Il prend soin de vous
1 Inclinons nos têtes maintenant, tandis que nous
parlons à l'Auteur de la Parole. Notre Père Céleste, nous Te sommes
reconnaissants pour ce grand et noble privilège de venir à Toi ce soir.
Nous venons humblement dans le Nom du Seigneur Jésus, demander le
pardon de nos péchés, et que Tu nous visites encore ce soir. Et
donne-nous extrêmement, abondamment, au-dessus de tout ce que nous
pourrions faire ou penser.
2 Nous prions pour toute personne qui est dans la
Divine Présence. Pour ceux qui sont pécheurs, d'abord, qui ne Te
connaissent pas, afin que ce soir, qu'il y ait une guérison de leur âme
et de leur esprit, pour qu'ils puissent devenir complètement Tes
serviteurs ce soir. Nous prions, Père, que ceux qui sont restés
neutres, comme nous dirions, ils ne savent pas vers quel chemin se
tourner, et il se peut que ceci soit leur dernière opportunité. Nous
prions, Père, qu'ils tournent leur regard vers le Ciel. Accorde-le,
Seigneur.
3 Nous ne voudrions pas oublier ceux qui sont en
convalescence, qui sont dans les hôpitaux et dans les maisons de
retraite, et qui sont malades et ne peuvent assister au service,
quoiqu'ils l'aient souhaité. Nous voudrions demander que les Anges de
Dieu s'approchent de leur chevet ce soir. Et peut-être qu'à cause du
fait que nous sommes assemblés et prions, Tu laisseras la puissance de
la guérison venir à eux, afin qu'ils puissent venir demain soir au
service, et continuer. Accorde-le, Seigneur.
4 S'il y en a quelques-uns ici qui sont malades et
affligés, puisse ceci être le soir de leur délivrance. Bénis-nous
ensemble, tandis que nous nous attendons davantage à Toi, car nous le
demandons au Nom de Jésus et pour l'amour de Lui. Amen. Vous pouvez
vous asseoir.
5 C'est si agréable de revenir dans la Maison du
Seigneur, ce soir! J'arrivais là dehors, à la porte, et j'ai rencontré
un garçon. J'ai tendu la main comme ceci et j'ai saisi sa main, c'était
le fils de Frère John Sharritt. Je ne sais pas comment ce garçon a
autant grandi. Je lui ai demandé si David était aussi grand que lui. Eh
bien! j'ai l'impression qu'il n'y a qu'un an que je suis venu ici. Et
je pense qu'il y a environ trois ans. Mais il était juste un petit
garçon, courant çà et là avec une paire de salopettes. Et le voici ce
soir, un beau jeune homme robuste et grand, je dirai (eh bien! je ne
pense pas qu'il écoute), mais il a certainement grandi. Et c'est ainsi
que tout va. Nous grandissons en nous éloignant de nous-mêmes.
6 Et j'étais sorti aujourd'hui au mont Camelback, là
où je me promenais, il y a trente ans, dans le désert, à dos de cheval.
Je chassais les 'burros' [espèce d'ânes sauvages d'Amérique. - N.D.T.]
sur la South Mountain. Je ne crois pas qu'il en reste, tout est
entrecoupé de routes et d'autoroutes. Eh bien! il y a une chose: «Ici,
nous n'avons pas de cité permanente; mais nous cherchons Celle qui est
à venir, dont l'Architecte et le Constructeur est Dieu.» Je sais que
des gens arrivent, et que vous devez vous étendre; mais je déteste voir
les anciens parterres de cactus s'en aller et être remplacés par des
ensembles immobiliers.
Et double--et il semble juste que... je déteste voir
cela. J'espérais ne pas vivre assez longtemps pour ne pas voir cela.
J'aime tout simplement ce qui est originel. Oh! vous possédez de belles
habitations, c'est vrai. Mais cela est perverti, c'est ce qu'a fait
l'homme. Ma conception de la beauté n'est pas ce que l'homme a fait, ma
conception de la beauté est la manière que Dieu le fait. Juste
regarder, c'est ainsi que je l'aime.
7 Mais notre nation s'en va, nos peuples s'en vont,
et tout ici s'en va. Je me suis tenu là où les grands Pharaons se sont
trouvés autrefois, et les grandes puissances qui ont gouverné le monde;
vous devez creuser vingt pieds sous terre pour trouver les ruines de
leur royaume. Et là où ont vécu les césars de Rome; vous vous promenez
dans la rue et ils vous disent: «Vingt pieds ci-dessous se trouvait
Untel, le grand empereur.»
Oh! la la! Tout cela parce que nous n'avons pas de
cité permanente.
Ainsi notre espérance n'est bâtie sur rien d'autre
Que le Sang de Jésus avec Sa justice;
Lorsque tout autour de mon âme cède,
Il est alors toute mon espérance et mon soutien,
Sur Christ, le Rocher solide, je me tiens;
Tout autre terrain est du sable mouvant.
C'est cela que nous attendons.
8 Et maintenant, ce soir, nous voyons que les gens
sont debout, tout autour, de tout côté. Et je comprends que demain
soir, on doive descendre à l'Auditorium, ou le Madison Square Garden.
Dites, j'espère qu'ils n'ont pas transporté cela dans l'Ouest.
9 Tout va dans l'Ouest. J'ai entendu, il y a quelque
temps, un petit poème qui disait: «On a transformé les pâturages...
Quand les gens de l'Est sont venus vers l'Ouest, ils ont transformé les
pâturages ici en un terrain de golf. Et ils ont pris le vieil enclos à
bestiaux et en ont fait une piscine; ils ont mis les coyotes dans les
zoos, à New York.» Et il disait: «Il y a seulement une chose qui est
restée, c'est une corde avec laquelle ils se pendront, à un cotonnier.»
Ainsi, je pense que c'est à peu près ainsi que cela va. C'est vrai! Oui.
10 Avez-vous déjà remarqué que la civilisation se
déplace de l'Est vers l'Ouest? Et là où la civilisation arrive, elle
pollue tout sur son chemin. C'est exactement la vérité. Vous pensez que
je suis un pessimiste ce soir même, n'est-ce pas? Mais cela... Je
désire vous prêcher sur, l'un de ces soirs, alors que je suis ici, le
Seigneur voulant, sur: quand l'Est et l'Ouest se rencontrent. Et c'est
ce qu'ils ont fait. Nous... La plus vieille civilisation est la Chine.
Et si nous allons droit vers l'Ouest, nous allons droit en Chine à
nouveau. Il n'y a que l'océan entre les deux. Et l'Est et l'Ouest se
déplacent ensemble.
11 Et rappelez-vous, la Bible dit, le prophète a dit
que «Il y aurait un jour à venir qui ne serait ni jour ni nuit, une
sorte de jour sombre; mais vers le soir il y aura de la lumière, au
temps du soir.»
12 Maintenant, la civilisation a voyagé de l'Est vers
l'Ouest. Et comme le soleil se lève géographiquement, il se lève à
l'Est et voyage vers l'Ouest, et il se couche à l'Ouest.
13 Par conséquent, voyons ce qu'a fait le F-i-l-s
(s-o-n) quand Il a apporté la Lumière de l'Évangile. Au commencement,
il y a eu une Pentecôte sur le peuple de l'est, un déversement du
Saint-Esprit, des signes, des prodiges, des miracles, de grandes choses
ont eu lieu.
14 Maintenant nous avons eu un jour qui n'a été ni
jour ni nuit, il est sombre. Nous avons eu suffisamment de choses comme
se joindre à l'église, mettre notre nom dans le livre. «Mais vers le
temps du soir la Lumière paraîtra.» Le même soleil qui se lève à l'Est
se couche à l'Ouest. Et donc ce grand Saint-Esprit, au cours des ans, a
fait briller suffisamment de lumière dans les églises et les
dénominations, et ainsi de suite, pour qu'un peuple soit sauvé tout au
long des âges.
15 Mais les lumières du temps du soir sont à présent
arrivées! Et le même Saint-Esprit, avec la même manifestation, faisant
les mêmes choses, oeuvrant comme Il le fit, est en train de briller sur
le peuple de l'Ouest, prenant parmi les Nations un peuple pour la
gloire de Son Nom. Amen!
16 Et maintenant l'Est et l'Ouest se sont rencontrés,
et les civilisations sont entrées en collision; cela a amené le monde
dans une des conditions les plus ridicules et non civilisées que le
monde ait jamais vues ou rêvées. Nous en parlerons l'un de ces soirs;
ce n'était pas de cela que je voulais parler ce soir. Mais c'est
certainement un temps, montrant que nous sommes au temps de la fin.
C'est ce que j'essaie de faire, avertir constamment les gens que nous
sommes au temps de la fin.
17 Que pouvons-nous faire? Il n'y a plus d'espoir en
quoi que ce soit; seulement en Christ. Souvenez-vous de cela! Christ
est l'unique soutien que nous ayons.
18 Nous ne pouvons regarder à la démocratie. Elle
était bonne, mais elle a marché, elle a vécu son temps. Les rois ont
vécu leur temps, les royaumes et les dictateurs, tous ont vécu leur
temps. La démocratie fut la meilleure chose qu'ils avaient, mais elle
est si polluée, par la politique, elle est pourrie jusqu'au coeur. Il
n'y a plus aucun espoir pour elle. Vous êtes comme en train d'essayer
de construire sur une ville carbonisée qui ne peut être rebâtie. Vous
ne pouvez la bâtir. Elle est ruinée et finie. Et cela doit être ainsi.
