m’a écrit l’autre jour, disant: «Frère Branham, j’ai apprécié cette vision. Elle avait l’air très bien jusque là où vous avez fait mention des chevaux. Le Ciel a été créé pour des êtres humains. Il n’y a pas de chevaux là au Ciel.»

36        Eh bien, j’ai dit, je lui ai répondu, disant: «Frère, je n’avais jamais dit que j’étais au Ciel. J’avais demandé où était Jésus, et Il était toujours au-delà.» J’ai dit: «Mais si cela peut vous aider un peu, dans le Livre de l’Apocalypse, il est dit: ‘Quand Jésus a quitté les Cieux des cieux, Il était monté sur un cheval blanc. Et toute l’armée céleste Le suivait, montée sur des chevaux blancs.’ Voyez? Cela venait donc des Cieux des cieux.»

37        Et ce qui m’avait beaucoup réjoui, lorsque je revenais, c’est qu’Il a dit: «Tous ceux que tu as donc aimés, et tous ceux qui t’ont aimé, Dieu te les a donnés.»

38        Un jour radieux, de l’autre côté, ça sera différent. Je ne peux vraiment pas... Vous ne pouvez vraiment pas vous permettre, amis, de manquer ce lieu-là. Ne le faites pas. Quoi que vous fassiez, faites... N’ayez pas peur. Ça ne sert à rien d’avoir peur. Il n’y a pas de quoi avoir peur.

39        Oh! A l’idée de revenir, j’étais triste: «Me faudra-t-il revenir? Me faudra-t-il revenir à ce que je craignais d’être?» Voyez? Et puis, lorsque nous reviendrons au corps ressuscité, alors nous mangerons et nous boirons. Ils ne mangeaient ni ne buvaient. Il ne leur fallait ni manger ni boire. Ils n’allaient nulle part, et ils n’étaient pas fatigués. C’était juste... Il n’y a pas de mots que je puisse utiliser. C’était parfait; ce dernier ne l’exprimerait pas. C’est au-delà de ce que je peux qualifier de parfait. Ils–ils étaient simplement arrivés, c’était ça, à–à ce lieu-là, et c’était merveilleux.

40        Alors, (oh!) écoutez, mes amis. Je–je pense que j’ai le bon sens, et je–je–je sais que cela a l’air étrange. Mais jamais je n’ai été capable, et je n’ai jamais essayé, d’expliquer ces choses aux gens. Beaucoup de choses qui sont... C’est au-delà de toute explication. Et vous ne feriez qu’embrouiller les gens. Mais si je peux, et que je me sentais conduit à le faire, ce serait alarmant.

41        Mais remarquez ceci. Voici ce que je dirais: «N’ayez pas peur. La mort n’est qu’un épouvantail qui cherche à vous garder loin de quelque chose. Oh! la la! C’est si glorieux! C’est au-delà de tout ce à quoi vous pouvez penser. Il n’est pas étonnant que la Bible dise: «Ce que l’oeil n’a pas vu, ce que l’oreille n’a pas entendu, ce qui n’est jamais monté dans les coeurs des hommes, ce que Dieu garde en réserve pour ceux qui L’aiment.» Oh! rien que de jeter un coup d’oeil au-delà du rideau de temps! Alors, j’ai fourni beaucoup plus d’efforts que jamais de ma vie pour essayer de gagner des gens à Christ, depuis lors. Vous ne pouvez pas vous permettre de rater cela. Ne le faites pas. Rassurez-vous d’être en ordre avec Dieu, et les autres choses marcheront.

42        Maintenant, j’ai juste par écrit ici quelques notes dont je pensais me servir pour parler un peu ce soir. Et je pense que, demain soir, nous serons là loin, à environ vingt miles [32 km] d’ici ou plus. Mesa, je pense, Mesa. Est-ce Mesa? Mesa. Et après, la soirée suivante, à Tempe, Tempe. J’ai le programme ici dans ma poche, sur un bout de papier que frère Williams m’a remis. Mais j’ai été très occupé, je n’ai pas encore jeté un coup d’oeil dessus. Billy vient simplement, il me prend et dit: «Nous allons à tel et tel endroit, tel et tel, et nous voici partis.» Puis, j’arrive ici, il cherche à m’étouffer. [L’assemblée rit.–N.D.E.]

43        Eh bien, tout le monde se sent-il très religieux? Dites: «Amen», si c’est le cas. [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Très bien. C’est bien. Maintenant, inclinons donc simplement la tête.

44        Comme nous avons bien notre petit sens d’humour pour nous exprimer! Nous sommes des enfants, nous nous rassemblons, nous parlons comme des enfants. Et nous... Même Dieu a un sens d’humour, vous savez.

45        Inclinons donc la tête maintenant et parlons-Lui avant de lire Sa Parole. Pendant que nous avons nos têtes inclinées, y en a-t-il ici qui demandent une prière? Faites-le savoir par une main levée. Que Dieu vous bénisse. Inclinons donc la tête.

46        Notre Père céleste, nous entrons maintenant dans Ta Présence alors que nous inclinons la tête et le coeur dans l’humilité. Nous nous approchons par la foi, allant au-delà de la lune et des étoiles, jusqu’au Trône de Dieu, au Nom du Seigneur Jésus, car nous sommes sûrs que si nous venons en Son Nom, Tu vas nous exaucer. Nous serons acceptés dans Ta Présence, en Son Nom. Quel privilège est-ce de savoir que nous sommes acceptés dans la Présence de Dieu, au Nom de Jésus-Christ!

47        Et Il nous a dit, Père, que tout ce que nous demandons en Son Nom, que Toi, par Ta grâce et Ta miséricorde abondantes, Tu pardonnerais nos péchés et nous accorderais ce que nous désirons. Père, nous en sommes très contents. Il n’y a rien d’autre auquel nous puissions penser, qui soit un privilège plus élevé que celui-ci.

48        Pour nous, citoyens Américains, ce serait un privilège de nous approcher de notre président. Et tout ce qu’il nous faudrait faire, c’est remplir des formalités pour parvenir à nous approcher du président rien que pour un laps de temps, lui prendre un instant de son programme chargé. Il nous faudrait passer par des bureaux et–et chaque étape pour y arriver, et il nous faudrait donner nos motifs, et–et être interrogé avant de jouir de ce privilège-là.

49        Mais, de penser à ceci: le Dieu Créateur des cieux et de la terre attend que nous nous approchions de Lui! Nous, des pécheurs indignes, Il attend que nous nous approchions, au Nom du Seigneur Jésus, rassurés que ce que nous demandons nous sera accordé, si seulement nous pouvons croire que nous le recevrons. Alors, nous veillons très attentivement à nos requêtes, sachant que nous ne parlerons pas en insensés ni ne demanderons de sottises. Et puisque nous le pouvons, nous Te prions de nous pardonner, Seigneur.

50        Et ce soir, nous implorons la miséricorde pour chacune de ces mains qui se sont levées. Qu’ils reçoivent ce qu’ils ont demandé, Seigneur. Qu’ils soient rassurés dans leur coeur maintenant même là-dessus, pendant que nous sommes dans Ta Présence. Et que, lorsque nous ouvrirons les yeux et que nous redresserons nos têtes de la poussière d’où Tu nous as modelés, nous puissions sentir cette assurance ancrée, que ce que nous avons demandé nous a été accordé.

51        Nous aimerions demander, Seigneur, pour ceux qui sont dans cette salle ce soir et qui, peut-être, ne sont jamais entrés dans Ta Présence par la prière, pour demander le pardon du péché. Que celle-ci soit la soirée où quelque chose sera dit, ou quelque chose sera fait, ou un acte du Saint-Esprit amènera leurs coeurs à trembler, à réclamer cette grâce qui pardonne.

52        Guéris les malades. Seigneur, nous Te prions de leur accorder ce soir l’assurance que la prière de la foi est maintenant offerte, et «qu’elle sauvera les malades.» En effet, nous pouvons dire et ajouter ceci, que c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR, car C’est écrit dans la Parole du Seigneur.

53        Maintenant, Père, nous Te prions de bénir ces petits commentaires auxquels il a été pourvu ici aujourd’hui pour Ta Parole. Tire de ce passage des Ecritures un contexte pour chaque coeur. Et s’il m’arrivait de faillir de quelque façon que ce soit, Seigneur, et de manquer l’onction du Saint-Esprit, puisse-t-Il, par la grâce divine, accompagner la Parole et La placer dans le coeur, là où Elle est censée être. Et puissions-nous ce soir voir la main du Tout-Puissant s’étendre dans cette salle et accomplir des oeuvres infiniment au-delà de tout ce que nous pouvons faire ou penser. Lorsque nous quitterons ce soir et que nous retournerons à nos foyers respectifs, puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous alors qu’Il nous parlait en chemin?» Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

54        Maintenant, beaucoup de gens aiment noter le passage dont se sert le prédicateur. Et je... si vous souhaitez donc le faire, j’aimerais lire deux passages dans les Saintes Ecritures. C’est dans Genèse, chapitre 22; nous allons premièrement lire cela. Et ensuite, dans Saint Jean 12.32, nous lirons le deuxième passage des Ecritures. Maintenant, dans Jean... Dans Genèse 22, nous commençons par le verset 7 du chapitre 22.

          Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit: Mon père! Et il répondit: Me voici, mon fils! Isaac reprit: Voici le feu et le bois; mais où est l’agneau pour l’holocauste?

          Abraham répondit: Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l’agneau pour l’holocauste. Et ils marchèrent tous deux ensemble.

55        Et maintenant, dans Saint Jean 12.32, nous lisons ces Paroles issues des lèvres de notre Seigneur:

          Et moi, quand j’aurai été élevé de la terre, j’attirerai tous les hommes à moi.

56        Et maintenant comme sujet, j’aimerais parler de... sur ceci: Accepter la voie à laquelle Dieu a pourvu pour le temps de la fin. Permettez-moi de répéter cela à cause des bandes. Je pense qu’on enregistre ces messages. Et là, sur les bandes que nous avons, il y a quelque cinq cents sujets, je pense, que j’ai prêchés, ils ont quelque chose de semblable à cela, mais ce n’est pas exactement ça: Accepter la voie à laquelle Dieu a pourvu au temps de la fin.

57        Vous savez, il y a plusieurs voies que–que les gens empruntent, mais en réalité, il n’y a que deux voies qu’un homme peut suivre: ce sont la bonne voie et la mauvaise voie. Nous tous ici ce soir, nous sommes sur l’une de ces voies: la bonne voie ou la mauvaise voie. Il n’y a pas de voie intermédiaire. Jésus a dit: «Vous ne pouvez pas servir Dieu et Mammon, c’est-à-dire, le monde.» Vous êtes soit dans le vrai, soit dans le faux.

58        Et alors, si seulement nous nous abandonnons notre propre voie, c’est l’unique moyen pour nous d’entrer dans la Voie de Dieu. Et Dieu a pourvu à une voie pour tout. Il a pourvu à la voie. Et nous connaissons des ennuis en ne suivant pas cette voie-là, et–et en injectant nos propres voies. Et cela entraîne une perversion. Et tout ce qui est perverti n’est pas–n’est pas fiable. Ainsi, Dieu a une voie. Considérons donc certaines de Ses voies.

59        Considérons quelque chose dans la nature. En effet, la nature a été ma première Bible. Je sais que Dieu est le Créateur, et c’est Lui qui a créé la nature. Et Il habite dans Sa création, dans la nature.

60        Prenons par exemple l’arbre. Il y a quelques instants là, je venais de m’arrêter sous un arbre, ou plutôt Billy, qui portait des branches. J’ai vu les feuilles tomber. Eh bien, nous n’avons jamais été capables, et nous ne le serons jamais, de trouver un meilleur moyen pour un arbre de cacher sa vie en hiver, que celui auquel Dieu a pourvu pour lui.

61        Eh bien, qu’arriverait-il si nous essayions d’en fabriquer un autre que le moyen naturel auquel il a été pourvu pour l’arbre? Qu’arriverait-il si en août ou en septembre, dans le pays, surtout là d’où je viens, dans le Nord, s’il nous fallait aller dans une pommeraie prendre une espèce de–d’instrument, l’enfoncer dans un arbre vers août après que les pommes ont mûri, et retirer la vie de l’arbre, la mettre à un bon endroit chaud, la conserver pendant l’hiver, la vie, la vie de la sève de l’arbre, et la placer dans un bon récipient chaud, la garder jusqu’au printemps et, ensuite, la réinjecter dans l’arbre? Vous savez, cela ne marcherait jamais. Cela ne marcherait jamais ainsi. Et oser faire cela ne fera que tuer l’arbre.

62        Mais Dieu a un moyen de prendre soin de cette vie en hiver. Dieu a un moyen. Sachant que l’hiver s’abattra sur l’arbre, Il a frayé une voie pour l’arbre. J’étais... J’ai eu le privilège de conduire un incroyant de soixante-quinze ans à Christ, avec ça, il n’y a pas longtemps.

63        Monsieur Wood, un voisin à moi, qui était un témoin de Jéhovah de foi, avait un garçon estropié, qui avait une jambe recroquevillée. Et sa femme, je pense, était membre du–du mouvement Anderson de l’Eglise de Dieu. Ils étaient venus à Louisville, dans le Kentucky, là où ils habitaient, dans une petite ville appelée Crestwood, à environ trente miles [48 km] de Louisville.

64        Et là, à une réunion dans un auditorium, ils ont vu une jeune fille qui souffrait d’une maladie qui avait fait qu’elle était devenue comme de la craie ou une pierre. Et elle avait... cela l’avait déjà paralysée, au-dessus des hanches, à un niveau tel qu’elle n’avait pas bougé (Oh!) depuis plusieurs mois. Cela avait commencé aux pieds. On avait prié pour elle un soir et, le lendemain, elle montait et descendait les marches en courant de toutes ses forces.

65        Et monsieur Wood a amené son fils. Evidemment, il n’était jamais venu à la réunion. Et aussitôt après cela, j’étais parti outre-mer, j’y étais allé pour le compte de notre Seigneur. Et à mon retour, je tenais une série de réunions dans l’Ohio; alors, il a amené son fils, du nom de David. Et il était assis là au fond (Oh!), pratiquement à la moitié d’un pâté de maisons.

66        Et le Saint-Esprit est venu et a dit: «Il y a un homme ici ce soir, lui et sa femme sont assis tout au fond.» Je ne l’avais jamais vu de ma vie. Et il a dit: «Cet homme s’appelle Wood. C’est un entrepreneur. Il a un fils estropié qui a souffert de la polio, cela lui a recroquevillé une jambe. Mais, AINSI DIT LE SEIGNEUR, le petit garçon est guéri.»

67        Comme il n’était pas habitué à pareille chose, le petit garçon est resté assis là un moment. Et peu après, sa mère lui a dit: «David, pourquoi n’essaies-tu pas de te lever?» Et lorsqu’il s’est levé, sa jambe était devenue aussi normale que l’autre.

68        Cet homme a vendu son entreprise, il a déménagé, et est devenu mon proche voisin. Oh! c’est un très aimable frère! L’autre matin, lorsqu’il a appris que je venais ici pour un long moment, il est... Vers l’aube, alors que je quittais la maison, il était là sur la route, pleurant comme cela, faisant l’auto-stop, comme s’il allait m’accompagner. Il m’a étreint, il a emprunté une ruelle. Un tel merveilleux frère! C’est vraiment un copain pour moi.

69        Nous étions là dans l’Etat du Kentucky à la chasse aux écureuils, il y a de cela environ trois ans. Il faisait très sec. Et alors, s’il y en a parmi vous, les gens de l’Est, qui connaissent l’écureuil gris, il... Houdini, l’expert en évasion, serait un amateur par rapport à lui, lorsqu’il a peur. Ainsi, j’aime les chasser, nous les chassons donc avec le fusil 22. Et nous avions chassé, j’étais en vacance, environ deux semaines, et nous campions. Il faisait très sec. Et on pouvait marcher dans le bois, casser une–une feuille, et ce petit animal (Oh! la la!) ... Ouf! vous n’arrivez même pas à le voir. Il était parti.

70        Alors, frère Wood a dit: «Frère Branham, je connais une–une concession par ici qui a de creux profonds.»

71        Combien savent ce qu’est un creux? Eh bien, de quel coin du Kentucky êtes-vous? C’est ainsi qu’on les appelle là dans le Kentucky. Ici, je pense que vous appelez cela un canyon ou quelque chose comme cela, là où coule l’eau du ruisseau. Et vous atteignez ces endroits profonds, il y a toujours de l’humidité, vous pouvez marcher sans faire du bruit.

72        Il a dit: «Mais le vieil homme est un incroyant et, oh! il déteste les prédicateurs.» Et j’avais été une seule fois dans cette contrée auparavant, et c’était dans une réunion.

            Et j’ai dit: «C’est en ordre. Toi, tu le connais?»

            Il a dit: «Il connaît très bien mon papa.»

73        J’ai dit: «Allons lui demander, parce que nous ne faisons rien de bon ici.»

74        Et nous sommes allés à bord de sa camionnette, parcourant le bois, descendant des collines. Oh! la la! Finalement, nous sommes arrivés à un petit endroit. Il y avait là deux vieux hommes assis sous un pommier. C’était vers le 20 août.

75        Et alors, Wood est sorti de la camionnette, il s’est avancé et s’est présenté: «Je m’appelle Wood.» Il a dit: «Je suis Banks Wood.» Il a dit: «Je me demande si ce serait en ordre que nous chassions chez vous.»

            Il a dit: «Etes-vous le fils de Jim Wood?»

76        Eh bien, son papa est un lecteur chez les Témoins de Jéhovah, ou il l’était. Et toute la famille est venue à Christ, chacun d’eux, par des visions. Eux tous, il leur a été dit exactement ce qui arriverait, et cela s’est accompli tout à fait comme ça. Oh! comme je souhaiterais m’arrêter pour raconter juste l’histoire de cette famille, comment ils sont venus. Tous les enfants sont dans le Royaume de Dieu maintenant, baptisés du Saint-Esprit.

77        Et alors, quand Banks a accepté Cela, son... Tous les membres de sa famille l’ont excommunié. C’était tout. Il était écarté.

78        Mais, un à un, quand chacun d’eux passait lui dire bonjour, le Saint-Esprit l’attrapait et lui révélait des choses, et après il entrait. Et puis, il allait en parler à un autre. Alors, celui-ci venait, on lui disait quelque chose, alors il entrait. Et ça s’est passé comme cela, toute la famille est entrée en Christ. Et alors, lorsque nous avons eu le... de...

79        Il est sorti de la camionnette, il a parlé à cet homme. Ce dernier lui a demandé: «Etes-vous le fils de Jim Wood?»

            Il a dit: «Oui.»

80        Il a dit: «Jim Wood est un homme honnête. Absolument. Vas-y. Chasse où tu veux.»

81        Il a dit: «Merci.» Il a dit: «J’ai amené avec moi mon pasteur.»

82        Il a dit: «Wood, tu ne veux pas me dire que tu es tombé si bas qu’il te faut trimbaler un pasteur partout où tu vas?»

83        Je me suis dit qu’il était temps pour moi de sortir. Je suis donc sorti de la camionnette, je me suis avancé. Oh! la la! (Vous les frères chasseurs, mes compagnons de chasse, je sais que vous êtes ici.) Et (Oh!) j’étais couvert de sang, de saleté; la barbe était à peu près longue comme ça, vous savez; je n’avais pas pris de bain depuis deux semaines et, oh!... Alors, je suis sorti de la camionnette, je suis passé furtivement. Il m’a jaugé de haut en bas, deux ou trois fois. Je pense qu’il s’est dit: «Un prédicateur!»

            J’ai dit: «Bonjour.»

            Il a dit: «Bonjour.»

84        Et alors, monsieur Wood a commencé à me présenter comme celui que je... mon... son pasteur. Et il a dit...

85        Avant qu’il ait l’occasion de le faire, le vieil homme a dit: «Eh bien, a-t-il dit, je vais vous dire tout de suite, a-t-il dit, je suis–je suis censé être un incroyant. Je n’ai pas tellement à faire avec des gars comme vous, des prédicateurs.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur. D’accord.» J’ai dit: «C’est votre opinion.»

            Il a dit: «Eh bien, vous savez, je suis un incroyant.»

86        J’ai dit: «Je ne pense pas que ça mérite de s’en vanter. Le pensez-vous?»

            Il a dit: «Eh bien, je reconnais que non.»

87        Alors, j’ai dit, je me disais dans mon coeur: «Seigneur, si jamais Tu m’es venu en aide, fais-le maintenant.»

88        Alors, l’autre vieil homme assis là n’a rien dit. Les vieux chapeaux rabattus, je ne sais pas ce que... Vous savez ce que c’est, cousus avec deux fils, vous savez. Ainsi donc, ils étaient assis là un moment.

89        Et alors, il a dit: «Savez-vous ce que j’ai contre vous, les gars?» Vous aboyez à un mauvais arbre.»

90        Combien savent ce que cela signifie: «Aboyer à un mauvais arbre»? C’est un chien qui trompe, vous savez, qui aboie à un mauvais arbre. Le gibier est déjà parti de là. Il n’y a rien là-haut. Voyez?

91        Alors, il a dit: «Vous les gars, vous aboyez à un arbre où il n’y a rien, en d’autres termes, vous parlez de Dieu alors que Dieu n’existe pas.»

            «Eh bien, ai-je-dit, évidemment, nous croyons cela.»

            Il a dit: «Eh bien, peut-être, oui, mais pas moi.»

            J’ai dit: «Eh bien, c’est en ordre.»

92        Et il a dit: «Voyez-vous cette vieille cheminée là sur la colline?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

93        Il a dit: «Je suis né là-haut.» Et il a dit: «C’est mon papa qui a construit cette maison ici. Nous avons déménagé ici quand j’avais environ seize ans. Après la mort de mon père, j’ai occupé cette maison. J’ai élevé ma famille. Je suis ici ça fait soixante-seize ou soixante-dix-huit ans ou quelque chose comme cela.» Il a dit: «J’ai constamment regardé chaque jour dans les cieux. J’ai regardé partout dans les bois. J’ai regardé partout sur terre. Je n’ai jamais vu quelque chose qui ressemble à Dieu.»

            J’ai dit: «Eh bien, c’est vraiment dommage.»

94        Et il a dit: «C’est pourquoi je pense que vous, les gars, vous aboyez à un mauvais arbre.»

95        J’ai dit: «Oui, monsieur.» Et alors, il s’est passé quelque chose. J’ai regardé à l’arbre. J’ai baissé le regard, il y avait des pommes à l’arbre. J’ai dit: «Ça vous dérangerait que je prenne l’une de ces pommes?»

