Persévérant

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Persévérer - VGR
Date: 64-0305 | La durée est de: 1 heure et 31 minutes | La traduction: Shp
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1          ... l’habitude de l’annoncer pour être sûr que vous vous rappellerez où c’est. Nous aimerions lire dans Matthieu, le chapitre 15 de Matthieu, à partir du verset 21.

          Jésus, étant parti de là, se retira dans le territoire de Tyr et de Sidon.

          Et voici, une femme cananéenne, qui venait de ces contrées, lui cria: Aie pitié de moi, Seigneur, Fils de David! Ma fille est cruellement tourmentée par le démon.

          Il ne lui répondit pas un mot, et ses disciples s’approchèrent, et lui dirent avec instance: Renvoie-la, car elle crie derrière nous.

          Il répondit: Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël.

          Mais elle vint se prosterner devant lui, disant: Seigneur, secours-moi!

          Il répondit: Il n’est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens.

          Oui, Seigneur, dit-elle, mais les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de... maîtres. Alors, dit...

          Alors Jésus lui dit: Femme, ta foi est grande; qu’il te soit fait comme tu veux. Et, à l’heure même, sa fille fut guérie.

2          Inclinons maintenant la tête pour la prière. Je me demande, ce soir, alors que nos têtes et nos coeurs sont inclinés, s’il y aurait ici quelqu’un qui aimerait qu’on se souvienne de lui en prière. Voudriez-vous simplement le faire savoir en levant les mains vers Dieu, pour dire: «J’ai un besoin, Seigneur, Je Te prie de m’aider»? Que le Seigneur vous bénisse.

3          Notre Père céleste, alors que nous nous approchons maintenant de Ta Majesté, au Nom du Seigneur Jésus, car Il nous a dit: «Et si vous demandez quelque chose au Père en Mon Nom, ce sera accordé.» Nous venons avec toute la foi que nous avons, en croyant que Tu nous répondras selon nos besoins, ce soir, alors que ceux-ci sont nombreux. Tu vois les mains de Tes enfants dans toute la salle, ici, alors qu’ils lèvent les mains. Et Toi seul sais ce qu’il y avait dans leur coeur. Je Te prie d’y répondre, Père, ce soir. Et que tout désir qu’ils ont leur soit accordé aujourd’hui.

4          Nous prions pour ceux qui ne sont pas sauvés et qui ne Te connaissent pas comme leur Sauveur. Nous prions qu’ils T’acceptent, ce soir, et qu’ils trouvent ce qui est entièrement suffisant, ce qu’il leur faut avoir à l’heure de la mort.

5          Il y en a peut-être beaucoup ici qui T’ont–ont déjà accepté et qui ne sont pas encore été remplis de Ton Esprit. Nous Te prions de bien vouloir, ce soir, déverser en eux le Saint-Esprit en abondance, afin qu’ils deviennent Tes serviteurs en ces dernières heures de l’histoire du monde.

6          Guéris tous les malades et les affligés, Seigneur. Tu connais leur besoin.

7          Et nous prions que Ta Présence vienne parmi nous, ce soir, de telle manière que nous Te reconnaissions comme notre Seigneur ressuscité. Et quand la réunion sera terminée et que nous retournerons chez nous, puissions-nous parler entre nous, en disant, comme ceux qui revenaient d’Emmaüs ce jour-là, en disant: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous, alors qu’Il nous parlait en chemin?» Car ils avaient été amenés à Te reconnaître par un certain signe que Tu accomplissais avant Ta crucifixion. Et, après Ta résurrection, Tu étais le même Jésus, accomplissant les mêmes oeuvres. Puissions-nous être encore témoins de la même chose, ce soir. C’est au Nom de Jésus que nous prions. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

8          J’ai passé tout le temps que j’avais, hier soir, sur le thème: Nous voudrions voir Jésus, après avoir eu à présenter le type de–de réunions que nous avons et comment l’accepter, ce que frère Borders se chargera désormais de faire, comme à l’ordinaire, pour les étrangers, chaque soir qui va suivre. J’ai pris tout le temps que j’avais, jusqu’à vingt et une heures trente, et je n’aime pas faire attendre les gens. Juste quelques mots pour faire connaissance, et puis, les Paroles du Seigneur représentent... Que Lui parle une seule fois, cela représente plus que ce que qui que ce soit pourrait dire pendant toute une vie, un seul Mot de Sa part.

9          J’aimerais donc prendre, ce soir, un sujet que je tire de ce passage des Ecritures, que Dieu nous a donné ici comme contexte pour ainsi dire. Puisse-t-Il nous le donner. Je veux prendre un mot: Persévérant.

10        Ce mot, d’après le Webster, les quelques notes que j’en ai prises, là, veut dire «être persistant, être persévérant», et ça, dans la poursuite d’un but, «être persévérant.» Voilà ce que veut dire être persévérant.

11        Des hommes de tous les âges, qui ont foi en ce qu’ils essaient d’accomplir, ont été persévérants. Personne ne peut persévérer sans d’abord savoir ce qu’il essaie d’accomplir. Et vous devez d’abord savoir ce que vous cherchez à accomplir, et ensuite, avoir la foi que vous recevrez ce que vous essayez d’obtenir. Et cela vous rend persévérant, quelque chose que vous savez être vrai.

12        C’est ça le fondement de la foi. La foi n’est pas fondée sur un mythe et sur quelque chose qui, eh bien, qui dit simplement: «Va faire ceci, ou faire cela», sur base des paroles d’un homme. Mais la foi repose éternellement sur la Parole du Seigneur, sur la Parole de Dieu, qui est la Bible.

13        Or, nous croyons que la Bible est la Parole infaillible de Dieu. Nous croyons qu’Elle est l’entière révélation de Jésus-Christ; qui se révèle dans l’Ancien Testament, par les prophètes; Dieu, se faisant connaître à travers Son Fils, Jésus-Christ, et en Lui habitait corporellement la plénitude de la Divinité. Il a été crucifié pour nos péchés; Il est mort, Il a été enseveli, Il est ressuscité le troisième jour, Il est monté au Ciel, et Il est de retour ici au Nom du... sous la forme du Saint-Esprit, Dieu qui habite... Autrefois, Dieu au-dessus de nous; en Christ, Dieu avec nous; maintenant, Dieu en nous. C’est Dieu qui retourne dans l’homme pour adorer, être adoré à travers l’homme, l’intermédiaire de Dieu. Dieu ne fait rien sans avoir un homme comme intermédiaire, comme aide.

14        Et maintenant, des hommes qui ont eu foi en Dieu ont été très persistants dans ce qu’ils cherchaient à accomplir. Et, prenons des hommes de toutes conditions sociales.

15        Par exemple, Georges Washington, ici à Valley Forge. Après avoir prié toute la nuit dans la neige qui lui arrivait (il était complètement trempé), jusqu’à la ceinture, et la rivière était toute en glace. Mais il a reçu une vision de Dieu, il a reçu la foi, que Dieu lui donnerait la victoire. Et la–la rivière avait... ne pouvait pas avoir trop de glace, pourtant, plus de deux tiers de son armée n’avaient même pas de chaussures aux pieds. Leurs pieds étaient enveloppés dans des chiffons, ils étaient debout par ce froid. Mais il ressentait quand même dans son coeur que Dieu lui avait donné la victoire. Il avait prié jusqu’à exaucement. Le lendemain, nous le savons, trois balles de mousquet ont traversé son manteau sans le toucher. Et la rivière ne pouvait pas l’arrêter, pas plus qu’une balle de mousquet ne pouvait l’arrêter. Il était persévérant, parce qu’il avait prié jusqu’à exaucement. Et il avait la foi en ce qu’il faisait, en Celui qui le conduisait, c’est-à-dire Dieu.

16        Rien ne peut arrêter un homme quand il–il persévère, quand il sait ce qu’il fait, et qu’il a foi en ce qu’il essaie d’accomplir.

17        L’une des plus anciennes histoires de la Bible, l’une d’elles, c’était Noé. Noé n’était pas du tout un homme particulier. Il était un homme ordinaire, peut-être un cultivateur.

18        Et le monde était mauvais, comme il l’est aujourd’hui, plein de science et de grands hommes. Ils étaient issus des fils de Caïn. Les fils de Seth étaient d’humbles bergers, des cultivateurs. Mais les fils de–de Caïn étaient des hommes habiles, des bâtisseurs, des inventeurs, et des savants, très intelligents, très religieux. Et ils avaient leur propre apparence de piété, mais ils reniaient, comme ils le font aujourd’hui, la puissance de Dieu.

19        Et comme Noé était un homme juste devant Dieu, un jour, Dieu l’a rencontré dans les champs et lui a parlé, lui disant de construire une arche, parce qu’Il détruirait le monde par l’eau.

20        Or, c’était absolument contraire à toutes les mesures scientifiques de l’époque. Vous voyez, il n’avait jamais plu. Il–il n’y avait pas d’humidité dans l’air. Et Dieu arrosait la terre par l’irrigation, qui montait de la terre, par des sources. Et il n’y avait pas d’eau comme telle, pas d’eau dans les cieux.

21        Les hommes de science de l’époque étaient probablement plus avancés. Ils ont fait plus de réalisations à l’époque qu’on–qu’on ne peut pas expliquer aujourd’hui. Ils ont construit les pyramides en Egypte, les sphinx. On ne peut jamais reconstruire ça, ces pierres à une telle hauteur, nous n’avons rien qui puisse les élever jusque-là, ni de puissance pour soulever ça. On ne sait pas comment, mais ils avaient un moyen d’accomplir ça à l’époque d’Enoch et de Noé, avant le déluge. Et peut-être qu’ils avaient atteint la lune, et ils avaient peut-être des astronautes, et autres. Nous ne savons pas.

22        Mais Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Noé», une grande civilisation, avancée, comme ils l’avaient, «arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.»

23        Et maintenant, peut-être qu’eux, dans leurs recherches scientifiques, ils–ils avaient trouvé quelque chose qui leur permettait de faire une couleur qui durerait jusqu’à aujourd’hui, un genre de teinture qui ne passerait pas.

24        Et ils pouvaient embaumer un corps, faire une momie, qui ait l’air tout à fait naturelle; aujourd’hui encore, quatre mille ans plus tard, elles ont encore l’air naturelles. Nous n’arriverions pas à faire ça, même s’il le fallait. Nous n’avons pas ce qu’il faut pour le faire. Nous avons perdu la technique, beaucoup de techniques performantes qu’ils avaient.

25        Sans doute avaient-ils des instruments qui prouvaient qu’il n’y avait pas d’eau dans l’air. Et cet homme qui arrive, en s’opposant à la science, et qui dit que «de l’eau va sortir des cieux».

26        Eh bien, la science pouvait prendre un instrument, et le faire monter en l’air, et dire: «Regarde ici, Noé, lis cet instrument. Ce baromètre, ici, montre s’il y a de l’eau ou non, là-haut, et il n’y en a pas. Or, toi, tu dis qu’il y en a là-haut, alors que la recherche scientifique démontre qu’il n’y en a pas là.»

27        Ça n’a pas arrêté Noé. Il a persisté. Il savait que Dieu avait dit: «Il pleuvra», et que Dieu pouvait mettre la pluie là-haut puisqu’Il l’avait dit. Il allait le faire, qu’il y en ait ou non là. Donc, il a persisté, une fois qu’il connaissait la Parole du Seigneur.

28        Et quand un homme connaît la Parole et la volonté de Dieu, il devient persistant, vous devenez persévérant. Peu importe ce que dit la science: «Eh bien, ils ne peuvent pas faire ceci, ils ne peuvent pas faire cela», vous le savez quand même. Vous vous êtes emparé de Quelque Chose, et ce Quelque Chose s’est emparé de vous. Vous tournez ensemble. Il y a là quelque chose, vous ne pouvez pas l’expliquer. Peu importe combien ça peut avoir l’air scientifiquement faux, mais il y a là-dedans Quelque Chose qui vous dit que c’est Dieu, et rien ne l’arrêtera.

29        Alors, nous voyons que Noé a carrément continué à marteler avec son marteau, pour construire l’arche, peu importe le nombre de preuves scientifiques contraires, qu’il n’y avait pas de pluie. Il l’a cru quand même, parce qu’il avait entendu la Parole du Seigneur.

30        Et c’est là-dessus que la foi est solennellement fondée, l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.

31        Moïse, un autre grand homme, un homme intelligent, qui avait été suscité, né dans le monde pour accomplir quelque chose de particulier pour Dieu. Et il a essayé d’atteindre ce but par ses actes scientifiques. L’histoire nous enseigne et nous dit qu’il était un grand chef militaire, et que la seule manière pour lui de faire quelque chose, c’était d’éliminer en tuant. Il était tellement intelligent qu’il pouvait enseigner la sagesse aux Egyptiens intelligents. Avec toute sa sagesse et tout ce qu’il savait, il a pourtant manqué, misérablement manqué, d’accomplir ce que Dieu avait prévu qu’il ferait. Et en voyant son échec, en ayant tué l’Egyptien et en l’ayant caché dans le sable, et en ayant entendu la réprimande de son frère, ou la question: «Vas-tu nous tuer comme tu as tué l’Egyptien?», là-dessus, Moïse s’est enfui dans le désert; un prophète fugitif.

32        Après quarante ans dans le désert, où Dieu lui avait désappris les choses du monde, pour le porter à la pensée de Dieu; où Il lui avait ôté tout son doctorat, et tout, pour pouvoir agir dans son coeur...

33        Quand Son matériau était presque prêt, un jour, alors qu’il paissait les brebis derrière le désert, sur un vieux sentier familier, il a trouvé un arbre en feu.

34        Moïse, qui était un savant, ne l’a point abordé à la manière d’un savant. Si vous remarquez, s’il avait été un homme de science, il aurait dit: «Maintenant, je vais cueillir quelques feuilles de cet arbre et les apporter au laboratoire pour voir de quoi elles ont été vaporisées, la raison pour laquelle elles brûlent sans se consumer.» S’il avait fait ça, alors il n’aurait pas encore été prêt.

