La Foi Parfaite
1 Notre Père céleste, c’est notre intention ce soir. Nous nous sommes rassemblés pour croire seulement, juste croire le Seigneur Jésus. Il y a ici, ce soir, des gens qui sont malades et affligés; et nous avons consacré notre–notre–notre service de ce soir à la guérison des malades et des corps brisés. Eh bien, comme le frère vient de chanter ce magnifique cantique: Alors Jésus Vint, puisses-Tu, Seigneur, venir sur la scène pour nous ce soir et guérir tous ceux qui sont affligés, et ainsi, il n’y aura pas une seule personne infirme au milieu de nous ce soir. Accorde-le, Seigneur, et aide-nous alors que nous regardons maintenant à la Parole pour trouver une foi suffisante pour cette heure. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
2 [Frère Branham parle à quelqu’un sur l’estrade.–N.D.E.] Il y a ici une paire de lunettes que quelqu’un a perdue, et qui a été trouvée dans l’église. Si quelqu’un... Si elles vous appartiennent, elles sont ici sur l’estrade, sur la chaire.
3 Bon, je sais que beaucoup travaillent, et qu’ils doivent rentrer tôt chez eux. Ainsi, je ne parlerai pas très longtemps; et ensuite, il y aura une ligne de prière pour les malades. Cela me donne une occasion de–de me rattraper en m’occupant de quelques-uns des cas urgents qui étaient dans la pièce d’à côté, et que j’ai eus juste avant d’entrer, et aussi cet après-midi. Certains parmi ces cas sont, bien sûr, très, très graves et violents. Je faisais aussi des visites, afin de prier pour les malades; et j’ai vu la main de notre Seigneur Jésus guérir les malades et les affligés. Oh! comme Il est merveilleux!
4 Eh bien, nous n’avons pas ces services de guérison très souvent, car, généralement, nous... le Saint-Esprit vient, s’il y a un cas d’urgence, et le discerne très vite; Il le désigne et dit quelque chose à ce sujet. Quant aux autres, oh! nous... peut-être que ce n’est rien de très grave, et alors, nous les laissons simplement de côté. Etant donné qu’aujourd’hui nous serons ici deux fois, je pensais qu’il faudrait que nous consacrions un service à la prière pour les malades. Je crois dans la guérison des malades. Je crois que c’est un commandement de la Bible. Nous ne pouvons pas prêcher cela sans... le plein Evangile sans inclure cela.
5 Maintenant, il est possible... Je ne sais pas encore, je n’ai pas encore téléphoné à la maison ce soir, mais il est possible que dimanche prochain je sois de nouveau ici. Et, si vous–si vous ne recevez pas de nouvelles de notre part cette semaine, si Billy ne vous le fait pas savoir (il le saura dans le courant de la semaine), si vous n’avez pas de nouvelles, alors nous serons ici de nouveau dimanche prochain. En effet, cela vous donne le jour de la fête du Travail, voyez-vous, pour vous reposer et ainsi... ou pour retourner chez vous. Voyez-vous? Ainsi, nous essayerons, si le Seigneur le veut. Eh bien, si vous n’avez pas de nouvelles... Je pense que Billy vous enverra une carte, ou il vous le dira durant les services, d’une façon ou d’une autre. Ainsi, s’il ne vous appelle pas, c’est que je reviens donc le dimanche prochain. Frère Neville, si c’est en ordre pour l’un des services. [Frère Neville parle à frère Branham.–N.D.E.] Oh! c’est bien.
6 Si quelqu’un désire savoir, il s’agit de ce petit Collins ici. Pendant le temps où les Sept Sceaux étaient apportés, les docteurs avaient dit de ce petit garçon, qui souffrait du rhumatisme articulaire aigu, qu’il devait rester couché sur le dos et boire à l’aide d’un tuyau; c’était cela. Le père et la mère l’ont emmené à la maison, l’ont déposé dans la chambre et ont prié pour lui. Et le Seigneur Jésus l’a guéri si complètement qu’il est retourné à l’école. Et l’administration les a convoqués à ce sujet. Ils ont alors appelé le spécialiste qui s’occupait de lui, et elle ne pouvait pas croire–il ne pouvait pas croire une telle chose. Ils ont emmené le garçon pour un examen, et il était parfaitement normal et en bonne santé. Alors Jésus vint, et la puissance du tentateur fut donc brisée.
7 Vous savez, c’est étrange, j’allais demander à quelqu’un de chanter ce cantique ce soir. Et, alors que je m’occupais des personnes dans la pièce d’à côté, voici que quelqu’un le chantait ici: Alors Jésus Vint. Si on ne l’avait pas chanté, j’allais demander à quelqu’un de le faire avant que je–je ne parle ce soir. Ainsi, Il arrange toutes choses parfaitement.
8 Maintenant, beaucoup d’entre vous qui avez une longue distance à parcourir vont attendre jusqu’au matin, et je–j’apprécie cet–cet effort. Certains d’entre vous rentreront chez eux ce soir, parce qu’ils doivent reprendre le travail demain matin, de bonne heure, et je sais que c’est pénible. Et alors, quand je pense à cela et vois cela...
9 J’ai aussi des moments désagréables, vous savez, où j’ai le cafard. J’en arrive au point où je... Ce qui me dérange, c’est que quand je passe par ces moments où je suis surmené, et Satan vient me dire: «Eh bien, personne ne se soucie de toi. Au fond, vois-tu, tu n’as pas un seul ami dans le monde.» Et ainsi cela...
10 Souvenez-vous que je ne suis pas immunisé contre la tentation. Voyez-vous? Je dois vaincre cela. Alors, quand je regarde en arrière et que je vois quelque chose comme ceci, je le lui mets sous les yeux et je dis: «Que dis-tu de ça?» Cela m’aide à vaincre. «Que dis-tu de ça?»
11 C’est comme pour un certain de mes amis, qui est assis ici dans–dans la salle. Il y a un–un clan, une sorte de clan qui ne croit pas dans la guérison divine, qui est venu récemment vers ce jeune homme et lui a dit: «Cette histoire qu’ils prêchent là-bas au sujet de cette guérison divine, c’est de la foutaise.»
12 Cet homme habite dans le Kentucky, tout près d’une vieille dame qui, lorsque nous étions au camp d’Acton, se mourait du cancer. Et sa soeur vint à la réunion ce soir-là avec un mouchoir qu’elle avait pris dans son sac à main. Le Saint-Esprit appela cette dame qui était au fond (je n’avais jamais été dans cette région auparavant), et lui dit qu’elle avait un mouchoir dans son sac à main, qu’elle avait là, qu’elle l’avait pris à la maison, et que sa soeur se trouvait sur une certaine montagne là-bas, se mourant d’un cancer de l’estomac, et que le docteur l’avait abandonnée. Je lui dis: «Allez appliquer le mouchoir sur cette dame, car AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle vivra.» C’est le soir où les voisins pensèrent qu’il y avait là-bas l’Armée du Salut, lorsque frère Ben y alla et plaça le... Et ensuite, cette dame fut si parfaitement guérie qu’elle a fait et son propre travail et le travail du voisin.
13 Ainsi, ce jeune homme, sachant cela, a dit: «Alors, expliquez le cas de cette femme. (Cela régla la question.) Expliquez. Vous savez qu’elle avait le cancer. Elle était ici à Louisville et les docteurs qui l’opéraient à ce moment dirent simplement: ‘Suturez-la, retournez-la, car on ne peut rien faire.’ Et maintenant, elle est parfaitement normale et bien portante. ‘Expliquez cela.’» Ce fut réglé. Voyez-vous?
14 Vous savez ce que dit la Bible?» Et ils ne purent rien dire de mal, car l’homme sur qui le miracle avait été opéré se tenait au milieu d’eux.» C’est là que nous... Cela confond Satan, n’est-ce pas? L’homme sur qui le miracle avait été opéré se trouvait là.
15 Dieu ressuscite-t-Il les morts? Ici même est assis un homme qui fut ressuscité des morts. Dieu guérit-Il les malades? Oh! la la! les mains peuvent se lever partout, Dieu guérit les malades. Et nous savons qu’Il est le grand–le grand JE SUIS, pas le grand «J’étais» ou «Je serai»; JE SUIS. C’est juste. JE SUIS, c’est-à-dire «toujours présent, partout, tout le temps». Le même hier, aujourd’hui et éternellement.
16 Maintenant, pour nous dépêcher, ouvrons maintenant cette Bible bénie. Je désire lire un–un passage qui–qui me faisait souvent tourner la tête, lorsque je le lisais. Et je désire avoir une ligne de prière ce soir, et je prierai pour tous ceux qui le désirent.
17 Et maintenant, nous allons prendre Marc, Saint Marc, chapitre 11. Et nous allons commencer à lire vers le verset 22 du chapitre 11 de Saint Marc. Beaucoup d’entre vous connaissent ce passage de l’Ecriture. Il nous est très familier. C’était le passage auquel je pensais, Frère Russell, quand ces... Il me parla au sujet de ces écureuils. Et ils... C’était justement le passage auquel je pensais. Cela a toujours été une énigme pour moi. Il a dit: «Si vous dites», pas «Si Je dis». «Si vous dites».
18 Maintenant, lisons:
Jésus prit la parole et leur dit: Ayez foi en Dieu.
Je vous le dis en vérité, si quelqu’un dit à cette montagne: Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer, et s’il ne doute point en son coeur, mais croit que ce qu’il dit arrive, il le verra s’accomplir.
Je vous le dis en vérité, si quelqu’un dit à cette montagne: Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer, et s’il ne doute point en son coeur, mais croit que ce qu’il dit arrive, il le verra s’accomplir.
C’est pourquoi je vous dis: Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.
Et, lorsque vous êtes debout faisant votre prière, si vous avez quelque chose contre quelqu’un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos offenses.
Mais si vous ne pardonnez pas, votre Père qui est dans les cieux ne vous pardonnera pas non plus vos offenses.
19 Ainsi, la foi est basée sur le pardon. Et alors, comme nous l’avons dit ce matin, nous essayons d’amener l’Eglise au niveau où nous pouvons réellement voir les temps apostoliques revivre au milieu de nous, c’est de cela que nous avons tous faim. Et cela se trouve juste à la porte. Nous le voyons, mais nous voulons voir cela davantage. Nous voulons que ce soit une telle effusion que cela–cela nous aidera à nous déverser sur d’autres.
20 Souvenez-vous, Jésus (comme nous l’avons dit dans la leçon ce matin), n’a jamais utilisé Sa puissance pour Lui-même. Il l’utilisa pour les autres. C’est pour cela qu’elle fut envoyée. Et vous pensez parfois: «Pourquoi un Homme comme Lui, qui était si plein de puissance, devrait-Il être une fois malade?» Oui, monsieur. J’ai lu dans un livre quelque part, que lorsqu’Il ressuscita ce garçon, le fils de la veuve de Naïn (je crois que c’est dans Le Prince de la Maison de David), Il s’assit sur un rocher et se plaignit d’un mal de tête. Voyez-vous? Il porta sur Lui nos infirmités. Porter signifie prendre cela sur soi. Vous voyez, Il les porta. Et Il avait toutes choses en... comme nous. Il avait la maladie, Il avait des tentations, Il avait des ennuis, Il avait des frustrations comme nous en avons, parce qu’Il devait être le genre de Médiateur parfait. Ainsi Il devait être participant, en tant que laboureur du fruit, avant de savoir ce que c’est. La femme au puits et beaucoup d’autres choses, voyez-vous, si nous regardons juste dans l’Ecriture.
21 Je voudrais dire que je crois toute l’Ecriture, et que chaque iota de Cela est vrai. Il y a aujourd’hui des critiques qui ne veulent pas Y croire. Un critique a dit une fois que lorsque Jésus envoya Ses disciples à l’endroit et au carrefour où l’ânon était attaché, Il avait arrangé cela d’avance. Voyez-vous, ils ne comprennent pas que c’est Dieu qui l’avait arrangé d’avance.
22 L’autre jour, Dieu m’a dit au sujet de frère Dauch qui est ici, que je lui serrerais de nouveau la main dans la rue. C’est très étrange: je n’étais pas ici ce matin-là, mais deux minutes de plus ou une minute de plus, et je ne l’aurais pas rencontré dans la rue. Mais je suis sorti de la voiture juste à temps pour lui serrer la main, alors qu’il venait dans la rue. Il ne m’a pas reconnu, car il avait enlevé ses lunettes, et il ne pouvait pas me voir. Quand il a entendu ma voix, il a commencé à pleurer. Qu’était-ce? D’habitude, il ne fait pas cela; mais c’était une réponse à ce qui lui avait été dit là-bas, sous la tente à oxygène, qu’il ferait cela.
