Comment L’Ange Est Venu Vers Moi

Date: 53-1109 | La durée est de: 1 heure et 21 minutes | La traduction: Shp
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1          [Frère Branham lit dans Jean 5.28 à 37.–N.D.E.]

            ... car l’heure vient où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix, et en sortiront.

            Ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, mais ceux qui auront fait le mal ressusciteront pour le jugement.

            Je ne puis rien faire de moi-même: selon que j’entends, je juge; et mon jugement est juste, parce que je ne cherche pas ma volonté, mais la volonté de mon Père qui m’a envoyé.

            Si c’est moi qui rends témoignage de moi-même, mon témoignage n’est pas vrai.

            Il y en a un autre qui rend témoignage de moi, et je sais que le témoignage qu’il rend de moi est vrai.

            Vous avez envoyé vers Jean, et il a rendu témoignage à la vérité. Pour moi, ce n’est pas d’un homme que je reçois le témoignage; mais je dis ceci, afin que vous soyez sauvés.

            Jean était la lampe qui brûle et qui luit, et vous avez voulu vous réjouir une heure à sa lumière.

            Moi, j’ai un témoignage plus grand que celui de Jean; car les oeuvres que le Père m’a donné d’accomplir, ces oeuvres mêmes que je fais, témoignent de moi que c’est le Père qui m’a envoyé.

            Et le Père qui m’a envoyé a rendu lui-même témoignage de moi.

2          Maintenant, inclinons la tête juste un moment pour la prière. Notre Père céleste, nous sommes venus ce soir pour T’adorer. Et nous sommes reconnaissants de l’occasion que nous avons de–de venir. Et par ce canal du–du Saint-Esprit qui a été acquis par le Sang de Jésus-Christ, puisque nous avons accès au trône de grâce à travers le Nom de Jésus... Et nous en sommes si heureux ce soir.

            Et nous Te prions maintenant de nous pardonner nos péchés. Et alors que nous sommes assemblés ici, quoiqu’étant éparpillés çà et là dans la ville, et nous... dans ce petit auditorium ce soir avec ce petit groupe de gens, je prie que Ta sainte Présence vienne à notre rencontre. Nous sommes certains que Tu es déjà ici. Et nous Te prions de faire des choses infiniment glorieuses ici ce soir. Puissent nos coeurs se réjouir. Que chaque chrétien prenne une nouvelle position ce soir; et s’il y en a qui ne sont pas sauvés, puissent–puissent-ils renoncer au péché dans leur vie ce soir, et qu’ils viennent et croient pour être sauvés. Accorde-le, Père, et viens rencontrer Ton serviteur ici, Seigneur, et aide-moi alors que je tiens l’acquisition de Ton Sang devant moi. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

3          L’une des choses les plus étonnantes que j’ai remarquées d’un bout à l’autre de mon ministère pour notre Seigneur Jésus a été la particularité des gens. Et l’étude de la vie humaine est l’une des choses les plus glorieuses que–qu’une personne puisse faire, observer la nature des gens. Et dans les différentes parties des nations et du monde où vous allez, vous voyez qu’il y a des différences–il y a des différences d’attitudes que les gens adoptent vis-à-vis de Christ, vis-à-vis de Son service, vis-à-vis de Ses serviteurs, et vis-à-vis de l’adoration. Et l’une des choses qu’il y a, c’est qu’un type de réunions est vraiment merveilleux dans un coin du pays, tandis que dans l’autre coin du pays cela ne marche pas.

            Eh bien, je crois que c’est surtout condamnable à cause de ce... ou plutôt non pas condamnable, mais cela dépend surtout de la façon dont les gens sont enseignés. Et l’église ne mènera jamais une vie plus élevée que l’enseignement que le pasteur dispense. On trouve cela rarement. Si vous avez un bon enseignant de l’Evangile, qui est fiable et sain d’esprit, vous trouverez généralement ce type d’église. C’est juste là que votre pasteur vous conduit, les–les pasteurs qui vous nourrissent.

4          Vous savez, j’ai remarqué cela parmi... J’ai deux Bibles. L’une d’elles, c’est la nature. Je L’observe attentivement, car Dieu habite dans Sa Bible de la nature.

            Prenez un animal, lorsqu’il se nourrit de ce qui vient d’un certain type de sol, cet animal aura la couleur de ce sol-là, si vous remarquez bien. Prenez par exemple... si vous prenez le... même le–l’invisible coyote du Mexique, on le voit là. Il est–il est plutôt dans des herbes rouges et autres, ce coyote devient roux. Et là dans ce coin du pays, ou un peu plus loin au nord, évidemment, dans la contrée de l’ouest, il deviendra–il deviendra brun, et un peu brun bleuâtre, parce qu’il–il se nourrit dans ce coin du pays. Il en est de même du cerf. La même petite biche, là plus loin au sud du Mexique, est rougeâtre. Et ici au nord, il tire sur le gris, à mesure qu’il s’éloigne vers le nord, il devient sombre. Cela dépend du sol où il se nourrit.

5          Et–et vous remarquerez une autre chose concernant la nature: quand vous voyez dans le désert d’Arizona et aux alentours... vous voyez qu’il y a un–un groupe de–de... Tout ce qui se trouve là où il n’y a pas de pluie, porte toujours des piquants. Toutes les herbes que vous touchez là portent un piquant. Eh bien, ensuite prenez ces herbes et venez ici où on a beaucoup de pluies, ça ne porte pas de piquants. Ça constitue une bonne leçon.

            Vous voyez, si l’église est toute sèche et n’a pas de Saint-Esprit, les gens portent toujours de petits piquants qui poussent partout. Vous voyez? Il vous faut une bonne pluie du Saint-Esprit à l’ancienne mode, n’est-ce pas? Cela vous adoucit. (Ha ha ha!) C’est juste.

            Et la–l’Eglise ne peut pas y arriver toute seule. Il faut que Dieu le fasse, avec vous. Dieu ne peut pas faire cela sans vous, et vous ne pouvez pas le faire sans Dieu.

6          Monsieur Wood est ici quelque part ce soir. Je pense qu’il est en train de faire des enregistrements ici pour monsieur Beeler. Nous étions dans le Colorado tout récemment, et j’étais en train de penser à une source par laquelle j’avais l’habitude de passer là-haut. Et cette petite vieille source, j’ai... Elle m’a toujours semblé être la source la plus heureuse que j’aie jamais vue. J’ai toujours aimé boire à cette source, parce qu’elle bouillonne et bouillonne toujours.

            Je me suis assis là un jour, et je me suis dit que je parlerais à cette source. Et j’ai dit: «Pourquoi bouillonnes-tu?» Eh bien, naturellement elle ne pouvait pas me répondre, mais il faut que je réponde à sa place. Vous voyez? J’ai dit: «Peut-être que tu es heureuse, cela parce que tu sautilles et tu continues à faire comme cela parce que les... des biches viennent ici et boivent de ton eau. Tu as une eau très fraîche et très agréable.»

            –Non.

            –Peut-être parce que les ours viennent ici boire de ton eau.

            –Non.

            J’ai dit: «Eh bien peut-être–peut-être parce que moi, je viens ici, c’est ce qui te fait bouillonner comme cela.»

            –Non.

            J’ai dit: «Eh bien, qu’est-ce qui te fais bouillonner comme cela?»

            Si elle était en mesure de me répondre, elle dirait: «Eh bien, écoutez, Frère Branham, ce–ce n’est pas moi qui bouillonne; c’est quelque chose derrière moi qui me pousse et me fait bouillonner.» Il en est donc ainsi d’un chrétien.

7          J’ai reçu un homme qui m’a dit, il a dit: «Eh bien, Billy, toi tu te mêles à une bande de saints exaltés.» Et il a continué: «Ils sont tous emballés par l’excitation.» Il a dit: «Ce n’est qu’un tas d’excitations. C’est tout ce qu’il en est. Ils ne font que pousser des cris, sautiller et hurler.» Eh bien, il doit y avoir quelque chose qui les pousse à faire cela. C’est donc ça. Ce ne sont pas eux qui sautent; c’est Quelque Chose en eux qui saute. C’est juste.

            Si ce soir je sortais, et que je m’adressais à une étoile, en disant: «Qu’est-ce qui te fait briller? Tu es si jolie. Tu éclaires les cieux et tout. Qu’est-ce qui te fait briller comme cela?»

            Si l’étoile pouvait parler, elle dirait: «Frère Branham, ce n’est pas moi qui brille, c’est le soleil qui brille sur moi.» Voyez, ce–c’est cela. Ce n’est pas l’Eglise qui brille, c’est le Saint-Esprit qui brille sur l’Eglise. C’est juste. C’est Lui qui donne la Vie, le témoignage, et qui fait d’eux ce qu’ils sont.

8          Il n’y a pas longtemps, j’étais... autrefois j’étais pasteur d’une petite église baptiste à Milltown, ici dans l’Indiana. Je me tenais avec un homme âgé du nom de George Wright. Je rentrais à la maison la nuit, et j’ai remarqué qu’il y avait dans un coin un... En entrant vers vingt-deux heures, il y avait un... Très loin à la campagne, et par un été chaud, un vieux rossignol avait l’habitude de se percher par là, et qu’est-ce qu’il chantait! Oh! la la!

            Vous savez, les oiseaux sont heureux. Vous ne verrez jamais l’un d’eux malgré tout ayant l’air très abattu comme nous, n’est-ce pas? Jamais vous... Le petit oiseau se lève très tôt le matin et se met simplement à chanter; il dresse la tête et chante tout simplement à la gloire de Dieu. Jamais vous n’avez appris qu’un oiseau souffre de l’hypertension, n’est-ce pas? Ou un oiseau qui doit se faire opérer? Il ne fait que glorifier son Créateur. C’est tout. Mais nous, nous errons çà et là parfois.

9          Et ce vieux petit rossignol, il chantait et chantait continuellement. Et je me suis dit: «Eh bien, qu’est-ce qui le pousse à chanter comme cela toute la nuit?» Et j’ai remarqué au cours d’une nuit nuageuse qu’il chantait, et puis s’arrêtait; tantôt il se remettait à chanter, tantôt il s’arrêtait. Je me suis mis à étudier la vie du rossignol. Voici donc ce qu’il fait, le rossignol: il lève les yeux vers le ciel tou-... toujours vers le ciel. Et lorsqu’il voit une étoile, ou n’importe quelle sorte de lumière, il se met à chanter, parce qu’il sait que le soleil brille quelque part pour briller sur cette étoile.

            Eh bien, c’est ce que je pense d’une bonne réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode. Lorsque j’entends quelqu’un pousser de tout coeur un très bon «amen», de temps en temps, ou un «alléluia», ou que quelqu’un saute et pousse un cri et pleure un peu, je sais que le Fils brille quelque part. C’est tout. Ça vous donne plutôt vraiment un très bon sentiment de ce genre-là.

            Dans ces réunions... Il n’y a pas longtemps quelqu’un a dit, il m’a écrit une petite lettre, disant: «Frère Branham, Dieu a suscité frère Roberts pour qu’il prenne votre place.»

            J’ai dit: «Eh bien, je suis heureux que quelqu’un soit à l’oeuvre.»

10        Il a dit: «C’est parce que vous ne priez que pour un petit nombre de gens.» Il a dit: «Vous êtes... Les gens viennent à vos réunions, et ils ont l’impression que–qu’on ne priera jamais pour eux. Vous n’en faites monter qu’un petit nombre à l’estrade, et quelque temps après, vous êtes complètement épuisé, et on vous fait sortir. Vous êtes... On vous retire quelque part pendant environ une demi-heure pour que vous puissiez revenir à vous-même.» Il a dit: «On ne prie jamais pour eux. Vous–vous n’arrivez pas à vous occuper d’eux.»

            Eh bien, c’est la vérité. C’est exact. Mais, vous voyez... Il a dit: «Frère Roberts prie pour cinq cents personnes pendant que vous, vous priez pour deux personnes.» C’est juste. Mais frère Roberts fait ce que Dieu lui a dit de faire, et moi, je fais ce que Dieu m’a dit de faire. Vous voyez? Voilà–voilà la différence. Vous voyez, vous voyez? Ainsi, nous... je ne peux pas être frère Roberts; frère Roberts ne peut pas être moi. Nous sommes... Qui... Chacun de nous, en tant que serviteurs du Seigneur (C’est juste), nous essayons de nous occuper des gens, en faisant le mieux que nous pouvons pour la gloire de Dieu.

