Avoir soif de la vie
1 Inclinons la tête maintenant pour un mot de prière.
Notre Père céleste, nous sommes reconnaissants de nous rassembler
encore ce soir, et d’avoir une occasion de Te parler, Te chanter nos
hymnes, et T’exprimer la profonde adoration de nos cœurs, car nous
T’aimons et nous T’adorons. Et Tu es le seul vrai Dieu. Ton Fils,
Jésus-Christ, qui est mort pour que nous soyons réconciliés avec Dieu
par le lavage de Son Sang au moyen de la Parole… Et nous Te prions de
nous accorder une merveilleuse réunion ce soir.
Que les pécheurs trouvent le salut par Christ. Que
les malades trouvent la guérison par Christ. Que les saints trouvent la
joie et la force par Christ. Nous le demandons en Son Nom. Amen. (Vous
pouvez vous asseoir.)
2 C’est si agréable d’être de nouveau ici, dans ce
bâtiment ce soir, pour servir le Seigneur avec vous. Et je voudrais
demander maintenant, nous avons annoncé que demain soir il y aura un
service de guérison ou la prière pour les malades. Nous ne savons pas
ce que le Seigneur va faire. C’est la raison pour laquelle nous
n’annonçons jamais le service de guérison. Comment savoir que le
Seigneur va guérit? Ça ne dépend que de Lui. Et je ne pense pas, à vrai
dire, que cela dépende de Lui; je pense que cela dépend de vous qui
désirez la guérison. Il a payé le prix, et–et nous avons l’assurance
qu’Il le fait, et nous savons qu’il le veut. Cela ne dépend que de
l’individu.
Chaque soir, ou c’était cela, on laisse simplement
le Saint-Esprit… ça… Je veux enlever quelque chose de votre esprit.
Chaque soir, j’ai comme… laisse le Saint-Esprit lorsqu’Il entre et se
meut au-dessus de l’auditoire… Et vous–vous, votre propre foi amène cet
Esprit de Dieu à revenir immédiatement pour vous prouver qu’il est ici
dans le bâtiment, et qu’Il connaît le secret même de votre cœur, Il
connaît votre état. Pas une seule fois cela n’a failli, et cela n’a
jamais failli depuis que j’étais un petit garçon.
3 La première chose, ou presque, que j’avais vue, et
dont je me souviens, c’était une vision. J’avais environ… Je ne devais
pas avoir plus de deux ans. Et je m’en souviens aussi nettement que si
c’était hier. Et sur des centaines et des centaines de ces visions, pas
une seule n’a manqué de s’accomplir parfaitement et au moment indiqué à
chaque fois. Voyez? Ça doit donc être Dieu. Et ceci montre simplement
qu’Il est ici. Et toutes Ses promesses sont là, et Il a promis qu’il
ferait cela juste avant la fin des temps. Nous savons donc que le
Message est vrai. Mon Message, c’est le Message du temps de la fin, et
Il amène l’Église à se mettre en ordre.
Et la guérison divine, nous en avons vu la
publicité: «Les aveugles verront; les sourds entendront; les muets
parleront.» Je ne sais pas si ça va se produire. Je préférerais ne pas
faire de la publicité comme cela. J’ai toujours dit aux gens: «Dites
simplement quelque chose de bien à propos de Jésus. Nous aimons le
Seigneur Jésus dans cette assemblée, aussi avons-nous un grand réveil,
et nous nous attendons à ce que Dieu fasse de grandes choses, et tout.»
Puis, au coin, sur un petit espace, dites: «Frère Branham sera notre
orateur.» Voyez? Parce que c’est… Il peut ne pas le faire. Si donc Dieu
accomplit un miracle, les gens le sauront. Voyez? Mais si je dis qu’Il
va le faire, je ne… À moins qu’il m’ait dit qu’il le fera, alors là
je–je sais qu’Il va donc le faire. Mais si je… s’Il ne me l’a pas dit,
je serais en quelque sorte très peu disposé à dire cela.
Mais chaque soir, nous nous attendons à ce que Dieu
fasse quelque chose pour… qui va secouer les gens et les ramener à la…
à la position où ils devraient être. C’est à cela que nous nous
attendons.
4 Eh bien, nous n’avons pas prié pour les malades. Et
je… si maintenant même, si nous faisons se lever chaque personne… Si je
pouvais rester debout assez longtemps pour faire cela, et prendre
chaque personne dans ces lignes comme ceci, et parcourir chacune… bien
sûr, je succomberais avant d’en finir avec le un dixième de ces gens.
Mais vous ne pouvez pas faire cela. Quiconque connaît les Écritures
sait que les Écritures prouvent que vous ne le pouvez pas. Eh bien, une
femme avait touché le bord du vêtement du Fils de Dieu, et Celui-ci a
demandé: «Qui m’a touché?»
Et Il a regardé tout autour et tout le monde avait
peur, alors Il a dit… Pierre l’a repris, en ces termes: «Dites donc,
qui M’a touché?» Il a dit: «Eh bien, c’est tout le monde qui Te
touche.» Il répondit: «Mais, Je sens qu’une vertu est sortie de Moi.»
Eh bien, tout le monde sait que la vertu, c’est
votre force. Et si un simple toucher d’une femme en a tiré assez pour
amener le Fils de Dieu à avoir une vision, qui Lui a permis de savoir
qui avait fait cela, qui avait tiré de Lui la vertu, qu’en sera-t-il de
moi un pécheur sauvé par grâce?
Eh bien, la seule raison pour laquelle cela s’est
fait davantage, c’est parce que Jésus a dit: «Les œuvres que je fais,
vous les ferez aussi; et vous en ferez davantage, car je m’en vais au
Père.»
Maintenant, je–je sais que Roi Jacques dit: «de plus
grandes», mais cela n’est pas exactement conforme au texte original.
Voyez? C’est «davantage.» Personne ne peut faire quelque chose de plus
grand. Il a ressuscité les morts, Il a guéri les malades, Il a arrêté
la nature, Il a fait tout ce qui devait être fait. Ça ne peut pas être
plus grand en qualité, mais cela peut être plus grand en quantité.
Donc, en ce temps-là le Saint-Esprit était dans un seul Homme: C’était
le Fils de Dieu. Il avait l’Esprit sans mesure. Dieu habitait en
Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Il… Dieu était en Christ.
Maintenant, Dieu est en vous, si vous avez le
Saint-Esprit. Dieu est en vous en portion. Mais Il était en Lui sans
mesure. Il avait la plénitude de Dieu en Lui. Mais maintenant, cela est
donné avec mesure à chacun de nous.
5 Il y a quelque temps dans mon église, je lisais et
je donnais un enseignement sur la Pentecôte, au cours d’un petit réveil
que j’avais eu. Eh bien, j’ai un vieil Emphatic Diaglott sur la
traduction grecque originelle, et c’est celui… un ouvrage très
remarquable. Je le recommanderais à tout pasteur. Il–il n’est plus sur
le marché; mais je pense que vous pouvez l’obtenir en Angleterre. Je
n’en suis pas sûr. Mais j’en ai un; il est très vieux, et il fait
remonter la chose jusqu’au terme grec originel, et revient ensuite de
l’autre côté, et établit cela, car en grec, le verbe précède l’adverbe.
Voyez? Et–et c’est inversé afin que vous le lisiez facilement. Mais
vous pouvez bien lire cela directement à partir de… S’il s’agit juste
d’un mot qui est là, c’est juste comme Il avait dit cela.
Et quand le Saint-Esprit est entré dans la chambre
haute, il est dit: «Il y eut un bruit comme celui d’un vent impétueux
(Eh bien, rien ne soufflait, c’était juste pareil à un bruit comme
cela), et il remplit toute la maison où ils étaient assis, et enfin,
des langues séparées se posèrent sur eux, semblables à des langues de
feu.»
6 Et comment cette grande Colonne de Feu, l’Ange de
Dieu, le Logos qui est sorti de Dieu, qui avait conduit les enfants
d’Israël dans le désert… Quand Elle est venue parmi les gens, Elle
s’est partagée, et de grandes langues de feu ont commencé à se poser
sur chacun, quand la Colonne de feu a commencé à se fractionner, et
pour… Dieu se divisant Lui-même parmi Son peuple. Oh! cela devrait
arracher le cœur à n’importe qui. Dieu se divisant Lui-même, pour
pouvoir donner une petite portion de Lui-même à chacun de nous, afin
que tous ensemble… Voyez-vous ce que cela signifie?
Voyez-vous maintenant pourquoi je suis pour l’unité
de toutes les églises, de toutes les églises du Plein Évangile, de tous
les croyants? Nous devrions être d’un même cœur, d’un même esprit, d’un
commun accord. Peu importe combien nous sommes en désaccord sur les
Écritures; cela peut être… L’un peut voir ceci de cette manière, ou…
cela n’a rien à voir. Mais en principe, nous devrions nous tenir
debout, comme une grande et puissante armée de Dieu, allant de l’avant;
car chacun de vous dans votre particularité, Dieu a prouvé qu’Il ne
tient pas compte de votre doctrine, en effet, Il vous donne le
Saint-Esprit. Et la Bible dit: «Il a donné… Il donne le Saint-Esprit à
ceux qui Lui obéissent.»
Eh bien, si je Lui ai obéi à ma propre manière, et
que vous Lui obéissiez à votre propre manière, et qu’Il nous donne à
nous tous le Saint-Esprit, par conséquent, nous devons être assez
frères et sœurs chrétiens pour nous tenir ensemble la main dans la main
et avancer vers un seul grand but: l’Évangile.
7 Oh! combien je pense à Dieu se divisant afin qu’Il
puisse pénétrer dans Sa grande âme et déverser une petite cuillerée en
moi, et Il a tendu la main et a déversé une cuillerée en vous, et en
vous, et en vous, et en vous, et en vous, se divisant Lui-même, le feu,
la puissance purificatrice de Dieu. Alors, si vous avez une cuillerée,
et moi, une cuillerée, et que tous deux nous nous rassemblions, nous
avons deux cuillerées. Et si cinquante d’entre nous sont ensemble, nous
avons cinquante cuillerées. Là où il y a l’unité, là où il y a un
rassemblement, là, il y a la sécurité et tout Il est deux fois plus
difficile de casser les bâtons qui sont dans la main du prophète. Il
est deux fois plus difficile de casser deux bâtons que d’en casser un…
Et quand nous pourrons atteindre ce niveau, frère… Si je peux voir cela
arriver, j’irai là au sommet de la montagne du Camel’s Back, je lèverai
mes mains, et dirai: «Oui, viens, Seigneur Jésus. Prends-moi
maintenant; tout est fini.» Voyez? Je serai prêt à partir à ce
moment-là même.
Quand je verrai toutes ces différentes personnes du
Plein Évangile d’un seul cœur et d’un commun accord, se tenant ensemble
comme une grande armée, cela ramènera Jésus-Christ sur la terre aussi
certainement que je me tiens ici. J’ai essayé chaque principe que je
connais. Il faut Dieu pour faire cela; c’est tout. Voyez?
8 Je suis venu parmi eux, comme… parmi les frères
comme un… Venant de l’Église baptiste, et j’ai vu cette grande chose,
je ne me suis jamais rangé du côté d’une quelconque église. Peu importe
leurs croyances et tout, j’essaie de me tenir simplement à la brèche et
de dire: «Nous sommes des frères.» Malgré tout, nous sommes des frères.
Si nous pouvons discerner l’esprit l’un de l’autre,
et savoir que si un homme se présente, peu m’importe l’église dont il
est membre, s’il a l’Esprit de Dieu en lui, il est mon frère. Et peu
m’importe combien c’est un grand homme, combien il est intellectuel, et
combien il parle avec puissance, s’il y a un… s’il essaie de faire
quelque chose de faux, je–je ne crois pas qu’il soit encore mon frère.
Mais il s’agit de ce qu’il essaie de faire. S’il essaie de sauver les
âmes, ou de faire quelque chose pour Dieu, c’est un frère. S’il est
témoin de Jéhovah, il est toujours mon frère. S’il est pentecôtiste de
la sainteté, s’il est des Assemblées de Dieu, de l’Église de Dieu, s’il
est unitaire, s’il est binitaire, s’il est trinitaire, ou, oh! quoi que
ce soit, ils sont tous mes frères et sœurs. Si nous avons… si nos cœurs
sont en ordre avec Dieu, essayant d’accomplir quelque chose pour le
Royaume de Dieu… Nous essayons de bâtir notre propre royaume, alors
c’est… par conséquent, Dieu ne pourra pas honorer cela.
9 J’observais juste… Les garçons vendent probablement
ces livres ici. Il n’y a pas longtemps je parcourais cela, dans un état
tendu, et je suis tombé sur la photo de madame Nightingale.
