Le Signe
1 Merci.
... je crois.
Seigneur, je crois; Seigneur, je crois.
Tout est possible; Seigneur, je crois.
2 Inclinons la tête juste un instant pour la prière. Et, en ce moment sacré, sachant que nous nous sommes de nouveau réunis, rassemblés ici au Nom du Seigneur pour L’adorer, je ne sais pas s’il y a dans cette assistance quelqu’un qui aurait une requête spéciale qu’il voudrait faire connaître à Dieu ce soir, en levant la main pour qu’on se souvienne de lui dans la prière. En bas au sous-sol, et aux balcons, et partout, c’est pareil, Il voit vos mains.
3 Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre, nous venons à Toi au Nom du Seigneur Jésus, parce qu’il nous a été promis que si nous venions en Son Nom, nous obtiendrions ce que nous demandons. Ainsi, nous Te prions, Père, de nous pardonner d’abord tout ce qui se tient sur notre voie et qui fait obstacle à nos prières ce soir; puisse le Sang du Seigneur Jésus expier cela maintenant même, alors que nous confessons humblement notre tort. Et nous prions pour chaque requête, pour chacune de ces mains qui se sont levées. Tu sais ce qu’il y avait sous cette main, Seigneur, ce qu’elle signifie. Et je Te prie d’exaucer cela selon Ta grande sagesse, Seigneur, afin que nous comprenions que Tu connais toutes choses et que Tu connaissais cela depuis le commencement.
4 Et nous prions que ceci soit une soirée dont nous nous souviendrons longtemps, à cause de Ta Présence parmi nous. Tandis que nous sommes là ce soir, à la fin de ce jour de Thanksgiving, une grande commémoration dans toute la nation, pour la grande bonté que Tu as manifestée à nos premiers pères, nous aussi, nous tournons nos têtes pour Te remercier, Seigneur, pour ce que Tu as fait pour nous. Maintenant, nous Te prions d’accorder toutes ces choses que nous demandons, car nous les demandons au Nom de Jésus-Christ et pour Son honneur. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
5 Je suis vraiment reconnaissant pour le privilège que nous avons de nous rassembler de nouveau ici ce soir, dans cet auditorium du Life Tabernacle pour parler au peuple.
6 Nous sommes désolés. Frère Moore a dit que dans l’histoire de cette église, jamais il n’y a eu autant de monde. On en a renvoyé ce soir plus qu’on en a renvoyé dans toute l’histoire de cette église, à partir de devant, là-dehors. Partout, c’est bondé de monde, à l’intérieur, à l’extérieur, au sous-sol, le long des murs et dans les couloirs, et jusque dans les rues; et les gens continuent à venir. Nous sommes donc reconnaissants qu’il y ait encore la faim d’entendre la Parole de Dieu, et ainsi, nous en sommes reconnaissants.
7 Et maintenant, le Seigneur voulant, nous pourrions commencer demain soir à prier pour les malades, car nous avons comme d’habitude une ou deux soirées que nous consacrons à la prière pour les malades, quand nous nous retrouvons ici à ces conventions. Et le Seigneur nous a vraiment bénis récemment en rapport avec ces choses.
8 Ce matin, je vous parlais de mon épouse, disant que cela fait maintenant presque trois ans, environ, oh! cinq ou six ans, en prenant sa main un soir, pour essayer de montrer à quelqu’un, à une autre femme ce que c’est qu’une vibration, vous savez, et elle n’avait pas de problème, mais j’ai découvert qu’elle avait une tumeur. Le médecin n’arrivait pas à voir cela. Trois ou quatre années sont passées; il n’arrivait pas à voir cela.
9 Finalement, ça s’est manifesté il y a environ deux ans, et cela s’est mis à se développer rapidement, passant de la grosseur d’une noix à celle d’un citron, puis ç’a atteint la grosseur d’un pamplemousse. Le médecin... Nous tenions bon par la foi. Et le médecin a dit: «Vous devez tout simplement faire enlever cela. La tumeur va devenir maligne. Vous devez faire enlever cela.»
10 Et hier, ou plutôt avant-hier, sachant qu’hier elle devait aller pour son dernier examen, et avant l’examen, je me suis agenouillé dans la chambre et j’ai prié de tout mon coeur. Et quand je me suis relevé ou que je me suis mis à... Avant que je ne me relève, Il m’a dit ce qu’il fallait dire. Et je me suis relevé. Et le médecin n’arrive pas à retrouver nulle part une seule trace. Cela a complètement disparu. Et ne... et cela a disparu et il n’y en a plus.
11 Je l’ai encore appelée au téléphone il y a quelques instants, elle était si heureuse. Elle a dit: «La semaine passée, a-t-elle dit, Bill, les douleurs étaient si atroces que je ne pouvais même pas rester tranquille, je n’arrivais pas à dormir la nuit ni à un autre moment.» Elle a dit: «Chaque fois que j’essayais de me retourner, cette grosse tumeur se retournait à l’intérieur.» Et elle a dit: «J’ai ici la déclaration envoyée au médecin: ‘Madame Branham...’» Aussitôt qu’elle est descendue de la table, elle et certaines soeurs... «Il a dit: ‘Il n’y a pas une seule trace. Je ne sais pas ce qui s’est passé, a-t-il dit; il n’y a aucune trace.’» Et Il a dit–Il a dit: «Lève-toi.» Et ce qu’Il a dit de faire, je l’ai fait. Et cela... Le Seigneur a exaucé le reste.
12 Je vois ici un vieil ami à moi. Récemment, un ami du nom de... C’est un Allemand. Son nom est D-a-u-c-h, je crois que c’est comme cela qu’il écrit son nom. Mais nous, nous l’appelons Dauch, comme je ne sais pas prononcer correctement ce mot allemand; il a quatre-vingt-onze ans. Je l’ai baptisé au Nom de Jésus-Christ il n’y a pas longtemps; un homme bien, il fut un grand sympathisant d’Oral Roberts et de bien d’autres hommes. Mais un jour, quand il est venu au Tabernacle, il n’avait pas de tenue, il voulait se faire baptiser de toute façon.
13 L’autre jour, il a accompli quatre-vingt-onze ans. Il a eu non seulement un infarctus, mais il a fait un arrêt cardiaque total. Sa femme qui était assise là est une ancienne infirmière diplômée d’Etat. On l’a amené à l’hôpital de Lima, dans l’Ohio, où il y a certains des médecins les plus célèbres de la contrée. Il n’avait aucune chance de vivre encore une heure ou plus, ç’en était fini de lui, avec un arrêt cardiaque, à quatre-vingt-onze ans, un infarctus. Je me suis dit: «Pauvre frère Bill Dauch, peut-être que c’est la dernière fois que je le verrai. Je dois tâcher de le voir.» J’ai prié toute la nuit. Quand on m’a appris qu’il était frappé par un arrêt cardiaque, j’ai compris qu’à quatre-vingt-onze ans, il ne pourrait pas s’en sortir.
14 Donc, c’est vraiment un grand ami à moi et à ma famille, et je suis allé le visiter le lendemain matin. En route, je me disais combien c’était un homme bien. Et je me suis dit: «Un jour, je le reverrai.» Et je suis allé à...
15 J’ai roulé vite, et j’ai eu un pneu déchiré; je n’avais même pas eu le temps de le faire équilibrer ou enlever... Cette roue qui était désaxée a tout simplement déchiqueté le pneu, en roulant sur ces autoroutes en béton. Et je suis entré; j’ai dit: «Je n’ai pas le temps de le changer.»
16 L’homme a dit: «Vous allez le faire éclater si vous faites encore deux cents miles [321 km].»
17 J’ai dit: «Je n’ai tout simplement pas de temps, monsieur. Merci. Qu’il éclate tout simplement.» Et j’ai dit: «J’ai un pneu de réserve. Je dois atteindre un ami qui se meurt.»
18 Et je me suis mis à marcher là. Et puis, j’ai levé les yeux; et une vision est apparue. J’ai vu frère Dauch assis dans l’église. Je l’ai vu venir et le voilà qui descendait la rue; et il a pris ma main et l’a serrée. Il a dit: «Va lui dire: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR!’»
19 Le voici assis ici. Et au tout prochain service, il m’arriva de baisser les yeux là, et voilà que frère Dauch était assis dans l’église, après avoir roulé sur trois cents miles [482 km] depuis l’Ohio. La semaine passée, je suis allé à New York, il était assis là à New York, bien malgré tout cela. Et le voici ce soir à Shreveport, assis ici maintenant.
20 Quand je traverserai les portails du temps pour entrer dans l’éternité, si Dieu me permet donc de mourir en paix, un jour je lui serrerai la main de l’autre côté, car le même Dieu...
21 Il y a quelques jours, des choses glorieuses sont arrivées, je ne peux tout simplement pas me mettre à vous raconter ce qui s’est passé ces quelques derniers jours. C’est comme si, je pense, pendant ce dernier... depuis cette expérience du Colorado là, il y a quelques semaines, le Seigneur a été davantage bienveillant envers moi, en–en répondant à la prière. Et il est censé y avoir, vous savez, une troisième étape, du ministère; et je ne peux pas du tout dire ce que c’est. Et ainsi, je crois que le Seigneur est avec nous et qu’Il va faire de grandes choses.
22 Etant donné que ce soir c’est la célébration du Thanksgiving, je me suis dit qu’au lieu de prêcher, je prendrais quelque chose comme une leçon d’école du dimanche et poser le fondement pour le service qui est... ou plutôt pour le service de guérison et n’importe quel–n’importe quel service, le fondement de l’Evangile. Et j’ai demandé au frère de lire dans le Livre de l’Exode, chapitre 12. Et je vais continuer à lire juste–ou plutôt, juste lire là un autre passage qu’il a lu. J’aimerais revenir en arrière pour saisir ma pensée, je pense que c’est le verset 12 du chapitre 12, ainsi que le verset 13.
Cette nuit-là, je passerai dans le pays d’Egypte, et je frapperai tous les premiers-nés du pays d’Egypte, depuis les hommes jusqu’aux animaux, et j’exercerai des jugements contre tous les dieux de l’Egypte. Je suis l’Eternel.
Le sang vous servira de signe sur les maisons où vous serez; je verrai le sang, et je passerai par-dessus vous, et il n’y aura point de plaie qui vous détruise, quand je frapperai le pays d’Egypte.
23 C’est un passage de l’Ecriture remarquable pour moi. Et maintenant, j’ai noté beaucoup–beaucoup de passages de l’Ecriture ici, et quelques notes à partir desquelles j’aimerais parler pendant quelques minutes. Et je ne voudrais pas... juste essayer d’apporter cela comme une leçon d’école du dimanche, afin que nous comprenions clairement.
24 Et je m’attends à un moment d’effusion de l’Esprit de Dieu dans ces derniers jours où nous vivons maintenant, à un autre déferlement du Saint-Esprit dans l’Eglise pour la foi de l’Enlèvement, juste avant que cela ne se produise. Et tout se met bien en ordre pour cela. Et je crois que nous sommes arrivés maintenant au moment où la Parole doit avoir la prééminence. Je crois que c’est le moment où nous devons mettre de côté nos credos et nos pensées et revenir à la Parole.
25 Dieu, dans chaque âge, comme je l’ai dit hier soir, a annoncé la fin dès le commencement. Il a annoncé ce qui arriverait dans chaque génération. Et aussi dans... A plusieurs reprises, Dieu a envoyé des prophètes. Chaque fois quand arrivait le moment où ces choses devaient se produire pour l’âge concerné, Il envoyait des prophètes. Et la Parole du Seigneur vient toujours à Ses prophètes, au prophète de l’âge concerné. Et chaque fois, la seule chose que ce prophète faisait, c’était de manifester exactement la promesse pour cet âge-là.
26 Et quand le jour de notre Seigneur Jésus arriva, Il était la manifestation de la Parole pour cet âge-là. Il était Esaïe 9.6: «Un Fils nous est né», et ainsi de suite. Et puis, Il était aussi Esaïe 35, Esaïe 28.19 également. Ces... Toutes ces Ecritures qui avaient été prédites, Il vint pour manifester cette Parole-là. Il a fait exactement ce qui était censé être fait en ce jour-là. En effet, la Parole, ce Livre, c’est la Parole, et la Parole c’est Dieu. Voyez-vous?
27 Et maintenant, la chose est déjà exposée. Il faut tout simplement que quelqu’un vienne sur la scène pour manifester ces promesses, la foi dans le–l’appel de Dieu. Et je sais que nous sommes passés par beaucoup d’imitations et ainsi de suite. Moïse et Aaron ont connu la même chose. Mais quand cela arrive, tenez-vous tranquille. Quand Moïse s’est retrouvé en face de ces gens qui faisaient de la perception psychosensorielle, il les a tout simplement laissés faire. Ils faisaient exactement ce que lui faisait, mais il attendit jusqu’à ce que la pleine manifestation se produise. Et il a été promis que la même chose arriverait dans les derniers jours. «Car de même que Jambrès et Jannès s’opposèrent à Moïse», de même les hommes de ce jour s’opposeront aussi. Mais alors, cela n’arrête pas la promesse. Cela ne fait que magnifier la promesse. Cela la rend réelle.
28 Maintenant, je désire vous faire remarquer ce soir ce dont nous allons parler, c’est: Le Signe, un signe.
29 Bon, bon, tout d’abord je désire que vous remarquiez quel–quel est l’ordre de ceci, l’ordre de la Pâque. Le... Ce devait être une brebis mâle, et il devait être éprouvé pendant quatorze jours.
