La Révélation qui m’a été donnée

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Date: 60-0210 | La durée est de: 1 heure 38 minutes | La traduction: MS
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1    Bonjour. Mes salutations chrétiennes! Que la paix de Dieu soit avec vous! C’est un grand privilège pour moi, ce matin, de me tenir devant ce groupe de ministres, pour expliquer l’espérance de la vie qui est en moi. Bien des fois, quand je viens au…
    Autrefois, quand je venais sur l’île, j’étais orateur de l’Association Internationale des Hommes d’Affaires Chrétiens du Plein Évangile. On me présentait en tant qu’orateur, mais j’ai toujours été d’avis qu’une campagne devrait être menée sous les auspices d’une association des ministres; en effet, c’est mon avis et mon intention d’utiliser les dons de Dieu de la façon dont la Bible prévoit que nous les utilisions. C’est pour la–l’unification des croyants, amener les chrétiens à communier ensemble. Je crois qu’il y a des saints de Dieu dans toutes les églises chrétiennes. Je ne crois pas que nous devrions être divisés. Je ne crois pas non plus que le plan de Christ ait été que nous soyons divisés. Nous devons être un. Jésus a dit: «À ceci, tous connaîtront que vous êtes Mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres.»

2    En ce qui concerne la guérison divine, je ne sais pas ce qu’il en est sur cette île, mais pour parler du reste du monde où j’ai voyagé, le corps malade de Christ a plus besoin de la guérison divine que tous nos corps malades réunis. (Vous voyez? Le–le corps malade de Christ étant démembré, vous savez, parties divisions, est… la guérison de ce Corps est plus importante que la guérison de nos corps physiques.) [Frère Branham parle avec l’interprète–N.D.É.] En effet, unis, nous restons debout, mais divisés, nous tombons. C’est comme le cantique que l’on chantait quand je suis entré: «En avant soldats chrétiens, nous ne sommes pas divisés; tous, nous sommes un seul corps.» Et c’est ainsi que nous devrions être.
    Le ministère que le Seigneur m’a donné est très inhabituel (étrange), pour, ce jour, car nous avons eu deux mille ans d’enseignements intellectuels des Écritures, mais le temps de la Venue du Seigneur approche. Les promesses de Dieu doivent être accomplies. Et je voudrais essayer de vous l’expliquer, à vous ministres qui êtes des bergers du troupeau, afin que vous compreniez que ce n’est pas un faux semblant; c’est une promesse de Dieu qui doit s’accomplir.

3    Je crois donc que c’est un grand privilège ce matin d’avoir cette occasion de me tenir en ce lieu, pour essayer de vous apporter, à ma manière simple, la révélation qui m’a été donnée. Je vais commencer avec ceci: Romains, au chapitre 12, il est écrit:
    Les dons et les appels sont sans repentance.
    Ils sont donnés par Dieu, selon Sa connaissance; ces pourquoi, c’est seulement ainsi que je puis expliquer ce don. Si nous remarquons bien, les Écritures enseignent que Jésus était le Fils de Dieu immolé avant la fondation du monde. Dieu, par prescience, savait tout ce qui serait; c’est pourquoi, par Sa grande connaissance, Il pouvait prédestiner et prédire ce qui arriverait. Jésus était la Semence de la femme qui devait écraser la tête du serpent depuis le jardin d’Éden.

4    Moïse était né prophète, pas par sa propre bonté, ni par sa volonté, mais par la sagesse de Dieu et la prescience de Dieu. Il avait dit à Abraham que sa postérité séjournerait (séjournerait) dans une terre étrangère.
    Dites donc, je crois que tout le monde comprend quand même l’anglais, à ce qu’il paraît. Y a-t-il quelqu’un ici qui ne comprend pas l’anglais? Bien. Je pourrais le faire pour certains d’entre vous, mais… L’interprète dit: «Vous donnez des phrases plus longues…»–N.D.É.] Oh! oh! Je vois. C’est juste.

5    Ésaïe le prophète a vu Jean Baptiste sept cent douze ans avant sa naissance. Il était impossible à Jean de le savoir, par lui-même, sa naissance était particulière; donc, Dieu savait qu’il viendrait.
    Le prophète Jérémie, Dieu a dit qu’Il l’avait connu avant même qu’il fût conçu dans le sein de sa mère, et qu’Il l’avait consacré et établi prophète des nations. Avant qu’il fût né… Vous voyez, les dons et les appels sont sans repentance.

6    Mes parents–mes parents n’étaient pas religieux. À l’origine, nous étions des irlandais, nous étions donc de souche catholique. Mais mon père et ma mère ne fréquentaient aucune église du tout. Je suis né là dans une cabane des montagnes, dans les montagnes du Kentucky. Nous étions très pauvres.
    Et le matin de ma naissance, selon ce que ma mère me raconte, elle a ouvert une petite porte, sans vitre, c’était juste comme une fenêtre, bien que ce fût une porte; elle l’a ouverte, mon père l’a ouverte, pour qu’elle puisse me voir quand je… un… quand j’étais… il m’a placé dans les bras de ma mère. C’était tôt le matin, vers cinq heures. Le soleil ne s’était pas encore levé, alors lorsqu’ils ont ouvert la fenêtre, une Lumière en forme d’un… comme un seau ou plutôt un oreiller est entrée par la fenêtre et S’est tenue au-dessus du petit lit où j’étais né. C’est la photo qu’ils ont à Washington D.C. aujourd’hui, et partout dans le monde on a la même photo. Eh bien, cela a étonné mes parents; ils ne savaient rien de la religion, ils ne savaient donc pas ce que c’était.

7    Quand j’avais environ deux ans, la première vision que je me rappelle avoir eue… Je jouais dans le jardin de derrière avec mon petit frère qui ne marchait qu’à quatre pattes. Et une voix vint d’un buisson et dit: «Tu vivras près d’une ville appelée New Albany.» Cela… J’ai eu très peur, et j’ai couru à la maison le dire à ma mère. Elle ne savait pas ce que cela signifiait. Mais trois ans plus tard, nous sommes allés près d’une ville appelée New Albany, dans l’Indiana.
    Et ensuite, à l’âge de sept ans, je transportais de l’eau dans un petit seau de la grange à la maison. Et c’était l’arrière-saison (en automne). Et je me suis assis sous un arbre pour me reposer juste un petit instant, avec les seaux en mains. Mon père était un très grand buveur. Et j’ai entendu le vent souffler. Et il y avait un très grand calme partout, et je me suis demandé d’où venait ce bruit. J’étais assis sous un grand arbre. J’ai fait un pas en arrière pour chercher tout autour d’où provenait ce vent. Et à peu près à mi-hauteur de l’arbre, ayant à peu près la grosseur d’un tonneau, les feuilles tournoyaient sans arrêt, tourbillonnaient dans l’arbre. Et une Voix provint de là, disant: «Ne fume jamais, ne bois jamais, ni ne souille ton corps d’aucune manière; tu auras une œuvre à accomplir quand tu seras grand. (Tu auras une œuvre à accomplir.)», cela m’a effrayé. J’ai laissé tom– tomber mes petits seaux, j’ai très vite couru à la maison, j’ai sauté dans les bras de ma mère en criant.
    J’ai dit: «Il y a un homme là dans cet arbre.» Et je… elle était très agitée; elle est allée près de l’arbre et a regardé tout autour pour voir s’il y avait quelqu’un là. Et j’avais très peur. Elle a appelé le médecin, et le médecin a dit: «Il est simplement agité.»