Certainement, je me souviens de cela. Lorsque cela a été pris… cela…
Mais ce livre ne donne pas tous les détails sur ce cas. Monsieur
Stadsklev est l’éditeur de ce livre; c’est un très bon livre, un livre
excellent. Tout est exact, en effet, il a été soumis à la critique.
Eh bien, madame Nightingale est parente à la feue
Florence Nightingale. Cette femme s’appelle Florence Nightingale, et
elle est infirmière. Mais elle n’était pas, bien sûr, Florence
Nightingale, la vraie–la véritable fondatrice de la Croix-rouge. Mais
elle est de l’Angleterre, et elle était une–une infirmière, et elle
était une parente lointaine de madame Florence Nightingale, la
fondatrice de la Croix-Rouge.
J’avais d’abord entendu parler d’elle. J’ai été en
Afrique. Sa photo que vous voyez ici, comme un squelette… Celle que
nous avons dû… Frère Gordon Lindsay, quand nous avons arrangé cette
photo, nous avons dû mettre quelque chose là-dessus, en effet il n’y
avait qu’un petit lambeau noué autour de la femme, et c’était très,
très affreux. Ainsi, nous avons mis un morceau, de–de quelque chose
là-dessus, et nous avons fait une reproduction de la photo, afin que
nous puissions la publier dans le livre. C’est elle, quand je… Et après
la prise de cette photo, elle a crevé encore de faim pendant plus d’un
mois, et la voici six mois plus tard, exerçant de nouveau sa profession
d’infirmière.
10 J’aimerais raconter cette histoire avant de
commencer ce soir. J’aimerais vous en parler.
J’étais… Elle était en Afrique du Sud. Et comment
cette femme a-t-elle su que j’allais à Londres, je l’ignore jusqu’à
présent. Et quand l’avion a atterri, frère Lindsay, moi et frère Jack
Moore sommes descendus de l’avion, et frère Baxter… Et nous nous sommes
mis à descendre, et j’ai entendu mon nom appelé par haut-parleur à
l’aéroport international de Londres. Et on me demandait de me
présenter, et j’ai envoyé frère Baxter. Le frère Baxter est revenu
avec… vers moi avec un prédicateur et il a dit: «Avez-vous déjà entendu
parler d’une femme du nom de Florence Nightingale?»
J’ai répondu: «Ce nom me dit quelque chose.» Et j’ai
dit: «Je ne sais pas.»
Et il a dit: «Eh bien, on l’a amenée par avion de
l’Afrique du Sud jusqu’ici, et elle se meurt là dans une ambulance.»
Bien, il y avait beaucoup de gens là-bas, et je ne
pouvais pas l’atteindre. J’ai dit: «Vous, parlez-lui.»
Il a dit: «Voici un prédicateur, vous, parlez-lui.»
Et j’ai dit: «Monsieur!»
Il a répondu: «Eh bien…», il a dit…
J’ai dit: «N’est-elle pas une parente de Florence
Nightingale, la–l’infirmière?»
Et elle a répondu: «C’est–c’est bien Florence
Nightingale, l’infirmière.»
Et elle a dit: «Mais ce n’est pas elle la fondatrice
de la Croix-Rouge. Naturellement, celle-là est morte, il y a, je pense,
50 ans ou plus, peut-être cent ans. Et non, je–je pense qu’elle est
morte vers les années 1908, ou 1909, quelque part, pendant cette
période-là. Celle-ci est donc l’une de ses parentes.
Et j’ai dit: «Combien de temps pensez-vous qu’elle
pourra encore tenir?»
Il a dit: «Il est probable que nous la trouvions
morte si nous allions à l’ambulance tout de suite.» Il a dit: «Elle se
meurt.» Il a dit: «Ils… Elle vient de l’Afrique du Sud.» Et il a dit:
«Monsieur, elle n’est qu’un–qu’un tas d’ossements.»
Bien, j’ai dit: «Nous serons, je crois, à l’hôtel
Picadilly, a-t-on dit.»
11 Et le roi George m’avait écrit ou plutôt envoyé un
télégramme, que je garde encore, venant de son personnel, sollicitant
la prière, car il avait la sclérose en plaques. Vous souvenez-vous de
cela? Et j’ai prié pour lui, et après la prière, eh bien, il a pu… il
s’est rétabli, et il a pu marcher. Et, je suis donc allé là; je pensais
que je devrais le voir là. Et alors, lorsque nous sommes allés à
l’hôtel Picadilly, le pasteur est venu le lendemain matin, et m’a pris
et nous sommes allés chez lui, juste derrière son église, là où ils
avaient placé madame Nightingale avec deux infirmières pour veiller sur
elle.
Et, mes amis, j’ai vu beaucoup de scènes. J’ai vu
des gens aux visages rongés par le cancer, jusqu’ici au cou. On devrait
placer un petit tuyau ici pour déverser le liquide dans leur gorge ici,
avec les dents et les os rongés – la chair rongée par cela. Et des
scènes en Inde; j’ai vu des lépreux étendus là, ne pouvant même pas
soulever leurs mains, avec des bouts d’oreilles, sans nez, et ils
étaient devenus blancs comme une verne blanche retournée.
Les petits enfants et tout, rongés par la lèpre,
étendus, entassés les uns sur les autres… J’ai vu les petits enfants
étendus, crevant de faim, par centaines dans les rues, avec leurs
petits ventres ballonnés à cause de la famine, une pauvre mère couchée
à coté d’eux mendiait un sou pour aider quelqu’un d’autre. C’est la
raison pour laquelle je ne peux pas… Si c’était… Si je pouvais mendier,
je mendierais pour eux. Je–je me prive de tout lorsque je sais que les
êtres humains, pour lesquels Christ est mort, sont en train de souffrir
ainsi. Et il y en a des centaines et des centaines ce soir, partout
dans le monde entier. Et ils sont là dans cette condition-là.
12 Mais quand j’ai vu Florence Nightingale, elle
était étendue là, couverte d’un drap. Et elle pouvait à peine bouger
ses lèvres, ses–ses joues étaient toutes creuses. Ses mâchoires étaient
enfoncées et son front ici, vous… cela ressemblait bien à un–un
squelette mort étendu là, et sa peau s’était desséchée. Le cancer
l’avait rongée et mise dans cet état, et avait sucé son sang. Et elle
essayait sans cesse de dire quelque chose. Je ne pouvais pas entendre
cela, et l’infirmière s’est penchée. Et elle a dit: «Je veux lui serrer
la main.»
Et alors, l’infirmière a dû soulever ces os et les a
placés dans ma main. Eh bien, c’était tout autant que tenir un
squelette. Ses bras mesuraient probablement deux centimètres de
diamètre à ce niveau-ci, et son… Ils ont mis… Elle voulait que je voie
son corps. Et on a soulevé ce drap, cela briserait le cœur de n’importe
qui, même le tour de la hanche était ressorti comme cela. C’était à peu
près cette grandeur, si on réunit cela ici dedans. Et ses jambes
étaient tout bleues et j’ai demandé ce que cela–cela était. Ses jambes,
ici près de sa hanche, avaient probablement à peu près cette grandeur.
Et j’ai dit… Bien, voici cela sur la photo qui en a été prise. Voyez?
Et vous pouvez voir ce qu’elle était devenue après, environ six
semaines plus tard. Voyez? Et ainsi, je–j’ai regardé, et quelqu’un a
dit: «On lui donnait du glucose jusqu’à ce qu’au moment où ses veines
s’étaient atrophiées.»
Et ainsi donc, oh! j’ai dit: «Oh! la la! Êtes-vous
chrétienne?»
Et elle me l’a fait savoir en disant: «Oui.» Et elle…
Elle s’est encore penchée, l’infirmière, pour
entendre ce qu’elle allait dire. Et elle a dit: «Dites à frère Branham
de demander au Seigneur de me laisser mourir.» Voyez? Elle… elle
s’était accrochée jusqu’à ce qu’il n’y avait rien à quoi s’accrocher
davantage, pas… rien sur quoi compter. Elle a dit: «Dites à frère
Branham de demander au Seigneur de me laisser mourir.»
Je ne pouvais pas faire cela. À ce qu’il paraissait,
c’était une jeune dame aimable. J’ai donc dit: «Prions.» Et si
quelqu’un a déjà été à Londres, vous savez, c’est l’un des lieux les
plus brumeux au monde. Quand il y a du brouillard, il vous faut y aller
presque à tâtons. Ce matin-là, il y avait vraiment du brouillard.
C’est pourquoi William Cowper n’a pas pu se
suicider; il n’a pas pu retrouver l’océan après qu’il eut écrit ce
fameux cantique: Il y a une Fontaine remplie de Sang. Il n’a pas pu
trouver le–l’endroit où se jeter. Le–le taxi ne pouvait pas accéder à…
permettre… l’océan pour se suicider, pour se noyer.
13 Et–et quand je me suis agenouillé pour prier,
d’abord j’ai commencé à prier comme ceci; j’ai dit: «Dieu
Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie
Éternelle, Dispensateur de tout don excellent.» Et lorsque j’ai terminé
cela, une petite colombe s’est envolée de quelque part, et s’est posée
sur le rebord d’une fenêtre là. Et celle-ci était à peu près à cette
distance-ci de ma tête. Et le petit oiseau faisait sans cesse des
va-et-vient, faisant: «Cou, cou.» Vous savez comment elles le font. Eh
bien, je pensais que c’était un oiseau domestique, de la maison. Je me
suis simplement dit que c’était une petite colombe domestique.
Je n’avais fait que 24 heures en Angleterre, ou à
peut près cela; et cela a duré; et j’ai pensé que c’était une petite
colombe domestique. J’ai donc continué à prier, j’ai dit: «Père
céleste, je… cette pauvre femme étendue ici, en train de mourir, elle
m’a demandé de–de prier pour que Tu lui ôtes la vie, car elle semble
être dépassée, elle n’a rien sur quoi compter. Mais, ô Dieu, Tu es
toujours le Créateur; Tu–Tu es toujours Dieu.»
Et cette petite colombe semblait être très agitée.
Et les autres pasteurs qui priaient avec moi, ont semblé arrêter. Et
alors, comme je continuais à prier, quand j’ai dit: «Père, je prie que
Tu sois miséricordieux envers elle, et si Tu veux lui retirer la vie et
ne pas la laisser vivre, alors laisse-la partir en paix. Accorde-lui
d’aller auprès de Toi maintenant. Mais si c’est Ta volonté de la
guérir, alors Père, puisse-t-elle être guérie.» Et lorsque j’ai fini la
prière, j’ai dit: «Amen», et la petite colombe s’est envolée de nouveau
dans le brouillard.
Eh bien, je… dès que j’ai arrêté de prier, le
ministre qui était à côté de moi, a regardé un autre et a dit:
«Avez-vous remarqué cette colombe?»
J’ai dit: «Quelle était cette colombe? Est-elle
domestique?»
Il a répondu: «Non. Elle n’est pas domestique, a dit
le ministre, c’était juste une colombe qui a agi drôlement.»
Et comme je me retournais pour parler à madame
Nightingale, je commençai à dire: «Bien, je pensais que c’était votre
colombe.» Et quand elle a agi comme cela, quelque chose a dit: «AINSI
DIT LE SEIGNEUR.»
Oh! la la! là par-dessus ce qui était comme son
cercueil, où elle était étendue, il y a eu là une vision dans laquelle,
elle marchait là dans la rue. En voici la photo ici même, comment elle
est devenue un peu plus tard: C’est ce que j’avais vu dans la vision.
Alors, la chose est venue: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous vivrez et vous
ne mourrez pas.»
Et quand j’ai dit cela, je me suis dit: «Ces choses
sont très surnaturelles; je ne les comprends pas. Je ne sais pas ce
qu’elles signifient.»
Et je suis sorti; je pense que c’était le frère
Baxter qui m’a dit, a dit: «Comment peut-elle vivre?» Il a dit: «Dieu
sera obligé de créer une nouvelle femme.»
J’ai dit: «Eh bien, Il est capable de faire
infiniment au-delà de tout.»
Et six mois plus tard, après que j’ai reçu deux
lettres, et voici la photo qui m’est parvenue: elle est totalement
rétablie et en bonne santé, on ne peut pas trouver une trace de cancer,
et elle a repris son travail d’infirmière, et elle le fait depuis
longtemps.
14 Il y a quelque temps, une polémique s’était
engagée entre le–un éditeur de magazine en Angleterre, il disait:
«C’était vraiment un manque de scrupule que cette femme… C’était un
faux témoignage.»
Il s’est fait que j’avais dans mes documents le
propre témoignage de la femme. Je l’ai retourné à M. Stadsklev qui l’a
reproduit et l’a envoyé là-bas; et elle s’est emparée de cela, et
ensuite, elle est allée auprès de l’homme qui avait écrit le magazine
et elle a dit: «Qui disait que ce témoignage était faux?»