30 Quel type parfait de Christ, l’Antitype, un Mâle, un Agneau, et Il fut éprouvé pendant trois ans et demi de Son ministère, au travers des critiques et tout, le clergé de ce jour-là, mais il s’avéra qu’Il s’en tenait fermement à la Parole du Père. Même en présence de Satan, Il a dit: «Il est écrit. Il est écrit.» Il a constamment vaincu l’ennemi par la Parole, un modèle parfait pour nous aujourd’hui; vaincre toujours l’ennemi par la Parole de Dieu qui a été écrite pour ce jour.
31 Et Il a dit aux gens: «Vous sondez les Ecritures, parce que vous pensez avoir en Elles la Vie Eternelle: ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi.» En d’autres termes: «Si Je ne fais pas ce qui, selon les Ecritures doit être fait en ce jour, alors Je suis un incroyant. Mais alors qui peut M’accuser du péché?» Le péché, c’est l’incrédulité.
32 Il a manifesté chaque promesse que Dieu avait faite pour ce jour-là. Il a accompli cela. Il était la réponse à l’attente du jour, parce qu’Il était le Messie, et c’était le jour du Messie.
33 Maintenant, nous remarquons que l’agneau était tué au temps du soir, après le dîner, tard dans la soirée, de la même façon que l’Agneau fut tué.
34 Maintenant, remarquez, toute la congrégation d’Israël était–devait tuer l’agneau. Et ce fut Israël qui fut témoin de Sa mort et qui réclama Son Sang. Nous en parlerons demain soir, si possi-... le Seigneur... si c’est possible et que cela plaise au Seigneur: Du sang sur les mains.
35 Et remarquez, ce sang n’était mélangé à rien d’autre. Il ne pouvait pas être mélangé. C’était uniquement le sang de cet agneau. Et il devait être appliqué sur le linteau et sur le montant de la porte. Il ne pouvait pas être mélangé.
36 C’est ce que les gens essaient de faire aujourd’hui, en mélangeant n’importe quoi d’autre avec Ceci, des credos, des affiliations, et–et toutes sortes d’amusements et tout, mais Ça ne se mélangera pas. Cela ne se mélangera absolument à rien. Le sang ne se mélangera pas.
37 Et l’agneau devait être mangé par des gens prêts, habillés et prêts pour le voyage. Quand cela était appliqué, les gens devaient être prêts pour le voyage.
38 Ce n’est pas pour l’incroyant qui se tient dehors et qui sympathise avec la chose. C’est pour le croyant qui est déjà sous le Sang, qui est déjà habillé, chaussé, qui a le bâton à la main, les reins ceints, et qui est prêt pour le voyage.
39 La raison pour laquelle j’ai choisi ceci aujourd’hui, en ce jour de la commémoration du Thanksgiving, c’est parce que c’est un–un jour de commémoration, du fait que Dieu avait béni nos premiers pères qui étaient des pèlerins et qui sont venus ici pour fonder une nation; et ils ont fondé une nation puissante. En dépit de sa corruption, elle surpasse tout ce qu’il y a dans le monde aujourd’hui, mais elle doit tomber. Selon les Ecritures, elle n’est jamais arrivée à maturité. Elle n’a jamais vieilli. Elle était jeune, un agneau. «L’agneau parlait alors comme le dragon avant lui.» Elle est sortie non pas des eaux, des foules et des multitudes, mais elle est sortie de la terre. Nous voyons donc que l’agneau avait deux cornes qui représentaient le pouvoir civil et le pouvoir ecclésiastique; bien sûr, ils s’unissent maintenant pour parler comme un dragon, pour former une image à la bête, et nous avons encore la liberté d’adorer Dieu dans cette nation.
40 Et maintenant, nous inclinons la tête autour de notre table aujourd’hui afin de remercier Dieu pour la nourriture naturelle qu’Il a fait croître pour nous et qu’Il a préparée pour nous cette année. Et s’Il n’avait pas fait cela, nous serions tous morts. Car le seul moyen pour que vous puissiez vivre physiquement, il faut que quelque chose meure chaque jour pour que vous viviez. Lorsque vous mangez du boeuf, la vache est morte. Quand vous mangez du mouton, eh bien, le mouton est mort. Quand vous mangez des pommes de terre, leur vie, elles sont mortes. Quand vous mangez des légumes, ils sont morts. Vous ne vivez que des substances mortes. Et si rien ne meurt, vous n’allez pas vivre.
41 Et si quelque chose doit mourir pour que vous puissiez vivre physiquement, à combien plus forte raison Quelque Chose a dû mourir pour que nous puissions vivre éternellement. Et c’est de la substance de cette mort dont je parle ce soir que nous vivons ce soir. Quelque chose doit mourir. La Pâque était un type de Christ, notre Vie Eternelle. Maintenant, nous voulons avoir toute votre–votre attention.
42 Un signe... Il a dit: «Le sang vous servira de signe», de–de symbole. «Un signe», selon le Webster, «c’est un symbole montrant qu’un prix a été payé». Un signe est un symbole qu’un prix a été payé.
43 C’est comme dans les compagnies de chemin de fer et les compagnies d’autobus, quand vous y entrez et que vous voulez avoir... Vous ne pouvez voyager à bord du bus ou du train à plusieurs endroits que grâce à un jeton. Vous achetez votre billet; vous le payez et l’on vous donne un jeton montrant que vous avez déjà payé votre billet. C’est donc ce que vous devez avoir pour avoir accès au tramway ou au train.
44 Jéhovah avait exigé qu’Israël immole un agneau. Pour échapper à la mort, il fallait la mort d’un substitut. Et Jéhovah exigeait que l’agneau soit immolé, et le sang était un signe montrant que l’exigence avait été remplie. Eh bien, le sang était–était un symbole montrant que quelque chose était mort, et le sang lui-même était le signe. Cela indiquait que «cette maison a rempli les exigences de la Parole de Jéhovah, et par conséquent elle est sous la protection de ce signe qui montre que notre prix a été payé».
45 Quel merveilleux type on a ici par rapport à Christ! Quel type de notre Signe d’aujourd’hui!
46 La vie était sortie du sacrifice. Et maintenant, le sang était un signe montrant que Ses ordres avaient été exécutés. Le sang... Jéhovah n’avait pas besoin de vous voir tuer l’agneau. Il vous fallait simplement avoir le sang sur la porte quand l’ange de la mort passait, et c’était un signe montrant que l’agneau était mort. Le sang était le signe qui montrait que dans cette maison on avait satisfait aux exigences de Jéhovah, et que le prix avait été payé, et c’est ce qui était le signe. «Quand Je verrai le signe, Je passerai par-dessus vous.» Quand le signe est là, cela montrait que le prix... Voyez-vous, le sang n’était pas la mort, mais c’était le signe de la mort. «Quand Je verrai le sang, Je saurai que le prix de la mort a été payé, alors Je passerai par-dessus vous.»
47 Suivez. Voyez-vous, l’adorateur qui croyait était identifié à son sacrifice au moyen du signe. L’adorateur qui croyait en Jéhovah et qui avait satisfait aux exigences de Jéhovah s’était identifié en appliquant le signe pour lui-même et pour sa maison, ce qui montrait que l’adorateur croyait cela: c’est un type parfait de Christ aujourd’hui. Ainsi le sang était un signe d’identification, montrant que ce croyant avait déjà satisfait aux exigences de Jéhovah. «Et je suis sûr que l’ange de la mort devra passer ma maison, parce que j’ai satisfait aux exigences en plaçant le signe exigé par Jéhovah. Un agneau est mort à la place de ma famille et de mes bien-aimés qui sont sous ce sang, et c’est là le signe que l’agneau est mort. (Amen.) Voilà le signe. L’exigence de Dieu a été satisfaite.» Amen. Quand j’y pense, mon coeur bondit de joie.
48 Eh bien, la vie de l’animal ne pouvait pas revenir sur le croyant; ainsi donc le sang devait être synonyme du signe. Voyez-vous, le sang qui se trouvait dans cet animal, lequel avait commencé par une seule cellule de sang, qui avait formé tout ce sang qui était dans l’animal... Quand ce sang se séparait, la vie quittait l’animal. Eh bien, l’adorateur, en s’identifiant au sang, devait exhiber le sang chimique littéral. Pourquoi? C’est tout ce qu’il pouvait exhiber. En effet, la vie de l’animal ne pouvait pas venir sur l’être humain, parce que la vie de l’animal n’a pas d’âme. Mais l’être humain a une âme. Par conséquent, la vie ne pouvait pas revenir, alors le sang devait vouloir dire le signe de la mort.
49 Eh bien, nous avons un Signe aujourd’hui. Nous avons reçu un Signe qui est un Antitype de ce type-là, de ce signe naturel; nous avons reçu le Signe surnaturel suprême. Toutes ces préfigurations ont été données à cette génération, elle a reçu le Signe. Eh bien, nous avons le Saint-Esprit, Il est notre Signe, et Il est notre identification, montrant que nous avons accepté la mort de l’Agneau. Non seulement Jésus était une vie humaine devant revenir sur nous, mais c’était Dieu Lui-même manifesté dans la chair, ce qui nous a ramené l’adoption des fils, de sorte que nous sommes maintenant des fils et des filles de Dieu. C’est cela le Signe. C’est notre identification de la Pâques. C’est notre identification montrant que nous avons cru en Dieu, et que Dieu a agréé cela.
50 Autrefois les gens n’avaient pas l’Evangile comme nous L’avons aujourd’hui; Cela leur était enseigné sous forme des préceptes et c’était devenu des rituels, parce que le Saint-Esprit n’avait pas encore été donné.
51 Mais aujourd’hui, nous avons la Substance. Nous n’avons pas juste la forme, ou plutôt juste les éléments chimiques; vous ne pouviez pas prendre le sang de Jésus-Christ et l’appliquer à chaque coeur. Mais Dieu nous a de nouveau envoyé le Saint-Esprit, c’est-à-dire le Signe qui était sur l’homme, dans le coeur de l’homme. Et c’est cela votre identification, montrant que vous avez accepté le programme de Dieu, que vous avez satisfait aux exigences de Jéhovah. Il a satisfait à cela pour vous au Calvaire; et vous, vous avez satisfait à cela à genoux. Et Dieu vous a donné le symbole du Signe, le retour de l’Esprit qui était sur Christ; Il est en vous et c’est une garantie, l’identification à Sa Vie, à Sa mort, à Son ensevelissement, et à Sa résurrection, montrant qu’Il est donc éternellement vivant dans l’Eglise qui croit. Amen. C’est un Signe certain, le symbole d’un Signe qui peut...
52 On dira certainement du mal de cela. C’est dans ce but que la chose se trouve là. L’Egypte s’en est moquée; de même aujourd’hui les gens s’en moquent. Mais, malgré tout, c’est le Signe que Dieu exige. On ne pourrait pas appliquer le Sang, le Sang chimique de Jésus, comme ce fut le cas pour l’agneau; en effet, ils appliquaient sur eux le sang chimique de l’agneau parce qu’il n’y avait pas dans l’agneau une vie qui pouvait revenir sur l’adorateur. Mais dans ce cas-ci, la Vie qui était dans le Sang, c’est-à-dire la Vie qui est dans le Sang... Eh bien, le Sang fut répandu au Calvaire, Il a baigné le sol et nous avons le Signe du Sang qui est le baptême du Saint-Esprit pour nous identifier en tant que croyants.
53 «Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru», non pas ceux qui professent simplement, mais des croyants identifiés. «Ils pourraient ne pas accompagner. Ils accompagneront probablement, et peut-être qu’ils accompagneront.» Jésus a dit: «Ils accompagneront ceux qui auront cru.» C’est absolument impossible que cela ne se produise pas. »Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» C’est cela l’identification. L’identification de Jésus consistait à manifester la Parole de Dieu qu’Il était. Et aujourd’hui, l’identification de l’Eglise, c’est manifester la Parole promise pour ce jour par le même Esprit qui manifesta et vivifia la Parole à l’époque. Aujourd’hui, le même Esprit vivifie la Parole pour le croyant et manifeste la même chose, montrant que le Signe est sur cette personne, c’est-à-dire la Vie ressuscitée de Jésus-Christ vivant dans Son croyant. Oh! cela devrait enflammer une église. Et c’est vrai, tout aussi vrai que cela puisse l’être.
54 Nous devons nous identifier à notre Sacrifice. Nous devons être identifiés en Sa mort. Quand un Juif plaçait sa main sur le sacrifice, il s’identifiait en transférant ses péchés sur son sacrifice, et le sacrifice mourait. Maintenant, par la foi nous plaçons nos mains sur Jésus-Christ, et nous sommes identifiés à Lui en Sa mort, non seulement en Sa mort, mais si nous sommes agréés, nous sommes identifiés non seulement en Sa mort mais aussi en Sa résurrection. C’est par la Vie qui était en Lui et qui est renvoyée sur le croyant comme un signe, un mémorial montrant que la mort s’en est allée, et que Dieu vous a scellé dans le Royaume de Dieu jusqu’au jour de votre rédemption: Ephésiens 4.30.
55 Le vrai et authentique Evangile, aussi pur que je le sache... Je sais que c’est vrai. J’ai éprouvé cela. Il n’existe point d’autre isme, point de manoeuvre, point de–point de machination, point d’astuces, rien.
56 Il ne s’agit que d’une foi pure et sans mélange dans la Parole de Dieu et dans l’oeuvre achevée que Dieu a exigée au Calvaire, sachant que nous ne pouvions rien faire pour nous sauver nous-mêmes. Nous acceptons tout simplement ce qu’Il a fait pour nous.
