Les Oeuvres que je fais rendent témoignage
Mon Ange Marchera Devant Toi - Shp
1 Merci, Frère Baxter. Bonsoir, les amis. Je suis si
heureux d’être ici ce soir. Et je regrette que nous ayons une–que les
gens restent ainsi debout, tout ce monde se trouvant dehors–dehors dans
la rue. Et mon fils, quand il est venu me chercher, il a dit: «Eh bien,
dit-il, Papa, dit-il, les gens sont debout partout, sur les rues et
partout.» Il a dit: «Vite, vite, vite.» Pour ainsi dire, cela rend donc
la chose un peu difficile, lorsque vous devez faire vite, vite, vite,
n’est-ce pas? Mais ce–ce n’est pas autant mauvais pour moi de faire
vite que pour vous de rester ainsi debout, chose que je regrette.
Nous sommes très heureux d’être ici …?… Tallahassee.
Nous avons savouré chaque instant que nous avons passé ici. J’espère
qu’un jour nous pourrons revenir et rester une fois de plus avec vous
pour – pour… En effet, nous nous attendons vraiment à ce qu’un jour
Dieu nous donne une tente ou un endroit où nous pouvons tenir des
réunions. C’est un peu difficile quand nous devons–vous savez, nos gens
viennent et que nous n’avons peut-être pas assez de place pour les
recevoir.
2 Nous vous remercions pour tout ce que vous–vous
avez fait. Nous vous remercions pour tous les ministres, pour ce qu’ils
ont fait, pour la collaboration des pasteurs. Vous venez à l’église.
Vous travaillez durement. Les hommes de cette trempe qui croient dans
ces grands principes de Dieu, qui vous ont été enseignés comme étant la
vérité, Dieu est venu et a confirmé que c’est la vérité. Vous devez
donc croire cela. Ce sont des hommes de Dieu. Je souhaite donc pour
chacun de vous, frères, qui avez aidé dans ces réunions, que vos–que
vos réunions deviennent de plus en plus importantes. Et quant à vous,
les peuples, puisse Dieu vous bénir richement.
Et il y a beaucoup, beaucoup de choses qui ont été
accomplies au cours des réunions et sur lesquelles je n’ai encore rien
dit. J’ai simplement laissé aller cela. Mais vous découvrirez après mon
départ. Vous les pasteurs, souvenez-vous de ceci, qu’après… après mon
départ, vous verrez qu’il y a beaucoup de choses qui avaient été
accomplies et sur lesquelles les gens ne connaissent encore rien. Mais
vous verrez des femmes et des hommes venir vous trouver et dire: «Ma
gastrite est terminée.»; «L’arthrite m’a quitté.» Eh bien, vous les
pasteurs, veuillez prendre note de cela pour voir si ce n’est pas la
vérité. Vous les entendrez dire cela. Ainsi, nous vous remercions.
3 Et mon manager vient de m’annoncer que l’on a
prélevé une offrande d’amour pour moi. J’apprécie cela. Je ne méritais
vraiment pas une offrande d’amour, mes amis. Je–Je ne… Mais
je–j’apprécie cela car j’essaie vraiment de réunir de l’argent
présentement pour aller en Afrique et à d’autres endroits. C’est ce que
j’en ferai. Voyez? Il m’envoie là en Afrique où des milliers et des
millions de gens sont dans les profondes ténèbres de l’ignorance. Je
sais que ça ira au bon endroit; je vous le promets, que cela va… Chaque
centime sera utilisé pour la cause de Jésus-Christ. Si petit… Il me
faudra peut-être payer une petite facture pour la nourriture ou pour
autre chose à la maison, ma facture d’épicerie et ainsi de suite, mais
en dehors de cela, chaque centime que j’ai va directement dans les
missions à l’étranger. Ensuite, je vais moi-même m’assurer que je–que
je le ferai effectivement arriver là-bas pour l’utiliser. Ma prière est
que le Seigneur vous bénisse…
4 Et je donnerai au frère… Je crois que c’est cette
sœur ou quelqu’un d’autre qui m’a dit aujourd’hui que c’était une
église des Pentecôtistes de la Sainteté. Qui est le pasteur des
Pentecôtistes de la sainteté …?… C’est vous le pasteur? Connaissez-vous
le frère …?… Est-ce vrai? [Un frère parle à frère Branham–N.D.É.] C’est
vrai. Bien, c’est très bien. Bien, il est un… Certainement, frère
Freeman, moi et frère Fischer, nous sommes tous de très, très bons
amis. Je vais assurément leur apporter une bonne nouvelle, à savoir que
nous avons eu une vraie réunion ici dans la–l’église pentecôtiste de la
sainteté alors, quand je leur dirai que le Seigneur était avec nous
ici. Que le Seigneur vous bénisse tous, chacun de vous.