96        Il a dit: «Servez-vous. Les guêpes les dévorent.» Vous savez ce que sont les guêpes, j’en suis sûr.

97        Alors, je–je me suis abaissé, j’ai pris l’une de ces pommes, je l’ai essuyée sur la jambe de mon pantalon, vous savez. Et j’en ai pris une bouchée. J’ai dit: «C’est une bonne pomme.»

            Il a dit: «Oui, c’en est une.»

            J’ai dit: «Cet arbre a quel âge?»

98        Il a dit: «C’est moi qui l’ai planté là. Voyons, il a quarante-sept, quarante-huit ans, quelque chose comme cela.» Il a dit: «J’avais planté une toute petite pousse.» Il a dit: «Je l’avais déterrée quelque part, quelque part ailleurs, et je l’ai amenée ici.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.» Et j’ai demandé: «Produit-il chaque année?»

99        «Chaque année, il produit de bonnes pommes.» Il a dit: «Nous mettons en conserves beaucoup de ses pommes.»

100      Et j’ai dit: «Eh bien, c’est merveilleux. Je suis content d’entendre cela.» Et j’ai dit: «Vous savez, on est seulement le 15 août.» J’ai dit: «Il fait quatre-vingt-dix degré à l’ombre pratiquement tout le temps.» J’ai dit: «C’est étrange que toutes ces feuilles tombent de cet arbre alors que nous n’avons pas de gel.»

101      Et il a dit: «Oh! c’est–c’est... La sève est retournée dans la racine.»

            «Oh! ai-je-dit, est-ce ça?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Alors, ça retourne dans la racine, pourquoi?»

102      Il a dit: «Eh bien, si elle restait là-haut, l’hiver la tuerait.»

            J’ai dit: «Tuer quoi?»

103      Il a dit: «L’arbre. Le germe de vie qui est dans la sève descend et se cache dans les racines.»

            J’ai dit: «Oh!» J’ai dit: «Eh bien, est-ce que cela... Qu’en est-il de...»

            Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, il n’y a rien d’étrange.»

            J’ai dit: «Non, non. C’est juste un fait de la nature.»

104      Il a dit: «Vous savez, j’aimerais vous raconter quelque chose, a-t-il dit, avant que vous alliez plus loin, voici ce que j’aimerais vous raconter: C’est que j’ai une fois entendu parler d’un prédicateur que j’aimerais entendre une fois. Si jamais il repassait dans cette région, j’aimerais l’entendre.»

            J’ai dit: «Oh! C’est bien», ai-je dit.

105      Il a dit: «Il était ici à Acton, il y a de cela environ deux ans, dans une campagne sur le–le terrain de foire méthodiste, là, le terrain de camping méthodiste.»

106      Alors, frère Banks a regardé. Je me suis tourné vers Banks, je... C’est frère Wood. J’ai dit...

107      Et cet homme a poursuivi: «Le nom de cet homme m’échappe maintenant.» Il a dit: «Vous savez, il n’avait jamais été dans cette région auparavant.» Et il a dit: «Une vieille dame», quelqu’un, «qui habite ici à environ un mile [1,6 km], là sur la colline, a-t-il dit, se mourait de cancer. On l’avait amenée à Louisville, à cent vingt miles [193 km], et les médecins l’avaient opérée. Et tout son estomac était couvert, les intestins et tout, du cancer. Ils n’ont pu rien faire pour elle.» Et il a dit: «Alors, ils ont amené... ils ont suturé et on l’a ramenée. Ma femme et moi allions là chaque jour. Et on ne pouvait plus la soulever; nous n’avions qu’à tirer l’alèse et refaire le lit.» Et il a dit: «Pendant plusieurs semaines, nous sommes allés là-haut.» Et on s’attendait à ce qu’elle meure n’importe quel soir ou à n’importe quel moment. Il a dit: «Sa soeur habite là au bord de l’autre ruisseau.» Vous savez, c’est ainsi qu’on appelle cela ici. Ce n’est pas une route, c’est un ruisseau. «Là au bord de l’autre ruisseau.»

108      J’ai entendu quelqu’un rire. C’est plein de gens du Kentucky ici. Là... Eh bien, je suis né sur ce qu’on appelle Little Rennix, par là. Mon grand-père habitait sur Big Rennix, qui se déverse dans Bumshell. Le ruisseau Bumshell coule vers Little Rennix et coule près de la ramification de Casey, et ça se déverse droit dans la rivière Cumberland. Eh bien, c’est juste de l’autre côté de Green Briar Ridge. C’est là que ma mère est née, sur le Green Briar Ridge.

109      Alors, il a dit: «Cette femme habitait là à cet autre endroit.» Il a dit: «C’est à environ vingt miles [32 km] d’ici. Et elle est venue ce soir-là, elle s’est assise là tout au fond de ce terrain de camping.» Et il a dit: «Ce prédicateur, pendant qu’il était là, priait pour les malades.» Et il a dit: «Il disait aux gens qui ils étaient, et tout à ce sujet.»

110      Il a dit: «Cette femme est arrivée en retard et elle n’a pas reçu l’une de ces cartes qu’on distribuait.»

111      Et il a dit: «Ce prédicateur s’est tourné vers elle et lui a parlé, disant: ‘Vous savez, vous, la dame assise là au fond, vous êtes Unetelle. Et ce soir, en quittant la maison, vous avez mis un petit mouchoir dans votre porte-monnaie, il a un motif bleu au coin.’ Il a dit: ‘Vous avez une soeur du nom de Telle.’ Il a dit: ‘Elle se meurt du cancer d’estomac. Je viens de voir cela en vision. Maintenant, prenez ce mouchoir, allez le poser sur elle. Et: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle se rétablira.’»

112      Il a dit: «Et cette dame... Ce soir-là, nous avons entendu le bruit le plus horrible, là sur la colline. Je pensais qu’on avait fait venir l’Armée du Salut là-bas, a-t-il dit, vers minuit. Et nous pensions que la vieille dame était morte.»

113      Et il a dit: «Vous savez quoi? Ma femme et moi sommes partis le lendemain tôt le matin, voir si nous pouvions offrir nos services. Et cette dame était à table là avec une cafetière, ne faisant que déverser du café; son mari et elle mangeaient la demi-lune de tarte aux pommes frites comme petit-déjeuner.» Je disais...

114      Combien savent ce que c’est la demi-lune de tarte aux pommes? Vous savez, je suis maintenant à la maison. C’était juste... J’aime ça, j’aime mettre de la mélasse au sorgho dessus. J’ai cherché la mélasse au sorgho partout ici. Et si je reviens encore ici, je vais bien apporter un seau, parce que je ne peux guère m’en passer. Et vous savez, je–j’en consomme beaucoup, parce que je suis un baptiste, vous savez. Je–je–je ne crois pas au fait d’asperger ces gâteaux. Je les baptise complètement, très bien. Et je... Alors, je déverse de la mélasse dessus, ça devient épais.

            Ainsi donc, il a dit: «Elle mangeait cela.»

            J’ai dit... Je me suis dit: «Ça y est.» J’ai dit: «Eh bien, vous ne voulez pas dire cela!»

115      «Eh bien, a-t-il dit, montez là-haut vérifier vous-même.» Il a dit: «Il y a de cela deux ans.» Il a dit: «Elle fait non seulement son propre travail, mais aussi celui du voisin.» Eh bien, voyez, il me prêchait alors.

116      Vous savez, ma mère avait l’habitude de dire: «Si on lâche la bride à une vache, elle se passe elle-même la corde au cou.» C’est pratiquement vrai. Il s’était pris lui-même au piège cette fois-là, alors qu’il disait–il disait: «Montez-y vérifier.»

117      J’ai dit: «Eh bien, écoutez, monsieur. Vous voulez me dire que les médecins avaient opéré cette femme, et qu’ils avaient trouvé sur elle le cancer?»

            «C’est vrai.»

118      Et j’ai dit: «Et ils l’avaient suturée? Et ensuite, vous voulez me dire qu’un homme là, à quinze miles [24 km] d’ici, a vu cette femme et a dit exactement ce qui arriverait après qu’on aura posé le mouchoir sur elle? Et que cette femme a guéri de ce cancer-là?»

            Il a dit: «Montez-y carrément. Je vais vous indiquer comment y accéder.»

119      J’ai dit: «Non, non. Je vous crois sur parole.» J’ai dit: «Je vous crois sur parole.» J’ai dit: «Oui, oui. Oui.»

120      Je mangeais cette pomme, vous savez, tout le temps, mâchant cela. J’ai dit: «C’est une bonne pomme.» J’ai dit: «J’aimerais vous poser une question. Qu’est-ce qui a amené cette sève à quitter l’arbre et à descendre dans les racines?»

121      «Eh bien, a-t-il dit, il le lui fallait pour préserver sa vie en hiver.»

122      J’ai dit: «Puis, au prochain printemps, elle reviendra, vous produisant un autre tas de pommes.»

            «Exact.»

123      Et j’ai dit: «Maintenant, j’aimerais vous poser une autre question. Quelle est cette Intelligence qui fait descendre cette sève-là, en disant: ‘Tiens, c’est l’automne. Descends dans les racines et cache-toi. Sinon, l’hiver te tuera. Descends dans les racines et restes-y jusqu’au printemps. Et ensuite, lorsqu’il fait chaud, et qu’il fait beau temps, alors remonte et produis d’autres pommes pour cet homme? Eh bien, vous savez, ça, c’est la vie botanique. Elle n’a pas d’intelligence propre. Alors, dites-moi quelle est cette Intelligence qui fait descendre cette vie dans la racine de cet arbre. Il n’a pas sa propre intelligence.»

            Il a dit: «C’est juste la nature.»

124      J’ai dit: «Prenez alors un seau d’eau, placez-le sur un poteau là dehors, et voyez si la nature la fera descendre en automne, pour la ramener au printemps. Voyez? Absolument pas. Qu’est-ce?»

125      Eh bien, mettons ça de côté pour un temps. C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu. Elle ne fait que marcher selon la voie à laquelle Dieu a pourvu pour elle. Une petite voix dit: «Descends dans les racines», et elle descend. Eh bien, elle s’exécute sans intelligence. Que devrions-nous faire, lorsque le même Dieu nous parle? Mais nous, nous avons le droit de refuser ou d’accepter; et généralement, nous refusons. L’arbre ne peut pas refuser. Il connaît seulement un seul cycle: obéir à son Maître.

           

            «Eh bien, a-t-il dit, je n’y avais jamais pensé auparavant.»

126      J’ai dit: «Je vais vous dire quoi. Pensez-y longtemps, pendant que nous allons chasser. Et à mon retour, dites-moi ce que c’est... Ce qui dit à la sève de l’arbre de descendre dans les racines, d’y rester pendant l’hiver et de remonter au prochain printemps. Lorsque vous aurez découvert l’Intelligence qui contrôle la–la vie de cet–cet arbre, qui lui dit: ‘Descends dans la racine et remonte’, je vous dirai que c’est la même Intelligence qui m’avait dit: ‘Allez poser ce mouchoir sur cette femme, et elle se rétablira.’»

            Il a dit: «Qui vous avait dit?»

127      J’ai dit: «Oui, oui.» J’ai demandé: «Quel était le nom de cet homme-là? Vous en souvenez-vous?»

            Il a dit: «Je ne peux m’en souvenir.»

            J’ai dit: «N’était-ce pas Branham?»

            Il a dit: «C’était ça.»

            J’ai dit: «C’est moi, frère Branham.»

128      Là sur place, il s’est levé, il s’est saisi de mes mains. Il a dit: «Pour une fois dans ma vie, je comprends ce que vous voulez dire.» Je l’ai conduit à Christ.

129      L’année passée, j’étais là. Il était mort, il s’en était allé. La miséricorde de Dieu! Sa femme était assise là sous un arbre, épluchant les pommes du même arbre. Je me suis avancé et j’ai dit: «Puis-je aller chasser?»

            Elle a dit: «Nous ne permettons pas la chasse.»

130      J’ai dit: «Je suis désolé.» Je–je–j’ai dit: «Je pensais avoir la permission.»

            Elle a dit: «De qui détiendriez-vous la permission?»

            J’ai dit: «De votre mari.»

            Elle a dit: «Mon mari est mort.»

            J’ai dit: «Il est mort tout récemment, n’est-ce pas?»

            Elle a dit: «Oui. Il n’a jamais donné la permission à quelqu’un.»

131      J’ai dit: «Là sous ce pommier... l’année passée, j’étais ici, et nous parlions de cet arbre.»

            Elle a demandé: «Est-ce vous frère Branham?»

            J’ai dit: «Oui.»

132      Elle a laissé tomber le plateau de pommes. Elle a dit: «Frère Branham, il est mort dans la victoire de Jésus-Christ, son dernier témoignage.»

133      Qu’est-ce? Juste voir, non pas chercher à connaître toutes les mathématiques, sur comment cela se passe, mais juste une simple petite chose, voir Dieu pourvoir à une voie et quelque chose qui garde la ligne. Voyez, la même Intelligence qui a pu dire à un arbre sans intelligence: «Descends, cache-toi pour préserver ta vie», cette même Intelligence était Celle qui avait montré cette femme en vision. Et il a saisi cela. Et il ne pouvait pas nier cela, ni l’un ni l’autre. L’arbre était là, et la femme était là. Amen. Voyez? La voie à laquelle Dieu a pourvu!

134      On n’a pas non plus trouvé un meilleur moyen pour un poulet de sortir de la coquille que de se frayer une voie en picotant. On n’a pas trouvé un meilleur moyen. La science n’a jamais été capable de produire autre chose. Si vous cassez la coquille pour le faire sortir, cela le tuera. Il mourra. Il doit suivre la voie à laquelle Dieu a pourvu pour vivre. Amen. Cela marche aussi pour les êtres humains.

135      Il est équipé. Avez-vous déjà vu un petit poussin sortir de la coquille? Il a un petit bec extra contre sa coquille, un petit gratteur blanc. Et le petit poussin, là-dedans, aussitôt que la vie commence à paraître, il se met à secouer sa petite tête. Qu’est-ce que cela fait? Ce petit gratteur gratte la coquille, et l’amincit. Dès qu’il a un peu plus de vie, il se met à marteler avec cette petite chose. Une fois qu’il est déjà hors de la coquille, il n’en a plus besoin, il laisse simplement tomber cela.

136      Et ce qui se passe, cela protège le bout de son bec. S’il n’en était pas ainsi, il aurait un bec déformé, et il ne pourrait pas picorer son grain. Oh! la la! C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu pour sa survie! Dieu l’équipe comme il faut pour sortir de là. Il n’y a pas meilleure voie. Tout le reste le tuerait. Il doit suivre la voie à laquelle Dieu a pourvu. Eh bien, si vous essayez de fabriquer une autre voie ou de vous représenter un autre moyen, vous le tueriez.

137      C’est ça le problème de l’Eglise chrétienne aujourd’hui. Elle a cherché à accepter une voie fabriquée, plutôt que de se frayer une voie vers le Royaume de Dieu. Elle a essayé une autre voie, et cela ne marchera pas. Vous tuez votre patient. Vous tuez votre–votre–votre bébé, le bébé de Dieu, en essayant de fabriquer une voie. «Oh! On n’a pas besoin de ce tapage et de cris. On n’a pas besoin de tout ceci, tout cela. Oh! oui, ça y est. «On n’a pas besoin de mourir.»

138      S’il n’y a pas de mort, il ne peut pas y avoir de naissance. La naissance ne vient que par une substance morte. «Si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul.» Il doit pourrir et être corrompu, et alors, de cette corruption germe la vie. Ça ne marchera pas autrement. Cela doit premièrement pourrir, être corrompu. C’est ainsi qu’il nous faut être, mourir à nous-mêmes et naître de nouveau du Saint-Esprit.

139      Non, pour un poussin, on n’a pas trouvé un meilleur moyen de sortir de la coquille que de donner des coups de bec pour se frayer une voie. C’est ça la voie à laquelle Dieu a pourvu pour lui, et il est équipé pour y parvenir. Dieu ne pouvait pas pourvoir à une voie sans pourvoir à un équipement pour cela. Il a donc pourvu à la voie et Il a pourvu à l’instrument pour que le poussin se libère. Amen.

140      Eh bien, pour les canards et les oies, on n’a pas non plus trouvé une meilleure conception de quitter le nord pour aller au sud que de se regrouper et ensuite de prendre l’envol vers le bas. Pas d’autre moyen. Vous voyez, avant de s’envoler vers le sud, ou de s’envoler du sud pour retourner au nord, ils se regroupent, d’abord. Avant de quitter leur terrain, ou leur foyer pour aller vers un autre foyer, ils se regroupent. Les abeilles font de même. Elles se regroupent. C’est la nature. Qu’est-ce? Elles ont un réveil. Elles se regroupent toutes et se rassemblent. Vous n’avez jamais entendu pareil bruit dans votre vie.

141      Et avant que nous puissions donc quitter cette demeure vers une nouvelle, nous devons nous rassembler dans un réveil.

142      Oh! Allez près d’un groupe de canards et d’oies, vous n’avez jamais entendu pareil brouhaha de toute votre vie. Qu’ont-ils? Un réveil. Ils sont sur le point de décoller. Amen.

143      C’est ce dont nous avons besoin aujourd’hui: un réveil dans un rassemblement. Il n’y a aucun autre moyen; ce n’est pas la qualité des membres. Dieu ne tient pas compte de la majorité. Il tient compte de la sincérité dans la voie à laquelle Il a pourvu.

144      Eh bien, on n’a jamais trouvé autre chose pour remplacer cela. Il ne peut pas y avoir une meilleure voie. Eh bien, qu’arriverait-il si la science disait par exemple: «Pauvres petits canards! Nous ne voulons pas qu’ils se rassemblent encore. Nous allons leur jeter un filet dessus avant qu’ils soient sur le point de se rassembler. Et nous allons directement les rassembler dans une cage et les transporter vers le sud.»

145      C’est comme les faire entrer précipitamment dans une quelconque dénomination ou quelque chose comme cela, vous savez, les faire entrer dans une cage quelque part là. Là, il est en voie d’être abattu. Il sait qu’il va à l’abattoir lorsqu’il entre dans une cage. Mais lorsqu’il suit la voie à laquelle Dieu a pourvu, il est loin de cela. Ainsi, peut-être que je ne devrais pas dire cela. Je ne l’ai pas dit dans le sens de–de calomnier une organisation. Mais vous savez ce que je veux dire. Peut-être que c’est tout...

146      Ce n’est pas ainsi qu’il faut s’y prendre. Vous n’avez pas à entrer précipitamment dans une organisation, vous enfermer dans une cage et dire: «Je suis méthodiste, ou baptiste», ou autre chose. Ce n’est pas ça. Non, non.

147      Vous devez vous rassembler. C’est vrai. Vous devez en arriver à vous frayer la voie à force de picorer vous-même.

148      Les oies, elles se rassemblent, elles entrent dans cette cage. Et–et, lorsqu’elles... Si elles font cela, elles sont sûres qu’elles sont en route vers l’abattoir.

149      Mais alors, qu’arriverait-il si vous arriviez à les mettre toutes, les rassembler, les mettre dans une cage, les transporter jusqu’au sud et les libérer? Alors, avant qu’elles soient prêtes à se regrouper, jetez donc un filet sur elles. «Nous ne croyons pas aux jours des miracles. Voyez? «Vous, petits canards, vous ne pouvez plus voler. Ça, c’était pour les canards d’un autre âge.» Tant que Dieu crée un canard, Il les crée tous les mêmes. Et si Dieu fraye une voie à suivre pour un canard, c’est cette voie-là que tous les canards suivent.

150      Et savez-vous ce que cela ferait? Cela finirait par tuer ce canard. Il se ramollirait tellement que ses ailes ne pousseraient pas très bien. Il ne pourrait plus s’envoler. C’est juste comme son cousin de la basse-cour, tout est ventre, il n’y a pas de canard. Voyez? Il n’a pas d’ailes pour se soulever avec. C’est vrai. Voyez? Il se ramollirait comme son cousin de la basse-cour, ses frères dénominationnels qui n’aboutissent nulle part. Voyez? C’est vrai. Voyez? C’est vrai. C’est tout ce qu’il deviendrait, un vieux ramolli. Il ne saurait rien au fait de voler librement. Amen.

151      C’est ça le problème aujourd’hui. Nous cherchons à les mettre dans des cages pour leur dire: «Les jours des miracles sont passés. Et il ne peut pas avoir confiance en lui-même, pour détacher ses pattes de la terre. Cela le tuerait. Il ne vivrait pas très longtemps.»

152      Mais, vous savez, ce petit canard dirait, s’il pouvait répondre: «Non, merci.»

153      «Oh! c’est facile. Vous n’avez rien à faire. Vous pouvez bien agir comme bon vous semble.»

154      Il dirait: «Merci. J’agis effectivement comme bon me semble, car il y a quelque chose qui se remue en moi. Amen. Et je dois agir comme bon me semble.» Et chaque homme né de l’Esprit de Dieu a quelque chose qui se remue en lui. Il doit s’envoler dans les lieux célestes, une émotion, l’une ou l’autre chose qui rend cela réel.

155      Le petit oiseau finirait par devenir comme un poussin, un oiseau apprivoisé. Il ne pourrait simplement plus détacher ses pattes de la terre. Donc, si le poulet avait sans cesse continué à voler dans les airs, eh bien, il aurait pu bien évoluer. Il aurait pu aller à l’est, à l’ouest, au nord et au sud, et voir des choses.

156      Et autre chose, vous voyez, il n’y parviendrait pas. En effet, en revenant du Canada, il prend diverses sortes de matières, la nourriture qu’il ne trouverait pas si vous le gardiez dans une cage, le nourrissant simplement du maïs tout le temps. Pouvez-vous lire entre les lignes? Si vous le mettez là, il saura juste le soi-disant credo des apôtres, et comment aller à l’école du dimanche; et c’est pratiquement tout ce qu’il y a, payer le prédicateur, et vivre comme il veut.

157      Mais, oh! lorsque vous êtes en vol (Amen!), lorsque vous êtes en vol, vous trouvez plus que votre credo dénominationnel. Vous trouvez des vitamines, des vitamines spirituelles qui fortifient le corps, le rendent musclé avec les plumes des ailes qui peuvent vous soulever de vos pieds et vous montrer des choses à venir. Le Saint-Esprit: «Et quand Il (le Saint-Esprit) sera venu, Il vous montrera des choses, vous révélera des choses que Je vous ai dites; et Il vous annoncera des choses à venir.» Oui. Non, vous ne pouvez pas l’enfermer dans la cage et l’emporter. Ça ne marchera pas. Non. Si vous l’enfermez dans la cage, il va à l’abattage.

