Monsieur, Nous Voudrions Voir Jésus
1 Crois seulement;
Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement.
2 Alors que nous inclinons la tête maintenant pour un mot de prière, je ne sais pas combien ici aimeraient qu’on se souvienne d’eux; levez simplement la main pour faire connaître votre requête. Très bien. Prions.
3 Notre Père céleste, nous Te sommes reconnaissants pour ce grand privilège que nous avons de nous réunir une fois de plus avant la Venue du Seigneur. Et nous prions, Père, que ceci ne soit pas juste un rassemblement ordinaire, mais que ce soit un rassemblement avec Toi, dans les liens de Ton amour et de Ta communion. Nous Te prions de sauver tous ceux qui viennent à la réunion. Remplis du Saint-Esprit ceux qui L’ont si longtemps désiré, Père. Guéris tous les malades et les affligés. Puissions-nous nous tenir respectueusement et être tranquilles, nous attendant à Toi, dans l’attente de la réponse pour laquelle nous avons si longtemps prié.
Bénis ce pasteur, frère Vick, frère Boze ainsi que tous les autres ministres, tous nos amis. Maintenant, nous nous remettons à Toi, nous-mêmes ainsi que cette salle, au Nom du Seigneur Jésus, afin que Tu nous utilises pour Ta gloire, pendant que nous sommes rassemblés ici. Amen. Amen. (Asseyez-vous.)
4 C’est un grand privilège d’être ici. J’ai longtemps attendu le moment où le... L’un des moments marquants (Comme je l’ai dit au pasteur ce matin) de mon pèlerinage fut ma rencontre avec frère Vick, et de passer ce moment de communion fraternelle avec lui et vous.
5 Je ne viens pas très souvent à New York. C’est comme si c’est... Et j’habite Tucson, en Arizona, vous savez, et j’exerce mon ministère toujours là-bas à l’ouest. Et nous nous préparons maintenant à aller immédiatement outre-mer pour une autre tournée qui nous conduira presque dans le monde entier. Et donc, de savoir que je suis parvenu à arriver à New York avant d’aller de l’autre côté, je considère certainement que c’est un grand privilège et une bénédiction de la part de Dieu d’être ici avec vous.
6 Bien, je ne viens pas, comme vous l’avez su auparavant, pour représenter une certaine église, ou une certaine dénomination, ou un certain credo. J’aime tout simplement le Seigneur, et chacun de vous, nous sommes donc ici pour Le servir. Et maintenant, nous Le servons comme...
7 Vous dites: «Eh bien, comme vous nous parlez, Frère Branham, nous sommes, et c’est cela–cela servir le Seigneur.» Eh bien, comme vous croyez en retour, ensemble nous servons le Seigneur. Tous deux, ensemble nous formons un corps.
8 Vous savez, je travaillais comme électricien. Et j’ai constaté qu’on peut avoir un fil bien chargé de courant, mais ce dernier n’est pas efficace tant qu’il n’est pas mis à la terre. Quand donc il est mis à la terre, vous obtenez alors de bons résultats, le–le courant. Nous–nous devons donc avoir les deux parties du fil, pour faire marcher cela correctement.
9 Et s’il y avait de très belles prédications, mais qu’il n’y avait personne pour croire cela, ce serait inefficace. Mais s’il y a quelqu’un pour croire cela, alors cela devient très efficace. [Un frère dit: «Nous croyons.»–N.D.E.] Et nous... Merci, frère. C’est bon. J’aime cela, «nous croyons». Nous sommes ici dans ce but.
10 Et moi, je crois vraiment que nous nous dirigeons vers un grand événement. Je–je crois que c’est la Venue du Seigneur. Devenez... Nous savons que quelque chose doit disparaître, le monde est sous une très grande tension. Et il y a quelque chose qui cloche. Tout le monde le sait. Et je–je crois que nous nous dirigeons vers une grande chose, et je crois, de tout mon coeur, qu’il s’agit de la seconde Venue du Seigneur Jésus. Et j’espère qu’Il va répandre Son Esprit sur nous, et–et qu’Il va nous révéler les choses que nous devons faire afin d’être prêts pour Sa Venue.
11 Maintenant, je me rends compte que venir ici pour être avec frère Vick et ces frères, je... Ce n’est pas une tâche facile, parce que beaucoup de grands hommes ont été ici, de grands orateurs influents. J’écoutais une fois frère William Booth-Clibborn qui parlait d’avoir une longue réunion avec l’Eglise du Rocher. Ai-je bien dit cela? C’est l’Eglise du Rocher. Et je l’appelle chaque fois «Eglise de la pierre». Donc c’est tout... Je... Et ainsi, beaucoup d’autres grands hommes ont été en visite ici. Et moi-même, j’ai désiré ardemment être avec l’église, et rencontrer des hommes... Ou monter à une chaire où les gens ont écouté de tels hommes: votre pasteur, frère Boze, Docteur Lee Vayle, et un grand nombre de ces autres grands ministres, cela–cela fait que je me sens plutôt très petit. Mais je suis ici pour faire ma part dans cela. Peut-être que le doigt se sent très petit par rapport à le–par rapport à l’esprit, mais pourtant il–je–il doit rester un doigt. Voyez-vous, nous–nous devons l’avoir.
12 Ainsi maintenant, juste un petit texte bien connu, afin que nous ne restions pas trop longtemps, un petit texte que je présente habituellement à la réunion, mais chaque fois j’essaie d’abonder dans un autre sens.
13 Nous allions avoir une ligne de prière ce soir, prier pour les malades dans une–dans une–une ligne de prière. Et mon fils... En effet, j’ai rencontré les aimables... quelques personnes de l’Eglise de la pierre, ce matin, Eglise du Rocher, excusez-moi. Frère Boze m’a dit que c’est parce que je suis de l’ouest que j’appelle cela une–une pierre; là-bas, on appelle cela pierre; ici on appelle cela rocher. Ainsi, quand j’ai rencontré ces braves gens, et ils... Nous avons tout arrangé, j’ai dit: «Maintenant, je vais y aller.» Et ils m’ont donné un tas de cartes de prière, j’ai dit: «Prenez-les et demandez à mon fils de les distribuer pour que nous puissions prier pour les malades.» Eh bien, il ne savait pas que nous allions le faire de cette façon, ainsi lui et certains frères n’étaient pas là et étaient sortis, et ne sont pas rentrés à temps pour distribuer ces cartes. Mais je pense que d’une façon ou d’une autre, ils ont déjà annoncé qu’ils les distribueront demain, de toute manière, ils les distribueront demain.
14 Et moi, je me suis donc dit que ce soir, avec une petite introduction de ce dont nous voulons parler...
15 Maintenant, beaucoup de gens, quand ils parlent de–de la guérison divine ou de tout autre sujet biblique, bien vite, on constate que le plus grand obstacle ce sont les gens qui essaient de placer la chose soit très loin en arrière dans le passé, soit très loin dans le futur, soit c’est si haut que personne ne peut l’atteindre. Eh bien, c’est le diable qui fait cela.
16 En effet, la Bible dit: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Il reste toujours Dieu. Et Il est tout aussi grand au milieu de Son peuple aujourd’hui, quand Il trouve des croyants, qu’Il l’a toujours été. Il... Et–et je crois que la Parole est, que cette Bible est ni plus ni moins la Parole de Dieu. Eh bien, je sais que Dieu peut faire des choses qu’Il n’a pas écrites dans la Bible, parce qu’Il est Dieu. Mais aussi longtemps que je sais que ce que je Le vois faire, Il l’a écrit ici dedans, qu’Il le fera, alors je suis sûr d’être donc dans le bon, de cette façon. C’est la seule... Il... S’Il tient déjà cela, ça suffit pour moi, parce que je vois là-dedans qu’«Il était blessé pour mes péchés, brisé pour mon iniquité; le châtiment qui me donne la paix est tombé sur Lui, c’est par Ses meurtrissures que je suis guéri». Cela–cela termine donc le voyage pour moi.
17 Et Il a promis cela, que nous... qu’Il nous ressuscitera au dernier jour, nous attendons donc que vienne ce moment. Beaucoup de précieux saints attendent bien sûr cette heure.
18 Maintenant, ceci... Dieu doit juger les–les gens, le monde. Nous croyons qu’un jour vient où Dieu jugera le monde par Jésus-Christ. Or, il doit y avoir un standard quelque part, par lequel Il doit juger.
19 Eh bien, en effet, tant de gens aujourd’hui disent: «Eh bien, je suis...» Il y a même des gens qui disent qu’ils sont «Christ», et, «Je suis Christ», et, «Je suis de Christ», et «Telle ou telle dénomination est de Christ». Il–il y aurait un peu de confusion s’il n’y avait pas de standard.
20 Eh bien, si je vais auprès des... demande aux catholiques qui sont ici dans la salle ce soir: «Est-ce que vous... Par quoi pensez-vous que Dieu jugera le monde?»
Ils diront: «Eh bien, par le standard de l’Eglise catholique.»
21 Je pourrais peut-être demander à une autre dénomination. Eh bien, celle-ci dirait: «Eh bien, par le–le standard de notre église.» Les gens pourraient ne pas le confesser directement–directement, mais nos actes prouvent que c’est ce que nous pensons. Mais alors, quelle église a raison? Voyez-vous, nous ne saurions où aller. Et puis ce n’est pas par un certain groupe, par une certaine église, par une certaine dénomination.
22 Ce sera par Sa Parole. Voyez-vous, c’est ça le standard. Voyez-vous? Car Il a dit dans 1 Jean, Saint Jean chapitre 1: «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair et a habité parmi nous», le même hier, aujourd’hui et éternellement. Voici donc l’unique Chose par laquelle Il peut juger le monde, à laquelle nous devrons tous rendre compte: ce Livre. Et je crois donc que Dieu nous ouvrira ce Livre cette semaine par des messages évangéliques, et par les interprétations qu’Il donnera Lui-même de Sa Parole, juste telle qu’Elle est écrite, et nous L’interprétera, et révélera donc qu’Il est vivant ici parmi nous, pour–pour–pour faire cela.
23 Maintenant, il y a tant de choses que nous pouvons dire. Et les hommes peuvent déclarer n’importe quoi, je pense, qu’ils désirent déclarer. Mais pour Dieu, le fait de dire une chose rend cela vrai. Et si donc Dieu dit une chose, puis revient et confirme qu’Il l’a dite, alors il n’y a aucune question là-dessus, si c’est tout à fait en ordre.
24 A présent, que nous... si vous voulez bien, suivons plutôt ces passages; je vois, je crois qu’on enregistre une bande ici. Et je crois donc, avant que nous lisions, qu’il y aura aussi...
25 Je dois parler dimanche. Est-ce juste, Frère Vick? Est-ce dimanche matin ou dimanche–dimanche soir? Les soirées, pendant toute la semaine, aucun service du jour, aucun service du jour. Très bien. Maintenant, et puis nous allons...
26 Combien aimeraient avoir un service de guérison, la prière pour les malades? Faites voir vos mains; c’est partout. Oh! la la! C’est la–c’est largement la majorité; je pense que c’est 99,99 %. C’est environ... Eh bien, c’est une bonne chose. Mais nous sommes...
27 Or, la guérison divine n’est pas tout le Message. D’après ce qu’on déclare, Jésus a axé, je pense, environ 80 % de Son ministère sur la guérison divine. Mais comme le–le regretté frère Bosworth... Beaucoup d’entre vous ont connu frère F. F. Bosworth, un homme pieux, un saint. Il disait que la guérison divine, c’est juste comme l’appât sur l’hameçon. Vous ne montrez jamais l’hameçon au poisson; vous lui montrez l’appât. Et il... Et–et la guérison divine est donc une chose mineure. Et vous ne pouvez jamais accorder la primauté à ce qui est mineur, mais cela conduit à la chose majeure. C’est donc ce que nous–nous constatons.
28 Et la Bible est vraie, chaque Parole. Et je pense que nous pouvons accrocher notre âme à chaque Parole de la Bible. C’est la Parole de Dieu, et je pourrais ne pas avoir assez de foi pour faire opérer le tout, mais je crois certainement que cela peut se faire, si nous avons assez de foi pour y croire. Oui, si on y croit.
29 Maintenant, dans le Livre de Saint Jean 12.20. Pour bon nombre d’entre vous qui ont déjà assisté aux réunions, ceci est un passage très bien connu, parce que je l’utilise comme un passage d’ouverture pour introduire ce que je veux dire pendant la semaine, et ce dont nous voulons traiter, donc Hébreux 13.8 et Saint Jean 12.20.
Quelques Grecs, du nombre de ceux qui étaient montés pour adorer pendant la fête,
s’adressèrent à Philippe, de Bethsaïda en Galilée, et lui dirent avec instance: Seigneur, nous voudrions voir Jésus.
30 Et je désire en tirer juste cinq mots: Monsieur, nous voudrions voir Jésus. Et puis dans Hébreux 13.8:
Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
31 Or, s’Il est le même et que nos coeurs ce soir... Je suis sûr que ceci concerne un bon nombre de gens dans cette réunion, de dire que nos coeurs sont autant affamés de voir Jésus-Christ que l’étaient ceux de ces Grecs. Nous... Personne ne peut entendre parler de Lui et ne pas désirer Le voir. Ça a été le désir de mon coeur de connaître la réalité.
32 Et j’ai une–une–une grande expérience qui compense en quelque sorte mon manque d’instruction, ayant été en contact avec d’autres religions, telles que Bouddha, et–et les mahométans, et différentes sortes de religions. Je les ai vues partout à travers le monde lors de mes voyages, et je les ai examinées et étudiées. Mais il n’y a qu’une seule vraie religion que je crois être dans le bon; c’est celle-ci: le Christianisme (Voyez-vous?); et puis, c’est–c’est la seule qui peut démontrer que son Fondateur n’est pas mort. Maintenant, je...
33 Ils amènent, ils ont un cheval assis au... ou plutôt debout sur la tombe de Mahomet, et ils croient qu’un jour ce dernier ressuscitera et fera la conquête du monde. Et... mais il est mort. Cela fait plusieurs siècles qu’il est mort. Bouddha est mort il y a environ 2300 ans; c’était un philosophe au–au Japon, en Chine.
34 Mais alors, pour notre religion qui est de Christ, Celui-ci est certes mort; Il a dû mourir pour nous sauver. Mais nous montrons une tombe vide. Et maintenant, Sa Vie et–et Ses promesses, qui se reflètent en nous, prouvent qu’Il n’est pas mort (Voyez-vous?).
35 Maintenant, bien sûr, si vous disiez cela dans une nation étrangère, parmi les mahométans, ils diraient: «Oui, il reflète sa vie en nous. Mais il n’a jamais fait de promesse (Voyez-vous?), ces promesses.» Mais il a dit: «Votre Jésus a fait ces promesses; maintenant nous attendons de voir vos enseignants accomplir ce qu’Il a dit qu’Il a promis.» Voyez-vous, c’est à cela qu’on s’attend.
36 Et c’est là que cet enseignant mahométan a eu notre frère Billy Graham, eh bien, au sujet de... il a dit: «Si ce... Vous, attirez du monde, et moi aussi, je vais attirer du monde, et je vais produire sur eux autant d’effets que vous.»
