Une conférence avec Dieu

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Date: 60-0108 | La durée est de: 1 heure | La traduction: MS
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1    C’est très certainement un privilège pour moi d’être ici ce soir, si loin ici à Tifton, en Géorgie. Et j’étais loin de me douter que j’aurais le privilège de venir ici dans cette église. Mais nous sommes heureux d’être ici. Nous sommes entrés il y a quelques minutes, et nous voyons que la salle, ou plutôt que l’extérieur et l’intérieur sont comme on dirait un peu bondés de gens.
    Ce soir, nous avons donc pensé avoir un petit temps pour faire connaissance, pour en quelque sorte nous entendre mutuellement, car nous aurons encore deux soirées de réunion. C’est ma première fois, je suppose, autant que je sache, de serrer la main à frère Perry, le pasteur. Et nous sommes venus sur invitation de notre aimable ami et frère, le frère Evans.

2    Et nous avons eu un petit temps libre, pendant que nous nous apprêtions à avoir ce moment. Nous nous proposons de partir maintenant outre-mer pour une grande partie du monde, d’ici quelques mois. Nous sommes… Juste après ça, nous irons aux Antilles, de là en Afrique du Sud, on retournera en Suisse, en Hollande, en Angleterre, puis là-bas en Norvège; on partira de là et on ira là en Australie, à Mel… Sydney et Melbourne, puis on remontera vers l’Inde, par ce chemin-là, et on reviendra en passant par la Terre Sainte, le Seigneur voulant, l’année prochaine. Nous avons donc eu le temps de pouvoir partir rendre visite à des gens que nous n’avons probablement pas encore vus.
    Et frère Welch Evans, un si précieux frère, m’a demandé plusieurs fois de venir… Et récemment, j’étais ici chez lui pour lui rendre visite. Et j’ai essayé d’attraper deux ou trois de vos poissons d’ici, mais je ne sais pas si je m’y suis bien pris. Je ne pense pas l’avoir très bien fait. Mais je–je voulais revenir rencontrer les chrétiens. Et je me suis dit que ceci serait une bonne occasion pour passer deux ou trois jours ici avec vous.

3    Mon ministère consiste surtout à prier pour les malades. Je… Sans doute qu’à travers les journaux et les magazines, et tout, vous avez entendu parler de la bonté du Seigneur Jésus, comment Il a–a guéri les malades et fait de grands miracles et prodiges.
    En arrivant ce soir, nous avons vu que ce serait presque totalement impossible de constituer une ligne de prière ici; il y a autant de gens tout autour dehors qu’il y en a à l’intérieur. Demain, ils auront un auditorium… ou plutôt ils essayent de l’avoir (l’école secondaire ou quelque chose de ce genre). Ils vous en parleront. Je pense qu’ils sont en réunion à ce sujet en ce moment, pour l’endroit où nous pourrons nous assembler, afin que nous puissions avoir des lignes de prière et prier pour les malades… aux prochains services, à partir de demain soir. Peu importe où se dérouleront les réunions, nous essayerons de nous dépêcher et de distribuer quelques cartes de prière et d’aligner les gens afin que vous puissiez venir d’après les numéros, étant donné que c’est un système qui est utilisé dans nos réunions… toujours, pour faire cela.
    Ainsi, ce sera annoncé peut-être demain, et on mettra un panneau par ici pour indiquer, si c’est le cas, juste là où les réunions… dans quel auditorium on sera demain soir. Et–et si vous venez ici, on mettra un panneau là. S’il nous faut continuer ici, eh bien, venez juste aux environs de six heures et… plutôt de sept heures ou n’importe quand; six heures trente, sept heures, et nous distribuerons les cartes. Et si alors nous devons nous retirer et reprendre, eh bien, nous–nous ferons aligner les gens là où nous pourrons prier pour eux. Comme ceci, ce serait trop difficile. Mais nous allons nous débrouiller autrement.

4    Bien, combien de ministres y a-t-il ici? Pourrais-je voir–juste vous voir lever la main? C’est très bien. Eh bien, je vous salue, vous mes précieux amis en Christ.
    Maintenant, en parlant de… C’est le–au sujet du prédicateur le plus jeune que j’aie jamais vu. Il y en a un ici qui a environ deux ans, il a levé la main. Je–je… cela… Je me suis dit que le petit David Walker est probablement le plus jeune que j’aie jamais vu, mais celui-ci le dépasse. Eh bien, c’est très bien, fiston. J’en ai un comme ça chez moi, il prétend devenir prédicateur, mais s’il le devient, il devra beaucoup s’amender.
    L’autre jour, il était très malheureux. Il a fait quelque chose… il a placé ses deux petites sœurs sur une chaise. (Vous qui êtes pères et mères, vous voyez ce que je veux dire.) J’ai dit: «Fiston, ça fait longtemps que tu ne cesses de me promettre que tu seras sage. Quand vas-tu être sage?»
    Il a dit: «Quand je serai prédicateur.»
    Sa mère a dit: «Tu dois en finir avec cela, sinon tu ne seras pas un prédicateur.» Les gens peuvent presque bien toucher votre cœur avec les petites choses amusantes qu’ils racontent.

5    Bon, ce soir, pour moi, il fait froid dehors. Je me suis dit que j’allais venir ici pour marcher encore pieds nus, mais je venais… je gèlerais, si je faisais cela. Ainsi, beaucoup de gens se tiennent dehors, tout autour des bâtiments et tout. Beaucoup… certains sont dans leurs voitures et les voitures continuent à venir. Nous allons donc vous garder–pas vous garder longtemps, juste vous parler et essayer d’élever votre foi afin que lorsque le temps de prier pour les malades sera venu, vous puissiez être réceptifs. Je pense que la guérison divine, c’est quelque chose dont vous devez vous approcher avec révérence, judicieusement, car c’est l’œuvre de Dieu. Or, si Dieu ne peut pas aller à l’encontre de Ses propres lois et de Ses propres principes, Il agira toujours selon Ses lois.
    C’est juste comme si vous… J’ai parlé de ceci plusieurs fois: Si nous… vous aviez une colline par ici et un grand puits artésien qui ferait jaillir de l’eau vers le ciel, et que vous ayez une autre colline par ici, et sur laquelle il y aurait des plantations et que celles-ci se flétrissaient par manque d’eau, eh bien, vous pourriez vous tenir sur cette colline-ci et crier à cette eau: «Viens par ici, viens par ici, et arrose les plantations.» Cela ne se fera jamais. Bien sûr que non. Cela ne se fera jamais. Mais si vous travaillez selon la loi de la pesanteur, vous pouvez amener cette eau exactement là sur cette colline et arroser vos plantations. Mais il vous faut utiliser une loi pour le faire. Et cela marchera parfaitement chaque fois.

6    Si ce soir vous étiez par ici dans un champ, et qu’il faisait tout noir, et que vous disiez: «Je suis un savant, et je sais qu’il y a assez d’électricité dans cette atmosphère pour illuminer ce champ et me montrer la voie de sortie. Oh! grande électricité, je sais que tu es là. La recherche scientifique prouve que tu es juste dans l’atmosphère. (En séparant l’air froid de l’air chaud pour… et en les réunissant, on obtient de l’électricité.) Et ensuite, éclaire le chemin, car je suis perdu.» Vous pourriez crier jusqu’à devenir enroué, et elle ne s’allumera jamais, mais si vous travaillez d’après les lois de l’électricité, celle-ci éclairera le chemin. Voyez-vous?
    Eh bien, il en est ainsi avec Dieu. Bien des fois la guérison divine a été mal utilisée, voyez-vous, mais il y a un moyen. Il existe vraiment une Guérison divine, mais il nous faut travailler d’après les lois et les commandements de Dieu pour obtenir la guérison divine. Elle est là.