Ça doit arriver de cette manière. La Bible dit que cela sera ainsi.
19 Satan est le gouverneur de toutes les nations.
Chaque royaume appartient à Satan, et il les gouverne selon sa propre
manière de gouverner. Mais ne les avait-il pas offerts au Fils de Dieu
un jour? «Ceux-ci sont miens, je fais d'eux tout ce que je veux, tous
les royaumes du monde.» C'est la raison pour laquelle ils se battent,
tuent et massacrent.
20 Mais Jésus a dit: «Arrière de Moi, Satan!»
21 Car Il savait qu'Il les hériterait. «Et
réjouissez-vous, vous tous les cieux et vous les saints prophètes, car
le royaume de ce monde est devenu le Royaume de notre Seigneur, et Il
le gouvernera et régnera pendant mille ans.» Alors, il n'y aura plus de
guerre. Oh! ce grand jour à venir! Oh!
22 Laissez-moi vous persuader, au Nom de Christ!
Vous, précieuses personnes ici, mettez toute votre espérance en Lui,
car Il est l'unique fondement. Car une secousse vient. La démocratie
s'est effondrée en morceaux. Les royaumes s'effondrent, les nations se
disloquent; nous sommes à la fin de toutes choses. «Mais nous recevons
un Royaume qui ne peut être ébranlé; solide, inébranlable, toujours
abondant dans la miséricorde de Dieu.» Oh! j'aime cela! Je suis si
content, ce soir, d'être un chrétien! Je ne sais pas ce que je ferais
si je n'étais pas un chrétien. J'aurais probablement été un sinistre
cas de suicide, si je n'étais pas chrétien. Car, connaissant et voyant
ces choses, et avec le don que le Seigneur m'a donné, de voir par
avance et de comprendre ce qu'Il va me laisser faire. Il me montre
cela. Je sais que c'est juste là-bas, de l'autre côté de l'horizon,
voyez. Le fait de voir cela si près me fait crier de toutes mes forces:
«Oh! fuyez le courroux à venir!»
23 Dieu, sois miséricordieux. Père céleste, ô Dieu,
je prie. D'une manière ou l'autre, aide-nous, Seigneur. Donne-nous une
compréhension de ce grand quelque chose qui glisse comme un serpent,
séduisant. Comme il en était de l'oiseau qui avait autrefois été libre,
perché sur l'arbre, mais maintenant, le serpent a attiré son attention.
Et il est en tain de se faufiler, de céder, bientôt il sera dans sa
gueule et ses crochets vénéneux. Dieu, sois miséricordieux. Puisse
chacun ce soir ici, qui n'est pas parfaitement ancré en Christ Jésus,
le Fils de Dieu, puissent-ils venir ce soir et naître de nouveau de
l'Esprit, Seigneur, afin que leur espérance puisse être dans Sa Venue,
«tous ceux qui aiment Sa venue.» Accorde-le, Seigneur. Dans le Nom de
Jésus, nous prions. Amen.
24 Je désire prendre mon sujet ce soir, le Seigneur
voulant, du livre de 1 Pierre. Et si vous voulez lire avec moi,
1 Pierre, le cinquième chapitre, et commençons vers le cinquième
verset. 1 Pierre 5, en commençant par le cinquième verset:
De même, vous qui êtes jeunes, soyez soumis aux
anciens; et tous, dans vos rapports mutuels, revêtez-vous d'humilité,
car Dieu résiste aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles.
Humiliez-vous donc sous la puissante main de Dieu,
afin qu'Il vous élève au temps convenable; et déchargez-vous sur lui de
tous vos soucis, car Lui-même prend soin de vous.
25 Quelle belle Écriture! Maintenant, j'aimerais
prendre ceci comme sujet: Il prend soin de vous.
26 Et il est aussi écrit, dans le quatorzième
chapitre de Saint Jean:
Que votre coeur ne se trouble pas. Croyez en Dieu et
croyez en Moi.
Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon
Père: si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer
une place.
Et lorsque je m'en serai allé et que je vous aurai
préparé une place, reviendrai et je vous prendrai avec moi, afin que là
où je suis, vous y soyez aussi.
27 Une autre déclaration des Écritures, est qu'Il
prierait le Père et qu'Il nous donnerait «un autre Consolateur». Et ce
Consolateur serait le Saint-Esprit, que le monde ne pourrait pas
recevoir, mais Il serait un Consolateur pour le croyant. Et quand Il
viendra, Il rendra témoignage de Moi, et vous rappellera les choses que
Je vous ai enseignées, et Il vous montrera les choses à venir. Le
Saint-Esprit béni!
28 Et au temps de Paul, lorsqu'il a dit: «Si nous...
un ignorant vient parmi vous, et que vous tous parliez en langues, et
qu'il n'y ait pas d'interprète, alors le non-croyant dira que vous êtes
fous. Mais s'il y a une prophétie qui révèle le secret du coeur,
dit-il, alors ils tomberont sur leur face et diront que vraiment Dieu
est avec vous.»
29 Et nous voici en ce jour, avec ce même
Consolateur, Se manifestant Lui-même, de la même manière qu'Il le fit
alors. Quelle consolation! Avec une promesse!
30 Mais tout le monde n'a pas ce merveilleux
Consolateur. Ils--ils ne l'ont pas. Ils n'ont pas Cela. Ils Le
refusent; ils Le rejettent parce qu'ils ne croient pas en Cela.
31 Il y a seulement une façon par laquelle vous
puissiez jamais recevoir ce merveilleux Consolateur, c'est quand vous
croyez au Seigneur Jésus-Christ; vous confessez vos péchés, vous vous
repentez, le baptême chrétien vous est administré, et il y a une
promesse que Dieu vous remplira du Saint-Esprit. Cela est Sa promesse.
Il ne peut revenir sur Cela. C'est Sa promesse. J'ai toujours dit que
si une personne était entièrement enseignée; et qu'elle se soit
repentie, de tout son coeur, elle a cru en Dieu avec tout ce qui est en
elle; et lorsqu'elle est baptisée, immédiatement le Saint-Esprit
viendra sur elle, parce qu'il a promis de le faire. Il L'a promis.
«Vous recevrez le Saint-Esprit, car la promesse est pour vous!»
32 Or, les gens aujourd'hui, la raison pour laquelle
ils ne reçoivent pas Cela, c'est parce que ça s'interpose dans leur vie
spirituelle, qu'ils désirent vivre. La Bible dit que «Le monde, les
hommes, ont aimé les ténèbres plus que la Lumière, parce que leurs
actions sont mauvaises.» Et une personne qui aime marcher dans les
ténèbres et faire de mauvaises choses, est... aime de méchantes
oeuvres, elle ne peut aimer le Saint-Esprit. Parce que, la Bible a dit:
«Si vous aimez le monde, ou les choses du monde, l'Amour de Dieu n'est
même pas en vous.»
33 Maintenant, vous pourriez avoir entendu ces
Écritures avant, mais prenons les vraiment en considération. Sont-Elles
vraies? Elles sont plus vraies que le fait que vous soyez assis dans
cette église ce soir. Elles sont plus vraies que le fait que ceci est
l'état d'Arizona. Elles sont plus vraies que le fait que vous êtes un
être humain vivant. Elles sont les Paroles Éternelles de Dieu, et Ses
promesses. Et les cieux et la terre passeront, mais ces Paroles ne
passeront jamais. Elles ont une signification, une signification
sublime. Mais Elles ne signifieront jamais rien pour vous jusqu'à ce
que Dieu vous Les révèle. Comme c'est beau de savoir qu'Il prend soin
de nous! Donc, si...
34 L'homme, il a été créé pour désirer être consolé.
Ainsi donc, s'il n'accepte pas la voie de Dieu, alors il suivra sa
propre voie. Et il essaiera de substituer quelque chose pour prendre la
place du Saint-Esprit. Oh! je veux que vous écoutiez cela! Un homme ou
une femme, qui n'acceptera pas le Saint-Esprit, le Consolateur,
essayera de se consoler lui-même avec un certain substitut extrême que
Satan lui présentera. Satan a suffisamment de substituts. Mais pourquoi
devons-nous avoir un substitut, quand les cieux de la Pentecôte sont
remplis de ce qui est réel? Pourquoi mangerais-je dans une poubelle,
quand une table propre est dressée, pleine de mets choisis? Je serais
mentalement dérangé, si je faisais cela. Maintenant, quel dommage, de
voir l'homme essayer de substituer quelque chose pour prendre cette
place-là. Quelquefois, il essayera d'apaiser sa conscience en sortant...
35 Comme les mères, qui essaient parfois d'apprendre
à leurs jeunes filles à devenir populaires. À faire... elles, toute
leur ambition est de faire de cette jeune fille une danseuse de ballet
ou quelque chose. Et vous savez que vous êtes en train de lui donner de
la strychnine, vous êtes en train de lui donner de l'arsenic qui ne
fera rien que briser son coeur et l'envoyer à une tombe du diable ou à
un enfer du diable et à une tombe de pécheur, car il n'y a rien de bon
qui puisse venir de cela. Mais vous essayez de penser: «Si ma fille
pouvait devenir ceci ou cela!»
