Messieurs, Nous Voudrions Voir Jésus
1 ... Vous les amis chrétiens, j’aimerais vous saluer ce soir au Nom de notre Seigneur Jésus-Christ. Au début de ce réveil, j’espère qu’il y aura une grande bénédiction pour tous ceux qui sont ici, ainsi que pour ceux qui viendront plus tard dans les services. Chaque soir, nous aimerions commencer tout aussi près que possible... Il nous faudra être ici entre vingt heures quart et vingt heures trente. C’était mon désir aujourd’hui d’arriver ici, et j’ai été un peu en retard. Je conduisais mon propre véhicule, et je me suis fait prendre dans la circulation par là, cela m’a bloqué pendant juste un peu de temps. Donc, je–je regrette d’être un peu en retard. Et ils étaient là dehors, à m’attendre, quand je suis arrivé ; mon fils y était.
Ainsi donc ce soir, comme nous sommes assemblés ici pour commencer cette réunion de prière (prier pour les malades, croire Dieu pour le surnaturel), j’espère que chaque personne ici s’engagera à rester dans la prière tout le temps. Dans vos maisons, soyez en jeûne et en prière. Venez avec une grande attente. Car, si vous ne vous attendez à rien, vous ne recevrez rien. Vous ne recevrez que ce à quoi vous vous attendez.
2 Maintenant, dans cette ville-ci ce soir, je pense qu’il y a deux ou trois autres réveils en cours, des services de guérison. Nous ne sommes pas ici pour faire la compétition à ces frères-là. Nous sommes ici uniquement pour accomplir notre part. Et nous croyons en Dieu et nous demandons qu’Il assiste tous les malades et les affligés partout, où les gens prient pour les malades, dans chaque église et chaque dénomination. Nous croyons que Dieu exaucera la prière de toute personne sincère qui croira.
Maintenant, je ne suis en aucun cas un guérisseur divin. Je crois, lors de mes autres réunions ici à Louisville, et comme je suis souvent ici chez notre bien-aimé frère Cauble, ainsi que l’église, en aucun temps, je n’ai jamais dit que j’étais un guérisseur divin. En effet, si je le disais, ça serait faux, car je ne le suis pas. Il n’y a aucun homme qui soit un guérisseur divin. Nous sommes juste des prédicateurs de l’Evangile, pour prêcher, prier pour les malades. C’est Dieu qui est le Guérisseur divin. Et tout ce que Dieu peut faire pour vous, Il l’a fait en Jésus-Christ. L’oeuvre de la rédemption de votre âme et de votre corps est achevée. Même pour votre Enlèvement, c’est déjà achevé. Quand Jésus est ressuscité d’entre les morts, Dieu a justifié, nous justifie par la foi, en croyant cela, que Dieu l’a ressuscité d’entre les morts ; et nous attendons l’Enlèvement à venir. Tout arrivera en son temps. Et notre salut, notre guérison, et tout, ça a été accompli quand Jésus mourut au Calvaire.
3 Maintenant, ici, nous avons souvent, nous... dans les réunions, nous avons un–un système de distribution des cartes de prière. Eh bien, nous aurions souhaité avoir un autre procédé d’assurer le contrôle sans distribuer les cartes de prière, mais c’est l’unique moyen approprié par lequel on peut garder les gens en ordre, alignés. Nous avons essayé beaucoup de procédés, et jamais je n’en ai apprécié aucun avant que nous ayons eu à distribuer des cartes de prière: les gens réclament, d’autres crient et sautent les uns sur les autres, se poussent et se bousculent dans la ligne. Ça n’a pas l’air chrétien. Je pense que le christianisme, c’est de l’ordre. Et Paul était venu mettre l’église en ordre, et que tout se fasse décemment et en ordre. Et je crois que Dieu honore cela plus, quand nous gardons cela en ordre et sous la puissance du Saint-Esprit, pour qu’Il soit le Conducteur de l’Eglise et des gens.
4 Eh bien, ce soir et demain soir, et jusqu’à ce que des foules augmentent assez pour... Nos sièges ici ne seront pas... ne suffiront pas ; alors, nous irons au Memorial Auditorium, ils vont nous permettre de l’avoir. Ils l’ont promis.
Alors, demain... Si vous connaissez des malades et autres, prenez le téléphone, appelez quelqu’un. Amenez quelqu’un avec vous, ou quelqu’un qui n’est pas sauvé, afin qu’il soit sauvé dans cette réunion. C’est ça l’essentiel: amener les gens à être sauvés. La guérison... Jésus-Christ se servait de la guérison uniquement pour rassembler Ses foules, ensuite Il prêchait l’Evangile. Après qu’Il eut guéri quelques-uns, Il faisait Ses appels à l’autel et tout, non pas qu’Il appelait cela l’appel à l’autel. Les appels à l’autel, c’est quelque chose que nous avons adopté. Il n’y avait jamais eu un appel à l’autel qui ait été fait dans la Bible. Mais les gens croyaient. Les croyants étaient ajoutés à l’Eglise.
Mais nous avons eu un système dans le passé, dans les premiers jours, les méthodistes, nous avons appelé les gens à l’autel et nous les avons amenés à prier jusqu’au bout. Eh bien, je pense que ça marche très bien. Dieu a donc béni cela, et nous restons avec ce–avec ce système-là, de prier à l’autel. Je pense que c’est en cela que consistaient les autels: amener les gens à prier, le lieu d’adoration. Venir à l’autel pour adorer Dieu.
5 Maintenant, je n’aimerais pas prendre trop de temps le soir à parler, car il y aura peut-être des soirées qui seront entièrement consacrées aux services de prédication. Nous avons huit jours à passer ici, Dieu voulant, ce qui est bien une longue série de réunions, longue pour... Mais on a juste fait des annonces au niveau local. Et c’est la raison pour laquelle nous pensons offrir des sièges... Je pense même que l’auditorium là-bas n’offre qu’environ, oh ! entre trois et quatre mille sièges, quelque chose comme cela. En effet... Eh bien, juste pour les gens de Jeffersonville, New Albany, des alentours, ça devrait être assez pour prendre soin de cette situation.
Je vous demande, à vous ici ce soir, en tant que mes chers amis en Jésus-Christ, de vous tenir à mes côtés dans la prière pendant ce temps. Et vous allez–vous allez... Je ne suis pas ici pour faire du théâtre. Je suis ici uniquement pour faire de tout mon mieux pour rendre la vie un peu plus légère et rendre les gens un peu plus heureux, convertir les gens à Jésus-Christ.
6 Je ne suis pas ici pour représenter une quelconque dénomination, car je ne suis membre d’aucune église dénominationnelle. Et je ne considère pas l’une plus que l’autre. J’aime vraiment tous ses convertis à Jésus-Christ. Et c’est pour cela que nous sommes ici, pour essayer d’amener les gens à voir cela. La guérison divine est pour les méthodistes, les baptistes, les catholiques, les Juifs, les pécheurs, les prostituées, les... je ne sais quoi d’autre. La guérison divine est pour chacun de vous. Jésus-Christ est mort pour chacun de vous, pour votre guérison, tout autant qu’Il est mort pour le salut du monde entier. Si seulement vous acceptez cela et que vous le croyez...
Quelqu’un pourrait dire: «Eh bien, Frère Branham, Dieu guérit-Il le pécheur?»
Oui, oui. Et une fois qu’il est guéri, ses péchés lui sont pardonnés. C’est ce que la Bible déclare: «Allez donc et ne péchez plus, de peur qu’il ne vous arrive quelque chose de pire.»
Eh bien, le péché, ce n’est pas–ce n’est pas l’acte immoral. Le péché, c’est l’incrédulité. C’est vrai. La Bible déclare: «Celui qui ne croit pas est déjà condamné.» Alors, nous savons donc que le péché, c’est l’incrédulité. N’allez donc pas pour encore douter.
7 Or, l’église... Nous tacherons de tout faire en ordre et avec respect, autant que nous le savons. Nous croyons au salut à l’ancien temps, qui touche le coeur. Nous croyons dans la liberté qu’ont les gens de dire: «Amen», «Gloire au Seigneur.» Tout ce que l’Esprit de Dieu vous conduit à faire, faites-le. Et Il ne vous conduira pas à faire autre chose que ce qui est correct.
Et Il est l’Esprit. «Dieu est Esprit ; et ceux qui L’adorent doivent L’adorer en Esprit et en Vérité». Et Dieu, le mot même dieu veut dire objet d’adoration. Dieu aime donc être adoré par Ses enfants, que nous soyons libres et non liés sous des jougs. Mais nous pouvons exercer notre foi en Lui, croire cela, ne pas avoir honte d’en parler au monde, que Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts, qu’Il vit et règne dans nos coeurs, et nous n’en avons pas honte. Cela ne nous fait pas rougir de témoigner de la gloire de Jésus-Christ, car Il mérite toute la louange ; ne le croyez-vous pas? C’est vrai.
8 Maintenant, je souhaiterais prendre les Ecritures pour lire quelques Paroles. Nous commençons juste un peu tard. Chaque soir, nous allons essayer de sortir vers vingt-une heures trente, si possible ; ainsi, vous pourrez revenir la–la soirée suivante. Je venais tout à l’heure, et j’ai entendu la voix de frère Cauble, il parlait de beaucoup de gens qui sont ici et qui ont été guéris des maladies. Je regardais juste derrière dans le... sur... dans l’assistance tout à l’heure, j’ai vu une femme qui était simplement un squelette ici récemment. Le cancer l’avait rongée si profondément que les médecins lui donnaient à vivre jusqu’au lendemain matin, juste ; c’était tout. Et il y a de cela environ six ou sept ans. Elle est assise ici ce soir, elle pèse environ cent cinquante livres [68 kg] elle est en parfaite santé, sans aucune trace de cela nulle part.
Vous direz: «Est-ce que la guérison dure?»