7    Des fois vous vous demandez pourquoi certains sont guéris tandis que d’autres ne le sont pas. Eh bien, c’est parce qu’il se peut que l’un vienne d’après la loi, et l’autre essaye de prendre un raccourci. Mais Dieu n’a pas de raccourcis; nous venons tous par le même chemin. Dieu ne fait acception de personne.
    Ainsi ce soir, je me suis dit que je vais vous parler pour essayer de faire connaissance avec vous. Et je suis un nouveau pour vous, et vous l’êtes pour moi, mais cependant, nous ne sommes pas étrangers. Nous sommes de précieux frères et sœurs de la foi qui est en Christ Jésus. Ici, nous sommes des pèlerins et des étrangers. Nous sommes tous des voyageurs, cherchant une cité dont l’Architecte et le Constructeur est Dieu, celle après laquelle nous soupirons, et nous voyageons ensemble dans ce sens.

8    Maintenant, avant que je ne lise ici juste un petit passage de l’Écriture, un verset ou quelque chose comme ça, inclinons la tête juste un instant, à l’intérieur et dehors, s’il vous plaît, mes bien-aimés, pendant que nous parlons à notre précieux Seigneur.
    Notre Bienveillant Père céleste, c’est vraiment un grand privilège que nous avons ce soir de venir et de T’appeler notre Père, sachant que nous sommes passés de la mort à la vie, «car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Éternelle.» Et ce soir nous sommes si heureux, Seigneur, d’être participants de Sa grâce et de cette Vie Éternelle. Rien de ce que nous avons fait ni de ce que nous pourrions faire ne pourrait mériter une pareille bénédiction, si ce n’est par la grâce souveraine de Dieu. Et nous acceptons et croyons humblement cela. Et nous sommes impatients de parler aux autres de la voie de Dieu, une voie à laquelle il est pourvu pour échapper à la colère de Dieu au jour du jugement, et pour devenir Son ami, entrer dans Sa Présence, avec des âmes lavées par le Sang de Son Fils, Christ Jésus.

9    Ta très gracieuse Parole nous apprend aussi, ô Seigneur, «qu’Il a été blessé pour nos péchés, et que par Ses meurtrissures nous avons été guéris.» Oh! ce soir, comme nous y pensons, quand David s’est écrié, disant:
    Mon âme, bénis l’Éternel!
    Que tout ce qui est en moi bénisse son saint nom!
    Mon âme, bénis l’Éternel,
    Et n’oublie aucun de ses bienfaits!
    C’est lui qui pardonne toutes tes iniquités,
    Qui guérit toutes tes maladies…
    Combien nous sommes heureux ce soir, ô Seigneur, de savoir qu’avec cette assurance bénie que nous avons, il y a des dividendes qu’on peut toucher sur la police d’assurance!
    Et ce soir, nous Te prions, ô Seigneur, de nous bénir de façon particulière. Quand, debout à la fenêtre, j’ai vu comment les gens viennent par files de–de voitures, et que j’ai vu les précieuses âmes affamées, debout là, les têtes inclinées et attendant une bénédiction de Dieu, ou pour entendre quelque chose qui pourrait leur parler de paix, ou qui pourrait les encourager dans le voyage, nous Te demandons de bénir ces gens ainsi que ceux qui se tiennent tout autour, et sur le parquet, et le long des murs et des allées. Ceux qui sont assis… certains dans les voitures, Ô Seigneur, qu’aucune âme assoiffée ne sorte sans être comblée pour tout désir qui l’avait amenée ici. Accorde-le, Seigneur.
    Si dans Ta divine Présence il y en a qui sont malades et qui sont dans le besoin, que ce soir ils partent de cette réunion en bonne santé. S’il y en a qui sont sans espoir, sans Dieu, sans Christ, qu’ils partent avec une coupe débordant de joie, du fait qu’ils auront trouvé Jésus, la Fontaine intarissable de la Vie Éternelle. Accorde-le, Seigneur. Écoute nos prières et parle-nous par Ta Parole, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

10    Là dans le–le Livre d’Ésaïe, je souhaite lire juste un instant, un passage de l’Écriture. Je vais prendre le chapitre 1 et le verset 18. Nous connaissons tous cela, nais j’aimerais simplement le lire.
    Venez maintenant… plaidons, dit l’Éternel.
    Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige;
    S’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine.

11    C’est un vieux passage de l’Écriture qui est très familier. Et j’y pensais à mon arrivée aujourd’hui. Et je me disais que c’est une chose extraordinaire que Dieu, le Créateur des cieux et de la terre, invite Sa création, l’homme, à venir plaider avec Lui. Quel honneur que de recevoir de Dieu une invitation. Vous savez, Il n’était pas obligé de le faire, mais Il l’a fait. Et Il a invité, disant: «Que celui qui veut, vienne.» Il n’a pas fait acception d’une certaine personne, ou d’un certain groupe, ou d’une certaine dénomination, ou d’une certaine race. Il a dit: «Que celui qui veut, vienne.»
    Et puis, je suis certain que cela signifie que chacun de nous y a droit. Ça me fait plus de bien ce soir de savoir cela, que si l’Écriture disait: «Que William Branham vienne,» car il se peut qu’il y ait plus d’un William Branham… Mais quand Il a dit: «Que celui qui veut,» je sais que je suis inclus, et que vous êtes inclus. Et nous avons tous le droit d’accéder à l’Arbre de la Vie.

12    Il existe beaucoup de choses par lesquelles nous pourrions être honorés. Un certain ministre peut nous inviter à une certaine église, et ce serait un honneur. Une certaine association de cette ville peut nous inviter chez elle, et ce serait un honneur. Ou je pourrais dire ceci:qu’en serait-il si notre cher président, Dwight Eisenhower invitait le meilleur démocrate de Tifton à venir lui rendre visite? Même si celui-ci n’est pas d’accord avec lui du point de vue politique, ce serait un honneur pour ce dernier, puisque le Président Eisenhower a donné une invitation. Et je pourrais dire ceci: s’il faisait vraiment une telle chose, nous nous en glorifierions à travers le pays, du fait que le Président Eisenhower nous aura invités à venir à la Maison Blanche pour nous entretenir avec lui sur certains problèmes. Eh bien, les journaux saisiraient cela, la radio ne parlerait que de cela, la télévision crierait cela partout, en effet le Président Eisenhower nous aura invités à venir nous entretenir avec lui à la Maison Blanche. Quel honneur! Nous ne pourrions certainement pas rejeter cela.

13    Mais imaginez que Dieu nous ait invité. Le Dieu du Ciel nous a invités, vous et moi (des pauvres gens limités, des pauvres) et Il nous a invités à venir à Lui pour parler de la Vie Éternelle: «Même si nos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendraient blancs comme la neige.» C’est au-delà de tout ce que je pourrais imaginer, que Dieu cherche à plaider avec la création qu’Il a faite. Mais Il nous a invités à venir.
    Et Il a certainement été rejeté par beaucoup de gens. Et si nous rejetons une telle invitation, alors nous ne pouvons pas nous attendre à être bénis lors de Sa venue, lors du jugement.
    En d’autres termes, Dieu dit quelque chose comme: Venez et assoyons-nous et parlons-en. C’est tout ce que j’aime.