Voyez, c’est là que vous y arrivez, quand vous avez
par écrit leur propre témoignage, là vous y êtes. Voyez? Et alors,
l’homme m’a écrit une lettre pour s’excuser, en ces termes: «Je tenais
cela de quelqu’un d’autre, sans en avoir la preuve.»
J’ai dit: «Ne publiez rien, monsieur, sur base d’une
déclaration de quelqu’un d’autre; vous voyez, en effet, ce que vous
avez fait là maintenant. Voyez?» J’ai dit: «Ne faites jamais cela.»
Mais le témoignage est absolument véridique. Nous
n’aurions jamais publié cela si ce n’était pas la vérité. C’est comme
ça que ça doit être, une vérité établie.
15 Ainsi, voyez-vous, le même Dieu qui était avec
Florence Nightingale là-bas, c’est le même Dieu qui est juste ici.
C’est le même Dieu. Et tout ce que… vous ne devez pas attendre que l’on
prie pour vous. La seule chose que vous avez à faire, c’est de croire
simplement que l’œuvre a été accomplie. Si vous êtes un pécheur, il ne
faut pas attendre un appel à l’autel. Là même où vous êtes assis…
«Comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit descendit sur
ceux qui écoutaient la Parole.» Ils étaient prêts. Il s’agit de la
disposition du cœur. Il s’agit de la disposition des gens.
Eh bien, maintenant même, s’il y a une personne
malade ici, vous n’êtes pas obligé de rester malade, même pas jusqu’à
ce que je lise les Écritures. Vous pouvez être guéri maintenant même,
en effet, vous avez été guéri. La seule chose que les Écritures
feraient, c’est–c’est de témoigner, de dire que Jésus a dit cela. Et si
le Saint-Esprit venait ce soir, et faisait un–un grand appel ici, et
appelait là différentes personnes, cela ne signifierait pas qu’elles
sont guéries. Cela élèverait tout simplement la–la foi des gens afin
qu’ils puissent accepter leur guérison, celle-ci a déjà été acquise
pour eux. Comprenez-vous cela maintenant? Voilà donc en quoi consiste
la guérison.
16 Eh bien, demain soir, le Seigneur voulant… j’ai
désiré avoir une–une soirée à l’ancienne mode une fois de plus à
Phoenix, et j’ai choisi demain soir, si le Seigneur le veut. Combien se
souviennent de ma première visite à Phoenix, il y a des années? Eh
bien, il y avait une ligne de prière jusque là dans la rue, cela
amenait les gens jusque là dans la rue, maintenant la ligne de prière
longue d’un pâté de maisons. J’ai prêché hier soir: N’éteignez pas
votre alarme, vous savez. Gardez juste cette alarme allumée, car le
jour va bientôt poindre.
Bon, demain soir, pour les malades de Phoenix, nous
aurons un service de prière pour les malades. Et nous allons simplement
les faire venir là, leur imposer les mains, prier pour eux, et voir ce
que le Seigneur fera. Et, demain soir, venez en étant prêt. Combien ici
désirent qu’on prie pour eux, désirent entrer dans la ligne de prière
pour qu’on prie pour eux? Faites voir vos mains. Levez-les, partout où
vous êtes. Nous serons presque obligés de distribuer les cartes. Voyez?
Sinon, si j’arrive au milieu de cette ligne, et que les visions
commencent à apparaître, cela écartera d’autres. Eh bien, à ma
connaissance, les jeunes gens seront là demain à un moment donné de
l’après-midi, vers six heures, sept heures, à n’importe quel moment.
Ils vont distribuer les cartes de prière.
Eh bien. Eh bien, nous verrons alors ce que le
Saint-Esprit fera quand nous y arriverons.
17 Eh bien, alors le dimanche, c’est le… Nous
continuons… (Nous aurons la réunion le dimanche soir ici, n’est-ce pas?
La réunion du dimanche soir?) La réunion du dimanche soir… Et je crois
que le mardi, il y aura les réunions de ministres. À dix heures trente
dans la matinée, ce sera les ministres et leurs femmes à l’assemblée de
Dieu de Garfield, sur la onzième, à Garfield, c’est pour les ministres.
J’aimerais vous rencontrer, frères, vous les frères ministres.
J’aimerais parler avec vous. Vous êtes mes frètes. Voyez? Je–je vous
aime. Vous dites: «Mais, Frère Branham, je suis en désaccord avec
vous.» Cela ne change rien. Je vous aime de toute façon. Alors que le…
je veux que vous…
Un homme m’a dit il y a quelque temps, il a dit:
«Frère Branham, ne pouvez-vous pas vous accorder avec ceci?»
J’ai répondu: «Je peux m’accorder avec vous, mais je
ne sais pas si je peux m’accorder avec ce que vous dites là ou non.
Mais je peux–je peux m’accorder avec vous de toute manière, parce que
vous êtes mon frère.»
18 Eh bien, j’ai choisi pour ce soir un texte court,
afin que nous ne prenions pas trop de temps, et pour pouvoir être ici
demain soir, où ça pourra peut-être aller jusque un peu tard demain
soir, avec toute cette ligne de prière… Ce soir, ouvrons dans Psaumes
63, ce soir, dans Psaumes 63, vous qui notez le texte et tout.
Maintenant, je voudrais lire un texte familier que
vous avez peut-être déjà lu; j’espère que je n’ai pas prêché sur le
même sujet à Phoenix. Peut-être que le Saint-Esprit me conduira
autrement là-dessus, si nous le faisons. Et ainsi, nous allons lire à
partir du verset 1, Psaume 63:
Ô Dieu! tu es mon Dieu; je le cherche au point du
jour; mon âme a soif de toi, ma chair languit après toi, dans une terre
aride et altérée, sans eau,
pour voir ta puissance et ta gloire, comme je t’ai
contemplé dans le sanctuaire.
Car ta bonté vaut mieux que la vie; mes lèvres te
loueront.
19 Inclinons encore la tête, juste un moment. Père
divin, dans ce tourbillon d’activités de la vie dû à l’agitation, les
voitures roulant à vive allure dans les rues, des chars sans cheval se
heurtant l’un contre l’autre, avec des lumières comme des torches. Et
nous voyons le temps de la fin approcher, et je voudrais Te demander,
Seigneur, d’être miséricordieux envers chaque personne qui est dans la
Présence divine ce soir. Sonde nos cœurs, Seigneur, pendant que nous
parlons, non pas seulement à mon assemblée, mais à mon propre cœur
aussi, Seigneur, comme David dit dans un autre psaume: «Sonde-moi et
éprouve-moi.» Et s’il y a quelque chose de souillé en moi, Seigneur, je
Te prie de l’ôter, pour que mon cœur soit pur au-devant de Toi, que les
pensées de mon cœur et la méditation de mon esprit puissent être
agréables à Tes yeux.
Bénis tout le monde ici, Seigneur. Et s’il y en a
ici qui ne Te connaissent pas, puisse ceci être la soirée où ils
trouveront cet Adorable Seigneur Jésus, le plus beau d’entre dix mille
pour notre âme, le Lis de la vallée, la Rose de Sharon, l’Étoile
brillante du matin, l’Alpha et l’Oméga. Puisse-t-Il venir briller sur
leur vie, et éclairer le chemin vers le Calvaire, afin qu’ils Le
découvrent ce soir, comme leur Précieux Sauveur. Je prie ce soir pour
ceux qui sont fatigués sur le chemin, qui sont sur le point de rompre
les rangs.
Ô Dieu, fais-leur savoir que ce n’est pas le temps
de rompre les rangs, mais de former les rangs, car la bataille est en
cours. Les lumières du soir s’éteignent, et bientôt il y aura
l’obscurité et personne ne pourra alors travailler. Nous Te prions,
Père céleste, de nous accorder une grande réunion ce soir. Ce que nous
entendons par grand, Seigneur, c’est que les âmes T’acceptent, et que
Ton Fils soit honoré, que les malades soient guéris, que les
rétrogrades soient ramenés dans le Royaume de Dieu et que les églises
soient consolidées, les cœurs des membres et des ministres étant liés
par le lien d’amour, afin que tous ensemble le–la gloire revienne à Ta
Glorieuse Personne. Car nous le demandons au Nom du Seigneur Jésus.
Amen.
20 Dans ce verset 3: [verset 4 en français–N.D.T.]
Car ta bonté vaut mieux que la vie, mes lèvres
célébreront tes louanges.
Quand j’ai lu cela pour la première fois, je me suis
dit que c’était un texte qu’on n’a pas l’habitude de prendre. Et Dieu
est inhabituel, et Dieu fait des choses inhabituelles, des choses
inhabituelles. Et lorsque j’ai lu cela, je me suis demandé ce que David
voulait bien dire quand il dit: «Ta bonté vaut mieux que la vie.» J’ai
examiné cela, me demandant ce qui peut bien valoir mieux que la vie.
Si nous devrions faire un voyage ce soir, et monter
là au ciel, et que je rencontrais le père Abraham, je lui demanderais:
«Abraham, quelle est la chose la plus glorieuse que tu aies jamais
connue? Quelle est la chose la plus essentielle que tu aies jamais
connue?» Abraham me répondrait: «La Vie Éternelle.»
Puis, j’effectuerais encore un petit voyage, et nous
monterions vers le grand Archange, Gabriel, qui est le messager de
l’alliance auprès du peuple juif, qui se tient à la droite de Dieu, qui
appartient à l’ordre le plus élevé des Anges du Ciel. Et je lui
demanderais: «Gabriel, tu es un Ange puissant. Tu es aimé de Dieu, et
tu as été ici des siècles et des siècles, toi, peut-être, tu connais
tout au ciel, et où se trouve chaque chose, parce que tu es l’un des
Anges qui se tiennent à la droite de Dieu. Et tu connais les grands
secrets du Ciel. Tu as sonné la trompette à la Venue du Seigneur Jésus.
Tu as annoncé Sa première Venue, et Tu annonceras Sa seconde Venue, par
conséquent tu dois être un homme puissant ou plutôt un Ange puissant.
Dis-moi, dans tous les trésors de Dieu, quelle est la plus grande chose
que tu as trouvée parmi Ses trésors?»
Je peux voir Gabriel se concentrer et dire: «La plus
glorieuse chose que j’ai trouvée dans les trésors de Dieu depuis qu’Il
m’a créé, c’est la Vie. Dieu M’a créé pour vivre éternellement, pour
l’éternité. Et la Vie est la chose la plus glorieuse qui soit.»
21 Peu importe combien vous pouvez être riche, peu
importe combien vous pouvez être populaire, qui que vous soyez, la plus
grande chose qui existe, que n’importe quel homme peut accomplir sur
cette terre, c’est de recevoir la Vie Éternelle.
Que vous soyez roi et monarque, que vous dirigiez le
monde entier pendant un million d’années comme roi et jeune homme, si
cependant vous n’avez pas la Vie Éternelle, vous avez perdu la chose la
plus glorieuse que l’on puisse perdre.
22 J’ai souvent dit que si je pouvais redevenir un
jeune homme de vingt-cinq ans, si Dieu apparaissait sur l’estrade ce
soir, et disait: «Je te ramène à l’âge de vingt-cinq ans. Tu vivras
pendant un million d’années, et Je ferai de toi le roi de tout
l’univers. Tout se fera sur ton ordre. Ou bien Je te donnerai cent ans
de misère et de malheur, de troubles et de tristesse, mais à la fin de
ces cent ans, Je te donnerai la Vie Éternelle. Mais à la fin de ce
million d’années, tu seins perdu.»
Oh! je dirais: «Seigneur Dieu, je n’ai pas à
attendre un seul instant pour faire mon choix. Accorde-moi les cent ans
de misère et de malheur, n’importe quelle sorte de mort que Tu choisis
pour moi; seulement, Seigneur, donne-moi la Vie Éternelle. Quand bien
même j’aurais le monde entier et que je serais roi pendant un million
d’années, à la fin de ce million d’années, je deviendrais une créature
destinée à l’enfer pour toujours. Mais peu importe combien mon sort est
malheureux ici, à la fin de ma vie, si j’ai la Vie Éternelle, je
continuerais à vivre dans la Présence bénie de Dieu d’éternité en
éternité.
23 Alors, Cela m’a donc dérangé quand je me suis mis
à me demander de quoi parlait ce prophète. Eh bien, nous savons que
David était un prophète. Je me suis donc demandé de quoi il parlait
quand il a dit: «Ta bonté vaut mieux que la vie.» Enfin, j’ai compris
que la vie avait plus d’une signification. La vie a beaucoup de
significations. Cela dépend de l’angle sous lequel vous le considérez.
Et votre vie, c’est ce qui vous contrôle. Vous avez la vie, le
mouvement, votre existence, c’est la vie. Et ça dépend du genre de vie
qui est en vous, la manière dont cela vous contrôle.