35        Mais ce qu’il a fait, c’est qu’il s’En est approché et qu’il a ôté ses souliers, il s’est mis à genoux et il s’est mis à Lui parler, parce qu’il savait qu’Il était surnaturel. De là retentit la Parole du Seigneur, disant: «J’ai entendu les gémissements de Mon peuple, et Je me souviens de Ma Parole. Je t’envoie là-bas pour les délivrer.»

36        Maintenant, parfois, sur le sentier du devoir, Dieu appelle Son homme à faire des choses qui paraissent absolument ridicules à l’esprit naturel. Il leur fait faire quelque chose qu’on va complètement tourner en dérision. Par exemple, et si Moïse avait échoué, alors qu’il était un jeune homme de quarante ans, un militaire, et le trône, il avait son pied dessus, toutes les armées de l’Egypte sous son contrôle, et il avait échoué comme ça, et le voilà qui s’en va en Egypte, le lendemain matin, après avoir rencontré cet Ange dans le buisson, sans rien d’autre à la main qu’un vieux bâton tordu ramassé dans le désert, et sa femme assise sur un mulet, avec Guerschom sur la hanche, lui, la barbe blanche qui descendait très bas, peut-être jusqu’à la taille. Il avait quatre-vingts ans. Sa tête chauve qui luisait au soleil, et un bâton à la main, les yeux fixés sur le ciel, le sourire aux lèvres.

            Quelqu’un lui avait peut-être demandé: «Moïse, où vas-tu?»

            Il a dit: «Je m’en vais en Egypte, prendre le contrôle.»

37        Alors qu’il n’avait pas été capable de faire cela avec une armée, comment va-t-il y arriver avec un bâton tordu? «Oh! mon vieux, tu as perdu la raison. Tu–tu as perdu la tête.»

38        C’était une invasion par un seul homme. Mais ce qu’il y a, c’est qu’il y est arrivé, parce que c’était une Parole du Seigneur. Et Moïse était décidé, peu importe les probabilités de réussite. Dieu était avec lui, et Lui vaut plus que toutes les probabilités.

39        Si les hommes et les femmes pouvaient seulement penser comme ça ce soir, que la Parole du Seigneur est la Vérité! Il n’y a rien d’autre. Toute l’Eternité dépend de la Parole. «Pas une seule Parole, a dit Jésus, ne passera. Les cieux et la terre passeront, mais Elle, non.»

40        Moïse est descendu. Et il a été très persistant quand il a jeté son bâton par terre, et que celui-ci s’est transformé en serpent.

41        Et alors, il a trouvé des imitateurs. Ça se retrouve encore le long du sentier de Dieu, quelqu’un qui essaie d’imiter quelque chose. Et les imitateurs sont venus essayer d’en faire un spectacle, ils ont jeté leurs bâtons par terre.

42        Moïse savait à Qui il avait parlé. Il savait en Qui il avait cru, et il était persuadé qu’Il avait la puissance de garder son dépôt jusqu’à cette heure-là. Moïse n’a pas bougé. Alors, le serpent de Moïse a mangé le serpent des magiciens.

43        Et il nous est enseigné que la même chose se reproduira de nouveau, peut-être pas de la même manière, mais elle se reproduira de nouveau dans les derniers jours. «Car de même que Jannès et Jambrès s’opposèrent à Moïse, de même ces hommes s’opposeront à la Vérité.»

44        Moïse a persisté, parce qu’il avait quelque chose à accomplir, pour lequel il avait reçu l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, «Je serai avec toi».

45        David se tenait devant Saül, un jour... Et il a entendu dire qu’un Goliath s’était avancé là-bas sur la colline, un grand géant qui avait des doigts de quatorze pouces [35,5 cm], et une grande lance à la main, de la taille d’une aiguille de tisserand, probablement vingt ou trente pieds [6 ou 9 m], une grande lance au bout, ou une pointe d’airain. Imaginez seulement ce qu’aurait été la tête de cet homme, elle aurait été grosse comme une cuve, avec un gros casque de deux pouces [5 cm] d’épaisseur dessus et en airain; ça recouvrait complètement. Et il lançait un défi aux armées de Dieu! Et il l’a dit en présence de David.

46        Et David était un petit homme au teint rosé, un petit gars, probablement avec les épaules tombantes. La Bible dit qu’il avait le teint rosé, un petit homme. Il n’avait jamais été entraîné au–au duel, avec des lances et tout. Mais il avait gardé les brebis derrière le désert, et un lion était venu s’emparer d’un de ses agneaux, et il l’a poursuivi et l’a tué avec une fronde. Nous voyons qu’un ours a fait... a essayé de faire la même chose, et David l’a vaincu.

47        Et alors, David a dit: «Allez-vous rester là et laisser ce Philistin, cet incirconcis insulter l’armée du Dieu vivant?» Il a fait honte à ses frères; alors qu’ils disaient qu’il était malin, qu’il était venu voir la bataille. Pourtant, il y avait en David Quelque Chose qui lui faisait savoir qu’il était plus que vainqueur. Alors, il a dit: «Si vous avez peur de le combattre, moi, j’irai le combattre.»

48        Saül, comme c’était parvenu au général Saül, ce dernier lui a mis son armure, et elle ne lui allait pas. Il a vu que son vêtement ecclésiastique n’allait pas à un homme de Dieu. Et ça n’allait pas. Il ne savait quoi faire. «Ça, je ne suis pas habitué à ça. Je ne connais rien de ces choses-là, des licences ès lettres et autres. Débarrassez-moi de ça, et que j’y aille avec le moyen par lequel Dieu m’a donné la délivrance. Que j’y aille avec une fronde.»

49        «Mais, dirent-ils, lui, là, est guerrier depuis sa jeunesse, et toi, tu n’es qu’un enfant.»

50        Il a dit: «Je suis plus que capable de l’affronter. Laissez-moi y aller.» Et peu importe combien le géant semblait grand, et combien c’était invraisemblable, David a persisté: ce Philistin incirconcis n’insulterait pas l’armée du Dieu vivant qu’il représentait.

51        Oh! si nous avions plus de David dans cette armée, si nous avions plus d’hommes qui tiennent ferme et qui persistent, qui persévèrent dans la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes!

52        Samson, un autre homme très persévérant. Il était né naziréen, de naissance.

53        Un naziréen, ça veut dire «mis à part pour la Parole». Comme ce serait beau, ce soir, si tous les chrétiens étaient des naziréens pour le Seigneur! Mis à part, non pour des credos, mais pour la Parole. Christ est cette Parole. Mis à part pour la Parole!

54        Il avait sept tresses de cheveux qui lui descendaient dans le dos, comme signe de ce qu’il avait été mis à part.

55        Et alors, un jour, il a fait la rencontre, dans la–la plaine, sans rien en main pour se battre, d’un millier de Philistins. Ces Philistins étaient des hommes, comme un mur d’airain; avec de gros casques lourds sur la tête, de grosses armures sur le devant, comme des boucliers, des protections, et tout, sur eux, pour faire dévier toutes les balles; probablement que le casque avait un pouce [2,5 cm] d’épaisseur, sur leur tête.

56        Samson n’avait rien, mais il sentait encore que la promesse que Dieu lui avait faite était toujours sur sa tête. Il sentait encore l’onction, autrement dit. Il savait que Dieu était avec lui, parce qu’il sentait ces tresses qui lui descendaient sur les épaules. Il s’est emparé de ce qu’il y avait à sa... qu’il pouvait trouver, et c’était une mâchoire de mulet. Et il s’est tenu avec ça à la main, et il a persisté, que ce n’était pas la mâchoire ni son propre bras, mais que c’était la puissance du Seigneur. Et la puissance du Seigneur est venue sur lui, et il a battu, avec cette mâchoire, un millier de Philistins.

57        Comment y est-il arrivé? Cette vieille mâchoire toute cassante ravagée par le désert, en la cognant contre une pierre, aurait volé en éclats; et sur les casques que portaient ces Philistins, qui descendaient bas, et qui avaient de grandes plaques sur les côtés, pour couvrir les épaules, d’un pouce [2,5 cm] d’épaisseur, et en airain. Il s’est tenu là, avec sa mâchoire, et il en a abattu un millier. Il est dit: «L’Esprit de l’Eternel le saisit.» Il a persisté.

58        Un jour, un lion l’a poursuivi, et il n’avait rien en main. Mais l’Esprit de l’Eternel l’a saisi, ses tresses lui descendaient toujours sur les épaules, il a déchiré le lion avec ses mains. Il a été très persistant, parce qu’il savait que la promesse de Dieu était avec lui. Il pouvait accomplir n’importe quoi, parce que la promesse de Dieu était avec lui, pour délivrer.

59        Jean était tellement sûr, Jean-Baptiste. Quand il est né... il savait que ce serait lui, une fois devenu assez grand pour comprendre, vers neuf ans... Son père était sacrificateur. Généralement, ils suivent les traces du père. Mais il n’est pas allé dans les écoles et dans les séminaires, parce qu’il savait que sa tâche était trop importante. Il devait annoncer le Messie. Nous savons que c’est ce que l’Ange avait dit.

60        Il savait qu’il était identifié dans les Ecritures: «La voix de celui qui crie dans le désert: ‘Préparez le chemin du Seigneur! ’» Il savait aussi que Malachie, quatre cents ans plus tôt, avait dit: «Voici, J’envoie Mon messager devant Ma face.» Après être allé dans le désert, où il avait été formé par Dieu, pas par un séminaire de théologie, comme celui d’où son père était sorti.

61        Mais il avait une tâche importante. Il devait annoncer le Messie, et il devait savoir quelle sorte de signe suivrait le Messie. Puis, il a remarqué... Un jour, il était là, prêchant aux gens, il a dit: «Au milieu de vous il y a maintenant Quelqu’Un, que vous ne connaissez pas, dont je ne suis pas digne de délacer les souliers. Lui, Il vous baptisera du Saint-Esprit et de Feu.» Il était tellement certain de sa position, il était tellement certain de son ministère qu’il a dit: «Il est ici, quelque part, en ce moment, au milieu de vous!» Il n’avait pas peur de le dire devant des pharisiens et des sadducéens, et–et des soldats, et tout ce qu’il pouvait y avoir d’autre. Certains d’entre eux L’avaient attendu depuis des milliers d’années, mais il a dit: «Il est au milieu de vous.» Personne ne pouvait le lui ôter. Il a persisté. Il a persévéré en dépit de tout. Oui.

62        Cette petite Grecque, elle avait sans doute entendu parler de lui, elle avait entendu parler de Jésus, du grand réveil. Un jeune Prophète qui avait paru en Galilée, qui venait de Nazareth et qui accomplissait de grands signes et des miracles. Elle avait entendu parler de Lui, et «la foi vient de ce qu’on entend». Cette Syro-Phénicienne, qui était Grecque. La foi trouve des sources que d’autres ne voient pas. Quand elle a entendu, elle a cru. Elle avait peut-être entendu parler de la fille d’un voisin qui avait été guérie de l’épilepsie, c’est ce dont l’enfant souffrait, et elle avait peut-être entendu parler de la guérison de cette épileptique. Alors, sa fille avait besoin de guérison, et elle avait entendu dire que Jésus pouvait le faire.

63        En effet, Il était la Parole de Dieu faite chair! Saint Jean 1: «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous. Le même hier, aujourd’hui et éternellement!» Il était là pour révéler les promesses de Dieu pour Son époque.

64        Il est ici ce soir pour confirmer et pour révéler chaque promesse que Dieu a faite pour cet âge-ci. Il est ici pour le faire. Il était là à l’époque des prophètes. Il était en Moïse, Il était en David, Il était en Elie, Il était dans tous les autres, pour révéler la promesse de Dieu de cet âge-là. Dieu a alloué une portion de Sa Parole à chaque âge, et Il envoie un prophète, et la Parole va au prophète et redresse cela. Et c’est exactement ce qu’Il a fait pendant tous les âges. Il est Dieu et Il ne change pas. Jésus-Christ est ce Prophète ce soir, qui est au milieu de nous. Il est Celui qui est ici sous la forme du Saint-Esprit, qui connaît toutes choses, et qui peut révéler tout ce qu’Il veut faire.

65        Elle a cru ceci, peu importe combien les gens ne le croyaient pas.

66        La foi trouve une source dont les autres ne savent rien. Quand un homme a foi en Dieu, il s’est emparé de quelque chose, il ne peut pas l’expliquer. C’est quelque chose dont il s’est emparé. Il ne peut pas le pousser, ou le bousculer, ou le tirer. Il faut que Lui le fasse. Voilà comment est la foi, quand un homme a vraiment foi en Dieu, elle trouve cette source que les autres ne voient pas.

67        Sa Parole est une Epée. C’est la Bible qui le dit. Voulez-vous une référence pour ça? C’est—c’est Hébreux 4.12, comme j’ai noté le passage. La Bible dit: «La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants.» Cette Epée doit être tenue par une main de foi. Une main de théologie ne fera pas l’affaire. Il faut prendre une main de foi, entraînée aux choses spirituelles, qui connaît Dieu.

68        Et puis, on pourrait, je pourrais dire ceci. D’après vous, comment Jésus pouvait-Il regarder Son auditoire et connaître leurs pensées? C’est parce qu’Il était la Parole. Citons le reste de la Parole, ici: «Plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, Elle discerne les sentiments et les pensées du coeur.» Il était la Parole. C’est la raison pour laquelle Il pouvait discerner les pensées qu’il y avait dans leur coeur.

69        Hier soir, comme nous avons pris: «Ce qui arriva du temps de Sodome», en montrant cet Homme qui se tenait là, qui a mangé de la chair d’un veau, qui a bu du lait de la vache, qui a mangé du beurre et du pain; qui était là en train de manger, avec sur Lui des vêtements comme vous et moi, le dos tourné à la tente, et Il a su à quoi Sara pensait dans la tente. Pas étonnant qu’Abraham L’ait appelé Elohim, «Celui qui est entièrement suffisant, Celui qui existe par Lui-même», Elohim.