Et vous les envoyez même à un endroit tel que notre
Y.M.C.A., où elles font des exercices de «rock'n roll». Et les
personnes âgées participent à des danses populaires, ou une sorte de
«hoedown». [sorte de danse paysanne. - N.D.T.]
36 Lorsqu'elles atteignent l'âge de trente ans,
environ, elles attrapent le cafard. Elles pensent que: «Donc, parce que
j'ai atteint cet âge, je n'ai pas suffisamment fait les 400 coups.» Et
elles essaient parfois de tricher dans leurs voeux de mariage, à la
fois les hommes et les femmes. Ils sont tous coupables! Qu'est-ce qui
ne va pas? Ils manquent de quelque chose.
37 Quelquefois, elles se mettent à boire. Après
qu'elles soient devenues plus vieilles, eh bien! elles descendront au
bar, et elles se mettront à boire. Et quand elles boivent, elles
essaient de boire sans répit. Juste un peu de bière, et puis encore de
la bière, et quelque temps après, elles finissent par devenir
alcooliques.
38 Et parfois, pour devenir populaires, elles
regarderont la télévision et elles fument dans la rue. C'est la chose
la plus vulgaire que les femmes ont faite au vingtième siècle, quand
elles ont commencé à fumer des cigarettes. C'est le plus grand
chroniqueur de la cinquième colonne que cette nation ait eu. Cela brise
la moralité, cela envoie plein d'aliénés mentaux dans ces institutions
ici, cela envoie plein de cas de tuberculose et de cancer dans les
hôpitaux; et tout ce qui en résulte, et pourtant ils le font pour
trouver de la consolation!
39 Dieu nous a donné quelque chose pour nous
consoler, le Saint-Esprit, le Consolateur de Dieu! Ces choses sont
seulement des substituts, cela conduira finalement à la déroute, à
l'escroquerie, au vol et à faire de mauvaises choses.
40 Ma petite fille m'a demandé l'autre soir, elle a
dit... Ou c'était le petit Joseph, il a dit: «Papa, existe-t-il une
chose telle qu'une sorcière?»
J'ai dit: «Oh! sûrement!»
41 Il a dit: «A-t-elle un long nez, et se
promène-t-elle sur un balai pendant la nuit?»
42 J'ai dit: «Non. Elle a un visage peinturluré, et
elle se promène dans une Cadillac, vers une partie de cocktail.» Cela
est la nouvelle version moderne.
43 Et il a dit: «Est-ce cela une sorcière?» Je ne
sais pas s'il fallait que je lui dise cela ou pas, parce que chaque
fois qu'il en voit une dans la rue, il dit: «Papa, voilà une sorcière,
n'est-ce pas?» Eh bien! je suppose que...
44 Vous savez, on s'était habitué au vieux Charley
Barleycorn. Quelques-uns d'entre vous, les plus vieux, vous souvenez de
lui, avec son chapeau tiré jusqu'au oreilles. Et même un corbeau aurait
peur de lui, Charley Barleycorn. Oh! il avait changé depuis que la
prohibition a disparu. Mais maintenant, on le trouve dans la porte de
tous les frigos, et il est l'individu le plus populaire de la ville.
Mais c'est encore la même chose maudite qui envoie l'âme de l'homme en
enfer, et les jeunes gens à l'institution pour aliénés; et qui a
produit ici un âge d'idiots du rock'n roll et de beatniks, la
délinquance juvénile, au point où c'est devenu une aliénation mentale.
Au point où nos écoles ne peuvent plus les atteindre; nous avons perdu
vingt mille enseignants l'année dernière.
45 Pourquoi? Ils cherchent Quelque chose. Ils
cherchent Cela, et l'église a manqué de Le leur donner. La raison pour
laquelle ils font cela, c'est parce qu'ils ont été créés ainsi, pour
chercher.
46 Finalement, à quoi cela aboutit? Au meurtre et au
suicide. Un homme qui pense faire quelque chose quand il obtient un
rendez-vous avec la femme de son voisin, ou qui va briser un foyer ou
une femme. Vous pensez vous en tirer avec quelque chose, mais
finalement vous finirez avec un pistolet sur la tempe, qui fera éclater
votre cerveau, ou vous fera sauter d'un échafaudage quelque part, ou
vous vous tuerez, vous prendrez du poison, de la drogue, ou quelque
chose, et vous serez dans une condition misérable, et vous mourrez et
vous irez dans l'enfer du diable, parce que vous avez rejeté le--le
vrai Remède.
47 Nous avons un Remède. Le Calvaire est ce
Remède-là. Christ est le Remède. Et Il est l'unique remède, l'unique
fondement, l'unique chemin. Il y a des choses que vous pouvez obtenir
de Christ que vous ne pouvez obtenir nulle part ailleurs. Christ est le
Chemin; non pas un chemin, c'est le Chemin. L'église, c'est bien, nous
les aimons, mais l'église n'est pas le chemin. Jésus est le Chemin!
Vous ne pouvez pas vous décharger de vos soucis sur l'église, l'église
n'a pas de Salut. Elle peut seulement vous diriger vers Jésus, Qui est
l'unique Salut. Il est le Chemin, la Vérité, la Vie. Le seul chemin
vers le Père est par Jésus! Le seul Consolateur, le Seul Qui peut, qui
sait comment prendre soin de nous.
48 Car, nous ne pouvons même pas prendre soin les uns
des autres. J'ai lu dans les Écritures, il y a quelque temps, où il est
dit: «ne discernant pas le Corps du Seigneur...» et j'ai pensé: Quelle
déclaration! Elle se trouve dans 1 Corinthiens 11.
...sans discerner le Corps du Seigneur...
C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup
d'infirmes et de malades...
49 Le Corps du Seigneur est l'Église. Et nous n'avons
pas assez de discernement spirituel pour prendre soin l'un de l'autre.
Comment pouvons-nous donc nous soucier si nous ne pouvons prendre soin
les uns des autres? Comment pouvons-nous nous soucier des perdus et des
mourants? À quel hôpital les emmènerions-nous? «Déchargez-vous sur Lui
de tous vos soucis, car Il prend soin de vous.»
50 Les hommes prennent des raccourcis, et ce qui leur
fait faire cela, c'est parce que... Dieu, lorsqu'Il a créé l'homme, Il
ne l'a pas créé pour faire cela. Il a créé l'homme pour être heureux,
pour avoir la satisfaction, pour être consolé. L'homme... Dieu ne veut
pas que Ses enfants soient malheureux. Vous ne...
51 Eh bien! vous, les mamans, vous vous levez au
milieu de la nuit, même si vous êtes vous-mêmes tellement malades, si
le cadet s'était ôté la couverture en gigotant, et que vous sachiez que
le petit gars pourrait s'enrhumer, vous vous efforceriez de toute
manière de venir à son chevet, pour le mettre à l'aise. Si l'un de vos
bien-aimés était au lit, malade de la fièvre, vous pourriez rester là
avec un linge pour humecter son visage avec de l'eau fraîche, pour le
mettre à l'aise; vous le feriez, à l'un de vos enfants. Vous vous
assiériez là, quoique vous soyez malade vous-même, et vous auriez
besoin d'être au lit; vous vous assiériez néanmoins là, parce que vos
enfants représentent quelque chose pour vous. Ils sont une partie de
vous. Ils sont votre vie.
52 Et l'Église est la Vie de Dieu, sur Terre, et Il
désire consoler Son Église.
53 Et qu'en serait-il, si vous saviez qu'essuyer le
front de votre enfant qui a la fièvre le réconforterait, et qu'il
refuse, et vous crache au visage, et qu'il tende la main et prenne une
bouteille de whisky ou quelque chose d'autre, pour boire, au lieu de la
touche de la main de sa mère, ou quelque chose.
54 C'est ce que nous faisons quand nous nous tournons
vers d'autres remèdes. Il y a plusieurs remèdes, mais une Cure. Christ
est la Cure, et l'unique Cure ici. Il prend soin de nous. Il nous aime,
et Il veut que nous venions à Lui. Dieu nous a créés ainsi, cette chose
sainte en nous qui désire être consolée.
55 Dieu a donné une femme à l'homme, pour le
consoler, pour le toucher. Beaucoup d'hommes savent, ceux qui ont une
bonne épouse, qu'il y a quelque chose à propos de ce que peut faire une
bonne épouse. Un homme qui est bouleversé dans ses affaires ou dans sa
situation sociale, et qui peut rentrer à la maison; peu importe... il
n'y a personne, aucun docteur...
56 C'est ainsi avec moi. Lorsque je reviens
d'outre-mer, ou de quelque part, et que je sois si nerveux et
bouleversé que j'en perde le sommeil, à entendre les cris, et voir les
petits enfants affamés dans la rue, et, oh! qui marchent et pleurent;
cela me tue. Alors, quand je reviens à la maison, si ma femme s'assied
sur le bras de la chaise, met les mains autour de moi et dit: «Oh!
Billy, je le comprends, tu sais.»
57 Juste quelques petites tapes de ma femme
signifient tant; c'est la même chose pour un mari envers sa femme.
C'est de cette manière que Dieu veut que cela soit. Et quand nous
prenons un substitut pour cela et que vous prenez une autre femme pour
prendre cette place, ou un autre homme, vous voyez ce que vous faites.
