L’Alliance Inconditionnelle Que Dieu A Traitée Avec Le Peuple

Date: 54-0814 | La durée est de: 1 heure et 17 minutes | La traduction: Shp
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1          Père céleste, nous Te remercions ce soir pour Tes miséricordes et Ta bonté envers nous. Et maintenant, que Ton Esprit demeure parmi nous, abondamment, ce soir. Déverse sur nous une riche bénédiction du Ciel, de sorte qu’en partant d’ici, nous puissions partir avec un coeur plein de joie. Demain, ce sera le sabbat. Les écoles s’ouvriront à travers le pays, si l’aube se lève, le matin ; des pasteurs occuperont leurs places, des enseignants, les leurs. Que Dieu accorde à cette Californie une véritable secousse à l’ancienne mode, une réunion du Saint-Esprit, demain, en tous lieux, partout. Tire gloire, Père ; guéris les malades ce soir ainsi que les affligés. Bénis-nous ensemble. Sauve tous les pécheurs et ramène les rétrogrades, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

            Vous pouvez vous asseoir si vous le voulez bien et que le Seigneur vous bénisse.

2          Je désire lire juste une portion des Ecritures. Je vais demander à mon bien-aimé frère Ekberg de bien vouloir chanter pour moi après que j’aurai lu cette portion des Ecritures qui se trouve dans Romains, chapitre 4, à partir du verset 16:

C’est pourquoi... par la foi, pour que ce soit par grâce, afin que la promesse soit assurée à toute la postérité, non seulement à celle qui est sous la loi, mais aussi à celle qui a la foi d’Abraham, notre père à tous, selon qu’il est écrit:

Je t’ai établi père d’un grand nombre de nations. Il est notre père devant celui auquel il a cru, Dieu, qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient.

Espérant contre toute espérance, il crut, en sorte qu’il devint le père d’un grand nombre de nations, selon ce qui lui avait été dit:

Telle sera ta postérité.

Et, sans faiblir dans la foi, il ne considéra point que son corps était déjà usé, puisqu’il avait près de cent ans, et que Sara n’était plus en état d’avoir des enfants.

Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu ; mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu,

Et ayant la pleine conviction que ce qu’il promet il peut aussi l’accomplir.

C’est pourquoi cela lui fut imputé à justice.

Mais ce n’est pas à cause de lui seul qu’il est écrit que cela lui fut imputé à justice ;

C’est encore à cause de nous, à qui cela sera imputé, à nous qui croyons en celui qui a ressuscité des morts Jésus notre Seigneur,

Lequel a été livré pour nos offenses, et est ressuscité pour notre justification.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de la Parole.

3          Et Frère... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Il y a beaucoup d’hommes qui ont une voix comme cela, qui chantent dehors chez les montagnards, et tout, mais pas cette voix-là, elle est consacrée à Dieu. Et je remercie Dieu pour cela, pour ce merveilleux homme de Dieu.

            A vous qui connaissez le secret de ce que je fais: L’avez-vous observé, comment il s’est avancé ici, et qu’il est rentré? C’était différent de Chicago, n’est-ce pas?

4          Eh bien, nous remercions le Bon Seigneur ce soir, pour tout ce qu’Il a déjà fait pour nous, car Ses miséricordes durent à toujours, Ses louanges sont pour tous les âges. Et alors, demain, il y aura notre service de clôture, demain après-midi, à quatorze heures trente. Et alors, je pense, Frère Wood, qu’il veuille voir Billy Paul, s’il ne l’a pas déjà vu.

            Et à propos, ce soir, c’est la dernière soirée pour des livres et les photos. Nous ne vendons pas le dimanche. Nous ne croyons pas en cela. Ainsi, nous... ils seront... Frère Wood quittera ce soir, aussitôt après le service. Si vous avez besoin de nos livres, comme cadeau de Noël pour quelqu’un, ou quelque chose comme cela, prenez-les au kiosque.

5          Et puis, demain soir, chacun de vous, vous les visiteurs ici donc, il y a plusieurs bonnes églises du Plein Evangile qui collaborent ici dans cette série-ci de réunions. Et nous espérons que vous vous trouverez un endroit où aller demain, certaines de ces bonnes églises qui nous ont aidés dans cette série de réunions ; allez à cette église-là et réjouissez-vous. Nous fermons, nous n’aurons pas un service le matin ni un service le soir, nous aurons juste un service l’après-midi, de la sorte nous ne dérangerons aucune église. C’est ce que nous aimons faire, collaborer avec chaque action de Dieu avec laquelle nous pouvons. Nous pouvons tenir cela l’après-midi tout aussi bien qu’à n’importe quel autre moment. Ce–c’est pour tout celui qui veut venir, venir demain après-midi, à quatorze heures trente, le Seigneur voulant. Nous aimerions, si Dieu me donne la force, je resterai ici toute la nuit et prierai pour tout celui qui viendra, qui aimera qu’on prie pour lui. C’est vrai. J’aimerais commencer tôt, ainsi, je pourrais avoir une occasion de prier pour tout celui qui veut qu’on prie pour lui.

6          Gardez vos cartes que vous avez reçues cette semaine, elles sont valables. Et si nous vous donnons une carte, nous sommes obligés de prier pour vous ; et nous allons le faire, que Dieu nous vienne en aide, demain après-midi. Amenez tous les malades et les affligés que vous pouvez. Prenez le téléphone demain, appelez vos voisins, les pécheurs qui ne connaissent pas Dieu, et faites-les venir.

            Et maintenant, soyez prêts pour le Saint-Esprit. Généralement, le dernier jour, il y a à peu près deux fois autant de guérisons qu’il y en a eues durant toute la campagne. En effet, c’est la–la traction, et les gens savent que s’ils vont avoir la foi, ils doivent l’avoir maintenant même. Et c’est alors que vous voyez des miracles s’accomplir ; c’est généralement au dernier service. Nous espérons qu’il en sera de même ce soir, que cela se passera ; vous n’avez pas à attendre demain, tout est déjà prêt maintenant même, si seulement vous croyez cela, maintenant même.

            Maintenant, juste pour une portion des Ecritures ici, le Seigneur voulant, c’est... Je ne prendrais même pas le temps de parler, il se fait tard comme ça l’est, mais je pensais peut-être que pendant quelques instants, si seulement vous m’accordiez l’occasion.

            La prochaine fois que je reviendrai en Californie, Dieu voulant, j’aimerais consacrer un peu plus de temps, afin que je puisse rester un peu plus longtemps. Et vous, peut-être, si vous pouvez supporter cela, je prêcherai juste un tout petit peu quand je reviendrai. Et alors, je vais... [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Eh bien, merci... C’est soit vous m’aimez beaucoup soit vous avez beaucoup de grâce ; c’est l’un ou l’autre. Merci.

7          Je désire lire juste une petite portion dans Genèse. J’aime Genèse. Dans Genèse, chapitre 12, nous lisons les trois premiers versets, comme ceci:

L’Eternel dit à Abram: Va-t’en de ton pays, de ta patrie... de la maison de ton père, vers le pays que je te montrerai.

Je ferai de toi une grande nation, et je te bénirai, je te multiplierai et ton nom... et tu seras une source... bénédiction. sera... béni.

Et je bénirai ceux qui te béniront, je vais... je maudirai ceux qui te maudiront, et toutes les familles de la terre seront bénies en toi.

8          Quelle promesse ! Eh bien, en traitant avec les pentecôtistes, et Dieu voulant, à mon retour... J’ai découvert le point faible des pentecôtistes, avec l’aide de Dieu. C’est que vous avez peur. C’est vrai. C’est exact. Vous avez simplement peur de prendre Dieu au Mot ; et vous ne savez pas qui vous êtes. Voyez? Si seulement vous connaissiez votre position au Ciel ce soir, quelque chose se passerait ici. Oui, oui ; oui, oui. Voyez?

            Le problème en est que beaucoup de gens essaient de repousser ces bénédictions dans le Millénium, quelque part. La Bible dit: «Vous êtes maintenant les fils de Dieu (non pas vous serez...), vous êtes maintenant même.» Maintenant même, nous sommes fils de Dieu ; maintenant même nous sommes assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ. Pas demain, cette nuit, ce soir.

9          Quand vous arrivez à penser, eh bien, que vous êtes assis à côté d’un fils de Dieu ou d’une fille de Dieu, et que vous êtes comme eux, et que Jésus-Christ tabernacle en vous ici sur la terre, accomplissant Ses grandes manifestations, de Ses bénédictions et de Sa puissance, voulant que tous soient sauvés, que tous soient guéris, qu’aucun ne périsse, je vous assure, si réellement vous arrivez à vous représenter cela dans votre esprit, je vous assure, vous n’auriez pas à avoir une quelconque prière pour les malades, tout serait terminé. Mais s’il vous–vous faut–vous faut voir cela premièrement... si vous ne pouvez pas voir cela, vous ne pourrez certainement pas comprendre ça.

            Eh bien, le mot voir ne veut pas dire regarder. Le mot voir veut dire comprendre. C’est exact. Comme Jésus disait à Nicodème: «Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le Royaume des cieux.» Eh bien, Il ne voulait pas dire... Il vous est arrivé de regarder beaucoup de choses et de dire: «Je ne vois simplement pas ça.» Cela veut dire: «Comprendre cela.» Vous ne pouvez pas comprendre cela avant de naître de nouveau. Une fois né de nouveau, vous savez ce qui pousse ces gens à agir comme cela ; alors, vous voyez. Vous–vous–vous devez accepter cela vous-même et avoir une expérience personnelle.

10        Maintenant, j’aimerais parler quelques instants sur qui nous sommes, pourquoi nous sommes ce que nous sommes. Qui nous sommes, et pourquoi nous sommes ce que nous sommes ; et j’intitulerai cela, pour, s’il me fallait intituler ce texte (Je n’ai pas de temps d’utiliser cela de cette façon-là.), mais s’il me fallait l’intituler, ce serait: L’alliance inconditionnelle que Dieu a traitée avec le peuple.

            Eh bien, veuillez m’accorder toute votre attention pendant quelques minutes, et je verrai ce que le Saint-Esprit fera ressortir de ce texte pour moi, alors que j’ai pris cela en descendant la route il y a juste quelques instants. Et je–j’aimerais parler de l’alliance inconditionnelle que Dieu a donnée à l’homme. L’homme a toujours cherché à trouver un moyen de se sauver. Il a cherché à se confectionner une religion, à élaborer son propre salut, et il a cherché à se sauver lui-même. C’est la nature de l’homme de faire cela.