158      Un homme ne peut pas non plus choisir meilleure voie que celle qui lui est possible. Vous pouvez aller lui dire: «Eh bien, monsieur le Canard, je vais vous dire quelque chose. Vous suivez une mauvaise voie. Vous devez aller par ici, changer de voie. Descendez la côte ici, ça va... C’est mieux que de suivre la voie que vous suivez.» Cela ne marchera simplement pas. Non. Non. Ils pensent connaître une meilleure voie que celle à laquelle Dieu a pourvu pour eux. Mais ils le savent.

159      Ou, pouvez-vous choisir un meilleur conducteur pour eux que celui auquel Dieu a pourvu pour eux? Et l’homme ne pourra jamais choisir un évêque, ni une organisation, ni rien d’autre qui remplacera la conduite du Saint-Esprit pour l’Eglise. Il n’y a rien d’autre qui puisse faire cela. La voie à laquelle Dieu a pourvu! Dieu a pourvu à une voie pour eux, un Conducteur, un Conducteur inspiré.

160      Et ce conducteur est inspiré. Eh bien, je les ai plusieurs fois observés, lorsque j’allais tôt dans une partie de chasse, chasser les moutons ou quelque chose comme cela; on doit aller tôt, là dans des montagnes. Il n’y avait même pas de gel. Peut-être, là-haut, un peu de nuage coiffe la montagne. Ce vent froid passera dans la montagne. Il y a là parmi eux un conducteur de naissance. Il courra droit sur le lac comme cela, criera quatre ou cinq fois, et un rassemblement se fera. Oui, oui. Tous le reconnaissent. Ils le reconnaissent par sa façon de crier. Oh! la la!

161      Vous savez ce dont je parlais hier soir, la trompette de l’Evangile, si elle émet un son confus. Son son n’émet pas un... Con-... Il n’émet pas un son confus. Ce sont de vrais canards. Ils connaissent le cri d’un canard. Qu’arriverait-il si vous mettiez un vieux cochon d’inde là ou un dindon? Son cri n’aurait pas l’air juste. Ils reconnaissent le son du conducteur.

162      Et l’église devrait le savoir: «Ayant l’apparence de la piété, reniant ce qui en fait la force, détourne-toi de tels hommes, ne les laisse pas conduire. «Emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu; déloyaux, calomniateurs, intempérants», ennemis de ces canards qui s’envolent. Voyez? Voyez-vous ce que je veux dire? Voyez?

163      Ils reconnaissent le son de cet Evangile: «Mes brebis connaissent Ma Voix.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.] «Elles ne suivront pas un étranger.» Dieu confirme toujours cela.

164      Remarquez donc. Et ils ne peuvent pas avoir... Vous ne pouvez pas faire le choix pour eux. Qu’arriverait-il si vous alliez là et que vous disiez: «Oh! un instant, petits canards. Vous êtes certainement en erreur. Voici un beau et grand canard mâle. Oh! la la! Il a l’air royal parmi vous. Et maintenant, savez-vous ce que je vais faire? Je vais lui déverser un peu d’eau sur la tête, et je vais l’investir. Je vais faire de lui le Canard Roi. Je vais le couronner, l’habiller un peu différemment, afin que vous tous vous le reconnaissiez. Suivez toujours ce canard ici, parce qu’il est cultivé.» On le lâche sur l’étang. Il peut pousser des cris comme il veut. Chaque canard détournera sa tête de lui, parce qu’il émet un son confus. Oui.

165      Mais que ce petit canard qui a été choisi par Dieu pour être conducteur crie, et observez-les tous se rassembler pour un réveil: «Là où est le corps, là s’assembleront les aigles.» Il sait tout à ce sujet. Voyez? Alors, Il–Il a pourvu à une voie. Et les canards reconnaissent la voie à laquelle il a été pourvu. C’est vraiment dommage que l’homme ne la reconnaisse pas. Très bien. Mais c’est ce qui arrive, maintenant. Très bien.

166      S’il est un conducteur-canard inspiré, il les amènera au lieu auquel Dieu a pourvu pour eux. Et si seulement nous écoutions ce que le Conducteur dit, le Saint-Esprit, Il nous ramènera droit à la Parole une fois de plus. C’est ça la voie à laquelle Dieu a pourvu. Nous n’avons pas besoin de credos, de dénomination et des herbes sauvages le long du chemin. Il y a une certaine herbe pour les canards et de la nourriture que nous avons à manger, les canards les mangent, en allant au sud. Il y a de la nourriture que les... A vrai dire, les–les fleurs de Dieu, les créatures célestes mangent chemin faisant, et c’est: «L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.» Voyez?

167      Ce canard, ce conducteur-canard, les conduira au lieu auquel Dieu a pourvu, droit à la Louisiane, à un endroit que l’un de ces autres ne saurait pas où il va; il arrivera et tournoiera.

168      Je lisais dans le magazine Life, il y a de cela environ trois ou quatre ans, qu’un vieux jars avait mobilisé un groupe là. Et il se disait conducteur. Et la chose suivante, vous savez, ils se sont retrouvés en Angleterre, et ils n’en sont toujours pas revenus. C’est vrai. Ils doivent donc veiller au genre de canard ou de jars qu’ils suivent. On dit donc que là en Angleterre... Ceux-là aussi sont des canards du Canada. Ils se retrouvent là en Angleterre, et partout, ils se rassemblent, mais ils ne connaissent pas le chemin de retour. Oh! la la!

169      C’est vraiment dommage que l’église aussi ait beaucoup agi comme ça, ils se retrouvent en un lieu, égarés, ils ne savent comment en revenir. Ils disent: «Eh bien, nous... Je comprends que la grand-mère disait, des fois, la grand-mère disait que sa grand-mère avait dit qu’ils tenaient des services de guérison dans l’église. Les jours des miracles sont passés», vous laissez quelqu’un vous égarer sur un mauvais sentier. Mieux vaut suivre la voie inspirée de Dieu, l’unique voie.

170      Remarquez ce petit canard. Personne n’a jamais pu les conduire autrement. Ils savent que ce petit canard les conduira exactement au lieu auquel Dieu a pourvu. Et comment s’y prend-il? C’est par l’équipement auquel Dieu a pourvu. Il a tout le temps ses antennes dressées là, comme nous devrions en avoir, nos antennes spirituelles, saisissant l’Esprit.

171      Eh bien, nous voyons qu’il s’envolera là loin dans l’air. Il a ses antennes dressées. Il connaît le genre de nourriture dont ces petits canards ont à se nourrir, pour effectuer ce vol. Et lorsqu’il repère quelque chose là en bas, sur terre, vous le verrez planer et descendre. Tout le groupe va directement descendre, ils vont bien se taper un jubilé gastronomique. Et il criera, ils remonteront dans l’air, droit vers le sud. C’est ça. Le conducteur de Dieu, le conducteur de Dieu pour les canards. C’est vrai.

172      J’aimerais dire autre chose. Vous savez, on n’a jamais été capable d’amener scientifiquement... de trouver une meilleure voie pour un enfant de recevoir ce dont il a besoin que de le réclamer à cor et à cri. Vous savez, vous ne pouvez pas l’instruire à pousser un grognement. Vous ne pouvez pas l’instruire à parler si vite. Mais savez-vous comment il reçoit cela? Il suit simplement la voie à laquelle Dieu a pourvu pour ça. Il réclame cela à cor et à cri, il pousse des cris, il gigote, il crie jusqu’à ce qu’il reçoive cela. Voyez? C’est ça. C’est l’unique voie: réclamer à cor et à cri. On ne peut pas trouver meilleure voie que celle à laquelle Dieu a pourvu. C’est vrai. Laissez simplement aller cela. Et ces choses naturelles...

173      Je me suis arrêté il n’y a pas longtemps en Allemagne, et je parlais à un grand groupe de gens. J’ai dit: «Qu’est-ce qui ne va pas avec vous les Allemands? Vous savez, je descendais la rue, un chien a aboyé, et il a aboyé en anglais.» J’ai dit: «Une mère cherchait à calmer son enfant là à la voiture, il y a quelques instants, et ce dernier pleurait, il pleurait en anglais.» J’ai dit: «Qu’est-ce qui nous rend tout confus?» Voyez? Ils suivent la voie à laquelle Dieu a pourvu. Et nous provenons d’une tour de Babel, vous voyez, tout embrouillés.» C’est vrai.

174      Remarquez. La voie à laquelle Dieu a pourvu est la meilleure. Pour l’enfant, on ne connaît pas d’autre voie pour obtenir ce dont il a besoin que de le réclamer à cor et à cri. Comme docteur Bosworth avait l’habitude de le dire: «L’enfant qui crie le plus est le mieux servi.» C’est à peu près ça.

175      Cela s’applique aux enfants de Dieu. Je peux établir un parallélisme là-dessus pour vous. Un homme se lève, s’avance et dit, tout en mâchant très bien le chewing-gum: «Vous savez, Père, me voici ce soir. Si Tu veux me donner le Saint-Esprit, c’est en ordre. Me voici. Mais si Tu veux me guérir, me voici assis ici. Mais si Tu ne le veux pas, eh bien, il n’y a pas de problème. C’est Ta volonté, Seigneur.» Il a déjà écrit Sa volonté ici dans la Bible. «Celle-ci est Ta volonté.» Très bien. Celle-ci est Sa volonté, Ici même. «Et si Tu veux me donner cela, je Le recevrai. Mais, néanmoins, si Tu ne veux pas, eh bien, il n’y a pas de problème.» Vous n’aboutirez jamais quelque part.

176      Mais que quelqu’un aille là et crie, comme Buddy Robinson. Il s’est arrêté en plein milieu du champ de blé. Il a attaché son mulet. Il a dit: «Seigneur, si Tu ne me donnes pas le Saint-Esprit, à Ton retour, Tu trouveras un tas d’os ici même. Je vais rester ici jusqu’à Le recevoir.» C’est ça être sérieux.

177      Dieu recommande toujours à Son peuple, à Ses enfants croyants, de suivre toujours la voie à laquelle Il a pourvu. C’est ça la pensée de Dieu, recommander à Ses enfants la voie à laquelle Il a pourvu. Réclamer à cor et à cri ce dont on a besoin. Il veut que vous réclamiez à cor et à cri.

178      Lorsque Pierre a commencé à marcher sur les eaux, il pensait bien s’en tirer. «Voyez-vous quelle grande oeuvre j’accomplis?» Il a commencé à sombrer. Il n’a pas dit: «Eh bien, je pense que cela a failli», il tombe jusqu’au fond, quelques bulles montent, et c’est tout ce qu’il y avait là. Voyez? Non, non.

179      Il a crié: «Seigneur, sauve-moi.» Amen! Et cette main éternelle a été tendue et l’a relevé. Pourquoi? Il avait crié.

180      C’est ça le problème de l’église. Nous ne restons pas là assez longtemps. Nous ne crions pas assez longtemps. Nous ne nous y accrochons pas fermement. Si un petit enfant a besoin de quelque chose, il va gigoter, crier et rougir. Nous redoutons d’enlever le (Comment appelez-vous cela?) le mascara de notre visage, ou je ne sais quoi, ce maquillage-là. Si vous recevez, vous recevez de Dieu ce que vous voulez, vous l’enlèverez de toute façon. Ainsi, vous n’avez pas à vous inquiéter là-dessus, que vous abîmerez vos cheveux, mais cela ne change rien. Non. Absolument pas.

181      Eh bien, Dieu ne s’attend pas à ce que nous allions auprès de Lui avec un discours intellectuel. Je me souviens d’avoir essayé cela quand je cherchais à être sauvé. J’allais Lui écrire une lettre et la placer dans les bois, parce que je savais qu’Il passerait dans les bois, et Il me parlerait. Je Lui ai dit que j’avais honte de moi-même et que je–je ne voulais pas faire ça. Alors, je me suis agenouillé là pour prier. J’ai dit: «Eh bien, voyons. J’ai une fois vu un tableau où on tenait les mains comme ceci.» J’ai dit: «Monsieur Jésus, je souhaite que Tu viennes ici une minute. J’aimerais Te parler juste une minute. Je prête l’oreille.» Personne. J’ai dit: «Je m’y suis mal pris. D’accord. Monsieur Jésus, peut-être que je suis censé faire cela comme ceci.» J’ai dit: «Monsieur Jésus, voudrais-Tu venir m’aider? Je suis un pécheur. J’aimerais Te parler une minute.» Personne n’est venu. J’ai croisé mes bras. J’ai dit: «Monsieur Jésus, voudrais-Tu venir ici? J’aimerais... J’entends les gens dire: ‘Dieu m’a parlé.’» J’ai dit: «Monsieur Jésus, voudrais-Tu venir ici? J’aimerais Te parler.»

182      Evidemment, le diable est alors entré en scène. C’est ce qu’il fait. Il peut vous dire: «Vous avez mal aux genoux. Ça ne sert à rien de demander, voyez. Attendez, vous aurez cela demain soir.» Il est toujours là lorsque vous n’êtes pas prêt. Et alors, Il m’a dit... Mais, ce qu’il dit, profitez toujours de ce qu’il dit. Profitez-en.

183      Il m’a dit: «Tu sais quoi? Tu as déjà dix-neuf ans, ou plutôt vingt ans.» Il a dit: «Tu as déjà vingt ans. Tu as trop attendu.»

184      J’ai dit: «Ô Dieu, j’ai trop attendu. Seigneur, même si Toi, Tu ne m’entends pas, moi, je vais de toute façon Te parler. C’est ce que j’ai toujours désiré faire.» Oh! frère, cela L’a fait entrer en scène. Voyez? Qu’était-ce? Crier à haute voix, tout simplement. Crier à haute voix! «Seigneur Jésus, Tu l’as promis, Seigneur.» Il est entré en scène.

185      C’est ainsi qu’on Le fait entrer en scène. Vous n’êtes qu’un bébé. Criez, réclamez cela à cor et à cri.

186      N’osez pas dire, eh bien, l’une ou l’autre chose, pratiquement, une prière grandiose écrite que vous pratiquez pendant une ou deux heures. Cela ne fait aucun bien.

187      Comme on dit: «Avez-vous dit une prière?» Non. C’est un péché que d’en dire une. Offrez une prière. Ne dites pas une prière. Offrez une prière. «Dites une prière pour moi.»

188      J’ai dit: «Ne faites pas ça pour moi. Vous pouvez prier pour moi, mais ne dites pas une prière.» Absolument pas. Non. Priez simplement pour moi lorsque vous priez. D’accord.

189      Réclamez à cor et à cri ce dont vous avez besoin. C’est ça la voie à laquelle Dieu a pourvu. Jésus n’a-t-Il pas expliqué cela en rapportant les paroles du juge inique à la femme qui criait jour et nuit? A combien plus forte raison le Père céleste donnera-t-Il l’Esprit à celui qui Le réclame à cor et à cri jour et nuit? Cherchez, continuez à chercher. Frappez, continuez à frapper. Continuez simplement jusqu’à ce qu’Il ouvre. Accrochez-vous-y. Criez jusqu’à ce que la Parole promise soit confirmée, alors vous avez reçu la chose. Vous n’avez plus à vous inquiéter. Vous voyez que la Bible a promis cela, restez donc là même et criez jusqu’à recevoir cela.

190      Si un petit enfant voit un biscuit et qu’il en a besoin, il va simplement crier, crier, crier, et s’accrocher, gigoter, pousser des cris, hurler et rougir. Sa maman lui donne un biscuit, et tout s’arrête. Voyez? Il a reçu ce qu’il avait vu, ce qu’il voulait. S’il veut lécher votre cornet de glace, il va simplement continuer à s’agiter jusqu’à ce qu’il le reçoive. Voyez?

191      Eh bien, c’est ce que nous sommes censés faire. Si je vois une promesse dans la Bible qui est la Parole de Dieu, alors je reste bien là, criant à haute voix jusqu’à ce que Dieu me donne cela. Et Il le fera pour se débarrasser de vous, vous voyez; ça, c’est dans le naturel. Mais Il veut que vous le fassiez. Il veut que vous demandiez: «Demandez beaucoup afin que votre joie soit parfaite.» Ouais, ouais.

192      Criez jusqu’à ce que Sa Parole soit confirmée. Eh bien, amis, observons juste un instant maintenant. Criez jusqu’à ce que la Parole soit confirmée.

193      Le problème en est que nous recevons un biscuit et nous pensons que c’est tout ce qu’il y a. Il y a toute une table pleine. Nous en arrivons à parler en langues et nous disons: «Oh! frère, c’est ça.» Oh! Non. Ce n’est pas ça. Ça, c’est juste une portion de Cela. C’est vrai. «Oh! Je suis assez heureux pour crier.» Ça, c’est une portion de cela. Mais il y en a plus. Continuez simplement à cor et à crier à haute voix jusqu’à ce que...

194      C’est ça la voie à laquelle Dieu a pourvu pour Son peuple. La voie à laquelle Dieu a pourvu, c’est toujours de prendre Sa Parole, de s’Y accrocher jusqu’à ce qu’Elle vous soit confirmée. Eh bien, me suivez-vous? Dieu, une voie à laquelle Il a pourvu: s’accrocher à la promesse jusqu’à ce qu’elle soit rendue manifeste pour vous.

195      Et, rappelez-vous, ce que je dis est enregistré cela, pour n’importe quelle promesse de Dieu dans la Bible, si... C’est donc sous conditions. Le seul fait pour vous de croire que cela est là, ça ne l’accomplira pas.

196      Ces pharisiens et sadducéens étaient religieux au possible avec ces sacrements. Mais Dieu a dit: «C’est de la puanteur à Mes narines.» Voyez? Il n’y avait pas de sincérité. Il n’y avait rien là de ce qui devrait être.

197      Il vous faut venir sur base d’une promesse fondamentale et, ensuite, sur base de votre attitude mentale vis-à-vis de cela.

198      Considérez ces quatre cents sacrificateurs de l’époque, ou plutôt les prophètes qu’Achab avait là-bas. Ils ont dit: «Ramoth en Galaad nous appartient. Josué, par le Saint-Esprit, avait partagé cela. Et les Syriens s’en sont emparés.» Et un prophète a dit: «Maintenant, écoutez ça, c’est fondamentalement vrai.» Eh bien, c’était un véritable baptiste. Et il a dit: «C’est tout à fait vrai. C’est une promesse fondamentale, une promesse. Ce territoire nous appartient.» Il s’est alors confectionné deux grandes cornes et il a dit: «Montes-y, prends ces cornes et repousse la Syrie. Cela appartient à Israël.» C’est vrai. Fondamentalement, c’était vrai.

199      Mais qu’avait dit le petit Michée? Il a dit: «J’ai vu Israël éparpillé comme des brebis sans berger.» Voyez?

200      Achab, cet hypocrite-là, qui laissait Jézabel le diriger, tout faire. La vraie Parole de Dieu, venue par le prophète, avait maudit cette chose-là. Comment Dieu pouvait-Il bénir ce que le prophète avait maudit au Nom du Seigneur? Voyez? Impossible.

201      Peu importe combien religieuse est notre nation, quel passé nous avons, la chose est corrompue et corrompue. Ça en est fini d’elle.

202      Peu importe combien grandiose est la vie organisée de l’église, nous croyons dans cela, c’est bien, c’est en ordre, mais la chose est corrompue. Dieu les a déjà renvoyés au rencart, et c’est là qu’ils se trouvent. Il n’y a aucun écrit dans l’histoire qui renseigne que cela se soit relevé. Ainsi, c’est faux. C’est terminé, c’est annulé. Ce n’est pas valable.

203      C’est toujours Sa Parole qu’Il veut voir être confirmée. Elle sera confirmée sous certaines conditions, c’est après que vous avez rempli ces conditions. Vous avez vu des gens qui sont capables de prendre la Parole de Dieu et La font vivre pour eux. Et d’autres viennent juste après avec la même Parole et ils ne peuvent rien faire avec. C’est sous condition. C’est vrai.

204      Ecoutez ça. Je vais vous en donner un exemple dans la Bible. Israël était en route vers la Terre promise. Voici venir Moab, en fait, c’était la–c’était la même religion, tout à fait. C’était l’enfant de la fille de Lot. Et remarquez, lorsque Balaam est descendu, Dieu lui parlait. Il a dressé sept autels, c’est le même nombre qu’Israël avait: sept autels. Il a mis sept sacrifices purs, des taureaux sur l’autel. C’était tout à fait ce qu’Israël avait. Et en plus, il a mis sept béliers, annonçant la Venue du Messie. C’est exactement ce qu’Israël avait. Sur le plan fondamental, ils étaient tous deux dans le vrai, sur le plan fondamental. Mais c’était sous conditions. Amen. Il a manqué de voir la véritable promesse de Dieu.

205      C’est la même chose qui s’était passée à la Venue de Christ. C’est la même chose qui se répète aujourd’hui. C’est sous condition. Exact.

206      Job. Dieu (faisant quoi?) pourvoyant à une voie. Job, un prophète, avait besoin d’un consolateur. Maintenant, écoutez donc attentivement. Mon temps s’est écoulé.

207      Job avait besoin d’un consolateur. Les hommes avaient cherché à y pourvoir pour lui, mais ils n’y étaient pas parvenus. Ils écartaient chaque fois Job de la ligne. Mais Job revenait directement. Il avait besoin d’un consolateur. Dieu avait pourvu à un Consolateur pour lui lorsqu’Il lui a donné la vision de Jésus-Christ. Alors, il s’est écrié: «Je sais que mon Rédempteur est vivant. Mon Rédempteur (Il n’y en a qu’Un Seul) se lèvera le Dernier sur la terre.» Maintenant, rappelez-vous la vision.

            Vous avez dit: «Mon Rédempteur.»

208      Il lui avait montré Christ. Christ est la Parole. «Au commencement était la Parole, la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair et Elle a habité parmi nous.» Et lorsque Job, étant un prophète...

209      Ecoutez donc. Job, étant un prophète, la Parole du Seigneur vient au (qui?) prophète. Absolument. C’est à lui que la Parole vient. C’est ainsi qu’on reconnaît si c’est un prophète ou pas. Il reste dans la Parole. La Parole est révélée au prophète. Et Job était un prophète. Il n’arrivait pas à voir la fin, mais lorsqu’il a vu la Parole, étant un prophète, il a dit: «Je sais que mon Rédempteur est vivant», après que l’église eut failli, après que tout le reste eut failli.

210      Même son aimable femme l’avait déçu, elle voulait qu’il dise... «Pourquoi ne continues-tu pas tout simplement, ne maudis-tu pas Dieu et ne meurs-tu pas, Job?»