37 Eh bien, pour un défi, ç’en était un. Mais un jour il lancera ce défi à la personne qu’il ne faut pas et alors (Voyez-vous?), ce sera le moment. Eh bien, je–je crois que–qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
38 Maintenant, selon les Ecritures, nous sommes censés être des épîtres écrites par Lui. La Bible dit que nous sommes des épîtres écrites. Et si, ce soir, nous avions faim et soif de voir le Seigneur Jésus-Christ, nous, en tant que des croyants chrétiens, nous devrions tellement refléter Sa Vie que nous serions Ses parfaits représentants. C’est ce que nous devrions être. Chaque chrétien devrait représenter et refléter la Vie de Jésus-Christ. Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Et je crois que chaque chrétien devrait refléter la Vie de Christ. Il a dit dans Saint Jean 14.12: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.» Et nous savons donc que c’est vrai, que nous sommes Ses représentants. Et si nous déclarons que Christ vit en nous, et si Christ vit en nous, nous devons alors agir comme Christ a agi. Nous devons refléter Sa Vie.
39 Qu’en serait-il si je disais ce soir que le–que la vie de Shakes-... Qu’en serait-il si je disais que Shakespeare était en moi, ou que vous disiez que Shakespeare vivait en vous? Très bien, vous écririez les poèmes comme ceux que Shakespeare a écrits, parce que Shakespeare vit en vous. Et qu’en serait-il si vous disiez que Beethoven vivait en vous? Vous seriez le grand compositeur qu’était Beethoven, parce que Beethoven vit en vous. Vous n’êtes plus vous-même, vous êtes alors Beethoven ou Shakespeare.
40 Alors, si Christ vit en vous (Vous y êtes! Voyez-vous?), vous vivez la Vie de Christ. Voyez-vous, c’est juste ce qu’il en est, s’Il vit en vous. Mais vous ne pouvez pas vivre là-dedans avec Lui; Il doit vivre en vous. On–on dirait que c’est... Il prend votre place, et nous sommes censés Le représenter de toutes les manières possibles.
41 Maintenant, nous voyons que la première Eglise L’a représenté comme des épîtres écrites; ces gens vivaient Sa Vie. Je pourrais... ne peux pas comparer notre église aujourd’hui... Aussi–aussi dur que cela puisse être de faire une telle déclaration, avec tout l’amour que j’ai pour les gens, cependant on doit être honnête et dire la vérité. Je ne peux pas dire que nous voyons Christ reflété dans les églises d’aujourd’hui tel que L’ont reflété ces gens-là.
42 Ils–ils reconnaissaient que ces gens avaient été avec Jésus. Nous voyons dans Saint... Non, je crois que c’est dans Actes chapitre 4, que nous voyons que ces pêcheurs, Pierre et Jean, ont guéri l’homme à la porte appelée la Belle, et qu’ils étaient capables de répondre à chaque question qu’ils–qu’ils... que le sanhédrin leur a posée; ils étaient pourtant des hommes du peuple et, sans instruction. Les gens pouvaient percevoir cela. Ils n’avaient aucune instruction, et ils n’avaient reçu aucune formation comme ministres; ils étaient des pêcheurs. «Mais les gens virent qu’ils avaient été avec Jésus», voyez-vous, parce qu’ils agissaient comme Lui avait agi envers eux.
43 Vous pouvez vivre très longtemps avec quelqu’un, et près de lui, au point d’adopter ses manières. Et il n’est pas bon que nous allions vivre avec le monde. Mais restons avec Jésus jusqu’à ce que nous reflétions... notre vie reflète la Sienne.
44 Et c’est ainsi qu’étaient ces disciples. Les–les gens reconnaissaient qu’ils avaient été avec Jésus, parce qu’ils parlaient comme Lui, agissaient comme Lui, et guérissaient comme Lui, et chaque réponse qu’ils donnaient était comme la Sienne. Ils étaient inspirés comme Lui; et les gens reconnaissaient qu’Il vivait en eux. C’est ce que nous devrions être tout le temps, en tant que croyants. Ils agissaient comme Lui, car si vous vous associez très longtemps à quelqu’un...
45 Dans la Bible, nous voyons dans le Livre des Rois qu’il y avait un homme du nom de Josaphat, un homme juste. Et il y avait le fils d’Achab, Joram, qui avait adopté les habitudes de son père, et puis il y avait le roi d’Edom. Et alors, à cette époque-là, les Moabites avaient déclaré la guerre à Israël. Et Joram, qui avait succédé à son père comme roi, eh bien, a fait venir Josaphat. Et Josaphat, un homme juste, n’aurait jamais dû s’associer à cette personne injuste. C’est pourtant ce que font souvent les chrétiens, sans réfléchir.
46 Et ils marchèrent donc pendant sept jours et allèrent dans le–le désert, et ils se rendirent finalement compte qu’ils étaient à court d’eau. Et l’un d’eux a crié: «Hélas, car Dieu a amené ces rois ici pour les faire périr.»
47 Mais Josaphat, étant un homme juste, s’est souvenu au jour du malheur que Dieu était toujours vivant. Vous voyez, en dépit de... Bien que nous nous soyons écartés et que nous ayons mal agi, cependant Dieu est toujours avec nous. Dieu reste toujours le même. Et Josaphat, en se souvenant de cela, a crié: «N’y a-t-il pas quelque part un prophète de l’Eternel que nous pourrions consulter?»
48 Et l’un des serviteurs du roi d’Israël a répondu: «Si, il y a Elisée par ici. Il versait l’eau sur les mains d’Elie.»
Et Josaphat a dit: «La Parole de l’Eternel est avec lui.»
49 Pourquoi? Considérez à qui il s’était associé. Voyez-vous, il... Les gens reconnaissaient que cet homme s’était associé à un véritable prophète. Et ils savaient que pour avoir eu une telle compagnie et pour y être resté, l’homme devait mener une vie tout à fait droite, et il ne dirait rien... En effet, il avait été élevé sous la tutelle de ce grand prophète, Elie.
50 Oh! qu’en serait-il aujourd’hui si seulement l’église pouvait rester avec Christ, sous la tutelle du Saint-Esprit, sans jamais quitter cette Parole pour un credo ni pour rien, La croire simplement telle qu’Elle est écrite? Et les gens reconnaîtraient partout que vous aussi avez été avec Jésus. C’est comme ça qu’ils le sauraient.
51 Mais aujourd’hui, c’est bien dommage! Nous regardons en quelque sorte à un érudit bien formé, ou quelque chose comme ça. C’est en lui que nous pensons trouver Christ. Nous fréquentons des écoles. Nous envoyons nos garçons dans des écoles, dans des séminaires; ce qui est très bien. Mais nous voyons qu’ils apprennent comment prononcer des discours éloquents, et ils tiennent de grandes conférences. Et–et ce sont sans aucun doute des hommes bien, ils sont des milliers. Et ils savent comment exécuter le programme. Ils savent comment se tenir à l’estrade; ils savent comment présenter Christ aux gens. Mais on finit par découvrir qu’en grande partie, une bonne part de cela, presque tout, c’est juste cet homme; ce n’est pas vraiment un représentant de Christ, mais un conférencier. Voyez-vous, il sait qu’il a été formé pour donner des conférences. Vous pouvez lui demander de faire un–un discours qui étonnerait vraiment les gens, de par son éloquence et sa façon de se tenir, et comment il peut tenir les gens en haleine. Et... mais nous voyons qu’il a appris cela quelque part, dans un séminaire, quelque part où on lui a appris comment s’y prendre.
52 Combien c’était différent de saint Paul, quand il a dit: «Je ne suis jamais allé chez vous avec une supériorité de langage ou avec la sagesse du monde, mais plutôt avec la puissance du Saint-Esprit, afin que votre foi fût fondée non sur la sagesse et la culture des hommes, mais sur la–la puissance du Saint-Esprit.»
53 Oui, nous avons une autre catégorie à laquelle beaucoup d’entre nous regardent plutôt, il s’agit de l’homme que nous appelons «le bon type». Il se tient à l’estrade; il est un bon plaisantin. Il peut raconter quelques plaisanteries et faire rire tout le monde, et les gens viennent très nombreux de partout pour entendre ces plaisanteries. Et peut-être que ce ne sont pas de mauvaises plaisanteries, ce sont seulement des plaisanteries qu’on raconte à l’estrade; mais je–je ne pense pas que ce soit correct. Eh bien, je–je... Ceci n’est pas un endroit où plaisanter.
54 Ceci est un endroit pour exprimer la plus profonde sincérité. C’est là le problème de l’église aujourd’hui; nous nous éloignons de cette profonde sincérité. Nous devons être le plus profondément sincères avec ceci. Voyez-vous? Et puis, Dieu aime la sincérité, mais nous ne sommes pas assez sincères avec cela.
55 Mais on voit que cette personne peut faire rire tout le monde et continuer, et c’est en quelque sorte un tel homme qu’on cherche. Mais pour moi, il s’appelle, pour moi, peut-être un amuseur, ou peut-être tout simplement un clown de la chaire, c’est tout (Voyez-vous?), qui se tient là pour–pour simplement faire rire les gens. Alors que les gens devraient être, à–à la Venue du Seigneur, dans une profonde sincérité, surveillant à chaque instant Son apparition, car nous ne savons pas exactement à quel moment Il peut apparaître. Nous n’avons donc pas besoin de conférenciers; nous n’avons pas besoin d’amuseurs, et de gens comme cela.
56 Et puis, il y a une autre catégorie de gens qui cherchent Dieu, supposons qu’ils Le cherchent, à travers l’habillement d’une personne. Beaucoup de gens voient un homme descendre la rue portant un grand... une sorte de chapeau religieux, et–et des vêtements religieux qui pendent, et–et ils–ils pensent que c’est très religieux, que cela ressemble à Christ. Mais moi, je ne le pense pas. Si tel était le cas, alors... Christ n’était pas habillé comme cela, il ne s’agit donc pas de l’habillement. «Le Royaume de Dieu ne consiste pas dans le manger et l’habillement, mais dans la patience par le Saint-Esprit.»
57 On cherche les gens, plusieurs cherchent les gens, ou plutôt les gens cherchent Christ parmi leurs parents. Vous dites: «Ma mère, elle était membre d’une certaine église pendant tant d’années. Ou, mon père y a évolué.» Et ils cherchent Christ parmi les leurs comme cela. «Ma famille m’a élevé pour que je devienne tel.» Mais nous ne voyons pas Christ (Voyez-vous?); nous ne voyons pas cela.
58 Vous savez, Marie et Joseph ont commis cette erreur un jour. Ils étaient de braves gens. Et ils étaient montés à la fête à Jérusalem, et sur le chemin du retour Jésus n’était pas parmi eux. Et ils L’ont donc cherché parmi les leurs, mais ils ne L’ont pas trouvé. Je pense que c’est à bien des égards comme aujourd’hui. Et ils ont essayé de chercher où Il se trouvait. Savez-vous où ils L’ont trouvé? Juste là où ils L’avaient laissé. C’est juste.
59 Eh bien, c’est là que nous Le trouverons. C’est là que l’église Le trouvera. Nous ne Le trouverons pas dans les conférences. Nous ne Le trouverons pas parmi des amuseurs. Nous ne Le trouverons pas dans la façon dont nous nous habillons, ou dans la dénomination dont nous sommes membres. Il nous faut retourner au jour de la Pentecôte, là où Il est venu dans l’Eglise, et c’est là que nous Le trouverons. En effet, c’est là que l’Eglise primitive L’a laissé, au Concile de Nicée, et c’est là qu’on L’a laissé depuis lors. C’est donc à ce temps-là que nous devons retourner pour Le trouver. Retournons là où nous L’avons laissé, là où nous pouvons recevoir Sa Parole; et ne rien Y ajouter, n’En rien retrancher. La croire juste telle qu’Elle est. Cela–c’est-à-dire telle qu’Elle est écrite, voilà ce qu’il en est. Dieu a veillé sur Elle, pour La garder telle quelle, et c’est le standard par lequel nous serons jugés.
60 Bon, ces Grecs ne cherchaient pas un conférencier en la Personne de Jésus-Christ. Ils ne cherchaient pas des clowns de la chaire, comme je l’ai dit il y a quelques moments. Ce n’est pas là ce qu’ils cherchaient. Ils ne cherchaient pas des amuseurs. Ils voulaient Le voir, la Personne, Jésus-Christ. Ils désiraient ardemment Le voir, parce qu’ils avaient entendu parler de Lui. «Et la foi vient de ce qu’on entend, de ce qu’on entend la Parole.» Et Il est la Parole. Voyez-vous? Il est la Parole. Voyez-vous? Et ils voulaient voir Jésus.
61 Eh bien, ils n’ont jamais dit qu’ils voulaient L’entendre; ils avaient déjà entendu. Ils voulaient voir. Leur préoccupation ce n’était pas: «Nous voudrions entendre Jésus. Messieurs, nous voudrions, nous», ils–ils veulent, ou plutôt, «entendre Jésus.» Ils voulaient voir Jésus. L’objet de leur demande, c’était de Le voir, pas d’obtenir une explication sur Lui.
62 Aujourd’hui, avec de grands messages intellectuels, nous pouvons expliquer la chose au point que vous serez en mesure de vous représenter le tableau. Mais cela–ce n’est pas ce que nous cherchons ce soir. Nous–nous ne cherchons pas la mécanique; nous cherchons la dynamique de la chose. C’est cela. Beaucoup (Voyez-vous?) qui sont... Nous avons tellement bloqué la mécanique de la religion de la Bible qu’elle ressemble à un grand train à seize ou trente- cinq voitures en stationnement ici sur les rails. Mais s’il n’y a pas de vapeur dedans, alors la–la... Il faut que la dynamique fonctionne avec la mécanique. Et ce dont nous avons besoin maintenant, c’est de voir ce qui nous a été enseigné toutes ces années, est-ce la vérité ou pas? Cela a été expliqué, maintes et maintes fois dans différents séminaires et églises, et ainsi de suite, au point que nous regardons pour voir Qui est cette Personne.
63 Maintenant, vous dites: «Frère Branham, comment y parviendriez-vous?»
Eh bien, avez-vous remarqué qu’ils sont venus vers un serviteur de Christ qui était formé pour savoir ce qu’il faut faire, et non pour juste dire: «Asseyez-vous. Dites donc, attendez maintenant. Asseyez-vous ici; je vais expliquer cela»? Non, il les a conduits tout droit auprès de Lui, parce que c’est ce qu’ils voulaient voir. Ils–ils ont dit: «Nous voudrions voir Jésus.» Pas: «Nous aimerions que vous nous expliquiez la chose et que vous nous disiez tout ce qu’il en est.» Ce n’était pas là la préoccupation. Mais ils voulaient voir Jésus. Et ils... Dieu avait là quelqu’un, Philippe qui pouvait les prendre et les présenter à la Personne, à Jésus-Christ. Eh bien, c’est ce que nous voulons voir. Nous voulons voir la Personne.
64 Vous dites: «Eh bien, Frère Branham, nous Le verrons quand Il viendra.» Oui, mais Il a promis que Lui, dans la Personne du Saint-Esprit, viendrait dans les derniers jours et serait avec nous, même en nous, jusqu’à la fin du monde. Et les choses qu’Il a faites, nous les ferions aussi. Il a dit, dans Hébreux 13.8, comme je l’ai cité, qu’Il est le–le même hier, aujourd’hui et éternellement. Or, il n’y a qu’une seule façon de savoir ce qu’Il est aujourd’hui.
65 Nous voyons que nous ne pouvons pas Le trouver dans de belles conférences, car nous trouvons des gens qui peuvent se lever et expliquer la Parole à vous couper le souffle. Mais quand nous voyons cela, toutefois ce n’est qu’une conférence (Voyez-vous?), juste une conférence; c’est la mécanique. Et nous voyons l’amuseur qui peut exécuter tous les numéros et ainsi de suite, mais ce n’est toujours pas la chose. Nous... Cela–ce n’est pas ce que nous cherchons. Nous voyons le genre religieux, avec leurs robes, et ainsi de suite; ce n’est toujours pas ce que nous cherchons. Voyez-vous? Non.