23 Je lui ai dit: «De même vous vous assiérez de nouveau dans l’église.» C’était le désir de son coeur. Lorsque nous avions une réunion à Chicago, il voulait y aller, c’était le désir de son coeur. Je lui envoyai un télégramme de salutations de notre part et de la part des enfants, lui disant que nous priions afin qu’il guérisse rapidement. Et un frère bienveillant qui le visitait nous rapporta qu’il–il désirait fortement venir. Et le voici avec nous ce soir. Voyez-vous? Cela n’était pas arrangé d’avance. C’est le même Dieu qui a arrangé cela; Il fait concourir toutes choses parfaitement et au moment précis.
24 Un critique a dit une fois: «Ce n’est pas étonnant que Jésus ait pu prendre cinq pains et nourrir cinq mille personnes avec, car, dit-il, les pains étaient plus gros en ce temps-là, et Il a simplement coupé chaque pain pour en nourrir mille.»
25 «Je vous ferai remarquer que c’est ce qu’un petit garçon avait pour son dîner.» Un petit garçon transportait cinq miches de pain qui purent nourrir à satiété cinq mille personnes. Et puis, que dire des douze paniers pleins qui furent emportés? Voyez-vous? Oh! Ils... ce ne sont que des critiques, c’est tout. Cela ne change pas la Parole de Dieu. Elle reste la même, voyez-vous, et va de l’avant.
26 Nous voulons maintenant parler de la foi, mais d’un type de foi différent: La Foi parfaite. C’est une grande chose. Or, la foi, la Bible nous dit que la foi vient de ce qu’on entend. Maintenant, vous ne pouvez pas être sauvé sans la foi. Et la foi vous fait croire à l’existence de quelque chose qu’en réalité rien d’autre ne déclare, si ce n’est la foi. J’essaie maintenant de vous amener à recevoir la foi, afin que vous puissiez être prêts pour cette ligne de prière dans quelques minutes.
27 Maintenant la foi: Il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe. Et il est impossible de–de plaire à Dieu sans la foi; vous ne pouvez pas Lui plaire. Et si vous dites que vous croyez en Dieu... Vous ne L’avez jamais vu, voyez-vous, vous devez donc Le croire par la foi. Et, si vous pouviez Le voir, ce ne serait plus la foi. Voyez-vous? Tout ce que les sens déclarent, ce n’est plus la foi; c’est un fait scientifique, voyez-vous, ce n’est plus la foi. Mais vous devez L’accepter, Lui, par la foi. «Et celui qui s’approche de Dieu doit croire en Dieu; et la foi vient de ce qu’on entend la Parole de Dieu.» Voyez-vous? Vous devez croire premièrement que ceci est la Parole de Dieu, et vous devez venir à Dieu par la Parole. Voyez-vous? Prenez simplement la Parole, ce qu’Elle dit, et dites: «C’est juste!» Toute autre chose qui est contraire à cela n’est pas vraie.
28 Abraham dut croire simplement ce que cette Voix lui avait dit. Et lorsqu’il fut âgé de cent ans, vingt-cinq ans plus tard, il croyait cela plus fort que vingt-cinq ans plus tôt, lorsque cela lui fut donné. Voyez-vous? Il le croyait. Et «il ne douta pas par incrédulité au sujet de la promesse de Dieu, mais il fut fortifié, donnant gloire à Dieu, sachant que Dieu était capable d’accomplir ce qu’Il avait promis.» Et c’est ainsi que chacun doit être. Vous devez venir avec une foi infaillible, croyant que Dieu a fait la promesse. Mais, maintenant, vous devez être dans une certaine position pour avoir cette foi, et c’est de cela que nous allons parler, voyez-vous, afin de recevoir cette foi.
29 Dans Hébreux, le Livre des Hébreux, au chapitre 11, il nous est dit que «la foi est la substance des choses qu’on espère» [Bible anglaise].
30 Eh bien, voilà pourquoi beaucoup de personnes ne parviennent pas à recevoir leur guérison ou ce qu’elles demandent, c’est parce qu’elles prennent la foi pour quelque chose qui n’est pas. Voyez-vous? Ils ne croient pas cela. Cela–c’est... Cela–ce n’est pas... de l’imagination. C’est une substance réelle.
31 Maintenant, écoutez attentivement. Voyez-vous, ce n’est pas ce que vous imaginez. C’est aussi réel pour vous que toute autre chose que vous déclare n’importe quel sens de votre corps. C’est aussi réel que si mes yeux déclarent: «Ceci est un morceau de papier.» C’est aussi réel que de dire que ceci est une lampe. C’est aussi réel que de dire: «Je palpe ma veste.» C’est aussi–aussi réel que d’entendre ce bébé là-bas parler ou gazouiller. Voyez-vous? C’est aussi réel que d’entendre de la musique. C’est aussi réel que tout ce que je goûte dans ma bouche. C’est à ce point réel, seulement, vous ne pouvez pas le montrer à quelqu’un d’autre. C’est vous seul qui l’avez. Amen! C’est à vous. La foi est une substance, voyez-vous, pas juste un mythe. Ainsi, tant de personnes viennent...
32 Eh bien, ce sont des leçons vraiment profondes, je les effleurerai seulement, ensuite, vous pourrez continuer à creuser.
33 Notez bien, c’est quelque chose que vous possédez; pas de l’imagination, si vous l’avez réellement. C’est aussi réel pour vous que toute autre chose qu’il puisse y avoir. C’est aussi réel pour vous que de savoir que–que vous roulez en automobile. C’est aussi réel pour vous que de savoir que vous êtes assis dans l’église. C’est aussi réel pour vous que d’entendre ma voix. C’est une substance, pas une imagination, pas une émotion; mais c’est quelque chose que vous avez, et cela vous vient en entendant la Parole de Dieu et uniquement Cela. «La foi vient de ce qu’on entend, et de ce qu’on entend la Parole de Dieu.» Cela fait alors que votre foi n’est pas dans un individu. Elle n’est pas dans un homme. Elle n’est pas dans une organisation. Elle n’est pas dans un groupe de gens. Elle est en Dieu, parce que Dieu est la Parole. Voyez-vous? Votre foi est en Dieu. La foi vient en entendant la Parole de Dieu.
34 Alors, quand Dieu, par Sa Parole... pas par ce que quelqu’un d’autre a fait, ni par ce que quelqu’un d’autre a dit, mais par ce que la Parole de Dieu a dit. Il dit: «Que toute parole d’homme soit reconnue pour mensonge et la Mienne pour vraie.»
35 Maintenant, quand vous voyez quelqu’un faire quelque chose par une Parole, un acte de Dieu, une promesse de Dieu, beaucoup diront: «Je peux aussi faire cela!» Mais c’est de l’imagination. Et quand ils le font, vous les retrouvez ensuite naufragés quelque part. Cela doit être une substance. Or, c’est potentiellement de la foi. C’est quelque chose qui vous amènerait à la foi. Ça l’est potentiellement. C’est comme si vous me demandiez un chêne et que je vous donnais un gland. Potentiellement vous avez un chêne, mais cela n’a pas encore donné un arbre; mais, quand il pousse vraiment, c’est un chêne. Et quand vous imaginez que Dieu fait ceci... Mais quand cela vous est révélé, c’est alors la foi, une foi parfaite qui ne peut faillir.
36 La raison pour laquelle ces visions sont si–si extraordinaires pour moi, c’est parce qu’elles ont été confirmées chaque fois comme étant justes. Voyez-vous? Et je sais qu’Il a promis cela. Il a promis cela dans Sa Parole, et Il vient ici et le promet pour ce jour. C’est pourquoi vous savez où vous vous tenez, quand c’est Lui qui le dit. Vous voyez, cela me donne de la foi, parce qu’Il ne fait rien qui soit contraire à Sa Parole écrite. Voyez-vous? Si c’était contraire à la Parole, je ne pourrais pas avoir foi en cela. Cela nous ramène directement à la Parole, voyez-vous, la foi qui vient en entendant la Parole de Dieu. Vous devez entendre la Parole. La Parole de Dieu est cette Parole toute suffisante. Elle est tout ce dont vous avez besoin, cette Parole.
37 Bon, la foi est la substance, et, dans Hébreux, nous découvrons ce qu’était la foi et ce qu’accomplirent ceux qui l’avaient. Vous voyez, il y a souvent des personnes qui ont la foi aujourd’hui et qui, demain, ne l’ont pas; et le jour suivant, il y a autre chose. Mais aussitôt que Dieu ancre cela et que vous le voyez, plus rien ne pourra vous ébranler. Sans quoi, vous ne faites que tâter, tendre vers cela, présumer (et présumer signifie «se hasarder sans autorité»). Vous essayez ceci, et vous essayez cela; vous allez de ce côté, vous courez ici, et vous courez là. Vous n’avez pas encore la foi. Mais quand... C’est ce que nous appelons «la foi».
38 Je–je–je... (Excusez-moi!) Je veux que vous... (Merci, frère.)
39 Je–je veux maintenant que vous saisissiez ceci. Nous... L’Eglise doit s’élever dans la puissance de Dieu. Comment? Nous sommes trop près de la fin maintenant; je crois que l’Eglise est en état de recevoir l’enseignement des choses un peu plus profondes et de faire sortir un peu de cette soi-disant croyance, afin d’entrer dans quelque chose de réel. Voyez-vous? Ce doit être quelque chose dont vous êtes sûr.
Et si vous dites: «Frère Branham, cela n’est pas la lumière.»
– Pourtant, je sais que c’est la lumière.
– Comment savez-vous que c’est la lumière?
– Je la regarde.
– Bien, comment savez-vous que vous ne pourriez pas être dans l’erreur?
– Ma vue m’a toujours déclaré que c’est la lumière. Voyez-vous?
40 Et la raison pour laquelle je crois ces visions, c’est parce qu’elles ont toujours été déclarées être la vérité; en effet, cela vient de la Parole. Voyez-vous? Alors, si c’est Lui qui le dit, c’est réglé. Or, lorsque c’est déclaré ainsi, il n’y a plus besoin de supposer, la chose va arriver. Alors, vous entendez que c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR, voyez-vous, parce que c’est–c’est au-delà de la pensée humaine. C’est en haut, dans les domaines de la pensée du Seigneur. Mais vous êtes ici, comme le Cep... comme un sarment qui produit le fruit qui est dans le Cep. Voyez-vous? Dieu utilise des hommes, et uniquement des hommes. Dieu n’utilise pas des machines. Dieu n’utilise pas des groupes d’hommes. Dieu n’utilise pas des organisations. Dieu utilise des individus, toujours.
41 La foi est la substance; et nous comprenons que par elle, toutes ces choses sont faites. Ce n’est pas une... Ce n’est pas une imagination, c’est une substance, et spécialement la Foi parfaite. C’est de cela que je parle ce soir, comment arriver à la Foi parfaite. Ce n’est pas une imagination.
42 Il y a d’autres–des personnes qui viennent et qui disent: «Oh! j’ai vraiment la foi; oh! je l’ai vraiment.» Eh bien, alors pourquoi vous tenez-vous ici? Voyez-vous? Voyez-vous? Vous voyez, vos–vos actions prouvent que vous n’avez pas ce dont vous parlez. Voyez-vous? Si vous avez la foi, alors pourquoi êtes-vous dans la ligne de prière? Voyez-vous? Pourquoi faites-vous ces choses?
43 Voyez-vous, si vous aviez la Foi parfaite, vous regarderiez directement à Dieu, vous croiriez, et vous vous en iriez. Vous–vous n’auriez pas besoin de venir dans une ligne de prière. Vous n’auriez pas besoin de ces choses, parce que votre foi l’a déjà fait. Voyez-vous? A quoi me servirait-il de dire: «Je dois mettre une chemise»? Je porte une chemise.
44 «Comment savez-vous que vous portez une chemise?»
45 «Eh bien, je la vois, je la sens et je sais qu’elle est là.» Eh bien, c’est aussi réel que ça, lorsque la Foi parfaite s’accroche.
Vous–vous n’avez besoin de rien de plus. C’est déjà fait; vous le savez.
46 «Comment le savez-vous?»
47 «La foi me le dit.» C’est cela. Vous voyez? Comprenez-vous maintenant ce que je veux dire? C’est ça la Foi parfaite.
48 Maintenant, en d’autres termes, je me risque à sortir: «Eh bien, j’irai. La Bible dit: ‘Appelez les anciens pour qu’ils fassent l’onction d’huile et qu’ils prient pour cela.’ Je le sais et j’irai là-bas.» Et vous dites: «Bien, je vais être guéri.» Vous voyez, vous le faites par vous-même; si donc vous ne faites pas attention, vous allez vous emballer. Et alors que vous passez par là, vous dites: «Oh! je–je ne vois pas encore...» Vous voyez, c’est cela, vous n’aviez pas la foi.
49 Votre foi véritable le fera là même. Votre–votre foi véritable vous le rendra si réel que... Regardez la petite femme à la perte de sang, elle se dit: «Si seulement je peux toucher le bord de Son vêtement, je serai guérie.» Et aussitôt qu’elle le fit, elle dit qu’elle sentit au-dedans d’elle que sa perte de sang s’était arrêtée. Elle le croyait réellement.