Elle dure autant que votre foi. C’est vrai. Autant... C’est pareil pour le salut. Tant que vous avez la foi, vous êtes guéri. Dès que vous perdez la foi, ça en est fini pour vous.
9 Maintenant, j’aimerais lire une portion de la Parole de Dieu. En effet, Il n’a jamais dit que ma parole à moi ne passerait point, mais Il a dit que Sa Parole à Lui ne passerait point. Si donc je lis Sa Parole, alors je–je sais que si vous ne recevez rien que la simple lecture de Sa Parole, vous aurez donc eu beaucoup à ramener à la maison. Juste un passage des Ecritures, vous pouvez accrocher toute votre âme à cela et savoir simplement que c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.
Maintenant, pendant que nous parlons de cette Parole, observez dans la ligne de prière ; observez dans l’assistance. Les visions n’ont pas... ce ne sont rien de plus que le signe de la Présence de Dieu. Mais, observez ce qu’Il dit à telle personne et à telle personne dans l’assistance. Je vois que nous avons des enregistrements sur bandes ici, nous pourrons rechercher cela, et découvrir exactement ce qu’Il a dit.
10 Maintenant, j’ai eu... Combien ont été dans mes réunions auparavant? Faites voir les mains en les levant, partout. Oh ! la la ! C’est pratiquement cent pour cent. Il n’y aura donc pas d’introduction sur la façon dont le Saint-Esprit opère. Il vous incombera seulement de croire, tout simplement.
Maintenant, dans Saint Jean, chapitre 12, les versets 20, 21 et 22. J’aimerais en lire une portion.
Quelques Grecs, du nombre de ceux qui étaient montés pour adorer pendant la fête,
S’adressèrent à Philippe, de Bethsaïda en Galilée, et lui dirent avec instance: Seigneur, nous voudrions voir Jésus.
11 Maintenant, inclinons la tête juste un instant. Notre Bienveillant Père céleste, nous Te remercions ce soir pour Ta Parole ; Elle est la Vérité. Et nous Te prions maintenant de briser chaque chaîne et de libérer les gens, en liberté. Et que l’Adorable Saint-Esprit baptise de nouveau tout le monde qui est ici présent ce soir, dans Sa Présence. Que de grands signes et prodiges accompagnent cette réunion au point de bouger toute cette ville. Qu’il en soit ainsi pour les gens, non à cause de nos efforts pour Toi, mais par amour pour l’Evangile. Accorde, Seigneur, que les salles soient bondées, et qu’il y ait des gens dans des rues, qu’il y ait de grands signes et prodiges ; que des ambulances amènent les malades, et qu’elles rentrent sans eux ; que les estropiés repoussent leurs fauteuils roulants dans le coin, qu’ils sortent en marchant et en se réjouissant. Que cela déclenche un réveil à l’ancienne mode qui balayera toute cette ville ainsi que les communautés ici. Amène chaque église dans l’unité avec Christ, et qu’il y ait une grande joie dans toute la cité. Accorde-le, Seigneur. Bénis ces quelques paroles maintenant. Inspire l’orateur et l’auditeur. Et que le Saint-Esprit se meuve sur nos coeurs de telle manière qu’en partant d’ici ce soir, nous puissions dire avec ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous à cause de Sa Présence?» Car nous le demandons en Son Nom. Amen.
12 Ce cri provenant de l’âme de ces Grecs... Les Grecs cherchent la sagesse et les Juifs les miracles. Paul a dit: «Nous prêchons Christ crucifié.» Les Grecs ont toujours voulu la sagesse. Mais ces Grecs étaient montés (peut-être que c’étaient des prosélytes de la religion juive), ils étaient montés à Jérusalem adorer à la fête de la Pentecôte. Et alors, pendant qu’ils étaient là, ils ont entendu parler de la grande renommée de ce Jésus de Nazareth. Sa renommée s’était répandue partout. Beaucoup ne croyaient pas en Lui. Des milliers ne croyaient pas en Lui. Mais il y avait des milliers qui croyaient en Lui. Et c’était surtout parmi les gens ordinaires qui L’écoutaient et qui croyaient en Lui. Ceux qui étaient de l’autre classe, ils n’avaient pas beaucoup de temps pour Lui, car ils étaient satisfaits de leur religion. Et ils avaient... Les pères avaient appris certaines choses et leur... et ils avaient leurs traditions qu’ils se transmettaient. Et quelque chose de nouveau, peu importe combien cela était surnaturel et... Eh bien, Il essayait de leur montrer que c’était conformément aux Ecritures, qu’Il devait venir. Et, oh ! eh bien, eux, si–si–si ça devait être Lui la Personne en question, le sacrificateur aurait su quelque chose à ce sujet.» Et par conséquent, ils ne s’intéressaient pas.
Mais ces Grecs, quand ils ont entendu... «La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole de Dieu.» Et ils sont venus chercher Jésus. Et ce... Je pense que c’est le cri du coeur de chaque homme et de chaque femme qui aient jamais entendu parler de quoi que ce soit au sujet de Jésus-Christ, il a éprouvé la même chose: «Monsieur, nous voudrions voir Jésus.» Ils ne voulaient pas apprendre Sa théologie. Ils ne se souciaient de rien sur Ses enseignements. Ils ne se souciaient pas de savoir s’Il... quel genre d’habits Il portait. Ils s’intéressaient uniquement à une seule chose: Ils voulaient voir Jésus. C’est l’essentiel. Et c’est le cri d’aujourd’hui.
13 Et, amis chrétiens, en tant que missionnaire moi-même, je reviens des champs de mission à l’étranger ; et puis, quand je suis allé en Afrique, j’ai été reçu là par le Conseil des églises de l’Afrique du Sud. Et tous les... d’un côté à l’autre, un grand conseil des églises qui m’avait reçu là. Ils ont dit: «Frère Branham, nous–nous ne voulions pas que vous veniez nous enseigner une nouvelle théologie. Nous ne voulions pas que vous veniez enseigner la Parole, car peut-être nous plus... nous savons plus à ce sujet ici que vos érudits américains. En effet, nous le voyons chez vos missionnaires qui viennent ici.» Ils ont dit: «Mais ce que nous cherchons à trouver, nous aimerions voir la Parole de Dieu être rendue manifeste.» C’est ça.
L’archevêque de l’Inde, le presbytérien orthodoxe de l’Orient, l’une des églises les plus élevées, sur le plan politique, religieux, celle qui est reconnue dans le monde sur le plan politique... même leur baptême sera accepté dans l’Eglise catholique, celui des orthodoxes de l’Orient. Et l’archevêque, pendant que je parlais récemment au banquet des Hommes d’Affaires Chrétiens, à Chicago, l’archevêque était là, et il a dit: «Quand on m’a ordonné archevêque de l’Inde... Eh bien, a-t-il dit, vous tous, souvent, vous envoyez des missionnaires là-bas, a-t-il dit, pour nous enseigner la Bible.» Et il a dit: «Nous En savons plus que vous ne penseriez jamais savoir.» Et c’est vrai. Vous devriez les écouter une fois.
C’est un Livre de l’Orient. Nous L’enseignons à la manière de l’occident, et c’est un Livre de l’Orient écrit à la manière des Orientaux. Et nos paraboles et des choses que nous enseignons à partir de cela, c’est parfois loin d’être vrai autant que l’est est éloigné de l’ouest, la façon dont nous enseignons cela. Il vous faut voir, il vous faut aller dans le pays où le Livre a été écrit pour comprendre ce qu’on veut dire.
14 Il a dit: «Quand on m’a ordonné archevêque de l’Inde, a-t-il dit, ils... tous les grands anciens, les évêques, les prêtres, les cardinaux et tous se sont approchés et m’ont imposé les mains pour recevoir le Saint-Esprit ; et toutes sortes de prières pour des rites qu’ils lisaient dans des livres et tout, et, a-t-il dit, ils m’ont imposé les mains.» Il a dit: «Rien n’est arrivé.» Il a dit: «Je suis venu ici en Amérique, auprès d’une personne qui avait à peine assez d’instruction pour parler correctement, il m’a imposé les mains, j’ai reçu le Saint-Esprit.» Il a dit: «Maintenant, quelle est la différence?» Il a dit: «Ce qu’il y a, ce qu’en Inde, nous n’aimerions pas connaître votre tract que vous distribuez, ni votre théologie, ni construire ceci ou cela, nous aimerions connaître Jésus.» Amen.
Eh bien, c’est le cri du–du monde aujourd’hui, c’est connaître Christ. Je pense que Paul a dit que connaître Christ, c’est la Vie. Et il Le connaissait dans la puissance de Sa résurrection. Non pas Le connaître par la Parole ; non pas Le connaître... C’est... Le connaître par la Parole, c’est bien ; mais c’est loin d’être suffisant, Le connaître par la Parole. Il nous faut Le connaître en Personne par Sa résurrection.
15 Or, si ce cri retentissait ce soir à Louisville... C’est partout. «Nous voudrions voir Jésus.» Or, voyons Qui est ce Jésus. Et je crois que s’Il est ce qu’Il dit être, et que Sa Parole est correcte, alors Il est juste le même aujourd’hui qu’Il était en ce temps-là. S’Il a changé un tout petit peu, alors, la Parole n’est pas vraie, et notre Bible est en erreur.
Eh bien, récemment... Oh ! Pas récemment, il y a quelques années, dans une ville au bord de la rivière, il y avait un petit enfant qui... ou un jeune homme de douze, quatorze ans, qui allait... qui fréquentait une église ; c’était un petit garçon très–très–très influent. Et il–et il–il aimait le Seigneur. Il a demandé à sa mère un jour ; il a dit: «Maman, si Dieu est si grand, quelqu’un peut-il donc voir Dieu?»