58 Maintenant, eh bien! Il nous donne des amis. Il
aime..; Nous devrions être amis. Nous devrions être Frères. Et comme
c'est agréable d'aller vers un bon ami, dans un temps de problèmes, et
de dire: «Oh! mon ami, telle et telle chose m'est arrivée.» Et un bon
et loyal ami avec lequel vous asseoir, c'est merveilleux. Cela est de
Dieu. Juste comme votre femme est de Dieu, votre mari, lorsque vous
êtes sincère.
59 Mais c'est devenu ainsi dans l'homme même, pour
montrer sa nature déchue, il dégrade ce que Dieu lui a donné. En
premier lieu, il a pris la bouteille, ou le monde, pour le réconforter,
à la place du Saint-Esprit. Dieu lui a donné une femme pour être la
compagne de sa vie, et il n'est pas satisfait avec une, il doit en
avoir une autre et encore une autre; et vice versa, la femme à l'égard
de l'homme, les jeunes gens et ainsi de suite.
60 Et même tous ces consolateurs-là que le Seigneur
nous a donnés! Lorsque nous arrivons à la fin du voyage, que nous
pressons l'oreiller contre notre front fiévreux, quand nous sommes en
train de mourir, notre femme ne peut que se tenir debout et laisser les
larmes couler sur son visage, les yeux levés vers Dieu; notre ami peut
nous tapoter l'épaule et nous serrer la main. Il se tient debout en se
tordant les mains, parce qu'il ne peut aller plus loin. Mais alors,
quand le Consolateur, comme l'avait dit David: «Oh! quoique je marche
dans la vallée de l'ombre de la mort, je ne craindrai aucun mal, car Tu
es avec moi. Ta houlette et Ton bâton me réconfortent. Même dans la
vallée de l'ombre de la mort.»
61 Pourquoi l'homme a-t-il faim et soif? Parce que,
lorsqu'il fut créé, il fut fait et créé avec une petite place en lui où
Dieu demeurait, pour le consoler. Et quand il se déroba, loin de Dieu,
par le péché, alors cet endroit devint vacant. Et c'est pourquoi il a
faim de Cela, il cherche à atteindre Cela.
62 Et le problème aujourd'hui, avec nous les
Chrétiens, je crains que nous ne soyons pas en train de faire tout ce
que nous pouvons pour montrer à notre Frère qui est tombé que c'est
cela qui ne va pas avec lui. C'est le problème de la délinquance
juvénile, c'est parce qu'il y a une délinquance dans l'église et une
délinquance à la maison; c'est ce qui a rendu la jeunesse délinquante.
63 C'est la raison pour laquelle il y a ces beatniks
et ainsi de suite, sautillant et faisant germer toutes ces choses;
c'est parce qu'ils essaient de trouver quelque chose qui leur donne de
la satisfaction.
64 Laissez -moi dire ceci ce soir, dans le Nom du
Seigneur Jésus: il n'y a rien qui donnera la satisfaction comme la
venue de la Puissance du Saint-Esprit, qui changera votre vie et vos
attitudes, et vous donnera consolation et Vie éternelle.
Il y a une Fontaine remplie de Sang,
Tiré des veines d'Emmanuel,
Et les pécheurs plongés sous ce flot,
Perdent toutes leurs taches coupables.
65 Il se pourrait qu'une femme console et tapote. Un
ami pourrait s'asseoir et donner un bon conseil, mais il y a seulement
une chose qui peut ôter le péché, c'est le Sang du Seigneur Jésus!
Qu'est-ce qui peut ôter mon péché?
Rien que le Sang de Jésus;
Qu'est-ce qui peut me rendre pur?
Rien que le Sang de Jésus.
Comme l'a dit le poète:
Oh! précieux est ce flot-là,
Qui me rend blanc comme neige;
Je ne connais pas d'autre source,
Rien que le Sang de Jésus.
66 C'est cela! Cela lave et purifie, et amène dans
une communion. «Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus.
Cependant vous me verrez, car Je (un pronom personnel) serai avec vous,
même en vous, jusqu'à la fin du monde. Et quand Lui, le Saint-Esprit
sera venu, Il viendra, Il sera le Consolateur que le Père enverra en
Mon Nom. Il vous montrera les choses à venir, et Il vous rappellera
toutes choses.» Quand? Étant donné que nous sommes assis ensemble dans
les lieux célestes en Christ Jésus, le Saint-Esprit venant au travers
de la Parole, descendant, réconfortant et donnant la consolation.
67 La venue de la destruction du monde! Toutes les
choses qui ont été sont en train de s'évanouir maintenant. Tout espoir
s'est envolé, et le monde n'a pas d'endroit où se tenir. On boit, on
fait des paris, on se marie, on donne en mariage, parce qu'ils ont
rejeté la vraie Fontaine de la consolation, le Saint-Esprit.
68 Mais nous, qui croyons en Lui, nous cherchons un
Royaume à venir (Béni soit le Nom du Seigneur!) où il n'y aura plus de
chagrin, ni de pleurs, ni de maladies de coeur; mais la paix, la joie,
l'amour et l'immortalité. C'est ce qui prendra place un jour.
69 Déchargez-vous de vos soucis! Si vous avez des
soucis, déchargez-les sur Lui, car Il prend soin de vous. L'autre
conduit à la mort éternelle, Ceci conduit à la Vie éternelle. Et un
homme est fait de manière à pouvoir désirer ce Consolateur-là. Il
désire un consolateur, parce qu'il a été fait ainsi. C'est de cette
manière que Dieu l'a formé, Il a construit des compartiments en lui:
son âme, sa conscience, sa vue, ses sens; tout fut assemblé. Et dans ce
petit compartiment, quelque chose qui le rende heureux, qui lui donne
consolation, qui ôte de lui les ennuis et la nervosité, Dieu a placé là
le Saint-Esprit. Oh! quelle image! Quelle vérité!
70 Maintenant, mon pauvre ami découragé, si vous êtes
ici et que vous ne sachiez pas cela, je suis un témoin que c'est la
Vérité. Je suis une personne nerveuse et bouleversée. Je suis Irlandais
des deux côtés, et--et ils sont nerveux et ivrognes. Et ma mère est une
demi-indienne. Ce qui en réalité ferait de moi un renégat de naissance.
C'est juste. Oh! j'aurais été une personne terrible, un métis presque.
Mais qu'est-ce qui s'est passé? J'ai trouvé quelque chose qui a pris ce
petit compartiment en moi, et m'a donné la paix qui surpasse
l'entendement, et je suis passé de la mort à la Vie, des ténèbres à la
Lumière. Oh! je ne pourrais pas renier Cela. C'est ma vie. Il est tout!
71 Je me tenais là-bas à l'hôpital, quand je suis
arrivé le plus près... de mes trente-trois années de ministère, le plus
près de céder à Satan; lorsque ma petite fille, Sharon Rose, était
mourante à l'hôpital. Et je me tenais là, et le docteur ne savait même
pas que j'étais dans la pièce.
72 Il ne voulait pas me laisser entrer parce qu'elle
avait la méningite. Il disait: «Billy, tu vas la transmettre à Billy
Junior. N'entre pas là.»
Et je dis: «Doc!» et il me fit asseoir.
73 Il dit à l'infirmière: «Allez chercher un
médicament et donnez lui.»
74 Elle est arrivée avec un petit verre haut comme
cela et dit: «Prenez ceci, Frère Branham.»
75 Et j'ai dit: «Posez simplement cela.» Et je l'ai
observée jusqu'à ce qu'elle soit sortie de la salle. Ensuite j'ai
traversé le hall et je suis descendu au sous-sol!
76 Et là, mon bébé était étendu, couché là avec des
mouches dans les yeux; il y avait une petite moustiquaire au-dessus de
son visage et elle l'avait ôtée en donnant des coups de pieds. et je
regardais la mère de la petite étendue dans la morgue; son petit frère
Billy, à l'hôpital, gravement malade. Mon père venait de mourir dans
mes bras, quelques semaines auparavant. Et mon frère, qui avait été tué
sur le coup. Et c'était là, et je n'étais qu'un garçon prédicateur! Et
je la regardais, je la regardais. J'ai dit: «Oh! Sharon chérie! C'est
papa, me reconnais-tu?» Et je savais qu'elle me reconnaissait. Elle
essayait, il semblait, de me faire signe «au revoir». Et ses petits
yeux louchaient. Elle souffrait tellement que ses petits yeux bleus
louchaient.
77 Et ensuite je l'ai regardée. Je suis tombé à
genoux et j'ai dit: «Ô Dieu, sa maman se trouva là dans la morgue, nous
devons l'ensevelir demain matin. Ne prends pas mon bébé, Seigneur.
Laisse-moi l'élever. Elle est si douce! Ne la prends pas, Seigneur.»
Juste alors, il a semblé comme un drap noir venant se déployer, qui
interrompit la vision d'elle. «Prends-la, de toute façon!» Je me suis
levé.
