La Rédemption Par Le Jugement
1 [Un frère conduit l’assemblée dans le cantique Grâce étonnante, et ensuite frère Neville s’adresse à l’assemblée au sujet des gens qui parlent pendant le culte.–N.D.E.]
Merci, Frère Neville. J’apprécie cette brève annonce ; c’est très très bien. Et je suis heureux d’être ici ce matin pour reprendre les réunions. J’ai pris de petites vacances pendant un moment, et c’est presque les plus longues que j’aie prises depuis un bon bout de temps. Ainsi je suis heureux d’être de nouveau de retour ce matin pour commencer peut-être une nouvelle année au service du Seigneur. Et–et priez donc pour moi. Je dois immédiatement, comme nous... Après que j’aurai terminé la réunion de ce matin, je devrai me rendre à Owensboro, dans le Kentucky, où je commence des réunions cet après-midi, ou plutôt ce soir, dans une campagne. Et maintenant, je pense que juste à partir de là... et vous savez comment ça se passe. Ainsi nous sommes heureux de–de penser que...
Nous voudrions remercier le Seigneur, ou plutôt j’aimerais dire pour (J’aimerais vraiment le dire.) le–pour le merveilleux moment de vacances et tout qu’Il venait de m’accorder. Je me suis bien reposé et je me sens mieux que les années passées. Je me suis complètement détendu, et j’ai tout oublié des réunions. Et je suis donc parti aussitôt, et je–et j’ai simplement oublié cela, je suis allé chasser dans le Colorado avec les frères de cette église, ici présents. Et les Hommes d’Affaires Chrétiens m’ont amené dans l’Oregon, et ils avaient un... à Salmon River, et je me suis complètement détendu. Et je suis revenu me sentant prêt pour les réunions.
2 J’organise mes réunions d’une manière différente, comme vous l’avez tous compris et tel que l’ont publié les journaux. J’ai essayé de... Eh bien, je n’avais pas l’intention de faire cela, d’essayer de faire passer la guérison divine avant le salut, mais je me suis rendu compte que beaucoup de ceux qui étaient censés faire les appels à l’autel et tout, après qu’on m’a retiré de l’estrade... sous cette onction-là, je... discernement, c’est à peine si je sais à quel moment je quitte l’estrade. Ainsi je ne peux donc pas faire un appel à l’autel. Et je me rends compte que des milliers et des milliers m’ont filé entre les doigts comme cela pendant qu’ils étaient assis là convaincus, aucun appel à l’autel ni rien n’était fait, les laissant juste passer comme cela. Ainsi désormais, Dieu voulant, je ferai l’appel à l’autel moi-même. Et s’il y a des services de guérisons, ça sera après cela, afin que je puisse gagner des âmes. J’ai appris beaucoup de choses qui se sont accomplies concernant la guérison divine.
3 Eh bien, la guérison divine est vraie. Le Message est vrai. Le–l’objectif est juste. C’est dans les Ecritures, et vous ne pouvez pas prêcher le Plein Evangile sans prêcher la guérison divine. Nous le savons tous. Et j’aimerais vous montrer un petit article tiré du journal, Le Courier, de cette semaine, qu’on vient de me remettre il y a un instant. Quelqu’un a-t-il lu cet article au sujet des médecins? Le plus grand méd-... L’Association Médicale Américaine a déclaré depuis ici à Saint Louis que tout homme qui ne croit pas que Dieu est un Guérisseur ou–ne devrait pas du tout pratiquer la médecine. Cela–cela vient du quartier général, de l’associé... Eh bien, c’est tiré du numéro de cette semaine du journal... Soeur Gertie me l’a apporté. Je pense que c’est le numéro de lundi ou mardi. Si quelqu’un obtient cela, j’aimerais que vous m’en apportiez une coupure. J’aimerais la mettre dans mon album de coupures de journaux. Il est dit: «Sans la foi en Dieu nul n’a le droit de pratiquer la médecine.» C’est juste. Le méd-... le médecin qui dit cela, celui qui vient à l’estr-... plutôt celui qui vient pratiquer la médecine, qui n’accepte pas Dieu et ne croit pas en Dieu, n’a aucun droit de pratiquer la médecine. Cela vient des plus hautes autorités médicales que nous avons en Amérique.
4 Eh bien, ils apprennent–comprennent tous la même chose que nous connaissons depuis tout ce temps, n’est-ce pas? Ainsi... [Frère Branham rit.–N.D.E.] Ils apprennent tous, ces grands hommes intelligents ; bientôt ils finiront par apprendre de quoi il s’agit. Ne le croyez-vous pas? Bien sûr, vous savez que nous, nous le savions depuis longtemps, n’est-ce pas? Nous le savions. Le Seigneur nous l’avait dit il y a longtemps, longtemps que c’est Lui qui guérit toutes nos maladies. Et voici, le médical–l’autorité médicale dit que c’est vrai. J’ai toujours dit ceci: «Un homme qui ne croit pas en Dieu ne pourrait certainement pas remettre mon bras en place.» Je... C’est juste. Je vais décamper pour aller chez quelqu’un d’autre qui peut le remettre en place et qui croit en Dieu. Et si je devais subir une opération, ça devrait certainement être par un homme qui croit en Dieu, sinon il... Oui, oui. Parce que la médecine ne guérit pas. C’est Dieu qui guérit.
Et vous–vous devrez entendre ce que dit ce petit article. C’est merveilleux. Et j’aimerais avoir une copie de cela pour le mettre dans mon... J’ai toujours eu la préoccupation dans mon coeur de pouvoir écrire–j’aimerais écrire un commentaire sur la guérison divine. Il n’en existe pas un seul au monde à ce que je sache: un commentaire sur la guérison divine. Et un jour, j’aimerais monter là dans les montages et rester là-bas assez longtemps pour écrire un commentaire là-dessus, et ensuite redescendre et le remettre à quelqu’un qui est instruit, qui pourrait arranger cela avec des mots et tout, et publier cela, éditer cela. Ne serait-ce pas un bon commentaire avec lequel commencer? Comme introduction–préface du livre?
Alors, soeur Gertie, je vais vous rendre ceci, à moins que je le perde. Si quelqu’un ne...?... Eh bien, merci. Cela–cela... Tous mes remerciements. C’est juste. Je vais en tirer une photocopie, pour être certain de ne pas le perdre.
5 J’ai quelque chose d’autre, mais j’ai déposé cela, et–et j’ai oublié d’amener cela. J’ai pris cela à Bombay, il y a quelques semaines. Ils ont connu un grand tremblement de terre là-bas, comme vous l’avez appris, à Bombay, là en Inde. Et des milliers et des milliers de gens étaient sans abri et ainsi de suite.
Et il s’est fait qu’avant que cela se produise, tous les oiseaux et tous les animaux avaient complètement déserté cette zone. Et ensuite, après que cela fut terminé, ils sont tous rentrés. Oh ! la la ! la la ! Dieu avertit Ses oiseaux pour qu’ils fuient. Les oiseaux prennent en considération l’avertissement de Dieu, mais pas Ses enfants (Voyez-vous?), ces derniers–ces derniers ne veulent pas écouter. Voyez-vous? Mais tous les oiseaux s’en étaient allés dans le... avaient quitté la–complètement cette zone... Aucun d’eux n’a été tué. Et ensuite, ils sont tous rentrés après que le–après que le volcan et ainsi de suite, que les éruptions ont cessé, ensuite ils sont rentrés. Voyez? Ils ont échappé à la grande tragédie. Ainsi cela montre tout simplement que le même Dieu qui les avait appelés au jour de Noé à entrer dans l’arche vit encore aujourd’hui. Il est toujours le Seigneur.
6 Bon, je crois qu’il y avait quelque chose d’autre. Oh ! oui. C’est juste l’annonce du... J’apprécie certainement notre pasteur ici, frère Neville, comme un–un véritable serviteur du Seigneur. Il... Aussitôt que quelque chose...
Vous savez, un véritable berger veille. Et si quelque chose cloche chez une brebis, il est sur ses gardes, n’est-ce pas? Un véritable berger... Mais un mercenaire s’enfuit et laisse la chose entrer et tuer les brebis et les tuer et... Pas vrai? Mais un véritable berger est sur ses gardes.
Un petit tract a été distribué et envoyé cette semaine à plusieurs membres de l’église par ici, si j’ai bien compris. C’est au sujet d’une–une–une–une doctrine, d’un culte, qui vient de la Virginie occidentale. Et ça n’a aucune consistance. Mes amis, ce–ce n’est pas nouveau du tout ; c’est une vieille affaire. Et ces gens renient Jésus–qu’Il s’appelle Jésus. Et ces gens... Eh bien, le pasteur, dès qu’il a découvert cela, il est vite venu me voir pour m’en parler. Y a-t-il quelque chose à faire? J’ai dit: «Eh bien, certainement que l’église est assez établie dans l’Evangile de Jésus-Christ, elle est avisée.» Voyez? Les gens–ils appellent cela Yahvé, Joshua, Yahvé.
7 Maintenant, notre vieux–notre cher vieux frère Ryan, qui vient ici de temps en temps, il est aussi impliqué là-dedans. Et–et madame Larson, qui était ici autrefois avec nous, elle y est aussi, cela a formé tout un groupe qui...
Maintenant, mon ami chrétien, le mot «Joshua»... Et ils disent que la Bible a été mal imprimée, mal interprétée, et ainsi de suite. Ecoutez. Ne prêtez aucune attention à ce que les gens disent, notamment que la Bible a été mal imprimée. Si ceci est mal imprimé, c’est autre chose qu’ils disent, «ceci est tout simplement mal imprimé», sur quoi repose votre foi? Ceci c’est la Parole de Dieu. C’est ainsi qu’elle se présente juste ici. Voyez-vous? Et je crois que ça... simplement.
Maintenant, la Parole de... Eh bien, voici les faits. Cette dame qui est venue me voir ici, il y a quelque temps... Et je–elle ne croyait pas que Son Nom c’est Jésus. Elle disait que Son Nom devrait être Jéhovah Junior. Hum ! Alors j’ai dit: «Madame...» Voyez-vous, ce qu’il y a, mes amis, c’est que les gens qui ont de telles pensées, des gens qui acceptent ces ismes, bien vite, ils reçoivent un esprit d’égarement, ils s’éloignent et croient dans une erreur. Et ils sont–ils sont simplement prêts à accepter de telles choses. Et ne–ne faites pas ça. «Soyez fermes, dit la Bible, inébranlables (Voyez?), travaillant de mieux en mieux à l’oeuvre de Christ.»