57 Abraham crut Dieu et cela lui fut imputé à justice. Alors Dieu lui donna le sceau de la circoncision comme un signe que Dieu avait agréé sa foi. C’est cela l’Evangile.
58 Eh bien, quand nous déclarons que nous croyons en Dieu, alors Dieu agrée notre foi, en nous donnant le Signe du Sang de Jésus, qui a achevé pour nous l’oeuvre au Calvaire; alors notre vie est dans la Sienne. La Vie de notre Sacrifice est en nous.
59 Elle ne pouvait pas venir par le sang chimique de l’agneau, parce qu’il n’y avait là rien qui pouvait revenir; ce n’était que de la chimie. On ne pourrait pas transférer ce sang dans un être humain. Ça ne marcherait pas, le sang d’un animal ne peut pas passer dans le sang humain. Ainsi les éléments chimiques ne pouvaient pas agir, ce qui montre que c’était une ombre.
60 Mais alors, la Vie qui était dans le Sang devient le Signe. Et ainsi, quand nous nous identifions à Sa mort, à Son ensevelissement, à Sa résurrection, en croyant en Lui et en étant baptisés en Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection... Lorsque nous nous relevons, le Saint-Esprit est là pour nous donner un Signe, un Signe éternel écrit sur votre coeur, sur votre âme, sur votre caractère, sur votre esprit, sur votre corps, sur tout le reste, montrant que vous êtes une personne séparée de l’incrédulité. Vous êtes une personne séparée des choses du monde. Vous êtes séparé de la mort. Vous êtes séparé de tout. Et vous êtes un produit que Dieu a scellé par le Saint-Esprit dans le Royaume.
61 Aucun démon, aucune–aucune maladie, aucune mort, aucun chagrin ni rien d’autre ne peut vous nuire aussi longtemps que vous avez ce Signe là-dessus. Amen. Votre foi immuable fait vibrer cela, et cela façonne la forme de Jésus-Christ, l’Image dans laquelle vous marchez aujourd’hui.
62 «Et quand Je verrai le signe, Je passerai par-dessus vous.» C’est un symbole; c’est un symbole montrant que le prix a été payé. Jésus a payé le prix, et vous avez reçu cela de Lui. En tenant le Signe dans votre main, vous avez l’assurance de la résurrection. Vous avez l’assurance que tout ce dont vous avez besoin dans ce voyage est offert par le Signe de Ses souffrances au Calvaire, où Il a payé le prix de chaque malédiction qui pouvait être placée sur vous. Ce Signe parle de la paix. Amen.
63 Aucun démon ne peut tenir devant cela. Rien ne peut tenir devant Cela, parce que Dieu L’a agréé. Et vous tenez dans votre main le Signe qui montre que le prix a été payé. Oh! c’est–c’est un Signe certain.
64 Vous savez, en cas d’un procès dans un tribunal, si vous savez que vous risquez la mort, comme cet homme qui passe sa vie dans les boîtes de nuit et qui vient d’assassiner par ici ce monsieur Oswald... Si vous saviez que vous risquiez cela ou quelque chose de semblable, vous engageriez le meilleur avocat que vous puissiez trouver. C’est ce que je ferais.
65 Si je savais que ma vie était en jeu, j’engagerais le meilleur avocat que je puisse trouver. Toute personne le ferait. C’est la seule chose raisonnable à faire.
66 Eh bien, dans ce cas, sachant que vous allez passer par la chaise électrique et que vous allez être séparé pour toujours de votre famille, quand on va vous électrocuter, ou quoi que l’on puisse faire, parce que vous êtes certain d’être coupable... Et cet avocat va essayer de plaider votre cause.
67 Eh bien, l’avocat pourrait penser avoir tout renversé. Mais, voyez-vous, c’est le juge qui va trancher l’affaire, même si l’avocat peut lui démontrer que vous êtes justifié dans vos actes. L’avocat doit faire bien comprendre la chose au juge, afin que ce dernier puisse voir que votre acte n’est pas coupable.
68 Ô Dieu, si seulement les gens pouvaient voir ceci. Notre Juge, c’est notre Avocat. L’affaire est classée. C’est terminé. La même Personne qui est le Juge est l’Avocat, c’est notre Avocat. L’affaire est classée; nous avons le Signe. Le Juge et l’Avocat, c’est la même Personne. Quand Dieu fut fait chair et qu’Il habita parmi nous, notre Juge devint notre Avocat, et l’affaire est classée. Et le Saint-Esprit est ici comme un Signe montrant que nous sommes prêts à passer de ce lieu-ci au Pays de l’au-delà.
69 Nous sommes libres du péché; nous ne péchons plus, nous ne sommes pas du monde. «Petits enfants, vous n’êtes pas du monde.» Notre Juge et notre Avocat, c’est la même–la même Personne, et ainsi l’affaire est classée. Le–le–le–le motif de notre accusation était si grave... Le motif de notre accusation (notamment le péché) était si grave que même un Archange ne pouvait plaider notre cas; il ne pouvait pas satisfaire aux exigences. Aucun Ange, aucun Chérubin, aucun Séraphin, personne ne pouvait payer le prix. La seule chose qui pouvait être faite pour sauver la race humaine, c’était que le Juge prenne position et devienne aussi l’Avocat. Et c’est très exactement ce qu’Il a fait.
70 Si le signe ou le sang, au moment de la sortie de l’Egypte, dans leur exode, si le signe était vraiment le signe suprême... Maintenant, si... Le signe ne servait à rien à moins qu’il soit exhibé. Le signe devait être exhibé. Il n’était pas question de sympathiser avec le signe; mais le signe devait être appliqué.
71 Et peu importe combien quelqu’un pouvait prouver qu’il était un Juif, qu’il était un Juif sous l’alliance par la circoncision, cela n’avait rien à voir avec la chose. Le... Il fallait le signe, pas l’alliance. Il n’avait jamais dit: «Quand Je verrai le signe de l’alliance», plutôt: «Quand Je verrai le signe.»
72 Ainsi aujourd’hui, vous pourriez être un chrétien de confession; vous pourriez être une alliance–avoir une alliance avec Christ; mais si ce Signe n’est pas exhibé en cette dernière heure où nous sommes arrivés maintenant, il est impossible qu’Il passe par-dessus. Le Signe doit être exhibé. Il doit être là.
73 Maintenant, souvenez-vous, un Juif aurait pu s’approcher et dire: «Je vais vous prendre, frères, à côté. Je crois que ça, c’est la vérité. Je crois le prophète Moïse. Je crois que cette Colonne de Feu le conduit. Je crois que c’est Jéhovah.» Il peut témoigner de tout cela, croire toute la Parole, tout le Message, mais cependant dire: «Eh bien, je suis aussi heureux que vous parce que je suis un Juif circoncis.» S’il n’avait pas ce sang la nuit de Pâques, il mourait malgré tout.
74 Et aujourd’hui, chaque église, chaque individu qui n’est pas... qui ne peut pas exhiber ce Signe du Saint-Esprit se meurt spirituellement et mourra. Peu importe combien vous croyez dans la mort, l’ensevelissement et la résurrection; peu importe combien vous récitez le Credo des Apôtres, que vous le récitiez et quoi que vous fassiez; peu importe combien vous êtes bien instruit et l’expérience théologique que vous avez; vous pourriez avoir des doctorats, des licences en lettres et que sais-je, un doctorat en théologie, un doctorat en droit, un doctorat en latin ou quoi que vous puissiez avoir, ou en littérature, cependant ça ne marchera pas. Il faut que ce Signe soit exhibé.
75 C’était seulement une ombre de la Réalité pour aujourd’hui, de l’Antitype. Le Signe doit être exhibé. Un Juif pouvait donner–pouvait donner la preuve qu’il était inclus dans l’alliance, mais si le signe n’était pas là, l’alliance n’avait pas d’effet. Et il en est de même aujourd’hui, mon frère, ma soeur.
76 Je voudrais que vous vous souveniez de ceci: Vous qui êtes à l’intérieur, à l’extérieur, au sous-sol, où que vous soyez, l’heure est venue. Et tout le monde peut constater la somnolence de l’église aujourd’hui. Tout le monde peut constater l’engourdissement qui caractérise beaucoup–beaucoup de membres. C’est parce que vous vous êtes amusés; vous avez choisi des sensations et vous avez choisi d’autres choses. Et vous vous êtes confié dans la sagesse d’un certain homme, dans la théologie d’une certaine organisation, dans le fait d’être membre de l’église de votre mère, dans un certain pasteur loyal. Mais toutes ces choses sont bonnes, je n’ai rien contre, pas plus que la circoncision ne l’était pour les Juifs, mais ce n’était pas là le programme de Dieu. «Quand Je verrai le sang», et seulement cela.
77 Et aujourd’hui le Saint-Esprit, c’est l’Alliance de Dieu avec le peuple de Dieu par alliance. Le Saint-Esprit, la Vie du Christ ressuscité, doit être manifesté dans l’Eglise parmi les gens, faisant de Lui le même hier, aujourd’hui et éternellement.
78 Peu importe combien vous êtes un membre loyal; vous pourriez être tout ce que vous pouvez, un homme de bien ou une femme de bien. Certainement que c’est une bonne chose. Nous apprécions cela. Mais seul le Signe vous gardera en vie, le Signe de Dieu. Vous pourriez être un étudiant de la Bible. Vous pourriez être une brave personne. Vous pourriez même être le président. Vous pourriez être tout ce que vous voulez. Il n’y a point d’excuses.
79 Quand Dieu a commencé l’exode partant de l’Egypte, appelant Israël à sortir de l’Egypte pour aller dans la Terre qu’Il avait promise, il n’y avait point d’excuses. Tout homme devait exhiber le sang.
80 Et aujourd’hui, l’exode consiste en un appel à quitter les systèmes pour entrer dans l’Epouse. Peu importe le nombre de systèmes dans lesquels vous vous trouvez, malgré tout, cela exige encore le Signe de la Vie de Jésus-Christ. Rien d’autre ne marchera. Le Signe est toujours exigé.
81 Tout homme, peu importe qu’il fût un homme loyal; il pourrait avoir été le Pharaon d’Egypte, et même si c’était l’homme le plus important de l’époque, mais toutefois il devait avoir le signe appliqué sur lui, peu importe combien il était important. Qu’il soit un évêque, un prêtre, que sais-je encore, un président, un roi, un potentat, un monarque, cela n’avait rien à voir avec la chose. Dieu ne reconnaissait que le peuple de l’alliance qui avait le signe. C’est pareil aujourd’hui, le Saint-Esprit ne reconnaîtra que le peuple de l’alliance.
82 Nous voyons que la mort était prête à frapper l’Egypte à tout moment donc. Dieu leur avait manifesté Sa grâce, Sa puissance et Ses miracles.
83 Je veux que vous sachiez que cela a accompagné chaque réveil: la grâce, la puissance et les signes. La grâce, pour venir vers le peuple; la puissance pour se révéler; et le signe du temps, très exactement ce qu’Il a fait aujourd’hui, une autre chose. Il l’a fait de plusieurs manières. Vous pourriez prendre cette seule Ecriture-là et la retourner encore et encore pendant dix semaines ici et ne jamais quitter cela.
84 Cela symbolise les trois étapes par lesquelles nous sommes passés. Cela symbolise les trois miséricordes de Dieu, au travers de Luther Martin, de la Pentecôte... de Martin Luther et–et aussi au travers de Wesley, et de la Pentecôte, les trois étapes du voyage. Les trois étapes du voyage d’Israël, les trois messagers envoyés à Sodome, cela symbolise toutes ces différentes choses.
85 Cela symbolise le ministère d’aujourd’hui. Cela symbolise le message de Billy Graham, de la grâce au monde, le message d’Oral Roberts, comme étant la puissance au monde; et celui de la Présence de Jésus-Christ, en tant que le dernier signe pour le monde. En effet, Sodome a reçu son dernier signe; l’Eglise spirituelle, celle qui était appelée à sortir, reçut son dernier Signe avant que le monde des Gentils ne soit brûlé. Jésus a dit: «Cela arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme», la même chose.
86 Et nous voyons que ces grandes choses ont été manifestées en Egypte, et malgré cela les gens ne voulurent ni se repentir ni croire au message.
87 Et si cela–si ce n’est pas là le monde d’aujourd’hui, je ne connais pas le monde. Les gens ont reçu la grâce, la puissance, et ils ont vu les signes de l’âge, les signes du temps: Dieu écrivant, et de Sa main dans la nature, des phénomènes vraiment terribles dans les cieux, que les gens ignorent; on les appelle des soucoupes volantes, et tout; des spoutniks et peu importe comment on appelle cela, des astronautes volant dans les cieux; des phénomènes terribles, des tremblements de terre en divers lieux, le mugissement de la mer, les hommes rendant l’âme; la terreur, des temps de perplexité, l’angoisse chez les nations... Toutes les choses qu’Il a promises, nous avons vu ces Ecritures sur la muraille. Nous avons vu cela de nos yeux.
88 Nous voyons dans l’église où la grâce a été proclamée pour appeler les gens. Nous voyons là où la puissance a été démontrée par le groupe pentecôtiste pour ramener le baptême du Saint-Esprit, la puissance. Et nous avons vu la puissance surnaturelle de l’identification de Jésus-Christ Lui-même se tenant parmi nous, au milieu de nous, et faisant les choses qu’Il faisait au commencement, exactement les mêmes témoignages, tout à fait.