Elle a dit: «Eh bien, je ne sais pas, fiston.» Elle a dit: «Nous allons à l’église et c’est tout ce que je sais à ce sujet.» Elle a dit: «Maintenant, notre pasteur va nous rendre visite pour le déjeuner.» Elle a dit: «Pourquoi ne le lui demandes-tu pas?»
Alors, ce jour-là, il a demandé au pasteur, et le pasteur a dit: «Fiston, non.» Il a dit: «Personne ne peut voir Dieu à aucun moment, personne ne L’a jamais vu, ni ne verra jamais Dieu à aucun moment.»
Eh bien, cela ne l’avait pas convaincu. Il a demandé à sa monitrice de l’école du dimanche. Elle a dit: «Non, personne n’a pu voir Dieu.»
16 Et alors, il a effectué une petite excursion par ici, vers l’île de Six Miles, avec un vieux pécheur là sur la rivière. Pendant qu’ils descendaient cet après-midi-là, après une tempête sur la rivière, il était en train de ramer sa barque, évoluant ; l’arc-en-ciel est apparu derrière à l’est. Et comme le vieux pêcheur regardait l’arc-en-ciel, il a tiré sa barque, les larmes ont commencé à lui couler sur ses joues ridées, sur sa barbe blanche. Et le petit garçon observait le vieil homme, il a quitté précipitamment la–la poupe de la barque, il est allé au milieu, il a dit: «Monsieur, je vais te poser une question à laquelle mon pasteur n’a pas pu répondre, ma mère n’a pas pu répondre, ma monitrice de l’école du dimanche ne peut pas répondre.» Il a dit: «Je vais te la poser.» Il a dit: «Peut-on voir Dieu?»
Et le vieux pêcheur a ramené les rames sur ses genoux, il a entouré le petit garçon de ses bras, il a dit: «Que Dieu te bénisse, chéri. Tout ce que j’ai vu pendant les trente-cinq dernières années, c’était Dieu.» Laissez Dieu entrer à l’intérieur, vous pouvez Le voir à l’extérieur. Voyez? Mais Il doit premièrement entrer à l’intérieur. Cela doit venir premièrement ici, avant que vous puissiez Le voir là.
17 Jésus a dit la même chose: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Maintenant, il va y avoir de vous dans toutes les générations, dans tous les âges. Est-ce vrai? «Vous Me verrez.» C’est le croyant.
Maintenant, si nous nous mettions à chercher Jésus ce soir, nous ne nous attendrons pas exactement à voir le genre d’habits qu’Il portait, voir quelle instruction Il avait, quel diplôme Il avait obtenu de quel collège, ou de quelle dénomination Il était membre ; en effet, nous ne Le retrouverions jamais dans rien de ce genre. Peu importe combien cela est bien, nous ne retrouverions jamais Jésus dans cela, embrouillé dans une organisation, ou par le port des habits, ou par une certaine façon de s’habiller. Il s’habillait comme un homme ordinaire. Il marchait dans les rues comme les autres hommes, Il n’avait pas un aspect différent de quelqu’un d’autre. Il passait au milieu des gens, des foules, et on Le cherchait et on n’arrivait pas à Le reconnaître, parce qu’Il avait un aspect comme un homme ordinaire. Mais cependant, Il était Dieu Lui-même. Dieu était en–en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.
18 Quand Il était ici sur terre, il n’y avait jamais eu de naissance comme la Sienne. Il n’y avait jamais eu de mort comme la Sienne. Et il n’y avait jamais eu quelqu’un qui était ressuscité d’entre les morts comme cela. Il a prouvé ce qu’Il était. Quand Il était ici sur terre, Il a dit qu’Il était Dieu. Il agissait comme Dieu. Il prêchait comme Dieu. Il guérissait comme Dieu. Il est ressuscité d’entre les morts comme Dieu. Il a prouvé qu’Il était Dieu. Il était plus qu’un philosophe. Il était plus qu’un enseignant. Il était plus qu’un érudit. Il était plus qu’un prophète ; Il était Dieu. C’est ce qu’Il était.
Aujourd’hui, les gens Le réduisent à un homme de bien, à un docteur ou à un érudit, ou à un prophète. Il était plus que cela. Il était Dieu Lui-même, notre Sauveur, Dieu rendu manifeste dans la chair pour débarrasser les êtres humains de péché et de la maladie, nous racheter et nous ramener à Dieu tels que nous étions au commencement. Et grâces soient rendues à Dieu, nous sommes sur le chemin de retour ce soir. C’est vrai.
Et nous voyons de grandes choses et nous nous réjouissons pendant notre pèlerinage comme les enfants d’Israël avaient fait, lors de la traversée du désert. Ils avaient eu le serpent d’airain pour leur guérison. Ils avaient eu l’eau du rocher quand ils avaient soif. Ils avaient eu la manne du ciel ; des signes et des prodiges les accompagnaient tout le temps. Et il y en avait d’autres là tout aussi fondamentalistes qu’eux dans leur enseignement, mais sans signes ni prodiges. Mais Dieu confirmait Ses véritables croyants par des signes et des prodiges, et c’était un très beau type de l’église aujourd’hui qui est conduite là où des signes et des prodiges accompagnent le croyant.
Si vous remarquez bien, ces autres nations étaient organisées et établies en grandes organisations et tout. Mais Israël habitait sous des tentes. Je les appellerais donc des interdénominationnels. Ils étaient installés là sans une organisation, sans une place, ils erraient çà et là à travers le désert, selon que le Saint-Esprit conduisait. N’est-ce pas là un type parfait de l’église aujourd’hui: les appelés à sortir, les séparés, les mis à l’écart? Oh ! Que c’est merveilleux !
19 Eh bien, remarquez encore. Quand Jésus était ici, les gens savaient qu’Il guérissait les gens, mais Lui ne prétendait pas faire cela de Lui-même. Il disait que ce n’était pas Lui qui le faisait. Qui, disait-Il, faisait cela? «Le Père qui demeure en Moi, c’est Lui qui accomplit les oeuvres. Ce n’est pas Moi qui accomplis les oeuvres.»
Si donc nous voulons voir Jésus ce soir, nous ne dirions pas... voir un homme dire: «Venez à Moi, et Je vous montrerai comment vous guérir. Je ferai ceci.» Il ne serait pas ce genre de personne, n’est-ce pas? En effet, quand Il était ici, Il attribuait les mérites au Père qui était en Lui, accomplissant les oeuvres. Est-ce vrai?
Puis, nous L’avons vu allant çà et là, faisant du bien. Nous L’avons vu être persécuté, être raillé, moqué, et on Lui forçait la main: Il avait toujours quelqu’un sur son dos, faisant de son mieux pour lui coller quelque chose. On voulait L’acculer, déformer Ses propos et tout, cherchant à faire de Lui un menteur, faire de Lui un imposteur, faire de Lui un séducteur. Mais chaque fois, Dieu entrait en scène et prouvait que C’était Son Fils. Est-ce vrai? Dieu est toujours le même ce soir. Ne croyez-vous pas cela? Advienne que pourra, restez simplement tranquille. Dieu est sur la scène ; Il arrangera toutes choses.
20 Ainsi donc, c’est ce genre de personne que nous avons vu en Lui. Et maintenant... Et ce qu’Il était ici sur terre, nous avons constaté les traits de caractères qui étaient en Lui, qui attiraient les gens vers Lui, c’était premièrement Son amour pour les gens. Il aimait les gens, et les gens savaient qu’Il les aimait, en effet, Il avait quelque chose à leur dire. Ils savaient que cet Homme connaissait l’au-delà, derrière le rideau de la mort. Ils savaient qu’Il connaissait quelque chose au sujet du monde de l’au-delà, les régions de l’au-delà. Ils aimaient donc parler avec Lui. Il avait un parler assaisonné et agréable. Il y avait quelque chose... Ses traits de caractère, je doute qu’il y ait un artiste qui puisse donc les peindre. Si c’est vrai, une fois dans une vision, je L’ai vu. Je dis cela humblement, car je ne pourrais pas le dire de façon positive. Mais c’est vrai, il n’y a jamais un artiste qui peut peindre ce tableau avec Ses traits de caractère. C’était un Homme qui pouvait être sévère et parler ; et pourtant, c’était un Homme qui était humble et tendre. Il y avait divers traits de caractère en Lui, au point que les gens, on ne peut pas peindre Son portrait. Il était la manifestation de l’amour, de la puissance, de la divinité de Dieu, et tout était en Lui.
21 Ensuite, nous Le voyons quand Il allait çà et là, Lui, sur terre ici, Il avait quelque chose de différent par rapport aux hommes ordinaires. Nous Le voyons un jour dans Sa ligne de prière, au début de Son ministère, tout au début de Sa renommée. Il y eut un homme du nom de Philippe qui fut sauvé. Il crut au Seigneur Jésus, puis il se mit à parler de Lui aux gens, il voulait courir l’annoncer à tout le monde. C’est un bon signe qu’il était réellement sauvé, n’est-ce pas, du moment qu’Il veut le raconter à quelqu’un. Il a couru annoncer à son ami Nathanaël, et quand il a trouvé Nathanaël, celui-ci était sous un arbre, peut-être en train de prier. Et il a dit: «Viens voir Qui j’ai trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»
Il a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»
Il a dit: «Viens, et vois.»
Et quand il est arrivé là où Il était–là où Il était... Eh bien, c’était juste un homme bon, religieux, peut-être un véritable orthodoxe selon sa confession, il s’est avancé, il a dit: «Je vais voir ce qu’il en est de cet Homme.»
Et quand il s’est avancé, Jésus a dit: «Ah ! Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»
Eh bien alors, que pensez-vous qu’Il serait arrivé aujourd’hui? Le croyant aujourd’hui, ou l’homme dirait: «Dites donc, ce Gars est un liseur des pensées. Il a su que j’étais un croyant. Il a su que j’étais un chrétien.»
Eh bien, Il a dit: «En qui il n’y a point de fraude.»