8    Puis, deux… environ deux semaines plus tard, je jouais aux billes avec mon frère, et Quelque chose est venu sur moi, et j’ai regardé la rivière. Et j’ai vu un grand pont enjamber la rivière, et j’ai vu seize hommes en tomber et perdre leur vie. Quand Cela m’a quitté, j’ai couru auprès de ma mère et le lui ai dit. «Oh! a-t-elle dit, chéri, tu rêvais» Mais je ne rêvais pas. Mais elle en a tenu compte. Et vingt-deux ans plus tard, le pont municipal a enjambé la rivière au même endroit, et seize hommes ont perdu la vie dessus.
    Cela arrivait toujours, tout le temps, comme cela. Plus tard, je me suis converti. Tout ce qu’Il avait fait… tout ce que le–le Saint-Esprit a fait constituerait beaucoup, beaucoup de livres. Je vais donc devoir toucher juste ces points maintenant… pour que vous commet-… afin que vous compreniez.
    Ensuite, quand je me suis converti, j’ai adhéré à l’Église baptiste, j’ai directement commencé à prêcher l’Évangile. Le Seigneur a beaucoup béni, et j’ai tenu mon premier réveil, un réveil de deux semaines; cinq cents personnes sont venues au Seigneur. Je les ai amenées à la rivière pour les baptise. Et pendant qu’environ dix mille personnes se tenaient sur la rive, observant… Le temps était très sec, il n’avait pas plu depuis deux ou trois semaines. Les gens priaient pour qu’il pleuve. Et pendant que je baptisais la dix-septième personne qui s’était convertie, j’ai entendu une Voix qui a dit: «Lève les yeux.» Cela m’a effrayé. Je n’étais qu’un jeune garçon.
    La fille que j’ai épousée plus tard prenait des photos sur la rive. J’ai encore entendu Cela dire «Lève les yeux.» Et j’ai eu peur de lever les yeux. Tout le monde sur la rivé se demandait pourquoi j’hésitais. Tous… Les gens un peu partout sur la rive de la rivière… Des reporters de journaux… Et Elle a alors redit: «Lève les yeux.» Et j’ai levé les yeux, et comme je levais les yeux, voici venir cette Lumière qui descendait. Les gens se sont mis à s’évanouir, à tomber, et une Voix a retenti, ébranlant tous les alentours de l’endroit, disant: «Comme Jean Baptiste fut envoyé pour être le précurseur de la première Venue de Christ, le Message qui t’a été confié sera le précurseur de la seconde Venue de Christ.» Pas que je serais un précurseur, mais que le Message était le précurseur. Je ne connais pas plus que quiconque d’autre. C’est du Christ que nous parlons. Ensuite, je… ces visions ont commence a m’apparaître plus qu’avant.

9    Alors, ce journal est passé à la Presse Associée. Cela est allé jusqu’au Canada et partout dans… Nous en avons encore des coupures de presse. Il était dit: «Une Lumière mystique apparaît au-dessus d’un ministre baptiste local pendant…»
    Et alors, quand ces visions ont commencé à venir, je pense que j’en ai vues des dizaines de milliers. Mais pas une seule fois cela a été faux. C’est toujours vrai. Vous pouvez aller dans ma contrée ou écrire à la ville où j’habite, aux–aux–aux officiels ou au maire de la ville, à l’association des ministres, pas une seule fois une vision a été fausse, c’est toujours parfait. Mais j’avais peur d’en parler aux gens.
    Maintenant, voici quelque chose que j’aimerais d’abord vous demander: Combien ici sont des gens remplis de l’Esprit? Levez la main. Je vous le dis pour que vous compreniez à coup sûr, ce qui était étrange là-dedans, c’est que lorsque j’approchais… Ou bien–ou bien, je vais prendre un soir où je traversais un terrain de carnaval, vous connaissez, une foire. Il y avait une jeune dame à côté d’une tente, une diseuse de bonne aventure. Et ma mère me disait tout le temps que les diseurs de bonne aventure, les spirites, étaient du diable. Et elle a raison.
    Et cette petite diseuse de bonne aventure, une jeune dame de dix-sept ou dix-huit ans, elle a dit: «Dis donc, toi, viens ici.» Et je me suis approché d’elle. Elle a dit: «Sais-tu que tu es né sous un signe?»
    Cela m’a effrayé. J’ai dit: «Je ne veux rien avoir à faire avec cela!» Et je m’en suis allé.

10    Plus tard, je suis devenu un garde-chasse de l’État de l’Indiana. (Un agent de la défense de l’environnement.) Et un jour, que j’étais dans un… que j’allais à bord d’un bus, il y avait beaucoup de monde, et j’avais… nous avons dû rester debout. Et j’ai éprouvé une drôle de sensation. J’étais toujours sensible aux esprits, particulièrement quand je rencontrais l’un de ces gens-là. Je me suis senti vraiment tout drôle. Et j’ai commencé à sentir cela, et j’ai regardé tout autour; et il y avait une femme corpulente qui regardait droit dans ma direction. Elle a dit: «Je voudrais vous parler.»
    J’ai dit: «Que voulez-vous?» Je n’aimais pas les femmes, mais pas–pas vous, sœurs, je–je veux dire, Il m’a dit de ne pas me souiller. Et cela m’avait donné un complexe.
    Et il en était donc ainsi parce qu’à l’époque, tous ceux que je fréquentais étaient des pécheurs. Et il y a une belle histoire que je pourrais raconter. Alors que l’on m’offrait du whisky, et c’est immoral, comment le Saint-Esprit est descendu et m’a fait reculer. Ce n’était pas moi. Vous voyez? Je l’aurais fait. C’était Dieu qui prenait soin de ce don. Cela doit croître.

11    Un jour, j’ai entrepris de me suicider, et le fusil n’a même pas tiré. Je l’ai ensuite dirigé ailleurs et j’ai tiré un coup. C’était Dieu qui prenait soin du don. Quand il… Tout comme Moïse, il ne pouvait pas fuir cela; Dieu mettra la main sur vous. Où que vous soyez, Il mettra la main sur vous.
    Donc, cette femme… J’ai demandé: «Que voulez-vous?»
    Elle a dit: «Monsieur, savez-vous que vous êtes né sous un–un signe?»
    Aussitôt, cela m’a effrayé. J’ai dit: «Je n’en sais rien, et je ne veux rien en savoir.»
    Elle a demandé: «N’avez-vous jamais parlé aux prédicateurs?»
    J’ai dit: «Je n’ai pas besoin d’eux. Je–je ne fréquente pas leurs milieux.» J’ai dit: «Je ne veux pas blesser vos sentiments, mais je n’ai pas envie d’entendre quoi que ce soit que vous ayez à dire.»
    Elle a dit: «Monsieur, ce n’est pas gentleman.»
    Et je me suis de nouveau tourné vers elle j’ai dit: «Comment l’avez-vous su?»
    Elle a répondu: «Quand vous êtes monté dans le bus, j’ai vu cela.» Elle a dit: «Je travaille à la Maison-Blanche.» Elle a dit: «Je suis maintenant en route pour Chicago pour voir mon fils qui est ministre.» Elle a dit: «Je suis une astronome.» Elle a dit: «Savez-vous qui… Quand Dieu fait quelque chose, la première chose qu’Il fait, c’est de le déclarer dans les cieux, avant de le déclarer sur la terre?»
    J’ai dit: «Je n’en sais rien.» Et je me suis de nouveau retourné. Cela m’a un peu mis mal à l’aise, car il y avait beaucoup de gens dans le bus, et moi j’étais un agent. Et je me suis donc dit que ça n’avait pas l’air gentleman. Elle m’a donc appelé… a donc continué de m’appeler. Et je me suis de nouveau retourné; j’ai dit: «Quel rapport cela a-t-il avec moi?»
    Et elle a dit: «Quand Jésus-Christ était né, ou avant Sa naissance, des mages sont venus de l’Orient.» Elle a dit: «Qu’est-ce qu’un mage?»
    J’ai dit: «Je n’ai aucune idée.»
    Elle a dit: «Ce sont des astronomes, ils observent les cieux, et avant que Dieu fasse quelque chose sur la terre, Il le déclare dans les cieux.»
    Et elle a dit… Je–j’ai dit: «Je n’en sais rien.»
    Elle a dit: «Mais quand Dieu donne un don, Il le déclare dans les cieux»
    Je–j’ai dit: «Je n’en sais rien.»
    Et elle a dit: «Vous êtes né sous ce signe.» Et elle a dit: «Et si je vous disais quand vous êtes né, me croirez-vous?»
    J’ai dit: «Madame, vous ne pouvez pas lire ma pensée. Je ne croirai pas cela.»
    Et elle a dit: «Vous êtes né le 6 avril 1909, à cinq heures du matin.» Elle a dit: «C’est quand certaines étoiles, a-t-elle dit, se sont croisées», ou quelque chose comme ça (ou de l’astronomie).
    Et j’ai dit: «Je n’en sais rien, et ça m’est égal.»
    Elle a donc dit: «Vous pourriez négliger cela, mais, a-t-elle dit, si vous y accordez de l’attention, cela pourrait secouer le monde.»
    J’ai dit: «Dites à ce jeune marin-ci quand il est né.»
    Elle a dit: «Je ne pourrais pas le faire.»
    Alors j’étais donc presque arrivé là où je devais descendre. Mon indignation de juste bien réveillée le visage tout rouge, tremblant, j’étais effrayé, j’étais heureux de descendre de ce bus.