211      Il a dit: «Tu parles comme une femme insensée. L’Eternel a donné, l’Eternel a repris, que le Nom de l’Eternel soit béni.» Alors, les tonnerres se mirent à gronder, et les éclairs à jaillir. L’Esprit vint sur le prophète et il vit la Parole. Alors, il a dit: «Je sais que mon Rédempteur est vivant. Il se lèvera le Dernier sur la terre. Quand bien même les vers qui sont en moi auront détruit ce corps, de mes yeux, je verrai Dieu. (Amen.) Je Le verrai moi-même. Mes yeux Le verront, pas ceux d’un autre. Nous n’avons rien apporté dans ce monde, et il est certain que nous n’en emporterons rien. L’Eternel a donné, l’Eternel a repris, que le Nom de l’Eternel soit béni.» Quel Consolateur! Il réclamait un membre d’église; Dieu lui a donné une vision. Il réclamait que l’évêque vienne le consoler, l’ancien; Dieu a donné au prophète une vision. C’est ce dont il avait besoin.

212      Israël avait besoin d’une issue pour sortir de l’Egypte. Ils avaient besoin d’une issue, d’une force militaire ou quelque chose comme cela, qui les délivrerait des mains des Egyptiens. Dieu a pourvu à un prophète avec une Parole originelle confirmée: Moïse! Est-ce vrai? Ils voulaient une armée qui se lèverait, les ferait sortir et terrasserait les Egyptiens. Mais Dieu leur a envoyé la Parole, le prophète avec la Parole confirmée que Dieu avait proclamée auparavant à Abraham, disant: «Ta postérité séjournera dans un pays étranger. Mais Je les visiterai avec une main puissante», la Parole que Dieu avait proclamée. Ils réclamaient un libérateur, Dieu leur a envoyé un prophète avec la Parole. Dieu a une voie à laquelle Il a pourvu pour distinguer le croyant de l’incroyant. Et Dieu...

213      Eh bien, certains parmi eux ont dit: «Eh bien, alors, si le fléau tombe, nous irons bien à l’hôpital. Si le fléau–si le fléau tombe, savez-vous ce que nous ferons? Nous irons chercher docteur Jones, il saura comment s’en occuper.» Cela n’avait pas marché. Mais ils étaient intelligents. «Eh bien, si le fléau tombe nous descendrons carrément sous terre, dans une cave, nous fermerons la porte.» Cela ne marchera pas du tout. «Nous resterons dans la maison, nous mettrons un masque sur le visage, et–et nous y mettrons un désinfectant.» Cela n’avait servi à rien.

214      Dieu avait pourvu à une voie. Oui. Et c’était (quoi?) le sang. Dieu avait pourvu à cela, aussi simple que cela paraissait, prendre le sang d’un agneau et asperger la porte. Mais Dieu avait dit que c’était Sa voie, et Il a honoré cela. «Tous ceux qui étaient en dehors du sang moururent, les premiers nés.»

215      Lorsque Noé eut besoin d’une voie à laquelle il était pourvu pour le salut de sa maison, Dieu lui a demandé de construire une arche. Peut-être qu’on avait piraté des bateaux. C’est ce que les gens pensent aujourd’hui. Mais, vous voyez, celui-ci était un bateau spécial. Ils avaient probablement à l’époque les bateaux que nous avons aujourd’hui, mais celui-ci était un bateau spécial. C’était un... Ecoutez-moi donc. C’était un bateau construit selon Dieu.

216      Et aujourd’hui, c’est pareil pour l’église. Il faut une église construite suivant la Bible. Mon expérience n’est pas d’être un meilleur membre d’église, mais une expérience qui est édifiée sur la Parole de Dieu: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Une expérience édifiée selon Dieu, c’est tout ce qui va m’enlever. C’est l’unique chose qui va vous enlever.

217      Tout ce qui va se lever au-dessus de ça, peu m’importe combien disent: «Je suis venu...» Ils disent: «Regardez, je–je suis un bon méthodiste, un bon baptiste, un bon presbytérien, ou un bon pentecôtiste.» Cela ne représente rien devant Dieu.

218      Ça doit être construit selon Dieu. Et c’est le Saint-Esprit, par la Parole. Et le Saint-Esprit ne donnera pas d’autre instruction que la Parole, parce que c’est le Saint-Esprit. C’est poussés par le Saint-Esprit (Oh!) que les hommes d’autrefois ont écrit la Bible, la voie à laquelle Dieu a pourvu.

219      Eh bien, Israël avait besoin de–de quelque chose. Dieu le leur a donné, Il a séparé le croyant de l’incroyant. C’est pareil aujourd’hui, le croyant et l’incroyant, séparés.

220      Moïse. Je dois sauter beaucoup de notes maintenant. Mais, Moïse, un serviteur fidèle de Dieu!

221      Ecoutez donc, vous les anciens. Certains parmi vous, comme moi, avancent en âge; écoutez.

222      Moïse avait fidèlement servi Dieu. Il avait supporté toutes leurs querelles et tous les Dathan qui s’étaient levés et avaient dit: «Dites donc, il y a d’autres hommes qui sont des prophètes, à part toi. Tu n’es pas le seul galet de la plage.» Et il savait qu’il avait le Message de Dieu pour eux. Des imitateurs s’étaient levés. Moïse a simplement dit: «Ô Dieu, que puis-je faire?»

223      Et Il a dit: «Sépare-toi. Je vais simplement avaler cette chose. Prenez vos verges, entrez là et voyez laquelle bourgeonnera. Voyez? Je vous montrerai qui est sacrificateur, qui est prophète.»

224      Et Moïse avait fidèlement accompli son office. Alors, lorsqu’il était devenu vieux, à cent vingt ans, il marchait fidèlement devant Dieu. Pendant tous ces quarante ans dans le désert, il avait enduré toutes sortes de persécutions de la part des nations et des gens, constamment. Et puis, il en est arrivé à sa mort. Il avait besoin d’un lieu où mourir. Dieu a pourvu à un lieu pour lui sur le Rocher.

225      Ô Dieu, laisse-moi aussi mourir là, sur le Rocher. Le Rocher était Christ, vous savez. Dieu a pourvu à un lieu où mourir pour Moïse. C’est uniquement là que j’aimerais mourir. Laissez-moi mourir en Christ.

226      Et alors, lorsqu’il était mort, son corps gisait là, il avait besoin des porteurs du cercueil. Alors, Dieu a pourvu aux porteurs du cercueil, les anges. Pourquoi? Il n’y avait qu’eux qui pouvaient le porter là où il devait aller. Amen. Dieu avait pourvu aux porteurs du cercueil. C’est vrai.

227      Je compte sur le Saint-Esprit, sur la Parole, la promesse. Non pas vous amener pour un bel ensevelissement grandiose. C’est ainsi qu’on avait enseveli l’homme riche, mais il a levé les yeux depuis l’enfer. Voyez? Il n’est pas question d’un ensevelissement fantastique, ça ne change rien. Je veux suivre la voie à laquelle Dieu a pourvu: Dieu ramènera avec Christ ceux qui sont en Lui, à Sa Venue.» C’est ce à quoi il a été pourvu. Dieu avait pourvu à une place où mourir pour Son prophète fidèle.

228      Enoch, après avoir marché cinq cents ans avec Dieu, Dieu lui a dit: «Enoch, tu n’auras pas à mourir. Veux-tu monter vers la Maison? As-tu la nostalgie de la Maison, Enoch?»

            Il a dit: «Oui, Seigneur. J’ai la nostalgie de la Maison.»

229      Il a dit: «As-tu assez marché là dans cette maison de pestiférés?»

            Il a dit: «Oui.»

            Il a dit: «D’accord, mets-toi simplement à marcher.»

230      Enoch avait besoin d’une échelle. Dieu lui a donné une autoroute. C’était la voie de Dieu pour lui. Il a pourvu à une autoroute pour lui, vers le haut! Il n’avait pas... Il est directement monté, comme ça. Il n’avait pas eu à peiner, pas du tout. Il a simplement couru vers le haut; et le Saint-Esprit, derrière lui, l’a soulevé. Il a directement gravi la route de la sainteté, jusque dans le Royaume de Dieu.

231      Elie, après avoir condamné les cheveux coupés et les visages fardés, toute sa vie durant, de cette Jézabel, la première dame, elle et le célèbre président de l’époque, qui avait donné un piètre exemple aux gens et les avait tous égarés. Et–et, à vrai dire, il pensait être l’unique à prêcher cela. Il a bien secoué dans tous les sens. Il avait tellement fait cela qu’il en était fatigué, il voulait rentrer à la Maison. Il savait que Dieu était là en Haut. Il avait besoin d’une corde pour monter–pour monter au Ciel, mais Dieu lui a envoyé un char attelé à deux chevaux. C’était là la voie à laquelle Dieu avait pourvu pour l’amener. Peut-être qu’il cherchait une corde, mais Dieu lui a envoyé un char. C’était cela Sa voie. Josué...

232      Et au bout du chemin, c’était la fin d’Elie. Il y eut Noé. C’était ça, tout le temps, la fin.

233      Maintenant, Josué, lorsqu’il est arrivé au bout du chemin, après avoir traversée le désert, suivez, il a eu besoin d’un pont pour traverser le Jourdain et entrer dans la Terre promise. Dieu... Il, il avait besoin d’un pont. Mais Dieu avait pourvu à une voie, c’était une puissance, pas un pont. Il a envoyé une puissance, et Il a retenu le fleuve. Et il a traversé à sec. C’était là la voie à laquelle Dieu avait pourvu, pas un pont. Il avait le meilleur Ingénieur. Ainsi, Il a simplement envoyé une puissance, cela a repoussé l’eau jusqu’à ce qu’il a traversé à sec.

234      Daniel, à cause de Dieu, avait été jeté dans la fosse aux lions. Il eut besoin d’une clôture, mais Dieu lui envoya un ange. Combien c’était différent! C’était la voie à laquelle Dieu avait pourvu. Lui avait besoin d’une clôture, mais Dieu lui a envoyé un ange. Quelle meilleure clôture c’était! Il vous donne toujours mieux que ce que vous demandez, toujours. Oui. Il avait besoin d’une clôture; Dieu lui a envoyé un ange.

235      Les enfants hébreux avaient besoin de l’eau pour éteindre ce feu-là. Mais Dieu leur a envoyé le quatrième Homme. C’est tout ce dont ils avaient besoin. Il a délié leurs mains, Il leur a parlé. Ils sont sortis sans même l’odeur du feu sur eux. Eux avaient besoin de l’eau, Lui leur a envoyé le quatrième Homme.

236      Les mages, là à Babylone, là en Inde, savaient que quelque chose était sur le point d’arriver. Ils savaient que le Roi était né, ils avaient besoin d’une boussole. Dieu leur a envoyé une Etoile pour les conduire auprès du Roi. Voyez? Ils ont suivi la voie à laquelle Dieu avait pourvu. Je peux bien me représenter certains d’entre eux dire: «Dites donc, Balthazar, vous savez, vous êtes un grand homme. Avez-vous apporté votre boussole?»

            Il a dit: «Non.»

            «Eh bien, comment allez-vous y arriver?»

            «Je vais suivre la voie à laquelle Dieu a pourvu.» C’est ça.

            «Comment allez-vous y arriver?»

            «Par la voie à laquelle Dieu a pourvu.»

            «C’est quoi ça?»

237      «Cette Etoile-là, c’est ça. C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu pour nous.» Eux avaient besoin d’une boussole, et Dieu leur a donné une Etoile.

238      Un jour, le monde eut besoin d’un Sauveur; Dieu pourvut à Son Fils. Quand Il vint, Il ne fut pas reconnu. On ne voulait pas de Lui. Ils disaient avoir besoin d’un Sauveur, mais quand Dieu Le leur a envoyé à Sa manière... Ils réclamaient un roi, Dieu leur a donné un Bébé. Ils voulaient un homme puissant qui bouterait Rome dehors en la martelant. Dieu leur a donné un petit Enfant qui pleurait dans une crèche. Voyez? Mais c’était la voie à laquelle Dieu avait pourvu. Nous... Mais ils n’en voulaient pas tel que Dieu voulait l’envoyer. Ils le voulaient à leur manière. Voyez? C’est pourquoi donc ils sont tombés dans le chaos, pour n’avoir pas accepté Sa voie. Il y en eut quelques-uns qui l’avaient accepté.

239      C’était le lieu de naissance de l’Eglise, à la Pentecôte, après que Jésus leur eut donné la commission: «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Il leur avait dit quoi faire. Il leur avait dit de monter dans la ville de Jérusalem et d’attendre. Eux avaient besoin d’une charte. Ils avaient besoin d’une charte. Ils voulaient élaborer un credo. Dieu leur a donné le Saint-Esprit. Oh! Eux voulaient une dénomination, mais Dieu leur a donné l’Esprit. Combien c’est différent, la façon de s’y prendre de Dieu! Le Saint-Esprit était la voie à laquelle Dieu avait pourvu pour conduire l’Eglise. Pas un évêque. Le Saint-Esprit, c’est ce que... c’était cela leur charte. Et depuis ce jour-là jusqu’aujourd’hui, Il est toujours la charte de chaque véritable enfant né de nouveau: Le Saint-Esprit.

240      Maintenant, deux mille ans après, mes amis (Nous terminons), maintenant, deux mille ans après, l’homme est déterminé à suivre sa voie. Il s’est confectionné une charte. Il s’est confectionné l’éthique élaborée par l’homme. Et qu’a-t-il fait? Il y a eu par là une grande apostasie de la vérité. Ils se sont emballés dans... Les gens ne savent que faire. Les credos, les dénominations, toutes sortes d’ismes, les sensations, et tout le monde dit: «La Bible dit ceci.» Ils En reçoivent telle partie, mais ils ne veulent pas En recevoir telle autre partie. Ils ne suivent pas la charte, c’est pourquoi ils perdent la course. Et après toutes ces années, alors que nous avons neuf cent et quelques différentes organisations dans le christianisme, et chacune condamnant l’autre, disant: «Celle-ci est vraie, eux sont dans l’erreur; celle-ci est vraie, celle-là est dans l’erreur», ainsi de suite. Et de pauvres gens sont tellement confus qu’ils ne savent pas distinguer le vrai du faux.

241      De quoi avons-nous besoin? Il nous faut reprendre la course, revenir à la charte. De quoi avons-nous besoin? Nous avons besoin d’un authentique et véritable signe scripturaire de la Vérité. Une Vérité évangélique confirmée, c’est ce dont l’Eglise a besoin pour la voie de ce temps de la fin. Dieu leur avait promis un signe pour ce dernier jour.

242      Vous souvenez-vous lorsque Jésus parlait, disant: «La reine du midi se lèvera dans les derniers jours, elle se lèvera et condamnera cette génération»? Elle est venue des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon. Il avait un esprit de discernement. Oh! elle vint de très loin pour voir cet esprit de discernement! Il a dit: «Il y a ici plus que Salomon.»

243      Il a aussi dit: «Ce qui... De même que le prophète Jonas–Jonas a fait dans le ventre du gros poisson trois jours et trois nuits, de même, le Fils de l’homme doit faire trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.» Il a dit: «Une génération méchante et adultère demandera un signe.» Si ceci n’est pas ce signe-là, ou plutôt cette génération-là, je ne sais pas où elle est: faible, méchante, des gens qui fréquentent l’église, une génération adultère. Ils demanderont un signe, et Il a dit qu’ils le trouveront: «Car de même que Jonas fut trois jours dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme sera trois jours dans le sein de la terre.» Mais il y aura une résurrection, comme Jonas était sorti du ventre d’un grand poisson.

244      Malachie, chapitre 4, nous a promis que dans les derniers jours, il y aura un Message qui ramènera le coeur des enfants à la foi des pères, la foi originelle des pères.» C’est ce qui est promis. Jésus l’a promis. La foi des croyants du temps de la fin verra le signe originel du Messie. Remarquez. S’Il est ressuscité d’entre les morts... Et les credos l’ont mis dehors, toutes ces années, ils ont nié cette vérité. Ce à quoi nous devons donc nous attendre dans les derniers jours, c’est le retour à la foi originelle, le retour à la foi des pères primitifs de la Pentecôte.

245      Et ils virent Sa résurrection. Et aujourd’hui, nous voyons Sa résurrection, le signe de Sa résurrection. Jonas, trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, et le troisième jour, il est sorti du gros poisson. Jésus ressuscita d’entre les morts après avoir fait trois jours dans son sein. Deux mille ans, Il a été absent de Son Eglise. Mais Il a promis dans Joël: «Ce que le gazam avait laissé, le hasil l’a dévoré. Mais Je restaurerai, dit l’Eternel, tout ce que le gazam, le hasil, la sauterelle et autres ont dévoré. Je restaurerai cela dans les derniers jours.»

246      Le prophète a dit: «Vers le soir, la Lumière paraîtra.» Le même soleil qui brille à l’est, brille à l’ouest. Ça a été un jour, un jour sombre. Ils ont fait des adhésions, ils ont adopté des credos et autres. Mais vers le soir, la Lumière paraîtra: le même soleil, les mêmes résultats, les mêmes signes, les mêmes prodiges, le temps du soir.

247      Comment s’était-Il manifesté comme le Messie? Eh bien, voilà la question, après deux mille ans de martelage contre cela, est-Il toujours le Messie? Eh bien, ce qu’Il était à l’époque, Hébreux 13.8 dit: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Ce qu’Il était à l’époque, Il doit l’être aujourd’hui. Comment avait-il démontré qu’Il était le Messie? Selon la Parole de Dieu. Car Dieu a dit, par Moïse: «L’Eternel Ton Dieu te suscitera un prophète comme moi.»

248      C’est pourquoi la femme au puits, lorsque Jésus lui a révélé ses péchés, elle a dit: «Eh bien, Seigneur, je vois que Tu es prophète. Nous savons que lorsque le Messie sera venu, Il annoncera ces choses.»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

249      Elle a vite couru annoncer aux gens dans la ville: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce pas le Messie même?» Et les gens ont cru cela. En effet, ils attendaient le signe du Messie, quatre cents ans sans un prophète.

250      Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Lot arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme», où Dieu s’est révélé dans un corps de chair, Il a mangé de la–la viande de veau, Il a bu le lait de vache, Il s’est assis là devant eux. Dieu, Jéhovah, manifesté dans la chair, avec Son dos tourné à la tente, Il a dit ce que Sara disait dans la tente.

251      «Vers le soir, la Lumière paraîtra.» la Parole confirmée de Dieu est le signe du jour où nous vivons. La Lumière paraîtra. Et Il a promis par Malachie 4, et dans beaucoup d’autres passages de la Bible, que les gens du temps de la fin verront la même manifestation qu’eux avaient vue, parce qu’Il ne peut pas changer ce signe-là. Il l’a promis.

252      Eh bien, nous L’avons entendu parler en langues au Calvaire. Nous L’avons vu faire toutes ces choses qu’Il avait faites. Nous avons vu l’Eglise apostolique là au commencement, cette église apostolique, les oeuvres qu’ils ont faites. Nous avons vu cela revenir dans l’église une fois de plus ici dans les derniers jours. Qu’est-ce? C’est Dieu confirmant exactement, comme Il avait fait pour Moïse, comme Il avait fait au cours des âges. Il a pourvu à une voie afin que nous ne soyons pas séduits, que nous sachions avec certitude. Jésus a dit dans Jean 14.12: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais, les signes que Je fais.» Ça sera cela. Eh bien, s’Il mourut et qu’Il est mort, alors, ces oeuvres ont cessé. Mais s’Il est encore vivant, alors Ses oeuvres continuent comme autrefois, car Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

253      Ecoutez. Permettez-moi de dire ceci. Jésus a prouvé qu’Il était le Messie par les signes bibliques du Messie. Il l’a prouvé. Il l’était. Maintenant, que Dieu m’accorde de prouver maintenant qu’Il est toujours le même. Croyez-vous cela? Lui l’avait prouvé. Il l’était. Il avait prouvé qu’Il l’était. Puissé-je, par la grâce de Dieu, prouver qu’Il l’est! Lui avait prouvé qu’Il l’était. Maintenant, prouvons qu’Il l’est. C’est exactement ce qu’Il a promis. C’est ce qu’Il a dit. C’est ce qu’Il avait annoncé: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.»

254      Qu’est-ce? C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu, la voie de la résurrection. Ce qui éloigne l’homme de sa stupidité, le fait entrer dans la Lumière de l’Evangile, le détache d’un cerveau intellectuel, comme un grand système de machine, et humilie son coeur devant Dieu.

255      «Eh bien, direz-vous, cet homme est très intelligent, Frère Branham. Il a quatre diplômes. Il a une licence ès lettres. Il a tout ça.» Peu m’importe ce qu’il a. Il lui faudra oublier tout ce qu’il a appris pour connaître Christ. C’est vrai. Il lui faudra s’humilier et s’éloigner de tout ce que le monde a fait pour lui.

256      Et on connaît Christ par l’humilité, en croyant en Lui au temps du soir. Qu’ai-je dit ici au commencement? Qu’est-ce que j’avais dit à ce sujet? Accepter la voie à laquelle Dieu a pourvu au temps de la fin. Chacun de ces hommes, chaque fois dans la Bible, dans la nature, nous voyons cela.

257      Maintenant, Dieu ne prend pas un arbre aujourd’hui et en fait autre chose; et puis demain, il en fait autre chose encore. Non. Il fait un jour, aujourd’hui, la sève descend, demain, elle revient par une autre voie, et la fois prochaine, Il lui fait sortir la sève? Non.

258      Il suit fidèlement le cycle. Et chacun de ces hommes dont nous avons parlé, dans la Bible, Dieu les a bien gardés dans Son cycle, exactement fidèles à Sa Parole. Il n’y en a pas un parmi eux qui n’ait pas été exactement en ligne avec Sa Parole, tout au long de la Bible, exactement en ligne avec la Parole.

259      Alors, lorsque vous dites: «Eh bien, je suis parfaitement en ligne avec Sa Parole», alors Il confirme que c’est la Vérité.

260      Maintenant, Il est toujours en action ce soir, si seulement nous croyons cela. Allez-vous croire cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

261      Inclinons la tête. Maintenant, soyez aussi respectueux que possible, pendant un moment.

262      La voie à laquelle Dieu a pourvu afin qu’Il amène les croyants à la foi de l’Enlèvement. La voie de Dieu, la voie à laquelle Il a pourvu, pour amener les croyants à la foi de l’Enlèvement.

263      Avant que je fasse l’appel à l’autel, j’aimerais dire ceci. (Je me sens conduit à le faire.) Y a-t-il des malades dans la salle? Levez la main.

264      Je vais vous demander, s’il vous plaît, de rester calmes, tranquilles, une minute de plus. Maintenant, nous sortirons dans cinq minutes, si seulement vous restez très respectueux.

265      Maintenant, voyez, vous, lorsque vous dérangez, vous dérangez quelqu’un d’autre.

266      J’ai tout soumis sous le contrôle du Saint-Esprit. Il me faut le faire pour accomplir ceci. C’est Dieu qui a fait la promesse. Ce n’était pas moi. C’est Lui qui avait fait la promesse.