8 Eh bien, la première personne que j’ai chassée de chez moi dans ma vie c’était cette femme. J’ai dit: «Ne venez pas ici si vous ne pouvez pas venir pour parler d’autres choses, parce que c’est... Je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu.» Et j’ai dit: «C’est... Ma foi est bâtie sur cela.»
Mais maintenant, la Parole–afin que vous compreniez, lorsque vous prenez cela, mettez cela de côté. Le mot «Joshua», en fait le mot correct c’est «Jos-u-é.» [Frère Branham prononce le mot pour les gens.–N.D.E.] Voyez-vous?
Maintenant, j’aimerais dire quelque chose ici: «Olkaa hyva.» Je doute qu’il y ait quelqu’un à l’exception de Billy Paul là derrière, qui sache ce que cela signifie: «Olkaa hyva.» Est-ce que quelqu’un sait ce que le mot «kiitos» signifie? Est-ce que quelqu’un sait ce que l’expression «baie dankie» signifie? Est-ce que quelqu’un sait ce que le mot «dankeschon» signifie? Il y a une seule main, pour «danke-...», deux mains. Très bien. Que veut dire le mot «merci»? C’est ce que je disais chaque fois. «Olkaa hyva, kiitos, dankeschon, baie dankie.» Voyez-vous? Tout cela signifie: «Merci», mais je l’ai simplement dit dans différentes langues. «Josh-u-a» c’est le nom de Jésus en hébreux. C’est tout. Quand c’est en anglais, c’est «Jesus» [Jésus en français], qui signifie «Josh-u-a», «Joshua», «Josh-u-a.». C’est juste la même chose. Voyez-vous?
9 Maintenant, si vous voulez dire: «Eh bien, vous devriez dire cela en hébreux.» Dans ce cas, nous devrions dire tout le reste en hébreu. Voyez-vous? Dans ce cas nous devrions tous comprendre l’hébreu, donc adopter l’hébreu, le–comme la langue de toutes les nations. Voyez-vous donc combien ce n’est pas consistant? C’est dénué de tout fondement. Voyez-vous? C’est «Joshua», «Yahweh.» «Yahweh» c’est Dieu: Yah, Yahweh, «Josh-u-a», tous ces mots, ces mots hébreux, s’appliquent à Dieu. Mais si nous, nous disions le même mot, nous dirions: «Jésus», «Jos-u-é». Voyez-vous? «Jos-u-é», Jésus. Maintenant, si je m’adressais à un hébreu et qu’il ne comprenne pas l’anglais, je dirais: «Josh-u-a» «Josh-u-a» pour lui faire comprendre de quoi je parle. Mais si je vous parlais ce matin, et que je dise: «Josh-u-a», vous vous demanderiez de quoi je parle. Je dirais: «Jésus». Voyez-vous? C’est le même mot, c’est la même chose.
Ainsi, ne prêtez pas l’oreille à tout ce... Vous savez que la Bible dit que ces choses-là apparaîtront, juste comme avant la Venue du Seigneur, toutes ces choses surgissent.
10 Et ici, récemment en enseignant, je crois que c’était quelque part ici, nous avons montré que ces esprits tirent leur origine de la Genèse, qu’ils ont commencé dans la Genèse. Et ils continuent carrément leur cours. Et chaque culte qui existe au monde aujourd’hui a commencé dans la Genèse au commencement (Voyez? C’est juste), chacun d’eux. C’est là que Babylone a commencé. Tous ces différents «ismes» et ainsi de suite, tout a commencé là-bas. Et tous ces différents dieux et tout. Ils avaient commencé à adorer même les racines des arbres et tout. Ces choses ont carrément eu des ramifications tout au long de l’histoire. Et observez la nature de ce qu’ils ont fait. Si vous étudiez cela d’un point de vue historique, ce qu’ils avaient fait là autrefois, comment ils adoraient, et considérez cela ici aujourd’hui. Vous retrouverez cela juste ici sous une autre forme de culte, sous forme de chrétienté et ainsi de suite, dans la même chose: l’imitation.
11 Alors n’oubliez pas du tout ceci, mon cher ami chrétien, je n’aimerais pas me tenir ici comme un séducteur. Je préférerais être ici en haut dans les montagnes. Mais je–je dois–je sais ce qu’est la vérité. C’est comme un homme, un frère qui vient de me remettre un livre tout à l’heure. Et le Dieu Tout-Puissant qui me jugera au Jugement [m’est témoin], lorsque j’ai pris ce livre et que je l’ai posé là au-dessus de la Parole de Dieu, l’Ange du Seigneur s’est tenu juste là à mes côtés tout à l’heure, et Il a dit: «Ôte ça de là !» C’est juste. Ce n’est pas correct. C’est juste. Il ne voulait même pas que cela soit associé à Sa Parole. Eh bien, c’est vrai. Dieu... Lorsque nous nous rencontrerons tous au Jugement, nous saurons que l’Ange du Seigneur s’est tenu juste là à côté de ma chaise, il y a quelques minutes, là dans le bureau de frère Neville, et Il m’a dit d’éloigner cette chose de Sa Parole. C’est l’exacte vérité. Voyez? Ainsi, c’est juste... Ce sont des choses qui ne sont pas correctes.
Et cet homme m’a donné cela pour que je le lise. L’homme lui-même est un frère de cette église, il a dit: «Jetez-y un coup d’oeil.» Eh bien, j’ai simplement pris cela dans ma main. Alors je... C’est tout ce que j’en savais, mais le Saint-Esprit savait que ce n’était pas juste. Donc ce n’est pas juste. Alors nous...
Voici la Parole de Dieu. En dehors de Ceci, croyez tout simplement... Notre foi est bâtie dessus, n’est-ce pas?
12 Je crois que la–la prochaine annonce c’est... De penser à–à cette semaine, je ne comptais pas commencer ou je ne comptais pas–je cherchais à tâter le terrain avant de venir ici au Tabernacle pour quelques soirées ici, comme je vous l’avais promis. Et je le ferai peut-être un–je le ferai un peu plus tard. Mais un pauvre frère bien-aimé est venu chez–chez frère Wright l’autre jour, et il a eu de la peine pour traverser ces bois là-bas et arriver chez frère Roy Roberson et chez moi, à partir d’ici, dans... Il est dans un état terrible, et il voulait que j’aille tenir quelques soirées de réunions pour lui. Il a annoncé que ce serait pour huit soirées, et il a loué le champ de courses où nous étions la dernière fois, à Owensboro ; c’est frère Rogers. Et je lui ai dit de ne pas le faire, de ne m’accorder que deux soirées et de tenir ces réunions dans–dans son église, là maintenant. J’ai dit: «Eh bien, ce que... Je n’ai pas jeûné et prié.»
Il a dit: «Frère Branham, si vous venez simplement chanter un cantique, ce serait en ordre.»
Il a donc un tel amour pour moi, alors j’irai l’aider cet après-midi. Et priez pour moi. Je pourrais rester quelques jours de plus, mais c’est juste–j’ai annoncé que ce serait juste pour deux jours. Ainsi je tâte d’abord le terrain pour voir ce que le Seigneur veut que je fasse.
Et en fait je–je ... Mes amis, alors je me rends compte en voyant que mon frère là a cinquante ans, et je sais que je vais moi-même vers mes quarante-six ans, sachant que cela ne tardera pas que je... Et si je vis, il ne me restera plus beaucoup de temps pour me promener partout comme je le fais maintenant. Je serai un homme très âgé. Alors–je ne serai plus en mesure de le faire. Et je–j’aimerais... Et je sais que je serai un mortel une seule fois, je veux que chaque minute de mon temps compte pour le Seigneur Jésus.
Et puis, quelqu’un dira: «Eh bien, pourquoi montez-vous donc là dans les montagnes?»
Eh bien, mon frère, si je ne monte pas là-haut, j’ai peur de craquer avant d’arriver trop loin. Il vous faut vraiment vous reposer. Et j’ai dit à ma femme, qui est présente ici quelque part ce matin, j’ai dit... Pendant qu’on venait, j’ai dit: «Tu sais, je crois que je suis un bien meilleur chrétien lorsque je reviens des montagnes que lorsque j’y vais, parce que je deviens tellement...» Les gens ici et ce... Et certains d’entre eux viennent en disant: «Eh bien, le Seigneur t’a dit de faire ceci et ainsi de suite», et cela m’embrouille complètement. Mais lorsque je reviens de la montagne, je me suis reposé ; j’aime tout le monde ; et je... Vous savez, vous vous régénérez tout simplement. C’est ce qui est bien, Frère Neville.
13 Maintenant, nous sommes... Je vais faire de mon mieux maintenant pour terminer dans environ... Oh ! oui, les classes de l’école du dimanche... Maintenant, où vont-ils, Frère Neville? La classe de l’école du dimanche, les petits enfants et les autres iront à–à l’arrière de la salle, et si les adultes veulent bien avancer un petit peu, eh bien, vous serez plus qu’heureux. Si vos petits enfants sont ici ce matin, voulez-vous les envoyer là-bas, eh bien, envoyez-les tout simplement derrière. Je suis sûr qu’ils ont un bon enseignant là-bas, qui ne leur enseignera rien d’autre que le Seigneur Jésus.
14 Et maintenant, pour–pour nous les adultes, lisons un psaume avant de commencer. Aimeriez-vous le faire? Ouvrons dans nos Bibles le Psaume 70, c’est juste un Psaume court, et lisons ce merveilleux Psaume: le Psaume 70. Je suis simplement tombé dessus en ouvrant la Bible. Je pense que nous pouvons juste prendre celui-là. Maintenant, comme d’habitude, souvent, nous–nous nous tenons debout, et moi je lirai le premier verset et vous le deuxième, et ainsi de suite jusqu’au dernier verset que nous lirons tous ensemble. Maintenant, tenons-nous debout pendant que nous lisons ce Psaume. Et à la fin, nous allons alors faire la prière modèle.
Ô Dieu, hâte-toi de me délivrer ! Eternel, hâte-toi de me secourir !
[L’assemblée lit à haute voix: Qu’ils soient honteux et confus, ceux qui en veulent à ma vie ! Qu’ils reculent et rougissent, ceux qui désirent ma perte !–N.D.E.]
Qu’ils retournent en arrière par l’effet de leur honte, ceux qui disent: Ah ! Ah !
[L’assemblée lit à haute voix: Que tous ceux qui te cherchent soient dans l’allégresse et se réjouissent en toi! Que ceux qui aiment ton salut disent sans cesse: Exalté soit Dieu !]
(Tous ensemble)
Moi, je suis pauvre et indigent: Ô Dieu, Toi Seigneur... Eternel, ne tarde pas !