12    Plus tard, quand je suis devenu ministre et que j’ai commencé à… alors ces visions étaient plus fréquentes que jamais. Elles disaient beaucoup de choses. Alors, mes frères baptistes, ils m’ont dit, quand on s’est rencontré dans une réunion comme celle-ci, et que je leur expliquais cela, ils m’ont dit: «Billy, ne prête pas attention à ça. C’est du diable. C’est le diable qui essaye de t’avoir.»
    Oh! la la! Ça m’a fait trembler. Je–j’étais effrayé. Je ne veux rien avoir à faire avec le diable. Un soir donc ou plutôt un après-midi, je venais de rentrer du travail. Je faisais le tour de la maison, ôtant ma ceinture, la ceinture du revolver, pour–pour pouvoir me laver les mains pour mon repas. Je devais rentrer pour libérer des poissons pour–pour la défense de l’environnement. Ma femme avait apprêté le dîner, et pendant que je me mettais à faire le tour de la maison, tout à coup, voilà la chose revenir. Et j’ai dit à ma femme: «Va téléphoner au bureau, et dis-leur que je ne travaillerai pas cet après-midi, ou que je ne vais pas… je ne sais pas quand je vais encore travailler.» J’ai dit: «Chérie, je ne peux pas continuer à vivre comme ça. Je suis un esclave. Si ces frères ont raison… Si ces frères ont raison, les ministres, le diable cherche à m’ôter la vie. Et je suis un ministre, pasteur de ce Tabernacle, et puis le diable est à mes trousses. Je dois m’en débarrasser. Et je ne vais plus prêcher ni monter en chaire jusqu’à ce que je me débarrasse de cela.»

13    Je suis donc allé dans une petite cabane, là où je pêche, en pleine région sauvage, et j’ai prié toute l’après-midi. Je lisais cette même Bible… Et j’étais allé à… Quand la nuit est tombée… Je me suis rendu là-bas bien des fois et prié des journées entières. Et je me suis agenouillé à la tombée de la nuit, et quand je n’arrivais plus à lire, car la petite cabane est loin dans les montagnes. C’était une cabane de trappeurs. vous savez, pour les fourrures.
    Alors, quand j’ai prié… J’ai prié assez longtemps la nuit, jusque vers deux heures. Et je me suis assis sur une chaise, sur quelque chose comme ceci. Et j’avais la tête baissée, quand j’ai eu une sensation bien drôle. Et je… étais… le visage était vraiment… à force de pleurer, et j’ai levé les mains; j’ai dit: «Ô Seigneur, ne laisse pas cela se reproduire. Je T’aime. Jésus est mon Sauveur. Je L’aime. Ne laisse aucun mal prendre le dessus.» J’ai dit: «Comment y puis-je quelque chose, Seigneur? Il faut Ta puissance pour ôter cela de moi. Je ne veux rien avoir avec le diable. J’aime Jésus, et je veux Le servir.»
    Juste à ce moment-là, une Lumière est apparue sur le plancher. J’ai regardé la Lumière. Elle a commencé à s’étendre, et j’ai levé les yeux, et voilà que cette Lumière tournoyait. À peu près de cette dimension, comme d’un vert jaunâtre, comme l’émeraude, et c’était comme le …?… Elle devenait de plus en plus grande. J’ai entendu Quelqu’un marcher, s’approchant de mon côté, à ma droite, un Homme s’approchait. Il portait une robe blanche, Il était pieds nus, de teint quelque peu sombre, Il avait de longs cheveux tombants, un Homme imposant, Il avait de très gros bras, croisés comme ceci. Et Il a commencé à se diriger vers moi. J’ai eu très peur, je–je me suis mordu le doigt, me suis mordu le doigt. Je pensais que je m’étais endormi.

14    Bon, vous penseriez peut-être que cela pourrait faire rire, mais si vous vous teniez une fois là, vous ressentiriez la même chose. Ce n’était pas une vision. Je sais certainement ce qu’est une vision. Ce n’était pas une vision. L’Homme Se tenait là, juste comme je me tiens ici. Et Il me regardait. Maintenant, je n’ai pas encouragé toute mon église…?… Il a regardé derrière, puis Il a regardé droit dans ma direction, et Il a dit: «N’aie pas peur.» Et dès qu’Il a dit cela, j’ai reconnu la même Voix qui m’avait parlé depuis que j’étais un petit garçon. Je ne L’avais jamais vu auparavant, mais c’était Sa Voix. Elle était grave, et Il a dit: «N’aie pas peur, Je suis envoyé de Dieu pour te dire que ta naissance et ta vie particulières…»
    Personne ne me comprenait. Mes frères ministres ne me comprenaient pas. Mon père et ma mère ne me comprenaient pas. Mes amies et mes amis… Ils ne me comprennent pas encore. Moi-même non plus, je ne me comprends pas. Je n’arrive pas à comprendre cela. Je ne veux pas être singulier. Je veux être comme tout le monde. Mais vous ne pouvez être que ce que Dieu fait de vous. Il est le Potier; nous, nous sommes l’argile.

15    Et je–je L’ai écouté. Et Il a dit: «Tout ceci, c’était pour montrer que tu es né pour prier pour les malades.» Eh bien, qu’est-ce que je savais de la prière pour les malades? Je n’étais qu’un pasteur baptiste local. Et je L’ai de nouveau regardé; Il était très gentil. On dirait que la peur commençait à me quitter, et j’ai dit: «Monsieur, je suis sans instruction, et je ne saurai pas faire des choses comme celles que vous m’avez demand-… ou plutôt que vous m’avez dit de faire.»
    En effet, Il venait de dire: «Tu iras dans le monde entier, et tu prieras pour des rois, des potentats et des monarques.» Et comment pouvais-je faire cela, alors que je n’avais qu’une instruction d’école primaire. Vous voyez? Je n’avais pas encore reçu le Saint-Esprit. J’étais un pasteur baptiste local. Ces choses sont étranges pour moi. Et je n’en savais rien.
    J’ai donc encore levé les yeux–levé les yeux pour Lui parler, et j’ai dit: «Monsieur, je–je ne saurais pas le faire.»
    Et Il a dit: «De même que Moïse fut envoyé avec deux dons pour prouver aux gens, pour confirmer qu’Il était envoyé de Dieu, deux dons te sont donnés.»
    Et je–j’ai dit: «Monsieur, je–je ne pourrais pas aller. Moïse avait un signe dans sa main.» Oui.
    Il a dit: «Eh bien, tu feras le… tu imposeras la main aux gens. Ne pense pas à ce que tu diras, et la Chose dira ce qu’ils ont. Alors, si tu–tu es vraiment respectueux, vraiment humble (c’est pour cette raison que je ne prends ni argent ni quoi que ce soit d’important), a-t-Il dit, il arrivera que tu connaîtras les secrets mêmes des cœurs des gens.» Et Il a alors dit: «S’ils ne croient pas le premier signe, ils croiront le second signe. Et il arrivera que si tu es sincère, cela ne cessera de devenir de plus en plus grand.»