70        Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même au retour du Fils de l’homme.» Ce sera pareil. «Du temps...», avez-vous remarqué, «à Sodome, là»? Il est dit dans Luc 17.15, il est dit que «quand, les jours de Sodome, il en sera de même à la Venue du Fils de l’homme, quand le Fils de l’homme sera révélé». Aux jours où le Fils de l’homme sera révélé comme Il l’a été à Sodome, la même chose se produira.

71        Nous voyons que le feu est prêt, les nations sont prêtes, les évangélistes sont allés à leur place, et que chaque don est placé comme il faut. Pas étonnant que nous devrions persister! Pas étonnant que nous devrions persévérer! Nous avons un but à atteindre pour Dieu, c’est-à-dire d’appeler l’Epouse de Jésus-Christ à sortir de toutes les dénominations, de tous les peuples, un peuple mis à part pour Dieu.

72        Cette Grecque avait entendu ces mots. Elle y avait cru. Elle a eu beaucoup d’obstacles, mais sa foi n’en avait pas. La foi ne connaît aucun obstacle. Sa foi ne connaissait pas d’obstacle. Elle, elle en a eu, mais sa foi, elle n’en avait pas. Vous, vous pouvez avoir des obstacles, mais, si vous avez la foi, celle-ci ne connaît aucune défaite. Elle est positive. Considérons certains des obstacles qu’elle a connus, un petit instant.

73        Certains d’entre eux ont peut-être dit: «Rappelle-toi, tu es d’une autre race. Tu es Grecque, Syro-Phénicienne d’origine. Lui, Il est Juif.» Autrement dit, aujourd’hui, on dirait: «Ce n’est pas votre dénomination qui tient ces réunions de réveil.» Ça ne change rien, que ce soit votre dénomination ou pas, cette femme ne s’occupait pas de savoir quelle dénomination c’était. Elle était un être humain qui avait été créé par Dieu, elle avait un besoin et elle avait la foi, qu’elle allait l’obtenir. Que sa dénomination collabore ou non, ça ne changeait rien pour elle. Elle s’est mise en route.

74        Peut-être qu’un autre critiqueur l’a rencontrée en chemin, et lui a dit: «Mais les jours des miracles sont passés. Nous n’avons plus de miracles.» C’était peut-être un Juif, une fois qu’elle était entrée, qu’elle était dans cette région où Jésus était, de l’autre côté, en Galilée. «Les jours des miracles sont passés. Ça n’existe pas.» Elle a quand même persisté. Elle a persévéré. La barrière de la dénomination ne l’a pas arrêtée, pas plus que tous ceux qui disaient que les jours des miracles étaient passés. Elle savait que ce n’était pas vrai. D’abord, elle avait quelque chose dans son for intérieur qui lui disait qu’elle obtiendrait ce qu’elle demandait.

75        Oh! les amis, ce soir, si seulement vous pouviez saisir ça dans votre coeur, que Dieu est ici pour vous accorder ce que votre coeur désire! Si vous remplissez Ses conditions, rien ne peut résister.

76        Il y a peut-être eu un groupe de femmes qui sont venues vers elle et qui ont dit: «Ecoute, Soeur Lydia,» ou je ne sais quel nom elle portait, «est-ce que tu comprends que ton mari va te quitter si tu fais ceci?» Sans aucun doute, elle aimait son mari, mais elle ne pouvait pas maudire ou bénir Ce qu’elle avait en elle. Quelque chose le lui faisait savoir, sa fille se mourait d’épilepsie, et il fallait qu’elle parvienne à Jésus; et quand elle arriverait là, quelque chose se produirait, mari ou pas.

77        Certains d’entre eux disaient peut-être: «Eh bien, que feras-tu de cette enfant malade en cas d’échec?» Mais elle savait que ça n’échouerait pas. Quelque Chose en elle lui disait que ça ne pouvait pas échouer. S’Il a jamais été Dieu, Il reste toujours Dieu. Cela ne peut pas échouer. Par conséquent, elle a persévéré de plus belle.

78        Et puis, certains d’entre eux disaient peut-être: «Le cercle dont tu es membre, la société, ils vont se moquer de toi.» Qu’ils se moquent ou pas, pour elle, ça ne changeait rien. Il y avait Quelque Chose en elle! Elle a persévéré de plus belle.

79        Certains d’entre eux disaient peut-être: «Tu seras mise à la porte de ton église.» Mise à la porte ou pas, elle était en route, quelque chose l’attirait vers Jésus! Rien ne lui ferait obstacle, aucune entrave. Elle persévérait. Rien ne lui a fait obstacle. Finalement, elle est arrivée là où Il était.

80        Beaucoup de gens pensent que «pour la simple raison que vous arrivez là où Il est, tout est terminé». C’est faux. Il peut venir ici dans cette salle ce soir et montrer qu’Il est vivant, après deux mille ans, par les choses qu’Il a promis d’accomplir en ce jour-ci. Il l’a fait hier soir. Il le fait chaque soir. Il le fait partout. Il prouve qu’Il est toujours vivant. Et vous pouvez être en Sa Présence, mais ce n’est pas ça. Absolument pas. Parfois, vous vous heurtez à des difficultés quand vous entrez dans Sa Présence. Elle en a eues.

81        Quand elle est arrivée, alors, Jésus a dit qu’Il n’avait pas été envoyé à sa race à elle. Celui-là même à Qui elle était venue, en croyant en Lui, l’a rejetée. Ça, c’est une leçon. Celui-là même pour Qui elle est passée par toutes ces portes, de tristesse et de déception, et tout, pour arriver là... Mais Quelque Chose vibrait en elle, lui disant d’y aller; quand elle est arrivée là, auprès de Lui, Il l’a rejetée tout net. Et, en plus, Il a dit que sa race à elle n’était qu’une bande de petits chiens. «Il n’est pas bien que Je prenne le pain des enfants pour vous le donner, à vous, les petits chiens.»

82        Et s’Il avait traité les–les pentecôtistes de «petits chiens»? Oh! la la! Je ne sais pas ce qui serait arrivé. Et s’Il avait dit: «Chiens méthodistes, chiens baptistes»? A mon avis, il serait retourné dire au pasteur qu’il avait bien raison, après tout, que cet Individu-là n’avait rien de bon. Mais si vous vous êtes emparé de quelque chose, et que quelque chose s’est emparé de vous, ce sera différent.

83        «Je ne suis pas envoyé vers vous, race de petits chiens. Il n’est pas bien que Je prenne le pain des enfants et que Je vous le donne. Je n’ai pas été envoyé vers vous. Votre réveil n’est pas... votre cercle ne parraine même pas ceci, et Je n’ai pas été envoyé vers vous. Et il n’est pas bien que Je vous consacre Mon temps, alors que vous n’êtes que de petits chiens. Et pourquoi devrais-je gaspiller Mon temps pour vous?» Quelle déception ça aurait été pour une femme qui n’aurait pas eu de foi, qui ne serait pas déterminée! Oh! si seulement l’Eglise pouvait voir cela! Mais elle a continué à tenir bon.

84        Elle n’était pas une–une plante de serre chaude qu’il fallait dorloter, une du genre qu’il faut vaporiser partout, vous savez, pour en éloigner les insectes. Une belle plante en bonne santé, on n’a pas à la vaporiser. Une belle plante en bonne santé, les insectes ne peuvent rien lui faire, elle est en pleine santé.

85        Et une bonne foi en Dieu, née de nouveau, une authentique vraie foi du Saint-Esprit, rien ne la repoussera. Ce n’est pas possible. Elle persiste. Elle poursuit le but que Dieu lui a promis. Rien ne la repoussera. Elle avance quand même. Oui, elle n’était pas hybride.

86        Aujourd’hui, tout ce qu’on a, c’est hybride. Vous parlez de maïs hybride, je vois ça sur les panneaux, par ici. Ça ne vaut rien. Ça tue les gens. Regardez le Reader’s Digest, il dit que «si les femmes continuent à en manger, ce qui va arriver, c’est qu’elles n’auront plus de bébés, d’ici vingt ans. Elle ne pourront plus donner naissance aux enfants». Ça démolit, au point que le cancer s’installe. Oh! tout, toute la chose est rongée par les vers. Ça donne certainement le coup fatal à la science, sur l’évolution.

87        Jésus a dit, Dieu a dit, au commencement: «Que chaque semence produise selon son espèce.» Prenez du maïs hybride, et hybridez-le, et plantez-le; plantez la même semence l’année suivante, vous n’obtiendrez rien. Vous avez un grain beau à voir, mais vous n’obtenez rien. Ils ont hybridé tout ce qu’il y a au monde.

88        Prenez un mulet et... ou, prenez un–un âne et hybridez-le avec une jument, ça vous donne un mulet, mais ce mulet ne peut pas se reproduire à son tour. C’est la chose la plus ignorante qu’il y ait sur terre. J’en ai conduit, toute ma vie, ici, vous... il attendra jusqu’à la toute dernière minute de sa vie, pour vous donner une ruade. Il ne sait rien. Vous ne pouvez rien lui apprendre.

89        Vous lui parlez, il est exactement comme beaucoup de soi-disant chrétiens, aux longues oreilles: «Han? Han?» Ils ne... même pas. Ils braient, et ils ne savent même pas pourquoi ils braient. «Les jours des miracles sont passés. La guérison, ça n’existe pas.» Mais prenez un beau... Il ne sait pas d’où il vient. Il ne sait pas qui sont papa et maman.

90        Mais un vrai cheval pur sang sait qui était son papa, qui était sa maman, qui étaient son grand-papa, son arrière-grand-papa, son arrière-arrière-arrière-arrière... jusqu’au commencement. Il sait d’où il vient.

91        De même, un authentique chrétien né de nouveau sait d’où il vient. Son origine ne remonte pas à John Wesley, à Luther, ou à quelqu’un d’autre. Cela a commencé le jour de la Pentecôte, quand Dieu Lui-même vint parmi Son peuple. Et Il est la Parole manifestée. Vous pouvez lui prêcher la Parole, et il dira: «Amen!»

92        L’autre dira: «Ça, je ne sais pas.» Vous voyez cet âne, cet hybride? Vous voyez, il ne sait pas où il va, il ne sait pas d’où il vient. Il est bien mal en point.

93        Cette femme n’était pas de ce genre-là. Elle n’était pas une plante hybride. Elle s’était emparée de quelque chose. On n’avait pas besoin de la dorloter, de la vaporiser et de dire: «Ecoute, ma chérie, s’il te plaît, là, je t’en supplie. Tu devrais venir.» Absolument pas. Personne... Tout essayait de lui faire obstacle.

94        Un vrai chrétien combat pour sa place. Il doit se tenir seul, lui et Dieu, et il combat pour chaque pouce de terrain; alors, on n’a pas à les dorloter.

95        Voilà ce qui ne va pas dans l’Eglise pentecôtiste aujourd’hui: on a des bébés pentecôtistes, qu’on a sans cesse aspergés et sur qui on a vaporisé ceci, cela et autre chose, au point que c’est devenu un tas d’hybrides. Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un bon nettoyage, de la chaire jusqu’au–au concierge, et de recommencer et de faire naître la vraie foi chez les gens. Oui.

96        Non, elle n’était pas hybride, comme l’est une prétendue moisson de croyants aujourd’hui. Qu’a-t-elle fait? Elle a admis qu’Il avait raison.

97        La Parole... Et la foi admet toujours que la Parole a raison. Amen. Si votre foi ne dit pas amen à chaque mot de la Parole de Dieu, alors il y a quelque chose qui ne va pas dans votre expérience. La Bible dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Si elle ne dit pas amen à cela, alors il y a quelque chose qui ne va pas. Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Si elle ne dit pas amen à cela, alors il y a quelque chose qui ne va pas. Si elle ne dit pas amen à chaque Parole de la promesse de Dieu, alors il y a quelque chose qui ne va pas.

98        Elle a admis qu’Il avait raison. Elle a admis qu’elle n’était rien d’autre qu’un petit chien. Mais elle voulait avoir des miettes.

99        Nous, ce ne serait pas pareil. Oh! non. Nous, il faut qu’on nous donne un bon siège, et: «S’ils ne s’occupent pas de moi le premier soir, je n’y retournerai pas la prochaine soirée.»

100      Mais, vous voyez, oh! elle était bien différente. Repoussée, rebutée, rembarrée, envoyée promener, peu importe, elle était décidée. Elle a persisté, persévéré. Quelque chose à l’intérieur d’elle lui disait qu’elle l’obtiendrait, peu importe combien de temps elle devrait attendre, ce qu’elle devrait endurer, elle l’aurait, de toute façon. Elle voulait les miettes. Elle ne voulait pas avoir un dîner complet. Elle a dit: «Les chiens mangent les miettes sous la table du maître.»

101      Voilà comment s’y prendre. N’occupez pas le siège de devant, occupez le siège du fond. Ne faites pas... Faites-vous bien tout petit. Le moyen de monter, c’est de descendre, toujours. «Celui qui s’abaisse sera élevé. Celui qui s’élève sera abaissé.» Le moyen de monter, c’est de descendre, toujours.

102      Souvenez-vous, elle n’avait jamais vu de miracle. Elle était une Gentille, mais elle avait la foi.

103      Elle était un peu comme la prostituée, Rahab. Elle a dit aux espions... Elle n’a pas dit: «Attendez que je voie comment Josué se peigne. Quel air ont tous vos généraux? Ou, de quel genre d’épées se servent-ils? De quels instruments disposent-ils? Quelle technique de guerre?» Elle a dit: «J’ai entendu dire que Dieu est avec vous. Cela me suffit. Je veux obtenir miséricorde.» Elle a cru.

            «La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend de la Parole de Dieu.»

104      Regardez bien: «A cause de cette parole, à cause de cette parole», a dit Jésus, parce qu’elle a persisté, et qu’elle est venue...