            Ainsi, frère Roberts a une façon de... Dieu lui a donné une façon de... très puissante et remarquable, si vous voulez me pardonner l’expression: «Une foi inflexible.» Il se tient tout simplement là et s’empare de la situation, et il croit pour tout. Et il... Si quelqu’un se présente là possédé d’un démon ou s’il a l’une ou l’autre chose, un cancer ou une tumeur, il tape du pied, pousse un cri et rien d’autre, il le fait fuir. Il–il fait malgré tout le travail. C’est très bien. Les gens sont guéris; ainsi je dis: «Loué soit le Seigneur!» Certainement.

11        Eh bien, moi, je ne saurais pas faire cela. Vous voyez? En effet, je ne suis pas frère Roberts. Vous voyez? Eh bien, j’aime cette véritable foi solide qu’il a. Frère Jaggers et beaucoup d’autres, frère Freeman, Fleaman, Freeman, je pense que c’est ça, et beaucoup d’autres, ont cette véritable foi ferme. J’appelle ça: «Des dons de guérison.» Ils croient ce dont ils parlent. Ils imposent... Ils regardent ici et lisent cela dans la Parole: Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et ils disent: «Montez ici. Je défie cela maintenant même, et je suis prêt à poursuivre cela.» J’aime ça.

            Je prie tout le temps pour ces frères. «Ô Dieu, envoie-les et continue de le faire. Que nous puissions chasser tout mauvais esprit du pays, si nous le pouvons.» C’est ce qu’il faut faire. Certainement.

12        Maintenant, j’aime cela. Et j’apprécie la foi de ce frère, une véritable foi qui prédomine et triomphe de tout. Vous voyez? Ils défient tout, ils s’emparent de la chose et ils s’y accrochent. J’aime cela. J’étais une personne différente. Je pense que je suis plutôt lent. Et je fais plutôt attention à l’endroit où je pose les pieds, un peu particulièrement à l’endroit où je marche. Et, oh! je ne sais pas, un type plutôt drôle, je pense.

            Eh bien, cela marche très bien dans certains coins du pays, dans d’autres ça ne marche pas. Mais je–je pense que je pourrais dire qu’un don de guérison... en effet, je crois que tout celui qui a la foi dans la guérison a le don de guérison. Car chaque don opère par la foi. Est-ce juste? C’est tout ce que vous pouvez avoir, la foi pour croire dans la chose.

13        Et maintenant, personne, que ce soit frère Jaggers, frère Roberts, ni moi-même ni qui que ce soit d’autre, ne peut guérir une autre personne. Personne d’entre nous n’en a la prétention. Ce n’est pas nous qui guérissons les gens. Nous essayons simplement de les amener à regarder vers l’Homme qui les a déjà guéris, Jésus-Christ, et les amener à accepter cela par la foi, et cela règle la question.

            Lorsqu’Il...Quand Jésus les a guéris autrefois là-bas... Je crois que chaque personne malade a été guérie lorsque Jésus est mort au Calvaire. Je crois que je peux prouver cela par la Bible, que c’est par Ses meurtrissures que nous avons été (au temps passé), nous avons été guéris. Et tout pécheur au monde a été pardonné quand Jésus est mort au Calvaire. Mais cela ne vous fera du bien que quand vous acceptez cela. Vous voyez? Vous devez accepter cela, alors cela deviendra votre propriété personnelle. Alors vous pourrez vous mettre à genoux ici à l’autel; vous n’êtes pas nécessairement obligé de venir, mais je crois dans le fait de venir à l’autel. Mettez-vous à genoux à l’autel, vous pourriez crier, vous pourriez prier, vous pourriez faire les cent pas à l’autel; vous pouvez vous tirer les cheveux, et–et juste continuer comme cela, cependant ce n’est pas ça qui vous sauve. Eh bien, je crois dans toutes ces choses. Oui, oui. Mais ce n’est pas ça qui vous sauve. Vous ne serez sauvé que si vous croyez. Est-ce juste?

14        Vous devez croire. Et lorsque vous croyez réellement cela, peu importe que vous soyez à l’autel, que vous soyez là dans la rue, ou n’importe où, quand vous croyez la chose et l’acceptez, alors ça devient votre propriété personnelle, un don de Dieu par grâce. Et vous ne pouvez pas avoir la moindre idée de vous mettre en ordre avec Dieu avant qu’Il vous attire premièrement. Ainsi, cela vient donc par l’élection, n’est-ce pas? Et quiconque ici a déjà entendu Dieu frapper à la porte de son coeur devrait être la personne la plus heureuse du monde. Certainement. Parce que pour certains, Il ne frappera jamais à la porte de leur coeur. Il–Il pourrait bien le faire, mais Lui, pour être Dieu, Il connaissait la fin depuis le commencement. Il ne veut pas qu’aucun périsse. Eh bien, vous direz: «Prédicateur, comment prêchez-vous l’Evangile alors? Comment le savez-vous?» Moi, je ne sais pas qui ils sont.

15        Voici un prédicateur de l’Evangile de... Le Royaume des cieux est semblable à un homme qui sortit pour jeter le filet dans la mer, et lorsqu’il a tiré le filet (il s’agit de l’Evangile)–et lorsqu’il l’a tiré, là-dedans il a attrapé des poissons; il a attrapé aussi des écrevisses, des tortues, des serpents, des scorpions d’eau et toutes sortes des choses. Aussi longtemps qu’ils étaient dans le filet de l’Evangile, tous paraissaient être identiques. Mais quand l’homme a soulevé le filet, il a simplement constaté, juste comme dans un réveil...

            Le prédicateur jette le filet de l’Evangile; il tire ici tout ce qu’il peut tirer. Eh bien, aussitôt, la vieille tortue dressera la tête et dira: «Ça ne vaut rien.» Et la voilà qui retourne carrément dans la petite marre boueuse.

            Et aussitôt, vous verrez le vieux scorpion d’eau faire plop, plop, plop, plop; et la grenouille aussi, vous savez, de toutes ses forces, retourne immédiatement dans la marre. «Ça ne vaut rien. Quelqu’un m’a marché sur les pieds. Il n’y a que des hypocrites là. Je ne vais pas y rester.» Et elle s’en va.

            Le vieux serpent, le serpent ancien, dira: «Je vous l’avais dit. Je savais que cette femme n’était que...» Le voilà qui retourne immédiatement dans l’eau.

16        Mais là-dedans il y a aussi des poissons. Vous voyez? Ainsi, ça ce n’est pas mon affaire. Moi, je ne fais que jeter le filet dans l’étang, puis je le tire. Dieu récupère les poissons. Est-ce juste? Dieu récupère les poissons. Je n’ai rien à faire là-dedans. Ce n’est pas moi qui tiens Ses registres. C’est Lui qui connaît qui est qui. Mais notre travail à nous c’est de prêcher l’Evangile. Et c’est à Dieu de–de–de sauver.

            Et maintenant, quand vous êtes sauvé, c’est à ce moment-là que vous prenez le bon chemin. Récemment un ministre me parlait, il a dit qu’il cherchait le baptême du Saint-Esprit; un grand homme! Il a dit: «Frère Branham, je crois que j’ai le Saint-Esprit.»

            J’ai dit: «Eh bien, le fait de croire ne vous Le donne pas, frère. C’est un don de Dieu.»

            Et il a dit: «Ecoutez, Frère Branham, a-t-il dit, Abraham crut en Dieu par la foi, et cela fut imputé à justice.»

            J’ai dit: «C’est juste. C’est exact. Mais Dieu lui a donné le signe de la circoncision à titre commémoratif, comme un mémorial de sa foi.» Et aujourd’hui, lorsque nous disons que nous croyons, nous sommes–nous pouvons croire dans une mesure, mais quand Dieu nous donne le baptême du Saint-Esprit, Il confirme notre foi et nous scelle. Ephésiens 4.30: «N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés jusqu’au jour de votre rédemption.»

            Le Saint-Esprit est la confirmation de votre foi en Dieu. Dieu a confirmé cela, et Il a reconnu que c’est ainsi, et Il a apposé le sceau d’approbation sur vous. C’est ce qu’il nous faut, n’est-ce pas? C’est ce dont l’Eglise a besoin. Et c’est ce qui vous vivifie.

17        Eh bien, retournons à la guérison divine. Je me pose des questions... Frère Bosworth, tout du long m’en a parlé. Il a dit: «Frère Branham, je crois que–que si vous faisiez quelque chose de différent une fois dans vos réunions... Vous restez dans la même routine, et–et ainsi, a-t-il dit, si vous faisiez quelque chose de différent, je crois que vous occuperiez de plus de gens.» Ainsi, si le Seigneur le veut, à partir de demain soir, je viendrai à l’estrade, le Seigneur voulant, prêcher pendant un moment, et je verrai si nous pouvons prier pour un groupe de gens au cours des deux ou trois prochaines soirées où nous aurons assez de temps, et où personne ne sera pressé. Oh! Nous avons...

            Combien ici sont nés de nouveau? Voyons comb-...combien ici sont nés de nouveau. Eh bien, nous avons l’éternité. Est-ce juste? Nous passons simplement un petit–juste un petit avant-goût du jubilé ici. Nous avons l’éternité. Nous n’irons nulle part. Nous allons donc vivre éternellement. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Ainsi pourquoi nous précipiter? Pourquoi devons-nous rouler à 90 miles à l’heure [144,8 km/h]? Vous voyez? Prenons simplement notre temps. Soyons à l’aise, ne le pensez-vous pas? Si seulement nous pouvions prendre notre temps! Prenons donc notre temps et voyons ce que le Seigneur fera.

            Maintenant, voici le... au... qui conduit à ce lieu, et j’aurai à me dépêcher pour terminer, parce qu’il ne me reste que quelques minutes avant de prier pour les malades.

18        Je ne crois pas que ce... Comme vous êtes une petite assistance ce soir, je vais faire une confession. Je ne crois pas que Dieu a prévu qu’un don de ce genre soit utilisé pour ce type de réunions. Parce qu’il a–il a–il a accompli un grand travail. Et c’est un don divin. Dieu, qui est mon Juge solennel, Lui devant qui je me tiens ici, sait que je vous dis la vérité. Je crois que Dieu vous l’a confirmé, que cela est véridique.

            Maintenant, je crois que cela est inné en tant–en tant que parole prophétique. Oh! Beaucoup de gens appellent cela d’un nom, et d’autres l’appellent d’un autre nom et ainsi de suite. Je ne sais pas ce que c’est; ainsi le Seigneur m’aime simplement, et je L’aime, et cela règle la question pour moi. On n’a pas besoin que ça soit quelque chose, appelez cela n’importe comment, ce qui compte donc c’est que cela produit des résultats pour le Seigneur Jésus et pour Son peuple. C’est ça l’essentiel. Ça a amené beaucoup d’autres gens, frère Roberts en est un, frère Jaggers et presque tous, ils sont venus et se sont tenus juste là où vous êtes assis. Ils ont vu le Seigneur à l’oeuvre; ça a inspiré leur foi, et ils ont dit: «Nous y allons.» Et ils sont allés et ont accompli quelque chose pour le Seigneur. De même, j’espère qu’il y en aura cinquante qui sortiront de cette série de réunions. C’est juste. Sortez et faites quelque chose. Tout ça, c’est pour le Royaume de Dieu, tout pour Sa gloire.

19        Je me rappelle que lorsque frère Roberts est retourné derrière le petit endroit... Frère Bosworth, vous étiez là ce soir-là à Kansas City, lorsque frère Roberts est revenu là, et qu’il a tenu une toute petite série de réunions sous tente là-bas, avec une dizaine ou une vingtaine de gens. Il a dit: «Frère Branham, pensez-vous que Dieu pourrait répondre?»

            J’ai dit: «Il répondra à la prière de toute personne qui est sincère.» C’est juste. Alors il est reparti.

