1          ...?... Vous pouvez vous asseoir. Bonsoir, mes amis. Je suis très heureux d’être ici à Chicago cet après-midi afin de–afin de prêcher à ce charmant groupe d’enfants de Dieu. Et ça semble si agréable de se tenir de nouveau derrière la chaire. Ça fait plusieurs jours. J’étais assis là au bureau il y a quelques instants, attendant ; et lorsque vous avez commencé à chanter Crois seulement, Billy m’a regardé. Je... Une petite larme est tombée à l’intérieur de mon coeur. Je ne sais pas si vous comprenez ce que je veux dire, à l’intérieur, d’entendre encore ce cantique: Crois seulement. Et je me suis dit: «Encore une fois je vais monter sur l’estrade.»

            Nous sommes venus en voiture ce matin, nous sommes arrivés il y a quelques instants, et nous nous sommes amenés ici. Et alors, je... La raison de ma présence ici aujourd’hui (l’une des raisons), bien sûr, c’est pour voir les bien-aimés que vous êtes. J’aime toujours venir à Chicago. Je sens tout simplement dans ce...?... que j’ai dit cela, et c’est... Si c’est...?... c’est la vérité. Et ensuite, c’est comme pour dire–pour être avec mon frère Bose...

2          Et je l’ai entendu. Il m’a appelé l’autre jour et a dit: «Pouvez-vous venir le dimanche?»

            Et j’ai dit: «Non, je ne peux pas, Frère Joseph.» J’ai dit: «Je suis tout simplement... Ma femme est sur le point d’accoucher, à n’importe quel moment.» J’ai dit: «Je ne peux tout simplement pas venir.»

            Il a dit: «Bien, je vais m’absenter. Je pars outre-mer.» Il a dit: «Je...»

            J’ai dit: «Je viendrai pour dire ‘adieu’ ou plutôt ‘à bientôt’», comme nous le disons dans le langage des prédicateurs. Nous ne nous disons pas «adieu», parce que nous allons vivre éternellement ensemble, alors nous... Nous disons simplement «à bientôt» jusqu’à ce qu’il ira outre-mer, et nous lui souhaitons les bénédictions de Dieu, et nous pouvons dire cela devant cette église-ci.

3          Et puis, je me suis dit, peut-être, comme je peux le dire devant lui et devant cette église, je... souvent... Au cours de ces services de guérison que je tiens, je n’ai pas l’occasion de m’exprimer, d’exprimer mes sentiments aux gens tel que je le voudrais. Je voulais exprimer ceci à cette église cet après-midi, et de la meilleure façon que j’ai, qui est très insuffisante, juste mes appréciations à frère Bose, votre pasteur.

            Je... Comme je le dis, je le fais comme avec ma femme. J’ai dit: «Il y a un petit chéri que j’aime vraiment.» Il a... Il m’appelle «Freure Branham [Le prophète imite l’accent suédois de frère Boze.–N.D.T.]», et moi je l’appelle «Yoseph». Voyez-vous? Et vous savez quel genre d’amis nous sommes. Et c’est un garçon, l’enfant que nous allons avoir. Il s’appellera aussi Joseph. C’est–c’est juste. Nous–nous apprécions donc vraiment frère Joseph ; il... Ce n’est pas parce qu’il est assis ici, c’est... S’il était absent ça aurait été mieux. Mais j’ai vraiment beaucoup d’aimables et fidèles amis pour lesquels j’ai certainement beaucoup d’estime.

4          En venant il y a quelques instants, en remontant la Southshore Drive (Je pense que c’est comme ça que vous appelez cela par ici, ce que...), Billy et moi étions en train de causer. Et il a dit: «Est-ce que tu vas retourner ce soir, papa?»

            J’ai dit: «Je serai trop fatigué, aujourd’hui. Je vais continuer, je vais prêcher deux fois, je pense, aujourd’hui.» Et j’ai dit: «Ce serait... Je serai trop fatigué.»