11        Et dans le jardin d’Eden, aussitôt que l’homme s’était rendu compte qu’il avait péché (au lieu que ça soit lui qui parcoure la–la rue, ou le paradis là, en disant: «Père, Père, où es-Tu?»), il se cachait. Et c’était Dieu qui parcourait le chemin, criant: «Adam, Adam, où es-tu?» Voyez-vous la nature de l’homme? Au lieu de venir confesser clairement, être sincère à ce sujet et dire: «Ô Dieu, j’ai péché», et «Pardonne-moi», il va fuir se cacher derrière quelque chose. Et la seule chose qu’Adam avait faite, qui est un très grand penchant chez l’homme, il s’est confectionné une religion faite de mains d’homme.

            Eh bien, nous savons que le mot religion veut dire une couverture. Et Adam, au lieu de dire: «Ô Dieu, couvre-moi», il s’est confectionné des tabliers en feuilles de figuier, lui et Ève. Cela a bien marché tant que Dieu n’était pas là près. Mais dès qu’ils sont entrés dans la Présence de Dieu, ils se sont rendu compte que leur religion de feuilles de figuier ne marcherait pas. Et, frère, il y en a beaucoup aujourd’hui. Je crains que vous ne découvriez la même chose quand Dieu reviendra: cette religion faite de mains d’homme, en feuilles de figuier, ne tiendra pas dans la Présence de Dieu. C’est Dieu qui a eu à faire une couverture pour eux.

12        Eh bien, si vous remarquez ce qui est à la base de cette grande chose au commencement, Dieu avait pris l’homme pour un partenaire, Il a conclu une alliance avec un homme, égal, et Il a dit à l’homme: «Si tu fais ceci et que tu ne fais pas cela», et l’homme a brisé son alliance, et il brise toujours son alliance. L’homme ne peut simplement pas tenir sa promesse, c’est tout. Il n’y a qu’Un Seul qui peut tenir Sa promesse, c’est Dieu. L’homme ne le peut pas, il brise chaque fois son alliance avec Dieu. Mais juste en Eden, observez Dieu: Il a dit: «Je...» (Je, pronom personnel.) «Je mettrai inimitié...» (Non pas: «Si tu fais telle chose, J’enverrai un rédempteur, mais:) «Je mettrai inimitié entre sa postérité à elle et la postérité du serpent», et ainsi de suite. «Je ferai cela.» Non pas sur base des conditions qu’Adam avait à accomplir, mais Il a dit qu’Il ferait cela souverainement.

13        Et maintenant, comment Dieu a toujours conclu Son alliance, et quand Il a conclu cela avec un homme... La plus grosse erreur qu’Israël ait jamais commise, c’était dans Exode au chapitre 19, alors que la grâce leur avait déjà accordé un sauveur, cela avait déjà pourvu à un libérateur, cela avait déjà pourvu à une expiation, au sang versé, et Israël avait dit: «Que Dieu ne parle pas, que Moïse parle.» Ils ont voulu une loi, ou des commandements, ou quelque chose qu’ils pouvaient eux-mêmes faire. Voyez-vous la nature de l’homme? Chercher à trouver quelque chose à faire soi-même en rapport avec le salut par ses mérites. Maintenant, voyez-vous ce que la grâce de Dieu a déjà accompli? Elle avait envoyé Moïse, un libérateur ; elle avait envoyé une expiation, un sacrifice de sang versé, un intermédiaire entre Dieu et l’homme. Et après que Sa grâce eut fait tout ça, alors, les enfants d’Israël voulaient toujours quelque chose à faire pour mériter leur salut.

14        N’est-ce pas exactement comme les gens aujourd’hui? Vous voulez observer les jours de sabbat, arrêter de manger de la viande, faire l’une ou l’autre chose, vous voulez faire quelque chose pour mériter votre salut, alors que tout est aussi gratuit que possible. C’est vrai.

            J’entends des gens dire: «Oh ! Gloire à Dieu, j’ai cherché Dieu nuit et jour.»

            Non, vous ne L’avez jamais cherché. Il n’y a jamais eu un homme qui ait cherché Dieu. C’est Dieu qui cherche l’homme, ce n’est pas l’homme qui cherche Dieu.

            «Oh ! dites-vous, prédicateur, moi, je L’ai cherché.»

            Non, vous ne l’avez jamais fait. Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire premièrement.» Voyez? Ce n’est pas vous qui cherchez Dieu, c’est Dieu qui vous cherche. C’est toujours le Chercheur, Dieu qui cherche les perdus, pas les perdus qui cherchent Dieu. Vous ne pouvez rien avoir avec ça. Vous n’êtes pas sauvé ce soir sur base de vos propres mérites, ni rien ; vous êtes sauvé parce que la grâce souveraine de Dieu vous a appelé à Jésus-Christ, et c’est l’unique moyen. Ce n’est pas parce que vous observez les jours de sabbat, ou les nouvelles lunes, ou parce que vous mangez de la viande, ou vous ne mangez pas de viande, parce que vous faites ceci ou que vous faites cela ; vous êtes sauvé par la grâce, et la grâce seule, c’est l’unique chose.

15        Or, une fois que vous pouvez vous mettre cela à l’esprit, bien ancré, qu’il n’y a rien que vous puissiez faire à ce sujet, vous découvrirez que la même chose marche pour la guérison. Si Dieu me vient en aide d’ici quelques instants, je vais vous montrer que la guérison, c’est sur la même base. C’est vrai. C’est l’alliance inconditionnelle de Dieu, ce n’est pas ce que vous pouvez faire pour Lui.

            Quelqu’un a dit: «Frère Branham, quand vous vous étiez retiré, ces huit mois-là, ce temps-là, pratiquement pour une dépression, aviez-vous gardé votre religion?»

            J’ai dit: «Non, monsieur. C’est ma religion qui m’avait gardé.» C’est ça. Je ne peux pas... Il n’est pas question que moi je tienne bon ou pas, il n’est pas question que je tienne ferme, il est question de savoir si Lui tient ferme ou pas, si Lui tient ferme. Il n’y a rien que je puisse faire, c’est ce que Lui a fait pour moi, ce que Christ a fait pour moi, en Dieu. C’est la raison pour laquelle je suis sauvé ce soir. Oui, oui. Non pas ce que je pouvais faire, ce n’est pas par de bonnes oeuvres que nous sommes sauvés, mais c’est par Ses miséricordes ; Dieu nous a sauvés en Christ, sans condition.

            Nous étions des Gentils, étrangers à Dieu, sans espoir, sans miséricorde ! Christ, par Sa grâce souveraine, est mort à notre place, Il a pris notre place. Il n’y a donc rien que nous ayons fait, rien dont nous pouvons nous vanter. Paul a dit: «Loin de moi la pensée de me vanter d’autre chose que de la croix de Jésus-Christ.» C’est exact, en Christ, il se vantait.

16        Maintenant, après la destruction antédiluvienne, après que le monde fut effacé, Dieu a repris avec les gens.

            Et dans la Genèse, nous trouvons un homme du nom d’Abraham, le fils de–de (j’oublie le nom de son père...) Hiram, qui descendait probablement de Babylone, un adorateur d’idoles, il est allé dans les vallées dans le... de Schinear, il habitait dans le pays des Chaldéens, la cité d’Ur. Il s’était marié à sa demi-soeur, Sara.

            Et quand ils sont descendus dans ce pays-ci, tous les habitants qui étaient là, partout, Abraham n’était pas meilleur que les autres. Mais Dieu, par la grâce souveraine et l’élection, a appelé Abraham, d’après l’élection. C’est ça. Rien ne dit qu’Abraham était de quelque manière meilleur. On ne dit même pas qu’il était un croyant, au commencement, mais Dieu avec... par Sa grâce imméritée, Abraham fut sauvé. Et non seulement il fut sauvé... Mais quand Dieu appela Abraham, Il le sauva et lui donna Son alliance, sans condition.

17        Jamais... Il n’a pas dit: «Abraham, maintenant, si tu fais telle chose», Il a dit: «J’ai, Je, tu vas, J’ai.» Remarquez cela: «Tu viendras vers Moi dans ta vieillesse, en paix, maintenant même», soixante-dix et quelques années avant que cela arrive, Dieu dit: «Je t’ai déjà sauvé, et non seulement toi, mais ta postérité après toi.» Dès que vous vous mettez à penser à cela, sans mérites quelconques, sans rien, l’alliance de Dieu était inconditionnelle pour Abraham. Dieu lui a dit qu’Il l’avait sauvé, et non seulement Abraham, mais sa postérité aussi.

            Et Abraham avait soixante-quinze ans, et Sara, soixante-cinq ans (quarante, cinquante, soixante), vingt-cinq ans depuis la ménopause, il avait vécu avec elle depuis qu’elle était une jeune fille ; ils étaient mariés, il n’était pas fécond. Et Dieu dit à Abraham: «Tu vas avoir un enfant de Sara», ce qui était impossible. Et Abraham crut Dieu, peu importe combien cela paraissait impossible. «Il crut Dieu, et cela lui fut imputé à justice.»

            Pouvez-vous vous imaginer un vieil homme se promener ici (soixante-quinze ans, sa femme, soixante-cinq), disant: «Gloire à Dieu, nous allons avoir un enfant.» Eh bien, les... eh bien les médecins d’aujourd’hui diraient: «Le vieil homme est un peu détraqué.» Certainement, tout homme qui croira Dieu sera considéré comme un peu détraqué. Vous l’êtes, d’après le monde, mais vous êtes glorieusement sauvés en Jésus-Christ.

18        Maintenant, je peux voir Abraham se lever quelques matins plus tard, après que Dieu lui eut donné une promesse, il a dit: «Comment te sens-tu, Sara?»

            «Pas de changement, exactement la même.»

            Mais: «Gloire à Dieu, nous allons l’avoir de toute façon.» Ils sont allés acheter des épingles, des couches, et tout, prenant des dispositions pour l’enfant. Il s’apprêtait. Prenez-vous des dispositions ce soir pour sortir de ces fauteuils roulants, des civières, des brancards et tout, partir d’ici? Dieu l’a promis, si vous croyez cela.

            Eh bien, des mois s’écoulèrent ; je peux le voir demander chaque jour: «Sara, comment te sens-tu?»

            «Pas de changement.»