14    Récemment à Phoenix, dans l’Arizona, quelques filles indiennes sont venues à la réunion, et elles ont chanté un cantique, là au stade, et elles disaient: «Je voudrais parler de cela avec Jésus, et Lui parler de toute Sa miséricorde.» Et je pensais à ce cantique et à cette Écriture: «J’aimerais parler de cela avec Lui.»
    Cela me rappelle un–un vieil homme de couleur qui, une fois, chantait un cantique. Et juste avant de terminer, ou plutôt de commencer à chanter, il a dit: «Vous savez, a-t-il dit, j’avais dit il y a longtemps au Seigneur que lorsque mon temps viendrait de m’en aller, je ne voudrais pas avoir d’ennuis là à la rivière. S’il y a quelque chose de faux, que nous en parlions maintenant.»
    Et je pense que c’est ce que j’ai pu trouver de bien comme expression. «Je ne voudrais pas avoir d’ennuis à la rivière.» Ce sera un matin horrible. Quand ce bateau démarrera, j’aimerais avoir mon ticket en main et être sûr qu’il est payé, et savoir que tout est en ordre, car on n’aura alors pas le temps d’en parler. Il vaut mieux en parler maintenant.

15    Dieu a dit: «Plaidons ensemble.» Plaider… Si vous êtes malade, plaidons cela avec Dieu. Si le médecin a dit que vous ne pouvez pas vous rétablir, amenons alors le cas à Dieu et asseyons-nous, et plaidons cela avec Lui, disant: «Seigneur, j’ai mal agi, mais si Tu m’accordes de me rétablir, je Te servirai toute ma vie.» Parlez-en simplement avec Lui. Et je pense que ce serait une bonne chose que nous fassions cela avant les services de demain soir, avoir un petit «entretien là-dessus» avec Christ.
    En d’autres termes, Dieu dit: «Venez et tenons ensemble une conférence, rencontrons-nous dans une conférence et parlons de la chose.»

16    D’habitude… Nous entendons beaucoup parler ce dernier temps des conférences qui sont tenues partout. Et qu’est-ce qu’une conférence?
    Récemment, nous avons entendu parler ici… beaucoup d’entre vous qui avez mon âge, vous vous rappelez que lors de la Deuxième Guerre mondiale, on avait tenu ce qu’on a appelé la Grande Conférence des «Quatre», quand les quatre grandes puissances indépendantes du monde se sont rencontrées en conférence. Et puis, on a tenu la Conférence de Genève. On a tenu la Conférence de Paris. (M. Eisenhower vient des pays indépendants où il a tenu des conférences). Et Dieu convoque une conférence. Et toutes ces grandes richesses de la Parole de Dieu… Cela fait de nous des riches, de savoir que Dieu nous a donné une invitation pour venir nous entretenir avec Lui là-dessus avant le temps.

17    Récemment, ici aux États-Unis, il y avait une femme indigente. Et sa situation financière était au plus bas, en sorte qu’on a dû amener la région à l’aider. Et quand les enquêteurs sont venus dire à cette certaine femme: «Comment se fait-il que vous soyez pauvre au point d’être obligée de demander à la région de vous accorder une aide?» Et elle a raconté l’histoire de son mari qui était mort, lui laissant un fils. Et ce fils, devenu homme d’affaires, était parti pour l’Inde. Et elle n’avait reçu de lui aucun sou depuis plusieurs années, mais elle recevait certaines des lettres les plus douces qu’elle eut jamais lues. Et elle a dit: «Il est peut-être dans une condition telle qu’il n’a pas pu m’aider. Mais c’est vraiment un garçon doux.»
    Elle a dit: «Je–je ne veux rien lui demander.»
    Et ils out dit: «Vous voulez dire que votre fils, lui qui est un homme d’affaires, ne vous a envoyé que des lettres, et que c’est tout ce qu’il vous a envoyé?» Et l’heureuse vieille mère a sorti ses petites lunettes et les a posées sur son nez, puis a dit: «Non, il m’a envoyé quelques photos les plus belles que j’aie jamais vues.» Et elle parcourt sa Bible et elle fouille dans la Bible pendant un petit moment, puis elle en tire un énorme paquet de petits morceaux de papier et les dépose devant les enquêteurs. Elle dit: «Regardez, quelles belles photos!» Et quand l’enquêteur les a lues, c’étaient des chèques bancaires. Cela valait des milliers de dollars, et elle ne le savait pas.

18    Il en est ainsi ce soir de la plupart des gens. Si seulement nous mettons nos mains sortes promesses de la Bible de Dieu, nous sommes plus que millionnaires des richesses de Sa grâce. Ainsi, quoique nous ayons fait «Venez et plaidons», dit Dieu.
    Il nous a donné des promesses, mais nous pensons que la Bible, c’est quelque chose que seuls les prédicateurs devraient lire, ou certaines personnes qui ont tout le–le raisonnement pour cela. C’est pour «quiconque veut». Chaque promesse est autant valable aujourd’hui qu’elle l’était le jour où elle a été écrite dans la Bible.
    Dieu convoque Son peuple pour des conférences… À quoi sert une conférence? Pourquoi la tient-on? C’est lorsqu’il y a une urgence. C’est quand les nations se réunissent sur un–un terrain commun. Elles croient à une certaine chose et elles se réunissent selon des accords mutuels communs. Et alors, elles choisissent un certain endroit où tenir cette conférence; c’est généralement un bel endroit, et un endroit où les gens peuvent se sentir à l’aise tout en étant ensemble, car ils doivent être en pleine forme pour conclure leurs accords. Ensuite, lorsque leurs accords sont conclus, alors ils… Eh bien, ce qu’ils font à ce moment-là, après que tous les accords sont conclus, ils vont les mettre à exécution.

19    Et c’est ainsi que Dieu tient Ses conférences. Faisons un recul dans le passé et considérons quelques conférences que Dieu a tenues avant celle de ce soir. La première conférence dont j’aimerais parler juste maintenant pour un instant, nous allons l’appeler «la conférence d’Éden».
    Le message venait d’être reçu au Ciel, selon lequel l’enfant de Dieu était déchu de la grâce, qu’il avait péché, et un état d’urgence était convoqué. Dieu a dû prendre des Anges et descendre du Ciel, parce que Son propre fils était tombé en désobéissant à Ses lois. Et désobéir à ces lois entraînait la peine de mort. Dieu a dû venir de toute urgence, comme pour toute conférence qui se tient. Quelque chose doit être fait sinon le tout sombre dans le chaos – Sa propre création. Et Dieu a choisi un certain arbre, et Il a réuni Adam et Ève, et les a amenés là et a tenu une conférence avec eux. Et quand Il en est arrivé à la décision, Il a pourvu à une voie de secours pour Ses mortels. Et Il a dit: «Ta semence écrasera la tête du serpent. Et la tête de ce dernier te blessera le talon.»