            Il a dit: «Tu sais quoi?» Il a dit: «Je pense que frère Bose est l’un des–l’un des hommes les plus merveilleux que j’aie jamais rencontrés.» Je vais dire cela selon les termes de mon fils: «Il est aussi précieux que l’or.» C’est vrai.

5          J’ai appris à aimer frère Joseph. Voici ce que j’aime chez lui: il y a bien des choses. Premièrement, c’est un frère chrétien ; deuxièmement, vous pouvez compter sur ce qu’il dit. J’aime cela. J’aime un homme qui, lorsqu’il vous dit une chose, s’en tient à cela. Voici une autre chose: c’est mon ami, que j’aie raison ou tort. Or, tout le monde peut être votre ami lorsque vous avez raison. Mais quand vous êtes dans l’erreur, alors il est toujours votre ami. Eh bien, je n’ai pas toujours raison. Vous comprenez? Le plus souvent, j’ai peut-être tort. Mais que j’aie tort ou que j’aie raison, Jose Bose reste mon ami. Je l’ai vu dans les moments de rudes épreuves. Je l’ai vu dans des moments où le public ne savait rien à ce sujet, lorsqu’il passait par des moments de test. Il s’est toujours tenu à mes côtés, comme un frère. J’apprécie beaucoup cela.

            Je...?... Des gens qui essayaient de me décourager disaient: «Frère Joseph est un saint des derniers jours», ou plutôt–«... des derniers jours.» C’est quoi encore? La pluie des derniers jours?

            J’ai dit: «Peu m’importe qu’il soit de la première, de la deuxième, de la dernière pluie, ou de toute autre pluie intermédiaire. C’est mon frère.»

6          Notre rassemblement... Jadis une réunion à Chicago, dans l’Illinois, fut annulée, c’était une réunion sous tente, parce que les gens... Je ne l’avais jamais vu de ma vie, j’ai annulé une réunion sous tente parce que les gens ne voulaient pas soutenir la réunion de frère Joseph. Tous, vous ignorez cela, mais c’est la vérité.

            Je venais juste de rentrer de Stockholm, en Suède, et le groupe qui était avec moi disait que le... J’ai dit: «Ceci se fait-il avec la pleine coopération de toutes les églises?»

            «Oui.»

            Et j’ai dit: «Ce petit gars que le... dont ils parlent là... Quelle est cette–cette église suédoise par là, que frère Pethrus connaît? J’ai dit: «Est-ce qu’il coopère?»

            Eh bien, l’homme qui s’adressait à moi m’a dit: «Non. Vous voyez, Frère Branham, cela–cela nuirait à vos réunions, a-t-il dit, parce que c’est un homme de la pluie des derniers jours.»

            J’ai dit: «S’il ne peut pas être là, moi non plus je ne peux pas être là.» C’est juste. J’ai dit: «Si nous sommes interdénominationnels, cela signifie que c’est tout le monde ; peu m’importe de qui il s’agit. Que ce soit un méthodiste, un baptiste, un témoin de Jéhovah, qui que ce soit, ils vont tout simplement être là comme les autres. Et nous ne pouvons pas faire un tirage au sort, et dire que ce type est dans le vrai, parce que nous sommes parfaitement des frères, et c’est de cette manière que nous désirons que cela demeure.» Alors peu importe l’église qu’ils fréquentent, ils sont... Nous sommes tous frères en Christ, et c’est lorsque nous naissons de nouveau de l’Esprit. Et j’apprécie frère Joseph de tout mon coeur.

7          Et ensuite je m’imagine simplement ... Maintenant, cela n’a pas été dit à mon sujet, et je–je n’ai pas des idées préconçues. Mais j’imagine tout simplement, lorsqu’il me parlait là, avant qu’il parte, sachant que c’est un homme pauvre (il vit simplement des aumônes des gens, comme moi), avant qu’il parte, les gens vont probablement prélever une offrande d’amour pour lui. J’aurais aimé être en mesure de faire cela. Je lui ai demandé il y a quelques instants, j’ai dit: «Frère Joseph, allez-vous prélever une offrande d’amour pour vous-même?»