50 Et quand elle le toucha... Pour prouver que cela s’était arrêté–cela s’était arrêté, Jésus se retourna et dit: «Qui M’a touché?» Ceci est la Foi parfaite. Et cette même Foi parfaite, ce soir, touchera Jésus-Christ comme elle le fit alors. La femme vint avec une Foi parfaite cette fois-là.
51 Bon, maintenant nous voyons qu’au départ, les disciples n’avaient pas cette Foi parfaite. Ils ne l’avaient pas, parce qu’ils avaient Christ, et ils marchaient avec Lui; mais ensuite, ils eurent Christ en eux. Par conséquent, vous voyez, il est difficile d’avoir cette Foi parfaite sans le Saint-Esprit; Il doit la susciter, Il le fait. Maintenant, vous dites: «Les disciples n’avaient pas la Foi parfaite?» Non; car ils avaient là un enfant épileptique, et ils essayaient de chasser ce démon hors de lui, mais ils n’arrivaient pas à le faire.
52 Et le père, voyant Jésus venir, Lui dit: «Nous avons amené mon fils vers–vers Tes disciples, mais ils n’ont pu le guérir.» Voyez-vous?
53 Et après, les disciples ont posé cette question à Jésus: «Pourquoi ne pouvions-nous pas le guérir?»
54 Et Jésus leur dit: «A cause de votre manque de foi, de votre incrédulité.» C’est juste. «A cause de votre incrédulité...»
55 Maintenant, souvenez-vous, ils avaient la puissance. Juste quelques jours avant, Jésus leur avait donné la puissance pour guérir les malades, ressusciter les morts et chasser les démons. Ils avaient la puissance, mais pas la foi pour utiliser la puissance. Maintenant, voilà le Branham Tabernacle. Voilà l’Eglise, l’Epouse, aujourd’hui. Le Saint-Esprit est ici, avec la puissance, mais vous n’avez pas cette foi pour la mettre en oeuvre. Voyez-vous ce que je veux dire? Il faut la foi pour la mettre en oeuvre.
56 Tenez, j’ai une cartouche que j’ai chargée à la main. Je sais ce qu’elle fera, selon la balistique,–de même que la Parole,–mais je dois tirer un coup de feu. Le feu doit atteindre la poudre. La poudre a la puissance, mais il faut le feu pour l’allumer. Et c’est la même chose: la poudre est dans la cartouche, mais elle a besoin de la foi pour l’allumer et la projeter dehors. C’est cela qu’il faut, la Foi parfaite pour mettre le feu à la puissance du Saint-Esprit, que nous avons maintenant, depuis qu’Il est venu sur nous. La foi pour mettre le feu, pour voir de grandes choses... la foi, quelque chose qui vous présente cela.
57 Avec un coeur plein de joie, vous entrez dans la chambre des malades, sachant exactement ce que vous allez dire. Vous y entrez, et vous savez ce qui va arriver, car quelque chose a déjà été révélé, et vous le savez. Alors vous entrez et dites: «Au Nom de Jésus-Christ, levez-vous de là, AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Vous y êtes; c’est la Foi parfaite. S’il y avait dix millions de personnes à cet endroit, disant que cela n’arriverait pas, vous savez que cela arrivera de toute façon, parce que vous en êtes sûr. Cela arrivera. Peu importe ce que quiconque d’autre peut dire, vous êtes celui qui a la foi.
58 Pourriez-vous vous imaginer Josué rassemblant les anciens d’Israël pour dire: «Hé, frères, nous sommes les serviteurs du Seigneur, et j’aimerais que vous disiez–Lui demandiez s’Il sera d’accord de nous donner un peu plus de lumière solaire, vous voyez, et de retenir le soleil pendant un petit moment»?
59 Non! Il en avait besoin (et sans prière, sans rien)... Il en avait besoin, et il commanda simplement au soleil. Il dit: «Arrête-toi là! Je suis dans le besoin; je suis au service de l’Eternel, et Il m’a envoyé ici pour faire ce travail, et je fais de mon mieux. Et l’ennemi est en déroute et il est par ici; si je laisse le soleil décliner, ils se rassembleront et me causeront plus d’ennuis. C’est pourquoi, arrête-toi! Et toi, lune, reste là!» Amen. Elle resta là pendant vingt-quatre heures.
60 Maintenant, si la terre tourne et qu’Il l’ait arrêtée, et que le soleil soit resté à un endroit sans se déplacer, qu’est-il alors arrivé? Maintenant, si vous soutenez cela, vous devenez un infidèle; et alors, si vous ne le faites pas, vous vous opposez assurément à la science, parce qu’ils disent que si la terre s’arrêtait, elle tomberait. Ainsi donc, qu’en est-il? Si vous dites que la Parole de Dieu n’est pas juste, alors vous êtes un infidèle. Voyez-vous? Mais cela arriva, c’est le principal. Je n’en connais pas le mécanisme, mais cela arriva.
61 Je ne connais pas le mécanisme du Saint-Esprit, mais je sais qu’Il est tombé sur moi. Je–je ne peux pas en expliquer le mécanisme, mais j’en connais les bénédictions. Tout ce que je désire connaître, ce sont les bénédictions du Saint-Esprit. Et le mécanisme, c’est Lui qui le fait marcher, c’est Son secret.
62 Ce garçon n’a pas pu être guéri, parce que... Les disciples avaient la puissance; Jésus leur avait donné la puissance pour guérir toutes sortes de maladies, pour chasser les démons, pour purifier les lépreux et pour ressusciter les morts. Il leur avait donné la puissance, mais ils n’avaient pas la foi pour faire agir la puissance qu’ils avaient. Alors, ils questionnèrent Jésus et Lui dirent: «Bien, alors pourquoi n’avons-nous pas pu le faire?»
63 Or, souvenez-vous, ils avaient la Parole; et la Parole était alors chair. Et la Parole leur dit: «Je vous donne la puissance.» Amen. «Je vous donne la puissance.» Et ils avaient la puissance, mais ils n’avaient pas la foi pour faire agir la Parole qui était en eux. Voyez-vous ce que je veux dire? Mais Jésus l’avait, Il était la Parole, et Il avait la foi que ce qu’Il disait arriverait. Il dit: «Oh! amenez-le ici. Jusques à quand vous supporterai-Je?»
64 Il avait la foi, avec Sa puissance. Comment l’avait-Il? Il dit: «Je ne peux rien faire de Moi-même.» Pourquoi? Il avait confiance en ce qu’Il était; Il avait confiance dans le fait qu’Il savait qu’Il était la Parole. Et Il avait foi en Dieu, qui L’avait fait la Parole. Il était Dieu (la Parole), et Elle était en Lui, et cela Lui donnait la foi, parce qu’Il avait compris Sa position. Il savait ce qu’Il était, parce que l’Ecriture avait dit qu’Il était ceci. Et voilà que toutes les Ecritures s’accordaient pour prouver qu’Il était exactement ce que la Parole avait dit qu’Il serait; et Il savait ce qu’Il était.
65 C’est pourquoi Il avait confiance en ce que Dieu avait fait de Lui. Si Lui l’a fait, alors ne pouvons-nous pas, comme croyants, avoir confiance en ce que Dieu a fait de nous? «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Il avait foi en ce qu’Il était. Et si vous êtes un croyant, vous avez foi en ce que vous êtes. Vous êtes un croyant. Et si vous avez foi en Dieu, la Bible dit ici dans...: «Si notre–si notre coeur nous condamne, nous ne pouvons pas avoir la foi; mais si notre coeur ne nous condamne pas, nous avons alors la foi, nous avons de l’assurance devant Dieu.» Si vous voulez le lire, cela se trouve dans Jean 3.21. J’ai noté ici le passage de l’Ecriture.
66 Maintenant, remarquez. Saint Jean... je veux dire 1 Jean 3.21. Ecoutez.
... si nos coeurs ne nous condamnent pas, nous avons de l’assurance devant Dieu.
67 Mais aussi longtemps que vous faites des choses qui sont fausses, vous ne pourrez pas vraiment avoir de l’assurance devant Dieu. Ainsi, voyez-vous, vous pouvez... vous saurez automatiquement que vous êtes dans l’erreur. Vous vous remettez automatiquement à la place d’un pécheur, si vous savez que vous êtes dans l’erreur. Mais si votre coeur ne vous condamne pas, et si vous savez que vous êtes un croyant et qu’il n’y a rien entre vous et Dieu, vous pouvez demander ce que vous voulez, sachant que cela vous sera donné, parce que c’est la Parole qui vous est donnée, comme Elle le fut à ces disciples.
68 Eh bien, la seule chose que vous devez donc faire, c’est d’avoir foi en ce que vous êtes. Ayez foi dans ce que la Parole dit que vous êtes. Jésus avait foi dans la Parole de Dieu, qui disait ce qu’Il était: «Il est écrit de Moi.» David dans les Psaumes, les prophètes et tous les autres, n’ont-ils pas parlé de Lui? «Je suis le Pain de Vie qui vient de Dieu et qui est descendu du Ciel.» Amen. «Je suis cet Arbre de Vie du Jardin d’Eden. Je suis toutes ces choses. JE SUIS CELUI QUI SUIS.» Il savait, avec cette Foi parfaite, qu’Il était le Messie oint et que l’Esprit de Dieu était sur Lui. Il dit: «De Moi-même, Je ne peux rien faire, mais c’est Ma foi en Dieu.» Et Dieu était en Lui, la Parole rendue manifeste. Et quand la Parole de Dieu vient en vous, Elle est rendue manifeste, car vous êtes un croyant. Voyez-vous? Et un croyant, c’est «la Foi de Dieu» agissant en vous.
69 Vous aimez ça? J’aime lorsque vous... J’aime enseigner le... comment... ce qu’est réellement la Foi.
70 Il savait qui Il était et, sans l’ombre d’un doute, Il savait qu’Il était le Fils de Dieu. Il le savait, car la Parole faisait l’identification. La Parole de Dieu identifiait qui Il était. Il dit: «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas; mais si–si Je ne fais pas ces oeuvres-là, alors ne Me croyez pas. Mais, si Je les fais, alors croyez les oeuvres, car elles sont la manifestation de la Parole qui avait été promise.» Oh! si seulement vous pouviez vous éveiller à cela une minute! Vous voyez, la Parole Elle-même identifiait qui Il était. Et Il dit: «Qui de vous Me convaincra de péché?» En d’autres termes: «Qui peut Me montrer que Ma vie et Mes oeuvres n’accomplissent pas exactement ce qu’on attend du Messie?» Personne ne pouvait rien dire, car c’est ce qu’Il était. Il avait alors la foi pour croire que tout ce qu’Il dirait s’accomplirait.
71 Ensuite, Il se retourna et dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez, parce que Je serai avec vous et même en vous. Ne vous inquiétez pas de ce que vous direz, car ce n’est pas vous qui parlerez, c’est votre Père qui demeure en vous qui parlera. Et ce n’est pas Moi, c’est le Père qui demeure en Moi qui accomplit les oeuvres.» Voyez-vous ce que je veux dire?
72 Eh bien, pour l’identification d’un chrétien selon l’Ecriture, Jésus a dit ces Paroles: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Comment pouvez-vous vous dire un croyant, un peuple et nier ces Paroles? Comment pouvez-vous vous dire un croyant et nier une partie de cette Parole? Voyez-vous? Vous ne pouvez pas le faire. Vous n’êtes pas un croyant, c’est pourquoi ces miracles ne peuvent pas vous accompagner; car vous acceptez et croyez seulement ce que vous voulez, et le reste, vous le laissez... Mais vous devez prendre le tout et le croire. Et lorsque vous croirez vraiment (pas faire semblant de croire, mais réellement croire), alors ces miracles accompagneront ceux qui auront cru.
73 Oh! pourriez-vous comparer un chrétien d’aujourd’hui à ces chrétiens d’antan? Ces disciples marchaient dans la puissance de l’Esprit, ils agissaient poussés par le Saint-Esprit, simplement en prisonniers, comme je l’ai prêché l’autre soir, un prisonnier de la Parole et de la volonté de Dieu. Il ne pouvait même pas bouger avant que Dieu ne le pousse à le faire. N’aimeriez-vous pas voir une telle Eglise se lever? Elle se lèvera; nous retournons à cela. Cela–cela doit arriver. C’est vrai. C’est... C’est en route maintenant, je crois.
74 Car la Parole L’a identifié, a identifié ce qu’Il était; et la même Parole nous identifie. Voyez-vous? «Si un homme M’aime, il gardera Mes commandements. S’il dit qu’il M’aime, et qu’il ne garde pas Mes commandements (c’est-à-dire chacun d’eux), c’est un menteur, et la Vérité n’est même point en lui.»
75 Vous dites: «Je ne crois pas tout...» Alors, cela... c’est que vous n’êtes qu’un incroyant, c’est tout. Si la Bible le dit, alors c’est juste, et cela règle la question pour toujours. Ce que la Bible dit, c’est la Vérité.