105      Bon, en premier, elle L’a appelé Fils de David. Or, si... Elle avait... en tant que femme des nations, elle n’avait aucun droit sur Lui en tant que Fils de David. Mais quand elle a dit: «Seigneur», Il était son Seigneur, mais pas le Fils de David, pour ça.

106      Elle s’est approchée du don de Dieu comme il faut. Et voilà la seule manière de recevoir donc quoi que ce soit, c’est de s’en approcher comme il faut. Elle était la première personne des nations pour qui un miracle ait jamais été accompli. La foi admet que la Parole a raison, elle se fait humble et respectueuse. Et c’est la même chose aujourd’hui, elle est prête à se contenter de n’importe quoi, n’importe où, «pourvu que j’y arrive».

107      Avez-vous déjà remarqué que Marthe, en Présence de Jésus, a eu de la persévérance? Marthe, quand elle est sortie, même si elle avait un frère qui L’aimait, même si elle avait ouvert sa maison et qu’elle avait quitté l’église, et ainsi de suite, et que Lazare et Lui étaient amis... Et Lazare était mort, dans la tombe, et il y était depuis quatre jours, il se décomposait déjà. Le nez s’était affaissé, la chair se défaisait de ses os. Il était mort.

108      Je parlais à une femme qui est d’une autre foi, qui ne croit pas qu’Il ait été plus qu’un simple prophète ou un homme bon.

109      J’admets qu’Il était prophète. Seulement Il était plus qu’un prophète, Il était le Dieu des prophètes. Il était tout ce qu’étaient les prophètes, c’était en Lui, plus Dieu, et tout ça ensemble, c’était Lui.

110      Un soir, nous étions en chemin; elle m’a dit: «Si je vous prouve, Monsieur Branham...» Elle disait: «Je ne trouve qu’un seul défaut à votre Message.»J’ai dit: «J’espère que le Seigneur aussi ne trouve qu’un seul défaut en moi.»

111      Elle a dit: «Vous vantez trop Jésus.» Elle a dit: «Vous–vous faites de Lui Dieu.»

112      J’ai dit: «Il était Dieu. S’Il n’était pas Dieu, Il a été le pire séducteur que le monde ait jamais eu.»Elle a dit: «Vous Le rendez Divin.»J’ai dit: «Il l’était, Divin.»«Oh! a-t-elle dit, Il était–Il était un homme bon.»

113      J’ai dit: «Il était plus qu’un homme bon. Il était Dieu. Il était réellement Divin.»Elle a dit: «Je vais vous prouver, par votre propre Bible, qu’Il n’était pas Divin.»J’ai dit: «Comment pouvez-vous le faire?»

114      Elle a dit: «Dans Saint Jean, au chapitre 11, quand Jésus est allé à la tombe pour ressusciter Lazare, la Bible dit ‘qu’Il pleura’.»Et j’ai demandé: «Est-ce là votre référence biblique?» J’ai dit...Elle a dit: «Oui.»J’ai dit: «Vous avez tapé à côté...»Elle a dit: «Comment pouvait-Il être Divin et pleurer?»

115      J’ai dit: «Il était à la fois Homme et Dieu. C’était un Homme qui pleurait, certainement. J’admets que c’était un Homme qui pleurait. Mais quand Il s’est tenu près de la tombe, qu’Il a redressé son petit corps frêle, et qu’Il a dit: ‘Lazare, sors! ’, et qu’un homme mort depuis quatre jours s’est levé sur ses pieds et a repris vie, c’était plus qu’un homme.» C’est vrai.

116      La corruption a reconnu son Maître. L’âme a reconnu son Créateur. Et il en était à son quatrième jour, dans le voyage, quelque part; je ne sais pas où, vous non plus. Mais quoi qu’il en soit, quand Il a parlé, il est sorti. Amen. Ça, c’était plus qu’un homme.

117      Il était un Homme quand Il est descendu de la montagne, ce soir-là; après être arrivé, Il avait faim; Il regardait les arbres en chemin pour trouver quelque chose à manger, quand, en regardant un arbre, Il a maudit l’arbre qui n’avait pas de fruit. Il était un Homme quand Il avait faim. Mais quand Il a pris cinq petits pains et deux poissons, et qu’Il a nourri cinq mille personnes, qu’on a rempli cinq paniers avec les morceaux qui restaient, c’était plus qu’un homme. C’est ça.

118      J’ai dit: «Il était un Homme quand Il était couché là, sur l’eau, ce soir-là, à l’arrière d’un bateau. De la vertu était sortie de Lui, toute la journée, alors qu’Il prêchait et guérissait les malades; de la vertu était sortie de Lui, à cause des gens, alors qu’Il discernait les pensées de leur coeur. Et dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer ce soir-là. Le petit bateau était là, comme un bouchon de liège, agité dans tous les sens. Le diable disait: «Je L’ai, maintenant.» Et il semblait que tout était fini. Mais une fois qu’Il a été réveillé, qu’Il est monté et qu’Il a posé le pied sur le bastingage du bateau, et qu’Il a levé les yeux et qu’Il a dit: «Silence! tais-toi!», et que les vents et les vagues Lui ont obéi, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu.

119      Il était un Homme quand Il a imploré miséricorde sur la croix; c’est vrai. Quand Il réclamait à boire et qu’ils Lui ont donné du vinaigre, c’était un homme. Quand Il est mort, saignant, pleurant, crucifié, cloué à une croix, Il était un Homme. Mais le matin de Pâques, quand Il a rompu les sceaux de la tombe, qu’Il est ressuscité et qu’Il a dit: «Je suis Celui qui était mort, et qui est vivant aux siècles des siècles», c’était plus qu’un homme. C’était Dieu dans un Homme, Son Fils.

120      Pas étonnant que Marthe, qui comprenait cela, ait persévéré en Présence de Jésus. Elle a dit: «Si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais, maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»

121      Oh! si seulement nous pouvions avoir ces paroles dans nos coeurs ce soir! «Je sais que je suis dans un fauteuil roulant. Je sais que je souffre du cancer, je souffre du coeur, quoi que ce soit. Je sais que le médecin dit que la fin de mes jours est proche. Mais maintenant même, Seigneur!» Tout ce que vous demandez à Dieu, Il le fera. Et Il est assis à la droite de Sa Majesté pour intercéder sur base de notre confession. Persistez simplement autant que Marthe.

122      On dirait qu’Il l’avait rejetée. Elle L’avait envoyé chercher, et Il n’y était pas allé. Elle avait de nouveau envoyé quelqu’un, et Il n’y était pas allé. Finalement, après que Lazare était enterré depuis quatre jours, Le voici. Mais elle a continué à persister. Elle s’était emparée de quelque chose. Elle avait vu Ses oeuvres et elle savait que c’était Dieu. Elle le savait. Elle a persisté. Elle a reçu ce qu’elle avait demandé.

123      La Sunamite, en présence d’Elisée, a persisté. Oh! Le bébé était mort et gisait sur son lit. Et Elisée a essayé de prendre un bâton oint et de l’envoyer, par Guéhazi, pour le faire poser sur l’enfant. Mais elle, sa foi n’était pas dans le bâton, elle était dans le prophète. Elle savait que Dieu était dans ce prophète, parce qu’elle avait vu s’accomplir les paroles qu’il avait dites. Il était un prophète confirmé, et elle savait que ce qu’il disait venait de Dieu. Et elle a dit: «Ton âme est vivante, je ne te quitterai pas jusqu’à ce que je sache pourquoi.» Et elle est restée auprès de lui. Elle a persisté jusqu’à ce qu’elle obtienne ce qu’elle demandait.

124      Ça me rappelle, ici, il n’y a pas longtemps, une petite femme qui venait de la Californie, quand j’habitais encore à Jeffersonville. Il y a de cela trois ou quatre ans. Elle avait une tumeur, et la tumeur à elle seule pesait cinquante livres [23 kg]. On devait la porter pour la faire entrer dans la salle, la faire asseoir au fond. Ils... Elle savait que je serais là ce soir-là. Elle pensait que je prierais pour les malades. Mais j’étais seulement venu pour parler à l’auditoire, peut-être à peu près autant que nous en avons ici ce soir. Après que j’avais fini de parler... Quelques-uns lui avaient dit: «Il ne prie pas pour les malades ce soir.»

125      Mais elle voulait qu’on prie pour elle, elle l’a dit dans son coeur, et elle a cru. Elle avait assisté à une réunion auparavant, et elle avait dit: «Je crois que si frère Branham priait pour moi, je serais guérie.» Et ce soir-là, deux ou trois diacres l’ont transportée et sont sortis sur le côté de la maison, du bâtiment, ils sont allés derrière, ils l’ont déposée à la porte.

126      Je sortais avec Billy Paul par l’arrière. Elle m’a attrapé par la jambe de pantalon, comme ça. Elle s’est écriée: «Frère Branham, a-t-elle dit, j’ai toujours cru que si vous le demandiez à Dieu, Dieu me guérirait.»

127      Je lui ai imposé la main, j’ai dit: «Alors, soeur, qu’il vous soit fait selon votre foi.»

128      Quelques mois plus tard, je la rencontre dans une–une réunion, là-bas. Elle était là, avec une taille parfaite. La tumeur de cinquante livres [23 kg] était partie. Elle a dit: «J’emmènerai n’importe quelle femme, ici, dans le vestiaire, et qu’elle voie si j’ai une cicatrice quelque part. Voici la photo de ce que j’étais.»

129      Qu’était-ce? Qu’on prie pour les malades ou non, elle a persisté. Elle était venue de la Californie pour être guérie, et elle ne retournerait pas autrement que guérie. Elle a persisté.

130      Je me souviens d’avoir été appelé au chevet d’un garçon qui se mourait, ici, il y a quelques années, de la diphtérie noire. Et on ne voulait pas me permettre d’entrer, parce que j’avais des enfants. Le docteur a dit: «Vous ne pouvez pas entrer là, vous êtes un homme marié.»

131      Je savais qu’il était catholique; alors, j’ai dit: «Si–si ce garçon était catholique, permettriez-vous au prêtre d’entrer?»

            Il a dit: «Oui, mais lui–lui n’est pas marié.»

            J’ai dit: «Il visite les enfants, et tout.»

            Il a dit: «Là n’est pas la question, Monsieur Branham.»

132      J’ai dit: «Vous permettriez au prêtre d’entrer pour lui donner les derniers sacrements. Là, ce sont les derniers sacrements. Ce garçon est mourant. Permettez-moi d’aller le voir.»

133      Eh bien, j’ai fini par le convaincre. Et il m’a déguisé en Ku Klux Klan, ou quelque chose comme ça, toutes sortes de choses sur moi.

134      Et la brave mère et le brave père se tenaient là. J’avais quitté une réunion, et la–la brave mère et le brave père avaient dit: «Si vous venez prier, mon enfant vivra.» Le garçon avait environ dix-sept, dix-huit ans. Il y avait un cardiogramme, un genre d’appareil, là. Il était inconscient depuis deux ou trois jours, et il n’avait connaissance de rien. La mère et le père m’ont reçu quand je suis entré. Je me suis agenouillé et j’ai prié, une simple petite prière de foi.

            J’ai dit: «Monsieur, croyez-vous en Dieu?»

135      Il a dit: «De tout mon coeur, tout ce que je veux que vous fassiez, c’est de le demander à Dieu. Dieu l’accordera.»

136      J’ai dit: «Merci, frère, pour votre confiance. Que je ne la trahisse jamais.»

137      J’ai imposé les mains au jeune homme, et j’ai prié: «Seigneur Jésus, que la foi de ce père et de cette mère se joignent à la mienne, pour s’approcher de Ton trône ce soir. Que ce garçon vive et qu’il ne meure pas, car nous croyons. Au Nom de Jésus.»

138      Nous nous sommes relevés. Et le père a tendu les bras et a pris la mère, par-dessus le petit poumon d’acier, une chose par laquelle il respirait, là, et il a dit: «Mère, n’est-ce pas merveilleux? N’est-ce pas merveilleux? Oh! c’est tellement merveilleux!»

139      Et la petite infirmière qui était là, elle était stupéfaite. Sa petite coiffe a failli lui tomber de la tête. Elle a tourné les yeux et a dit: «Monsieur, je ne comprends pas. Comment pouvez-vous vous comporter comme ça, vous et votre femme, alors que votre fils est en train de mourir?»

            Il a dit: «Ma petite, mon fils n’est pas en train de mourir.»

140      «Eh bien, a-t-elle dit, le docteur a dit qu’il était mourant.» Elle a dit que (je ne sais quel appareil c’était)... Elle a dit: «Quand un coeur arrive aussi bas que ça, avec une telle fièvre, on n’a jamais observé, dans l’histoire, une seule fois où il se soit remis.»

141      Je n’oublierai jamais la foi de ce brave patriarche. Il était membre, je pense, du mouvement d’A.B. Simpson. Il s’est avancé et a posé les mains sur les épaules, il avait environ soixante ans, il a posé les mains sur les épaules de cette jeune fille, il l’a regardée dans les yeux. Il a dit: «Ma petite, toi, tu regardes à cet appareil. C’est tout ce que tu sais regarder. Mais moi, je regarde à une promesse, selon laquelle Dieu a dit qu’Il le ferait.»

142      Ça dépend de ce à quoi vous regardez. Ils s’embrassaient, ils se réjouissaient, là, frère. Et il est marié et est missionnaire en Afrique, maintenant, avec deux enfants. Pourquoi? Parce qu’un père et une mère ont pu tenir bon à l’heure la plus sombre. Persister! Oui, oui. Persister! Ayez foi en Dieu!

143      Le petit Michée, en présence de tous ces prophètes, ces quatre cents prophètes formés, il a persisté, quand il a eu une vision de Dieu. Même s’ils... Il s’opposait. Ils l’ont rencontré et ils lui ont dit: «Maintenant, nous allons te réintégrer dans l’association si seulement tu veux bien dire la même chose que tu... que les autres.»