            Il a dit: «Peut-être oui, Frère Branham... Ce soir, les gens vont probablement...»

            J’ai dit: «J’aurais souhaité la prélever pour vous, frère ; mais, ai-je dit, vous seriez fauché si moi je le faisais.»

            Mais j’ai dit: «Je–j’aimerais tout simplement...» Vous ne m’avez jamais entendu dire, faire mention de ces choses à la–depuis l’estrade, parce que moi je n’ai jamais de ma vie prélevé une offrande.

8          Mais, frère, tout ce que je pourrais faire pour aider cet homme, je le ferais, parce que... Je vais vous dire pourquoi. Lorsque j’étais financièrement coincé, à bout de ressources, tous vous ignorez cela ; vous ne savez rien là-dessus. J’étais ici une fois, allant outre-mer, et je faisais des arrangements, et j’étais prêt à partir, il me manquait deux mille dollars pour totaliser le montant du billet (C’est vrai.), pour totaliser le montant du billet. Mais par la foi Dieu m’avait appelé ; je partais. Et Joseph, par inspiration... Je ne lui avais rien dit. Mais par inspiration, il est sorti et–et il a prélevé cela chez les gens. Non pas... Il parlait des motifs de notre voyage outre-mer, et du besoin d’argent pour y aller, ou quelque chose comme cela, et il a prélevé cette offrande à Chicago. Il a fait cela par la foi. J’ai acheté les billets le jour suivant et je suis parti.

9          J’aimerais lui dire, alors qu’il va outre-mer pour–tout le monde le voit ce soir, que le Maître le bénisse très richement et qu’Il l’envoie. Maintenant, peut-être qu’il n’a jamais été dans cette partie du monde avant, n’est-ce pas, Frère Joseph, là où vous allez? [Quelqu’un répond: «Non.»–N.D.E.] Il vient de me dire...?... la foi...?... Je sais donc que c’est dur, lorsque vous allez en Afrique. Je prie que Dieu soit avec mon frère et le bénisse en tout ; et qu’il gagne des âmes à Christ là-bas. Et j’espère que le Maître lui accordera d’avoir des réunions qui auront plus de succès que toutes celles qu’il a déjà tenues dans sa vie, et de rentrer à Chicago renouvelé, et ainsi de suite, prêt à vous rapporter les nouvelles d’un glorieux réveil. Ceci fera de lui un missionnaire, lorsqu’il ira cette fois-ci. Je sais que cela semble quelque peu étrange pour vous qui venez d’autres églises.

10        Ecoutez. Vous... Un missionnaire n’est pas une personne qui quitte son pays pour aller vivre dans l’autre pays. Un missionnaire, c’est une personne qui va et revient. Paul était le plus grand missionnaire que le monde ait jamais connu. Est-ce vrai? Si vous formez simplement un homme, et l’envoyez là-bas, et qu’il y établisse sa demeure et y reste toute sa vie, il change simplement de pays. Ça, ce n’est pas un missionnaire. Un missionnaire, c’est un homme qui va d’un endroit à un autre, d’un endroit à un autre et juste... Paul allait partout et revenait, puis repartait ; il allait partout et revenait. Donc Paul était un missionnaire. Frère Joseph, que Dieu honore cette foi-là en tant que missionnaire. Il vous ramènera. Que le Seigneur vous bénisse.

11        Et vous, chers amis de Chicago, j’allais peut-être vous demander: Y a-t-il quelqu’un qui est malade parmi nous aujourd’hui? Si c’est le cas, levez la main, quelqu’un qui est malade, afin que vous puissiez peut-être avoir une réunion de prière ce soir, que nous priions–priions pour les malades. C’est juste... Vous aimez–la prière pour les malades ce soir? Levez la main, tout le monde qui aimerait...?... Eh bien, ça va. C’est bon. Nous allons donc prier pour les malades ce soir. Je vais laisser ici quelques cartes de prière pour qu’ils les distribuent vers dix-huit heures trente, ou à peu près à cette heure-là, et vous pourrez venir chercher votre carte de prière, et nous allons prier pour les... [Quelqu’un dit: «Dix-huit heures.»–N.D.E.] Dix-huit heures? Dix-huit heures? [Quelqu’un dit: «La réunion commencera à dix-neuf heures.»] Oui. Très bien, donc ce soir à dix-huit heures. Ce sera bien.