            Mais: «Gloire à Dieu, nous allons l’avoir de toute façon.» Pourquoi? Dieu l’avait dit. Vingt-cinq ans s’écoulèrent, et Abraham rendait toujours gloire à Dieu pour l’enfant. Plus impossible, au lieu de s’affaiblir, il fut fortifié, car ça allait être un miracle plus glorieux tout le temps ; plus cela traînait, plus ça allait être un miracle. Quelle merveilleuse foi !

            Maintenant, vous êtes la postérité d’Abraham, si vous êtes morts en Christ. Oh ! J’aime vraiment ça, il n’y a rien que vous puissiez faire. Oh ! la la ! Comme Dieu a rendu cela clair, non pas par quelque chose que vous pouvez faire, uniquement ce que Dieu a fait pour vous en Christ. «Abraham crut Dieu, et cela lui fut imputé à justice», la loi de la rédemption, tout le monde sait cela, ce que, la loi de la rédemption.

19        J’entends beaucoup... Eh bien, mes frères Arméniens, je n’ai pas l’intention de faire entrer ceci par friction, mais ceci peut pincer juste un tout petit peu, mais je vous aime, voyez. Très bien.

            Remarquez, il n’y a rien que vous puissiez faire, vous pouvez mener une bonne vie toute votre vie, et aller en enfer. C’est par la grâce de Dieu que vous êtes sauvé, c’est vrai ; ce que Dieu a fait pour vous. Remarquez, la loi de la rédemption, l’innocent pour le coupable. Et si un petit...

            Jadis, sous les lois de la rédemption: Et si un petit poulain naissait une nuit, un petit mulet, et que ce petit mulet naissait avec toutes les deux oreilles rabattues (Eh bien, si quelqu’un sait quelque chose au sujet des mulets, c’est un mulet horrible, le mulet avec ses oreilles rabattues, il n’est pas bon.) et il louche, il a des genoux cagneux, et sa queue dressée haut, quelle créature horrible à voir. Eh bien, ce pauvre petit mulet voudrait... pourrait se regarder dans un miroir, s’il avait de l’intelligence, il dirait: «Oh ! la la ! Attendez qu’ils sortent pour me voir, je n’ai même pas de chance. Regardez quelle horrible créature je suis.»

            Mais si sa maman connaissait quelque chose sur la rédemption, elle dirait: «Attends une minute, chéri, tu manques de comprendre. Ils ne vont pas te tuer. Ils ne vont même pas te regarder. Mais tu as le droit d’aînesse. Tu es mon premier, tu as le droit d’aînesse. Mais le sacrificateur ne va jamais te voir. Il ne va pas t’examiner. Mais un agneau parfait doit mourir à ta place.»

            Oh ! la la ! Alors, le petit mulet pouvait sortir là et donner des coups de sabots, et se taper un bon moment. Pourquoi? Il ne va pas mourir. Il ne va pas avoir à être examiné. Un agneau parfait doit mourir à sa place. C’est ça.

20        Ce n’est pas ce que je suis, qui je suis, c’est la perfection de Jésus-Christ en Dieu, qui est mort à ma place, pour faire de moi ce que je suis. Il n’est pas question de savoir si je vais tenir. Je ne le peux pas. Il est question de savoir s’Il a pris ma place. Amen. Frère, cela ferait pousser des cris à un baptiste. Oui, oui. Il y a quelque chose de réel à ce sujet. Je crois au fait de crier. Amen. Je crois dans la religion à l’ancienne mode. C’est ça le problème aujourd’hui. Je... Ils disent que votre religion a trop d’émotions. Je peux vous prouver, sur le plan scientifique, que tout ce qui n’a pas d’émotion est mort. Ainsi, si votre religion n’a pas un peu d’émotion, vous feriez mieux de l’ensevelir (C’est vrai), car elle est morte. C’est vrai. Oui, oui.

            Si un enfant naissait et qu’il ne criait pas ou ne faisait rien, cet enfant est mort. Nous avons trop d’enfants mort-nés dans l’église ce soir. C’est ça le problème de l’église, elle ne comprend simplement pas, elle n’est jamais venue à la Vie. Vous savez ce qu’on fait avec le petit enfant quand il naît? J’ai été... je les ai vus naître. Le médecin le soulève, il lui donne une petite stimulation par le protoplasme postérieur, et cela le réveille très vite, et il se met à crier. S’il y a quelque chose dont l’église pentecôtiste a besoin ce soir, c’est d’une bonne fessée de l’Evangile à l’ancienne mode pour les réveiller aussi, la petite chose, les débarrasser de l’empèsement. Amen.

21        Quelqu’un a dit: «Frère Branham, tenez-vous une réunion là chez ces gens qui crient et qui font des histoires?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Oh ! la la ! Ne pensez-vous pas que c’est du fanatisme?»

            J’ai dit: «Non, monsieur.»

22        Cela me rappelle une fois un fermier, il avait une–une très belle ferme, avec de bons tracteurs, et tout pour faire des travaux de champ, mais il était simplement, à vrai dire, trop paresseux pour cultiver. C’est tout. Il a laissé de mauvaises herbes pousser sur son terrain. Il y avait quelqu’un d’autre qui habitait à côté de lui ; il n’avait pas tellement un grand espace où rester, ses granges n’étaient pas trop bonnes. Mais c’était vraiment quelqu’un d’actif, un travailleur intelligent. Il sortait et plantait de la luzerne et tout, et le trèfle.

            Cela me rappelle donc, aujourd’hui, certains parmi nous ont de grandes églises qui n’ont rien là-dedans. C’est vrai. Parfois, vous avez une petite mission, parfois, qui a plus que ce que vous trouvez dans certaines de ces grandes morgues par ici. C’est tout à fait vrai. Vous parlez de crier et de faire des choses ; frère, vous n’en connaissez pas le principe élémentaire de cela.

            Remarquez, chaque... Dans la grange du fermier, il y avait de mauvaises herbes dans son grenier pour nourrir ; il y naquit un petit veau. Et de l’autre côté, dans la grange broussailleuse, il naquit un petit veau. Eh bien, tous les deux les ont nourris en hiver. Quand le printemps est arrivé, le fermier, qui avait beaucoup de nourriture pour nourrir son petit veau, l’a fait sortir dans le corral, et alors, il était tout gras et rond, vous savez. Ce vent de printemps soufflait, il se sentait bien ; il donnait des petits coups de sabots et s’en allait. L’homme qui était dans la belle grande grange raffinée et chic fit sortir son petit veau. Le pauvre petit animal était tellement faible qu’il arrivait à peine à se déplacer. Il titubait comme cela, sur un bon pavement en béton. Il a jeté un coup d’oeil par la fissure et il a vu ce petit veau-là qui se sentait bien, qui donnait des coups de sabots. Il a fait: «Tsk, tsk, tsk, tsk, tsk, quel fanatisme !» Oh ! la la ! Quel est le problème? Il avait faim, il ne pouvait pas.

23        Frère, je vous assure, peut-être que nous sommes en train d’adorer ici dans une grange de vaches, mais, frère, nous avons des vitamines spirituelles ici. Nous avons eu quelque chose à manger. Cela fait... C’est ce qui fait que vous donnez des coups de sabots, et que vous agissez comme Lui, le Saint-Esprit. Exact. Dieu L’a promis, et Il nous L’a donné. Il a dit à Abraham qu’Il allait lui donner la promesse, Abraham crut Dieu. Et Dieu lui a dit, si vous remarquez bien, il a continué jusqu’à cent ans. Il a eu cent ans. Sara en avait quatre-vingt-dix, une toute petite femme aux épaules voûtées.

            Je peux dire ceci, que Dieu lui est apparu sous le Nom d’El-Shaddaï, les seins, au chapitre 17 de–de Genèse. Et le Nom El-Shaddaï voulait dire les seins. En d’autres termes, le porteur des seins comme une femme. Et Il a dit: «Abraham, Je suis ton Sein. Tu peux être vieux, tu n’as plus de force, le sein de Sara est desséché, mais Je suis El-Shaddaï, Je suis le Porteur des seins.» Pas un seul, deux, pour notre salut et pour notre guérison, les deux. «Je suis le Porteur des seins. Maintenant, appuie-toi simplement sur Ma promesse, et tète, Je te satisferai, comme un enfant est satisfait, et Je te restituerai la force.»

            Quelle promesse pour un vieil homme de cent ans ! «Appuie-toi simplement ici maintenant, tète de Moi, Ma promesse, et Je te restituerai ta force.»

24        Eh bien, j’aimerais glisser un petit quelque chose ici. Ce... Avez-vous déjà lu... Vous savez, la Bible est écrite et est «cachée aux yeux de sages et des intelligents (Croyez-vous cela?) est–est révélée aux enfants qui veulent apprendre.» Eh bien, vous devez tomber amoureux de Dieu pour connaître Sa Bible. Vous savez, Il écrit entre les lignes.

            Ma femme m’écrit une lettre, elle peut dire: «Cher Billy, je suis assise ici ce soir. Je t’aime beaucoup. Je me sens très seule.» C’est ce qu’elle écrit, mais je lis entre les lignes, et je sais qu’elle veut dire plus que ça. Voyez? En effet, je l’aime. Et c’est pourquoi, quand vous lisez la Parole de Dieu, si vous L’aimez, Il vous révèle ce qui est entre les lignes.

25        Remarquez, quand Abraham et Lot s’étaient séparés, Dieu devait détruire Sodome, se débarrasser de Lot, tant que Lot traînait là, il y avait des ennuis. Dieu lui avait dit: «Va t’en de ta patrie, du milieu de ton peuple, et Je te bénirai.» Et je vais vous dire, vous ne pouvez pas... Dieu exige une séparation. Le monde veut des mélangeurs, mais Dieu veut des séparateurs. Il veut les gens qui se séparent du péché et du monde. «Sortez du milieu d’eux, séparez-vous, dit Dieu, ne touchez pas à leurs choses impures.» Dieu exige une séparation.

26        Eh bien, mais Lot, son parent, s’accrochait à... tout le temps, tant que son papa traînait là, le vieil homme lui causait des troubles. Dieu a dit: «Sépare-toi des membres de ta famille.» Eh bien, après, Lot est descendu dans les plaines bien arrosées de Sodome, il est devenu le maire de la ville, il pensait très bien s’en tirer. Abraham habitait sur des terres arides, mais Abraham avait la promesse. Je pense à cela aujourd’hui. Le vrai croyant peut être obligé de rester dans une grange de vache, ou quelque chose d’autre, mais il a la promesse. Qu’est-ce que cela change? Oui.

Une tente ou une maison, pourquoi dois-je me faire des soucis?
On me bâtit un palais là haut !