267      Maintenant, à ce que je sache, il y a ici des gens que je connais. Il y en a d’autres que je ne connais pas. Je peux, en réalité, voir environ quatre personnes, je suppose, que je connais. Et l’une d’elles, c’est frère Williams ici, et frère Rose, je les connais. Et maman Sharrit qui est assise là à la porte. Je, évidemment, je la connais. Il y a ici soeur Williams, assise ici. Je la connais.

268      Et cette dame assise ici même, à environ deux rangées, ici, en face de moi, elle travaille aux magasins de tissus d’articles de mercerie. C’est une amie de famille. Je ne connais pas son nom, mais je pense qu’elle est membre de l’église de frère Outlaw là. Je pense que c’est ça.

269      Et puis, je vois frère Dauch et soeur Dauch, de l’Ohio, ils sont assis ici. J’ai entendu frère Sothmann, quelque part là au fond, dire amen il y a quelques instants. Je vois. C’est à peu près tous ceux que je vois et que je connais ici présent.

270      Combien parmi vous sont malades et savent que je ne les connais pas? Levez la main, ceux qui savent que je ne sais rien à leur sujet. Levez la main. Très bien. Ayez simplement foi maintenant et croyez.

271      Maintenant, si je vous ai dit la Vérité, Dieu est tenu de confirmer que cette Parole est la Vérité. Est-ce vrai? C’est vrai. Maintenant, ce sera là la voie à laquelle il a été donc pourvu, selon ce que j’ai dit ce soir. C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu pour vous dire: «Ceci est la Vérité.»

272      En effet, tout ce monde sait que cela est totalement impossible. Ce serait un miracle que la science ne peut pas expliquer. Vous ne pouvez expliquer un miracle. C’est au-delà des explications. Et si Dieu devait parler ici ce soir à une personne qui reconnaîtra que je lui suis inconnu, et qu’Il lui disait ce qu’elle a fait, ou ce qu’elle n’aurait pas dû faire, ou ce qu’elle fera, ou ce qu’elle devrait faire, ou quelque chose comme cela, juste comme Jésus l’avait fait lorsqu’Il était ici sur terre... Il s’est fait connaître au public, que c’était le signe du Messie. Combien le savent? Qu’ils disent: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Donc, l’église croit cela. C’est l’unique voie. Les gens, lorsqu’Il avait fait cela, ils...

273      Une femme toucha le bord de Son vêtement, Il se retourna et demanda: «Qui M’a touché?» Physiquement, Il ne l’avait pas sentie, mais c’était sa foi à elle qui avait fait cela.

274      Eh bien, vous pouvez avoir ce genre de foi, si seulement vous priez et que vous dites: «Seigneur Jésus, débarrasse-moi de tout doute. Ôte mes doutes, accorde-moi de croire Ceci. Je suis désespérément dans le besoin. Je viens ce soir, car la Bible dit que Jésus-Christ est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.

275      Saviez-vous que ce signe, ce miracle, n’a pas été accompli dans l’histoire depuis la mort du dernier apôtre? C’est vrai. J’ai récemment lu le–le... tous les livres d’histoire que je connais, Les Babylones d’Hislop. J’ai lu le livre de Foxe Les martyrs. J’ai lu Les Pères Pré-Nicéens, Le Concile de Nicée, et Les Post-Nicéens. J’ai lu tous ces livres. Je n’ai vu cela nulle part dans l’histoire de Martin Luther, John Wesley, le premier réveil, le réveil du pays des Galles. Ils ont crié, poussé des cris, ils ont loué Dieu, finalement ils sont tombés dans le parler en langues. Et puis, ceci est censé être le dernier signe. Ça a été le dernier signe que Sodome avait vu avant d’être brûlée.

276      Et, rappelez-vous, Il n’a pas révélé cela à Sodome. Il l’a révélé à Abraham, le choisi et l’élu. Et le don ne va pas aux églises du monde ici, si vous le remarquez bien. Il va à l’Eglise élue. Ce sont eux qui en tirent profit. Ce sont eux qui recevront cela.

277      S’il était accompli là dehors, ils diraient la même chose que les autres jadis lorsque Jésus avait accompli cela: «Il est Béelzébul, un diseur de bonne aventure.» Tout le monde sait qu’un diseur de bonne aventure, il sait que c’est–c’est quelque chose d’insensé même à dire. Ils ne connaissent pas les principes rudimentaires de la télépathie ou pour dire la bonne aventure. C’est une oeuvre du diable, chercher à imiter l’oeuvre de Dieu.

278      Dieu produit un prophète, le diable a un médium. Les deux sont si proches ensemble. Jésus a dit que cela séduirait pratiquement les élus si c’était possible. C’est vrai. Nous avons beaucoup–beaucoup d’imitations. Il a dit: «De même que Jannès et Jambrès s’opposèrent à Moïse, de même ces hommes s’opposeront, étant corrompus d’entendement, réprouvés en ce qui concerne la Vérité. Mais leur folie sera rendue manifeste.»

279      Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends cette assistance sous mon contrôle, mais pour le Saint-Esprit, par le Saint-Esprit, au Nom de Jésus-Christ.

280      Je vous demande, en tant que croyants, de ne pas vous déplacer. Restez tranquilles. Et croyez que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, que je suis ici pour faire connaître Ses oeuvres et Ses voies.

281      J’ai beaucoup hésité sur ces choses, pendant les quinze, seize années que j’ai passées sur le champ de travail. Mais l’heure vient maintenant où quelque chose est sur le point d’arriver. Le Message ira à une autre nation, à un autre peuple. Mais pendant que nous sommes dans la Présence de Son Saint Etre... L’Eglise en Amérique, je pense, est pratiquement appelée. Elle est au complet, Elle a été lavée, Elle est prête, la véritable Eglise. L’hypocrisie subsiste toujours. Mais la vraie Eglise a été une Eglise authentique, pour commencer, née de nouveau, prédestinée à l’appel de Dieu.

282      Si vous croyez de tout votre coeur, je vous demande de prier, en disant: «Seigneur Jésus», dans votre coeur, «laisse-moi toucher Ton vêtement. Et comment saurai-je que Tu es toujours le même Souverain Sacrificateur? Parle-moi par les lèvres de frère Branham. Et s’il m’a dit la Vérité, chose que je crois qu’il a faite...»

283      Rassurez-vous de le dire dans votre prière, car Il m’a dit: «Si tu amènes les gens à te croire.» C’est l’unique... Vous... Il ne pouvait pas accomplir beaucoup de miracles, parce qu’ils ne croyaient pas en Lui. Ne croyez pas que je suis Lui, mais croyez qu’Il m’a envoyé. Et je suis ici pour Le manifester. Il avait prouvé qu’Il l’était. Que Dieu me vienne en aide pour prouver qu’Il est ressuscité d’entre les morts, le Messie, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

284      Maintenant, soyez simplement en prière. J’observe et j’attends. Priez simplement. Et si le Seigneur veut l’accorder, vous prouver que ceci est le signe du temps de la fin, marcherez-vous dans la Lumière? Croirez-vous en Lui? Aurez-vous foi en Lui? Il ne fait acception de personne. Ayez simplement foi, partout, partout. Maintenant, pendant que vous avez vos têtes inclinées, je remercie le Seigneur.

285      Il y a ici cette Lumière que vous voyez sur la photo. Il est ici même dans cette salle maintenant. Je vois Cela juste à côté d’une femme qui est assise à ma droite. Elle est en train de prier pour un fils qui est en difficulté. Ne doutez vraiment pas. Ayez foi.

286      A ma gauche, il y a une femme qui a peur. Elle redoute d’avoir le cancer. Elle est très ébranlée à ce sujet. J’espère qu’elle ne rate pas cela. Cette femme a essayé depuis longtemps de se frayer une voie. Elle a peur. Elle n’est pas d’ici. Elle vient d’une autre ville. Et cette ville-là est plus petite que celle-ci, elle est toutefois au sud de celle-ci. C’est à côté d’une montagne. C’est Tucson. Le nom de cette dame, c’est madame Bach. Croyez-vous? Allez-vous accepter votre guérison? Très bien. N’ayez plus peur de cela. Votre foi vous guérit.

287      Une dame du nom de madame Hushey. N’oubliez pas. Dieu peut prouver l’innocence de ce fils-là, si vous croyez de tout votre coeur. Ne doutez pas. Ayez foi. Croyez.

288      Une dame assise par ici, à ma droite, souffre du coeur. Son nom, c’est madame Cloud. Si vous croyez de tout votre coeur, si vous acceptez votre guérison, le Dieu Tout-Puissant vous rétablira. Croirez-vous cela? Très bien. Croyez de tout votre coeur.

           

289      Une dame ici au fond, à ma droite, dans la rangée de droite, en robe noire. Madame Yates, croyez de tout votre coeur et votre mal de dos vous quittera. Oh! la la!

290      L’aimez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Croyez-vous en Lui? [«Amen.»] Est-Il le même hier, aujourd’hui et éternellement? [«Amen.»] Maintenant, s’Il le prouve et que vous voyiez que c’est vrai, que ces gens rendent témoignage que je ne les ai jamais vus de ma vie...

291      Mais, écoutez maintenant, si vous me croyez sur parole, si vous croyez de tout votre coeur et que vous vous imposiez les mains les uns aux autres, vous serez guéris si seulement vous croyez cela de tout votre coeur. C’est un signe du temps de la fin.

292      Maintenant, imposez-vous les mains les uns aux autres, vous qui allez prier les uns pour les autres. Si vous êtes un pécheur, confessez vos péchés. Si vous êtes un rétrograde, confessez que vous êtes en erreur. Si vous êtes malades, confessez que vous voulez être guéri et dites: «Je crois en Toi, ô Dieu!»

293      Eh bien, la Bible n’a jamais dit: «Les prières de William Branham seules feront ceci.» Mais Elle dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

294      Maintenant, combien de temps... depuis quand je suis avec vous, Phoenix? Ça fait environ dix sept ans que je viens ici. Avez-vous déjà vu cela s’avérer faux une seule fois? Cela a-t-il toujours été exactement tel que le Saint-Esprit l’a dit? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Des milliers de milliers de fois, des multitudes de fois, plusieurs fois à travers le monde, toutes les nations, toutes les tribus, toutes les langues et tous les peuples; c’est Jésus-Christ, ce n’est pas votre frère. Et je vous cite Sa Parole: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»

295      Maintenant, imposez les mains à quelqu’un et priez pour lui. Ne... Ne priez pas pour vous-même maintenant, parce qu’on prie pour vous. Priez pour lui. Et maintenant, inclinons la tête dans l’auguste Présence de Jésus-Christ, qui a prouvé être parmi nous. Maintenant, Il est votre Dieu, de même qu’Il est Mon Dieu. Maintenant, priez tel que vous priez dans votre église. Priez pour la personne qui vous a imposé les mains. Vous priez en retour pour elle et croyez en Dieu.

296      Confessez vos péchés et dites: «Je suis en erreur, Seigneur. J’ai été un sceptique; je ne le serai plus. Je crois maintenant même que Tu vas me guérir.»

297      «Guéris cette personne, Seigneur. Guéris cette femme. Guéris cet homme. Guéris cette femme. Guéris cet enfant. Guéris cette jeune fille, ce jeune homme.»

298      Oh! Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, comment pouvons-nous rester assis ici, Seigneur? Ceci devrait susciter la foi de l’Enlèvement, une puissance de Dieu qui balaierait toute cette assistance, Seigneur, l’amenant dans les sphères les plus élevées et de la gloire de Dieu.

299      Que le diable, qui a lié ces gens, les lâche; sur base de la–la promesse de Dieu que je crois, sur base de la Bible que j’enseigne, me fondant sur le Dieu qui montre que c’est la Bible, qui prouve qu’Il est le Dieu de la Bible. Après deux mille ans, Il est toujours vivant parmi nous ce soir, ressuscité d’entre les morts, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Sur base de Son Sang versé, de Son Etre vivant, de Sa Présence vivante, après deux mille ans, je défie le diable avec tout son esprit impuissant de maladie et d’affliction; lâche ces gens, au Nom de Jésus-Christ. Sors d’eux, qu’ils s’en aillent libres. Lâche ce pécheur. Lâche ce rétrograde. Lâche cet homme malade ou cette femme malade. Je réclame leur guérison, leur salut, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Quitte-les, toi mauvais esprit sale et impur d’incrédulité et de doute. Quitte cette église, quitte ce groupe de gens, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

300      Je crois. Je crois que la prière de la foi a été offerte. J’aimerais que vous fassiez quelque chose maintenant. Juste là où vous êtes, enfoncez un pieu dans votre esprit: «Ici même, sur ce siège, ce soir, où je me suis tenu et j’ai entendu la Parole, j’ai vu Dieu confirmer Sa Parole, prouver que c’est vrai, la prière de la foi a été offerte pour moi. Si jamais le diable ose me dire encore que je suis malade, ou quelque chose de mal, je vais le ramener à ce pieu. Maintenant même, la prière de la foi a été offerte pour moi, et je suis sauvé de ma maladie. Je suis sauvé de mes péchés. Je suis un enfant de Dieu, je ne vais plus accepter les mensonges du diable. Je suis un serviteur de Dieu, libre.» Amen. Le ferez-vous? Dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Levez la main et dites: «Je le crois.» [«Je le crois.»] Amen. Amen.

301      Pour moi, c’est réglé. L’oeuvre est accomplie. C’est terminé. Dieu l’a dit, et ça se confirme. Comment peut-Il faire autre chose que confirmer Sa Parole? S’Il me La confirme, Il peut vous La confirmer. Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Très bien.

302      Levons-nous et louons-Le alors, rendons-Lui toute la gloire et tout l’honneur. Amen. Très bien. Gloire à Dieu!

303      Merci, Seigneur Jésus. Nous T’aimons. Nous Te louons. Nous acceptons ces choses. Nous croyons que Tu fais cela pour nous maintenant. Tu es notre Sauveur. Tu es notre Guérisseur, et nous T’aimons pour ça. Béni soit le Nom du Seigneur aux siècles des siècles. Reçois ces gens, Seigneur, et qu’ils deviennent, dès maintenant, Tes serviteurs, par le Nom de Jésus. Que Dieu vous bénisse.

E-1 [Congregation sings "Only Believe"--Ed.] How are you, Brother Carl? Push that chair back. All right. Is it mine? Oh. Here it is fine.
Well, it's certainly nice to be back in the house of the Lord tonight, and especially this one, because I had the privilege of dedicating this house of the Lord some time ago when our precious Brother Sharritt built this place. And we dedicated it to the Lord for His service. And it's good to be in the house of God at any time, isn't it? It's a real nice place to be. And down here in this frigid zone that--where it's... I come down here to get away from the cold weather, and I got right into it. I said last night, "I hope I didn't bring you all all this trouble." Well, you know, they say summer takes its winter's rest out here. And maybe the winter come to look in on it, see how it was getting along. But it's good to--to be here any time.

E-2 I've always had a--a feeling for Phoenix, since a little boy. I love Phoenix. And Phoenix was my first place to ever preach to people that wasn't the white race of people, and that was the Indians. I went up to the reservation. I guess there may be people here tonight remembers when I made God a promise on a platform: if He would heal an alcoholic and a woman with TB, I'd go to the reservations to minister to--to the Indians. And they reminded me of it, and the both of them were healed. And I went up to the Apache Reservation, and there the Lord gave us great victory.
I can't think of that lady's name that was healed with cancer up there. I... It was an outstanding case. I believe she was a missionary up there, the Assemblies of God, the best I remember that. We went with her (Mitchell), and... That's right. Is there anybody here was along in that meeting up there at the reservation then, at that night? I thought... Yeah, that's right.

E-3 I--I thought I was going to be up against it. I--I couldn't make them understand what I was meaning. I never forget that night. There was a... Long after I'd preached awhile and told them about Christ... I was standing on the steps of the mission hall. And they had the place full, and then they were all on the outside. So I was talking to them. And one outstanding thing that night was the--the old Indian brother they had brought in on a board, and 'long some time towards morning. And they were wet where they'd walked across the--the river--forded it down there, somewhere and brought him in.
I asked the young fellow; I said, "Aren't you afraid you'll take pneumonia?"
He said, "Jesus Christ take care of me. I bring my daddy."
"Good." I said, "Do you believe he'll be healed?"
"Yes." He was shaking with palsy. The two young boys were packing him. I prayed for the old man.
After while I heard something screaming. Looked down. The old man had the board on his own back, going around waving at everybody. Just simple faith to believe, it's all it takes.

E-4 I remember that night, a sweet old Indian woman, she had long braids of hair hanging down. And she was on crutches, and they were very home-constructed, they--like broom sticks with a piece of board over the top of them like a two-by-four, and then wrap rags around. And really, the next one to come was... She was in line coming from the inside of the building. But there was a little young Indian boy, very strong-looking little fellow. He was... Beat all the rest of them in to get in the line.
And the poor old thing was trying to get her sticks out. And she'd seen two or three healings before she'd got in the line. And I thought when she looked at me, and them great big, deep wrinkles, and tears cutting down through those ditches in her cheeks, I thought, "Somebody's mother." I never said one word to her, never prayed for her or anything. She just looked up at me. And as she did, she--she just handed me the crutches and walked on away, just that simple.

E-5 My son is trying to gear me up here. Can you hear that better? I--I read a story today about a--a pig being taken to the sanctuary. And I guess you noticed... [Microphone is arranged--Ed.] Now, that feels better anyhow. That's the way life goes. It's got a lot of knots in them anyhow, hasn't it?
Now, is--the people are standing and--and we're don't--we don't want to take any more time than we possibly can help. And you're such nice people, till I--I would just like to talk a long time to you. And we're here now in visit with the Full Gospel Business Men's Fellowship. And the regional convention is being held over at the Ramada beginning the last part of... Let's see. What is the date? 24th--24th to the 28th at the Ramada Inn. And there's going to be some marvelous speakers over there: Brother Oral Roberts, and many others. And I--we always have a good time. And when the people come together like that we have a great time at this Ramada Inn.

E-6 It might be that Brother Oral and I might hold a healing service over there. You can't tell. That would just be fine, if... So--so we--we never have had one together. I don't know what he'd think about having one, he and I together, but I'm willing. If he can stand it, why, we'll try. And then, pray for the sick people...
And we haven't been holding healing services, if you've noticed. We haven't been giving out prayer cards or nothing, because of the congestion of the small churches. You know, when the people... You can't hardly get the people in and out. And then when you do, it causes a conglomeration of mixing around, and the fire marshal wouldn't appreciate that. So we just kinda omitted the healing services so far in the meetings, and just been trying to bring a simple little Gospel message to... And your presence, and cooperation with me, and your prayer for me encourages me to be here. And I hope the little messages encourages you to continue on being--living for Christ.

E-7 And I notice, many times the people come from one church to the other. And that gets us all acquainted, and--and we just get real as--chummy with one another. And I like that. We might as well set together here in heavenly places, 'cause we're going to that kind of a place where we'll be together in heavenly places, in heaven.
There was a little line of criticism I got the other day in the mail. It might pass it on while we kind of adjust our feeling. Any minister knows you have to say something another, kinda adjust yourself to the audience, and the audience to you.

E-8 There was... the Business Men packed the article in their--the Business Men's "Voice," of a little... I think we're just going to call it a vision, and it was a little different usually, from visions I have. I was--had been taken from where I was at, up, look--it didn't look to me much further than the roof of that building. And there I was in another place where I seen all those who had passed on. Many of you read the article, of course. And in there, after He had told me them was--who they were, and they all were young again, and they were real...
I always was afraid to die. Not afraid that I'd be lost, but I didn't want to be a spirit. I only... I wanted to be a human man, 'cause I always understood as a man, shake people's hands. And I'd think, "What if I'd get there, and I'd meet Brother Rose. And he'd be a little white cloud, or something. And I'd know it was Brother Rose by some other sense. But I couldn't shake his hand, and I couldn't talk to him, or..." I--I'd wonder, "Wouldn't that be awful?" But I thought, "Then when I returned back, 'course, I'll have a resurrection." That Scripture had never occurred to me before, that if this earthly tabernacle be dissolved, we have one already waiting.

E-9 So that morning, I'd gotten up and I was thinking, "Boy, you're fifty years old. If you're going to do anything for the Lord, you'd better hurry up. You're going to be too old after while." And all at once, I was caught up into this place, and could look back and see myself down here. Never had that experience. Many times I've had visions of seeing myself standing somewhere, and then... Oh, if you don't understand it, you'd think you'd lost your mind. You--you're here, watching yourself there. And then you leave here, and you're in yourself there. It's maybe way back, years ahead, and so forth. It's hard to explain. You don't--can't explain it. You can't explain God. You got to believe Him. See? If you can explain it, then it's no more faith. You just have to believe it.

E-10 And after He had told me, seeing all these people, and they were... They had bodies. They--they couldn't be sin. The men and women... Those women were hugging me, and they were women. But there were no possibility of ever being sin again, because (See?) the glands of our bodies will be changed there. We have... We're different sex now, because that's for reproducing the world, and our--and our marriage to bring children. But then there'll be no more need of that. There'll be no more children born. We won't have sex glands in the new world (See?) not at all. But yet the woman will be woman, and the stature... And so will men be men. But there will be no more male and female among them in that way. And them glands won't be in, so there'll be no way at all for Satan to ever play another trick on them.

E-11 So in that I noticed... These women run up and throw their arms around me and say, "Our precious brother, I am so happy that you are here." Now, it was amazing--all of them young, all the most prettiest women, long hair, dresses long, you know, the--like robes, white silk-like robes. And how pretty they looked.
Then here come brethren, just in the... Most handsome men I ever seen, looked like all of them about twenty years old, and their eyes sparkly, they--oh, they just every ounce of man. And I wondered. And they were picking me up and hugging me and saying, "Our precious brother."

E-12 I wondered how... I looked back down and could see myself down here yet, laying down. Now I thought, "That's strange." And then I asked... There's a real lovely lady come up, threw her arms around me, and said, "Oh, Brother Branham, we're so happy you're here, our precious brother."
I looked at her as she went away, and that voice that was talking to me said, "Don't you recognize her?"
I said, "I--I do not."
Said, "She was past ninety when you led her to Christ."
And there she was, the most beautiful thing I'd looked at in the way of a woman. And I said, "No wonder she said 'Precious brother.'" See? Now she can never change no more. She's that way for eternity.
I said, "I want to see Jesus."
Said, "He's higher than this. Someday He will come, and you'll be judged by the Gospel that you preached 'cause you was the leader."
I said, "Well, will Paul have to be judged by his crowd?"
Said, "Yes."
I said, "I preached the same Gospel he did. Just exactly the way he said it, that's the way I said it."
And them millions of voices screamed out, "We're resting on that."