20    Et un autre moment auquel je pense, où une conférence fut tenue par Dieu, appelons-le «la conférence du buisson ardent». Dieu s’est souvenu qu’Il avait fait une promesse à Abraham, et à… pas seulement à Abraham, mais aussi à sa postérité après lui. Et nous sommes la postérité d’Abraham. Étant morts en Christ, nous devenons la postérité d’Abraham et nous sommes héritiers selon la promesse. Dieu s’est souvenu qu’Il avait fait une promesse, selon laquelle cette postérité séjournerait dans un pays étranger pendant quatre cents ans, mais qu’Il la délivrerait.
    Et le prophète qu’il avait choisi et qu’Il a fait naître prophète, il avait – au lieu de suivre la voie de Dieu, il avait suivi la voie de l’intellect. Il est descendu en Égypte et est allé à l’école et y a reçu une–une grande instruction, il a appris toute sorte de stratégie militaire, et a donc cherché à faire la conquête comme lui l’entendait. Il n’y a que deux façons pour faire quelque chose, et c’est soit la bonne façon, soit la mauvaise façon; et c’est soit notre façon, soit la façon de Dieu. Notre façon est toujours et sera toujours la mauvaise. La façon de Dieu est toujours la bonne. Peu importe combien cela semble de la folie pour nous, combien cela est ordinaire, Dieu est derrière cela, et rien ne peut arrêter cela. Dieu l’annonce dans Ses lois, et Ses voies marchent parfaitement.
    Nous voyons donc que Dieu a appelé Moïse–ou plutôt a vu Moïse, un prophète fugitif. Moïse pensait évidemment qu’il était suffisamment fort et qu’il était suffisamment doué sur le plan militaire pour délivrer les enfants d’Israël.

21    Maintenant, je voudrais que vous saisissiez quelque chose ici. Dieu, quand Il créa l’homme, Il lui donna cinq sens. Et ces cinq sens sont: la vue, le goût, le toucher, l’odorat, et l’ouïe, comme nous le savons tous. Ces cinq sens n’ont pas été donnés à l’homme pour le conduire. Ils ont été donnés à l’homme pour entrer en contact avec sa demeure terrestre: la vue, le goût, le toucher, l’odorat, et l’ouïe. Et ce sont vos sens terrestres, et ils ne vous ont pas été donnés pour vous conduire. Mais Dieu a envoyé le Saint-Esprit et Celui-ci est votre Guide, le Sixième Sens. Cela vous fait croire des choses que vous ne voyez, ni ne goûtez, ni ne touchez, ni ne sentez, ni n’entendez. Ce Sixième Sens, c’est quelque chose qui vous élève (et il n’y a qu’une seule catégorie de gens qui a ce Sixième Sens, ce sont les croyants)… Hébreux 11.1 dit: «Par la foi… Et sans la foi, il est impossible d’être agréable à Dieu.» Ainsi, Dieu donne la foi à l’homme. Et la foi est le Sixième Sens qui vous fait renier tout ce qui est contraire à Sa Parole.

22    Il a donné cette foi à Moïse quand celui-ci avait (ce Sixième Sens), quand il avait soixante-quinze ans, et Sam, soixante-cinq. Son sein était mort. Il vivait avec elle depuis qu’elle avait environ dix-sept ans, et ils étaient sans enfants. Il avait soixante-quinze ans, et il était pratiquement mort, et Dieu lui avait dit qu’il allait avoir un bébé. Il considéra tout ce qui était contraire à cela comme n’existant pas, car il était pleinement persuadé que Dieu était capable de garder chaque parole qu’Il avait prononcée. Il n’a pas juste attendu d’une nuit à une autre. Il a attendu vingt-cinq ans avant que cela n’arrive, et il n’a jamais failli une seule fois. Il ne douta point par incrédulité au sujet de la promesse, mais il fut fortifié, donnant gloire à Dieu. Il avait touché à ce Sixième Sens. Il considérait tout ce qui était contraire à ce que Dieu avait dit comme n’existant pas. Ce que Dieu avait dit était la vérité. Et vingt-cinq ans après, le bébé naquit.
    Oh, je sais que cela paraît de la folie pour la pensée humaine. Pourriez-vous vous représenter un vieil homme ici à Tifton, un vieil homme de 100 ans et une femme de 90 ans aller chez un médecin pour prendre des dispositions afin d’avoir un bébé? Eh bien, le médecin dirait: «Le vieil homme est quelque peu toqué. Il y a quelque chose qui ne va pas.» C’est vrai. Dans le cas d’Abraham, il a pris Dieu au mot. Et c’est toujours de la folie pour l’esprit charnel.

23    Eh bien, c’est un précieux trésor dans la pensée de Dieu, et dans le cœur de Dieu, de pouvoir utiliser cette personne-là. À moins que nous n’arrivions à ce point où nous avons… nous ne nous reposons pas sur ces cinq sens (pour le contact avec la demeure terrestre), mais que nous marchons par la foi… «car le juste vivra par la foi…»
    Moïse avait besoin de ce contact. Il essayait de faire cela de façon intellectuelle. C’est cela le problème des églises de notre temps. Nous essayons de faire cela au moyen des écoles. Nous essayons de faire cela au moyen des dénominations. Nous essayons de faire cela par l’instruction, et la reforme. Ce dont l’église a besoin, c’est d’une–une nouvelle naissance, le baptême du Saint-Esprit, le contact du Sixième Sens qui enflamme l’âme pour Dieu. Ce contact afin de le faire sortir de cette routine…
    Quand les gens se mettent à dire: «Les jours des miracles sont passés, et la guérison divine n’existe pas», Dieu cherche à entrer en contact avec cette église, Il convoque une conférence. Pourquoi douterions de Sa Parole?

24    Il a donc convoqué une conférence avec Moïse. Et Il a choisi un endroit, un buisson ardent. Et c’est à ce buisson ardent qu’Il a parlé à Moïse et a dit: «Je me souviens de Ma promesse, et Je t’envoie là-bas, là où tu as eu un échec. Je te renvoie carrément pour commencer là où tu t’es arrêté, mais cette fois-ci, ça sera différent» Moïse, un lâche fuyant devant Dieu…
    Oh, des fois quand vous entrez en contact avec Dieu et que vous avez une conférence avec Lui, et qu’Il vous touche et vous apporte ce Sixième Sens, cette puissance, elle vous amène à faire des choses telles que les gens penseront que vous êtes fou.
    Voyez quelle différence. Un lâche fuyant par… là derrière la brousse, pour paître les brebis de Jethro, un jour… il rencontra Dieu dans une conférence au buisson ardent, et le lendemain, le voilà qui descend en Égypte, un vieil homme de quatre-vingt-dix ans, avec les cheveux blancs et une barbe pendante sur son visage, sa femme assise à califourchon sur un mulet, avec un enfant sur sa hanche, le bâton à la main, une longue barbe blanche… «Où vas-tu, Moïse?»
    «Je descends en Égypte faire la conquête.» L’invasion par un seul homme; mais la vérité est qu’il l’a fait, en effet il avait été en conférence avec Dieu. Et il a eu un contact avec quelque chose qui était… changea sa pensée. Il oublia sa théologie et prit Dieu au mot. Il dit: «Nous descendons faire la conquête.»