66 Nous cherchons la Personne, Jésus-Christ (Voyez-vous?), la Personne, Jésus-Christ. Or, si la Bible dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, alors c’est ce qu’Il doit être, sinon la Bible a dit quelque chose de faux. Et je ne crois pas que Dieu jugerait le monde par quelque chose de faux.
67 Alors où en sommes-nous? Voyez-vous, nous sommes tous encore dans la confusion, parce qu’il y a n’importe quoi. Cette église-ci dit: «Nous avons la Chose», et «nous avons la Chose», et «nous avons la Chose», et ainsi de suite. Mais si vous L’aviez, vous La montreriez (C’est juste. Voyez-vous?), la Personne, Jésus-Christ.
68 Maintenant, la seule vraie façon de savoir ce qu’Il est, c’est de trouver ce qu’Il était (Voyez-vous?), car Il est immuable. Dieu ne peut jamais changer. Il n’a jamais changé. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il doit rester toujours le même. Sa Parole doit rester la même. Ses plans doivent être toujours les mêmes.
69 Eh bien, nous avons tout essayé dans le monde pour nous en tirer, en dehors de Ses plans. Mais cela demeure toujours; Il est le seul chemin. L’homme a essayé de frayer une voie vers la communion en donnant l’instruction aux gens; cela a échoué. Nous avons essayé de mettre les gens dans une dénomination pour communier; cela a échoué. Dieu n’a qu’un endroit où Il rencontre l’homme, c’est sous le Sang. Et en dehors de cela, il n’y a aucun...?... qui faillit. C’est juste. Vous avez–devez avoir le... sous le Sang.
70 Eh bien, si un prêtre catholique, un Juif orthodoxe, un nazaréen, un pèlerin de la sainteté, et un pentecôtiste, peuvent se tenir là dans leurs dénominations et se faire des histoires toute la journée, et dire chacun combien ils sont plus grands, et ainsi de suite; mais laissez-les tous venir sous ce Sang et s’agenouiller sous la croix, ils s’entoureront de leurs bras, et ce sont des frères, parce qu’ils ont–ils ont des choses en commun. Et une chose que tous les croyants nés de nouveau ont en commun, c’est le Sang de Jésus-Christ qui les purifie.
71 Il y a une récente petite histoire d’une–une famille, une belle petite famille qui s’était brisée. L’homme et sa femme étaient arrivés à un désaccord, et ils étaient en voie de divorcer. Et l’avocat leur a parlé, disant: «Maintenant, si vous ne voulez pas que les tribunaux prennent en quelque sorte tout ce que vous avez, vous devez aller là-bas, et vous partager entre vous les–les biens acquis par votre famille, par votre union.»
72 Ils sont donc allés chez eux, et ils se sont approchés un certain jour. Ils sont entrés dans la salle de séjour, et ils ont fait des histoires et se sont disputé tout ce qu’il y avait dans la salle de séjour. Ils sont ensuite entrés dans la cuisine, et ils ont fait des histoires et se sont disputé ce qui s’y trouvait, et dans les différentes pièces de la maison. Peu après, ils ont décidé de monter au grenier; en effet, ils avaient là une vieille malle. Ils avaient quelques vieux objets qu’ils avaient mis de côté, ils sont donc montés au grenier pour faire sortir cette malle. Et ils, l’un disait: «Ceci m’appartient», «ceci m’appartient», et ils se disputaient là-dessus.
73 Peu après, ils ont découvert quelque chose, et tous deux ont tendu les bras pour le prendre, et leurs mains se sont croisées. C’était une paire de chaussures d’un petit bébé que Dieu avait donné à leur union et qu’Il leur avait repris. Alors qui pouvait réclamer cela? C’était quelque chose qu’ils avaient en commun. Voyez-vous? Et chacun, les larmes aux yeux, tirait les petites chaussures qu’il y avait entre eux. Le divorce fut annulé. Voyez-vous, voyez-vous? Ils trouvèrent quelque chose qui représentait quelque chose pour chacun d’eux.
74 Et je pense que le christianisme devrait faire la même chose. Nous pouvons trouver quelque chose qui représente quelque chose pour nous deux; c’est Christ. Voyez-vous? Cela représente quelque chose pour nous tous, alors nous pouvons nous prendre l’un l’autre par la main et nous tenir là comme des frères et des soeurs en Christ. Il est Christ. Aujourd’hui est-Il vivant? Certainement, Il est vivant à jamais: «Et, car Je vis, vous vivrez aussi.»
75 Maintenant, nous devrions retourner dans le passé pour observer. Nous savons que nous ne Le trouverions pas comme–comme un–un grand éducateur. Nous n’avons aucun récit montrant qu’Il ait fréquenté l’école. Et nous... Il n’était pas un homme habillé différemment, car Il vivait les hommes, plutôt parmi les hommes, et jamais... Eh bien, les gens ne Le connaissaient pas; ils s’habillaient tous pareillement. Il ne s’habillait pas comme un sacrificateur. Il ne s’habillait pas comme un religieux. Il s’habillait juste comme un homme ordinaire. Et–et puis pour Son...
76 Nous voyons que la Bible est écrite dans un langage très ordinaire, Il a dû utiliser le langage qui était utilisé dans la rue, juste celui des gens du commun. En effet, la Bible déclare: «Les gens du commun l’écoutaient avec plaisir», voyez-vous, les intellectuels ne pouvaient donc peut-être pas s’associer à une personne si ordinaire, qui parlait d’une voix traînante, et ainsi de suite, comme Lui le faisait peut-être. C’était donc un peu trop pour eux. C’est encore le cas aujourd’hui.
77 Et c’est la raison pour laquelle la Bible est devenue un–un grand problème pour les gens; en effet, Elle est... Ils essaient de L’interpréter d’après la langue de la haute classe, alors qu’Elle a été écrite dans le langage de la rue. Voyez-vous? Le...
78 Donc Dieu s’humilie. Dieu est l’humilité. L’homme qui peut s’humilier est en route vers le haut. Celui qui s’exalte lui-même est toujours en route vers le bas. Nous devons donc nous souvenir que vous... Le Christianisme, ce n’est pas se propulser en avant, et chercher à devancer cet homme-ci; c’est plutôt reculer et prendre la dernière place (Voyez-vous?), laisser l’autre passer; c’est–c’est ça le Christianisme. Humiliez-vous. «Si quelqu’un veut plaider contre toi, et prendre ta tunique, laisse-lui encore le manteau. Si quelqu’un te force à faire un mille avec lui, fais-en deux. Si quelqu’un te frappe sur une joue, présente-lui l’autre.» En toutes choses Il a été notre Modèle dans tout ce que nous devrions être. Et si cette Vie peut se refléter en nous, les gens verront Christ en vous, voyez-vous, quand–quand ils peuvent voir cela.
79 Bien, maintenant voyons. Il y avait peut-être beaucoup d’hommes. Jésus était différent de tous les hommes. Il y avait peut-être beaucoup d’hommes qui pouvaient être humbles, et faire le deuxième mille, ou présenter à... l’autre joue, mais nous voyons que Jésus était une Personne différente.
80 Or, Dieu s’en est toujours tenu à Sa Parole. Rappelez-vous, Il ne change jamais Sa Parole.
81 C’est comme je l’ai dit il y a quelques instants au sujet du sang. Dans le jardin d’Eden, quand Adam et Ève ont péché, et Dieu devait observer Sa loi parce qu’Il est juste. Et Il a dû, eh bien, placer sur cette famille la peine prévue par la loi, car: «Le–le salaire du péché, c’est la mort, et vous allez mourir.» Mais alors, quand ils sont devenus une certaine espèce de quelque chose, Il a proclamé l’affranchissement, Il–Il a décidé qu’il fallait le sang. Adam et Ève ont essayé de faire un tablier de feuilles de figuier; ça n’a pas marché. Il a donc exigé le sang.
82 Et Il n’a jamais changé. Il ne change jamais. Alors, quand le moment vint où quelqu’un était malade et désirait être guéri par Dieu, Dieu l’a guéri sur base de la foi de cette personne en Lui. Il n’a jamais changé cela. C’est toujours la même chose, exactement la même chose.
83 Et chaque Parole que Dieu prononce ne peut jamais être changée. Eh bien, c’est la raison pour laquelle je crois que la Bible est juste telle qu’Elle est écrite. Voyez-vous? Elle ne peut jamais être changée. Nous ne pouvons rien trouver de mieux; Dieu ne le peut pas. Il est infini. Nous, nous sommes limités. Nous commettons des erreurs, et demain nous serons plus avisés qu’aujourd’hui. Mais pas Dieu; Il est–Il est l’Eternel, infini, omnipotent, omniprésent, omniscient. Il–Il... Il est Dieu. Si–s’Il n’est pas ces choses, alors Il n’est pas Dieu (Voyez-vous?), Il est limité comme nous. Nous devons donc nous souvenir qu’Il est Dieu, et que Ses Paroles sont une partie de Lui. Vous avez entendu les gens dire: «Tout homme vaut juste ce que vaut sa parole.» C’est vrai. Dieu n’est pas plus grand que Sa Parole.
84 Jésus se référait toujours à la Parole du Père, constamment, tout le temps. «Il est écrit. Il est écrit.» C’est comme cela qu’Il a vaincu Satan, par la Parole. «Il est écrit.» Maintenant, nous Le voyons lorsqu’Il...
85 Il est venu dans la puissance des Ecritures, c’était tout à fait l’interprétation des Ecritures. Mais les gens de ce jour-là, qui attendaient Sa Venue, ont manqué de Le voir, parce qu’ils avaient une interprétation dont ils n’arrivaient pas à se détacher. Il fallait que ça soit conforme à leur vision à eux.
86 Maintenant, il se peut que cela vienne encore de la même manière aujourd’hui. Voyez-vous? Ne serait-ce pas dommage si c’était le cas? «Et nous avons tout tracé, et nous avons reçu tant d’instruction que nous avons tracé un tableau pour vous dire pratiquement l’heure à laquelle Il vient, et nous vous disons s’Il vient sur un cheval blanc ou dans une nuée. Nous savons exactement comment ça va se faire.» Et il se pourrait que ça soit tout à fait différent quand Il viendra. Oui. C’est ce qu’Il a fait. Vous savez, ces choses sont si dangereuses, quand on en vient à oser dire: «C’est ceci.» C’est juste–juste tel que c’est écrit dans les Ecritures, c’est ça la chose!
87 Avez-vous remarqué qu’un jour, j’ai fait une déclaration comme celle-ci? Un jour, les disciples ont dit à Jésus, dans... je crois dans Saint Matthieu 6.11, ou plutôt 11.6, je crois, excusez-moi, 11.6, je pense. Les disciples de Jean sont venus auprès de Jésus et–et ils voulaient savoir s’Il était vraiment Celui-là. Or, c’est Jean qui L’avait présenté, et il était en prison. Et alors, Jésus a dit: «Restez jusqu’à la fin du service, ensuite rentrez pour dire à Jean ce que vous aurez vu.» Eh bien, Il ne lui a pas du tout remis un livre sur la manière de se comporter en prison, ou quelque chose comme cela, ou un discours intellectuel. Il a dit: «Restez simplement là jusqu’à la fin de la réunion, ensuite allez dire à Jean ce que vous aurez vu.» Et pendant qu’ils partaient, Jésus les regardait traverser la colline.
88 Il a dit: «Qu’êtes-vous allés voir en allant voir Jean? Etes-vous allés voir un homme vêtu d’habits très précieux, aux cols retournés, et, vous savez, et ainsi de suite?» Il a dit: «Ceux-là sont dans les palais des rois. Ils embrassent les bébés et enterrent les morts, et ainsi de suite.» Il a dit: «Mais qu’êtes-vous allés voir? Un homme agité par le–le vent, comme un roseau?»
89 Non, pas Jean. Vous ne pouvez pas lui dire: «Je te donnerai tant si tu quittes cette église et que tu viennes ici dans celle-ci.» Pas Jean. Il n’a pas été agité par les organisations et tout le reste. Pas Jean.
90 Il a dit: «Qu’êtes-vous allés voir? Un prophète?» Et Il a dit: «Je vous le dis, et plus qu’un prophète.» Et il était plus qu’un prophète, parce qu’il était le–le... Il était la–la–la–la voûte qui relie la loi et la grâce. Il était le messager de l’alliance de ce jour-là, un grand homme.
91 Et nous voyons que pendant qu’Il causait, qu’Il parlait de Jean et de combien il était un personnage important, Il a dit: «Si vous pouvez le comprendre, c’est lui dont le prophète a parlé disant: ‘J’envoie Mon messager devant Ma face.’» Voyez-vous?
92 Et ils ont dit: «Eh bien, pourquoi donc Elie dit-il...» Un jour, quand il en parlait, il a dit... «Pourquoi Elie dit-il que–que la première chose c’était...» Ou plutôt: «Pourquoi les scribes disent-ils (Excusez-moi.) qu’Elie doit venir premièrement?»
93 Et Il a dit: «Elie est déjà venu et vous n’avez pas reconnu cela.» Voyez-vous, voyez-vous? Ces hommes instruits qui attendaient la venue de ce précurseur de Jésus, instruits dans tous les sens concernant la Bible, des scribes qui ont écrit la Bible et qui La connaissaient de A à Z, de long en large, des conférences... Oh! la la! c’étaient vraiment des hommes, ils connaissaient parfaitement chaque Ecriture, chaque Parole, mais malgré tout, ils n’ont pas vu que Jean était l’Elie. Même Ses disciples n’ont pas du tout vu cela.
94 Eh bien, ne serait-ce pas dommage, un de ces jours, si nous voyons le jugement frapper le monde, et que nous disions: «Eh bien, pourquoi cela arrive-t-il? L’enlèvement est censé se produire d’abord.»
95 Et Il dira: «Eh bien, il s’est déjà produit et vous ne l’avez pas su.» Voyez-vous, voyez-vous? En un instant, en un clin d’oeil, quand personne n’y pensera, et des gens seront pris. Vous ne saurez jamais quand les gens partiront. Je vous assure; dites donc, nous avons tout intérêt à être prêts, à être prêts pour cette heure.
96 Maintenant, considérons et voyons ce qu’Il était. Nous voyons que dès qu’Il a été baptisé, Dieu est venu sur Lui sous la forme d’une colombe, et Il est allé dans le désert pour quarante jours de tentation. Et là, Il a vaincu Satan d’abord par la Parole. Il a vaincu Satan par la Parole.
97 Alors Son ministère terrestre a commencé. Maintenant, nous Le voyons, premièrement il y avait un homme du nom d’André (dans Saint Jean 1). Nous voyons qu’il est allé chercher son frère, Simon, et qu’il a amené Simon à la réunion où Jésus parlait. Et alors, Jésus a vu Simon; aussitôt qu’Il l’a vu, Il lui a dit que son nom était Simon, et qu’il était le fils d’un certain Jonas. Eh bien, cela a alors fait sortir l’amidon de cet apôtre, et il L’a alors reconnu comme étant le Christ; et, finalement, il est devenu le chef de l’église de Jérusalem, parce qu’il avait reconnu que c’était le Christ.
98 Vous êtes-vous déjà demandé ce qui a fait qu’il ait reconnu que cet Homme était le Christ, après que Celui-ci a juste dit cela? C’est parce que le Christ, d’après les Ecritures, devrait être un prophète. Moïse, leur guide et enseignant, leur avait dit: «L’Eternel votre Dieu suscitera un prophète comme moi.» Peu importe combien d’intellectuels s’étaient levés, un Prophète devait venir, et ce Prophète devait montrer le signe d’un prophète.