89 La sortie d’Israël était juste un signe, juste comme c’est le cas aujourd’hui. Observez ce qu’Israël a connu dans son exode. La première chose qu’ils ont reçue pour identifier entièrement que l’heure était proche, c’était un prophète avec le message. Moïse est venu avec le message. Moïse avait la Parole de Dieu.
90 La chose suivante, Moïse devait être identifié. Et il fut identifié par la Colonne de Feu. Elle a identifié son oeuvre, montrant que Dieu l’avait envoyé.
91 Et Moïse avait la Parole de Dieu, même pour créer des choses et les faire venir sur la terre.
92 Et le signe que Dieu leur a donné par le sang était l’identification, ou plutôt l’assurance qu’on passerait par-dessus eux au moment de la mort.
93 La même chose est arrivée aujourd’hui, la même chose. La Parole de Dieu nous a été apportée; la Colonne de Feu est parmi nous, identifiant Jésus-Christ ressuscité des morts, le même hier, aujourd’hui et éternellement; avec l’assurance du baptême du Saint-Esprit sur nos coeurs, tournant notre amour vers Dieu. L’exode est de nouveau en cours.
94 La sortie d’Israël, comme je l’ai dit, est un type de la sortie de l’Eglise, ou de l’Epouse sortant de l’Eglise. L’Epouse sera le reste, elle sera le petit groupe, les élus, les prédestinés.
95 Lorsqu’une femme étale un morceau de tissu, elle pose le patron dessus, la manière dont elle va le couper, et elle fait son choix à sa propre manière. Mais la partie du tissu au-delà des limites du patron, c’est le même genre de tissu que celle qui était sous le patron, mais il était ordonné qu’elle prenne celle-ci. Elle a elle-même déterminé cela.
96 Dieu a fait la même chose. «Et le reste de la postérité de la femme qui était resté sur la terre...» Aujourd’hui c’est l’appel de l’Epouse à sortir de l’Eglise, c’est l’exode pour l’Enlèvement. En effet, l’Eglise passe réellement par la période de tribulation, comme vous frères pentecôtistes avez prêché. Je crois cela. L’Eglise passe par cela, mais pas l’Epouse. Non, non.
97 Il n’y a pas longtemps, quelqu’un a discuté de cela avec moi; il a dit: «L’Eglise devra passer par cela pour–pour être purifiée.»
J’ai dit: «C’est vrai, parce qu’elle a rejeté le Sang.»
98 Et si la période de tribulation surprenait l’Epouse, que Sa propre Epouse se retrouvait dans la tribulation? Absolument pas. Le Sang de Jésus-Christ nous a purifiés de tout péché, et il n’est plus question de purification. Et le Sang de Jésus-Christ, ce Signe, comme identification, montre qu’elle a été purifiée (Amen), c’est le Signe de l’Epouse qui porte l’alliance.
99 Le ministère de Moïse pour Israël consistait à réunir toute la congrégation dans un endroit pour prier et adorer. Quand cela eut lieu, comme ç’a été lu ce soir, ils devaient tenir ferme et persévérer. De même la congrégation du Seigneur s’assemble en dehors de tout credo et de toute doctrine du monde. Ils sont venus de tous les coins de l’Egypte pour aller au seul endroit où ils étaient rassemblés. Nous ici, nous pourrions–nous pourrions lire Hébreux 10.26 pour voir cela très clairement.
100 Puisque nous voyons les glorieux signes du temps de la fin sur terre, nous avertissant que le temps est proche, nous devrions nous aimer les uns les autres plus que nous ne l’avons fait dans toute notre vie. Il devrait y avoir une telle soif d’aller à l’église. Il devrait y avoir une telle soif pour nous de nous rapprocher les uns les autres. Cela devrait être une affaire d’amour.
101 Je suis impatient d’aller à Tucson. Oh! Dieu a guéri ma petite épouse. Elle est une partie de moi. Je suis impatient d’aller là-bas. Les heures, je compte les jours et les heures en vue du moment où je pourrai aller là pour être avec elle.
102 C’est ainsi que devrait être l’Eglise. En voyant cela, la puissance de Dieu, ce qu’elle a fait pour nous, nous devrions compter les minutes, nous rassembler dans l’amour, afin que nous puissions nous envoler un jour pour aller à la rencontre de Jésus.
103 Il n’y a pas longtemps quelqu’un me parlait, disant: «Frère Branham, vous effrayez les gens en disant que la Venue du Seigneur est très proche.»
104 J’ai dit: «Ils ne devraient pas s’inquiéter à ce sujet. Cela devrait être la chose la plus heureuse que nous connaissons.» Hum hum, oui. «Et Il apparaîtra pour la seconde fois à tous ceux qui aiment Son avènement», qui aiment cela et attendent cela avec impatience. C’est une affaire d’amour.
105 Et combien nous devrions nous aimer les uns les autres, parce que nous sommes des concitoyens du même Corps. Nous devrions nous aimer les uns les autres.
106 Un avertissement nous est adressé, le temps est proche... Les croyants devraient se séparer des choses du monde, des soucis du monde. C’est la raison pour laquelle je martèle contre les femmes et ainsi de suite, tel que je le fais. Et puis, séparez-vous de ces émissions de télévision. Séparez-vous de cet évangile d’Hollywood. Revenez à la profonde sincérité. On se tient à la chaire, on sautille, on rit, on crie, on fait des histoires, et les femmes dansent sur la piste, portant des vêtements très serrés, et toutes sortes de bijoux et d’histoires qui pendent, avec des cheveux coupés, et certaines d’entre elles portant du maquillage. Et elles ont là un pasteur intellectuel, un prédicateur qui sait parfaitement agencer les mots. Ce n’est pas cela. On ne va pas à l’autel de Dieu en riant, en faisant des histoires et en se comportant mal. On va à l’autel de Dieu avec une profonde sincérité, parce que c’est là qu’on meurt. On ne va pas à la mort en riant et en blaguant, quand on a toute sa tête. Il faut être fou pour faire cela.
107 Il y a quelques semaines, je suivais une–une émission dans une des stations services où je me trouvais, c’était une émission de notre remarquable frère Billy Graham, quand il tenait le plus grand réveil qu’il ait jamais tenu, ou quand il a tenu le plus grand réveil en Californie. En suivant la télévision, je regardais le visage des gens qui venaient à l’autel: il y avait des enfants qui se donnaient des coups de poing, ils se battaient, en allant à l’autel; ils riaient et blaguaient, sans sincérité, en mâchant du chewing-gum, regardant tout autour. Ils vont droit là et disent: «Oui», et font une confession et puis ils retournent. Billy a déclaré qu’il peut en avoir trente mille; et une année après, il ne lui en reste pas trente. Il n’y a pas de sincérité. Il n’y a plus de sincérité.
108 Les gens ne sont pas disposés à confesser. Ce qu’ils désirent dire dans leur prière, c’est: «Ô Dieu, guéris-moi, fais ceci ou fais cela, ou fais cela.» Mais quant à mourir, à confesser ses péchés et à se mettre en ordre avec Dieu, on ne voit plus cela. C’est la raison pour laquelle nous ne voyons pas plus de guérisons que ce que nous avons. C’est la raison pour laquelle je prêche ces choses. Préparons les choses pour un service de guérison. Vous devez d’abord amener la chose à agir. Dieu vous guérit pour Sa gloire. Et nous devons nous préparer pour Sa gloire.
109 Eh bien, c’est ce que l’Egypte devait faire. Rappelez-vous, on examinait l’agneau pendant quatorze jours. L’Egypte... Il a dit: «Faites sortir toute souillure de votre maison. Faites sortir chaque–tout le levain.» Vous ne pouvez pas avoir de levain. Quand cette marque vient dans votre maison, ce Signe, vous ne pouvez pas avoir de levain là-dedans, c’est-à-dire le monde.
110 Vous ne pouvez pas aimer Dieu et Mamon (le monde) en même temps; tous les soucis du monde, toutes les inquiétudes et vos credos, et vos histoires et vos divergences. Vous venez à Jésus-Christ.
111 Pourriez-vous vous imaginer un Juif, dans l’Ancien Testament, venant avec son agneau pour faire une offrande? Il obéissait à Jéhovah, à ce qu’Il lui avait ordonné. Cela a continué. Il agréait le sacrifice. Il voyait l’agneau mourir. Ses mains étaient couvertes du sang de l’agneau qui mourait. Il rentrait chez lui justifié, parce qu’il était venu avec sincérité. C’était une bonne chose.
112 Mais, après un temps, c’est devenu une tradition. Et quelqu’un disait: «Tu sais, c’est la Pâques, on ferait mieux d’aller faire ceci, et je dois offrir un agneau.» La chose en arriva à un point où on pouvait acheter un agneau et demander à quelqu’un d’autre de l’offrir à sa place. C’était devenu un credo. C’était devenu un dogme dans l’église. Et Dieu a dit du sacrifice même qu’Il avait exigé que c’était devenu une puanteur à Ses narines, parce que c’était offert sans sincérité.
113 Et nous pentecôtistes, nous arrivons à ce même point. C’est juste. Nous en sommes arrivés à un point où la sincérité a disparu du milieu de nous. Nous venons et nous cherchons à faire entrer les gens dans l’église, comme le fait l’autre église, pour avoir de grandes foules et tout dans nos églises. Nous ne devrions jamais faire cela.
114 Nous devrons arriver à être sincères et alors mourir autant que possible afin que le Sang de Jésus-Christ et le Signe puissent venir sur nous. Cela fait de vous une personne différente. Une femme peut se relever de là et s’en aller; elle cherchera à obéir à chaque Ecriture qui se trouve dans cette Bible, peu importe ce qui se passe; il en est de même d’un homme. Ni la dénomination, ni les credos, ni quoi que ce soit d’autre ne peuvent le séparer de l’amour de Dieu qu’il a trouvé là à cet autel, s’il continue à marcher dans la voie du Seigneur. Mais aujourd’hui, nous ne faisons pas cela avec sincérité, nous considérons tout simplement la chose comme une simple tradition, nous disant: «Nos pères ont fait ceci.»
115 C’est exactement comme le Thanksgiving. Beaucoup de gens aujourd’hui n’y ont jamais réfléchi: des dizaines et des dizaines de milliers, des millions d’Américains, pour célébrer le Thanksgiving, dînent aujourd’hui avec une dinde sur la table, sans prendre du tout la peine d’offrir une bénédiction, ni de rendre grâces. Mais ils n’auraient pas eu ceci, s’il n’y avait pas eu cela. Sur la même table où ils ont mis la dinde, il y a un litre de whisky et beaucoup de bière posée sur la table... C’est devenu une tradition.
Vous direz: «C’est ridicule. Ce n’est même pas américain.»
116 Je vais vous renvoyer aussitôt la balle. Venir à l’autel avec une confession aux yeux secs, c’est une tradition. Vous devriez mourir là avec votre Sacrifice, tandis que vous vous identifiez comme étant mort (Amen), enseveli en Christ, le–le monde étant mort derrière vous.
117 Et vous devriez marcher en nouveauté de vie avec Jésus-Christ dans Sa résurrection, aimant Sa Parole, acceptant Sa Parole, vous Le voyez s’identifier dans Sa Parole, en vous donnant l’identification que vous êtes passé de la mort à la Vie. Quel temps que celui dans lequel nous vivons! Oui, oui.
Eh bien, nous voyons que nous vivons dans les dernières heures, que les croyants doivent accepter toute la Parole.
118 Remarquez, il ne s’agissait pas tout simplement de se rassembler et de parler de la chose, que tous les Juifs se réunissent et disent: «Eh bien, je vais vous dire quoi, je vous assure, les amis. Vous savez, je crois que Moïse a raison parce que, écoutez, nous voyons Dieu s’identifier à Moïse. En effet, nous voyons cette Colonne de Feu; nous savons ce qui s’est passé. Nous connaissons toutes les identifications que Dieu a données à Moïse. C’est juste. Vous savez, il a dit que nous devons avoir le sang sur la porte. Je crois cela. Mais, vous savez, après tout, je crois que je suis pratiquement comme quiconque. Je–je–je–je suis un véritable Juif sous l’alliance. J’ai été circoncis, et je donne mes offrandes et mes dîmes dans l’assemblée. Oh! même le sacrificateur, je prends le dîner avec lui. Eh bien, je suis pratiquement comme vous autres.» Ce n’est pas ce qui s’est passé.
119 Nous ne devons pas nous réunir pour parler du Message. Nous devons nous réunir pour entrer dans le Message. Et le Message, c’est Christ; Il est la Parole. C’est juste. Nous devons entrer dans le Message, nous placer sous le Message. Oui, oui. C’est ce que nous sommes censés faire.
120 Il n’était pas responsable de tous ceux qui n’étaient pas sous le sang, pas d’un seul; peu importe qui c’était, il n’était pas responsable de celui-là. Chacun devait non seulement s’y placer lui-même, mais aussi toute sa famille. Ils n’étaient en sécurité que lorsqu’ils... le signe était exhibé.
121 Nous ne pouvons pas nous sentir en sécurité jusqu’à ce que ce Signe soit exhibé. C’est juste. Vous devez venir sous ce Signe, le Saint-Esprit de Dieu. Et Cela vous montre Jésus-Christ, parce que Cela vient vivre en vous.