144      Il a dit: «L’Eternel est vivant! Je ne dirai que ce qu’Il me dira de dire.» Et sa vision, il l’a comparée à la Parole de Dieu, et il a prononcé sa prophétie, advienne que pourra.

145      Ils ont dit: «Nous allons le jeter en prison et lui donner de l’affliction... du pain d’affliction et de l’eau d’affliction.» Et quand ils reviendront, a-t-il dit, il s’occuperait de lui, a dit Achab.

146      Il a dit: «Si tu reviens, Dieu ne m’a point parlé.» Il a persisté. Il connaissait sa position.

147      L’aveugle qui avait été guéri par Jésus ne pouvait pas discuter de leur théologie. Ils ont dit: «Qui t’a ouvert les yeux?»

            Il a dit: «Un Homme appelé Jésus de Nazareth.»

148      Ils ont dit: «Cet Homme est un pécheur. Nous ne savons pas d’où Il vient.»

149      Mais lui, il leur a donné une bonne réponse. Il a dit: «Vous êtes les chefs religieux d’aujourd’hui. Et cet Homme m’a fait recouvrer la vue, et pourtant vous ne savez pas d’où Il vient.» Il avait une assez bonne théologie à lui. Il ne pouvait pas discuter avec eux. Mais il savait une chose: il voyait. Et il n’avait pas honte. Son père et sa mère avaient honte d’en parler, mais pas lui. Il l’avait vu. Il l’avait senti. Il en avait le résultat. Quelque chose lui avait parlé, et il a persisté.

150      Philippe, dès qu’il a vu, la leçon d’hier soir, ce que... quand il est arrivé en Présence de Jésus-Christ, quand il a vu Simon... le frère d’André. Phil-...

151      Pierre est arrivé dans la Présence, c’était Simon à l’époque, il est arrivé dans la Présence de Jésus. Simon avait appris, quand il était enfant, que le Messie serait un Prophète. Quand il est entré dans Sa Présence et que Jésus a dit: «Ton nom est Simon et tu es le fils de Jonas.» Il a persisté. Il était prêt, alors. Il est devenu le chef de l’Eglise.

152      Quand Philippe a vu cela, il en connaissait un autre qui lisait beaucoup la Bible, qui connaissait la vérité. Il a persisté. Il est allé de l’autre côté de la montagne le chercher.

153      Et quand Nathanaël est venu, un homme de renom, un véritable Hébreu, c’est certain, un homme, un Hébreu loyal, un homme vraiment bien, vraiment intègre, c’était un grand homme. Mais en présence de son sacrificateur et en présence de tous les autres, quand Jésus l’a regardé et qu’Il a dit: «Voici un Israélite en qui il n’y a point de fraude», il a dit: «Rabbi, d’où me connais-Tu? Je ne T’ai jamais vu auparavant. Comment as-Tu su qui j’étais?»

154      Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

155      Il est tombé à Ses pieds et il a dit: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. Tu es le Roi d’Israël.» Pourquoi? Il a persisté en dépit de ce que n’importe qui d’autre pensait. Il avait rencontré la Chose au sujet de laquelle il avait lu. Ce qu’il s’était attendu à trouver en Jésus, il l’avait trouvé.

156      Une petite prostituée est sortie pour aller au puits, un jour, puiser de l’eau. Jésus était assis là, un Homme ordinaire, portant des vêtements ordinaires, mangeant de la nourriture ordinaire, parlant un langage ordinaire, le langage commun de la rue que tout le monde parlait. Et elle Lui a parlé; Il lui a parlé. Il a trouvé où était sa faute, et Il a dit: «Va chercher ton mari et viens ici.»

            Elle a dit: «Je n’ai pas de mari.»

157      Il a dit: «Tu as bien dit. Tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas le tien.» Tout de suite, cette semence prédestinée dans son coeur a pris Vie!

158      Quand Cela avait touché les pharisiens, Cela ne faisait que noircir tout le tableau. Ils ont dit: «Cet homme est Béelzébul. C’est un diseur de bonne aventure.»

159      Mais elle savait que la Parole était «plus tranchante, plus puissante qu’une épée quelconque à deux tranchants, Elle discerne les pensées du coeur».

160      Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous n’en avons pas eu depuis quatre cents ans. Je vois que Tu es Prophète. Mais nous savons que, quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses.»

161      Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.» Certainement que Celui qui avait accompli le miracle ne dirait pas un mensonge. Il était Prophète. Elle... Il a dit: «Je suis ce Messie. Je Le suis, Moi qui te parle. C’est Moi.»

162      Essayez donc de l’arrêter! Si quelqu’un est déjà allé en Orient, vous savez, un homme, dans la rue, n’aurait jamais écouté une prostituée. Elle n’avait aucun droit de parole. Mais essayez de l’arrêter, c’est comme une maison en feu par un jour de grand vent, rien à faire. Elle est tout de suite allée dans la rue, en criant: «Venez voir un Homme qui m’a dit les choses que j’ai faites. Ne serait-ce point le Messie Lui-même? Il est assis là-bas, au puits, en ce moment. C’est le Messie Lui-même. Nous attendions la Venue de cet Homme, et Il est assis là-bas. Il m’a dit ces choses.» La Bible dit que les gens ont cru à cause du témoignage de cette femme.

163      En terminant, je dirais,–je vois des gens d’origine espagnole assis ici,–je dirais ceci. La dernière fois que j’étais au Mexique, il n’y a pas longtemps, au–au stade là-bas, un genre d’endroit... Nous n’avions pas pu aller dans l’arène des taureaux, ou la grande arène, mais nous avons eu un endroit où plusieurs milliers de gens s’étaient rassemblés. Frère Espinoza, un frère des Assemblées de Dieu, je pense, vous le connaissez tous, de la Californie, c’est lui qui était mon interprète.

164      Le soir précédent, un vieillard aveugle était passé sur l’estrade, il ne voyait rien du tout. Je l’ai regardé. Je portais de bons souliers et de bons vêtements. Le pauvre vieillard, en guenilles, les pantalons tout déchirés, son vieux chapeau recousu avec–avec, semblait-il, de la ficelle. Et il était aveugle; la barbe blanche qui pendait. Ses grands pieds, là, et peut-être qu’il n’avait pas porté de souliers depuis des années. Tout poussiéreux. Complètement aveugle. Je l’ai regardé. Je me suis dit: «Mon père aurait à peu près cet âge-là, s’il avait vécu.»

165      Je me suis glissé vers lui. J’ai dit: «Bonjour.» Frère Espinoza a interprété.

166      J’ai posé mon pied à côté du sien, pour voir. Il y avait un petit rideau qui traversait l’estrade, à peu près quatre à cinq fois plus large qu’ici. Je me suis dit: «Si mes souliers lui vont, je lui donnerai mes souliers.» Oh! ses pieds étaient beaucoup plus grands que les miens. J’ai mis mes épaules contre les siennes comme si j’allais lui donner une accolade; ses épaules étaient plus larges que les miennes. Là, j’ai vu que je ne pouvais pas lui donner mon veston. Je me suis dit: «Ô Dieu, que puis-je faire? Le pauvre, il n’a probablement pas eu un seul vrai repas de sa vie.» Et voilà, il en était à manger des tortillas jetées, quelque part par là; et pourtant, le peu d’argent qu’il avait, il fallait qu’il le dépense pour payer un cierge, pour le faire brûler sur un autel en or d’un million de dollars, pour ses péchés, vivre dans une superstition et des ténèbres pareilles! Je me suis dit: «Quelle époque! Comment le sort peut-il être si mauvais?»

167      Je l’ai entouré de mon bras, et j’ai crié: «Ô Dieu, aie pitié de lui!»

168      Il a hurlé: «Gloria a Dios!» Et vers ce moment-là, j’ai regardé autour de moi, il voyait aussi bien que moi, il marchait sur l’estrade.

169      Et le–le soir suivant, quand nous sommes entrés, il y avait un tas de vieux vêtements, de châles et de chapeaux, de trois ou quatre pieds de haut [1 ou 1,20 m], comme ceci, tout du long. Comment reconnaissaient-ils donc à qui ça appartenait? Pensez-vous qu’ils s’en souciaient? Ils étaient venus à l’église ce matin-là à huit ou neuf heures, pas de sièges où s’asseoir; dehors, la pluie qui tombait à verse, et ils s’appuyaient les uns contre les autres. Les femmes avec les cheveux qui pendaient, et elles portaient des enfants, et tout. La pluie tombait à verse, ils étaient venus à neuf heures, et moi, je n’allais être là que vers 20 h 30’ ou 21 h. Ils voulaient être sûrs d’y être. Ils restaient là à attendre que j’arrive.

170      On m’avait fait descendre par une échelle de corde, à l’arrière du stade, où j’entrais comme ceci, je m’avançais sur l’estrade. Billy Paul... et un homme que j’appelais Mañana, ce qui veut dire «demain», parce qu’il mettait toujours si longtemps à venir me chercher. Et alors, je disais: «Venez donc demain, vous avez gâché ça pour ce soir.» Alors, il m’a emmené là-bas et il m’a fait descendre, et je suis entré sur l’estrade.

171      Frère Jack Moore, beaucoup parmi vous le connaissent, près d’ici, à Shreveport, il était avec moi; et frère Espinoza et plusieurs de frères. Alors, pendant que nous étions là, sur l’estrade, Billy est arrivé. J’entendais un grand bruit, tout là-bas au loin, il y en avait des milliers et des milliers assis là.

172      Billy a dit: «Papa, tu vas devoir faire quelque chose. La petite femme de langue espagnole, là, a-t-elle dit, elle a un bébé mort dans ses bras.» Il a dit: «Ce bébé est mort ce matin, dit-on, tôt. Et–et Mañana a distribué les cartes de prière, et, a-t-il dit, et il ne lui reste plus une seule carte de prière, et moi non plus, il ne m’en reste pas une.» Il a dit: «Et elle est décidée à amener ce bébé dans la ligne de prière.» Il a dit: «Nous en avons à peu près quatre cents, là, qui attendent qu’on prie pour eux.»

173      J’ai dit: «Eh bien, ai-je dit, arrange-toi pour qu’elle ne s’avance pas. Parce que, si elle s’avance, tous les autres vont se mettre à faire pareil.» Et j’ai dit: «On ne peut pas faire ça. Dis-lui qu’elle pourrait peut-être se mettre dans la file, demain. Nous serons encore ici demain pour lui donner une carte de prière.»

174      Il a dit: «Viens donc essayer, toi.» Il a dit: «J’ai trois cents huissiers, là, qui n’arrivent même pas à la retenir, et, a-t-il dit, elle ne doit même pas peser quatre-vingt-dix livres [41 kg].» Et il a dit: «On ne peut pas la retenir.» Il a dit: «Elle vous file entre les jambes, elle leur saute par-dessus les épaules, et tout, avec ce bébé mort.»

175      Et j’ai dit: «Frère Jack,» ai-je dit, elle ne me connaît pas. Elle ne fera pas la différence entre moi et toi. Vas-y et prie pour le bébé, et comme ça, ce sera réglé.» Et j’ai demandé: «Le bébé est mort?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit...

176      Je parlais de la foi, que c’est une ferme assurance des choses qu’on espère. Et je parlais. Et frère Espinoza a commencé à parler, il me suivait comme je parlais. Frère Jack allait descendre prier pour le bébé. Et comme je me suis mis à regarder, je regardais devant moi, là, et il y avait là un petit bébé mexicain, sans dents, tellement il était très jeune. Il souriait, en me regardant, en vision.

177      J’ai dit: «Attends une minute, Frère Jack. Amène le bébé ici.» Et alors, ils ont ouvert le chemin.

178      Voilà la petite femme qui arrive, le chapelet en main, et elle se jette à terre, en hurlant: «Padre!»

179      Et je–je l’ai relevée. J’ai dit: «Ne faites pas ça.» Elle avait une petite couverture rayée bleu et blanc; un petit bébé raide, à peu près long comme ça, reposait dans ses bras.

            J’ai dit: «Demandez-lui quand il est mort.»

180      Elle a dit qu’il était mort dans le cabinet du médecin, ce matin-là, vers neuf heures. Et ça, c’était vers 21 h 30’ ou 21 h. Et complètement trempée, elle était restée là; elle avait les cheveux qui pendaient. Une belle petite femme et, elle, probablement, son premier bébé. Elle semblait avoir vingt-cinq ans, ou quelque chose comme ça.

181      Et j’ai dit: «Frère Espinoza, n’interprétez pas cette prière, parce que je viens d’avoir une vision d’un petit bébé mort, ou d’un petit bébé, là, qui me faisait une risette.» J’ai dit: «C’est peut-être ce bébé-là.»

182      Et j’ai posé les mains sur la petite couverture, et j’ai dit: «Bien-aimé Père céleste, je ne sais pas ce que signifiait la vision, mais j’ai vu le petit bébé. Si ce bébé, Tu es prêt à le rappeler à la vie, je réclame sa vie, au Nom de Jésus-Christ.» Il a poussé un cri, il a donné des coups dans la couverture et il s’est mis à hurler comme ça. Et je...

183      Le Voice des Hommes d’Affaires en a parlé, il n’y a pas longtemps. J’ai dit: «Frère Espinoza, ne dites encore rien à ce sujet. Envoyez quelqu’un chercher ce bébé et cette femme, et amenez-la chez le médecin, allez chercher une attestation signée avant de publier ça, là»; j’ai dit, «parce qu’il faut que ce soit vrai. On ne sait pas.» Alors, alors ils ont envoyé quelqu’un.

184      Et le médecin a signé une attestation: «Le bébé est mort de pneumonie double», ce matin-là, dans son... à neuf heures, dans son cabinet. «Il ne respirait plus. Son coeur s’était arrêté, il était raide mort.»