16    C’était donc étrange pour moi, et j’ai dit: «Monsieur, je suis ici parce que lorsque je vais parmi mes frères, je vois ces visions. Et mes frères ministres me disent que c’est du diable, et je suis ici afin que Dieu ne laisse plus jamais cela m’arriver.»
    Il S’est aussitôt tenu devant moi, et m’a demandé de me lever. Et je me suis levé, et Il m’a dit «Ne connais-tu pas les Écritures?»
    Et j’ai dit: «Eh bien, les ministres ne savent pas… ne–ne sont pas d’accord avec ceci. Si c’est… cela était de Dieu, pourquoi eux n’ont-ils pas cela?»
    Il a dit: «C’est maintenant le jour pour ceci, c’est l’heure.»
    J’ai dit: «Comment expliquer que les–les–les–les puissances démoniaques du spiritisme ont reconnu cela?»
    Il a donc dit: «Au temps de notre Seigneur…» C’est ainsi que j’ai su que ce n’était pas le Seigneur, car Il a dit: «Notre Seigneur.» (Notre Seigneur.) Il a considéré notre Seigneur comme son Seigneur. C’était un Ange, un Homme, un Messager. Et il a dit: «Quand dans les jours de notre Seigneur, quand les ministres, les sacrificateurs étaient dans le temple, discutant sur les types de vêtements qu’ils devaient porter, au même moment, ce… les mages, des astronomes étaient en route pour aller adorer le Seigneur. Ils L’ont reconnu, mais le clergé ne L’a pas reconnu.» Il a dit: «C’est le diable (le diable) qui disait: ‘Nous Te connaissons, Qui Tu es, le Saint de Dieu.’ Mais les sacrificateurs disaient: ‘Il est du diable.’ Le diable a dit: ‘Il est le Fils de Dieu.’ Les ministres disaient: ‘Il est du diable.’»

17    Alors la peur a commencé à me quitter. Ceux qui doutaient de Paul, de Paul et de Silas, quand ils étaient quelque part prêchant, les–les sacrificateurs disaient: «Ces hommes bouleversent le monde, ce sont des bons à rien.»
    Mais une petite diseuse de bonne aventure a dit: «Ce sont des hommes de Dieu qui nous annoncent la voie de la Vie.» Qui avait–qui avait raison?
    C’est pour une bonne part ainsi aujourd’hui, et c’est vrai. La Bible est alors devenue un nouveau Livre. J’ai pu–j’ai pu comprendre la chose.
    Aujourd’hui, nous sommes si intellectuels en ce qui concerne notre dénomination et tellement pour nos petits groupes que nous passons au-dessus d’une grande… spirituelle. Mais une personne possédée du démon …?… les gens sont en contact avec des esprits. Bien des fois, ils ne peuvent pas… les gens voient cela avant l’intellectuel, parce que celui-ci rejette tout ce qui est spirituel. Je ne parle pas de vous, ministres. Grâces soient rendues à Dieu de ce qu’il y en a qui peuvent croire et voir. Bénis soient vos yeux qui voient et vos oreilles qui entendent, car c’est Dieu qui a fait cela. Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, à moins que Mon Père ne l’attire premièrement. Mes brebis entendent Ma voix; elles ne suivront pas un étranger.»

18    Bon, plus tard… Je vais me dépêcher. Ce fut juste à ce moment-là que j’ai été envoyé pour prier pour les malades. Avons–avons-nous encore du temps? Juste–juste …?… Je vais juste vous donner la première chose qui est arrivée après. Ils… Je vais alors me dépêcher. Ensuite, je… (Vous n’avez pas dit cela.) [Frère Branham rit–N.D.É.] Très bien. Environ deux jours après, on m’a téléphoné pour un cas de maladie, à Saint-Louis, dans le Missouri. Je n’avais pas de pardessus à porter. Quelqu’un m’a donné un pardessus pour porter. Et je suis allé chez un homme dont la fillette avait la danse de Saint-Guy [maladie nerveuse–N.D.T.]. Tous les méd… tous… un… Saint-Louis est le siège de l’association des médecins. Et ils… et beaucoup de médecins avaient tenté de soigner cette enfant. C’était la fille d’un ministre bien connu. Comment avait-il été au courant de ceci, jusqu’à ce jour, je ne le sais toujours pas.
    Je me suis rendu chez lui. La fillette ressemblait à un animal, elle s’écorchait le visage, elle se mordait la langue, elle était toute tremblante. Je suis donc entré, je me suis agenouillé avec plusieurs autres chrétiens, j’ai offert une prière, je suis sorti, et le Saint-Esprit a dit: «Attends ici jusqu’à ce que tu aies reçu des ordres.» Oh! Dieu soit loué. «Attends ici.»
    J’ai demandé au révérend s’il voulait bien permettre… nous permettre d’aller à son église. Nous sommes allés à son église, nous avons prié, puis nous sommes retournés à la maison. Toute la journée est passée, toute la nuit.

19    Le jour suivant, j’attendais et j’étais assis dans sa voiture. Et pendant que je regardais le capot de la voiture, j’ai vu venir une vision. J’ai attendu pour voir ce qu’Il dirait. Après que j’ai eu la vision, je suis sorti de la voiture, je suis allé dans la maison et j’ai dit au brave… au ministre: «Monsieur, j’ai le AINSI DIT LE SEIGNEUR, faites entrer votre père.» Et nous sommes dirigés vers le lit, j’ai dit à la dame, à la femme du ministre: «Il y a deux jours, vous étiez en ville, vous avez acheté un petit récipient blanc.» (Une petite cruche ou plutôt un vase, vous savez, comme un petit sceau.) «On n’y a jamais mis de l’eau. Cela se trouve dans votre garde-manger, sous l’évier. (L’évier)»
    Elle a dit: «C’est vrai.»
    – Allez le prendre. Mettez-y de l’eau, prenez une étoffe blanche et amenez cela ici, et ne demandez rien. Faites juste ce que je dis.
    Et j’ai dit au ministre de se tenir avec moi aux pieds du lit, le ministre à droite, son père à gauche, la mère se tenait à côté de l’enfant. La petite amie ne pouvait même plus faire le moindre bruit; elle était si faible. J’ai dit: «Prenez le petit chiffon, essorez-le. Et quand je me mettrai à faire la prière modèle ‘Notre Père qui es aux cieux’, passez l’étoffe sur son visage. Que votre main ne quitte pas son visage. Quand je serai arrivé au milieu de la prière, à ceci: ‘Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien’, que le mouchoir soit à peu près à la taille de l’enfant. Et quand je dirai: ‘Amen’, que la main passe sur les pieds.» Et nous avons commencé. C’était exactement ce que j’avais vu dans la vision. Et elle a commencé à faire descendre le chiffon, et quand j’ai dit: «Amen», elle a alors retirés sa main. J’ai dit: «Grand Dieu Ciel, Toi qui m’as rencontré là-bas dans cette cabane, qui a envoyé Ton Ange pour annoncer ceci, je plaide pour la vie de cette enfant; que l’enfant vive.»
    Et la fillette a sauté sur le plancher. Je l’ai prise par la main, le médecin était dans la pièce voisine, nous sommes sortis de la maison et nous sommes allés jusqu’à un café et ensemble nous avons pris du lait malté. Trois nuits plus tard, le Keel Auditorium qui a dix-neuf mille places assises était bondé de gens. Cela est parti de là et a fait le tour du monde.

20    Bon, on pourrait écrire des livres, mais je voudrais apporter ceci, pour terminer maintenant.
    Mes frères ministres, concitoyens du Royaume de Dieu, avec qui nous sommes tous co-ouvriers en Jésus-Christ, je voudrais vous parler en tant que des croyants et des bergers du troupeau. Si j’ai dit quoi que ce soit qui vous a donné… vous a impressionné, qui vous a fait croire que c’est quelque chose pour me faire passer pour quelqu’un, s’il vous plaît, pardonnez-moi. Je l’ai fait sans le savoir.
    Nous sommes au temps de la fin, et Jésus a promis ces choses pour le temps de la fin.
    Maintenant, permettez-moi de vous parler juste d’un seul passage, que j’ai étudié dans les Écritures… J’ai étudié les …?… Il y a beaucoup de passages auxquels je pourrais me référer. Nous savons que Jésus a dit: «Toute Écriture doit S’accomplir.» C’est vrai. Aucune d’Elles ne peut faillir. «Les cieux et la terre failliront, mais Ma Parole ne faillira jamais.»

21    Écoutez ceci, dans Luc: «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme.» Vous voyez? À l’avènement du Fils de l’homme… Maintenant, suivons attentivement …?…
    Abraham… Il y a toujours eu trois catégories de gens sur la terre les croyants, les soi-disant croyants et les incroyants. Maintenant, observons-les. «Ce qui arriva du temps de Sodome…» Eh bien, il y avait une nation incroyante appelée Sodome, qui était très pe-… très méchante. Mais il y avait là-bas des croyants, l’église naturelle, Lot et les siens.