Il n’est pas étonnant que les gens ne puissent pas
croire, et pourtant ils prétendent être religieux; ils ne peuvent pas
croire à la guérison divine, ils ne peuvent pas croire aux miracles,
ils ne peuvent pas croire au Saint-Esprit qui fait que les gens soient
remplis de la puissance de la résurrection de Christ. La raison pour
laquelle ils ne peuvent pas croire cela, c’est qu’ils n’ont rien en eux
pour croire, en effet votre vie est… votre mouvement est contrôlé par
la vie qui est en vous.
24 Il y a quelque temps, une chose frappante m’est
venue à l’esprit. Dans les années passées, dans les régions du Sud, on
vendait des esclaves, les gens de couleur, les nègres qui venaient
d’Afrique, que les Hollandais avaient amenés là et vendus comme
esclaves. C’était une chose pitoyable. Je suis certainement d’accord
avec Abraham Lincoln que Dieu n’a jamais voulu que l’homme soit un
esclave. Dieu a fait l’homme; l’homme a fait des esclaves. C’est ce
qu’ils essaient de faire ce soir, pas seulement avec la race noire,
mais avec les races du monde; chaque homme dans chaque nation essaie de
faire des autres des esclaves. Dieu a créé l’homme libre, une créature
libre sous l’autorité de Dieu, pour L’adorer.
Eh bien, ils prenaient ces pauvres gens pour les
vendre aux enchères et en faire l’objet des transactions. Il y a
quelque temps, là en Louisiane, j’ai vu l’un des anciens et premiers
enclos pour taureaux, qu’ils avaient. Là où ils amenaient et plaçaient
ces hommes et les gardaient dans le bloc de ventes aux enchères, et ils
les vendaient aux enchères, et on tâtait leur pouls, on examinait leurs
dents, et on prenait un fouet et on les faisait courir dans la rue, on
les fouettait derrière les talons, on les faisait courir très vite, et
puis on revenait examiner leur cœur.
25 Et un vieil homme qui se tenait là m’a dit:
«Pasteur, j’ai assisté à votre réunion l’autre soir.»
J’ai dit: «Merci, j’observais tout simplement ceci.»
Il a dit: «Je me souviens de l’époque où l’on
pratiquait cela.»
Et il m’a dit, il a dit: «Savez-vous quel était
l’esclave le plus cher?»
J’ai dit: «Quoi?»
Il a dit: «Une jolie fille.» Il a dit: «L’enchère
pour un esclave homme commençait à cinq cents dollars ou à trois cents
dollars.» Mais, a-t-il dit, pour une jeune fille de couleur, une belle
fille exposée là, l’enchère commençait à deux mille dollars.» Et il m’a
regardé, et il a dit: «S’il y a un enfer, leurs âmes s’y trouvent
aujourd’hui.»
J’ai dit: «Vous parlez de leurs âmes, qu’en est-il
de la vôtre, papa? Où ira la vôtre?» Quelques jours après, un ami
prédicateur l’a baptisé du baptême chrétien.
26 Alors, quand on prenait ces esclaves, les
acheteurs venaient, et les achetaient. Et ils allaient là, et
regardaient partout, et trouvaient celui qui était robuste et en bonne
santé, et on l’échangeait contre un plus petit ou quelque chose comme
cela, juste comme vous le feriez pour une voiture d’occasion ou pour
quelque chose d’autre au parking, et on en recevait un acte de vente.
Oh! c’était terrible. Et un jour, un–un revendeur
vint dans une vieille plantation où il y avait beaucoup d’esclaves.
Et–et les esclaves qu’on avait amenés là étaient tristes. Ils se
retrouvaient loin de leur patrie, et ils n’allaient plus voir papa, ni
maman, ni les enfants; ils avaient été déportés et vendus ici pour
mourir sur une terre étrangère. Et ils étaient tristes, et bien des
fois pour les amener à travailler, on prenait le fouet et on les
fouettait pour les amener à travailler. On les réprimandait sans cesse.
Et un certain revendeur vint dans cette plantation
et demanda au propriétaire: «Avez-vous des esclaves?»
Il répondit: «J’en ai cent et quelques ici.
Voyez-les là-bas.» Et il remarqua un jeune esclave; il semblait
différent des autres. On n’avait pas du tout besoin de le fouetter; il
marchait droit, le menton relevé, les épaules redressées, prêt à tout
faire, et il encourageait toujours les autres, disant «Redressez-vous,
travaillons.» Et on se demandait pourquoi.
Alors ce revendeur demanda au propriétaire, disant:
«Je voudrais acheter cet esclave.»
Il répondit: «Non, mais il n’est pas à vendre.»
Il demanda: «Pourquoi n’est-il pas à vendre?»
Il dit: «C’est un esclave, n’est-ce pas?»
Il dit: «C’est un esclave.»
Il demanda: «Eh bien, pourquoi ne voulez-vous pas le
vendre?»
Il répondit: «Parce que je ne veux pas le vendre.»
Il dit: «Bien, j’aimerais vous poser une question.
Qu’est-ce qui fait qu’il soit si différent des autres? Est-ce… Est-il
le chef des autres?»
Il répondit: «Non, C’est un esclave.»
Et le revendeur demanda au propriétaire: «Parfois
vous le nourrissez peut-être un peu mieux.»
Il répondit: «Non, il mange là à la cuisine avec les
autres esclaves. Ce n’est qu’un esclave.»
«Eh bien, dit-il, je voudrais alors vous poser une
question.» Il dit: «Qu’est-ce qui fait qu’il se comporte différemment?
Qu’est-ce qui fait qu’il soit si différent des autres?»
Le propriétaire répondit: «Je me suis moi-même posé
la question pendant longtemps, mais un jour j’ai découvert que là dans
la vieille patrie d’où il vient, son père est le roi de la tribu.» Et
il a dit: «Bien qu’il soit un étranger, et qu’il soit ici, loin de son
peuple, il sait néanmoins dans son cœur, qu’il est fils d’un roi. Et il
se comporte en conséquence.»
27 Oh! je me suis dit que peu importe la situation
que nous devons peut-être traverser, que ce soit les épreuves, que ce
soit les chagrins, que ce soit la persécution, qu’on se moque de nous
ou que l’on soit l’objet de raillerie, quel genre de personnes
devrions-nous être? Nous sommes fils et filles du Roi. Bien que nous
soyons dans un monde hostile, bien que nous soyons dans un endroit où
nous sommes haïs, peut-être appelés des noms honteux du genre «saints
exaltés, langues pentecôtistes». Qu’est-ce que ça change? Nous devrions
avoir le menton relevé, les épaules redressées, croyant la Parole de
Dieu, car là de l’autre côté du pays, notre Père est le Roi.
Et je pense que c’est ridicule et honteux de voir
les filles du Roi porter le genre d’habits qu’elles portent en ces
jours-ci. Quand je vois les fils du Roi fumer la cigarette, et boire du
whisky, et un petit verre de bière, comme c’est indigne du fils du Roi
du ciel!
Notre Père est riche en maisons et en terres;
Il détient les richesses du monde dans Ses mains!
Du rubis et du diamant, de l’argent et de l’or,
Ses coffres sont remplis, Il a des richesses immenses.
Nous sommes les enfants du Roi.
28 Peu importe combien nous sommes pauvres, combien
vous devez être écrasés, combien le monde vous critique et dit
n’importe quoi sur vous, cela devrait vous faire garder la tête haute
pour le mu… moral des autres. Nous ne devrions jamais nous disputer les
uns avec les autres. Nous devrions toujours dire la chose la plus
louable au sujet d’un frère ou d’une sœur. Si quelqu’un est tombé dans
un caniveau, ne l’enfoncez jamais davantage. Relevez-le; faites-le
sortir de là aussi vite que vous le pouvez, parce que cela l’aidera.
Nous devrons être un exemple. Nous devrions mener une vie exemplaire,
connue nous sommes des fils et des filles de Dieu, le Roi éternel. Nous
devrions nous conduire de cette façon, en tant que fils et filles du
Roi. Nous ne devrions jamais faire quoi que ce soit qui pourrait amener
la honte.
29 Je disais ceci l’autre jour, et ma femme qui est
assise là derrière, m’écoute. Il y a quelques semaines nous allions à
un magasin, pour faire quelques provisions, et en plein hiver, nous
avons vu une femme portant de tout petits habits, des habits courts,
avec un petit chandail sur elle. Ma femme a dit: «Tu sais, elle ne peut
pas être à l’aise comme cela.»
Eh bien, nous nous sommes mis à parler de la chose.
J’ai dit: «Chérie, quand je vais en Allemagne, je vois…» J’ai dit:
«C’est une Américaine, c’est tout.» Et j’ai dit: «Quand je vais en
Allemagne, les gens ont un esprit allemand, l’esprit national. Quand je
vais en Finlande, ils ont l’esprit finlandais. Quand je vais en Suède,
ils ont l’esprit suédois. Quand je vais en Afrique, ils ont l’esprit
africain. Quand nous venons en Amérique, ils ont l’esprit américain.»
«Eh bien, a-t-elle dit, ne sommes-nous pas
Américains?»
J’ai dit: «Non, pas moi; j’habite simplement ici.»
Elle a dit: «Eh bien, le… quel…»
J’ai dit: «Voici la raison: ils ont simplement
l’esprit américain. Nous sommes taxés des religieux.»
30 Je parlais à une fille une fois; j’ai dit:
«Mademoiselle, êtes-vous une chrétienne?»
«Eh bien, a-t-elle dit, je vous apprends que j’étais
déjà chrétienne encore enfant.»
J’ai dit: «Qu’est-ce que cela a à faire?»
Une fois, le vieux frère Bosworth a demandé à une
autre, disant «Êtes-vous chrétienne?» Elle était très fâchée; elle a
grogné et a dit: «Je vous apprends que je brûle un cierge chaque soir.»
Comme si cela avait bien quelque chose à voir.
Une fois, l’une d’elles m’a dit là à Mishawaka, elle
a dit: «Je vous apprends que je suis Américaine.»
J’ai dit: «Cela n’a rien à voir. Rien à voir.»
31 Et j’ai dit: «Chérie, la raison pour laquelle les
chrétiens…» J’ai dit: «Les chrétiens n’ont pas le désir d’agir comme
cela, parce qu’ils ne sont pas à vrai dire des Américains. Pour la
citoyenneté, quoique vivant ici, ils sont des pèlerins et des
étrangers, ils… Notre citoyenneté est du Ciel, et on est né d’En-haut,
où règnent la sainteté et la piété. Les vrais chrétiens, qui sont nés
de l’Esprit de Dieu, n’agissent pas comme cela.»
Non, monsieur, oh! il se peut que vous soyez–il se
peut que vous soyez un pentecôtiste. Il se peut que vous soyez membre
de l’Église presbytérienne, méthodiste, baptiste, et que vous fumiez la
cigarette, que vous buviez, que vous ayez des parties de cartes, des
jeux d’escroquerie, des danses, mais si vous êtes chrétien, vous ne le
ferez pas. C’est juste.
Dans ma contrée, nous avons des chênes. Très bientôt
ce sera le printemps; toutes les feuilles qui étaient à ces arbres
l’année passée sont toujours là. Eh bien, je n’ai pas besoin d’aller
dehors pour détacher chacune d’elles, afin que les nouvelles feuilles
apparaissent. Laissez juste la nouvelle vie monter, et les vieilles
feuilles tomberont. C’est la même chose pour l’Esprit de Dieu, que vous
soyez chrétien ou pas. Laissez la nouvelle vie de Christ entrer, et la
vieille vie va mourir, et vous deviendrez une nouvelle créature en
Jésus-Christ. Oh! c’est ainsi.
32 Alors, j’ai découvert qu’il y a deux différentes
sortes de vie. Certaines personnes pensent que la vie, c’est boire,
passer de beaux moments. Ça, c’est l’esprit de cette nation: passer de
grands moments, une vedette, un programme à la télévision, faire
beaucoup de plaisanteries. Eh bien, cela donnerait des maux d’estomac à
un vrai chrétien, d’entendre ce genre de choses. Un homme ou une femme
qui peut regarder à ce genre de sottises que nous avons à la télévision
aujourd’hui, certains de ces programmes et–et apprécier cela; cela
montre que c’est mentionné ichabod sur votre cœur, la gloire de
l’Éternel s’en est allée.
Et quand l’église n’attire plus, quand elle en
arrive au point où vous devez signer des cartes et autres pour venir à
l’église, je pense qu’il est temps de tenir une réunion de prière ou
que quelque chose se produise à l’église.