            Voici ce qu’il y a. Maintenant, les visions... Maintenant, il... Je... Ceci, c’est simplement... Je ne prêche pas la doctrine dans ces réunions-ci, je ne prêche que la guérison divine. Si ceci est contraire à ce que vous croyez, faites exactement comme moi, lorsque je mange la tarte aux cerises. Lorsque je tombe sur un noyau dans une tarte aux cerises, je ne jette pas la tarte, je ne jette que le noyau. Je continue de manger la tarte. Faites donc la même chose. Vous voyez? Ce que vous croyez à propos de ceci... Vous... C’est très bien, et ce que vous ne... Vous voyez? Eh bien, jetez simplement cela, mais continuez simplement à manger ce que vous pensez être bon.

20        Je crois qu’avant la fondation du monde, selon Ephésiens 1, Dieu nous a connus, et Il savait qu’Il m’enverrait, moi, les autres ministres, et ainsi de suite, pour prêcher l’Evangile avant que le monde n’eût été formé. Je crois que c’est ce qu’enseignent les Ecritures. Avec ça on tend plus du côté du calvinisme. Je crois que les calvinistes avaient raison. Ils ont une–ils ont une Ecriture sur laquelle s’appuyer. Il en est de même des arminiens, mais tous ils sont sortis du chemin et sont allés à l’extrême, et ils se sont divisés et ont fait des problèmes. Dieu a tout simplement ramené la chose, et a établi cela dans le Livre des Ephésiens et l’a redressée. C’est vrai, très exactement.

            Ainsi, c’est là que nous en sommes. L’un se dirige dans ce sens-ci, et l’autre dans ce sens-là; et l’un se radicalise dans ce sens-ci, et l’autre dans ce sens-là. Voilà comment l’église s’est toujours comportée. C’est ça l’homme. Vous voyez? Il ne veut pas être conduit par Dieu. Mais quand il nous arrivera d’oublier que nous sommes des frères, et que tous nous sommes en train de lutter pour une seule cause, c’est à ce moment-là que nous aurons abandonné Dieu. Et il faut que nous nous reconnaissions les uns les autres, même dans nos particularités.

21        J’ai un frère qui est grand de taille, mince et blond; il a un nez camus avec une peau claire; il ne me ressemble pas. Nous n’avons pas le même comportement. Nous... vous ne saurez jamais que nous sommes des frères. Mais son père c’est mon père. Et si la famille l’a accepté malgré son aspect, et qu’elle m’a accepté malgré mon aspect, alors acceptons-nous les uns les autres comme étant des frères. C’est juste. C’est ainsi donc que nous devons y aller dans ce royaume des chrétiens. Nous devons croire, avoir foi les uns dans les autres.

            Quand les chrétiens perdent la foi les uns dans les autres, c’est juste à ce moment-là que le diable attrape l’église. C’est vrai. Nous devons avoir foi et confiance les uns dans les autres, nous supporter les uns les autres.

22        Eh bien, dans ce... Alors que j’étais encore tout petit, je voyais des visions. J’ai vu des visions durant toute ma vie, tout du long. Pas exactement lorsque l’Ange est venu et m’a dit ce que je devais faire, comme vous en avez entendu l’histoire et comme vous l’avez lu bien des fois, mais ça a été–ça a été le cas dans toute ma vie. Et c’a toujours été ainsi pour moi, quelque chose que d’habitude... le type de gens que je reçois généralement, ce sont ceux qui sont passés dans ces lignes de guérison et ainsi de suite à d’autres endroits, et qui n’ont pas eu de résultats. Les gens qui ont été quelque part dans ces lignes de guérison, mais qui n’avaient pas eu suffisamment de foi, la foi qu’il fallait pendant la prédication de l’Evangile, ils sont encore revenus aux réunions.

            Eh bien, qu’est-ce que cela fait... C’est une bonne chose. Ensuite Dieu a ici encore un renfort pour attraper ce type de gens. Vous voyez? Eh bien, c’est bon.

23        Maintenant, par exemple, il m’est arrivé d’être... Il y a quelque temps j’ai rencontré un ami. Je regardais pour voir là où je... s’il était ici: il est là. Ça fait des années depuis que je l’ai vu la première fois. C’était lors de l’un de mes premiers appels, quand j’ai commencé le ministère de la guérison divine. Il était à Saint Louis. Beaucoup d’entre vous m’ont entendu parler de... Bien des fois dans mes réunions, j’avais l’habitude de porter une Bible sous le bras et de me promener, lorsque je venais d’être ordonné dans l’Eglise baptiste; je me prenais pour un prédicateur. Il m’est donc arrivé un jour d’aller à une réunion sous tente. Et j’ai entendu prêcher un homme, qui prêchait jusqu’à l’épuisement de son souffle, il ployait ses genoux, puis reprenait son souffle. On pouvait l’entendre à environ deux pâtés de maisons, puis il se remettait à prêcher. Vous m’avez entendu raconter cela bien des fois. Cet homme est dans la salle ce soir. J’ai dit depuis ce jour-là, je n’ai pratiquement plus mentionné que j’étais prédicateur. Je n’en ai plus dit long. Avec mes pauvres manières lentes, je ne me représente pas comment on peut prêcher à une telle vitesse.

            Mais de toute façon, c’était juste à l’époque où l’Ange du Seigneur venait de me rencontrer là à cet endroit qu’on appelle Green’s Mill là-bas, Tunnel Mill, et où Il m’avait dit ces choses. Ce ministre, c’est le révérend monsieur Daugherty de Saint Louis.

24        Il m’a fait venir chez lui, auprès de sa petite fille. Il avait entendu parler de certaines choses, et il m’a fait venir auprès de sa petite fille qui était étendue, souffrant... Les médecins ne savaient pas exactement ce qu’elle avait. Je pense qu’ils appelaient cela quelque chose comme... C’est comme un... Vous attrapez la paralysie, et la tremblote, et–et il s’agit de la danse de Saint-Guy. Je crois que c’est cela la bonne prononciation. Et les médecins avaient fait tout leur possible pour la petite créature, et les ministres de toute la ville avaient prié révérencieusement et tout le reste, et ils avaient oint la petite d’huile. Et son père que voici était un grand croyant de la guérison divine.

            Il m’a donc appelé, et à ce moment-là je n’avais pas d’habits convenables à porter à Saint Louis. Et mon assemblée... Je n’avais pas d’argent, ils ont donc réuni onze dollars, et ils m’ont attrapé une voiture-salon ce soir-là, et j’ai quitté Louisville, dans le Kentucky, par train pour me rendre à Saint Louis afin de rencontrer frère Daugherty. Un des frères m’a cédé son pardessus, et l’un de mes autres frères m’a prêté un complet. Et je me suis rendu à Saint Louis. Je n’ai jamais oublié le moment où le train est arrivé le lendemain matin; frère Daugherty se tenait là. Il avait l’air fatigué. Il a dit: «Frère Branham, avez-vous appris quelque chose de la part du Seigneur?»

            J’ai dit: «Non, Frère Daugherty. Comment va l’enfant?»

            Il a dit: «Elle est en très mauvais état.»

            Je suis allé chez lui, et là j’ai rencontré sa charmante épouse, et elle avait le visage défait. Elle avait vraiment fondu.

25        Pendant des semaines et des semaines, ce pauvre petit bébé était étendu là, avec une petite chevelure bouclée, une douce fillette comme cela, dans un état déplorable au possible; elle souffrait atrocement... Ses lèvres, là où elle s’était mordu la langue et tout, bougeaient et elle se débattait... Rien n’avait pu lui apporter du secours. Elle était mourante. La pauvre petite créature, avec ses petits bras, avaient l’air vraiment–vraiment pitoyable; c’était une petite choute blonde aux cheveux bouclés, à peu près comme ma petite Rebecca. J’ai regardé la petite créature, et je me suis dit: «Miséricorde!» Et tous ces chrétiens qui étaient dans cette maison étaient remplis du Saint-Esprit. Les réunions de prière se déroulaient partout, sans résultat.

            Bien. Nous sommes sortis et ... Nous avons offert une prière pour le bébé; pas de résultat. Nous sommes allés à l’église, nous avons eu la prière à son église. Là, avec son père, je me suis agenouillé. Et j’ai dit: «Ô Dieu, si Tu accordes la guérison à ce petit bébé, je Te promets que je vais continuer avec les services.» Je sentais toujours que je devrais faire cela.

26        Je suis retourné à la maison, je n’ai pas vu un grand changement. Nous avons attendu pendant des heures. J’étais assis dans la chambre, et la pauvre famille, les gens essayaient de les aider, et ils faisaient des va-et-vient. Et le pauvre petit bébé, qui était vraiment dans un état terrible, se débattait... Elle ne voulait pas... Elle produisait un bruit comme celui d’un animal, et elle gémissait. Elle–elle gémissait tellement qu’elle... Et à force de crier elle avait perdu toute la voix, et elle, la pauvre petite fille, continuait à crier comme un animal, faisant entendre un bruit étrange.

            Eh bien, je me suis assis là pendant quelque temps, puis je suis entré dans la salle de devant et je me suis assis. Je suis sorti dans la rue, et je faisais les cent pas dans la rue en priant. Je ne voulais pas aller trop loin. Je n’avais jamais été à Saint Louis, et ainsi je ne voulais pas m’éloigner de la rue, cette seule rue. Je suis donc revenu; le vieux père m’a rencontré à l’extérieur, avec le grand-père de l’enfant, et il a dit: «Est-ce que le Seigneur a dit quelque chose?»

            J’ai dit: «Pas encore.»

27        Je suis donc retourné, je me suis assis dans la maison, et quand... des dames priaient là à l’intérieur. Et lorsque moi j’ai commencé, j’ai vu une vision se dérouler. Maintenant, je ne savais pas exactement ce que cela... Et quelqu’un est entré, et la vision m’a quitté. Je suis sorti, je suis sorti et je me suis assis dans la voiture du ministre, à l’extérieur. J’étais assis là, la tête baissée, en train de prier, et quand j’ai ouvert les yeux, j’ai senti Quelque Chose se déplacer là, faisant comme ceci: «Whououou!». C’était cette Lumière. Je veux que frère Daugherty ne manque pas d’obtenir l’une de ces photos ce soir. Il n’en a jamais vu une seule. C’est ce qui avait guéri sa fille.

            Ainsi Ça tournoyait là. Et j’ai observé et cela est apparu devant moi, et j’ai vu par-dessus le capot de cette voiture très exactement ce qui s’était passé, et ce que cette enfant avait au juste.

            Aussitôt je suis rentré à l’intérieur, et le grand-père Daugherty se tenait à la porte. Et j’ai dit: «Frère Daugherty, ai-je dit, eh bien, avez-vous confiance en moi?» Eh bien, lui et sa femme sont ici présents. Et j’ai dit: «Avez-vous confiance en moi comme serviteur de Dieu?» Il a dit: «Oui, Frère Branham.»

28        J’ai dit: «J’ai l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Oh! la la! Vous savez, je n’ai jamais... ce que cela... ce qu’on ressent, et combien de fois, frère Daugherty, cela s’est fait à travers le monde. Je n’en savais pas grand-chose à ce moment-là pourtant. Alors j’ai dit: «Maintenant, faites exactement ce que je dis de faire, Soeur Daugherty.»

            Elle a dit: «Très bien.»

            J’ai dit: «Je veux que tout le monde sorte de la maison, à l’exception de la famille.» J’ai dit: «Allez à la cuisine prendre une petite casserole en granite. Prenez de l’eau claire et un petit linge blanc.» Elle l’a fait. Et elle est revenue dans la pièce. J’ai dit: «Je veux que grand-père Daugherty se mette à genoux près de moi d’un côté, et que–et que le père de l’enfant se mette de l’autre. Maintenant, alors que je répète la prière modèle: «Notre Père qui es aux cieux,» je veux que la mère plonge énergiquement ce linge dans la casserole, qu’elle l’essore et qu’elle frappe... qu’elle le passe sur son visage, ensuite sur ses mains, et puis sur ses pieds dès que je termine. Juste au moment où j’ai terminé, la Parole du Seigneur est venue: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, le bébé sera guéri.» Et Elle déclara exactement ce qui était arrivé; l’endroit où, on devait lui–lui remettre un os en place, dans le dos, l’endroit où, en sautant la porte du cellier, un choc avait provoqué un déplacement de l’os. Où es-tu, Betty? Je sais que tu... Veux-tu te tenir debout juste pour témoigner à ces gens? Voilà la fille ce soir! Cela est arrivé il y a environ sept ans. Frère Daugherty, est-ce vrai? Vous êtes assis ici. Voilà–voilà le père et la mère ainsi que les autres qui sont assis là, la mère se trouve juste là au bout, et le–et l’ami. Eh bien, merci. Que Dieu vous bénisse.