25    C’est comme un homme qui irait et ferait la conquête de la Russie, la plus grande armée du monde. Mais il a fait cela parce qu’il avait eu une conférence et s’était entretenu avec Christ là-dessus.
    C’est ce dont nous avons besoin ce soir. Ce soir, l’Église pentecôtiste a besoin d’une conférence, d’un rassemblement, d’un entretien avec Dieu pour que Celui-ci envoie de nouveau la puissance de la Pentecôte à l’ancienne mode, le Saint-Esprit, qu’Il retourne dans l’église et qu’Il anime la foi et donne des réunions qu’on avait.

26    C’était vraiment une conférence, mis alors, quand… Il–Il y a un autre type de conférence. Après que l’homme a suivi le commandement de Dieu, comme l’a fait Moïse, et qu’il a fait sortir d’Égypte les enfants d’Israël–Israël, et qu’il était en route vers la terre promise, tout à fait dans la voie que Dieu lui avait ordonné d’emprunter, et alors il s’est buté à un obstacle…
    C’est ce que l’église a connu ce soir. C’est ce que beaucoup d’entre nous ont connu dans notre–dans nos vies; nous nous sommes butés à quelque chose. Mais si c’est sur la voie de la promesse, si quelque chose se dresse sur la voie de la promesse, nous avons le droit de tenir une conférence.
    C’est là qu’était Israël, Moïse le conduisait, la Colonne de Feu les précédait, et la mer Rouge s’est dressée là, les séparant de la Palestine. Juste dans la ligne de la bénédiction, la mer Rouge s’est dressée là, et l’armée de Pharaon était à leurs trousses, et les montagnes de part et d’autre. La nature même aurait crié pour implorer miséricorde.
    «Oh, a dit Israël, nous aurions souhaité être morts là-bas près de pots de viande de l’Égypte. Nous serions aussitôt morts là, que de venir ici pour être massacrés par Pharaon.»
    Mais Moïse, ce grand conducteur, comme cela… Il avait eu une conférence avec Dieu avant, et il savait ce que cela signifiait que d’être dans une situation difficile.

27    Beaucoup de gens qui sont nés à moitié, partiellement nés… des petits-enfants, comme l’a dit David du Plessis l’autre soir: «Dieu n’a pas de petits-enfants. Il n’a que des fils et des filles.» Mais quand on en arrive à un point où un petit-enfant, c’est-à-dire, celui qui a été engendré par une… parce que sa mère était pentecôtiste ou que son père était pentecôtiste, il devient membre de l’église… Bien sûr que non. Il doit naître comme son père, car Dieu n’a pas de petits-enfants. Il doit passer par une expérience. Il ne peut pas y entrer sur base de l’expérience de papa ou de maman; vous devez passer par votre propre expérience. Ça, c’était leur naissance. Vous savez, vous devez aussi avoir votre naissance.
    Dieu ne reconnaît pas des petits-enfants; Il n’en a pas. Ce sont tous des fils et des filles. Vous dites: «Eh bien, j’étais né… et ma mère et mon père étaient méthodistes, et on m’a amené à l’Église méthodiste.» Tout ça, c’est bien. Mais vous êtes un petit-enfant à moins que vous ne soyez né de l’Esprit de Dieu; alors vous n’êtes pas un petit-enfant.

28    Eh bien, Dieu s’est souvenu de Sa promesse, et Il a envoyé Moïse. Et il a conduit les enfants jusqu’à cet endroit. Et juste dans la ligne du devoir, qui était de conduire les enfants d’Israël, l’obstacle s’est dressé en chemin.
    Vous, qui êtes dehors ce soir, beaucoup d’entre vous sont malades. Peut-être que vous êtes de vrais serviteurs de Christ et que vous aviez fait ce qui était correct, au mieux de votre connaissance, mais un cancer s’est dressé sur votre sentier, une tumeur, la cécité, la surdité, la paralysie, quelque chose s’est dressé sur votre sentier dans la ligne du devoir. Alors, il est temps de convoquer une conférence. Il est temps de faire quelque chose à ce sujet.
    Moïse est allé derrière un rocher, et il est resté là jusqu’à ce qu’il ait reçu des ordres pour la marche. «Qu’allez-vous faire, reculer devant Pharaon?»
    Il a dit: «Parle aux enfants d’Israël, qu’ils avancent.» C’est que l’armée de Dieu–de Dieu avance toujours; elle ne connaît pas du tout de retraite. Il n’y a pas de retraite dans l’armée de Dieu; il n’y en a pas. Nous avançons.

29    Et il est arrivé jusqu’à la mer Rouge. Et alors, il a levé le bâton de Dieu devant la mer Rouge, et elle s’est ouverte, et ils ont traversé sur le sec. Dieu pourvoit à un moyen pour échapper. «Le malheur atteint souvent le juste, mais Dieu aime l’en délivrer toujours. Et tous ceux qui vivent pieusement en Jésus-Christ, seront persécutés.» La conférence avait été tenue; les ordres avaient été donnés; et ils se sont mis en marche.
    Il y a eu une autre conférence. Nous pourrions en citer beaucoup, mais ces pauvres gens qui se tiennent là dehors, grelottent. Écoutez. Une autre conférence a été convoquée. C’était un soir, à Gethsémané. C’était quand Christ avait plu à Dieu, au point que Celui-ci a convoqué une conférence et a dit quelque chose comme: «Acceptes-tu d’aller jusqu’au bout de la chose, ou veux-tu te dérober?» Et la décision fut prise: «Que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne.» Quelle conférence! «Que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne.»

30    Une conférence fut aussi convoquée au Calvaire. Une conférence fut convoquée dans le prétoire de Pilate: «Qui se tiendra là, le dos tourné, pour recevoir le fouet?», car le prophète a dit: «Il était blessé pour nos péchés, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.» La conférence avait été convoquée, et Jésus avait pris la place, car Il était le seul qui pouvait prendre la place. Personne d’autre ne pouvait le faire. Et Il a fait cela, parce qu’Il nous a aimés. Il est disposé à en parler en long et en large avec nous ce soir, pour chaque chose pour laquelle Il a souffert, là, car Il a pris notre place. Il… Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui. C’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris (au passé). Il veut en parler avec nous.
    Ensuite, j’aimerais parler brièvement d’une autre conférence. Une autre conférence fut convoquée. Quelle sorte d’Église devrait être la nouvelle Église, l’Église chrétienne? Devrions-nous la conduire par ceci cela, ou devrions-nous… Comment devrions-nous faire cela? Quel genre d’Église devrait-Elle être? Devrait-Elle être une dénomination ou devrait-Elle être une affiliation, ou devrait-Elle être ceci, cela, ou autre chose, ou devrait-Elle être simplement quelque chose de sélectionné?
    Ainsi, une conférence a été tenue au Ciel. Généralement, quand il y a une conférence, le monde entier s’assied et attend.

