La Préparation De Dieu
1 Bonsoir, mes amis. C’est un plaisir d’être une fois de plus ici ce soir, de vous saluer tous au Nom de notre Seigneur Jésus-Christ, et nous espérons que Dieu a été bon envers vous au cours de cette journée et que vous vous sentez bien ce soir, et que vous êtes prêts à L’adorer en Esprit et en vérité. Que Ses bénédictions vous soient ajoutées.
Hier soir, ils... j’étais juste un peu faible. Souvent, les gens ne comprennent peut-être pas exactement ce que ça représente pour l’être humain d’avoir des visions. C’est quelque chose qui ne peut pas être expliqué, c’est au-delà de toute explication. C’est un autre monde dans lequel vous vivez, et vous... C’est juste...
2 Combien ici présents ont déjà fait un rêve? Faites voir vos mains, ceux qui ont déjà fait un rêve? Eh bien, je suppose qu’il y a au moins deux tiers de gens avec des mains levées. Eh bien, c’est à peu près correct. Il y a probablement un quart de gens, de toute façon, au monde, qui n’ont jamais fait de rêve. Eh bien, la raison pour laquelle ils ne font pas de rêve, c’est qu’ils dorment très profondément. Et la science nous apprend que c’est votre subconscient, c’est quand vous... Dites donc, il y a ici une conscience ; alors, quand elle devient inactive, eh bien, vous entrez dans cette conscience-ci. Et quand vous êtes ici, vous rêvez des choses que vous avez faites pendant que vous étiez éveillé. Et quand vous êtes éveillé, vous vous souvenez des choses que vous avez rêvées quand vous étiez endormi. Eh bien, c’est une conscience double. Ça, c’est la partie principale.
3 Alors que je m’arrête ici, juste un instant pour cette partie-ci, c’est là la raison pour laquelle les gens n’obtiennent pas la guérison et les bénédictions qu’ils réclament parfois avec tant de révérence. Vous vous avancez... Si je demandais, peut-être, à quatre-vingt-dix-neuf pour cent ici ce soir: «Croyez-vous que Jésus-Christ peut vous guérir?»
«Oui.» Et sans l’ombre d’un doute, ils croient cela. Eh bien alors, Jésus a dit: «Si vous croyez cela, vous le recevrez.» Mais c’est juste cette conscience qui croit cela. Or, vous avez un subconscient qui doit aussi agir. Voyez?
C’est comme un homme qui traverse la mer, quand vous entrez dans le navire, l’homme qui gouverne le navire, ou qui le guide, il se met ici en haut dans la timonerie. Mais l’homme qui gouverne réellement le navire descend dans la cale du navire, là dans la coque. C’est lui le mécanicien ; il... peu importe ce que dit ce gars ici en haut, c’est celui qui est en bas qui fait le travail. C’est ça votre subconscient. Ceci est votre première conscience. Eh bien, maintenant, si cet homme ici reçoit l’ordre de son compagnon, ou de qui que ce soit, sur ce qui est à faire, il le transmet en bas ; il guide le navire. Mais c’est cet homme qui doit commander cela. Peu importe combien il guide, cela ne fera aucun bien tant que vous avez de la vapeur ici en bas ou une pression pour tirer cela.
4 Or, et s’il envoie un ordre là en bas: «Deux noeuds à gauche», et que cet homme fait un virage de deux noeuds à droite? Cela ne fera aucun bien, la direction où il tourne cela ici, tout ce que vous... Vous allez tournoyer sans cesse au–au port. Vous n’allez jamais vous en sortir.
Eh bien, maintenant, c’est la conscience et le subconscient. Maintenant, cet homme ici, il croit très bien, mais ceci ne collabore pas avec lui. Or, la raison pour laquelle il ne collabore pas, quand vous venez ici et qu’on prie pour vous, chaque soir, je dis: «Imposez-vous les mains les uns aux autres. Croyez de tout votre coeur et vous recevrez ce que vous réclamez.» Dieu vient et confirme cela, exactement ce qui est dit est la vérité sur Sa Présence qui est ici. Il n’y a aucun mortel, avec toutes ses facultés mentales, qui manquerait de reconnaître que c’est la vérité. Alors, vous dites: «Oui, je crois.» La soirée suivante, vous revenez droit dans la ligne de prière. Voyez? Cela montre qu’il y a une petite peur là en bas. Vous–vous dites: «Oui, je crois cela, mais est-ce vraiment pour moi?» Ça, c’est le subconscient qui le dit.
5 Eh bien, si le subconscient et cette conscience-ci s’accordent parfaitement ensemble, et alors, lorsqu’un ordre vient: «Je suis l’Eternel qui te guérit», juste ici: «Je suis l’Eter-...» «Il est l’Eternel qui m’a guéri», et le subconscient dit: «Il est l’Eternel qui m’a guéri», et le navire se largue sur la mer. Vous voyez? Vous y êtes. Tout cela doit être en harmonie: Dieu, la première conscience, le subconscient. Il n’y a alors aucune ombre de doute, peu importe si le jour qui avait suivi vous étiez deux fois plus malade que quand vous êtes venu à l’église ce soir-là, vous êtes guéri de toute façon. Juste... vous êtes guéri de toute façon. Il n’y a rien qui puisse vous ôter cela. Cela s’accomplira. Et c’est parce que vous avez accepté cela ; quelque chose s’est ancré là, qui dépasse la vue, toute chose physique ou mentale que vous pouvez avoir. Aucun sens ne peut le déclarer comme la foi, jamais.
Dès que la foi le dit ... Maintes fois, vous avez entendu des gens dire telle et telle chose. Peu importe combien cela paraissait comme si ça allait être comme cela, pourtant vous saviez que ça n’allait pas se faire. C’était juste quelque chose qui vous a été dit. Cela va être ainsi. Et d’habitude, vous voyez que c’est ainsi. Voyez? C’est quand il y a une parfaite harmonie entre la conscience et le subconscient.
6 Maintenant, nous pouvons remarquer ceci que, dans ce subconscient... Eh bien, quand vous vous endormez, vous dites... et que vous faites un rêve... Eh bien, combien parmi vous ont déjà fait un rêve, ça fait beaucoup d’années, dont vous vous souvenez? Faites voir les mains. Eh bien, maintenant, quelle partie de vous, où était-elle? Il y avait une partie de vous quelque part, car vous pouvez toujours vous rappeler ce que vous avez rêvé il y a plusieurs, plusieurs années auparavant. Maintenant, il y avait une partie de vous quelque part, car ici même où vous êtes assis ce soir, vous continuez à vous rappeler ce rêve. Vous étiez quelque part. Eh bien, alors, la personne qui ne... Disons, la personne qui fait un rêve ne dort pas profondément ; un faiseur de songe ne dort jamais profondément.
Eh bien, Dieu traite dans les songes, nous le savons, mais ce n’est pas très précis, à moins qu’il y ait un vrai interprète de ce rêve-là.
7 Eh bien, nous connaissons le roi Nebucadnetsar qui a fait des songes et Daniel les a interprétés, ce qui présentait tout le monde des Gentils, il a montré cela du début à la fin, la Seconde Venue de Christ et tout dans un–un rêve d’un homme. Comment le roi Pharaon a fait des songes et Joseph, l’interprète, lui a dit ce que cela signifiait. Voyez?
Et–et Joseph, le père adoptif de Jésus, il... un songe... il avait été averti dans un songe par le Seigneur. Plusieurs fois, Dieu peut avertir les gens dans des songes, mais ce n’est pas très précis à moins qu’il y ait un interprète. Eh bien, cela...
Disons que l’homme, dans sa première conscience, est ici ; sa seconde conscience est là, le subconscient. Maintenant, quand celui-ci est inactif, l’autre est actif. Il rêve. Et il sort de cela, il s’éveille ici. Mais maintenant, l’homme qui ne rêve pas du tout, son subconscient est loin de lui. Il dort profondément, profondément ; il ne fait pas du tout de rêve. Eh bien, cet homme n’y peut rien au fait de faire des rêves. Si vous le pouvez, certains parmi vous, faites-moi des rêves maintenant même. Vous ne pouvez pas le faire, s’il vous le fallait. Mais tout ce qui vous fait rêver peut vous donner un rêve s’il le voulait. Est-ce vrai? De moi... Mais cet homme là-bas, il ne peut rien au fait de ne pas rêver. Eh bien, Dieu a créé tel homme de façon qu’il ne rêve pas ; Il a créé tel autre de façon qu’il rêve. Tout est en Dieu.
8 Mais maintenant, un voyant (Un prophète, un voyant, je ne sais comment vous appelez cela), son subconscient n’est pas là derrière, ni ici. C’est ici même, tous les deux sont ensemble. Il ne s’endort pas. Il se tient ici avec les yeux grands ouverts et il voit des choses exactement comme s’il était en train de rêver. Pouvez-vous vous imaginer, vous tenant ici avec quelqu’un devant vous, et vous savez que vous vous tenez ici et vous savez que les gens écoutent votre voix et pourtant, vous parlez de quelque chose qui s’est passé il y a vingt-cinq, trente ans: juste là où il était et tout à ce sujet, un péché qu’il avait commis ou quelque chose comme cela? Puis, en revenant à vous, vous vous rendez compte que–que vous avez dit quelque chose ; vous ne savez pas ce que vous avez dit.
Puis, quelques minutes après cela, peut-être, observez cela, vous voyez cela devenir sombre, vous savez que le patient va mourir ; vous ne savez quoi dire. Quelquefois, je lui dis simplement d’aller de toute façon de l’avant et que le Seigneur le bénisse et le guérisse, car la prière peut changer cela. Même si Dieu a prononcé la mort sur lui, la prière peut changer cela. Savez-vous cela?
9 La prière changera même le programme de Dieu. Il y eut une fois un prophète qui était allé vers le roi Ezéchias et il lui a dit de mettre sa maison en ordre parce qu’il allait mourir: «Car AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Et il a fait demi-tour et il s’en est allé, il a traversé la cour et a dit à tout le monde: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, il va mourir.» Dehors, il a dit aux soldats: «Votre roi va mourir.» Il a dit aux pauvres à la porte: «Votre roi va mourir.»
Et puis, le roi Ezéchias tourna son visage contre le mur et se mit à pleurer amèrement. Il a dit: «Seigneur, souviens-Toi de moi, je T’en supplie. J’ai marché devant Toi dans l’intégrité de mon coeur et je voudrais quinze ans de plus.»
Eh bien, on dirait que le roi était le plus grand homme du pays de l’époque. C’est comme s’il parlait face à face avec Jéhovah Dieu, Jéhovah devrait lui répondre et dire: «Eh bien, roi, Je–J’ai entendu tes–tes paroles, et Je–Je vais te guérir.» Mais Dieu a Ses façons de s’y prendre. C’est vrai, n’est-ce pas? Envoyer au plus grand homme du pays, le roi, et le roi parlait face à face avec Jéhovah... Croyez-vous qu’il parlait à Jéhovah? Certainement qu’il Lui parlait. Les Ecritures disent qu’il Lui parlait. Et alors, au lieu que Jéhovah réponde au roi, Il est venu chez le prophète. Il a dit: «Eh bien, fais demi-tour et retourne. Rentre droit où tu viens de quitter, rentre et dis qu’il va vivre, car J’ai entendu sa prière et J’ai pris en considération ses larmes. Et Je l’ai épargné pour quinze années.
Comment ce prophète a dû se sentir, rentrer droit là-bas de nouveau et dire: AINSI DIT LE SEIGNEUR, il va vivre. AINSI DIT LE SEIGNEUR, il va vivre, juste après avoir quitté en disant: AINSI DIT LE SEIGNEUR, il ne va pas vivre? Bon, eh bien, comme il s’est senti... Mais vous voyez, ce qu’il y avait, c’était que la prière avait changé les choses. Elle continue à le faire.
10 Maintenant, là cependant... C’est ce que... Eh bien, ces visions que vous voyez ici à l’estrade, c’est seulement temporel. C’est un–c’est un don divin. Vous devez monter au niveau d’un voyant, utiliser des mots qui m’ont été dits. Ça, c’est entre Dieu et moi, et je ne peux pas le dire. Vous savez ce qui se passe. Il y a beaucoup de choses qu’il vous faut savoir, c’est entre Dieu ; Il va... et ces... La parabole des mots... Et alors, vous voyez simplement quelque chose tomber. Peut-être que vous ne voyez plus. Cela vous affaiblit. Mais quand Dieu veut vous montrer une vision par Sa propre puissance, simplement Il... peut-être...
C’est juste comme je l’ai souvent dit, concernant certains. Petits garçons, nous avions l’habitude de regarder au travers d’un trou de la clôture et d’observer le carnaval en cours. Et l’un disait: «Je vois une girafe.» Et l’autre disait: «Je vois un–un–un léopard», ou quelque chose comme cela. Vous ne faites que voir une seule chose à la fois, en vous tenant sur la pointe des pieds, essayant de regarder par un trou dans la clôture le carnaval dans un jardin. Mais maintenant, quand Dieu veut que vous ayez une vision par Sa propre puissance, Il prend... ou Sa propre façon de vous montrer par Sa grâce, Il vous élève simplement comme ceci. Vous ne savez pas quand cela va arriver. Il vous montre simplement tout du début à la fin. C’est comme ça qu’Il s’y prend, et c’est...
J’en ai une écrite ici au dos de ma Bible, qui m’a été donnée récemment, il y a une année ; elle va s’accomplir exactement à la lettre ; juste ce qui est dit là, c’est ce qui arrivera. Et beaucoup parmi vous connaissent ce que c’est.
11 Eh bien, par conséquent, cela affaiblit, et vous avez l’impression de ne pas tenir debout, à peine, après le passage de deux ou trois personnes. Et rappelez-vous... Vous dites: «Comment cela peut-il être sur une personne?» Eh bien, c’était comme cela sur Jésus de Nazareth. Il savait que la force Le quittait. Est-ce vrai?
Regardez le prophète Daniel. Il a eu une vision, il a dit: «J’eus la tête troublée plusieurs jours.»
Tout ce qu’il y a, c’est ce que Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, et vous en ferez de plus grandes...» Non en–en qualité, mais en quantité. En d’autres termes. «Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.» Aucun homme ne peut en faire de plus grandes, car, Il–Il a changé le cours de la nature, et–et Il a ressuscité les morts et tout ce qu’il y avait à faire. Il a fait cela. Vous ne pouvez pas en faire de plus grandes, mais vous pouvez en faire davantage. La bonne traduction du mot, c’est: «Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.»
12 Et Il est tenu envers Sa Parole. Dieu doit tenir Sa Parole. Saviez-vous cela? Il...?... Dieu a juré par Lui-même qu’Il tiendrait Sa Parole. Il doit simplement faire cela pour être Dieu. Il ne peut pas se rétracter sur Sa Parole et être Dieu. Ainsi, si jamais vous réglez cette question dans cet homme ici et dans cet homme ici, vous aboutirez quelque part. C’est vrai. Si jamais vous arrivez à mettre cela en ordre... Qu’en pensez-vous, Frère Neville? Cela n’est-il pas pratiquement vrai? Quand vous pouvez mettre cela en ordre... La Parole de Dieu est proclamée et, ici vous dites qu’Elle est vraie... Eh bien, la plupart d’entre vous comprennent cela. Maintenant, laissez descendre Cela ici ce soir, et laissez ceci ici en bas dire qu’Elle est vraie ; alors, peu m’importe ce que dit autre chose, cela ne changera jamais votre évolution. Vous vous en êtes tiré. Rien ne peut arrêter cela. Vous vous dirigez alors vers les eaux profondes. Que le Seigneur vous bénisse.