76 Remarquez ce qu’Il nous a dit: «Si vous demeurez en Moi, et que Ma Parole demeure en vous...» Jean 15: «Si vous demeurez en Moi...» Voyez-vous, si vous avez foi en Lui. «Si vous demeurez en Moi, et que Ma Parole demeure en vous, alors demandez ce que vous voulez.»
77 Maintenant, vous voyez, Il savait qui Il était, c’est pourquoi Il avait la foi. La foi pouvait produire du moment qu’Il savait ce qu’Il était. «Si vous demeurez en Moi, et que Ma parole demeure en vous (alors vous savez qui vous êtes.), demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé.»
78 Ne serait-ce pas merveilleux, ce soir, si tous ceux qui viennent dans cette ligne de prière disaient: «Je suis un chrétien, rien ne me condamne. Je–je sais que mon coeur ne me condamne pas. Quelque chose me dit que ce soir, c’est la fin de ma souffrance»? Que vous allez vous en tirer. Vous repartirez d’ici avec quelque chose. Peu importe combien vous avez de l’émotion en venant, ou ce que vous faites, cela ne marchera pas avant que cette Foi parfaite ne soit manifestée et identifiée en vous comme une substance. Et lorsqu’elle est là, alors rien ne peut plus vous ébranler et vous en détacher.
79 Si–si vous aviez le cancer et que le docteur vous ait dit hier que vous alliez mourir avant lundi matin (votre coeur est atteint, vous ne pouvez plus respirer, le cancer vous a rongé complètement, votre circulation sanguine s’est entièrement transformée en cancer, quel que soit votre état), et que Quelque Chose vienne avec la substance de cette foi véritable, que la Foi parfaite devienne une substance en vous, vous ririez au nez de ce docteur.
80 Vous seriez comme le vieil Elie, lorsqu’il marchait devant l’idole et disait: «Pourquoi n’appelez-vous pas un peu plus fort? Peut-être qu’il est occupé.» Il savait ce qu’il allait faire, car Dieu lui avait dit ce qui allait arriver. Il dit: «Que le dieu qui répondra par le feu soit Dieu.»
81 Ils dirent: «Nous acceptons cette proposition.» Et ils versèrent de l’eau sur les autels. Ils–ils se firent des incisions et firent tout le reste, et ils invoquèrent: «Ô Baal! ô Baal! réponds-nous!»
82 Elie était aussi calme que possible. Il dit: «Appelez un peu plus fort, dit-il–dit-il, il est peut-être occupé. Il est peut-être–peut-être à la pêche. Il fait peut-être quelque chose d’autre, vous voyez. Il est parti quelque part.» Il... Il se moqua d’eux, parce qu’il savait que cela allait arriver.
83 Oh! regardez ce qu’il fit quand il eut mis tout en ordre. Il alla là-bas et dit: «Eternel, Dieu d’Abraham, d’Isaac et d’Israël!» Il n’utilisa pas le nom de Jacob, «filou», il l’appela Israël, «Prince avec Dieu».
84 «Eternel, Dieu d’Abraham, d’Isaac et de ce prince (Jacob), que l’on sache aujourd’hui que je suis Ton serviteur, et que j’ai fait ceci, non selon mon désir, ni de moi-même, mais sur Ton ordre, selon Ta volonté, et que c’est Toi qui m’as dit ce qu’il fallait faire. Tu m’as montré que ces choses arriveraient. Maintenant, j’ai versé l’eau sur l’autel. J’ai fait toutes ces choses d’après Ton commandement. Maintenant, que l’on sache!» Et quand il eut dit cela, le feu tomba des cieux. Il avait tout à fait confiance que le feu tomberait, parce qu’il avait la substance. Pourquoi? Parce que la Parole l’avait dit.
85 Or, cette Bible est la même Parole de Dieu. Et quand vous pouvez recevoir la substance (qui est la Foi parfaite), la substance que cette promesse faite par Dieu vous appartient...
86 «Comment vous sentez-vous, Frère Branham, quand vous vous tenez là, et que vous voyez venir des personnes de différentes langues et tout? Avez-vous peur?» Pas du tout. Pas du tout. C’est Lui qui l’a dit! Je n’ai jamais eu peur, jusqu’ici, parce que c’est Lui qui me l’a dit, et je crois que c’est la Vérité.
87 S’Il me disait ce soir d’aller au cimetière présidentiel et de ressusciter demain matin George Washington, j’inviterais le monde entier et je dirais: «Venez voir la chose s’accomplir.» Je dirais: «Amenez tous... faites venir–faites venir tous les critiques possibles et mettez-les là autour, et vous allez voir la Gloire de Dieu. Mettez cette chaise à cet endroit, afin que vous puissiez vous asseoir et vous reposer un petit moment; il sera là dans un moment, aussitôt que je l’appellerai.»
88 Lorsque je vis cette nuit-là, ou plutôt ce jour-là, ce petit garçon en Finlande étendu là, mort depuis une demi-heure, le corps écrasé, le sang coulant des yeux, du nez et des oreilles, ses petites jambes brisées dans ses petites chaussettes, et ses pieds ressortis au bout de ses chaussettes, il n’avait plus de souliers... Je regardai, je pensai: «Ça doit être ce garçon-là.» Je dis: «Dites, regardons à la fin de cette Bible, Frère Moore.»
89 J’ai demandé à frère Lindsay et à frère Moore de regarder là, et c’était écrit: «Il arrivera, DIT LE SEIGNEUR, (oh! la la!) que, dans un–un pays où il pousse beaucoup de sapins et où des rochers sont amoncelés, il y aura un petit garçon aux cheveux coupés courts, portant un petit pantalon court qui se boutonne ici en haut, avec des pieds–des chaussettes longues. Il aura les yeux bruns et ceux-ci seront révulsés. Il sera tué dans un accident d’automobile. Mais tu poseras tes mains sur lui et il reviendra à la vie.»
90 C’était écrit là. Et voilà qu’il était étendu là, amen, attendant la Parole. Je dis: «Si ce garçon n’est pas vivant d’ici deux minutes, alors je suis un faux prophète; chassez-moi hors de Finlande. Mais s’il est vivant, tombez sur votre face et repentez-vous!»
91 Je dis: «Mort, tu ne peux le retenir.» J’ai réclamé son esprit selon la Parole de Dieu, au Nom de Jésus-Christ, et il se leva d’un bond. C’est vrai. Vous voyez, oh! la la! la foi s’y était accrochée. Dieu l’a dit, et le voilà!
92 Eh bien, c’est–c’est Dieu qui parle en ce jour par des visions. Mais, si cette vision était contraire à Ceci, elle serait fausse; Ceci est plus que la vision. Si une vision est contraire à la Parole, laissez cela de côté; elle n’est pas de Dieu, Dieu ne contredit pas Sa propre Parole.
Ainsi, si cette Parole vous dit quelque chose, alors vous pouvez avoir la même confiance que cela va arriver. Il n’y a rien... Si Elle dit: «Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris»... eh bien, frère, si la foi, si cette Foi parfaite s’y accroche, vous... lorsque vous aurez passé par cette ligne de prière, vous sauterez en partant d’ici et crierez: «C’est terminé! C’est terminé! C’est entièrement terminé, c’est fini!» Si vous aviez une requête dans votre coeur et que vous croyiez que la prière qui a été faite pour cela sera exaucée, il n’y a pas de quoi discuter, car c’est ce qui va arriver, comme pour la femme à la perte de sang.
93 Jésus avait la Foi parfaite. Il–Il l’avait, et elle vint parce qu’Il était la Parole. Et vous devenez la Parole; vous devenez la Parole au fur et à mesure que vous recevez la Parole. «Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous... (Mes Paroles, c’est-à-dire cette Parole)... demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez et cela vous sera accordé.» Voyez-vous? «Si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là’, et si vous ne doutez pas, mais croyez que ce que vous dites arrive, vous le verrez s’accomplir. Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir; cela vous sera donné.» Ni le temps, ni l’espace, ni rien d’autre ne changera cela. Vous savez que c’est fait. C’est déjà–c’est déjà fini.
94 Maintenant, regardez. Il nous a dit: «Si vous demeurez en Moi, et que Ma Parole demeure en vous... (ici, dans Jean)... demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé.» Alors, reconnaissez votre position dans les Ecritures, en tant que croyant. Voyez-vous, vous devez reconnaître votre position, de même qu’Il reconnut Sa position.
95 «N’est-il pas écrit que Christ viendrait et qu’Il ferait toutes ces choses?», dit-Il à Cléopas et à l’autre, ce matin-là. «N’est-il pas écrit dans les Ecritures qu’Il devait souffrir et être mis à mort, pour ensuite ressusciter le troisième jour?» Il dit: «Pourquoi êtes-vous si lents à comprendre?»
96 Et ils pensèrent: «Oh! la la! cet Homme parle différemment des autres hommes.» Et quand ils furent dans l’auberge, ils découvrirent que c’était Lui. Voyez-vous, leurs yeux étaient empêchés de Le reconnaître. Vous voyez, ils ont reconnu qu’Il se référait continuellement à l’Ecriture, et ils ont su que c’était Lui.
97 Maintenant, vous devez croire en ce que vous demandez. Si vous êtes un croyant, reconnaissez-vous comme tel. Reconnaissez que ces choses sont pour vous. S’il y a une condamnation dans votre vie, commencez par mettre cela en ordre. Voyez-vous? Si vous avez une condamnation dans votre... je... ou vous pouvez demander à Oral Roberts et–et à une douzaine d’autres personnes, qui ont la foi, de venir ici et de prier pour vous, et de sautiller, et de verser des litres et des litres d’huile sur vous, cela–cela–cela ne partira toujours pas. C’est vrai.
98 Qu’arrive-t-il à ceux qui ne sont pas guéris dans les réunions d’Oral? Je les retrouve dans la ligne de prière. Vous entendez l’Esprit dire: «On a déjà prié pour vous.»
99 «... un homme avec des cheveux foncés, assez grand, ayant une forte mâchoire.» C’est Oral Roberts. Voyez-vous? «Et c’était dans une certaine ville, appelée de tel nom.»
100 «Oui, c’est vrai.» Voyez-vous?
101 «Tel homme a prié pour vous.» Vous voyez, comme cela. «Mais, voilà la chose, voilà votre problème.» Voyez-vous? «Allez arranger cette chose. Allez là-bas, et confessez ce péché à votre mari ou à votre femme. Allez faire cette chose.» Cela ne vous servira jamais à rien (peu importe qui prie pour vous) tant que vous n’aurez pas arrangé cela. La condamnation est dans votre coeur, et Dieu ne viendra pas dans ce coeur qui est condamné. Voyez-vous? Dieu n’y habite pas; vous devez arranger cela. Ensuite, quand vous l’avez fait, vous devez avoir la foi. Si tout est en ordre, vous devez avoir la foi et croire. N’ayez pas peur.
102 Dans le Livre de Job, il y est dit que Job eut peur. Et ce qu’il craignit arriva effectivement. Qu’est-ce qui engendra cela? Sa crainte. C’est ce qui amena cela. Sa foi l’aurait gardé de cela, mais sa crainte l’amena–le lui amena. Il avait peur que cela arrive, et cela arriva. Eh bien, s’il était–était sûr que cela n’arriverait pas, cela ne serait pas arrivé. Voyez-vous ce que je veux dire?
103 Si vous avez peur, lorsque vous venez dans la ligne de prière, et que vous pensez: «Peut-être que je n’ai pas une foi suffisante...», cela n’arrivera jamais, ne vous inquiétez pas. Voyez-vous? Mais, si vous êtes convaincu que cela va arriver, cela arrivera. Voyez-vous? C’est la substance de quelque chose. Job craignait que ces choses ne lui arrivent, et elles lui arrivèrent. Si vous craignez que votre maladie vous quitte... ou plutôt ne vous quitte pas, elle ne vous quittera pas. Si vous avez la foi, elle vous quittera.
104 Demandez à n’importe quel médecin; la première chose qu’il fera, c’est de vous donner confiance dans le médicament qu’il vous donne. Si vous n’avez pas confiance en cela, vous feriez mieux de ne pas prendre cela. Voyez-vous? C’est sûr! Alors, qu’est-ce que c’est? C’est la foi qui opère la guérison, c’est la foi qui fait cela chaque fois.
105 Tout allait bien pour Pierre jusqu’au moment où il a eu peur. La Parole lui avait dit qu’il pouvait marcher sur l’eau. Il avait peur au départ, car il pensait que c’était un–un fantôme, et il dit: «Seigneur, si c’est Toi, ordonne que j’aille vers Toi sur les eaux.»
106 Jésus dit: «Viens!» Eh bien, c’est exactement la même chose que Jacques 5.14 et Marc 16; le même Dieu qui a dit cela a dit: «Viens!» Et ainsi, il commença à marcher. Tout allait bien, il sortit du bateau et commença à marcher sur...