31    Récemment là, un ministre m’a dit, il a dit: «Quand Mussolini faisait sa… tenait cette conférence lors de la Deuxième Guerre mondiale, quand le monde entier, tout le monde, était concerné… Certains faisaient des histoires pour n’avoir pas eu de sucre dans leur café, pas assez de sucre, pendant que les gens mouraient sur le champ de bataille.» Nous sommes un peuple ingrat. Et il a dit qu’il faisait les cent pas sur le pavé, ne sachant que faire. Il regardait et écoutait cette émission que Mussolini faisait, comment il irait envahir et tout, parlant de ce genre de choses. Et il a dit que quelqu’un a frappé à la porte. Et il est allé à la porte et il a dit qu’un hippie moderne se tenait là, les cheveux lui descendaient jusqu’au niveau du cou et les poils sur le visage, et il a dit: «Je veux que vous alliez au centre commercial, pour m’aider à vendre mon poème. Personne ne veut en parler.»
    Il a dit: «Entrez, mon bonhomme, et asseyez-vous un instant. Je suis très intéressé. Tenez, il y a une conférence en cours, et j’attends pour entendre ce qu’en sera le résultat, car cela–cela représente beaucoup pour notre nation et pour nos jeunes garçons qui vont devoir mourir sur le champ de bataille.» Il a dit: «Cela m’intéresse d’entendre ce que sera le résultat de la conférence.»
    Et ce hippie s’est précipité entre lui et la radio disant sans cesse: «Mais mon–mon–mon poème est plus important.» Oh! la la! Il l’a simplement pris par la main et l’a conduit à la porte.

32    Quand nous nous attendons à une conférence… Ce soir, nous devrions nous attendre à une conférence. Que Dieu décide de ce qui arrivera à Tifton, ce soir. Qui croirait ce qui sera annoncé? Qu’arrivera-t-il à Tifton dans les deux ou trois prochains jours?
    Quand ces gens sont montés dans la chambre haute, les cent vingt, y compris Marie, Simon Pierre, ainsi que les autres, quand ils sont montés dans la chambre haute par un petit escalier placé à l’extérieur du temple qui donnait sur un vieux grenier où de petites lampes à huile brûlaient, en effet, ils avaient reçu du Seigneur Jésus l’ordre suivant: «Attendez dans la cité de Jérusalem, jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’En haut. Je m’en vais dans la gloire. Et nous tiendrons une conférence, et Je vous dirai à ce moment-là comment l’Église doit être conduite.»
    Et pendant qu’ils étaient assemblés dans un même endroit, étant d’un même accord, se demandant le genre de commission qu’ils auraient, pour aller accomplir la commission dans le monde entier, montrant que tous les hommes doivent avoir cette Église chrétienne, et la communion que cela devrait créer… Pendant qu’ils étaient assemblés, environ cent vingt personnes, dans un petit endroit pas plus grand que celui-ci, tout à coup, il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux et il remplit toute la maison où ils étaient. La conférence avait été tenue, la décision avait été prise.

33    Frère, sœur, ne me comprenez pas mal. C’est là la–la façon correcte dont l’Église chrétienne doit être tenue, si c’est une Église chrétienne. La conférence de Dieu a décidé, et le Saint-Esprit est descendu le jour de la Pentecôte, et a tellement secoué ces gens avec la puissance de Dieu qu’ils ont titubé comme des hommes et des femmes ivres. C’est la conséquence de la conférence.
    Après qu’ils ont été remplis de tant de puissance et de tant de joie, Pierre se tenant au milieu d’eux, a dit: «Ces gens ne sont pas ivres, comme vous le pensez, étant donné que c’est la troisième heure du jour, mais, a-t-il dit, ceci est scripturaire. C’est ce dont a parlé le prophète Joël.» (J’ai souvent fait la déclaration suivante: si ceci n’est pas cela, je m’en tiendrai simplement à ceci jusqu’à ce que cela vienne.) «C’est ce dont a parlé le prophète Joël, et il arrivera dans les derniers jours, a dit Dieu, que Je répandrai de Mon Esprit sur toute chair. Vos fils et vos filles prophétiseront. Sur Mes serviteurs et Mes servantes, Je répandrai de Mon Esprit… Et Je montrerai des signes dans le ciel au-dessus et en bas sur la terre… Des colonnes de fumée et de vapeur.»

34    Oui, une conférence a été tenue. Et puis, quelques jours après, environ dix jours, deux hommes, Pierre et Jean entraient par une porte appelée «La Belle». Et là était couché un homme handicapé, ou plutôt boiteux de naissance. (Et cela prouve qu’ils étaient des prédicateurs pentecôtistes; ils ont dit: «Je n’ai ni argent ni or.») «Je n’ai pas d’argent, mais ce que j’ai…»
    C’est ce dont les pentecôtistes ont besoin aujourd’hui, ce que eux avaient, c’est ce qui manque à l’église aujourd’hui. Pas seulement aux pentecôtistes, mais aussi aux baptistes, aux presbytériens et aux méthodistes; c’est ce qui nous manque à nous tous.
    «Ce que j’ai, je te le donne. Au Nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche,» en le prenant par les mains, et il s’affermit et entra dans le temple en sautant et en louant Dieu.

35    Les pharisiens vinrent et dirent: «Ils n’ont pas le droit de tenir ce genre de réunion dans la ville, car cela ne pourrait avoir que de mauvaises conséquences.» Alors, ils les amenèrent tous au Sanhédrin, et les frappèrent sans pitié et les traînèrent devant la cour du Sanhédrin. Et quand ils se sont tenus là à la cour, ils ont dit: «Nous sommes étonnés, sachant que ce sont tous deux des hommes du peuple sans instruction», (sans une expérience issue du séminaire), «mais nous devons reconnaître qu’ils ont été avec Jésus, car les mêmes choses que Jésus a faites, ils les ont faites. Nous devons reconnaître qu’ils ont été avec Jésus.
    Oh! c’est ce dont l’église a besoin aujourd’hui, une puissance telle que les gens devront reconnaître que vous avez été avec Jésus. C’est cela le désir de mon cœur: mener une vie telle que les gens sauront que Christ vit en nous.

36    Oh, quel temps! Ensuite, quand ils eurent… relâchèrent… quand ils les battirent et leur dirent de ne plus prêcher au Nom de Jésus, ils leur firent de nouvelles menaces et puis les relâchèrent. Étant relâchés, ils rejoignirent leur petit groupe. Quand ils se retrouvèrent ensemble, ces hommes revenaient de divers endroits, ils disaient: «Nous avons souffert de telle manière. Que devons-nous faire?» Alors ils tinrent une conférence. C’est de cette manière qu’il faut y aller. C’est vraiment ça le bon sens. «On nous a menacés, et on nous a fait ceci, et on nous a frappés. Tenons une conférence.»
    Et un jour, ils étaient assemblés, ils s’étaient tous agenouillés au cours de cette conférence, et ils ont prié d’un même accord, disant: «Ô Dieu, il est écrit dans les Écritures: Pourquoi ce tumulte parmi les nations, et cette vaine pensée parmi les peuples? Accorde à Tes serviteurs de parler avec une pleine assurance, et le pouvoir d’étendre la main de Ton Saint Fils Jésus, pour qu’il se fasse des miracles, des prodiges et la guérison.»
    Et quand cette conférence fut terminée, les ordres vinrent, et la puissance du Saint-Esprit secoua le bâtiment où ils étaient assemblés. Et ils s’en allèrent partout prêcher la Parole, avec assurance, étendant la main de Jésus-Christ sur les gens par la foi et guérissant les malades.