Et alors, Il s’est dit: «Eh bien, je vais simplement demander à cet Homme.» Il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?»
«Eh bien, a-t-Il dit, avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»
Eh bien, il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.» Voyez?
22 Et puis, nous voyons une autre fois où Il a rencontré une femme au puits. Il lui a parlé un peu. Il a découvert qu’elle avait des problèmes ; c’était qu’elle avait eu cinq maris. Et celui avec qui elle vivait en ce moment-là n’était pas son mari. Et quand Il lui a dit cela, elle a couru, elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait.»
Eh bien, vous imaginez-vous qu’Il avait eu beaucoup de critiqueurs? Il était le... Il est dit que quand Il se dirigeait à la tombe de Lazare, Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi, vivra quand même il serait mort, et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais.» Il l’a dit. C’est la vérité. Eh bien, s’Il était la Résurrection et la Vie, pourquoi n’a-t-Il pas ressuscité tous les morts qui étaient morts à Jérusalem pendant Son séjour? S’Il faisait cette déclaration ce soir à Louisville, dans le Kentucky, les journaux le publieraient partout le matin: «Eh bien, les médecins feraient mieux de se débarrasser de leurs appareils et tout. Nous avons ici un Homme maintenant qui peut ressusciter les morts. Tout est donc terminé.»
Mais Il a ressuscité seulement trois personnes durant tout Son ministère. Trois, c’est la confirmation. Trois, c’est un signe. La Bible déclare: «Toute parole sera établie sur la déposition de deux ou trois témoins.» Il a ressuscité Lazare d’entre les morts, la fille de Jaïrus, et la femme... le fils de la veuve: trois dans Son ministère comme signe.
Cependant, et si... s’Il était la Résurrection et la Vie, probablement que des milliers de Juifs issus droit de l’église, orthodoxes de confession, connus dans leur religion, et tout, étaient morts durant ce temps-là. Peut-être que des centaines de gens venaient à Lui, et disaient: «Viens ressusciter mon fils. Viens ressusciter ma fille. Viens ressusciter mon père.»
Jésus disait: «Laissez les morts ensevelir leurs morts ; toi, suis-Moi.» Il n’est jamais allé auprès d’eux. Et qu’en est-il alors de cela? Voici Sa Parole: Il a dit qu’Il était la Résurrection et la Vie, et Le voici manquer de manifester cela: c’était uniquement un signe de temps à autre.
23 Maintenant, nous savons que Lui, alors qu’Il était possédé des puissances, et que Dieu était en Lui, Il est allé à la piscine de Béthesda. C’est Saint Jean, chapitre 5. Maintenant, suivez attentivement. Il y avait un grand nombre de gens couchés là: des impotents, des boiteux, des aveugles, des estropiés, des paralytiques, attendant le mouvement de l’eau, car un ange descendait de temps en temps et agitait l’eau ; celui qui entrait le premier était guéri de la maladie dont il souffrait. Voici venir Emmanuel, Dieu Lui-même voilé ici aux yeux des hommes: Dieu, manifesté dans la chair.
Il a dit à Thomas... Thomas a dit: «Montre-nous le Père, et cela nous suffira.»
Il a dit: «Il y a si longtemps que Je suis avec vous, et tu ne M’as pas connu?» Il a dit: «Quand vous Me voyez, vous voyez le Père. Et pourquoi dis-tu: ‘Montre-nous le Père’?»
Voici donc venir Jéhovah Dieu dans la chair, marchant parmi les boiteux, les estropiés, les aveugles, les infirmes, les paralytiques, Il était plein d’amour, plein de compassion ; et pourtant, Il ne toucha aucun d’eux. «J’aimerais voir Jésus. Messieurs, nous voudrions voir Jésus.»
Voyez-vous ce que je veux dire? Il les dépassa tous et Il alla vers un homme couché sur un grabat ; Il lui dit: «Veux-tu être guéri?»
Il dit: «Je n’ai personne pour me jeter dans l’eau.»
«Tu peux marcher?»
«Oui. Pendant que je descends, quelqu’un peut courir plus vite que moi, me dépasser et entrer dans l’eau ; il reçoit la bénédiction. Je suis resté ici, attendant des mois et des mois.» Il souffrait d’une maladie dont il n’allait pas mourir. Il en avait souffert pendant trente-huit ans.
Et Jésus a dit: «Veux-tu être guéri?» Et il Lui avait dit qu’il n’avait personne pour le jeter dans l’eau. Il a dit: «Prends ton lit et rentre chez toi.»
24 Si vous considérez le passage des Ecritures qui précède, il est dit: «Jésus savait que cet homme était dans cette condition depuis longtemps.» Voyez? Il savait. Pourquoi n’est-Il pas allé auprès de ces autres? Il ne savait rien à leur sujet. Mais Il savait au sujet de celui-ci.
Alors, les Juifs ont trouvé cet homme transportant son lit le jour de sabbat, et ils l’ont interrogé, et peut-être qu’ils ont interrogé Jésus au sujet de ces choses.
«Pourquoi ne voulait-Il pas guérir cet autre là? Laissez-moi Le voir guérir celui-ci et je croirai cela. Laissez-moi Le voir guérir celui-là ; je croirai cela.» Et pourtant, les gens étaient guéris partout. Ces mêmes esprits impies, critiqueurs toujours...?... existent aujourd’hui. «Laissez-moi Le voir guérir celui-ci et je croirai cela.» Voyez? Le diable retire son homme, mais jamais son esprit. Dieu retire Son homme, mais jamais Son Esprit. Son Esprit continue à vivre. L’Esprit de Dieu continue à vivre dans des hommes, continuellement. «Vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Voyez?
25 Il y a donc des vous qui continuent à vivre, qui voient cela et qui croient cela. Comme frère Cauble venait de le dire pendant que j’étais dans le couloir, il y a des gens ici même dans cette église avec une déclaration médicale. Et pourtant, tout le pays critique la guérison divine. Pourquoi ça? Ils osent s’imaginer que c’est de l’imposture, que c’est un montage. C’est parce que le diable qui vit en eux ne veut pas les laisser croire. Leurs yeux sont aveuglés à la Vérité, et ils n’arrivent pas à croire. Ils n’ont rien avec quoi croire. Comment puis-je bouger une main si je n’ai pas une main à bouger? Comment puis-je croire en Dieu si je ne fais que regarder une Parole ici, et que Lui n’est pas ici dedans? Il vous faut premièrement avoir Dieu ici à l’intérieur avant de pouvoir croire en Dieu. «Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le Royaume de Dieu.» Est-ce exact? Voir, c’est comprendre cela. Comment donc un homme qui n’est pas né de nouveau peut savoir quoi que ce soit au sujet du Royaume de Dieu? Jésus Lui-même a dit: «Si un homme ne naît d’eau et d’esprit ; il ne peut en aucun cas...» Il ne peut pas comprendre cela ; ça ne sert à rien de regarder cela. Il ne peut pas y parvenir.
Beaucoup de ces gens qui nient cela ne connaissent pas Dieu, pas plus qu’un lapin n’en sait au sujet des raquettes de neige. Ils–ils ne connaissent simplement pas. Ils disent: «Oh ! Je... Dieu existe ; oui, oui, oui.» C’est tout ce qu’il y a à ce sujet. Mais, frère, connaître Jésus, c’est connaître la Vie, accepter personnellement la Personne, Jésus-Christ, qui vit dans le coeur de l’être humain. Oui. Alors, vous avez une foi vivifiante. Il y a alors là à l’intérieur quelque chose qui vous fait savoir que vous n’êtes pas seul. Comme Jésus a dit: «La bouche... Vous voulez le témoignage de deux personnes.» Il a dit: «Moi, Je rends témoignage, et Mon Père parle ; et Nous tous deux, Nous donnons un témoignage vrai.»
26 Si je me tiens ici ce soir et que je parle de quelque chose, et que Dieu Tout-Puissant confirme, c’est un témoignage ; s’il y en a deux, c’est une confirmation. Est-ce vrai? Si Dieu... Si je dis que vous pouvez recevoir le Saint-Esprit, et que Dieu descend vous donner le baptême du Saint-Esprit, c’est une confirmation de la vérité.
Quelqu’un a dit que le Saint-Esprit était uniquement pour les années passées. Le Saint-Esprit est pour aujourd’hui. Il y a des gens assis ici même maintenant, du nombre de ceux qui sont baptisés du Saint-Esprit maintenant même. Peu importe donc ce que les critiqueurs disent, vous devez vous attendre à cela. N’écoutez pas cela. Fermez simplement vos oreilles et allez de l’avant. Nous tenons les services pour le Seigneur Jésus-Christ. Et avec l’aide de Dieu, nous allons agir jusqu’à ce que Jésus vienne, sinon Il change l’ordre. Et les hommes qui sont ordonnés de Dieu et envoyés de Dieu attendent l’ordre de Dieu ; ils s’attendent à Dieu pour ce qui est à faire avec, et Dieu prend soin de Son homme. Il le fait toujours.
27 Alors, Jésus passait par là, et la question fut: «Pourquoi n’a-t-Il pas guéri tout le groupe?» Et pourquoi...
Ecoutez Sa Parole maintenant: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.»
«Messieurs, nous voudrions voir Jésus.» Si vous Le voyiez, ça serait le genre de personne qu’Il était. Voyez?
«Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez ; car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Est-ce vrai? Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Comme nous Le voyons donc, Il ne prétendait pas être quelqu’un de grand ; Il vantait uniquement Dieu constamment. Il a dit que Dieu était en Lui, et que c’est Dieu qui accomplissait les oeuvres. Or, si Jésus est ressuscité d’entre les morts... Croyez-vous cela? Dites: «Amen.» Dites... [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Tout le monde ici présent acceptera que Jésus, selon les Ecritures, est ressuscité d’entre les morts. Croyez-vous que les Ecritures sont la Vérité? Croyez-vous que cette Parole est la Vérité? Si donc Jésus est ressuscité d’entre les morts, alors, Il est juste le même aujourd’hui qu’Il était autrefois. La seule différence, c’est qu’Il vivait dans une chair en ce temps-là, Sa propre chair ; Il vit dans notre chair ce soir. «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Amen. Vous y êtes. J’espère que vous voyez cela.