Et inclinons nos têtes pendant que nous répétons cette prière modèle ensemble: [L’assemblée répète à haute voix.] Notre Père qui es aux Cieux ! Que Ton Nom soit sanctifié ; que Ton Royaume vienne ; que Ta volonté soit faite sur la terre comme au Ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien ; pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés ; ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du mal. Car c’est à Toi qu’appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance, et la gloire. Amen !
15 Vous pouvez maintenant vous asseoir. N’oubliez donc pas de prier, afin que Dieu m’aide, alors que je commence mes réunions maintenant, à les amener au point où elles seront dans Sa volonté, là où je pourrais facilement voir avec exactitude pourquoi ces réunions ne se sont pas déroulées comme elles devraient, des choses dont je ne savais rien.
Maintenant, je crois qu’aujourd’hui, nous allons juste faire une petite étude. Combien aiment étudier la Bible sous différents angles? Aimez-vous cela? Eh bien, c’est bien. Commençons alors dans Saint Jean. Eh bien, ceci c’est juste... Lorsque je viens au tabernacle, je ne sais jamais ce que je vais dire jusqu’au moment où je monte ici. Et maintenant allons dans Saint Jean, chapitre 3, je crois que c’est ça. Eh bien, à moins que je doive jeter un coup d’oeil pour me rassurer ; Saint Jean 3, vers le verset 14. Oui, c’est ce que j’aimerais lire.
Pendant que nous étions assis tout à l’heure, nous pensions à la bonté du Seigneur Jésus et combien Il a été grand pour nous et ce qu’Il est pour nous maintenant. J’aimerais que ceci soit court et très à propos, si possible. Et ensuite, nous allons avoir un service de guérison ou de prière pour les malades. Je comprends qu’il y a ce matin beaucoup de gens qui sont nécessiteux, et certains ont parcouru une longue distance pour les amener afin que l’on prie pour eux. Comme le Seigneur a baissé Son regard miséricordieux sur nous ici, et qu’Il nous a conduits dans cette matière, nous aimerions partager avec tous nos concitoyens ce que nous avons reçu de Lui.
16 Ainsi donc, j’aimerais prendre le sujet, si Dieu le veut maintenant, sans savoir exactement où je vais même utiliser le prochain passage des Ecritures, mais cela m’est venu de cette manière: La Rédemption par le jugement. Eh bien, tout récemment nous avons eu l’enseignement sur La Rédemption par la miséricorde et La Rédemption par l’expiation. Il m’est arrivé de penser à La Rédemption par le jugement. Maintenant, ici c’est Jésus qui parle, Saint Jean 3, nous commençons au verset 10:
Jésus lui répondit: Tu es le docteur d’Israël, et tu ne sais pas ces choses !
En vérité, en vérité, je te le dis, nous disons ce que nous savons, et nous rendons témoignage de ce que nous avons vu ; et vous ne recevez pas notre témoignage.
Si vous ne croyez pas quand je vous ai parlé des choses terrestres, comment croirez-vous quand je vous parlerai des choses célestes? Personne n’est monté au ciel, si ce n’est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme qui est dans le ciel.
17 Maintenant, j’aimerais poser une question à l’église en ce moment. Comment pouvait-il se faire que Lui, le Fils de l’homme qui se tenait sur terre, Il était au même instant au Ciel, tout en étant sur terre au même moment? «C’est-à-dire le Fils de l’homme qui est dans le Ciel...», et Le voici se tenant sur terre.
Une fois, quelqu’un m’a posé la question, il a dit: «Frère Branham, si vous pensez que Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même, a-t-il dit, si Dieu demeurait en Christ, alors à qui adressait-Il Ses prières dans le jardin d’Eden?»
J’ai posé à cette dame cette question: «Alors dites-moi comment Il était au Ciel alors qu’Il se tenait ici en train de parler à Nicodème au même moment.» Voyez, voyez? Non seulement Il adresse des prières, mais Il exauce aussi les prières. Il... Voyez-vous, Il est Celui qui répond à Ses propres prières. Voyez-vous? Maintenant:
Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé
Afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas, mais qu’il ait la Vie éternelle.
(Si ce n’est pas la chose la plus merveilleuse !)
Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert il faut... que le Fils de l’homme soit élevé, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle.
18 Ce que nous serons après notre mort ne m’a pas encore été révélé. Je ne crois pas qu’il a été donné aux fils des hommes jusqu’à ce jour de connaître le sort qui nous est réservé après la mort. Bien des gens ont pensé que lorsque nous mourons, nous demeurons des esprits jusqu’au retour du corps à la résurrection. Mais ce n’est pas du tout vrai, parce que les Ecritures disent que si cette tente où nous habitons sur terre est détruite, nous en avons déjà une qui nous attend. Voyez-vous? Il y a un genre de corps vers lequel nous allons, ce n’est pas notre esprit, mais notre esprit va vers un corps.
Maintenant, étant donné que nous utilisons des types et que nous sommes des typologues, nous croyons ceci: Dieu est parfait en trois, comme Père, Fils et Saint-Esprit. La loi, la dispensation chrétienne et la dispensation du Saint-Esprit, tous ces trois se rassemblent et forment un seul Etre dans une personnalité trine.
19 Maintenant, et puis il y a trois Venues du Seigneur. Le Seigneur Jésus était venu la première fois pour racheter Son Epouse. Il vient la deuxième fois pour prendre Son Epouse. Il vient la troisième fois avec Son Epouse. Voyez? Voyez-vous, nous... Lors de Sa prochaine Venue, Il ne vient pas sur terre ; nous serons simplement enlevés pour Le rencontrer dans les airs. Vous voyez, la belle histoire de Rebecca et comment elle est montée sur le chameau et est allée à la rencontre d’Isaac en compagnie d’Eliézer, et–et Isaac était le type de–de Christ, le Fils de Dieu, lequel était le fils d’Abraham qui avait hérité de tous les biens d’Abraham et de tout ce qu’il possédait. Il était dehors dans les champs au soir, en train de se promener dans les champs, lorsqu’il vit la belle Rebecca venir à dos de chameau. Oh ! la la ! cela me donne des frissons.
La belle Rebecca, il ne l’avait jamais vue ; il ne savait pas qui elle était ; mais Eliézer la cherchait. Et il l’a trouvée par le témoignage du Saint-Esprit. Il a dit... Il a prié et a dit: «Ô Dieu, accorde-moi Ta faveur aujourd’hui, afin que je puisse trouver une femme pour mon maître.»
Et alors, lorsque Rebecca est venue abreuver les chameaux, ce qui était le signe qui montrait qu’elle était disposée à partir, elle est montée sur le chameau et est partie à la rencontre d’Isaac. Et ce dernier se trouvait là dans les champs, à mi-chemin, il avait quitté la maison de son père.
20 Jésus se trouve, peut-être (J’aimerais me l’imaginer comme ceci. Je ne peux pas dire que c’est le cas.), Il a déjà quitté la Gloire, Il descend parmi les étoiles et ainsi de suite, Il descend sur la terre. Un de ces jours, peut-être aujourd’hui déjà, l’Eglise qu’Il n’a encore jamais vue, seulement selon le témoignage que le Saint-Esprit en a rendu... Voyez-vous?
Et remarquez, lorsque Rebecca vit Isaac, elle se voila le visage, et d’un bond elle descendit du chameau, et courut à sa rencontre. C’était un coup de foudre. J’ignore à quoi Il va ressembler. Je... Il pourrait être un Homme de grande taille ; Il pourrait être un Homme de petite taille ; Il pourrait être un... brun, blanc, noir. Je ne sais pas de quelle race Il sera ; quel genre de cheveux Il aura ; quelle sera la couleur des Ses yeux ; mais je L’aime. Peu m’importe à quoi Il ressemble ; je L’aime. Oui, oui. Et l’Eglise L’aimera.
Et je crois qu’Il est en route maintenant, qu’Il a déjà quitté les Palais d’ivoire, qu’Il descend pour prendre Son Epouse. Alors nous serons enlevés dans les airs à la rencontre du Seigneur. Est-ce juste? Alors nous partirons pour les noces comme ce fut le cas pour Isaac et Rebecca. Et alors, lorsqu’ils sont sortis de la cérémonie des noces, il était le possesseur. Et quand donc Jésus reviendra avec Son Epouse, pour régner sur le trône de David, Son père, dans le Millénium, Il viendra alors avec Elle en tant que Roi et Reine.
21 Bon, je pense que c’est la même chose pour le–le corps. Nous avons reçu le premier corps qui est un corps naturel, mortel, un corps qui vient du péché. Et le corps suivant, c’est un corps de gloire, le même genre de corps dans lequel le chrétien, le croyant entre lorsqu’il meurt. Ce n’est pas exactement la chair. Je ne dirai pas que c’est un corps physique, mais cependant, c’est–c’est un corps réel. Et ensuite, ce corps retournera pour prendre la tente d’argile à la fin, à la résurrection. A ce moment-là, nous serons à Sa ressemblance éternellement. Oh ! c’est simplement merveilleux.
Ecoutez. Vous direz: «Frère Branham, ça.» Voyez-vous, si c’est un esprit, vous ne pourriez pas voir cela. Mais ce n’est pas un esprit.
Ecoutez. Lorsque la sorcière d’En Dor fit monter l’esprit de Samuel, ou–ou Samuel, Saül le reconnut. Il se tenait là dans sa robe de prophète. Et la sorcière prit peur et se jeta par terre, et dit: «Je vois des dieux monter.» Et il n’était pas seulement vêtu de sa robe de prophète, il était toujours un prophète. Il a dit: «Pourquoi m’as-tu appelé, étant donné que tu es devenu un ennemi de Dieu?» Il a dit: «Demain, tu seras avec moi.» Il a dit: «Tu tomberas...», et qu’il tomberait dans la bataille, et son fils de même, très exactement. Et ils se tenaient là et ils l’ont reconnu.
Eh bien, vous direz: «Frère Branham, je n’en suis pas trop certain.» Très bien. Qu’en était-il alors de Jésus lorsqu’Il était sur la montagne de la transfiguration, et Moïse et Elie se sont tenus là, et Pierre, Jacques, et Jean se tenaient là en train de les regarder? C’est juste. Oui, nous serons quelque chose lorsque nous partirons d’ici. C’est juste. Nous serons une personne et quelque chose. Et, oh ! quel genre de personnes devrions-nous être aujourd’hui, sachant que, dans Sa grâce, Dieu a un nouveau corps pour Son peuple.