33 Il y a quelque temps, je descendais d’un poteau,
et un certain prédicateur de ma ville était là. Et j’avais été au…
avant d’arriver au travail. Et j’apportais une–une facture
d’électricité à une dame, et j’ai frappé à la porte, et elle est venue
à la porte, une toute petite femme à moitié vêtue, et elle a dit… Et il
y avait là un certain gars, parmi ces musiciens sauvages, vous savez,
avec ces violons et tout, et il continuait, chantant une espèce de
petite chanson, et–et exécutait de petites danses gigues de
rock-and-roll, ou je ne sais quoi. Et… et un… Et cette pauvre petite
créature est allée me chercher la facture d’électricité, et elle était
emballée par cette chanson, au point qu’elle oublia que j’étais à la
porte. Elle dansait de long en large sur le parquet, et faisait toutes
sortes de scènes. Je me tenais en retrait et je l’ai regardée un
moment. Et alors, quand elle a fini, elle a dit: «Oh! Pardonnez-moi.»
J’ai dit: «Çà va, Madame.»
Et elle est venue et a dit: «Ma mère avait oublié
d’amener la facture, la voici donc.» Elle a dit: «J’aime tellement
danser, que je–que je–j’ai simplement oublié que vous vous teniez ici.»
J’ai dit: «Oui, Madame, j’ai vu cela.»
34 Peu de temps après cela donc, un pasteur me
rencontra et me dit: «Vous savez, Frère Branham, dit-il, récemment j’ai
eu des problèmes vraiment terribles avec les fidèles de mon église.» Il
a dit: «Je n’arrive pas à les faire venir à l’église», il a dit: «Vous
savez quoi? J’ai envoyé aux membres de cette église mille cartes, et je
leur ai demandé de promettre qu’ils assisteraient à l’école du dimanche
au moins six mois par an.» Il a dit: «Savez-vous combien parmi les
membres de cette église ont répondu à ces mille appels?»
J’ai dit: «Docteur Brown, je n’ai aucune idée.»
Il a dit: «Deux! deux sur mille, qui ont souscrit
qu’ils viendraient six mois par an, au moins six mois par an, qu’ils
assisteraient à l’école du dimanche…»
J’ai dit… je lui ai raconté l’histoire de cette
pauvre petite fille au bas de la colline, là où se trouvait l’église. À
ce que je sache, il se peut qu’elle ait été membre là. Et il a dit…
J’ai dit: «Pensez-vous que quand ce musicien a
quitté l’antenne, et qu’elle lui a envoyé une bise par la télévision ou
la radio, en disant: «Au revoir, chéri. Je te verrai là ce soir à cette
espèce de bal populaire où l’on va se rencontrer.’» Elle a dit: «Je te
verrai là.» J’ai dit: «Penses-tu que cet homme devra signer–lui faire
signer une carte pour dire qu’elle serait là?» Certainement pas. Elle y
sera même si elle doit mettre ses souliers en gage. Elle y sera.
Pourquoi? Pourquoi? Parce que l’esprit de ce monde est en elle, et elle
est un membre fidèle, et elle sera là-bas.
35 Et si les hommes et les femmes aiment Dieu autant
qu’ils–que le monde aime ses plaisirs… Le plaisir d’un chrétien, c’est
de servir le Seigneur dans la maison de Dieu. Vous n’avez pas besoin de
signer une carte; vous ne pouvez pas–vous ne pouvez pas ouvrir assez
vite la porte.
Et si les membres de l’église s’aiment assez les uns
les autres, au lieu de former de petits groupes et vous éloigner de
l’église… Frère, si vous vous aimez les uns les autres au point que
vous–vous souffrez dans le cœur jusqu’à ce que vous vous réunissiez
encore, c’est ainsi que cela devrait être.
Béni soit le lien qui unit
Nos cœurs dans l’amour chrétien;
La communion des âmes sœurs
Ressemble à celle d’En haut.
Quand nous nous séparons,
Cela nous cause la peine;
Mais dans les cœurs nous restons unis,
Espérant nous revoir.
36 Ô Dieu, même s’il nous faut retirer tous les
miracles de l’église, même s’il nous faut enlever toutes les grandes
orgues, des bancs en peluche, redonne-nous cet amour divin, l’amour
fraternel parmi le peuple et la communion. S’il nous faut faire tout
cela, ramène cela là. La vie, oh! la vie…
Des fois les gens pensent que la vie, c’est avoir
une–une fête, aller à la fête et passer un beau moment. Ça, ce n’est
pas la vie. D’autres personnes ont ramené cela au fait de s’enivrer.
Ils sortent dans la rue et s’enivrent, et ils passent un beau moment.
Ils disent: «C’est ça la vie.»
37 Un écrivain a écrit une fois, il n’y a pas
longtemps, dans un magazine, je crois que je me suis référé à cela il y
a quelque temps ici. Je ne suis pas sûr. Mais il a dit: «La vie
commence la nuit. La nuit a été faite pour la vie.» La nuit a été faite
pour le repos. Le soleil se couche; vous vous couchez, reposez-vous, ne
rodez pas toute la nuit, pour revenir à l’aube, et… vous n’êtes pas
censé faire cela. Les mauvaises créatures rodent la nuit. Le mal se
fait la nuit; tous les serpents, les lézards, les punaises et tout se
grom… se promènent la nuit. Et ce sont les–les puissances démoniaques
qui rodent la nuit.
Et l’homme est tombé plus bas que la bête. L’homme
est le–est le… On nous a enseignés qu’il fait partie du règne animal,
mais que cet homme s’éloigne de Dieu, il est le plus bas de tous les
animaux. Il n’y a pas un animal au monde qui soit aussi bas qu’un homme
éloigné de Dieu. Observez-le.
Prenez une vieille mère chienne, ou une vieille mère
truie, peu importe le nom que vous voulez lui donner, tout ce que vous
voulez. Mais considérez sa moralité, elle est à un million de
kilomètres au-dessus de beaucoup de vedettes de cinéma, quant à la
moralité. C’est vrai. Vraiment trop bas… L’homme est tombé si bas qu’il
arracherait un enfant des bras d’une mère et violerait cette maman par
envie bestiale. Mais placez l’Esprit de Dieu en lui, c’est une créature
différente, parce qu’il est une nouvelle créature. En Jésus-Christ, il
verserait son sang pour protéger cette maman. C’est cela la différence.
L’une est la mort, et l’autre, la vie.
38 Il y a quelque temps j’étais au Canada, je tenais
une série de réunions là au Saskatoon. Et nous tenions une série de
grandes réunions là-bas à une aréna. Sept ou huit mille personnes y
assistaient. J’étais avec certains de mes amis là-bas dans cette
certaine réunion. Je venais de quitter Phoenix. C’était la première
série des réunions après que j’ai quitté Phoenix, il y a environ trois
ou quatre, ou cinq ans, l’une des réunions.
Et je suis descendu, cette nuit-là à la réunion
à–à–à là–à l’aréna. Et sur mon chemin de retour à la maison, j’ai
remarqué ce soir-là que les gens affluaient à ce grand hôtel. Je me
suis dit: «Eh bien, il semble que ce sont toutes des plaques
d’immatriculation américaines et tout, sur ces voitures, elles viennent
des États-Unis.» Alors je… Ce soir-là, quand je suis revenu, j’ai
compris que l’Amérique était au Canada, ce soir-là.
Quand je suis entré dans l’ascenseur, il était si
plein de bouteilles de whisky et de gin qu’on trouvait à peine une
place où se tenir. Et j’ai regardé là-dedans; j’ai dit… j’ai regardé
tout autour comme cela, et ce petit opérateur de l’ascenseur me
connaissait, et il a dit: «Ils sont ici.»
J’ai dit: «Ç’en a vraiment l’air.»
Il a dit: «Ça, c’est–c’est un terrain des ivrognes
invétérés, Frère Branham.»
J’ai dit: «N’est-ce pas affreux!» C’était un club.
Eh bien, je peux citer son nom maintenant même, mais il y a
probablement leurs membres qui sont assis ici. Ils sont donc tous
pourris de toute façon, pour commencer. Il n’y a qu’un seul club; c’est
le club de Jésus-Christ. Vous n’y entrez que par la naissance. Vos
autres clubs peuvent être très bien, mais le véritable c’est celui de
Christ. C’est l’unique qui modèle le caractère et rend les gens ce
qu’ils devraient être, le club de Jésus-Christ. Et vous n’y entrez que
par la naissance.
39 Et alors, lorsque nous nous sommes arrêtés à
l’étage, où ma chambre… j’en suis sorti. Oh! la la! vous pouviez
entendre çà et là partout, toute la… la fumée de la cigarette se
répandait, et–et de sales plaisanteries partout. Et je commençais à
avancer dans le hall, et j’ai entendu un… quelqu’un dans le coin, et
c’étaient deux jeunes femmes américaines, toutes deux portaient des
alliances de mariage, ayant sur elles des… juste des sousvêtements.
Elles se sont approchées, tenant une bouteille de whisky, titubant et
se heurtant l’une contre l’autre, faisant de petits amusements
innocents, les maris restés à la maison pour faire la garde des enfants.
C’est là que vous attrapez cela. Juste de petits
amusements innocents; c’est ainsi que nous appelons cela. C’est tout ce
qu’on a ici, des écrans de télévision publics, et toutes ces publicités
ici, sur le whisky, la bière, la cigarette et tout. C’est la porte de
l’enfer. Je peux avoir l’air vieux jeu, mais ma jeune sœur, mon jeune
frère, souvenez-vous, c’est ça la porte de l’enfer. Celui qui aime cela
mourra éternellement. C’est vrai. «L’âme qui pèche, c’est celle qui
mourra.» «La femme qui vit dans les plaisirs est morte, quoique
vivante», dit la Bible. C’est la vérité. Comment la féminité, cette
douce…
La plus grande chose que Dieu a donnée à un homme à
part le salut, c’était une femme. Elle lui a été donnée pour le
réconforter, l’assister, le bénir, et le consoler, et–et être une vraie
compagne pour lui. Et aujourd’hui, c’est si corrompu, et pourri que je…
c’est… Eh bien, les Hottentots d’Afrique peuvent venir ici et enseigner
à nos femmes à mener une vie décente. C’est juste.
40 Il y a une tribu, au fin fond de l’Afrique, où si
une femme n’est pas mariée à un certain âge, elle doit être expulsée de
la tribu. Et si elle est mariée, et avant d’être mariée, on doit
vérifier sa virginité. Si on la trouve coupable, elle doit dénoncer
l’homme qui a fait cela, et on les tue tous deux. On en tuerait
beaucoup aux États-Unis si cela se faisait ici, n’est-ce pas?
Pensez-y. Des païens. C’est une honte. C’est une
tache sur ce drapeau pour lequel nos aïeux ont combattu. C’est une
honte pour notre nation. Et quand la féminité est brisée ainsi que la
maternité, dans n’importe quel pays, la colonne vertébrale est brisée.
Que Dieu nous donne encore des mères à l’ancienne mode.
41 J’ai une coupure de journal qui a été publié là
dans notre journal, un journal local, qui montrait que trois soldats
sur quatre qui étaient partis outremer pendant l’autre guerre, ont
divorcé d’avec leurs femmes six mois après leur retour. Et elles
étaient parties travailler dans les usines où l’on fabrique la poudre,
ainsi de suite comme cela…
Eh bien, si un homme est malade et que sa femme ne
peut pas travailler, je veux dire si lui ne peut pas travailler, je ne
condamne pas la chose; sa femme doit gagner de quoi vivre. C’est en
ordre. Mais si elle s’en va travailler juste pour avoir un peu plus
d’argent, vous feriez mieux de la garder loin de cette bande de voyous
avec laquelle elle travaille là. Sa place est à la maison. C’est cela.
Ici elle… elle est censée être à la maison.
Et, monsieur, vous pourrez vous considérer vous-même
comme étant très correct, mais si vous avez des clubs et ces autres
choses qui vous éloignent d’elle la nuit, vous devez avoir honte de
vous-même. Dieu vous a donné un foyer pour… à chérir et à réconforter
et des choses comme cela, et c’est honteux de voir la manière dont les
hommes traitent leurs femmes, et la manière dont les femmes traitent
leurs maris. La féminité et la paternité de la nation sont détruites,
les tribunaux de divorce sont pleins.
Jésus a dit qu’il en sera ainsi: «Comme il en était
aux jours de Noé; ils se mariaient, et mariaient leurs enfants,
jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche.» C’est un péché et une
disgrâce. Ne me traitez pas de ce genre… Je ne…
42 Comme Jacob le disait à sa mort, quand il a appelé
ses deux fils qui avaient tué cet homme, il a dit: «Que mon âme soit
loin de leur colère. Car dans leur colère, ils ont tué un homme.»
Même à ses propres fils, il a dit: «Ne laisse pas
mon âme s’approcher de Ta colère.»
Et je dirais à ma mort: «Si cet esprit qui est en
Amérique, si c’est par cela que je dois être jugé, que Dieu me garde
loin de cela autant que possible. Que j’aie l’Esprit de Jésus-Christ,
le Fils de Dieu. Que quelque chose se passe en moi, peu importe ce qui
doit arriver.»