28 Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts en cette belle Pâques donc que nous sommes sur le point d’affronter maintenant. Je pense à ces hommes qui venaient d’Emmaüs. Jésus avait marché en leur compagnie, et eux n’avaient pas reconnu cela. Et beaucoup de gens ici à Louisville, ce soir, marchent avec Christ chaque jour, et pourtant, ils ne savent pas cela. Des gens qui sont assis ici dans cette salle ce soir ont marché aujourd’hui avec Christ et peut-être ils ne le savent pas. Mais une fois qu’Il les avait fait entrer à l’intérieur, ou que Lui était à l’intérieur avec eux, une fois, ils le Lui ont demandé, disant: «Entre et–et reste avec nous. La nuit est fort avancée. Ne veux-Tu pas entrer?»
Et alors, Il–Il a reçu leur invitation. C’était une petite maison modeste peut-être. Peu importe combien c’est modeste, Il viendra. Peu importe combien est modeste l’accueil que vous Lui réservez, Il viendra auprès des plus humbles dans cette salle. Il viendra auprès du plus pauvre ; Il viendra chez vous. Il fera quelque chose qui vous fera savoir qu’Il est là, si seulement vous ouvrez et que vous Le laissez entrer.
Alors Jésus, une fois à l’intérieur avec Ses disciples qui avaient marché avec Lui, Il s’est fait connaître à eux. Et si jamais vous n’avez cru à la guérison divine, vous n’avez jamais cru dans la puissance de la résurrection de Christ, invitez-Le simplement dans votre coeur ce soir, et Il se fera connaître en vous. Juste... Il fera quelque chose, exactement comme Il avait rompu le pain. Ils ont dit: «Eh bien, c’était Lui tout le temps.» Voyez-vous? Ils étaient des croyants.
29 Et, remarquez, il leur a fallu toute la journée pour effectuer ce voyage jusque là, et ils sont rentrés juste en quelques minutes. Combien vos pas seront différents après que vous aurez connu Jésus ! Combien votre vie sera plus légère, vous marcherez sur des nuages, en vous réjouissant. Toute cette vieille condition impie d’enchaîné s’en ira, et vous ressusciterez avec Lui dans Sa résurrection: vous croirez en Lui, vous aurez foi en Lui, et vous saurez que toutes choses concourent pour votre bien ; qu’Il vous conduit, qu’Il vous aime, qu’Il vous bénit, qu’Il marche devant vous, qu’Il vous amène au–au Ciel ; qu’Il vous rend immortel quand la résurrection aura lieu ; qu’Il guérit votre maladie en chemin, qu’Il accomplit des miracles. Et vos–vos yeux sont ouverts, alors vous pouvez voir. Voyez? Avant que vos yeux s’ouvrent, vous ne voyez pas. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement...
30 Or, si Jésus est ressuscité d’entre les morts, Il peut entrer dans cette salle ce soir, accomplir et faire pour ces gens comme Il l’avait fait, s’Il se tenait ici dans la chair humaine. Est-ce vrai? Si donc vous voyez Jésus, ouvrez votre coeur ce soir. Invitez-Le à entrer, comme les autres l’avaient fait, à Emmaüs. Dites: «J’ouvre mon coeur, Seigneur. Entre simplement. Je suis venu ici ce soir pour critiquer. Mais je vais changer d’avis maintenant même. Je vais simplement ouvrir mon coeur pour voir si Tu vas réellement y entrer.» Observez ce que vous pensez lorsque vous vous mettez à franchir la porte ce soir pour sortir. Vous penserez et vous saurez que Jésus-Christ est–est ressuscité d’entre les morts et qu’Il vit parmi nous maintenant.
Que le Seigneur vous bénisse, mes amis. Vous êtes aimables. Je peux vous parler toute la nuit. Mais si je continue à parler, je me retrouverai en train de prêcher d’ici peu, et cela affectera la prière pour les malades. En effet, c’est ce que nous allons avoir ce soir. Et que le Seigneur vous bénisse maintenant.
31 Maintenant, comme ces Grecs avaient dit: «Nous voudrions voir Jésus...» Eh bien, nous n’aimerions pas entendre un peu de Son enseignement, ou nous n’aimerions pas entendre ceci, ou nous n’aimerions pas savoir où Il reste, mais nous voudrions voir Jésus.» Combien parmi vous aimeraient Le voir ce soir? Faites voir les mains, partout dans la salle. Il vous voit. Eh bien, ma prière est que–qu’Il se manifeste à vous ce soir, à chacun de vous ; qu’Il se manifeste à vous. Et avant que je commence la réunion...
Maintenant, amis, ceci n’a rien à faire avec moi ou avec n’importe quel individu. Cela... J’essaie de mon mieux, au mieux de ma connaissance, de rendre la vie un peu plus légère pour mon prochain, de l’amener à croire au Seigneur, à naître de nouveau de Son Esprit, et à prier pour les malades quand ils ont un besoin, les aider, rendre la vie un peu meilleure.
Souvent, les gens restent debout... Beaucoup parmi vous ici même dans cette salle ce soir viennent de foyers ici, seraient morts et dans leur tombe n’eût été Jésus-Christ. Et je suis l’un d’eux. C’est exact. Je serais parti il y a des années, ici même, dans un hôpital juif alors qu’un médecin de la ville, un des célèbres médecins de cette ville, m’avait donné trois minutes à vivre. Et me voici ici, par la grâce de Dieu. Comme Il m’a donc permis de vivre, je Lui ai donné mon coeur et je crie sur tous les toits depuis lors. Je crois en Lui de tout mon coeur. Puisse-t-Il venir ce soir et bénir votre humble âme !
32 Maintenant, je pense que Billy a distribué des cartes de prière ; il m’a simplement amené ici à bord du véhicule et j’ai oublié... Y a-t-il quelqu’un qui a une carte de prière? Quelle–quelle lettre est dessus? Dites-moi quelle lettre est-ce. Y. Très bien. C’est en ordre. D’accord. C’est tout ce qu’il me faut savoir.
Très bien. Nous ne pouvons pas prier pour tout le monde à la fois, vous savez, en une seule réunion. Je n’aimerais pas appeler trop de gens à la fois, mais j’aimerais... J’ai simplement voulu appeler tous ceux que je peux, et prier pour eux. Et maintenant, rappelez-vous, tout ce que je peux faire, c’est prier pour vous. Rappelez-vous, c’est Dieu qui est votre Guérisseur. Disons cela ensemble «C’est Dieu qui est votre Guérisseur.» [L’assemblée répète avec frère Branham: «C’est Dieu qui est votre Guérisseur.»–N.D.E.] Voyez? Je ne fais que prier pour vous. Et non seulement je prie pour vous ici, mais ceux qui sont là dans l’assistance seront aussi en train de prier pour vous. Ceux qui sont ici derrière seront aussi en train de prier pour vous. Voyez? Et ensemble, nous essayons de notre mieux de vous aider ; on n’a aucun autre but, pas du tout. Dieu le sait. Ce n’est pas une affaire d’argent. Si c’était cela, j’aurais accepté l’argent il y a longtemps, et je serais devenu multimillionnaire avec une seule offrande, je me serais donc retiré. Prendre la retraite? Ô Dieu, permets-moi de vivre jusqu’à cent ans et continuer toujours à prêcher l’Evangile. Il n’y a pas de retraite pour ceci, s’Il tarde.
33 Non, ce n’est pas un... Ce n’est pas cela, amis. Ce n’est pas une question d’argent. Ce n’est pas une question de popularité. Dieu le sait. Il m’en aurait débarrassé maintenant même. Il n’est pas question de popularité. C’est parce que je veux vous aider. C’est... Dieu sait que c’est la vérité. Il a... Et je dis la vérité. Et Dieu sait que c’est la vérité. Il m’a soutenu dans plus d’une bataille ardue dans des situations difficiles où je suis allé, comme Il l’a fait pour mon Maître, mais chaque fois, Dieu est entré en scène et m’a aidé. J’ai été défié sur tout. J’ai été défié environ trois fois ici aux Etats-Unis, à ce que je sache. Et l’une de ces personnes qui avaient lancé le défi est dans une institution psychiatrique ce soir. Les deux autres sont dans la tombe. Ainsi donc, cela ne s’est pas fait attendre une semaine pour arriver, c’est arrivé en ce moment-là. Voyez?
34 Ainsi donc, je–je–je n’ai jamais peur. Je suis donc allé humblement prêcher l’Evangile, selon que Dieu m’envoyait le faire. Et ce que je dis ici même... même dans l’un de vos journaux ici il n’y a pas longtemps, le fameux Louisville Herald, je pense que c’était ça, ou quelque chose comme cela, on a publié un article de ce qui s’était passé ici sur la rivière. Cette Lumière était descendue et s’était suspendue au-dessus de là où j’étais, alors que je baptisais. J’étais un jeune ministre, il y a de cela plusieurs années. Ça a été diffusé à travers le pays. Maintenant, on En a la photo. Beaucoup parmi vous ont cela dans leurs maisons, c’est accroché à Washington, D.C. Et des milliers et des milliers de fois, des photos, d’un bout à l’autre. Et quand le meilleur en matière d’empreintes digitales et de documents douteux qui puisse être trouvé aux Etats-Unis a vérifié cela, alors c’est allé partout, il a déclaré que c’est un Etre surnaturel.