99 Peut-être que je parle maintenant à beaucoup de Juifs ce soir. Et vous savez, dans les Ecritures, les Juifs croyaient leurs prophètes. En effet, c’était au prophète que venait la Parole de l’Eternel: à lui et à lui seul. La Parole de l’Eternel vient aux prophètes. «Après avoir, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par Son Fils Jésus-Christ», Hébreux 1. Eh bien, les Juifs croyaient le prophète parce que le prophète avait la Parole de l’Eternel.
100 Maintenant, le moyen par lequel ils pouvaient savoir si ce prophète était dans le bon ou pas, c’est en observant ce dernier. Et s’il disait quelque chose, en prophétisant, et que cela s’accomplissait, Dieu a dit: «Ecoutez ce prophète, car Je suis avec lui. Mais si cela ne s’accomplit pas, alors ignorez ce qu’il dit.» C’est tout simplement juste. Voyez-vous? «Lorsqu’il y aura parmi vous quelqu’un, un prophète, un homme spirituel ou un prophète, c’est dans des visions que Moi, l’Eternel, Je Me révélerai à lui, c’est dans des songes que Je lui parlerai. Et si ce que ce prophète dit s’accomplit, alors écoutez-le, car Je suis avec lui. Mais si cela ne s’accomplit pas, alors ne l’écoutez pas.»
101 Ainsi, pendant que Jésus se tenait là... Et, en Israël, ils n’avaient pas eu de prophète depuis quatre cents ans. Et voici que se tenait là un Homme qui a vu un pêcheur ordinaire venir et Il a dit à ce dernier son nom et le nom de son père. Quelle chose étonnante! Que faisait-Il? Il appelait cet homme. Et quand cette Lumière a brillé sur cette semence prédestinée, la Vie est vite venue; il a reconnu ce que c’était.
102 Cet homme dont nous parlons maintenant, Philippe, ayant vu cela s’opérer, a donc contourné la montagne en courant, ce qui fait environ quinze miles [environ 24 km–N.D.T.], et... ou plutôt vers un ami qui étudiait les Ecritures avec lui. Et cet homme s’appelait Nathanaël. Il devait avoir un verger, et il était donc dehors en prière dans le verger, au moment où Philippe est arrivé. Ils étaient donc tous des Hébreux et attendaient la Venue du Messie. Ainsi quand Philippe l’a trouvé, il a dit: «Viens voir Qui j’ai trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»
103 Et, bien entendu, Nathanaël étant un grand homme, et sachant que Nazareth était une–une ville méchante, et–et il a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»
Il a dit: «Viens, et vois.»
104 C’est–c’est l’une des déclarations les plus remarquables. Bon nombre de gens se tiennent à l’écart et critiquent tout, au lieu de venir et de recevoir cela dans le coeur, de sonder cela pour voir si c’est juste. Si seulement ces scribes avaient fait cela à propos de Jésus-Christ, le... Vous les Juifs, vous ne seriez pas dans la condition où vous vous trouvez aujourd’hui. Voyez-vous? Et le monde, les églises ne seraient pas tels qu’ils sont aujourd’hui. Et, les gens, nous ne serions pas tels que nous sommes, si nous avions étudié les Ecritures pour voir si Dieu susciterait quelque chose. Nous sommes conscients qu’il y a beaucoup de fanatisme; il y en a toujours eu, il y en aura toujours jusqu’à ce que Jésus vienne. Mais alors, de faux prophètes et de faux christs et tout le reste doivent apparaître dans le monde pour montrer les temps du signe–les signes du temps, plutôt, et ainsi de suite. Mais Il a dit: «Ne croyez pas cela.» Voyez-vous? Mais maintenant remarquez, à ce propos, les gens ne se sont pas arrêtés pour réfléchir sur le Personnage et sur Ses oeuvres.
105 Philippe a dit: «Viens, et vois par toi-même.» Ainsi, quand Philippe et–et–et Nathanaël ont longé ensemble le flanc de la montagne, ils sont arrivés à une réunion qui, disons, était comme celle-ci, et où Jésus parlait.
106 Maintenant, je ne sais pas comment ils se sont présentés là. Peut-être qu’il se tenait là dans l’auditoire, peut-être qu’il était à l’estrade, là où Jésus avait... priait pour les malades. Nous... des... Il ne nous est pas dit dans quelle position ils étaient. Mais dès que Jésus a vu cet homme, Il a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.» Eh bien, considérez à quoi Il s’identifiait quand Il était ici hier.
107 Voyez-vous, Il ne faisait jamais de grands discours intellectuels. Nous n’avons aucun récit attestant qu’Il ait été instruit dans des séminaires, comme je l’ai dit. Il n’a jamais écrit un livre. Il n’a jamais écrit un seul mot. Il a écrit quelque chose par terre, et ensuite, de Sa main Il a encore effacé cela. Pourquoi n’a-t-Il pas écrit quelque chose? Parce qu’Il était la Parole.
108 Ainsi, voyez-vous, si seulement les gens l’avaient su! Il était la Parole. Il était la Parole même faite chair. Il était Dieu fait chair. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.
109 Maintenant, remarquez ce qu’Il a fait, quand Philippe a amené ce Juif fervent, Il a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»
110 Eh bien, certains pourraient dire: «Evidemment, on pouvait le deviner à partir de son habillement.» Non, tous les orientaux portaient des turbans, ils portaient la barbe; ils portaient des robes. On ne pouvait pas Le distinguer d’un Assyrien ou de toute autre personne. Il portait juste ce genre de robe.
111 Il a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.» Comment a-t-Il su qu’il était un homme juste et honnête comme c’était le cas? Il aurait pu être un–un hors-la-loi. Il aurait pu être un voleur qui était venu là avec Philippe. Il ne le savait pas, mais Il avait un moyen par lequel le savoir.
112 Et lui, cela a tellement étonné cet homme qu’il a dit: «Rabbi (Ce qui signifie Maître), quand m’as-Tu vu? Comment me connais-Tu?»
113 Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous cet arbre, Je t’ai vu.» Voyez-vous?
114 Et qu’est-ce que cet érudit de la Parole a compris par cela? Il a compris qu’il s’agissait de ce Prophète-là. Il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.»
115 Et Jésus a dit: «Parce que Je t’ai dit ces choses, tu crois; maintenant tu verras de plus grandes choses que celles-ci.»
116 Remarquez comment Il s’est identifié. Pas par un certain habillement, pas par un grand... en étant un conférencier de grande renommée, pas par un diplôme de doctorat d’une certaine université.
117 Ces choses-là, c’est très bien. Je ne les critique pas; j’essaie de faire ressortir quelque chose qui devrait sortir de là (Voyez-vous?) pour vous montrer. Ces... les dénominations et les universités, et les habillements, d’après moi, c’est très bien, mais ce n’est pas de ces choses que nous parlons maintenant. Voyez-vous? Je préférerais certainement voir un homme en robe ecclésiastique plutôt que de le voir comme certaines de ces femmes là dehors dans la rue; elles... les voir... ou quelque chose comme ça. Nous préférerions le voir, même s’il est un fanatique de sa religion, je préférerais le voir ainsi que le voir ivre quelque part là dans un fossé (Voyez-vous?), je n’ai donc rien à redire là-dessus.
118 Mais ce que j’essaie de dire, nous cherchons à trouver cette Personne, Jésus. C’est la Personne que nous cherchons à trouver. Qu’en est-il de cette Parole? Est-ce... Cette Parole peut-Elle mentir? Absolument pas, Elle ne peut pas mentir et être Dieu. Dieu ne peut pas mentir. Et cette Parole, c’est Dieu. La Bible dit qu’Elle est Dieu. Nous cherchons donc maintenant à découvrir ce qu’Il est.
119 Comment pourrions-nous L’identifier? Pas par l’habillement, pas par des dénominations, pas par des discours. Comment allons-nous Le découvrir? Nous allons Le découvrir par la Personne qu’Il est, qu’Il est présentement. Remarquez, c’est de cette manière-là qu’ils L’ont reconnu là autrefois; pas par Son habillement, pas par l’instruction venant de Son école. Il ne pouvait pas citer l’école d’où Il était sorti.
120 Les gens disaient: «D’où viens-Tu? De quelle école sort-Il? Nous ne savons rien au sujet de cet Homme.» Assurément, les gens n’avaient sur Lui aucun témoignage quelque part. Mais Il...
121 C’est de cette manière qu’apparaissaient les prophètes. Les gens ne savaient pas d’où ils venaient. Les gens ne savaient rien au sujet d’Elie, au sujet des autres. Ils venaient d’on ne sait où, puis disparaissaient. C’est tout ce que les gens savaient. Ce sont des hommes dont Dieu peut s’emparer, des hommes comme vous, dont Dieu peut s’emparer pour Se révéler, afin de pouvoir juger une génération avec justice, afin de pouvoir juger une nation, juger le monde. En effet, la Parole doit être proclamée quelque part, et Il veille à cela pour que les élus viennent écouter cela.
122 Maintenant, nous voyons que lorsque Jésus parlait, et Il avait reconnu qu’il y avait ceux... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Trois là-bas.
123 Il y avait là ceux qui devaient donner une réponse à leurs assemblées. Il y avait là ceux qui devaient donner une réponse à leurs dénominations, que ce soient des pharisiens, des sadducéens, des hérodiens, quoi qu’ils fussent. Et ils se tenaient donc là, et ils disaient: «Cet Homme fait cela par Béelzébul. C’est un diseur de bonne aventure, en d’autres termes, c’est un télépathe. Il lit la pensée des gens.»
124 «Jésus connaissait leurs pensées.» Ils n’avaient pas besoin de le dire tout haut. Il savait ce qu’ils pensaient. Il captait leurs pensées.
125 Il est aujourd’hui le même qu’Il l’était alors; Il sait ce que vous pensez. Voyez-vous? S’Il est la Parole, Il doit demeurer la Parole. Or, dans Hébreux 4, la Bible dit que la Parole de Dieu est plus vivante, plus efficace, plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, Elle discerne même les pensées du coeur. Qu’est-ce? La Parole, la Parole de Dieu peut discerner les pensées de votre coeur.
126 C’est exactement ce qu’Il était, la Parole, et la Parole pouvait discerner les pensées du coeur. Voyez-vous? Eh bien, c’est ce qu’était la Parole. Ils auraient dû le savoir (Voyez-vous?) que c’était là la raison. Il connaissait leurs pensées, en les regardant. Et Il a dit: «Je vous pardonne cela», car Il n’avait pas encore été crucifié. Le Saint-Esprit n’était pas encore venu.
127 Mais Il a dit: «Quand le Saint-Esprit viendra», pour faire la même chose que Lui faisait, car Il a promis qu’Il le ferait (Voyez-vous?), «quand le Saint-Esprit viendra, Il vous rappellera ces choses que Je vous ai enseignées, et Il vous annoncera les choses à venir. (Voyez-vous, voyez-vous?) Eh bien, quand Il viendra faire cette même chose que Je fais, un seul mot contre Cela ne sera jamais pardonné, ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Voyez-vous, ce sera strict à ce point dans ces derniers jours. Voyez-vous? Cela va opérer une séparation. Voyez-vous?
128 Alors, Dieu en exécutant Son jugement, comme Il le fit en Eden, pourra dire avec justice: «Vous avez vu cela. Vous avez reconnu cela. J’ai prouvé cela, mais vous n’avez pas cru cela.» Voilà!
129 Maintenant, considérez ce qu’Il a fait quand Il a accompli ceci, ce qu’Il a dit. Philippe a dit: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.» Jésus lui a dit qu’il verrait de plus grandes choses que celles-là. Maintenant, ça c’était chez les Juifs.
130 Or, il y a trois races de gens sur la terre, autant qu’on–on veuille le croire, à savoir: les Juifs, les Gentils et les Samaritains. Toujours, nous... Dieu est parfait en trois. Et Noé a eu trois fils, et de ces trois fils est issue toute la race humaine.
131 Nous voyons donc que le Saint-Esprit... Pierre, le jour de... avant le jour de la Pentecôte, a reçu les clés du Royaume. Nous voyons qu’il L’a ouvert aux Juifs le jour de la Pentecôte. Ensuite, il est allé en Samarie et il Le leur a ouvert, il est revenu chez Corneille, et il L’a ouvert là. Et il n’avait plus jamais à le faire; c’était ouvert au monde (Voyez-vous?) comme cela, le Saint-Esprit. Cependant, rappelez-vous, Philippe est allé prêcher aux Samaritains et il les a baptisés au Nom du Seigneur Jésus, seulement le Saint-Esprit n’était pas encore descendu sur aucun d’eux; ils ont donc envoyé chercher celui qui avait les clés, et il leur a imposé les mains et le Saint-Esprit est venu sur eux. C’est juste. Ce sont les Juifs, les Gen-... Ces trois races de gens.
132 Or, nous les Gentils, nous étions des païens; les Romains, les Grecs et tous les autres. Nous adorions des idoles. Nous n’attendions pas de Messie. Nous n’avions que faire du Messie. Nous avions nos propres dieux, nos ancêtres. Les Juifs par contre attendaient un Messie. Et les Samaritains aussi, parce qu’ils étaient mi-Juifs, mi-Gentils.
133 Or, Jésus apparaîtra à ceux qui L’attendent, et à eux seuls. C’est tout. Il n’a aucune obligation envers l’incroyant. Mais Il a des obligations vis-à-vis du croyant. Il est tenu de le ressusciter (Voyez-vous?) dans le dernier jour; seulement vis-à-vis du croyant.
134 Maintenant, nous voyons ici que Jésus s’était révélé à ce Juif. En effet, nous en avons beaucoup d’autres; nous pourrions prendre l’aveugle Bartimée, mais pour gagner le temps... Il y en a eu beaucoup d’autres dans les Ecritures auxquels Il a prouvé exactement qu’Il était le Messie en étant un Prophète. «L’Eternel votre Dieu suscitera un prophète comme moi.»
135 Ils n’avaient pas eu de prophètes. Mais ceux qui avaient rejeté l’idée selon laquelle Il était un Prophète, devaient donner une réponse aux gens, raison pour laquelle ils ont simplement dit: «Il était un–un démon, un sorcier, ou, vous savez, il faisait cela par un certain mauvais esprit.»
136 Et Il a dit que c’était là le péché impardonnable, taxer l’oeuvre du Saint-Esprit de mauvais esprit, d’une chose impure, quand le Saint-Esprit vient rendre Sa Parole manifeste.
137 Pourquoi? Il avait été prophétisé que Jésus ferait cette chose même. En parlant aux Juifs, Il a dit: «Eh bien, qui d’entre vous peut Me condamner? Qui d’entre vous peut M’accuser de péché?» Le péché c’est l’incrédulité. Si... Il a dit: «Vous sondez les Ecritures, parce que vous pensez avoir en Elles la Vie Eternelle: ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi.» Ils auraient dû le savoir. Ils pensaient le savoir; mais ils ne le savaient pas. Ils auraient dû savoir là même qu’Il était la Parole. Il pouvait discerner les pensées mêmes de leurs coeurs et ainsi de suite, et faire très exactement ce que faisaient les prophètes.
138 En effet, Il était plus qu’un prophète, Il était le Dieu des prophètes. Il était la Tête et le–le dernier des prophètes. Aujourd’hui, Il parle Lui-même par le truchement de Son Eglise.
139 Eh bien, si nous voyons ici qu’Il s’est parfaitement identifié devant les Juifs comme étant le Messie, en prouvant qu’Il était le Prophète (Nous savons cela), il n’y a aucun autre moyen. Pas par Son habillement, pas par Sa façon de s’exprimer, ni par rien d’autre qu’en étant...
Et puis, vous dites: «Eh bien, Il chasse les démons.»