29        Maintenant, vous voyez, quelque chose devait être fait. Maintenant, juste un autre petit témoignage avant de nous séparer. Là dans le même coin du Kentucky, un prédicateur méthodiste est venu, alors que moi, j’étais un prédicateur baptiste. Cet homme, c’était frère Johnson. Vous le connaissez, Frère Beeler, il est de New Albany. Ainsi, il avait une église méthodiste, et les gens.... Nous avions l’habitude de nous taquiner concernant... Lui disait: «Si tu vas chez Billy, il va te noyer pour faire de toi un baptiste et ainsi de suite,» vous savez, juste comme cela. Mais nous étions de bons amis.

            Je pense que j’ai le temps pour ce petit témoignage, et ensuite je vais me dépêcher. Maintenant j’aimerais que vous m’accordiez toute votre attention, rapidement.

            Et il a dit: «Billy, je t’en prie, viens prêcher à ma place une soirée, je ne vais pas te demander de prier pour les malades.»

30        Lorsque je suis chez moi, je n’aime pas... Si... Vous ne saurez jamais quelle–quelle pression ça exerce sur votre esprit. Et j’aimerais que vous soyez attentifs et que vous rejouiez ces bandes, pour voir exactement ce que Ça a dit concernant votre cas, et moi, je vais, par la grâce de Dieu, je vais simplement m’en tenir à ce que Cela déclare. Maintenant, peu importe ce que c’est, et combien de temps cela prendra...

            Tout récemment, j’ai reçu un témoignage en rentrant, il s’agissait de deux femmes. Elles avaient été à la réunion, et l’une d’elles est venue, et–elle souffrait terriblement de la gastrite. Et on a prié pour elle, et l’Ange du Seigneur est venu et lui a dit tout ce qu’elle avait fait. Et elle voulait mettre cela en ordre, et Il lui a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, rentre chez toi, mange ce que tu veux, car tu seras guérie.»

            Elle est rentrée chez elle; cette dame était l’une des voisines de celle qui avait une grosse tumeur à la gorge. Il a dit à celle-ci la même chose. Elle avait des restitutions à faire. Et Il a parlé au Nom du Seigneur et a dit qu’elle serait guérie.

31        Eh bien, la femme qui souffrait de la gastrite est rentrée chez elle. Elle a dit: «Eh bien, je crois cela de tout mon coeur.» Qu’est-ce que le péché, mon ami? Le péché... Fumer la cigarette, ce n’est pas là le péché. Boire du whisky, ce n’est pas là le péché. Commettre adultère, ce n’est pas là le péché. Ça, ce sont les attributs du péché. «Celui qui ne croit pas est déjà condamné.» C’est l’incrédulité qui est le péché. Est-ce juste? Vous faites ces choses parce que vous ne croyez pas.

            Jésus a dit: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle.» Vous voyez? Le problème, c’est–c’est votre foi. Et si vous croyez en Dieu, vous ne ferez pas ces choses. Vous voyez? Ce sont juste les attributs du péché. Vous fumez la cigarette parce que vous ne croyez pas en Dieu. Vous buvez du whisky parce que vous ne croyez pas en Dieu. Vous dites que vous croyez, mais votre témoignage... vos oeuvres parlent plus fort que votre témoignage. C’est juste. C’est à leurs quoi que vous allez les reconnaître? A leurs témoignages? C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez (c’est juste), à leurs fruits. Vous faites ces choses parce que vous êtes un incrédule.

32        Très bien. Donc quand cette femme est rentrée chez elle et qu’elle a commencé à manger, cela a failli la tuer. Oh! elle était sérieusement malade. Elle s’est mise à vomir. Des jours sont passés, des semaines sont passées. Environ six mois se sont écoulés. Maintenant, j’ai reçu son témoignage. Son cas n’est qu’un cas parmi des milliers, mais j’en témoigne juste comme un exemple. Elle habitait dans l’Illinois.

            Et elle est venue à une autre réunion, et elle a rendu témoignage. Elle a dit: «Un matin...» Oh! elle souffrait si atrocement de l’estomac qui lui faisait mal, avec des ulcères. Et alors qu’elle était debout à la fenêtre, faisant la vaisselle, elle a dit qu’elle était très malade. Elle a essayé de–de boire quelque chose, quelques gorgées de café. Et cela l’a rendu très malade. Et elle a dit: «Après, une véritable sensation de fraîcheur l’a parcourue.» Elle est alors retournée, et elle a dit: «Je–je... Elle a eu très faim. Et elle a simplement pris une petite tranche de pain grillé qu’avait laissé l’un des enfants qui étaient partis à l’école; elle a commencé à manger cette tranche de pain grillé. Elle a dit: «Oh! cette tartine (grillée) beurrée la rendrait très malade, mais elle avait tellement faim qu’elle n’arrivait pas à résister à cela.» Alors elle a pris une petite bouchée ou deux de cette tartine, cela n’a... aucun effet néfaste, et elle a mangé le reste. Ainsi, elle avait de–il restait de l’avoine, ainsi elle a simplement mangé l’avoine des enfants. Et d’habitude cela l’aurait rendue très malade, mais ça ne l’a pas rendue malade. Ainsi elle s’est simplement déversé une tasse de café et elle l’a pris. Tout allait donc très bien. Ainsi, elle se sentait vraiment bien. Elle a dit: «Eh bien, je ne comprends pas ça.»

            Alors, elle est descendue dans la rue pour le raconter à sa voisine qui habitait à quatre ou cinq portes plus bas. Et lorsqu’elle est entrée pour raconter cela à sa voisine, elle a trouvé celle-ci là à l’intérieur en train de crier à tue-tête, et la grosseur venait de disparaître de sa gorge.

33        Ainsi elles ne comprenaient pas ce qui se passait. La chose était que sur l’estrade, lorsque l’Ange du Seigneur avait prononcé cela, Il ne peut pas être auprès de vous juste à chaque instant. Mais Il est passé dans le voisinage, confirmant la Parole de Dieu, et L’accomplissant.

            Parfois vous priez... Je crois qu’autrefois, c’était Daniel, l’Ange n’a pas pu l’atteindre, alors qu’il était en train d’implorer depuis vingt et un jours, n’est-ce pas? Vingt-et-un jours avant que l’Ange ne puisse l’atteindre. Vous voyez? Maintenant, si vous avez perdu la foi, ces gens seraient perdus. Mais faites exactement ce que Dieu dit de faire. Ceci est Sa Parole, Elle vient en premier; et le reste est secondaire.

34        Maintenant, lors de cette réunion ce soir-là, lorsque je suis sorti de la salle, on a dû me faire sortir par derrière. Je suis descendu et il a dit: «Je vous l’avais dit, a dit ce révérend, et je ne vous demanderai pas de prier pour les malades.» Il a dit: «Frère Branham, j’ai une petite fille ici...» Beaucoup d’entre vous les frères, vous le connaissez, vous ici qui êtes de Jeffersonville.

            Par hasard, j’ai vu docteur Cauble assis là-bas aussi, de l’église la Porte ouverte de Louisville. Je vous ai remarqué. Et madame Cauble, eh bien, que Dieu vous bénisse. Je ne vous ai pas vue là-bas. Saviez-vous qu’ils étaient ici, Docteur Bosworth? Et, Docteur, je crois que vous connaissez le cas dont je vais bientôt parler. Docteur Cauble est donc de Louisville, il a l’une des plus grandes églises de la ville de Louisville. Ainsi, c’est un frère très précieux, très doux; je dois le dire aussi, parce qu’il l’est réellement, frère Cauble. Vous les ministres, il vous faut lui serrer la main et apprendre quelque chose de lui. C’est quelqu’un de très précieux, lui, sa femme ainsi que sa famille. C’est lui qui autrefois nous suivait partout avec sa petite fille, qui était très très malade.

35        Et voici comment je suis arrivé à faire connaissance avec docteur Cauble. Il jouissait d’un si grand prestige et tout à travers la ville, avec les diplômes et tout ce qu’il avait, je... moi, avec mon pauvre vieux style des bois, ça ne valait pas grand-chose devant cela. Ainsi une fois, un de ses amis est venu me dire qu’il avait subi une opération et qu’il saignait à mort au niveau de la gorge, dans un hôpital catholique de Louisville. Et il voulait que j’aille prier pour lui. Lorsque je suis arrivé là, l’homme était... beaucoup de missionnaires et autres se tenaient là dans la pièce; et il était là retenant son souffle, en essayant d’amener au salut ceux qui se tenaient là dans la pièce. Eh bien, je ne voulais pas entrer pour être devant un homme comme lui. Je me suis simplement agenouillé derrière la penderie, et j’ai commencé à prier pour lui comme cela, je me suis retourné et je suis rentré chez moi. Et dès que je suis arrivé chez moi, ils m’ont encore appelé et ils voulaient savoir. J’ai dit: «J’ai prié pour lui derrière la penderie là-bas.» Et ils ont dit: «Eh bien, venez.»

36        Je suis entré chez frère Cauble; il se trouvait là, saignant abondamment à mort; il se mourait juste là dans le–sur le lit, sans aucun espoir de vivre. J’ai demandé à notre Seigneur Jésus de le guérir, et l’hémorragie s’est immédiatement arrêtée, non pas une heure après; mais c’était instantané, et il se porte bien depuis... Est-ce vrai, Frère Cauble? C’est vrai. Il est aussitôt allé là en Jamaïque, ou quelque part là dans les–dans ces pays-là. Il était normal et bien portant.

            Il a amené sa fillette. Je ne saurais dire de quoi souffrait cette fillette. Et il m’attrapait toujours à la maison. Il suivait sans arrêt les réunions. C’est un ange, il a été à Windsor, dans l’Ontario, et partout. Un jour à Chattanooga dans le Tennessee, nous venions d’arriver, et l’onction était encore sur moi. Il voulait me serrer la main, et la fillette s’est avancée, et s’est assise, et là une vision est apparue et a montré très exactement ce qu’il en était, et elle a été guérie là sur-le-champ. Est-ce juste, frère et soeur? C’est juste. Et l’une de ses filles, elles... Oh! la la! Le monde en est rempli partout. Oh! c’est rempli de la bonté de Dieu.

37        Pendant que je descendais les marches en allant chez frère Johnson ce soir-là, je me suis dit, comme il me l’avait dit, qu’il avait une–une... de l’école du dimanche. Je veux juste vous montrer pourquoi ce... à quoi sert le don. Et puis, pendant qu’on y allait, il a dit que la monitrice de l’école du dimanche, tel qu’il me parlait, elle était certainement toquée, et elle avait vraiment perdu la raison. Et je suis descendu les marches, et là se tenait une jolie petite dame d’environ trente ans.

            Elle a dit: «Bonsoir, Frère Branham.»

            J’ai dit: «Est-ce vous la patiente?»

            –Oui, monsieur.

            J’ai dit: «Qu’y a-t-il?»

            Elle a répondu: «Je ne sais pas.»

38        J’ai prié pour elle et j’ai continué mon chemin. Et ensuite, quelques jours après cela, ma femme et moi l’avons rencontrée dans la rue et elle était accompagnée de deux femmes, et oh! elle était dans un état vraiment pitoyable. Nous sommes entrés là dans un petit endroit appelé «La maison blanche», et j’ai encore prié pour elle. Alors, lorsque je suis allé outre-mer, elle appelait sans arrêt ma femme. Elle disait: «Oh! si jamais il... si jamais un Ange du Seigneur le visite, a-t-elle dit, je ne peux pas sortir de cette ville, pour m’éloigner d’ici.» Elle avait peur, elle était mentalement dérangée. Elle se rendait deux fois par semaine depuis environ huit ans chez ce célèbre psychiatre de Louisville; le déplacement lui coûtait dix dollars. Eh bien, son pauvre mari était fauché à force de l’entretenir. Et cela n’avait apporté aucun bien, et la situation n’a pas changé. Elle est allée auprès de tous ceux qui venaient tenir des réunions de guérison divine dans la contrée. Et ils étaient tous passés là. Ils avaient déversé assez d’huile sur cette fille, on l’avait ointe d’huile pouvant faire un gallon, je pense. Et ils chassaient les démons en tapant du pied, ils tapaient du pied, poussaient des cris, hurlaient, et tout le reste, essayant de faire en sorte que...