5 Et maintenant, ce soir, vous qui êtes là debout, je
vais juste lire une Écriture, et puis, nous allons commencer à prier
pour les malades dans quelques instants. Je sais que vous êtes fatigués
de rester debout. Je sais que ceux qui sont dehors, au sous-sol et
partout, sont fatigués de rester debout. J’aurais souhaité pouvoir
faire quelque chose en ce moment même. J’aurais souhaité qu’il soit en
mon pouvoir de pouvoir simplement lever, et bénir tous ceux qui sont
ici, en sorte qu’ils soient là à louer Dieu, et à bénir Dieu, et que
chacun soit guéri et s’en aille, et il n’y aurait aucun malade, ni
estropié, ni… N’aimerais-je pas le faire?
Oh! Si seulement je le pouvais, je le ferais
maintenant même. Mais il–il n’est pas en mon pouvoir de le faire. Je
n’en suis pas capable. Je ne suis qu’un homme. Voyez? La seule chose
que je peux faire, c’est d’offrir une prière pour vous et de vous dire
la vérité. Et si, en étant dans les réunions, ce pourquoi les gens
viennent, c’est. C’est quelque chose que les ministres ont prêché. Vos
pasteurs, il y a peut-être des années, ils vous ont prêché que Dieu
ferait ces choses juste avant. [Espace vide sur la bande–N.D.É.] C’est
uniquement pour confirmer que ce que vos pasteurs vous ont prêché
arrivera. Et en faisant cela, j’essaie humblement de tout mon mieux ce
soir, de vous apporter l’Évangile de la manière dont je crois que Dieu
a ordonné que je devrais le prêcher. Recevez cela, je vous en prie. Et
ensuite, croyez parfaitement que ceci est la vérité.
6 Maintenant, quant à vous qui êtes dehors et au
sous-sol, et quant à vous qui n’êtes pas en mesure en ce moment de voir
dans… Le Seigneur Jésus-Christ, par le châtiment qu’Il a subi à la
place des autres et par sa mort au Calvaire, a payé le prix pour la
guérison de chaque mortel au monde, ou qu’il y aurait jamais au monde.
Jésus a déjà payé le prix, et pour Dieu vous êtes déjà guéri. La
maladie n’existe pas pour Dieu. Vous êtes déjà guéri. Chaque pécheur
ici, à l’intérieur, dehors, où que vous soyez, vos péchés, pour Dieu,
vous sont pardonnés maintenant. Mais si vous n’acceptez pas cela et
qu’ensuite vous veniez dans la Présence de Dieu comme fils et filles de
Dieu, mais sans le Sang de Jésus sur vous, vous serez alors condamnés
en tant que–une fois arrivé là. «Le jour où tu en mangeras, tu mourras.»
Bon, vous n’êtes pas obligé de mourir dans cette
condition-là. Vous ne pouvez rien au fait d’être pécheur, car vous êtes
né pécheur, mais c’est votre faute – de rester un pécheur; car pour
Dieu, le péché est déjà couvert. Il ne peut pas regarder au péché.