13 Et maintenant, je désire lire une portion de Sa Parole ici, juste pendant quelques instants et... Ils ont pris ma montre ce soir ; ainsi, je... Oh ! C’est en ordre. Je... C’est très bien. Je vais regarder ici et j’essayerai... Aujourd’hui, je–j’ai quitté la maison. Après, aujourd’hui, il y a eu beaucoup de voitures pleines de gens qui sont arrivées ce matin, m’a dit ma femme. Et ils sont venus et on m’a dit que ce...
Et, chers amis chrétiens, s’il y a ici quelqu’un qui était dans la réunion, n’allez pas penser que je ne vous aime pas. Je vous aime. Mais en vue de ces services du soir, je dois rester seul avec Lui. Voyez? Je dois le faire. Et je vous aime, et j’essaie de mon mieux de–de faire tout ce que je sais faire, pour votre bien.
Je me tiens, pour ainsi dire, entre vous et Dieu, essayant de trouver la meilleure chose qu’Il me dira de faire pour vous. Certainement, Dieu vous le fera savoir, que j’essaie de vous aider. Et je sais que si je ne vous aime pas, et que je rejette votre amour, je rejette Son amour (Voyez?) en faisant cela, parce qu’Il...
Je préférerais que vous aimiez mon garçon (Il est ici quelque part.) plutôt que vous m’aimiez. Si entre lui et moi, il y a quelqu’un que vous ne voulez pas aimer, ne m’aimez pas ; aimez-le. Et c’est le sentiment que Dieu éprouve au sujet de Ses enfants. Aimez Ses enfants. Il vous aimera. Ainsi, nous devons nous aimer les uns les autres. Et pour faire cela, c’est ça la routine du christianisme aujourd’hui ; on pense qu’un ministre devrait embrasser tous les bébés et–et, vous savez, et–et serrer les mains, et allez dîner avec tout le monde. J’aurais aussi bien voulu le faire, mais je ne le peux pas, et puis servir Dieu comme je Le sers.
14 Vous savez. Tout le monde sait comment j’étais–si vous permettez l’expression–la brebis galeuse de la famille, et–et ainsi de suite, parmi les hommes. Et c’est ce qui s’est toujours passé. Quand j’étais un enfant, je ne buvais pas ou... Et alors, je ne pouvais pas m’accorder avec ma famille. Et–et puis, quand je suis devenu assez grand pour sortir avec les jeunes filles, je n’allais pas aux soirées dansantes, je ne fréquentais pas de tels endroits, je ne fumais pas et je... Eh bien, j’étais assurément la brebis galeuse pour eux. Et alors, ils ne voulaient pas... n’avaient rien à faire avec moi. Puis, quand j’ai été sauvé, je me suis joint à–à l’Eglise baptiste, et ils ont pensé que j’étais un saint exalté. Alors, je–j’ai dit que j’allais perdre la tête. Et alors, je ne pouvais donc pas m’accorder avec eux. Ainsi donc, quand je suis venu vers vous qui connaissez réellement Dieu par la puissance de Sa résurrection, ça va juste comme un gant à la main. Et la seule foule que j’aie jamais rencontrée de ma vie avec qui je me suis accordé, ce sont les gens qui croient en Dieu. Et cela... Toute ma vie, j’ai ardemment désiré être... oh ! je ne sais pas, que quelqu’un m’aime.
15 Ma propre belle-mère, elle est assise quelque part ici ce soir, je suis monté sur un poteau un jour quand je grimpais (je travaillais pour le service public), et un vent violent a soufflé et je me suis détaché du sommet d’un poteau d’environ soixante-dix pieds [2 m] et j’étais trempé dans l’eau et le... Il y avait un noeud attaché là, et j’ai atteint ce noeud et j’ai oscillé comme cela, et j’avais failli tomber. Et je pense qu’elle s’est mise à genoux pour prier. Et, oh ! elle s’est fait des soucis pendant trois ou quatre jours du fait que je grimpais... Et pour moi, le fait de savoir qu’elle avait assez d’estime pour moi afin de prier pour moi, je vous assure, j’ai vraiment beaucoup d’estime pour elle. Cela m’est toujours resté collé, de penser qu’elle avait tant d’estime pour moi (Voyez?), qu’elle m’aimait autant pour prier pour moi pendant que je–je grimpais et tout comme cela.
J’aime les gens et j’aime être avec eux. Mais ce que j’essaie de faire maintenant, pendant qu’on est au front, je me bats avec tout ce que j’ai afin que je puisse avoir autant... Quand nous aurons traversé là, je–je–je vais assurément m’asseoir pour passer un bon moment avec vous alors, quand nous serons là: Rester juste un million d’années avec chacun de vous tous, cela n’a pas... Aucune visite de malade à faire, gloire à Dieu. Il n’y aura pas de service de prédication à ce... pour les méchants ; il n’y aura aucun méchant là, et les pécheurs seront tous convertis et...?... là-bas ; ainsi, nous aurons simplement...
Les enfants ne vont pas courir et se blesser, nulle part. Ils peuvent monter sur le dos du lion et du tigre, et chevaucher toute la journée. Il n’y aura rien qui va faire du mal. Et ils n’auront pas à s’inquiéter du souper, juste tendre la main et cueillir cela de l’arbre, juste à côté de vous. Ainsi donc, ça sera très bien là. Ainsi, l’essentiel, si nous n’obtenons pas ces choses ici même, nous n’allons pas nous rencontrer là. C’est... Travaillons donc durement ici. Vous comprendrez cela mieux bientôt.
16 C’est juste comme, une fois, un–un de mes organisateurs, monsieur Baxter, il a dit qu’il était au Canada, et il y avait un–un prix à donner à celui qui pouvait pédaler une bicyclette sur une planche de quatre pouces [11 cm] sur un demi-pâté de maisons. Et on a amené tous les experts. On avait là un petit garçon efféminé. Et eux tous pensaient qu’il était vraiment un efféminé. Et tous ces cyclistes expérimentés qui pouvaient aller en ville et ramener une boîte d’épicerie dans les bras, et retourner sans jamais toucher leurs guidons ; ils allaient gagner cette nouvelle bicyclette Iver Johnson. Et il a dit... Monsieur Baxter a dit qu’il montait et faisait environ vingt pieds [6 m] et tombait. Eh bien, tous les autres ont essayé cela. Et ce petit garçon efféminé est monté dessus et a roulé droit jusqu’au bout sans aucun problème. Alors, tous les jeunes gens l’ont encerclé et ont dit: «Quel... Comment tu y es-tu pris? Eh bien, qu’est-ce qui t’a fait faire cela?»
Il a dit: «Je vais vous montrer ce que vous les jeunes gens, vous faisiez.» Il a dit: «Vous regardiez en bas comme ceci, cherchant à vous maintenir dessus.» Il a dit: «J’ai regardé le bout, ce qui était au bout. J’ai fixé le regard sur le bout et je suis resté ferme, et je suis allé jusqu’au bout. Mais si vous regardez en bas comme ceci, vous–vous vous inquiétez et, au moindre petit jeu de bascule, eh bien, vous vous renversez comme ceci et vous tombez.»
C’est ce que font les chrétiens. Frère, je regarde là au bout. Oui, oui. Quelqu’un pourrait dire: «Billy Branham est un spirite ; c’est un sorcier ; c’est un hypocrite.» Cela ne me blesse pas. Je regarde là au bout. C’est là que l’on va. Et je pédale à toute vitesse, car il y a un prix de la vie, j’aimerais Le rencontrer là au bout. Comme Paul l’a dit à la fin: «J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi: Désormais, la couronne de justice m’est réservée ; le Seigneur, le juste Juge me la donnera en ce jour-là, et non seulement à moi, mais à tous ceux qui aiment Son avènement.»
17 Que le Seigneur nous bénisse maintenant pendant que nous tournons les pages ici, juste pour lire un petit texte familier, afin que le service soit complet. Mes paroles sont les paroles d’un homme. Elles failliront comme celles d’un autre homme, mais Sa Parole demeurera éternellement. Elle demeurera éternellement. Ainsi, inclinons la tête maintenant pendant que nous Lui parlons.
Maintenant, Bien-Aimé Père céleste, c’est pour nous un privilège d’être ici ce soir, rassemblés sous ce toit, à l’abri de ce vent froid et du temps qu’il fait dehors, pour Te servir. Nous sommes reconnaissants pour cette église, pour son pasteur, pour ses diacres et pour tous ceux qui sont associés à cette église, pour les musiciens, ainsi que pour tous les–les laïcs. Nous sommes très reconnaissants pour eux tous et pour l’accueil qu’ils nous ont réservé en venant ici prier pour Tes chers enfants malades de cette ville et des autres villes, qui se sont rassemblés ici.
18 Maintenant, je Te prie de bénir cet endroit, et puisse, oh ! puisse cela prospérer, et que les âmes soient sauvées ici, et que cet endroit soit appelé la maison de Dieu jusqu’à ce que Jésus vienne. Accorde-le, Père. Bénis son pasteur. Oins sa vie, Seigneur, comme Tu le fais. Fais même accroître cela davantage, Seigneur, ainsi que son ministère, qu’il s’étende au loin. Accorde-le, Père. Et puisse son humble coeur qui a soif des âmes à faire entrer en ce jour-là, puisse-t-il déposer beaucoup de précieuses gerbes à Tes pieds à la fin de son pèlerinage. Accorde-le, Seigneur, et qu’il en soit de même pour tous les autres qui se sont rassemblés ici avec nous ce soir.
Et maintenant, Bienveillant Père, c’est le privilège de Ton serviteur ce soir, si c’est Ta volonté, j’espère rompre maintenant le Pain de Vie pour Tes enfants. Et maintenant, pendant ces quelques instants du reste du service, nous Te prions de bénir spécialement les malades et les nécessiteux en ce moment même. Accorde-le, Père. Ces soirées sont donc mises à part pour eux.
Et pendant que Ton glorieux Saint-Esprit se meut dans l’auditoire, puisse-t-Il convaincre les pécheurs. Et, ô Dieu, que cette petite dame qui m’a arrêté il y a quelques instants dans la rue et qui a dit: «Frère Branham, comment est-ce qu’on est sauvé?», ô Dieu, je prie que cette petite créature mène une vie chrétienne le reste de ses jours ici sur terre. Et que beaucoup ici ce soir aient ce même genre d’attitude envers Toi ce soir: «Que dois-je faire pour être sauvé?»
Maintenant, Père, prends la Parole, et puisse le Saint-Esprit, la troisième Personne de la Trinité, venir prendre la Parole de Dieu et La rompre pour les gens, et La placer dans chaque coeur où on En a besoin, là où Dieu veut L’envoyer. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
19 Dans le... Luc, chapitre 2, verset 25, j’aimerais lire un texte qui peut-être, peut-être que je l’ai lu ici auparavant. Je ne pourrais dire juste... Je suis venu un peu tard ce soir, j’étais là en prière et je m’attendais au Seigneur. Et il m’est arrivé de penser à ce texte pendant que je venais ici, peut-être pour l’utiliser.
... Voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.
Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.
Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi,
Il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit:
Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu ton salut,
20 Que le Seigneur bénisse Sa Parole. J’aimerais vous parler pendant quelques instants sur: La Préparation de Dieu.
Dieu fait toujours des préparatifs. Avant de faire quoi que ce soit, Il donne amplement de temps, beaucoup d’avertissements, et alors ceux qui rejettent cet amour, qui consiste en un avertissement, il ne leur reste que le jugement. Ils doivent subir le jugement.
Avant que Dieu détruise le monde antédiluvien, du temps de Noé, Il a envoyé une Voix d’avertissement et Il a averti les gens de fuir la colère qui devait venir. Et l’avertissement, la Voix de l’avertissement était si contraire à l’église établie de l’époque que les gens se sont moqués de lui, pensant qu’Il était un fou, car il–il parlait de quelque chose dont l’accomplissement était impossible pour l’homme. Le Seigneur avait dit qu’Il ferait pleuvoir la pluie des cieux. Et il n’avait jamais plu, même pas la rosée du ciel, avant ce temps-là. Mais pourtant, il avait dit qu’Il le ferait.
Et c’est ça le fondement de son–son texte, le fondement de ses pensées et de sa foi, car Dieu avait dit qu’Il le ferait. C’est une bonne raison. Quand Dieu dit qu’Il va faire quelque chose, croyez simplement cela ; en effet, Il va le faire.
21 Si Dieu descend dans cette salle ce soir et dit: «Il va pleuvoir demain», eh bien, si j’allais n’importe où, je prendrais mon parapluie. Ce serait facile pour moi d’emmener ce parapluie même si le soleil brillait donc très fort ; en effet, je sais qu’il va pleuvoir. Et quand Dieu dit quoi que ce soit, Il va le faire, et vous pouvez donc compter...
S’Il dit: «Ne plantez pas cette année, il n’y aura–il n’y aura rien qui poussera», vous ne me verrez jamais planter une semence sous terre ; en effet, il me serait facile de croire ce que Dieu a dit. Et ce que Dieu dit, il m’est facile de croire qu’Il va le faire. C’est ce qui se passe aujourd’hui avec le ministère.
22 Eh bien, mes amis, il y a beaucoup de choses que les gens font et disent, peut-être, peut-être... Je–je ne suis juge de personne. Mais je pense que tout ministère ou toute démonstration de l’Esprit de Dieu qui ne peut être soutenue par cette Bible, je laisserai tomber cela. Si quelqu’un dit quelque chose qui n’est pas soutenu par les Ecritures, alors je–je ne pourrais pas l’accepter. Néanmoins, je ne dirais pas que ce n’était pas de Dieu jusqu’à ce que j’en voie les fruits. Je ne dirais donc rien à ce sujet. Je laisserais simplement cela aller tel quel.
Je ne crois pas au fait de parler de gens. Je n’y crois pas. Je crois au fait de réprimander le péché et autres. Mais parler de: «Eh bien, telle église n’est pas dans le vrai, ils ne sont que des hypocrites, et tel pasteur n’est rien», c’est faux. La Bible... Dieu...
23 Une fois, un homme du nom de David avait la possibilité de tuer son ennemi. Dieu l’avait conduit jusqu’auprès de son ennemi, l’homme qui cherchait sa vie, et son... même son général a dit: «Dieu l’a livré entre tes mains ; ôte-lui la vie.» Et il a coupé le pan de son manteau, il est remonté et a dit: «Que Dieu me garde de toucher à Son oint.» C’est vrai.
Ne–ne dites donc rien de mal des chrétiens. N’osez pas faire du mal aux chrétiens ; en effet, vous récolterez chaque fois ce que vous avez semé. «Ne touchez pas à Mes oints ; ne faites pas du mal à Mes prophètes. En effet, il serait de loin mieux pour vous que votre... qu’on vous attache une meule au cou et qu’on vous noie au fond de la mer plutôt que d’offenser Mes oints.» Est-ce vrai?
Ne–ne dites donc rien contre les chrétiens. Peut-être que certains d’entre eux ne mènent pas une vie correcte, ou ne font pas ce qui est correct, mais ce–c’est un enfant de Dieu. Que–que le Père prenne soin de Ses propres enfants. Vous savez, si nous nous mettons à nous battre les uns contre les autres, Dieu nous fouettera tous deux, peut-être. Ainsi, laissons simplement l’autre tranquille et prions pour lui. Essayez de l’aimer, corrigez-le et peut-être que Dieu l’aidera.
24 Ainsi donc, Dieu prépare et envoie des voix d’avertissement. Il prend toujours des dispositions. Juste avant d’envoyer Elie sur le mont Carmel, là, pour prouver qu’Il était Dieu et–et que la nation marchait mal, eh bien, Il a envoyé Elie avertir et prendre des dispositions pour ces choses. C’est ce qu’Il fait toujours: Dieu pourvoit chaque fois à une voie pour les gens. Et alors, si les gens rejettent Sa miséricorde, il ne reste qu’une seule chose à faire, et c’est Son jugement.