            Eh bien, ça importe peu au diable que vous tapiez du pied ou que vous poussiez des cris. Il restera juste là. Il sait ce qu’il fait, mais il sait jusqu’à quel degré il a de l’autorité. Il n’en a pas du tout lorsque la véritable foi est là. Il est dépouillé de tout ce qu’il a. Mais vous devez en être certain.

39        Ainsi, ils avaient été... Et elle avait été partout. Et pendant des années des gens venant de tous les coins du pays étaient venus là prier pour elle. Ainsi, un matin, là dans la maison, je n’ai pas le temps d’entrer dans les détails, mais l’Ange du Seigneur est entré dans la maison. Ma femme et tous les autres étaient là, et ils ont vu Cela. Et elle a dit: «Bill, laisse-moi appeler cette petite femme, s’il te plaît.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, assurément. Appelle-la.» Et Cela... Je suis sorti.

            Aussitôt, vous savez, un homme en provenance de Louisville, qui avait un cancer, est entré venant d’une Eglise baptiste de Louisville. Et Dieu l’a guéri pendant que j’étais dans la pièce, et le voici assis juste ici en ce moment. Est-ce juste, frère? Oui, oui. Levez-vous comme témoignage là-bas, il vient de l’Eglise baptiste de Louisville.

40        J’étais assis dans la pièce et je devais sortir de là en toute hâte. Ma femme a dit: «Maintenant, va vers cette petite fille, ou plutôt cette petite femme.» Elle avait deux ou trois petits gosses. Et je suis entré là où elle se trouvait, seulement je l’avais vue quelques fois, et je savais qu’elle était membre de l’Eglise méthodiste, l’Eglise méthodiste de Main Street, à New Albany. Et elle était assise là, gardant les mains dans cette position. J’ai dit: «Qu’y a-t-il, soeur?»

            Et elle a répondu: «Oh! je ne sais pas, Frère Branham.» Elle a dit: «Je–je pense que je suis vraiment folle.»

            Et j’ai dit: «Je ne pense pas. Vous ne me parlez pas comme une folle.»

41        J’ai donc dû faire en sorte que son esprit soit dans une disposition différente (Vous voyez?), jusqu’à l’amener à écarter cette pensée. J’ai dit: «Faisons un petit voyage, et remontons dans le temps avant que le monde n’ait commencé, tenons-nous là à l’écart et observons le monde venir à l’existence, avant que Dieu ait créé Sa première étoile et tout,» comme cela.

            Quelque temps après, j’ai senti l’Ange du Seigneur m’entraîner dans ce canal. Et alors, j’ai vu rouler une petite voiture noire comme cela, juste à travers ma chambre. J’ai dit: «Avez-vous déjà connu un accident?»

            Elle a dit: «Non, pas du tout.»

42        Je vois... Bon, à l’estrade, j’aurais prié pour elle et l’aurais laissée partir. Vous voyez? Mais je l’avais là devant moi. J’ai encore observé pendant une minute. Aussitôt, la chose est apparue. J’ai vu la vision apparaître à ce moment-là, et cela est entré directement. J’y étais ravi. Il n’y avait donc pas moyen d’échapper. J’ai dit: «Je vois une petite voiture. Vous êtes assise près d’un homme blond. Et une automobile arrive. Vous passez, ensuite il y a une grande lumière. C’est un train.» Et la vision s’est déroulée là. Elle a lâché un cri, et elle a sauté sur le plancher, et elle s’est évanouie. La vision a donc continué. La chose était là. Lorsqu’elle s’était mariée, juste avant, son mari était allé outre-mer, juste quelques semaines... Elle était une jeune femme. Cette dernière guerre... Et lorsque... Il est allé outre-mer, et n’étant qu’une jeune fille, elle s’est mise à courir, étant seule; et elle a commencé à courir avec un autre homme. Et un soir, elle est sortie dans une petite voiture avec lui, et elle a été infidèle à son voeu de mariage, et en rentrant à la maison, ils ont failli se faire tuer par un train. Je lui ai raconté tout ce qu’elle avait fait. Et alors, quand elle s’est relevée du plancher, elle a commencé à crier à tue-tête. Ma femme est entrée et elle a demandé: «Eh bien, qu’est-il arrivé?» Et...

43        Elle a dit: «Oh! Frère Branham, ne le dites à personne.»

            J’ai dit: «Je pensais que vous m’avez dit que vous étiez une chrétienne.»

            Elle a dit: «Je le suis.» Elle a dit: «J’ai confessé cela à Dieu il y a des années.»

            J’ai dit: «Ce n’est pas contre Dieu que vous avez péché; c’était contre votre mari, contre votre voeu de mariage. Vous étiez une femme mariée.» J’ai dit: «Il vous faudra mettre cela en ordre avec votre mari si vous voulez vous rétablir.»

            Elle a dit: «Je ne saurai pas le faire. Cela briserait notre foyer.» Elle a dit: «J’ai trois petits enfants, et, a-t-elle continué, mon mari me quittera.»

44        J’ai dit: «Eh bien, madame, j’ai fait tout ce que je peux.» J’ai dit: «Vous savez, aucun psychiatre au monde ne pourra ôter cela de vous. Ça se trouve là au tréfonds de votre âme, et vous êtes simplement... Vous y pensez inconsciemment, à tel point que vous vous retrouvez dans cet état.» J’ai dit: «Voilà tout le problème. Maintenant, c’est ça la vérité. Et vous êtes certaine que c’est la vérité. Personne d’autre au monde ne sait cela en ce moment, sinon vous, cet homme et moi.»

            Elle a dit: «C’est ça.» Mais elle a dit: «Je ne saurais pas arranger cela.»

            J’ai dit: «Eh bien, maintenant, c’est tout ce que je peux faire.»

            Elle a dit: «Oh! vous n’allez pas partir.»

            J’ai dit: «Si, si madame. Un homme est assis dans cette pièce, et c’est cet homme que voici.» J’ai dit: «Il est très gravement malade, il était brûlant de fièvre là-bas ce matin.» J’ai dit: «Il faut que j’entre. Il y a d’autres personnes qui viennent.»Et elle a dit: «Oh! je ne saurai pas.» Elle a demandé: «Que dois-je faire?»

            J’ai dit: «Allez appeler votre mari et arrangez cela. Mettez-vous en ordre. Ôtez cette chose. C’est la seule façon de le faire.»

45        Et elle a dit: «Eh bien, a-t-elle dit, je ne saurais vraiment pas le faire.» Et je... Elle a dit: «Oh! je... je vais mourir. Je vais...» Et elle a commencé comme cela. Puis, par hasard, j’ai promené le regard, et j’ai vu quelque chose qui se formait à côté d’elle; j’ai regardé, et là se tenait un homme aux cheveux noirs, il avait les cheveux peignés plutôt de côté, des cheveux plutôt ondulés, et il était un peu plus âgé qu’elle.

            J’ai dit: «Votre mari a-t-il des cheveux noirs?»

            Elle a dit: «Oui, oui.»

            J’ai dit: «Un peu élancé?»

            –Oui, oui.

            J’ai dit: «N’est-il pas un diacre dans l’église?»

            Elle a répondu: «Oui, oui.»

            J’ai dit: «Il travaille chez Chevrolet, n’est-ce pas?»

            –Oui, oui.

            J’ai dit: «Il doit vous confesser la même chose.» Rien d’étonnant que frère Johnson ne puisse pas avoir de réveil.

            J’ai dit: «Ecoutez.» J’ai dit: «Votre mari, lorsqu’il a atterri en France, il a pris une fille,» et je lui ai raconté ce qu’il avait fait. Et j’ai dit: «Il y a une femme qui travaille au bureau, et elle portait une robe rose, et ils étaient dans une voiture Chevrolet verte il y a moins de trois jours de cela. Et il est coupable de la même chose.»

            Elle a dit: «Pas mon mari.»

            J’ai dit: «Eh bien, vous feriez tous mieux de mettre ces choses en ordre. Vous ferez mieux de l’appeler.»

46        Alors Meda a commencé à lui parler et l’a persuadée à le faire. Elle est allée appeler son mari et elle est entrée dans la voiture et ils se sont croisés sur la route. Alors, elle est entrée dans–dans sa voiture, et elle a dit: «Bon, je voudrais te dire...» Et elle lui a confessé tout. Et cependant il regardait, et elle a dit: «Eh bien, n’es-tu pas sorti avec telle femme, la femme qui travaille au bureau là–il y a deux ou trois jours de cela, et vous étiez dans cette voiture Chevrolet verte, et elle portait une... rose.»

            Il a dit: «Comment l’as-tu su? Où étais-tu?» Et alors, elle lui a dit où elle avait été.

            Il a dit: «Chérie, c’est la vérité. Et j’admettrais que c’est la vérité. Et si tu veux bien me pardonner, je vais te pardonner. Et nous élèverons nos enfants et nous recommencerons la vie correctement.»

47        Quelques minutes après, les voilà revenir, remontant les marches, les larmes coulant sur leurs joues... Ha ha, Satan a perdu son emprise à ce moment-là. Vous voyez? Maintenant, c’est là qu’on en est. Vous voyez? Bon, cela a réglé l’affaire. Mais tant que ce péché était là en-dessous, peu importe combien on criait fort, combien on tapait durement du pied, la quantité d’huile qu’on déversait, combien on priait à haute voix, ou combien on priait avec facilité, ou tout ce qu’on faisait, ce démon resterait juste là. En effet, il a un droit légal, tant que vous avez un péché non confessé. C’est vrai.

            Et vous verrez à l’estrade... Vous m’entendez rarement dire quelque chose comme: «Je chasse ce démon.» Je dois voir premièrement si c’est la volonté de Dieu de le faire, avant tout. Je prie pour la personne, mais je ne réprimande pas du tout ce démon.

48        Est-ce que vous vous rendez compte qu’un–un don de ce genre pourrait envoyer votre âme en enfer? Combien croient que Moïse était un prophète? Combien croient qu’il a désobéi à Dieu? Certainement. Dieu a dit: «Va là-bas et parle au rocher.» Ne le frappez plus; il a déjà été frappé une fois. C’était Christ. Est-ce juste? Et Moïse était un prophète, et il avait la puissance devant Dieu. Et il est carrément allé là, et il a fait le contraire de ce que Dieu lui avait dit de faire. Il a frappé le rocher; et celui-ci n’a pas fait sortir de l’eau, et il l’a frappé encore une fois, et il a dit: «Vous, espèce de rebelles, est-ce de ce rocher que nous vous ferons sortir de l’eau?» Et il a fait ce qui était contraire à la volonté de Dieu; en effet, Dieu l’avait destiné à être un prophète, et il avait la puissance de faire sortir l’eau du rocher, que cela ait été la volonté de Dieu ou pas. Est-ce juste? C’est ce qu’il a fait, n’est-ce pas? Vous savez que ce n’était pas la volonté de Dieu. Dieu lui avait dit de ne pas faire cela, mais il l’a quand même fait. Mais ensuite, Dieu s’est occupé de Moïse. Est-ce juste? Et Il ne lui a pas permis d’entrer dans la Terre promise.

            Que dire d’Elie, ce jeune homme qui était devenu chauve alors qu’il était encore un jeune, et que les petits enfants se sont mis à taquiner, disant: «Vieux chauve, vieux chauve!»? Eh bien, oh! la la! Mais cela a irrité ce prophète. Et s’étant retourné, il a maudit ces enfants. Et deux ourses ont tué quarante-deux petits enfants innocents. Est-ce juste? Vous savez que ce n’est pas là la nature du Saint-Esprit, de tuer ces pauvres petits enfants, mais c’était un prophète en colère. Faites attention!