            Très bien. Maintenant... Tout d’abord si Billy Paul m’entend, va voir dans la voiture si tu n’as pas quelques cartes de prière. Si tu n’as pas... En as-tu? As-tu quelque chose pour en faire quelques cartes de prière, si tu n’as pas...?... OK, c’est bien. Très bien. Et ce soir, nous allons–nous allons prier pour les malades.

12        Maintenant, cet après-midi, il se fait tard, et nous n’allons jamais commencer. Vous savez comment nous sommes, nous sommes quelque peu lents pour commencer, et ensuite nous sommes lents à arrêter. C’est un–cela... Mais je–j’aime simplement monter ici et vous parler, à vous bien-aimés. Et allez-vous prier pour ma femme bien-aimée, allez-vous le faire, pour le petit enfant qui vient? La pauvre petite femme, elle passe certainement par un moment difficile, et nous nous attendons à Lui qui est invisible pour la délivrance.

13        Maintenant, dans le Livre de Jean, j’aimerais lire juste quelques Paroles et vous parler pendant quelques instants, et–et... [Un frère s’adresse à Frère Branham.] (Oh, oui. Eh bien, merci, frère.) Et maintenant, nous allons essayer de sortir dans environ trente minutes. Si c’est la volonté du Seigneur, j’aimerais vous parler aujourd’hui... Lisons les Ecritures dans le–Saint Jean, ou pas Saint Jean, 1 Jean, le premier chapitre.

14        Maintenant, je vois qu’ils sont ici, mes amis Léo et Gene, deux jeunes gens de votre voisinage ici, qui font les enregistrements. Et, dites, à propos, ces jeunes gens vont dans toutes les réunions et ils font des enregistrements, et ils les ont sur bandes. J’ai demandé une bande pour... Quelqu’un avait prêché un sermon l’autre jour, et j’ai demandé une bande. Oh ! la la ! je me suis dit qu’il me fallait dépenser toute une fortune pour obtenir cette bande: cela coûtait environ neuf dollars pour une seule bande. Je me suis dit: «Oh ! la la !» J’ai interrogé ces jeunes gens. J’ai dit: «Qu’en est-il de ceci?» Eh bien, oh ! la la ! combien ce qu’ils avaient était différent ! Et ils ont tous les messages et ainsi de suite. Ce sont des plats de vieux sassafras au pain de maïs, mais cela vous fera du bien, si vous... Cela vous aidera beaucoup.

            Cela m’a gardé sain et sauf jusqu’à ce jour, je suis prêt à prendre cela. J’ai eu confiance en cela même dans l’ombre de la mort. Cette religion à l’ancienne mode, c’est ce qui m’a sauvé. Cela pourrait ne pas être aussi raffiné que ça devrait l’être, mais j’aimerais avoir les bénédictions de Dieu, peu importe à quel point cela est raffiné. Et maintenant... Et que le Seigneur bénisse ces deux jeunes gens, qui ont simplement donné leur vie pour ce but, ainsi que leur–ainsi que leur travail.

15        Maintenant, nous sommes–commençons à lire au verset 5, juste un–jusqu’au verset 7 inclus.

La nouvelle que nous avons apprise de lui, et que nous vous annonçons, c’est que Dieu est lumière, et qu’il n’y a point en lui des ténèbres.

Si nous disons que nous sommes en communion avec lui, et que nous marchions dans les ténèbres, nous mentons, et nous ne pratiquons pas la vérité.

Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus-Christ Son Fils nous purifie de tout péché.

            N’est-ce pas merveilleux?