C’est comme, par exemple, si vous vous dirigez à droite, et c’est la bonne voie, et aller à gauche, c’est la mauvaise voie. Alors, vous ne pouvez pas vous attendre à emprunter la mauvaise voie et aboutir sur la bonne. Vous devez aboutir sur la mauvaise voie. Vous pouvez penser être sur la bonne voie, mais vous découvrirez peu après qu’elle est la mauvaise. Et vous ne pouvez pas suivre la bonne et la mauvaise en même temps. Continuez donc à suivre tout ce temps la bonne, et vous êtes tenu de vous en sortir. Des fois, vous pensez suivre la mauvaise voie en suivant celle-ci, mais tant que vous suivez la bonne, vous vous en tirerez bien. Absolument.
Donc, avoir de bonnes pensées, c’est votre devoir envers vous-même. Bien agir, c’est votre devoir envers Dieu. Et ce sera bien pour vous aussi certainement que je me tiens à cette estrade ce soir. Ayez de bonnes pensées. Agissez correctement ; vous êtes tenu de bien aboutir.
25 Ainsi, Dieu envoie toujours Son avertissement. Dans les jours qui ont précédé la Venue du Seigneur Jésus... Dieu prend toujours des dispositions, aussi envoie-t-Il un Ange. Or, beaucoup de gens ne croient pas aux anges. Et je ne crois pas à l’adoration d’un ange, là. Je ne suis pas un Mormon et je–je ne crois pas à l’adoration des anges. Et un vrai ange n’acceptera pas d’être adoré. Non. L’ange de Dieu n’acceptera pas d’être adoré.
Il dira: «Adorez Dieu», chaque fois. Et il déclarera que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, chaque fois. Et il rendra toute la louange et toute la gloire à Dieu, il n’en prendra aucune pour lui-même.
26 Et alors, vous voyez, souvent ces petits anges mineurs viennent, et autres, ils visitent les gens. Peut-être que celui qui nous visite maintenant, je ne peux pas vous le dire; je ne connais pas le Nom de cet Homme ; je ne le Lui ai jamais demandé. Je n’ai jamais senti que j’ai assez de souffle pour le Lui demander pendant qu’Il se tient près, quand je Lui parle. C’est un grand Homme, Il pèse environ deux cents livres [90 kg]. Il a des cheveux noirs qui Lui retombent sur les épaules, Il garde Ses bras croisés comme ceci quand Il me parle, et Il apparaît toujours à ma droite. C’est la raison pour laquelle je dispose mon auditoire de ce côté-là, ma ligne de prière, quand je prie pour eux. Eh bien, vous n’avez pas à disposer votre ligne de prière de ce côté-là. Ça, c’est ma propre façon, faire venir les gens par ma droite, chaque fois.
Il a toujours apparu à ma droite depuis que j’étais un petit garçon et depuis que j’ai vu... ou que je L’ai entendu. Je ne L’avais jamais vu jusqu’il y a quelques années. Je vois Cela sous forme d’un–un–un tourbillon dans un buisson, je L’ai vu sous forme de la Lumière, mais cette fois-là, Il était un Homme, debout là.
Eh bien, ce n’était pas une vision. Je sais ce qu’est une vision, mais cet Homme s’est directement avancé là, marchant, juste comme vous marcheriez, Il a parlé et tout. Ce n’était pas dans une autre dimension, rien à ce sujet. Je me tenais juste là regardant l’Homme tout comme je vous regarde et je Lui parlais. Il marchait sur le plancher et Ses pieds faisaient du bruit en marchant comme le feraient les vôtres ou ceux de n’importe qui d’autre. Ce n’était pas une vision. L’Homme se tenait là.
27 Et ainsi, quand Dieu se met à faire quelque chose, Il envoie–envoie toujours un messager. Un messager rend témoignage à un individu, et cet individu apporte la Parole. Eh bien, quand Dieu s’apprête à faire quelque chose de capital, Il envoie toujours un grand ange, par exemple Gabriel. Gabriel a annoncé la Première Venue de Christ. Saviez-vous cela? Et Gabriel annoncera la Seconde Venue de Christ. C’est vrai. Il sonnera la trompette ; le temps ne sera plus.
Donc, toujours, ou juste avant la Première Venue de Christ, il y a eu un vieil homme du nom de Zacharie. Et il était un homme juste, un homme bon, lui et sa femme Elizabeth. Et ils observaient toutes les ordonnances de la loi et ils étaient irréprochables là-dessus. Et la femme était stérile ; elle n’avait point d’enfants. Et Zacharie continuait à s’accrocher à Dieu, sachant que Dieu exaucerait. Et un jour, pendant qu’il était... Son travail consistait à offrir le parfum à l’église. Et pendant qu’il offrirait le parfum, il a regardé sur...
28 Dites donc, à propos, c’était à sa droite que Gabriel était apparu. Est-ce que... la Bi-... Je n’y ai jamais pensé jusqu’à présent. C’était à sa droite. Eh bien, malgré les nombreuses fois dont j’en ai parlé, c’est la première fois que j’y ai pensé. Gabriel se tenait à sa droite à l’autel. Je crois que c’est vrai. Vérifiez cela dans les Ecritures, et je pense que c’est vrai. Il se tenait à sa droite.
Et il a regardé là et Gabriel s’y tenait, l’Archange. Et il lui a dit de ne point craindre, qu’après les jours de son service là à l’église, au... à Silo, qu’il monterait... ou au temple, qu’il monterait et... rester avec sa femme, et qu’elle concevrait et enfanterait un fils. Eh bien, cet homme, malgré tout l’arrière-plan biblique, pourtant du seul fait qu’il s’était associé aux rites de l’église, il a dit: «Comment ces choses peuvent-elles exister? Eh bien, elle est vieille et moi aussi, je suis vieux. Comment est-ce possible?»
Il a dit: «Je suis Gabriel, je me tiens devant Dieu.» Il a dit: «Parce que tu n’as pas cru à mes paroles qui s’accompliront en leur temps, mais toi, tu seras muet jusqu’au jour où l’enfant naîtra.»
29 Dites donc, vous feriez mieux de croire en Dieu. C’est vrai. Quand Dieu dit quelque chose, cela va s’accomplir de toute façon. Peu importe si tout le reste du monde ecclésiastique rejette cela, Dieu fera s’accomplir cela de toute façon. Dès lors qu’Il a dit qu’Il va le faire, Il va le faire. C’est la raison pour laquelle, aujourd’hui, nous savons que les oeuvres que Jésus a dites qu’Il avait faites se répéteront une fois de plus avant qu’Il vienne. Et cela doit arriver. Son ministère, Sa Vie, Sa puissance, juste tel qu’Il était ici sur terre à l’époque, c’est ce qu’Il est maintenant. Il doit en être ainsi. Car Jésus l’a dit. Et Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais ; vous en ferez même davantage, car Je m’en vais au Père.» Est-ce vrai? Ainsi, il n’y a rien de non scripturaire.
Observez ce qu’Il a fait. Examinez la Bible et voyez ce qu’Il a fait dans Sa Vie. Il ne prétendait pas être un guérisseur ; Il ne prétendait pas être quelqu’un d’important ; mais Il pouvait connaître leurs pensées ; et Il avait des visions de la part du Père. Le Père Lui montrait quoi faire et Il allait directement accomplir exactement ce que Dieu Lui avait dit: Saint Jean 5.19. Est-ce vrai? Et Il ne faisait rien avant que le Père le Lui ait montré premièrement. Est-ce vrai? Le Père Lui donnait une vision. «Ce que le Fils voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Ainsi donc, Il a dit: «Eh bien, vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Amen. Vous y êtes.
30 Remarquez. Puis, voyez, c’est en parfaite harmonie avec les Ecritures. Cela ne pouvait pas être la routine habituelle de la théologie, telle que vous l’avez entendue, mais ce sont les Ecritures. La routine habituelle de la théologie avait renié Jésus-Christ à Sa Première Venue. Elle Le reniera à Sa Seconde Venue. C’est vrai. Quand ces sacrificateurs et... se tenaient là, des hommes, des hommes de renom, des hommes saints, des hommes sans tache, des érudits jusqu’à la nouvelle... Oh ! la la ! Tout ce qu’ils faisaient, jour et nuit, génération après génération, c’était vivre correctement selon cette Bible. Et ils devaient être sans faute. Si un homme était répréhensible, on le prenait et on le lapidait. Il devait être...
Il ne pouvait pas être un simple homme: «Eh bien, j’ai un appel au ministère.» Il devait descendre de la lignée pour exercer une certaine sacrificature, sinon il ne pouvait pas être un–un–un sacrificateur. C’est vrai. Il devait être un lévite, sinon il n’était pas sacrificateur. Peu importe combien il désirait le devenir, il devait avoir un arrière, arrière, arrière, arrière, arrière, arrière, arrière-grand-père sacrificateur, et lui un ministre, un ministre, un ministre, un ministre. Il devait descendre de cette lignée-là, et il ne devait y avoir rien d’autre dans sa maison que les membres du clergé, tout le temps.
31 Et regardez combien ils avaient, à plusieurs reprises, examiné telle Parole et telle autre Parole, ils s’attendaient tout le temps à la Venue de Jésus, et Jésus est venu d’une façon qu’ils n’ont même pas reconnue. Est-ce vrai?
Ce qu’Il fit alors, Il le fait maintenant même, et vous ne reconnaissez pas cela. Oui, oui. Et je dis cela avec un coeur humble, chrétien, non pas parce que je suis ici, essayant de Le représenter ; mais je suis ici, je le dis par la puissance de l’autorité de Dieu, que cela est venu d’une façon différente et les membres du clergé n’ont pas reconnu cela. C’est vrai. Ils regardaient cela, ils disaient: «Eh bien, ce n’est qu’un liseur de pensées.»
Ne vous rappelez-vous pas que Jésus a dit qu’on L’avait taxé de Béelzébul, le prince des démons, le meilleur diseur de bonne aventure qui ait existé? Il a dit: «S’ils ont taxé le Maître de la maison de Béelzébul, de quels noms vous taxeront-ils?» Vous devez donc vous attendre à cela.
Vous dites: «Eh bien, j’ai entendu docteur Untel dire que frère Branham, qui était... que ceci était ça et que toute cette guérison divine était ça.» Attendez-vous simplement à cela. «Oh ! L’homme a décroché un D.D. [Doctorat en théologie]» Peu m’importe ce qu’il a, frère. S’il n’a pas un–un coeur changé, il ne reconnaîtra jamais cela. Ça, c’est une chose sûre. Il–il a besoin d’un–d’un C. H. [Change of Heart]: un changement de coeur, cela... plutôt que d’un D.D. [Doctor in Divinity.] Très bien.
32 Remarquez, maintenant... et voici venir Gabriel et il lui en a parlé. Et celui-ci est resté muet. Il l’a frappé de mutité. Et alors, les gens qui étaient dehors se demandaient pourquoi il ne sortait pas. Peu après, il est sorti, et il leur a fait signe afin qu’ils comprennent qu’il avait eu une vision. Il est donc rentré chez lui, il est resté avec sa femme, et elle a conçu. Elle s’est cachée pendant six mois.
Au bout de six mois, une petite vierge transportait de l’eau un jour. (J’ai en vue de visiter le Puits de la Vierge très bientôt.) Et alors, quand...
Il n’y a qu’un seul puits là à–à Nazareth, et c’est de là qu’on–qu’on transporte de–de l’eau. Et en Orient, on transporte cela comme ça, beaucoup parmi vous ont probablement été en Orient et ils comprennent cela. Elles mettent une cruche de cela... Je les ai vues mettre cela sur leurs têtes (Cela pouvait contenir cinq galons [18 litres], et mettre une cruche sur leurs épaules, sur leur hanche plutôt, et une autre comme ceci. Et les femmes se regroupaient toutes à ces puits et parlaient. Et puis, elles mettaient de l’eau sur leurs têtes comme ceci ; et deux cruches, probablement de quinze galons [54 litres] d’eau et elles marchaient tout aussi droites qu’elles le pouvaient avec cela, en parfait équilibre comme vous n’avez jamais vu.
Je les ai vues mettre une, on dirait une valise, et une valise, et une autre valise, puis placer un paquet au-dessus de cela, et mettre une bouteille au-dessus de cela et marcher tout en causant, avançant en marchant avec un parfait équilibre. Et comment elles s’y prenaient...
33 Et je peux m’imaginer voir la petite Marie, là, elle était épouse à Joseph, sa fiancée, avant qu’ils soient ensemble... Eh bien, elle sortait avec cet homme. Et elle était au puits ce jour-là pour puiser de l’eau. C’était peut-être un jour de lessive. Et elle se dirige vers sa petite et modeste demeure.
Elle était une vierge, une vraie petite dame, d’une famille vraiment pauvre. Et peu importe... Elle habitait la ville la plus méchante qu’il y avait dans le pays, là où habitaient tous les méchants, des hommes impies, mais pourtant, elle était vierge.
Ainsi, vos épreuves sont parfois des joyaux. Vous en rendez-vous compte? Il est dit qu’elles étaient plus précieuses que l’or, votre foi, une foi éprouvée. Or, n’allez pas penser que les épreuves ardentes nous arrivent pour nous purifier. Quand vous subissez une tentation, tenez bien ferme. Si quelqu’un dit: «Eh bien, alors, vous êtes complètement à côté.» Restez là même où vous êtes jusqu’à ce que Dieu le dise. Ne soyez pas secoué par tout vent. Voyez? Restez là même. Vous savez, les hommes, que Dieu... Même si vous êtes un peu hors du chemin, si réellement dans votre coeur vous êtes sincère et que vous restez ferme sur ce que vous croyez, Dieu honorera cela. C’est vrai.
34 Vous savez, une femme–une femme qui tient ferme, elle peut être laide à l’extrême, mais si elle tient ferme et qu’elle reste une dame, il n’y a aucun homme dans le pays qui, ayant un peu d’homme en lui, manquera de l’honorer. C’est vrai. Oui, oui. Elle est... elle–elle connaît ce qui est bien ; elle soutient ce qui est vrai ; elle se comporte correctement ; et les gens auront une bonne opinion d’elle. C’est tout à fait vrai.
Et Dieu fera la même chose en matière de religion. Si vous vous tenez là au Calvaire et que vous vous rendez compte que c’est un... que votre... le Saint-Esprit que vous avez, cela montre que...
35 Vous savez, aujourd’hui, c’est un grand jour de typologie. Si vous ne le croyez pas, peignez vos escaliers en rouge la semaine prochaine, et voyez si une semaine après, vos voisins ne vont pas peindre les leurs en rouge. Vous allez à l’église avec un nouveau genre de chapeau, peu importe combien ça paraît bizarre, voyez si votre proche voisin ne cherchera pas à se procurer le même genre de chapeau. «Où avez-vous acheté ça?» Voyez? Eh bien, on dit qu’elles vont... Changez de voitures. Achetez une Plymouth après avoir roulé à bord d’une Ford, voyez si votre voisin ne voudra pas alors une Plymouth. Voyez, tout le monde veut quelque chose pour faire la compétition l’un avec l’autre. J’ai toujours dit que peu m’importait si mon pantalon ne s’accorde pas avec mon manteau ou mon manteau avec ma cravate, je veux que mon expérience s’accorde avec la Parole de Dieu, ce que Dieu a dit.
Si ces gens, le jour de la Pentecôte, ont reçu le Saint-Esprit, ont titubé, crié et agi comme une bande de fous, c’est le même genre d’expérience que je veux. Si les apôtres sont allés, eux qui soutenaient avoir le Saint-Esprit, ils ont accompli des signes et des prodiges, et–et le Seigneur Jésus ressuscité vivait parmi eux, et on les avait taxés de fous, d’hérétiques et de tout le reste, j’aimerais que mon expérience soit exactement pareille. C’est ce que je veux–je veux. Je veux m’accorder avec cela.