49        Eh bien, voyez-vous ce que je veux dire? Voilà pourquoi j’y vais tout doucement, en veillant à ce que je fais. Une fois que Dieu a mis quelque chose sur quelqu’un, si ce n’est pas Dieu qui a placé cela là, c’est qu’Il a permis à Satan de le faire, de placer la malédiction sur cette personne, à cause de quelque chose qu’il essayait de faire; et voici que moi, je viens là et j’ôte cela de cette personne. Voyez quel genre d’état... ce que Dieu ferait? Voilà pourquoi j’y vais doucement, en veillant à ce que je fais. Quand je découvre la volonté de Dieu, alors je suis sûr de l’endroit où je pose mon pied. Mais avant que je connaisse la volonté de Dieu, je... Eh bien, je ne condamne pas ceux qui ne le font pas. Cela est... Dieu ne les tient pas pour coupables s’ils sont dans l’ignorance. C’est tout à fait juste. Ils font tout simplement ce qu’ils peuvent. Mais c’est la raison pour laquelle moi, j’y vais tout doucement en veillant à ce que je fais. Vous comprenez, maintenant?

            Et voilà pourquoi d’habitude je ne prie pas pour un grand nombre de gens. Et si je vois quelque chose et que je voie que c’est Dieu, ce qu’Il a fait, et que la confession a été faite, et que tout est clair et nette, alors j’ordonne au diable de quitter la personne. Si je ne vois pas cela, alors je ne comprends pas cela. Et si vous êtes à l’estrade, essayant de prendre un autre, aussitôt que je vois une chose, quelque chose qui cloche, je dis tout simplement: «Est-ce juste?»

            –Oui, c’est juste.

            –Voulez-vous accepter Christ comme votre Guérisseur?

            –Oui.

            –Eh bien, que Dieu vous bénisse. Partez, et que le Seigneur vous rétablisse.

50        Je ne sais pas ce qui va arriver à ce patient. Je ne fais qu’essayer d’amener leur foi à s’élever jusqu’au niveau où ils peuvent être guéris. Vous voyez ce que je veux dire?

            Maintenant, pendant que je me tiens juste ici en train de parler, juste ici en ce moment, pendant que je me tiens ici en train de parler, j’ai vu une personne juste ici qui a été guérie pendant que je me tiens juste ici, pendant que je suis debout juste ici à l’estrade. Elle a été guérie juste ici à l’estrade il y a quelques minutes pendant que je donnais un témoignage (C’est vrai.), une personne qui a été guérie.

            Que le Seigneur vous bénisse. Demain soir, si le Seigneur le veut, lorsque nous irons là dans l’autre grande salle, nous viendrons là et nous essayerons tout simplement de prêcher pendant environ quinze ou vingt minutes et nous verrons si nous ne pouvons pas prier pour tout un groupe de gens. Aimeriez-vous cela? Si c’est le cas, dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] On viendra tout simplement–tout simplement prier pour les gens, sans examiner sérieusement ce qu’il y a, à moins que je tombe sur quelque chose qu’on devrait sonder sérieusement. Alors, laissez-Le donc sonder sérieusement.

51        Est-ce que vous comprenez maintenant? Comprendrez-vous toujours si quelqu’un disait: «Pourquoi frère Branham prend son temps et y va si doucement, et...» comme cela? Et, souvenez-vous, une vision, quand on voit une vision, cela apporte plus–ça fait sortir du corps humain plus de force qu’une prédication de deux heures apportée avec toute la force. Le... Daniel a eu une seule vision, et il eut l’esprit troublé pendant plusieurs jours. Est-ce juste?

            Eh bien, ici, je ne vois pas l’image complète. C’est tout comme–comme je l’ai toujours dit: «Lorgner...» Combien parmi vous les petits garçons se sont déjà glissés par-dessus une clôture en bois pour regarder le match au travers du trou laissé par un noeud, ou quelque chose de ce genre? Vous savez ce que je veux dire, ou plutôt un carnaval passer? Vous voyez? Vous vous tenez sur la pointe de vos orteils et vous regardez par-dessus, vous dites: «Je–je–je–je–j’ai vu un éléphant.» Vous voyez? Et puis vous redescendez encore. Et après vous relevez encore la tête pour regarder. «Je–je–j’ai vu une girafe passer.» Eh bien, voyez-vous, vous êtes tout simplement en train de regarder. Il en est ainsi de ces visions, cela vous est pratiquement donné de cette manière-ci. Vous voyez? Lorsque je fais beaucoup d’effort, en regardant, l’Esprit se mouvant partout tout autour, et moi j’essaie de voir ce qu’est la vision, et je vois ici un hôpital apparaître devant moi, une femme est en train de subir une opération, et la bile... «Vous avez souffert de la vésicule biliaire, n’est-ce pas? Et on vous a opérée?»

            –Oui.

            –«Que Dieu vous bénisse. Amen.» Vous voyez?

52        Simplement je... Mais maintenant, c’est le moment où je laisse le don lui-même. Mais alors, quand je me tiens tout simplement là, je n’ai même rien à voir avec cela, Dieu baisse plutôt les bras et me saisit par le derrière du col, et m’élève au-dessus de la clôture, disant: «Tu vois où cela a commencé ici derrière? Vois-tu tout au sujet de ces gens qui sont par ici? Vois-tu ce qu’il en sera par ici?» C’est ce qui se passe quand Dieu agit, vous voyez? C’est ce qui se fait quand Dieu agit par Sa propre volonté. Vous voyez? A ce moment-là, Il agit par Sa propre volonté. Quand moi je fais plutôt pression vers cela comme ceci... En effet, c’est un don divin, voilà pourquoi j’y vais en douceur, parce que c’est moi qui me presse vers cela. Comprenez-vous? Si c’est le cas, levez la main, disant: «Je comprends, Frère Branham. Je–je vous crois.» Très bien. Merci.

            Que Dieu vous bénisse alors. Je vais prier pour tous ceux pour qui je peux prier ce soir. Je regrette de vous avoir gardés jusque si tard. Mon... L’une des mes premières réunions dans le Kentucky... et je–je–j’aimerais que vous soyez... J’aimerais faire tout ce que je peux pour le Seigneur pendant que je suis ici. Le bruit s’est plutôt répandu, peut-être que la semaine prochaine nous serons de l’autre côté de la rivière, là à Evansville, et... si le Seigneur le veut. A présent, inclinons la tête.

53        [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Je vais juste ramener ceci en arrière. J’aimerais que tout le monde soit très révérencieux. Maintenant, je suis... Vous savez que je crois dans la religion à l’ancienne mode. Je crois dans le fait de louer le Seigneur et de pousser des cris pour louer Dieu. Mais maintenant, alors que nous nous tenons comme ceci, je vous dis ce que cela fait. Lorsque vous vous déplacez (Vous voyez?), ou–ou la raison... S’il y a un banc de foi tout autour, vous sentirez les démons exercer une traction les uns vers les autres. Vous voyez? S’il y a quelque chose qui cloche chez une certaine personne, et que cela... Par exemple s’il y a quelque chose qui cloche chez une certaine personne dans la salle, eh bien, à ce moment-là, lorsque quelque chose cloche chez un patient ici, il y a de la sympathie–les démons sympathisent, ils vont exercer une traction mutuellement, l’un vers l’autre. Et la même chose se fera lorsque vous avez–lorsque vous avez la foi. Si vous avez un mur de foi partout autour de vous... Souvenez-vous que Jésus avait fait sortir de la salle tous ces gens-là et autres comme cela, et alors Il a prié pour le malade et le... Vous rappelez-vous cela? Voyez-vous, il fallait ceux qui croyaient réellement, et ceux qui étaient réellement dans la même dimension avec Dieu.

54        Maintenant, cet homme qui se tient ici, je suppose que nous sommes inconnus l’un de l’autre, n’est-ce pas? Monsieur, je ne vous connais pas. Et... Mais nous sommes–nous sommes tout à fait, totalement inconnus l’un de l’autre. Tout ce que je sais, c’est qu’il se tient tout simplement ici sur l’estrade. C’est un homme. Je–je prie que Dieu lui vienne en aide.

            Maintenant, j’aimerais poser cette question: «Y a-t-il quelqu’un qui est ici pour la première fois? Voyons voir, est-ce la première fois que vous assistez à l’une des mes réunions? Eh bien, oh! la la! regardez simplement ces mains. Cela–cela rend la chose difficile. Vous voyez, chaque soir on devrait examiner à fond cela et...?... Vous voyez?

            Eh bien, lorsque Jésus était ici sur terre... J’aimerais juste vous poser cette question: Si Jésus était ici sur terre, pour ce qui est de guérir cet homme ou n’importe qui d’autre, Il ne pourrait pas le faire. Il l’a déjà fait. Est-ce juste? Mais, bon, même quand Il était ici sur terre, Il ne prétendait pas être un guérisseur, n’est-ce pas? Lorsqu’Il est passé près des estropiés, et de la multitude constituée d’infirmes, d’aveugles, de boiteux et ceux qui avaient des membres desséchés, à la piscine de Béthesda, Il leur a carrément passé outre eux tous.

            Croyez-vous qu’Il était... Croyez-vous que Jésus était Dieu, qu’Il était Emmanuel, que Dieu était en Lui? Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. C’est ce que déclare la Bible. Et Il était le Grand Jéhovah Dieu, l’Oint ici sur terre: Dieu avec nous. Et Il est carrément passé au milieu de ces estropiés, des affligés; Lui, un Homme plein de compassion et d’amour pour les gens, Il a passé outre des infirmes, des boiteux, des aveugles, des gens aux membres desséchés, et Il n’a rien fait du tout pour eux; Il est allé vers un homme qui était couché sur un grabat, et Il l’a guéri; Il lui a dit de prendre son lit et de s’en aller. Il s’en est allé, laissant toute cette multitude de gens étendus là. Est-ce juste?

            Si Dieu le veut, dans les prochains mois, j’aimerais descendre carrément la même échelle, ou plutôt à ce même endroit jusque dans la piscine. Je serai en Palestine, le Seigneur voulant, dans les prochains mois.

55        Bon, là se trouvaient de grandes foules de gens. Une foule, m’a-t-on dit, il faut deux mille personnes pour faire une foule. Et il y avait des foules. Eh bien, maintenant, souvenez-vous que les vieux critiqueurs étaient là juste comme il y en aurait ici ou ailleurs. «Pourquoi n’as-Tu pas guéri celui-là? Qu’Il guérisse celui-ci, et je vais–je vais croire cela.» Eh bien, lorsqu’Il est arrivé dans Sa propre ville, Il n’a pas pu accomplir beaucoup de miracles. Est-ce juste? Il ne le pouvait pas, dit la Bible. A cause de quoi? [L’assemblée dit: «De l’incrédulité.»–N.D.E.] Leur incrédulité. C’est juste. Ainsi, Il connaissait toutefois ce que ces gens faisaient, et ce qu’ils avaient comme problème. Est-ce juste?

            Maintenant, lorsque Philippe, en venant, a amené Nathanaël, Jésus a dit qu’Il savait où il était avant de venir.

56        La femme au puits, Jésus lui a parlé un petit peu, et a saisi son esprit. Alors Il a dit, Il lui a dit ce qu’elle avait comme problème; Il a dit: «Va chercher ton mari.» C’est là qu’était son problème.

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est exact. Tu en as cinq.»

            «Eh bien, a-t-elle dit, je vois que Tu es prophète.» Et elle est entrée dans la ville en courant, disant: «Venez voir un Homme qui m’a dit–dit tout ce que j’ai fait.» Elle était tout excitée. Il ne lui avait pas dit tout ce qu’elle avait fait. Il lui a révélé une seule chose qu’elle faisait. Mais si Dieu a pu Lui révéler cela, Il pouvait révéler tout. Est-ce juste?

            Eh bien, écoutez donc très attentivement maintenant que vous avez compris cela; en effet, j’attends quelque chose, et vous le savez. Eh bien, pendant qu’Il se tenait là, suivez attentivement.

            Ces Juifs ont vu cet homme porter son lit, Saint Jean 19, et ils l’ont interrogé. Et quand ils ont vu Jésus, ils L’ont interrogé. Maintenant, écoutez ce qu’Il a dit.