107 Il y avait une tempête sur la mer, vous savez, avec de grandes vagues coiffées d’une crête blanche; elles étaient plus grosses que les collines par ici, et l’écume se brisait sur eux. C’était terrifiant de voir ces écumes de quinze, vingt pieds peut-être [cinq ou six mètres] d’écume et ces vagues coiffées d’une crête blanche qui se brisaient. Et c’était une chose terrifiante pour lui au point qu’il a demandé: «Seigneur, si c’est Toi...» Voyez-vous, Il ressemblait à une... c’était comme une ombre ou un esprit. Il dit: «Si c’est Toi, ordonne que j’aille vers Toi sur les eaux.»
108 Jésus lui dit: «Viens!»
109 Et il fit un pas et dit: «C’est le Seigneur, je vais simplement marcher.» Mais, quand il regarda les vagues, il eut peur. Que se passa-t-il dans son esprit? Premièrement, il... «Je vais marcher, parce que la Parole m’a dit de marcher.» Et ensuite, il regarda à ses... eh bien, il regarda à ses symptômes; il regarda là et vit la grosseur de ces vagues, et il eut peur; et aussitôt, il s’enfonça. Voyez-vous? Ce qu’il craignit arriva! Ce qu’il crut arriva! Quand il crut qu’il pouvait marcher, il marcha. Quand il crut. Quand il eut peur, malgré sa croyance, alors sa substance le quitta. Le voyez-vous? Il professait toujours sa foi, mais il n’avait pas la substance. La substance aurait passé par-dessus cette vague coiffée d’une crête blanche et serait allée directement vers Lui, vous voyez, s’il avait eu la Foi parfaite. Voyez-vous? Mais il ne l’avait pas. Il pensait qu’il l’avait. Il l’avait au début, il était prêt à se hasarder à sortir du bateau: «Eh bien, le Seigneur m’a dit de le faire, cela doit arriver.» Il sortit donc du bateau et s’en alla. Il ne pensa jamais aux vagues et ne considéra pas combien elles étaient contraires. Cela ne lui vint jamais à l’esprit.
110 Maintenant, quand vous commencez à penser: «Bien, maintenant, attendez. Vous savez, j’ai été malade si longtemps, je...» Stop! Vous feriez mieux de retourner sur le bateau. Voyez-vous? Voyez-vous? Mais quand vous arrêtez de penser à cela...
111 «Abraham ne considéra point que son corps était déjà usé et que Sara n’était plus en état d’avoir des enfants.» Il ne pensa pas à cela, il ne le considéra même pas. Cela ne lui vint même pas à l’esprit. Il ne le considéra même pas du tout; il considéra seulement ce que Dieu avait dit et il alla de l’avant. Aussi–aussi longtemps que Pierre fit cela, il marcha.
112 Mais Jésus vivait dans un monde que personne ne connaissait. Il était une personne étrange. Il vivait dans un monde de Foi parfaite dans le Dieu parfait, dans Lequel Il était. Si nous vivions dans la Foi parfaite des chrétiens, croyant ce que nous sommes, nous serions des mystiques pour le monde: les gens ne vous comprendraient pas. Vous marcheriez dans l’Esprit. Ce que l’Esprit dirait, vous le feriez. Ce qu’Il interdirait, vous ne le feriez pas. Alors, les gens commenceraient à dire... ils... Vous seriez une personne mystique pour eux.
113 C’est ainsi pour tous les croyants, ils sont des mystiques. Les gens ne comprennent pas, parce qu’ils vivent dans un monde à eux. Jésus vivait dans un monde que personne d’autre ne pouvait toucher. Les disciples ne pouvaient Le comprendre. Quand Il leur parlait, ils disaient ceci, ils ont donc dit: «Eh bien, Tu–Tu parles par énigmes! Nous–nous ne comprenons pas ceci. Comment cela peut-il être?» Voyez-vous, ils n’étaient pas dans le monde dans lequel Il vivait. Vous voyez, ils ne pouvaient pas Le comprendre, personne ne pouvait Le comprendre.
114 Ainsi, quand un homme vit par la foi et marche par la foi, je veux dire la foi en tant que substance, il est isolé du monde entier et devient une nouvelle créature en Christ. Là, maintenant, vous arrivez dans la matière pour l’Epouse. Voyez-vous? Maintenant, vous arrivez dans la condition nécessaire pour l’Enlèvement. Cela vaut pour chacun d’entre nous, pas seulement pour le pasteur, les diacres ou les administrateurs. Cela vaut aussi pour les laïques, pour chaque individu qui marche dans un monde avec Dieu seul. Vous êtes baptisé dans ce Royaume, et il n’y a personne là, si ce n’est vous et Dieu. Voyez-vous? Il donne les ordres et vous les exécutez. Quoi qu’Il dise, il n’y a nulle part l’ombre d’un doute, vous continuez votre marche. Si le Seigneur dit ceci, il n’y a personne au monde qui puisse vous en dissuader, vous continuez à avancer malgré tout. Maintenant, vous arrivez à cette Foi parfaite, une parfaite perfection qui ne peut faillir. Cette foi-là ne faillit jamais. Oui, Il était un mystique pour eux, avec Sa Foi parfaite. Et c’est comme ça maintenant pour ceux qui ont la Foi parfaite, ils sont des mystiques pour les autres.
115 Il nous est enseigné de résister au diable, et il fuira loin de nous. Eh bien, résister, c’est simplement le repousser; lui résister, c’est vous éloigner de lui. Si Dieu vous a dit une certaine chose, peu importe ce que le diable essaie de vous dire, ne l’écoutez même pas. Vous avez... Vos oreilles sont sourdes à tout, sauf à ce que l’Esprit dit. Voyez-vous? «Que celui qui a des oreilles (qui écoutent) entende ce que l’Esprit dit aux églises.» Celui qui possède un poste d’écoute, qui capte ce que l’Esprit dit aux Eglises. Voyez-vous?
116 Ce que Satan dit: «Bien, je ne peux pas...», cela n’a rien à voir... «Eh bien, si vous enseignez cela, la dénomination vous mettra...» Cela n’a rien à voir, il continue à avancer malgré tout.
117 «Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Eglises!» Vous savez qu’il est constamment dit cela dans la Bible. «Que celui qui a la foi... Que celui qui a des oreilles pour entendre entende.» Voyez-vous? «Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête.» Toutes ces différentes choses. «Que celui qui a, le dise aux autres, afin qu’ils puissent avoir.»
118 Et c’est de la foi que nous parlons maintenant, la foi que vous devez avoir, cette Foi parfaite. Cette foi qui dit: «Oui!» Il n’y a rien qui puisse dire: «Non», lorsque Dieu dit: «Oui.» Voyez-vous? Quand Il dit: «Oui», c’est «Oui»! Et rien d’autre ne peut vous l’enlever.
119 Avec Sa Foi parfaite, Il était très étrange. Et le diable ne resta pas autour de Lui très longtemps. Nous avons eu cela dans la leçon, ce matin. Lorsqu’il vint en bluffant avec cette grande conception intellectuelle, pour narguer Jésus, il s’est rendu compte qu’il avait touché un fil de courant de dix mille volts, et cela le jeta de nouveau en arrière. Oui, monsieur. Et Il dit: «Il est écrit, l’homme ne vivra pas de pain seulement.» Il reçut alors un choc. Il revint un peu plus doucement, la fois suivante, lorsqu’il dit: «Eh bien, Tu es un grand homme, Tu peux Te hisser ici en haut, et être quelqu’un.»
120 Il dit: «Arrière de Moi, Satan.» Oh! la la! il en a eu pour son compte! Et Il dit: «Tu ne tenteras point le Seigneur, ton Dieu.» Voyez-vous? Il prouva à Satan qu’Il était le Seigneur Dieu. «Car il est écrit, tu ne tenteras point...»
121 Or, si–si Satan n’avait pas reconnu que c’était le Seigneur Dieu, il aurait dit: «Attends une minute, Tu n’es pas cette Personne.» Mais il était avisé pour ne pas engager une discussion avec Jésus là-dessus.
122 Il savait où se tenir. Jésus dit: «Tu ne tenteras point le Seigneur, ton Dieu.» Et c’est ce qu’Il était. Et Satan était avisé pour ne pas dire cela, car les oeuvres de Jésus avaient déjà prouvé qu’Il était «le Seigneur, ton Dieu.»
123 Remarquez. Remarquez maintenant: la Foi parfaite a la maîtrise de toutes les circonstances. La Foi parfaite maîtrise toutes les circonstances. Peu importe ce que c’est, elle le maîtrise. Maintenant, observez. Quand vous croyez quelque chose, ou que vous faites quelque chose, et que vous avez foi en ce que vous faites, peu importe les circonstances, elles n’ont rien à voir avec cela. Voyez-vous, elle maîtrise ces circonstances. Si c’est dans une–une chambre de malade et que le Seigneur ait révélé que cette certaine chose va arriver, vous déclarez la chose et vous allez de l’avant.
124 «Oh! est-ce que...?» Ne posez pas de questions. C’est déjà fini, allez de l’avant. Voyez-vous? Elle maîtrise toutes les circonstances. «Eh bien, si vous faites ceci... Untel va faire...» Cela... Voyez-vous, elle a déjà maîtrisé cela. Voyez-vous?
125 La foi croit que Dieu mènera cela à bien. «Je ne sais pas comment Il le fera, mais Il le fera de toute façon.» Voyez-vous? Elle maîtrise toutes les circonstances.
126 La Foi et l’Amour sont parents, car vous ne pouvez pas avoir la Foi, à moins que vous ayez l’Amour, parce que votre Foi est dans un Dieu qui est l’essence même de l’Amour. La Foi et l’Amour travaillent ensemble.
127 Tenez, c’est comme pour un jeune couple. Vous prenez un jeune homme et une jeune fille qui s’aiment... qui tombent amoureux l’un de l’autre. Alors qu’ils vont de l’avant et qu’ils commencent à mieux se connaître, leurs coeurs commencent à battre à l’unisson. Voyez-vous? Ils sont–ils sont... Pourtant, ils ne sont pas encore mari et femme, mais leur amour les lie et ils ont confiance l’un dans l’autre. Maintenant, s’ils s’aiment vraiment, ils s’aiment vraiment... et si vous savez que cette fille vous aime, et–et si elle sait que vous l’aimez, vous avez confiance, vous avez foi l’un dans l’autre, si vous avez foi l’un dans l’autre. Si ce n’est pas le cas, vous feriez mieux de ne pas vous marier. Voyez-vous?
128 Remarquez, vous devez avoir foi. Et si vous les séparez et que vous mettiez l’un à l’extrême sud et l’autre à l’extrême nord, ils auront toujours cet amour l’un pour l’autre, où qu’ils se trouvent. Ils sont aussi fidèles que possible l’un à l’autre, parce qu’ils s’aiment. Et si vous aimez le Seigneur, pas juste pour échapper à l’enfer, mais vous aimez le Seigneur, alors vous avez foi en Dieu; voyez-vous, si vous L’aimez.
129 C’est comme une–une demoiselle... ce qui est arrivé ici à Louisville, il n’y a pas longtemps. Une jeune femme qui était–qui était... chrétienne depuis de nombreuses années mais son mari venait de... tomba amoureuse, elle tomba amoureuse d’un homme qui, lui, était chrétien depuis environ deux ans. Et, ainsi, ils se marièrent; ils s’aimaient et avaient confiance l’un dans l’autre, et ils se marièrent. Et la femme dit donc à son mari: «Chéri, cela doit être difficile pour toi, car tu n’es qu’un jeune chrétien, et tu as dû passer par tant de choses...» (car il buvait). Elle dit: «Tu as dû passer par tant de choses, et je sais, dit-elle, que tu dois être terriblement tenté.» Elle dit: «Je désire maintenant que tu saches une chose: Si tu tombes, si tu as une tentation et que tu y succombes, ne reste pas loin de la maison, mais reviens. Reviens directement ici, parce que je–je serai ici même à t’attendre, et je t’aiderai à prier jusqu’à ce que tu aies la victoire. Je resterai avec toi, parce que lorsque je t’ai épousé, je l’ai fait sur base de l’amour que j’ai pour toi. Et peu importe ce que tu es, je t’aimerai toujours.»
130 Quelques jours après cela, alors qu’il mangeait son dîner avec d’autres hommes dans la chaufferie, il leur parla de cela et leur dit: «Eh bien, comment un homme pourrait-il faire une seule fois quelque chose de mal, quand il y a quelqu’un qui vous aime comme cela?» Voyez-vous?
131 Voilà. Comment–comment pourriez-vous abuser de cette confiance?
132 Et lorsque nous étions des pécheurs et que nous étions éloignés sans Dieu, dans le monde, dans la saleté et dans la boue, comme j’en ai parlé ce matin, Dieu est venu à nous. Dieu vous a cherché. Vous n’avez jamais cherché Dieu. «Nul ne peut venir à Moi, si le Père ne l’attire premièrement.» Et Dieu est venu dans la saleté où vous étiez, vous y a cherché et vous en a fait sortir. Cela devrait créer un amour parfait. Regardez ce que vous étiez, et regardez ce que vous êtes. Qui a fait cela? Quelqu’un qui vous aimait. Ne pouvez-vous pas alors avoir foi dans ce qu’Il vous a promis? Un réel et véritable amour créera en vous la confiance dans Sa Parole.