37    Dieu veut parler de cela avec nous ce soir. Qu’y a-t-il? Nous avons perdu quelque chose quelque part, si ces choses ne se font plus. Il veut tenir une conférence avec nous, en parler. Ainsi, je suis ici pour me joindre à vous dans cette conférence.
    Maintenant, il y a encore une conférence dont je voudrais parler juste avant de terminer, et c’est la suivante: La conférence du jugement. Il se peut que vous n’ayez pas assisté à la conférence des Nations Unies. Il se peut que vous n’ayez pas été à la Ligue des Nations et à leur conférence. Il se peut que vous n’ayez pas été à la Conférence Générale des Assemblées de Dieu, ou à la Conférence Générale de l’Église de Dieu, ou à la Conférence Générale des Méthodistes, ou–ou peu importe la conférence… Il se peut que vous n’ayez pas été à la Grande Conférence des «Quatre». Il se peut que vous n’ayez pas été à Genève. Mais une chose est certaine, vous allez assister à cette dernière conférence. Nous serons tous là, et nous rendrons compte de tout ce que nous aurons fait. Et quand cette Écriture nous sera présentée: «Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige… Venez maintenant, et plaidons, dit Dieu…» Que dirons-nous à ce moment-là?

38    Oh, il se pourrait que quelqu’un dise ceci… Je voudrais dire ceci à ceux qui sont à l’intérieur et dehors: Il se peut que vous disiez: «Mais, Pasteur, je ne suis qu’un pauvre type. Dieu n’a vraiment pas besoin de moi.» Oh! si! Le cantique (et ce n’est plus un cantique, c’est pourtant vrai) dit qu’il y a un petit endroit dans le cœur de Dieu que nul autre ne peut prendre excepté vous. Dieu vous parle, il s’agit de vous; vous êtes le seul à pouvoir occuper cet endroit dans le cœur de Dieu. Il vous attend. Il veut en parler avec vous. Il veut avoir une conférence avec vous; venez, et plaidons avant que vous n’ayez à affronter ce jugement, car ce sera alors terrible. Et vous ne pouvez pas en parler à ce moment-là. Ce sera alors trop tard.
    Vous dites: «Mais je ne suis qu’un clochard.» Peu m’importe ce que vous êtes. «Je suis un ivrogne; je suis une femme infaillib… immorale; je me suis mal conduite, Pasteur; je–je n’ai pas été fidèle à mes voeux de mariage, ou–ou plutôt j’ai–j’ai fait des choses immorales: j’ai bu, j’ai fumé, j’ai joué au jeu d’argent, j’ai volé, j’ai menti.»
    Peu m’importe ce que vous avez fait. Dieu vous a appelé, disant: «Venez et plaidons. Vos péchés peuvent être comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige si vous voulez venir pour que nous en parlions un peu. Nous avons besoin de vous.»

39    Récemment, il y avait un… dans la ville… Eh bien, je ferais mieux de ne pas citer le nom, mais un vieux clochard, ressemblant à un vieux vagabond dans la rue, a été renversé par une auto. Oh, ses os ont été brisés, et ses bras fracturés, et son visage a été fracassé, et le sang coulait. Et il a été heurté, et il était dans l’inconscience. Alors, les autorités ont appelé une ambulance, et on l’a amené de toute urgence dans un certain grand hôpital. Et la sirène d’urgence s’est fait entendre, et les médecins… On a dit: «Il y a une urgence; vous devez vite courir vers la garde.» Et quand les médecins sont venus ensemble, ils ont vu, couché là sur la… étendu sur une table, le sang sortant des yeux, du nez, de la bouche, et des oreilles. Le vieil homme paraissait inconscient. Ils l’ont secoué, ils l’ont examiné un peu et ils ont dit: «Oh! la la! Ses jambes sont brisées; ses bras sont brisés, ses côtes sont cassées.» Et ils ont dit: «Tenons une petite conférence, parlons-en.» Au cours de cette conférence, le vieil homme a repris connaissance. Et les médecins, dans leur conférence, disaient: «Ce n’est qu’un clochard. Ce n’est pas la peine que nous perdions notre temps avec lui.» Et quand ils sont revenus, ils ont dit: «Enveloppez-le simplement.»
    Le vieil homme s’est retourné et a dit: «Je vaux quelque chose.» Il a dit: «Dieu m’a tant aimé qu’Il a donné Son Fils unique, afin que j’aie la Vie Éternelle, et je mérite certainement quelques minutes de votre temps. J’ai prêché l’Évangile dans les rues et partout pendant cinquante ans.» Il a dit: «J’ai assez de valeur pour que vous arrangiez mes jambes et les remettiez toutes en place», ou quelque chose de ce genre. Il a dit: «Dieu m’a aimé, et Il a donné Son Fils pour moi, et je vaux quelque chose.» Vous avez certainement une âme qui vaut dix mille mondes.

40    Parlez-en avec Lui ce soir, mon ami. Quelques paroles signifieront beaucoup. Inclinons la tête juste un instant maintenant. Je voudrais que chacun de vous réfléchisse: «Est-ce que je vaux quelque chose?» Certainement. Dieu vous aime; voyez ce qu’Il a donné pour vous.
    Oh, comment saurai-je qu’Il vous acceptera? Le fait même de reconnaître que vous avez tort, est la preuve que Christ traite avec vous. Il a dit: «Nul ne vient à moi, si le Père ne l’attire premièrement.» Cela montre que Dieu est juste près de vous, qu’Il vous attire. Il veut tenir une petite conférence avec vous, là à votre siège, ou là où vous vous tenez dans l’allée, au mur, ou dehors, appuyé contre le bâtiment, ou dehors dans votre voiture. Le Saint-Esprit… Oh, je sais que cela paraît simple. J’ai entendu cela avant vous. Mais c’est la vérité. Il veut tenir une petite conférence avec vous maintenant et S’entretenir avec vous là-dessus.

41    Peut-être que certains parmi vous sont malades, et–et vous–vous voulez que Dieu vous guérisse. Et vous direz: «Ô Dieu, qu’est-ce qui ne va pas en moi?» Dieu veut en parler avec vous. Maintenant, sondez votre cœur, pour voir ce qui ne va pas.
    Pendant que nous avons la tête inclinée, je me demande combien je pourrais voir… Vous n’êtes pas obligé de regarder. Dieu vous voit. Si vous êtes dans votre voiture, dehors ou à l’intérieur du bâtiment, voulez-vous, sans faire de bruit, avec la tête inclinée maintenant, et les yeux fermés, lever la main et dire: «Ô Dieu, j’aimerais parler de cela avec Toi ce soir.» Que Dieu vous bénisse. «Oh, j’aimerais…» Tous, partout dehors, où que vous soyez. J’aimerais en parler, Seigneur.» Que Dieu vous bénisse.
    Quelques vingt ou trente mains se sont levées dans le bâtiment. Je ne vois pas–je n’arrive pas à voir dans l’obscurité, dehors ou dans les voitures, mais Dieu connaît chacun de vous. Vous voudriez en parler. Bien, convoquons une conférence maintenant même, car Jésus a dit: «Si deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je serai au milieu d’eux.» Et il y en a environ trente à l’intérieur. «Je serai au milieu d’eux, et–et nous en parlerons.»