57        «En Vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même.» Est-ce juste? «Mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement.» Est-ce juste? Alors d’après les propres Paroles de Christ, et je crois qu’Il a dit la vérité, je donnerai ma vie n’importe où pour soutenir qu’Il a dit la vérité. Il ne faisait rien avant que Dieu qui était en Lui ne Lui ait premièrement révélé et montré par une vision quoi faire.

            Considérez la résurrection de Lazare. Ça faisait trois jours depuis qu’Il avait quitté la maison. Il a continué Son chemin. Ils L’ont envoyé chercher; Il a simplement continué Son chemin. Et puis Il s’est retourné et a dit: «Lazare est mort. Et à cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là. Mais Je vais le réveiller.» Vous voyez, le Père le Lui avait déjà montré très exactement, que Lazare allait mourir, tout à ce sujet, et il a fallu trois jours pour que cela arrive. Et lorsqu’Il est revenu dans la...

            Regardez lorsqu’Il s’est rendu à la tombe. Il a dit: «Je Te rends grâces de ce que Tu M’as déjà entendu, mais Je dis cela à cause de ceux qui se tiennent autour de moi.» Vous voyez? Alors Il a dit: «Lazare, sors.» Et un homme qui était mort depuis quatre jours s’est tenu sur ses pieds et est revenu à la vie. Amen. Ce même Jésus est ici ce soir. C’est exact.

58        Or, Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde (les incrédules) ne Me verra plus.» Eh bien, il y a peut-être des gens qui sont assis juste dans cette réunion et qui disent: «Oh! ça, c’est la lecture des pensées. C’est de la télépathie, c’est...» Peut-être qu’ils disaient... Ils ont dit la même chose à Son sujet. Est-ce juste? Ils L’ont taxé de Béelzébul. Savez-vous qui était Béelzébul? Le prince des démons, le plus grand diseur de bonne aventure et le plus grand démon qui soit. Ils ont dit: «C’est Béelzébul.»

            Et Jésus a dit: «S’ils appellent le Maître de la maison Béelzébul, combien plus vont-ils le faire pour Ses disciples?» Ainsi, c’est tout simplement un vrai signe d’apostolat (Est-ce juste?), du discipolat de Jésus-Christ. Puisse-t-Il donc, Celui dont nous parlons...

            Pensez-y, mon ami. Il se tient maintenant dans l’amphithéâtre de cette école, après mille neuf cents ans... Jésus-Christ, s’Il est ressuscité des morts, Il a dit: «Le monde ne Me verra pas; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, et même en vous jusqu’à la fin du monde. Et vous ferez aussi les choses que Je fais.» Amen.

59        Cela me transporte de joie, mes frères. Oh! cela fait que mon coeur... De savoir que je me tiens ici devant cette petite poignée de gens... Et lorsque je me suis tenu devant un aussi grand nombre de gens, cent mille personnes à la fois, pour représenter le même Jésus-Christ, sans craindre pour ce dont nous parlons, car Il... Ce soir-là cet Ange a dit: «Je serai avec toi. Je me tiendrai à tes côtés.» Et Il est ici maintenant. Et je sais ce qu’Il–qu’Il est. Et je sais d’où Il vient.

            Moi-même, je ne suis pas bon. Je ne suis qu’un homme. Mais Lui, Il est Emmanuel. Il est Dieu. Je sais donc qu’Il est ici.

            Ainsi cet homme qui se tient ici, nous ne nous connaissons pas; mon frère, je ne sais rien à votre sujet. Je ne vous ai jamais vu de ma vie pour autant que je sache, mais Dieu nous connaît tous les deux.

            Maintenant, je vais tout simplement vous parler juste un moment pour saisir votre esprit. Vous voyez? En effet, vous êtes un homme; je suis un homme. Nous n’avons pas le même âge; nous sommes probablement nés à plusieurs kilomètres de distance; et nous avons grandi, et nous ne nous sommes jamais rencontrés dans la vie, mais Dieu nous connaît tous les deux. Eh bien, maintenant, si je suis Son prophète... Eh bien, prophète signifie Son prédicateur. Vous voyez? Si je suis Son–Son voyant, et si j’ai dit la vérité, alors Dieu peut, s’Il le veut, par Sa puissance de révélation... Vous ne pourrez pas cacher votre vie si vous devez donc le faire, n’est-ce pas? Dieu connaît tout à votre sujet. Et Il peut me montrer très exactement qui vous êtes, d’où vous êtes, votre problème, et comment vous vous porterez, et ce qu’il faut pour que vous soyez guéri. Est-ce juste? S’Il le fait, amen; s’Il ne le fait pas, j’offrirai un mot de prière pour vous et vous demanderai de partir de l’estrade. C’est l’unique chose que je sache faire.

60        Mais maintenant, j’aimerais que vous écoutiez et croyiez que Dieu m’a envoyé pour vous venir en aide. Je vous remercie. Je le crois. Je crois que vous éprouvez une sensation agréable dans votre esprit. Vous êtes un homme honnête. Et vous êtes–vous êtes–vous êtes intéressé à... Il y a... Non, avant tout, vous avez un–un–un–un eczéma, une éruption sur vous, sur votre corps. Ne peut... Rien ne pourrait toucher cela. Et puis, n’est-ce pas que vous avez une–une bien-aimée qui est, ou c’est plutôt votre femme, ou quelqu’un qui souffre d’une... C’est l’arthrite dans la colonne vertébrale. N’est-ce pas vrai? C’est l’arthrite dans la colonne vertébrale. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Et vous, vous avez une habitude, n’est-ce pas? Vous fumez la cigarette. Ce n’est pas correct. Voulez-vous abandonner cela? Très bien. Approchez.

61        Ô Dieu, sois miséricordieux, et bénis cet homme, Seigneur, que je bénis en Ton Nom. Et puisse-t-il être guéri. Que Ton Esprit vienne sur lui, et que toutes les puissances de l’enfer le quittent. Que cette habitude le quitte, et qu’il devienne parfaitement normal et bien portant, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, monsieur. Allez...?... Oui, ça va partir. Partez en vous réjouissant, étant heureux. Vous remarquerez que cela vous quittera très vite.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu.» Croyez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Maintenant, soyez respectueux. Eh bien, ne l’oubliez pas, cet eczéma est relâché dans cette salle en ce moment. C’est sorti de lui comme une ombre. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Soyez respectueux. Seul Dieu peut rétablir. Moi, je ne le peux pas. Je suis un homme. Que Dieu vous bénisse. C’est terminé.

62        Vous, madame qui êtes assise là, portant ce manteau bleuâtre et qui me regardez; vous êtes aussi malade, n’est-ce pas? Vous souffrez d’une espèce de maladie intestinale dont vous voulez être guérie... Croyez-vous que Dieu vous guérira complètement? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Très bien. Vous pouvez vous lever. Jésus-Christ vous rétablit. Que Dieu vous bénisse. Amen.

            Croyez-vous de tout votre coeur? Juste un instant. Tout le monde, soyez respectueux, s’il vous plaît. Ne–ne vous déplacez pas. Quelque chose est arrivé à ce moment-là, je... Où était-ce? Quelqu’un n’a-t-il pas été guéri dans l’auditoire juste à ce moment-là? Où était-ce? Cette femme... Quelqu’un a été guéri pendant que je parlais à quelqu’un d’autre. Où était-ce? Etais-je en train de parler... N’étais-je pas en train de parler à quelqu’un dans l’auditoire? Oh! excusez-moi. Levez-vous. Quelle était votre maladie, madame? Madame? [La soeur répond: «Une maladie des intestins.»–N.D.E.] Oh!

63        Vous qui êtes assis juste là, regardez ici, vous juste là dans cette rangée par-là, vous souffrez aussi des intestins, cela est suspendu au-dessus de vous. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Maladie du côlon, croyez-vous qu’Il va vous rétablir? Voulez-vous accepter votre guérison maintenant? Le voulez-vous? Levez-vous alors. Que Dieu vous bénisse. Allez de l’avant, rentrez chez vous maintenant, vous serez rétabli. C’est Satan. J’ai vu la chose reculer et je n’ai pas su où c’est allé. Vous voyez? Elle sympathisait avec ce même esprit. Vous pouvez rentrer chez vous maintenant et être guéri. Que Dieu vous bénisse. Tout le monde dans cette salle peut être guéri, si vous croyez cela. Très bien.

            Approchez, madame. Excusez-moi. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que je suis Son serviteur. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue de ma vie; il m’est tout à fait impossible de savoir quoi que ce soit à votre sujet. Et vous ne me connaissez pas. Peut-être comme... Nous ne sommes que des inconnus qui nous sommes rencontrés ici. Est-ce juste? Votre maladie se situe dans votre estomac. C’est une tumeur. Est-ce juste? Si c’est ça, levez la main. Croyez-vous que Dieu vous guérira? Croyez-vous que je suis Son voyant, Son prophète? Voyez, la raison pour laquelle j’ai demandé cela, c’est parce que l’Ange de Dieu m’a dit: «Si tu amènes les gens à te croire.» Vous voyez? C’est la raison pour laquelle j’ai posé cette question.

            Un instant. Ecoutez encore. Vous avez un bien-aimé qui est blessé. C’est un mari. Il–il–il est–il est blessé à la main gauche, et il est... Un arbre est tombé sur cette main, ou plutôt la cime d’un arbre ou quelque chose du genre. Est-ce juste? Si c’est juste, levez la main. Rentrez à la maison, vous deux. Vous allez être rétablis. Jésus-Christ vous rétablit. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez partir immédiatement de l’estrade. Que Dieu soit avec vous.

            Maman, croyez-vous que Dieu va permettre que vous vous remettiez de cette arthrite? Vous priez à ce sujet pendant que vous êtes assise là. Juste ici. Très bien. Levez-vous. C’est terminé. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez rentrer chez vous maintenant. Que Dieu vous bénisse, là-bas.

64        Approchez, soeur. Croyez-vous de tout votre coeur? Oh! comme c’est merveilleux! Pourquoi ne croyez-vous pas, vous tous maintenant? Vous voyez? Croyez-vous? Vous avez un bras fracturé, évidemment, je le vois. Vous avez quelque chose qui cloche. Vous vous levez avec peine. Oui, c’est le rhumatisme. Vous vous tracassez à ce sujet; vous pensiez que vous aviez attrapé la polio. Mais ce n’est pas la polio; c’est le rhumatisme. Et vous avez des calculs rénaux aussi, dans les reins. Et vous avez un problème de foie. Vous devez continuer à prendre des médicaments. Le foi-... Le foie ne fonctionnera que si... N’est-ce pas ça? C’est une maladie des nerfs qui paralyse le foie, ça ne permet pas une bonne circulation sanguine. Vous devez continuer à prendre des médicaments contre cela. N’avez-vous pas–ne connaissez-vous pas un certain frère Vibbert? Je le vois vous parler ou quelque chose du genre. C’est–c’est votre pasteur. Approchez.

            Notre Père qui es aux cieux! Que Ton Nom soit sanctifié. Que Tes bénédictions descendent sur cette femme, et que le Saint-Esprit de Dieu la guérisse et la rétablisse. Quelles que soient ses maladies, Seigneur, Tu les connais toutes. Et je Te prie de la guérir complètement. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame.

65        Très bien. Approchez. Croyez-vous? De tout votre coeur? Croyez-vous que le Dieu Tout-Puissant est ici pour vous guérir? Vous êtes ici pour me poser une question. Premièrement, vous avez une tumeur maligne, un cancer. Et vous vous sentez de plus en plus mieux maintenant. N’est-ce pas vrai? Et vous pensez à une femme âgée. C’est votre mère. Elle souffre de l’arthrite. Elle a un problème d’yeux. N’est-ce pas vrai? Eh bien, allez lui imposer les mains maintenant. Et que Dieu vous guérisse toutes les deux.

            Seigneur Jésus, je Te prie d’accorder ces bénédictions, au Nom de Jésus-Christ. Je dis cela... Posez ça sur elle. Maintenant elle peut vous demander de prendre cela et de le lui envoyer.