            Peu importe ce qu’il vous faut endurer, sauter quelques repas et autres, par amour du Royaume de Dieu, qu’est-ce que cela change? «Nous sommes héritiers de toutes choses.» La Bible dit que nous le sommes. Ce monde nous appartient. «Heureux ceux qui ont le coeur pur, car ils verront Dieu. Heureux les débonnaires, car ils hériteront la terre.» Tout est à nous par Jésus-Christ.

            Remarquez, j’espère que vous saisissez ceci maintenant. Remarquez qu’Abraham, pendant qu’il était assis là, le tonneau de farine était pratiquement vide. Lot était installé là, en bas, les jambes croisées, il se la coulait douce. Sa femme était membre de toutes les associations, de la ville je pense, de toutes les fêtes de tricotage et tout le reste ; mais elle a fini par aimer ça. Mais Abraham a eu à se tirer avec un tout petit peu.

27        Mais un jour, pendant qu’il était assis sous son chêne, il a vu trois Hommes venir. Il était un homme spirituel, il s’est rendu compte que ce n’était pas des hommes ordinaires, quoiqu’ils soient couverts de poussière, il est dit qu’Ils venaient d’un pays lointain. Oui, depuis les cieux. Ils sont venus devant lui, il Leur a lavé les pieds ; il est entré discrètement, il a tué un veau gras, Sara a fait des gâteaux de maïs, il les a fait sortir et les a placés là, Ils ont mangé du beurre et des gâteaux de maïs. Quel dîner ils avaient !

            Et maintenant, j’aimerais vous faire remarquer Qui mangeait. Après avoir mangé, les anges ont continué, les deux anges ont continué à Sodome. Mais Celui qui était resté derrière, qui avait parlé à Abraham, avait disparu à sa vue. Abraham a dit: «J’ai parlé face à face avec Dieu.» Oh ! la la !

            Remarquez, Sara, quand Il a dit: «Abraham, tu as été fidèle, maintenant, tu as cent ans, Sara a pratiquement cent ans, Je vais te visiter au temps de la vie», Sara, dans la tente, a suivi. Et quand Il a dit qu’elle aurait un enfant alors qu’elle avait une centaine d’années, pratiquement, elle a mis sa main sur la bouche et a ri. L’Ange a dit: «Pourquoi a-t-elle ri?» Qu’est-ce que Los Angeles en aurait pensé? Cet Ange utilisait...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

28        J’aimerais vous faire remarquer un petit quelque chose ici, pour... un petit quelque chose pour nous qui sommes plus avancés en âge. Vous rappelez-vous quand vous vous étiez mariés au début? Il vous est arrivé de descendre à l’autel, certains parmi vous les frères, avec votre femme, vous l’avez vue. Oh ! Qu’est-ce qu’elle était jolie, ses cheveux noirs ondulés, ou je ne sais quelle couleur c’était ! Vos cheveux étaient lisses, et–et vous la teniez par le bras, et vous l’aviez épousée. Vous pensiez qu’elle était jolie, et elle a jeté un coup d’oeil, combien vous vous teniez droit. Mais aujourd’hui, ses cheveux ont grisonné, ça retombe, les épaules s’affaissent, quelque chose est arrivé.

            Je parlais à un médecin il n’y a pas longtemps, et je disais: «Docteur, j’aimerais vous poser une question. Vous me dites que chaque jour que je mange de la nourriture, cela se transforme en sang, et les cellules de sang, c’est la vie, que je renouvelle la vie chaque jour.»

            Il a dit: «C’est vrai.»

            J’ai dit: «Comment se fait-il que je mange le même genre de nourriture que je mangeais à dix-huit ans, je mange comme... autant de nourriture que je mangeais à dix-huit ans, et je devenais plus fort et plus grand. Et je mange le même genre de nourriture et je deviens de plus en plus faible tout le temps.» J’ai dit: «Comment ça?» En effet, Dieu l’a dit. C’est vrai.

29        Remarquez, je me dis donc, je disais l’autre jour à ma femme... Je me peignais les cheveux, ce qui me restait. Elle a dit: «Dis donc, Billy, a-t-elle dit, tu sais, tu deviens pratiquement tout chauve.»

            J’ai dit: «Je le sais, mais gloire à Dieu, aucun de mes cheveux n’a disparu.»

            Elle a dit: «Quoi?»

            J’ai dit: «Aucun d’eux n’a disparu.»

            Elle a dit: «Où sont-ils?»

            J’ai dit: «Là où ils étaient avant qu’ils viennent sur ma tête, c’est là qu’ils sont, au même endroit. Dieu sait où ils sont et Il me les restituera encore à la résurrection.» Amen.

30        Dieu, quand Il fait venir un petit enfant sur cette terre, Il le laisse grandir jusqu’à la maturité. Il est en train de peindre un tableau dans Son grand Esprit infini, Il voit cela, un jeune homme, une jeune fille, qui est dans sa meilleure forme. Et pendant qu’ils se tiennent là, dans leur meilleure forme, alors Il dit: «C’est bien. C’est ainsi que je veux qu’ils soient à la résurrection. Très bien. Mort, vas-y.»

            Vous... La mère et vous, vous avez eu un bon moment, vingt ou vingt-deux, vingt-trois ans, à peu près au moment où vous atteignez vingt-cinq ans, vous n’êtes plus le jeune garçon que vous étiez autrefois. Un matin, vous vous réveillez, et la maman dit: «Papa, tu as un cheveu gris sur la tête. Papa.»

            Vous direz: «Eh bien, maman, as-tu remarqué des rides qui apparaissent sous tes yeux?»

            Quel est le problème? La mort s’installe. C’est vrai. Dieu l’a ordonnée ainsi. Mais tout ce que la mort peut faire, c’est vous coincer dans ce coin-ci, et dans ce coin-là, peu après cela va vous emporter, mais c’est tout ce qu’elle peut faire. Lors de la résurrection, la mort sera détruite et ce que vous étiez, dans votre meilleure forme, c’est ce que vous serez à la résurrection. Dieu, par Son alliance, a prouvé cela au travers de Sara et Abraham. Amen. Maintenant, je me sens vraiment religieux.

31        Remarquez, observez ce qu’il a fait. Là, ceci peut être un peu entre les lignes, ne vous levez donc pas pour sortir maintenant. Attendez simplement quelques minutes. Regardons entre les lignes. Il a dit à Abraham qu’Il lui donnerait l’alliance, et qu’Il allait... ce qu’Il allait faire pour Abraham et pour toute sa postérité. Ecoutez. Vous êtes la postérité d’Abraham ce soir, si vous avez reçu Jésus-Christ, le Saint-Esprit. Ils... Ce n’est pas seulement pour Abraham qu’Il allait faire ceci, mais Abraham était le modèle. Tout ce qu’Il allait faire pour Abraham, Il allait le faire pour lui et sa postérité: Abraham engendra Isaac ; par Isaac est venu Christ ; nous, en étant morts en Christ, nous revêtons la nature de la postérité d’Abraham, et nous sommes héritiers selon la promesse.

            De quoi avez-vous peur? Il n’y a pas de quoi s’inquiéter. Tout a été réglé dans la Gloire. Cessez de vous ennuyer, d’aller d’une église à une autre, vous demandant si ceci est vrai ou si cela est vrai. C’est Christ qui est vrai. Il est le Chemin, la Vérité et la Vie.

32        Remarquez, Il a dit (Très bien.), ce qu’Il ferait pour eux, les sauver, sans condition. Maintenant, Abraham avait cent ans, et Sara, quatre-vingt-dix. Alors, Dieu dit: «Maintenant, Je vais montrer au monde (en d’autres termes) ce que Je vais faire pour toi et pour ta postérité après toi.» C’est vous et moi. Très bien. Remarquez ce qu’Il a fait. Il a changé Abraham et Sara, d’un vieil homme et d’une vieille femme en un jeune homme et en une jeune fille. Restez calmes. Très bien. Remarquez ce qu’Il a fait.

            Vous dites: «Oh ! Frère Branham...»

            Maintenant, attendez une minute. Sara avait environ cent ans. Elle était absolument... la semence d’Abraham était finie, il n’y avait pas de vie en lui, mais il continuait à téter d’El-Shaddaï, pour la semence. Le sein de Sara était desséché depuis des années. Cinquante ans s’étaient probablement écoulés depuis qu’elle avait la ménopause, elle avait vécu avec Abraham, le même homme, Abraham, depuis qu’elle était une jeune fille. Il n’y avait pas d’enfants du tout, et son sein était desséché. Et elle, une vieille femme, de pratiquement cent ans, un petit châle sur ses épaules, portant une petite casquette contre la poussière, appuyé sur un bâton, comme ceci, une vieille femme comme cela, une vieille arrière-arrière-grand-mère ; et pourtant, elle croyait que Dieu allait lui donner un enfant.

33        Maintenant, regardez, la première chose... Vous les érudits, vous aurez à vous souvenir de ceci: La première chose que Dieu a eu à faire, et vous allez devoir l’admettre, Il devait faire quelque chose pour le sein de Sara. Est-ce vrai? Il devait remplacer le vieux sein fini par un nouveau. Alors, pour faire cela (J’ai une assistance mixte, vous écouteriez votre médecin, moi, je suis votre frère, écoutez.), pour faire cela, Il devait fortifier son coeur, car elle ne pouvait pas entrer en travail à l’âge de cent ans. Vous le savez. Eh bien, et autre chose qu’Il a eu à faire, Il a dû lui donner de nouvelles veines lactogènes ; en effet, ses veines lactogènes avaient desséché, à l’âge de cent ans. Dieu ne rafistole pas les choses ; Il a simplement fait d’elle une femme pimpante neuve. C’est vrai. Je vais vous le prouver, par la Parole de Dieu.

            Remarquez, aussitôt après que cette promesse leur fut donnée, à Sara et à Abraham, Dieu dit à Abraham: «Pars d’ici maintenant, fais un tour, vois ce que tu as, regarde de ce côté-ci, là loin à l’est, à l’ouest, au nord, au sud ; tout est à toi.»

            C’est ça le problème ce soir avec les pentecôtistes: vous ne parcourez pas du regard pour voir ce que vous avez. Vous dites toujours: «Oh ! Je me demande... Je–je me demande si je peux... Oh...» Il n’est pas question de si vous avez fait, Il l’a déjà fait pour vous. Promenez-vous, vous êtes un possesseur de toutes choses. Amen. Tout est à vous, Dieu vous donne cela gratuitement, par Jésus-Christ. Amen. C’est ce qui énerve le diable.