133 Il m’a pris, alors que je n’étais rien. Et je ne suis toujours rien, mais je suis dans Sa main. Voyez-vous, Il m’a pris. Et Il m’a aimé quand je n’étais pas aimable. Il vous a aimé quand vous n’étiez pas aimable, mais Il vous a transformé. C’est comme le disait la soeur de couleur, cette fois-là, dans son témoignage, elle dit: «Je ne suis pas ce que je devrais être, et je ne suis pas ce que je voudrais être, mais je ne suis pas ce que j’étais.» Elle savait qu’elle avait fait du chemin et que quelque chose était arrivé. Et c’est ainsi. Si Dieu, quand j’étais séparé de Lui, m’aima à tel point qu’Il se baissa pour me ramasser, cela me donne confiance dans le fait qu’Il désire m’utiliser. Il a un but en faisant cela. Il a vu quelque chose en moi. Il a vu quelque chose en vous. Il avait une raison de vous sauver; regardez les gens qui ne sont pas sauvés aujourd’hui. Regardez les millions qu’Il aurait pu prendre à votre place, mais Il vous a pris, vous. Amen! Personne ne peut prendre votre place. Amen! Vous êtes dans l’économie de Dieu. Personne ne peut le faire. C’est Son amour envers vous.
134 Alors, votre amour ne va-t-il pas s’élever à son tour vers Lui? C’est là une affaire d’amour. Peu importe la situation, les circonstances sont sous le contrôle de cet Amour qui crée la Foi. Quand Dieu vous aime et que vous aimez Dieu, et que vous vous aimez l’un l’autre, cela apporte la foi. Très bien. Alors, rien ne peut–ne peut empêcher que cela produise exactement ce que Dieu a promis que cela produirait.
135 Maintenant, regardez. La Foi parfaite est pure, aussi pure que l’Amour. Voyez-vous? Lorsque vous aimez quelqu’un, et que vous avez de l’amour pour votre mari ou pour votre femme, eh bien, il n’est pas nécessaire que quelqu’un vienne vous dire que vous ne le faites pas, parce que vous le faites, et vous le savez.
136 Maintenant, si je vous demandais: «Comment pouvez-vous prouver que vous le faites?»
137 «Oh! je le prouve par la manière dont je vis vis-à-vis de lui.» (Voyez-vous?) «Je suis une épouse fidèle et honnête.» «Je suis un mari loyal et honnête, et cela prouve que j’aime–que j’aime ma femme», ou «que j’aime mon mari.» Voyez-vous, votre vie prouve ce que vous êtes. C’est pareil, pour le christianisme. Voyez-vous? Votre foi. Vous avez confiance l’un dans l’autre, cela est pur. Et c’est quelque chose de réel, que vous ne pouvez pas montrer à quelqu’un d’autre. Pourtant, vous l’avez, et vos actes le prouvent.
138 Et quand vous avez une foi pure et sans mélange, pareille à l’amour que vous avez pour votre compagnon, alors vous le prouvez par la façon dont vous agissez. Vous ne vous plaignez plus, car vous savez que c’est accompli, et vous allez simplement de l’avant. Peu importe à quoi ressemblent les choses, ou ce que quiconque dit, vous savez ce qui est arrivé. Vous savez que c’est fini; tout autant que vous savez que vous aimez votre mari, tout autant que vous savez que vous aimez... Voyez-vous, l’amour et la foi doivent aller ensemble. Ils sont parents, ils s’aiment. L’Amour produit la Foi.
139 Lorsque Satan nous tente, nous devons lui résister avec une Foi parfaite dans une Parole parfaite, comme le fit Jésus. La Parole de Dieu est parfaite. Nous devons avoir une Foi parfaite dans cette Parole parfaite et résister à Satan.
140 Maintenant, nous allons nous dépêcher et aller aussi vite que possible.
141 Par Sa foi dans–dans Sa Parole, nous (Il est vainqueur), nous pouvons tout vaincre: à la fois la mort, l’enfer et la tombe. Nous savons que Dieu est Dieu et que, par une Foi parfaite dans une Parole de Dieu parfaite, Il vainquit tout ce qui était en face de Lui. La mort ne pouvait même pas tenir en Sa Présence. La maladie ne pouvait pas tenir en Sa Présence. Il coulait de Lui comme des rivières de vertu, qui coulaient constamment. La vertu sortait de Son vêtement. Ces gens se couchaient à Son ombre et s’avançaient pour toucher de leur doigt Son vêtement, et ils étaient guéris. Après que cette femme eut fait cela, tout le monde voulait alors toucher Son vêtement, parce qu’ils avaient vu que, de Lui sortait constamment de la vertu qui coulait comme des rivières. Il était là, marchant, marchant dans un monde avec la Foi parfaite, parce qu’Il était la Parole.
142 Et maintenant: «Si vous demeurez en Moi (au travers de Lui, Il vous apporta la Parole), et que Mes Paroles demeurent en vous», alors marchez de la même manière, des vertus coulant de vous, les rivières des fontaines de bénédiction de Dieu, se déversant sur les gens. Voyez-vous ce que je veux dire? Vous ne le simulez pas, vous ne l’imaginez pas. Cela arrive effectivement, et vous le voyez. Si vous ne faites que l’imaginer, cela ne fait aucun bien; mais, si c’est réellement là, cela arrive effectivement.
143 Maintenant, observez. Vous voyez, par elle, alors qu’Il se tenait là, Il a dit: «Si vous détruisez ce corps (ce temple), en trois jours Je le relèverai.» Pourquoi? Il en était convaincu, parce que les Ecritures avaient dit qu’Il le ferait (le Messie): «Je ne livrerai pas Son âme au séjour des morts, ni ne permettrai que Mon Bien-aimé voie la corruption.» Un prophète (celui à qui vient la Parole) avait dit que cela arriverait, et Il savait qu’Il était cette Personne.
144 Et lorsque le... Jésus Lui-même a dit: «La prière de la foi sauvera le malade», ou «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris», vous devez avoir la même confiance parfaite, disant: «Lorsqu’on m’imposera les mains, je serai guéri»; parce que c’est ce qu’Il a dit.
145 Il a dit: «Si vous détruisez ce corps, Je le relèverai», parce qu’Il savait qu’Il était le Messie. «Je ne permettrai pas que Mon Bien-aimé voie la corruption.» Il savait qu’Il était le Bien-aimé. «Je ne livrerai pas son âme au séjour des morts»; Il ne l’a pas fait. Il savait qu’Il le ferait. Il avait confiance qu’Il était là pour vaincre à la fois la mort et le séjour des morts, car Il dit: «Détruisez-le, si vous le désirez, et en trois jours, Je le relèverai.» Oh! la la! «J’ai le pouvoir de donner Ma Vie, et j’ai le pouvoir de La reprendre»; Il savait qui Il était.
146 Vous êtes un chrétien. Vous avez droit à n’importe quelle bénédiction rédemptrice pour laquelle Jésus mourut. Tout cela vous appartient. Le prix en a déjà été payé, vous n’avez qu’à le croire. Pas à l’imaginer, mais à le croire, et vous devez savoir que cela vous appartient et que vous pouvez le posséder. Oh! c’est ça, la Foi victorieuse, savoir cela! Oui.
147 Il savait à l’avance que cela arriverait. Il pouvait prédire que cela arriverait, parce qu’Il savait que cela arriverait; et tout ce qu’Il prédisait arrivait. Maintenant, regardez. Tout ce qu’Il disait, Dieu l’honorait. Pensez-y! Tout ce que Jésus disait, Dieu accomplissait cela. Ainsi, Il savait que Ses Paroles étaient les Paroles de Dieu. Maintenant, regardez. Ce même passage de l’Ecriture nous revient encore: «Si vous dites à cette montagne...» Oh! la la! je–je le laisse pénétrer un peu, vous voyez, parce que nous allons avoir une ligne de prière. Nous congédierons l’assemblée, ceux qui veulent–qui doivent partir, et nous prierons pour les malades.
148 Regardez. Il savait qu’Il plaisait à Dieu. Il savait qu’il n’y avait rien de répréhensible dans Sa vie. Dieu avait déjà témoigné de cela: «Celui-ci est Mon Fils Bien-aimé, en qui J’ai trouvé Mon plaisir: écoutez-Le!» «Celui-ci est Mon Fils Bien-aimé, en qui J’ai trouvé Mon plaisir de demeurer», dit-Il, le jour de Son baptême. «J’ai trouvé Mon plaisir à faire Ma demeure en Lui, et rien ne peut Le condamner.»
149 Maintenant, quand le même Dieu vient à vous et qu’Il trouve Son plaisir de demeurer en vous, et trouve Son plaisir à honorer votre parole, votre décision... Quelle fut la décision de Josué? «Soleil, arrête-toi!» Et il s’arrêta. Amen! Certainement! Quelle fut la décision de Moïse? Il leva son bâton sur la–un fleuve comme cela, et lui ordonna alors de s’ouvrir. Et il s’ouvrit! Voyez-vous, quoi que vous demandiez. «Et si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là’, et si vous ne doutez pas (voyez-vous?) dans votre coeur, mais croyez que ce que vous dites arrivera, vous le verrez s’accomplir.» Cela vous remet dans la Parole. Maintenant, cela n’est pas du lait écrémé. Voyez-vous? Cela vous y remet. Je sais que cela va peut-être passer par-dessus vos têtes, voyez-vous, parce que cela ne peut s’ancrer; mais une réelle et véritable foi saisit cela en ce moment même.
150 Je l’ai vu, mes amis. Voici cette Bible qui est ouverte devant moi. Je l’ai vu arriver et je sais que c’est la Vérité. Je sais (Dieu, dans le Ciel, le sait) qu’il se peut que je ne vive pas assez longtemps pour pouvoir finir ce Message, mais je–je sais que cela est arrivé. Je l’ai vu moi-même. Je suis un témoin de l’accomplissement de cette Parole, que je sais être la Vérité: Vous le dites, puis vous restez là et vous voyez le Créateur créer un être vivant, juste devant vos yeux; vous secouez la tête et vous vous posez des questions. Et ensuite, vous regardez autour de vous, et vous Le voyez en créer un autre, exactement pareil, parce que vous l’avez dit. Et vous venez par ici et vous dites: «Il y en aura un autre là», et vous regardez, et le voilà! Maintenant, ceci est la Vérité.
151 Oh! où devrions-nous être? Voilà la Foi parfaite. Pas de vision, juste prononcer la Parole; sans avoir vu du tout l’écureuil. Il a simplement cité ce certain passage de l’Ecriture et ce qu’il était, et dit: «Dis-le, et ne doute pas, et ce que tu as dit sera là.» Et j’ai pris Dieu à Sa Parole, et la chose était là. C’est vrai. C’est aussi puissant... Et, mes amis, en tant que votre pasteur, c’est aussi puissant que lorsque Josué arrêta le soleil; parce que le soleil était déjà là, les éléments se déplaçaient, et il arrêta leur mouvement. Mais ici, Il a amené là quelque chose qui n’était pas là, Il a créé! Je suis si content de connaître le Dieu qui peut un jour prendre la poussière de la terre et, sans qu’il n’y ait rien, me rappeler de nouveau à la vie, par cette même foi, après que j’aurai été enterré dans la tombe. Oh! la la! C’est cela:
Ma foi regarde à Toi,
Toi, Agneau du Calvaire,...
152 Si vous le dites et si vous ne doutez pas, mais croyez que ce que vous dites arrive, vous le verrez s’accomplir. Voyez-vous, croyez que cela arrivera.
153 David, dans les Psaumes, parla de Lui. Et avec cette foi, Il utilisa Sa puissance pour s’occuper des autres. Il ne la garda pas seulement pour Lui-même, mais, avec elle, Il s’occupa des autres. Il fit aussi l’impossible pour sauver les autres, et Il peut faire la même chose maintenant. Il a promis la même foi aux croyants, dans Sa Parole, et Jean... comme Il l’a dit dans Jean 14.12, Marc 16, et aussi dans Marc 11.23, que nous venons de lire.
154 Maintenant, regardez. Il nous est apparu sous la même forme qu’Il était apparu aux autres dans l’Ancien Testament et dans le Nouveau Testament; et Il a fait connaître le même Christ par la même Parole. Et je vous déclare que Christ est le Saint-Esprit. Le–le mot Christ signifie «l’Oint»; une personne qui est ointe. C’est cela le Christ, l’Oint. Combien savent que c’est vrai? C’est l’interpré-... L’Oint. Il est dit qu’il y aurait un Homme qui serait oint, oint de quoi? La Bible dit, dans Actes 2, que Jésus de Nazareth, cet Homme à qui Dieu rendit témoignage et qu’Il oignit du Saint-Esprit, se mit au travail et fit de grandes oeuvres, voyez-vous, et Dieu manifesta et prouva qu’Il était dans cet Homme.