16        Maintenant, inclinons la tête un instant. Notre Père céleste, en parlant aujourd’hui à cette aimable assistance constituée des gens destinés à l’éternité, peut-être que beaucoup d’entre eux sont déjà lavés dans le Sang de l’Agneau, ont blanchi leurs robes, ont été purifiés, sont pardonnés de tous leurs péchés et offenses, et attendent l’appel pour aller au Ciel. Et nous sommes venus pour parler et avoir cette petite communion avec nos frères, avant de partir outre-mer pour accomplir cette grande commission qui dit: «Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création.» Bénis notre bien-aimé frère, Seigneur, qui va aller dans cette mission. Bénis cette petite église qui va attendre maintenant son retour, qui va attendre dans la prière son bien-aimé pasteur. Bénis son assistant qui va prendre sa place, tous les anciens, et le peuple.

            Bénis la lecture des Ecritures ; maintenant accorde-nous de communier avec Toi, maintenant même, autour de la Parole, car nous le demandons en Son Nom. Amen.

17        Maintenant, pour parler de la Parole, et le mot Communion, je me disais en venant là que ça pourrait être un merveilleux moment pour parler tout simplement de la communion pendant quelques instants. C’est l’une des choses les plus glorieuses. Tout le monde aime communier. Aujourd’hui les gens disent: «Voulez-vous venir avec moi à la maison pendant quelques instants? Passons un petit moment de communion.» Et puis, bien des fois les hommes d’affaires disent: «Voulez-vous partager un repas avec moi aujourd’hui au diner.» Ou sortir prendre un petit repas ensemble, manger un morceau de tarte ou quelque chose, passer un moment de communion: en mangeant. Manger va de pair avec la communion.

18        Et alors que nous parlons cet après-midi, que le Saint-Esprit de Dieu prenne la Parole de Dieu et nourrisse chaque âme affamée qui est ici. Manger va de pair avec la communion. «Et l’homme ne vivra pas de pain seulement, dit l’Eternel, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.» Le Saint-Esprit aime donc manger et communier avec le croyant. Quel moment ! Nous sommes tous rassemblés autour d’une grande table en ce moment, où les bonnes choses de Dieu forment une grande pile. Dieu a placé dans Ses dons des bénédictions tout ce qu’il nous faut: toutes les vitamines, tout ce qu’il nous faut, pour faire de nous des chrétiens vraiment forts et en bonne santé, remplis de Son Esprit, lavés dans Son Sang, et quel moment où nous pouvons communier !

19        Et y avez-vous déjà réfléchi, ce vieux proverbe qui parle de l’homme qui est allé... qu’on disait autrefois? Ma mère utilisait beaucoup ce proverbe: «Ce qui se ressemble s’assemble.» C’est juste. Observez-les. Vous ne verrez pas des colombes et des charognards ensemble, parce qu’ils ne mangent pas la même nourriture. Un charognard, une buse, peut manger n’importe quoi. Un corbeau peut se poser là sur le cadavre d’un animal et en manger. La colombe ne peut pas le faire. Si elle en mangeait, cela la tuerait. Elle ne peut tout simplement pas manger cela. Elle va se poser là dans un champ de blé et se mettre à manger du blé. Elle s’associe avec ceux de son espèce. Mais voici ce qui est étonnant. Savez-vous que le corbeau peut manger le cadavre d’un animal et manger aussi du blé? Il peut manger les deux, mais... Voyez? Vous devez donc bien surveiller ces gens, cette catégorie, qui peuvent s’asseoir dans la réunion et prétendre apprécier la réunion, et retourner prendre les choses du monde. C’est comme ça que sont les croyants mondains aujourd’hui. Nous devons plutôt nous unir à ceux qui se sont séparés des choses du monde: ceux qui ont été appelés à sortir et qui sont devenus de nouvelles créatures en Jésus-Christ, et qui communient autour des bénédictions du Saint-Esprit. Quelle chose merveilleuse !