E-13 Then a strange thing happened. I used to have a little saddle horse, and I--I called him Prince. And how I loved that little old horse. I used to ride him every morning 'fore school, run my traps. And I seen this little old horse come up to me, and lay his head across my shoulder and nicker. And I patted him. I said, "Prince, I knew you'd be here." And I felt something lick my hand. It was my old coon dog. He put me in school, furnished my clothes, hunting. I said, "Prince, or Fritz, I knowed you'd be here too." And then I felt something happen. I was going back.

E-14 That was wrote in the Christian Business Men's "Voice." And a minister wrote me the other day. He said, "I appreciated that vision, Brother Branham. It sounded all very good till you mentioned horses. Heaven is made for human beings. There's no such a thing as horses in heaven."
"Well," I said--I answered him back; I said, "Brother, I never said I was in heaven. I was asking where Jesus was, and He was still beyond." I said, "But if it might help you a little, in the Book of Revelation it says, when Jesus left the heavens of heavens He was riding a white horse, and all the host of heaven was following Him on white horses. See?...?... So that was coming from heaven of heavens."

E-15 And what made me feel so good, when I started to go back He said, "All that you ever loved, and all that ever loved you, God has given to you." Some bright day on the other side it'll be different. I just can't... You just can't afford, people, to miss that place. Don't do it. Whatever you do, make... Don't be afraid. There's no need of being scared. There's nothing to be afraid of.
Oh, when I thought to come back, it made me sad. "Will I have to go back again? Will I have to go back to what I was afraid of being?" See? Then when we come to the resurrected body, then we will eat and drink. They didn't eat and drink. They had no need of eating and drinking. They wasn't going nowhere, and they wasn't tired. It was just... There's no word that I could use. It was perfect; that wouldn't make it. It's beyond what I call perfect. They had--they'd just arrived; that was it, at that place, and it was wonderful.

E-16 So, oh, listen, friends. I think I'm in my right mind, and I--I--I know it sounds strange. But I've never been able, and never tried to explain to people these things. Many things that's... It's beyond explaining. And you'd only confuse the people's mind. But if I could, and felt to do so, it would be alarming.
But notice this. I say this. Don't be afraid. Death is just a scarecrow trying to keep you away from something. My, it's so glorious. It's beyond anything that you could think of. No wonder the Bible said, "Eye has not seen, ear has not heard, neither has it entered the hearts of men what God has for them in store that love Him." Oh, just to look apast the curtain of time. Then I've tried harder than ever before in life to try to win people to Christ since then. You can't afford to miss it. Don't do it. Be sure that you're right with God, and other things will be all right.

E-17 Now, I just got a few notes wrote down here I thought I would speak a little bit tonight from. And I think tomorrow night we're way up in, about twenty miles from here or more: Mesa, I believe it is, Mesa. Is that?... Mesa--Mesa... And then, the next night at Tempe: Tempe. And I--I've got the schedule in my pocket here out of the paper Brother Williams gave me, but I been pretty busy. I just haven't looked it over yet. Billy just comes and gets me and said, "We're going so-and-so, and so-and-so, and here we go." And then I get over here, and he tries to choke me.

E-18 Now, is everybody feeling real religious? Say "Amen" if you are. Real good. That's fine. Now, let us just bow our heads, now, as we have just, our little senses of humor, and of expressing. We're children, and we rally and talk as children, and we... Even God has a sense of humor, you know. So let us bow our heads now and speak to Him before we read His Word.
While we have our heads bowed, is there those in here who does have a request for prayer? Let it be known by your lifted hand. God bless you. Let us bow our heads now.

E-19 Our heavenly Father, we are coming into Thy Presence now as we bow our heads and our hearts in humility. We are approaching by faith beyond the moon and stars to the throne of God in the Name of the Lord Jesus, because we are sure that if we come in His Name that You're going to hear us. We will be accepted in Your Presence through His Name. And what a privilege that it is to know that we are accepted in the Presence of God, through the Name of Jesus Christ.
And He told us, Father, that whatever we asked in His Name, that You in Your abundance of mercy and grace, would pardon our sins and would give to us our desire. Father, we're so happy for that. There's not another thing that we could think of that would be a higher privilege, than to have this privilege. It would be a privilege for we American citizens to approach our president. And all we'd have to do to go through to get to approach the president for just a moment of time--to take up a moment of his busy schedule, we'd have to go through offices, and--and every way to get to come, and have to state our reasons, and--and would have to be examined before we'd have that privilege.

E-20 But to think of it. The God, Creator of heavens and earth is waiting for us to approach, we unworthy sinners. He's waiting for us to approach in the Name of the Lord Jesus, with the assurance that we will be granted what we ask for, if we can only believe that we will. Then we'd watch our requests very close and know that we would not speak foolishly or ask foolishly. And if we would, we pray You pardon us, Lord.
And we're asking tonight for mercy upon each one of these hands that was up. May their request be granted to them, Lord. May they feel assurance in their heart right now, that while we're in Your Presence that... When we open our eyes and raise up our heads from the dust from which You molded us, may we feel that anchored assurance that we have been granted that what we asked for.

E-21 We would ask for those, Lord, perhaps in the building tonight that has never come into Your Presence by the way of prayer, to ask pardoning for sin. May this be the night that something will be said, or something done, or some acting of the Holy Spirit that would cause their hearts to quiver and ask that pardoning grace.
Heal the sick. Lord, we pray that You'll grant to them, tonight, the assurance that the prayer of faith is now being prayed, and it shall save the sick. For we could say, and add this, that that's THUS SAITH THE LORD, for it is written in the Word of the Lord.

E-22 Now, Father, we pray that You'll bless these little comments that's been provided here today for Your Word. Pull from this reading a context to every heart. And if I should fail in any way, Lord, and miss the unction of the Holy Spirit, may He in Divine grace go with the Word and place it in the heart where it was supposed to be. And may we tonight see the hand of the Almighty stretch across this building, and do things that would be the exceeding abundant above all that we could do or think.
When we leave tonight and go to our different homes, may we be able to say like those that came from Emmaus, "Did not our hearts burn within us, as He talked to us along the way," for we ask it in His Name. Amen.

E-23 Now, many people kinda write down and--the text that a minister uses. And I would--if you wish to now, I'd like to read two places in the Holy Script. That is in Genesis the 22nd chapter we will go first and read, and then in St. John 12:32 we'll read for the second part of the Scripture. Now in John--in Genesis 22, we begin with the 7th verse of the 22nd chapter.
And Isaac spake unto Abraham his father, and said, my father: and he said, Here am I, my son. And he said, Behold the fire and the wood: but where is the lamb for the burnt offering?
And Abraham said, My son, God will provide himself a lamb for the burnt offering: so they went both of them together.
And now in St. John 12:32, we read these words from our Lord's lips:
And I, if I be lifted up from the earth, will draw all men unto me.
And now, for a text that I would like to speak from on this, is "Accepting God's Provided Way for the End-time." Let me quote that again because on the tapes... I believe they're taping these messages. And on the tapes that we have, some five hundred texts that I guess I've preached from. They've got something similar to that, but not exactly this, "Accepting God's Provided Way at the End-time."

E-24 You know, there is many ways that--that people take, but really there's only two ways that a man can go. That's the right way and the wrong way. And all of us here tonight, we're on one of those roads: the right one or the wrong one. There's no middle ground. Jesus said, "You cannot serve God and mammon," meaning the world. We're either right or wrong. And now, if we'll just get away from our own way is the only way we can get in God's way. And God has made a provided way for every thing. He's provided the way. And where we get in trouble is not following that way, and--and injecting into it our own ways. And that makes a perversion. And anything that's perverted is--is not dependable. So God has a way. And let's just look at some of His ways.

E-25 Let's take something in nature, because nature was my first Bible. I know God's a Creator, and He created nature. And He lives in His creation in nature. Let's take for instance the tree. I just pulled up under one a few moments ago out there, or Billy did, and the limbs on it. And I noticed the leaves falling. Now, we have never been able, and we never will be able to find a better way for a tree to hide its life through the winter, than God's provided way for it to hide its life. Now, what if we tried to manufacture some other way than the regular provided way for the tree?

E-26 What if every August, or September, in the land--especially where I come from, the North... If we would have to go out to the apple orchard, and get some kind of a--of a instrument, and place it into the tree along about August after the apples are ripened, and pull the life out of the tree, and take it into a good warm place, and keep it through the winter, the life, sap life out of the tree, and place it in a good warm container, and keep it till spring, and then inject it back into the tree? You know, that would never work. It would never be so. And to try to do it would only kill the tree. But God has a way to take care of that life through the winter. God made a way. Knowing that winter would come on the tree, He made a way for it. I was--had the privilege of leading a seventy-five year-old infidel to Christ by that not long ago.

E-27 Mr. Wood, a neighbor of mine... And he was a Jehovah Witness by faith, and he had a boy that was crippled, had a leg drawn up under him. And his wife, I believe, belonged to the--the Anderson movement of the Church of God. And they come to Louisville, Kentucky, where they lived out in a little place called Crestwood, about thirty miles from Louisville. And at the meeting there at the auditorium, they seen a girl that was--had this here disease that she was turning to chalk, or stone. And she--it'd had already paralyzed her way above her hips, that she hadn't moved for, oh, several months. And it come from her feet. She was prayed for one night, and the next day she was running up and down steps just as hard as she could go.

E-28 And Mr. Wood brought his son. 'Course he never got in the meeting. And immediately after that I--I was taken overseas, went over for our Lord. And on the return I was having a meeting up at--in Ohio, and he brought the boy, named David. And he was setting way back, oh, almost a half a city block.
And the Holy Spirit came in and said, "There is a man here tonight. And he and his wife sets way back in the back." Never saw him in life. And said, "The man's name is Wood. He is a contractor. He has a crippled boy that had polio that drawed one limb up under him. But, 'THUS SAITH THE LORD,' the boy is healed."
Him not being used to such, the boy set there for a while. And after a bit, his mother said, "David, why don't you try to stand up?" And when he stood up, the leg was as normal as the other.

E-29 The man sold his business and moved over, next door neighbor. And, oh, he's such a lovely brother. The other morning when he knowed I was coming out here for extended time, he... About daylight, when I left home, there he was standing out on the street, crying like that, hitchhiking like he was going to go with me. And he hugged me and went on down the lane. Such a wonderful brother. He's been a real chum to me.

E-30 We were down in the state of Kentucky, squirrel hunting about three years ago. And it got real dry. And now, if any of you eastern people know what a gray squirrel is, he--Houdini the escape artist is an amateur to him when he's scared. So I love to hunt them; so we hunt them with a .22 rifle. And we'd hunted... I was on my vacation about two weeks, and we'd been camping out. And it was very dry, and you could just walk through the woods and break a--a leaf, and that little fellow... Oh, my. Whew. You just can't see him. He's gone.

E-31 So Brother Wood said, "Brother Branham, I know a--a place down here that's got deep hollows." How many knows what a holler is? Well, what part of Kentucky you from? And that's what they call it down in Kentucky. Down here, I believe you call it a canyon, or something, where the water goes down the branch. And you get in those deep places and it's still damp, and you can walk and not make noise.
He said, "But the old fellow is an infidel, and, oh, he hates preachers." And I'd only been in the country once before, and that was in a meeting.
And I said, "All right. You go--you know him?"
He said, "He knows my dad real well."
I said, "Let's go ask him, because we're not doing any good here."

E-32 And we went over in his little truck, and up through the woods, and down over the hills. And oh, my. Finally we arrived at a little place. And there were two old men setting under an apple tree. It was about the 20th of August.
And so he got out of the truck, went over, and he said, "My name is Wood." Said, "I am Banks Wood." He said, "I wonder if it would be all right if we hunted on your place."
He said, "Are you Jim Wood's boy?"
Now, his daddy is a reader in the Jehovah Witness, or he was. And the whole family come to Christ, every one by visions, every one telling them just what would happen. And it did just that way. Oh, how I wish I could stop and tell you just that family story, how they come in: every one of the children into the Kingdom of God now, baptized with the Holy Ghost.

E-33 And so, when Banks accepted it, his--all of his people excommunicated him. That was all. He was out. But one by one, each one of them passing by to say "Hello" to him, the Holy Spirit would catch them and tell them things, and then they'd come in. And they'd go tell some other, and then he'd come and tell him something, and then he'd come. And that's the way the whole family come into Christ.

E-34 And so, when we got the--out of the... He got out of the truck, and he said to the man. He said, "Are you Jim Wood's son?"
He said, "Yes."
Said, "Jim Wood is an honest man. Yes, sir. Help yourself; hunt where you want to."
He said, "Thank you." He said, "I brought my pastor along with me."
He said, "Wood, you don't mean you've got lowdown enough to have to carry a preacher with you wherever you go?"

E-35 I thought it was about time for me to get out. So I got out of the truck, and I walked around. Oh, my. You brethren hunt. My hunting partners, I know you're in here. And how bloody and dirty, and whiskers about that long you know, hadn't had a bath for two weeks, and oh... So I got out of the truck and sidled over. He looked me up and down two or three times. I guess he thought, "Some preacher."
I said, "How do you do?"
And he said, "How do you do?"
And so Mr. Wood started to introduce me as who I, my--his pastor. And he said...
'Fore he got a chance to do it, the old man said, "Well," he said, "I tell you right now." He said, "I'm--I'm supposed to be an infidel. I haven't got much use for you guys call yourselves preachers."
I said, "Yes, sir. All right." I said, "That's to opinion."
And he said, "Well, you know, I'm an infidel."
I said, "Don't believe that'd be worth bragging about. Do you think so?"
He said, "Well, I reckon not."
And so I said... I thought in my heart, "Lord, if You ever helped me, You do now."
So the other old man setting there, he never said nothing: old slouch hats (I don't know if you know what it is.) sewed up with twine cord, you know. And so they set there a little bit.
And so he said, "You know what I got against you fellows? You're barking up the wrong tree." How many knows what that means, "barking up the wrong tree"? That's a lying dog, you know, that barks up the wrong tree. The game's done gone from there. There ain't nothing up there.
So he said, "You fellows are barking up a tree." There's nothing up there, in other words. You're talking about God, and there is no such a thing as God.
"Well," I said, "Of course we believe that."
He said, "Well, you might, but I don't."
And I said, "Well, that's all right."

E-36 And he said, "You see that old chimney up there on the hill?"
I said, "Yes, sir."
Said, "I was borned up there." And said, "My dad built this place down here. We moved down when I was about sixteen years old. After the death of my father, I took the place. I've raised my family. I've been here seventy-six (or seventy-eight or something like that) years." He said, "I've looked constantly every day through the skies; I've looked all over the woods; I've looked all over the ground, and I haven't never seen anything that looks like a God."
I said, "Well, that's too bad."
And he said, "That's the reason I think that you fellows are barking up the wrong tree."
I said, "Yes, sir." And then something happened. I looked up to the tree. I looked down, and there was apples laying on the tree. I said, "You mind if I have one of them apples?"
He said, "Help yourself. The yellow jackets are eating them up." You know what yellow jackets is, I'm sure.
So I--I got down, and got ahold of one of the apples, and rubbed it on my trouser leg, you know. And I took a bite. And I said, "That's a dandy apple."
He said, "Yes, that's a good one."
I said, "How old is that tree?"
He said, "I planted it there. Let's see, it's forty-seven, forty-eight years old, something like that." Said, "I planted it a little bitty sprout." Said, "I picked it up from somewhere, way somewhere else, and brought it over here."
I said, "Yes, sir." And I said, "Does it bear each year?"
"Every year she bears fine apples." Said, "We can a lot of apples out of there."
And I said, "Well, that's wonderful. I'm glad to hear that." And I said, "You know, here it is only the 15th of August." And I said, "It's ninety in the shade nearly all the time." And I said, "It's strange that all them leaves are falling off of that tree, and we haven't had no frost."
And he said, "Oh, that's the--that's the sap has gone back to the root."
"Oh," I said, "is that what it is?"
He said, "Yes."
I said, "And it goes back to the root? What for?"
He said, "Well, if it stayed up there, the winter would kill it."
I said, "Kill what?"
He said, "The tree. The germ of life is in that sap, goes down, and hides down in the roots."
I said, "Oh." I said, "Now, will that's... What about..."
He said, "Well," he said, "That's nothing unusual."
And I said, "No, no. That's just an act of nature."

E-37 He said, "You know, I want to tell you something." He said, "Before you go any further, I want to say this. That I did hear of a preacher one time, that I'd like to hear once. If he ever comes to this country again, I want to hear him."
I said, "Oh? That's nice." I said...
He said, "He was over here at Acton about two years ago in a campaign out on the--the Methodist fair--grounds out there, at the Methodist campgrounds."
And Banks looked... I turned around to Banks, I... It was... (That's Brother Wood.) I said...
And he said, "I forget what the man's name was now." Said, "You know, he'd never been in this country before." And said, "Old lady (somebody) lived up here, about a mile up on the hill." Said, "She was dying with cancer. And they took her to Louisville, a hundred and twenty miles, and the doctors cut her open. And her whole stomach was wrapped, intestines and all, with cancer. And they could do nothing for her." And said, "Then they brought--sewed her up and brought her back. And my wife and I had been going up every day. And they couldn't raise her up no more; we just had to pull the draw sheet and change her bed."
And said, "We'd been going up there for several weeks. He had--been just looking any night for her to die or any time." And said, "Her sister lives back over on another creek (You know, that's the way you name, down there. It's not a road; it's a creek.)--over on another creek."

E-38 I heard somebody laugh. It's just full of Kentuckians in here. Yeah, over... Well, I was borned on what they call Little Rennix down there. My grandpa lived on Big Rennix, that empties into Bumshell. Bumshell Creek comes right down to Little Rennix, runs out down by Casey's Fork, and runs right on into the Cumberland River. Now, that's just across Green Briar Ridge. That's where my mother was borned, up on Green Briar Ridge.

E-39 And he said, "This woman lived over on another place." And said, "That's about twenty miles from here. And she come that night, and was setting way back at the back of that campground." And said, "This preacher... When he was up on there, he prays for the sick." And said, "He was telling the people about who they were, and all about it."
Said, "This woman got in late, and she didn't get one of them cards that they were giving out." And said, "This preacher turned around to her, and told her... Said, 'You know, you, lady setting back there, you are So-and-so. And tonight when you left home, you put a little handkerchief in your pocketbook with a blue figure in the corner of it.' Said, 'And you've got a sister named So-and-so.' And said, 'She's dying with cancer of the stomach.' I just saw it in a vision. 'Now, take that handkerchief, and go lay it on her, and 'THUS SAITH THE LORD,' she'll be made well.'"
He said, "And the lady... That night, we heard the awfullest noise up on the hill. I thought they had the Salvation Army up there," he said, "about midnight. And we thought the old lady died." And he said, "You know what? Me and my wife went up the next day to see if we could offer comfort, early in the morning. And there she set at the table with the coffee pot, just pouring coffee, and her and her husband was eating half-moon fried apple pies for breakfast." Now, that...

E-40 How many knows what the half-moon apple pies are? You know, I'm at home now. That was just... I love them, and I like sorghum molasses on them. And I've looked all over this place for sorghum molasses. And if I get back here again, I'm just going to bring me a bucket, 'cause I just can't hardly get along without it. And you know, I--I use a lot of them 'cause I'm kind of a Baptist, you know. I--I--I don't believe in sprinkling them cakes; I just baptize them all over, real good. And I... So I pour the molasses on them heavy.
So then he said, "She was eating it."
I said, I thought, "This is it." I said, "Now, you don't mean that."
"Well," he said, "go right up there and see for yourself." Said, "That's been two years ago." And said, "She don't only do her own work; she does the neighbor's work." Now see, he was preaching to me then.
You know, my mama used to say, "Give the cow enough rope, it'll hang itself." So that's about right. He got his own foot in his own mouth, that time, when he said--he said, "Go up there and look."
I said, "Now look, sir. You mean the doctors cut that woman open and found her with cancer?"
"That's right."
And I said, "And sewed her up? And then you mean to tell me that man over there, fifteen miles from here, saw that woman and told exactly what would happen when they laid the handkerchief on? And that woman got over that cancer?"
Said, "Go right up there. I'll tell you how to get there."
I said, "No, no. I'm taking your word." I said, "I'm taking your word." I said, "Yes, sir. Yeah."

E-41 I was eating this apple, you know, all the time, chewing it. I said, "That's a fine apple." I said, "I want to ask you a question. What made that sap leave the tree and go down into the roots?"
"Why," he said, "it had to, to preserve its life for the winter."
I said, "Then next spring it comes back, bringing you another bunch of apples?"
"Right."
And I said, "Now, I want to ask you something. What intelligence runs that sap... Say, 'Here, it's fall. Go back down in the roots and hide. If you don't, the winter will kill you. Go back down into the roots, and stay there till spring. And then when it warms up and gets just right, now, come back up and bring up some more apples for this fellow.' Now you know that's botany life. It has no intelligence of its own. Then tell me, what intelligence sends that life down into the root of that tree? It has no intelligence of its own."
He said, "That's just nature."
I said, "Then take a bucket of water, and set it on that post out there, and see if nature will run it down in the fall of the year, and bring it back in the spring. See? No, sir. What is it?"

E-42 Now, aside for a minute. It's God's provided way. It only operates the way God provides for it. A little voice says, "Get down to the roots," and down it goes. Now, it does that without any intelligence. What ought we to do, by the same God speaking to us? We... But we've got a right to refuse or to accept. And mostly we refuse. The tree can't refuse. It only knows one routine; that's obey its master.
"Well," he said, "I never had thought of that before."
And I said, "I tell you what. You think on it a long time, while we go hunting. And when I come back, you tell me what it is--what tells that tree sap to go down into the roots, and stay for the winter, and come back again next spring. When you find out what intelligence that controls that--that tree life, and says 'Go down in the root, and come back.' I'll tell you it's the same Intelligence that told me to go put that handkerchief on the woman, and she'd be made well."
He said, "Tell you?"
And I said, "Yes, sir." I said, "What was that man's name? Do you remember?"
He said, "I can't think of it."
I said, "It wasn't Branham?"
He said, "That's it."
I said, "I'm Brother Branham."
And there on that spot he raised up, took ahold of my hands. He said, "For once in my life, I see what you mean." I led him to Christ.

E-43 Last year I was down there. He's passed on, went on. The mercies of God. There set his wife, under a tree peeling apples off the same tree. I walked up and I said, "May I go hunting?"
She said, "We don't allow any hunting."
I said, "I'm sorry." I--I--I said, "I thought I had permission."
She said, "Who'd you get permission from?"
I said, "Your husband."
And she said, "My husband is dead."
I said, "Just recently died, didn't he?"
She said, "Yes. He never give people permission."
I said, "Out under this apple tree... Last year, I was down here, and we were talking about this tree."
She said, "Are you Brother Branham?"
I said, "Yes."
She dropped the apple pan. She said, "Brother Branham, he died in the victory of Jesus Christ, his last testimony."