185      Et cette petite femme était là. Pourquoi? Parce qu’elle avait persisté. Rien ne l’arrêterait. Elle a persisté. Elle a persévéré, même si son prêtre allait l’exclure de l’Eglise  (certainement qu’il l’aurait fait), peu importe ce qui arriverait. Au moment où elle regardait à travers la clôture, quelques soirs plus tôt, elle avait vu ce vieillard aveugle recouvrer la vue. «Si Dieu peut donner la vue aux aveugles, Il peut ressusciter les morts!» Et elle avait un besoin. Elle a persisté, comme la femme syro-phénicienne. Elle a obtenu ce qu’elle désirait, pour avoir persisté.

186      Frère et soeur, nous sommes dans la Présence de Jésus-Christ. Il a dit: «Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je suis au milieu d’eux. S’ils s’accordent pour demander une chose quelconque, ils la recevront.» Persistons maintenant en Présence de Dieu, alors que nous inclinons la tête.

187      Bienveillant Père céleste, voilà maintenant trente et quelques minutes que nous parlons, ou plus, pour Ton Royaume. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Dieu a fait la promesse. Dieu est tenu à Sa promesse. Seigneur, accorde-nous de ne pas oublier et d’être comme cette petite femme; persistons. Si Jésus est ici au milieu de nous, alors, accrochons-nous à Lui jusqu’à ce que nous ayons obtenu ce pour quoi nous sommes venus.

188      S’il y en a ici, ce soir, qui ne sont pas sauvés, puissent-ils tenir bon jusqu’à ce que la grâce de Dieu qui sauve les ait reçus.

189      S’ils sont ici sans le baptême du Saint-Esprit, puissent-ils être comme cette petite femme, que ni le temps ni rien d’autre ne leur fasse obstacle. Ils vont tenir et persévérer jusqu’à ce que le Saint-Esprit remplisse leur vie de la grâce de Dieu.

190      S’ils sont malades, qu’ils n’abandonnent pas. Puissent-ils tenir comme Jacob, comme il a persévéré. Il a tenu bon, et il a dit: «Je ne Te laisserai pas aller avant que Tu ne m’aies béni.» Cette bénédiction, c’était la vie pour lui, et c’est ce qu’elle est pour nous ce soir. Et la guérison, c’est la vie pour nous, Seigneur.

191      Nous prions que Ta Présence vienne, afin que nous puissions Te saisir et que Tu nous saisisses, comme Tu l’as fait avec Jacob, ce prince qui a lutté; que Tu changes nos noms, d’un registre d’église ici sur terre au Livre de Vie de l’Agneau au Ciel. Persévérer, tenir bon jusqu’à ce que Dieu confirme Sa promesse en nous! Nous le demandons en Son Nom.

192      Seigneur, nous savons qu’un Mot de Ta part fera plus que des millions que quelqu’un d’autre pourrait prononcer. Viens, Seigneur, confirmer ceci, que j’ai dit la Vérité. Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Tu es la Parole. Tu étais la Parole qui était en Noé. Tu es la Parole qui était en Moïse. Tu étais la Parole qui était en Élie. Tu étais la Parole qui était en David. Tu es la Parole faite chair, et qui est parmi nous ce soir. Tu es ici pour confirmer toutes les promesses que Tu as faites pour cette heure-ci. «Ce qui arriva du temps de Sodome», toutes ces promesses que Tu as faites, Tu es ici pour confirmer Cela. Accorde-le, ce soir, Père. Nous nous attendons à Te voir ici.

193      Et puis, que l’église s’élève par la foi, qu’elle s’accroche et dise: «Je persévère, Seigneur. Je resterai ici, comme le juge inique à qui la veuve s’accrochait.» Et si ce juge inique, pour se débarrasser de cette femme, lui a donné ce qu’elle désirait, combien plus le Père céleste le donnera à ceux qu’Il veut voir s’accrocher à Lui ce soir? Accorde-le. C’est au Nom de Jésus que nous prions. Amen. Que le Seigneur soit béni!

194      Je veux voir... Billy, as-tu distribué des cartes? [Quelqu’un répond.–N.D.E.] Deux cents? Quelles sont celles que tu as distribuées aujourd’hui? H? Où avait-on commencé? A un, hier soir, n’est-ce pas? [«Oui.»] Commençons ailleurs ce soir. La carte de prière, ce soir, c’est la série H.

195      Ceux qui ont des cartes de prière, tenez-les bien. Vous voyez, nous allons prier pour tout le monde. Tenez-les bien, tenez cette carte de prière. Donnez une carte de prière à un homme et, déjà là, il est guéri à soixante pour cent. Voyez? Il sait qu’il va passer dans la ligne, alors il la tient. C’est la raison pour laquelle nous les distribuons.

196      Commençons à partir de, voyons voir, à partir de... disons, 80, ce soir, commençons à partir de 80, 90, 100. Qui a la carte de prière H, H comme Heaven [ciel, en anglais–N.D.T.]? H, 80, levez la main. Voyons voir si je... Peut-être que je me trompe. Alors, nous allons commencer ailleurs. Comment? Je ne l’ai pas vu. [Quelqu’un dit: «Tout au fond.»–N.D.E.] Oh! Là-bas. Très bien, venez ici, monsieur. H-80.

197      H-81, qui a 81. Levez la main. 81? Ici. Venez, madame.

198      82, celui qui a 82, voudriez-vous lever la main? Là même? 82? Très bien, 82, qui a la carte de prière H-82? Il y a 80, 81; nous voulons H-82. Comment le dirait-on en espagnol? C’est peut-être quelqu’un qui parle espagnol. Très bien, très bien, 82.

199      83. H-83, qui a la carte de prière H-83? Regardez votre carte de prière. Regardez la carte de prière de votre voisin, peut-être qu’il est sourd et qu’il n’entend pas. H-83, 83?

200      Ne prenez pas de cartes si vous n’allez pas les utiliser, voyez. Si vous en prenez, utilisez-les, voyez. Ne les donnez pas à quelqu’un d’autre. Gardez-les vous-mêmes. On vous refuserait à la ligne de prière, vous voyez. Alors, prenez votre carte, venez, écoutez les instructions avant la réunion. Prenez votre carte de prière, et puis, restez à votre place, vous voyez.

201      H-83, où est-elle? 84? La dame ici. 85, 86. C’est ça, répondez rapidement. 86, 87, 88, 89, 90, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99, 100. Comptez-les, Frère Grant, s’il vous plaît, et voyez s’ils sont tous dans la ligne de prière.

202      Bon, maintenant, je vais demander à tout le monde ici,–nous allons terminer dans environ dix, quinze minutes,–je vais demander à tout le monde ici présent qui n’a pas été appelé de rester à sa place. Soyez bien respectueux, tranquilles. Persistez, maintenant.

203      Nous allons vous raconter une autre petite histoire. Il y eut une fois une femme... Jésus avait... Sa renommée s’était répandue là-bas à Gadara, et une petite femme est venue; ou, pas à Gadara, c’était une autre région. Et elle avait entendu parler de Lui. Elle avait une perte de sang. Elle était venue à la réunion là où Jésus était, au bord de la mer, mais elle n’avait pas réussi à L’atteindre. Et alors, elle s’est dit dans son coeur, écoutez, donc, dans son coeur: «Si je peux toucher Son vêtement, je serai guérie.» Vous rappelez-vous l’histoire? Or, elle a réussi à se faufiler et à toucher Son vêtement.

204      Que s’est-il passé là? Jésus s’est retourné et Il a demandé: «Qui M’a touché?»

205      Mais Pierre L’a repris. Pensez un peu à ça, maintenant, pendant qu’on vérifie s’ils sont tous là. Pierre L’a repris, disant: «Seigneur!» Quelque chose comme ceci: «Mais les gens vont se demander si Tu as la tête en place.»

206      Il y avait tout le monde, là: «Bonjour, Rabbi! Bonjour, Prophète! C’est le jeune Prophète de Nazareth? C’est le Prophète galiléen? Bonjour-bonjour!»

207      «Qu’on nous débarrasse de cet Homme», disaient les sacrificateurs et tous les autres. «Eloignez-vous de Lui, tout le monde.»

208      Mais il a tenu bon quand même, elle a tenu bon. Elle a dit: «Si simplement je peux toucher Son vêtement!» Elle l’a fait.

209      Alors, Pierre a dit: «Eh bien, Tu portes les gens à penser que Tu as perdu la tête.»

210      Il a dit: «Mais J’ai connu que je suis devenu faible.» Combien savent ça? De la vertu, ce qui signifie de la «force», était sortie de Lui.

211      Et Il a promené le regard sur l’auditoire jusqu’à repérer la femme. Et quand Il a trouvé la petite dame, que lui a-t-Il dit? Il a dit: «Ta foi t’a sauvée.» Il lui a parlé de sa perte de sang, lui a dit qu’elle avait été sauvée. Pas vrai? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

212      Maintenant, tous ceux qui croient qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, levez la main. Combien croient que ceci est la Vérité? Dans Hébreux 3, il est dit que: «Maintenant même, Il est un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.» Combien savent ça? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

213      Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement... Si seulement Il n’est pas sous forme physique; quand Il reviendra comme ça, le temps sera terminé, Il emmènera l’Eglise avec Lui.

214      Mais Il est ici sous la forme du Saint-Esprit, pour entrer en moi et en vous, et accomplir Ses mêmes oeuvres. Il a dit, dans Jean 14.12: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.» Pas vrai? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

215      Et si la Parole est en nous, et que nous disons la Vérité, et que c’est bien la Parole qu’Il a promise pour aujourd’hui, alors la Parole de Dieu n’est-Elle pas plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, et ne discerne-t-Elle pas les sentiments et les pensées du coeur? La Bible dit-Elle cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] N’est-ce pas que tous les prophètes pouvaient discerner les pensées dans–dans l’esprit des gens? Pas vrai? [«Amen.»] Pourquoi? C’était la Parole qui était en eux, la Parole de Dieu pour ce jour-là. Voyez? Voilà comment ils étaient confirmés. C’étaient là leurs références. Aucun d’eux n’était membre d’une organisation, pas un seul, jamais. Leurs références, c’était leur ministère.

216      Dieu a dit: «S’il y en a un parmi vous qui est spirituel ou prophète, et que ce qu’il dit s’accomplit, alors écoutez-le, car Je suis avec lui. Mais si cela ne s’accomplit pas, eh bien, ne l’écoutez pas.» Et ce ne doit pas seulement arriver une fois, ça doit être constant, tout le temps, pour les prophètes.

217      Il y a un don de prophétie, qui est dans l’Eglise, qui doit être examiné par les–par les examinateurs avant qu’on puisse le dire à l’Eglise, bien sûr. «Que ce soit devant deux ou trois juges, et qu’ensuite, cela lui soit dit.»

218      Mais un prophète est né prophète, prédestiné, établi d’avance. «Jérémie, a dit Dieu, avant même que tu sois formé dans le sein de ta mère, Je t’ai établi prophète sur la nation.» Jean-Baptiste, sept cent douze ans avant sa naissance, il était «la voix de celui qui crie dans le désert: ‘Préparez le chemin du Seigneur.’» Voyez? Certainement.

219      Remarquez, maintenant, quand Jésus était ici sur terre, Il a fait le sacrifice pour la guérison et pour le salut. Croyons-nous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Jésus ne pourrait pas venir ce soir vous sauver; Il l’a déjà fait. La question du péché a été réglée. Il est l’Agneau de Dieu qui ôte, a ôté les péchés du monde. «Il a été blessé pour nos péchés. C’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» C’est au passé. Peu importe combien vous criez, et combien vous criez, ça ne servira absolument à rien tant que vous ne l’avez pas accepté.

220      «Et Il est un Souverain Sacrificateur assis à la droite de la Majesté divine, dans les lieux très hauts, pour intercéder sur base de notre confession.» Vous devez l’accepter et le confesser. Vous voyez, c’est juste. Même chose pour la guérison.

221      Mais, et s’Il se tenait ici ce soir, qu’Il portait ce complet qu’Il m’a donné? Que ferait-Il dans la ligne de prière? Comment reconnaîtriez-vous que c’est Jésus? Voyez? Maintenant, pour ce qui est de quelqu’un qui viendrait et qui dirait: «Jésus, veux-Tu me guérir?» Il dirait: «Je l’ai déjà fait.»

222      Maintenant, s’il avait des marques de clous dans les mains (et n’importe qui peut en avoir, vous voyez, on peut avoir des marques de n’importe quoi)...

223      Mais qu’est-ce? Comment savez-vous... qu’est-ce qui vous fait savoir l’espèce de cep? C’est la sorte de vie qu’il y a dedans. Et tout cep, si le premier... Le premier sarment qui est sorti de ce Cep, Jésus-Christ, ils ont écrit un Livre des Actes après cela. Pas vrai? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Si jamais Il en produit un autre, on écrira un autre Livre des Actes. En effet, s’il a porté des raisins la première fois, la fois suivante, il ne peut pas avoir des citrons. Mais, un sarment de citron peut vivre là-dedans, c’est un agrume. Mais il vit par lui-même; il produira toujours des citrons, c’est le cep qui est greffé dedans. Mais si le Cep Lui-même produit un sarment, il portera du fruit comme le premier, parce que ce sera la Vie qui est en Jésus-Christ qui sera dans ce Cep. C’est vrai.

224      Jésus a dit: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.» Maintenant, s’Il était ici, on Le reconnaîtrait à Sa Vie et aux choses qu’Il a promises pour cet âge-ci.

225      Combien étaient ici hier soir? Faites voir la main. Pratiquement tout le monde, je suppose. Très bien. Maintenant, il y a des gens...

226      Tous ceux qui sont dans cette ligne, à ma connaissance, me sont parfaitement inconnus. Si c’est vrai, levez la main. Tous me sont... M’êtes-vous inconnue? [La personne dit: «Oui.»–N.D.E.]

227      Combien dans l’auditoire me sont inconnus? Très bien. Tout ce que je vous demande de faire, c’est d’avoir la foi et de croire que je vous ai dit la Vérité.