42    Il n’y a pas assez de place pour un appel à l’autel, pour venir à l’autel, mais où que Dieu vous ait parlé, c’est là que vous–Il vous parle, c’est là qu’Il veut vous parler, juste dans vos péchés ou dans votre incrédulité, laquelle est le péché… Il n’existe qu’un seul péché, et c’est l’incrédulité. Vous mentez, vous volez, vous buvez, parce que vous ne croyez pas. Si vous étiez un croyant, vous ne feriez pas cela. Il n’existe donc qu’un seul péché, c’est l’incrédulité. Il se peut que vous soyez membre d’une église qui ne croit pas à toute la Bible; c’est toujours le péché. «Celui qui ne croit pas est déjà condamné», a dit notre Seigneur. Parlons-en maintenant avec Lui. Inclinons–gardons la tête inclinée, et priez juste là où vous êtes. Dites: «Seigneur, j’ai fait ça et ça et ça et ça, mais Tu m’as promis…» Il dira comme Il l’a dit à Moïse: «Je me souviens de Ma promesse, et Je viendrai te délivrer.»
    S’il s’agit d’une maladie, dites: «Seigneur, peut-être que j’ai mal agi. Si quelque part… Oh, oui, je me souviens d’une certaine chose que j’ai faite, Seigneur. Je vais aller l’arranger.» Parlons-en avec Lui. Alors, par Ses meurtrissures vous êtes guéri.

43    Maintenant, Père céleste, pendant qu’on a mal aux jambes, et que les pieds font mal, que les corps gèlent à cause du vent glacial, et j’ai parlé longtemps, mais je pense, ô Seigneur, à cette peine de cœur et à ce Jourdain glacial que nous aurons à traverser un de ces jours, quand nous arriverons à la fin du voyage. Ce sera alors un temps terrible.
    Je pense aux malades qui, peut-être, se tiennent là au bord de–des troubles cardiaques, ayant la tuberculose, et bien d’autres maux, peut-être un cancer, et… Oh, ils sont malades et nécessiteux, et ils sont assis, en train d’écouter. Mais ils ont une petite conférence avec Toi maintenant.

44    Peut-être qu’il y en a qui ne T’ont jamais reçu, ils ont péché, et ils ont mal agi, et ils ont douté de l’Évangile, et… ou peut-être qu’ils sont allés à l’église et ont fait une confession publique, mais ils ne sont pas encore nés de l’Esprit, car ils se disaient: «Eh bien, c’était du fanatisme pour Christ.»
    Ô Dieu, je Te prie d’en parler avec eux. Parle à leurs cœurs, quels que soient leurs besoins. Ils ont levé la main, et Tu as dit dans Ta Parole: «Nul ne peut venir à moi, si le Père ne l’attire premièrement.» Et ensuite, Tu as aussi dit: «Tous ceux que le Père m’a donnés, viendront à moi… Et je les ressusciterai aux derniers jours.» Tu l’as promis, Seigneur. Saint Jean 5.24. Tu as dit: «Celui qui écoute ma parole et qui croit à Celui qui m’a envoyé, a la Vie Éternelle, et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. Ce sont Tes promesses, Seigneur. Il est écrit dans les Écritures: «Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités. Le châtiment qui nous donne la paix… sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.» Seigneur, souviens-Toi de Tes promesses ce soir, pendant que nous tenons cette petite conférence.
    Que la puissance du Saint-Esprit qui a ressuscité Jésus de la tombe, descende ce soir sur chaque personne qui a faim et soif. Et que ce petit entretien suffise, ô Seigneur, pour les élever à une nouvelle santé. Accorde la vue aux aveugles, à la fois physiques et spirituels. Accorde la santé aux corps qui sont brisés, faibles et qui tremblent, ô Saint-Esprit. Donne la paix et la consolation aux âmes angoissées et le pardon de péché à ceux qui sont sortis du chemin. Accorde-le, Père, et Ton Nom en sera glorifié, car maintenant nous pouvons Te les apporter. Et ils ont demandé. Et maintenant, nous Te les abandonnons comme trophées du service et du message. Nous Te les confions au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils.

45    Pendant que nous avons la tête inclinée maintenant, réfléchissez-y. Parlez-Lui juste un peu, à l’intérieur ainsi qu’à l’extérieur, dites: «Seigneur, j’ai péché, j’ai mal agi, et je vaux quelque chose. J’ai une telle valeur que Tu as envoyé Jésus, et Il est mort afin que je sois sauvé et que je–je sois guéri, et que j’aie la–une bonne santé. Et Tu as dit dans Ta Bible: ‘Je–je veux, par-dessus tout, que ta santé prospère.’ J’en ai le droit, ô Père. Et je veux en parler avec Toi maintenant même.» À l’intérieur comme à l’extérieur…
    Et demandez-Lui de faire ces choses pour vous, et je suis certain qu’Il le fera. Il est ici maintenant pour vous rétablir, vous sauver de vos péchés, ôter toute votre iniquité, vous débarrasser de vos transgressions, vous guérir de vos maladies et de vos afflictions, et vous rétablir. Laissez-Le faire cela.

46    Pendant que nous avons la tête inclinée et que nous nous attendons à Lui pour qu’Il accomplisse chaque promesse, pendant que nous nous tenons au buisson ardent maintenant, je voudrais que l’église garde la tête inclinée, dedans et dehors, et qu’elle chante un cantique. Vous savez, dans les Écritures, ils ont chanté un cantique et–et l’Esprit de Dieu est descendu sur les gens.
    Que nous… Je sais, en voici un que nous connaissons tous: Je L’aime, je L’aime, parce qu’Il m’aima le premier. Nous sommes sûrs que vous connaissez ce cantique. Chantons-le doucement ensemble maintenant. Nous pouvons peut-être le faire sans musique, Sœur.
Je L’aime, je L’aime
Parce qu’Il… aima le premier (Oh!)
Et acquit mon salut
Sur… (C’est pour la guérison, ou le péché, mon salut)
Je L’aime, (Pensez à Sa bonté)
Parce qu’Il… le premier
Et ac… mon salut
Sur le bois du Calvaire.
    [Frère Branham se met à fredonner–N.D.É.]

47    Étant environné de Sa douceur et tout en continuant de chanter, croyez-vous que Sa Présence est avec vous? S’il en est ainsi, levez la main et dites: «Dès ce soir, je m’engage donc encore une fois. J’accepte ma guérison. J’accepte de plaider pour mon salut. (À l’intérieur comme à l’extérieur). Je crois que Christ, le Fils de Dieu, prendra soin de tout ce dont j’ai besoin. Pouvez-vous lever la main pendant que nous chantons encore doucement, avec la tête inclinée?
Je… (tout ce dont j’ai besoin, je crois qu’Il me le donnera, pendant que cette conférence est en cours. Dehors, dans la voiture, si vous êtes malade, paralysé, levez-vous.)
…aima… (Si vous êtes aveugle, tournez la tête vers le ciel, et regardez cette Lumière. Si vous êtes sourd d’une oreille, mettez votre doigt dans la bonne.)
…lut
Sur le bois du Calvaire.
    [Frère Branham fredonne]
    Oh, quelle douceur bénie, quand on s’approche du buisson maintenant. Sentez les effets du Feu sur le buisson. Le Saint-Esprit réchauffe nos âmes pour la foi.
Et acquit mon sa…
Sur le bois du Calvaire.
Je… (S’il y a un péché dans votre vie, confessez-le en tant que tel.
    Dites à Dieu que vous le regrettez. Il veut vous recevoir maintenant même.)
Par… (Pouvez-vous sentir la Présence de Sa… du buisson, pendant que vous êtes là à genoux, par la foi, dans Sa présence?)
Et acquit mon salut…

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