34        Remarquez: «Promène-toi ; Abraham, examine cela.» Je peux voir Abraham, il dit: «Chérie? Sais-tu que tes épaules se redressent, tes cheveux redeviennent noirs?»

            Eh bien, elle dit: «Abraham, mon seigneur, je vois que tes épaules se redressent, tes mains redeviennent comme celles d’un jeune homme.»

            «Le penses-tu?»

            «Oui.»

35        Regardez, ils ont entrepris un voyage. Mesurez la distance sur la carte là où ils étaient, et ils sont allés à Guérar, à environ trois cents miles [482,5 km]. Tout un voyage pour un vieux couple, ne le pensez-vous pas? Ils sont descendus à Guérar.

            Et non seulement cela, quand ils sont descendus là, il y avait un jeune roi là du nom d’Abimélec. Il cherchait une chérie, et voici venir cette vieille arrière-arrière-arrière-arrière-grand-mère là ; malgré toutes ces jolies filles qui étaient là, il a dit: «C’est celle-là que j’attendais.»

            Du non-sens ! Elle était jeune, redevenue une belle jeune fille. C’est ce qu’Il fera pour chaque vieille grand-mère assise ici ce soir qui est en Jésus-Christ: lors de la résurrection, elle redeviendra une jeune fille. Alléluia ! C’est l’alliance de Dieu avec Abraham, et avec Sa postérité.

            Tenez, cette vieille grand-mère, tremblotant, avec un petit bâton en main, comme ceci, vous savez, se promenant ; et ce jeune roi, Abimélec là, a dit: «Voilà celle que j’attendais, c’est elle ma chérie, je veux l’épouser.» Oui, c’est ce qu’il a fait, il est tombé amoureux d’elle, et il allait l’épouser. Abraham a dit: «Tu es une belle femme à voir.» Une centaine d’années.

            N’utilisez pas certaines de ces manucures qu’on a ici, qu’on met sur les lèvres, ou je ne sais quoi est-ce. Vous n’en avez pas besoin. Non, non, vous n’en avez pas besoin. Vous avez besoin de Jésus-Christ. Il mettra cela là en permanence, un de ces jours. Alléluia ! C’est vrai. Ne vous modelez pas sur Hollywood là, modelez-vous sur le Ciel. C’est ce qu’il vous faut faire.

36        Oh ! la la ! Quand je peux voir Sara, une belle jeune fille d’environ trente ans, peut-être vingt-cinq ans, et Abraham, vingt-cinq ou trente ans, se promenant là ! Eh bien, cela s’est prouvé, regardez: Après la mort de Sara, plusieurs, plusieurs, plusieurs années plus tard, il a épousé une autre femme et il a eu neuf garçons, sans compter toutes ses filles. Amen. Nous servons un Dieu vivant, Qui ne peut pas mentir, et Sa promesse est vraie pour toujours.

37        Abimélec tomba amoureux d’elle. Maintenant, je n’aimerais pas insister lourdement là-dessus, frère, mais laissez-moi faire cela juste un tout petit peu, voyez, comme on parle de tenir bon. Regardez, Abimélec, je peux me l’imaginer aller prendre son bain, porter son pyjama, allonger ses très gros pieds sur le lit, et dire: «Eh bien, tu sais...» Un très bon frère Arménien, de la sainteté, voyez. Alors, il s’est étendu sur le lit et il a dit: «Tu sais, demain (après qu’il eut dit sa prière), demain, je vais épouser cette belle fille hébraïque.» De cent ans ! «Et je vais l’épouser demain, et elle deviendra ma femme, et tout. Nous nous installerons donc et les jours d’errance seront terminés.»

            Et Dieu lui est apparu et a dit: «Tu es pratiquement un homme mort.» C’est vrai.

            «Eh bien, a-t-il dit, Seigneur, pourquoi? Tu connais l’intégrité de mon coeur.»

            Il a dit: «Tu as pris la femme d’un autre homme.»

            «Eh bien, a-t-il dit, c’est elle qui m’a dit que c’était... Eh bien, Abraham ne m’a-t-il pas dit que c’était sa soeur? Je ne savais pas que c’était la femme d’un autre homme.»

            Il a dit: «C’est la raison (Je connais l’intégrité de ton coeur.) pour laquelle Je t’ai empêché de pécher contre moi.»

38        Eh bien, un homme juste qui n’avait rien fait, mais il n’était pas de la postérité d’Abraham, il n’avait pas de promesse, il n’en avait pas. Un homme de bien. Un homme qui craignait Dieu, qui était couché sur son lit, et Dieu avait refusé d’écouter sa prière.

            Et là, Abraham (Dieu lui avait dit de ne pas quitter la Palestine ; il l’a fait malgré tout.), il avait rétrogradé, tout homme qui fait ce que Dieu lui dit de ne pas faire est rétrograde. Non seulement cela, mais il était là, débitant des mensonges. Et tout homme qui ferait faire pareille chose à sa femme, la livrer à un autre homme, qu’il la prenne, pour se sauver... Oui, oui. Mentir, rétrograder, et Dieu a dit: «Je n’exaucerai pas ta prière, mais c’est mon prophète, je l’exaucerai ; va, qu’il prie pour toi. Sinon, tout va périr.» Pourquoi? Dieu avait fait à Abraham une promesse sans condition.

            Cela ne vous donne pas la permission de pécher, là, souvenez-vous-en, mais ce que je cherche à obtenir, c’est de vous débarrasser de la peur. Vous avez toujours peur de quelque chose. N’ayez pas peur. Dieu a promis, Dieu est tenu de faire cela, si vous le croyez, si vous êtes la postérité d’Abraham. Quelqu’un m’a dit, comme mes amis baptistes avaient l’habitude de dire: «Qu’est-ce que ça change?» (Ceux qui sont tombés dans la sécurité éternelle.) Ils ont dit: «Eh bien, eh bien, ça ne change rien pour moi. Je suis sauvé, gloire à Dieu, je peux faire tout ce que je veux.» Cela montre simplement que vous n’êtes pas sauvé. C’est vrai. C’est vrai. Si vous êtes sauvé, vous n’aimerez pas faire ces choses-là. C’est vrai.

39        Ce genre de choses: danser, les jeux de carte, jouer, se couper les cheveux, se maquiller les lèvres, mettre la manucure sur votre visage, et tout, ce sont les attributs de l’incrédulité. Ça abîme la Pentecôte, mais c’est ce qui est bien pour vous, frère. C’est vrai. Vous ne pouvez pas suivre le vieux sentier, droit et étroit. C’est juste comme un cochon qui retourne à son bourbier, et un chien à ce qu’il a vomi ; c’est là que l’église pentecôtiste est rentrée. C’est vrai. Je n’entends pas beaucoup d’amens, mais je vous assure, frère, c’est la pure vérité. Vous feriez mieux de retourner sur le sentier une fois de plus, refaire vos premières oeuvres. Amen.

            Le problème en est que le diable a atterri ici à Hollywood, il est passé à la télévision, il a déshabillé nos femmes, il a fait tout ce qu’il y a d’impie. Et les gens qualifient cela de très bien. Frère, si vous êtes né de nouveau, l’Esprit de Dieu rendra témoignage que ces choses sont fausses. Vous savez que c’est vrai. Et voici venir votre pluie de l’arrière-saison, la pluie de la dispersion, ou je ne sais quoi c’était, et vous appelez cela «la libération des femmes», et tout comme cela. C’est une disgrâce, ce sont les oeuvres du diable. Vous n’allez pas m’aimer après ce soir, mais frère, quand je vous rencontrerai à la barre du Jugement, je serai quitte de la chose ; ça, c’est une chose sûre. Je vais vous dire la vérité à ce sujet. Amen ! Le mot amen veut dire ainsi soit-il.

40        Et je peux alors voir Abimélec sortir, un homme de bien, aller vers Abraham, lui apporter des offrandes. Et Abraham a prié, et Dieu a ouvert le sein de tout ce qu’Abimélec avait. Dieu l’a béni.

            Maintenant, abordons l’alliance. Je prends trop de temps, je suis sûr. Mais, juste un instant, sur l’alliance. Dieu avait dit... Abraham a dit: «Seigneur...» Maintenant, écoutez très attentivement, à vous les incrédules. «Seigneur, comment le saurai-je?» Je vais revenir à l’alliance maintenant. «Comment saurai-je que Tu feras cela pour moi?»

            Dieu a parlé à Abraham, disant: «Sors d’ici, et apporte-Moi une–une chèvre, une–une génisse de trois ans, et des tourterelles, et sors d’ici, Je vais te montrer, Je te donnerai l’alliance, Je te montrerai ce que Je vais faire pour toi.» Alors, Il a fait sortir Abraham, il a pris les–les animaux, il les a découpés en deux, il les a étalés là ; et puis, il a pris les tourterelles et il les a associées tout en entier. J’aurais bien voulu que nous ayons un peu plus de temps pour glaner là-dessus.

41        Regardez. Pourquoi a-t-il découpé les tour-... tout sauf les tourterelles? Pourquoi avait-il découpé tout sauf les colombes et les jeunes pigeons? Tout le monde sait, tout celui qui connaît la Bible, sait que la colombe était une offrande pour la maladie. Dieu a séparé Son alliance, ou Sa–Sa loi de la grâce et Il a séparé cela. L’a-t-Il fait? La loi fut pour un temps ; la grâce est pour maintenant. Vous avez été sauvé par la loi en ce temps-là ; vous êtes sauvé par la grâce maintenant. Alors, Dieu a découpé la génisse et la–la brebis et autres, il a ouvert cela. Mais les tourterelles et les pigeons, il les a associés tout en entier, par cela montrant ceci: L’alliance de Dieu sur la guérison n’a jamais changé. Il était un Guérisseur dans l’Ancien Testament ; Il est un Guérisseur dans le Nouveau Testament. Tout pareil, il ne les a pas séparés, ils sont inséparables. «Je suis l’Eternel qui te guérit.» Remarquez, nous avions eu un peu plus de temps pour nous attarder là-dessus, peut-être, je le peux, à mon retour.