78 Et puis, Satan est venu à mes côtés et a dit: «Et
alors tu Le servirais? Te voilà, tu n'es qu'un garçon. Et tu veux
dire... Qu'as-tu fait? Tu t'es tenu au coin des rues, partout où tu
pouvais, et tu as jeûné jusqu'à ce que tu deviennes tellement faible
que tu ne pouvais pas grimper sur un poteau de téléphone, pour faire
ton travail. Et qu'as-tu fait si ce n'est prêcher, crier et prier? Et
un mot de Sa part changerait tout le tableau, mais le ferait-Il? Non,
Il ne le fera pas. Il la laissera mourir. Et alors, tu retourneras Le
servir?»
Je suis presque arrivé, en cette heure-là...
79 Quand mes jambes ne purent plus me soutenir, je me
suis appuyé sur le lit. J'ai dit: «Chérie, tu reconnais papa?» Et
elle... je pouvais comme l'entendre respirer péniblement, et elle
regardait. J'ai su qu'elle mourait.
80 Je pensais: «Juste un mot!» Ce n'était même pas
nécessaire qu'Il le prononce, un simple regard... Sa propre pensée
aurait changé le tableau et la méningite l'aurait quittée et elle
serait guérie. Juste un mot! Mais pourtant, Il ne le fera pas.»
Satan dit: «Alors, tu continueras à Le servir?»
81 Et je pensais: «Où irais-je? Que pourrais-je
faire? À qui pourrais-je aller? Où est mon espérance? Quelque chose
m'est arrivé, disais-je, il y a quelques années, et je sais que je
L'aime!»
82 Je me suis approché du lit, j'ai mis les mains sur
sa petite tête, j'ai dit: «Chérie, Dieu t'a donnée, et Dieu te reprend;
béni soit le Nom du Seigneur!»
"Et même si Tu me tues, néanmoins je me confierai en
Toi!» Oui, certainement!
83 J'ai dit: «Je te prendrai, chérie, et je te
déposerai dans les bras de ta mère, là-bas, dans la morgue de
l'entrepreneur des pompes funèbres, dans environ une heure. Mais
néanmoins, s'Il me tue, il n'y a pas d'endroit où je puisse aller. Il
est l'unique espoir que j'aie jamais trouvé. Il est l'unique fondement.
Il est l'unique consolation que j'aie jamais eue. Et où pourrais-je
aller maintenant, pour trouver consolation, si ce n'est à Lui?
84 Comme je disais cela, les Anges sont venus et
l'emportèrent. Et je me suis presque effondré, mais quelque chose est
arrivé! Il fut mon Consolateur. Il est venu vers moi, Il a prit soin de
moi.
85 Je suis allé sur la tombe, jour après jour, pour
faire face à l'obligation d'aller là chaque jour, pour pleurer un
moment et prier. Le sénateur d'état était membre de mon église,
l'église Baptiste. Et ainsi, j'étais sur la route et monsieur Isler, il
dit... il vint, me vit et s'arrêta; il courut vers moi et mis les bras
autour de moi. Je portais des bottes, c'était juste après l'inondation
de 37. Et je remontais la rue, les mains derrière moi. Et monsieur
Isler s'est arrêté, et il courut vers moi; il dit: «Billy, je veux te
demander quelque chose, fils.» C'est un vieil homme, il est encore
vivant, il tend vers ses dernières années maintenant.
Et j'ai dit: «Qu'y a-t-il, monsieur Isler?»
86 Il dit: «Je t'ai entendu prêcher. Je t'ai entendu
parler, comment tu exaltais Christ et disais toutes ces choses à Son
sujet! Et Il a laissé ton papa mourir là, juste dans tes bras, par une
dose trop forte de médicament, qui l'a tué.»
87 Un docteur l'a tué. Ne sachant pas ce qu'il était
en train de faire, il lui a donné un demi grain de strychnine, et ça
l'a tué. Et je... Et il est mort juste dans mes bras, en me regardant
dans les yeux.
88 Deux ou trois jours après cela, je regardais une
chère chrétienne, ma belle-soeur, la femme de mon frère, mourir; et je
l'ai vue se lever et regarder un rouge-gorge perché sur un arbre, et
chantant: «Il y a un Pays au-delà du fleuve».
89 Et ma femme est morte, je la tenais par la main,
elle a dit: «Billy, tu en as parlé, tu as prêché à ce sujet, mais tu ne
sais pas combien c'est glorieux de quitter cette vie pour une Autre.»
Toutes ces choses que je L'avais vu faire!
90 Et, oh! il disait: «Maintenant, Il a pris tout ce
que tu avais. Que signifie-t-Il pour toi maintenant?»
91 J'ai dit: «Tu es le fleuve de toute ma
consolation, plus que la vie pour moi; qui ai-je sur Terre en dehors de
Toi, ou qui dans le ciel, si ce n'est Toi?» Oh!
Il a dit: «Cela signifie-t-il autant pour toi?»
Et j'ai dit: «Cela signifie autant pour moi!»
92 J'ai continué à gravir le flanc de la colline, là
où elle fut enterrée. Et je me suis assis là un petit moment, et il m'a
semblé qu'une colombe est apparue, elle a chanté ou roucoulé, tard dans
la soirée, tandis que j'étais assis là et que je pensais à elle; et au
bébé couché là dans ses bras. Et il m'a semblé que la brise soufflait à
travers les bois de pin, qui chantait:
Il y a un Pays au-delà du fleuve,
Qu'on appelle «doux» à jamais,
Et nous atteignons seulement cette rive
Par les degrés de la foi;
Un à un nous atteignons ce portail,
Pour demeurer là avec l'Immortel,
Un jour ils feront tinter ces cloches d'or
Pour toi et moi.
93 Ce sont les dernières choses que j'ai dites à ma
femme quand elle mourut; je l'ai embrassée en guise d'au revoir. Elle
dit: «Ne vis pas en célibataire, Billy. Cherche une bonne épouse qui
est remplie du Saint-Esprit, pour élever nos enfants.» Elle ne savait
pas que le bébé allait mourir le jour suivant. Et elle dit: «Je te
rencontrerai ce matin-là.» Elle dit...
94 J'ai dit: «Tiens-toi du côté Est de la porte. Et
lorsque tu verras Abraham, Isaac et Jacob, et ces enfants du Royaume
entrer, commence à crier 'Bill, Bill!' aussi fort que tu le peux. Je
rassemblerai les enfants et je te rencontrerai là.» C'était mon dernier
rendez-vous avec elle. Et avec l'aide de Dieu, je me déchargerai
toujours de mes soucis sur Lui, avec la consolation du Saint-Esprit,
afin qu'un jour je rende ce rendez-vous réel, lorsque je la
rencontrerai là.
95 Par la grâce de Dieu, je resterai sur le champ de
bataille et je prêcherai jusqu'à ce que toute ma vie soit investie dans
le Royaume de Dieu.
96 Oh! déchargez-vous de tous vos soucis sur Lui, Il
a pris soin de vous. Maintenant, Il prend soin de vous, nous le savons.
Demandons-nous, pendant quelques minutes, s'Il prend soin de nous. Très
bien.
97 Il a pris soin du lépreux quand Il était ici sur
terre; les lépreux s'asseyaient là.
98 Avez-vous déjà vu un lépreux? Oh! j'en ai vu
beaucoup, je les ai embrassées, ces personnes blanches de lèpre,
semblables à une verrue retournée.
99 Assis là où personne ne pouvait le toucher, en bas
dans la boue, la crasse et l'ordure de la rue, aussi pauvre qu'il est
possible, tout le monde ayant peur de l'approcher. Il était un...
C'était un banni. Il était rejeté de la société, de l'église, de la
compagnie de tous dans la ville. Personne ne voulait rien à voir avec
lui. Quand ils faisaient quelque chose, ils lui jetaient un morceau de
pain et le laissaient le ramasser dans la saleté. Ils ne s'approchaient
pas de lui.
100 Mais Jésus a pris soin de lui. Il a marché avec
lui et ils se sont assis. Je peux Le voir poser Ses mains sur lui, et
dire: «Je le veux, sois pur.» Oh! Il a pris soin de lui. Alors que nul
ne se souciait, Il a pris soin!
101 Quand personne ne se soucie de vous; Lui, Il
prend toujours soin!
102 Il y avait un vieux mendiant aveugle, avec ses
manches toutes déchirées, les favoris sur tout le visage, et n'ayant
rien à manger; il s'assit un jour près d'une porte, en train de
mendier. Et le Fils de Dieu était sur Son chemin vers le Calvaire, pour
être crucifié, avec les péchés du monde sur Lui; mais quelqu'un s'est
écrié: «Toi, Fils de David, aie pitié de moi!»
103 Un homme de ce calibre-là, un homme, un
Président, le maire, le gouverneur d'état, ou l'un des agents de la
police s'arrêterait-il pour une pareille chose? Vous le trouverez
rarement.
104 Mais Jésus prit soin. Il déchargea ses soucis sur
Lui, et Il prit soin. Il dit: «Que voudrais-tu que Je fasse pour toi?»
Il dit: «Seigneur, que je recouvre la vue.»
Il dit: «Ta foi t'a sauvé.» Il prit soin de Lui.
105 Il y avait une fois une femme immorale que les
femmes de la ville ne voulaient pas toucher. Elle était rejetée. Elle
sortit pour chercher de l'eau, elle devait attendre jusqu'à midi. Elle
ne pouvait pas venir avec les femmes décentes. Personne ne voulait rien
à voir avec la femme. Elle avait été mariée, et avait un tas de maris,
et elle vivait alors selon le droit coutumier. Personne ne se souciait
d'elle. Ils étaient trop opiniâtres et empesés. Personne ne se souciait!