E-44 What is it? Just seeing, not trying to go through all the mathematics of how it happens, but just a simple little thing, watching God provide a way, and something keeping in the way. See, the same Intelligence that would say to a dumb tree, "Go down and hide for your life," that same intelligence was the One Who showed a vision of the woman. And he caught it. And he could not deny either one. There stood the tree, and there was the woman. Amen. See, God's provided way.

E-45 Neither have they ever found a better way for a chicken to get out of a eggshell, than to peck his way out. They haven't got any better way. Science has never been able to produce anything else. If you crack the shell to take him out, it would kill him. He'll die. He must follow God's provided way in order to live. Amen. That works on human beings too.
He's equipped. Did you ever notice little chicken when he gets out of the shell? He's got a extra little beak upon his shell, a little white scratcher. And the little fellow in there, just as life begins to come, he begins to nod his little head. What does that do? That little scratcher scratches the shell, and makes it thin. As he gets a little more life, he begins to hammer with that little thing. And after he's already out of the shell, he don't need it anymore. So it just drops off.

E-46 And the thing that does, it's a protection for the end of his bill. If it wasn't so, he'd have a deformed bill, and couldn't pick up his grain. Oh, my. God's provided way of survival, God fixes him up, just the way to get out of there. There's no better way. Anything else would kill him. He must come God's provided way. Now, if you try to manufacture some way or figure out some way, you'll kill it.
That's what's the matter with the Christian church today. It's tried to accept some manufactured way, in the stead of beating its way through to the Kingdom of God. It's tried some other way, and it won't work. You kill your patient. You kill your--your--your baby, God's baby, by trying to manufacture some way.

E-47 "Oh, there's no need of this here boo-hoo, and crying. There's no need of all this, all this." Oh, yes, there is. "There's no need of this dying." Unless there's death, there cannot be birth. Birth only comes by the substance of death. "'Less a corn of wheat falls in the ground and dies, it abides alone." It must rot, and get into corruption. And then from that corruption springs forth life. No other way it will work. It must first corrupt, and be corrupted. And that's the way we must be: die to ourselves and be borned anew of the Holy Spirit.
No, they haven't found any better way for a chicken to get out of a shell, than to peck his way through. That's God's provided way for him, and he's equipped to do it. God wouldn't provide a way without providing a instrument for it. So He provided the way, and provided the instrument for the chicken to free hisself. Amen.

E-48 Now, neither have they ever found any better idea for ducks and geese to come south from the north, than to swarm and then fly their way down. No other way. You see, before they fly down south, or fly from the south back north, they swarm first. Before they leave their grounds or homes to a new home, they swarm. Bees does the same thing. They swarm. That's a nature. What is it? They have a revival. They all swarm and get together. You never heard such a noise in your life.
And before we can ever leave this habitation to a new one, we've got to swarm in a revival. Oh, you get around a bunch of ducks and geese, you never heard so much jabbering in all your life. What are they having? A revival. They're fixing to take to the air. Amen. That's what we need today, is a swarming revival; no other way, not membership. God doesn't count majorities. He counts sincerity in His provided way.

E-49 Now. They have never found anything else to take its place. There could not be a better way. Now, for instance what if science would say, "Poor little duckies. We just don't want them to swarm any more. And we're going to throw a net over them, before they get ready to swarm. And we're going to herd them right into a coop, and we're going to carry them down south." That's like running them into some organization, or something, you know, cooping him up somewhere. That's on his way to a slaughter. He knows he's going to a slaughterhouse when he gets in the coop. But when he's going God's provided way, he's far away from that.
So maybe I oughtn't to have said that. I didn't mean it in--in the way of being a slander against an organization. But you know what I mean. Maybe that's...
Aw, that ain't way to do it. You can't run into an organization and coop yourself up, and say "I'm Methodist," or "Baptist," or somewhere. That isn't it. No, no. You got to swarm. That's right. You've got to come to a place you can peck yourself through.
These--they get together, and they get into this coop. And--and when they... If you do that, they know they're on their road to the slaughterhouse.

E-50 But now, what if you could put them all--herd them and put them into a cage, and pack them down south, turn them loose. Then, before they get ready to swarm, then throw a net over them. "We don't believe in days of miracles." See? "You little ducks, you can't fly no more. That used to be for ducks of another age." As long as God makes a duck, He makes them all the same. And if God makes a way for a duck to go, that's the way all the ducks go.
And you know what it would do? It would finally kill that duck. He'd be so soft, his wings wouldn't grow out right. He couldn't fly no more. Just like his barnyard cousin--all belly and no duck. See, he ain't got no wings to pick hisself up with. That's right. See? He would become a softie like his barnyard cousin, his denominational brother that don't go nowhere. See? That's right. See? That's right. That's all he would be--an old softie. He wouldn't know nothing about flying free. Amen.

E-51 That's what's the matter today. We try to coop them up, and tell them the days of miracles is past. And he couldn't trust hisself, his feet off the ground. It would kill him. He wouldn't live very long. But you know that little duck would say, if he could talk back, "No, thank you."
"Oh, it's easy. You haven't got a thing to do. You can just act the way you want to."
He'd say, "Thank you. I do act the way I want to, because there is something in me moving. (Amen.) And I must act the way I want to." And every man that's borned of the Spirit of God, there's something moving in him. He's got to fly into the heavenlies some emotion, something another that makes it real.
The little fellow would finally become like a chicken, a domesticated bird. He just couldn't get his feet off the ground anymore. So if the chicken would always continue to fly in the air, why, he could go all right. He could go east, west, north, and south, and see things.

E-52 And another thing. You see, he just wouldn't make it. Because on the road down from Canada, he picks up different kinds of materials, food that he wouldn't get if you had him in a cage and just feeding him corn all the time. Can you read between the lines? You put him over there, so he just knows the Apostles' Creed (so-called), and how to go to Sunday School, and that's just about all there is to it: pay the preacher, and live the way he wants to.

E-53 But, oh, when you're in flight... Amen. When you're in flight you pick up more than your denominational creed. You pick up the vitamin--the spiritual vitamin that builds the body that's solid--full of muscles, with wing feathers that can lift you up off your feet and show you things that is to come: the Holy Spirit. "When He, the Holy Ghost is come, He will show these things to you, reveal these things to you that I've told you; and will show you things that is to come."
Yes. No, you couldn't coop him up and take him. It wouldn't work. No. If you coop him, he's headed for the slaughter.

E-54 Neither could man ever choose a better route than what he can. You might go and say, "Now, Mr. Duck, I'll tell you something. You're going the wrong route. You must go over here, reroute yourself. Go down the coast over here. It goes... it's better than going the way you go." It just won't work. No. No. They think they know a better route than God's provided route for them. But they know.
Or could you choose a better leader for them than the God-provided leader God has given them? And man will never be able to choose a bishop, or an organization, or anything else that'll take the place of the leadership of the Holy Ghost to the church. There's not another thing could do it. It's God provided way. God provided a way for them: a leader, an inspired leader.
And that leader is inspired. Why, I've watched them a many time, when I'd take an early hunting trip--going for sheep or something, when you have to go early--up in the mountains. Haven't had any frost. Maybe up there a little snow will cap the mountain. That cold wind will sweep down across the mountain. There's a natural born leader among them. He'll run right out on that lake like that, and honk four or five times, and there the swarm comes. Yes, sir. They all know him. They know him by the way he honks. Oh, my.

E-55 You know what I was speaking about last night, the Gospel trumpet, if it gives an uncertain sound... His sound don't give an un... He doesn't give an uncertain sound. They're real ducks. They know the sound of a duck. What if you just put an old guinea out there or a turkey? His honk wouldn't sound right. They know the sound of a leader.
And the church ought to know it. "Having a form of godliness and denying the power thereof: from such..." Don't let them lead. "Heady, high-minded, lovers of pleasures more than lovers of God, truce breakers, false accusers, incontinent, and despisers of those" ducks that does fly. See? See what I mean?
They know that Gospel sound. "My sheep know My voice. A stranger they will not follow." God always proves it right.

E-56 Notice. Now, and right--they cannot get a... You could not choose for them. What if you went out there and you said, "Oh, wait a minute, little ducks. You're certainly wrong. Here is a fine big drake. My, he looks kingly among you. And now, you know what I'm going to do? I'm going to pour a little water upon top of his head, and I'm going to inaugurate him. I'm going to make him King Duck. And I'm going to put a crown upon him, and dress him a little different, so you all will know him. Always follow this fellow here, because he's cultured." Turn him loose on the pond. He could honk as much as he wanted to. Every duck would turn his back on him, 'cause he gives an uncertain sound. Yeah.
But let that little duck that's been chosen of God to be the leader, let him honk, and watch them all swarm to a revival. "Where the carcass is, the eagles will be gathered." He knows all about it. See? So He--He has a provided way. And the ducks know the provided way. Too bad that man doesn't. All right. But that's the way it happens.

E-57 Now. All right. If he is the inspired leader-duck, he'll bring them to God's provided place for them. And if we'd only listen to what the Leader says, the Holy Spirit, He'll bring us right back to the Word again. That's God's provided way. Along the road we don't need creeds, and denominations, and wild weeds. There's certain duck-grass, and stuff that we have to eat, the ducks do, going down. And there's food that the... Really the--the flowers of God... Heavenly-bound creatures eat along the road. And that is, "Man shall not live by bread alone, but by every Word that proceeds out of the mouth of God." See? That duck, leader-duck will lead them to God's provided place just as straight to Louisiana, where one of these others wouldn't know where he was going, get up there and circle around.

E-58 I was reading in "Life" magazine about three or four years ago, where there was an old gander started with a bunch up there. And he claimed he was a leader. And the first thing you know, they wound up over in England and have never got back yet. That's right. So they have to watch what kind of a duck, or gander, they're following. So they say over there in England... Them's Canadian honkers too. And they get over there in England, and all around, swarm. But they don't know which way back. Oh, my.
It's too bad the church played a whole lot of that too: followed off in a place, and they don't know how to get back. Say, "Well, we... I understand that grandma said, times grandma said that her grandma said that they used to have healing services in the church. But days of miracles is past," let somebody lead you off on the wrong track. Better follow God's inspired way. It's the only way.

E-59 Notice. This little duck... No one has ever been able to route them any different. They know that little leader will lead them just exactly to God's provided place. And how does he do it? By His God-provided instruments. He's got his antennas out all the time, like we ought to have, catching the Spirit, our spiritual antennas.
Now, we find out that he'll go up in the air, way up in the air. He's got his antennas out. He knows the kind of food that these little ducks has to live on to make this flight. So when he picks up something way down on the ground, you'll see him soar off, and down he comes. The whole group will come right down, just have a gastronomical jubilee. And he'll "Honk," up in the air they'll go again, straight on towards the south. That's right. God's leader--God's leader for the ducks. That is right.

E-60 And I want to say something else. You know, they have never been able to scientifically get a--find a better way for a baby to get what he wants besides crying for it. You know, they can't educate him to grunt. And they can't educate him to talk that quick. But you know how he gets it? He just takes God's provided way for it. He cries for it, yells, and kicks, and screams till he gets it. See? That's right. That's the only way, is cry for it. They can't find a better provided way than God's provided way. That's right. Just let it go.

E-61 And those natural things... I stopped, here not long ago in Germany, and was speaking to a large group of people. And I said, "What's the matter with you Germans? You know, I was coming down the street, and a dog barked. And he barked in English." And I said, "A mother was trying to pacify her baby out there at the car awhile ago, and he was crying. And he was crying in English." I said, "What do we get all scrupled up about? See, they are going God's provided way. And we come from a tower of Babel (You see?), got all scrupled up." That's right.

E-62 ...?... God's provided way is the best way. They don't know a better way for the baby to get what he wants than to cry for it. As Dr. Bosworth used to say, "The baby that cries the loudest gets the best service," and that's about the way it is.
And that goes for God's children. I can parallel that for you. A man get up on and say, chewing his chewing gum real well, "You know, Father, I'm here tonight. If You want to give me the Holy Ghost, all right, I'm here. But if You want to heal me, I'm setting here. But if You don't, why, all right. It's Your will, Lord. (He's done wrote the will out, here in the Bible.) This is Your will. All right. (This is His will, right here.) And if You want me to have it, I'll have it. But nevertheless, if You don't, why, it's all right." You'll never get nowhere.

E-63 But let that one get there and cry out, like Buddy Robinson. He stopped in the middle of a corn field; he tied up his mule; he said, "Lord, if You don't give me the Holy Ghost, when You come back you'll find a pile of bones laying right here. I'm going to stay here until I get it." That's business.
God always recommends to His people, His believing children, to always go in His provided way. That's God's idea, to recommend to His children His provided way. Cry for what you have need of. He wants you to cry out.

E-64 When Peter started out walking on the water, he thought he was getting along all right. "See how big I'm doing?" He started sinking. He didn't say, "Well, I guess it failed," and on down at the bottom--a few bubbles come up and that was all of it. See? No, no. He cried out, "Lord, save me." Amen. And that eternal hand reached down and picked him up again. Why? He cried out.
That's what's the matter with the church. We don't lay there long enough; we don't cry out long enough; we don't hold onto it. If a little baby wants something he'll kick, and scream, turn red in the face. We're afraid we'll take the (What is it you call it?) mascara out of our face, or whatever it is, that paint. You get... You get what you want from God you'll take it off anyhow. So you--so you don't have to worry about it. You'll mess your hair up. But that don't make any difference. No. No, sir.

E-65 Now God don't expect us to come to Him with some intellectual speech. I remember I tried that when I tried to get saved. I was going to write Him a letter and put it in the woods, 'cause I knowed He'd come through the woods, and tell me--tell Him I was ashamed of myself, and I--I didn't want to do it. And I got down there to pray, and I said, "Now, let's see. I seen a picture one time, that they held their hands like this." I said, "Mr. Jesus, I wish You would come here a minute. I want to talk to You just a minute. I'm listening." Nobody. I said, "I did it wrong." All right.
"Mr. Jesus..." Maybe I'm supposed to do it like this. I said, "Mr. Jesus, would You come help me? I'm a sinner. I want to talk to You a minute." Nobody come.
I folded my arms. I said, "Mr. Jesus would You come here? I want... I hear people say 'God talked to me.'" I said, "Mr. Jesus, would You come here? I want to speak to You."

E-66 'Course then the devil come on the scene. That's the way he does. He might tell you your knees are hurting. "No need of asking." See? "You wait, get it tomorrow night." He's always around when you're not ready. And then he said to me... But always, what he says, take advantage of what he says. Take advantage of it. He said to me, "You know what? You're already nineteen years, twenty years old." Said, "You're already twenty years old. You've waited too long."
I said, "O God, I've waited too long. Lord, even You don't hear me, I'm going to tell You anyhow. I've always wanted to do this." Oh, brother, that brought Him on the scene. See?
What was it? Cried out. Just simple, cry out. "Lord Jesus, You promised it, Lord." He come on the scene. That's the way to bring Him on the scene. You're just a baby. Cry, cry out for it.
Don't try to say, well, "Most something or another," and some great wrote-out prayer you practiced on for an hour or two. That don't do any good. Like they say, "Did you say a prayer?" No. It's a sin to say one. You pray one. Don't say one; pray one.
"Say a prayer for me."
I said, "Don't do that for me. You can pray for me, but don't say no prayer." No, sir. No, just pray for me, when you pray. All right.

E-67 Cry for your needs. That's God's provided way. Didn't Jesus explain it when He said the unjust judge, to the woman that cried day and night? How much more will the heavenly Father give them the Spirit who cry out for it day and night? Seek. Keep seeking. Knock. Keep knocking. Just keep on till He opens. Stay out with it. Cry until the promised Word is a-vindicated. Then you've got it. You don't have to worry no more. You see the Bible promised it, then stay right there and cry until you get it.
If a little baby sees a cookie and he wants it, he just cry, and cry, and cry, and kick, kick and scream, and holler, and turn red in the face. His mommy give him a cookie, and it's all over. See? He got what he saw, what he wanted. If he wants to lick off of your ice cream cone, he'll just keep raising a fuss till he gets it. See?

E-68 Well, that's the way we're supposed to do. If I see a promise in the Bible that's God's Word, then I just stay there and cry out till God gives it to me. And He'd do that to get you off His hands. You see? That would be in the natural. But He's wanting you to do it. He likes for you to ask. "Ask abundantly that your joys might be full." Yeah--yeah. Cry until His Word is a-vindicated. Now, friend, let's watch just a minute now. Cry until the Word is a-vindicated.
The trouble of it is, we get a cookie and think that's all there is. There's a whole table full. We get so we can speak in tongues; we say "Oh, brother, that's it." Oh, no. That ain't it. That's just some of it. That's right. "Oh, I got happy enough to shout." That's some more of it. But there's a whole lot more of it. Just keep on crying out until... That's God's provided way for His people. God's provided way always is to take His Word and hold onto It until It's a-vindicated to you. Now, do you follow me? God--a provided way... Hold on to the promise until it's made manifest to you.

E-69 And remember, I'm on record for this--that any promise of God in the Bible, if... It's on conditions now. Just because you believe it's there, that don't make it so it'll happen. Them Pharisees and Sadducees was just as religious with those sacraments as they could be. But God said, "They stink in My nose." See, there was no sincerity. There was nothing to it that should be. You've got to come upon basical promise, and then upon your mental attitude towards it.

E-70 Look at those four hundred priests that day, or prophets, Ahab had out there. They said, "Ramoth-gilead belongs to us. Joshua by the Holy Spirit divided this, and the Syrians has got it."
And one prophet said, "Now, looky here. That's fundamentally right." Now, he was a real Baptist, and he said, "That's exactly right. That's the fundamental proverse--promise. That land belongs to us."
So he made him two big horns and said, "Go up there, and take these horns and push Syria plumb off. That belongs to Israel." That's right. Fundamentally, it was right.

E-71 But what did little Micaiah say? He said, "I saw Israel scattered like sheep having no shepherd." See?
Ahab, that hypocrite down there, letting Jezebel run him around doing everything... The real Word of God coming through the prophet had cursed that thing. And how could God bless what the prophet had cursed in the Name of the Lord? See? Can't be. No matter how much religious nation we are, how much background we got, the thing is corrupted and corrupted. It's gone.
No matter how great our organizational life is in church, we believe in it. It's fine, all right. But the thing is corrupted. God's done laid them up on the shelf, and there they lay. And there's never a piece of history that any one ever rose again. So it's wrong. It's finished, wrote off, no good.

E-72 His Word is always what He wants to see vindicated, and it'll only be vindicated upon certain conditions; that's when you meet those conditions. You seen people that can take the Word of God and just make it live for them. And others come right back with the same Word and can't do nothing with it. It's on conditions. That's right.

E-73 Look here. I'll show you an example of that in the Bible. Israel was on the road up to the promised land. Here come Moab, which was the--was the same religion exactly. That was Lot's daughter's child. And notice, when Balaam come down, it was God talking to him. He put seven altars, just like Israel had seven altars. He put seven clean sacrifices, bullocks on the altar. That's just exactly what Israel had. And another thing, he put seven rams, speaking of the coming Messiah. That's exactly what Israel had. Fundamental they were both right, fundamentally. But it was on conditions. Amen. He failed to see the real promise of God. That's the same thing it was in the coming of Christ. That's the same thing it's come back to today. It's on condition. Right.

E-74 Job... God doing what? Making a provided way. Job, a prophet, needed a comforter. Now, listen close now. My--my time's got away. Job needed a comforter. And men tried to provide that thing for him, and they could not do it. They always got Job off the line. But Job come right back. He needed a comforter. God provided a comforter for him, when He give him a vision of Jesus Christ. And he cried, "I know my Redeemer liveth (my Redeemer)," there's only one. "And at the last days He'll stand upon the earth."

E-75 Now remember, the vision... You said, "My redeemer." He showed him Christ. Christ is the Word. "In the beginning was the Word, and the Word was with God, and the Word was God. And the Word was made flesh and dwelt among us." And when Job, being a prophet... Now, listen. Job being a prophet, the Word of the Lord comes to the what? Prophet, absolutely. That's where the Word comes to. That's how you know whether they're prophets or not. They stay in the Word. The Word is revealed to the prophet, and Job was a prophet. He couldn't see the end. But when he saw the Word, being a prophet, he said, "I know my Redeemer liveth," after the church had failed, after everything else had failed. Even his loving wife had failed him and...?... she said, "Why don't you just go on and curse God, and die the death, Job?"

E-76 He said, "Thou speakest like a foolish woman. The Lord gave; the Lord taketh away. Blessed be the Name of the Lord." And the thunders began to roar, and the lightnings flash, the Spirit come upon the prophet, and he saw the Word. Then he said, "I know my Redeemer liveth. At the last days He'll stand on the earth. Though the skin worms destroys this body, yet in my flesh shall I see God. (Amen.) I shall see for myself. Mine eyes shall behold, and not another. We brought nothing into this world, and it's certain we take nothing out. The Lord gave, the Lord taketh away. Blessed be the Name of the Lord." What a comforter. He asked for a church member. God give him a vision. He asked for the bishop to come give him comfort, the presbyter. God gave the prophet a vision. That's what he needed.

E-77 Israel needed a way out of Egypt. They needed some way, some military strength, or something to deliver them out of the hands of the Egyptians. God provided a prophet with the vindicated original Word: Moses. Is that right? They wanted a army to rise up, and to take them out, and beat the Egyptians down. But God sent them the Word, the prophet with the vindicated Word that God had spoke before to Abraham, saying, "Thy seed shall sojourn in a strange land. But I'll visit them with a mighty hand," the Word that God had spoke.
They was crying for a deliverer, and God sent them a prophet with the Word. God had a provided way to tell the difference between the believer and the unbeliever. And God... Now, some of them said, "Well, now, if the plague falls we'll just go in the hospital. If the flar--if the plague happens to fall, you know what we'll do? We'll go get Dr. Jones. He'll know how to take care of it." It didn't work. Yet, they were smart.

E-78 "Well, if the plague falls, we'll just go down beneath the ground in a cave and shut the door down." That won't do one bit of good. "We'll stay in the house, and put a mask over our face, and--and put some disinfect on it." Didn't do a bit of good.
God made a provided way. Yes. And it was what? The blood. God provided, as simple as it seems, to take the blood of a lamb and sprinkle the door. Yet, God said that was His way, and He honored it. "All out from under the blood dies, the firstborn."