Il y a probablement des gens assis ici même ce soir qui avaient vu Cela descendre directement, c’était visible devant leurs yeux ; et je prie que cela se fasse ici à Louisville cette semaine, juste devant les gens. Et j’ai dit la vérité. Dieu a rendu témoignage que c’est la vérité. Et le monde scientifique doit dire que c’est la vérité. Maintenant, vous pouvez tirer votre conclusion. Que le Seigneur vous bénisse.
35 Maintenant, quand j’ai une vision, comme vous le savez tous en effet, vous tous qui avez été dans mes réunions, peut-être qu’il y a une ou deux personnes qui n’y ont pas été, ici ; c’est–c’est un don divin. C’est juste un don comme jouer de la musique. J’observais les petites dames ici ce soir, c’était ce matin, quand j’étais ici, comment elles jouaient cette musique si tendrement. Oh ! la la ! J’aurais voulu faire cela. Mais je ne le peux pas. Je ne... Tout ce que je sais... Je ne sais pas si c’est mélodieux ou non. Je sais seulement que ça fait du bruit et c’est de la musique, c’est tout ce que je sais à ce sujet. Mais qu’il y ait une petite fausse note, elles peuvent vous le dire, car elles sont des musiciennes. Voyez?
Eh bien, je–je ne le saurais pas. Et quant à construire cette maison... J’en ai observé le–l’architecture. J’aimerais en voir une comme celle-ci, que j’aurais construite. Elle–elle aurait l’air horrible. Mais vous voyez, Dieu a des hommes pour construire des maisons ; Il en a pour prêcher l’Evangile, d’autres pour enseigner. Dieu a établi... Dieu a établi dans l’église premièrement les apôtres, les prophètes, les docteurs, les évangélistes, les dons de guérison, d’opération des miracles et autres, tout pour le perfectionnement des saints: Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
36 Eh bien, s’Il se tenait ici ce soir derrière cette chaire où je me tiens, dans Sa chair humaine, portant le même costume, se tenant ici, pour ce qui est de vous guérir, Il ne pourrait pas le faire. En effet, Il ne pourrait pas faire cela deux fois, ce qu’Il a déjà fait une fois. Voyez? Il vous a déjà guéri. «C’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéris», a dit Pierre dans le Nouveau Testament. Est-ce vrai? Esaïe avait dit que ça viendrait: «Il a été blessé pour nos péchés, brisé pour notre iniquité.» Esaïe...
Par après, Pierre a dit que c’est là que ça a été accompli. C’est là que vous avez été pardonné de vos péchés au Calvaire. Vous avez simplement accepté cela. Lui, Il l’a fait il y a deux mille ans, et vous, vous l’avez accepté la semaine passée, ou il y a deux ans, ou je ne sais quand c’était. Il vous a guéri il y a deux mille ans ; vous pouvez accepter cela ce soir. Mais tout ce que nous pouvons faire, c’est prêcher l’Evangile, ou un signe pour orienter votre foi vers Jésus-Christ. Est-ce vrai? Que le Seigneur vous bénisse.
37 Maintenant, alignons les gens à droite, de ce côté-ci. Prenons... Où est-ce que cela a commencé? Etait-ce de 1 à 100? Très bien. Commençons alors par 1, commençons par là. Qui a la carte de prière numéro 1? Levez la main. La carte de prière numéro 1? Regardez sur votre... C’est une toute petite carte comme ceci, elle porte votre nom et une adresse dessus, et–et ici, elle porte cela, une–une photo et un numéro. Où est-ce, numéro 1? [Quelqu’un demande: «Y?»–N.D.E.] Y–Y, oui, Y-1. Venez directement ici, madame.
Y-2, qui a 2? La carte de prière 2? Très bien, madame. 3, qui a 3? Levez la main afin que je sache. 3? Très bien, monsieur, par ici. 4, qui a le numéro 4? La carte de prière 4? 5, qui a 5? Levez la main. La carte de prière numéro 5? Que quelqu’un regarde au verso de sa carte. Peut-être que c’est un sourd-muet, quelqu’un qui ne peut ni parler ni entendre. Quoi? Numéro 5. La carte de prière numéro 5? Pardonnez-moi.
Très bien, numéro 6, qui a le numéro 6? La carte de prière 6? 7. Levez la main aussi vite que possible. 7? 7? Quelqu’un a-t-il la carte de prière 7? Regardez chez celui qui est assis à côté de vous. C’est peut-être quelqu’un qui ne peut pas se lever ou quelque chose comme cela. Que quelqu’un veuille l’aider s’il peut juste avoir... La carte de prière 7? Très bien. 8, qui a la carte de prière numéro 8? Très bien, 8, 9? La carte de prière 9? 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20. Très bien. Est... Je... Alignez-vous juste là suivant vos numéros et–et voyons combien nous avons là donc. Et très bien. Et si...
38 Très bien. Alors, que la–que la soeur qui est à l’orgue veuille bien nous jouer Crois seulement. Chantons bien humblement et avec révérence. Je vais vous demander une chose. Maintenant, ça fait maintenant environ vingt après ; veuillez m’accorder quelques minutes et ne vous déplacez pas...
Maintenant, suivez ces instructions, s’il vous plaît. Ne vous déplacez pas pendant le temps de la prière. Restez tranquilles. Observez. Et s’il se produit quelque chose à l’estrade, gardez silence ; restez simplement tranquilles. Voyez? Eh bien, les huissiers veilleront à cela dans l’assistance. Voyez? Restez simplement tranquilles.
Eh bien, si Dieu accomplit un miracle, ou quelque chose comme cela, et que vous voulez vous réjouir, réjouissez-vous. C’est parfaitement en ordre. Nous aimerions que vous fassiez cela: vous réjouir. Mais nous–mais nous aimerions que vous soyez respectueux. Ne vous déplacez pas ; gardez vos enfants près de vous, et tout dans la–dans la réunion.
Très bien. Tout est possible, croyez seulement. Maintenant, très doucement maintenant, essayons de chanter cela.
Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement ;
... seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement.
Je me demande si nous pouvons chanter cela comme ceci: «Maintenant je crois», maintenant même. Je me demande si nous pouvons simplement lever nos mains, avec nos yeux fermés et le Lui chanter maintenant.
Maintenant je crois, maintenant je crois,
... possible, maintenant je crois ;
Maintenant je crois ; maintenant je crois,
(Gloire à Dieu !)... crois.
39 Notre Père qui es aux cieux, nous demandons que Ta bénédiction soit avec nous, que le Seigneur Jésus entre dans cette église maintenant, qu’Il s’empare de notre être. Et que ce soir, le Saint-Esprit accomplisse l’oeuvre de Jésus-Christ. Tu as dit dans Ta Parole: «Quand Lui, le Saint-Esprit, sera venu, Il vous rappellera ces choses, et Il vous annoncera des choses à venir ; Il rendra témoignage de Moi.» Et je prie, ô Dieu, que le Saint-Esprit, dans mon coeur, rende témoignage de Jésus-Christ, qu’Il montre au monde ce soir, ou aux gens qui sont ici présents, que notre Seigneur Jésus est ressuscité d’entre les morts et qu’Il vit parmi nous. Accorde ces bénédictions, au Nom de Jésus-Christ et pour Sa gloire. Amen.
Excusez-moi, je vais prendre ceci ici ; en effet, je ne suis pas... Ma voix ne porte pas très haut. Que tous ceux qui sont en harmonie et qui croient maintenant disent: «Amen», si vous y êtes. Tout celui qui est en harmonie et croit. Maintenant, détendez-vous. Maintenant, vous pouvez regarder de ce côté-ci jusqu’à ce que vous m’entendiez dire de fermer les yeux.
40 Et maintenant, rappelez-vous, je dois dire ceci, conformément à la loi de l’Indiana et de beaucoup d’autres Etats, je suppose, du Kentucky aussi. On ne m’a jamais demandé. Mais je ne suis pas responsable des critiqueurs (Voyez?), ou des critiqueurs ou des incroyants qui sont assis près. Rappelez-vous, si vous êtes ce genre de personne, ne restez pas durant cette partie de service. En effet, sachez-le, comme je le dis au Nom du Seigneur: ces maladies passent d’une personne à l’autre. C’est vrai. Et sur un incroyant, on ne peut rien faire avec cela. C’est vrai.
Il y a donc ce soir plusieurs personnes à la réunion, qui critiquent et tout ; nous avons des bandes pour montrer ce qui est arrivé. Ainsi donc, que le Seigneur vous aide et vous bénisse. Et restez simplement tranquilles ; soyez respectueux, priez pour moi, votre frère, alors que je sers les malades. Très bien.
41 Maintenant... patient... Maintenant, combien dans cette salle donc, debout ici, n’ont pas de carte de prière et aimeraient qu’on prie pour eux? Levez la main, partout dans la salle. Eh bien, c’est bien partout. Maintenant, je vais vous poser une question. Maintenant, si vous croyez de tout votre coeur que ceci est la pure vérité, je vais vous le garantir, le Saint-Esprit va se mouvoir là dans l’assistance, là où vous êtes. Croyez-vous que le même Jésus dont la femme toucha le bord du vêtement... Sa foi Le toucha de telle manière qu’Il se retourna et regarda l’assistance pour voir qui L’avait touché. Il a dit: «Ta foi t’a sauvée.» Elle souffrait d’une perte de sang. Croyez-vous cela? C’est scripturaire.
Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, n’est-Il pas le même en opérant dans notre chair? N’est-ce pas vrai? Maintenant, laissez votre foi Le toucher ; voyez ce qu’Il fait à ce sujet. Que le Seigneur vous bénisse.
Maintenant, pour la gloire de Dieu, je prends chaque esprit dans cette salle sous mon contrôle, au Nom de Jésus-Christ, pour la gloire de Dieu. Je suis sûr que vous comprenez ce que cela veut dire. Soyez respectueux.