22 Je pense à cette vieille petite tente frêle de notre humiliation, qui est ici. Qu’est-ce que c’est? Juste un peu de vitimes–vitamines et de calories et autres, rassemblées ici: c’est juste un petit endroit où l’âme doit s’ancrer. C’est tout. Mais un de ces glorieux jours cela sera changé, et ce qui est dedans s’en ira, parce que ceci ne peut pas encore entrer dans cela directement. Cela doit entrer en quelque sorte d’une manière progressive. Même après notre mort nous entrons dans ce–ce ty-... ce type de corps, nous ignorons ce que ça sera, car ce que nous serons à la fin n’a pas encore été manifesté. Mais nous savons que nous aurons un corps semblable à Son propre corps de gloire, car nous Le verrons tel qu’Il est. Voyez, ça sera quelque chose de pareil, car nous Le verrons tel qu’Il est.
23 Or, quel prix cela a-t-il coûté pour nous racheter? Nous allons en parler pour montrer que c’était au travers du jugement. Maintenant, ouvrons nos Bibles là où il est dit: «Comme Moïse éleva le serpent d’airain.» Il a dit: «Dans le désert...» La raison pour laquelle Moïse éleva le serpent d’airain, c’est la même raison pour laquelle le Fils de l’homme a dû être élevé. Or, Moïse éleva le serpent d’airain pour un double objectif ; c’était parce que les gens maugréaient. Et autre chose, ils étaient malades. Et cela apportait donc la guérison divine là même pour les enfants d’Israël.
Exode... Prenons Nombres 21, et voyons si ce n’est pas une meilleure–une meilleure chose...?... Nombres 21, ici. J’avais placé mon bout de papier juste là, il s’est fait que ce soit Nombres 21. Et remarquons ici juste un instant, comment les enfants d’Israël avaient commencé leur voyage: un type parfait de l’Eglise aujourd’hui, qui est sur son chemin vers la Gloire. Ne croyez-vous pas que chaque jour, nous gagnons un peu plus de terrain, au fur et à mesure que nous avançons? Nous faisons un feu de camp sur un nouveau terrain chaque soir, je sens que je suis un peu plus près qu’hier, je le crois, pas vous? On fait un nouveau feu de camp chaque soir: on avance.
24 Israël, aussi longtemps qu’ils voyageaient, ils se dirigeaient vers la Terre promise. Au bout d’un moment, ils se sont mis à murmurer et à se plaindre, parce qu’ils n’ont pas reçu Dieu dans Sa glorieuse puissance.
Oh ! sur ce point j’aime en quelque sorte me vanter un tout petit peu du Tabernacle, si vous voulez bien excuser cela, vous les étrangers et tout. Vous êtes des nôtres ; nous n’avons aucune différence ici: nous sommes tous un en Christ. Nous nous aimons.
Eh bien, nous avons essayé de prendre position pour le plein Evangile, le surnaturel. Si Dieu dit qu’Il fait une certaine chose, qu’Il est Dieu le Créateur, nous acceptons cela ; nous croyons la chose. Lorsque Dieu fait quelque chose, nous disons: «Oui, oui.» Et nous croyons que l’on ne doit pas altérer les Ecritures ou les interpréter pour dire: «Eh bien, cela ne signifie donc pas exactement cela.» Nous croyons que Cela signifie exactement ce que Cela dit. Nous ne nous amusons pas du tout avec cela: nous disons: «C’est cela.» Si ma foi n’est pas à la hauteur, eh bien, c’est ma faute. C’est un–ce n’est pas la faute de Dieu.
25 Or, les enfants d’Israël pendant leur voyage, ils étaient–ils n’avaient pas besoin d’effectuer un long voyage. En fait, ils auraient pu effectuer ce voyage en une semaine de marche, s’ils y étaient allés directement. Mais ce qui a fait obstacle dans leur marche, c’était leurs protestations et leurs plaintes. Dieu avait accompli des oeuvres parmi eux. Et ensuite, lorsqu’ils sont entrés dans la Terre promise, ils ont choisi un homme de chaque tribu ; en effet, il y avait douze tribus. Et deux sont revenus, notamment Josué et Caleb, et ils ont dit: «Nous pouvons nous emparer de ce pays.»
Mais dix autres sont revenus et ont dit: «C’est trop difficile. Nous ne pouvons simplement pas le faire parce que ces gens sont trop grands, et leurs–leurs villes sont entièrement fortifiées, et nous ressemblons tout simplement à des sauterelles à leurs yeux, alors nous ne le pouvons pas.» Et ils étaient alors à l’endroit qui s’appelle Kadès Barnéa.
Kadès Barnéa était autrefois le siège du jugement du monde. Il y a une grande source et de petites sources qui sortent de celle-là, ce qui est aussi un type parfait: Christ la grande Source, l’Eglise la petite source, qui sort de Christ, le siège du jugement.
Le jugement commence par la maison de Dieu. C’est ici que nous sommes jugés. Et n’est-ce pas pitoyable de voir que lorsque nous avons tort et que nous faisons ce qui est mal, que nous menons le mauvais genre de vie, que nous avons de mauvaises fréquentations et tout, nous ne sommes pas assez grands pour nous avancer et dire: «Ô Dieu, je regrette, c’est moi–moi–moi–qui ai tort. Tu as raison et j’ai tort, pardonne-moi et aide-moi à faire mieux la prochaine fois.»? Si seulement nous pouvons être sincères à ce point ! Mais ce n’est pas le cas. Nous entendons l’Evangile être prêché et nous disons: «Oh ! eh bien, je ne le crois même pas de cette manière-là.»
26 Eh bien, je ne me trompe pas. Mais je crois que la dernière fois que j’étais ici, avant d’aller à la montagne, j’ai prêché sur Le Péché impardonnable. Est-ce juste? Le péché impardonnable... «Celui qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché. Car si nous doutons volontairement, après avoir reçu la connaissance de la Vérité, il ne reste plus de sacrifice pour le péché»: Hébreux 10. Voyez-vous? Après que nous avons reçu la connaissance de la Vérité, de ce que nous devrions faire, et ensuite nous refusons de le faire, alors nous ne pouvons pas aller loin avec Dieu, jusqu’à ce que nous l’aurons effectivement fait. Voyez, voyez? Dieu nous présente simplement quelque chose afin que nous mettions fin à ce genre de vie, nous devrions arrêter de vivre pour le monde, et confesser être des chrétiens. Et quand nous continuons carrément avec cette même chose, alors nous ne pouvons pas aller plus loin avec Dieu. C’est juste... Là où cela nous a été révélé, nous devons donc nous arrêter juste là, jusqu’à ce que nous mettions cette chose en ordre, et ensuite continuer avec Dieu. Vous... Car c’est alors que nous sommes–nous revenons dans la grâce.
27 Bon, Israël était arrivé à Kadès Barnéa, et les voici qui reviennent. Et Josué et Caleb, ils étaient réellement tout en feu. Ils doivent avoir tenu une réunion de prière là-bas, une sorte de vrai réveil, parmi eux. Et lorsqu’ils sont revenus, ils ont dit: «Oui, nous pouvons nous en emparer.»
Mais les dix autres ont dit: «Oh ! non, nous ne le pouvons pas. Nous, c’est trop difficile pour nous.» Le manque de foi. Voyez-vous? Ecoutez, ami chrétien. Tout est basé sur la foi. Et la foi ne peut pas être correcte à moins qu’elle ait un fondement. Vous ne pouvez pas avoir la foi, et dire: «Eh bien, je crois que ceci est ma foi, que...» Ma foi ne vaut rien si elle est contraire à la foi de Dieu. Mais si ma foi s’accorde avec la Sienne, alors j’ai une fondation solide. Quoi qu’il arrive, nous allons y aller de toute façon, parce que Dieu l’a dit. Eh bien, c’est le genre de foi qu’avaient Caleb et Josué.
28 Or, Dieu avait dit à Moïse avant qu’il ne parte, Il avait dit à Abraham avant qu’aucun des enfants ne soit né, que lui et sa postérité allaient–sa postérité séjournerait dans un pays étranger, mais qu’Il allait leur donner la Palestine. C’est ce qu’Il avait promis à Abraham. Et ensuite, Il a confirmé Sa promesse en visitant Moïse et en lui disant qu’Il leur avait déjà donné le pays: «Allez tout simplement vous en emparer.»
Et ainsi Josué... Oh ! j’aime ceci juste ici. Josué avait basé sa foi, non pas sur ce qu’il voyait, mais sur ce que Dieu avait dit. Peu importe combien ces géants étaient grands, le nombre de barrières qu’il y avait autour, le nombre de pièces d’artillerie qu’ils possédaient, Josué considérait ce que la Parole de Dieu disait. C’est ce que nous voulons considérer aujourd’hui. Vous direz: «Oh ! j’ai tant de hauts et de bas, Frère Branham.» Mais si vous aviez mes hauts et mes bas...
Il n’y a pas longtemps, une petite dame était allée consulter un certain médecin par ici. Et ce petit médecin maudissait, sautillait et faisait des histoires. Cette dame lui a dit, elle a dit: «Je ne ferais pas cela si j’étais à votre place, Docteur.»
Celui-ci a dit: «Si vous aviez mes soucis, eh bien, vous–vous le feriez aussi.»
Elle a dit: «Oh ! j’ai autant de soucis que vous, et je ne le fais pas de toute façon.» Le médecin a donc été carrément remis à sa place. C’est juste. Et depuis ce temps-là il a du respect pour la petite dame. Voilà ; c’est ce que fait une parole bien à propos. Voyez? Peu importe vos soucis, vos tentations, tenez-vous sur la Parole de Dieu. Quand tout, tout semble aller mal, tenez-vous sur la Parole de Dieu. C’est ce qu’Il a dit.
29 Alors, lorsqu’ils sont arrivés à l’endroit où ils devaient traverser, Josué savait que Dieu avait promis de leur donner ce pays et qu’il leur appartenait quelle que fût l’opposition. Eh bien, c’est un type de l’Eglise d’aujourd’hui, de vrais et authentiques membres du Corps de Christ. Nous avons beaucoup de gens qui fréquentent l’église. Mais dans cette église, et pratiquement beaucoup–tous, je pense, j’espère... Dans ce groupe bien déterminé de cette église il y a des membres qui croient réellement de tout leur coeur, dans cette église. Je sais que c’est vrai. J’en ai eu sur l’estrade sous l’inspiration, et j’ai vu qu’ils étaient très authentiques. Bien qu’ils pourraient ne pas comprendre le plein Evangile et tout le reste, mais cependant ils sont authentiques dans leur coeur. Ce qu’ils croient, ils le croient réellement de tout leur coeur. Et ils...
Et tout ce qui est fait sans la foi est péché. L’incrédulité, c’est absolument le péché. Tout ce qui ne procède pas de la foi n’est pas de Dieu. Vous devez croire. Et la seule manière que vous puissiez avoir la foi, c’est de voir d’abord ce que Dieu a dit à ce sujet, et ensuite de croire Sa Parole. C’est vrai. C’est la seule manière que vous puissiez y parvenir.