43 Les gens ont peur de la nouvelle naissance. Ils
ont peur de cela. Eh bien, peu m’importe à quel échelon elle a lieu,
chaque naissance est un gâchis. À supposer que ce soit là dans une
porcherie, toute naissance est un gâchis. Que ce soit dans une
porcherie, que ce soit dans un… Que ce soit dans une étable à vaches,
que ce soit dans une chambre d’hôpital décorée en rose, peu m’importe
l’endroit où une naissance a lieu, c’est un gâchis.
Et la nouvelle naissance, c’est la même chose. Elle
vous fera faire des choses que vous ne pensiez pas faire. Il se peut
que vous criiez, pleuriez à chaudes larmes, et que vous vous frottiez
tout autour de l’autel; peu importe ce que vous faites, je n’ai jamais
demandé à Dieu (cela ne ferait aucun bien), d’essayer de ramener la
nouvelle naissance à mon niveau. J’aimerais me mettre au niveau où Dieu
a placé la nouvelle naissance, et la recevoir. Peu importe ce que je
dois faire.
Quelqu’un disait il n’y a pas longtemps: «J’ai peur
de recevoir le Saint-Esprit. J’ai peu qu’Il me fasse parler en langues
comme les autres.» Peu importe si j’ai parlé en langues, si je me suis
exprimé en langues, si j’ai crié en langues ou n’importe quoi d’autre;
je veux le Saint-Esprit. C’est ce qui est fondamental; peu importe à
quel niveau ça se trouve. Je veux rencontrer Dieu à Son niveau. Ce
qu’Il veut dire est juste. C’est là que je veux me tenir. Cette
nouvelle naissance qui change un homme, change une femme, amène un
nouveau désir, change leurs appétits… Luttez avec Dieu jusqu’à avoir
prise, jusqu’à ce que la bénédiction vienne. Alors, Dieu vous changent
comme Il a changé Jacob, du supplantent à Israël, le prince. La
nouvelle naissance…
44 Ces femmes sont descendues là, et elles avaient
un… un homme sortit… deux vieux messieurs sortirent en courant,
essayant de les saisir. Ils les ont ratées, et ils tapé leurs mains
derrière elles comme cela, l’une a été prise par le talon, et elle
s’est étalée par terre, et a renversé un peu de son whisky. Et cette
autre a pris cela et a ajouté dans son verre. Et ce vieil homme était
si ivre qu’il ne pouvait pas se relever du plancher, oh, passant un
moment beau et sain, juste un petit amusement.
C’est ce qui brise les foyers; c’est ce qui gâche
les enfants; c’est ce qui engendre des névrosés; c’est ce qui cause la
délinquance juvénile; c’est quand la maternité et la paternité sont
brisées.
Cette femme a levé cette bouteille; elle a relevé ce
petit jupon, tout ce qu’elle portait, elle a lancé sa petite jambe en
l’air comme cela, et a crié: «Youpi!» Elle a dit: «C’est ça la vie.»
Je ne pouvais pas en supporter davantage. Je suis
allé là, et j’ai dit: «Excusez-moi. Ça, c’est la mort.» J’ai dit: «Le
diable vous a séduites. C’est la mort.»
Et elle a dit: «Tu veux un verre? Vas-y, chéri.»
J’ai levé cette même Bible-ci, j’ai placé Cela
devant elle, j’ai dit: «Je suis un prédicateur de l’Évangile.»
Et elles ont fait tomber la bouteille, avec ces
maquillages sur tout le visage, sur les yeux, et partout, et leurs
lèvres qui étaient censées être ici, elles étaient peintes là autour du
nez, toutes sortes de truc, et ce trac bleu coulant sous les yeux.
J’ai regardé à leurs mains, elles portaient des
alliances; j’ai dit «N’avez-vous pas honte de vous? Je suis aussi un
citoyen américain.» J’ai dit: «Vous faites la honte de la nation.»
«Ô, ont-elles dit, nous l’avons fait sans penser en
mal.»
J’ai dit: «Vous l’avez fait sans penser en mal! Et
vous portez toutes deux des alliances.»
Elles ont commencé à s’éloigner comme cela. Je les
ai saisies par la main; elles étaient trop ivres pour m’échapper. Je
les ai saisies par la main. J’ai dit: «Écoutez, mesdames,
agenouillons-nous ici et prions que Dieu ait pitié de vos âmes
pécheresses. Allez prendre du café noir, désenivrez-vous et retournez à
la maison auprès de vos enfants et de vos bébés.» La vie, la vie, ça,
c’est la mort!
45 C’est le genre de vie dont David a dit: «Car Ta
bonté vaut vieux que la vie. Oh, mon âme a soif de Toi, ô Seigneur. Je
soupire de Te voir dans cette terre aride, desséchée; ainsi, je Te
contemple dans Ton sanctuaire.»
[Espace vide sur la bande–N.D.É.] …gravir une haute
tour, ou plonger dans une rivière, ou s’étaler sur la rue, ou prendre
de l’acide carbonique, pour mettre fin à ce genre de vie. Ce n’est pas
de cela que David parle. Ce genre de vie a une fin, et la fin est
désastreuse. Et ce genre de vie n’a pas une bonne fin. Et alors, je
voudrais juste poser cette question à l’auditoire, pour un instant:
«Qu’est-ce qui pousse une personne à faire cela?»
Eh bien, par exemple, je suis allé à une fête une
fois, où… Ce n’était pas une fête; c’est là où nous avions vendu des
lampes lors d’une campagne. Et on a prononcé un petit discours. Et nous
sommes allés là pour voir à Louisville, dans le Kentucky, et la
compagnie de services pour laquelle je travaillais, j’avais vendu plus
de lampes que toute la compagnie, que tous les autres. Alors, on a
offert un petit moment; nous avions eu un petit dîner. Et alors, après
que tout était fini, les gens ont reculé et–et le–et ils ont organisé
la danse. Quelques jeunes filles sont venues pour danser. Quand elles
se sont amenées, mon patron m’a dit, il a dit: «Billy, va te tenir là
derrière, à la porte; nous allons avoir un petit amusement innocent.»
J’ai demandé: «Quel genre d’amusement innocent?»
Il a dit: «Cela te dérangerait d’aller à la porte?»
Il a dit: «Je sais que tu ne crois pas à la danse; mais ces gens vont
danser.»
«Bien, ai-je dit, ne puis-je pas attendre dehors?»
Il a dit: «Comme tu veux.»
J’ai dit: «D’accord.» C’est au moment où j’ai
commencé à me retirer que je… une pauvre petite fille est sortie en
courant comme cela, elle a couru sur la piste, elle a commencé à faire…
une espèce d’actes de folie et–et elle continuait, sa pauvre petite
jupe volait autour d’elle. Je me suis dit: «C’est la fille d’une mère!»
Je suis resté là à la porte juste une minute et j’ai regardé là. Je me
suis dit: «Ô Dieu, vraiment une jolie petite fille. N’est-ce pas une
honte, elle pouvait être une idole d’un homme, peut-être d’un bon
prédicateur, une–une consolation ou d’un bon ouvrier qui reviendrait la
nuit à un petit château, où ils auraient des petits enfants qu’ils
pourraient prendre, s’amusaient avec, et avoir une bonne vie en toute
liberté. C’est… Peut-être, il se pourrait que sa mère ait été une
chrétienne.»
46 Et elle s’est mise à courir ça et là, saisissant
chaque homme. Et elle est revenue vers moi. Et elle a dit: «Veux-tu
danser?»
J’ai dit: «Oui, madame. Je veux bien.»
Et elle a dit: «Viens.»
Je me suis avancé sur la piste; j’ai dit: «Un
instant.» Et je l’ai tenue elle était trop petite pour se dégager de
moi. Je l’ai tenue par la main, j’ai dit: «Il y a une chose que j’ai
toujours l’habitude de faire.» J’ai dit: «Chaque fois, avant de faire
quoi que ce soit, je prie toujours. Veux-tu prier avec moi?
Incline-toi.» Je tenais sa main. Elle n’y pouvait rien. Nous avons mis
fin à cette affaire là en quelques minutes. Certainement.
Le vieil orchestre du Jazz a arrêté, et ils ont pris
leurs instruments et sont partis. J’ai dit: «Monsieur Hanson, vous
pouvez me licencier si vous voulez.»
Il a dit: «Non, Billy, vous avez fait la chose qu’il
fallait.»
Voilà. Ce n’est pas ça la vie. Il y a deux
conceptions de ce qu’est la vie. L’une a le suicide; et l’autre a le
ravissement. Ô le ravissement divin. Puisse cette vie descendre en moi.
Mais qu’est-ce qui amène une personne à faire cela? Il y a une raison.
Laquelle?
47 Maintenant, écoutez attentivement. La raison pour
laquelle les gens font cela; c’est parce que Dieu les a créés pour
qu’ils aient soif. «Mon âme a soif de Toi, comme dans une terre aride
desséchée.» Bien, Dieu a créé l’homme pour qu’il ait soif. Mais,
voyez-vous, ce Dieu a créé l’homme pour qu’il ait soif, qu’il ait soif
de Lui. Il doit avoir soif de Dieu.
Maintenant, le diable essaie d’étancher cette soif
avec les choses du monde. Mais il n’y arrivera jamais. Eh bien, s’il
peut vous prendre et vous amener à avoir soif de la danse, à avoir soif
de la télévision, du rock and roll, et de toutes ces autres choses
immondes…
Eh bien, je n’ai pas l’intention de condamner toutes
les émissions de télévision, ni toutes les émissions à la radio. Si
vous voulez regarder la télévision, suivez Oral Roberts. Il a une bonne
émission. Suivez cela. Si vous voulez… C’est correct. Je soutiendrais
cela à cent pour cent. Billy Graham, Oral Roberts, ou des gens comme
cela, c’est bon, ou quelque chose qui est décent et bienséant. Mais
toutes ces absurdités concernant la boisson…
48 Et l’autre jour par ici… Je suis dans un conflit
sur les impôts à propos de l’argent que j’ai dépensé dans ces réunions.
Le gouvernement a dit que cela a dû m’appartenir en propre. Je devrais
payer les impôts sur tout ce…»
J’ai dit: «Comment pouvez-vous penser cela?» J’ai
dit: «C’est passé par mon église, et cela a été utilisé pour toutes ces
réunions.»
Ils ont dit: «Ô, cela vous appartenait avant
d’appartenir à l’église.» Et ils allaient m’arrêter pour ça.
Et j’ai dit: «J’aimerais vous poser une question au
nom de toute la décence.» J’ai dit: «Vous faites passer ces émissions
la nuit. J’ai passé trente-deux ans de ma vie à parcourir toute la
nation, le monde entier, essayant d’en faire un endroit meilleur où
vivre, essayant de transformer des escrocs pour en faire des hommes
honnêtes, essayant de prendre les enfants au berceau, et les mettre
dans l’église, et quelque chose pour le bien. J’ai consacré ma vie sur
terre à faire cela. Et l’argent que j’ai utilisé là-bas, et vous
essayez de me dire que je dois cela.» Et j’ai dit: «Vous laissez toutes
ces vieilles émissions désagréables et vulgaires passer à la
télévision, cette compagnie de whisky, de tabac, qui détruisent la
nation, qui font commettre des viols, des meurtres, et tout le reste,
la délinquance juvénile qui déchire votre nation; et ils ne payent pas
la publicité de cela.» Et j’ai dit: «Qu’est-ce qui nous reste?»
49 Il y a une chose qui nous reste, et c’est Christ.
Certainement, ces compagnies de bière, et tout ce que vous avez comme
publicité là-dessus, ce sont des impôts du gouvernement. Ils ne payent
pas cela. Mais que moi j’essaye de ne pas payer cela; disons: «Bien,
j’ai tenu une réunion au jardin de Madison Square, on a prélevé autant.
Je dois déclarer chaque sou. Et ensuite nous, avons payé autant pour
l’auditorium»
«Oui, c’est à vous que les gens donnent cela. Cela
vous appartenait. Vous devez payer l’impôt sur le revenu pour cela.»
Vous y êtes. Voyez? Eh bien, c’est… et puis vous
appelez cela justice, mentionnée là sur les portes des tribunaux. Pas à
mon avis, cela ne l’est pas. Pas dans cette Bible, non. C’est vrai.
Nous rendons à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.
C’est vrai. Mais ce monde est perverti, au point que l’on examine même
les examinateurs. Eh bien, c’est pitoyable. Des névrosés examinent des
névrosés, et le–les psychiatres le… soignent les psychiatres. Eh bien,
les choses sont corrompues, foutues pour toujours. Mais le Royaume de
Dieu subsistera éternellement.