140 Il a déclaré que les pharisiens faisaient la même chose. Il a dit: «Si Moi, Je chasse les démons par le doigt de Dieu, par qui vos enfants les chassent-ils?» Voyez-vous? Donc eux aussi, ils chassaient les démons. Voyez-vous? Ainsi... Mais Lui les chassait par le doigt de Dieu, Il a dit: «Alors le Royaume de Dieu s’est approché de vous.»
141 Maintenant, nous voyons que la chose qui L’identifiait exactement comme étant le–le Messie, c’était qu’Il était le Prophète, car Messie signifie l’Oint. Et oint de quoi? De la Parole. La Parole ointe, c’est exactement comme une semence qui est arrosée et qui est dans la bonne terre; Elle manifeste exactement Sa promesse. C’est la raison pour laquelle Il a dit: «Qui peut–qui peut Me condamner? Qui peut Me dire que Je... Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Et ceci c’est la Parole. Au commencement était la Parole, la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Si Je ne fais pas ce que cette Parole a promis pour cette génération, alors ne Me croyez pas», a-t-Il dit.
142 Oh! ne serait-ce pas merveilleux aujourd’hui, si l’église pouvait dire la même chose, sur laquelle nous pouvons nous tenir? La voici: si nous ne faisons pas les oeuvres de Dieu, alors ce n’est pas Dieu. Et partout où Dieu se trouve, le surnaturel se produit, parce qu’Il est surnaturel. Voyez-vous, Il est–Il est un Esprit. Dieu est un Esprit.
143 Maintenant, nous voyons qu’Il se rendait à Jéricho, mais Il lui fallait passer par la Samarie. Eh bien, la Samarie se trouve sur la montagne. Jéricho se trouve au pied de la colline. Et pendant qu’Il était en route, au lieu de descendre directement à Jéricho, Il passe par la Samarie. Je me demande bien pourquoi. Et Il arrive à une ville appelée Sychar. Et les gens... les... Il a envoyé les disciples pour acheter des vivres, de la nourriture.
144 Et pendant que ces derniers y étaient allés pour acheter cette nourriture, Il s’est assis à côté du puits. Et c’était un puits qui offrait, disons, comme une petite vue panoramique, dans une place publique où les gens venaient puiser leur eau. Et il existe encore aujourd’hui. Et des vignes ont poussé par-dessus la muraille. Et Jésus était assis contre la muraille.
145 Et pendant qu’Il était assis là, une jeune dame est venue de la ville. De nos jours, nous l’appellerions une femme de mauvaise réputation. Et peut-être que cette enfant avait été contrainte à cela, et–et elle, peut-être que ses parents l’avaient lâchée dans la rue. Et vous comprenez ce que je veux dire. Et je pense que cette dame, cette femme, quelque chose était effectivement arrivé; les Ecritures ne nous le disent pas, mais observez ce qui est arrivé dans le coeur de cette femme. Voyez-vous? Elle est sortie puiser de l’eau, et ça devait être vers midi.
146 Selon la coutume, c’est encore l’usage aujourd’hui, les vierges sortent de grand matin puiser leur eau et elles la mettent sur la tête dans de grands vases de terre, et elles la transportent pour en prendre, pour le ménage et pour tout autre usage.
147 Mais cette jeune femme est sortie vers midi. Pourquoi? Elle ne pouvait pas s’associer aux autres, aux bonnes gens. Il ne lui était pas permis de se retrouver parmi eux. Les gens l’évitaient, et cela lui faisait de la peine, elle se tenait donc à l’écart. Elle savait quel genre de vie elle menait, elle se tenait donc loin des gens religieux.
148 Maintenant, nous voyons que lorsqu’elle est sortie, elle n’a peut-être pas remarqué Qui était assis contre la muraille.
149 Et ces cruches qu’elles ont, comme je les appelle, sont... Et certains les appellent des seaux. Elles ont des manches. Elles sont faites en–en argile. Et il y a un treuil, et juste deux crochets entrent dans les manches. On fait descendre la cruche dans le puits. Et étant... la fait basculer, et elle se remplit d’eau, et à l’aide du treuil on la fait remonter. Et elles la transportent sur la tête ou sur les hanches, pendant qu’elles marchent.
150 Et cette femme était peut-être sur le point de placer les crochets sur la–la cruche, pour la laisser descendre, quand elle a entendu une voix dire: «Femme, apporte-Moi à boire.» Et elle a regardé pour voir Qui c’était. Et là était assis un Juif de plus ou moins, disons, d’âge moyen. Et pourtant, Il n’avait que trente ans et quelques, trente-deux ou trente-trois ans à ce moment-là.
151 Et... mais Il paraissait certainement un peu plus âgé qu’Il l’était, car dans Saint Jean 6, on Lui a attribué cinquante ans. Ces gens ont dit: «Tu n’a pas plus de cinquante ans, et Tu dis avoir vu Abraham? Maintenant, nous connaissons que Tu es fou. Tu es toqué», ce qui signifie fou. «Tu as un démon.»
Il a dit: «Avant qu’Abraham fût, Je suis.» Voyez-vous?
152 Eh bien, Il devait avoir grisonné un peu, quelque chose comme ça. Il était assis là, donnant plutôt l’air d’un Homme d’âge moyen. Et Il... Elle a dit: «Eh bien, c’est contraire à la coutume.» Voyez-vous? Il y avait une–une ségrégation entre eux. Ils n’avaient pas de relations entre eux. Elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs demandiez de tels services à des Samaritains.»
Il a dit: «Mais si tu savais à Qui tu parlais.»
153 Voyez-vous, oh! Voilà! Si seulement nous le savions, quand nous lisons ceci, à Qui nous parlons! Voyez-vous? Quand vous priez, si vous... Jésus a dit: «Quand tu pries, crois que tu recevras ce que tu demandes.» Voyez?
154 «Si seulement tu savais à Qui tu parlais, c’est toi qui Me demanderais à boire, et Je te donnerais une eau que ne te donnera pas ce puits.»
155 Et la–la conversation s’est poursuivie pendant un petit moment. Elle a dit: «Eh bien, notre père...» Voyez-vous, étant une Samaritaine, elle a cependant dit: «C’est notre père Jacob qui a creusé ce puits. Et il en a bu ainsi que ses enfants; il en a abreuvé le bétail et ainsi de suite.» Mais Il a dit... «Eh bien, vous, vous dites qu’il faut adorer à Jérusalem, mais–mais d’autres disent qu’il faut adorer sur cette montagne, et ainsi de suite.»
156 Il a dit: «Nous... les Juifs... Le salut vient des Juifs. Nous, nous savons ce que nous adorons. Mais, a-t-Il dit, écoute-moi. L’heure vient, et elle est déjà venue, où le Père cherche les vrais adorateurs qui adoreront en Esprit et en Vérité.» Voyez-vous, en Esprit et en Vérité!
157 Et leur conversation se poursuivit pendant un–un petit moment. Que faisait-Il? Eh bien, vous devrez pratiquement me croire sur parole pour ceci. Voyez-vous, je pense qu’Il cherchait à découvrir où se trouvait son problème, ce qui la préoccupait. Maintenant, souvenez-vous, c’est le Père qui L’avait envoyé là-bas: «Il me faut passer par la Samarie.» Eh bien, Il a dit... Et c’est là dans Saint Jean 4.
158 Maintenant, dans Saint Jean 5.19, quand Il a guéri l’homme à la porte appelée la Belle, nous savons qu’Il... Non, excusez-moi; Il était à la piscine de Béthesda. Il a guéri cet homme, et on Lui a demandé pourquoi Il n’a pas guéri tous les autres.
159 Bon, cet homme-là. Des boiteux, des estropiés, des paralytiques, des aveugles étaient étendus là. Et voilà qu’Il est venu par là, Il est passé par cette piscine, et Il est allé vers un homme qui souffrait je ne sais de quoi. Il souffrait peut-être de la tuberculose, de la prostatite, de quelque chose comme ça. C’était chronique; il avait cela depuis trente-huit ans. Cela n’allait pas le tuer. Il n’était pas... Il pouvait–il pouvait marcher, il pouvait descendre.
160 Mais remarquez. Il a carrément traversé cette piscine où se trouvaient tous ces gens-là, des multitudes, des milliers de gens, étendus à la porte des brebis, surveillant le mouvement de l’eau. Dieu a toujours eu un moyen pour la guérison divine des gens. Et ainsi, celui qui entrait le premier avec suffisamment de foi pour tirer de l’eau la vertu, était guéri.
161 Mais remarquez. Cet Homme de Jésus est passé par là, Il était le Dieu même de la création, et Il a franchi la–la porte, et Il s’est mêlé aux gens, pensez-y tout simplement, Il avait de la compassion. Croyez-vous qu’Il avait de la compassion? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]
162 Maintenant, arrêtons-nous juste un instant et pensons à ceci. Il y a là une dame avec un bébé hydrocéphale, avec une tête peut-être grosse comme ça; Il est carrément passé. Et ici il y a un aveugle qui dit: «Que quelqu’un ait pitié de moi pour me jeter dans la piscine.» La Bible dit que c’étaient des boiteux, des aveugles, des estropiés, des paralytiques. Il y avait là un pauvre homme, dont les bras n’étaient peut-être pas aussi gros que ça. Ou une petite mère avec une ribambelle d’enfants à la maison, mais un Jésus plein de compassion est carrément passé à côté d’elle. N’est-ce pas étrange? Et pourtant Il était plein de compassion. Mais ça, c’est la Bible. Quiconque... Voyez-vous, maintenant suivez. Nous ne savons pas ce que signifie la compassion.
163 Observez-Le. Il a trouvé un homme couché sur un grabat et ce dernier pouvait marcher, et Il lui a dit: «Veux-tu être guéri?» Pourquoi celui-là? Voyez-vous, pourquoi celui-là? Maintenant, suivez et Il va vous le dire. Jésus savait que cet homme se trouvait là à ce moment précis (Voyez-vous?), depuis toutes ces années. Il l’a guéri, Il lui a dit de prendre son lit et de rentrer chez lui. Et l’homme l’a fait. Les gens l’ont vu prendre son lit, et ils ont trouvé Jésus et ils L’ont traîné devant un tribunal.
164 Ecoutez ce qu’Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Voilà la compassion, connaître la volonté de Dieu et puis l’accomplir. Voyez-vous, voyez-vous? «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit (Pas entend. Pas... Voyez-vous?)–ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.»
165 Il devait avoir eu une–une vision selon laquelle Il monterait là, «Il fallait qu’Il passât par la Samarie», et Il savait que cette femme se trouverait là. Sachant donc cela, Il est simplement allé là-bas se tenir à cette porte, Il a envoyé les disciples. Le... Ensuite, Il ne savait que faire quand la femme a commencé à poser ces questions, et ainsi de suite, Il a donc simplement attendu que le Père le Lui montre. Et quand Il a découvert son problème... Combien savent ce que c’était? Elle avait trop de maris. Et Il lui a donc parlé, disant: «Va chercher ton mari, et viens ici.»
166 «Eh bien, a-t-elle dit, je n’ai point de mari.» Cela paraissait comme une réprimande directe. Voyez-vous?
167 «Eh bien, a-t-Il dit, tu as dit la vérité, car tu en as eu cinq, et celui avec lequel tu vis maintenant n’est pas ton mari. En cela donc tu as dit vrai, tu n’as point de mari.»
168 Observez cette petite femme. Vous savez, elle pourrait enseigner l’Evangile à quatre-vingt-dix pour-cent de membres du clergé d’aujourd’hui. Voyez-vous? Pourquoi, pourquoi ces sacrificateurs se sont-ils tenus là et L’ont-ils taxé de Béelzébul, alors que leur Bible même disait que c’était bien ce qu’Il ferait? Est-ce juste? Et voici une prostituée qui se tient là, une femme de mauvaise réputation, et quand Il a dit ça à cette femme, elle n’a jamais dit: «Eh bien, Tu es Béelzébul.»
169 Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es un prophète.» Oui, oui. Maintenant, écoutez sa déclaration. «Nous voyons... Je vois que Tu es un prophète. Nous savons que, lorsque le Messie viendra, Celui qu’on appelle le Christ; nous attendons Sa Venue, quand Il viendra, Il nous annoncera ces choses. C’est ce qu’Il va faire.»
170 C’était là le signe du Messie hier. C’est cela le signe du Messie aujourd’hui, le même. Voyez-vous?
171 «Nous savons que, lorsque le Messie viendra, Il nous annoncera ces choses, mais Toi, qui es-Tu?» C’était là la question. «Je sais que Tu es un prophète. Nous n’avons pas eu de prophète depuis des siècles et des siècles et des siècles. La lettre de notre arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-grand-père ici dit qu’ils avaient un prophète, le dernier, Malachie, il y a de cela quatre cents ans et quelques; depuis lors nous n’avons plus eu de prophète en Israël; mais voici un Homme qui me dit ces choses. Tu es un prophète. Et nous attendons le Messie.»
172 Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.» C’est cela Son identification. C’est de cette manière-là qu’Il s’est identifié devant Israël. Le voici qui s’identifie chez les Samaritains.
173 «Je Le suis, Moi qui te parle.» Et sur ce, elle n’a plus jamais posé de questions là-dessus. Voyez-vous, c’était une vie que Dieu connaissait d’avance.
174 Et peu importe combien ces pharisiens essayaient d’être religieux, Jésus a dit qu’ils–ils étaient aveugles. Il a dit: «Esaïe a bien parlé de vous; vous avez des yeux, mais vous ne voyez pas. Vous avez de l’intelligence, mais vous ne comprenez pas.» Vous êtes des conférenciers, mais vous ne savez pas de quoi vous parlez. Vous êtes... Voyez-vous? Vous avez toutes ces choses.
175 En effet, voyez-vous, Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, si le Père ne l’attire, et tout ce que le Père M’a donné viendra à Moi.» Eh bien, c’est ce qu’Il a dit, n’est-ce pas? Certainement.
176 Qu’était-ce? Il y avait une... La Bible dit dans Héb-... dans le Livre de l’Apocalypse que dans les derniers jours, quand l’antichrist apparaîtra sur–sur la scène, ça sera si proche de la véritable chose que cela séduirait même les élus, si c’était possible... Cependant... Et puis, Il a encore dit: «Il séduisit sur la terre tous ceux dont les noms n’étaient pas écrits dans le Livre de Vie de l’Agneau qui a été immolé avant la fondation du monde.»
177 Voyez-vous, leurs noms ont été écrits dans le Livre de Vie, le Livre de la Rédemption. Jésus est venu racheter ceux dont les noms étaient dans le Livre. Et quand le dernier nom est racheté, l’Agneau prend le Livre et Il s’en va; c’est terminé; la rédemption est terminée; c’est clôturé. Ceux...
178 Et qu’était-elle? Elle était une personne dont le nom se trouvait là. Peu importe la condition dans laquelle elle se trouvait, dès que cette véritable Lumière de l’Evangile a frappé cette petite prostituée, elle a reconnu Cela. Pourquoi? Il y avait quelque chose là à l’intérieur pour déclencher cela. Voyez-vous? Elle a reconnu cela.
179 Vous pourriez mettre de l’eau dans de l’essence, cela fera simplement obstacle à la chose; mais qu’un petit feu touche cela une fois, observez ce qui arrive. Voyez-vous? Il faut l’étincelle de la foi dans la Parole de Dieu. Quand la personne est convaincue que c’est la Vérité, quelque chose se produit.
180 Elle n’a plus posé une seule question. Elle était convaincue que c’était le Messie en question. Pourquoi? Il s’était pleinement identifié. Juste comme l’a dit Philippe: «Eh bien, Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.»