122 Comme je l’ai dit hier soir, et–et à New York dans l’un des messages, si je–si je vous disais que Shakespeare vivait en moi, je ferais les oeuvres de Shakespeare. En effet, je ne pourrais pas m’en empêcher, je ne serais plus moi-même; je serais mort. Shakespeare et moi, nous ne pouvons pas vivre ensemble ici dedans. Shakespeare était un poète, et moi, je suis un prédicateur; nous ne pouvons pas vivre ensemble. Mais si alors je suis mort à moi-même et que Shakespeare vive en moi; je ferai les oeuvres de Shakespeare. La vie de Shakespeare en moi va manifester Shakespeare. Si la vie de Beethoven était en moi, je serais Beethoven. Si la vie de John Dillinger était en moi, je serais John Dillinger. C’est juste.
123 Et si la Vie de Jésus-Christ est dans la personne, cette personne deviendrait identifiée à Lui. C’est Christ en vous, pas un membre d’église, pas un système, mais la puissance de la résurrection. C’est le Saint-Esprit qui est un Signe sur vous, afin que votre vie dise amen à chaque Ecriture, aux promesses qui y sont écrites.
124 Et vous n’êtes plus vous-même. Vous êtes à Christ. Vous ne pensez plus vos propres pensées. Vous ne pensez plus vos propres pensées. Vous direz: «Je pense.» Il ne vous vient plus aucune pensée. La Vie qui était en Christ est en vous. La pensée qui était en Christ est en vous. Les oeuvres qui étaient en Christ sont en vous, et Christ Lui-même est en vous. Vous êtes mort; votre vie est cachée en Dieu au travers de Christ, scellée là à l’intérieur par le Saint-Esprit. Vous ne vous appartenez plus.
125 Il n’était responsable de personne. Toute la famille devait être amenée à l’intérieur, et le signe devait être exhibé. Absolument. S’il n’était pas exhibé, alors cela n’avait aucun effet. Vous pouviez croire dans la chose; vous pouviez dire: «Oh! oui, je crois cela.» Mais cela ne faisait pas l’affaire. Cela... Vous pourriez dire: «Eh bien, je vais vous dire ce que je ferai. Je vais mettre cela dans un seau que je vais déposer ici sur le mur. Mais en fait, je pense qu’aussi longtemps que je–que je l’ai ici dedans, si j’avais le sang ici au-dessus...» Non, non. Vous ne pouvez pas cacher Cela. Non, non. Vous devez avoir la Chose. Vous devez La mettre au grand jour.
126 C’était dans ce but-là qu’on mettait cela sur les portes, pour que Lui voie cela sur le linteau et sur le montant de la porte. C’est quelque chose dont vous n’avez pas honte. Vous voulez que le monde entier sache que vous êtes mort, et votre vie est cachée en Dieu à travers Christ.
127 Vous parlez du Thanksgiving, je vous assure, ce n’est pas une tradition, pas du tout. Nous avons trop de traditions maintenant. Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un rafraîchissement, d’un nouveau baptême du Saint-Esprit dans l’église, non pas d’une célébration, mais d’un remplissage. Alors cela devrait être la célébration de notre Thanksgiving, comme nous l’appellerions. Cela devrait être la venue du Saint-Esprit dans nos vies. Si nous pouvions manger une dinde comme nos premiers pères, nous devrions recevoir le Saint-Esprit comme nos premiers pères L’avaient reçu (Amen!), non pas une tradition, mais un commandement venant de Dieu. Nous devrions recevoir Cela.
128 Considérez Josué, et lisez Josué, chapitre 2. J’ai écrit ici: «Lisez cela.» Je n’en ai pas le temps. Mais je désire que vous sachiez que quand Moïse et Josué étaient en route dans le désert, effectuant l’exode, ils ont envoyé des ministres, des espions, pour aller espionner le pays. Mais, souvenez-vous, il y avait là-bas de l’autre côté du fleuve une femme des Gentils du nom de Rahab. Elle était une prostituée. La pauvre enfant était une fille des rues, elle avait peut-être été chassée par sa famille. Mais nous voyons que lorsqu’elle a vu ces hommes, elle a compris que c’était des hommes de Dieu. Elle était une prostituée, et elle voulait savoir si une grâce quelconque pouvait lui être accordée.
129 Dieu fait miséricorde à ceux qui implorent miséricorde. Tous ceux qui implorent miséricorde obtiendront miséricorde.
130 Observez cette prostituée, elle a dit: «Je vais montrer de la bienveillance.» Observez, elle n’avait pas besoin de voir Josué. Elle ne savait pas comment il se peignait les cheveux, ou quels vêtements il portait. Elle a dit: «J’ai appris que Dieu est avec vous.» C’est tout ce qu’elle voulait savoir.
131 Et je vous déclare aujourd’hui, frère, il ne s’agit pas de la façon dont vous vous peignez les cheveux ou de ce que vous faites ou du genre de vêtements que vous portez, du type de doctorat que vous possédez. «J’ai appris que Dieu est parmi vous»; voilà l’essentiel. Nous voulons savoir parmi [tout] ceci où Dieu se trouve.
132 Observez les organisations. Voyez vers où elles vont. Dieu est-Il parmi les organisations? Si c’est le cas, alors Il est en train de les conduire tout droit vers le Conseil des Eglises et jusqu’à la marque de la bête. Dieu n’est pas là-dedans.
133 Dieu est dans Sa Parole, car Il est la Parole. C’est exact. «J’ai entendu.» Et la foi vient de ce qu’on entend, non pas le conseil, mais la Parole, de ce qu’on entend la Parole.
134 Ils ont vu cela et ils ont compris. Elle savait que c’était la vérité. Elle a imploré miséricorde (Suivez.) à la fois pour elle et pour sa famille. Elle l’a implorée pour elle et pour sa famille, exactement comme les autres le firent en Egypte.
135 Et remarquez, un signe lui fut donné, un signe rouge. En effet, le fil cramoisi avec lequel elle avait fait descendre les gens, les espions, par la fenêtre devait servir de signe. Dieu n’allait pas... L’ange destructeur... L’ange destructeur de Dieu n’allait pas s’approcher d’elle aussi longtemps qu’elle avait ce signe. Mais... Et que serait-il arrivé si elle avait dit: «Oh! je les ai fait descendre. J’ai fait–fait une bonne oeuvre. Ainsi maintenant, pour éviter que quelqu’un me critique, en voyant cette corde cramoisie suspendue ici dehors, je vais tirer la corde pour la faire remonter»? Alors le–l’Ange du jugement ne serait jamais passé par-dessus sa maison. Elle devait exhiber le signe. Cela devait rester là. Alléluia! Oh! cela signifie «gloire à notre Dieu», en ces heures-ci.
136 Souvenez-vous de ceci. Je ne suis pas ici pour gagner ma vie. Je ne suis pas ici en train de prêcher pour gagner ma vie. Certainement pas. Je peux encore travailler pour ça. Je ne fais pas ceci pour cela. Si j’estimais qu’il existait un quelconque autre moyen à part ceci juste... Souvenez-vous, ça c’est moi; je dois rencontrer Dieu. Il s’agit de mon âme. Ça doit être moi. Ce n’est pas seulement moi, mais je serai condamné davantage. La Parole de Dieu est Dieu. C’est le programme de Dieu qui se trouve là-dedans, et c’est la vérité.
137 Je crois que le fil cramoisi avait dû être exhibé, sinon l’ange, l’ange destructeur, n’aurait jamais honoré quelque chose d’autre que ce signe, qui aurait été exhibé. Les messagers ont donné à la femme un signe, et elle devait le garder exposé.
138 Remarquez, Jéricho avait appris ce que Dieu avait fait, mais elle n’avait rien fait pour prendre en considération l’avertissement.
139 Aujourd’hui le monde... il n’est pas enfermé quelque part d’un côté, le monde entier est au courant du déroulement de ces choses. Le monde entier est au courant. Les épiscopaux, les catholiques, les luthériens, toutes les dénominations savent qu’il y a un Dieu qui agit à travers Sa Parole en ce jour-ci, et qui continue à opérer Ses miracles et prodiges. La chose n’est pas enfermée dans un coin. Les gens en ont entendu parler, mais ils n’ont pas voulu la recevoir. Ils en ont entendu parler.
140 Sa glorieuse puissance et Ses signes avaient été exercés–manifestés, mais ils ont refusé de recevoir cela. C’est exactement ce qui arriva à Sodome, Ses glorieux miracles et prodiges y avaient été manifestés, mais les gens n’ont pas voulu recevoir cela. Après, il ne restait rien d’autre que le jugement. Il leur fallait croire à toute la Parole pour être en sécurité. Mais eux pensaient qu’ils étaient peut-être en sécurité dans la très grande organisation qu’ils avaient à Jéricho, leur ville. Ils pensaient que c’était suffisant, mais ce n’était pas le cas.
141 Mais une petite prostituée... Quelques jeunes gens qui enregistrent les bandes ont dû se glisser discrètement là et ont joué certaines bandes. Et la semence prédestinée a saisi la chose et a cru. Ainsi, de toute façon, ils sont entrés là pour un message. Ils ont eu culte ce soir-là dans sa maison. Elle s’est servie de Sa maison comme église pour recevoir le message.
142 Ô Dieu, laisse-nous ouvrir nos coeurs et recevoir le message selon lequel Jésus est vivant ce soir. Il est ici même parmi nous. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
143 Ouvrez votre maison et laissez le Messager, le Saint-Esprit, entrer et vous identifier par Sa propre Présence, le Signe, qui est sur vous. Alors vous n’aurez plus à croire quelqu’un d’autre sur parole; Il est là pour s’exprimer. Et Il est la Parole. C’est juste. C’est le Signe de Dieu pour s’identifier personnellement.
144 Elle s’est servie de sa maison pour abriter les messagers. Alors elle a amené sous le même signe toute la ville qui voulait croire. Et c’est ce que l’Eglise devrait être en train de faire aujourd’hui: amener sous le signe tous ceux qui veulent croire. Le Signe, c’est le Saint-Esprit. Souvenez-vous tout simplement, les gens doivent venir sous le Saint-Esprit.
145 Et quand Dieu a détruit Ses anges... L’ange destructeur est passé, et quand ils ont vu le symbole du signe, sa maison est restée debout. Le reste de Jéricho s’est écroulé. Mais juste au son de la trompette, pensez-y un peu, toute la muraille s’est écroulée. Ils sont allés directement et ils ont détruit complètement tout ce qui s’y trouvait, mais tout ce qui se trouvait sous ce signe était en sécurité. Pourquoi? Le messager de Dieu était venu. Ils leur avaient dit la vérité, et ces gens se sont placés sous le signe. Oui, oui. Mais beaucoup d’entre eux n’ont pas voulu croire cela. Si donc ils n’ont pas voulu croire cela, ils ont certainement considéré les circonstances.
146 La même vie qui était dans le signe en Egypte (Voyez-vous?), la vie, c’était la même chose, comme le signe de vie en Egypte.
147 Quand ils firent descendre le fil, c’était cela le signe. Là dans ce monde des Gentils, le sang n’était pas encore appliqué pour eux, mais ils ont donné le symbole du rouge, du signe. Quand donc ils virent le signe... Josué, un type de Jésus, fut fidèle au signe et au symbole que ses messagers avaient prêchés, quand Josué ordonna que personne ne puisse s’approcher de cette maison où se trouvait ce signe-là (non, non), parce que personne de ceux qui étaient sous ce signe ne devait être tué. Et en fait, Josué signifie «Jéhovah Sauveur», de même que Jésus. Et quand il a envoyé ses messagers, Josué, un autre type pour le monde des Gentils, et les Gentils, cette petite minorité qui a cru et qui a manifesté ce signe, même l’ange destructeur a reconnu ce signe. Voyez-vous?
148 Aujourd’hui, c’est la seule chose qu’Il reconnaîtra. Il n’a jamais reconnu le président de cette firme. Non. Il n’a pas reconnu les chefs, les seigneurs de la guerre, les grands hommes. Il ne les a jamais reconnus. Il n’a reconnu que l’endroit où le signe était exhibé. Il se pourrait que beaucoup d’entre eux aient cru cela. Beaucoup d’entre eux avaient peut-être cru qu’ils allaient être pris, mais cela n’a pas arrêté la chose. Le signe devait être exhibé. Oui, oui. C’est tout. Tous ceux qui se trouvaient sous ce signe en Egypte furent sauvés. Et quand la même heure a sonné, tous ceux qui se trouvaient sous ce signe à Jéricho ont été sauvés.
149 L’Agneau sanglant est notre Signe ce soir. Dans Hébreux 13.10 et 20, cela est appelé l’alliance éternelle, si vous voulez le lire. Les promesses de Dieu liées au Sang nous ont libérés du péché et de la chair. C’est une alliance éternelle pour L’adorer et manifester les signes qu’Il a promis. Le Nouveau Testament est la Nouvelle Alliance dans Son Sang. C’est la Bible qui le dit. Le «Nouveau Testament» signifie la «Nouvelle Alliance», la Vie du Sang, le nouveau Signe de Vie en nous. Alors, le sang autrefois jouait le rôle d’un simple symbole chimique, montrant qu’un agneau était mort, le Saint-Esprit est la Vie qui était dans la Personne de Jésus-Christ, Lequel est manifesté en vous et en moi ce soir. En dehors de cela, il n’y a point de miséricorde. «C’est seulement quand Je verrai le sang que Je passerai par-dessus vous.»
150 J’essaie de faire pénétrer dans votre pensée, mon ami, que l’heure est venue où quelque chose doit se faire par cela. Nous devons faire quelque chose. Ou on est à l’intérieur, ou on est à l’extérieur; c’est tout. L’heure est venue où le Signe doit se trouver là. Si jamais ceci... Si cette église espère demeurer vivante jusqu’à la Venue de Jésus-Christ, le Signe devra être manifesté là. C’est tout. Si la mort ne la prend pas, elle attrapera la marque de la mort. Et bientôt, la chose est au niveau du Congrès en ce moment même, la grande machine est en place pour faire entrer toutes les églises dans cette fédération des églises. Et vous feriez mieux de faire réellement briller le Signe. Mais l’heure est venue pour l’exode. Et cette fois, nous allons à la Terre promise, la promesse de la Vie Eternelle.