42        Remarquez ceci, Il a ensuite parlé à Abraham, Il a dit... Maintenant, Il fit tomber un profond sommeil sur Abraham. En d’autres termes: «Abraham, tu n’as rien à faire avec ça. C’est Moi qui vais le faire.» Alors, Abraham s’est endormi, il était hors du tableau. Et alors, pendant qu’Abraham dormait, il a regardé, et voilà apparaître une fournaise fumante devant lui. Chaque pécheur, fait, et devrait aller en enfer. Et puis, tout d’un coup, c’était une obscurité horrible: la mort ; ensuite, une fournaise fumante: l’enfer ; mais au-delà de cela, une petite Lumière blanche est passée. J’aimerais vous faire remarquer. Dieu montrait à Abraham le Calvaire, ce qu’Il allait confirmer cette alliance entre Abraham et la postérité d’Abraham, pour toujours. Oh ! Cette nuit même, c’est tout aussi valable maintenant qu’en ce temps-là.

            Et cette petite Lumière blanche, qui était Dieu, est passée devant Abraham, dans la mort, dans l’enfer, cela est passé entre ces sacrifices, cela est passé juste entre ces morceaux séparés. Dieu montrant à Abraham le Calvaire. Abraham... Il n’a pas dit: «Si tu fais ceci ou si tu fais cela.» Il lui a montré ce qu’Il allait faire pour lui et pour sa postérité après lui. Et nous sommes la postérité d’Abraham. Les tourterelles étaient exposées là pour la guérison, le salut.

43        Maintenant, dans l’Ancien Testament... Premièrement, les hommes concluent leurs alliances. Alors, l’alliance au Japon, la façon dont ils concluent une alliance, ils concluent une alliance l’un avec l’autre, ensuite ils prennent un peu de sel, ils se le jettent l’un sur l’autre, c’est une alliance.

            Nous, en Amérique, quand nous concluons une alliance, nous tendons la main et nous nous la serrons, disant: «Serre-la-moi.» C’est une alliance.

            Mais à l’époque du Testament, du temps d’Abraham, la façon dont les hommes concluaient une alliance, ils tuaient une bête, ils la découpaient, ils prenaient une alliance, ils s’avançaient, rédigeaient une alliance, ce que c’était, ensuite ils la déchiraient en deux, chacun prenait un morceau. Et quand ils les assemblaient, ces morceaux devaient s’ajuster, juste comme ça. Ils prêtaient un serment, comme quoi s’ils violaient cette alliance-là, que leurs corps deviennent comme le corps mort de cette bête qui gisait sous eux.

44        Quel beau tableau de Dieu concluant Son alliance avec l’église ! Quand Jésus-Christ est allé au Calvaire (Lui qui était Dieu, Emmanuel), Dieu L’a déchiré au Calvaire, Il a découpé l’alliance en deux, Il a fait monter le corps à Sa droite, Il a renvoyé le Saint-Esprit sur l’Eglise. Et le même Esprit, qui était sur Jésus-Christ, est dans l’Eglise aujourd’hui, et le même Saint-Esprit, qui était jadis, doit être le même Saint-Esprit quand nous nous rassemblons. Cela fait de Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et aujourd’hui, nous avons le même baptême qu’eux autrefois à la Pentecôte, quand notre partie de l’alliance a été renvoyée. Croyez-vous cela?

            Nous parlons en langues comme eux autrefois ; nous prophétisons comme eux autrefois ; nous crions comme eux autrefois ; nous louons Dieu comme eux autrefois ; nous avons des signes, des prodiges et des miracles, juste comme eux autrefois. L’alliance inconditionnelle de Dieu avec l’Eglise de la Pentecôte. Amen. Vous y êtes. De quoi avez-vous alors peur? Chaque promesse divine dans le Livre vous appartient, et vous en êtes héritier. Amen. Vous y êtes. Voyez, l’alliance était déchirée en deux ; Dieu a découpé Christ en deux. Croyez-vous cela?

45        Il a fait monter Son corps et Il l’a placé à Sa droite, Il a renvoyé Son Esprit pour conduire l’Eglise dans la puissance de la résurrection. Et comme Jésus a dit: «Vous ferez aussi les mêmes oeuvres que Je fais», car le même Esprit qui était en Lui était sur l’Eglise. Et cette Eglise a parcouru l’âge, Elle est ici ce soir. On s’est moqué de Jésus, on L’a critiqué ; Il a eu une vision, Il révélait aux gens les secrets de leur coeur, Il fut critiqué. Ce même Esprit est sur Son Eglise ce soir. Il était sur Pierre, sur Paul, sur tous les frères de la Pentecôte, ils ont accompli des signes et des prodiges. Jésus-Christ parlait en langues, l’Eglise parlait en langues ; Jésus-Christ avait des visions, l’Eglise avait des visions. Et ce soir, ils sont critiqués et on les raille. Mais qu’est-ce? C’est la postérité d’Abraham ; l’alliance inconditionnelle de Dieu, qu’Il a donnée au peuple. Alléluia !

            Je suis très content de ce que je peux dire «Je suis l’un d’entre eux.» Amen ! Par la grâce de Dieu, je suis l’un d’entre eux. Je suis si content qu’il m’ait permis de voir ces choses, mes frères, que je vois, que Dieu... Maintenant, l’unique chose qu’il y a, c’est que la postérité d’Abraham ici, non pas à cause de votre choix, mais à cause de l’élection de Dieu: Dieu vous a choisi avant la fondation du monde, et Il savait que cette réunion se tiendrait ici même ce soir. Avant qu’il y ait donc une étoile dans le ciel, Dieu savait que cette réunion se tiendrait ici ce soir. C’est tout à fait vrai.

46        C’est mon Père, je suis Son fils, vous êtes Ses fils et Ses filles, c’est notre Père. C’est le diable qui a mis ces afflictions sur vous. Reniez-les. Il n’a pas de droits légaux de faire cela ; il fait simplement cela parce que notre incrédulité lui permet de le faire. Nous avons tout en Jésus-Christ, et maintenant cela nous appartient: maintenant même, nous sommes fils et filles de Dieu, et les postérités d’Abraham, avec une alliance inconditionnelle, avec la puissance du Saint-Esprit, avec la résurrection de Christ, avec des signes, des prodiges et des miracles qui opèrent dans l’Eglise. Alléluia ! Frère, je vous assure, il est un menteur, il a peur de la Parole de Dieu, et il a peur de la puissance de Dieu. Amen. Autrefois, je chantais L’Ancien Evangile, je disais:

C’est l’ancien Saint-Esprit
Satan ne peut L’approcher,
C’est pourquoi les peuples Le craignent ;
Mais Il est assez bon pour moi.

47        Amen. C’est vrai. Les gens disent: «Ces gens sont fous.» La raison pour laquelle ils le sont, c’est qu’ils n’ont plus l’esprit du monde, ils ont la pensée de Christ. «Christ en vous, l’espérance de la Gloire», vous êtes en sécurité, ancrés. «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle.» Quand? Maintenant même. «Il ne vient pas en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Croyez-vous cela? Croyez-vous de tout votre coeur? Prions.

48        Père, les heures s’écoulent. Je Te prie d’être miséricordieux maintenant envers cette assistance. Bénis ceux pour qui on va prier. En toute simplicité du coeur, je Te demande, Seigneur, de guérir les malades ce soir. Pardonne-nous nos péchés. Et ôte toute cette peur que le diable place sur les gens, cherchant à leur faire penser: «C’est pour un autre âge, ou pour un autre temps. Ou–ou demain, ou–ou quel...» C’est pour maintenant, Seigneur, maintenant que Tu as fait ceci pour Ton peuple. Et que les estropiés marchent, que les aveugles voient, que les sourds entendent, que les démons soient chassés. Que l’église devienne une boule de Feu illuminée du Saint-Esprit, cette Eglise qui est en alliance avec Dieu. Le Saint-Esprit qui était en Jésus-Christ, sur Son Eglise, accomplissant des signes et des prodiges, la même chose qu’Il avait faite, avait dit que nous le ferions aussi ; nous voyons cela ce soir. Et je Te prie d’envoyer Tes bénédictions maintenant et de nous guérir. Nous prions, au Nom de Jésus. Amen.

49        S’il vous plaît, vous au piano. Et où est Billy? Quelle–quelle carte? F? Combien pour ce soir? Très bien. Nous allons prier pour les malades maintenant. Et c’est un... Je suis un peu en retard, mais je–j’aimerais que vous gardiez ceci à l’esprit maintenant. Qu’êtes-vous? La postérité d’Abraham. Est-ce vrai? La foi que la postérité d’Abraham est dans son... qu’Abraham avait est dans ses enfants, sa postérité. Est-ce vrai? Comment devenez-vous la postérité d’Abraham? C’est en mourant en Christ que vous revêtez la nature de la postérité d’Abraham et que vous devenez héritier selon la promesse. Combien sont morts en Christ ce soir? Faites voir les mains. Morts en Christ? Vous êtes la postérité d’Abraham, alors. Maintenant, si vous avez la foi d’Abraham... si vous n’en avez pas, alors vous n’êtes pas la postérité d’Abraham. La postérité d’Abraham produit la foi d’Abraham. Et Abraham, peu importe les conditions, Abraham fut fortifié en Dieu, Lui donnant gloire. Il ne douta pas, par incrédulité, de la promesse de Dieu. Ce n’est pas le cas pour nous ce soir, n’est-ce pas? Car notre justice vient par Jésus-Christ.

50        S’Il vient ce soir, ami chrétien, à vous les nouveaux venus, je ne suis pas un guérisseur divin, je suis votre frère. Il n’existe pas de guérisseurs divins, c’est Dieu qui est le Guérisseur. Jésus-Christ n’a même jamais promis d’être le Guérisseur. Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi, c’est Lui qui fait les oeuvres.» Est-ce vrai? Eh bien, Il ne prétend pas être le Guérisseur. Il a dit que c’est Son Père qui était le Guérisseur.

            Eh bien, et Il a dit, quand Il allait auprès des gens, Il savait ce qui était dans leurs coeurs, Il les désignait depuis l’assistance, et Il disait ce qui clochait chez eux: «Ta foi t’a sauvée de la perte de sang.» Et: «Ta foi t’a sauvé des yeux aveugles.» Et Il savait, Il connaissait leurs pensées. Il a parlé à la femme au puits, Il a dit, un petit instant, jusqu’à ce qu’Il a saisi son esprit, Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’en ai point.»

            Il a dit: «Tu en as eu cinq.»

            Elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète. Nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera toutes choses.»

51        Quand Philippe fut converti, il alla chercher Nathanaël ; et Nathanaël dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Et Philippe l’avait trouvé en train de prier sous un arbre, il lui a donc dit: «Viens, et vois.»