Il–Il est juste et souverain. Il doit juste… [Espace vide sur la
bande–N.D.É.] Dieu ne peut pas regarder au …?… juste alors. Dieu ne
peut pas regarder au péché; Il est saint. Mais le Sang de Jésus tient
cela éloigné comme le ferait le pare-chocs d’une voiture. Chaque fois
que vous péchez, le Pare-chocs, Jésus-Christ, intercepte votre péché
avant que ça atteigne Dieu… N’avez-vous pas honte de la manière dont
vous L’avez traité.
7 Je me souviens avoir regardé là-haut un jour et
considéré ce qu’Il a fait pour moi, j’ai humblement rampé vers Lui… Mon
nom se trouve inscrit là sur un livre, et, oh! ce qui était écrit
là-dedans, J’ai dit: «Seigneur, veux-Tu me pardonner?»
Et on dirait qu’Il a pris Ses mains, Les a enfoncées
dans Son côté, et a dit: «Oui» Et Il a écrit en travers de ce livre-là:
«Pardon», l’a refermé, puis l’a jeté dans la mer de l’oubli. Et depuis
lors, je suis heureux. J’essaie de mon mieux, à mon humble façon, de
dire à tout mortel sur terre: «Jésus-Christ t’aime, et Il est l’unique
qui retient la colère de Dieu loin de toi. Reçois-Le comme ton Sauveur
personnel.»
Et quand vous faites ça, eh bien, Lui qui était –
dont le dos était meurtri, «par Ses meurtrissures nous sommes guéris,»
où plutôt «nous avons été guéris,» non pas que nous le serons, nous
avons déjà été guéris… Chaque personne a été guérie. Et maintenant, la
seule chose qu’il vous faut faire, c’est de croire d’abord dans votre
cœur avant de le dire. Si vous ne le dites que de vos lèvres, cela ne
vous fera aucun bien. Mais de… Voyez, nous…
8 Ce n’est pas une chose superficielle. Ce n’est pas
quelque chose juste comme… J’ai entendu quelqu’un dire, l’autre soir au
cours de–d’une émission à la radio: «Chaque personne qui croit est–est
remplie du Saint-Esprit.»
Eh bien, pour moi, sans vouloir être en désaccord
avec ce ministre, mais il–il n’a probablement pas compris les
Écritures. Paul, dans Actes au chapitre19, demandait à ces baptistes
là-bas, s’ils avaient reçu le Saint-Esprit depuis qu’ils avaient cru?
Pas quand tu crois. Le Saint-Esprit est un don de Dieu après que vous
avez cru. C’est le don de Dieu pour vous quand vous croyez. Mais vous
pouvez croire que Jésus est le Fils de Dieu, et L’acceptez comme votre
Sauveur personnel, et néanmoins ne pas avoir le Saint-Esprit. Le don du
Saint-Esprit est un don personnel de Dieu au croyant. Vous êtes sauvé
parce que vous croyez, mais vous êtes rempli du Saint-Esprit quand le
don personnel de Dieu, qu’est le Saint-Esprit vient sur vous…
Eh bien, voyez, ce n’est pas quelque chose
d’artificiel. C’est quelque chose de profond. Nous ne sommes plus des
bébés; nous sommes des hommes et des femmes. L’église devrait être dans
cet état ce soir, pas du superficiel, mais de la profondeur de Dieu.
9 Maintenant, la guérison n’est pas quelque chose
pour lequel vous pouvez juste dire: «Bien, je… Oui, je le crois. Je le
crois.» Bon, ça c’est très bien. Si c’est la meilleure chose que vous
pouvez faire, juste mentalement, et dire simplement: «Eh bien, je… Oui,
je–je vois cela. Je crois cela; j’accepte cela.» Si donc vous
l’acceptez sur ces bases, continuez à le dire sans cesse. Dites cela à
haute voix… Dites cela à maintes reprises. Continuez simplement à dire:
«Je suis guéri. Je suis guéri.» Dites-le jusqu’à ce que vous y croyiez
effectivement. Et lorsque vous y croyez, alors cela va se produire.