30 Ainsi Josué et Caleb savaient que Dieu avait fait la promesse. Et ils sont revenus et ils n’avaient pas peur de dire: «Nous pouvons nous en emparer», parce qu’ils avaient basé leur foi non pas sur ce qu’ils avaient vu, mais sur ce qu’ils croyaient.
Maintenant, aujourd’hui, dans ce tabernacle, nous pouvons baser notre foi comme des citoyens américains. Maintenant, nous ne pouvons pas... En tant que chrétiens plutôt, nous pouvons baser notre foi sur ce que Dieu a dit, en dépit de la déclaration d’un médecin, d’un homme de science, ou de n’importe quelle autre preuve qu’il pourrait y avoir.
31 Il n’y a pas longtemps, il y a deux semaines, je suivais une émission quelque part à la radio–ou, non, je lisais un journal, là dans l’Oregon, et il disait–ou plutôt là dans l’Idaho, il disait qu’on louait un certain homme de science, parce qu’il était près de prouver que la vie animale et la vie végétale, c’était la même vie. Eh bien, comment donc l’animal serait-il venu d’une plante? Et la plante, en d’autres termes, l’arbre et le poisson sont la même chose. Voyez-vous?
Eh bien, ça dépasse un peu ce que mon entendement peut saisir. Je crois que Dieu a créé un arbre ; Il a créé un poisson. Voyez-vous? C’est donc jusque là que je peux aller. Et je crois que tout le reste en dehors de ça, je n’y crois simplement pas ; c’est tout. Voyez? Cela doit être basé sur la Parole de Dieu. Il a créé un palmier et Il a créé un chêne. Les deux ne sont pas le même arbre. Si c’était le cas, le chêne produirait des noix de coco ou des noix de palme ou ce que–ou quoi que ce soit. Voyez-vous? Il s’agit de la vie qui est dedans. Et moi, je Le prends tout simplement au Mot, peu importe combien cela paraît simple, je le crois tout simplement comme cela. Pas vous?
32 Maintenant, comme des gens qui viennent pour que l’on prie pour eux, nous pouvons baser nos pensées ce matin, nous pouvons baser nos pensées sur ceci: Dieu a fait la promesse. Si vous étiez ici ce matin, vous diriez: «Eh bien, Frère–Frère Bill, j’ai eu des hauts et des bas dans ma vie. J’ai toujours désiré mener une vie chrétienne. Je n’arriverai jamais à me stabiliser.»
Eh bien, je peux baser ma promesse–ma foi sur ceci, mon frère, ma soeur, ce matin: si vous vous consacrez entièrement maintenant même... N’attendez pas jusqu’à ce que vous viendrez à l’autel. Vous pouvez venir ici et dire: «Maintenant j’ai accepté cela», mais juste là où vous vous trouvez en ce moment, dites: «Ô Dieu, aie pitié de moi, un rétrograde, ou un pécheur, ou quoi que ce soit ; et maintenant je ne base mon espoir que sur Ta Parole. Je La crois.» Alors, frère, quelque chose va se produire, parce que vous avez un véritable fondement ; car Dieu ne vous rejettera pas. Les tentations viendront ; il n’y aura jamais une tentation sans qu’Il vous donne la grâce de la surmonter. Et Il a promis de vous rencontrer sur chaque front de bataille, juste là, et Il vous bénira. Ainsi donc, c’est là que votre espoir...
Vous allez arriver à un point où vous direz: «Eh bien, Frère Bill, les gens... J’ai tant de tentations.» Citez-moi un seul chrétien qui n’est pas tenté. Nous ne sommes pas venus à un pique-nique ; nous sommes venus sur le champ de bataille. Nous sommes ici pour combattre l’ennemi. Alors, bien sûr, nous ne revêtons pas notre armure juste pour qu’on nous regarde. Si vous devenez un chrétien, juste pour qu’on vous regarde, alors vous êtes–vous êtes... Eh bien, je crains que vous soyez au mauvais endroit.
33 Parfois on méprise les chrétiens ou on se moque d’eux, mais nous venons comme des guerriers (Amen.), nous venons étant aspergés du Sang. La vieille croix rugueuse va devant nous, l’Etoile du matin illumine le sentier, oh ! nous sommes en route vers quelque part. Ne vous souciez pas de ce que dit le monde: c’est ce que Dieu a dit qui compte. Le terrain nous appartient ; Dieu l’a dit. Nous sommes en route. Si nous sommes tués sur le champ de bataille ici... Si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous en avons déjà une qui attend là-bas. Nous n’avons rien à craindre.
Oui, oui, tout nous appartient, parce que Christ a entièrement racheté cela pour nous, par Lui. Et Il nous a aimés, et nous ne pouvons pas venir à Lui, à moins que Dieu nous attire à Lui.
Il a dit: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire premièrement. Et tous ceux qui viendront, Je leur donnerai la Vie Eternelle, Je les ressusciterai au dernier jour.» En définitive, de quoi nous soucions-nous? Il n’y a pas de quoi s’inquiéter, rien à craindre. On dit: «Qui va être le prochain président?» On va faire une dépression. Cela n’a aucune importance pour moi. La seule chose que je sache, Dieu a parlé et Il a dit qu’Il me conduira jusqu’au bout du chemin, alors j’ai simplement saisi Sa main, j’ai accepté Sa Parole. Et ainsi, nous voilà en route vers la Terre promise.
Lorsque nous arrivons à Kadès Barnéa, nous croyons simplement la Parole de Dieu et nous continuons à avancer. C’est juste. Et, oh ! ce qui est glorieux, c’est que de temps en temps Il nous donne une grosse grappe comme évidence (Vous savez) que nous–qu’il y a un Pays au-delà de la rivière, appelé douceur éternelle. Pas vrai? Alors que l’on vive ou que l’on meure, qu’est-ce que cela change? Avançons carrément.
34 Maintenant, si nous menons juste une vie de demi-chrétien, souvenez-vous, cela ne nous sert à rien. Abandonnons maintenant même cette chose et disons: «Ô Dieu, ce matin même je viens et je base ma foi sur Ta Parole. Peu m’importe si je n’ai jamais crié dans ma vie. Peu m’importe si je n’ai jamais pleuré dans ma vie. Peu m’importe si je n’ai jamais eu n’importe quel genre de manifestation ; je base ma foi sur Ta Parole ; et je suis en route vers la Terre promise. Et comme le monde m’a dit, ou quelqu’un m’a dit, que si je n’ai pas senti une drôle de sensation lorsque j’ai été sauvé, ou quelque chose comme ceci...» Eh bien, je ne dis rien de mal contre cela. C’est très bien, mais ce n’est pas la chose. Amen.
Ma foi n’est fondée que
Sur le Sang et la justice de Jésus ;
...tout cède autour de mon âme
Alors Il est tout mon Espoir et mon Appui.
Je veux être un chrétien ce matin parce que j’ai accepté la voie à laquelle Dieu a pourvu. C’est ce que dit Sa Parole ; j’ai pris cela tel quel, et cela règle la question. C’est juste.
35 Lorsque le diable vient et dit: «Eh bien, moi aussi j’ai eu une sensation drôle une fois. Suis-je sauvé pour autant?» Je ne sais pas, mais, frère, vous devez répondre aux exigences de cette Parole qui est ici.
Jésus a dit: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle.» Oh ! la la ! j’entends simplement...?... Ils... J’aurais aimé–j’aurais aimé avoir été là et L’entendre dire cela, pas vous? «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Oh ! la la ! Si cela n’élimine pas tous les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, les pentecôtistes et tout, je ne sais pas ce que cela fait. Cela élimine simplement tout et ramène la chose à «celui». Est-ce juste? C’est juste. «Celui qui écoute Mes Paroles (Qu’il soit tout ce qu’il veut. C’est juste. ), qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle.» Oh ! la la ! que la barque tangue donc, que le vieux bois craque ; elle va faire naufrage un de ces jours de toute façon ; mais elle ne va pas faire naufrage avant qu’elle n’atteigne l’autre rive. C’est tout aussi vrai que ça peut l’être. Elle va y arriver, aussi sûr que le monde existe, parce que Dieu l’a promis.
Oh ! la la ! quand j’y pense, cela ôte absolument toute frayeur ; cela ôte toutes les histoires ; cela ôte toute la malice. Cela amène cet homme qui vous maltraitait à vous considérer de nouveau comme un frère. Alors prenons-le par la main. C’est juste. Oh ! la la ! «Voici qu’elle a commis une erreur, oh ! qu’est-ce que ça change? Moi aussi j’en ai commis.» Je vais mettre mon bras autour de lui et dire: «Allons, frère, avançons un peu plus maintenant, resserrons le vieux...»
36 J’aime cette partie du milieu dont Paul parle ici (Vous savez?), la–la boucle. Réalisez-vous que la boucle est l’élément principal? La Bible n’en a pas fait tellement mention, mais c’est vraiment l’élément important. C’est la boucle qui maintient les–les–les sangles du harnais attachées. Est-ce jute? Donc, je suis revêtu du casque et de toutes ces différentes pièces, de la cuirasse. Mais le–n’oubliez pas la boucle pour boucler cela et serrer cela. Oh ! la la ! Alors bouclez cela, et que cela soit bien serré, et avancez encore (Vous savez?), et commencez à avancer.
37 Lorsque Josué est revenu, il a dit: «Bien sûr, nous pouvons nous en emparer. Dieu l’a dit.» Kadès Barnéa, c’est là qu’ils ont rencontré le jugement. C’est là que Dieu les a jugés. Maintenant, le jugement de Dieu pour quelle raison? Parce qu’ils avaient douté. Kadès Barnéa était le siège du jugement d’Israël, parce qu’ils avaient douté de la Parole (Voyez-vous?), pas de ce qui était l’évidence.
Maintenant, ils étaient là dans le désert. J’aurais souhaité que nous ayons le temps de lire une bonne partie de cela, mais nous n’en avons pas. Mais le désert et le voyage, et comment ils disaient: «Ce n’est pas ça l’endroit où poussent des grenadiers. Ce n’est pas ça l’endroit où l’on trouve des raisins ou des figues», et «Tu nous as fait sortir d’Egypte ; nous avions de très bonnes maisons là-bas, mais voici que tu nous as amenés ici pour mourir dans ce désert, sans eau, sans nourriture, sans rien. Et tu nous as amenés ici.» Tout témoignait contre eux. «Voici tu–voici tu nous as conduits maintenant ici à côté de cette petite rivière où il y a cette source et cette oasis, à peine assez d’eau pour que nous puissions nous y abreuver.» Oh ! la la ! n’est-ce pas exactement ce que dit le plaintif lorsqu’il tombe malade?