            Alors, il est allé sur l’autre flanc de la colline, il a parcouru la cité et il a gravi l’autre colline, et là était Jésus. Jésus, peut-être, était debout en train de prier pour les malades, c’était Sa coutume. Quand Philippe s’avança avec Nathanaël, Jésus regarda, Il vit Nathanaël et dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude !» En d’autres termes: «Un croyant, un homme juste.» Et cela a étonné...

            Il a dit: «Eh bien, comment m’as-Tu connu, Rabbi?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

            Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu ; Tu es le Roi d’Israël.»

            Mais les pharisiens, les religieux de l’époque, ont dit: «Il est Béelzébul, le prince des diseurs de bonne aventure.» Eh bien, c’est ce qu’ils pensent toujours, mais Il est toujours le Fils de Dieu.

            Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais ; vous en ferez même davantage, car Je m’en vais au Père.»

            Croyez-vous cela ce soir comme étant la vérité? Que le Seigneur vous bénisse.

52        Etait-ce G ou F? F. Prenons de 1 à 25 alors ou 50, ou peu m’importe combien il y en a donc... Qui a F, la carte de prière F-1, le premier? Levez la main. La carte de prière F-1? Avez-vous dit F? Oui? Très bien. Le 1? Très bien. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 15, 20, 25. Ça ne change rien, le nombre de ca... se tiennent là. Le reste parmi vous qui avaient des numéros maintenant, si vous êtes... Vous serez appelé, peut-être, un peu plus tard, peut-être demain. On priera pour tout le monde. F-1 à F-25, s’il vous plaît. Très bien. Maintenant, nous allons d’abord les mettre debout. Nous en prenons tellement dans la ligne que nous–nous ne pouvons pas prier pour eux tous. Et...

53        Juste une minute. C’est votre père, jeune homme. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Il y a une Lumière suspendue là, maintenant. Je vois de l’eau, ça s’envole. Cet homme-là est un missionnaire qui est revenu. Il était dans un... C’est la Grèce, il est rentré de la Grèce. Il a attrapé le lipome aux yeux. N’est-ce pas? Imposez-lui la main et prions.

            Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, ouvre les yeux à cet homme aveugle. Qu’il parte d’ici ce soir, voyant. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, papa. Retournez-vous et faites passer vos bras autour de votre fils là. Que Dieu vous bénisse. Maintenant, n’ayez pas peur, votre vue vous revient. Vous pouvez voir maintenant même. Je vois en vision, vous pouvez voir les lumières. Levez vos mains vers la lumière. Levez les mains et montrez cela là. Indiquez–indiquez, montrez-nous là où sont les lumières. Si vous pouvez voir les lumières, faites signe de la main comme ça, de part et d’autre, faites signe de la main à l’intention... Levez les yeux vers la lumière. Dieu vous a restitué votre vue. Pouvez-vous voir tout autour maintenant? Dites: «Gloire au Seigneur.» Avancez ici, c’est en ordre. Allez simplement de l’avant, contournez le lieu, Dieu est avec vous. Vous y êtes. Le voilà. Disons: «Gloire à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ.» Le Saint-Esprit de Dieu est ici pour restituer la vue aux aveugles. Votre vue s’améliorera, mon frère, n’ayez pas peur ou ne vous inquiétez pas. Inclinons la tête.

54        Père céleste, nous Te remercions pour Ta grâce aimable, Ta bonté et Ta miséricorde. Occupe-Toi de cet homme qui titubait dans l’obscurité, et maintenant, par la grâce de Dieu, il marche dans la salle. Nous Te remercions, Père, pour toutes ces bonnes choses que Tu as faites. Et maintenant, que Ton Esprit reste à jamais, et les bénisse et les garde. Et que tout le monde ici présent voie, qu’il prenne garde et qu’il croie de tout son coeur, au Nom de Jésus. Amen.

55        Disons: «Gloire au Seigneur !», tout le monde. Très bien. Que Dieu vous bénisse, papa. Vos yeux, ça va s’arranger. Ne vous en faites pas. Il fallait donc cette maladie qui s’est manifestée ; le diable l’a quitté. Il peut vous voir maintenant, frère. Voyez? Ça va pour lui. Que Dieu vous bénisse. Le voilà. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il regagne son siège là. Louons le Seigneur, tout le monde, rendons simplement louange et gloire.

56        Eh bien, vous dites: «Frère Branham, est-ce vous qui avez fait cela?» Non, non, je n’ai rien eu à faire avec ça. Jésus-Christ a montré ce qu’Il était. Très bien. Restons assis, tout le monde, et faites venir vos patients, s’il vous plaît. Ayez foi en Dieu. Maintenant, ne doutez pas, croyez de tout votre coeur.

            N’est-ce pas étrange? Le Saint-Esprit est venu ici... même avant que nous ayons commencé la ligne de prière.

57        Vous souffriez de l’arthrite, n’est-ce pas, madame? L’arthrite dans la colonne vertébrale. Vous êtes de confession catholique. Mais Jésus-Christ vous rétablit, si seulement vous croyez en Lui, ayez foi en Lui. Croyez et vous recevrez ce que vous avez demandé.

58        Pourquoi priez-vous là, madame? Vous avez un mari qui n’est pas sauvé assis là, n’est-ce pas? Vous aimeriez que Dieu... C’est vrai. Que Dieu vous bénisse. Oui, oui. Vous recevrez votre requête, soeur. Oui, oui. Vous n’aurez plus à être catholique. Maintenant, mettez-vous à confesser, et louez Dieu, et rendez-Lui toute la louange et la gloire, et recevez le baptême du Saint-Esprit. Amen. Oui, oui.

59        Bonsoir. Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends chaque esprit dans cette salle et chaque personne sous mon contrôle, pour Sa gloire. Soyez respectueux, ne vous déplacez pas, et restez calme. Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre, madame. Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Mais Dieu vous connaît tous deux, est-ce vrai? Croyez-vous que le Seigneur Jésus-Christ peut me révéler ce pour quoi vous êtes ici? Et s’Il le fait, croirez-vous que j’ai dit la vérité? Qu’Il est ressuscité d’entre les morts? Et nous nous tenons ici en train de parler, juste comme Jésus et la femme au puits. Et Il lui avait parlé un moment ; je pense que c’était pour saisir son esprit. Et puis, Il lui a dit quel était son problème. Si Dieu sachant que nous ne nous connaissons pas, si Dieu me dit quel est votre problème, croirez-vous pour... ou peu importe ce pour quoi vous êtes ici, je ne sais pas, Dieu le sait, mais vous accepterez Jésus, n’est-ce pas? Oui.

            Vous êtes une chrétienne ; en effet, votre esprit est le bienvenu. Et vous êtes consciente qu’il se passe quelque chose. C’est l’Ange du Seigneur qui se tient près de vous. Je vois quelque chose arriver, c’est un accident, et la personne a démarré loin de vous. C’est une automobile qui vous a cognée, vous blessant à la hanche, et a déformé votre dos. C’est vrai. Elle faisait marche arrière et elle vous a cognée, et elle a fui loin de vous. Rentrez chez vous. Vous allez vous rétablir, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Allez en croyant maintenant, et soyez... Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.

60        Vous êtes conscient, jeune homme, qu’il se passe quelque chose. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je suppose ; en effet, vous êtes un Mexicain, ou un Espagnol, mais Jésus-Christ nous connaît tous deux. Et s’Il se tenait ici ce soir portant ces habits qu’Il m’a donnés? Son... Si vous êtes malade, Il ne pourrait pas vous guérir, parce qu’Il l’a déjà fait. Mais Il peut faire quelque chose qui vous amènerait à avoir plus de foi en Lui... Je dis maintenant que vous n’êtes pas de cet Etat, vous venez d’ailleurs. Vous souffrez de quelque chose dans votre flanc, c’est la pleurésie, et vous souffrez aussi de la tuberculose. Vous venez de sortir d’une clinique. Vous venez d’une ville où il y a un très grand hôtel appelé Westward Ho, sur la rue Adams et... Oh ! C’est de Phoenix, en Arizona. Et vous êtes un prédicateur de l’Evangile. Vous êtes ici pour être guéri ; vous allez retourner chez vous, bien portant. Votre foi vous a guéri. Au Nom de Jésus-Christ, que mon frère croie. Que Dieu vous bénisse, frère. Allez maintenant, n’ayez pas peur, ayez foi. Oui, oui. Ayez foi en Dieu. Croyez.

61        Maintenant, notre Seigneur Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts. Croyez-vous cela? Et Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Et Il est ici pour faire cela ce soir, et Il le fait. Vous pouvez taxer cela de tous les noms que vous voulez, c’est entre vous et Dieu. Voyez. Mais je sais en Qui j’ai cru, et je suis persuadé qu’Il est capable de garder ce que je Lui ai confié pour ce jour-là.

            Bonsoir, monsieur. Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je vois que vous êtes un huissier de par votre badge, vous êtes un huissier dans cette réunion. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Que pensez-vous de ces choses qui se passent? Croyez-vous de tout votre coeur qu’elles viennent de Dieu? Vous–vous venez d’une ville appelée Compton, ou quelque chose comme cela. Vous avez une grosseur dans votre flanc gauche ; vous êtes nerveux. Vous êtes fils d’un prédicateur. Vous avez une femme qui a une oreille en mauvais état. Vous allez vous rétablir. Venez ici.

            Dieu Tout-Puissant, nous Te rendons gloire et nous bénissons cet homme, au Nom de Ton Fils Jésus-Christ, pour sa guérison. Amen. Monsieur, ces choses sont vraies. Et si le Dieu Tout-Puissant... Je... Je sais comment vous vous sentez, mais le Dieu du Ciel, qui sait ce qui était dans votre vie, saura ce qui arrivera. Est-ce vrai? Allez, soyez heureux. Tout s’arrangera pour vous. Tout.

62        S’il vous plaît, ne vous déplacez pas. Savez-vous que les mauvais esprits se déplacent dans la salle quand ils sortent des gens? Et ils passent des uns aux autres.

            Bonsoir, madame. Approchez-vous un peu plus, s’il vous plaît. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre? Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Je ne vous ai jamais vue de ma vie, je ne sais rien à votre sujet. Nous sommes juste des inconnus qui se sont rencontrés ici. Mais le Dieu Tout-Puissant nous connaît tous deux, n’est-ce pas? Maintenant, à l’assistance, voici une femme, une parfaite inconnue, je ne l’ai jamais vue de ma vie, je ne sais rien sur elle. Elle... Mais la femme, maintenant même, sait que quelque chose s’est produit. N’est-ce pas vrai, madame? Maintenant, si le Saint-Esprit... Si Jésus-Christ se tenait ici, et qu’Il lui parlait, Il lui parlerait une minute, et ce que le Père Lui aurait montré, Il le lui dirait. Est-ce vrai?

            Madame, croyez-vous que Dieu vous guérit de ce rhumatisme donc? Pendant que vous êtes assise là même, au bout de la rangée. Oui. Croyez-vous cela? Quelque chose... Cela vous a quittée. Que Dieu vous bénisse. Oui, oui. Hein ! Oui. Oui, oui.

            Il y a un mauvais esprit, des ailes noires apparaissent là, il sait que c’est son temps... C’est l’épilepsie. Il s’agit de cette femme assise là même. Cela est suspendu juste au-dessus de vous. Oui, madame, tenez-vous debout. Satan, au Nom de Jésus-Christ, tu es exposé. Sors de la femme, au Nom du Seigneur Jésus. Que Dieu vous bénisse.

63        Croyez-vous? Votre maladie est au niveau de votre gorge. Vous avez quelque chose comme la–la bronchite, seulement, c’est le... Je vous vois beaucoup vomir... C’est le sang. Vous vomissez du sang. Vous avez été chez un médecin. Il voulait vous opérer, mais il ne sait pas ce que c’est. Ce serait mieux pour moi de ne pas vous le dire. Mais si vous croyez en Jésus-Christ, vous n’aurez même pas besoin de l’intervention chirurgicale. Croyez-vous cela? Venez ici.

            Bienveillant Père céleste, pour cette femme, qui peut faire une hémorragie mortelle à n’importe quelle minute, je Te prie d’être miséricordieux envers elle. Et je réprimande ce démon qui lui a fait cette vilaine chose. Et Tu as dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Et pendant que l’onction du Saint-Esprit est sur Ton serviteur, je lui impose mes mains inutiles, au Nom de Jésus-Christ, et je condamne cette maladie. Sors d’elle, par Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Amen. Allez de l’avant maintenant, en vous réjouissant, heureuse, et soyez bien portante.

            Croyez-vous, madame? C’est dans votre dos, une affection rénale. Vous avez quelqu’un d’autre auquel vous pensez, c’est un enfant, un petit-fils. Et il a un défaut de langage, quelque chose qui cloche avec son langage. Vous n’êtes pas d’ici ; New Mexico, c’est de là que vous venez. Voulez-vous retourner, rétablie? Croyez que le Seigneur Jésus-Christ se tient ici pour vous rétablir. Croyez-vous cela?

            Père céleste, j’impose les mains à la femme, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, et je condamne cette maladie. Qu’elle parte bien portante. Amen. Que Dieu vous bénisse. Oui, allez en vous réjouissant. Assurément. Amen.

64        Croyez-vous de tout votre coeur? Que pensez-vous que C’est donc? Vous savez que cela est là. Croyez-vous que C’est le Seigneur Jésus-Christ, pas votre frère? Alors, vous pouvez être aidée. Je ne vous connais pas, madame, vous le savez. Je vous suis un parfait inconnu et vous l’êtes pour moi. Mais Jésus-Christ nous a connus tous deux dans notre... tant que nous avions vécu, Il nous connaissait. N’est-ce pas vrai? Vous souffrez de l’estomac, c’est un ulcère d’estomac. Il y a une table devant nous et vous reculez. Vous n’arrivez pas à manger certaines choses à cause de l’ulcère. Vous avez un fils qui souffre de la même chose. Vous avez une soeur qui a eu une attaque d’apoplexie. Et votre fils et votre soeur sont en Virginie Occidentale. C’est vrai. Croyez-vous que Dieu va les rétablir maintenant, vous guérir et vous rétablir? Inclinez la tête.

            Père céleste, je prie, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, que le démon quitte et qu’elle parte d’ici heureuse, se réjouissant et bien portante. Amen. Allez, réjouissez-vous maintenant, disant: «Merci, Seigneur Jésus», et soyez rétablie.

            Madame, vous assise là en chapeau blanc, en train de me regarder, vous souffrez du foie, n’est-ce pas? Oui, madame. Il a donc exaucé votre prière. Vous allez retourner chez vous, être rétablie ; cela vous a quittée. C’était le but de la sclérose en plaques de foie, mais vous êtes maintenant guérie. Votre foi vous a guérie. Que Dieu vous bénisse.

65        Pendant que vous êtes assise là, mère, vous venez d’être guérie. La dame assise juste à côté de vous, là, souffre des nerfs. Elle veut être guérie aussi. Imposez-lui la main.

            Père, au Nom de Jésus, je Te prie de la guérir et de la rétablir pour Ta gloire. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Satan est en train de traiter avec vous, vous rendant nerveuse, vous disant que vous avez traversé la ligne de démarcation, et tout comme cela. Il a menti. Vous allez retourner à la maison bien portante, l’obscurité vous a complètement quittée maintenant ; vous pouvez rentrer chez vous et être bien portante. Que Dieu vous bénisse.

            Juste là par ici, il y a une femme et un homme assis là, ils sont mari et femme. Et l’un d’eux souffre des yeux et l’autre souffre de l’arthrite. Jésus-Christ vous guérit tous deux. Levez-vous. Dieu vous a guéris, votre foi vous a sauvés. Amen. Ayez seulement foi et croyez. Le Seigneur Jésus-Christ guérit toute sorte de maladies, toute sorte d’afflictions.

            Petite dame, là, avec votre mouchoir au niveau de votre visage, assise là en train de prier ; vous souffrez du dos, n’est-ce pas? Assise juste ici au bout, c’est vrai, vous, avec votre mouchoir: Il vous a donc guérie. Vous pouvez rentrer à la maison maintenant, et être bien portante. Oui, oui, oui, oui. Que Dieu vous bénisse.

66        Une petite dame assise à côté de vous souffre de l’asthme, elle veut en guérir aussi. N’est-ce pas vrai, madame? Si vous croyez cela de tout votre coeur, vous pouvez être rétablie. Que Dieu vous bénisse. Oui, allez de l’avant. Que Dieu vous bénisse.

            Il y a assis juste là derrière une mère et son fils. C’est vrai. Ils sont aussi en train de prier Dieu. Dieu exauce votre prière. L’affection de la vésicule biliaire et l’asthme, pour l’enfant. Tenez-vous debout, acceptez votre guérison, Jésus-Christ vous guérit tous deux. Vous pouvez rentrer chez vous, que Dieu soit avec vous et qu’Il vous aide. Ayez foi en Dieu.

            Est-ce vous la patiente, madame? Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous qu’Il vous rétablira si je le Lui demande? Vous avez eu une affection, n’est-ce pas? Un accident (oui, oui), un accident d’automobile. Cela a causé une poche d’eau, c’est au genou, n’est-ce pas? Oui, oui ; oui, oui. Votre mari a quelque chose qui cloche avec son sang. Il est anémique, n’est-ce pas? Oui, oui. Maintenant, croyez-vous que vous vous tenez dans Sa Présence? Allez et soyez rétablie, par le Nom de Jésus-Christ, je prie. Amen. Que Dieu vous bénisse.

            Croyez-vous? Croyez-vous que Jésus de Nazareth vous guérit, vous assis là? Il l’a fait. Amen. Maintenant, partez en vous réjouissant, soyez heureux.

            [Un frère demande à frère Branham de prier sur un mouchoir pour quelqu’un qui se meurt.–N.D.E.] Oui, oui.

            Seigneur, au Nom de Jésus, je Te prie de guérir la personne que ce mouchoir représente. Je l’envoie, au Nom de Jésus, à cette fin. Amen.

67        Croyez-vous que notre Père céleste peut vous guérir de la maladie du coeur et vous rétablir, faire de vous un homme nouveau? Tenez-vous ici juste une minute, monsieur. Combien souffrent du coeur dans la salle? Tenez-vous debout maintenant même. Vous souffriez de la même chose ; alors, tenez-vous debout juste ici, juste une minute.

            Venez, madame. Croyez-vous? Le diabète est une mauvaise chose, mais notre Seigneur Jésus-Christ peut guérir cela, croyez-vous cela? De tout votre coeur? Tenez-vous juste ici, juste une minute. Tous ceux qui souffrent du diabète, levez-vous.

            Faites venir l’homme. Croyez-vous? Vous ne deviendrez jamais aveugle si vous croyez. Que tous ceux qui sont dérangés par les yeux, levez-vous, tenez-vous ici même, juste une minute. Je vous montre la gloire de Dieu. Tenez-vous ici même avec les autres juste une minute, mère.

            Venez, madame. Croyez-vous, madame. Croyez-vous? Croyez-vous en Dieu, qu’Il peut me faire savoir ce qui cloche chez vous? Acceptez-vous votre guérison? Vous êtes Espagnole. Acceptez-vous votre guérison si je vous le dis? Vous souffrez de l’estomac. Maintenant, tenez-vous ici même juste une minute. Que tous ceux qui souffrent de l’estomac se lèvent juste une minute.

            L’arthrite et autres, ce n’est rien à guérir pour Dieu. Il peut guérir cela. Croyez-vous cela? Tenez-vous ici même, juste une minute. Eh bien, les cas d’arthrite, gardez silence juste une minute.

68        Madame, ce brancard-là, vous savez qu’il vous faut croire, sinon mourir. Le cancer, ça vous ronge, mais Jésus-Christ peut vous guérir. Croyez-vous cela?

            Vous, monsieur, couché là, vous en souffrez aussi, une grosseur maligne dans votre jambe ; mais vous croyez, et Dieu vous rétablira, vous n’aurez pas à rentrer sur ce brancard ce soir, vous pouvez rentrer chez vous, guéri. Croyez-vous cela?

            Dieu Tout-Puissant, pour ces gens qui sont debout ici, maintenant, les démons sont exposés, cette assistance se tient dans une crainte révérencielle, Tu es maintenant prêt à guérir. Je prie que chaque démon ici présent soit soumis à Ta puissance, et je chasse chacun d’eux, au Nom de Jésus-Christ. Accorde-le, Père. Que ces gens sachent que Tu es ici pour guérir.

            Maintenant, madame, vous sur la civière, levez-vous ; Jésus-Christ vous guérit.

            Faites la même chose, jeune homme, sortez de ce brancard-là, au Nom de Jésus-Christ.

            Vous tous, levez les mains et rendez gloire à Dieu. Alléluia !

            Seigneur Jésus, le Fils de Dieu, chasse chaque puissance démoniaque, et que Jésus-Christ exerce un règne suprême, ici, par Jésus-Christ.

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