E-79 When Noah needed a provided way, to saving of his household, God had him to construct an ark. They might have built mock boats. That's what people think today. But you see this was a special boat. They probably had boats then, the same as they got now. But this was a special boat. It was a... Listen to me now. It was a God-constructed boat. And a church today is the same way. It's got to be a Bible-constructed church.

E-80 My experience is not to be the best member in the church, but a--an experience that's constructed by the Word of God. "These signs shall follow them that believe." God-constructed experience, it's the only thing that's going to take me up. It's the only thing that's going to take you up. Anything that's going to lift above that...
I don't care how many I--come and say, "Look, I'm a good Methodist, Baptist, Presbyterian, or a Pentecostal." That won't mean one thing to God. It's got to be God-instructed. And that's the Holy Spirit by the Word. And the Holy Spirit will never instruct anything but the Word, because It is the Holy Spirit. Men moved, of old, wrote the Bible by the Holy Ghost, God's provided way.

E-81 Now, Israel needed a--a provision. And God give it to them, and separated the believer from the unbeliever. The same thing is today: the believer and unbeliever separated.
Moses... I've got to skip a lot of notes now. But Moses, a faithful servant of God... Now, listen old timers; some of you, like me, that's getting way up in their years, listen. Moses had served God faithfully. He'd put up with all their chatting, and all the Dathans that raised up and said, "Say, there's other men that's prophets besides you. You're not the only pebble on the beach." And he knew he had God's message for them.
Impersonators raised up. Moses just said, "God, what can I do?"
And He said, "Separate yourself. I'll just swallow the thing up. Take your rods, and go in there and see which one buds. See? I'll show you who's priest, who's prophet." And Moses had served the office faithful.

E-82 Then when he got old, a hundred and twenty years he'd walked faithfully with God. All these forty years in the wilderness, stood all kinds of persecutions of nations, and people, constantly, and then he come to a place to die. He needed a place to die. God provided him a place on the Rock. O God. Let me die there too, upon the Rock. The Rock was Christ, you know. God provided a place for Moses to die. That's where...?... I want to die. Let me die in Christ.
And then when he was dead, his body laying up there, he needed pallbearers. So God provided pallbearers: angels. Why? They was the only One could take him where he was going to. Amen. God provided the pallbearers. That's right. I am depending upon the Holy Spirit, upon the Word, the promise. Not take you out for a nice big burial.
They did the rich man that way, but he lifted up his eyes in hell (See?), not about a fancy burial, it don't make any difference. I want to take God's provided way. Them that are in Christ will God bring with Him when He comes. That's the provision. God made His faithful prophet a place to die.

E-83 Enoch, after walking five hundred years with God, and God told him, "Enoch, you're not going to have to die. You want to come up home? Are you homesick, Enoch?"
He said, "Yea, Lord. I'm homesick."
Said, "Have you walked in the pest-house down there long enough?"
He said, "Yes."
He said, "All right, just start walking."
Enoch needed a ladder; God give him a highway. That was God's way for him: provided him a highway, upward. He didn't even... He just went right up like that. He didn't have to strain at all. Just run right up, and the Holy Spirit behind him lifted him right up. He went right up the highway of holiness, right into the Kingdom of God.

E-84 Elijah, after he had condemned bobbed hair and painted faces for all of his life of that Jezebel, the first woman, her and the renowned president of that time, who put a poor example before the people and got them all carried off. And--and actually, he thought he was the only one preaching that. And he just carried the thing every way.
And he'd done so much he was getting tired, and he wanted to go home. And he knowed God was from above. He needed a rope to climb up, to come up to heaven. But God sent him a chariot with two horses hitched to it. That's God's provided way to take him. He might've been looking for a rope, but God sent a chariot. That was His way. Joshua... And at the end of the road, that was Elijah's end. That was Noah. That was all the time the end.

E-85 Now Joshua, when he come to the end of the trail through the wilderness (Watch.), he needed a bridge to cross over Jordan into the promised land. God... He--he needed a bridge, but God's provided way was a power, not a bridge; He sent a power. And He held the river back, and he walked across on dry land. That was God's provided way. Not a bridge, he had a better engineer. So He just sent him power, pushed the water back until he walked over on dry land.

E-86 Daniel, for the cause of God, was throwed into a lion's den. He needed a fence; but God sent him an Angel. What a difference. That was God's provided way. He needed a fence; but God give him an Angel. What a better fence it was. He always gives you better than you ask for, always. Yes. He needed a fence; God sent him an angel.
The Hebrew children, they needed some water to put out that fire. But God sent them the fourth Man. That's all they needed. He untied their hands, and talked with them, and they walked out without the smell of fire on them. They needed water; He sent the fourth Man.

E-87 The wise men up at Babylon, up in India, they knowed that something was fixing to happen. They knowed the King was born, and they needed a compass. God sent them a star to lead them to the King. See, they went God's provided way. I can just imagine some of them saying, "Say, Balthazar, you know you're a great man; did you bring your compass?"
He said, "No."
"Well, how are you going to get there?"
"I'm going God's provided way." That's the way.
"How are you going to get there?"
"God's provided way."
"What is it?"
"That star, that's it. That's God's provided way for us." They needed a compass, and God give them a star.

E-88 The world needed a Saviour one day, and God provided His Son. When He come, He was not recognized. He was not wanted. They said they wanted a Saviour. But when God sent it in His way... They asked for a king; God give them a baby. They wanted a mighty man to stomp out Rome. God give them a little crying baby in a barn. See? But it was God's provided way. We... But they didn't want it the way God wanted to send it. They wanted it the way they wanted it. See? So, therefore, they went into chaos because they didn't accept His way. There was some that did.

E-89 This was the birthplace of the church was at Pentecost, after Jesus had commissioned them to go into all the world and preach the Gospel to every creature, these signs shall follow them that believe. He had told them what to do, told them to go up to the city of Jerusalem and wait. They needed a charter. They needed a charter. They wanted to draw up a creed. God give them the Holy Ghost. Oh. They needed a denomination; but God give them a Spirit. What a difference, how God does do it.
The Holy Ghost was God's provided way to lead the church, not a bishop: the Holy Ghost. That's what... That was their charter. And from that day to this, it's been every true borned again child's charter: the Holy Ghost.

E-90 Now, after two thousand years, friends... We're closing. Now, after two thousand years man is determined to have his way. He made hisself a charter. He made hisself a manmade ethics. And what did he do? There has become by it a great falling away from the truth. They've got off until people don't know what to do. Creeds, denominations, all kinds of isms, sensations, and everyone says the Bible says "This." They'll take this part of it, but won't take that part of it. They don't follow the charter; therefore, they lose the course.

E-91 And after all these years, when we've got nine hundred and something different organizations of Christianity, and each one condemning the other one, saying "This is right, and they're wrong," and "This is right, and that's wrong," and so forth... And the poor people are so confused they don't know what is right and wrong.
What do we need? We need to get back on the course, get back to the charter. What do we need? We need a genuine, true, Scriptural sign of the truth. A vindicated Gospel truth is what the church needs for this end-time way. God promised to give them a sign for this last day.

E-92 Do you remember when Jesus was speaking and said, "The queen of the south shall rise up in the last day, will rise up and condemn this generation." She come from the utmost parts of the world to hear the wisdom of Solomon. He had a spirit of discernment. How she come so far to see that spirit of discernment, and He said, "A greater than Solomon is here."
He said also, as in the... like the prophet Jonah... "Jonah, As he was in the belly of the whale for three days and nights, so must the Son of man be in the heart of the earth three days and nights."

E-93 And He said, "A wicked and adulterous generation will seek after a sign." If this ain't that sign, or, that generation, I don't know where it's at--a weak, wicked, church-going, adulterous generation. They would seek after a sign, and He said they would get it. For as "Jonah was in the belly of the whale for three days, so would the Son of man be in the heart of the earth." But there would be a resurrection, like Jonah come out of the belly of the whale.

E-94 Malachi the 4th chapter, promised us that in the last days that there would come forth the message that would turn the hearts of the children back to the faith of the fathers, the original faith of the fathers. They promised it. Jesus promised it. Faith of the end-time believers will see the original Messiahic sign. Notice. If He is raised from the dead, and creeds have put Him out all these years, and denied that truth, then the thing that we've got to look for in the last days is a turning back to the--the original faith, back to the faith of the early Pentecostal fathers. And they seen His resurrection.

E-95 And today we are seeing His resurrection, the sign of His resurrection. Jonah, three days and nights was in the belly of the whale. And on the third day he arose from the whale. Jesus raised from the dead after being three days in its belly. Two thousand years He's been absent from the church. But He promised through Joel, "What the palmerworm left, the caterpillar eaten. But I will restore," saith the Lord. "All that the palmerworm, and the caterpillar, and the locust, and so forth eat up, I will restore it in the last days."
The prophet said, "It shall be Light in the evening time." The same sun shines in the east shines in the west. It's been a day, a dark day. They've joined, and put creeds and things. But in the evening time it shall be Light: the same sun, the same results, the same signs, the same wonders, the evening time.

E-96 How did He prove Hisself to be Messiah? Now, the question is after two thousand years of hammering against it, is He still Messiah? Well, what He was then... Hebrews 13:8 said, "He's the same yesterday, today, and forever." What He was then, He has to be the same today. How did He prove Himself to be the Messiah? According to the Word of God. For God had said through Moses, "The Lord your God shall raise up a prophet liken unto me."
That's the reason the woman at the well... When He told her her sins, "Why," she said, "Sir, I perceive You're a prophet. We know when Messiah cometh He'll tell us these things."
He said, "I'm He that speaks to you."
She run quickly and told the people in the city, "Come see a Man Who told me what I done. Isn't this the very Messiah?" And the people believed it, because they were looking for that Messiahic sign, four hundred years without a prophet.

E-97 Jesus said, "As it was in the days of Lot, so shall it be in the coming of the Son of man," when God revealed Himself in a body of flesh, eat the--the meat of a calf, drank the milk from the cow, and set there before them, God, Jehovah, in manifested in the flesh with His back turned to the tent, and told what Sarah was talking about in the tent. It shall be Light in the evening time.

E-98 God's a-vindicated Word is the sign of the day that we're living in. It shall be Light. And He promised through Malachi 4, through many places of the Bible, that the end-time people would see the same manifestation that they saw, 'cause He can't change that sign. He's promised it. Now, we've heard Him speaking in tongues on Calvary. We've seen Him doing all the things that He did do. We seen the apostolic church back there at the beginning, how that apostolic church, the moves that they made. We see it turning right back into the church again here in the last days. What is it? It's God vindicating, just like He did to Moses, like He did through the ages.

E-99 He has provided a way that we might not be deceived, that we would know. Jesus said in John 14:12, "He that believeth on Me the signs that I do, the works that I do, shall he do also." That'll be it. Now, if He died and He's dead, then the works cease. But if He lives again, then His works continue on as it was, for He's the same yesterday, today, and forever. You believe that?

E-100 Listen, let me say this. Jesus proved He was the Messiah by the Bible signs of the Messiah. He proved it. He was. Now, may God let me prove now that He still is the same. You believe it? He proved it. He was. He proved He was. May I, by the grace of God, prove He is. He proved He was. Now, let's prove that He is. That's exactly what He promised. That's what He said. That's the way He told it. And "these signs shall follow them that believe."

E-101 What is it? God's provided way, the resurrection way, the thing that brings a man from his stupidity into the light of the Gospel, brings him from an intellectual brain like some great regime of a machine, and humbles his heart before God.
"Why," you say, "that man's so smart, Brother Branham. He had four degrees; he's got a Bachelor of Art; he's got all this..."
I don't care what he's got. He'll have to forget everything he learned in order to know Christ. That's right. He'll have to humble himself and get away from anything the world did to him. And you learn Christ by humility, believing Him. And it's the evening time.

E-102 What did I say over here at the beginning? What was it I spoke of here? Accepting God's provided way at the end-time. Each one of these men, each time through the Bible, through nature, we see... Now, God don't take a tree today and make it something another, and then tomorrow make it something else. No. He makes it today. Today the sap goes down. Tomorrow it comes back another way. And the next time He has them pull the sap out. No. He stays right on course. And each one of these men we talked about through the Bible, God stayed right on His course with them, exactly by His Word, not a one of them, but what was exactly on His Word, all through the Bible exactly on His Word.

E-103 Then when you say, "Well, I'm exactly on His Word," then He a-vindicates that to be the truth. Now, He's still on course tonight, if we'll just believe it. Will you do it? Let's bow our heads.
Now, just as reverent as you can be for a moment... God's provided a way that He might bring the believers to a rapturing faith: God's way, His provided way to bring believers to rapturing faith.

E-104 Before I make the altar call, I'd like to say this: I feel led to do this. Is there sick people in the house? Raise up your hand. I'm going to ask you to please be just as quiet, set still, just a minute longer. Now, we'll be out in five more minutes, if you just be real reverent.
Now see, when you're disturbing, you're disturbing somebody. And I've got the whole thing under the control of the Holy Spirit. I must have it in order to do this. God made the promise. It wasn't me. It was Him that made the promise.

E-105 Now, as far as I know, there's some people here that I know. There's some I do not know. I can actually see about, I suppose, about four people that I know. And one of them is Brother Williams here, and Brother Rose. I know them. And Mother Sharritt is setting over at the door. I... Of course, I know her. Here's Sister Williams setting here. I know her.
And this lady setting right here, about two rows in front of me here, she works at a dry goods store, and is a friend to the family. I don't know her name, but I believe she's a member of Brother Outlaw's church up there. I think that's right.
And then I see Brother Dauch, Sister Dauch from Ohio, setting here. I heard Brother Sothmann way back there somewhere say "Amen" awhile ago. I watched. That's about all that I see and know in here.

E-106 How many of you that's sick, and knows that I do not know you, raise up your hands, that knows that I know nothing about you, raise up your hand. All right. You just have faith now and believe.
Now, if I have told you the truth, God is obligated to vindicate that word to be the truth. Is that right? It's right. Now, that will be the provided way then, according to what I've said tonight. That's God's provided way to tell you this is the truth, because anybody knows that it's totally impossible. It'd be a miracle that science cannot explain. You can't explain a miracle. It's beyond explaining.

E-107 And if God should speak in here tonight to one person that would know that I was a stranger to them, and tell them what they'd done, or what they ought not have done, or what they will do, or what they ought to do, or something, just like Jesus did when He was here on earth. He made Hisself known to the public that that was the Messiahic sign. How many knows that, say, "Amen." Then the church believes it. That's the only way the people, when He did that...
They--the woman touched the hem of His garment; He turned around and said, "Who touched Me?" Physically He didn't feel her, but it was her faith that did it. Now, you can have that kind of faith if you will just pray and say, "Lord Jesus, take away every doubt from me. Take away my doubts, and let me believe this. I'm desperately in need. And I'm coming tonight, for the Bible says that Jesus Christ is a High Priest that can be touched by the feeling of our infirmities."

E-108 Did you know this sign, this miracle, has not been done in history since the death of the last apostle? That's right. I've just come through the--the--all the history books that I know of, Hislop's "Babylons." I've come through the Foxe's "Book of the Martyrs." I've come through the--the pre-Nicene fathers, the Nicaea Council, and post-Nicaea. I've come through all those books. Not one place have I seen it in the history of Martin Luther, John Wesley, the first revival, the Welsh revival. They've been crying, shouting, praising God, finally dropped into speaking in tongues. And then this was supposed to be the last sign. That was the last thing that Sodom saw before she burned.
And remember, He didn't reveal it to Sodom. He revealed it to Abraham, the chosen and elected. And the gift is not going to the worldly churches out here, if you notice. It's going to the elected church. That's the ones that's being benefited by it. They're the ones that will receive it.

E-109 If it would be done out there, they'd say the same thing they did when He performed it, "He is Beelzebub, a fortuneteller." And anybody knows about a fortuneteller, knows that's--that's a crazy thing to even say. They don't know the first principle of telepathy or fortunetelling. That's a work of the devil, trying to copy the work of God.
God shows a prophet; the devil has a medium. The two are pretty close together. Jesus said it would almost fool the elected, if possible. It's true. We got loss--lots of impersonation. He said, "As Jambres and Jannes withstood Moses, so will these men of corrupt minds, reprobates concerning the truth." But their folly will be found out.

E-110 Now, in the Name of Jesus Christ, the Son of God, I take this audience under my control but--for the Holy Spirit, by the Holy Spirit in the Name of Jesus Christ.
I ask you, as believers, don't you move. Set still. And you believe that Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever. And I'm here to make known His works and His ways; I've been very reluctant on these things the fifteen, sixteen years I've been on the field. But there's an hour coming now when something's fixing to take place. The message will go to another nation, another people.
But while we are in the Presence of His holy Being... The church in America, I believe, is just about called out. She's finished. She's washed. She's ready, the real church. Hypocrisy still remains on. But the true church was a true church to begin with--the borned again, the predestinated to the call of God.

E-111 If you believe with all your heart, I ask you to pray and say, "Lord Jesus (in your heart), let me touch Your garment. And how will I know that You're still the same High Priest? Speak to me through the lips of Brother Branham. And if he's told me the truth, which I believe he has..."
Be sure to mention that in your prayer, 'cause He told me, "If you get the people to believe you..." That's the only... You... He couldn't do many mighty works, because they didn't believe Him. Don't believe me as Him, but believe that He sent me. And I'm here to manifest Him. He proved that He was. May God help me to prove that He is raised from the dead, the Messiah, the same yesterday, today, and forever.

E-112 Now, just be in prayer. I'm watching and waiting. Just pray. And if the Lord will grant it, and will prove to you that this is the end-time sign, will you walk in the Light? Will you believe Him? Have faith in Him? He's no respecter of person. Just have faith all along, everywhere.
Now, while you have your heads bowed, I'm thanking the Lord. Here is that Light that you see in the picture. He's right here in this room now. And I see it right by the side of a woman who's setting to my right. She's praying for a son that's in trouble. Just don't doubt. Have faith.

E-113 To my left there is a woman and she's scared. She's afraid that she's got cancer. She's very much shook up about it. I hope she don't miss it. The woman has tried for a long time to press her way in. She's afraid. She isn't from here. She comes from another city, and the city is a smaller city than this, though it lays south from here. It's by the side of a mountain. It's Tucson. The lady's name is Mrs. Bach. You believe? Will you accept your healing? All right. Don't be scared of it no more. Your faith makes you whole.
A lady by the name of Mrs. Hershey. Don't forget; God can prove that son innocent, if you'll believe with all your heart. Don't doubt. Have faith. Believe.
A lady setting over here on the side to my right, she's suffering with a heart trouble. Her name is Mrs. Cloud. If you'll believe with all your heart, and accept your healing, the almighty God will make you well. Will you believe it? All right. You believe with all your heart.
A lady way back here to my right in the right hand row, dark dress on... Mrs. Yates, believe with all your heart, and your back trouble will go from you.

E-114 Oh, my. You love Him? Do you believe Him? Is He the same yesterday, today, and forever? Now, if He proves that and you see that is right, and those people will bear record I've never seen them in my life...
But look. Now, if you will take my word for what I'm saying, if you will believe with all your heart, and lay your hands on one another, you'll be healed, if you'll just believe it with all your heart. It's a sign of the end-time. Now, put your hands over on one another, you that's going to pray for each other. If you're a sinner, confess your sins. If you're a backslider, confess that you're wrong. If you're sick, confess that you want to be healed, and say, "I believe You, God."
Now, the Bible never said just the prayers of William Branham will do this, but He said, "These signs shall follow them that believe. If they lay their hands on the sick, they shall recover." Do you believe that?

E-115 Now, how many times... How long have I been with you, Phoenix? This is about seventeen years I've been coming here. Have you ever seen it proved wrong one time? Has it always been just exactly the way the Holy Spirit spoke it, through the thousands times thousands, and to the multitudes of times... How many times around the world of all nations, and kindreds, tongues, and people? It's Jesus Christ, not your brother. And I'm quoting His Word to you. "These signs shall follow them that believe. If they lay their hands on the sick they shall recover." Now, lay your hands on somebody and pray for them. Don't you--don't pray for yourself now, because they're praying for you. You pray for them. And now, let's bow our heads in the august Presence of Jesus Christ, Who proves Himself to be among us. Now, He's your God, the same as He's my God.

E-116 Now, you pray the way you do in your church. Pray for that person that's got their hands on you. You pray back for them and believe on God. Confess your sins, say, "I'm wrong, Lord. I've been a doubter. I'll be no more. I'm believing right now that You're going to heal me."
Heal this person, Lord. Heal this woman, heal this man, heal this woman, heal the baby, heal the young girl, the young boy. O Lord God, Creator of heavens and earth, how can we sit here, Lord? This ought to bring a rapturing faith, a power of God that would sweep this whole audience, Lord, into higher heights in--and of the glory of God. Let the devil, that's had these people bound, turn them loose.
Upon the--the promise of God that I believe in, upon the Bible that I teach, upon the God Who proves that it is the Bible, that proves that He is the God of the Bible...

E-117 After two thousand years He still lives among us tonight, resurrected from the dead, the same yesterday, today, and forever. Upon the basis of His shed Blood, and His living, Being present after two thousand years, I challenge the devil with all of his impotent spirit of sickness and diseases, turn these people loose in the Name of Jesus Christ. Come out of them, that they might go free. Turn loose that sinner, turn loose that backslider, turn loose of that sick man or woman. I claim their healing, their salvation in the Name of Jesus Christ, the Son of God. Leave them, thou foul, evil, unclean spirit of unbelief and doubt. Depart from this church, from this bunch of people, in the Name of Jesus Christ. Amen.

E-118 I believe. I believe that the prayer of faith has been prayed. I want you to do something now, right where you're at. Drive down a post in your mind. "Right here on this seat, this night, when I stood and heard the Word, saw God vindicate His Word, prove that It's right, the prayer of faith has been prayed for me. If the devil will ever try to tell me again I'm sick, or anything wrong, I'm going to bring him right back to this post. Right now the prayer of faith has been prayed for me, and I'm saved from my sickness. I'm saved from my sins. I'm a child of God, and I'll not cater to the devil's lies anymore. I am God's free servant." Amen. Will you do it? Say, "Amen." Raise your hand and say, "I believe it." Amen, amen.

E-119 To me that settles it. The work is done. It's all over. God said so, and that proves it. How can He do anything else but vindicate His Word? If He'll vindicate it to me, He can vindicate it for you. You believe that? All right, let's stand on our feet and praise Him, then. Give Him all praise and glory. Amen. All right. Glory to God.
Thank You, Lord Jesus. We love You. We praise You. We accept these things. We believe that You do it for us now. Thou art our Saviour. Thou art our Healer, and we love You for it. Blessed be the Name of the Lord forevermore. Receive these people, Lord, and let them be Thy servants from now on, through Jesus' Name. God bless you.

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