22    Or, Abraham représente–représente, désigne l’église spirituelle. Il s’était séparé des incroyants et des soi-disant croyants, une très belle image de l’église d’aujourd’hui. Le mot église signifie «appelé hors de.» C’est ce qu’est l’église aujourd’hui: appelée hors de.
    Maintenant, le temps de la fin était arrivé, il y eut alors trois hommes qui sont venus voir Abraham. Deux… Tous les trois hommes étaient… Deux d’entre eux étaient des Anges, mais ils étaient comme des hommes, ils avaient de la poussière sur leurs vêtements, de la saleté aux pieds. Abraham a dit: «Venez, asseyez-vous sous le chêne. Lavez-vous les pieds. Je vais vous apporter un morceau de pain, vous pourrez ensuite continuer votre chemin.» Vous voyez? Abraham attendait quelque chose. C’est ce que l’église, le croyant, fait aujourd’hui, elle attend–attend quelque chose. Il savait que le temps approchait.
    Tout comme Noé observait Hénoc. Quand Hénoc est monté, Noé a su que la tempête était imminente.

23    Et quand Abraham les a invités à s’asseoir, il est allé à la tente et a dit: «Sara, pétris du pain et fais des gâteaux.» Il est sorti et il a pris un veau et l’a fait abattre. Et il est revenu, il a amené la viande. De la viande, du pain et du lait, et il a déposé cela devant eux; ils ont mangé.
    Pouvez-vous vous imaginer, l’Un d’eux était Dieu! Maintenant, je sais que vous êtes en dés-… pourriez être en désaccord avec cela. J’aimerais vous poser une question, frères, Abraham ne L’a-t-il pas appelé Élohim? C’est-à-dire le Dieu Tout-Puissant.
    Il n’y a pas longtemps, quelqu’un m’a dit, quand je disais cela, vous avez dit… il a dit: «Frère Branham, croyez-vous que c’était Dieu?»
    J’ai répondu: «Oui, monsieur. La Bible le dit.»
    Il a dit: «Comment Dieu est-Il entré dans cette chair?»
    Le corps humain est constitué de seize éléments de la terre, à savoir: le pétrole, la lumière cosmique, le calcium et… Dieu, le Créateur, a tout simplement pris une poignée de cela, a soufflé dedans et a dit: «Viens ici, Gabriel! Entre dedans.» Il en a pris une autre. [Frère Branham souffle–N.D.É.] «Viens ici, Michael.» Et Il a pris une poignée et y est entré Lui-même. Il est le Créateur. Il peut faire tout ce qu’Il veut.

24    L’autre jour, ma femme me disait: «Billy…» Il y a quelque temps, je–je me faisais coiffer, et le barbier a mis du phénol sur mes cheveux, et ils sont tous tombés. Et elle a dit: «Billy, tu es pratiquement chauve.»
    Mais j’ai dit: «Je n’en ai pas perdu un seul.»
    Elle a dit: «Où sont-ils?»
    J’ai dit: «Dis-moi où ils étaient avant que je les aie.» Où… Ils n’étaient rien d’autre que du pétrole, de la lumière cosmique, et ils sont ensuite devenus miens …?… Et où qu’ils aient été avant que je les aie, c’est là qu’ils m’attendent.
    Jésus a dit: «Les cheveux de votre tête sont comptés. Je les ressusciterai dans les derniers jours. Tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi, et le les ressusciterai aux derniers jours.»

25    Je suis très heureux que nous connaissions un Dieu qui, quand bien même je me noierais dans l’océan, quand bien même mon corps tomberait en pourriture… néanmoins, mon Dieu connaît chaque élément qui se trouve ici dedans. Il parlera un jour [Frère Branham souffle–N.D.É.], et j’apparaîtrai. Alléluia!

26    C’est ce qu’Il a fait là. Il Se tenait là; Il a mangé de la viande de veau, Il a bu du lait de vache, Il a mangé du pain. Ensuite, les deux prédicateurs, les anges, Billy Graham et Oral Roberts modernes, des prédicateurs… Ils avaient un message pour le monde. Ils ont donc regardé en direction de Sodome. Ils y sont descendus, ils n’ont pas opéré beaucoup de miracles, mais ils ont aveuglé les gens. La prédication de l’Évangile aveugle effectivement les gens. C’est ce que dit la Bible.
    Considérons Celui qui était envoyé à l’Église appelée hors de, aux élus, à l’Église d’Abraham. Il a dit à Abraham… Maintenant, n’oubliez pas qu’Il était un étranger: «Abraham, où est ta femme, Sara?» Comment a-t-Il su qu’il avait une femme? Comment a-t-Il su qu’elle s’appelait Sara?
    Eh bien, remarquez ce que disent les Écritures. Les Écritures disent: «Elle est dans la tente derrière Toi»
    Et Il a dit: «Je ne cacherai rien à Abraham. Je vais te visiter au temps de la vie.»
    Et Sara, elle a ri en elle-même, elle a dit: «Moi qui suis âgée, et–et mon seigneur, Abraham, qui l’est aussi, avoir encore du plaisir ensemble?»
    Or, l’Ange, cet Homme, était dans la chair, Il a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri? Pourquoi a-t-elle ri?»
    Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Noé–du temps de Sodome arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme.» L’Évangile sera prêché aux intellectuels par un Billy Graham moderne et ainsi de suite. Mais l’Église spirituelle recevra un Messager, l’Ange du Seigneur, et Il fera les mêmes choses qu’avant Sodome. Pourquoi? Cette fois-ci, le monde doit être brûlé. Sodome a brûlé. Quand Il a parlé de Noé, avez–avez-vous remarqué ce qu’Il a dit? «Ce qui se passait là: manger, boire, se marier…» La–la moralité du monde… Mais le signe spirituel pour le monde était là. Observez quand Jésus est venu, comment S’est-Il fait connaître comme étant le Messie? Il pouvait discerner les pensées de leurs cœurs. Eh bien, hommes frères, n’est-ce pas vrai? N’est-ce pas scripturaire?

27    Comment… Quand Il a dit à Pierre, à Simon: «Tu t’appelles Simon, et ton père, c’est Jonas» Ils attendaient que les–les Écritures S’accomplissent. Cela, dans… Quand le Messie viendra, Il sera un Dieu Prophète. Or, les Juifs s’étaient éloignés du spirituel comme l’ont fait aujourd’hui beaucoup d’entre nous. Ils s’attendaient à ce qu’une personne importante vienne, qu’elle descende des cieux sur un cheval, qu’elle dirige le monde entier, et ils ont manqué de voir la chose.
    Jésus avait vu Nathanaël sous l’arbre à quinze milles [environ 24 km–N.D.T.] de distance. Quand les gens ont traité Jésus de Béelzébul, ils ne l’ont pas prononcé de leur bouche. La–la Bible dit: «Il connaissait leurs pensées.» Il connaissait… Connaissant leurs pensées… Il a dit à la femme au puits: «Va chercher ton mari. Viens ici.»
    Elle a dit: «Je n’en ai point.»
    Il a dit: «Tu en as eu cinq.»
    Eh bien, elle ne La pas traité de démon. Elle a dit: «Seigneur, nous, les Samaritains, nous savons…» Vous voyez, là où… Nous savons que lorsque le Messie viendra, c’est ce qu’Il fera.» Vous voyez? Elle était bien enseignée. Tu dois donc être Son Prophète.»
    Il a dit: «Je Le suis.»
    Considérez le message qu’elle a apporté à la, ville. «Venez voir un Homme qui m’a dit les choses que j’ai faites. N’est-ce pas le signe du prophète, n’est-ce pas le signe du Messie? N’est-ce pas le Messie même?» Vous comprenez?
    Jésus a dit… [Espace non enregistré sur la bande–N.D.É.] «… ne Me connaîtra plus–ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez, car Je (‘Je’ est un pronom personnel)… Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.»
    La Bible dit: «Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours.»