36 Et je me rappelle quand je... J’ai toujours voulu être ainsi. Quand j’étais un petit garçon, j’avais lu le livre d’Edgar Burrough, Tarzan et les Singes. J’ai découpé les vieilles robes de maman (Elle est assise quelque part ici ce soir. Elle peut encore me fouetter à cause de ça.), et j’ai pratiquement vécu dans un arbre pendant six mois. J’avais lu Tarzan et les Singes.
J’ai lu Lone Star Ranger de... J’oublie son auteur, et... Et, de toute façon, j’ai lu le... Zane Grey... J’étais chez lui là à Catalina Islands, il n’y a pas longtemps. Et il avait écrit Lone Star Ranger. J’ai lu cela. Je vous assure, j’ai chevauché à mort le balais de maman comme un cheval de bois tout autour de la maison. Je... Ce que vous lisez, c’est ce que... C’est pourquoi aujourd’hui il y a tant de délinquance juvénile.
37 Je parquais ma voiture dans un parking par ici. Et un homme a dit: «Prédicateur, qu’allez-vous faire de tous ces enfants et de cette délinquance juvénile?»
J’ai dit: «Arrêtez toute cette obscénité à la télévision et tous ces autres genres d’histoires comme ça, et si vous vous mettez à faire circuler cet esprit communiste, il circulera. Mais tant que les enfants ont cela en eux, ancré en eux, ils voient cela à la maison, ils voient cela chez leurs pères et leurs mères, ils vont à l’école et agissent insolemment comme cela... Comment une église peut-elle faire cela? Frère, c’est vous qui les mettez dans un... Le communisme est un esprit. Ce n’est pas juste une nation. C’est un esprit. Et c’est l’esprit qui s’infiltre en Amérique. Il s’infiltre dans les églises. Il s’infiltre dans des écoles. Il s’infiltre dans l’individu. Et c’est le communisme qui détruit cela. Observez ces Américains, emportés et hautains, et voyez si le communisme les a eus ou pas. Eh bien, ils sont enracinés aussi profondément que la Russie, maintenant même. C’est vrai. C’est un...
38 Ne craignez pas que le rouge-gorge qui picore la pomme l’abîme. Ce n’est pas le rouge-gorge qui picore la pomme qui la détruit. C’est le ver qui est dans son trognon qui abîme la pomme. C’est vrai. Ne pensez pas à la Russie qui va venir nous faire du mal ; c’est notre propre... l’esprit du communisme, de grosse tête, hautain, emporté, enflé d’orgueil, aimant le plaisir, oubliant Dieu, se moquant du Saint-Esprit, c’est ce qui nous ruine. C’est ce qui nous blesse: le ver dans le trognon. C’est ce qu’il y a. Amen. Je n’ai pas l’intention de me mettre à prêcher, mais remarquez. Nous aborderons cela demain soir ou à un certain moment.
39 Mais de toute façon, retournons à notre histoire. Nous les voyons là. Alors, pendant qu’elle avait conçu et qu’elle se cachait, la petite vierge transportait alors de l’eau (alors que nous continuons avec notre histoire), elle longeait le bord de la route, je m’imagine qu’elle s’émerveillait dans son petit coeur, heureuse: «Un de ces jours, je serai mariée. Nous... Joseph et moi, nous habiterons cette petite maison ici. Et...»
Sur le chemin, peu après, une Lumière a brillé devant elle. Elle a regardé, debout dans cette Lumière... La petite vierge n’avait jamais eu une vision, peut-être, auparavant. Et là se tenait un puissant archange, debout là. Cela l’a effrayée. Cela vous effraierait. Oui.
Il était là. Et il a dit: «Je te salue, Marie...» En d’autres termes: «Stop.» «Tu es bénie. Eh bien, tu as vécu une bonne vie pure au milieu de toute cette bassesse, et autres ici, et tu as trouvé grâce aux yeux de Dieu.» Amen. Je... C’est ce que j’aime. «Tu as trouvé grâce aux yeux de Dieu.»
40 Et alors, il s’est mis à lui parler d’Elisabeth là-bas, de l’état dans lequel elle était. Elisabeth et Marie étaient des cousines germaines. Et il s’est mis à lui parler de ce qui s’est passé là-bas.
Et il a dit: «Eh bien, tu enfanteras un Fils, sans avoir connu un homme.»
«Eh bien, a-t-elle dit, comment cela se fera-t-il?»
Et il a dit: «Eh bien, le Saint-Esprit te couvrira de Son ombre, et ce saint Enfant qui naîtra de toi sera le Fils de Dieu.»
Elle a dit: «Je suis la servante du Seigneur ; qu’il me soit fait selon Ta Parole.»
41 Or, observez cet érudit-là. Observez Zacharie, le sacrificateur érudit, l’homme qui était sorti du séminaire et qui avait décroché son doctorat en théologie et son doctorat en philosophie, et qui avait beaucoup d’exemples. Il avait Agar jadis, ou–ou plutôt Anne. Et il avait Sara et beaucoup de femmes, beaucoup plus avancées en âge que sa femme, elles avaient reçu des enfants après avoir dépassé l’âge. Mais il a douté quant à savoir si cela pouvait être le cas pour lui ou pas.
Mais la petite Marie a eu à croire quelque chose qui ne s’était jamais passé auparavant. Il n’y avait jamais eu d’enfant né d’une vierge auparavant. Mais elle ne douta pas de Lui. Elle L’a simplement pris au Mot. Elle a dit: «Je suis la servante du Seigneur, qu’il me soit fait selon Ta Parole.» Et elle est partie.
Et voici ce que j’aime chez elle. Elle s’est mise à témoigner qu’elle aurait l’Enfant, avant même qu’elle ait un seul signe comme évidence, en d’autres termes sur base de Sa Parole. Pouvez-vous faire cela ce soir, vous les malades? Quand Dieu dit: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies», pouvez-vous dire: «Merci, Seigneur ; je suis guéri. Gloire au Seigneur.»? C’est vrai. «Vous sortirez d’ici parfaitement normal et rétabli.» Pourquoi? «L’Eternel l’a dit.»
42 Eh bien, la petite Marie parcourait les rues, disant: «Vous savez, je vais avoir un Enfant sans avoir connu un homme.»
On a dit: «Quoi? Du non-sens. Eh bien, comment le savez-vous?»
«Le Saint-Esprit l’a dit. Hein... Voilà pourquoi. Le Saint-Esprit m’a dit que je L’aurais.» Elle avait une bonne raison pour croire cela. Est-ce vrai? Si le Saint-Esprit l’a dit, alors la question est réglée. C’est vrai. La question est réglée.
Et je peux alors la voir. Elle a dit: «Je crois que je vais monter voir comment va Elisabeth. Et elle a porté son petit châle, et elle a gravi les collines de la Judée, de Bethléhem, hors... entrant en Judée. Et quand elle est arrivée là... Elisabeth s’était cachée, elle regardait donc par la fenêtre et elle a vu la petite Marie arriver. Et comme les femmes le faisaient à l’époque, elles s’aimaient les unes les autres, vous savez. Elles sortaient donc en courant et s’embrassaient, s’étreignaient. Et, oh ! elles étaient très contentes de se voir.
43 Dites donc, c’est vraiment dommage, nous avons perdu ce genre d’amour les uns envers les autres, n’est-ce pas? C’est vrai. Aujourd’hui, c’est comme si l’amour est la dernière chose à laquelle les gens pensent, et ça, c’est l’essence même. Si vous voulez savoir ce que je pense être l’évidence du Saint-Esprit, c’est l’amour. Et c’est vrai. Peu m’importe le reste, vous pouvez crier, pousser des cris ou faire tout ce que vous voulez, si vous n’avez pas l’amour, a dit Paul, vous n’êtes rien. C’est vrai. Il vous faut avoir l’amour pour que ça accompagne ceci là. Si vous avez cela sans l’amour, vous ne L’avez pas encore, car Dieu est amour. Et pas... Et la voilà partie. Et là dans la contrée...
44 Et elle... aimé... a commencé à aimer sa–sa soeur. Et aujourd’hui, vous savez, c’est difficile de trouver l’amour. Eh bien, la Bible déclare qu’il arrivera un temps où il n’y aura même pas d’amour les uns envers les autres ; que le père sera contre la mère, et la mère contre le père, et les enfants contre les parents, et ainsi de suite. Et il ne restera d’amour que parmi les élus. Et c’est à peu près vrai. L’amour est une chose rare aujourd’hui.
Considérez les tribunaux de divorce, entre mari et femme. Considérez la délinquance juvénile. Considérez les foyers qui se brisent et tout: pas d’amour, pas d’amour.
Eh bien, le seul moment où vous apprenez la mort même de votre voisin, c’est quand vous lisez dans le journal. C’est à peu près vrai. Nous ne savons plus rien l’un sur l’autre ; il n’y a plus d’amour.
45 Et je peux m’imaginer qu’elles sortaient en courant, elles s’aimaient, se serraient la main, et elles parlaient de... Et je peux entendre Marie dire...
Suivons maintenant et écoutons leur conversation. Je peux entendre Marie dire: «Oh ! Elisabeth, je suis si heureuse, si heureuse.» Naturellement, en la regardant, elle a dit: «Je–je sais que tu attends famille.»
Elle a dit: «Oui. Marie, je suis–je... C’est vrai. J’attends famille, mais je–j’ai peur, Marie.»
«Eh bien, de quoi as-tu peur, Elisabeth?»
«Eh bien, on est déjà au sixième mois depuis que j’attends famille et–et il n’y a toujours pas de vie.» C’est tout à fait anormal. Tout le monde sait que les muscles se tordent et tressautent. Il a donc dit... «Que... Ça–me–me–me–me–m’inquiète.»
Marie a dit: «Tu sais quoi, je rentrais à la maison, ici, il y a quelques jours, revenant du puits et, tout d’un coup, tu sais, j’ai vu une–une grande Colonne de Lumière devant moi. Et il m’est arrivé de voir cette Lumière et là se tenait Gabriel, l’Archange. Et Il m’a dit que j’allais être couverte de l’ombre par le Saint-Esprit et que j’allais aussi enfanter un Fils.»
«Oh ! Est-ce vrai, Marie?»
Elle a dit: «Oui.» Et elle a dit: «Son Nom sera appelé ‘Jésus.’» Et aussitôt qu’elle a dit: «Jésus», le petit Jean a reçu le Saint-Esprit et s’est mis à crier et à tressaillir de joie dans le ventre de sa mère.
46 Et écoutez. Si la première fois que le Nom de Jésus ait jamais été prononcé par les lèvres humaines, la vie a été apportée à un enfant mort, qu’est-ce que cela devrait faire à une église née de nouveau? Qu’est-ce que cela devrait faire pour les maladies? Eh bien, cela débarrasserait la chose comme cela, si vous recevez cela avec révérence. Vous ne pouvez pas l’exprimer en argot là dans la rue et revenir à l’église ce soir, vous attendre à être guéri par cela. C’est vrai. Vous devez respecter Cela, aimer Cela, Le chérir, et Le placer avant toute autre chose. «Prenez le Nom de Jésus avec vous, comme un bouclier contre chaque ennemi.» C’est vrai. Gardez toujours le Nom de Jésus devant vous.
47 Et la première fois qu’elle a dit: «Jésus», le petit Jean s’est mis à tressaillir de joie dans le ventre de sa mère, et elle a dit: «Comment se fait-il que la mère de mon Seigneur, aussitôt que ta salutation a atteint mes oreilles, mon enfant a tressailli de joie dans mon ventre?» Vous parlez d’un Nom... Voilà. «Mon enfant a tressailli de joie et s’est mis à crier et à tressauter dans mon ventre.» Et la Bible dit qu’il était né du ventre de sa mère rempli du Saint-Esprit. Est-ce vrai? Vous savez, le Saint-Esprit donne la vie quand Il vient. Il a donné la vie à un enfant mort, la première fois que le Nom de Jésus a été prononcé.
48 Remarquez. Elles sont allées de l’avant et quand Jésus est venu... Nous continuons jusqu’à Sa naissance, juste quelques instants. Eh bien, Dieu n’a jamais manqué de témoin. Il a toujours eu un témoin quelque part. Parfois, le nombre diminuait jusqu’à un seul, mais Il n’a jamais manqué de témoin sur terre.
Maintenant, rappelez-vous, Dieu retire Son–Son homme de la terre, mais Il ne retire jamais Son Esprit de la terre. Si jamais cet Esprit quitte, ce... c’en est fini d’elle.
C’est la raison pour laquelle ce soir nous avons des guerres, des troubles et autres. Pourquoi? Ce monde, chaque nation est dominée par Satan. Ouf ! Je n’ai point entendu beaucoup d’amens pour ça, c’est la vérité: AINSI DIT LE SEIGNEUR.
Chaque nation sur la terre est dominée par Satan. Satan transporta Jésus sur une montagne et lui montra les Etats-Unis et tous les autres royaumes. Il dit: «Je Te les donnerai si Tu Te prosternes et m’adores.»
Jésus savait qu’Il les hériterait de toute façon. Il a dit: «Il est écrit: Tu adoreras le Seigneur Ton Dieu et tu Le serviras, Lui seul.»
Satan a dit: «Ils m’appartiennent. J’en fais ce que je veux.» C’est la raison pour laquelle nous avons des guerres et des troubles. Mais l’un de ces jours, ce Rocher qui a été détaché des montagnes va venir écraser ces royaumes et les réduire en poussière.
49 Là dans le Livre de l’Apocalypse, il est dit: «Réjouissez-vous, cieux et vous les saints prophètes (Ça y est), car les royaumes de ce monde sont devenus les royaumes de notre Seigneur et de Son Christ. Et Il les dirigera et régnera sur la terre pendant mille ans.» Vous y êtes. Alors, il n’y aurait plus de guerre.
Mais tant que c’est Satan qui règne, il... Untel bâtira un peu, et quelques hommes bons se mettront au travail et bâtiront un peu, et puis Satan étendra sa main là et démolira la chose. C’est vrai. Alors, la chose suivante, vous savez, avec ce grand prince qui va venir un jour, chaque homme, chaque nation se débat: que ceci soit la langue internationale ; que ceci soit le drapeau international, et elles se battent pour le pouvoir et ne se rendent pas compte qu’elles suscitent une bande de fous. Et nous sommes dans le Royaume qui possédera le monde. C’est vrai. Oui, oui.
Le Royaume de Dieu dirigera, régnera et détruira chaque nation, chaque drapeau, il n’y aura qu’un seul drapeau, et ce sera la vieille Croix rugueuse. Il y aura une seule langue ; ça sera la langue céleste. Alléluia ! Un seul peuple, ça sera les saints, et ils dirigeront et règneront avec Christ sur le trône de David, Son père, et Il dirigera et règnera ici dans le Millénium, pendant mille ans, et alors, c’est la nouvelle terre. Oh ! Quelle chose merveilleuse !
Dites donc, cela me ferait prêcher un peu, je pense, la chose ; en effet, cela nous ferait crier, nous tous les méthodistes. Remarquez, penser à ce temps qui vient...
50 Remarquez, alors, la chose suivante que nous voyons, qui entre en scène maintenant, c’était un autre homme. Dieu avait un reste. Il y eut un homme... Eh bien, naturellement, il y avait Jean-Baptiste qui attendait la Venue de–de Jésus, qu’Il apparaisse. Et il y avait Zacharie. Je veux dire Zacharie plutôt, le père de Jean-Baptiste, qui était Zacharie. Il attendait cela. Et il y avait au temple un vieil homme du nom de Siméon. Il attendait la Venue du Seigneur. Et ils étaient très loin de tout cela.