106 Mais Il se soucia tellement d'elle qu'Il lui dit
les secrets de son coeur, et lui pardonna tout péché. Il mit Quelque
chose en elle, au point où elle courut dans la ville, disant: «Venez
voir un Homme qui m'a dit les choses que j'ai faites.»
107 Voyez, c'est ce qui Le rend grand pour moi. Il
n'est pas une chemise collet monté. Il était la grâce de Dieu pour les
gens. Il était l'Amour de Dieu exprimé dans la chair humaine. Peu
importe, petit ou insignifiant, Il se souciait: immoral, ivre,
alcoolique, quoi que c'était.
108 Je pense à la petite Rosella Griffith, à Chicago.
Son livre va paraître maintenant. Elle était venue à une réunion, si
vile que les Alcooliques Anonymes l'avaient abandonnée. Et environ six
ou huit hôpitaux célèbres de Chicago avaient rayé son nom de leur livre
«ne peut jamais revenir». Elle était devenue si pauvre que la seule
chose qui lui restait était un manteau que sa mère lui avait donné;
elle le coupa à l'intérieur et mettait ses bouteilles dedans, tellement
alcoolique, afin qu'elle ne gèle pas à mort, elle se couchait dans les
caniveaux pendant la nuit. Une jeune femme intelligente, instruite...
une misérable vieille sorcière. Elle s'était assise au balcon, là où
nous avions une réunion, dans l'Indiana; personne ne semblait se
soucier d'elle. Si on avait su qui c'était, on se serait éloigné d'elle.
109 Mais Jésus prit soin. Il me fit déplacer et je
dis: «La femme assise là-bas, son nom est Rosella Griffith. elle est
une alcoolique. Elle a été abandonnée par les Alcooliques Anonymes, et
on ne peut rien faire pour elle. Et ainsi tout espoir est perdu. Mais
elle a cru en Lui. AINSI DIT LE SEIGNEUR, à partir de cette heure, plus
d'alcool.» Et maintenant, elle est une chrétienne douce et aimable;
allant de lieu en lieu, de bar en bar, de prison en prison, prêchant
l'Évangile pour sauver les alcooliques.
110 Jésus prend soin; aussi, déchargez-vous
simplement de vos soucis sur Lui. Dans votre tristesse, Il prend soin.
Lorsque vous perdez ceux qui vous sont chers, Il prend soin. Il prend
soin des morts, ceux-là qui sont morts en Christ.
111 Un jour, Il était si fatigué, sur Son chemin,
qu'Il pouvait à peine marcher. Mais, il vint un groupe de la ville, un
cortège funèbre, et une petite mère lançait frénétiquement ses mains en
l'air et les tordait: «Oh! Jéhovah, pourquoi l'as-Tu pris? Il est mon
unique fils!»
112 Il était fatigué et épuisé, mais Il prit soin de
cette pauvre petite femme au coeur brisé. Il se dirigea vers les
porteurs, qui transportaient le cercueil, le toucha et dit: «Fils,
lève-toi!» Pourquoi? Il prit soin.
Il comprend. Maintenant, nous savons qu'Il prend
soin, par Sa vie.
113 Maintenant, la question pour nous ce soir est:
«Vous souciez-vous? Il prend soin. Mais maintenant, vous souciez-vous?
Si vous ne vous souciez pas de Lui, alors Il ne peut vous aider. Mais
si vous vous souciez suffisamment, ou vous soucier suffisamment de
vous-même! J'ai entendu des gens faire cette remarque insensée: «Ce que
je deviens m'est égal!»
Oh! la la! Moi, je me soucie sûrement de ce que je
deviens. Certainement. Je me soucie. Et je crois que toute personne,
qui est dans son bon sens, se soucie. Je désire connaître ce qui va
m'arriver. Et si je sais qu'Il m'a aimé, il n'y a personne d'autre qui
pourrait aimer comme cela. Il prend soin de vous. Il prend soin de
vous. Peu importe, que vous soyez petit, que vous soyez insignifiant,
pauvre, indifférent, combien de fois vous avez essayé et échoué, Il
prend toujours soin. Son amour frappe encore à la porte de votre coeur.
Mais sommes-nous ingrats pour ceci? En ce jour-ci où...
114 Je vous l'ai dit. J'espère que ça n'est pas passé
au-dessus de votre tête. J'espère que ça n'a pas traversé légèrement,
mais que vous vous souviendrez de ces paroles; que tout est à la fin.
La civilisation est à la fin, la démocratie est à sa fin. Tout! Cette
nation a mûri, pour éclater en morceaux, à tout moment. Oh! D'autres
nations, le monde est à sa fin; car tout ce qui est mortel doit mourir,
afin que l'immortalité puisse prendre place; Nous devons en arriver à
ce point. Nous y sommes. Nous sommes à la fin. Et il n'y a pas d'autre
fondement, il n'y a rien d'autre dont vous puissiez... et rien d'autre
ne peut prendre soin maintenant, si ce n'est Jésus, et Il prend
réellement soin.
115 Ne vous souciez-vous pas assez, pour Lui
soumettre votre vie, pour L'aimer, pour aller dans les rues, pour aller
vers votre patron, vers votre voisin, partout avec un esprit doux et
gentil? Séparez-vous des choses du monde, et vivez une vie tellement
paisible et douce, que les autres verront Jésus en vous. Ne sentez-vous
pas que vous Lui devez cela? Ne soyons pas ingrats.
116 Vous les gens ici... hier soir, quand je suis
sorti, une petite femme se tenait à la porte. J'espère qu'elle est ici
ce soir. Alors que je sortais, elle se tenait là avec un petit bébé. Il
commença à pleurer. Elle n'était pas une chrétienne, mais elle ne
voulait pas déranger le Message, ainsi elle a pris son bébé et s'est
éclipsée avec lui. Quand je suis sorti, elle a dit: «Oh! comme j'aurais
aimé entendre la fin de ce Message!» Et je...
117 Quelque chose m'a juste dit: «Ceci est provi...
pas providentiel. Ceci est de Dieu.»
J'ai dit: «Madame, êtes-vous chrétienne?»
118 Elle a dit: «Non, monsieur. J'espère le devenir
un jour.» Une petite mère à l'air charmant, avec un petit bébé dans les
bras.
119 J'ai dit: «Il est ici; ne le remettez pas à plus
tard.» Et là, nous avons incliné nos têtes, là ensemble, et nous avons
prié. Et j'ai demandé à Dieu de prendre son âme.
120 Et à la fin, quand j'ai terminé de prier, elle a
dit: «Amen.» Et elle s'est mise à essuyer les larmes de ses yeux.
121 Pourquoi? Elle a montré qu'au moment où elle
désirait le Message, même si elle ne l'a pas reçu, peut-être qu'elle
voulait que quelqu'un ici le reçoive. Elle voulait que quelqu'un ici le
reçoive.
122 Et qu'est-ce que cela a fait? Dieu a pris soin.
Aussi, Il l'a fait se tenir juste là, à l'endroit exact, pour le
recevoir. C'est cela. Il prend soin. Il sait exactement comment diriger
les choses. Sommes-nous assez reconnaissants?
123 Cela me rappelle une histoire de quelque chose
qui s'était passé dans une ville tout près. Il y a quelques années, une
mère avait envoyé sa fille à l'université. Son nom était Mary; et la
fille était une fille bien, lorsqu'elle avait quitté la maison. Elle
avait... Sa mère avait usé la planche à lessiver et tout, pour lui
payer des études à l'université. Et un jour elle alla visiter la
famille. Et elle avait été désorientée là-bas, par des gens mélangés.
Et elle s'associa avec une fille non-croyante, qui était très mondaine
et impie.
124 Et c'est dommage, quand vous allez vous associer
avec ce genre là. Séparez-vous des choses du monde. Sortez! Ne soyez
pas meilleurs... n'essayez d'agir comme si vous étiez meilleurs; mais
ne souillez pas vos vêtements avec le péché. «Ne participez pas aux
péchés des autres hommes.» Si vous voulez donner une parole
d'encouragement aux hommes, d'accord; mais, ne soyez pas en train de
vous vautrer avec le porc! Restez éloignés de cela! C'est juste.
125 Et elle est descendue dans les bas-fonds avec
cette fille. Et alors, quand elle est arrivée à la maison, le train
s'est arrêté en face. Et la fille, assise à la fenêtre, regardait
dehors.
126 Et il y avait une vieille femme là dehors, qui
était là, le visage rempli de cicatrices, le cou renfoncé, avec ses
petites mains osseuses comme cela; elle regardait avec tout ce qui
était dans son coeur, attendant que quelqu'un sorte du train.
127 Et cette fille qui était avec Mary dit: «Mary,
regarde cette vieille femme à l'apparence d'une vieille sorcière!» Elle
dit: «N'est-elle pas affreuse à regarder?» Et c'était la mère de Mary.
128 Et Mary, à cause du sentiment de son amie, dit:
«Oui, vraiment!»
129 Et quand elles sont descendues du train, Mary
prise au jeu, sa mère courut et dit: «Oh! chérie, je suis contente de
te voir!»