28    Maintenant, encore juste un instant. Maintenant, suivez très attentivement. Nous savons tous que l’Ange qui était apparu à Moïse, c’était Christ. C’était l’Ange de l’alliance. Croyez-vous cela? L’Ange de l’alliance. Il suivait Israël dans une Colonne de Feu. Et ensuite, quand Jésus était sur la terre, Il a dit: «Avant…» On Lui a dit… Les gens étaient fâchés contre Lui parce qu’il avait dit qu’il avait vu le jour d’Abraham. Jésus a dit: «Avant qu’Abraham fût, JE SUIS.» C’était la même Colonne de Feu qui était dans le buisson, «JE SUIS».
    Or, Il a dit (Jésus): «Je viens de Dieu et Je retourne à Dieu.» Croyez-vous cela? Les Écritures disent-Elles cela? Après Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, la persécution s’est abattue sur l’Église.
    Paul, sur son chemin vers Damas, ayant en poche des ordres d’arrêter tous les pentecôtistes, sur son chemin une Lumière l’a frappé, et il est tombé par terre. Et il a levé les yeux, et la Colonne de Feu était devant lui, une grande Lumière, qui dit: «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu?»
    Il a demandé: «Qui es-Tu?»
    Et vous me rendrez témoignage Paul était un puissant prédicateur instruit, formé sous Gamaliel, un puissant homme, mais ce n’est pas ça ce qui compte. Il a regardé cet Ange, cette Lumière, cette Colonne de Feu: «Qui es-Tu, Seigneur?»
    Il a dit: «Je suis Jésus.» Il était retourné à Dieu. «Je suis venu de Dieu; Je retourne à Dieu.»

29    Bon, je voudrais vous demander quelque chose, si vous alliez là cueillir des fruits sur un oranger, l’oranger portera des oranges. Le papayer portera des papayes. Pourquoi? La vie qui est dans cet arbre produira des fruits exactement pareils à la vie qui est dedans. Est-ce juste?
    Maintenant, écoutons. Cet Ange du Seigneur, on En a pris des photos bien, bien des fois. (Bien des fois.) Et cela est exposé sous copyright à Washington D.C., dans le hall des arts religieux, comme le seul Être surnaturel qui n’ait jamais été photographié. À Houston, au Texas (Houston, au Texas.), un de mes frères baptistes s’est levé et voulait discuter avec moi sur la guérison divine. Je n’ai tout simplement pas fait cas de cela. Dieu ne m’a jamais envoyé pour me disputer… prier pour Ses enfants…
    Et ensuite, le jour suivant, il a mis un grand article dans le journal, et il a dit: «Cela révèle de quoi il est fait; il a peur d’affronter la Parole.»
    Le docteur Bosworth qui était l’un–l’un de mes associés, avait alors quatre-vingts ans. Beaucoup–beaucoup d’entre vous ont entendu parler du docteur Bosworth, un homme très pieux. Il est venu, il a passé son bras autour de moi, et il a dit: «Frère Branham, allez-vous tolérer cela?»
    J’ai dit: «Frère Bosworth, peu importe ce que vous pouvez faire, Jésus a dit: ‘Nul ne peut venir à Moi à moins que Mon Père ne l’attire premièrement. Et tous ceux que Mon Père M’a donnés, viendront à Moi.’ N’est-il pas dit dans les Écritures: ‘Ils ne pouvaient pas croire. Ils avaient des yeux, mais ne voyaient pas, des oreilles, mais n’entendaient pas’? Bien que Jésus ait accompli de nombreux miracles… Je suis sûr que vous comprenez.»
    Et il a dit: «Mais, Frère Branham, en tant que des hommes d’honneur, en tant que des ministres, nous sommes dans l’obligation vis-à-vis du public de défendre cette Parole.»
    J’ai dit: «Vous, vous pouvez être dans cette obligation. Moi, je suis dans l’obligation vis-à-vis de Dieu de remplir une commission.»
    Il a dit: «Me permettrez-vous de le faire?»
    J’ai dit: «Ça ne fera qu’engendrer une dispute.»
    Il a dit: «Je vous en prie, permettez-moi de le faire.»
    Je l’ai regardé, un homme de quatre-vingts ans. Il m’a rappelé Caleb qui montait pour s’emparer de la ville. J’ai dit: «Si vous me promettez de ne pas vous disputer…»
    Il a dit: «Je le promets.»

30    Oh! la la! C’est juste ce que cherchait le journal, les manchettes disaient: «Il y aura du grabuge ecclésiastique!
    Ainsi, donc, le jour suivant, ils ont tenu le débat au Sam Houston Coliseum. Trente mille personnes s’étaient rassemblées.
    Écoutez, il se peut que nous soyons divisés aujourd’hui. Mais écoutez ceci, un de ces jours, nous serons un. Dieu veillera à cela, même si le communisme… C’est quelque chose qui doit nous contraindre à nous unir.
    Les églises se battaient là, les différentes églises. Mais quand cela a paru dans le journal (dans le journal), nous–nous avions alors tout en commun. Des trains venaient, chargés de ceux qui croyaient à la guérison divine. Des avions arrivaient. Ils venaient de partout. Pourquoi? Pour un principe, ce que nous croyions tous était en jeu.
    Ce soir-là, je ne voulais pas y aller. Je suis resté à l’hôtel. Tout à coup, quelque chose a dit: «Vas-y.»
    J’ai enfilé mon pardessus, et quatre policiers, (car nous tenions de grandes réunions), se sont placés devant moi et derrière moi. Et je suis entré avec le col de mon manteau relevé, et suis allé comme cela au balcon 30.

31    Et pendant que j’étais assis là haut, tous les ministres, environ cinq cents, tout autour… Et alors, le docteur Best, qui était le contradicteur a dit: «Que Monsieur Bosworth commence!»
    Monsieur Bosworth a dit, il a dit: «J’ai six cents références concernant l’attitude de Christ envers les malades. Je vais donner celles-ci à l’intention de M. Best. S’il peut en prendre une et en démontrer la fausseté à l’aide de la Parole de Dieu, je vais lui rendre la parole.» Il a refusé de le faire. Il a dit: «Alors, je vais demander à M. Best (M. Best), le prédicateur baptiste, je vais lui poser une question. S’il me répond par oui ou par non, dire simplement oui ou non, je vais alors lui en rendre le reste.»
    Monsieur Best a dit: «Posez-la.»
    Le modérateur lui en a donné la permission. Il a dit: «Les Noms rédempteurs de Jéhovah, les sept Noms composés rédempteurs de Jéhovah s’appliquaient-ils oui ou non à Jésus?» Cela réglait la question. Eh bien, a-t-on saisi cela? [Un frère dans l’assemblée demande à frère Branham d’expliquer encore cela–N.D.É.] Saisissez-vous cela? Voyez-vous? Oui, vous voyez? Que–que je reprenne cela. Il veut que je répète cela pour que les gens soient sûrs. Je–je ne sais pas qui est ici.
    «Les Noms rédempteurs, les–les sept Noms composes rédempteurs de Jéhovah s’appliquaient-ils oui ou non à Jésus? Répondez par oui ou par non.» Il ne savait que répondre. S’il disait: «Oui», Il était Jéhovah-Jiré, le Seigneur qui a pourvu à un sacrifice; et s’Il était Jéhovah-Jiré, alors Il était aussi–aussi Jéhovah-Rapha.
    Maintenant, suivez, je voudrais que ces ministres saisissent ceci. Comprenez-vous ce que je veux dire? Vous voyez? Jéhovah-Jiré. (Vous voyez, vous savez, il a dit…) Jéhovah-Jiré, Jéhovah-Rapha… Un seul… Très bien …?… vous connaissez cela. D’accord.

32    Or, s’il disait qu’Il n’était pas Jéhovah-Jiré, s’Il n’était pas Jéhovah-Jiré, alors aussi Il… S’Il n’était pas… S’Il était Jéhovah-Jiré, Il devait alors être Jéhovah-Rapha. Vous ne pouvez pas les séparer voyez, vous ne pouvez pas les séparer. Si donc Il n’est pas Jéhovah notre Guérisseur, Il n’est pas Jéhovah notre Sauveur. Cela réglait la question. Il ne pouvait pas répondre. Ils ne pouvaient pas répondre à cela. (Saisissez-vous cela? Très bien. Eh bien, vous voyez qu’il ne pouvait pas renier l’un et accepter l’autre, car ils sont inséparables. Si donc Il est toujours Jéhovah le Sauveur, Il était alors le Fils de Dieu, et s’Il l’est, alors Il est Jéhovah le Guérisseur, le même hier, aujourd’hui et pour toujours.)
    Oh! Il s’est fâché, le ministre baptiste. Et il ne cessait de trépigner, et il disait: «Laissez-moi monter là.» Et il a prêché sur la résurrection. Il ne croyait pas aux miracles que Jésus a opérés. Il jouait… renvoyait cela dans le Millenium. Et il a prêche un sermon Campbellite. Je suis un baptiste. Je connais la foi baptiste. Mais il était dans un tel pétrin qu’il ne savait pas s’en sortir. Il–il… Il n’y avait rien à redire. Alors, il ne cessait de dire… Il s’est approché d’un ministre et l’a frappé de la main, sur la bouche, et on a dû l’arracher du ministre.