155 Et maintenant, nous devenons, en étant oints par ce même Esprit, des messiets oints, des messiets des derniers jours, pour faire briller la résurrection de Jésus-Christ, et montrer qu’Il n’est pas mort, mais qu’Il est dans Son peuple, sous la forme du Saint-Esprit, et qu’Il agit au milieu de Son Epouse. Il est épris d’Elle, et Il se déverse en Elle. Ils deviennent Un pour le Souper des Noces; et les mêmes signes promis par le même Dieu, dans la même Parole, produisent les mêmes manifestations que Lui.
156 Il ne nous reste plus rien d’autre à faire que de croire cela, et «croire cela» est la substance, et cela crée une Foi parfaite. Pensez combien–combien nous sommes engourdis; pensez à cela une minute.
157 Voyons maintenant: A-t-Il bien fait toutes choses? Nous a-t-Il déjà dit quelque chose qui ne soit pas arrivé exactement tel qu’Il l’avait annoncé? N’a-t-Il pas accompli et fait exactement ce qu’Il avait promis de faire, et la grande Colonne de Feu n’a-t-Elle pas été parmi nous? Ne L’avons-nous pas vue? La science ne L’a-t-elle pas photographiée, après qu’il eut été prédit ce qui arriverait? Allant là-bas, et même les journaux et les revues en ont parlé et ont montré cela, alors que ces choses avaient été annoncées des mois avant qu’elles n’arrivent. N’a-t-Il pas opéré exactement de la même façon qu’Il avait fait dans l’Ancien et dans le Nouveau Testament? Et c’est exactement le Même! Le même Saint-Esprit vient et discerne; et la Parole de Dieu est vivante et plus pénétrante qu’une épée à deux tranchants, et Elle discerne les pensées et les intentions du coeur. N’est-ce pas vrai? Cela n’est-il pas le même Dieu? Et ce même Dieu n’est pas un étranger se trouvant dans un autre endroit: Il est ici. Il est ici et Il fait ceci pour créer une Foi parfaite. Je Le sens. Je sais qu’Il est ici maintenant. Je sais que Son Esprit est ici. Je sais qu’Il sait toutes choses. Amen! Et je sais qu’Il veut faire quelque chose. Il est en train de faire quelque chose, afin de–afin de créer cette Foi parfaite dans les gens.
158 Allons-nous entrer dans l’Eternité avec huit âmes sauvées, comme ce fut le cas aux jours de Noé? Allons-nous être trois, comme Lot, lorsqu’il sortit de Sodome? Allons-nous être six croyants, comme aux jours de Jean-Baptiste? Croyons, car Ses oeuvres sont parfaites. Elles sont manifestées chaque jour parfaitement devant nous, nous montrant qu’Il est la Parole, la Parole. Hébreux chapitre 4 dit:
...la parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants... et elle discerne même les pensées et les intentions du coeur.
159 Pensez à cela! La Parole de Dieu est cela: Elle discerne les intentions du coeur. «Car la Parole de Dieu est vivante et efficace et plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu’à partager âme et esprit, jointures et moelles; et Elle discerne les sentiments et les pensées du coeur.» La Parole faite chair. Alléluia! La Parole opérant dans la chair humaine par des signes physiques, par des signes matériels, par des signes scripturaires, parfaitement, pour vous amener à une Foi parfaite pour un Enlèvement parfait.
160 Pourquoi ne pouvons-nous pas regarder à Cela? Ce n’est pas un mystique. Le diable a mis toutes les choses du monde devant vous pour essayer de vous empêcher–de vous faire... de vous empêcher de croire cela. Il interviendra dans une réunion et il essayera de jeter tout ce qu’il peut devant vous. Débarrassez-vous-en. La Bible dit: «Levez-vous et secouez-vous!» Pincez-vous.
161 Son Esprit est ici, Il vous connaît. Vous avez une chose à faire, c’est de croire cela, d’accepter cela. Il connaît. Le croyez-vous? Il sait ce qu’il y a en vous, Il sait ce que vous êtes, Il sait ce que vous désirez, Il sait de quoi vous avez besoin.
162 Jim, crois-tu qu’Il sait ce qu’a ce bébé? Vous avez pris sa température avant de partir, et il avait quarante. Croyez-vous qu’Il le guérira? C’est venu sur lui aujourd’hui, il est tombé malade. Cela le quittera. Je viens de regarder par ici et j’ai vu ce qu’ils ont fait avant de quitter la maison. Eh bien, c’est vrai.
163 Madame Little, croyez-vous que Dieu vous donnera la victoire sur ce diabète? Il y a une dame qui est assise à côté de vous (je ne vous connais pas), mais l’Esprit est sur elle. Ce qui la préoccupe, c’est un petit... elle a un enfant qui doit être opéré d’un oeil ou de quelque chose. Elle est de Chicago. «Vivante, plus efficace qu’une épée à deux tranchants; et Elle discerne.» Qu’est-ce? La Parole! Croyez-vous cela? Certainement.
164 Il y a une dame qui est assise juste là dans la rangée suivante; vous venez d’être opérée de l’oeil, et cela n’a pas trop bien réussi. Mais, si vous–vous le croyez, cela ira... vous irez bien. Le croyez-vous? Très bien. Elle–elle pense à cela.
165 Madame Peckenpough, ce n’est pas pour vous, c’est pour ce petit-fils qui est assis ici. Vous priez pour lui, mais croyez-vous que Dieu le guérira? Vous croyez que Dieu peut me dire ce qui ne va pas chez lui? Les docteurs ne le savent pas. Non, c’est vrai. Ses poumons sont enflés. C’est vrai. Il a une maladie du sang. C’est correct. Ils sont un peu troublés ne sachant pas s’il faut le laisser aller à l’école ou non. «Vivante, plus efficace qu’une épée à deux tranchants.»
166 Je vois une femme qui vomit sa nourriture. Elle est quelque part, laissez-moi repérer son visage. Oui, elle est assise là. Son nom est madame LewEllen. Si vous croyez de tout votre coeur, ce trouble de l’estomac vous quittera. Amen!
167 Voici une dame qui est assise à la même hauteur qu’elle, et qui me regarde en ce moment, elle est assise au bout de la rangée, elle porte des lunettes. Elle souffre de l’arthrite. Celle-ci est à votre main gauche; elle y était; maintenant, elle n’y est plus. Oui, si vous croyez!
168 Qu’en est-il de ce bébé juste là derrière? Il vient de l’Ohio; il a un cancer à l’oeil. Croyez-vous que Dieu le guérira? Il le fera, si vous le croyez. Ashland, Ohio! Croyez-vous maintenant que Dieu le guérira? Il le fera. Qu’est-ce? «Plus efficace, plus vivante, qu’une... quelconque.»
169 La dame qui est ici, quelque chose l’a frappée. Elle souffre de l’épaule. C’est vrai. Est-ce vrai? Très bien, croyez et cela vous quittera. Voyez-vous? «La Parole de Dieu discerne les sentiments et les pensées du coeur.»
170 Maintenant, il n’y a pas de cartes de prière dans ce bâtiment. Personne pour prier–n’a distribué de cartes de prière. Nous ne les utilisons pas ici, c’est simplement pour garder l’ordre. Voulez-vous que l’on prie pour vous? Combien désirent que l’on prie pour eux pendant que la Parole est manifestée dans la chair? Que cette rangée ici se lève et s’avance de ce côté, que cette partie vienne premièrement ici, ceux qui désirent que l’on prie pour eux. Ensuite, après cela, je désire que cette partie ici vienne derrière eux. Ensuite, quand ils seront passés, que cette partie ici vienne.
171 «Plus vivante, plus efficace...» Une épée à deux tranchants pourrait-elle faire cela? Non, monsieur. Mais la Parole de Dieu peut le faire. Pourquoi? Parce que c’est la Parole de Dieu. Maintenant, le croyez-vous?
172 Le Grand Médecin. Où est cette soeur qui vient du Tennessee, Soeur Ungren ou plutôt Downing? Le Grand Médecin est proche maintenant.
173 Je n’oublierai jamais ce qui arriva à Fort Wayne ce soir-là, lorsque cette jeune fille Amish ou Dunkard, qui était assise là, jouait Le Grand Médecin est ici maintenant. Quand elle entendit que ce petit garçon était guéri, elle fit un saut; le Saint-Esprit tomba sur elle, sa jolie chevelure glissa sur ses épaules, et le piano continua sans manquer une seule note. Le Grand Médecin est proche maintenant, le Compatissant Jésus. Une puissance surnaturelle faisait bouger les touches du piano et cela jouait: Le Grand Médecin est proche maintenant.
174 Regardez, est-ce que... Croyez-vous? Il vous faut croire. Voyez-vous? Maintenant, souvenez-vous, lorsque vous passez... Eh bien, si vous ne le croyez pas, ne venez pas; restez assis. Dites: «Je ne vais pas... Je ne vais pas m’y engager sans conviction. Je viens en le croyant.» Quand je...
175 La Bible dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» C’est exactement cela. Eh bien, c’est à une certaine condition: «Si vous croyez cela.» Maintenant, moi, je le crois. Dieu vous a prouvé que je croyais cela. Voyez-vous? Il manifeste Sa Parole pour montrer que c’est Sa Parole. C’est l’accomplissement de l’Ecriture pour le démontrer. Maintenant, croyez cela, quand vous passerez ici. Voulez-vous le faire? Et, alors que je vous impose les mains... C’est exactement ce que la Bible a dit.
176 As-tu ici l’huile pour l’onction, Frère Neville? Prends-la et viens de l’autre côté; accomplissons l’Ecriture. Viens de ce côté et oins chaque personne, alors qu’elle passe, et nous prierons pour elle. Maintenant, afin que je sois sûr que j’ai la prière de la foi pour chacun de vous, que tous ceux qui sont des croyants posent leurs mains les uns sur les autres. Etendez vos bras et croisez vos mains les uns sur les autres. C’est là que nous allons découvrir quelque chose, dans quelques minutes.
177 Je verrai ainsi combien mon église est avancée dans ce que nous croyons. Je désire voir combien les gens sont avancés, combien ils sont prêts à prendre l’Epée pour monter au front et dire: «Je te défie, Satan. (Vous voyez?) Je te défie! Tu ne peux–tu ne peux plus me faire douter.» Pourquoi ces choses sont-elles faites? Pour que les gens croient. C’est la Parole. C’est cela qui vous montre que je vous prêche la Vérité, la Parole. La Parole faite chair, faite chair en vous; devenue Parole, devenue Vie en vous, devenue Vie en moi. Voyez-vous? Le Grand Médecin. Très bien, inclinons nos têtes maintenant.
178 Seigneur Jésus, le Grand Médecin est proche maintenant, Tu es le Médecin. J’ai prêché Ta Parole, et Ta Parole a déclaré que Tu étais ici, que Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement, et que Tu ne peux faillir. Tu ne nous as jamais déçus, Seigneur. Et maintenant, puissent les bénédictions de Dieu reposer sur chacun de ceux qui ont leurs mains les uns sur les autres. Et alors que nous venons (ce sont des croyants) et que nous les oignons d’huile, le pasteur et moi, et que nous les faisons passer par cette ligne, puissent-ils tous passer par ici avec la foi pour croire cela, et savoir que le Dieu du Ciel, Lui-même, est présent. Puisse chacun se secouer. Puissent-ils le faire cette fois au moins, Seigneur. Accorde qu’ils... Fais que cela pénètre, Seigneur, une fois. Ouvre leurs yeux, Seigneur, afin qu’ils puissent voir ce qui se passe, et afin qu’ils ne soient pas comme des aveugles qui chancellent, mais qu’ils voient la réalité de la Présence d’un Jésus-Christ ressuscité. Accorde-le, Seigneur, au Nom de Jésus. Amen.
179 Je vous recommande, au Nom de Jésus-Christ, de ne pas venir dans cette ligne de prière, à moins de sentir que vous avez cette Foi parfaite, parce que vous ne feriez que prendre les minutes de quelqu’un d’autre. Ne faites pas cela. Pendant tout le temps que je vous ai prêché, vous ai-je déjà dit quelque chose qui ne soit pas arrivé? Exactement. Le Seigneur a fait cela. Il ne l’a pas fait pour moi, car moi je crois. Il l’a fait pour vous, afin que vous puissiez croire que ce que je vous dis est la Vérité. Maintenant, croyez-le, ça ira bien et cela... vous guérirez. En venant ici, déposez votre incrédulité juste dans cette... une boîte spirituelle, là en bas. Vous ne la verrez pas, mais elle est là. Quand cette huile vous touchera, déposez votre incrédulité à cet endroit. Déposez-la et partez avec cette Foi parfaite que vous êtes guéris. Voulez-vous le faire? Alors, que le Seigneur vous bénisse.