Ils avaient acquis de bonnes choses et ils étaient... L’Empire romain les avait capturés ; ils étaient captifs. Ils évoluaient très bien. Mais vous savez, un jour, pendant que Siméon priait, le Saint-Esprit est venu vers lui et a dit: «Siméon, tu es un vieil homme, mais tu ne mourras point avant d’avoir vu le Christ.» Pensez-y donc maintenant. Un–un vieux sage, avec une longue barbe blanche, il avait probablement quatre-vingts ans, avec des cheveux blancs, il avait été un docteur parmi ses enfants ; tous le considéraient comme un père. Des milliers de fois, des milliers de Juifs, et un vieil homme vraiment sage...
Et la première chose, vous savez, le Saint-Esprit lui a parlé, disant: «Maintenant, tu ne mourras point avant d’avoir vu le Christ.» Qu’est-ce que cet homme avait à aller témoigner alors ! Mais l’a-t-il fait? Oui, oui. Il s’est avancé là et a dit à tout le monde qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ.
51 Je peux m’imaginer juste la même chose qui s’est passée ici à Louisville au sujet de la guérison divine et du Saint-Esprit. Il a dit: «Vous savez quoi? Frère Untel est devenu détraqué. Savez-vous cela? Il y a quelque chose qui cloche chez lui. Eh bien, ce vieil homme... Eh bien, David L’avait attendu. Et tout là-bas, dans le passé, les apôtres, tout là-bas, les patriarches L’avaient attendu. Et nous voici dans la condition où nous sommes aujourd’hui ; alors, lui, il dit qu’il verra le Christ. Eh bien, pauvre vieux Siméon, quelque chose est arrivé à ce vieil homme.» C’était le cas. Il s’est saisi du Saint-Esprit, ou plutôt le Saint-Esprit s’est saisi de lui, Il pouvait lui parler ; il s’est une fois tenu assez calme.
Les gens penseraient probablement la même chose à votre sujet si jamais Il peut vous garder une fois assez calme. Il peut vous parler. C’est vrai. Vous viendrez nous rejoindre. Hein ! Oh ! la la ! C’est allé profondément, n’est-ce pas? Hein ! Très bien. Eh bien, c’est vrai. Oui, vous deviendrez l’un d’entre eux. Vous savez, il a dit: «L’un d’entre eux... et de cette manière...»
52 Remarquez. Puis, nous voyons que le vieil homme est allé çà et là dire aux gens qu’il verrait le Christ. Ainsi, on pensait donc qu’il était un peu détraqué. Alors, un jour, cela a fini par arriver. Là au sommet de la montagne, des anges étaient descendus et avaient chanté à quelques bergers: «Aujourd’hui, dans la ville de David, est né le Christ, le Sauveur.» Eh bien, pourquoi n’était-Il pas descendu l’annoncer aux sacrificateurs? Ils ne les auraient pas reçus. Dieu traite avec des gens ordinaires. C’est ce qu’Il fait toujours. Et il a chanté aux gens les plus pauvres qui existaient. Quand les anges sont venus, ils ont visité les gens les plus pauvres et les plus rejetés qu’il y avait ; c’étaient les bergers.
Quand Jésus est entré en scène, Il a choisi comme Ses apôtres les paysans les plus pauvres qu’il y avait: des pêcheurs là à la rivière. Et alors, pourtant les érudits emportés, enflés d’orgueil pensaient avoir la chose. Ils l’avaient. Très bien.
53 Remarquez, alors là-haut sur la colline, quand Il est né, il y eut donc des mages qui vinrent L’adorer, des astrologues qui vinrent de l’est en Orient. Ils ont dit: «Nous avons vu Son étoile en Orient et nous sommes venus L’adorer.»
J’aimerais vous montrer quelque chose. L’autre soir, quelqu’un disait, pendant que nous étions là en réunion, il disait avoir vu l’Ange du Seigneur se tenir près. Il a dit: «Frère Branham, j’aurais voulu me lever et dire quelque chose, mais je–je suis resté tranquille.» Il a dit: «Je n’ai rien dit.»
Souvent, cela est arrivé. Eh bien, l’autre femme qui était avec elle a dit: «J’aimerais vous poser une question.» Elle a dit: «Si elle avait vu cela, et que moi, je suis une chrétienne, ne pourrais-je pas aussi voir cela?»
J’ai dit: «Non. Ce ne serait pas nécessaire.» J’ai dit: «Pensez à l’étoile qui avait apparu en Orient et qui avait traversé le pays, d’un bout à l’autre, semaine après semaine, mois après mois, voyageant à dos de chameaux. Ils ne sont jamais venus auprès d’un petit Bébé comme vous le pensez. La Bible déclare qu’ils étaient venus auprès d’un jeune Enfant. Il avait deux ans quand ils sont arrivés là. Hérode a tué tous les enfants de deux ans jusqu’en bas afin de se rassurer de L’avoir. Voyez? Tous les enfants de deux ans, il les a tués. Et Il n’était pas–pas un Bébé comme le christianisme le soutient, mais c’était un jeune Enfant.
54 Et quand ces astrologues sont arrivés là, cette étoile mystérieuse est passée par-dessus chaque observatoire, comme nous le savons. Et, rappelez-vous, il y avait sur la tour de chaque ville quelqu’un qui déterminait le temps à l’aide des étoiles. Est-ce vrai? C’est ainsi qu’ils déterminaient le temps. «Sentinelle, qu’en est-il de la nuit?» Voyez? Ils voyaient par le déplacement des étoiles le temps qu’il était. Et elle est passée près de chacun de ces hommes, érudits et intelligents. Et il y avait de vieux hommes sur des chameaux, chevauchant, tout en observant cela. Et les gens se demandaient: «Qu’y a-t-il avec ces gars qui regardent en haut?» Ils ne voyaient rien. Pourquoi? Ils n’attendaient pas cela. C’est vrai.
Vous dites: «Eh bien, je suis allé à la réunion hier soir, Frère Branham, et je n’ai rien vu d’extraordinaire.» La raison en est que vous n’attendiez pas cela. C’est vrai.
«Je n’ai jamais rien vu dans l’une de ces réunions que vous appelez tous des réunions des gens de la sainteté, ou je ne sais comment vous les appelez vous-même, l’un d’eux: je ne vois rien.» En effet, vous n’attendez pas cela. Généralement, vous recevez ce que vous attendez, vous savez.
55 Alors, ils–ils n’avaient jamais vu cela. Ils ont dit: «Eh bien, je–je suis un astrologue. Je connais chaque étoile dans le ciel. Je sais tout à ce sujet. Et si vous... Ces hommes sont passés juste à côté de moi. Il n’y avait pas d’étoile là.» Mais la Bible dit qu’il y en avait. Certains de ces fondamentalistes ont alors certainement fait volte-face là, n’est-ce pas? Certainement.
Voici passer l’étoile, elle est passée juste à côté d’eux, ils étaient là tout aussi fondamentalistes dans leur astrologie que possible, mais ils n’ont pas pu voir cela. C’est passé juste à côté d’eux, c’est passé par-dessus et ça s’est tenu au-dessus de Christ. Et quand ils ont adoré et qu’ils sont revenus... Vous connaissez l’histoire.
56 Et alors, considérons ça, disons que c’était un lundi matin. Très bien. Il est né à Bethléhem. On n’avait pas de moyens de diffuser les nouvelles comme aujourd’hui. Nous avons le télégramme et–et la télévision, et tout ce que nous pouvons pour envoyer des nouvelles. Mais l’unique moyen dont ils disposaient alors, c’était de le dire à quelqu’un, et le laisser transmettre une lettre ou un message à quelqu’un c’était de bouche à oreille. Et le message n’avait pas circulé.
Maintenant, chaque enfant, d’après les lois juives de l’époque, chaque enfant, après huit jours, la mère devait l’amener et offrir un sacrifice pour sa purification à elle, et la circoncision de l’enfant.
Disons donc que c’était un lundi matin, là, et il y avait environ deux millions de Juifs en Palestine en ce temps-là. Ainsi, il y avait probablement des milliers d’enfants à circoncire chaque jour.
57 Très bien. Disons que c’était un lundi matin, le grand temple... Il y avait des milliers de gens là. Et de ce côté-ci, il y avait une très longue ligne de femmes, debout là avec leurs petits enfants dans les bras, et certaines d’entre eux dans de beaux habits, vous savez. Et les mères murmuraient affectueusement à leurs petits chéris, vous savez. Et les petits Juifs riaient. Et tout d’un coup, vous savez, là le long de la ligne...
Jetons un coup d’oeil alors que nous arrivons. Voici une pauvre femme. Elle se tient là. Je vois là une jeune femme. Elle est très jeune. Elle ne semble pas avoir plus de dix-huit ans, et elle est très pauvrement vêtue. Et elle a un enfant. Et regardez ce qu’Il porte ; Il est emmailloté. Et les langes, c’est ce qu’on retirait du joug d’un boeuf, me dit-on, quand on labourait. Savez-vous? Et on L’a revêtu de cet habit-là. On n’avait pas d’habits à Lui faire porter, aussi L’a-t-on simplement emmailloté. Pourtant, C’était le Roi de Gloire, le Prince de la paix, le plus Puissant qui ait jamais existé ou qui existera jamais. Il était là, emmailloté. Il est entré par la porte d’une étable et Il est sorti par la peine capitale avec des crachats de moquerie sur Lui, de la part des religieux de ce monde-là... de ce monde-ci, plutôt. Oui.
En effet, Il n’était pas du monde. Son Royaume n’était pas de ce monde et c’est la raison pour laquelle Il est sorti de cette façon-là. Il est sorti de cette façon-là afin que nous les coupables, nous puissions Le suivre dans la Gloire un jour. Il a été blessé pour nos péchés ; c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.
58 Le Sang... La scène la plus sanglante que j’aie jamais vue, c’est de Le voir monter à Golgotha. De petites taches rouges étaient partout sur le dos, de Ses vêtements, ici. Nous nous demandons ce que c’est. Nous continuons à regarder cela alors que ça monte. Ces taches deviennent de plus en plus grandes, jusqu’à ce que, finalement, elles forment toutes une grosse tache de sang ; et il y avait quelque chose qui tapait contre sa jambe. [Frère Branham tape ses mains.–N.D.E.] Qu’était-ce? C’était l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. Ce sang qui tombait goutte à goutte de Son corps, c’était pour ma guérison et pour votre guérison, pour la guérison de chaque individu.
Il était là, le sang Lui coulait sur le visage, au travers des crachats de soldats moqueurs et tout ; une couronne cruelle d’épines autour de Sa tête ; et des clous Lui transperçaient les mains, les pieds ; une lance Lui transperçait le flanc. Il était blessé pour vos péchés, brisé pour vos iniquités, le châtiment de Son... qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.
59 Et Le voici maintenant, alors que nous Le voyons entrer dans le monde par la porte de l’étable. Là se tient Sa petite mère, elle se tient là avec un Bébé dans ses bras, emmailloté, avec deux petites tourterelles, l’offrande des paysans. Le bébé d’un riche pouvait offrir un agneau, c’était cela l’offrande pour un enfant de riche. Mais il avait peut-être deux petites tourterelles entre les mains de Sa mère.
Eh bien, je peux entendre quelques-unes d’entre elles dire: «Regardez là. Voilà cette femme-là qui allait çà et là, il n’y a pas longtemps, disant qu’elle allait... Eh bien, je sais qu’elle sortait avec cet homme-là et que c’est ça. Elle a eu cet Enfant en dehors des liens sacrés du mariage. Ne vous tenez pas près d’elle. Je n’aurai rien à faire avec elle.»
Cela me rappelle bien les gens aujourd’hui dans l’église, qui cherchent à éviter les hommes et les femmes nés de nouveau qui savent de quoi ils parlent ; en effet, ils ont reçu quelque chose de la part de Dieu. Peu importe de quel nom le monde taxe cela, vous savez ce que vous êtes.
60 Oh ! Discuter avec frère Paul alors qu’il s’apprêtait à être décapité quand il se tenait là, devant César, ou Agrippa, je pense ; il a dit: «Je sers Dieu selon la voie qu’ils appellent secte.»
J’aimerais le rejoindre ce soir pour dire: «Amen, Paul. Je sers Dieu selon la voie qu’ils appellent secte, insensée, et parmi... avec les gens qu’on traite de fous.» Ils font l’idiot et agissent de toutes manières, et ils se font des entailles, ils crient, et ils hurlent, et ils croient à la guérison divine, la puissance de la résurrection, des choses. C’est avec ce genre de personnes que je sers Dieu. Ce–c’est ce qu’Il a dit. On les taxe de fous, je suis donc l’un d’entre eux.
Et Il a dit: «Paul, tu as trop étudié. Tu es fou.»
Il a dit: «Non, je ne suis pas fou.»
«Tu m’as presque persuadé de devenir chrétien.»
Il a dit: «J’aurais souhaité que tu sois comme moi, excepté ces chaînes.» C’est vrai. Il était là. Regardez-le.
61 Maintenant, voici Jésus au temple. Disons que Siméon était là quelque part dans une pièce, lisant les Ecritures, peut-être: «Nous étions tous errants comme des brebis, l’Eternel a fait retomber sur Lui l’iniquité de nous tous. Il... Mais il a plu à Dieu de Le frapper et de Le briser.» Et: «Il était blessé pour nos péchés...» Siméon a dit: «Je me demande bien de qui il s’agissait.»
Or, si le Saint-Esprit avait promis à Siméon qu’il verrait le Christ, et que le Christ était au temple, c’était au Saint-Esprit de le conduire vers le Christ. Est-ce vrai? Si Dieu a fait une Promesse, Dieu est tenu à Sa Parole. Est-ce vrai? Si Dieu a promis la guérison divine, Dieu est tenu de placer la guérison divine ici. Si Dieu...?... Si Christ a promis qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il est tenu de placer cela sur quelqu’un pour Le représenter: s’Il a promis cela. Et s’Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais», Il est tenu à cette Parole-là. Est-ce vrai?
Il a dit: «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Il est tenu de faire que ces miracles accompagnent. Jusqu’à quand? Par tout le monde, jusqu’à la fin du monde. Il est tenu de faire cela quelque part. Et peu importe combien on persécute et ce que vous essayez de faire, cela sera bien là malgré tout. Il n’y a pas moyen d’arrêter cela, Dieu l’a dit. Et vous pouvez arrêter le monde plus facilement que vous ne pouvez arrêter cela. Cela continuera bien malgré tout. Ainsi, les communistes et tout le reste feront tout aussi mieux de se tenir tranquilles, car Dieu va avancer de toute façon.
62 Maintenant, j’aimerais que vous remarquiez. Je vais me dépêcher vraiment. J’ai environ cinq minutes maintenant. Remarquez, Il est ici. Et Siméon est là au temple, très loin dans une pièce réservée à la prière, le Saint-Esprit a dit: «Lève-toi, Siméon.» Siméon s’est levé. Le voici venir, sortant du temple, sans savoir où il va, conduit par le Saint-Esprit juste le long de la ligne jusqu’à ce qu’il trouve, il s’arrête devant cette petite femme qui porte cet Enfant ; il étend les bras et les larmes coulent sur cette barbe blanche. Il a pris le Bébé dans ses bras et a béni Dieu, disant: «Seigneur, laisse Ton serviteur s’en aller en paix, selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut.»
Le Saint-Esprit lui avait promis cela ; le Saint-Esprit est tenu de le faire. Et pourtant, il ne savait rien à ce sujet, mais Dieu l’a conduit vers Christ quand Christ était au temple.
63 Combien parmi vous croient à la guérison divine? Eh bien, alors, si le... David a dit, quand la profondeur appelle la profondeur, il doit y avoir une profondeur pour y répondre. La ré-... même... Combien aimeraient avoir plus de Dieu ce soir? Levez la main. Eh bien, le fait que vous voulez avoir plus de Dieu, c’est un bon signe qu’il y a plus de Dieu pour vous.