33    Et ensuite, quand il a fait cela, on a craint qu’il y ait une émeute, aussi la police s’est-elle donc avancée. Et alors–et alors il a dit ceci: «Que je voie ce guérisseur à l’œuvre. Faites venir le guérisseur. Que je le voie faire.»
    Frère Bosworth a dit: «Frère Branham ne prétend pas guérir les gens.» Il a dit…
    Frère Bosworth m’avait aperçu. Il a dit: «Je sais qu’il est ici, mais il ne voulait pas avoir de dispute avec les gens.» Mais il a dit: «Si–si–s’il veut bien venir congédier l’assistance, c’est très bien.» Il a dit… En effet, M. Best avait déjà perdu le débat, les modérateurs lui avaient déjà retire la parole à cent pour cent et l’avait rendue au… M. Best–M. Best–M. Bosworth. Il ne pouvait pas répondre à ses questions. Et ces hommes ne prenaient parti pour personne, pour aucune religion. Ils avaient fait un serment.

34    Ainsi, donc, j’ai dit à… À ce moment-là, mon frère Howard était assis à côte de moi, ainsi que ma femme. (Mon frère Howard ainsi que ma femme.) Et–et je commençais donc me lever, et mon frère Howard a dit: «Assieds-toi.»
    J’ai dit: «Je m’assieds.»
    Et juste à ce moment-là, j’ai entendu quelque chose, juste comme ces feuilles de l’autre jour dans cet arbre, produire un bruit qui faisait: «Whouuu! Whouuu!» [Frère Branham produit un bruit semblable à celui du vent–N.D.É.] et j’ai levé les yeux, et Il était là Il a dit: «Lève-toi»
    Dieu est puissant dans la bataille. Vous devriez Le voir. Vous devriez Le voir en Afrique, en Inde, partout où un défi Lui a été lancé pour une confrontation. Je L’ai vu terrasser et paralyser des sorciers qui sont restes là, incapables de bouger. Il est Dieu.
    Je–je me suis donc levé. Et ma femme a dit à mon frère: «Regarde son visage. Laisse-le tranquille.»
    Beaucoup d’huissiers avaient fait une ligne jusqu’en bas. Ces pauvres gens, des mères avec de petits enfants qui essayent de vous toucher. C’était tuant, cela faisait mal… Moi aussi j’ai des enfants. Ils croyaient que cela pourrait les aider.

35    Je suis allé à l’estrade. Je me suis approché de M. Best, je lui ai serré la main. J’ai dit: «Bonjour, Monsieur Best…
    Il a dit: «Monsieur Branham, en tant qu’un homme–en tant qu’un–en tant qu’un homme, je vous admire. Mais pour ce qui est de la doctrine, je ne crois pas que vous ayez raison.»
    J’ai dit: «C’est ce que je sens aussi.» Ainsi, alors j’ai dit: «Je suis surpris, Frère Best, que vous ayez fait la remarque que vous avez faite, quand vous avez dit: ‘Que le guérisseur vienne et se mette à l’œuvre! Qu’il fasse quelque chose, que je voie cela.’» J’ai dit: «Frère Best, ne comprenez-vous pas que c’est le même esprit qui était sur les pharisiens? ‘Si tu es le Fils de Dieu, descends de la croix.’ Ils ont mis un chiffon sur Sa tête–sur Son visage, Jésus, et ils L’ont frappé sur la tête avec un bâton, et ils ont dit: ‘Si Tu es le–un prophète, dis-nous qui T’a frappé?’ Ne voyez-vous pas, Frère Best que c’est l’esprit du diable? N’est-ce pas le diable qui a dit à Jésus: ‘Si Tu es le Fils de Dieu, transforme ces pierres en pains? Fais un miracle, que je voie.’ Dieu ne fait pas de telles choses, Il ne prête pas attention au diable.» Et j’ai dit: «Vous essayez de retirer le seul espoir…»
    Et il a dit: «Les baptistes ne croient pas à de telles histoires.» Il a ajouté: «Il n’y a qu’une seule catégorie de gens qui y croient, et c’est une bande d’exaltés.»

36    J’ai dit: «Dr Best, excusez-moi. Je suis moi-même un baptiste.» Et j’ai dit: «J’aimerais vous montrer quelque chose.» J’ai dit: «Il y a au moins trois cents ministres baptistes, pasteurs de cette ville; je vais demander aux gens de cette ville, aux membres de ces églises baptistes, qui peuvent prouver attestation médicale à l’appui qu’ils ont été guéris par Jésus-Christ pendant ces huit derniers jours où j’ai été ici, et qui peuvent venir ici à cette estrade accompagnés de leur médecin, pour témoigner de leur guérison, qu’ils se lèvent.» Et trois cents se sont levés. J’ai dit: «Le problème, ce n’est pas le peuple, ce sont les conducteurs aveugles.» J’ai dit: «Monsieur…»
    Il a dit…
    J’ai dit: «Monsieur, je ne peux pas guérir les gens.» J’ai dit: «Croyez-vous que votre ministère est inspiré?»
    Et il a répondu: «Oui.»
    J’ai dit: «Ceci est inspiré.» J’ai dit: «Je–je–je ne guéris pas les gens, mais si ce que mon–si ce que j’ai dit est remis en question, au sujet du Saint-Esprit, qu’Il est le Guérisseur, ai-je dit, je ne saurais vous affronter. Vous sortez de l’université et vous êtes intelligent. Mais moi, je n’ai aucune instruction, mais il y a Quelqu’un qui confirme ce que je dis.» J’ai dit: «Si ma parole est remise en question, alors ai-je dit, c’est que la Parole de Dieu est remise en question, car je ne dis que ce qu’Il a promis.» Dieu soit loué, car Il prend soin de Sa propre Parole.
    Et à ce moment-là, Le voilà venir, descendant en tournoyant. Les gens ont commencé à s’évanouir, et il est interdit que les gens prennent des photographies pendant que je prie. Et le… M. Best avait un reporter à son service, qui devrait lui prendre six photos.

37    Maintenant, voici la remarque qu’il a faite: «Je vais aller là-bas prendre ce vieil homme, ce vieil homme de Bosworth, et je vais l’écorcher et prendre sa peau, et je vais l’épingler à la porte de mon bureau en commémoration de la guérison divine aujourd’hui.»
    Eh bien, juste là, cela a montré que l’homme n’était pas droit dans son cœur. Et juste après, nous… avant la réunion, il a retourné M. Bosworth comme ceci, et il lui a mis le poing sous le nez, il a dit: «Maintenant, prenez ma photo.» Et ensuite, il a mis ses mains comme ceci, et il a dit: «Maintenant, prenez ma photo.» Et ils ont pris six de ces photos juste comme cela, pour son… pour montrer son débat dans son magazine.
    Frère Bosworth s’est tenu là humblement, il l’a laissé prendre les photos.

38    Et alors, quand cet Ange est descendu, ce reporter avait installé ce gros appareil, et il a pris la photo. Et quand Il est descendu, les gens criaient, j’ai dit: «Je vais devoir ne plus parler. Il va parler à ma place.» Je suis sorti. Le policier m’a aidé à gagner la voiture.
    Les reporters qui prenaient les photos sont allés… L’un d’eux était un juif; l’autre était catholique, les deux reporters travaillaient pour les studios Douglas de Houston, au Texas. Et ils sont membres de l’association, et ils sont allés–ils sont allés au studio, et ils ont dit: «Nous ferions mieux de faire sortir ces photos sur papier glacé pour M. Best; il les veut pour demain»
    Le Juif, M. Ayers est monté se coucher. Et l’autre homme est entré et a plongé les photos dans de l’acide, il est revenu fumant une cigarette, et s’est mis à réfléchir, il s’est dit: «Tu sais, si seulement cet homme était un catholique, il pourrait avoir raison.» Il s’est dit: «Peut-être qu’il l’est» Il s’est dit: «En effet, ses ancêtres (mes parents) étaient des catholiques, et cet homme pourrait avoir raison. Mais il ne peut pas avoir raison et être un protestant» Il entre… Et le jour précédent, il avait écrit sur moi un article épouvantable qu’il avait mis dans le journal. Ensuite il est entré et a fait sortir les photos de l’acide. Une, deux, trois, quatre, cinq, six, aucune d’elles n’avait réussi. Dieu n’aurait pas permis qu’une photo de cet homme soit prise quand celui-ci agitait son poing à la face de ce saint vieil homme. Et il a fait sortir la septième, voilà l’Ange du Seigneur sur la photo. Il a eu une crise cardiaque et est tombé.