151 Ce Signe montre que Jésus-Christ... Le Saint-Esprit montre que Jésus a satisfait pour nous à toutes les exigences, parce que de par notre nature, nous sommes des fils déchus de Dieu. Et nous n’avons point de puissance en nous. Nous n’avons pas la Vie en nous. Nous sommes une race de gens déchus depuis Adam. Mais quand nous pouvons exhiber le Signe comme quoi la Parole et nous, nous sommes devenus une même chose, cela montre que Jésus-Christ a satisfait à toutes les exigences pour nos péchés et notre mort, et qu’Il a manifesté Son Signe en nous. Oh! combien ça peut être simple!
152 Vous êtes condamné. Nous étions tous condamnés. Il est impossible que nous nous sauvions nous-mêmes, et Dieu nous a envoyé un Signe. Il a tué Son Fils au–au Calvaire pour nous. Et la Vie qui était dans ce Sang, quand Il fut versé au Calvaire, est revenue pour être un Signe sur nous, le Signe éternel et perpétuel de Dieu. C’est la Vie Eternelle par le Dieu éternel. Et tout ce qui a eu un commencement a une fin; et tout, à part Dieu, a eu un commencement. Et Dieu est la seule forme de Vie Eternelle qui existe. Et quand Dieu place Son Saint-Esprit en vous, Lequel est Dieu, et quand Dieu se place Lui-même en vous, vous êtes autant éternel que Dieu est éternel. En effet, vous êtes une partie de Lui, parce que vous êtes devenu un fils ou une fille de Dieu et vous manifestez Sa Parole. Alléluia! Je me sens religieux. C’est vrai. Dieu Lui-même identifie cela. Vous avez la Vie Eternelle, et c’est Dieu en vous. Et cette Parole, c’est Dieu. Et cette Parole vit et se manifeste. C’est très exactement ce que Dieu a ordonné pour cet âge, vous avez cela (Amen), le Saint-Esprit, le Saint-Esprit est manifesté. Oui, oui.
153 Qu’est-ce? Le Saint-Esprit, la Parole a été vivifiée pour vous par le Saint-Esprit pour confirmer cet âge, que vous êtes passé de la mort à la Vie, et que maintenant vous Lui appartenez.
154 Oh! puisqu’Il existe, nous avons droit à tout ce qu’Il a acquis pour nous. Chaque promesse dans la Bible est vôtre. Elle vous appartient quand ce Signe est sur vous et que Dieu vous a scellé. Eh bien, il nous faut nous examiner juste un instant. Quand Dieu vous donne le véritable baptême du Saint-Esprit, alors la Vie de Jésus-Christ est en vous. Eh bien, c’est vrai; tout théologien devra admettre que c’est la vérité; c’est la nouvelle naissance. Vous êtes né de nouveau, du Saint-Esprit. Et comme Dieu a fait cela, vous savez en vous-même que vous n’êtes bon à rien, mais que vous acceptez ce que Dieu a fait, alors Il vous scelle dans le Royaume par le Saint-Esprit. Et tout ce que Jésus a acquis pour vous et qu’Il vous a promis dans la Bible est vôtre. C’est votre propriété parce que cela a été payé. Amen. La Vie est mienne, Il a payé pour cela. La Vie est vôtre, Il a payé pour cela. La guérison est mienne, Il a payé pour cela. La guérison est vôtre, Il a payé pour cela. La liberté est mienne; Il a payé pour cela. Le Ciel est mien, Il a payé pour cela. Il a payé le prix. Tout ce qu’Il a acquis appartient à l’homme qui détient le Signe. Amen. «Mettez Mon Signe sur le tramway, au jour de jugement, et Je passerai par-dessus vous.» Amen. En gardant Cela dans... En gardant votre confession dans la Parole, que Jésus-Christ est mort pour vous. Et quand Il le fait, Il se manifeste à travers vous. Amen. Oui.
155 Quand vous reconnaissez le Signe, la Vie qu’il faut pour que le Sang parle. Vous direz: «Le Sang parler? Attendez une minute, Frère Branham.» Le Sang parle. C’est la Bible qui le dit. C’est ça. Le Sang parle. Souvenez-vous, le Sang de l’alliance n’est pas reconnu en dehors du Signe. Eh bien, la Parole nous donne l’assurance de la promesse. Le signe est l’évidence que l’acquisition a été faite pour nous, et que Dieu a agréé cela.
156 Quand vous allez là et dites: «Je veux voyager pour New York.» Que fait-on? On vous donne un ticket. Qu’est-ce? C’est un signe. Ce n’est pas de l’argent. C’est un signe, mais il faut de l’argent pour l’acheter.
157 Eh bien, quand vous voulez la Vie Eternelle, vous recevez un Signe montrant que le prix a été payé. Il ne s’agit pas du Sang, mais du Signe du Sang. C’est la Vie elle-même. Amen. La pleine obéissance à toute la Parole de Dieu, à l’entière Parole de Dieu, vous donne droit à ce Signe.
158 Comment le faites-vous? Le jour de la Pentecôte, Pierre a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon des péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit, le Signe. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»
159 Quand ils ont vu cette merveilleuse démonstration de la puissance de la résurrection, il (Pierre) s’est levé là et a cité les Ecritures de Joël et ainsi de suite; il a donné la promesse pour cet âge-là, et il a montré que Jésus-Christ avait accompli les exigences pour cet âge-là, et qu’Il avait envoyé un Signe de Sa mort. Et ce Signe était sur eux. Et Il a dit: «Le Signe est pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera, ils devront avoir ce Signe.» Amen. Ce n’est pas qu’ils «devraient peut être» L’avoir. «Ils L’auront. Vous recevrez le Saint-Esprit.»
160 Lorsque vous obéissez pleinement à la Parole de Dieu, en–en vous Y abandonnant entièrement, vous avez droit au Signe. Oui, oui. L’obéissance; «Ce n’est pas celui qui dit: ‘Seigneur, Seigneur’, mais celui qui fait la volonté.» Et quand nous prions, nous devons avoir le Signe à présenter avec notre prière.
161 C’est très exactement ce que nous faisons lorsque nous allons à–allons à la gare d’autobus, nous disons: «Je voudrais voyager.»
– Pour quelle destination?
– Pour tel endroit.
162 Vous devez avoir le signe, si un signe est exigé. Vous devez avoir le signe. Vous dites: «Eh bien, attendez une minute, je suis–je suis monsieur Dupont. Eh bien, permettez...» Cela ne change rien du tout; vous devez avoir le signe. «Eh bien, je vais vous dire quoi; je–je suis pressé pour aller au travail. Je n’ai pas de temps à perdre.» Soit vous aurez le signe, soit vous n’aurez pas le signe. Si vous n’avez pas le signe, vous ne ferez pas le voyage.
163 Supposons qu’ayant un ticket, vous alliez ici à l’aéroport, et que vous disiez: «Je désire me rendre à New York.»
– Ticket? Signe?
164 Vous direz: «Eh bien, je–je–je vous assure, je n’en ai pas. Je suis le genre de personne très sérieuse. Je vais vous payer un jour.» Non, non, tenez le signe; vous devez le tenir à la main. Il doit être exhibé. Il le faut. Oh!
165 Comprenez-vous ce que je veux dire? Il vous faut L’avoir. Vous ne devez pas juste penser L’avoir; ça doit être un Signe identifié. C’est juste. Cela vous donne le droit, quand vous payez le... Quand vous acceptez que le prix a été payé... Oui, oui.
166 Paul nous dit, parlant du sang qui parle, Paul nous dit que le sang parle. Croyez-vous que le sang parle? Dans Genèse 4.1, ou plutôt 4.10, Dieu a parlé à Caïn; Il a dit: «Où est ton frère?» Il a dit: «Son sang, sa–sa voix... Le sang de sa... La voix de son sang crie contre toi.»
167 Eh bien, nous voyons aussi dans Hébreux, chapitre 12, verset 24, que le Nouveau Testament, que le Sang parle de meilleures choses. Le Sang parle. Donc le Sang a une voix. Et la voix du Sang, c’est la Parole. Alléluia! C’est ce qui fait que la chose soit vraie ou fausse. La–la Parole est identifiée par la Voix du Sang. La Voix du Sang, c’est le Saint-Esprit qui apporte la Vie. C’est la Vie, et Il apporte la Vie à la Parole et La vivifie. Amen, amen, amen.
168 Le Sang parle bien sûr; Il parle d’une chose meilleure. Dans l’Ancien Testament, le sang a parlé de la culpabilité. Dans le Nouveau Testament, Il parle de la Rédemption. Dans l’Ancien Testament, il a parlé de la mort et du chagrin. Dans le Nouveau Testament, Il parle de la Résurrection et de la Vie. Il parle de la guérison. Il parle de la joie. Il parle de la puissance. Il parle de la Vie. Il parle du Ciel. Et ce même Sang qui fut répandu sur le sol a crié contre son frère mort ou plutôt le... a crié contre son frère qui l’avait tué. Le Sang de Jésus-Christ couvre tous nos péchés et parle paix et résurrection, puissance, Vie et guérison; et toutes les bénédictions rédemptrices pour lesquelles le Sang a été versé, Cela parle pour nous. Certainement, le Sang parle. Oh! la la!
169 Nous devons croire pour nous-mêmes, comme ils le firent là-bas en Egypte, et aussi pour la maison comme ils le firent en Egypte, à Jéricho, et ainsi de suite. Et nous voyons... J’ai noté une Ecriture ici, il s’agit de Actes 16.31, là où le centenier romain allait se suicider, il voulait se donner la mort à l’aide d’un couteau, et Paul lui a dit: «Crois au Seigneur Jésus-Christ, et tu seras sauvé, toi et ta famille.» Il faut que ça soit une famille. Qu’est-ce qui fait que bien des petits enfants... Qu’est-ce qui fait qu’il y ait tant de femmes dans la rue? Qu’est-ce qui fait qu’il y ait tant de délinquance juvénile? C’est parce que nous ne sommes pas en mesure d’amener notre famille sous le Sang.
170 Certains disent: «Eh bien, je suis membre de l’église. Ma mère allait là-bas, et je–je–je–j’ai été consacré là, encore bébé.» Vous devez exhiber le Signe. Oui, oui.
171 Faites sortir toutes les ordures du monde, toutes les choses du monde, car vous ne pouvez pas aimer les choses du monde. Toute votre incrédulité dans la Parole de Dieu... Souvenez-vous, Il a promis ces choses pour les derniers jours. Tout dans votre vie qui–qui s’oppose à Cela, faites sortir cela, préparez-vous, et faites entrer le Signe. Alors appliquez le Signe avec consécration dans la prière et soyez-en convaincu et préoccupé.
172 Si nous pouvions lire ici Ephésiens 2.12, cela nous frapperait. Remarquez, «... serviez le Dieu vivant», avec des signes vivants, des ordonnances vivantes; Hébreux 9.11 à 14 nous dit la même chose. Et nous–nous ne servons pas des préceptes morts; nous ne... ou des oracles. Nous servons le Dieu vivant avec des signes vivants. Pas: «Je vais à l’église. J’ai fait mon adhésion. Je connais le credo. Je–je connais le catéchisme», ce sont des formes mortes.
173 Mais le véritable Signe du Sang, qui crie, parle d’une Présence ressuscitée et vivante, Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est vrai, vivant maintenant même au milieu de nous. Amen.
174 Cela parle mieux non pas à partir des formes et des credos morts, mais d’un Signe vivant d’un Christ vivant et ressuscité, qui vit en nous. Non, les gens renient que cela existe, mais nous, nous savons que c’est la vérité. Mais nous qui croyons la Parole, nous savons que Dieu a promis Cela, et Il tient Sa promesse. Nous savons que c’est Sa Présence vivante, parce qu’Il agit comme autrefois.
175 Si Cela est en vous et que vous disiez: «Eh bien, je–je ne vole pas. Je ne mens pas.» Eh bien, ça c’est juste quelque chose que vous pouvez abandonner. Vous pouvez cesser de voler, cesser de mentir; un homme de bonne moralité fait cela. «J’observe les dix commandements.» Les gens faisaient cela avant la mort de Jésus. Oui. La chose qu’il faut, c’est Christ vivant en vous. Hébreux 13.8: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement», prouvant que Dieu L’a ressuscité des morts pour nous, conformément à Sa Parole de promesse.
176 C’est une confirmation que Jésus-Christ est vivant ce soir. Nous acceptons le sacrifice de Son Sang, parce qu’Il a donné Sa Vie. Le Signe du sceau du Saint-Esprit est notre promesse. Ephésiens 4.30 dit: «N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption.»
177 Etant baptisés par ce Signe pour former le Corps de Christ, 1 Corinthiens 12, maintenant nous sommes candidats aux dons de l’Esprit qui sont là-dedans. Le monde ne croit pas aux dons. L’église ne croit pas aux dons. Mais la Parole de Dieu déclare que les dons existent. Et il faut uniquement ce Signe pour identifier ces dons. Absolument.