Comme je l’ai souvent dit, avant qu’il y ait une nageoire sur le dos d’un poisson, il a dû y avoir d’abord de l’eau où il nagerait, sinon il n’aurait pas eu de nageoire. Il doit avoir d’abord les nageoires. Avant qu’il y ait un arbre qui pousse sous terre, il a dû y avoir d’abord une terre où il devait pousser, sinon il n’y aurait pas eu d’arbre.
64 Et comme je vous le disais ici au sujet du petit garçon qui mangeait les gommes de ces crayons il y a quelques soirées... Eh bien, la raison pour laquelle cet enfant mangeait les crayons... les gommes et mangeait les pédales d’une bicyclette (C’était du caoutchouc), les médecins l’ont examiné à la clinique et ils ont découvert qu’il avait besoin du soufre. Il y a du soufre dans le caoutchouc.
Or, avant qu’il puisse y avoir un vif désir du soufre là, il a dû y avoir du soufre pour répondre à ce vif désir. Avant que vous puissiez désirer plus de Dieu, il doit y avoir plus de Dieu pour répondre à ce vif désir. Avant que vous puissiez avoir... Avant... Eh bien, même si–si la Bible n’enseignait pas la guérison divine, et que néanmoins vous croyiez en cela, il devait y avoir quelque chose quelque part. Amen. Il doit y avoir une profondeur pour répondre à chaque profondeur. Absolument. Le fait même que vous croyez cela montre qu’il y a une fontaine ouverte quelque part.
65 Et la raison pour laquelle Siméon croyait que Christ viendrait, le Saint-Esprit l’avait dit, et le Saint-Esprit, peu importe combien cela paraissait étrange aux yeux des gens, combien il paraissait fou, et pourtant il croyait cela ; en effet, il y avait quelque chose en lui qui le lui disait.
[Espace vide sur la bande–N.D.E.] ...?... c’est d’atteindre ce niveau où il devait rencontrer cela. Voyez-vous ce que je veux dire? C’est juste comme être obligé de consommer du soufre, pour son corps, être obligé d’amener l’eau au poisson ou le poisson dans l’eau. Voyez? Et ce soir, Dieu est tenu envers vous qui croyez à la guérison divine de vous amener à la fontaine. C’est pour cela que vous êtes ici ce soir.
Le même Saint-Esprit qui a conduit Siméon jusqu’à Christ, parce qu’Il avait promis cela, vous avez lu cela dans la Bible, vous croyez cela, et le même Saint-Esprit vous a conduit ici ce soir. Je suis sûr que le diable ne le ferait pas.
66 Le Saint-Esprit vous a conduit ici ce soir à la fontaine de la guérison divine. Et je vous le promets. Je vous le montre, que c’est la résurrection de Jésus-Christ, la puissance de Dieu, c’est ici ce soir, coulant librement, pour tout homme. «Que celui qui veut, vienne et qu’il puise gratuitement aux fontaines des eaux de la vie.» Ce n’est pas un travail étrange, pas de nationalités, pas de diplômes, pas... Que vous soyez pauvre ou que vous soyez riche ; que vous soyez illettré, que vous soyez instruit, que vous soyez noir, jaune, brun, ou blanc, peu importe qui c’est: «Que celui qui veut, vienne.» Que vous soyez méthodiste, baptiste, presbytérien, pentecôtiste, qui que vous soyez: «Que celui qui veut, vienne.» Boire aux fontaines des eaux de la Vie qui a été frappée au Calvaire pour un monde malade qui dépérit et qui se meurt. Venez boire gratuitement.
67 Le même Saint-Esprit qui vous dit qu’il y a la guérison vous a amené ici ce soir. Regardez le Saint-Esprit conduire Siméon: «Lève-toi, Siméon.» Et maintenant, comme ce soir vous avez été pressé, vous avez pris votre souper. Vous avez dit: «Ma femme, dépêchons-nous et allons rapidement à l’église maintenant. Nous... Peut-être que le Seigneur agira sur nous ce soir. Nous allons voir la puissance du Seigneur. Nous croyons. Nous allons nous asseoir là et prier. Quand frère Branham sera en train de prêcher et de parler, nous pouvons voir cela.»
«Eh bien, dépêchons-nous. Je vais... Oh ! Vous pouvez bien mettre ces pommes de terre de côté. Je les mangerai à mon retour à la maison.» Qu’est-ce? Le même Saint-Esprit agissant là. Voilà un homme et une femme assis ici maintenant, qui sont malades et affligés et qui vont sortir d’ici ce soir guéris. Voilà quelqu’un qui le sera. Amen. Je peux vous le garantir. C’est vrai.
68 Il y a des malades assis ici maintenant qui vont sortir d’ici ce soir guéris. Il n’y a aucun doute que des gens qui se meurent sont assis ici même ce soir, et ils partiront d’ici avec la vie pour vivre de nouveau. Gloire à Dieu ! Pourquoi? Le même Saint-Esprit qui a conduit Siméon vous a conduit ici ce soir. N’ayez pas peur de vous abreuver. Avancez librement avec beaucoup d’hardiesse. Nous venons hardiment au Trône de Dieu, car Dieu qui nous a promis cela est fidèle. N’ayez pas peur. Etendez la main et prenez cela ; c’est pour vous. Il vous a conduit jusqu’à la Fontaine. Maintenant, si vous avez soif, buvez. Buvez en abondance ; buvez jusqu’à ce que vous ne puissiez plus boire. Buvez jusqu’à ce que vous ayez tellement bu le salut de Dieu que vous n’écouterez plus les critiques, vous n’écouterez plus vos sentiments, des symptômes. Vous regarderez au Calvaire et vous direz: «Ô Dieu, j’aimerais entendre les rugissements du Calvaire. C’est tout ce que j’entends.» Amen. Vous y êtes.
69 Voici venir Siméon, conduit par le Saint-Esprit, comme vous qui êtes conduits ici ce soir. Il descendait et il s’est arrêté, il a dit: «Je vois le signe messianique. C’est Lui.» Il a étendu les mains et il a dit: «Seigneur, laisse Ton serviteur s’en aller en paix, selon Ta Parole. Mes yeux voient Ton salut que Tu as préparé pour tous les hommes.»
Là loin dans un coin, à environ un pâté de maisons, il y avait une vieille femme aveugle assise là. Elle s’appelait Anne. Elle était prophétesse ; elle était spirituelle, remplie de la puissance de Dieu. Elle était assise là. Et étant donné qu’elle ne quittait jamais le temple, on lui apportait à manger, et elle restait là et priait pour les gens. Au fur et à mesure qu’ils passaient, Anne priait et disait: «Que le Seigneur vous bénisse et vous réconforte.» Et elle disait: «Un jour, il y aura... Oh ! Bien que je sois aveugle, mais avec cette cécité, je vois venir le Tendre.» Oh ! la la ! Elle avait des yeux meilleurs que ceux de la plupart de vous tous. Elle a dit là en ce jour-là: «Je vois venir le Tendre.»
70 Et je peux l’entendre témoigner à quelqu’un. Juste en ce moment-là, le Saint-Esprit a dit: «Anne, lève-toi. Il est dans le temple.»
«Où est-Il, Seigneur?» Elle a entendu cette petite voix tranquille parler dans son coeur. Elle s’est levée. Et voici venir cette vieille femme aveugle, passant au milieu des gens, se cognant à l’un, puis à l’autre. Qu’est-ce? Etre conduit par le Saint-Esprit: la profondeur appelant la profondeur pour Le voir.
Elle s’avance, et Siméon se tient là, les larmes lui coulant sur le visage. Et j’entends quelqu’un dire: «Maintenant, regardez là ce vieux sacrificateur fanatique. Voyez-vous ce qu’il a fait? Il s’est avancé là. Maintenant, regardez ce vieux prédicateur qui se tient là, fou au possible. Il se tient là. Et regardez qui... regardez avec qui il traite. Regardez cette catégorie de gens. Vous pouvez voir ce qu’il fait. Regardez-le là debout en train de pleurer sur ce pauvre petit Enfant, emmailloté là dans ce vieux vêtement puant qui pend là. Vous pouvez voir le genre de personnes qu’ils sont. Oui, oui. Oh ! Nous n’aurons simplement rien à faire avec eux. Et regardez ici, cette vieille femme aveugle. Où va-t-elle?»
La voilà venir en titubant. «Observez cette pauvre vieille sorcière malheureuse. Eh bien, on devrait... Quelqu’un devrait la faire asseoir.» N’essayez pas cela. La voilà venir. Vous ne pouvez pas faire asseoir les serviteurs de Dieu pendant qu’ils sont conduits par l’Esprit. Ils continuent d’avancer (C’est vrai), ils continuent d’avancer. Et...
71 Elle est directement allée jusque là où Siméon était. Elle s’est arrêtée et a rendu grâces à Dieu. Amen. Vous y êtes. Frère, vous... vous attendez-vous à Le voir ce soir? Croyez-vous que Dieu est en train de prendre des dispositions maintenant pour la miséricorde avant que le jugement frappe les nations? Son bras de miséricorde est tendu vers chacun de vous ici ce soir. Je vous déclare, au Nom de Jésus-Christ, que Jésus est ressuscité d’entre les morts. Et les choses qu’Il a dites dans Sa Parole se passent ici et s’accomplissent exactement tel qu’Il l’a dit. Le même Seigneur ressuscité du Calvaire est ici ce soir pour donner la Vie Eternelle à tout le monde ; pour donner les bénédictions éternelles à tout le monde ; pour donner la paix éternelle à tout le monde ; pour donner le salut ; pour donner la guérison divine ; pour donner chaque bénédiction rédemptrice pour laquelle Il est mort, Il est ici ce soir pour faire cela pour vous.
72 Et assurément, ami chrétien, si j’étais un imposteur et une personne tellement odieuse, comment Dieu confirmerait-Il Sa Parole avec cela? Comment cela pourrait-il se passer à travers le monde? Dieu ne soutiendra jamais une erreur. Dieu n’aura jamais rien à faire avec une erreur. Il soutiendra la vérité et témoignera seulement de la vérité. Si je dis la vérité, Dieu confirmera que c’est la vérité. Si je dis un mensonge, Dieu le dénoncera comme un mensonge. Il n’aura rien à faire avec cela. Il ne dira rien pour cela. Mais je n’ai jamais peur, parce que je sais que c’est la vérité, et que je dis la vérité. Et assurément, j’ai une conception de ce dont je parle, puisque Dieu m’a permis de faire ces choses par Sa grâce.
Et je dis ce soir que chaque personne assise ici, qui a soif de la guérison dans son coeur, c’est à vous, aussi gratuitement que vous voulez recevoir cela. Essayez cela. N’essayez pas cela, obtenez cela. Il n’y a rien à essayer, tout le monde peut essayer. Il faut un vrai homme ou une vraie femme pour aller recevoir cela. C’est vrai. Croyons.
73 Le Saint-Esprit vous conduit maintenant, puisse-t-Il conduire chacun de vous ce soir. Puisse-t-Il vous... conduire votre esprit à entrer en contact avec Son Etre. Puisse-t-Il dire à plusieurs parmi vous ce soir: Que la paix soit à votre âme ! Puisse-t-Il pardonner chaque péché des gens qui sont ici. Puisse-t-Il guérir chaque personne malade. Et quand cette réunion sera terminée... Alors que cette réunion de ce soir entre dans l’histoire, puissent les gens partir de cette salle ce soir et dire la même chose que ceux qui revenaient d’Emmaüs cette fois-là. Ils avaient marché avec Lui toute la journée, parlant avec Lui. Il leur expliquait les Ecritures, mais ils ne se rendaient pas compte que c’était à Jésus qu’ils parlaient. Et beaucoup parmi vous sont venus à l’église ce soir, ils se posent des questions ; ils parlent ; mais vous ne vous êtes pas rendu compte que c’est Lui. Eh bien, quand Il les eut tous introduits dans la maison, Il fit quelque chose d’un peu différent de ce que les autres hommes font ; et ils ont dit: «C’est Lui.» Et ils sont rentrés chez eux aussi vite que possible, et ils ont dit: «Certainement, Il est ressuscité d’entre les morts.» Et puisse-t-Il venir ce soir et faire des choses juste un peu différemment, afin que vous reconnaissiez qu’Il est ici. Comprenez-vous ce que je veux dire? Que Dieu vous bénisse pendant que nous prions.
74 Père, voilà le petit message haché juste tel que je... Tu me l’as donné ici à la chaire. Il est maintenant proclamé. Il est enregistré dans les livres du Ciel. Je ne sais ce qu’en sera le résultat. Je prie que les pécheurs et les rétrogrades ici ce soir se décident maintenant même qu’ils vont Te servir.
Et que tous les malades qui sont dans cette salle ce soir, les malades, les boiteux, les estropiés, les aveugles, les paralytiques, les cancéreux, les gens souffrant du coeur, quoi que ça soit, puisse chacun d’eux se décider maintenant: «C’est par Ses meurtrissures que je suis guéri.» Et puissent-ils reconnaître que c’est Toi, ici, le Seigneur Jésus ressuscité, confirmant Ta Parole par des signes qui accompagnent.
Bénis toutes les églises partout, les églises qui sont représentées ici, bénis les membres. Et que Dieu nous accorde un réveil à l’ancienne mode. Et ce soir, puisse le Seigneur Jésus venir, le Ressuscité, et accomplir, au travers de Son humble peuple, les mêmes oeuvres qu’Il avait accomplies alors, pour confirmer Sa Parole, afin que s’accomplisse ce qui avait été dit par le Seigneur Jésus-Christ: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Au Nom de Jésus, amen.
75 Crois seulement, s’il vous plaît, soeur, juste un instant. Je suis désolé de prendre ce temps comme ceci en vous parlant. C’est si merveilleux. Et je–je pense que la plupart du temps, après tout, ceci est Sa Parole. Et si la prédication de la Parole de Dieu ne brise pas des divergences, je ne sais pas ce qui le fera: La vérité. Il y a peut-être des miracles accomplis ici. Vous pouvez venir à l’estrade... Et je n’ai encore jamais vu quelqu’un qui est passé à l’estrade sans que quelque chose soit arrivé. Je n’ai jamais vu cela de ma vie. Quelque chose se passait. Attendez peut-être quelques jours. La chose suivante, vous savez, l’ennemi va revenir. Alors, vous dites: «Où est frère Branham?» Eh bien, c’est difficile à dire. Je serai à Shreveport, je pense, la semaine prochaine, le Seigneur voulant ; puis à Denver, et puis au Canada, et enfin outre-mer.
Mais écoutez. Si vous avez reçu non pas frère Branham, mais si vous avez reçu l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, que les tempêtes éclatent. Et vous direz: «Je suis sauvé, Frère Branham. Je sais que je le suis ; en effet, je me sens vraiment bien.» Le diable peut vous flouer chaque jour là-dessus: «Je ne suis pas sauvé parce que je me sens très bien. Je ne suis pas sauvé parce que je crie. Je ne suis pas sauvé parce que j’ai des visions. Je ne suis pas sauvé–sauvé parce que je prêche l’Evangile. Je suis sauvé parce que j’ai rempli les conditions de la Parole de Dieu.» «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle.» Le diable ne peut pas vous vaincre là-dessus. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR qui l’affronte juste de face.
76 Très bien. Je pense... A-t-il distribué de nouvelles cartes de prière? Avez-vous distribué de nouvelles cartes de prière? Très bien. Voyons. Prenons les premières d’entre elles ce soir et qu’un petit groupe se lève maintenant. Quel est votre numéro, monsieur? Quoi? Q. Très bien, qui a Q numéro 1? Je ne sais pas qui vous êtes. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
... vous et cela règle la question. Vous n’avez jamais... Beaucoup parmi vous, je reçois vos lettres et j’entends vos coups de téléphone qui parviennent à ma femme et les bien-aimés là. Et ils me disent: «Eh bien, que se passe-t-il?» Voyez? Eh bien, c’est juste parce qu’on est à la maison. Ça, c’est une chose. Voyez? La première chose, il y a des gens assis dans cette salle ici qui me connaissent depuis que j’étais un petit garçon. Et ce–c’est bien. Et comme on est à la maison, Jésus l’a dit, et ça doit bien être ainsi. Une autre chose, c’est l’église. L’église est le meilleur endroit où tenir une réunion. Mais la chose suivante, c’est que les gens arrivent et disent: «Eh bien, c’est–c’est chez frère Cauble.» Ce n’est pas chez frère Cauble ; ceci appartient à Jésus-Christ. Voyez? Frère Cauble est juste l’un d’entre nous. Voyez? Mais c’est ce qu’ils feront.
77 Si ce sont les méthodistes qui parrainent cela, les baptistes diront: «Eh bien, ce sont les méth-... chez les méthodistes. Attendez que nous tenions cela dans notre église.» Voyez? Eh bien, ce–ce... C’est ce qu’ils font. Et puis, une autre chose, dans une église où vous êtes confinés comme ceci, regardez, j’ai l’esprit partout autour de moi (Voyez?), partout.
Ce matin, mon garçon est venu et il me parlait pendant que j’étais au bureau. Il a dit: «Papa, l’un des croyants de frère Cauble était là et on avait prié pour lui hier soir.» C’est quelqu’un, soit un chanteur, soit quelque chose comme cela. Et la nuit avant cela–la nuit avant cela, cette même personne, si c’est la même personne qui était assise ici, avec une grande foi... l’une d’elles, elle s’est retournée complètement comme ceci, avec la foi, elle était assise là, attendant. Et j’étais ici juste sur le point de révéler le problème de cette femme à quelqu’un d’autre qui se tenait ici à l’estrade. Voyez? C’est tout autour de vous. Cela vient comme ceci, juste...
Savez-vous que Jésus a tenu quelqu’un par la main une fois, Il l’a amené dans un autre... dans une autre partie de la contrée et... C’est vrai. Voyez?
78 Vous ne vous en rendez pas compte ; chacun de vous est un–un esprit. Il y a un corps qui vous manifeste, mais tout le monde est un esprit. Et beaucoup parmi vous assis ici regardent tout autour. Vous êtes aimables. Je vous aime et Dieu le sait, mais (Voyez?) votre foi est dans cette première personne ici, cette première conscience. Et quand vous levez les yeux, là au fond de votre coeur, une moindre petite peur surgira là-dedans. «Je me demande comment...?» Cela me taille ici même, que vous arriviez à ressentir cela ; cela vient comme whoouush [Frère Branham produit le bruit d’un souffle.–N.D.E.] comme cela. Je peux sentir cela. Je me dis: «Oh !» Je regarde là et je me dis: «Eh bien, que Dieu bénisse le coeur de cet homme. Je–je sais que ce n’est pas ce qu’il veut dire. Et ici... Et quelque chose ici derrière dit: «Je me demande comment.» Alors, se demander alors... whoouush. [Frère Branham produit le bruit d’un souffle.–N.D.E.] Tenez, c’est sur ce côté-ci. Et puis, ici derrière, vous pensez: «Oh ! Ce n’est pas ce qu’ils veulent dire. Bénis leurs coeurs.» Alors, vous entendez... Vous êtes... Une vision apparaît ici et il y a quelqu’un assis ici qui veut cent pour cent de foi. Il se déplace, et vous voyez quelque chose se déplacer ici. Il y a ici quelque chose... Maintenant, là où vous êtes. C’est tout... C’est la raison pour laquelle je cherche à avoir d’abord la personne juste devant moi, ou quelque chose comme cela, là où il n’y a pas d’esprit autour de cela.
79 Que Dieu soit miséricordieux envers vous, mon ami. Qu’Il soit miséricordieux envers moi. Et maintenant, puisse Sa grâce et Sa bénédiction... Vous dites: «De quoi parlez-vous, Frère Branham?» Vous savez, je cherche à gagner du temps. C’est tout à fait vrai. Oui. Je veux Le sentir. Je me suis mis à prêcher il y a quelques instants et j’ai abordé...
Voyez, il y a deux onctions. Avec l’onction de la prédication, je sens comme si je peux sortir et tailler en pièces une ville avec mes mains. C’est vrai. Mais quand cette autre arrive, alors vous avez envie de vous tenir tranquille et Le voir tailler cela en pièces. Voyez? Vous... C’est différent. Vous... Quelque chose vous arrive. Et vous le sentez bien vous-même. Oh ! la la ! C’est juste comme changer la marche, de... Eh bien–eh bien, tout, c’est le même–même Dieu, ce sont juste les différentes manifestations du même Esprit. Voyez? L’une, c’est pour une chose, l’autre, pour l’autre.
Combien de croyants y a-t-il ici ce soir? Levez la main, pour dire: «Frère Branham, nous sommes juste derrière vous maintenant dans la prière.» Que Dieu vous bénisse. Maintenant, faites-le. Et je crois que vous avez levé la main devant Dieu, vous qui êtes derrière, demandant en tant que croyants. Et je prie qu’Il vienne. Eh bien, je ne sais pas...
Et je prie Dieu de bénir chacun de vous et de faire que Ses bénédictions... Naturellement, s’Il ne vient pas, je–je suis tout aussi impuissant que n’importe qui d’autre ici présent, qui cherche à prendre ma place. C’est tout à fait vrai.
80 Et maintenant, essayons de chanter cela un peu ensemble: Crois seulement, s’il vous plaît, juste un instant là. Allez-y. Puisse le Saint-Esprit, devant ces gens, au Nom de Jésus-Christ, venir à votre...?... ici, le serviteur de Dieu, afin que je sache ces choses et que Tu oignes Ton serviteur pour Ta gloire. Pourquoi es-Tu si loin de moi? Je Te prie de T’approcher maintenant, afin que je sois à mesure de parler du Seigneur Jésus. Et puisse-t-Il confirmer les Paroles que j’ai essayées de dire. Je prie, au Nom de Jésus-Christ.
Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends chaque esprit ici sous mon contrôle pour la gloire de Dieu. Je suis sûr que vous comprenez ce que je veux dire. Un geste de votre part, vous vous rendez compte de ce que ce serait ; ce serait la malédiction de Dieu qui reposera sur vous. Soyez respectueux et obéissez à ce qui vous est dit de faire maintenant. Au Nom de Jésus-Christ. Très bien.
81 Maintenant, si je pouvais guérir les gens, je serais très reconnaissant de le faire. Mais je–je ne peux pas les guérir. Dieu le sait. Mais Dieu peut guérir les gens. Je peux seulement, par un don divin, aider le peuple de Dieu en ayant des visions ou tout ce qu’Il voudrait–Il voudrait m’accorder.
Maintenant, jeune homme, veuillez vous approcher ici juste une minute, un peu plus près de moi, s’il vous plaît. Je suppose que nous sommes inconnus, n’est-ce pas? Je ne vous connais pas. Je pense que c’est notre première rencontre dans la vie. Mais vous êtes conscient que le Dieu même du Ciel, dans la Présence de Qui nous nous tenons maintenant, sera notre Juge à nous deux l’un de ces jours pour ce que... comme nous l’avons fait, et la façon dont nous avons traité Son Message et Son Fils. Et tremblant de crainte du fait de se tenir dans Sa Présence, c’est ainsi que je me tiens ici ce soir, me demandant ce qu’Il dira en ce jour-là.
82 Il y a quelque chose d’étrange à votre sujet. Je ne sais pas, mais il y a quelque part quelque chose qui n’est pas tout à fait correct. Ça continue à devenir sombre tout autour de vous et ça s’éloigne. Et chaque fois qu’il me faut vous rencontrer, votre esprit recule pour une raison. Je ne sais pas. L’auditoire me rendra témoignage de ceci, qu’il y a quelque part quelque chose que je n’arrive pas à comprendre, que Dieu continue à me retirer de vous tout le temps. Et il y a quelque part quelque chose qui est certainement... Oui, je... Jésus-Christ, le Fils de Dieu dont l’Esprit est présent pour accomplir toutes choses et arranger toutes choses...Vous avez un problème. C’est ce que représente cette obscurité. C’est un problème, et ce n’est pas vous. Ce–ce–c’est chez vous. C’est un... c’est familial... Ce–c’est votre femme ; elle vous a quitté. J’ai vu cette obscurité quitter et c’était votre femme, une femme qui autrefois était à vos côtés, s’est retirée et elle est dans les ténèbres. C’est ça. Et une autre chose, vous avez... En ceci, vous avez perdu votre expérience avec Christ. Vous aviez rétrogradé et vous êtes revenu à Dieu. Venez ici, frère.
Bienveillant Père céleste, use de bienveillance et de miséricorde, et puisse Ton Esprit être sur ce pauvre cher homme, Ton fils prodigue. Puisse-t-il revenir ce soir à la Maison du Père, et puisse-t-Il subvenir à tout et lui restituer une double portion. Accorde-le, Seigneur. Je l’envoie maintenant sur le chemin à Ta rencontre, Seigneur, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Rentrez maintenant chez vous et jetez toutes vos mauvaises habitudes et autres dans la mer de l’oubli. Vos péchés sont pardonnés, et maintenant, partez et Dieu agira et travaillera avec vous. Que Dieu vous bénisse, mon frère.
83 Aimez-vous le Seigneur Jésus de tout votre coeur, de toute votre âme, de tout votre esprit?
Venez, madame. J’aimerais que vous croyiez et que vous ayez la foi. Maintenant, chaque personne dans cette salle devrait croire maintenant même et accepter Jésus comme–comme son–son Sauveur maintenant même, et comme son Guérisseur.
Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas, madame? Vous avez été à l’une de mes réunions, mais je ne vous connais pas. Très bien. En effet, même si je... peut-être si je vous connaissais, je ne le saurais pas maintenant. Voyez? Ce n’est pas que je reconnais simplement que quelqu’un se tient ici, et c’est juste tout... C’est... Les choses ont changé maintenant. Et je...
Là dehors, je me comporte comme les autres hommes. J’aime aller à la chasse, à la pêche. Mais maintenant, c’est quelque chose de différent. Je deviens Son témoin maintenant. Nous sommes donc inconnus l’un à l’autre. Et nous devons tous deux nous tenir dans Sa Présence un jour, madame. Me croyez-vous sincèrement, de tout votre coeur, en tant que serviteur de Dieu? Devant Dieu, faites-vous ce voeu? Il y a quelque chose qui semble se déplacer. Votre–votre esprit ou quelque chose qui se déplace. Non, c’est–c’est... Vous représentez quelqu’un d’autre. Ce n’est–ce n’est pas vous qui êtes malade. C’est un–un–un homme, et il est une parenté, ou quelque chose comme cela, un beau-fils, ou quelque chose de cet ordre. Est-ce vrai? Je vois une jeune dame qui ressemble à... Oui, un beau-fils. Et il n’est pas ici. Il est un... il est dans une ville qui commence par un–un «H», Hamilton. Hamilton, dans l’Ohio. Est-ce vrai? Il est à Hamilton, dans l’Ohio. Et cet homme est un pécheur. Je le vois maintenant. Ça devient sombre, et il a été chez un médecin ou quelque chose comme cela, et il a exécuté une intervention chirurgicale. Et c’est quelque part au dos. C’est une–c’est une grosseur. Oh ! C’est un kyste sur un rein. Est-ce vrai? Très bien. Donnez-moi votre mouchoir, juste un instant. Comment ai-je su que vous avez un mouchoir là?
Inclinons la tête. Père céleste, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, j’envoie ceci. Que les péchés du garçon soient pardonnés. Que son corps soit guéri, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Votre nervosité et votre bouleversement vous ont aussi quittés. Maintenant, vous pouvez rentrer, placer ceci sur son corps. Dites-lui de croire en Dieu et d’être bien portant. Que Dieu vous bénisse. Ne laissez personne d’autre toucher ce–ce mouchoir. Placez-le sur lui vous-même.
84 Disons: «Grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ.» Ayez foi.
Croyez-vous, madame, de tout votre coeur? C’est votre femme, monsieur? Quelque chose vous est arrivé récemment aussi, n’est-ce pas? Oui, oui. C’est vrai. Vous lui aviez imposé les mains ; vous êtes un croyant intransigeant. Je ne peux pas la guérir, mais elle ne peut pas cacher sa vie maintenant. Vous le savez. Si je vous dis, par la puissance de Dieu, votre problème, allez-vous accepter cela comme la guérison divine pour votre corps par Jésus-Christ? Vous souffrez de la nervosité ; ça, c’est une chose. Et autre chose, vous souffrez des hémorroïdes. C’est vrai, n’est-ce pas? Si c’est vrai, levez la main. Acceptez-vous cela maintenant comme la guérison? Jésus-Christ vous rétablit. Mettez votre main sur elle, frère...?... Seigneur Jésus, puisse Ton Esprit agir maintenant, et puisse cette femme rentrer chez elle bien portante. Puisse sa foi la sauver maintenant, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
85 Ayez foi. N’en doutez pas. Croyez simplement cela de tout votre coeur et vous recevrez ce que vous avez demandé. Que le Seigneur vous bénisse maintenant.
Si vous croyez, vous guérirez de cette sinusite, si vous–si vous croyez réellement que Dieu vous en guérira. Croyez-vous cela? Très bien, levez-vous et dites: «J’accepte Jésus comme mon Guérisseur. Que Dieu vous bénisse. Allez, et que le Seigneur vous rétablisse. Que Dieu vous bénisse. Amen. Tout ce que vous avez à faire, c’est avoir foi et Dieu vous bénira.
Maintenant, quelque chose vous est donc arrivé, n’est-ce pas, monsieur? Si je vous dis ce qui s’est passé, allez-vous–allez-vous croire que je suis prophète de Dieu? Vous aviez quelque chose qui clochait à votre dos, n’est-ce pas? Levez-vous. Cela vous a complètement quitté maintenant. Que Dieu vous bénisse. Vous êtes guéri. Maintenant, rentrez chez vous et servez Dieu. Maintenant, Le voici venir. Oh ! Pourquoi ne L’aimez-vous pas? Pourquoi ne croyez-vous pas en Lui, vous tous? Comme notre Seigneur est réel et merveilleux !
86 Très bien. Est-ce le patient ici? Venez et ayez foi. Essayez, jeune homme... Croyez-vous qu’Il va vous guérir? Croyez-vous cela? Imposez la main à cet homme à côté de vous ; il souffre de l’arthrite, celui qui est assis juste là aussi. C’est vrai, n’est-ce pas? Seigneur Jésus, rétablis-les tous deux. Je condamne l’ennemi ; au Nom de Jésus-Christ, puisse cela les quitter. Amen. Que Dieu vous bénisse.
Vous pensez que c’est merveilleux, n’est-ce pas, madame? Pensez-vous qu’Il a donc guéri votre gorge au même moment? Cela vous a un peu secouée, n’est-ce pas? Levez-vous. Jésus-Christ vous rétablit. Maintenant, vous pouvez rentrer chez vous et être bien portante. Que Dieu vous bénisse.
87 Très bien, madame. Croyez-vous de tout votre coeur que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est venu sauver et rétablir ; guérir les malades et les affligés? Croyez-vous que je suis Son serviteur? De tout votre coeur? Nous sommes inconnus l’un à l’autre sur terre, mais Dieu nous connaît tous deux. Il connaît tout à votre sujet ; Il connaît tout à mon sujet. Et Il peut faire tout ce que–qu’Il désire faire à ce sujet. Et voici une chose qu’Il va faire: Si nous croyons en Lui, Il confirmera Sa Parole.
Maintenant, regardez de ce côté-ci juste un moment. Je veux dire par cela, comme quand Pierre et Jean passaient par la porte appelée la Belle, ils ont dit: «Regarde-nous.» Voyez? Regarde... En d’autres termes, ils voulaient attirer l’attention de cet homme. Très bien. Maintenant, croyez simplement de tout votre coeur et croyez que Dieu va accorder cette bénédiction.
Vous êtes–vous êtes... vous allez chez le médecin au sujet de quelque chose. C’est une sorte de maladie, vous êtes... c’est–c’est une affection de la vésicule. Et vous allez... Vous êtes allé à une sorte de lieu de renom. Je vous vois un peu excité au sujet de... Oh ! C’est un spécialiste chez qui vous allez pour la consultation dans cette ville. Je connais cet homme. Et vous–vous êtes aussi... Vous avez un–un... c’est un–c’est un petit–un petit enfant. Je pense que c’est un petit garçon d’environ huit ans. Et il souffre d’une espèce d’affection rénale ; en effet, il y a du sang dans ses urines. Je le vois, il a été examiné. Vous savez que c’est vrai, madame.
Regardez ici juste un moment. Je vous vois avec quelque chose en main. Oh ! C’est un–un... Vous vous appelez Elsa, quelque chose comme cela. C’est–c’est un drôle de nom, Elga, mais votre nom de famille, c’est Cox. Et vous habitez au–au 2514, de Jefferson, ou un... C’est vrai, n’est-ce pas? Rentrez chez vous. Croyez-moi en tant que serviteur de Dieu ; vous allez être rétablie. Que Dieu vous bénisse. Vous êtes guérie, au Nom de Jésus-Christ, puissiez-vous être guérie. Ayez foi. Ne doutez pas.
88 Très bien, faites venir le prochain patient. Maintenant, soyez respectueux. Que tout le monde soit aussi tranquille que possible. On ne voit plus ici. Croyez-vous que je suis Son serviteur, monsieur? Oui. Vous étiez assis là, réfléchissant profondément au sujet de quelque chose. Vous vous demandez si cela vous touchera ou si on vous appellera. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vu de ma vie, mais vous essayez d’atteindre quelque chose, de toucher Jésus-Christ, et vous l’avez fait. Vous L’avez touché, Celui qui s’était tourné vers la femme et qui lui avait dit ce qui clochait. Votre foi L’a touché. Vous étiez dérangé par une espèce de mal qui est au niveau du dos. C’est l’affection de foie. C’est vrai, n’est-ce pas? Que Dieu vous bénisse.
Venez. Croyez-vous de tout votre coeur? Nous sommes inconnus l’un à l’autre dans ce pèlerinage ici de la vie ; mais nous ne sommes pas inconnus devant Dieu. Il nous connaît tous deux. Il nous a nourris depuis que nous étions des bébés. Il vous connaît. Il me connaît. Et assurément Il peut nous bénir si seulement nous Le laissons faire.
89 Petit enfant, toi assis ici en train de me regarder... Oui, toi. Lève ton doigt. Tu étais assis là en train de prier, n’est-ce pas? Quelque chose t’a frappé il y a quelques instants. Tu t’es mis à pleurer, car tu crois. Est-ce la vérité? Si c’est la vérité, lève la main. Crois-tu que je suis prophète de Dieu? Tu souffrais des intestins, n’est-ce pas? C’est vrai, n’est-ce pas? Fais simplement signe de la main comme ça. Cela t’a quitté maintenant. Tu peux rentrer chez toi. Ta foi t’a sauvé. Tu as touché le Seigneur Jésus.
Amen. Soyez en prière. Vous n’avez pas besoin d’une carte de prière. Vous n’avez pas à être ici à l’estrade. Il vous faut avoir la foi. Votre foi Le touchera chaque fois. Ce n’est pas moi, chrétiens. C’est Lui. Je ne vous connais pas ; Dieu vous connaît. Je ne peux rien faire de moi-même. C’est Lui qui me dirige vers vous. Je Le vois simplement suspendu là à côté de vous et je vois la chose apparaître.
90 Très bien. Le patient suivant. Juste... Oh ! Excusez-moi. Excusez-moi, madame. Très bien. J’étais–j’étais... Etait-ce à elle que je parlais il y a quelques instants? Je parl-... je vous parlais. Excusez-moi, s’il vous plaît. Maintenant, j’aimerais que vous regardiez de ce côté-ci juste un moment. Soyez sincère. Juste comme nous, ici sur terre, nous sommes inconnus l’un à l’autre, Jésus-Christ nous connaît tous deux. Or, je ne peux pas vous guérir si vous êtes–si vous êtes malade. Une chose que je connais, en fait, c’est que vous êtes une chrétienne, car votre esprit est le bienvenu. Oui. Vous êtes une croyante chrétienne. Mais vous avez beaucoup de problèmes. Et votre problème, c’est... D’une part, c’est au sujet d’un–un enfant, un petit enfant, il y a quelque chose qui cloche chez cet enfant qui est... Il a un poids insuffisant, ou l’une ou l’autre chose. Il ne... c’est un... il ne gagne pas son poids normal et vous êtes inquiète à ce sujet. Et vous souffrez d’une sorte de maladie. Vous... Oh ! C’est un... Vous avez subi une intervention chirurgicale. Et cette intervention vous a causé une maladie. Et vous avez eu... Vous êtes extrêmement nerveuse. Je vous vois essayer de faire des choses. Oh ! Non. Cela est devenu... Vous avez eu une dépression. C’est ça, une dépression nerveuse.
Et n’est-ce pas que vous avez–vous avez un rapport, dans un sens, avec un mouvement religieux, et que votre mari est une sorte d’enseignant, ou–ou quelque chose dans un–un bu... un groupe de gens, ou une chose comme cela, un peu...? Vous êtes membre de quelque chose où on est vraiment heureux. Cela semble être... Je pense à peine que c’est la pentecôte. Mais c’est une sorte de religion où vous criez. Je vois votre mari en train de parler et des gens en train de crier. Vous êtes–vous êtes méthodiste. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Maintenant, croyez-moi sur parole.
Votre petit enfant apparaît ici devant nous encore. Regardez-moi juste un instant, femme. Le... votre–votre enfant est né lors de la ménopause, et c’est ce qui a rendu cela... Mais ça–ça va s’arranger. Ne craignez rien ; je le vois plus tard. Voyez? Cela se déplace. Ne craignez pas. Vous êtes... vous allez vous en sortir de tout... Tout ceci, avec ce qu’il y a à faire avec votre trouble maintenant même, et je...
Venez ici, juste un instant ; je... O Dieu, le–le Père miséricordieux de notre Seigneur Jésus-Christ, j’envoie les bénédictions à ma soeur qui est dans le besoin. Et maintenant, peu importe son besoin, pourvois-y. Je demande cette bénédiction au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que le Seigneur vous bénisse, madame.
91 Très bien, la patiente... Venez, madame. Je suppose que vous et moi sommes–sommes inconnus l’un à l’autre. Croyez-vous de tout votre coeur que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est proche? Vous vous rendez compte que vous êtes proche d’un pétrin. Et pendant un petit temps, il y a eu sur vous une grosseur qui apparaissait, et c’est une tumeur. Et cela est localisé à un mauvais endroit. Cette tumeur est dans le sein. J’aimerais que vous partiez, et si cette dame qui joue à l’orgue... qu’elle vous impose les mains pendant que vous passez. Elle a été guérie de la même chose. Imposez-lui les mains pendant que je prie.
Seigneur Jésus, que cela disparaisse comme la sienne. Et puisse-t-elle être rétablie, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je demande cette bénédiction. Amen. Ayez foi en Dieu. Croyez-vous tous de tout votre coeur?
92 Très bien. Venez, madame. Croyez-vous? Vous fournissez un grand effort, mais ne soyez pas tendue maintenant. Détendez-vous simplement. En effet, vous êtes obligée de vous sentir un peu différente en vous tenant ici. Vous allez essayer de Le servir avec plus de fidélité maintenant, n’est-ce pas? Au moins, promettez-le-Lui. Je ne lis pas votre pensée, mais j’ai suivi ce que vous avez fait ; en effet, si vous... c’est l’unique espérance que vous avez maintenant. En effet, cette maladie de l’estomac dont vous souffrez est sur le point de devenir un ulcère. Cela a commencé par une maladie de nerfs qui a causé l’ulcère peptique, de l’éructation, cela vous a rendue malade. Mais vous Lui avez promis que vous alliez Le servir et Le servir plus fidèlement, vous marcherez plus près de Lui. C’est ce qu’Il veut. Croyez-vous qu’Il vous a guérie maintenant? Croyez-vous que vous allez vous rétablir? Venez ici.
Dieu Tout-Puissant, envoie Tes bénédictions sur cette femme que je bénis en Ton Nom. Et puisse-t-elle partir d’ici ce soir bien portante et normale, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Maintenant, regardez, madame ; allez prendre votre souper. Mangez simplement ce que vous voulez et ne faites pas attention à cela. Maintenant, allez de l’avant ; mangez tout ce que vous voulez et rendez gloire à Dieu. De tout votre coeur, louez-Le.
93 Maintenant, pendant que je priais pour elle, demandant pour cette maladie, pendant que vous étiez assis là, vous m’avez vu prendre mon temps et refixer mon regard sur vous, en effet, vous souffriez de la même chose: une gastrite. Et aussitôt que cela l’a quittée, cela vous a quitté au même moment. Ainsi, vous pouvez aller de l’avant et être rétabli. Très bien.
Croyez-vous? Que votre âme soit bénie, ma soeur. En effet, vous souffrez de l’ennemi le plus horrible, qui tue plus de gens que n’importe quel autre ennemi que nous avons dans cette nation: La maladie du coeur. Et ce n’est pas juste une indigestion ; vous souffrez du coeur. Vous en souffrez depuis longtemps: une fuite, un murmure au coeur. Venez ici. Vous avez un seul espoir. Prenez cela.
Il y eut une fois, des lépreux assis à la porte, ils ont dit: «Pourquoi resterions-nous assis ici jusqu’à mourir? Si nous restons ici, nous allons assurément mourir. Si nous entrons dans la ville, nous mourrons.» Les médecins ont fait tout leur possible. Il vous reste un seul espoir. Ce n’est pas un espoir, c’est une réalité. Venez à Christ maintenant même. Vous ne pouvez pas perdre. Oubliez simplement avoir donc souffert d’une maladie du coeur. Partez d’ici en remerciant Dieu pour votre guérison ; vous allez vous rétablir. Allez-vous accepter cela maintenant? Voulez-vous lever la main pour accepter cela?
Dieu Tout-Puissant, j’impose les mains à cette femme et je condamne cette maladie du coeur pendant que Ton Esprit qui oint est ici ; au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse.
94 Venez. Peut-être que nous sommes inconnus, monsieur, l’un à l’autre. Dieu seul connaît ces choses. Si notre Adorable Père céleste veut (Il est entre nous maintenant) révéler ce que vous cherchez, ce que vous voulez, allez-vous accepter cela? Et s’Il me révèle donc, sachant que je ne vous connais pas, que je ne connais rien sur vous, ami, c’est... Je deviens horriblement faible. Voyez-vous? S’Il me faisait simplement savoir ce qui cloche chez vous, allez-vous alors accepter votre guérison? Quoi? Toutes les deux vous ont quitté. Maintenant, afin que vous sachiez que votre diabète sucré est parti, observez votre ouïe. M’entendez-vous? «Amen.» «J’aime le Seigneur.» Toutes les deux vous ont quitté. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Disons: «Grâces soient rendues à Dieu.»
Voulez-vous m’obéir en tant que serviteur de Dieu? Allez prendre votre souper. Votre gastrite vous a quitté. Vous pouvez allez et être rétabli. Votre nervosité, c’est ce qui est à la base de cela. C’est parti aussi, cela est causé par un...?... maladie. Que Dieu vous bénisse. Disons: «Gloire au Seigneur !» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur.»–N.D.E.]
95 Eh bien, votre maladie, c’est ceci, soeur. Depuis que vous étiez enfant, vous avez été nerveuse. La maladie de nerfs s’aggravait à l’école, surtout. Vous avez connu des moments difficiles. La moindre petite chose vous énerve. C’est vrai, n’est-ce pas? Puis, cela s’est développé en un ulcère d’estomac aussi. Vous souffrez de l’estomac. Et une autre chose pour laquelle vous cherchez Dieu, vous cherchez une marche plus intime avec Dieu. C’est la vérité, n’est-ce pas? C’est vrai. Maintenant, croyez-vous? Cela vous fait savoir quelle était votre vie. Maintenant, croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous croyez. Alors, si je vous demande, et c’est le Saint-Esprit qui parle, connaissant votre vie et révélant cela, assurément que vous allez vous rétablir, n’est-ce pas? Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Et si ce sont là les miracles qui les accompagneront, alors ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. Croyez-vous cela? Venez ici.
Bienveillant Père, manifeste Ta miséricorde envers cette femme, et puisse-t-elle partir d’ici ce soir, et puisse l’Adorable Saint-Esprit de Dieu agir sur elle et la guérir, au Nom de Jésus-Christ, je le demande.
96 J’aimerais que vous vous retourniez de ce côté-ci, madame, juste un instant. Cette nervosité qui cause tant d’ennuis, beaucoup de gens ici ce soir souffrent de la même maladie. Combien parmi vous là dans l’assistance en souffrent? Levez la main. Levez la main. Voyez-vous ce que je veux dire? Maintenant, gardez votre main levée juste un moment. Maintenant, levez la main, soeur. Avez-vous accepté votre guérison? Croyez-vous que vous allez vous rétablir maintenant? Acceptez-vous votre guérison? Croyez-vous que vous allez vous rétablir maintenant? Alors, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je condamne ce démon qui vous lie ; puisse-t-il sortir de chacun de vous et que vous soyez rétablis. Maintenant, levez-vous et témoignez. Vous qui venez d’être guéris tout à l’heure, levez-vous.
Tout celui qui souffre du coeur, levez-vous maintenant même. Cette même chose. Tout celui qui souffre du cancer, levez-vous. Tout celui qui est malade, levez-vous. Levez-vous. J’aimerais que vous leviez les mains comme ceci. Merci. Maintenant, relevez la tête et regardez dans cette direction. D’où viendra votre secours? Il vient de Jésus-Christ.
Chaque pécheur ici présent, levez-vous maintenant même et levez la main. Chaque rétrograde, levez-vous et levez la main. C’est bien. Je vous vois venir là-bas. C’est bien. Levez-vous. C’est bien. Chaque homme qui cherche le Saint-Esprit, levez-vous et levez les mains vers le ciel maintenant même. Tout celui qui a un besoin, levez la main. Maintenant, unissons nos voix.
97 [L’assemblée répète la prière qui suit.–N.D.E.] Ô Dieu, Créateur des cieux et de la terre, envoie Tes bénédictions sur–sur nous, car nous sommes ici dans le besoin. Nous avons besoin de guérison ; nous avons besoin du salut, et il nous faut être ramené à la bergerie ; et c’est ce que Tu as fait pour nous ce soir. C’est pourquoi nous nous tenons avec nos mains vers Toi. Et nous Te remercions de nous avoir guéris, de nous avoir sauvés, de nous avoir rachetés. Et nous Te rendons gloire pour cela. Et à partir de ce moment, nous Te servirons de tout notre coeur.
Maintenant, pendant que vous avez les mains levées pour Le louer, j’aimerais offrir des actions de grâce pour vous.
Bienveillant Père céleste, je Te remercie pour chaque guérison. Satan a perdu sa puissance ce soir. Il a été exposé ; il est parti. Ces gens sont libérés. Qu’il ne puisse plus revenir. Les rétrogrades reviennent à la maison, auprès de Dieu. Les pécheurs se repentent. Ô Dieu, tires-en gloire. Je–je Te prie, au Nom de Jésus-Christ, pour toute la gloire et la puissance...?...