N’ayez pas un témoignage négatif. Chaque fois que
vous faites comme confession: «Eh bien, je me sens encore mal
aujourd’hui. Je pense que je…» Vous retournez droit dans la même
situation pénible où vous vous trouviez au début. Il n’y a aucun homme
ni aucune femme ici qui est baptisée du Saint-Esprit qui ait commencé
sa confession comme suit: «Je crois que j’ai perdu le Saint-Esprit. Je
crois qu’Il m’a quitté, je crois que je…» Vous allez du coup régresser;
vous n’allez jamais… Pouvez-vous…
10 Écoutez attentivement. Vous ne vivrez jamais
au-dessus de votre confession. Jésus est le Souverain Sacrificateur de
notre confession. (Est-ce vrai? Maintenant, Hébreux 3.1, eh bien
n’importe quel érudit sait que ce même mot Professer signifie aussi
«confesser» la même traduction.), eh bien, étant assis à la droite du
Père pour faire l’intercession sur base de quoi? De notre confession.
Il ne peut rien faire pour vous à moins que vous confessiez
premièrement qu’Il l’a fait. Voyez?
Quand vous avez accepté. Bon, je n’étais pas sauvé.
Je ne suis pas sauvé ce soir du fait que je suis heureux et que je
crie. Ce n’est pas ça. Je ne suis pas sauvé parce que le don de Dieu
opère par moi. Je suis sauvé parce que j’ai rempli les conditions que
Jésus-Christ exige de moi. Je suis sauvé conformément à la Bible.
Voyez? Est-ce juste? Voyez? Sur. Et non parce que j’ai le sentiment que
je suis sauvé. Satan peut vous déconcerter en vous faisant changer
brusquement de sentiments, mais il ne le peut pas quand c’est AINSI DIT
LE SEIGNEUR. Voyez? Il ne peut pas faire partir cela. Il ne peut pas
venir à bout de cela; cela va le vaincre.
11 Eh bien, quand vous aviez cru que vous étiez
sauvé, assis sur votre chaise, là dans le… peu importe là où vous
étiez, vous avez accepté cela et vous vous étiez mis à confesser et à
dire aux gens que vous étiez sauvé. Eh bien, vous continuez à dire: «Je
suis sauvé!»
Les gens ont dit: «Il n’y a pas de changement en
vous» mais vous avez cru qu’il y en avait. Est-ce vrai? Et vous avez
continué à faire votre confession et peu après, cela a produit la
justification. Tous vos voisins et tout le monde savent que vous êtes
alors sauvé, parce que vous avez cru cela, vous l’avez confessé. Eh
bien, qu’est-ce qui s’est passé? Qu’est-ce qui vous a changé? Il est le
Souverain Sacrificateur de votre confession, assis à la droite du Père,
accomplissant ce que vous confessez.
Bon, c’est la même chose pour la guérison.
Acceptez-Le comme votre Guérisseur, renoncez à vos sensations. Ce n’est
pas par les sensations; c’est par la foi. Dites que vous êtes guéri;
croyez que vous êtes guéri; agissez comme si vous êtes guéri;
associez-vous à ceux qui croient dans la guérison, et Dieu vous amènera
directement à une parfaite santé: Il ne faillira pas.
12 Juste un exemple. J’essaie de mettre la foi en
action, voyez, afin que je voie ce que le Saint-Esprit fera pour nous
dans quelques instants. Ne regardez jamais aux symptômes. Madame, ne
tenez pas compte du fait que vous êtes assise dans un fauteuil roulant,
ou ce jeune homme-ci, ceci ne signifie pas plus pour Dieu que de guérir
un mal de dent, voyez, il n’y a pas la moindre différence.