181 Il y avait là ceux qui ont dit: «C’est... C’est un diseur de bonne aventure, c’est ce qu’Il est.»
182 Il a dit: «Vous ne pourrez pas être pardonné pour cela quand le Saint-Esprit fera cela, (Voyez-vous?) a-t-Il dit.»
183 Mais maintenant, voyez ici comment Il s’est identifié devant elle. Et elle a vite couru dans la ville, et elle en a parlé aux autres.
184 Eh bien, en fait, s’il y a quelqu’un de l’Orient ici, vous, la Bible devient un nouveau Livre pour–pour un homme de l’Occident qui va une fois en Orient (Voyez-vous?), car toutes les coutumes, ils continuent à les observer de la même façon. Elle n’avait pas le droit d’entrer dans la ville pour parler aux hommes. Elle ne pouvait pas le faire. En fait, ils ne l’écouteraient pas.
185 Mais elle avait un message, si bien que rien ne pouvait l’arrêter. Voyez-vous? Elle avait trouvé la Vie, quelque chose qui l’avait frappée. Elle est entrée dans la ville en courant et elle a dit aux gens: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce pas le Messie même? N’est-ce pas là ce que nous attendons?»
186 Etant identifié comme le Messie... Et la Bible dit que lorsque Jésus est entré dans la ville, Il n’a plus jamais fait cela, pas avec eux. Mais ils ont cru le témoignage de la femme (Voyez-vous?) et ils ont reçu Jésus. Il n’a pas guéri de malades; Il savait que Philippe viendrait faire cela, et les redresser donc, après que le Saint-Esprit serait venu. Ainsi Il leur a simplement révélé qu’Il était le Messie.
187 Maintenant, suivez. Là, c’était les Juifs qui ont reconnu Jésus. Il fut identifié comme Messie à la fin de leur dispensation, et c’est comme cela qu’Il l’a fait.
188 C’était pareil pour les Samaritains, ils attendaient un Messie. C’est de cette manière-là qu’Il s’est identifié comme Messie.
189 Maintenant, voici deux mille ans depuis que les Gentils ont reçu l’Evangile. Or, notre dispensation tire à sa fin, l’âge de l’église; nous sommes à la fin. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il ne change jamais Ses plans.
190 Et s’Il se tenait au milieu de nous ce soir, Il ne serait pas un homme portant de magnifiques vêtements sacerdotaux, un certain discoureur, ni un certain conférencier, ni quelqu’un de ce genre-là, mais Il nous prouverait qu’Il est le Messie. Voyez-vous? Il a dit quand Il était ici sur terre, Il a dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.»
191 Suivez ceci très attentivement. Du temps de Sodome, comme toujours, il y a eu trois catégories de gens. Trois, c’est un nombre parfait, nous le savons. Et sept, c’est l’achèvement. Quarante, c’est la tentation. Cinquante, c’est le jubilé. Vous connaissez les mathématiques des Ecritures.
192 Mais maintenant remarquez. A–à Sodome, c’est là qu’il y avait vos trois catégories de gens. Il y avait vos Sodomites, qui étaient des incroyants. Il y avait Lot et son groupe qui étaient des croyants tièdes, l’église naturelle. Il y avait Abraham, l’homme spirituel, appelé hors de, l’élu, qui était là dans le désert, loin de Sodome.
193 Suivez; un jour trois Anges sont descendus du Ciel. Les péchés de Sodome étaient tout autant abominables que ceux du monde d’aujourd’hui. Ces Anges sont descendus. Eh bien, Ils étaient... Ils avaient l’apparence des hommes; Ils étaient habillés comme des hommes; Ils avaient de la poussière sur Eux et leurs pieds étaient sales pour avoir marché. Et pendant qu’il était assis sous le chêne, Abraham Les a vus venir à distance.
194 Maintenant, nous allons nous référer à ce que Jésus a déclaré devoir arriver au temps de la fin, juste avant Sa Venue. Eh bien, rappelez-vous, les Sodomites étaient des Gentils.
195 Remarquez. Maintenant, nous voyons ici que ces Hommes se sont approchés. Et Abraham, spirituellement, a remarqué que ces Hommes avaient quelque chose de différent par rapport aux étrangers ordinaires. Il y a vraiment quelque chose, quand un croyant rencontre un croyant, quand un croyant rencontre la Parole.
196 Lorsque... quelque chose comme pour cette femme-là. Voyez-vous? Ils–ils sont ordonnés à cela. Ils ne peuvent s’empêcher d’y croire. Il y a quelque chose qui les frappe (Voyez-vous?), ils saisissent cela.
197 Et quand Abraham a vu ces Hommes venir, il est sorti. Et il a dit: «Mon Seigneur, je vous prie de venir et de permettre que je prenne un peu d’eau pour vous laver les pieds. Et je vous donnerai en main un morceau de pain et vous continuerez votre chemin, car c’est pour cela que vous passez par ici.» Ils se sont arrêtés.
198 Eh bien, Abraham vivait dans une énorme tente. Et ses nombreux serviteurs, qui suffisaient pour combattre contre une armée, vivaient là tout autour. C’étaient des bergers. Il est donc entré en courant et il a dit à son épouse, Sara, de pétrir de la farine, ou plutôt de la fleur de farine. Vous savez, elle a pétri cela, et disons qu’elle a passé cela au crible. Et elle a fait des gâteaux et les a mis sur le foyer. Et–et puis il est aussi allé à son troupeau et il a trouvé un veau gras, et–et il l’a tué, et il l’a donné à son serviteur et a dit: «Apprête-le, et fais des–des steaks.» Et il est allé s’entretenir avec les Hommes.
199 Rapidement, il est retourné prendre la farine et le–le pain, et il a pris la... du lait et de la viande, et il est venu mettre cela devant Eux. Et la Bible dit: «Ils mangèrent effectivement. Ils mangèrent.»
200 Et remarquez, l’Un d’Eux qui ne cessait de regarder en direction de Sodome, a dit: «Je ne veux pas garder ceci secret.»
201 Deux d’entre Eux se lèvent et continuent. Ils vont à Sodome. Un Billy Graham et un Oral Roberts modernes, qui continuent tout simplement leur chemin (Voyez-vous?), ils sont en route pour là-bas (Voyez-vous?), ils descendent chez les Sodomites pour proclamer l’Evangile, comme Billy Graham et les autres le font.
Avez-vous déjà remarqué cela? Gardez ceci maintenant. J’espère que je ne dis rien de faux. Mais nous l’abordons d’un point de vue spirituel.
202 Vous ne devez–vous ne devez jamais considérer les choses selon le naturel. Considérez l’esprit de toute chose. Si vous voulez considérer une ville, considérez-en l’esprit. Quand vous considérez une famille, considérez les esprits qu’il y a dans cette famille. Quand vous considérez un homme, considérez l’esprit qui est en lui. Voyez-vous, tout ce que vous considérez, tout doit avoir un motif et un objectif. Voyez-vous?
203 Et suivez ici. Savez-vous que de tous les grands hommes que nous avons eus, Sankey, Finney, Moody–Moody, Knox, Calvin et tous les autres, il n’y a jamais eu encore un homme dans le champ avec un ministère destiné à l’église nominale et [dont le nom] se terminait par h-a-m, comme A-b-r-a-h-a-m, G-r-a-h-a-m. Jamais auparavant. Il est en plein dans Sodome, voilà la raison. Cet homme accomplit une merveilleuse oeuvre. C’est là qu’il est censé être. Voyez-vous? «H-a-m» signifie «père des nations». Voyez-vous?
204 Remarquez maintenant, l’un d’eux est descendu là pour prêcher aux Sodomites. Ils sont descendus là.
205 L’Un d’eux est resté là en arrière avec Abraham. Remarquez maintenant, quelques jours avant cela il était Abram, et elle, Saraï, pas S-a-r-a. Voyez-vous? C’est S-a-r... Et maintenant il est A-b-r-a-h-a-m. Mais remarquez, Il l’a appelé par son nouveau nom: «Abraham, où est ta femme, S-a-r-a, Sara? Où est-elle?»
206 A cette époque-là, les femmes étaient un peu différentes de ce qu’elles sont aujourd’hui (Voyez-vous?); elles ne venaient pas s’ingérer dans les affaires de leurs maris. Elles étaient derrière et restaient... Elle était derrière dans la tente. Il a alors dit... Il a dit: «Elle est dans la tente, derrière Toi.»
207 Il a dit: «Abraham, Je (pronom personnel), Je vais te visiter selon la promesse que Je t’ai faite.» Qui était-ce? Voyez-vous? Qui était cette Personne assise là, avec des habits couverts de poussière? «Je vais te visiter selon la promesse que Je t’ai faite.»
208 Et Sara, étant une vieille femme, elle a un peu (comme on le dirait aujourd’hui), elle a un peu ricané, vous savez, elle a ri sous cape. «Moi, une vieille femme...» Elle avait alors cent ans. Voyez-vous? Elle a dit: «Moi, une vieille femme, vieille, et mon seigneur (c’est-à-dire son mari) qui est aussi vieux, avoir du plaisir!» Eh bien, nous avons un auditoire mixte, mais je... Vous écoutez votre médecin, et moi je suis votre frère. Voyez-vous, les rapports avaient certainement cessé depuis plusieurs, plusieurs années (Voyez-vous?), et ils–ils n’avaient donc plus de relations conjugales. Et il a dit... «Moi, avoir du plaisir avec mon seigneur, lui qui est vieux?» Elle a douté de cela.
209 Et l’Ange, le Messager, l’Homme, l’Humain, dans la chair humaine, mangeant du veau et buvant du lait de vache, et mangeant du pain, Il a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri derrière Moi?» Voyez-vous? Pensez-y.
210 Jésus a dit que cela se répéterait: «Ce qui arriva.» A quoi? Maintenant, rappelez-vous, cette Personne-là n’a pas fait ça à Sodome. Il a manifesté ce signe uniquement ici devant le groupe élu qui ne passerait pas par le feu. Rappelez-vous, c’était juste avant que les royaumes des Gentils alors connus ne soient brûlés. Et c’est exactement ce qui va se passer maintenant. C’est ce que nous attendons maintenant même. «Dieu, a dit Jésus, sera rendu manifeste (en d’autres termes) dans les derniers jours, dans des êtres humains. Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.»
211 Et, rappelez-vous, l’élu n’a plus vu aucun autre signe après cela. Pas une seule fois Dieu est apparu à Abraham après cela. Il n’y a rien eu d’autre du tout, sinon que Sara fut immédiatement changée en une jeune femme et Abraham en un jeune homme. Et ils ont effectué un déplacement et Abimélec est tombé amoureux d’elle et a voulu l’épouser, elle qui était âgée de cent ans! Et ils ont eu cet enfant. Pourquoi? Ils attendaient un fils promis.
212 Et c’est ce que nous attendons aujourd’hui: un Fils promis. Et avant que ce Fils promis n’arrive, l’Eglise élue doit voir Dieu manifesté dans la chair, révéler les secrets des coeurs et discerner les choses qui ont été faites: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»
213 Rappelez-vous, celui qui est là-bas à Bab-... ou plutôt à Sodome, ce soir, en train de leur donner un message, un noble frère, Billy G-r-a-h-a-m, c’est seulement six lettres, G-r-a-h-a-m; le sien c’était A-b-r-a-h-a-m, le messager de l’église nominale, leur proclamant cela, exactement. Et qu’a-t-il fait? Il n’a accompli qu’un seul miracle, il les a frappés d’aveuglement. Et la prédication de la Parole frappe l’incroyant d’aveuglement. Oui, lui croyait. Evidemment, il croit ceci; mais il était envoyé, dit-il, vers ces politiciens, pour les frapper. Et c’est tout à fait juste, le voilà donc dans la Babylone du monde, là-bas dans la–dans une Sodome moderne, prêchant à ces dénominations, les martelant.
214 Et les gens n’acceptent même pas cela avec sincérité. L’autre soir à Los Angeles, au grand rassemblement, j’en ai vu des centaines et des centaines venir pour prendre une décision. Des jeunes gens venaient, des adolescents, en se donnant des coups l’un à l’autre, en mâchant du chewing-gum, et en s’arrachant les cheveux les uns aux autres, en faisant des scènes, et ils venaient pour prendre une décision! Il n’est pas étonnant que ce soit une Babylone. Il n’est pas étonnant que ce soit une Sodome. La chose entière est prête pour être brûlée.
215 Dieu est ici. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Sa puissance est exactement la même aujourd’hui qu’elle a toujours été. Il ne faillit pas. Il ne peut faillir. Il est Dieu. Il doit demeurer Dieu. C’est juste. «Messieurs, nous voudrions voir Jésus», pas entendre la mécanique, voir Sa dynamique. Croyez-vous cela? Eh bien, cette semaine, nous allons L’attendre; nous allons attendre qu’Il marche parmi nous et nous montre qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
216 Regardez au moment où Il fut crucifié; les vieux critiqueurs, ces soldats romains ivres sont venus là et ont mis un chiffon sur Son visage, et ils L’ont frappé à la tête, en disant: «Maintenant, si Tu es un prophète, prophétise et dis-nous qui T’a frappé.» Voyez-vous? Il n’a pas fait le clown pour le diable. Il n’a point ouvert la bouche et dit un seul mot. Naturellement, Il le savait. Ils se passaient le bâton l’un à l’autre, en disant: «Dis-nous qui T’a frappé maintenant, et nous croirons en Toi.» Voyez-vous, ça ce sont les critiqueurs; eux n’y croyaient pas. Il était un prophète, mais Il n’a pas fait le clown pour les gens.
217 Il ne s’agit pas ici des attractions. Ceci n’est pas une chose quelconque, un spectacle à l’estrade. C’est la Présence de Jésus-Christ. C’est Sa puissance parmi les gens, et nous devons y entrer avec la plus grande sincérité.
218 Satan a dit: «Si Tu es le Fils de Dieu... Tu as dit que Tu pouvais accomplir des miracles, fais ceci ou cela devant moi.»
219 Il a dit: «Arrière de Moi, Satan. (Voyez-vous?) Il est écrit (C’est juste) que tu serviras le Seigneur et que tu L’adoreras Lui seul.» Ainsi nous... Ou plutôt: «Tu adoreras le Seigneur, et tu Le serviras Lui seul.»
220 Maintenant, nous savons qu’Il est le même. Eh bien, si nous sommes venus ce soir, nous voyons si... Jésus ne peut faillir car Il est Dieu. Il est la Parole. La Parole et Christ, c’est la même chose. Si donc la Parole promet (la Parole) que ceci doit arriver dans les derniers jours, que l’Esprit d’Elie doit même retourner dans les derniers jours (C’est juste) sur les gens, et qu’Il doit ramener les coeurs des pères... des enfants aux pères, à la doctrine, aux principes de la Bible... Les gens se sont éloignés avec la dénomination, l’organisation. Et la grande puissance de Dieu doit venir sur les gens, avec le Maître de la paix qui amènera leurs coeurs à se souvenir qu’Il reste toujours Dieu, qu’Il est Dieu. Jésus a promis que les choses qu’Il a faites, Ses croyants les feraient: «Les oeuvres que Je fais.»
221 Un homme a dit: «Oh! nous les faisons. Nous faisons de plus grandes oeuvres.»
222 J’ai dit: «Faites simplement les oeuvres qu’Il a faites. C’est ce qu’Il a dit. Voyez-vous? Faites d’abord cela.»
223 Il a dit: «Eh bien, nous avons là des frères dans les dénominations, qui prêchent l’Evangile à travers le monde entier. Ils ne pourraient faire cela.»
J’ai dit: «Alors, faites d’abord les oeuvres qu’Il a faites, puis nous en parlerons.»