42 Je... Bonsoir. Je suppose donc que vous et moi, nous sommes inconnus. Autant que je le sache, je ne vous ai jamais vue. Dieu nous a vus tous deux, Il nous connaît tous deux. Et je suis juste un homme ; vous êtes une femme, ici debout. C’est tout ce que je sais à votre sujet. Maintenant, êtes-vous une croyante? Eh bien, si vous êtes une croyante, tout est possible à ceux qui croient. Maintenant, si Jésus se tenait ici, de façon mythique, à mes côtés, et qu’Il vous parlait comme Il avait parlé à la femme au puits, Il vous reconnaîtrait, Il saurait tout à votre sujet. Est-ce vrai? Il saurait et pourrait vous le dire exactement comme Il pourrait le dire là dans l’assistance. Mais croirez-vous alors de tout votre coeur que cela est la vérité? Vous–vous croirez cela. [La dame parle à frère Branham.–N.D.E.] Est-ce exact? Eh bien, vous entendez le témoignage ; je suppose. Y a-t-il... Où était-ce madame?...?... Connersville. Il y a de cela quelques étés, ou l’été dernier? L’été dernier. Et vous avez subi (C’était quoi? L’affection de rectum.) trois interventions chirurgicales. Et une affection de rectum, là dans l’assistance, le Saint-Esprit était allé là dans l’assistance et–et Il vous a désignée, Il vous a guérie là dans l’assistance.
43 Voici la première patiente ici debout [La dame parle à frère Branham.–N.D.E.] Vous entendez son témoignage, ce qui était arrivé après cela? Quel surnaturel était arrivé là? Je ne connaissais pas la femme. Je ne la connais pas maintenant, si ce n’est ce que vous savez. Et Dieu au Ciel sait que c’est vrai. Avec–avec cette Bible posée ici devant moi, et Dieu est mon Juge: c’est juste le... C’est ce que je sais à son sujet là.
A ce que je sache, je ne l’ai jamais rencontrée, je ne l’ai jamais vue de ma vie: je l’ai vue là dans l’assistance... et peut-être que je ne l’avais pas vue ; j’avais juste vu cette Lumière au-dessus d’elle. Peut-être que c’était juste ses pensées, j’avais saisi ses pensées là dans l’assistance. Vous direz: «Vous–vous avez donc lu ses pensées.» Eh bien, si c’est comme cela que vous voulez taxer cela. Jésus a fait la même chose. Il connaissait leurs pensées. Est-ce vrai? Eh bien, dites-moi la différence entre connaître une pensée et lire une pensée. Ce n’est pas ce groupe de diable qui est ici dehors, le petit, au bord de la rue, et une petite main tendue comme cela, ça, c’est de la psychologie. Cela n’a rien à faire avec Dieu.
44 Mais si donc le Seigneur Jésus est ressuscité d’entre les morts, et que je Le représente ici ce soir fidèlement, alors, Il me fera savoir ce qui clochait chez vous donc, ou ce que... ou ce qui clochait. Et s’Il le faisait, cela va-t-il élever votre foi jusqu’à croire une fois de plus pour la guérison? Cela le fera. Très bien. Puisse-t-Il vous l’accorder, soeur, c’est ma prière. Mais ce n’est pas cela maintenant. Vous souffrez d’une espèce de maladie interne. C’est dans le... c’est un... C’est une affection rénale. Cela est aussi dans la vessie. Je vois cela couler...?... une sensation de brûlure qui provient de la vessie. N’est-ce pas vrai?
Et vous êtes... Il y a autre chose que vous avez à l’esprit. Je... Tenez... Non, ce–c’est au sujet d’un bien-aimé. Ce–c’est un jeune garçon, votre fils. N’est-ce pas vrai? Il souffre de quelque chose comme l’asthme. Il tousse ; une toux vraiment sèche tout le temps. N’est-ce pas vrai? Et n’est-ce pas que vous venez de l’Indianapolis? Rentrez chez vous. Vous allez vous rétablir maintenant. Jésus-Christ...?... Que Dieu vous bénisse. Oui, oui.
Ayez foi en Dieu. Croyez seulement ; tout est possible à ceux qui croient. Maintenant, à cette femme qui était ici il y a quelques instants, elle est guérie. Très bien. Ayez foi en Dieu.
45 Bonsoir, madame. Je suppose qu’en ce qui concerne... Evidemment, maintenant, en faisant cela, pendant qu’on est ici debout, je place simplement ma main là-dessus. En effet, cela... Voyez? Ce n’est pas... C’est l’onction. Voyez? C’est l’onction. Et cela me donne une sensation différente de ce que je ressens réellement. Je lis sa vie ; en effet, on est dans un état double ; on est dans deux mondes au même moment.
Et je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Nous ne nous connaissons pas. A ce que je sache, je ne vous connais pas. Et nous... C’est notre première rencontre. Mais Dieu nous connaît tous deux. Croyez-vous que je suis Son serviteur?...?... Je–je le crois. Vous avez un esprit accueillant, face à Sa Présence, qui est ici maintenant. Et s’il peut y avoir une quelconque assistance, cela devrait provenir de Lui. N’est-ce pas? Vous le savez; ça ne serait pas moi, votre frère ; ça serait Lui, votre Sauveur. Est-ce vrai? Voyez? Croyez-vous cela?
Je vous vois vous éloigner de moi. Vous avez une espèce de... sur tout votre corps, on dirait des douleurs, sur tout votre corps. C’est l’arthrite dans les nerfs, c’est ce qui est à la base de cela. Cela cause des douleurs aiguës et des douleurs dans votre–votre... droit... Vous avez un, quelque chose d’autre ; je vous vois vous frotter la tête. C’est la–c’est la sinusite, c’est ce qu’il y a. Cela vient de votre tête, là au niveau des sinus. Et vous avez un, quelqu’un en qui vous vous intéressez, ça doit être votre mari. Il souffre de la même chose. N’est-ce pas vrai? Maintenant, ce–cela vient d’ici à l’intérieur–à l’intérieur. C’est un...
Il y a quelque chose d’étrange à votre sujet. On dirait que je continue à voir l’eau bleue et ça bouge comme cela. Et il y a un genre de personne avec qui vous êtes en relation ; c’est un... Cela–cela doit être un... C’est un peuple différent. Il y a quelque chose que vous... C’est en Inde. Vous–vous êtes missionnaire en Inde. Est-ce vrai? Cela–cela... venant de l’Inde. Je–je vois le... Eh bien, allez, Jésus-Christ va vous rétablir. Que Dieu vous bénisse, et puissiez-vous aller en paix. Que la paix de Dieu repose sur vous...?...
46 Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez seulement. Croyez-vous de tout votre coeur? [Un frère parle avec frère Branham.–N.D.E.] Oui. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Cela continue simplement à se mouvoir, cette Lumière-là. Je–je–je ne–je ne pense pas que vous voyiez Cela, mais Elle est ici. Non, Elle est au-dessus de cette dame ici. Elle... Oh ! Elle souffre de l’hypertension. N’est-ce pas vrai, madame? Acceptez-vous votre guérison maintenant? Vous n’avez pas à avoir une carte pour être guérie, mais acceptez-vous votre guérison maintenant? Rentrez alors chez vous ; soyez rétablie, que le Seigneur Jésus vous bénisse et vous rétablisse.
Ô ami chrétien, le Seigneur Jésus-Christ est en train d’oindre cette assistance. Ayez seulement foi en Lui ; vous verrez la gloire de Dieu, Sa grande manifestation de Sa bénédiction.
47 Etes-vous un croyant, monsieur, vous assis là? Imposez la main à cette dame en manteau rouge assise là. Elle est assise là en train de prier. Elle a une espèce de mal de poitrine qui la dérange. N’est-ce pas vrai, madame? Oui. Maintenant, imposez-lui la main là, afin qu’elle soit guérie. Seigneur Jésus, que la puissance de Dieu vienne sur cette femme et la rétablisse complètement. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse.
Croyez-vous maintenant de tout votre coeur? Maintenant, imposez la main à la dame à côté de vous là, pour qu’elle soit débarrassée de... Quelque chose cloche chez elle. Oui, vous avez imposé la main là où il fallait. Elle souffre de l’asthme. N’est-ce pas vrai, madame? Faites signe de la main si c’est vrai. Je vois que vous essayez de–de–de... Très bien.
Ô Dieu Tout-Puissant, que Ton Esprit vienne maintenant vers elle, alors que Tu lui accordes la faveur en Te tenant ici, et en parlant par Ton serviteur ; je demande qu’elle soit rétablie ; au Nom de Jésus-Christ. Amen. Qu’il vous soit fait selon votre foi. Vous savez que quelque chose vous a donc quittée. Eh bien, continuez simplement à croire, et cela ne reviendra pas. Mais dès que vous douterez, cela retournera...?...
48 Venez. Oh ! Il est si merveilleux. Ses bénédictions sont sur Son peuple. Très bien. Bonsoir, monsieur. Evidemment, je vois que vous avez un... quelque chose à votre gorge, là. Cela paraît vraiment rouge. Je ne sais pas ce que c’est, mais Dieu le sait certainement. Croyez-vous que je suis Son prophète, ou Son serviteur? Croyez-vous? De tout votre coeur vous croyez cela, n’est-ce pas? Monsieur, c’est un cancer. N’est-ce pas vrai? Comme ça se fait voir, ça s’est manifesté sur votre cou. Pour aider l’assistance, afin qu’il sache, regardez-moi et croyez-moi de tout votre coeur. Il se peut qu’il y ait autre chose qui cloche. En effet, ça, ça se voit. S’il y a un homme qui est assis ici et qui est estropié, et que je disais qu’il était estropié, ça, tout le monde le sait. Il voit cela.