178 Et en Lui habite toute la plénitude. En Lui habite toute la plénitude de Dieu, toute la plénitude de la promesse. Quand nous sommes baptisés en Lui, nous avons au bout de nos doigts chaque promesse que Dieu a faite. Il n’y a pas de péché là. Il n’y a pas de mort là. Et même la maladie ne peut pas tenir dans Sa Présence. Si donc Satan met ses mains sur vous et essaie de vous tenter pour vous amener à faire quelque chose, tenez votre Signe entre vos mains et montrez cela, que vous êtes un produit racheté de Jésus-Christ. Amen. Que votre foi sans mélange agite ce Signe-là, et dise: «Je suis un produit que Jésus-Christ a racheté.» Amen. La maladie disparaît.
179 Qu’est-ce qui a fait disparaître du corps de ma femme cette grosse tumeur hier? Juste quelques jours auparavant, elle était prête pour la table d’opération, et maintenant ils ne trouvent rien. C’est parce que la puissance de résurrection de Jésus-Christ, ce Signe de Dieu qui montre qu’Il vit toujours, a détruit cela.
180 Pourquoi ces choses arrivent-elles? C’est parce que Dieu l’a promis. Vous êtes un produit. Gardez le Signe par votre foi inébranlable dans la Parole de Sa promesse. Dieu nous a donné autrefois le Signe...
181 Tandis que je termine, je ne désire pas vous garder trop longtemps. Nous allons sortir à vingt et une heures trente.
182 Dieu a donné autrefois un signe au monde; c’était l’arc-en-ciel. Il a donné aux gens un signe montrant qu’Il ne détruirait plus jamais le monde par l’eau. Et Il est resté toujours fidèle à ce signe. Amen. Il ne manque jamais de l’exhiber. Dieu a fait un signe, Il a dit: «Je vous donnerai un signe. Et quand Je vous promets ceci, chaque fois que la pluie viendra, Je vous montrerai ce signe.»Et Dieu, quand Il fait un signe, Il exhibe le Sien, parce que c’est ce qu’Il a promis de faire. Et Il s’attend à ce que nous fassions de même. Il est toujours resté fidèle à Son signe.
183 Et si nous sommes nés de l’Esprit de Dieu, restons toujours fidèles à Cela. Si vous êtes en quelque sorte un mythe fabriqué, que vous étiez en quelque sorte excité, que vous aviez adhéré à une certaine église, que vous ayez éprouvé une sorte d’émotion, peut-être vous avez parlé en langues, ou crié, ou vous avez sautillé ou chanté dans l’Esprit, comme vous appelez cela... J’ai vu toutes ces choses être exhibées parmi les païens. Voyez-vous? Ça ne veut rien dire. Mais quand le véritable produit, la nouvelle Vie de Jésus-Christ entre dans un homme ou une femme, il devient une nouvelle création, le vieil homme est mort; ç’en est fini de lui; ç’en est fait de lui. Ce Signe doit toujours être exhibé.
184 Dieu a exhibé le Sien. Regardez, pendant tous ces milliers d’années, Il n’a jamais manqué de nous exhiber Cela. Il est loyal et fidèle envers Son signe, en nous montrant qu’Il ne manque jamais d’honorer ce qu’Il a fait, qu’Il ne manque jamais de l’honorer. Nous voyons l’arc-en-ciel, et cela montre que Dieu nous a fait cette promesse. Et Il a dit qu’il en serait ainsi et Il ne manque jamais d’honorer Sa Parole; Il honorera toujours Sa Parole. En faisant cela, Il La confirme. Pour chaque signe qu’Il a donné, Il tient Sa Parole.
185 Oh! Dieu nous a promis un Signe. «Et quand Je verrai le Sang, Je passerai par-dessus vous. Et le sang vous servira de signe.»
186 Oh! pécheur, ce soir, comment pouvez-vous vous éloigner de cet endroit, sortir du dessous ce Signe? Comment pouvez-vous prendre le risque en vous appuyant sur votre appartenance à une église ou sur quoi que ce soit d’autre? Comment pouvez-vous vous permettre de faire cela, voyant que nous vivons dans un temps où il n’y a point d’espoir dans la politique, point d’espoir dans le futur? La seule chose qui reste, c’est la Venue de Jésus-Christ, la Venue de Christ pour prendre Son Eglise.
187 Comment pouvez-vous, avec tout votre bon sens, sortir de ce sous-sol, sortir de cette salle, ou de quelque part, et vous fier à un certain credo ou à quelque chose que vous récitez, qui ne montre aucun symbole du Signe de la Vie et le Véritable Jésus-Christ, qui se révèle et se manifeste comme étant le même hier, aujourd’hui et éternellement, et manifeste Sa Parole comme Il a promis de le faire? Et puis vous pouvez vous tenir là et dire: «Les jours des miracles sont passés», avec le Signe même de Dieu Lui-même dans votre vie!
188 Dieu exhibe Son Signe maintenant. Et Il sera toujours fidèle à cela. A l’heure de votre mort, les Anges de Dieu viendront vous emporter de la mort, et avant que le grand jugement ne frappe le monde.
189 Et nous lisons là dans Saint Jean 5.24: «Celui qui écoute Ma Parole...» Eh bien, la vraie traduction là, ce n’est pas «celui qui écoute». Ça, c’est le Roi Jacques. La vraie traduction de cela, en considérant l’Hébreu, est: «Celui qui reçoit Ma Parole», non pas celui qui écoute. N’importe qui peut écouter Cela, les pécheurs et tout le reste. Mais »celui qui reçoit», qui peut L’accepter dans sa totalité; non pas »celui qui reçoit une de Mes Paroles.» «Celui qui reçoit Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé...» Quand vous recevez la Parole, vous Le recevez, Lui. Tout ce qu’Il a dit de faire, vous êtes disposé et heureux de le faire. «Celui qui reçoit Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Oh! quelle promesse! «Quand Je verrai ce Signe, Je passerai par-dessus vous.»
190 Il s’attend maintenant à ce que nous exhibions Son Signe devant tous les cultes et dénominations incrédules et sataniques de ce monde, pour montrer que nous croyons à ce qu’Il a promis. Nous, étant la postérité d’Abraham, Il est capable de tenir [la promesse]. Peu importe combien d’hommes de science, d’astronautes, de savants se lèvent pour prouver ceci ou cela (et l’année suivante ils sont obligés de retirer cela), nous ne faisons pas attention à ce qu’ils disent. Toute notre instruction ne peut jamais vous donner la Vie.
191 J’habite une ville où se trouve l’Université d’Arizona. Et qu’est-ce que je vois là-bas si ce n’est la souillure et la crasse! Et les écoles secondaires et autres de cette ville... L’autre jour, il y avait quatre cents adolescents garçons et filles sans vêtements, avec des canettes de bière, qui dansaient sur un endroit vaste là- haut dans le Sabino Canyon. Tous ces jeunes enfants venaient des familles et tout, dans les environs, on les voit là-haut venant de l’université. Qu’avons-nous? L’université peut vous donner la composition d’une semence, mais elle ne peut pas donner la vie à une semence. Votre instruction ne fait que vous éloigner davantage de Dieu.
192 Il n’y en a qu’un Seul qui peut vous donner la Vie. Il n’y en a qu’un Seul qui peut vous donner la Vie, et Il le fera. Si vous appliquez le Signe ce soir, Il est ici pour se donner Lui-même à vous et vous donner la Vie. Jésus-Christ est votre Vie. Ne voulez-vous pas Le recevoir ce soir tandis que nous inclinons la tête?
193 Que tout le monde soit révérencieux, à l’intérieur et à l’extérieur, au sous-sol et partout. C’est un moment solennel. C’est un temps où il faut être reconnaissant. C’est un temps où vous remerciez Dieu à table aujourd’hui, vous frères (J’espère que vous l’avez fait), pour la nourriture qu’Il vous a donnée, la substance morte, car quelque chose est mort afin que vous puissiez vivre, et vous remerciez Dieu d’avoir fait croître cela pour que vous viviez par cela.
194 Maintenant, ce soir, pourquoi n’acceptez-vous pas, non pas cette vie naturelle qui doit retourner à la terre avec la substance morte, mais pourquoi n’acceptez-vous pas la Vie Eternelle, alors qu’Il a donné Quelque Chose, qu’Il L’a ressuscité, Son propre Fils, afin que vous puissiez être semblable à Sa propre image par le renouvellement de votre esprit, pour ôter le vôtre et recevoir le Sien qui est le Signe montrant que vous avez la Vie? Et Il passera par-dessus vous et vous ressuscitera à la Résurrection.
195 Ce serait un véritable Thanksgiving. Cela montrerait votre gratitude envers Dieu qui a frayé une voie pour vous et qui a placé devant vous la Vie Eternelle sur Sa propre table, et qui vous Y invite ce soir. Comment pouvez-vous rejeter cela? Comment pouvez-vous vous asseoir à table et être reconnaissant pour la nourriture naturelle, selon une tradition que nos pères pèlerins ont observée au Thanksgiving; pourquoi pas maintenant, alors que cela vous a été rendu si clair ce soir par cette manière humble et simple de prêcher cela?
196 Pourquoi n’acceptez-vous pas cela maintenant pour dire: «Je désire ce genre de Vie, Frère Branham. J’accepte cela. Jésus est mort pour moi. Et moi, peut-être que j’ai adhéré à une église, j’ai observé un credo; mais de voir réellement la Vie de Christ vibrer en moi jusqu’à ce que le monde meure et que Lui vive Sa Vie en moi comme Il L’a vécue ici sur terre, je ne vois pas cela, Frère Branham. Et je désire avoir cela. Je veux être certain.»?
197 Vous ne pouvez pas vous permettre de prendre le risque. Nous sommes à une heure trop avancée maintenant. Il se fait trop tard pour que nous prenions ces risques. Recevons cela maintenant.
198 Eh bien, je ne peux pas faire venir des gens à cet autel. Je ne peux pas le faire; il n’y a pas assez de place ici. Mais l’appel à l’autel est aussi une tradition. Les appels à l’autel ont commencé à l’époque de Wesley. La Bible en réalité déclare: «Tous ceux qui crurent furent baptisés.»
199 Combien y en a-t-il ici, que je peux voir visiblement, en haut aux balcons, dans les couloirs et le long des murs, et sur les bancs? Je ne sais pas combien il y en a dehors ou au sous-sol. Mais combien d’entre vous désirent ce Signe, le Saint-Esprit dans votre vie, qui se manifestera Lui-même juste devant vous, juste devant les cultes et les choses de ce monde, afin que vous voyiez que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, que le Sang a été appliqué? Voudriez-vous lever la main et dire: «Frère Branham, maintenant, en levant la main, je déclare à Dieu que je désire Cela dans ma vie. Priez pour moi, Frère Branham.»?
200 Il y a deux cents mains levées ou plus, je pense. Y en a-t-il encore? Levez-la tout simplement. Même si je ne la vois pas, Lui la verra. Là-haut au balcon, là-haut dans les salles vitrées, si vous voulez bien lever la main; Dieu vous verra. A l’extérieur, Dieu vous verra. En bas de la–la salle, Dieu vous verra si vous levez la main.
201 Frère, soeur, maintenant à vous qui avez reçu Christ il y a des années et qui, peut-être, sentez que–que vous avez reçu ce Signe... J’espère que c’est juste. Si vous L’avez, vous n’avez pas à vous inquiéter à ce sujet. Cela se reflète. Comment pourrais-je m’empêcher d’être Beethoven si celui-ci vivait en moi? Si Christ est en vous, observez-vous tout simplement ici dans le miroir de Dieu, la Bible. Voyez à quel personnage de la Bible vous ressemblez, voyez si votre image est semblable à celle de Daniel, d’Ezéchiel, des chrétiens de l’Eglise primitive. Voyez si votre image leur est comparable. Etes-vous du monde? Aimez-vous le monde ou les choses du monde? Tout cela est-il mort et êtes-vous devenu une nouvelle créature?
202 Derrière, à ma droite; derrière, dans cette aile-ci, voudriez-vous lever la main et dire: «Souvenez-vous de moi, Frère Branham, je désire vraiment exhiber ce Signe. Je désire Cela dans ma vie. Il me faut avoir Cela.» Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, ainsi que vous. Beaucoup d’entre vous, oui, le Seigneur vous voit. Que Dieu vous bénisse.
203 J’aurais souhaité qu’il y ait un moyen maintenant, après que vous avez levé la main comme cela, et sans doute qu’il y en a probablement autant en bas qu’il y en a ici en haut, presque, et–et alors, nous nous demandons... Que puis-je faire maintenant? Voici, je vous ai apporté la Parole, je suis un... à ma simple façon, parce que je suis–je ne suis qu’une personne simple. Et c’est ce que vous devez être maintenant même, juste simple. Devenez juste simple. Et Dieu est si simple.
204 Si vous n’avez jamais été baptisé du baptême chrétien, venez. On va vous baptiser ce soir, si vous désirez être baptisé. Soyez reconnaissant envers Dieu du fait qu’il y a un moyen pour vivre. Vous étiez reconnaissant aujourd’hui de ce que vous vivez en Amérique. Remerciez Dieu de ce que vous avez une église ici qui croit la Parole de Dieu. Vous remerciez Dieu parce qu’Il vous donne de la nourriture à manger, afin que vous puissiez vivre un peu plus longtemps, alors pourquoi ne pas Le recevoir et être reconnaissant pour le Saint-Esprit qui vous donne la Vie Eternelle? Pourquoi ne pouvez-vous pas venir et accepter Cela? Y a-t-il quelqu’un d’autre qui n’a pas levé la main, et qui voudrait le faire maintenant, que je peux voir visiblement ici? Très bien. Que Dieu vous bénisse, jeune dame. Que Dieu bénisse cette jeune femme. Et que Dieu vous bénisse. C’est–c’est bien.