50 Écoutez. Vous n’allez jamais satisfaire ce désir
ardent. Vous sortez ce soir vous enivrer, vous soûler, et vous faites
la noce à tout casser, demain matin vous avez des maux de tête, et la
peur. Vous allez briser votre foyer. Vous allez miner votre vie. Vous
allez jeter cela aux chiens, pour ainsi dire. Mais il y a un seul moyen
pour satisfaire cela–cela… Et je vais vous dire maintenant, vous…
Écoutez ceci! Vous les gens, jeunes ou vieux, comment osez-vous prendre
les choses du diable pour étouffer cette sainte soif bénie, cette soif
qui est en vous? Comment pouvez-vous prendre les plaisirs dans le
monde, du whisky, de la bière, des beaux moments, le luxe, pour
satisfaire cette soif sainte et bénie, que Dieu vous a donnée pour
avoir soif de Lui?
Pour certaines personnes, le diable est si méchant
qu’il les laisse se joindre à une église pour étancher cela. Oh, oui.
Les gens vont et se joignent à une église, ils disent: «Bien,
j’inscrirai mon nom dans le registre de l’église, et je vais…»
L’église c’est bien, mais permettez-moi de vous
dire, mon ami, que se joindre à une église ne va jamais étancher cette
sainte et ardente soif. C’est l’endroit où Dieu vient, et rien d’autre
ne peut combler cela jusqu’à ce que vous soyez rempli du Saint-Esprit.
Alors le Saint-Esprit vient dans votre cœur. Il est la Fontaine
éternelle de Dieu. Il est la Fontaine inépuisable de la vie. Recevez-Le
et abreuvez-vous de Lui pour le reste de votre vie, dans tous les âges.
Dieu a fait cet endroit ici dedans pour Lui-même. Vous avez soif de
quoi? De Lui. Il veut que vous ayez soif. Ayez soif de Lui.
51 David était un homme de bois, un berger. Il
utilisait les termes de bergers, et de bois, et ainsi de suite. Un…
dans un autre Psaume il a écrit: «Comme une biche soupire après des
courants d’eau, mon âme a soif de Toi, ô Dieu!»
Eh bien, je suis un chasseur, et j’ai chassé dans le
monde entier, presque. Bon, avez-vous déjà vu une biche blessée? «Comme
une biche a soif des courants d’eau, ainsi mon âme a soif de Toi, ô
Dieu!»
Eh bien, en Afrique, frère du Plessis, dans son
pays, ils ont là-bas des chiens sauvages, ils attrapent la–la biche. Et
si vous blessez une biche, si elle peut atteindre l’eau vous avez perdu
votre biche. Si elle peut atteindre l’eau… elle trouve l’eau et elle
retourne dans ce sens, elle descend, remonte le ruisseau, et ira…
trompe les chiens, elle retourne là, gravit la colline, revient
derrière eux, elle marche dans le ruisseau, en boit encore, jusqu’à ce
que cette eau froide suffise pour faire coaguler le sang, alors elle
peut vivre. Mais si elle n’arrive pas à trouver cette eau, elle va
mourir.
52 Il en est ainsi. Bien des fois j’ai observé le
loup poursuivant la–la biche. Et s’il peut trouver une petite biche là
toute seule, c’est de celle-là qu’il va s’occuper. Il y a là une leçon.
S’il peut trouver une biche éloignée du troupeau, alors il… c’est ce
que le diable cherche à faire. Ainsi pour vous, jeunes filles, il veut
que vous sortiez avec un garçon qui n’est pas chrétien. Pour vous,
jeunes garçons, il veut que vous sortiez avec une petite Jézabel
maquillée qui–qui n’est pas une chrétienne. C’est là qu’il veut vous
dépecer. C’est là qu’il veut… il veut planter ses dents en vous.
Et cette petite biche va se mettre seule à l’écart,
loin du troupeau. C’est de celle-là que le loup va s’occuper. Et pour
vous, hommes et femmes âgés, lorsque vous vous séparez des croyants…
Les gens disent: «Je peux rester à la maison, y être tout autant un bon
chrétien qu’à l’église.» Vous ne pouvez pas.
La Bible dit: «N’abandonnons pas notre assemblée,
d’autant plus que nous voyons le temps s’approcher.»
Si vous êtes un chrétien, vous désirez ardemment
aller là où se trouvent les autres chrétiens pour communier avec eux.
Ainsi vous ne pouvez pas rester loin de l’église et vivre la même vie.
Vous–vous ne pouvez pas faire cela, parce que c’est comme de dire:
«Je–je–je–j’ai faim, mais je n’irai point à table? Seulement je–je ne
vais pas manger. Seulement je–je ne vais pas le faire.» Voyez? Vous
devez aller vous nourrir de la Parole de Dieu et communier les uns avec
les autres.
Nous avons maintenant besoin les uns des autres–des
autres plus que jamais, c’est maintenant. Lorsque vous vous séparez des
autres, en vous faisant un peu remarquer, vous ne voulez pas vous
associer avec les autres parce qu’ils croient ceci, et vous ne voulez
pas vous associer à cela, vous êtes sur un terrain dangereux à ce
moment-là, en vous éloignant de l’église. Trouvez-vous-en une de votre
choix, et restez-y, et soyez un frère chrétien pour tous les autres.
C’est ça être un vrai chrétien. Alors nous avons la communion, la
protection; les gens vous aiment et ils prient pour vous.
Ce qui fait le succès de mes réunions, c’est le fait
que les gens très pieux prient pour moi. C’est cela. C’est la raison
pour laquelle il y a du succès dans mes réunions. Quand j’arrive et que
je présente ces choses au sujet des visions et tout, il y a beaucoup de
vieilles mamans et de vieux papas, des sœurs et des frères, assis là
qui croient cela de tout leur cœur. Alors, le Saint-Esprit descend
directement sur eux. S’ils ne croyaient pas cela, je n’ai aucun autre
moyen de le faire. Peu importe combien cela est merveilleux pour moi,
cela doit l’être aussi pour vous. Nous devons former une unité, nous
deux ensemble, pour être en contact avec Dieu: vous, comme un croyant,
et moi-même comme un croyant.
53 Eh bien, quand ce petit animal se retrouve seul à
l’écart, alors le loup s’amène. Il épie le chien–épie la–la biche. Et
il continue à s’approcher de plus en plus. La petite biche commence à
se sentir agitée. Beaucoup de gens s’asseyent dans une réunion,
s’asseyent suivant la prédication, ils se disent: «Vous savez, il se
peut que ça soit moi. Peut-être que je devrais faire ceci. Peut-être,
je devrais venir à Dieu.» Cela montre que le loup est bien sur toi.
Eh bien, quand le loup fait ce grand bond sur la
biche… Eh bien, d’abord, un loup a deux crocs appelés «les crocs à
sang.» S’ils peuvent attraper la–la biche juste par derrière ses
oreilles, il y a une veine là, et c’est une artère, juste derrière
l’oreille. Il enfonce ses dents juste là-dedans. C’est contre le
serpent, et il se suspend de tout son poids là. Et que fait-il? Il
coupe la gorge de la biche. Elle est foutu. Cette veine fait jaillir le
sang, et elle ne fera pas cinquante mètres sans qu’elle ne meure. Elle
saigne simplement à mort, et elle perd le sang. Sa vie s’en va.
Combien de précieux jeunes garçons et jeunes filles,
hommes et femmes, ont été attrapés par le diable, sans protection, et
il leur a fait cela? Comme c’est pitoyable. «Comme une biche soupire
après des courants d’eau.»
54 Alors nous remarquons, si la–si la petite biche
est rapide, elle redresse sa tête et s’aperçoit que le loup vient, elle
peut se retourner. Et alors, la biche… le loup a un autre endroit par
où saisir. C’est juste au flanc. Eh bien, ceci est le point d’équilibre
de la biche. Le train arrière est plus lourd que le train avant, et il
faut le milieu ici pour faire l’équilibre.
Eh bien, si le loup saisit… s’il essaie de viser ces
côtes, il va la rater. S’il attrape dans sa chair ici, ça ne lui
servira à rien. Mais, juste là au flanc, s’il peut saisir avec sa
gueule juste là, et bien saisir, et cette biche à moitié déséquilibrée
comme cela, il peut jeter la biche par terre. Et s’il ne fait pas cela,
il arrache une bouchée de chair de la biche, s’il rate la gorge.
S’il attrape la gorge, c’en est fini de la biche.
Mais s’il le saisit comme ceci, et si la biche est rapide, elle saute,
se tortille de part et d’autre, saute et s’élance avant que le loup se
suspende pour la jeter par terre. La petite biche se secoue et se fait
arracher toute une bouchée. Et quand il le fait, un grand trou apparaît
là, et le loup tombe par terre, et la petite biche fait un bond en
avant. Elle peut distancer le loup.
Eh bien, cette biche va courir de toutes ses forces,
et de toutes ses forces, mais cependant, elle commence à saigner,
saigner. Elle perd du sang.
55 Oh, combien sont mordus ce soir à Phoenix par la
meute de l’enfer. Leur précieuse vie est en train de dépérir, parce
qu’ils–ils regardent… le trou dans leur flanc. Il leur est arrivé
quelque chose, ils ont laissé quelqu’un entrer dans leur vie, quelque
chose s’est passé, un homme est sorti avec une autre femme, ou une
femme avec un autre homme, ou ils ont pris un petit verre amical. Ils
ont voulu être comme le voisin d’à côté ou quelque chose comme cela.
C’est alors que vous êtes attrapé.
Une petite secousse, et alors il lui faut trouver de
l’eau. C’est ce que David a dit: «Comme une biche a soif des courants
d’eau, ainsi mon âme a soif de Toi, ô Dieu.»
Et cette petite biche saigne là, tremble, et a soif.
Elle va lever son petit nez. Je les ai observées bien des fois. Elle va
flairer [Frère Branham produit un son d’halètement–N.D.É.] Elle flaire
pour trouver l’eau. Elle regarde; la meute est derrière elle. Si elle
peut trouver de l’eau, elle va vivre. Si elle ne trouve pas de l’eau
elle va mourir, puisqu’elle s’affaiblit de plus en plus. Eh bien, quand
cette biche, elle doit atteindre l’eau, sans quoi elle meurt.
56 Et quand vous en arrivez là, mon frère, où le
péché a rongé votre vie au point qu’il vous faut trouver les eaux de
Dieu, à moins que vous trouviez cette fontaine remplie de Sang tiré des
veines d’Emmanuel, là où les pécheurs plongent dans le flot, perdent
toutes les tâches de leur culpabilité…
Si vous êtes si assoiffé et que vous soupiriez après
l’eau: «ô Dieu, où se trouve-t-elle? Je dois trouver Jésus ou périr.»
Quelque chose… Vous allez Le trouver, Dieu mettra de l’eau… Pour voir
ce Beersheba… que… un…. Anne avait trouvé pour l’enfant… Dieu peut
créer une fontaine juste à côté de vous. Peut-être que vous êtes rongé
par le cancer. Peut-être êtes-vous cloué dans un fauteuil roulant. Il
se peut que ce cœur soit sur le point de cesser de battre, le docteur
l’a examiné, et a dit: «Vous n’en avez pas pour longtemps.» Peut-être
que la tuberculose est sur le point de vous avoir, ce démon s’est saisi
de vous, est en train de vous cribler, à moins que vous trouviez cette
fontaine. Si vous avez soif de cela: «Heureux ceux qui ont faim et
soif, car ils seront rassasiés.»
Mon précieux ami, ce soir, permettez-moi de vous
dire en tant que votre frère, et celui qui vous aime: si vous avez un
besoin ce soir, s’il y a… si vous avez été mordu par… physiquement ou
spirituellement, par la meute de démons, allez vers les eaux aussi vite
que vous pouvez. Il y a une fontaine ouverte ce soir dans la maison de
Dieu, dans la cité de David. C’est pour les gens qui sont impurs. Vous
pouvez plonger dans cette fontaine, perdre toutes les tâches de votre
culpabilité. Je vous recommande le Sang de Jésus-Christ, alors que nous
inclinons la tête.
57 «Ta bonté vaut mieux que la vie pour moi. Et parce
que Ta bonté vaut mieux que la vie, mes lèvres célèbrent Tes louanges.
Ô Seigneur, afin que je puisse Te voir comme je T’ai vu dans Ton
sanctuaire. Puis-je Te voir dans cette terre aride, desséchée. Mon âme
a soif de Toi, ô Dieu.» Assoiffée, assoiffée, essayant de trouver un–un
endroit où s’abreuver
Êtes-vous ici, ce soir, homme ou femme, garçon ou
fille qui n’avez jamais bu à cette Fontaine? Vous avez été mordu par
les péchés, et vous avez soif ce soir de la guérison. Si cela vous
concerne, voulez-vous lever la main et dire: «Frère Branham,
souvenez-vous de moi dans votre prière. Maintenant j’ai–j’ai…»
Dieu vous bénisse, monsieur. Dieu vous bénisse. Dieu
vous bénisse, madame. Dieu vous bénisse. Il y a une fontaine remplie de
Sang, tiré des veines d’Emmanuel.