Vous êtes un étranger ici. Vous n’êtes pas de cet Etat. Vous venez d’un Etat où il y a beaucoup de bois durs et il y a comme de petits lacs, on dirait. Et c’est un... C’est on dirait une contrée très marécageuse près de vous, là. Et vous venez d’une petite ville. Et cela... Vous venez de Missouri. Et le nom de la ville commence avec un K. C’est Kennett, dans le Missouri. Est-ce vrai? Et vous–vous êtes–vous m’êtes inconnu, mais votre nom est–est Matterson, ou quelque chose comme cela. M-a-t... Matterson. N’est-ce pas? Matteson. Et vos initiales, c’est I. A. Est-ce vrai? Mettez-vous à croire maintenant et le cancer quittera. Que Dieu vous bénisse. Jésus-Christ...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
49 ... le côté, vous avez quelque chose qui cloche à votre flanc, n’est-ce pas, madame? Vous aviez pensé que je m’adressais à vous il y a quelques instants, quand je vous ai regardé. Levez-vous. Jésus-Christ vous rétablit. Allez en croyant. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.
Très bien. Croyez-vous maintenant, madame? Très bien. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Eh bien, nous sommes inconnus l’un à l’autre ; je–je pense. Je ne vous ai jamais vue. Si je crois bien, juste... Maintenant, j’aimerais que vous vous approchiez juste un peu plus près de moi, à cause de l’émotion à l’estrade.
Eh bien, Dieu va nous juger tous deux l’un de ces jours, madame. Vous le savez. Vous savez maintenant même que vous vous tenez dans la Présence de Quelque Chose d’autre qu’un homme. Est-ce vrai? Maintenant, cela ne vous fera pas de mal. C’est–c’est une puissance, vous dites que vous sentez cela envahir. C’est l’Ange du Seigneur. Vous êtes... Vous avez... Le... Je vous vois quitter une table ; il y a quelque chose. C’est–c’est–c’est dans l’estomac. Vous souffrez de trouble d’estomac. Et cela est causé par une maladie de foie. Cela se vide dans l’estomac, cela cause de l’aigreur et de l’amertume...
Et vous êtes avec quelqu’un. C’est un... C’est quelqu’un... C’est votre mère. Et elle est aussi ici. Elle souffre aussi de l’estomac. Et elle... Elle a quelque chose qui cloche à son cou, n’est-ce pas? Elle a quelque chose qui cloche à son cou? Et vous–vous êtes venues ici. Vous n’êtes pas de cette ville. Vous êtes d’en haut de la rivière, Cincinnati. Vous êtes venues ici par bus. Et vous êtes censées quitter ce soir à vingt et une heures. Allez au Nom du Seigneur Jésus et soyez guéries. Et allez. Vous n’aurez plus à vous inquiéter de... Allez prendre votre souper maintenant ; soyez guéries maintenant. Au Nom de Jésus.
50 Venez. Madame, je vous vois vous déplacer lentement. Evidemment, probablement, peut-être que vous êtes très handicapée. Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Ne le sommes-nous pas? Oh ! Vous avez été à mes réunions auparavant. Eh bien, Dieu nous connaît tous deux, n’est-ce pas? Je ne sais rien à votre sujet autant... Je ne sais rien à votre sujet. Mais Dieu sait tout à votre sujet. Vous êtes... Si Dieu me révèle ce qu’est votre maladie, allez-vous L’accepter comme votre Guérisseur? Je–je vois une espèce de chambre blanche. Oh ! C’est un hôpital. Vous–vous avez été récemment opérée. Il y a de cela environ un an. Cela a causé une faiblesse que vous n’arrivez point à surmonter. Vous souffrez de la grippe ou de quelque chose comme cela présentement. N’est-ce pas vrai? N’est-ce pas vous la–n’est-ce pas vous la mère de mademoiselle Arnold, ou quelque chose comme cela? Je l’ai vue se tenir à côté de vous.
Oh ! Dieu, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je bénis cette pauvre mère pour sa guérison. Puisse-t-elle aller ce soir et se rétablir, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez, réjouissez-vous maintenant, soyez heureuse, croyez de tout votre coeur et recevez votre guérison.
51 Venez, madame. Croyez-vous? Vous croyez que le Saint-Esprit qui va nous juger tous deux au jour du Jugement... S’Il révèle votre maladie, accepterez-vous votre guérison? Cette onction me secoue beaucoup ; cela m’affaiblit beaucoup, je... Voyez? J’essaie simplement de voir, soit de prier... Même si je ne vous disais rien, que je priais pour vous comme vous êtes maintenant, vous croyez que vous serez guérie. Voyez, votre foi a rencontré quelque chose. Avant même que je dise quoi que ce soit, cela vous a quittée. C’est vrai. Je sais que c’est devenu tout blanc autour de vous. Je verrai ce qui n’allait pas. Vous souffriez du coeur. Maintenant, elle peut rentrer chez elle, remerciant Dieu, heureuse. Que Dieu vous bénisse. Père, bénis-la, je prie ; au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse.
Ayez foi maintenant, croyez de tout votre coeur. Croyez-vous, monsieur? Si je ne vous disais aucun mot, que je priais simplement pour vous, croyez-vous que vous serez guéri? Vous... C’est ainsi qu’il faut croire. Vous êtes donc convaincu que je vous ai dit la vérité, n’est-ce pas? Toute cette maladie vous quittera, et tout ; vous pouvez rentrer chez vous et être... Est-ce vrai? Cela se fera. Que Dieu vous bénisse...?...
52 Disons: «Grâces soient rendues à Dieu !» Cet homme croit en Dieu. Ayez simplement foi. Croyez cela de tout votre coeur ; vous le recevrez. Venez...?... madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Je crois cela, maman. Eh bien, si je pouvais vous guérir et que je ne le faisais pas, je serais une brute, n’est-ce pas? Mais je... Béni soit le Seigneur.
C’est suspendu au-dessus de cette petite dame assise là et qui me regarde, quelque chose cloche à votre gorge, n’est-ce pas, madame? Oui, madame. Eh bien, c’est ce qui est à la base de cela. Que Dieu vous bénisse. Votre foi vous a sauvée maintenant. Allez et soyez guérie. Il y a autre chose que je vois, c’est ce même étouffement on dirait... Oh ! C’est la dame assise derrière vous là, qui souffre de goitre. Oui. Aimeriez-vous accepter votre guérison aussi? Vous croyez qu’Il vous a guérie. Que Dieu vous guérisse. Allez et soyez rétablie. Que le Seigneur Jésus accorde à votre foi d’être confirmée.
Remerciez le Seigneur Jésus. Voyez, amis, priez. Vous n’avez pas besoin de cartes de prière ; vous avez besoin de la foi pour croire. Il est toujours suspendu là. Cette dame assise à côté là, la jeune dame là souffre du coeur. Croyez-vous que le Seigneur va vous guérir, soeur? Il l’a fait. Maintenant, vous pouvez rentrer chez vous et être bien portante. Que Dieu vous bénisse.
Voulez-vous guérir de ce diabète? Acceptez Jésus comme votre Guérisseur. Seigneur Jésus, guéris-la, et puisse-t-elle être en mesure d’arrêter de prendre l’insuline et d’être guérie, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Ayez foi en Dieu.
53 Venez, madame. Oh ! la la ! Ce que notre Seigneur peut faire maintenant même dans cette assistance de gens. Oh ! Si seulement vous étiez d’un commun accord maintenant pour vous mettre à croire, il n’y aurait pas une personne faible dans la... cette salle ce soir. C’est vrai. Si vous croyez de tout votre coeur maintenant même, vous n’aurez pas de quoi vous inquiéter, mais vous serez guéris.
Me croyez-vous, madame, comme–comme serviteur de Dieu? Si Dieu me révèle ce qu’est votre maladie, accepterez-vous votre guérison? Dans... Eh bien, si vous croyez maintenant même, cette maladie du coeur vous quittera, et vous ne serez plus jamais dérangée par cela. Croyez-vous de tout votre coeur? Allez et vous pouvez recevoir cela maintenant, Dieu sera miséricordieux envers vous et vous bénira.
Venez. Juste un instant, madame. Tenez-vous ici une minute. Il y a quelque chose... Ce n’était pas vous, mais il y a tellement... C’est en ordre, vous... Merci.
54 Qu’est-ce qui clochait chez cet homme-là? Quoi? Combien ici souffrent du coeur? Levez la main. Tout de suite, vite. Ah, ah ! Je vais croire de tout mon coeur, c’est fini pour vous. Donc, je... Il a éclairé toute la salle donc, quand Il s’en est allé. Il s’est passé quelque chose. Oh ! C’est comme ça ; c’est ainsi qu’il faut croire, d’un commun accord, vous tous, et soyez guéris. Gloire à Dieu ! Oh ! la la! Comment, le sien est rétabli? Je souhaiterais pouvoir transférer Dieu...
Pensez-vous que c’est étrange? Ceci est notre Seigneur Jésus. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Allez-vous accepter sans l’ombre d’un doute le Seigneur Jésus-Christ en Son Nom, si Dieu me fait savoir ce qu’est votre maladie? Le trouble d’estomac. Est-ce vrai? Maintenant, allez prendre votre souper.
55 Croyez-vous? Combien ici souffrent d’estomac? Levez la main. Très bien. Chacun de vous qui souffre de l’estomac, levez-vous maintenant même. Chacun de vous qui souffre de coeur, levez-vous maintenant même. Tout celui qui souffre du cancer, levez-vous maintenant même. Chacun de vous qui a quelque chose qui cloche, tenez-vous debout maintenant même. Croyez-vous? Levez la main.
Père céleste, viens avec une grande puissance et une forte démonstration, envoie Tes bénédictions sur cette assistance. Je condamne chaque esprit démoniaque, chaque maladie, chaque affliction, chaque indisposition, en tant que Ton serviteur, alors que l’onction du Saint-Esprit se meut dans cette assistance. Je condamne ces maladies et ces afflictions, et je dis au Nom de Jésus-Christ, sortez des gens.
Que tout celui qui croit Dieu lève les mains et dise: «Merci, Seigneur Jésus.»
Croyez cela de tout votre coeur. C’est ça. Continuez à louer Dieu.