224 Donnez-vous un enseignement? Pourtant Jésus n’a jamais dit: «Allez par tout le monde, enseignez ceci, cela.» Il a dit: «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle.» «Prêcher», c’est-à-dire «démontrer la puissance du Saint-Esprit». «Voici les miracles qui accompagneront», cela ne vient pas par un enseignement; (C’est juste. Voyez-vous?) «ceux qui auront cru». Cela ne vient pas par des enseignements. Cela vient par la Présence du Dieu vivant oeuvrant parmi, dans la chair humaine, confirmant Lui-même qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est juste. Il ne manque jamais d’être le même. Cela vient de manière si simple. La simplicité de la chose fait que l’esprit intellectuel s’en éloigne.
225 C’est ce qui fait qu’ils n’ont pas cru en Jésus. «Comment un homme pouvait-il... Eh bien, toi qui es né dans le péché, comment peux-tu venir nous enseigner ce qu’il faut faire? Nous sommes des sacrificateurs. Nos pères, nos grands-pères, étaient des sacrificateurs. Nous–nous, nous connaissons cette Bible parfaitement. Et Tu oses venir nous dire ce qu’il faut faire?»
226 Il a dit: «Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir ses oeuvres.» Voyez-vous? Et, eh bien, oh! la la! C’était une drôle de chose à dire à un groupe de membres du clergé comme cela.
Mais il a dit: «Eh bien, nous avons Moïse. Nous sommes... nous savons...»
227 Il a dit: «Si vous croyiez Moïse, vous M’auriez connu, a-t-Il dit, car Moïse a parlé de Moi. Moïse a parlé de Mon jour. Et si vous ne pouvez pas croire les paroles de Moïse, comment allez-vous Me croire?» C’est juste. Certainement. Il a dit: «Si vous ne pouvez pas Me croire, en tant qu’un Homme, alors croyez les oeuvres que Je fais; elles rendent témoignage de qui Je suis.»
228 Eh bien, c’est pareil. Le Glorieux Saint-Esprit, le Messie, l’Oint, vient sur nous aujourd’hui, et Cela produit exactement Sa Vie.
229 C’est exactement comme Beethoven qui reproduirait Beethoven; si la vie de Beethoven était en moi, eh bien, je composerais des chansons. Si la vie de John Dillinger était en moi, je serais un criminel, si c’est la vie de–d’un autre personnage, quoi qu’il fût, cela serait en moi, dans ma vie.
230 Et si la Vie de Jésus-Christ est en vous, c’est exactement ce que vous serez. Voyez-vous, c’est exact; vous ferez Ses oeuvres. C’est Jésus qui l’a dit.
231 Je sais que c’est très dur pour les gens qui ne croient pas dans le surnaturel, et ainsi de suite. Et je suis très en retard, les amis, mais permettez-moi de vous dire ceci, en terminant. Ne–ne–ne fermez pas votre coeur à cela. Venez, soyez tout simplement–soyez tout simplement raisonnables, ayez du bon sens. Voyez-vous?
232 Venez, lisez les Ecritures et voyez si ces choses sont justes, voyez si c’est de cette manière-là que le monde a su qu’Il était le Messie, voyez si c’est de cette manière-là qu’Il s’est identifié. Et si c’est de cette manière-là qu’Il l’a fait à l’époque devant ces deux races de gens, les Samaritains et les Juifs, parce qu’ils L’attendaient, maintenant au moment où nous L’attendons... Rappelez-vous, ils avaient eu des milliers d’années d’enseignement, plus de deux mille ans d’enseignement annonçant Sa Venue et ce qu’Il serait. Et quand Il est venu, c’est de cette façon-là qu’Il s’est identifié.
233 Eh bien, s’Il vient aussi à la fin de l’âge des Gentils, Il doit s’identifier de la même manière, sinon Il n’est pas le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il leur a donné... S’Il laisse cet âge des Gentils y entrer par une conception intellectuelle, alors Il a certainement causé du tort aux autres (Voyez-vous?), car Il avait accompli cela pour leur montrer qu’Il était cette Parole. Et Il doit faire la même chose.
234 Pourtant ils étaient enseignés, c’étaient de grands conducteurs religieux, ils étaient de loin supérieurs à ceux que nous avons aujourd’hui. Ils étaient une nation, une nation dirigée par les lois de la Bible. C’est ce qu’ils étaient. Nous, par contre, nous sommes censés l’être, mais, oh, miséricorde, nous savons tous que nous sommes à des millions de kilomètres de cela. A cette époque-là, les gens ne pouvaient pas vivre comme ils vivent aujourd’hui. Des hommes avec quatre ou cinq femmes... épouses, on les lapiderait à mort. Et les–et les choses que nous faisons aujourd’hui, et nous nous disons une nation religieuse, nous ne pouvons pas faire cela, ou plutôt ils ne pouvaient pas faire cela. Ils pouvaient... Nous, nous le pouvons, mais pas eux. C’est parce qu’ils devaient être enseignés. Chaque homme devait être circoncis. Il devait l’être, sinon il était lapidé. Si même il portait un trop grand fardeau le jour du Sabbat, qu’il transportait assez d’encre pour écrire beaucoup de lettres, il était lapidé. Il devait être religieux. Et ils étudiaient cette Bible jour et nuit, cependant ils ont manqué de reconnaître leur Messie au moment où Il se tenait juste au milieu d’eux, alors que la Bible leur disait que c’est exactement ce qu’Il ferait.
235 Maintenant, nous le savons comment? Si je disais: «Ai-je une main?» Je ne sais pas si ceci produira une ombre ou pas; non, la lumière est trop intense. Mais lorsque vous vous éloignez de la lumière, et que vous regardez votre main, vous voyez ce qu’est l’ombre. Si vous n’avez jamais vu votre main ou que vous ne vous êtes jamais vu vous-même, si vous voyez ce qu’est votre ombre, alors vous saurez ce que sera la réalité, car elle ne fait que refléter ce que vous êtes. Voyez-vous?
236 Or, nous savons ce qu’était Christ, en tant qu’ombre, la façon dont Il s’est manifesté. Voyez-vous? Et nous savons ce qu’Il a fait autrefois, maintenant cela doit se refléter en nous. L’Evangile, Christ, tel qu’Il a reflété la chose autrefois, tel Il la reflète aujourd’hui, cela fait qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Croyez-vous cela?
237 Inclinons la tête juste un instant pour la prière. Maintenant, que chacun soit aussi respectueux que possible pendant quelques instants donc.
238 Je suis désolé que Billy n’ait pas pu distribuer des cartes de prière. Je–j’en suis désolé. Nous allons les distribuer demain, je pense, à la réunion, ou bien attendre... Aurez-vous un service le matin? Non. Ce sera un service du soir. Venez demain soir vers 19 h, 19 h 15 pour recevoir votre carte de prière. Nous allons prier pour les malades, le Seigneur voulant.
239 C’est Jésus-Christ qui guérit. Maintenant, rappelez-vous, les amis, aucun homme ne peut guérir. Non. Aucun homme ne peut sauver. Jésus-Christ, «Il a été blessé pour vos péchés.» Jésus-Christ a pardonné chaque pécheur, mais cela ne vous sera bénéfique que si vous acceptez cela. C’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéri. Vous devez croire cela maintenant. Vous avez été guéri, pas vous le serez. Vous l’êtes déjà, mais vous devez l’accepter. Maintenant, croyez cela de tout votre coeur.
240 Dites donc, j’étais juste en train de réfléchir. Au fait, combien ici croient vraiment cela en cette première soirée, levez la main, vous qui croyez que ce que je vous ai dit est la vérité?
241 Prions. Nous n’allons pas attendre des cartes de prière. Le Saint-Esprit est tout aussi grand maintenant que si vous aviez des cartes de prière. La carte de prière vous donne simplement... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
242 Inclinez la tête. Je voudrais vous poser une question. Une fois, Jésus de Nazareth... Si jamais vous m’attrapiez faisant quelque chose qui ne soit pas scripturaire, que cette Bible ne mentionne pas, vous êtes lié par le devoir de venir me voir (Voyez-vous?) pour me le dire.
243 Jésus-Christ a dit... Quand Il était ici sur terre, Il voulait traverser la mer, et Il s’est arrêté. Et pendant qu’Il était en route, un homme répondant au nom de Jaïrus est venu vers Lui, et il était... sa fillette était très malade, et elle se mourait. En fait, elle est morte avant qu’Il n’arrive là.
244 Et il y avait une femme qui vivait peut-être sur la colline, qui avait entendu parler de Lui, et sa foi croyait vraiment que c’était–qu’Il était le Messie.
245 Il y avait donc beaucoup de scribes et de pharisiens qui se tenaient là, disant: «N’écoutez pas cet homme. Cet homme va vous déchirer, vous embrouiller complètement. Vous allez quitter la synagogue. Et Il–Il ne... Vous–vous ne saurez pas quoi croire. N’écoutez pas cet homme.»
246 Mais cela n’a pas arrêté cette petite femme. La Bible dit qu’elle souffrait d’une perte de sang depuis plusieurs années. Et elle avait dépensé tous ses moyens de substance en les donnant aux médecins. Et sans doute que les médecins avaient fait de leur mieux pour aider cette petite femme, mais ils n’y étaient pas arrivés. Elle souffrait toujours d’un écoulement de sang, et elle était pâle, elle paraissait peut-être maladive. Et tout à coup, elle entendit quelque chose. «Quel est ce bruit là-bas sur le rivage?»
On a dit: «Ce Prophète de Galilée est en train de passer.»
«Ce Jésus-là?»
247 Voyez-vous, Jésus, c’est juste un nom juif commun. Je connais beaucoup de gens qui portent le nom de Jésus. Juste là où je vis là en Arizona, je connais trois ou quatre hommes justes là-bas, et même des ministres, qui portent le nom de Jésus.
248 Mais Celui-ci c’est Jésus le Christ, l’Oint (Voyez-vous?), le Fils de Dieu. Et ce Prophète de Jésus était en train de passer. Elle savait que–que... Il était un prophète. Et elle savait que Dieu était la Parole, et qu’Il vient à Ses prophètes, elle s’est donc dit: «Si seulement j’arrive à toucher le vêtement de cet Homme, je serai guérie.»
249 Connaissez-vous cette histoire? Très bien. Rappelez-vous, elle s’est faufilée à travers la foule.
250 Eh bien, quiconque connaît le vêtement palestinien sait qu’il est constitué d’un sous-vêtement et d’une robe, et cela pend librement quand on marche. Tous les hommes, toutes les femmes, et tout le monde le portaient. Et ça descend jusqu’en bas, et ils portent comme des bas aux–aux jambes, et tout, pour empêcher la poussière et tout de se déposer sur leurs jambes. Et quand ils marchent, évidemment, le vêtement ramasse la poussière.
251 Et donc pendant qu’ils passaient, peut-être qu’elle a dû se traîner près d’eux. Et tout le monde passait les bras autour de Lui, disant: «Rabbi Untel!» Et d’autres disaient: «Eh bien, Il est... Il ne vaut rien.» C’était des foules mélangées; on a ça partout et toujours. Cependant cette petite femme s’est faufilée et a touché le bord de Son vêtement. C’était Son vêtement du dessus. Maintenant, vous, moi je ne sentirais jamais cela, vous non plus, si je touchais votre veste ou si vous touchiez la mienne, et que celle-ci se frottait contre vous. Avec cet ample vêtement palestinien qui pendait si loin de Ses pieds, bien sûr, physiquement, Il n’a pas du tout senti cela. Et elle a touché Son vêtement, elle est retournée s’asseoir, ou quoi que ce soit qu’elle a fait.
252 Jésus s’est arrêté et Il a dit: «Qui M’a touché?» Est-ce vrai? Très bien. Maintenant, suivez.
253 Eh bien, ça c’était Jésus hier. Et personne n’a rien dit, et Il a regardé tout autour dans l’assistance jusqu’à ce qu’Il a découvert où se trouvait cette foi, et Il le lui a révélé.
254 Il a dit: «Ta foi t’a sauvée. Ta perte de sang s’est arrêtée.» Est-ce juste? «Ta foi...» Eh bien, ça c’était Jésus hier. Maintenant, c’est... La Bible dit...
255 Eh bien, je sais qu’il y a assis ici beaucoup de prédicateurs et des érudits très compétents. Maintenant, la Bible ne dit-Elle pas dans l’Epître aux Hébreux, au chapitre 3, qu’Il est maintenant même le Souverain Sacrificateur qui vit à jamais pour faire intercession sur base de notre confession? Est-ce juste? Un Souverain Sacrificateur qui vit à jamais pour faire intercession, et qui peut-être touché par le sentiment de nos infirmités. Est-ce juste? Eh bien, si vous L’avez touché, comment sauriez-vous que vous L’avez touché? Il agirait de la même façon qu’Il a agi hier. Est-ce juste? Voyez-vous?
256 Maintenant, si vous Le touchez, Lui, pas quelqu’un d’autre; Lui, si vous Le touchez... Il est le Souverain Sacrificateur, et vous Le touchez par le sentiment de vos infirmités. «Seigneur Jésus, je suis malade. Je suis condamné à mourir, les médecins me disent que je ne peux pas survivre, mais de toute façon...» Ou bien, «J’ai dépensé mon argent. Je–je n’ai pas de quoi aller chez un médecin.» Et que sais-je encore qui serait votre problème, ou même «Je n’ai pas été chez les médecins», quoi que ce soit. Et dites: «Seigneur Dieu, je suis Ton serviteur.» Et si ce n’est pas le cas, dites: «Je serai Ton serviteur. Je–je crois en Toi. Il y a quelque chose dans ce qui a été lu ce soir, et qui m’a été dit, et qui semble être la Bible. Et j’ai lu cela et je sais que c’est la vérité. Et cet homme essaie maintenant de mettre notre foi au défi, de mettre notre foi au défi, ici même à New York, à New York; et il nous dit que Tu demeures le même, que Tu es en cet instant même le Souverain Sacrificateur et que Tu agiras sur la même base, si seulement je peux Te toucher. Seigneur, permets que je touche Ton vêtement.»
257 Maintenant, comment le sauriez-vous? Eh bien, le seul moyen pour vous de le savoir, c’est: «Maintenant, je sais que frère Branham ne me connaît pas, et il n’est qu’un homme. (Voyez-vous?) Il n’est qu’un homme qui se tient là; c’est tout. Il ne sait rien à mon sujet. Mais si je peux Te toucher, alors parle-lui et qu’il me parle.»
258 En effet, Dieu n’oeuvre que par le truchement des hommes. Combien savent cela? C’est exact. Il ne fait rien sans l’homme. Absolument pas. «Il ne fait rien sans le révéler premièrement à Ses prophètes.» Est-ce ce que dit la Bible? C’est-à-dire Ses prédicateurs. Oui.
259 Maintenant, croyez-le de tout votre coeur et dites: «Seigneur Jésus, permets...» Maintenant, ne soyez pas–ne soyez pas nerveux, agité (Voyez-vous?); vous vous pressez; vous sautez par-dessus la chose; vous essayez d’en faire quelque chose. Eh bien, c’est si simple.
260 Combien ici me sont inconnus et sont malades? Faites-le savoir en levant la main, et dites: «Je–j’ai besoin de la guérison.» Eh bien, c’est pratiquement tout le monde.
261 Je ne connais personne ici, exactement, à qui parler, ou que je connais. Je connais ce frère Anthony qui est assis ici. Je... C’est environ... Et maintenant, frère, je pense que c’est frère Tyler qui est assis juste là, je pense. N’est-ce pas là–n’est-ce pas frère Pat Tyler? Oui. Très bien. Et c’est ce que je pensais.