Derrière ici à ma droite, Dieu vous bénisse, jeune
dame. Dieu vous bénisse, jeune homme. C’est bien. Dieu vous bénisse.
C’est merveilleux. Pensez-y, les amis, examinez cette soif qui est
vous. Avez-vous tourné cela vers l’ennemi? Vers les choses de ce monde?
Avez-vous simplement essayé de la satisfaire avec, disons: «Bien, je
vais aller en ville et je vais acheter de nouveaux habits. Je…» Ce
n’est pas cela. Vous avez besoin… Peut-être que vous avez besoin de
nouveaux habits. C’est en ordre. Mais lorsque vous en faites votre
idole, comment vous devez être toujours très impeccable. Peut-être
c’est votre maison. Peut-être quelque chose d’autre a pris la place de
cette soif et de cet appel. Ça devrait être Dieu. Dieu est cette
portion qui satisfait.
58 Je vais vous demander de faire quelque chose. Si
vous croyez que Dieu entend ma prière, si vous avez confiance en moi
comme votre frère, et si vous avez besoin de cela, je me demande si–si
vous pouvez venir ici, et croire que… Je parlais à une dame; elle m’a
rencontré aujourd’hui au restaurant. Et elle me parlait de frère
Outlaw, je pense, qui m’avait amené à son chevet lorsqu’elle se mourait
de la tuberculose. Elle a été guérie. Les médecins l’avaient
abandonnée. Et elle a été guérie, plus tard dans une autre réunion,
elle a été guérie du cancer. Sa fillette était couchée, se mourant de
la leucémie… Si la dame ne témoignait pas, j’avais demandé à frère
David de me rappeler son… l’amener à témoigner. Et la fillette atteinte
de la leucémie, au dernier stade, son poids avait chuté à 10 kg
environ, et aujourd’hui, pas une trace de la leucémie.
Oh! la la! Un homme par ici, a dit hier soir, qu’il
n’a pas pu entrer dans la réunion… Et je crois il a découvert là où
j’avais déposé mon chapeau, là derrière, et il a dit: «Je n’arrive pas
à entrer, mais je… Seigneur, je vais toucher son chapeau.» Et il avait
la tuberculose, et il a été guéri.
59 Si vous croyez en Dieu… ne… Soyez simple. Le
Saint-Esprit est si simple. Simplement il… suivez-Le simplement tel
qu’Il va. Et si vous croyez que Dieu écoute ma prière, et que vous êtes
réellement mordu ce soir, quelque part le long de la ligne… Vous avez
un tempérament tel que vous vous déchaînez facilement; c’est le diable.
Il vous a mordu; il va empoisonner votre expérience. C’est comme de
l’acide sulfurique. Cela vous tuera, et vous serez perdu.
Si vous voulez que je prie pour vous, voulez-vous
venir vous tenir ici afin que je puisse vous imposer les mains, pendant
que nous chantons? Si l’organiste peut y aller, pendant que vous jouez,
et avec vos têtes inclinées «Il y a une fontaine remplie de Sang tiré
des veines d’Emmanuel; les pécheurs plongés dans ce Sang, perdent
toutes les taches de leur culpabilité.»
60 Dieu vous bénisse, monsieur. Venez directement
ici. C’est bien. Quelqu’un d’autre veut-il venir maintenant? Pendant
que nous attendons, venez par ici et tenez-vous là. Dieu vous bénisse,
madame. C’est bon. Restez juste là, mon frère. Je veux descendre et
vous imposer les mains juste dans une minute.
Eh bien, très bien, frère, si vous pouvez nous
donner le ton de: Il y a une fontaine remplie de Sang.
Il y a une fontaine remplie de sang (Dieu vous bénisse, mon frère. Je
suis juste à vous dans un instant.)
…de… (venez directement, sœur) …des veines d’Em…
Les pécheurs plongés dans ce flot
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.
Perdent toutes les taches de leur culpabilité
Perdent toutes les… de leur culpabilité
Ne voulez-vous pas venir juste devant maintenant,
levez-vous? Vous qui êtes mordu, avez-vous soif de quelque chose de
réel? Avez-vous soif d’une expérience avec Dieu? Venez maintenant,
juste ici, que nous priions et que nous leur imposions les mains
maintenant même.
…les taches de leur culpabilité.
Le voleur mourant…
Dieu vous bénisse, sœur. C’est bon. Venez
directement. Approchez-vous, autour de l’autel maintenant. Tenez-vous
juste ici tout autour, juste un moment pour la prière.
…son jour;
Et…
Dieu vous bénisse, monsieur. Approchez. Il faut être
vraiment un homme pour faire cela. Venez directement …?… Venez juste
par ici et tenez-vous là.
…laver tous mes péchés,
Laver tous mes péchés; laver tous mes péchés,
Et là, puis-je, quoique aussi vil que lui,
Laver tous mes péchés.
Depuis que par la foi je…
Ne voulez-vous pas venir maintenant? Les autres,
venez jusqu’ici, voulez-vous vous tenir tout autour ici pour un instant
maintenant. Vous qui êtes mordus. Voulez-vous être guéris de cette
morsure du diable, venez directement maintenant. Maintenant c’est le
temps de recevoir cela.
L’amour… tour est mon thème,
Jusqu’au jour de ma mort.
Jusqu’au jour de ma mort,
Jusqu’au jour de ma mort;
L’amour rédempteur est mon thème,
Jusqu’au jour de ma mort.
61 Maintenant, alors que nous sommes rassemblés, ne
voulez-vous pas venir carrément ici? Je ne sais combien de prédicateurs
sont ici ce soir. Combien de prédicateurs, voulez-vous lever la main?
Observez les prédicateurs. Merci bien. Je vais vous demander une chose:
venez ici juste une minute, et tenez-vous avec moi. Je vais descendre
imposer les mains à ces gens. Eh bien, ils auront besoin d’une église
qui sera leur église. Ils auront besoin d’être baptisés du baptême
chrétien, et ils auront… ils vont… Il vous faudra les inviter dans vos
églises. Et nous voulons que vous veniez et que vous vous teniez avec
nous ici, pour que nous priions. Juste dans un instant nous aurons la
prière pour les malades aussi, juste dans un instant. Restez simplement
un… les malades, restez sur vos sièges.
Eh bien, je vais demander au pasteur ici, frère
Shores, s’il peut se tenir ici et–et tond… et nous conduire dans un
cantique vraiment doux, pendant que les autres ont la tête inclinée. Je
vais imposer les mains à nos frères et sœur ici, qui sont venus pour
consacrer leur vie. Ils ont été mordus par l’ennemi et nous allons leur
imposer les mains afin qu’ils… Et j’aimerais que vous les prédicateurs,
vous fassiez de même. Et alors, nous allons offrir la prière de la foi
pour ces gens.
62 Eh bien, vous qui êtes debout ici, peu importe ce
que vous avez fait… Eh bien certainement, vous ici, vous savez que je
vous dis la vérité. Dieu confirme cela. Je vous dis la vérité, parce
que c’est la Parole. Le Saint-Esprit vient et se meut… Il y a quelques
minutes au lieu de faire une–une ligne de discernement comme j’avais
prévu de le faire, quelque chose à la fin est intervenu et a dit: «Il y
en a ceux qui sont mordus.» Voyez?
Comment saurais-je si l’un de ceux qui sont debout
ici ne serait pas un ministre de l’Évangile dans peu de temps. Comment
saurais-je si certaines de ces jeunes dames, et le reste, qui se
tiennent debout ici, ne pourraient être des missionnaires en route vers
le champ missionnaire. Comment saurais-je qui ils sont? Ça pourrait
être un autre Billy Graham, ça pourrait être un autre Sankey, Moody,
Finney, Knox, Calvin. Comment le saurais-je? La seule chose que nous
faisons c’est de lancer le filet, et puis le tirer. C’est le
Saint-Esprit qui attire. Jésus a dit: «Quand j’aurai été élevé,
j’attirerai tous les hommes à Moi.»
Mes amis qui êtes debout ici à cet autel, le Vrai,
le Vrai Christ qui guérit le corps, guérit l’âme. Eh bien, pendant que
nous prions, chacun avec sa tête inclinée, et vous, conduisez-nous dans
un cantique comme vous …?… [Le frère conduit le cantique: «Jésus passe
par ici.»–N.D.É.]
63 Alors que nous sommes émus …?… dans la prière
maintenant, je voudrais que les prédicateurs s’approchent maintenant de
ces gens. Chaque personne qui se tient tout autour de l’autel ici,
maintenant, confessez tout simplement tous vos torts. «Seigneur,
l’ennemi m’a brisé, mais ce soir je me tiens ici pourvu seul but:
sachant que je suis une personne qui se meurt, je sais que ma vie est
minée, elle l’ai gâchée; et la soif que je devrais vraiment orienter
vers Toi, je l’ai tournée vers autre chose. Pardonne-moi, ô Seigneur.
Purifie mon cœur, purifie ma soif, et que je la tourne vers Toi, ô
Dieu, et qu’à partir de cette heure, je boive de la Fontaine de la vie
gratuitement, parce que Dieu m’a invité à cette Fontaine.»
64 Et maintenant, quant à vous qui êtes là dans
l’auditoire, qui êtes malades et nécessiteux, voulez-vous simplement
lever la main? Je vais vous demander de faire quelque chose; comme je
l’ai fait hier soir. Imposez-vous simplement les mains les uns aux
autres maintenant. Imposez-vous les mains les uns aux autres.
J’ai reçu un très bon rapport sur la réunion depuis
hier soir. Eh bien, pendant que je prie, je désire que chacun de vous
reçoive sa guérison. Croyez cela de tout votre cœur. Croyez que cela
arrivera ce soir, pas… Dieu n’a pas promis d’entendre seulement ma
prière, Il a promis d’entendre votre prière. «La prière de la foi
sauvera le malade. Dieu le relèvera.» Maladie physique, maladie
spirituelle, peu importe ce qu’est votre maladie, le Sang de
Jésus-Christ purifie de tout. «Voici les miracles qui accompagneront
ceux qui auront cru, s’ils imposent les mains aux malades…»
65 Maintenant, nous formons une–nous formons une
unité; nous sommes d’un commun accord maintenant. Nous sommes des
chrétiens; le Saint-Esprit est ici, ce Grand Ange de Dieu, cette
Colonne de Feu, dont vous avez la photo, juste ici. Ce même Ange de
Dieu est ici maintenant même dans ce bâtiment, ici même. Si vous êtes
des croyants et que vous ôtiez tout musc d’incrédulité de vous, tous
les doutes de vous, et que vous croyiez maintenant même… Maintenant ne
priez pas pour vous-même; priez pour la personne à qui vous avez imposé
les mains. Voyez? Priez pour l’homme qui est à côté; il prie pour vous.
Et priez l’un pour l’autre pendant que je prie pour vous, cela forment
une chaîne ici, et Dieu va guérir chaque personne ici. Il n’y aura
personne qui restera malade au milieu de nous, si seulement vous croyez.
Chacun de ces gens-ci, qui sont debout ici tout
autour de l’autel. Je regarde ici et je vois cette Indienne, je crois,
elle s’approche d’ici. Rappelez-vous l’année passée, l’année où j’étais
ici, une fillette indienne aveugle avait recouvré la vue là dans la
réserve des Indiens. Combien je me souviens de ces précieux Indiens
là-bas, comment Dieu avait opéré des guérisons au milieu d’eux, et vous
êtes ici maintenant. Dieu vous remplira du Saint-Esprit et vous
comblera infiniment.
Maintenant, vous les prédicateurs, inclinez la tête
et priez avec moi. Partout, maintenant, tous d’un commun accord…
lorsqu’ils étaient réunis ensemble, ils ont prié d’un commun accord; et
l’endroit où ils étaient réunis était ébranlé, et la Parole de Dieu fut
apportée avec assurance.
66 Père céleste, en tant que serviteur de Dieu,
j’apporte cet auditoire dans Ta Présence, priant maintenant que Tu
brises toute la puissance de Satan, toute incrédulité. Ces précieuses
personnes qui se tiennent ici, elles ont été mordues par le–du diable
et elles ont besoin de Ta puissance de guérison. Qu’ils puissent
s’accrocher à la Pierre Principale, la Pierre, Christ Jésus, jusqu’à ce
que tout le poison du–du péché soit retiré de leurs âmes, et que toutes
les maladies soient ôtées de leurs corps. Puissent-ils s’accrocher à la
Pierre de Dieu jusqu’à ce qu’ils soient totalement libres. Que le
Saint-Esprit descende dans ce bâtiment maintenant sur chaque cœur et
sur chaque croyant.
Que la puissance qui a ressuscité Jésus d’entre les
morts, opère maintenant dans chacun d’eux. Fais-leur savoir que Tu es
Dieu, le Grand Guérisseur, qui ne peut échouer devant un cas. Tu es
Dieu pour toujours. Je Te les confie, Seigneur.