Mais maintenant, écoutez, Il est le Souverain
Sacrificateur de–de votre confession. Maintenant, s’il y a quelqu’un
qui devrait avoir un – un cas grave à voir les symptômes, c’était Jonas
lorsque il descendait à Ninive. Il était rétrograde, il va à Ninive, ou
plutôt à Tarsis, au lieu de Ninive; il était dans le bateau qu’il ne
fallait pas, suivant le chemin qu’il ne fallait pas, rétrograde, fuyant
Dieu dans une mer en furie. On lui a lié les mains et les pieds, on l’a
jeté par dessus bord. Il est descendu dans la mer. Une baleine l’a
avalé puis est descendue droit au fond de la mer, pour faire reposer
ses nageoires comme le font tous les poissons. Il était là, les mains
et les pieds liés, dans une mer en furie, rétrograde, une mer de
plusieurs mètres de profondeur dans le ventre d’une baleine.
S’il y a une personne qui devrait avoir des
symptômes, c’était Jonas. Lorsqu’il regardait dans telle direction,
c’était le ventre de la baleine; partout où il regardait, c’était le
ventre de la baleine. Mais il refusa de considérer cela.
Vous regardez et vous dites: «Je me retrouve ici.»
Quelqu’un d’autre regardera, et dira: «Eh bien, le
médecin m’a dit que j’ai la maladie du cœur. J’ai l’arthrite». Refusez
de voir cela; refusez de le croire… C’est vrai.
13 Jonas a dit: «Ce sont de vaines idoles.» Il a dit:
«Je regarderai encore une fois à Ton saint temple» dit-il à Dieu.
En effet, lorsque Salomon avait consacré ce temple,
il avait dit: «Si Ton peuple est dans des difficultés quelque part et
qu’il tourne les regards vers ce lieu saint et prie, alors écoute à
partir des cieux.»
Et il crut, Jonas crut que Dieu avait entendu la
prière de Salomon. Et, il a commencé à dire: «Je ne vais pas considérer
le ventre de cette baleine. Je ne penserai pas à ma condition
rétrograde. Je regarde à Ton saint temple et je fais ma confession.» Et
Dieu envoya de l’oxygène là-bas, le garda en vie pendant trois jours et
trois nuits, et l’envoya directement à Ninive où il devait aller.
Eh bien, si Salomon avait offert cette prière, et
si… Personne ici ne se trouve dans une telle situation où se trouvait
Jonas, même pas à moitié. Vous n’avez aucun des symptômes que lui
avait. Bien, si lui, dans cette condition, a pu regarder au temple qui
était fait de mains d’hommes, par un être terrestre, par un homme, par
Salomon, il s’est assis et a prié, et a pu avoir foi dans la prière de
Salomon, à combien plus forte raison vous et moi, ce soir, assis ici,
devrions regarder au trône de Dieu, où Jésus Se tient à Sa droite avec
Son Sang pour faire l’intercession sur base de votre confession.
Refuser tout simplement d’avoir les symptômes.
14 Les symptômes, c’est quelque chose du genre,
disons, demain lorsque vous rentrerez alors à la maison, chez vous, le
facteur viendra et dira: «Êtes-vous Madame Joe?»
– Oui.
– J’ai un cadeau pour vous.
D’accord. Qu’est-ce que c’est? Il lui remet un–un
panier, ou une boîte, puis vous entendez quelque chose bouger dans
cette boîte. Vous regardez dedans. C’est une grande boîte contenant des
serpents, des serpents à sonnettes. Eh bien, vous ne voulez pas de ces
choses.
Bon, vous dites: «Je n’en veux pas.»