Et puis: «Nous y sommes. Nous n’avons rien à manger. Nous n’avons pas de grenades. La seule chose que nous avons, c’est juste un peu de manne qui est tombée la nuit. Et maintenant tu nous dis, après que les hommes sont revenus de là en disant: ‘Oh ! la la ! c’est vraiment en vain. Oh ! la la...’ Voici, nous sommes sortis de–nous avons quitté nos pays et nous ne pouvons pas y retourner. Eh bien, nos enfants vont devoir grandir dans ce genre de conditions-ci. Et toutes ces villes ont des murailles gigantesques, au point qu’on peut faire des courses de chars dessus. Nous n’avons rien à part quelques ébranchoirs et quelques épées et tout dans nos mains. Et regardez cette grande armée là-bas, l’opposition. Et ils sont tellement grands ; eh bien, un seul d’entre eux pourrait battre douze d’entre nous.» N’est-ce pas la manière dont le diable dépeint la chose?
38 Josué, je peux le voir se tenir là, et Caleb, seuls, le visage tout reluisant, disant: «Gloire à Dieu. Nous pouvons nous en emparer de toute façon.»
«Oh ! comment vas-tu t’en emparer?»
«Il ne s’agit pas de comment je vais m’en emparer. Ce n’est pas mon affaire de comprendre cela, mais Dieu a dit que cela nous appartient, et je–alors cela m’appartient. Dieu l’a dit.»
La guérison m’appartient donc ce matin. La guérison vous appartient. Le salut vous appartient. Le salut m’appartient. Vous direz: «Je n’arrive pas à mener le genre de vie correcte.» Si, vous le pouvez. Dieu a dit que nous le pourrions. Je le crois. Pas vous? Comment pouvez-vous vivre dans ce monde actuel sans sortir et vous associer aux foules et faire les choses qu’ils font? Dieu a dit que nous le pourrons ; Sa grâce suffit. Cela règle la question, alors serrons simplement la boucle et allons-y.
Kadès Barnéa, le siège du jugement, c’est là qu’ils devaient tous être jugés, à Kadès Barnéa. Et il n’y en a eu que deux qui ont tenu face au jugement. Et d’après eux comment ont-ils tenu? Ils basaient leur foi sur l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est tout. Dieu l’avait promis. Et non seulement cela, mais ils ont prouvé cela. Amen. Voilà la chose à faire. Amen.
39 Maintenant, le chapitre 21 de ce... Non, je crois que c’est le chapitre 19. Quel beau chapitre: premièrement, cela parle du jugement par le sang. Tout le jugement, c’est par la miséricorde–je veux dire leur rédemption, excusez-moi. La rédemption par la miséricorde, la rédemption par la grâce, la rédemption par le sang, la rédemption par le jugement. Et ce matin nous voulons étudier cela pendant les quelques prochaines minutes, mettre en place le vrai fondement, si Dieu nous aide, pour montrer que le jugement est le thème principal.
Bon, premièrement, le sang–faire l’expiation. Au jardin d’Eden, Dieu a dû faire l’effusion du sang afin de–avant de prononcer le jugement, car Il avait déjà prononcé Sa Parole, et Sa Parole n’a besoin de rien d’autre. Et Dieu a dit: «Le jour où tu en mangeras, tu mourras.»
Avez-vous remarqué comment Satan avait déformé cela pour Ève? Il a dit: «Oui, Dieu a dit... Mais, certainement, ce n’est pas exactement ce que Dieu voulait dire.» Voyez? Eh bien, n’est-ce pas ce que le diable dit aujourd’hui au croyant: «Oh ! eh bien, tu n’es pas obligé de faire ces choses.» Eh bien, frère, si vous êtes un chrétien, vous voudrez le faire. Vous–vous–vous voudrez le faire. Je... Le plus grand plaisir que le croyant a, c’est de savoir qu’il vit ou qu’il fait quelque chose qui plaît au Seigneur.
Eh bien, si nous attendions la Venue du Seigneur comme nous le devrions, eh bien, oh ! la la ! il n’y aurait des conflits nulle part. Tout le monde serait plein d’amour, et les gens vivraient en harmonie. Ne serait-ce pas merveilleux? Et savez-vous qu’Il pourrait venir aujourd’hui? Je ne sais pas ce qui reste. C’est juste. C’est vraiment le moment pour Lui de venir.
Mais que se passerait-il si tous nous avions cela dans nos coeurs ce matin, qu’aujourd’hui c’était le dernier jour, et que nous devrions vivre chaque jour comme si c’était le dernier jour: «Ceci c’est le dernier jour.» Et tous étant plein d’amour...
40 Parfois je suis loin de chez moi. J’aime ma femme et je veux faire quelque chose pour elle. Et je–je lui achète une boîte de bonbons, ou–ou quelque chose d’autre (Vous savez?), que je–que je sais qu’elle aimerait que je fasse. Vous savez? Ou–ou quelque chose d’autre qu’elle aimerait que je fasse, j’aime faire cela. Et maintenant, mes frères, ceci pourrait paraître un peu drôle. Ce n’est pas un endroit très indiqué pour dire cela, mais je–j’aime l’aider à faire la vaisselle, parce que je sais que c’est dur pour elle de le faire tout le temps. Et je vais tout simplement là et je fais la vaisselle pour elle. Elle ne le dit pas souvent, mais je sais qu’elle apprécie cela. Voyez? Pourquoi suis-je... Qu’est-ce que–qu’est-ce que j’essaie de faire remarquer, ici? J’essaie de dire ceci: que je–je désire faire cela, même si quelqu’un dit... Eh bien... Je pense que les voisins trouvent que je suis une poule mouillée là, lorsque je suis là à secouer les tapis et à nettoyer le plancher et à faire des choses comme cela, le travail de femmes. Mais j’aime faire cela parce que j’aime ma femme. Voyez? Je l’aime. Et tout ce que je peux faire pour lui faire comprendre que je l’aime, je–je–j’aime tout simplement le faire.
Eh bien, il en est de même pour chaque croyant. Tenez. Maintenant, que ceci pénètre très profondément. Ouvrez grandement la coupe maintenant. Si vous êtes un croyant et amoureux de Jésus, tout ce que vous pouvez faire pour L’amener à vous aimer davantage, vous aimez tout simplement le faire. Si le fait de me tenir ici à témoigner à cet homme L’amènerait à m’aimer davantage, j’aimerais bien le faire. Si le fait de fuir ces choses mauvaises, peu importe si je suis tenté, si le fait de les éviter me fait L’aimer, et que je sache qu’Il aimera... Ou si je pense que cela L’amènera à m’aimer un peu plus, si je ne faisais pas ceci ou cela, j’aimerais bien faire cela, pas vous? Parce que nous sommes amoureux de Lui.
41 Or, Dieu, alors qu’Il aimait tellement Adam et Ève qu’Il était obligé de verser d’abord le sang avant qu’Il puisse... Le verdict, c’était la mort ; et Il a dû... quelque chose a dû mourir à leur place. Et c’est alors qu’ils ont donc pu se tenir dans Sa Présence. Eh bien, c’est là qu’était fait le jugement. Ève avait d’abord écouté Satan, et celui-ci a altéré la Parole. Et ils n’ont pas cru la Parole, et à ce moment-là la Parole est devenue le Jugement de Dieu.
Maintenant, cette Parole, la Parole de Dieu jugera chaque personne. Cette Parole qui est prêchée ici ce matin, Elle est prêchée là-bas à Wall Street ; Elle est prêchée là à l’Eglise chrétienne ; là à l’Eglise presbytérienne. Partout où cette Parole est prêchée, cela devient un jugement. Les hommes sont jugés par la Parole de Dieu. Et voici une bonne chose que nous devrions savoir, c’est que nous–soit notre jugement nous précède, soit il nous suivra.
42 Eh bien, chaque homme ici aujourd’hui n’est pas obligé d’être jugé à la fin ; il peut être jugé ce matin, s’il veut être jugé. Or, des dispositions doivent être prises pour le jugement. Eh bien, puisque Dieu, pour amener Adam et Ève dans Sa Présence, a dû prendre des dispositions, eh bien, qu’a-t-Il fait? Si vous ne croyez pas dans la grâce... La grâce a pourvu à des dispositions. Oh ! combien je me sens heureux pour cela. La grâce a pourvu à des dispositions. La grâce, c’est l’amour. Dieu a tellement aimé Ses créatures déchues qu’Il a pourvu à des dispositions pour qu’ils puissent se tenir dans Sa Présence, avant le jugement. Dieu est allé tuer des brebis ou des animaux ; Il les a revêtus de leur peau ; et le sang a été d’abord versé avant le jugement. Cela... Le jugement venait par le sang, bien sûr. Et ensuite, Il a répandu le sang de–de l’innocent pour couvrir la culpabilité du coupable.
43 Maintenant, au chapitre 19, je crois que c’est ici, du–du–du Livre d’Exode, l’Eternel Dieu fait...
L’Eternel parla à Moïse et... Aaron, et dit:
Voici ce qui est ordonné par la loi que l’Eternel a prescrite...: Parle aux enfants d’Israël, et qu’ils m’amènent une vache rousse, sans tache, sans défaut corporel, et qui n’ait point porté le joug.
Vous la remettrez au sacrificateur Eléazar, qui la fera sortir du camp, et on l’égorgera devant lui.
Le sacrificateur Eléazar prendra du sang de la vache avec les doigts, et il en fera sept fois l’aspersion sur le devant de la tente d’assignation.
Oh ! si vous remarquez, c’est une vache rousse. Remarquez, c’était une femelle, le type de l’Eglise. La couleur rouge avait–ne pouvait donc pas être tachetée ; cela devait être une couleur unie. Et le rouge signifie toujours la rédemption. Vous direz: «Le rouge signifie toujours le danger.» C’est ce que cela signifie pour nous avec le feu rouge, mais cela a toujours été la rédemption aussi ; ne le brûlez pas. Ainsi le rouge a toujours été le signe de la rédemption dans la Bible. Rahab la prostituée avait fait descendre les espions à l’aide d’un tissu écarlate ou plutôt d’une corde écarlate, ce qui était un signe que Dieu avait épargné sa maison.
44 Maintenant, remarquez le rouge ici, cette génisse rousse devait être amenée et tuée en présence d’Eléazar. Et il devait la prendre avec ses sabots et tout, et la brûler. Et avant qu’elle–pendant qu’elle mourait, il plongeait ses doigts dans le sang et en aspergeait la tente d’assignation, et plongeait ses doigts dans le sang et en aspergeait la tente d’assignation, et il le faisait sept fois, ce qui représente les sept dispensations, ou les sept âges de l’Eglise, montrant que l’Eglise serait aspergée de sang, que le jugement était tombé sur la génisse. Le sang était aspergé sept fois: le sang du sacrifice, faisant une expiation, subissant le jugement à la place du coupable, sept fois. Ensuite, cette génisse était mise au feu et réduite à–en cendres.