130 Et Mary tourna le dos à sa mère, et elle dit: «Je
ne vous connais pas.» Et elle s'en alla.
131 Il se fait que le chef de train se trouvait là,
il sauta à terre et dit: «Attendez un instant!» Et il attira
l'attention de tout le monde autour de lui. Il dit: «Petite misérable!
Comment peux-tu tourner le dos à ta propre mère à cause de cette petite
délurée qui est avec toi? N'as-tu pas honte de toi, Mary?»
132 Il dit: «Il se fait que je connais le cas.
Écoutez ceci, jeune femme», à l'autre fille qui avait fait la remarque
à son sujet. Il dit: «C'est sa mère. Et Mary ne verra jamais le jour où
elle serait à moitié aussi jolie que sa mère. Je la connais depuis sa
jeunesse.» Et il dit: «Elle était heureuse dans son mariage, et elle
eut ce bébé, Mary. Et elle se trouvait à l'étage supérieur et avait
ouvert les fenêtres afin que la brise puisse... Et le petit berceau
était là-haut.» Et il dit: «Elle était descendue et faisait la lessive
et étalait les vêtements dans la cour arrière. Et la maison prit feu.
Et avant qu'elle s'en rende compte, toute la maison était en flammes.
Les voisins accoururent. Et quand la mère de Mary arriva, elle dit:
- Mon bébé! Mon bébé! Il est là-haut!
Et les pompiers dirent:
- La maison est hors de contrôle. Il n'y a pas moyen
d'y entrer maintenant.
Mais que fit-elle? Elle arracha son petit tablier,
qui était mouillé avec l'eau de lessive et l'enveloppa autour de son
visage et elle traversa les flammes. Et les pompiers tentèrent de
l'arrêter. Elle monta l'escalier promptement. Pourquoi? Son petit chéri
était couché là. Elle saisit le bébé et elle pensa:
- Le vêtement mouillé m'a protégée. Mais maintenant,
si je ramène le bébé à travers cela, les flammes vont le couper en
morceaux.
Aussi, elle enveloppa le bébé dans son propre
vêtement mouillé, elle le tint contre elle et courut à travers les
flammes; et celles-ci arrachèrent la chair de son visage.»
133 Il dit: «C'est la raison pour laquelle elle est
laide. Elle est laide afin que tu puisses être jolie. Et maintenant tu
tournerais le dos à ta mère qui fit un tel sacrifice?» Elle baissa la
tête dans la honte.
134 Je pense que c'est de cette manière là que nous
devrions être. Cet Évangile, ce Consolateur que nous avons, ce
Saint-Esprit que le monde appelle «fanatisme», où les gens veulent les
appeler «saints comédiens», avez-vous honte? Avez-vous honte du
sacrifice que Jésus fit là sur la Croix, afin que nous puissions avoir
cette consolation? L'échangeriez-vous contre la consolation du monde,
la popularité d'un voisin? À Dieu ne plaise!
135 Puissions-nous décharger nos soucis sur Lui, car
Il prend soin de nous! Puissions-nous L'aimer et Le chérir avec tout ce
qui est en nous!
136 Et, oh! comme les disciples retournèrent en se
réjouissant, parce qu'ils étaient jugés dignes de porter l'opprobre de
Son Nom, c'est ainsi que je me sens ce soir. Ça m'est égal, vous pouvez
dire que j'ai perdu la raison, vous pouvez me taxer de saint comédien.
Mon église baptiste m'avait dit que je perdrais la tête ou que je
deviendrais un saint comédien.
137 Mon père et ma mère m'ont chassé de leur maison,
avec rien qu'un sac en papier sous le bras, avec quelques habits
dedans; une petite chemise et des sous-vêtements de rechange, et deux
paires de chaussettes; c'est tout ce que j'avais. Ma propre famille a
dit: «Tu ne peux pas amener ces choses ici et rester notre enfant.»
Et je suis allé à New Albany, ne sachant où aller,
n'ayant pas d'endroit où reposer la tête.
138 Mais, Frère! Et le diable est venu à moi en ce
moment-là, lors de la mort de mon enfant. Cela m'est arrivé, à maintes
fois, mais je sais où repose le Salut! Je ne pourrais renier Cela! Même
si cela me tuait, je ne peux renier Cela. Je suis passé de la mort à la
Vie, par la grâce de Dieu. Tous mes soucis sont déchargés sur Lui, car
Il prend soin de moi. Et Il prend soin de vous.
Inclinons nos têtes pendant un moment maintenant.
139 Et, je me demande, si vous n'avez jamais déchargé
sur Lui tous vos soucis; il se peut que vous en ayez déchargé
quelques-uns, mais vous êtes quelque peu effrayé de vous décharger de
tous. Comme le chrétien frontalier, comme dans Hébreux 10. Il est dit
dans Hébreux, au sixième chapitre, il est dit:
...puisqu'ils crucifièrent pour leur part le Fils de
Dieu...
et qui aura tenu pour profane le sang de l'alliance,
par lequel il a été sanctifié, et qui aura outragé l'Esprit de la grâce?
140 Hébreux 10 dit:
...si nous péchons volontairement après avoir reçu
la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les
péchés,
mais une... attente terrible du jugement et l'ardeur
d'un feu...
car nous savons qu'il est terrible de tomber dans
les mains du Dieu vivant.
Pendant qu'il y a la miséricorde, la miséricorde à la Fontaine, une
place à la Fontaine!
141 Cette Écriture, pendant que vous priez,
j'aimerais vous dire. À quoi se réfère cette Écriture-là: «Une fois
éclairés, jamais capable d'arriver à la pleine connaissance?» Comme le
croyant frontalier, comme dans Genèse 14, ou quand les--quand les...
dans Exode, où les Israélites sont arrivés à la terre promise,
goûtèrent le raisin même de la terre promise; mais sont revenus
lâchement, effrayés: «Nous en pouvons pas y aller, l'opposition est
trop grande.»
Des croyants frontaliers, des gens qui viennent à
l'église et, oh! ils disent: «C'est merveilleux», mais ils n'y mettent
jamais la main. Ils ne veulent jamais tomber à l'autel et dire: «Dieu,
remplis-moi de l'Esprit, et que je devienne l'un de Tes enfants!»
Frontaliers! Nous ne voulons pas cela.
142 Soyons un véritable chrétien. Que cette église
soit en feu, des réunions de prière se tenant tout le temps, des
réunions à travers la ville, partout; des ouvriers qui n'ont pas besoin
qu'on leur dise, mais travaillant volontiers tout le temps pour le
Royaume de Dieu. Et que les autres églises qui sont représentées ici,
puissent leurs membres retourner à leur église, avec cette expérience.
Déchargeons-nous de nos soucis sur Lui, car Il prend soin de vous. Il
est le Consolateur.
143 S'il y a une telle personne ce soir, confessant
sincèrement devant Dieu que vous n'avez pas cette paix de pouvoir
décharger sur Lui tout souci, mais vous voulez cela; vous avez essayé,
vous avez trébuché, mais vous n'êtes jamais arrivé à un point où
réellement vous pourriez vous abandonner complètement à Lui, et que
vous vouliez le faire, voudriez-vous dire: «Souvenez-vous de moi dans
la prière, Frère Branham, tandis que je lève la main?» Voudriez-vous
lever la main, maintenant, dites: «Souvenez-vous de moi, Frère Branham,
dans la prière.» Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse,
Soeur. Que Dieu vous bénisse, et vous, et vous par ici. Oui. Et là,
derrière, que Dieu vous bénisse. Il voit vos mains levées. Que le
Seigneur vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, là-derrière, mon
Frère. Il prend soin de vous. Nous avions l'habitude de chanter un
petit chant:
Il prend soin de vous,
Il prend soin de vous,
À travers la lumière du soleil ou dans l'ombre,
Il prend soin de vous.
144 Vous vous souvenez, Arizona, lors de mon premier
voyage ici, et vous m'aviez dit «au revoir» en chantant ce chant, un
petit choeur espagnol ici, de l'église de Frère Garcia; lorsque nous
nous réunissions là-bas en Californie, lorsque j'étais descendu dans la
rangée, en pleurant, faisant signe de la main à chacun. Beaucoup sont
des papas et des mamans; beaucoup sont passés de l'autre côté du voile,
ce soir. Mais Il prend toujours soin de vous. Il continuera à prendre
soin. Quand rien d'autre ne pourra prendre soin, Il prendra soin. Vous
L'aimez maintenant, et vous voulez... Vous voulez qu'Il prenne soin de
vous, et vous voulez prendre soin de Lui. Levez la main, dites:
«Souvenez-vous de moi dans la prière, Frère Branham. J'ai un besoin ce
soir, que je ne suis pas capable de déposer sur l'autel, à moins...»
145 Et allez-y simplement, déchargez cela sur le
Seigneur et dites: «Seigneur, je--je suis un fumeur.» Que Dieu vous
bénisse, Frère. «Je suis un buveur. Je--je suis un menteur. Je ne puis
cesser de plaisanter, de dire des sales plaisanteries. Je ne puis
cesser de prendre un verre, un verre amical, que je prends en groupe.
Je veux--je désire m'éloigner de tout cela. Je--je--je suis une
personne qui regarde toujours les mauvaises choses, les rues sont
pleines de femmes et d'hommes impurs. Et je désire m'éloigner de cela.