«Oh! mais c’est à vous. Quelqu’un vous les a
envoyés. Voici votre nom. Voici votre nom. Voici le nom. C’est
quelqu’un qui vous a envoyé ces serpents; ils sont à vous. Vous devez
les prendre.» Maintenant, dans un sens, ils sont à vous. Dans un autre
sens, ils ne le sont pas. Quelqu’un vous les a envoyés, mais ils ne
sont pas à vous, à moins que vous alliez signer pour attester que vous
les avez reçus. Et une fois votre signature apposée, vous les avez
reçus, alors ils sont à vous. Mais si vous refusez de signer pour
accuser réception, il doit les remettre à la compagnie express. La
compagnie express doit les renvoyer à celui qui vous les avait envoyés.
Est-ce vrai?
Eh bien, ne signez pas pour accuser réception de
quelque chose que le diable a apporté. Non, monsieur. Refusez de
recevoir cela. Non, monsieur. Dites: «Je n’ai pas cela. Diable,
reprends tout cela. C’est tout. Je ne désire pas l’avoir.» Refusez
d’avoir votre maladie, votre arthrite, peu importe ce que c’est. «Je
n’ai pas du tout cela. Par Ses meurtrissures je suis guéri.» Restez sur
votre position. Confessez cela. Croyez cela. Restez-en là. Dieu
accomplira cela. Peu importe ce que c’est, croyez simplement en Lui.
15 Bien, vous êtes un aimable groupe de gens. Je–Je
ne suis pas un prédicateur fameux, mais j’aurais voulu certainement
parler un peu ce soir, mais je ne le peux pas. J’ai–j’ai peur de
m’éloigner du… Maintenant j’ai donc prié pendant des heures pour
l’onction de–pour la guérison et puis je suis venu directement, et j’ai
commencé à prêcher, ce n’était pas la chose à faire.
J’aimerais lire une Écriture, et après nous
formerons la ligne de prière. Saint Jean, chapitre 5, commençons au 33,
au verset 33. Maintenant, écoutez attentivement:
Vous avez envoyé vers Jean, et il a rendu témoignage
à la vérité.
Pour moi, ce n’est pas d’un homme que je reçois le
témoignage; mais je dis ceci, afin que vous soyez sauvés.
Jean était la lampe qui brûle et qui luit, et vous
avez voulu vous réjouir une heure à sa lumière.
Moi, j’ai un témoigne plus grand que celui de Jean;
car les ouvres que le Père m’a donné d’accomplir, ces ouvres mêmes que
je fais, rendent témoignage de moi, que c’est le Père qui m’a envoyé.
16 Inclinons la tête juste un instant, partout, s’il
vous plaît… Eh bien, dans une profonde sincérité, les amis, à
l’intérieur, dehors, partout. Maintenant, regardons à l’Auteur et au
Consommateur de notre foi, qui a promis que si deux ou trois personnes
sont réunies en Son nom, Il sera là.
Maintenant, Seigneur, nous croyons que Tu es juste
ici. Nous venons, Dieu, au Nom du Seigneur Jésus, parce que nous
n’avons aucun nom, ni nos propres mérites sur base desquels venir. Si
nous venions en notre propre nom, Tu ne nous recevrais pas. Mais nous
sommes très profondément préoccupés ce soir au sujet des malades et par
leur condition. Ce sont Tes enfants, nous venons en plaçant le Nom de
celui qui a promis que si nous venions en Son Nom, Tu nous entendrais,
notre Seigneur Jésus-Christ. «Tout ce que vous demanderez au Père en
Mon Nom, je le ferai.» Ainsi, nous venons en Son Nom, sachant que le
Dieu des cieux, le Grand Amoyah, le… Et Il baisse les yeux vers cette
église ce soir, Il regarde, debout dans la cour, là au sous-sol. Tes
yeux, par ces grands rayons-x, percent l’âme de l’homme, rien n’est
caché, Tu connais toutes choses. Tu connais chaque personne. Même pas
un passereau ne peut tomber dans les rues sans que Tu le saches. À
combien plus forte raison ne sauras-Tu pas que nous sommes maintenant
en train de prier? Père, veux-Tu–Veux-Tu le faire pour nous ce soir?