39    Deux ou trois jours plus tard, le négatif a été envoyé par avion à Washington D.C. ce soir là, à vingt-trois heures, puis il a été ramené. Et George J. Lacy, le responsable du F.B.I. pour les empreintes digitales et les documents a été amené là par avion pour procéder à un test de cette photo, pour voir si c’était quelque chose qui avait été peint dessus, une surimpression, ou quelque chose de faux. Trois jours après, il nous a fait venir. Il y avait environ deux cents personnes, des rédacteurs de magazines, différents journaux, et il s’est levé et il a dit: «Qui s’appelle Branham?»
    J’ai dit: «C’est moi.»
    Il a dit: «Approchez» Il est un peu roux …?… cheveux sur le visage, et il a dit: «Tenez-vous ici.»
    J’ai dit: «Oui, monsieur.»
    Il a dit: «Monsieur Branham, j’étais l’un de ceux qui vous critiquaient. J’ai dit que c’était de la psychologie, mais écoutez, Révérend Branham, l’œil mécanique de cet appareil photo ne prendra pas de la psychologie. La Lumière a frappé l’objectif» Il a dit: «Vous allez…» Il a dit: «La Lumière a frappé l’objectif.» Il a dit: «Un jour, cette photo sera vendue dans les bazars (vous connaissez).» Mais il a dit: «Pas de votre vivant, car Dieu ne permettra pas cela.» Mais il a dit: «Après votre départ, l’église se rendra compte du jour qu’elle a traversé.» Il a dit: «Ça a toujours été ainsi.» Il a dit: «Moi-même, je suis catholique.» Il a dit: «Mais je me souviens de l’histoire de Jeanne d’Arc, comment les gens… elle voyait des visions, et mon église l’a brûlée sur le bûcher comme une sorcière. Mais longtemps après sa mort, nous avons découvert que sa… qu’elle était une sainte. C’était trop tard» il a dit: «C’était la même situation dans les Écritures.» Il a dit: «Un jour, vous mourrez.»
    J’ai dit: «Dieu soit loué, je suis prêt.»
    Et il a dit: «Pardonnez-moi de vous avoir critiqué», et il m’a tendu le négatif.
    J’ai dit: «Cela ne m’appartient pas. Cela appartient au studio.»
    Il a dit: «Monsieur Branham, ce–ce négatif vaut des dizaines de milliers de dollars.» Il a dit: «C’est la seule fois qu’un Être surnaturel ait jamais été photographié scientifiquement.»
    Eh bien, j’ai dit: «Je refuse de le prendre. Sur base de votre déclaration, si Jésus m’a assez aimé pour descendre et Se faire photographier avec moi pour la première fois dans toute l’histoire du monde, qui suis-je pour vendre Sa photo et gagner de l’argent avec cela?»
    Mais dans le copyright, pour que personne ne puisse vendre cela, sans une déposition de votre part… Il a dit: «Je rédigerai avec plaisir ma déposition.» Et il l’a rédigée, il l’a signée. Le studio Douglas l’a prise.

40    Frères et sœurs, nous sommes des hommes et des femmes, nous devons mourir, mais l’Esprit de Dieu qui est parmi nous est le même Dieu qui a rencontré Moïse dans le désert, qui était en Jésus-Christ quand Il était sur terre, car la Vie de Cela prouve que c’est le même Esprit. Il fait la même chose. C’est une promesse de Christ. Qua-… Oh! Comment… Il n’y a tout simplement pas d’endroit où s’arrêter.
    Écoutez, il y avait deux… Il n’y a que trois an-… nationalités de peuples dans le monde, trois groupes (Écoutez attentivement, et je vais terminer): Cham, Sem et Japhet. Toute la race humaine, de ce côté-ci du déluge, est issue d’eux. Croyez-vous cela? Les pays où nous vivons ont changé nos couleurs en noir, blanc, jaune, quelle que soit la couleur. Cela n’a rien à voir avec cela. Nous sommes issus de ces trois enfants. Ce sont les Juifs, les Gentils et les Samaritains.
    Avez-vous remarqué que Pierre avait les clés du Royaume? Le jour de la Pentecôte, il L’a ouvert pour les Juifs. Philippe a prêché aux Samaritains. Seulement, le Saint-Esprit n’était pas encore venu sur eux. Il a fait venir Pierre qui leur a imposé les mains, le Saint-Esprit est venu. Chez Corneille, le Gentil, comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit est tombé sur eux. Et c’était parti. Les trois peuples, les trois races… Il y avait deux… Les–les Samaritains, vous connaissez l’histoire, ils sont moitié–moitié juifs et moitié gentils.

41    Or, alors que les Samaritains et les Juifs attendaient un Messie, pas les Gentils, nous étions des païens, nous n’attendions pas… Nous n’attendions pas de Messie. Mais quand Il est venu à la fin de leur dispensation, voyez comment Il S’est fait connaître? «Tu es Simon, ton Père est Jonas.» Je… percevant leurs pensées… Philippe, Natha-… Nathanaël: «Je t’ai vu quand tu étais sous l’arbre.»
    – Tu es le Fils de Dieu.
    L’éminent Juif, le sacrificateur disait: «C’est un diseur de bonne aventure.»
    Jésus a dit: «Je vous pardonnerai cela. Parlez en mal du Fils de l’homme, mais là dans l’âge des Gentils, quand le Saint-Esprit viendra faire la même chose, un seul mot contre Lui ne sera jamais pardonné, ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.»
    Ne voyez-vous pas le rejet de Christ? C’est pour cette raison qu’une bombe atomique attend là-bas, attend pour détruire le monde. Les gens rejettent Christ, tout comme les Juifs l’ont fait.

42    Maintenant écoutez, il est ensuite allé chez les Samaritains; Il a dit: «Je dois passer par la Samarie.» Pourquoi? Ils attendaient un Messie, un Messie. Il S’est manifesté chez les Samaritains de la même manière que chez les Juifs. Ils ont cru en Lui.
    Or, le prophète a dit: «Il y aura un jour qui ne sera ni nuit ni jour, mais au temps du soir, la lumière paraîtra.»
    Nous… Le soleil a brillé sur les peuples orientaux. Il se lève à l’est. Puis géographiquement parlant, il traverse la terre. Le même–le même–le même soleil qui se lève à l’est se couche à l’ouest. Les peuples orientaux ont vu cela, ont cru cela, certains ont condamné cela, à l’est, les Juifs. La civilisation a voyagé vers l’ouest. Maintenant l’est et l’ouest se sont rencontrés. Nous avons eu un jour, un jour comme celui-ci, sombre, où il y a peu de Lumière, juste assez pour faire une organisation, inscrire son nom dans un registre, et croire en Christ comme son Sauveur. C’est tout ce qu’il y avait comme Lumière. Mais le prophète a dit: «Au temps du soir, la Lumière paraîtra.»
    Le même Fils, le même Saint-Esprit qui est entré en Christ et qui a fait la même chose que vous voyez faire maintenant. Hommes et frères, sondez les Écritures. Sondez votre histoire. Cela ne s’est jamais fait depuis ce jour-là jusqu’à ce jour. Nous sommes au temps du soir. Combien savent que la Venue du Seigneur est proche? Et Dieu révèle aux Gentils que Son Messie vit toujours, qu’Il est le même. Il a la même nature, Il fait les mêmes œuvres, prouve qu’Il est le même …?… On ne L’a pas tué pour le mettre dans une tombe. Il est ressuscité, et Il vit pour toujours, pas le J’ÉTAIS, le JE SUIS, Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et pour toujours.

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