228      Suivez donc. Christ a promis ces choses pour les derniers jours. Or, je sais que vous avez eu de vaillants combattants ici dans cette ville; peut-être Oral Roberts et, oh! comme feu Jack Coe et ces grands hommes de foi; ils ont fait leur temps. Mais, rappelez-vous, le dernier signe qu’a vu le monde des nations avant que le fils promis arrive, au temps d’Abraham, qui est le père de tous, et Jésus a promis la même chose; le dernier signe qui a été montré à l’Eglise élue... Maintenant, rappelez-vous, il y en avait Un; deux qui sont descendus prêcher à Sodome, ils n’ont jamais montré ce signe. Pas plus qu’aujourd’hui. Mais à l’Eglise appelée à sortir, le signe a été montré; et de même, Jésus a prophétisé que ce serait la même chose, vous voyez, Dieu manifesté dans la chair, vous voyez, discernant les pensées du coeur. Voyez? Or, Il a promis cela! Les cieux et la terre passeront, mais Cela, non.

229      Maintenant, s’Il manifeste ça pour montrer qu’Il est présent ici, combien parmi vous croiront en Lui pour leur guérison et pour tout ce dont vous avez besoin? [L’assemblée se réjouit.–N.D.E.]

230      Maintenant, notre Seigneur Jésus, maintenant, c’est à Toi, Père. Que tout ce que Tu veux s’accomplisse. Je suis Ton serviteur. Tous ceux-ci sont Tes serviteurs, ou beaucoup d’entre eux ici. Que ceux qui ne sont pas Tes serviteurs, par Ta Présence... sachant que peut-être avant le matin, ils auront à se retrouver devant Ta face... Maintenant, Tu peux leur sourire par la grâce, mais alors, Tu seras leur Juge.

231      Que Jésus vienne parmi nous ce soir, qu’il en soit ainsi, Seigneur, et qu’Il accomplisse et qu’Il fasse ce qu’Il a fait avant Sa crucifixion; ce sera pour nous une assurance, face à toutes les religions païennes, que notre Sauveur n’est pas mort, mais qu’Il est ressuscité des morts. Et après deux mille ans, Il est tout aussi vivant ce soir qu’Il l’était alors. Et puissions-nous, comme ceux qui revenaient d’Emmaüs, dire: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous alors qu’Il nous parlait en chemin?» Que Ta Présence soit reconnue. Puissions-nous Te voir, ce soir, dans la puissance de Ta résurrection. Après, que les gens croient alors, Seigneur, à cause de Ta très auguste Présence. Nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.

232      Maintenant, je prends chaque esprit... Chacun de vous est un esprit. Rappelez-vous, moi, vous ne m’avez jamais vu; vous voyez cette vieille carcasse usée, ici, qui déclare cette Voix. Or, cette Voix, ou bien elle vient de Dieu, ou bien elle ne vient pas de Lui, tout comme la vôtre. Cette Voix est seulement enveloppée dans cette carcasse; en fait, un jour, j’échangerai cela contre une nouvelle, qui ne vieillira pas. Mais, mon ami, chacun est un esprit. Alors, quand vous bougez, vous voyez, quand vous avez le contrôle, là, vous voyez, ça dérange. Restez assis bien tranquillement, soyez en prière. Je veux que, si Dieu fait quelque chose, nous Lui témoignions de la reconnaissance, certainement, vous... Louez-Le. Et puis, soyez respectueux et regardez bien. Restez assis bien tranquillement, et croyez de tout votre coeur.

233      Maintenant, vous, là-bas dans l’assistance, qui n’avez pas de carte de prière, où que vous soyez, croyez simplement et dites ceci: «Seigneur Jésus, ce qu’il nous a dit, c’est dans la Bible. Nous... Je sais que Tu as promis cela, et je sais qu’il faut que ça vienne de Toi. Ce ne peut pas être cet homme; il est un homme comme moi, ou comme mon mari, ou comme mon fils, ou mon frère, ou n’importe qui d’autre.» Voyez?

234      Mais un don n’est pas quelque chose, un couteau, qu’on prend et dont on se met à se servir, un don. Un de ces jours, je prendrai une grande tente et je viendrai dans une ville, j’y resterai des mois d’affilée, vous voyez, et j’enseignerai, là. Un don, c’est s’écarter du chemin, pour que Dieu puisse entrer, voyez-vous, ce que Lui, Il montre, ce que Lui, Il fait. Un don, ce n’est pas: «J’ai la puissance pour faire ceci, j’ai la puissance!» Votre puissance, par un don, c’est de vous écarter du chemin. Et le don que Dieu vous a donné, alors, il agit à travers ça, vous voyez, après que vous vous êtes écarté du chemin. Voyez?

235      Or, je ne peux pas Le forcer à me dire quoi que ce soit. Il faut que ce soit Lui qui le fasse. Maintenant, pour gagner du temps... Je suis vraiment en retard.

236      Mais venez ici, madame, je veux que vous vous teniez juste ici. Je parlais, il y a quelque instants, d’une femme au–au puits. Vous étiez ici hier soir? [La soeur dit: «Non, monsieur.»–N.D.E.] Vous n’étiez pas ici. Avez-vous déjà été dans une des réunions? [«Non, monsieur.»] Jamais auparavant. C’est votre première fois. Nous ne nous connaissons pas. Elle n’était même pas ici hier soir. Elle n’a jamais eu d’instructions là-dessus. Rien d’autre que de se tenir ici. [«C’est juste.»] Maintenant, nous sommes là. Vous vous rappelez l’histoire de la femme au puits? [«Oui, monsieur.»] C’était un tableau qui ressemblait un peu à celui-ci, là, et l’Homme et la femme se rencontraient pour la première fois de leur vie.

237      Or, cette femme était dans, elle était dans–elle était dans la honte. Elle avait été mariée trop de fois, et elle–et elle vivait avec un homme avec qui elle n’était pas mariée, et–et c’était une chose très mauvaise. Et Jésus lui a parlé.

238      Maintenant, vous vous souvenez, Il a dit, dans Jean 5.19: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même; mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement.» Par conséquent, Jésus n’a jamais accompli quoi que ce soit sans l’avoir d’abord vu en vision, sinon Il a dit quelque chose de faux, là. «Le Fils ne fait rien sans l’avoir vu faire au Père premièrement.» Pas L’avoir entendu le faire; «L’avoir vu le faire». Alors, le Père...

239      Il fallait qu’Il passe par la Samarie. Il allait à Jéricho, mais Il est monté en Samarie, la ville de Sychar. Et Il a rencontré cette femme, Il s’est mis à lui parler jusqu’à ce qu’Il a trouvé où était son problème. Alors, Il lui a dit son problème, et rapidement, elle, même dans son état, elle a reconnu que c’était là le signe du Messie.

240      Eh bien, si c’était Lui hier, Il serait le même aujourd’hui, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Pas vrai, auditoire? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Voyez?

241      Maintenant, c’est notre première rencontre. Je ne suis pas Lui, et vous n’êtes pas elle, mais Il est toujours Dieu. [La soeur dit: «Amen.»–N.D.E.] C’est vrai, vous voyez. Maintenant, si vous pouvez avoir la foi dans–dans ce que je dis, dans la Parole! Je ne dirai jamais rien d’autre que ce qui est dans cette Parole. [«Gloire au Seigneur!»] Il peut faire des choses qui ne sont pas dans cette Parole; mais tant qu’Il fait Cela, alors je sais que C’est vrai, vous voyez. [«Oui, monsieur.»] Et là, vous ne me connaissez pas, je ne vous connais pas.

242      Donc, si vous étiez malade, que je vous imposais les mains et criais, comme ce vaillant combattant, frère Roberts, ou certains de ceux-là, frère Allen ou certains de ces hommes-là, qui vous imposent les mains et qui disent: «Alléluia! Le Seigneur vous guérit!», ça, c’est bien. Si vous croyez donc cela, ça marchera, voyez. [La soeur dit: «Amen.»–N.D.E.] Voyez? Mais maintenant, et s’Il se tenait ici et qu’Il dise quelque chose que vous avez fait, ou une raison pour laquelle vous êtes malade, ou quelque chose qui s’est passé au cours de votre vie, ou quelque chose que vous n’auriez pas dû faire? [«Ce sera bien.»] Oh! ça–ça, vous sauriez que ça devrait être vrai. Ce serait clair dans votre esprit, alors. [«C’est vrai.»] C’est vrai.

            Est-ce que ça le serait pour vous, là, dans l’auditoire? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

243      Eh bien, de quoi est-ce que je parle à cette femme? Vous voyez, je n’ai pas continué ce message de ce soir (j’en étais à persévérer), vous voyez, ça me remettrait dans la prédication. Et maintenant, je dois revenir au discernement, me détendre, mettre William Branham de côté.

244      Combien ont déjà vu cette photo qui a été prise, ici à Houston? Et vous... Elle est ici. Elle est là devant maintenant, vous voyez. Elle est là, suspendue, juste à côté, entre moi et la femme, maintenant même. Elle est là, Elle tournoie. Si la femme voulait en être témoin; elle sait que pendant les quelques dernières secondes, il y a eu quelque chose comme une sensation très douce. [La soeur  dit: «Oui.»–N.D.E.] Si c’est vrai, levez la main. [«Amen. Amen.»] Voyez? Je suis en train de La regarder. Vous voyez, c’est comme de vivre dans une autre dimension. Je La regarde, à travers la femme. [«Amen.»]

245      Maintenant, la dame, une chose, c’est qu’elle est extrêmement nerveuse. [La soeur dit: «Oui.»–N.D.E.] Et c’est pour ça qu’elle voulait que je prie. Et c’est bien naturel, parce qu’en ce moment, à cause de cette période de la vie que vous connaissez, d’arriver à cet âge-là, et tout, ça vous rend nerveuse.

246      Autre chose, c’est que vous avez quelque chose dans le côté, c’est–c’est comme de petites poches d’air, on dirait, qui se forment dans votre côté. [La soeur dit: «C’est vrai.»–N.D.E.] Bien, est-ce que c’est vrai? [«Oui, oui.»] Levez la main, si... [«C’est–c’est attesté par le docteur.»] Voyez? [«Gloire à Son Saint Nom!»]

247      Eh bien, vous voyez, voilà que cela revient encore, quelqu’un qui dit: «Il a deviné.» Vous, je vais dire qui c’est, un de ces jours, vous voyez. Ne le faites pas. Vous ne pouvez pas vous cacher maintenant, souvenez-vous, vous voyez. La–la Parole Elle-même est ici. Pas moi, mon ami; je suis seulement votre frère. Mais la Parole est ici.

248      Tenez, elle est quelqu’un de bien, voyons si j’ai deviné ça. Là, je ne sais pas ce que j’ai dit. Il faudra que ça passe par la bande pour que je le sache. Un instant, là. Oui. Oui, elle–elle est nerveuse, ce qui est causé par une–une période, son âge et tout. Elle...

249      Et puis, autre chose, vous avez subi une–une intervention chirurgicale. [La soeur dit: «Oui, oui, c’est ça.»–N.D.E.] Et c’était un problème gynécologique, il y a quelque temps. C’est vrai. [«Oui.»] Ça vous a rendue encore plus nerveuse que jamais. C’est vrai, n’est-ce pas? [«Oui, oui, c’est vrai.»] Eh oui, c’est vrai. Et là, ça vous a rendue nerveuse parce que, cette période de la vie, ça vous a rendue plus nerveuse. Pensez-vous que je devine ça, là? [«Non.»]

250      Voici autre chose. Il y a une–une fille avec vous, une petite fille. Et elle est ici, et elle a des oreillons. [La soeur dit: «Oui. Amen.»–N.D.E.] Pas vrai? Elle est assise là-bas. Et il y a une femme, une autre femme, une de vos amies [«Oui, oui.»], et elle a une oppression mentale [«Oui.»], nerveuse, en quelque sorte, et mentale. [«Amen.»] Pas vrai? [«Alléluia!»] Maintenant, quand vous retournerez, posez ce mouchoir sur elles; les oreillons disparaîtront, et elle s’en remettra, et vous serez guérie. Allez, croyez au Nom du Seigneur Jésus.

251      Croyez-vous? [L’assemblée se réjouit et dit: «Amen.»–N.D.E.] C’était Jésus hier, c’est Jésus aujourd’hui! Vous devez savoir que c’est Quelqu’Un, vous voyez. Oui. Il faut que Quelqu’Un... Bon, là, regardez, ça, c’était derrière moi. Voyez? Voyez? Ce n’est pas... Moi, je ne pourrais pas faire ça. Vous–vous savez qu’il faut que ce soit une puissance, n’est-ce pas? [«Amen.»] Croyez-vous que c’est le Seigneur Jésus, selon Sa promesse? [«Amen.»] Que le Seigneur vous bénisse.

252      Bonsoir, madame. Je vous suis inconnu, à vous aussi. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. C’est notre première rencontre à ce que je sache. Mais maintenant, si le Seigneur Jésus me disait quelque chose à votre sujet, quelque chose comme pour cette dame, là, quoi que ce soit, croiriez-vous que c’était le Seigneur Jésus, plutôt que... Ce ne serait pas moi, vous savez. Et là, vous pourriez dire, comme les pharisiens: «C’est Béelzébul, un mauvais esprit.»

253      Et parce qu’ils ont dit de l’Esprit de Dieu, qui accomplissait l’oeuvre en Lui, que c’était «un mauvais esprit», c’était un blasphème contre le Saint-Esprit, ce qui ne peut jamais être pardonné quand Ceci vient en ce jour-ci. C’est la raison pour laquelle cette nation passe en jugement aujourd’hui. Il ne lui reste plus rien d’autre à attendre que le Jugement. Elle est pleine de Jack Rubys, et tout; alors, il ne peut rien lui arriver d’autre que le jugement.

254      Bon, vous êtes malade. Vous êtes allée voir un médecin. Il vous conseille vivement de vous faire opérer. Il s’agit d’une opération du côlon. [La soeur dit: «C’est vrai.»–N.D.E.] C’est juste, n’est-ce pas? [«Amen.»]