205 Soyez réellement sincère maintenant, vraiment sincère. C’est maintenant l’heure de clôturer, il nous reste cinq minutes avant l’heure de clôture, avant vingt et une heures trente. Restons simplement tranquilles un instant, à l’intérieur comme à l’extérieur. Pensons sincèrement à ceci. Ce n’est pas... Cela apporte certainement des émotions. Mais ne pensons pas aux émotions maintenant même. Pensons à la sincérité de ce que nous faisons: «Par la foi, je pose les mains sur mon Sacrifice, Jésus-Christ. Je veux être identifié en Sa mort. J’en ai fini avec le monde. Je–j’en ai fini avec Hollywood. J’en ai fini avec les modes.»
206 Que les femmes disent: «J’en ai fini avec les cheveux coupés. J’en ai fini avec le port des vêtements immoraux. J’en ai fini avec le port du maquillage. J’en ai fini avec le jeu des cartes. Je–j’en ai fini avec les ordures du monde.»
207 De même, vous hommes, dites: «J’en ai fini avec la boisson. J’en ai fini avec le tabac. J’en ai fini avec le mensonge. J’en ai fini avec les blagues. J’en ai fini–fini avec les plaisanteries. J’en ai fini avec toutes ces paroles vaines pour lesquelles la Bible dit que nous rendrons compte.»
208 «Je désire avoir le Sceau. Je désire avoir le Signe dans ma vie. Par la foi, je pose maintenant même mes mains sur mon Sacrifice, Jésus-Christ. Je m’identifie comme un homme mort», ou une femme morte, un garçon mort ou une fille morte. «Je meurs maintenant avec Lui, parce qu’Il est mort afin que je vive. Et j’accepte ma Vie en Lui. Et, ô Seigneur, révèle-moi ce soir que la Vie Eternelle demeure maintenant en moi.» Ayez de telles pensées. Croyez de telles choses.
209 Que tout ce groupe de gens qui est ici, en haut et en bas, et partout, qu’ils considèrent tous cela profondément et avec sincérité. Vous allez voir une réunion de guérison que vous n’avez jamais vue auparavant quand ceci va commencer–cela va commencer. Ce dont nous avons besoin maintenant, c’est la guérison de notre âme, la foi, quelque chose en nous qui s’emparera de la Parole, afin que lorsque vous verrez la Parole devenir réelle... Prononcez simplement la Parole et la chose arrivera. C’est comme le Romain l’a dit à Jésus: «Prononce la Parole, et la chose arrivera.»
210 Père céleste, je réalise maintenant que ma prière est entre les vivants et les morts. Que dois-je dire, Seigneur? Quel genre de mots puis-je utiliser? Avec quelle expression puis-je venir auprès de Toi, Seigneur? Je ne sais pas ce qu’il faut dire. Ils ont levé leurs mains. Tu sais ce qui était derrière cela, s’ils étaient sincères ou s’ils l’ont fait simplement comme une routine ou s’ils étaient vraiment sincères. S’ils étaient sincères, Seigneur, je sais que Tu es sincère au sujet de Ta Parole. Tu es prêt à manifester tout ce que Tu as promis.
211 Et je prie maintenant pour ces gens. Je réclame chacun d’eux pour le... pour Christ. Je réclame chacun d’eux ce soir comme un trophée de ce message sur le Sang de Jésus-Christ, et le Saint-Esprit qui est venu du Sang. Il a bien sûr offert la substance chimique, Son Sang. Il a ressuscité Sa chair, mais Il a offert Son Sang. La substance chimique s’est desséchée il y a longtemps là-bas au Calvaire. Mais le Signe qui était dans cette substance chimique, le Saint-Esprit qui était dans cette substance chimique, est tout aussi récent et réel ce soir qu’Il l’était le jour où les cellules furent brisées dans Son corps. C’est cela le Signe. C’est le Signe, le Signe perpétuel; c’est la Vie Eternelle. Je prie que Cela vienne maintenant sur tous ceux qui ont incliné la tête, s’ils veulent bien accepter Cela.
212 Ils sont reconnaissants ce soir, Seigneur, de ce que Tu as frayé une voie. Ils sont reconnaissants pour Jésus-Christ, la substance morte que Tu as ressuscitée pour notre justification, afin de montrer que si nous prenons de Sa Vie, nous pouvons vivre pour toujours. Puisse Cela venir sur ce groupe, sur ceux qui ont levé la main. Et peut-être que certains d’entre eux, alors qu’ils savaient qu’ils auraient dû le faire, mais qu’ils ont renvoyé cela à plus tard pendant si longtemps qu’au bout d’un moment une marque a été faite là. Ils n’en ont plus le désir. Ô Dieu, secoue encore cette personne. Cela pourrait être la dernière soirée de leur vie sur terre. Demain pourrait être trop tard.
213 Comment monsieur Kennedy aurait-il pu se douter en descendant la rue avec sourire que dans la minute qui suivait il serait étendu mort sur les genoux de sa femme? La semaine qui précédait il était joyeux, il se réjouissait, il jouait avec ses enfants; ce soir son corps est en train de se décomposer dans la tombe. Un homme de renom, notre président, mais la mort ne fait acception de personne. Elle doit venir.
214 Et maintenant, Seigneur, puissions-nous nous préparer pour cette mort en cette heure-ci. J’accepte cela, Seigneur, de nouveau. Moi-même, je Te désire ardemment de nouveau ce soir, Seigneur, comme je me tiens à la chaire. Comme je l’ai dit aux gens ce matin au sujet de Ta visitation au sommet de la montagne, Seigneur Dieu, je–je Te promets encore, laisse-moi vivre aussi longtemps que Tu désireras que je sois en vie, et que je sois fidèle aux principes de cette Parole. Puis-je vivre de telle façon que je puisse rejeter mes propres pensées, rejeter ma propre vie, et laisser la Vie de Jésus-Christ se refléter à travers celle-ci, selon Sa Parole promise de ce jour. Et que cette glorieuse promesse vienne sur tous ceux qui sont ici maintenant, car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ.
215 Avec nos têtes inclinées maintenant.
Il y a une fontaine remplie de Sang,
Tiré des veines d’Emmanuel,
Et les pécheurs plongés dans ce flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.
Perdent toutes les taches de leur culpabilité,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité;
Et les pécheurs plongés dans ce flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.
216 Maintenant, avec nos têtes inclinées... Vous qui avez accepté cela en disant: «Jésus-Christ, je Te désire. Je désire avoir Ton Signe...» Voyez-vous, c’est votre prière qui vous sauve; c’est votre foi qui vous sauve. Croyez-vous maintenant de tout votre coeur, et êtes-vous prêt pour le baptême chrétien? Vous pouvez simplement lever la main? Dites simplement: «Je suis prêt.» Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est juste. En bas, je ne sais pas combien ils sont là-bas. Faites simplement la promesse à Dieu. Derrière dans cette aile-ci, à ma droite... »Je crois maintenant en Jésus-Christ, et je suis prêt pour le baptême chrétien.»
217 «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés.» Pourquoi? Pourquoi vous baptise-t-on au Nom de Jésus-Christ? Pour le pardon, pardonner. «Aucun autre nom sous le ciel n’a été donné aux hommes.» Pour le pardon des péchés. «Et vous recevrez le Signe. Car la promesse est pour vous, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»
218 Et si Dieu vous appelle, vous qui avez levé la main, alors la promesse est pour vous. Soyez reconnaissant. Montez vous-même ici pour vous identifier à Christ, pendant que vous venez pour le baptême. Le ministre va vous rencontrer ici et se préparer pour le service de baptême, si vous désirez que l’on vous baptise. Je pense qu’ils ont apprêté des robes et tout maintenant même au sous-sol pour le service de baptême, si vous le désirez. Ne renvoyez pas cela à demain. Faites-le maintenant. «Celui qui met la main à la charrue, et qui se tourne pour regarder en arrière, n’est pas digne de labourer.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Exhibez le Signe au travail; exhibez-Le partout. Oh! si vous êtes reconnaissant, levez la main et remerciez Dieu de ce que vous avez été identifié à Christ. Que Dieu vous bénisse...?...
219 Maintenant, soeur qui êtes à l’orgue: Ma foi regarde à Toi. Soeur Anna Jean, si tu veux bien nous accompagner au piano, Ma foi regarde à Toi, pendant que nous nous tenons–nous levons maintenant même pour rendre témoignage à Dieu. Que tout le monde chante maintenant ce vieil hymne de l’église pour le futur, afin que si nous partons d’ici, ce monde, avant le prochain Thanksgiving, le jour du Thanksgiving, que chaque jour de notre vie soit un Thanksgiving, pour montrer que la Parole vit toujours, que nous sommes identifiés à Lui dans Sa mort, Son ensevelissement et Sa Résurrection.
220 Et maintenant, vous qui êtes en bas, vous en haut au balcon, vous à l’extérieur dans les couloirs, quelqu’un va venir vous chercher ici maintenant pour s’adresser à vous pour le baptême d’eau, juste dans peu de temps.
221 Fermons maintenant les yeux, levons les mains, comme notre offrande de Thanksgiving à Dieu, ceux qui sont en bas, au-dessus, et partout. Très bien.
Ma foi regarde à Toi,
Toi Agneau du Calvaire,
Ô Sauveur divin;
Maintenant écoute-moi pendant que je prie,
Ôte tous mes péchés,
Ne me laisse pas non plus... dès ce jour être tout à Toi!
Pendant que je marche dans le labyrinthe sombre de la vie (Sois une lumière),
Et que les chagrins autour de moi se multiplient (Exhibe ton Signe.),
Sois mon Guide (Oh!);
Ordonne que les ténèbres se changent en jour,
Oh! ôte toutes mes craintes,
Que je ne m’égare plus jamais loin de Toi.
222 [Frère Branham se met à fredonner Ma foi regarde à Toi. Un message en langues est donné ainsi que son interprétation.–N.D.E.]
223 Soyez tout simplement très respectueux. Avec un tel appel, je sens que je devrais appeler ces candidats à s’approcher ici devant cet autel. Votre foi regarde-t-elle à cela? Vous souvenez-vous une fois quand la congrégation se tenait là et que l’Esprit est tombé sur un homme et que ce dernier a prophétisé? Le parler en langues avec son interprétation, c’est une prophétie. Je demande donc maintenant aux candidats de bien vouloir s’avancer, vous qui n’êtes pas sûr d’avoir Ceci. Entendez-vous cet avertissement? Vous n’avez plus beaucoup de temps. Ce soir pourrait être votre dernière opportunité, vous pourriez attrister Cela pour la dernière fois.
224 Je vous prie de venir pendant que nous gardons la tête baissée. Et chantez encore, doucement Il y a une fontaine (Faites-le juste ici maintenant) remplie du Sang tiré des veines d’Emmanuel. Très bien. Avec vos têtes baissées. Venez, les candidats. Je désire... Que Dieu vous bénisse. Montez directement maintenant, au-dessus ou en bas, allez et mettez-vous ensemble et qu’on envoie maintenant un ministre là-bas pour s’en charger. Avancez-vous maintenant. Vous qui venez, venez directement maintenant. Ne renvoyez plus cela à plus tard. Ne laissez pas Satan dire: «Oh! à un autre moment.» Faites-le maintenant même. Maintenant même, vite, agissez. Ayez votre bâton en main, bâton en main, vos reins ceints; la Pâques vient.
... taches de culpabilité.
Perdent toutes les taches de leur culpabilité,
Perdent toutes les taches de leur...
225 Continuez simplement à venir, descendez carrément, contournez carrément ce...
Et–et les pécheurs plong-...
226 N’essayez pas; ne courez simplement pas le risque. Il fait trop tard pour courir le risque, mon ami. Si vous n’êtes pas sûr, venez maintenant. Maintenant, c’est le moment.
Le voleur mourant s’est réjoui de voir
Cette fontaine... (Oh! c’est un véritable Thanksgiving.)... son jour;
227 Quelqu’un est reconnaissant que Dieu ait envoyé Son Fils afin qu’Il puisse être identifié aux gens.
...vil comme moi,
Lavé tous mes péchés...
228 Que la dame descende l’allée. C’est juste. Venez carrément, soeur.
Laver tous mes péchés...
Laver tous... (Oh! quel moment donc!)...
Oh! et là puis-je bien qu’aussi vil que lui,
Laver tous mes péchés...
229 Oh! la Fontaine est ici maintenant. Levons nos mains partout en guise d’actions de grâces à Dieu: actions de grâces.
230 Dieu notre Père, reçois nos actions de grâces ce soir. Reçois ces gens dans Ton Royaume, Seigneur. Nous Te remercions et Te louons au travers du Seigneur Jésus.
Que certains d’entre vous, frères, descendent là parmi ces gens maintenant. Descendez directement parmi les gens.
Gloire à Dieu! Je suis reconnaissant ce soir pour le Saint-Esprit et pour les choses que nous savons qu’Il est en train de faire.
Vous qui êtes autour de l’autel maintenant, abandonnez-Lui carrément vos vies. Que ceci soit le moment où la Vie entre.
Perdent toutes les taches de leur culpabilité,
Soyez simplement reconnaissants au Seigneur maintenant, vous tous, tout simplement avec des actions de grâces. Il vous a promis le Saint-Esprit; soyez reconnaissants pour Cela. C’est ce qu’ils sont en train de faire, en remerciant et en bénissant Dieu pour la promesse. Croyez cela maintenant. Frère Don, venez.