            Très bien. Approchez. Madame, croyez-vous de tout votre coeur? Dieu est ici pour vous rétablir. Croyez-vous cela? Très bien. Je vais demander à Dieu de vous guérir. Maintenant, vous savez que vous devez subir une opération à cause d’une tumeur, maintenant. Et vous avez aussi l’arthrite. Mais Il va vous guérir si vous croyez. Vous...

            Seigneur, maintenant je prie alors que j’impose les mains à cette vieille mère, au Nom de Jésus. Amen.

66        C’est terminé, soeur. Vous pouvez quitter l’estrade. Elle n’a plus l’arthrite. Vous le voyez bien. Ecoutez, elle met les pieds comme ceci. Marchez comme une véritable jeune femme, tapant du pied comme ceci.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu! [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu!»–N.D.E.]

            Croyez-vous, mon frère, alors que vous vous approchez? Voulez-vous être guéri de cette maladie du coeur? Dites: «J’accepte ma guérison.» Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez quitter l’estrade, en disant: «Merci, Seigneur Jésus.»

            Très bien. Approchez, madame. Croyez-vous alors que vous vous approchez? Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Le peut-Il? Croyez-vous qu’Il l’a fait? Si Dieu me révèle ce qu’est votre maladie, allez-vous alors accepter cela? Pouvez-vous le faire? Voyez, moi je ne peux pas vous guérir. C’est impossible. Mais vous vous rendez compte que vous êtes mourante, et vous êtes consciente que vous ne pouvez pas vivre plus longtemps, tel que vous vous tenez là. Voilà pourquoi j’essaie de secouer votre foi, madame.

67        Ecoutez ceci. Sommes-nous des inconnus l’un pour l’autre? Nous ne nous connaissons pas. Dieu nous connaît tous les deux. Est-ce juste? Vous avez lutté pour arriver ici. N’est-ce pas? La vie a été très dure pour vous. Vous souffrez d’une maladie de l’estomac. N’est-ce pas ça? Vous êtes presque à l’article de la mort, n’est-ce pas vrai? Mais vous avez prié, et vous avez imploré Dieu, disant que si vous pouviez atteindre cette estrade, vous seriez guérie. Croyez-vous que si je vous impose les mains... Est-ce vrai? Vous avez prié récemment à côté d’un lit. Je... Vous étiez à genoux à côté d’un lit. Maintenant, n’est-ce pas la vérité? Si c’est vrai, levez la main. Maintenant, approchez. Croyez-vous que je suis Son prophète? Alors maudit soit ce démon, qui s’est emparé de cette femme. Qu’il puisse quitter cette femme, qu’il sorte d’elle. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il s’en aille.

            Maintenant, allez manger ce que vous voulez, madame. Continuez...?... Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!» [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu!»–N.D.E.]

            Très bien. Amenez la soeur. Eh bien, madame, vous aviez aussi mal à l’estomac. Lorsque... Aussitôt que j’ai dit cela, cela vous a secouée. Est-ce juste? Votre maladie à vous, c’est un problème d’estomac dû à la digestion. Allez tout simplement de l’avant, mangez ce que vous voulez. Que Dieu vous bénisse. Allez et soyez rétablie.

68        Approchez, madame. Croyez-vous en Lui? Evidemment, vous voyez, vous portez des lunettes. Nous savons que c’est vrai. Mais je vous vois un matin, c’est à peine si vous pouvez vous lever. Vous avez l’arthrite dans le dos. Est-ce juste? Passez là, disant simplement: «Merci, Seigneur, de m’avoir guérie,» et portez-vous bien au Nom de Jésus-Christ.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!» [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu!»–N.D.E.]

            Très bien. Approchez, madame. Vous êtes vraiment très pensive. Vous êtes de tout votre coeur sincère à ce propos. Mais cela vous a rendue nerveuse. Et vous êtes très nerveuse. Vous portez toujours les fardeaux des autres, et vous vous en êtes préoccupée, vous traversez des ponts avant d’y être arrivée, vous bâtissez des châteaux en Espagne. En conséquence, vous avez développé une gastrite. N’est-ce pas ça? Très bien. Me croyez-vous, maintenant comme étant Son prophète? Alors en partant d’ici ce soir dites: «Seigneur Jésus, j’accepte les souffrances que Tu as endurées à ma place. J’accepte la guérison que Tu as acquise pour moi au Calvaire. Je vais manger ce que je veux, et je vais dire au diable que je suis libre.»... Voulez-vous croire cela? Alors allez et faites-le. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ...?... Amen.

69        Très bien. Approchez, madame. Vous et moi, nous ne nous connaissons pas. Je ne... C’est ce qu’il faut se dire, soeur. C’est ainsi qu’il vous faut garder votre esprit centré sur Lui. Vous avez quelque chose que vous êtes... C’est une hernie. Croyez-vous que Dieu vous rétablira et qu’Il vous guérira, de tout votre coeur?

            Croyez cela de tout votre coeur, et vous pouvez l’obtenir.

            Vous, soeur, vous avez une maladie gynécologique. N’est-ce pas ça? C’est un abcès. Que Dieu vous bénisse. Jésus-Christ vous rétablit. Croyez-vous cela? Approchez ici. Je vous bénis, ma soeur. Au Nom de Jésus-Christ, puisse-t-Il vous guérir. Amen. Partez, maintenant.

            Oh! comme c’est merveilleux!

            Très bien. Approchez, madame. Croyez-vous? Ayez la foi.

70        Vous qui êtes assis là, monsieur, est-ce que vous venez d’être guéri? Vous qui portez des lunettes, venez-vous d’être guéri? Oui, oui. Est-ce que vous aviez le–un–un eczéma? Eh bien, cette dame qui est juste derrière vous, est-ce que cela... Vous souffrez, vous aussi, de l’eczéma, n’est-ce pas? Eh bien, c’est là que Ça se tenait. J’ai vu Cela être suspendu là. Très bien. Jésus-Christ vous rétablit complètement aussi, madame. Le diable a essayé de vous accabler pour vous ôter cela, mais Dieu vous a bénie. Amen. Je voyais bien la bénédiction sur cet homme, et je–je ne pouvais pas le dire.

            Disons: «Loué soit le Seigneur!» [L’assemblée répète: «Loué soit le Seigneur!»–N.D.E.] Oh! la la! comme c’est merveilleux!

            Cette maladie du coeur vous a quittée, ma soeur. Vous pouvez quitter l’estrade en vous réjouissant et en disant: «Merci, Seigneur Jésus.»

71        Satan, oh! il est vaincu juste à l’instant. Il a été vaincu au Calvaire; il est vaincu juste ici dans l’église. Il est exposé. Certainement qu’il est exposé. Il est sournois, et il est fourbe. Mais il ne peut pas se cacher de Dieu. Dieu connaît exactement où il est.

            Madame, vous avez une maladie gynécologique. Croyez-vous que Dieu vous guérit, maintenant? Très bien. Partez et réjouissez-vous, et témoignez à ce sujet. Je le demande au Nom de Jésus-Christ.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!» [L’assemblée répète: «Grâces soient rendues à Dieu!»–N.D.E.]

            Quelqu’un... Avez-vous laissé tomber votre carte, monsieur? Il n’y a pas de problème. Tenez-la tout simplement. Nous pourrons peut-être atteindre votre numéro dans quelques minutes.

72        Que pensez-vous de ceci, monsieur? Croyez-vous que c’est la vérité, le petit ami qui a la cravate à rayures et qui est assis là? Oui. Oui, oui. Voulez-vous être guéri de cette hernie que vous avez, et voulez-vous... croyez-vous que Dieu vous rétablira? Très bien. Levez-vous. Que Dieu vous bénisse. J’ai retenu votre attention au moment où vous avez laissé tomber votre carte, et vous étiez en train de vous demander qui avait laissé tomber quelque chose... Non, c’était la carte de l’homme qui venait après. Ayez la foi. Je l’ai vu debout là à côté de vous. C’était à votre gauche. Mais Dieu va faire... Est-ce juste? Si c’est le cas, levez la main si c’est juste. C’est juste. Très bien. Touchez l’endroit maintenant, vous verrez que c’est parti. Maintenant, vous vous portez bien. Jésus-Christ vous a guéri. Dieu soit loué! Amen. Voilà! Vous voyez?

73        Soyez respectueux. Voici un homme sourd. Inclinez la tête partout. Seigneur Dieu, Toi qui as créé les cieux et la terre, Toi qui as créé toutes choses par Jésus-Christ, Toi qui Te tiens ici présent en ce moment pour guérir les malades et les affligés, je Te prie de guérir cet homme. Que cet esprit de surdité qui cherche à lui ôter la vie sorte de lui, cet esprit qui le pousse à passer devant un véhicule qui roule pour se faire tuer, et l’envoyer prématurément dans la tombe... Toi esprit méchant, appelé surdité, au Nom de Jésus-Christ le Fils de Dieu, sors de cet homme!

            Vous m’entendez maintenant? [«Oui.»] Voyez si vous pouvez le dire, dites: «Amen.» [«Amen.»] Dites: «J’aime le Seigneur.» [«J’aime le Seigneur.»] Et vous aviez la prostatite. Les médecins veulent vous opérer. Eh bien, et si Jésus-Christ, qui vous a redonné l’ouïe vous guérissait de cette prostatite? Allez, et soyez guéri au Nom du Seigneur Jésus. Que Dieu vous bénisse, frère.

            Amen. Comme c’est merveilleux! Ne vous déplacez pas, s’il vous plaît. Croyez-vous de tout votre coeur? L’Ange du Seigneur est toujours suspendu juste ici dans cette région... Je... Juste dans ce cercle ici.

74        Vous souffrez de l’arthrite, vous qui êtes assise là, madame, qui portez un petit chapeau noir, vous qui avez les cheveux un peu gris, comme cela. N’est-ce pas juste? Il est... C’est vous qu’Il essayait d’atteindre. Je vous vois boiter. Je vous ai vue essayant de descendre de quelque chose; c’est avec beaucoup de peine que vous y arrivez. Cela vous envahit complètement parfois, et ça vous rend très raide. Jésus-Christ vous rétablit. Croyez-vous cela? C’est vrai? Levez-vous et acceptez alors votre guérison au Nom du Seigneur Jésus. Que Dieu vous bénisse.

            La dame qui est assise tout près d’elle, à côté–à côté d’elle là, Il se tient au-dessus d’elle en ce moment. Vous avez une espèce de grosseur, madame. C’est–c’est dans la gorge. C’est un goitre. Est-ce juste? Jésus-Christ vous rétablit. Croyez-vous cela? Amen. Que Dieu vous bénisse. C’est ce qu’il faut faire. Voilà! Ça l’a quittée. Ça a quitté sa gorge. C’est parti. Dieu l’a guérie.

            Disons: «Dieu soit loué!» [L’assemblée répète: «Dieu soit loué!»–N.D.E.]

75        Il est suspendu là au-dessus d’une jeune femme qui est assise juste là-bas. Qu’en dites-vous, madame? Vous êtes de très mauvaise humeur, n’est-ce pas? N’est-ce pas juste? Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Croyez-vous que Dieu m’a donné Sa Parole? Levez-vous, et acceptez votre guérison, et vous serez rétablie, au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!» [L’assemblée répète: «Grâces soient rendues à Dieu!»–N.D.E.] Tenons-nous tous debout et rendons-Lui gloire, tout le monde. Remercions-Le simplement pour notre guérison.

            Seigneur Jésus, Toi l’Admirable, guéris tous ces malades et ces nécessiteux qui sont ici ce soir, Seigneur. Nous Te rendons gloire. Nous savons que Tu es ici. Nous savons que Ton Esprit est ici pour bénir et guérir tous ceux qui sont dans le besoin. Maintenant, Seigneur, puissent les gens qui sont debout ici, à part moi, se rendre compte que ma force est épuisée, mais que Toi Seigneur, Tu es ici. Et maintenant, en tant que Ton serviteur, je prends l’autorité sur tout esprit impur qui se trouve dans cette salle. Je dis à Satan: «Tu as perdu. Dieu a envoyé Christ et Il a remporté la victoire. Et je t’ordonne par Jésus-Christ, le Fils de Dieu, de sortir de ces gens. Quitte-les et va-t-en d’eux au Nom de Jésus.

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