262 Maintenant, pour connaître quelqu’un d’autre, il se pourrait–il se pourrait que je vous ai déjà vu et que vous m’ayez déjà vu, mais le Père céleste sait que je ne connais personne en ce moment ici derrière. Oui, je connais ce garçon qui est assis ici et qui enregistre les bandes; en effet, c’est l’un des garçons qui s’occupent de nos bandes. Et en dehors de cela... Son père doit être quelque part ici, car je pense qu’ils sont ensemble. Etes-vous là, Frère Sothmann? Où êtes-vous? Oh! il est tout au fond derrière. Très bien.
263 Maintenant, vous-même, je sais qu’il se fait tard, et nous... Je pense que nous aurions dû être partis d’ici depuis longtemps, mais juste–juste un instant.
264 Faire une déclaration, c’est une chose; que Dieu confirme que c’est vrai en est une autre. Maintenant, si je dis que vous avez le droit de ne pas... Non, vous n’avez pas le droit de douter de cela, parce que je lis cela dans la Bible. Voyez-vous? Vous ne... Voyez-vous? Mais si donc Dieu confirme que c’est ainsi, alors vous saurez si c’est vrai ou pas.
265 Maintenant, avec humilité, inclinons la tête pour la prière.
Seigneur Jésus, je sais que ceci est un grand défi. C’est peut-être un défi que je–je–je n’aurais pas dû lancer. Je ne sais pas. Mais je sens que beaucoup de ces gens ont déjà assisté aux réunions, ils–ils Te connaissent et ils savent que Tu–Tu es sur la terre aujourd’hui. Et ils savent que Tu–Tu tiens Ta Parole en Te faisant représenter par l’homme qui est ton agent. Et, Seigneur, veux-Tu parler même à une, deux, ou peut-être trois personnes. Et il est dit: «Que toute l’affaire se règle sur la déclaration de deux ou trois témoins.» Fais qu’il y ait au moins trois personnes ici, Seigneur, qui me sont inconnues, auxquelles Tu vas parler. Et laisse-les toucher Ton vêtement, puis permets que j’aie la vision pour savoir quoi dire. Permets que le Saint-Esprit utilise mes lèvres de façon si gracieuse, Seigneur, comme–comme Tu as une personne si indigne. Et personne d’entre nous n’est digne, personne d’entre nous; mais quelqu’un doit le faire. Ainsi je prie, ô Dieu, que Tu fasses cela ce soir, je Te prie. Afin que cela soit connu de cette grande ville qui est destinée au jugement qui ne tardera pas. Nous savons que le monde entier ne peut subsister dans cet état. Et il se peut qu’il y ait ici des gens qui ne seront plus, c’est peut-être la raison pour laquelle je fais ceci, je dis ceci. Je Te prie, ô Père, de faire que cette Parole que j’ai prêchée (c’est Ta Parole) soit révélée, au Nom de Jésus.
266 Maintenant, gardez simplement la tête inclinée et priez tout simplement, dites: «Seigneur Jésus, laisse-moi toucher Ton vêtement.» Maintenant, quand vous aurez fini de prier, levez alors les yeux et regardez ici, afin que vous soyez...
267 Maintenant, je ne vous dis pas de me regarder; vous savez tous cela. Quand Pierre et Jean sont passés par la porte appelée la Belle, ils ont dit au boiteux: «Regarde-nous», cela ne voulait pas dire... En d’autres termes: «Prête attention à ce que je te dis.»
268 Maintenant, priez, dites: «Seigneur Jésus, frère Branham ne me connaît pas, mais Toi, Tu me connais. Laisse-moi tout simplement toucher Ton vêtement, car il vient de me dire que Tu es le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de mes infirmités, et il m’a dit que Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement, et que Tu réagirais exactement de la même manière que Tu l’avais fait à l’époque, quand cette femme a touché Ton vêtement. Et cela ôtera certainement de moi tout doute, car je–je saurai alors que Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement.»
269 Et alors, l’Ecriture sera parfaitement accomplie. Nous pourrons connaître Jésus ce soir tel qu’on L’a connu autrefois. «Messieurs, nous voudrions voir Jésus.» Si je venais avec des cicatrices de clous dans ma main, je serais... je pourrais être un hypocrite. Vous ne Le reconnaîtriez pas par cela. Vous ne Le reconnaîtriez pas par Son habillement. Vous Le reconnaissez par Sa Vie; c’est ce qui L’a identifié comme étant le Serviteur de Dieu, le Prophète. Maintenant, priez tout simplement et ayez la foi.
270 Voici une dame. Je ne veux rien lui dire, parce que vous pouvez voir ce qu’elle a comme problème. La dame qui est assise ici, je pense qu’il s’agit d’elle, elle a un goitre pour lequel elle prie. Ce n’est pas visible à son cou. Mais vous pouvez regarder son cou dans un sens, mais quand elle a ramené sa jupe en arrière, c’est devenu visible. Je ne vous connais pas. Mais si vous croyez de tout votre coeur, cela vous quittera. Oui. Je–je–je–je...
271 Si seulement–seulement vous avez la foi maintenant, ne doutez pas. Priez tout simplement et dites simplement: «Seigneur Jésus, j’attends de toucher Ton vêtement. Révèle-Toi à moi.»
272 Vous dites: «Qu’attendez-vous, Frère Branham?» La vision.
273 Maintenant, soyez très respectueux. Ne–ne vous déplacez pas (Voyez-vous, voyez-vous?); vous faites une interruption. Soyez très respectueux.
274 Tenez, regardez ceci, regardez ici. Voici une dame juste ici, elle est en prière, elle est assise, elle regarde droit vers moi. Je vois du sang tomber goutte à goutte. C’est dans l’estomac. Elle a un estomac qui saigne. Si vous croyez... Est-ce juste, madame? Levez les mains. Je vous suis inconnu. Je ne vous connais pas, mais c’est la vérité. Cela vient de s’arrêter maintenant. Votre foi!
275 Je voudrais vous poser cette question: Qu’a touché cette femme? Je ne la connais pas. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. C’est juste une femme, voilà tout ce que je sais. Voyez-vous?
276 Voici une dame par ici au bout de la... par ici, vers le bout de la rangée. J’ai vu cela se produire juste alors. C’est comme si cela a fait écho sur une autre dame juste maintenant. Non, il s’agit d’elle. Elle souffre du dos et elle... Quelque chose cloche dans votre dos.
277 Posez la main sur la dame qui est à côté de vous; elle aussi a quelque chose qui cloche dans le dos. Très bien. Elle a de la peine pour se lever et pour s’asseoir.
278 La dame assise à côté de vous est en train de perdre la vue, cette autre-ci de cet autre côté-ci est en train de perdre la vue. Je veux que vous posiez aussi les mains sur elle. C’est juste. C’est juste. Maintenant, croyez de tout votre coeur, ce sera terminé. Maintenant, observez ce qui arrive.
279 Croyez-vous? Je vois une ombre noire suspendue juste ici derrière; elle est au-dessus d’une pauvre femme. Elle va mourir; elle a le cancer. Voyez-vous? Si Dieu ne la touche pas, elle mourra forcément. Je suis sûr qu’elle va... Ô Dieu, aide-moi. Madame Katur, si vous croyez de tout votre coeur, Jésus-Christ va vous rétablir. Croyez-vous cela? K-a-t-u-r, si vous croyez de tout votre coeur, Jésus-Christ vous rétablit. Levez-vous, madame, et louez Dieu. Très bien, vous pouvez rentrer chez vous et être en bonne santé. Je n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Elle est une parfaite inconnue pour moi.
280 Vous dites: «Eh bien, vous avez cité son nom.»
Eh bien, ça ne change rien. Jésus a cité le nom de Simon, Il lui a dit que son nom était Simon, et quel était celui de son père. Est-ce juste? «Messieurs, nous voudrions voir Jésus.»
281 Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ne croyez-vous pas cela? Ne croyez-vous pas que vous êtes juste dans Sa Présence maintenant? Combien croient cela? Nous voudrions voir Jésus maintenant, Jésus-Christ. Eh bien, ce n’est pas moi qui ai guéri ces gens. Eh bien, voilà que Cela repart. Voyez-vous? Très bien, ayez simplement la foi.
282 Je vais vous dire ce que vous allez faire maintenant même. Vous qui êtes des croyants, imposez-vous les mains les uns aux autres, comme ceci (Voyez-vous?), posez votre main sur quelqu’un qui est à côté de vous. Jésus, je vais citer les dernières Paroles qu’Il a prononcées quand Il quittait la terre: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Avez-vous dit que vous croyez? «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.»
283 En effet, on a la foi et on a l’incrédulité ensemble. On a toujours cela. Il y a toujours trois catégories de gens: les croyants, les soi-disant croyants, et les incroyants. Et on a ça aussi. Mais votre prière maintenant, là où vous êtes assis, ayez foi pour la personne sur laquelle vous avez posé les mains. Croyez. Jésus-Christ l’a dit.
284 Rappelez-vous maintenant, si vous ne croyez pas, faites très attention, car ces maladies vont d’une personne à une autre. Nous savons cela. Nous lisons cela dans la Bible, là où des mauvais esprits sont sortis d’une personne et sont entrés directement dans une autre. Et nous voyons tout cela... Beaucoup d’entre vous ont assisté à des réunions et ont vu cela. Si c’est juste, dites «amen». Certainement, des gens sont devenus paralysés, ont été rendus muets, sont morts, juste là dans la réunion, et tout.
285 Maintenant, selon votre propre manière de prier, ne priez pas pour vous-même. Priez pour celui sur qui vous avez posé les mains. Voyez-vous? Priez pour lui.
286 Et maintenant, pendant qu’ils sont connectés comme cela, s’il y a quelqu’un ici qui n’est pas chrétien, et qui désire accepter Christ comme son Sauveur, qu’il veuille le faire savoir en se levant simplement, et en disant: «Je désire accepter Jésus comme mon Sauveur, maintenant même, dans Sa Présence. Je veux me lever pour montrer à cette assemblée que je suis un témoignage de Jésus-Christ. Je L’accepte maintenant même comme mon Sauveur.» Si vous n’avez jamais fait cela auparavant, vous avez le privilège de vous tenir debout maintenant. Il va... Prenez position pour Lui maintenant; Il prendra position pour vous plus tard, quand vous serez–vous serez à la barre du Jugement. Si vous n’êtes pas chrétien, acceptez cela maintenant.
287 Et vous qui avez les mains les uns sur les autres maintenant, priez l’un pour l’autre. Maintenant, rappelez-vous, les gens prient pour vous; vous, priez pour eux. Et, je vais prier ici avec vous pour tous ces gens.
288 Que Dieu vous bénisse là-bas, mon frère. Que le Dieu du Ciel soit miséricordieux. C’est très bien, brave créature. Y a-t-il quelqu’un d’autre qui voudrait se lever, dire... Jésus vous connaît. «Nul homme ne peut venir...» Que Dieu vous bénisse, soeur. C’est bien.
289 De voir vraiment la Présence de Jésus-Christ entrer dans la réunion et faire exactement ce qu’Il a fait dans les Ecritures! C’est totalement impossible pour un homme de faire cela. Ça doit être un Esprit qui fait cela.
290 Maintenant, si vous voulez appeler Cela, comme les pharisiens, un mauvais esprit, alors vous recevrez cette récompense-là. Et si vous appelez Cela l’Esprit de Dieu, alors acceptez Cela. Acceptez Cela comme votre Sauveur, car Il est Jésus-Christ, Il est le seul Sauveur du monde.
291 Et Il est–Il est le Fils de Dieu, Il est mort pour vous. Il est ici ce soir dans la Personne du Saint-Esprit. Il est toujours Jésus, toujours Jésus-Christ dans la Personne du Saint-Esprit, qui est Christ sous la forme de l’Esprit.
292 Et si vous ne L’avez jamais accepté comme Sauveur, je vous prie tout simplement de vous lever, vous savez, et Il témoignera en votre faveur si vous témoignez en Sa faveur.
Quelques-uns se sont levés. S’il y a quelqu’un d’autre, très rapidement avant que nous priions. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous, vous, dans Sa Présence. C’est bien. Il y en a beaucoup, c’est bien. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, tout au fond, l’homme qui est déjà debout, qui a levé la main. Que Dieu vous bénisse. Et que Dieu vous bénisse. C’est bien. Que Dieu vous bénisse. C’est merveilleux! C’est juste. Acceptez-Le maintenant même.
293 Rappelez-vous, maintenant même, au Nom de Jésus-Christ, il n’y a pas une vie ici qui puisse être cachée à Dieu maintenant même, et qu’Il ne pourrait me révéler très exactement. Vous savez cela. Vous, beaucoup d’entre vous ont déjà assisté à cela; vous tous qui avez assisté aux réunions précédentes et qui voyez tout simplement cela prendre une tournure décisive, dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Absolument. Vous savez que c’est vrai. Et maintenant même, je sais qu’il y a des gens ici qui devraient s’abandonner à Christ. Veuillez le faire. Veuillez le faire maintenant pendant que vous–pendant que vous avez l’occasion, dans Sa divine Présence. Oh! examinez. Il se peut qu’il soit plus tard que nous ne le pensions, maintenant même.
294 Quand Il... Son auguste Présence vient et nous bénit, Il prouve par les Ecritures qu’Il est ici, la Parole confirmée. Huit ou dix personnes ont été guéries juste ici pendant qu’elles étaient assises ici même. Et il y a plus. Si vous me prenez au mot, en tant que Son serviteur, cette Lumière que vous voyez sur la photo que la science a prise juste ici à Washington DC, comme étant le seul Etre surnaturel qui ait jamais été photographié, cette Lumière est en train de tournoyer sans cesse dans cette salle, tout autour, tout autour. Eh bien, c’est juste.
295 Maintenant, croyez. Comme dernières Paroles qu’Il a prononcées quand Il quittait la terre, Jésus-Christ a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»
296 Et Il fut reçu là-haut dans la Gloire. Et ils allèrent prêcher partout, le Seigneur travaillait avec eux, et confirmait la Parole par les miracles qui L’accompagnaient.
297 Priez les uns pour les autres maintenant pendant que je prie pour vous depuis cette chaire.
298 Seigneur Jésus, le Fils de Dieu qui est ressuscité des morts le troisième jour, que la mort et le séjour des morts n’ont pas pu retenir. Il est monté en haut et s’est assis à la droite de la Majesté céleste, où Il vit à jamais pour faire intercession sur base de notre confession. Et maintenant, dans Sa Présence vitale ici sous la forme du Saint-Esprit qui a accompli l’oeuvre et qui a discerné les pensées des coeurs des gens, qui leur a dit leurs maladies, qui les a déclarés guéris; ô Dieu, de voir Ta grande et puissante oeuvre, de savoir que dans ce jour marqué par l’embrouillement et la confusion, plein de la politique, plein de la politique des églises, plein de toutes sortes de choses, cependant le Dieu vivant est ici même avec nous, ici ce soir. Pas de conférence, ni rien d’autre sinon l’évidence, le Saint-Esprit, juste au milieu de nous, Jésus-Christ accomplissant ces choses telles qu’Il les a faites quand Il était ici sur terre. Ô Dieu, sois miséricordieux.
299 Et, Satan, tu vois les mains de ces gens posées les uns sur les autres. Tu es vaincu. Tu ne peux plus retenir ces gens. Je te somme, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, de libérer ces gens et de sortir d’eux. Maladie et affliction, sortez de ces gens. Je vous adjure de les quitter, au Nom de Jésus-Christ.
300 Croyez cela maintenant de tout votre coeur. Si vous le croyez, tenez-vous debout maintenant et acceptez cela. Levez vos mains vers Dieu, dites: «J’accepte maintenant ma guérison. Je crois.» Maintenant, levez les mains et louez-Le, dites: «Merci, Seigneur Jésus.»
Tout est possible, crois seulement;
Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement.