La Tempête approche
1 Restons debout juste un moment pour la prière.
Inclinons la tête.
Notre bienveillant Père céleste, ce soir, nous
sommes vraiment un peuple privilégié, car nous pouvons contempler Ton
glorieux visage et T’appeler «notre Père», sachant que nous sommes
passés de la mort à la Vie, car le Saint-Esprit nous rend témoignage
que nous sommes des fils et des filles de Dieu. Et Il est notre témoin,
que nous sommes passés au-delà de cette ligne, car les choses du monde
que nous aimions et que nous chérissions sont mortes maintenant. Et
nous avons été ressuscités avec Christ, et nous sommes assis ensemble
dans les lieux célestes en Lui, nous réjouissant dans Sa Présence.
Combien nous Te remercions pour cela.
2 Et ce soir, nous prions en cette occasion, qu’Il
nous visite puissamment, ce soir. Bénis cette petite église que nous
aimons, et cette grande fraternité, l’amour que nous avons pour son
pasteur, pour tous les membres, et pour tous ceux qui fraternisent avec
nous ici dans cette réunion.
3 Et nous prions, Père céleste, que cette soirée soit
une soirée spéciale, que nous nous souvenions longtemps de Sa
Présence ce soir.
4 Puissent... S’il y en a ici ce soir qui ne
connaissent pas le Seigneur Jésus comme leur Sauveur personnel,
puissent-ils Le rencontrer ce soir, Seigneur, Lui qui est allé dans le
désert chercher la brebis égarée qui n’est pas encore retournée au
bercail. Accorde-le, Seigneur. Et qu’il y ait de la miséricorde dans le
camp ce soir, car c’est ce que nous implorons. Nous demandons ceci au
Nom du Seigneur Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
5 C’est si agréable de revenir dans ce tabernacle, ou
plutôt dans cette église, ce soir, pour avoir une bonne communion. Et
aujourd’hui j’ai vécu simplement de petites pépites d’hier soir.
6 En considérant l’auditoire, je vois différentes
personnes et des visages que j’ai déjà rencontrés. Combien, autrefois,
je désirais repérer les gens pour leur serrer la main ou quelque chose.
Mais, oh, nous étions déjà bien en retard, et j’ai dû simplement me
hâter. Mais je veux que vous sachiez qu’il y en avait plusieurs hier
soir, que j’avais rencontrés dans d’autres réunions.
7 Et maintenant, hier soir, quand je suis rentré à la
maison j’ai dit à ma femme, j’ai dit: «Je me demande comment ce sera
quand nous traverserons cette ligne.» Nous nous tiendrons là et,
regardant là, nous dirons: «Eh bien, voilà tel frère! Et là...» Oh, ce
sera un moment formidable! Et nous attendons impatiemment ce jour, et
c’est bientôt, bientôt. Et je ne sais quand ça sera, mais ce sera
sûrement un temps glorieux. Je crois que Jean, après qu’il a vu les
grandes gloires de Dieu, et qu’elles lui furent révélées dans
l’Apocalypse, il dit: «Viens, Seigneur Jésus.» Il a vu que c’était
merveilleux.
Il y a quelques – environs deux semaines, j’étais à
Kingston, en Jamaïque.
8 Et beaucoup pensaient et pensent encore que les
visions n’apparaissent qu’à l’estrade. Oh, ce n’en est même pas le
dixième. Ce n’est pas le quatre-vingt-dixième. Elles apparaissent tout
le temps, partout; et pas une seule fois cela n’a failli.
9 Je visitais les Hommes d’Affaires Chrétiens, les
Hommes du Plein Évangile, ou plutôt j’étais là comme visiteur, à un
chapitre. Et deux soirées s’étaient écoulées, et nous avions eu la
prédication de l’Évangile, et ensuite... pour me familiariser un peu
avec l’auditoire, et contacter l’esprit des gens, j’ai dit: «Je pense
que ce soir, si nous distribuions des cartes de prière, et commencions
à prier pour les malades, ce serait suffisant pour ce soir.» Et le
Seigneur nous a bénis. Et la seconde soirée s’est passée.
10 Et ensuite nous sommes entrés dans la – la salle
de restaurant de l’Hôtel Flamingo, là où – ici nous, on appellerait
cela «la cour», là où nous étions. Et là, tout est fait à l’européenne;
quand vous payez votre loyer, vous payez votre nourriture, tout est
compris dans le – le loyer. Et nous prenions le petit déjeuner. Et il y
avait là beaucoup d’hommes du Plein Évangile, et d’autres aussi. Et
voici la question qui fut posée: «Ces visions, disaient les gens, elles
sont formidables. Ce serait merveilleux si elles apparaissaient
n’importe où.»
11 «Oh, dis-je, bien sûr!» Et je dis: «Cela ne guérit
personne.» Je dis: «Si vous l’avez déjà remarqué, je demande aux gens:
‘Cela aidera-t-il votre foi pour croire en Dieu?’»
12 Les visions ne guérissent pas; Christ l’a déjà
fait. C’est simplement pour aider votre foi. C’est simplement quelque
chose que Dieu a ajouté, une bénédiction qu’Il avait promis d’envoyer,
une confirmation des derniers jours. Nous y arriverons plus tard, dans
la semaine.
13 Pendant que nous étions assis à une table, j’ai
dit: «Tenez, le Saint-Esprit est ici même.» Et frère Shakarian (la
plupart d’entre vous le connaissent, frère Demos, c’est l’un de mes
intimes), et frère Arganbright, et oh, tant d’autres, frère Sonmore,
les présidents et les vice-présidents, et les autres qui font partie
des hommes du Plein Évangile.
14 Et j’ai dit: «Ce garçon qui vient est malade», le
serveur. Et il s’est tenu près de la table et le Saint-Esprit se mit à
lui parler et lui dit, Il a dit: «Bon, vous souffrez de cœur. Votre
femme est aussi chrétienne. Vous croyez, mais vous avez peur.» Et Il se
mit à lui dire qui il était et tout ce qu’il en était. Et cet homme a
failli laisser tomber le beurrier dans mon assiette.
Il a alors dit: «C’est absolument vrai.»
15 Je – je lui ai alors dit, non pas moi, mais le
Saint-Eprit a dit ce que sa femme avait comme problème à la maison, et
la prière qu’ils avaient dite ensemble ce matin-là, avant son départ;
et son intention était de me voir ce jour-là. Oh! la la! Il a
simplement failli s’effondrer.
Et il a dit: «Je ne comprends tout simplement pas
comment ça s’est fait.»
J’ai dit: «Moi non plus.»
16 Tout ce que je sais, c’est que frère Shakarian, ou
plutôt... Excusez-moi, frère duPlessis était juste dehors près de la
voiture, quand je suis arrivé en voiture, et frère Mercier et moi
parlions du merveilleux esprit qu’il y a dans cette église. Nous aimons
cela, cette belle communion. C’est un très bon frère, continuez! C’est
très bien... le frère notre pasteur. Et c’est très bien. Nous parlions
donc, et je... Il a dit: «Frère Branham, je pense que vous avez bien
des durs...»
17 J’ai dit: «Non. Ce qui m’étonne, c’est la grâce de
Dieu.» J’ai dit: «J’ai bien des fois épuisé Sa miséricorde, mais je ne
pourrais jamais épuiser Sa grâce, et j’en suis heureux.»
18 Et alors pendant que nous parlions ce matin-là à
table, une jeune dame est alors passée, des draps sur l’épaule, passant
là, se rendant dans une des chambres faire les lits. J’ai dit: «Eh
bien, il y a une Lumière suspendue au-dessus de cette fille.» J’ai dit:
«Faites-la revenir.» Et nous l’avons rappelée. Et le Saint-Esprit a
commencé à lui dire tout ce qu’elle avait comme problème.
19 Elle n’était pas une chrétienne, pas une croyante
du Plein Évangile, c’est tout ce que je peux dire. Elle avait fait une
profession alors qu’elle était un petit enfant et sa mère l’amenait à
l’église et elle avait... A douze ans, ou à peu près cela, elle avait
été baptisée mais elle n’allait jamais à l’église, c’est pourquoi j’ai
dit qu’elle n’était pas une chrétienne.
20 L’église ne fait pas de vous un chrétien. L’église
vous aide seulement à devenir chrétien, elle vous aide à rester ce que
vous êtes devenu en naissant, elle vous aide à faire une expérience
pendant que vous communiez ensemble avec des frères de la même
précieuse foi.
21 Et ainsi, pendant qu’on était assis là,
j’observais. Et frère Demos Shakarian m’a tiré de là et a dit: «Qu’y
a-t-il?» Si seulement il n’avait pas dit cela à ce moment-là!
22 J’ai dit: «Rappelez-vous, AINSI DIT LE SEIGNEUR,
un de mes proches est sur le point de mourir. Et un jeune homme va
cracher du sang.»
Et j’ai dit: «Où est Billy?»
23 Beaucoup d’entre vous connaissent mon fils Billy
Paul. Sa mère est morte alors qu’il n’était qu’un petit enfant. Et je
l’emmenais partout. Et la nuit nous n’arrivions pas à nous procurer
assez de charbon pour entretenir le feu, alors nous... je plaçais son
biberon sous mes épaules, comme ceci, afin de le garder chaud pour lui
la nuit. Quand il se réveillait, pleurant sa mère, je lui mettais le
biberon dans la bouche. Quand elle se mourait, elle m’avait demandé de
rester toujours avec Billy. Et nous avons été très amis. Ainsi, j’amène
Billy partout où je vais, et il m’est attaché.
24 Ainsi, Billy s’apprêtait à aller à ce qu’on
appelle «The Garden of Hope» pour faire des photos. Je l’ai vite
appelé. J’ai dit: «N’y va pas. Quelque chose est sur le point
d’arriver.»
25 Bien des fois les visions disent des choses; nous
ne savons pas ce qu’elles sont. Les prophètes de la Bible ne
comprenaient pas ce qu’ils écrivaient, ils ont simplement écrit Cela.
Et c’étaient des hommes confirmés et inspirés.
26 Et frère Shakarian a dit: «Frère Branham,
qu’est-ce que vous dites devoir arriver?»
27 J’ai dit: «Je ne sais pas. Quelqu’un.. Il n’avait
pas de dents et je l’ai vu suffoquer deux fois, puis mourir. Et l’autre
personne a dit... craché du sang, elle semblait être un jeune homme; et
elle a dit: «Il ne doit pas mourir, il n’est pas prêt.»
28 Ensuite, nous avons observé. Et je me suis senti
conduit à aller en Jamaïque, et non pas à Puerto Rico.
29 Ainsi, quand arriva le moment – le moment pour que
nous allions à Puerto Rico, au même endroit où cet avion est tombé, là
en Jamaïque, et où il a tué tous ces gens... les gens ressemblaient à
des cochons pendus à une ceinture de sécurité; les parties de leurs
corps étaient simplement grillées! Et on l’a poussé là, et nous...
L’avion gisait encore là lorsque nous sommes arrivés. Et notre avion,
en revenant à Puerto Rico pour nous prendre, fit sauter ses pistons à
ce même endroit, quand il s’est arrêté pour nous prendre. Billy a
dit: «Papa, es-tu sûr que nous devons prendre le risque de monter à
bord?»
30 J’ai dit: «Le chapitre des Hommes d’Affaires
Chrétiens a dit que je dois y aller. C’est pour la communion du
chapitre que je vais passer ces quelques soirées.»
Il a dit: «Te souviens-tu de cette vision?»
J’ai dit: «Oui.»
31 Mais trois jours plus tard, quand j’ai... Je me
trouvais au jardin (je n’ai jamais rien vu d’aussi beau) à Puerto Rico.
Et frère Fred Sothmann (Il se peut qu’il soit ici ce soir), un ami
canadien, prenait des photos. Et ce grand... vous savez, ici à Phœnix,
c’est beau. Los Angeles, c’est beau; Miami, c’est beau, mais ça ne peut
pas arriver à la cheville de Puerto Rico. Oh, c’est beau! et jamais de
ma vie je n’ai rien vu de tel, ces grands récifs s’étendant là, oh, la
la! à 8,02 km, et ces flamants roses se promenant partout dans ces
parcs tropicaux et tout. Jamais je n’ai vu quelque chose qui
ressemblait tant au Ciel. Frère Sothmann s’est retourné et a dit:
«Frère Branham, le Ciel doit ressembler à ceci.»
J’ai dit: «Oh, cela ne se peut; ceci ne pourrait pas
arriver à la cheville du Ciel.»
Il a dit: «Oh, ces – cette grande mer.»
32 J’ai dit: «Mais c’est le ballottement de la terre
qui produit ces vagues.» J’ai dit: «Mais là, ce sera paisible; elle
coulera aussi tranquillement que possible.» Et j’ai dit: «Les flamants
roses ne se promèneront pas dans le parc, les Anges se promèneront dans
le parc où nous serons en communion.»
33 Et juste à ce moment-là, j’ai vu ma belle-mère et
mon beau-père s’approcher de moi. Cela fait maintenant entre 8 et 10
ans depuis que mon beau-père s’en est allé. Et exactement à la même
minute, ma belle-mère est allée le rejoindre. Elle est morte au même
moment .
34 Et deux heures plus tard, quand je suis arrivé à
Miami, j’ai téléphoné pour avoir les nouvelles de chez moi. Ma
belle-mère (qui n’avait plus de dents) avait suffoqué deux fois et
était morte. Son fils qui n’était pas prêt à mourir (c’est presque une
espèce d’alcoolique) - une hémorragie a éclaté – une hémorragie venant
de son estomac, et le sang jaillissait simplement de sa bouche, de
partout.
35 L’autre jour, frère Shakarian m’a téléphoné. Il a
dit: «Frère Branham, de tout ce que j’ai entendu, jamais rien ne m’a
frappé autant que cela.» Voyez, il fallait qu’il appelle à ce moment-là
pour arrêter cette vision pour qu’on ne sache pas de qui il s’agissait,
pour que ce soit quelque chose qui l’aide à comprendre. Il a dit: «Je
pense que le ministère commence maintenant à opérer.» Qu’il en soit
ainsi.
36 Et puisse quelque chose arriver ici même à Phœnix,
qui inspirera tout le monde, puisse le Saint-Esprit venir parmi nous et
faire quelque chose qui nous amènera à resserrer l’armure et à nous
apprêter pour Sa Venue. Que le Seigneur vous bénisse!
37 Maintenant, pour ne pas vous garder longtemps
alors que vous êtes debout, vous êtes cependant un si bel auditoire; je
– je sens comme si je peux simplement parler toute la nuit. Mais je ne
le ferai pas, je ne pense pas. Mais je suppose qu’hier soir vous avez
pensé que j’essayais de le faire.
38 Je vais juste vous donner un petit avertissement.
L’autre matin, j’ai parlé sur un sujet à mon Tabernacle; j’ai commencé
à 9h30 et j’ai terminé vers 12h30. Je les avais prévenus, et c’était
sur «Entendre, reconnaître et agir». Il se pourrait qu’un dimanche
après-midi ou quelque chose de ce genre, nous parlions sur le même
sujet. Pendant près d’un an, le Saint-Esprit traite avec moi pour que
je prêche cela, et finalement j’ai prêché cela à l’église. J’oublie
combien de bandes les garçons ont faites sur cela avant notre départ.
39 Ouvrons à présent nos Bibles, rapidement, au
chapitre 7 de Saint Matthieu, et nous – commençons à lire au verset 24:
C’est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je
dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a
bâti sa maison sur le roc.
La pluie est tombée, les torrents sont venus, les
vents ont soufflé et se sont jetés contre cette maison: elle n’est
point tombée, parce qu’elle était fondée sur le roc.
Mais quiconque entend ces paroles que je dis, et ne
les met pas en pratique, sera semblable à un homme insensé qui a bâti
sa maison sur le sable.
La pluie est tombée, les torrents sont venus, les
vents ont soufflé et ont battu cette maison; ... est tombée, et sa
ruine a été grande.
40 Que le Seigneur ajoute maintenant Sa bénédiction à
la lecture de Sa Parole. J’aimerais parler pendant quelques instants
sur le sujet: «La Tempête approche.» Je m’appuie sur Dieu pour que nous
sachions nous abandonner au Saint-Esprit. Car tout le monde sait que je
ne suis pas prédicateur. C’est... Il y a des prédicateurs ici derrière
moi. Je n’ai jamais été formé pour être ministre. Mais lentement, selon
ma vieille façon de faire, mais je... Le Seigneur m’a donné quelque
chose d’autre à faire. Mais j’aime prendre tout le temps afin de
pouvoir expliquer ce que je sais du Seigneur et de Sa bonté, et essayer
d’en parler aux autres. Maintenant, nous allons parler ce soir sur «La
Tempête approche». Et si avec les mots, je n’arrive pas à exprimer ce
que je sens dans mon cœur, je prie que le Saint-Esprit le révèle.
41 Jésus parlait ici d’une tempête qui approche et
qui doit frapper chaque homme et chaque femme qui est dans ce monde. Il
n’y a aucun moyen d’y échapper. Cette tempête vous frappera l’un ou
l’autre jour. C’est en fonction du genre de fondation que vous avez,
que votre maison tiendra le coup ou pas.
42 Beaucoup de vies ont été épargnées grâce aux
dispositions prises en vue des tempêtes. Et nombre de vies ont été
perdues pour avoir négligé l’avertissement sur des tempêtes qui
approchent.
43 Récemment, on m’a raconté une histoire qui est
arrivée (je pense que j’ai lu cela dans un journal) en Floride.
44 Beaucoup de violentes tempêtes balayent la
Floride, des typhons venant de la mer amènent l’eau aux pâtés de
maisons de la ville, et balayent tout. Et on m’a dit que leurs
prophètes météo sont toujours à surveiller ces tempêtes. D’une façon ou
d’une autre, au moyen des – des éléments ils peuvent détecter le
changement du temps et de l’atmosphère, c’est-à-dire comment ce temps
se forme, celui qui entraîne l’une de ces tempêtes; en effet ils ont
étudié cela toute leur vie, à l’aide de certains instruments et tout ce
dont cette science les a dotés. C’est donc en prévoyant, en apprenant
dans quelle direction la tempête vient, quel type de vent elle entraîne
dans sa suite, dans quelles directions viennent les autres tempêtes ou
plutôt les vents, qu’on sait si on peut combattre, repousser la tempête.
45 Je pourrais m’arrêter ici et prêcher une heure
là-dessus, qu’il faut qu’une plus grande tempête approche, il faut un
vent plus puissant pour détourner cette tempête. C’est ce qu’il en est
aujourd’hui. Et nous savons tous qu’il y a une tempête qui approche. Et
le seul Vent que je sache, qui va détourner cette tempête, ce sera ce
Vent impétueux qui tomba à la Pentecôte. On m’a dit que même des hommes
de cette ville parlent maintenant contre le communisme, et ils
devraient le faire. Mais, parler simplement contre cela ne suffit pas,
nous devons trouver comment détourner la chose. Et puis il n’y a qu’une
seule chose qui puisse détourner cette tempête, et c’est une tempête
plus puissante qui peut la contrer et lui faire changer de direction.
46 Et ces prophètes météo en Floride sont très précis
quant à leurs prédictions. Ils sont là en vue de prévenir les gens.
47 Je lisais (j’oublie cela maintenant) je pense que
c’était dans un journal, à propos d’une tempête qui, il y a quelques
années, s’était abattue sur la Floride, la Floride centrale, et tous
les alentours d’Okeechobee avaient été – avaient été prévenus. J’ai
quitté là il y a quelque cinq semaines. Il y avait un voisin qui était
constamment à l’écoute de la radio, à cause de ces tempêtes, et c’était
un chrétien de grande renommée. Et il avait appris qu’un grand typhon
venait dans cette direction, tordant les arbres, et tout le monde avait
été prévenu pour se mettre à l’abri.
48 Et il pensa à son voisin qui avait une ferme
d’élevage de poules, et des bâtiments légers abritant des poules, des
salles de couvée, et ainsi de suite, et leurs enclos, au point que tout
ce qu’ils avaient dans leur vie, toute leur vie était liée à ces
poules. Et sans tarder, tel un fou, il courut jusqu’au portail, et
arrêta sa voiture et sauta de là et dit à son ami: «Prends toutes les
poules et mets-les dans ton abri contre la tempête, et viens vite chez
moi, car un typhon ou plutôt une – une tempête approche et elle va tout
détruire.»
49 Et l’homme se mit debout et, l’ayant regardé en
face, se rit de lui, en disant: «Quelle blague! J’ai déjà entendu les
gens prédire des choses semblables, et ce n’est jamais arrivé.»
50 Et le voisin chrétien était si agité qu’il dit:
«Et si cela arrivait effectivement?»
51 Nous entendons tout le temps des remarques du
genre: «J’ai appris que ceci va arriver et que cela va arriver.» Mais
cela arrivera un de ces jours. Et il nous est avantageux d’écouter
chaque avertissement.
52 Mais cet homme dit: «Je n’ai pas le temps pour de
telles absurdités. J’élève des poules et je n’ai pas de temps pour ça.»
53 Et il a crié à haute voix. Le voisin dit: «Pour
l’amour de Dieu», il dit: «Laisse ces poules, John, et viens vite, toi
et ta famille. Si toi, tu ne veux pas croire cela, laisse ta famille
venir.»
54 Et il dit: «Je ne permettrai pas que ma famille
s’emballe à cause de quelques avertissements radiophoniques. Mes
enfants et moi avons décidé de vivre comme ça. Et ma femme m’écoutera
car je suis le chef de famille, et elle est obligée de m’écouter. Ici,
c’est moi le chef et je ne permettrai pas que mes enfants s’agitent et
soient tiraillés pour une absurdité.»
Et le voisin fit demi-tour. Et il rentra chez lui
dans son abri.
56 Et soudain, les nuages le recouvrirent avant qu’il
ne le réalise. C’est de la même manière que le jugement frappe. Il
vient soudainement et vous vous demandez comment il a pu venir si vite.
Oh! J’ai vu des hommes cruels, qui jadis maudissaient Dieu, tomber et
s’écrier, en disant: «Comment pouvez-vous m’infliger un tel châtiment?»
Le tout, toute la fondation fut balayée de dessous lui en un instant.
On a intérêt à prendre en considération l’avertissement.
57 Oh, il se peut que vous vous moquiez du messager;
il se peut que vous soyez même capable de le tuer; mais vous ne pouvez
pas tuer le Message. Il ira malgré tout de l’avant. Le Message de Dieu
est éternel. Ses Paroles ne failliront jamais.
58 Paul avait réussi à faire lapider Etienne. Mais
toute sa vie jusqu’à ce qu’il s’abandonna à Christ, il ne put se
débarrasser du Message: «Je vois les cieux ouverts et Jésus se tenant à
la droite de Dieu.» Quelque chose s’était emparé de lui, ce n’était pas
le messager; c’était le Message que celui-ci avait.
59 Quand la tempête balaya la contrée, elle envahit
le poulailler et le fermier, et on ne retrouva jamais son corps.
60 Et sa femme, luttant comme une folle... Ils
vivaient près du grand lac Okeechobee, et les eaux se mirent à monter
comme le typhon faisait monter les eaux, partant du fond du lac. Ce qui
les rend si dangereuses, ce sont les hauts-fonds; les bateaux tanguent;
c’est ce qui fait que les vagues montent et renversent les bateaux. Les
tempêtes surgissent et font tourbillonner l’eau et l’emportent à des
kilomètres. Et les eaux s’étendirent de sorte que la mère comprit qu’il
n’y avait plus d’espoir, à moins d’amener les enfants sur le toit du
bâtiment. Elle prit donc les enfants et les amena sur le toit du
bâtiment, où ils s’agrippèrent à la cheminée de la maison.
61 Et alors les animaux sauvages, le «mocassin
cottonmouth» [serpent américain venimeux, voisin des crotales –
N.D.T.], je pense, un serpent plus mortel que votre serpent à sonnette
«Diamond back»; ils rampèrent pour se mettre à l’abri et arrivèrent
comme elle sur la toiture. Pour avoir écouté son mari, et n’avoir pas
pris garde à l’avertissement, elle dut... Elle frappa du pied et alla
ça et là, mais elle dut se tenir là et voir ces méchants serpents
mordre ses enfants jusqu’à ce que ceux-ci meurent sur le toit. Et la
mère elle-même fut tellement mordue que finalement elle en mourut.
C’est la seule version que nous avons de l’histoire. Quand la tempête
se fut calmée, les équipes de secours à la recherche des corps et ainsi
de suite, la trouvèrent morte sur la toiture, avec ses enfants gisant à
ses côtés.
62 Oh, vous avez intérêt à prendre en considération
un avertissement. Premièrement, avant de donner un avertissement, il
faut que des dispositions soient prises pour la sécurité, sinon il
serait inutile d’envoyer un avertissement. Et l’avertissement n’est que
la voix de celui qui vous aide à vous préparer contre le danger.
Premièrement, il faut que des dispositions soient prises. Ensuite, une
fois les dispositions prises, alors l’avertissement peut être lancé
pour vous aider à vous décider; vous êtes libre d’écouter cela ou de
refuser. Si vous refusez de l’écouter, eh bien, c’est votre affaire. Si
vous l’écoutez, vous êtes en sécurité.
63 Dieu procède de la même façon. Ainsi, nous
agissons selon la méthode de Dieu. Dieu, au commencement, quand le
monde antédiluvien, quand les gens étaient devenus si méchants et si
pécheurs, et que Dieu ne pouvait pas regarder cela et rester juste...
64 Dieu est juste, et Il a des lois. Quand on brise
ces lois... Quand on brise une loi et qu’on n’en encoure aucune peine,
ce n’est pas une loi. On ne peut pas briser les lois de Dieu sans
devoir payer pour cela quelque part. Vous devez le payer. La Bible dit:
«Sachez que votre péché vous atteindra.»
65 Et qu’est-ce que le péché? J’aimerais m’arrêter
ici juste un instant. Beaucoup pensent que fumer la cigarette est un
péché. Non. Beaucoup pensent que mentir est un péché. Non. Commettre
adultère n’est pas un péché. Ce sont des attributs du péché. Vous... La
raison pour laquelle vous faites ces choses, c’est parce que vous êtes
un incrédule.
66 Il n’y a que deux choses: ou vous êtes un croyant,
ou vous êtes un incroyant. Si vous êtes un croyant, vous ne ferez pas
ces choses. Si vous les faites, je ne sais quel genre de profession
vous faites; et si vous les faites, l’amour de Dieu n’est pas en vous.
C’est la Bible qui le dit. Nous professons trop sans posséder la chose,
trop de paroles mais sans vivre la chose.
67 Je pense même que nous prêchons beaucoup trop de
sermons, mais nous ne vivons pas assez ces sermons. Ce serait beaucoup
mieux si nous vivions nos sermons; chacun de nous serait un ministre.
C’est mieux de me vivre un sermon que de m’en prêcher un. La Bible dit:
«Vous êtes des épîtres écrites de Dieu, lues de tous.» Il est donc
mieux de vivre un sermon.
68 Le péché existe parce que vous êtes incrédule.
Jésus n’a-t-Il pas dit, quand Il était dans la chair sur la terre,
n’a-t-Il pas dit à ceux qui ne mentaient pas, ceux qui ne volaient pas,
ne commettaient pas adultère, des justes, des prédicateurs, des
sacrificateurs, Il a dit: «Vous êtes de votre père, le diable»? parce
qu’ils ne croyaient pas le Fils de Dieu. «Celui qui ne croit pas est
déjà condamné.»
69 Récemment, j’ai fait cela, en faisant l’appel à
l’autel... J’aime Jean 5.24: «Celui qui écoute mes paroles, et qui
croit à Celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en
jugement, mais il est passé de la mort à la vie.» Celui qui croit...
Ils disaient: «C’est assez simple.»
70 Non, c’est suffisamment profond, parce que quand
vous croyez... Nul ne peut appeler Jésus le Christ si ce n’est par le
Saint-Esprit. Quand vous avez le Saint-Esprit, vous avez alors cru à la
Vie éternelle et vous recevez la Vie éternelle. «Celui qui écoute mes
paroles, et croit en celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle, et ne
vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» La
préparation, apprêter...
71 Dieu avait vu la méchanceté du monde, et Il avait
vu cette génération méchante et adultère, et Sa sainteté ne pouvait
plus supporter cela. Oh, à ce monde pécheur...
72 L’autre jour, en allant à l’épicerie avec ma
femme, je me suis arrêté; et nous parlions d’une jeune femme de notre
ville. Sous un grand froid, elle portait une petite veste bouffante,
elle était habillée de façon immorale, de ces petites culottes qu’elles
portent en été; et cela – il y avait un peu de neige au sol, et ma
femme a dit: «Tu sais, cette femme-là ne peut pas être à l’aise.»
Alors, j’ai dit: «Non. Elle n’est simplement pas
dans son bon sens.»
Et, elle a dit: «Eh bien, tu sais, elle fréquente
l’école secondaire.»
73 Alors j’ai dit: «Elle peut beau fréquenter l’école
secondaire, mais cela n’arrange pas pour autant les choses.» J’ai dit:
«Elle ne doit pas être mentalement saine.»
74 Quand nous sommes allés en Allemagne... Récemment,
j’étais en Allemagne, à une grande série de réunions où le Seigneur
nous a donné environ – environ dix mille âmes en une soirée. Et un
soir, j’étais vraiment étonné en revenant de la réunion, et – et là
dans la rue, à un endroit où j’avais été invité à un petit déjeuner, et
c’était à la fin de la série de réunions, et tous les chrétiens étaient
assis ça et là, prenant de la bière. Eh bien, l’Amérique, le Canada, et
l’Angleterre sont les seules nations, à ma connaissance, qui
n’acceptent pas que les chrétiens boivent. Ils ne s’enivrent pas, mais
nous les Américains... Alors quand... Je n’en ai pas pris. Ainsi,
quelque temps après, une question fut posée à table: «Qu’est-ce qui ne
va pas?», car moi, je ne prenais pas de bière. «Était-ce parce que ce
n’était pas correct?»
75 Et Docteur Guggenbuhl qui était assis à côté de
moi, me servait d’interprète. J’ai dit: «Pourquoi murmurent-ils tous à
mon sujet?»
Et il a dit: «Ils se demandent pourquoi vous ne
buvez pas?»
76 Eh bien, je sais qu’il est écrit: «A Rome, faites
comme les Romains.» Alors j’ai dit: «Dites-leur ceci: ‘Je ne les
condamne pas. Mais moi, je suis né d’une naissance naziréenne. Je ne
dois pas boire.’» Je ne voulais pas les blesser. Et ils ont compris et
ont continué à boire.
77 Ensuite en Italie, nous avons rencontré à peu près
la même chose. Et à plusieurs autres endroits du monde, si vous allez
dans une nation, vous trouvez l’esprit de la nation.
78 Je me souviens que le Saint-Esprit m’avait prévenu
de ne pas aller à l’YMCA [Young men Christian association: Association
des jeunes chrétiens – N.D.T.] en Finlande. Je ne comprenais rien à ce
sujet. Et je finis par découvrir qu’ils avaient là des baigneuses. Je
me suis abstenu d’y aller, et je ne voulais pas y aller avec le Docteur
Manninem et les autres pour nager. Et j’ai découvert que ces laveuses
frottent les hommes. Alors, j’ai dit: «Ce n’est pas correct.»
79 «Eh bien, a-t-il dit, Frère Branham, c’est
exactement comme vos infirmières aux États-Unis.» Il a dit: «Elles ont
été formées pour cela.»
80 J’ai dit: «Peu m’importe combien elles sont
formées, cela n’a jamais été conçu ainsi. Dieu les a recouverts et Il
les a créés différents.» C’est juste. Mais les gens n’y font pas
attention.
81 C’étaient des Finlandais, des gens formidables,
mais ça c’est l’esprit de la nation. Où que vous alliez, vous trouvez
l’esprit de la nation. Et si vous arrivez en Amérique, alors vous
l’avez vraiment trouvé; c’est le pire de tous.
82 Et ma femme m’a dit: «Eh bien, ces gens vont à
l’église, et je me suis souvent demandé pourquoi leur conscience ne se
sentait pas condamnée.»
J’ai dit: «Ma chère épouse, laisse-moi te le dire.
Ils sont Américains.»
Elle dit: «Tiens, et alors? Ne le sommes-nous pas,
nous?»
83 J’ai dit: «Non.» J’ai dit: «Nous vivons simplement
ici, mais nous sommes d’En-Haut. Le Saint-Esprit de Dieu est venu sur
nous.»
84 Nous sommes donc pèlerins et étrangers ici. Ceci
n’est pas notre pays éternel. Mais nous cherchons une cité à venir,
celle dont l’Architecte et le Constructeur est Dieu. Par conséquent,
quand vous naissez d’En-Haut, le Saint-Esprit descend sur vous venant
de Dieu, et Cela change votre nature. Peu importe si votre sœur, votre
mère, votre – votre meilleure amie s’habille de telle manière, mais le
chrétien qui est né de l’Esprit de Dieu est né d’En-Haut, et son Esprit
est d’un autre Royaume. Oh, j’en suis heureux! la simplicité du
Saint-Esprit. Le suivre, L’observer, comment Il se comporte, vous fait
vous comporter...
85 C’est ainsi qu’il en était au temps de Noé, et
Dieu en avait vraiment assez. Mais avant d’envoyer la tempête détruire
le monde entier, Dieu prit des dispositions pour ceux qui voulaient
rester en dehors de cela. Et je peux voir Noé se tenir à l’entrée de
l’arche, prêchant la justice. Oh, beaucoup ne voulaient pas l’écouter.
86 C’était un peu comme aujourd’hui, les gens
préfèrent le divertissement à l’Évangile. Malheur à ces évangélistes
d’Hollywood qui ont peur d’appeler péché péché.
87 Nous avons besoin de prédicateurs rustauds à
l’ancienne mode, qui ont le Saint-Esprit et qui n’ont pas peur de
prêcher l’Évangile, les mains nues, non pas revêtues d’espèce de gants
en caoutchouc, mais prêchant la Venue du Seigneur Jésus, le jugement
pour les méchants, le Ciel pour les justes, et une Venue imminente.
Quand? Je ne sais pas? Et personne d’autre ne le sait. Mais je veux
mettre en garde ma génération. Si cela arrive maintenant, je veux que
les gens soient mis en garde.
88 Je peux voir Noé à l’entrée même de l’arche. «Oh,
j’aimerais juste croire une chose, que ce n’était pas ça la voie», mais
Noé se tenait à l’entrée, la seule voie de sécurité...
89 Je peux voir Moïse, plus tard, se tenant à la
porte, le sang étant appliqué sur le linteau, prêchant le jugement, le
sang étant appliqué sur le linteau.
90 Aujourd’hui, Jésus est la Porte de la bergerie,
prêchant l’Évangile, se tenant à cette Porte, suppliant l’assemblée à
venir se mettre en sécurité.
91 Sans doute qu’il y en avait beaucoup qui se
moquaient de Noé, qui le ridiculisaient. La Bible dit que c’étaient des
moqueurs. Je peux les entendre dire quelque chose du genre: «Noé, si tu
n’as pas meilleur divertissement que cela, nous rentrerons carrément
chez nous.»
92 Le monde aujourd’hui, l’Amérique, ne veut pas de
l’Évangile. Ils veulent se divertir. Il faut qu’ils aient quelque chose
qui les divertisse: beaucoup de musique fantaisiste, ou quelque chose
de ce genre, ou une espèce de réception, une espèce de saucisse de
Francfort grillée, ce qui est bien en dehors de l’église. Mais l’église
est un endroit où le jugement doit être prêché dans la puissance de la
résurrection du Seigneur Jésus ainsi que l’avertissement; le jugement
commence par la maison de Dieu, non pas les fêtes, mais le jugement.
93 Lot fut averti, et quand les Anges, quoiqu’il ne
sût pas que c’étaient des Anges, quand ils vinrent là, leur message
concernait Sodome: «Sortez de cet endroit immonde. Dieu a pourvu pour
vous à un moyen pour échapper. Sortez de cet endroit immonde.»
94 Jésus dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome...»
Regardez le genre de vie qu’ils menaient. Et Jésus compara ce jour-là à
ce jour-ci. Un jour de péché!
95 Remarquez que lorsque Lot alla parler à son
peuple, on se rit de lui, on le ridiculisa. «Et les péchés de la ville
tourmentaient son âme juste.» Le message des Anges ne les secoua pas;
cela n’eut aucun effet sur eux. Pourtant il leur était demandé de
sortir, parce que la ville était sous le jugement, et Dieu allait
envoyer une tempête de feu sur la ville. Mais ils refusèrent de bouger.
Ils refusèrent de sortir. Ils étaient satisfaits dans leurs péchés.
96 Aujourd’hui les gens semblent être très à l’aise
dans le péché, puisqu’ils possèdent une nouvelle voiture, parce qu’ils
peuvent prendre trois repas par jour, et dormir dans un lit propre.
Cela est merveilleux. Cela peut être cependant une bonne chose, mais
lorsque la prospérité vient comme cela, on oublie Dieu. Je pense que
nous avons été tellement... Nous les prédicateurs et nous les
chrétiens, nous nous sommes trop préoccupés du – du programme de
construction de nos églises, et d’avoir une meilleure église, ou
quelque chose comme cela, ou une plus grande église, de meilleurs
bancs, ou bien, vous savez comment et ce que je veux dire. Et nous
avons oublié l’essentiel: le jugement, la justice, la puissance du
Saint-Esprit, la résurrection, le jugement éternel.
97 Les Anges ne manquèrent point de prêcher le
message. Quoiqu’on essayât de les arrêter, leur message continua quand
même.
98 Bien, avez-vous remarqué? C’est comme un homme qui
dit: «Je m’en vais refuser de croire que le soleil brille. Je ne veux
rien avoir à voir avec le soleil.» Il ferme les yeux, descend au
sous-sol de sa maison et dit: «Je ne veux absolument pas admettre que
le soleil brille.»
99 Eh bien, vous direz: «Frère Branham, mentalement
quelque chose cloche chez cet homme.»
100 Eh bien, l’homme qui rejette Jésus-Christ le fait
sur les mêmes bases. Le Saint-Esprit est plus réel que le soleil. Le
soleil faillira, mais le Saint-Esprit ne peut pas faillir. Celui-ci
n’éclaire pas seulement pour le sens de la vue, mais Il éclaire pour
l’âme, une Lumière de gloire qui nous conduit vers Dieu, qui rejette...
ou plutôt projette vers nous le Calvaire et les souffrances du Seigneur
Jésus; le jugement qui vient, et l’évasion pour ceux qui veulent venir.
Je préférerais être totalement aveugle physiquement et avoir ma vue
spirituelle, qu’être totalement aveugle spirituellement et avoir ma vue
physique. Je préférerais avoir la vue spirituelle.
101 Remarquez, qu’est-ce qui clocherait chez cet
homme? Ceux-là, ses amis pourraient venir dire: «Jim, John (ou peu
importe son nom), tu es dans l’erreur; sors de ce vieux sous-sol sombre
qui sent le moisi.»
102 Il pourrait se lever et dire: «Écoutez!, je suis
satisfait de l’endroit où je me trouve!» Il n’aime pas le bon soleil.
Il n’aime pas ses rayons qui guérissent. Il n’aime pas sa beauté, sa –
sa chaleur pour sa vie. Quelque chose cloche chez cet homme.
103 Il en est de même de l’homme ou de la femme qui
veut rester dans le monde des ténèbres, qui s’enferme dans le péché de
l’incrédulité, lequel sent le renfermé, et qui dit: «Dans... les jours
des miracles sont passés. La guérison divine n’existe pas. Il n’y a pas
de Saint-Esprit.» C’est parce que vous refusez de sortir de la
moisissure, et des fosses du Diable, et de l’enfer, et du péché, et de
l’orgueil, pour marcher dans la Lumière de l’Évangile, Laquelle vous
apportera la chaleur.
104 Oh, que c’est reconfortant de voir les jugements
approcher et d’éprouver ce sentiment de réconfort du Saint-Esprit! Je
les entends parler des bombes atomiques et je pense à la chose qui est
arrivée, une paix qui dépasse l’entendement! Eh bien, la bombe ne
sortira plus du canon jusqu’à ce que nous soyons dans la Présence de
Jésus ayant la Vie éternelle; nous les gens âgés seront rajeunis, les
bébés auront un certain âge, là où il n’y aura plus ni mort ni chagrin.
Oh! que c’est merveilleux! Voulez-vous dire qu’un homme refuserait de
sortir et d’entrer dans Cela? Il y a quelque chose qui cloche chez lui.
105 S’il ne reçoit pas la lumière du soleil, il
devient finalement pâle. Il devient très pâle et la maladie s’installe
en lui.
106 C’est le problème qu’a le monde aujourd’hui.
C’est le problème qu’ont la plupart des églises aujourd’hui. Nous
devenons anémiques. Nous avons besoin d’une transfusion sanguine.
Pâles, parce que nous faillissons, notre santé spirituelle se
détériore. Nous n’avons plus de zèle pour aller à la recherche des
âmes, pour – pour avertir les gens, pour gagner nos voisins, gagner nos
amis, le laitier, le petit vendeur de journaux. Quoi qu’il en soit,
gagnez quelqu’un au Seigneur Jésus! Nous sommes pâles et manquons
d’entrer dans la Lumière, Laquelle est notre privilège; nous manquons
de croire dans la santé de Dieu par la guérison divine...
107 La Bible me dit qu’il viendra un temps, pour
ceux-là qui ne sont pas dans cette merveilleuse Lumière du Fils, où les
oiseaux du ciel mangeront leur chair; des maladies sont en route, que
les médecins ne sauront jamais arrêter. Ce sont les fléaux de Dieu.
108 Les médecins égyptiens, qui étaient de loin plus
intelligents que les nôtres aujourd’hui, n’ont pas pu arrêter les
fléaux de Dieu, leurs devins, et leurs imitateurs non plus. Il fallut
Goshen et la Puissance de Dieu pour garder Son peuple sous le sang d’un
agneau!
109 Le Saint-Esprit est cette Porte aujourd’hui. Le
Saint-Esprit est cette Sécurité aujourd’hui.
110 J’ai assisté à une réunion il n’y a pas
longtemps. Je suis en train d’observer un – un frère de couleur qui est
assis ici, c’est lui et sa femme, je suppose. Et je l’observe depuis
que je prêche, il fait oui de la tête et se ré – réjouit de la réunion.
Et cela me fait penser à quelque chose.
111 Une fois, un garçon vint à la réunion. Et
aussitôt le service terminé, il – il courut vers moi et dit: «Pasteur!»
Il était du Sud. Et il dit: «Pasteur, je désire rencontrer le Seigneur
Jésus ce soir.» Je tenais un service de guérison.
112 Et je dis: «Certainement, mon frère, je suis plus
qu’heureux de te conduire à Lui.»
113 Il dit (après qu’il eut donné son cœur au
Seigneur), il dit: «Je me demande... Je pense que vous vous demandez
pourquoi j’ai couru jusqu’ici de cette manière.» Il dit: «J’ai appris
que vous étiez dans la ville, et je suis venu juste voir ce que – vous
voir.» Il dit: «Je vais vous parler de ma vie.» Il dit: «J’étais
presque un vagabond.» Il dit: «Ma pauvre mère était une véritable
chrétienne. Mes sœurs étaient des chrétiennes. J’avais un frère
chrétien.» Il dit: «J’étais le cadet de la famille et un enfant gâté
dès le départ, car on me dorlotait, et on était trop bon envers moi.»
Il dit: «Mais je ne faisais pas attention à ma mère ni à ma famille
pieuse. Je tenais à devenir un vagabond. Je voulais mener une vie
virile.» Il dit: «Je pensais qu’être un chrétien était plutôt une
affaire des femmes, ou des faibles.» Il dit: «Et je devins un
cuisinier, et j’excellais dans mon métier.»
114 Et il dit: «Sans savoir pourquoi, je désirais
aller vers le nord. Et un jour, j’entrai en chancelant dans un camp de
pâte à papier, là où l’on coupait du bois pour la pâte à papier. Et,
j’étais fauché. Et je dis au contremaître: ‘Auriez-vous besoin d’un
cuisinier?’» Il parla des recommandations qu’il avait en poche, venant
de différents endroits importants où il avait été cuisinier en chef.
115 Et il dit: «Eh bien, pour le moment nous en avons
un.» Il dit: «Mais, toutefois, nous pouvons vous donner un peu d’argent
par dessus le marché jusqu’à ce que vous vous rétablissiez. Pour le
moment, nous avons là une femme de couleur assez âgée, c’est une bonne
cuisinière en chef. Néanmoins entrez et parlez avec elle, il se peut
qu’elle vous utilise. Si elle le peut, nous pouvons vous donner un peu
d’argent de poche jusqu’à ce que vous soyez parfaitement rétabli.»
116 Il dit que cela était, pour ainsi dire, son
souhait. Et il dit qu’il y entra et rencontra la vieille dame, et il
dit qu’il l’aida pendant deux ou trois jours.
117 Et il dit qu’une nuit, il était couché là, et il
dit qu’il avait remarqué que les éclairs sans cesse traversaient la
façade du mur. Et un moment après, il se demanda: «Est-ce... y a-t-il
quelqu’un dehors?» Et il dit: «Après un moment, il entendit un – un
grondement lourd, et c’était un tonnerre. Et il dit qu’il entendit à
l’extérieur des voix, et on disait: «Vous savez, nous ferions mieux de
retourner là où il y a les chevaux, pour nous en occuper, car il est
possible que nous ne restions pas ici très longtemps.» Il dit qu’il ôta
la couverture de sa tête, et alla au mur pour écouter. Et il y avait
des éclairs, et il aperçut son patron et le camionneur. Et il comprit,
d’après leur entretien, qu’il y avait une tempête qui venait par les
montagnes, ce que nous appelons là dans les régions du nord «un
nordiste», lequel vient brusquement sans avertir.
118 Vous n’avez pas le temps de faire quoi que ce
soit. Les montagnes sont très élevées; ça éclate là tout d’un coup.
119 Et il y avait des éclairs. Et l’on disait: «Vous
savez, il se peut que nous ne soyons plus là.» On disait: «Ç’a l’air
d’une tornade qui vient.»
120 Et puis, il dit: «Je me mis à dire: ‘Eh bien,
j’espère que cela ne frappera pas ici, dit-il, parce que je sais que je
ne suis pas prêt pour partir’.» Quelquefois vous attendez trop
longtemps, vous savez.
121 Puis il dit: «Juste quelques instants après, le
vent se mit à souffler, et les arbres commencèrent à se balancer.» Et
il dit qu’il prêta l’oreille. Une toile se trouvait entre lui et là où
la – la vieille dame dormait, et il dit: «Elle frappait sur cette
toile, en disant: Fiston, hé, fiston!»
Il répondit: «Oui!»
122 Elle dit: «Voudrais-tu venir à mes côtés? J’ai
une lanterne allumée.» Et il dit: «J’allai vers elle, parce que j’avais
terriblement peur.» Et il dit: «Elle avait une lanterne posée sur une
vieille caisse à savon. Et elle dit: ‘J’aimerais te poser une
question.’»
Il dit: «Oui, madame.»
Elle dit: «Es-tu prêt à rencontrer le Seigneur?»
Il dit: «Alors, j’eus très peur. Je dis: Non,
madame.»
123 «Eh bien, dit-elle, chéri, j’aimerais que tu me
dises quelque chose. Tu ferais mieux de te préparer maintenant, parce
qu’il se peut que tu Le rencontres, sans être prêt, dans les quelques
prochaines minutes.» Elle dit, elle dit: «Veux-tu t’agenouiller avec
moi ici?»
124 Il dit: «Nous nous sommes agenouillés à côté de
cette caisse à savon.» Il dit: «Pasteur, je vais vous dire la vérité;
j’avais trop peur pour prier.» Il dit: «Les arbres cognaient contre ce
bâtiment et il y avait des éclairs, et les tonnerres faisaient rage.
J’avais trop peur pour prier.» Il dit: «Je me mis à dire: «Seigneur,
aie pitié,’ et une foudre fit ‘bang!’, je dis: «Où suis-je? Seigneur,
aie pitié,» et une foudre fit ‘bang!’»
125 Il dit: «Mais j’ai appris une leçon.» Il dit:
«Cette sainte vieille dame était restée aussi calme et insouciante que
possible.» Il dit: «Elle Lui parlait comme si elle Le connaissait
depuis qu’elle était bébé, comme s’Il était son père ou sa mère. Il
dit: «Elle n’était pas le moins du monde inquiétée.»
126 Il dit: «J’avais terriblement peur.» Il dit:
«Finalement, je lâchai ces paroles, pour dire: «Seigneur, si seulement
Tu me laisses vivre, si je trouve un lieu où c’est plus calme, je
viendrai à Toi.»
127 Une autre occasion lui avait été offerte, mais
vous, vous pourriez ne pas en avoir. Lorsque les jugements de Dieu
commencent à se déverser, il n’y a plus de possibilité. C’est
maintenant que vous avez l’occasion. Voici pour vous l’occasion.
128 La tempête était sur lui! Il dit: «Pasteur,
est-il possible qu’un homme comme moi se cache dans cette sécurité de
sorte que, lorsque la mort commencera à venir sur moi, je puisse entrer
pour Lui parler, comme le faisait cette vieille sainte?»
129 Je dis: «Mon fils, le Sang de Jésus-Christ, qui
avait fait d’elle ce qu’elle était peut faire de toi cela maintenant
même.»
130 Je me tenais à côté de ma voiture. C’était un
garçon bien habillé, cultivé et instruit. Il tomba sur ses genoux dans
cette cour boueuse; et là, il trouva cet Asile, ce Refuge en temps de
tempête, ce Rocher dans une terre altérée.
131 Vous n’aurez pas à vous lasser tant que vous êtes
dans ce Rocher. Le Rocher est le seul lieu où il n’y a pas de
lassitude. Le Rocher est le lieu de satisfaction. Vous pouvez
simplement vous installer et regarder dehors, étant autant que possible
en sécurité.
132 Une heure vient et c’est maintenant (et le
scellement est presque terminé), où chaque homme et chaque femme sur la
face de la terre seront dans ce Lieu de refuge (comme ce fut le cas au
temps de Noé), ou en dehors de Cela. Vous devez prendre votre décision.
Cette sécurité, c’est Jésus-Christ. Ce... Il est l’unique Lieu,
l’Unique Qui a la Vie éternelle. Nul ne peut venir au Père sinon par
Lui. Il est l’Arche pour notre sûreté. Le Saint-Esprit nous rend
témoignage maintenant que nous sommes passés de la mort à la Vie.
133 Et lorsque nous regardons la tombe, et nous
savons que chacun de nous chemine vers là...
134 Nous voyons les journaux, et la tempête qui
approche! Lorsque vous rentrerez chez vous ce soir, faites-moi une
faveur, n’allez pas au lit avant que vous ayez lu Apocalypse, chapitre
8. Voyez les fléaux et la tempête qui approchent, et qui frapperont la
terre; et les tonnerres et les éclairs ébranleront le ciel. Les
malheurs frapperont la nation. Les hommes pourriront dans leur chair.
Les maladies les frapperont, dont les médecins ne savent rien.
135 Mais rappelez-vous, avant que cela eût lieu, un
scellement fut fait! Et les anges de la mort avec leurs fléaux avaient
reçu de Dieu cet ordre: «Ne vous approchez pas de ceux qui ont le Sceau
sur leur front.» Et le Sceau de Dieu, c’est le baptême du Saint-Esprit.
Éphésiens 4:30 dit: «N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par
Lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption.» Peu
importait combien l’arche tanguait, peu importait combien de fois les
foudres s’abattaient sur elle: «Dix mille tomberont à ta droite, et des
milliers à ta gauche, mais cela ne s’approchera point de toi.» Le
Saint-Esprit...
136 J’ai lu au sujet d’un cavalier sur un cheval pâle
qui sortit, il s’appelait « la mort», et le séjour des morts le suivait.
«Un cavalier sur un cheval noir, avec une balance
dans sa main;
137 «Une mesure de blé pour un denier et deux mesures
d’orge pour un denier, mais ne touchez point à Mon vin et à Mon huile!»
138 La Bible m’apprend que les jugements de Dieu
approchent, que la maladie, le trouble et le désastre frapperont les
nations et que chaque nation va se disloquer. J’ai lu dans la Bible...
[Partie non enregistrée sur la bande – N.D.É.]
139 Tout était calme. Mais le Seigneur Jésus dissipa
l’obscurité de ses yeux, et il saisit le maire de la ville et s’écria:
«Je vois! Je vois!» Alors que des milliers de gens se tenaient là, des
musulmans et tout le reste...
140 Je dis: «Maintenant, qu’est-ce que l’Arche de
Sécurité?» Je dis: «J’ai lu dans votre journal, l’autre jour, là où
tous les petits oiseaux qui juchaient dans les rochers tout au long de
la clôture et dans les grandes tours des bâtiments aux coins...»
141 Vous savez, l’Inde est un pays pauvre, et les
gens ramassent des pierres dans le champ, et construisent des clôtures
avec. Et les petits oiseaux font leurs nids dans ces pierres, dans les
fissures, et dans les trous. Ils y entrent et y font leurs nids, pour
s’abriter contre la pluie. Et puis le bétail, dans l’après-midi,
lorsque le soleil traverse le ciel vers l’ouest, eh bien, le bétail se
met à l’ombre de ces – ces clôtures et de ces grandes tours, pour se
mettre à l’ombre.
142 Mais, pendant environ deux jours, il se produisit
une chose de plus étrange. Tous les petits oiseaux avaient pris leurs
petits, leurs petits, tous ensemble, et s’étaient envolés loin des
murs, et ils n’y retournèrent même pas la nuit. Ils étaient allés au
milieu du champ et étaient restés là. Le bétail ne put revenir dans
l’après-midi. Ils restèrent loin des murs, et ils se mirent ensemble,
et ils se tenaient si resserrés qu’ils faisaient de l’ombre les uns
pour les autres.
143 Frère, sœur, c’est ce que l’Église devrait faire!
Aujourd’hui nous n’avons pas besoin de l’ombre de ces imposantes
Babylones du modernisme. Nous avons besoin des bénédictions les uns des
autres, ensemble; de notre témoignage et notre amour chrétien ainsi que
de la fraternité répandus dans notre cœur par le Saint-Esprit. C’est ce
qui constitue donc l’ombre; alors, je peux tenir mon frère par la main,
ma sœur par la main, et savoir que nous sommes des citoyens du Royaume
de Dieu, et que nous nous aimons les uns les autres; et nous prenons
position pour cette grande cause, la cause de Christ. Que vous soyez
méthodiste, baptiste, presbytérien, unitaire, binitaire, trinitaire, ou
quoi que vous soyez, cela n’a pas d’importance aussi longtemps que le
Sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché et que nous communions
les uns avec les autres. C’est ce que nous voulons, la fraternité, la
communion!
144 Ils restèrent dans les champs. Ils ne voulurent
pas se tenir à l’ombre des murs. Les gens trouvaient cela étrange.
C’était un fait étrange. Qu’arriva-t-il? Tout d’un coup, il survint un
tremblement de terre, qui fit écrouler les murs par terre. Si les
petits oiseaux s’y trouvaient, eux et leurs petits seraient comme cette
femme avec son mari et ses enfants à Miami ou plutôt à Okeechobee; ils
seraient morts lors de l’écroulement des murs. Si le bétail s’était
tenu dans les environs pour s’appuyer contre ces murs, ils auraient
péri avec ces murs. Cela s’est passé il y a trois ans. J’ai la coupure
du journal; non, c’est Tommy Nickel qui la détient maintenant pour le
«Voice» des Hommes Chrétiens. Les manchettes dans le journal disent:
«Les oiseaux regagnent leurs lieux. Le bétail quitte le champ.»
145 Si Dieu, au temps de Moïse... au temps de Noé,
put avertir le bétail et les oiseaux pour qu’ils entrent en se mettant
en sécurité, dans l’arche, la destruction étant imminente, la tempête,
Il est encore le même Dieu ce soir. Il aime toujours le bétail et les
oiseaux. Et s’Il a frayé une voie pour que l’oiseau et la vache
échappent à la colère du jugement, combien plus a-t-Il pourvu à un
moyen pour vous et moi qui sommes des rejetons de Sa création! Combien
plus a-t-Il pourvu à un moyen pour que nous échappions! Nous sentons le
Saint-Esprit tirer sur notre cœur. L’heure vient! Nous voyons les
ombres de – de l’âge atomique, nous voyons les ombres de l’âge de
l’hydrogène, nous voyons les nations se disloquer, Israël s’éveiller.
Les nations se disloquent, Israël s’éveille:
Les signes que les prophètes ont prédits;
Les jours des Gentils sont comptés,
encombrés d’horreurs;
Retournez, ô dispersés, vers les vôtres
Il en est ainsi aujourd’hui! Tous, vous connaissez
le vieux cantique de Haywood.
Le jour de la rédemption est proche,
Les cœurs des hommes défaillent de peur;
Soyez remplis de l’Esprit,
Que vos lampes soient préparées et claires,
Levez les yeux! Votre rédemption est proche.
146 Les tempêtes viennent. Il y a un Asile, oh, un
Asile béni! C’est en Christ.
147 Inclinons la tête juste un instant. J’aimerais
que vous pensiez (sérieusement et solennellement) à l’instant d’après.
148 Avez-vous déjà trouvé cet Asile béni contre la
colère? Rappelez-vous, il n’y a pas deux asiles, il n’y en a qu’un. Il
se peut que vous soyez un bon membre d’une église contre laquelle je
n’ai rien de mal à dire. Mais si c’est tout ce que vous avez, et que
votre vie ne soit pas semblable au Livre des Actes, si le Saint-Esprit
que vous affirmez avoir ne vous fait pas vivre comme ils vécurent dans
le Livre des Actes, de sorte que votre vie puisse écrire un autre
livre, vous feriez mieux de considérer l’avertissement. Si la première
vigne a produit une Église pentecôtiste, la seconde vigne, ou plutôt la
seconde branche, sortie de la Vigne, produira une autre Église
pentecôtiste, avec une expérience pentecôtiste, portant les mêmes
fruits que la première Église.
Demeurez-vous dans cette Présence bénie et sacrée du
Seigneur? Êtes-vous passé de la mort à la Vie? Vous reposez-vous sur
une émotion, un état psychologique, ou un discours intellectuel? Ou
bien demeurez-vous constamment dans Sa Présence, portant le fruit de
l’Esprit dans votre vie: la longanimité, la bonté, la douceur,
l’amabilité? Pouvez-vous supporter quelqu’un qui vous critique, et
l’aimer au point de prier pour lui dans votre cœur? Ou, est-ce une
petite prière égoïste: «Ô Seigneur, je sais que je devrais prier pour
lui, mais...» Oh, non, frère! «Je sais que je devrais prier pour lui,
mais...» Oh, non frère! Cette douceur et cet amour de Dieu disent-ils:
«Oh, inonde mon âme! Ô Saint-Esprit, inonde mon âme»? Si vous n’avez
pas trouvé ce Lieu de sécurité, mon frère...
149 Un jour, j’effectuerai ma dernière visite à
Phœnix, il se pourrait que celle-ci le soit, autant que je sache. Et
ceci peut être la dernière fois que l’Évangile est prêché du haut de
cette chaire, je ne sais pas. Nous nous approchons tellement du temps
de la fin. Israël est retourné dans sa patrie, le dernier signe qui
avait été donné.
150 L’autre soir, je regardais un film dans lequel, à
leur retour, ils descendaient leurs vieux estropiés des bateaux, et
tout le reste. On leur demandait: «Êtes-vous revenus dans la patrie
pour mourir?»
Ils répondaient: «Non, nous sommes revenus pour voir
le Messie.»
151 Ne vous en faites pas, le figuier donne ses
bourgeons, c’est là le dernier signe. L’emblème, le drapeau le plus
vieux du monde, flotte sur Jérusalem. Aujourd’hui c’est une nation
indépendante, ayant sa propre armée. Elle avait été aveuglée pendant un
petit moment, mais elle se rassemble de nouveau. Dieu l’avait promis.
Alors viendra la fin de la dispensation des gentils. Ils attendent un
Messie.
Vous savez, il fut une fois demandé à Dieu: «Tu...
est-il possible que Tu oublies Israël?»
152 Il dit: «Quelle est la hauteur des cieux? Quelle
est la profondeur de la terre? Mesurez cela.»
Le prophète dit: «Non, je ne le peux.»
153 Il dit: «Je ne peux pas non plus oublier Israël.
C’est la prunelle de Mon oeil.»
154 C’est là le dernier signe. Jésus a dit: «Lorsque
vous verrez le figuier bourgeonner, sachez que le temps est proche,
même très proche.» Israël commence à être restauré. Ils ont eu leur
propre monnaie, il y a quelque quatre semaines. Il a eu sa propre
monnaie, et tout. C’est une nation à part entière.
Qu’attendons-nous? La fin de la dispensation des
Gentils.
155 Et le dernier signe qui, d’après la prophétie,
devait être donné aux Gentils a été manifesté à la nation et au monde
entier, comme il en fut au temps de Sodome; lorsqu’Il demanda: «Où est
Sarah, ta femme?»
156 Comment un étranger avait-Il su que c’était
Sarah? Et comment avait-Il su que son nom était Sarah, et qu’elle était
la femme d’Abraham?
157 Et Sarah rit sous cape derrière la tente. L’Homme
dit: «Pourquoi Sarah a-t-elle ri?»
158 Jésus dit: «Lorsque ceci arrive, le temps est
proche.» On a déjà vu cela! C’est passé. Ce qui suit, c’est le jugement.
159 Êtes-vous dans cet Asile béni, mon ami? Que Dieu
soit miséricordieux. Si vous n’y êtes pas, et que vous aimeriez qu’on
se souvienne de vous ce soir dans la prière, voudriez-vous lever la
main et dire: «Frère Branham, priez pour moi?» Partout dans le
bâtiment, levez... Que Dieu vous bénisse. C’est... Que Dieu vous
bénisse. Quelqu’un d’autre qui dirait: «Souvenez-vous de moi, Frère
Branham»? Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, sœur.
Que Dieu vous bénisse, là au fond. Que Dieu vous bénisse, là derrière,
jeune dame. Cette dame-ci, que Dieu vous bénisse. Oui. Que le Seigneur
vous bénisse, monsieur, et vous aussi. Oh, c’est bien! Quelqu’un
d’autre? Levez simplement la main.
Vous dites: «Frère Branham, que signifie cela?»
160 Que Dieu vous bénisse, sœur. Que Dieu vous
bénisse là derrière, monsieur. Que Dieu vous bénisse ici, madame. C’est
merveilleux.
161 «Qu’est-ce que cela signifie, Frère Branham,
lorsque je lève ma main?»
162 Savez-vous que selon la science vous ne pouvez
pas lever vos mains? S’il n’y avait pas de vie en vous, vous ne le
feriez pas. La science ne sait pas ce qu’est la vie. Ils savent que
c’est la vie, mais ils ne savent pas ce que c’est. Ils ne peuvent pas
la fabriquer. Et qu’est-ce? La science dit que vos mains... la
pesanteur retient vos mains vers le bas, de même qu’elle retient vos
pieds au sol.
163 Mais vous avez un esprit en vous. Et cet
esprit... Quelque chose est près de vous. Jésus a dit: «Nul ne peut
venir à Moi, à moins que Mon Père ne l’attire premièrement, et tout ce
que le Père M’a donné viendra à Moi.» N’êtes-vous pas heureux, ce soir,
de savoir que Dieu peut traiter avec votre cœur, qu’il y a là une
petite Voix qui dit: «Viens te mettre en sécurité»? Observez
maintenant: «Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi.»
164 Qu’est-ce qui a dû se passer? Vous avez dû avoir
Quelque chose à côté de vous, qui vous a dit: «Tu es dans l’erreur.»
Oh, il se peut que vous soyez membre d’une église. Mais, «vous êtes
dans l’erreur». Vous n’avez pas encore reçu le Saint-Esprit. Vous
n’êtes pas dans l’Arche.
165 Comment entrons-nous dans l’Arche? On n’y entre
pas. Comment y entrons-nous? «Par un seul Esprit, nous sommes tous
baptisés pour former un seul Corps.» Tous les croyants sont baptisés
pour former un seul Corps. Comment? Par le Saint-Esprit. «Voici les
miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Nous y voilà, dans le
Corps, en sécurité.
166 Si vous n’y êtes pas, ne laissez pas Satan vous
mépriser ce soir au point de vous empêcher de lever la main. Eh bien,
qu’est-ce que cela a fait? Cela a brisé toute loi scientifique, lorsque
vous avez levé la main. Cela a montré que quelque chose en vous a pris
une décision. Quelque chose de plus grand que la science, quelque chose
qui a défié les lois de la science. Vous avez dit: «Il y a un esprit en
moi, qui dit: ‘Je suis dans l’erreur.’» Et il y a Quelqu’un assis près
de moi, qui dit: ‘Accepte-Moi.’ J’ai levé la main vers là d’où est
venue la Voix, vers le Ciel. Sois miséricordieux envers moi, ô Dieu.
J’ai besoin de Toi. Je désire le Saint-Esprit. Je veux être en
sécurité. Je veux que mes péchés soient sous le Sang. Et je veux être
scellé dans le Corps de Christ, afin que je me sente à l’aise, que je
puisse bénéficier des rayons de la guérison, que je puisse bénéficier
des rayons de la guérison divine dans mon âme, une guérison physique
dans mon corps, jouir de la marche avec l’Agneau chaque jour, en
sûreté. Peu importe ce que dit le journal, les journaux, moi, j’ai
appris par un grand-journal, appelé la Bible, que je suis en sécurité.
Peu importe ce qui arrive, je suis toujours en sécurité. «Car ceux...
si la mort me prend,... ceux qui sont en Christ, Dieu les ramènera avec
Lui, à Sa Venue.» Je suis toujours en sécurité. La mort ne peut pas
m’inquiéter.
167 Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous
bénisse. Quelqu’un d’autre maintenant avant que nous ne priions: «Je
veux ce Lieu de sécurité éternelle, Frère Branham»? Y en a-t-il
d’autres qui n’ont pas levé la main? Dieu vous bénisse, madame. C’est
bien. Dieu vous bénisse, là derrière, là au fond. C’est merveilleux.
168 Maintenant, le même Dieu qui vous a convaincu que
vous êtes dans l’erreur est ici pour arranger cela avec vous.
169 Inclinons la tête maintenant, et restons
constamment en prière. Parlez-Lui simplement maintenant, à votre propre
manière. Si vous pouvez faire plus que ce que fit ce publicain-là, qui
se frappait la poitrine, disant: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers
moi, un pécheur.» C’est tout ce qu’il avait à dire; Dieu connaissait le
reste. Et il rentra chez lui justifié. Puissiez-vous aller de la même
manière ce soir, étant à l’abri de la tempête.
170 Notre Père céleste, ces quelques paroles
désordonnées et décousues, dites juste comme j’étais conduit à les
dire, elles ont été lâchées. Et je prie, quand même, comme le petit
garçon qui répétait l’alphabet, qui disait que c’était tout ce qu’il
savait faire, «Toi, Tu connaissais tous les mots, et Tu pouvais
rassembler les lettres.» Tu as vu la simplicité de son cœur. Ô Dieu,
baisse Ton regard sur mon pauvre cœur, ce soir, et vois la simplicité
de mon cœur. Et le Message a été apporté, Seigneur, dans l’amour et
dans la douceur, au peuple, afin qu’ils trouvent ce Repos que Tu m’as
donné à moi et à des milliers d’autres, afin qu’ils connaissent Jésus,
l’unique Sauveur de leurs âmes, afin que Lui les conduise vers Dieu,
notre Père, et qu’ils soient mis en sécurité dans Son sein, par Son
côté fendu, et qu’ils L’acceptent et soient épargnés du jugement.
171 Et beaucoup, ce soir, Seigneur, oui, beaucoup ont
levé la main. Que puis-je faire d’autre, Seigneur, sinon leur dire de
croire? Et s’ils croient, et qu’ils ont été sincères dans cela, il est
impossible qu’ils manquent de recevoir la Vie éternelle en cette heure.
Car Tu as dit: «Celui qui entend Mes Paroles.» Ils étaient Tiens, ils
n’étaient pas correctement unis, peut-être, mais Toi, Tu peux les unir.
Et peut-être l’as-Tu fait pour ceux qui ont levé la main, car Tu as
dit: «Nul ne peut venir, à moins que Je ne l’attire. Et tout celui qui
vient, Je ne le mettrai pas dehors, mais je lui donnerai la Vie
éternelle, et le ressusciterai au dernier jour.» Nous savons, Eternel
Dieu, que c’est Toi! Ils ont levé la main, ils Te désirent. Maintenant,
Père, remplis leur cœur, remplis leur cœur de bonté et de miséricorde,
et du Saint-Esprit. Puisse ceci être une soirée qu’ils n’oublieront
jamais, du fait que ça aura été la soirée où ils ont reçu Jésus-Christ
comme leur Sauveur, et où ils ont été remplis du Saint-Esprit.
172 Pendant que nous avons la tête inclinée, si vous
croyez que Dieu entend ma prière et que vous aimeriez que je vous
impose la main et que je prie avec vous, voulez-vous simplement...
pendant que tout le monde a la tête inclinée, et que la musique joue
très doucement, voulez-vous bien? J’aimerais le faire pour tous ceux
qui veulent venir ici et qui veulent accepter ce grand Message de salut
et le Saint-Esprit, et qui diront: «Frère Branham, je veux m’avancer
maintenant même pour confesser que j’étais dans l’erreur. Mais je veux
que le Saint-Esprit me pardonne, qu’Il soit doux envers moi maintenant,
et me procure la paix quand le moment des secousses...»
173 Vous savez que tout ce qui peut être ébranlé le
sera maintenant. «Mais nous, nous recevons un Royaume qui ne peut être
ébranlé!» C’est Christ.
174 Voudriez-vous venir vous tenir ici à l’autel avec
moi, pour me permettre de tenir votre main et de prier avec vous? Si
oui, levez-vous et venez maintenant, pendant que nous chantons
doucement maintenant. Vous qui avez levé la main, avancez-vous ici
maintenant et tenez-vous à l’autel, juste un instant, si vous le
désirez, pendant que nous chantons ce couplet maintenant.
...viens à la Maison.
175 Et si ceci était la dernière fois que vous
entendez ceci? Pensez-y! Et si ceci était la dernière fois?
Qu’arriverait-il si dans l’instant qui suit la sirène sonnait dans la
rue, et que c’était vous, et que l’on venait chercher votre corps? Et
si, vers deux heures du matin, vous appeliez le médecin, et que c’était
une crise cardiaque? Jeune ou vieux... Ne sonnera-t-elle pas? Venez
maintenant, je vous prie, dans la zone de sécurité, parce que vous
allez devoir vous tenir aux derniers jours.
Je reviens à la maison
Je reviens à la maison, je reviens à la maison.
176 Dieu vous bénisse. [Frère Branham prie avec les
gens à l’autel, pendant que la congrégation continue à chanter:
«Seigneur, je reviens à la Maison.» – N.D.É.]
177 Ne voulez-vous simplement pas vous lever et venir
vous tenir avec les autres, ici autour de l’autel? Venez. On s’approche
du jugement maintenant. Ne voulez-vous pas venir? Venez maintenant,
confessez vos péchés maintenant, vous n’aurez pas à passer au jugement.
Dieu bénisse ce couple qui vient. Dieu vous bénisse, monsieur. C’est
bien. Dieu vous bénisse, jeune dame. Descendez directement. Venez,
monsieur.
J’ai erré loin... (Venez, mon frère espagnol)
...de Dieu.
Maintenant je reviens...
178 Ne voulez-vous pas vous lever maintenant, et
venir ici? Prions. Venez à l’Abri.
...du péché j’ai trop longtemps marché,
Ô Seigneur, je reviens à la maison.
179 Puis-je dire ceci, pendant que l’orgue continue à
jouer. Le Message de ce soir est un Message d’amour, de grâce, et
d’avertissement. Demain soir, ce Message pourrait être dans vos
oreilles, quelque part ailleurs, un Message de condamnation et de
jugement. Pendant que Cela a de la miséricorde, venez recevoir Cela, je
vous prie mon ami. Je devrai vous rencontrer un jour avec Ceci, ce que
j’ai dit ce soir. Que Cela témoigne de la miséricorde pour vous,
pendant que nous chantons une fois de plus: «Maintenant, Je reviens à
la Maison.» Ne voulez-vous pas le faire?
180 Restez simplement ici même, sœur, bien-aimée.
Vous tous, restez juste ici. Si vous le voulez, juste un instant. Nous
voulons prier avec ceux-ci à l’autel. Qu’ils restent simplement là où
ils sont. Encore une fois maintenant.
J’ai erré loin... (Levez-vous, venez. Je vous prie. Je vous invite.)
Maintenant, je reviens à la maison;
Sur les sentiers du péché
J’ai trop longtemps marché, Seigneur,
Je reviens à la maison.
181 Chrétiens, priez maintenant. Je reviens à la
maison. Venez, mon frère pécheur, venez, sœur, vous qui avez été acquis
par Son Sang, pour qui Christ est mort. Ne voulez-vous pas venir
maintenant? Permettez-moi de vous persuader, en cette heure cruciale où
le jugement est suspendu aux portes de la nation, aux portes du monde.
Ne voulez-vous pas venir? Je vous supplie, à la place de Christ, venez
à Christ pendant que vous le pouvez! Que ce soit la miséricorde, et non
le jugement.
182 Maintenant, fredonnons cela. [Frère Branham
commence à fredonner «Seigneur, Je reviens à la Maison.» – N.D.É.]
183 Y en aurait-il encore, juste un instant pendant
que nous attendons ici maintenant? D’autres sont maintenant en train de
se tenir autour de ceux-là. N’est-ce pas un doux moment? Je ne sais
pas, il se peut que je sois seul à le sentir, mais je me sens si bien
en ce moment même. C’est ce que je désire ardemment, c’est ce que
j’aime.
184 Lorsque je n’étais qu’un jeune prédicateur, la
sœur d’un ministre m’a dit une fois qu’elle voulait que je l’accompagne
à une soirée dansante. Je lui ai répondu que je n’allais pas aux
soirées dansantes. Elle m’a dit de l’amener à un show. Je ne pouvais le
faire. J’ai dit: «Moi, je ne vais pas aux shows.»
Elle a dit: «Où trouves-tu ton plaisir?»
J’ai dit: «Viens avec moi à la réunion.»
185 Ce soir-là, je tenais une réunion sous tente. Je
n’étais qu’un garçon d’environ vingt et un ans, un jeune homme. Ce
soir-là, plusieurs vinrent à l’autel. Je la vis assise là, pleurant. Je
lui fis un signe, et je dis: «Vous m’avez posé une question hier soir.
Je peux y répondre ce soir.»
Elle a dit: «Qu’était-ce, Billy?»
186 J’ai dit: «Voici la plus grande joie de ma vie.»
Voir les pécheurs venir, Quelque chose de satisfaisant dans mon cœur
qui ne parle que de paix. Je reviens à la maison!
Je reviens à la maison, jamais...
187 J’aime ça! Cette douceur. Vous sentez juste comme
si le Saint-Esprit est présent – satisfait: «Bien fait, bien fait.»
C’est la préparation pour le service de guérison; d’abord une guérison
spirituelle. Le Corps de Christ est malade, Il a besoin de la guérison,
le Corps spirituel.
Je reviens à la maison...
Maintenant, inclinez la tête. Que chacun prie. Tout
le monde en prière.
Maison oh, pour ne plus jamais errer.
[Frère Branham parle avec quelqu’un. – N.D.É.]
Maintenant vous feriez mieux de prendre...? ici. Vous devez avoir
quelque chose là-dedans...?... un groupe de gens merveilleux...?...
Merci, frère. Que Dieu vous bénisse!