17 Si j’ai trouvé grâce à Tes yeux, Seigneur. J’ai
essayé de mon mieux de Te servir et au mieux de ma connaissance,
sachant que j’ai commis beaucoup de fautes et que je mérite d’être
retranché ce soir, mais c’est par Ta grâce, Seigneur, que nous sommes
ici.
Seigneur, depuis que Tu m’as parlé, et que Tu m’as
envoyé prier pour les malades, j’ai essayé d’être humble. Je n’ai pas
cherché à avoir de très importants endroits où aller. La petite église
me suffit. Si. Partout où, semble-t-il, Tu veux que j’aille, j’essaie
d’y aller. J’ai toujours essayé de rendre honneur et gloire à
Jésus-Christ, notre Sauveur, d’accomplir l’ouvre que, je sais, Il a
commencé là-bas et Il a promis d’être avec les gens jusqu’à la fin du
monde, Lui donna toute la louange et la gloire.
18 Maintenant, Seigneur, baisse Ton regard sur ce
groupe de gens qui sont dans l’attente. Envoie le Glorieux Esprit de
Dieu sur eux. Et puisse l’Ange de la guérison, comme c’était le cas,
étendre Ses grandes ailes sur ce bâtiment ce soir, arrêter toute
incrédulité, et qu’il y ait une si grande joie dans ce camp que, dans
quelques instants, ils vont courir tout simplement sous l’effet de Ses
bénédictions, Seigneur et qu’ils attendent. Et puissent les grosses
gouttes silencieuses de miséricorde et de foi tomber de Ses ailes sur
chaque personne, afin qu’ils soient libérés de chaque péché, de chaque
lien, qu’ils soient libres et viennent Te servir, qu’ils soient guéris
de leurs maladies. Ce soir, quand nous, nous rentrerons dans nos
maisons respectives, bénis chaque personne, ô Dieu. Puissions-nous dire
comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Nos cours ne brûlaient-ils pas
au-dedans de nous,» à cause de Sa présence. Dieu, bénis cette petite
église. Bénis chaque église qui collabore avec elle. Et un jour,
accorde Seigneur que si telle est Ta volonté, nous retournions dans
cette belle ville et y tenions un réveil à l’ancienne mode pendant
beaucoup, beaucoup de semaines, et beaucoup de choses pourraient se
produire. Car, nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
19 Merci. Et maintenant, commençons ce soir. Ils ont
distribué aujourd’hui tout le nouveau tas de cartes de prière, tout un
nouveau tas, il y en avait beaucoup, beaucoup, commençant avec la
lettre «M». Et maintenant, nous aurons… Nous ne pouvons pas faire se
lever beaucoup de gens à la fois. Combien pouvons-nous amener à se
tenir debout ici? C’est très bien. De qui s’agissait-il quand l’on
disait qu’ils… Oui. Très bien. D’accord. Les pasteurs, et le frère
Baxter, et les autres ont suggéré que nous appelions juste trois à la
fois, pour ne pas les garder debout. Très bien, ça sera bien.
Bien, commençons alors directement avec le premier
donc, commençons juste en bas. Qui a le M-1? elle se trouve où? M-1, la
carte de prière M-1? Regardez sur votre carte de prière. Ils vont…
C’est une petite carte comme celle-ci, elle porte votre nom et
l’adresse au dessus, sur l’autre face, ici elle a… Sur cette face-ci,
elle a une–une lettre «M,» c’est 1. M-1, M-2, M-3. Voyons si nous
pouvons les avoir là. Certains, je crois, sont dehors. Certains sont
pour la réunion de l’après-midi; d’autres peut- être sont debout au
sous-sol. Où que vous soyez, si vous avez la carte de prière commençant
par la lettre M, soyez prêt maintenant, on va vous appeler. Nous avons
M-1, M-2, M-3. C’est assez pour…