Alors, chaque fois qu’Israël... Cela donnait un... ce qu’on appelle les «eaux de séparation», là on brûlait de l’écarlate–l’écarlate, de l’hysope, et on mettait cela ensemble et on brûlait ; cela représentait la dispensation de la grâce: la justification, la sanctification, le baptême du Saint-Esprit, par le bois de cèdre, l’hysope et l’écarlate, et le tout était brûlé ensemble. Et ceci donnait–si vous lisez cela, si vous voulez lire cela. Faute de temps, je ne prendrai pas le temps de lire cela.
45 Mais le chapitre 19, cela donnait des eaux de séparation, afin que si un homme avait fait quelque chose de mal, ou quoi que ce soit, les cendres de cette génisse soient mises sur lui, et il était séparé de sa culpabilité. S’il était impur, alors c’était une eau de séparation. C’était un mémorial à travers toutes leurs générations pour savoir que cette génisse, une génisse sélectionnée, une génisse spéciale, et le sang se trouvait entre lui et l’église ; et ses cendres faisaient la séparation entre lui et sa culpabilité. Oh ! la la ! lorsque vous voyez cela et que vous appliquez cela à Jésus-Christ... Lorsque nous nous rendons coupables, nous regardons à la purification... Lui qui s’est tenu là au jugement, Son Sang a été tiré de Son corps et a été aspergé sur la terre, entre cette terre et le saint tabernacle de Dieu, afin que chaque croyant qui entre dans Sa Présence, qui traverse le voile de la chair, rejetant les choses du monde, sache que le Sang fait l’expiation: les eaux de séparation.
46 Et Dieu, dans Sa miséricorde, nous a lavés et nous a purifiés par le lavage de l’Eau de la Parole, et Il a séparé Son Eglise des choses du monde pour qu’elle ait une vie séparée, consacrée pour Lui. Pendant qu’elle marche dans ce monde présent, elle est sans aucune condamnation: il n’y a donc point de condamnation pour ceux qui sont en Christ Jésus, qui marchent non selon la chair, mais qui ont été séparés par l’eau au travers de la Parole ; Il les a oints du Saint-Esprit. Et les cendres de purification ont été aspergées sur l’individu, et il marche dans ce monde présent étant libre de toute condamnation par le Saint-Esprit. Quel merveilleux... Sachant qu’il devrait être celui, le coupable, qu’il devrait être amené en présence de toute créature, hors de la présence d’Eléazar, le souverain sacrificateur. Et que là on aurait dû lui trancher la gorge ; son coeur devrait être brûlé sur l’autel d’airain. Et toutes ces choses auraient dû être à leur place ; il devrait [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... devint la séparation par le sang qui fut aspergé entre les cieux et la terre, ouvrant la porte pour que chaque croyant qui est en Jésus-Christ ait droit au sentier du sang qui mène jusqu’au Trône de Dieu. «Tu l’aspergeras sept fois pour chaque âge de l’église.» A travers l’âge méthodiste, à travers l’âge baptiste, à travers chaque âge, il y avait le sentier de sang qui était aspergé par la séparation.
47 Eh bien, il dit... Lorsque nous arrivons là donc, le jugement doit venir. Alors Dieu, en parlant donc... Nous aurions souhaité sauter cette partie ce matin, mais allons maintenant ici dans Exode–je veux dire dans–dans Nombres chapitre 21. Et maintenant nous parlons du serpent d’airain, nous revenons à notre texte maintenant, pour terminer dans quelques minutes, parce que nous devons nous dépêcher. Remarquez le jugement.
Maintenant, au chapitre 20, je crois que c’est un verset du chapitre 20, c’est vers le verset 7. Ecoutez ceci:
L’Eternel parla à Moïse, et dit:
Prends la verge...
Oh ! je dois vraiment prendre une minute de plus et lire un peu de ceci aussi: cela semble si bon. Commençons ici au verset 2 du chapitre 20.
Il n’y avait point d’eau pour l’assemblée; et l’on se souleva contre Moïse et Aaron.
Le peuple chercha querelle à Moïse (Ou encore il l’embêta.)... Ils dirent: Que n’avons-nous expiré, quand nos frères... devant l’Eternel?
Et quand ils... avez-vous fait venir l’assemblée de l’Eternel dans ce désert, pour que nous y mourions, nous et notre bétail?
Pourquoi nous avez-vous fait monter hors d’Egypte, pour amener sur nous–nous amener dans ce méchant lieu? (Ecoutez.) Ce n’est pas un lieu où l’on puisse semer...
Eh bien, les gens ne s’associent pas tellement à vous lorsque vous devenez un véritable croyant. Est-ce juste? C’est une position un peu drôle à occuper. Très bien. «Il n’y a ni figuiers», pas beaucoup de communion, personne ne veut avoir affaire à vous. Ils disent: «Il a perdu la tête, il est devenu fou. Eh bien, nous avions passé de bien meilleurs moments là dans le monde.» Maintenant, remarquez.
... ni figuier... (pas de place)... ni vigne... grenadier ; ni d’eau à boire.
48 Oh ! quel moment ! Remarquez. «L’eau» signifie «pendant qu’ils se réjouissaient». Voyez-vous? «Il n’y a pas beaucoup de réjouissance», dites-vous. «Tenez, la seule chose que nous faisons, nous–nous n’allons plus au cinéma le dimanche. Nous n’allons plus voir les matchs de baseball, toutes ces choses que nous faisions autrefois. C’est un endroit horrible ici !» Maintenant, observez, c’étaient des querelles. Je ferais mieux de m’arrêter là, n’est-ce pas? Ah ! ah !
Très bien. Mes amis, nous entrons maintenant dans le jugement. Remarquez.
Et l’Eternel...
C’est juste ce qui arrive. Voyez? Parfois ces épreuves viennent simplement pour nous éprouver. Et chaque fils qui vient à Dieu doit être châtié par Dieu. Et si nous n’arrivons pas à supporter le châtiment, alors nous sommes des enfants illégitimes et non des enfants de Dieu. Frère, il y a quelque chose dans le christianisme qui fait que lorsqu’un homme est né de nouveau, cela met en lui quelque chose qui le garde. Eh bien, il y a vraiment au-dedans quelque chose qui lui fait quelque chose. Bien sûr. Eh bien, je ne suis pas venu ici dans le camp du Seigneur ou Lui... dire–ici juste pour passer un bon moment. Je suis venu ici parce que je L’aime. Et je dois L’aider à porter le fardeau.
Jésus doit-Il seul porter la croix,
Et tout le monde ne rien porter?
Il y a une croix pour chacun,
... il y a une croix pour moi.
Est-ce juste? Alors qu’est-ce que le chrétien devrait-il chanter? Le couplet suivant:
Je porterai cette croix consacrée,
Jusqu’à ce que la mort me libère (C’est juste.),
Alors je rentrerai chez moi pour porter une couronne,
Car il y a une couronne pour moi.
Ce n’est pas simplement une couronne d’or à mettre sur votre tête, mais c’est quelque chose qui vaut plus que cela. Paul en avait eu une vision une fois. Il a dit: «Ce que l’oeil n’a point vu, ce que l’oreille n’a point entendu ; ce qui n’est point monté au coeur des hommes, ce que Dieu a préparé pour ceux qui L’aiment.» Pas une couronne, une couronne d’or, cela n’aurait pas beaucoup d’importance pour moi. Je ne me soucie pas de ces choses de toute façon. Mais ma couronne, c’est un nouveau corps, un nouvel être, je serai couronné en étant rendu semblable à Lui: un corps semblable à Son corps de gloire dans lequel je pourrais vivre avec Lui. Cela me suffit comme couronne.
49 Le vieil homme de couleur, il n’y a pas longtemps dans le Sud, disait, il se tenait... Il fut sauvé un matin, il est allé en parler à ses amis. Il disait que Christ l’avait affranchi. Et le vieux maître des esclaves est venu ; il a dit: «Qu’est-ce que c’est, Sambo? Je t’ai entendu dire que Christ t’a affranchi?»
Il a dit: «Oui.»
Il a dit: «Viens dans mon bureau après un moment.» Il a dit: «Sambo, es-tu vraiment sérieux?»
Il a dit: «Je dis cela, patron, de tout mon coeur, que Christ m’a affranchi du péché et de la honte.»
Ce dernier a dit: «Eh bien, si Christ t’a affranchi de cela, a-t-il dit, j’irai là-bas le matin et je signerai les papiers, et tu seras affranchi de l’esclavage pour aller prêcher l’Evangile.»
Il est allé prêcher l’Evangile. Après plusieurs années, il avait gagné beaucoup de ses frères blancs à Christ, le vieil esclave était couché mourant. Et beaucoup de ses amis blancs étaient venus de différents endroits pour le voir, ils pensaient donc qu’il était mort. Et il était étendu là depuis un moment, et il s’est retourné et a regardé. Et il a vu que cela... «Je ne suis pas encore parti?» Il a dit: «Je ne suis pas encore là-bas?»
Ils ont dit: «Oh ! Sambo, ont-ils dit, tu n’as pas...» Ils ont dit: «Es-tu entré... Qu’as-tu vu?»
Il a dit: «Oh ! je me tenais près de la porte.» Et il a dit: «Et un Ange s’est approché de moi.» Et il a dit: «Maintenant, Sambo, a-t-il dit, tu as accompli un grand travail. Viens recevoir ta couronne, ta robe et ta place.»
Et il a dit: «Oh ! ne me parle ni de robe ni de couronne.»
Il a dit: «Que désires-tu, Sambo?»
Il a dit: «Laissez-moi simplement me tenir ici à Le contempler.» Il a dit: «Voilà tout ce qu’il me faut comme couronne: Le contempler. Laissez-moi simplement me tenir ici pendant un million d’années et regarder de mes yeux Celui qui m’a affranchi du péché et de la honte.»
50 Je pense que c’est le sentiment qu’éprouve chaque croyant ce matin. Je ne désire pas aller au Ciel pour porter une couronne. Je ne désire pas aller là-bas pour porter une robe. Je désire aller là-bas pour voir Celui qui m’a aimé et qui m’a racheté quand j’étais complètement perdu et là dans le monde, et qui m’a lavé, m’a renouvelé, et a fait de moi une nouvelle créature dans Sa Présence. C’est Lui que je désire aller voir.
Je désire Le voir. Je ne me soucie pas de l’une des ces choses, si c’est un endroit où il y a des grenadiers, si on y passe de bons moments, s’il y a la famine, s’il y a je ne sais quoi, rien ne peut nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Jésus-Christ. Je crois que c’est cela le–le jugement ce matin, les choses que font les gens.