180 Très bien, je vais demander à quelqu’un qui peut diriger les chants de... Où est ce grand prédicateur, frère, ce...? Quel est son nom? Capps, frère Capps. Est-il dans la ligne? Qu’y a-t-il? Venez ici, Frère Capps, et mettez-vous là et chantez (avec l’assemblée) pendant que nous prions tous: Le Grand Médecin est proche maintenant.
181 Et pendant qu’il conduit cela, que chacun de vous chante avec son coeur. Ne chantez pas comme cela, en disant: «Je vais chanter: Le Grand–Médecin–est proche–maintenant–le Compatissant–Jésus–Il réconforte–le coeur abattu–le Compatissant–Jésus.» [Frère Branham illustre une façon de chanter sans entrain.] Oh! oh! oh! la la!
182 Je vais l’entendre maintenant. Avec vivacité! Soyez éveillés. «Oui, le Grand Médecin est ici maintenant, le Compatissant Jésus.» Il prouve qu’Il est ici. Je crois en Lui. Amen.
183 Très bien, que... que ceux qui ont la foi s’avancent.
184 Au Nom de Jésus-Christ, je lui impose les mains pour sa guérison. Au Nom de Jésus-Christ, je condamne cette maladie.
185 Au Nom de Jésus-Christ, j’impose les mains à mon frère pour la guérison.
186 Au Nom de Jésus-Christ, j’impose les mains à ma soeur pour sa guérison [Frère Branham continue à prier pour les malades.–N.D.E.]
187 Au Nom de Jésus-Christ, j’impose les mains à mon frère pour sa guérison. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
188 Au Nom de Jésus-Christ, j’impose les mains à mon frère pour sa guérison. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
189 Au Nom de Jésus-Christ, guéris mon frère ici présent. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
190 Au Nom de Jésus, guéris mon frère. Puisse-t-il être rétabli. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
191 Au Nom de Jésus, guéris cet enfant. Ô Dieu, accorde-le. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
192 Au Nom de Jésus, guéris ma soeur ici présente. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
193 Au Nom de Jésus-Christ, guéris mon frère ici présent, Seigneur. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
194 Guéris mon frère au Nom de Jésus. [Satan], quitte-le! [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
195 Au Nom de Jésus-Christ, guéris cette soeur. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
196 Au Nom de Jésus-Christ, guéris cette soeur, Seigneur. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
197 Guéris l’enfant, Seigneur, au Nom de Jésus. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
198 Déposez votre incrédulité maintenant. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
199 Laissez tomber maintenant votre incrédulité dans la boîte. Alors que vous passez par ici, prenez la Foi parfaite. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
200 Que Dieu vous bénisse, frère. Au Nom de Jésus, guéris frère Cox, Seigneur. Que Dieu soit loué! [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
201 Maintenant, rappelez-vous, je mets en ceci toute la foi que j’ai, au mieux de ma connaissance, pour un but. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
202 Ô Dieu, j’impose les mains à ce bébé. Puisse-t-il donc être guéri, au Nom de Jésus. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
203 La petite fille? Je Te les présente. Au Nom de Jésus-Christ, guéris-les, Seigneur, pour Ta gloire. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
204 Au Nom de Jésus-Christ, je prie pour sa guérison. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
205 Au Nom de Jésus-Christ, guéris mon frère, l’enfant. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
206 Guéris ma soeur. Bénis-les, Seigneur, pour leur... au Nom de Jésus. [Frère Branham continue à prier pour les malades.]
207 Déposez votre incrédulité. Venez maintenant en croyant. Dieu l’accordera. Venez en croyant cela, et Dieu l’accordera. Je le crois. J’utilise toute la foi que j’ai, selon ma connaissance. «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Au Nom de Jésus, guéris mon frère. Au Nom de Jésus, guéris ma soeur.
208 Comment vous trouvez ce tableau, Frère Neville? Frère Dauch, un trophée de la grâce de Dieu. Voici l’homme qui était censé être mort il y a une ou deux semaines!
209 Au Nom de Jésus-Christ, ô Dieu, Tu dois l’aimer, Père, car Tu as fait de grandes choses pour lui. Je lui impose les mains au Nom de Jésus-Christ.
210 Seigneur Dieu, j’impose les mains à sa précieuse épouse au Nom de Jésus-Christ, pour sa guérison. Amen. Sont-ils passés tous?
211 Maintenant, inclinons nos têtes:
Le Grand Médecin est proche maintenant,
Le Compatissant Jésus;
Il réconforte le coeur abattu,
Oh! écoutez la voix de Jésus.
La plus douce note du chant d’un séraphin,
Le plus doux nom sur la langue d’un mortel;
Le plus doux chant jamais chanté
Jésus, Jésus béni.
212 Savez-vous ce que je vous ai fait? Vous m’appelez votre «pasteur», et vous dites bien, car je le suis. Si moi, en tant que votre pasteur, j’ai été identifié par Jésus-Christ comme faisant Son oeuvre, alors croyez ma parole. En faisant cet acte de foi et en vous imposant les mains, j’ai condamné la maladie et les afflictions qui vous tourmentent. Croyez-le, ainsi vous recevrez la réponse. Peu importe ce que c’est, car toutes choses sont possibles à ceux qui croient. Et quand vous priez, croyez que vous recevez ce que vous avez demandé. Et je crois vraiment que je le reçois, et dans mon coeur, j’accepte chacune de vos guérisons; j’accepte que c’est accompli. Je le crois, je le crois avec tout ce qui est en moi. J’ai aussi posé mes mains sur ces mouchoirs qui sont là, j’ai surveillé cela de près, je crois qu’ils produiront exactement ce que les gens ont demandé. Je–je le crois.
213 Ceci entre dans ce troisième Pull. Je–je le crois. Maintenant, je désire vous poser une question sincère, à vous qui êtes passés dans la ligne de prière. Pouvez-vous réellement croire et sentir maintenant que quelque chose s’est passé en vous, depuis que l’on vous a imposé les mains? Levez la main. Levez-les. Les voilà. C’est ceci que nous attendions. Eh bien, ce n’est pas... Cela commence juste à s’épanouir maintenant. Voyez-vous? Cela vient de commencer avec... J’ai fait ceci dans un but précis. J’ai fait ceci dans un but précis. Je suis en train de préparer quelque chose, vous voyez, en prenant cette charge de foi et en retournant pour commencer et entrer... Vous voyez, afin d’élever en quelque sorte la foi dans un cadre que vous n’avez jamais remarqué auparavant. Pas une foi quelconque, mais une Foi parfaite édifiée ici au-dedans. Et observez un Dieu parfait, avec un coeur parfait, tenir une promesse parfaite, par Sa Parole parfaite, qui est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants et qui discerne les pensées du coeur. Quoi donc? Nous arrivons maintenant à la perfection, parce que les gens doivent arriver à ceci afin que l’Enlèvement ait lieu. Ce qui le retarde en ce moment, c’est pour attendre que cette Eglise entre dans cette Foi parfaite pour l’Enlèvement. Je la cherche. Cela veut dire à bien des égards que je dois être abaissé, et cela veut dire la même chose pour vous, mais, ensemble, nous y arriverons par la grâce de Dieu. Amen.
Le Grand Médecin est proche maintenant,
Le Compatissant Jésus;...
214 Seigneur Jésus, bénis mon cher frère. Puisse Ton Saint-Esprit guérir à jamais ce pasteur, et le garder en bonne santé et fort, pour le service auquel Tu l’as appelé, au Nom de Jésus. Je réclame cela, Seigneur, car je l’aime. Nous réclamons cela. Nous savons que c’est en ordre. Nous le croyons donc.
Le plus doux chant jamais chanté,
Jésus, Jésus béni.
215 Ne L’aimez-vous pas? Pensez-y; juste ici, maintenant, un travail a déjà commencé dans votre corps pour votre guérison, parce qu’Il a promis que cela arriverait. Et maintenant (Voyez?), avez-vous saisi ce que j’ai dit ce soir? Avez-vous saisi la parabole? Voyez-vous? «Si vous dites à cette montagne...» Voyez-vous? Ne doutez pas, ne doutez pas, mais croyez que ce que vous avez dit... Maintenant, regardez, en moins de cinq minutes, chaque main s’est levée, montrant ainsi qu’une oeuvre avait commencé en eux maintenant même. Oh! la la! Le voilà. C’est cela! Qu’est-ce? La Présence du Grand Médecin.
216 Oh! levons nos mains vers Dieu, et chantons-le de nouveau:
Le Grand Médecin est proche maintenant,
Le Compatissant Jésus;
Il réconforte le coeur abattu,
Oh! écoutez la voix de Jésus.
La plus douce note du chant d’un séraphin,
Le plus doux nom sur la langue d’un mortel;
Le plus doux chant jamais chanté
Jésus, Jésus béni.
217 Restons tranquilles une minute. Adorons-Le dans notre coeur. Pensez-y: Dieu est ici. Il est ici. Qui? Qui s’identifia comme étant la Parole? «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, la même hier, aujourd’hui et éternellement. La Parole est plus pénétrante qu’une épée à deux tranchants, et Elle discerne même les sentiments et les pensées (la raison pour laquelle vous êtes venus ici, dans quel but vous êtes ici, qui vous êtes).» Elle a identifié que Jésus-Christ était le Messie, et, aujourd’hui, Elle identifie qu’Il est le même Messie hier, aujourd’hui et éternellement.
218 Le Grand Médecin qui est ici, a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris. Et si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là’, et si vous ne doutez point en votre coeur, mais croyez...» S’Il peut créer des écureuils, qui ne peuvent croire en aucun cas et n’en ont la faculté... c’est ma propre foi qui sort et fait cela, ma foi dans ce qu’Il m’a poussé à demander. Il m’a incité à le demander, et j’ai accepté Son ordre en obéissance à Sa Parole, je l’ai demandé et c’est apparu. Dieu dans le Ciel sait que c’est vrai. Peut-Il aussi guérir les malades? S’Il peut m’élever en amenant ma foi ici en haut, même pour les gens, même si eux ne peuvent grimper jusqu’à ce cadre-là, s’ils n’y arrivent pas, Il peut utiliser ma foi. Il peut m’élever jusqu’à cette place et j’y monte pour vous. Je crois pour vous. Je parle pour vous.
219 Je suis votre frère et, en tant que votre frère, je me tiens là comme intercesseur et j’essaie de mon mieux de vous garder devant Dieu. Et je suis debout juste ici devant le Trône blanc maintenant, arrangeant ce... pointant mon doigt vers ce sacrifice sanglant et déclarant par Son Nom que c’est fait. Cela doit arriver, cela doit arriver. Vous savez que c’est arrivé. Je sais que c’est arrivé et vous aussi vous le savez, et c’est ainsi. C’est vrai. Amen!
Le plus doux chant jamais chanté,
Ô Jésus, Jésus béni.
La plus douce note du chant d’un séraphin,
Le plus doux nom sur la langue d’un mortel;
Le plus doux chant jamais chanté,
Jésus, Jésus béni.
220 Et les démons nous étaient assujettis en Ton Nom, le Nom le plus doux sur la langue d’un mortel. Les démons... Ce Nom–le Nom qui ressuscite les morts, qui guérit les malades, qui purifie les lépreux, qui chasse les démons, qui fait des chrétiens. Il n’y a pas d’autre Nom sous le ciel. Je vis, je baptise, je crois, j’adore dans ce Nom. Oh! laisse-moi en devenir une partie. Laisse-moi perdre mon moi et le retrouver, Seigneur, en Toi, ce Nom, Jésus-Christ, le Messie oint, afin que je puisse me frayer un chemin à travers la boue de l’incrédulité pour refléter la beauté de Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.
221 Maintenant, que Dieu vous bénisse. Quand vous reviendrez ici dimanche prochain, donnez le témoignage de votre guérison et de ce qui s’est passé cette semaine. Observez et voyez ce qui arrive. C’est terminé. «Comment le savez-vous?»
222 Il m’a dit de le dire et je l’ai dit. C’est cela. C’est cela. C’est terminé. Je le crois. Maintenant, le pasteur, Frère Neville.
223 Juste un instant. [Un frère parle en langue et un autre frère donne l’interprétation.–N.D.E.]
224 Béni soit le Nom du Seigneur. Levons nos mains et adorons-Le, une minute.
225 Nous Te remercions, Seigneur. Nous Te remercions, Seigneur. Merci, Père. Merci, Père.
226 En tant que croyant, avez-vous remarqué la longueur du message et le rythme dans lequel il a été dit, et avez-vous observé que c’était la même chose pour l’interprétation? C’est cela. Observez que c’était exactement en harmonie avec le Message, confirmant que cette chose était la Vérité, et qu’Il a déjà accompli ce qu’Il vous avait promis. Observez la manière dont cela a été apporté, et observez la manière dont ce fut interprété. Observez pendant combien de temps il a parlé, et observez combien de paroles il a dites, voyez-vous, cela correspond exactement. Que le Seigneur vous bénisse, jusqu’à ce que je vous revoie.