255      Voici autre chose. Côté spirituel, vous avez terriblement besoin... [«Oui. Amen.»–N.D.E.] Vous sentez que vous n’allez pas bien. Vous vous êtes laissée un peu éloigner, et vous voulez revenir. [«C’est vrai.»] Eh bien, maintenant, vous êtes revenue. Maintenant, allez, croyez de tout votre coeur, et vous guérirez, au Nom de Jésus-Christ, vos péchés vous sont pardonnés. Maintenant, allez, croyez.

256      Maintenant, ce n’est pas moi qui ai dit que «vos péchés sont pardonnés». C’est Lui qui l’a dit. Vous voyez, ce n’était pas moi. C’était Lui, vous voyez.

257      Croyez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Avec ça, vous devriez tous reconnaître que c’est Lui qui est ici. Pas vrai? [«Amen!»] Si seulement vous croyiez! Ayez simplement la foi. Ne doutez pas. Soyez respectueux et croyez Dieu. Maintenant, vous voyez, vous êtes dans Sa Présence.

258      Maintenant, si un de ces discernements a fait dire au Fils de Dieu: «De la vertu est sortie», que pensez-vous que ça me ferait, à moi, un pécheur sauvé par Sa grâce? Voyez? Ce serait... Vous savez ce que ce serait.

259      Un petit instant, ce n’est pas la femme. Hein! Dites donc, vous qui venez juste d’être guérie, là, madame, en train de retourner à votre place, regardez-moi un petit instant. Il y a un–un homme assis là juste devant vous qui a des problèmes de sinus, il est assis juste là. Oui. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Croyez-vous? Très bien.

260      Dites-moi ce qu’il a touché. Je ne connais pas cet homme, je ne l’ai jamais vu de ma vie. Si c’est vrai, faites signe de la main, si nous sommes inconnus l’un à l’autre.

261      Bon, regardez, pour que vous sachiez autre chose. Sa femme, qui est assise là à côté de lui, croyez-vous que Dieu peut me dire ce qui ne va pas chez elle? Croirez-vous que je suis Son prophète, ou Son serviteur? Allez-vous croire ça? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

262      Elle a le rhume des foins. Si c’est vrai, levez la main, madame. Alors, c’est exact. Maintenant, si seulement vous croyez, tous les deux! Vous avez touché Quelque Chose. Croyez maintenant, et ça vous quittera.

263      Croyez-vous en Dieu? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Ne doutez pas. Ayez foi en Dieu.

264      Voici un homme. Je n’ai jamais vu cet homme. Il est un peu plus jeune que moi, et je ne l’ai jamais vu auparavant. Si nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, monsieur, levez la main. Très bien. Je ne l’ai jamais vu.

265      Maintenant, prenons une illustration, dans la Bible, prenons quand–quand Jésus a rencontré Simon Pierre. J’imagine qu’il était un homme d’à peu près cet âge-là, les cheveux qui se font plus rares, quand Jésus l’a rencontré. Maintenant, regardez bien. Il lui a parlé.

266      Maintenant, si je ne connais pas cet homme... je ne l’ai jamais vu, nous avons tous les deux les mains levées, comme quoi nous sommes totalement inconnus l’un à l’autre. Bon, les autres, c’étaient des femmes; voyons ce qu’il en est de cet homme.

267      Maintenant, regardez-moi un petit instant, comme votre frère. Et maintenant, si le Seigneur veut bien dire quelque chose que vous avez fait, ou quelque chose que vous auriez dû faire, ou que vous n’auriez pas dû faire, ou quoi que ce soit, vous saurez si c’est la vérité ou pas. [Le frère dit: «Oui, oui.»–N.D.E.] Vous sauriez. Et puis, s’Il peut vous dire ce qui ne va pas chez vous, ou quelque chose qui vous préoccupe, quelle est votre maladie, ou–ou quelque chose comme ça, vous dire quelque chose par lequel vous–vous saurez si c’est vrai ou pas. Alors, s’Il peut vous dire ce qui est arrivé, et que vous sachiez si c’est vrai ou pas, s’Il vous dit ce qui va arriver, alors vous saurez que c’est nécessairement vrai.

268      Bien. Est-ce que ça ferait que chacun ici... Je prends juste mon temps avec cet homme, et je lui parle. C’est le premier.

269      Maintenant, regardez par ici un petit instant, alors que nous parlons. Que le Seigneur m’aide maintenant. Croyez-vous que ce que la Bible dit est vrai? [Le frère dit: «Oui, oui.»–N.D.E.]

270      Vous croyez que c’est maintenant l’heure où Jésus doit venir; que l’Eglise  est passée par la justification, la sanctification, le baptême du Saint-Esprit, exactement comme la pyramide, que c’est venu comme ça? Et maintenant, il faudra que la pierre du sommet soit tellement parfaite que, quand la Pierre de faîte viendra, elle devra se fusionner avec. Le ministère avait commencé là comme ceci, et ça devient de plus en plus minoritaire, qu’il y ait des groupes plus petits, et un groupe plus petit, jusqu’à ce que la Pierre finisse par se joindre à l’édifice. Il est la Pierre de faîte, Il emporte avec Lui l’édifice tout entier, qui est l’Eglise. Ils ressusciteront tous, depuis cette première veille jusqu’à la septième, et ils partiront tous dans l’Enlèvement. Ils ont chacun eu leur jour qui leur a été donné, et ils ont eu leurs réformateurs et leurs fondateurs, et ainsi de suite, tout le long. Et dans ce dernier jour, c’est de nouveau un aigle, c’est-à-dire de nouveau l’âge prophétique, pour rassembler ça.

271      Croyez-vous cela? La Parole et la pierre deviennent un. [Le frère dit: «Oui.»–N.D.E.] Vous dégagez une très bonne atmosphère, monsieur.

272      Maintenant, votre maladie, c’est que vous avez connu un accident. Lors de cet accident, vous avez été asphyxié au monoxyde de carbone. C’est vrai. Ça vous a empoisonné. Ça vous a empoisonné le foie, et vous en êtes tombé malade. Vous avez souffert de la gastrite. [Le frère dit: «Exact.»–N.D.E.] Vous avez souffert du coeur. [«Exact.»] Et ça vous a rendu nerveux au point que vous en avez fait un complexe. Vous êtes obligé, vous devez retourner travailler. Mais vous avez peur de retourner travailler, vous avez peur de ce monoxyde de carbone. Mais tout ira bien. Maintenant, souvenez-vous, si–si Jésus-Christ me dit qui vous êtes, est-ce que... Bon, ces choses étaient vraies, n’est-ce pas? S’Il me dit qui vous êtes, allez-vous l’accepter et savoir, retourner et prendre courage? Allez-vous le faire? Votre nom, c’est M. Wagner. [«C’est vrai.»] Retournez, allez votre chemin.

273      Croyez-vous maintenant? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] De tout votre coeur, vous croyez? [«Amen.»] «Si tu peux croire, tout... Tout est possible à celui qui croit.»

274      Maintenant, croyez-vous que Dieu guérira cette maladie gynécologique dont vous souffrez? Bon, continuez simplement jusqu’à l’autre bout de l’estrade en disant... [La soeur pousse un cri.–N.D.E.] Amen. Voyez? Que Dieu vous bénisse.

275      Bien, madame, quand vous vous levez le matin, vous êtes raide, vous ne pouvez pas vraiment beaucoup vous déplacer: l’arthrite. Mais croyez-vous que Dieu guérit l’arthrite? [La soeur dit: «Oui.»–N.D.E.] Très bien, poursuivez votre chemin, en disant: «Merci, Seigneur.» [«Mais je–je ne... J’ai besoin d’être guérie des nerfs.»] C’est très bien, c’est ce qui a provoqué votre arthrite, vous voyez, c’étaient vos nerfs. «Si tu peux croire, tout est possible», mais vous devez d’abord le croire.

276      Qu’en pensez-vous, monsieur? Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu guérit la maladie de coeur et qu’Il vous rétablit? [Le frère dit: «Bien sûr!»–N.D.E.] Très bien, poursuivez votre chemin, dites: «Merci, Seigneur Jésus.»

277      Maintenant, madame, vous êtes recouverte d’une ombre, ça veut dire le cancer. [La soeur dit: «Exact.»–N.D.E.] Croyez-vous que Dieu guérira le cancer? [«Oui.»] Très bien. Acceptez-le et poursuivez votre chemin, en disant: «Merci, Dieu bien-aimé», et croyez de tout votre coeur.

278      Dieu peut guérir les problèmes d’estomac, ou n’importe quoi d’autre. Croyez-vous cela? [La soeur dit: «Oui, oui.»–N.D.E.] Très bien, Poursuivez votre chemin et réjouissez-vous, en disant: «Merci, Seigneur Jésus.»

279      Croyez-vous que Dieu guérira votre maladie gynécologique, cette perte? Très bien, poursuivez votre chemin, en disant: «Gloire au Seigneur.» Croyez de tout votre coeur.

280      Croyez-vous que Dieu guérit les sinus, l’asthme, et toutes ces choses-là, qu’Il vous rétablit? Poursuivez votre chemin, réjouissez-vous, en disant: «Merci, Dieu bien-aimé.»

281      Et si je ne vous disais rien, que je vous imposais seulement les mains, le croiriez-vous? Au Nom du Seigneur Jésus, soyez guérie. Croyez de tout votre coeur.

282      Venez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Etat anémique et maladie du coeur, croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Si oui, poursuivez donc votre chemin, dites: «Merci, Seigneur Jésus», et soyez rétablie.

283      Très bien. Venez, madame. Croyez-vous que Dieu guérit le diabète et rétablit les diabétiques? [La soeur dit: «Oui.»–N.D.E.] Alors, poursuivez votre chemin, en disant: «Merci, Seigneur.» Croyez de tout votre coeur, vous voyez.

284      Dieu guérit la nervosité et la gastrite, aussi. Croyez-vous qu’Il vous rétablit? Poursuivez votre chemin, en vous réjouissant. Prenez votre souper, et ayez bon courage.

285      Venez. Un estomac nerveux, aussi. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? [La soeur dit: «Oui, oui.»–N.D.E.] Poursuivez donc votre chemin, et mangez, et soyez guérie. Croyez de tout votre coeur.

286      Vous avez quelques palpitations cardiaques, mais ce qu’il y a aussi, c’est que vous souffrez, on dirait, de l’arthrite. Croyez-vous que Dieu–Dieu va vous rétablir? [La soeur dit: «Oui, je le crois.»–N.D.E.] Poursuivez votre chemin, réjouissez-vous et dites: «Merci, Seigneur.»

287      Une nervosité gastrique qui a provoqué un ulcère à l’estomac, et tout. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir et vous guérir? [La soeur dit: «Oui.»–N.D.E.] Poursuivez votre chemin, et dites: «Merci, Seigneur», et soyez guérie.

288      Vous souffrez de beaucoup de maladies: une maladie gynécologique. Une des maladies graves, chez vous, c’est une maladie de coeur, trop autour de votre coeur. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Poursuivez votre chemin, et réjouissez-vous, et dites: «Merci, Seigneur.»

289      Croyez-vous que Dieu guérit l’arthrite? [La soeur dit: «Oui, oui.»–N.D.E.] Continuez simplement à avancer, et votre arthrite disparaîtra.

290      Croyez-vous de tout votre coeur? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Voyez? Bien sûr que...

291      Maintenant, certains d’entre vous, là-bas dans l’auditoire. Maintenant, soyez respectueux. Soyez respectueux, restez bien tranquilles, croyez-vous de tout votre coeur, maintenant? Regardez par ici, croyez de tout votre coeur, certains d’entre vous là-bas qui n’entreront pas dans la ligne de prière.

292      Ce petit garçon qui est assis tout près, ici, le petit garçon potelé qui est assis juste là. Ne voyez-vous pas cette Lumière au-dessus de lui? Ce petit garçon souffre d’une affection de reins. Crois-tu que Dieu va guérir l’affection de reins, fiston? Tu le crois? Très bien, mets-toi debout et dis: «Je le crois et je l’accepte.» Très bien. Que Dieu te bénisse. Poursuis ton...

293      Croyez-vous de tout votre coeur? «Si tu peux croire, tout est possible.»

294      Et vous qui venez juste de vous asseoir, là, qui venez de vous avancer avec un petit garçon pour vous asseoir, croyez-vous? Cette affection de l’oeil... que Dieu va guérir votre affection de l’oeil et vous rétablir? Le croyez-vous? Très bien, vous aussi, vous pouvez avoir votre guérison. Très bien. Vous vous êtes assis juste au bon moment. Amen. Allez carrément de l’avant. Ça va bien. C’est bon. Très bien. Amen. Très bien.

295      La femme à côté de vous, là, elle souffre de la tête. Croyez-vous que Dieu va guérir vos maux de tête, madame? [La soeur dit: «Oui.»–N.D.E.] Très bien. Votre petite fille, là, souffre d’une affection mentale. C’est vrai, n’est-ce pas? Imposez-lui la main, et croyez, et elle aussi, elle se rétablira. Le croyez-vous?

296      L’autre dame, là, assise à côté, elle prie, juste à côté d’elle. Elle est là en train de prier à cause d’un foyer brisé. Est-ce vrai, madame? Levez la main. Croyez, et votre foyer sera rétabli. Ayez foi.

297      La dame assise à côté d’elle a un kyste. Croyez-vous que Dieu va guérir ce kyste, madame? Levez la main et acceptez-le.

298      La dame assise à côté d’elle a mal à la gorge. Croyez-vous que Dieu va guérir votre gorge, madame? Levez la main.

299      Mais, qu’avez-vous donc? Ne voyez-vous pas que c’est Jésus-Christ? Levons-nous. Levez-vous et acceptez Jésus comme votre Guérisseur.

300      Ô Agneau de Dieu, au Nom de Jésus-Christ, guéris chaque personne ici, pour Ta gloire.

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