Et souvenez-vous, mes amis, le seul moyen par lequel vous pouvez avoir cela ce matin, c’est que Quelqu’Un a pris votre place. Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné–Il a fait tomber tous Ses grands jugements sur Lui-même.
51 Regardez là au rocher lorsqu’Il les avait appelés là-bas devant le rocher. On a frappé le rocher et il a eu une fissure sur le côté. Eh bien, ce bâton qui était dans la main de Moïse, ce n’était pas le bâton de Moïse ; c’était le bâton de Dieu. C’était la verge du jugement de Dieu.
Observez comment Il a jugé Israël avec cette verge. Il est venu là et Moïse a étendu la verge, des mouches sont apparues. Il a étendu la verge, des furoncles sont apparus. Et le jugement fut déversé sur l’Egypte à cause de ce bâton du jugement. C’était le jugement de Dieu qui se trouvait dans ce bâton. Et remarquez, ce jugement, lorsque la verge frappa le rocher et qu’il y eut une fissure dans le rocher, et ce rocher c’était Jésus-Christ. Et tous les jugements que vous devriez subir et recevoir, chacun de vous croyants ce matin, tous les jugements que vous devriez subir, toute la condamnation et tous vos égarements, tous les in-... toutes les choses mauvaises que vous avez faites, Dieu dans Son amour frappa pour tout ceci Son Fils Jésus-Christ. Et Il fut frappé sur le côté comme le rocher.
52 Et du rocher sortit de l’eau. Et un peuple qui périssait, qui mourait de soif, a vécu à cause du bâton du jugement de Moïse, ou plutôt du bâton du jugement de Dieu, qui était dans la main de Moïse, porté sur le côté du rocher produisit la vie pour cette assemblée mourante. Quel bel accomplissement maintenant ce matin ! Dieu a tant aimé le monde, l’impie, celui qui n’est pas aimable, qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque doit–croit en Lui ne périsse point.
Mais le jugement... Je devrais mourir comme un pécheur. Vous devriez mourir comme un pécheur. Nous ne sommes pas dignes d’aller au Ciel. Et il n’y a rien que nous puissions faire qui pourrait nous rendre dignes. Et regardez tout simplement comment nous L’avons traité. N’avez-vous pas un peu honte de vous-même ce matin? Moi, si. La manière dont nous L’avons traité, et cependant dans Sa miséricorde Dieu a pris tous mes péchés et les a mis sur Son Fils. Et là le jugement a coupé Son côté en deux, a ôté la couronne de Sa tête, tandis que les larmes, les crachats et tout coulaient sur Son côté. Il a payé le prix afin que vous et moi nous n’ayons pas à comparaître au Jugement.
53 Je pense à ce petit cantique:
Oh ! quel précieux amour ce Père
A eu pour la race déchue d’Adam !
Il a donné Son Fils unique pour qu’Il souffre,
Et nous rachète par Sa grâce.
Le voir suspendu sur le mont du Calvaire,
Souffrir là dans une agonie amère,
Criant: Eli, Eli, Père,
Pourquoi M’as-Tu abandonné?
Le poète a dit: «Abandonné dans la vie, abandonné dans la mort, toute la colère de Dieu a été déversée sur Lui et Il a comparu à notre place au jugement. Et Dieu, Il a pris nos jugements et les a portés au loin dans un endroit isolé, dans les régions de l’au-delà, et la loi–les lois de Dieu ont condamné et ont placé le damné... et là Il s’est chargé de nos péchés. Et Il est ressuscité de nouveau le matin de Pâques pour notre justification, maintenant Il est dans la Personne du Saint-Esprit pour sauver chaque pécheur perdu qui est né dans le monde.» Prions.
54 Père céleste, lorsque j’y pense, mon coeur se retourne simplement–simplement au-dedans de moi. Ô Dieu, que ma pensée aussi se détourne de chaque chose impie qu’il y a, afin que je Te serve. Accorde ce même privilège à chaque personne ici présente. Et ceux qui sont ici ce matin maintenant, qui ont ressenti qu’ils ne sont pas encore de véritables chrétiens, qui ont en quelque sorte tout simplement accompagné cela, et oh ! ils avaient une conception selon laquelle–selon laquelle il y avait quelque chose là-dedans, mais cependant ils ne T’ont pas encore abandonné leur vie. Accorde, ô Seigneur, qu’en cette heure même qu’ils s’abandonnent à Toi maintenant même par la Parole. «La foi vient de ce qu’on entend, de ce qu’on entend la Parole de Dieu.»
Maintenant ils savent que Christ a pris leurs jugements et tout ce qu’ils ont à faire c’est de confesser leurs péchés maintenant même dans leur coeur, en disant: «Seigneur, aie pitié de moi, un pécheur», et Tu leur pardonneras humblement et doucement à chacun, peu importe qu’ils aient eu de la rancune ou qu’ils aient été égoïstes. S’ils ont fait de mauvaises choses, s’ils ont commis un quelconque péché, Père, Tu leur pardonneras en ce moment-ci. Et qu’à partir de ce jour, ils puissent être–focaliser leurs espérances et leur foi sur ce que Tu as dit, afin qu’à l’instar de Josué et Caleb nous possédions ce pays un jour: l’immortalité. Accorde cela par Ton Fils.
55 Et alors que nous avons nos têtes inclinées, c’est juste un petit secret entre vous, moi et Dieu. Je me demande, alors que chaque tête est inclinée et chaque oeil fermé, s’il y a quelqu’un qui aimerait simplement lever sa main et dire: «Billy, souvenez-vous de moi.» Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, soeur. Vous, frère. Que Dieu vous bénisse.
Ô Dieu, baisse le regard ce matin. Regarde les mains de ces pauvres enfants. Ils T’aiment ; ce sont juste–juste des enfants d’Adam comme nous tous. Et ils–ils se rendent compte que dans cette vie ils ont eu des hauts et des bas, et que... Seigneur, mais ils–ils désirent accepter Jésus maintenant même. Ils désirent le faire du fond de leur coeur. Ils ne vont plus se fier à autre chose qu’à Ta Parole, car Tu as dit: «Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit en Celui qui M’a envoyé, aura la Vie Eternelle.» Sauve-les maintenant même et ôte toute culpabilité de tous ceux qui ont levé leur main. Et qu’à partir de ce jour ils se consacrent de nouveau maintenant même, qu’ils se reconsacrent à Toi. Tu connais toutes choses. Tu connais les secrets du coeur. Et je prie que chaque personne ici maintenant renouvelle ses voeux envers Toi.
Et, Père, en tant que Ton humble serviteur indigne des bénédictions que Tu me permets de partager avec ces gens, je regrette tellement d’avoir commis beaucoup, beaucoup de fautes dans ma vie. Et je Te demande, Père, ce matin alors que je prends un nouveau départ maintenant dans le champs de mission, alors que j’ai mis de côté tout ce que je jugeais contraire à Ta volonté, je Te prie, ô Dieu, alors que je marche seul avec Toi, de m’aider, de me guider. Et je me consacrerai, Seigneur, à Toi et à Ton service, afin que Tu tires gloire de la vie de Ton serviteur, Seigneur. Que le temps qui me reste soit pour Ta gloire. Pardonne-moi, Père, toutes mes fautes, tous mes péchés et toutes mes erreurs.
Et je–je prie aussi pour les péchés et les erreurs de ce peuple ce matin. Puissions-nous nous souvenir en ce jour que nous avons renouvelé nos voeux dans–dans la maison de Dieu aujourd’hui. Car nous le demandons au Nom de notre Bien-Aimé Jésus. Amen.
56 J’ai un petit cantique que j’aimerais chanter, chantez-le tous avec moi, si vous voulez. Beaucoup d’entre vous s’en souviennent: J’irai jusqu’au bout. Avez-vous déjà entendu ce cantique? Très bien, chantons cela ensemble même sans musique, si nous le pouvons maintenant.
J’irai jusqu’au bout, oui, j’irai jusqu’au bout,
Je paierai le prix, peu importe ce que font les autres ;
Je prendrai le chemin du petit nombre des méprisés qui suivent le
Seigneur ;
J’ai commencé... au bout, Jésus, j’irai jusqu’au bout.
Combien parmi vous aimeraient réellement dire: «Seigneur, voici ma main. Je suis sincère. Par Ta grâce, je–j’irai jusqu’au bout.»? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Et je sais que vous le dites du fond de votre coeur. Et maintenant, mettons de côté chaque petite chose, et qu’à partir d’aujourd’hui... que nous ne puissions pas dire: «Seigneur, j’aimerais Te donner un... spécial... La seule chose à laquelle je m’en tiens, Seigneur, c’est à Ta Parole. Seigneur, je viens. Me voici. Et j’irai au bout avec Toi.» Que le Seigneur vous bénisse.
57 Eh bien maintenant, je pense que nous allons avoir le–le–avant que nous changions pour... Y en a-t-il ici qui sont malades dans leur corps et pour qui il faut prier? Levez la main s’il y en a pour qui il faut prier. C’est très bien. Avant que nous le fassions, avant que j’oublie cela, je crois maintenant pendant qu’ils... Avez-vous un compte rendu de l’école du dimanche, faites-vous un compte rendu de l’école du dimanche? Très bien. La chose suivante ce serait donc, je crois que c’est l’offrande de l’école du dimanche. J’ai oublié cela. Les anciens veulent-ils bien s’avancer? Teddy, va au piano, viens, s’il te plaît. Et–et que les anciens s’avancent pour l’offrande de l’école du dimanche en ce moment.
Nous allons donc avoir le service de guérison juste dans quelques instants. Et maintenant, inclinons la tête juste un instant.
Notre Bienveillant Père céleste, Tu nous as enseigné dans la Parole que chaque homme mette de côté ce que Dieu lui a accordé comme bénédiction, afin que lorsque nous nous rencontrons le premier jour de la semaine, nous puissions apporter nos dîmes et nos offrandes à cet endroit dans Ta maison. Et nous Te remercions pour le privilège que nous avons de T’adorer de cette manière, qui est très humble. Mais nous T’en remercions, Père. Et avec des coeurs reconnaissants nous venons apporter cela ce matin. Bénis tous ceux qui donnent, qui ont de quoi donner. Et bénis ceux qui n’ont pas de ces choses naturelles pour donner. Nous Te prions de leur accorder beaucoup de ces choses naturelles en tant que Tes économes. Aide-nous à veiller sur cela d’une manière correcte, afin que cela soit dépensé pour quelque chose de juste. Nous demandons ceci au Nom de Christ, Ton Fils. Amen. Très bien.