Veux-Tu, ô Dieu, faire que je sois capable de décharger tous mes
soucis, ce soir, sur Toi?»
146 Voulez-vous lever la main et dire: «Priez pour
moi, Frère Branham? J'abandonne tout ici, maintenant, et je mets cela
sur l'autel, et je déchargerai tous mes soucis sur Lui?» Y aurait-il
quelqu'un d'autre, avant que nous priions?
147 Que Dieu bénisse celui-ci, ce jeune enfant assis
ici avec la main levée, le petit enfant avec un pull rouge. «Un petit
enfant les conduira.» Vraiment, les Écritures ont raison.
148 Y aurait-il un autre quelque part qui veut lever
la main et dire: «Priez pour moi.» Que Dieu vous bénisse, le jeune
garçon espagnol assis ici. Quelqu'un d'autre? Que Dieu vous bénisse là,
madame, je vois votre main. Là, monsieur, je vois les vôtres. Et je
jeune homme espagnol là-derrière. Et cette dame assise ici. Qu'Il vous
bénisse, Soeur. Que Dieu vous bénisse, Frère. C'est bien. Quelqu'un
d'autre dirait-il: «Souvenez-vous de moi, Frère Branham.» Que Dieu vous
bénisse là derrière, fiston. Que Dieu vous bénisse, Soeur. Et vous, la
petite fille assise ici. Là derrière, je vois votre main, ce grand
homme fort avec la main levée en l'air. Que Dieu vous bénisse, vous qui
êtes assis ici, jeune homme, dans la fleur de l'âge, assis ici avec la
tête baissée.
149 Oh! quel moment! Des décisions sont prises:
«Puis-je décharger tous mes soucis sur Lui?»
Cela pourrait sembler étrange. Que Dieu bénisse ce
couple âgé. «À partir d'ici, je veux décharger mes soucis sur Lui.»
Oui, abandonnez tout. Je... [Passage blanc sur la bande. – N.D.É.]
«Voici tous mes soucis sur Toi. Je crois.» Que Dieu vous bénisse, la
jeune dame là derrière, la fille espagnole. Ce jeune homme là. Cette
jeune dame là. Oui. Que Dieu vous bénisse. C'est bien. Y a-t-il un
autre juste avant la prière maintenant? Rappelez-vous, vous faites
votre...
150 Que Dieu bénisse ce petit garçon. Que Dieu
bénisse cette jeune femme ici. Oh! (Et vous qui êtes en prière, je veux
dire quelque chose). L'un des plus doux petits regards! S'il y a un
demain, il y a assis là un prédicateur qui me regarde, qui a l'âge
d'environ quatre ans.
151 Maintenant, souvenez-vous, l'esprit de
discernement, je ne l'ai pas donné ici dans l'église, l'un ou les deux
derniers soirs. Je désire avoir quelque chose d'autre d'abord. Il y a
des gens assis ici avec des témoignages dans leur coeur (je le sais),
guéris il y a des années de cela, et toutes ces choses. Mais je désire
mettre les premières choses d'abord. Rendons nos âmes capables de faire
confiance à Dieu et déposons tout à l'autel, disant: «Seigneur Dieu, me
voici.»
Mais que Ton Sang a été répandu pour moi,
Et que Tu m'invites à venir à Toi,
Ô Agneau de Dieu, je viens, je viens!
[Frère Branham commence à fredonner: «Tel que je
suis.» - N.D.É.]
152 Je me demande maintenant... étant donné que
plusieurs ont levé la main.
153 Il y a quelque chose de doux au sujet de
l'église. C'est là où les saints s'assemblent, fois après fois, pour
prier, où le prédicateur prêche sur l'estrade. Il y a quelque chose
d'agréable au sujet de l'église. Le monde est si peuplé aujourd'hui,
qu'il est en quelque sorte difficile de tenir une campagne dans une
église, les gens se tiennent debout et attrapent des crampes.
154 Et mon précieux Frère et ma précieuse Soeur, il y
a environ douze ans que je suis venu vers vous, comme un jeune homme,
au début du ministère. Beaucoup d'entre vous sont encore ici. Je vois
madame Waldroff qui est ici. Où, elle fut transportée là, morte, sur
une civière, avec un cancer au coeur, il y a des années de cela. Et le
Saint-Esprit la ramena à la vie. Ses docteurs donnèrent leur témoignage
et ils en avaient des documents. Les autres qui sont assis ici, qui...
C'est prouvé, mes amis, qu'Il vous aime.
155 Voudriez-vous venir ici ce soir, maintenant? Vous
qui avez levé la main, qui avez quelque chose que vous voulez décharger
sur le Seigneur, votre souci, voudriez-vous venir ici et que je prie
avec vous? Venez, levez-vous. Vous qui ne connaissez pas Christ comme
votre Sauveur. Ou, si vous le connaissez, et que vous avez quelques
habitudes dont vous ne pouvez vous débarrasser, ou quelque chose,
voudriez-vous venir ici? N'ayez pas honte, maintenant. Vous dites:
«J'ai levé la main, Frère Branham.»
Alors sûrement, vous viendrez ici et direz: «Je
confesse publiquement que j'ai besoin de Christ. Je veux me tenir
debout ici.»
156 Il a dit: «Si tu as honte de Moi, devant les
hommes, J'aurai honte de toi devant Mon Père et les saints Anges. Mais
si tu Me confesses devant les hommes, Je te confesserai devant Mon Père
et les saints Anges.»
157 Voudriez-vous avancer et descendre par l'allée
maintenant? Venez juste ici et restez debout.
158 Une jeune femme vient, soit peut-être... Je
suppose que c'est une femme chinoise, qui vient maintenant pour faire
sa confession publique, qu'elle a besoin de Christ. Que Dieu vous
bénisse, Soeur. Juste ici. Je serai avec vous dans un instant.
159 Quelques-uns en plus voudraient-ils venir
maintenant, même pendant que nous chantons? Que Dieu vous bénisse,
monsieur.
Doucement et tendrement...
160 Maintenant, si vous voulez vous décharger de vos
soucis sur Lui, venez, jetez-vous sur Son autel ici.
T'appelant...
161 Levez-vous simplement, venez juste par ici. Nous
voulons nous tenir ici et prier avec vous, vous imposer les mains.
Voyez sur le portail, Il attend et veille,
Observant pour...
162 Qu'est-ce qu'Il observe? Observant pour voir si
vous voulez réellement dire cela, ou pas. Venez maintenant, venez.
Voulez-vous dire cela? Sûrement, oui.
Viens à la maison, viens, viens...
Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, jeune
homme là.
Toi qui es fatigué, viens à la maison,
Avec conviction, (Dieu!), tendrement, Jésus...
163 Avez-vous un souci ce soir, dont vous ne pouvez
vous débarrasser? Vous voulez décharger cela sur le Seigneur? Venez.
Oh! pécheur, viens à la maison!
Viens à la maison, viens à la maison,
Toi qui es fatigué, viens à la maison.
[Frère Branham quitte la chaire et prie avec les
gens à l'autel, pendant qu'un autre Frère continue à chanter:
«Doucement et tendrement» avec l'assemblée. – N.D.É.]
Quoi que nous ayons...
164 Ne voudriez-vous pas venir maintenant, juste vous
agenouiller autour, pour la prière. Vous qui n'êtes pas satisfaits,
juste à l'endroit où vous êtes, ne voudriez-vous pas venir? Venez.
...pour toi et pour moi
Viens à la maison.
Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Que Dieu vous
bénisse, Frère.
...à la maison,
Toi qui es fatigué, viens à la maison.
[Frère Branham quitte à nouveau la chaire et prie
avec les gens à l'autel, pendant qu'un autre Frère continue à chanter
«Doucement et tendrement. – N.D.É.]
Viens à la maison...
165 Y a-t-il ici quelqu'un qui n'a pas le
Saint-Esprit, qui n'a jamais été rempli de l'Esprit de Dieu, vous
n'êtes pas sûr de votre position? Levez la main, dites: «Je n'ai pas
reçu le Saint-Esprit, Frère Branham.»
«Avez-vous reçu le Saint-Esprit, depuis que vous
avez cru?» Sinon, levez la main. Voudriez-vous venir et vous
agenouiller juste ici maintenant, et laissez-vous prier pour vous, pour
recevoir le Saint-Esprit? Venez maintenant tandis que nous chantons.
Viens à la maison... viens à la maison.
Toi qui es fatigué, viens à la maison.
Avec ardeur, tendrement, Jésus appelle,
Il appelle, ô pécheur, viens à la maison!
Pourquoi tarderions-nous quand Jésus...
168 Ne voudriez-vous pas venir maintenant, juste
autour, maintenant, tandis que Jésus appelle? Il se pourrait que ce
soit votre dernier appel. Nous ne savons pas. Il se pourrait que non;
mais néanmoins, cela pourrait bien l'être. Ne voudriez-vous pas venir?
Ne prenez pas de risque. Si vous n'êtes pas sûr, venez maintenant.
Voulez-vous venir?
...ne tarde pas et prends garde à Sa miséricorde,
La miséricorde pour toi et pour moi?
Viens à la maison,
Que Dieu vous bénisse, Frère, Soeur...
...à la maison,
Toi qui es fatigué...
[Frère Branham parle à un Frère et quitte la chaire.
- N.D.É.]