20        Or, l’homme est né pour avoir communion. L’homme, au commencement, là dans le jardin d’Eden, il avait une merveilleuse communion. Dieu descendait et communiait chaque soir avec l’homme et la femme qui constituaient sa compagnie. Dans la fraîcheur du soir Dieu descendait sous le grand palmier, peut-être que Sa Lumière sacrée, pour ainsi dire, brillait sur Adam et Ève, dans cette grande cathédrale en plein air. Ils communiaient avec Dieu. Ils n’avaient à s’inquiéter de rien aussi longtemps qu’ils étaient dans cette communion.

            J’aime communier avec les hommes. J’aime sortir et m’entretenir avec des gens qui aiment le Seigneur, et communier avec eux, parce que nous voyons la même chose. Nos motifs sont les mêmes. Nos idées sont les mêmes. J’aime parler aux gens au sujet de... J’ai un ami assis juste ici, qui aime chasser et pêcher. Souvent nous communions beaucoup ensemble, nous nous asseyons tout simplement, nous parlons de ces choses, parce que nous aimons ces choses. Or...

            Mais la plus glorieuse communion que n’importe quel homme ait jamais eue, c’est lorsqu’il communie avec Dieu, c’est lorsque Dieu s’est révélé à l’homme pour communier avec Sa créature, le Créateur et Sa créature.

21        Eh bien, lorsque Dieu communiait avec Adam au jardin d’Eden, Adam n’avait à s’inquiéter de rien. Tout marchait bien et parfaitement–parfaitement. Il n’avait pas à s’inquiéter au sujet de ses vêtements ; il n’avait pas à s’inquiéter au sujet du manger. Il n’avait pas à s’inquiéter au sujet de la maladie ; il n’avait pas à s’inquiéter au sujet de la mort, des chagrins. Il ne connaissait rien de ces choses-là, il était simplement libre comme un enfant. Il avait un Père céleste qui veillait sur lui et qui communiait avec lui chaque jour. Ne serait-ce pas merveilleux si nous pouvions retourner à cela? Et, vous savez, chaque âme rachetée aujourd’hui vit en dessous de ses privilèges que procure ce genre de communion avec Dieu. Croyez-vous cela? Dieu s’occupera et pourvoira à tout ce qu’il nous faut dans ce voyage. Et quand ce vieux tabernacle mortel arrivera à sa fin, Dieu a promis de nous en donner un autre. Amen.

22        Vous savez, j’ai une idée un peu drôle concernant le moment où nous mourrons. Je ferais mieux de dire cela ; je suis chez moi. Frère Joseph a dit une fois... J’allais répondre à la question d’une femme, ça pourrait être un peu contraire. Il a dit: «Frère Branham...»

            J’ai dit: «Eh bien, Frère Joseph, voici ce que j’aimerais dire.»

            Et le...?... Il a dit: «Ecoutez, ne dites pas cela.» Il a dit: «Lorsque nous avons rédigé le–notre règlement et défini ce que nous croyons dans cette église, nous avons terminé cela par une virgule, pas par un point. Nous croyons ceci, plus tout ce que nous pouvons entendre.» Alors cela–c’est très bien. J’aime cela.

23        Maintenant, dans Jean 14, lorsqu’Il a dit: «Il y a plusieurs demeures dans la maison de Mon Père», en s’adressant à Ses disciples avant de partir, je ne peux pas imaginer qu’il s’agisse des maisons faites de pierres, de briques et du mortier. Je crois que le tabernacle dont Il parlait, c’est un autre corps dans lequel nous allons vivre. Voyez? «Dans la maison de Mon Père il y a plusieurs tabernacles ou demeures. Détruisez ce tabernacle, et Je le relèverai en trois jours.» Et encore: «Si ce tabernacle terrestre est détruit, nous en avons un qui est déjà prêt et qui attend.» Voyez-vous? Donc je crois, que lorsque nous...

            Il y a quelques jours, je me trouvais au Mont Wilson, ou plutôt au Mont Palomar, là en Californie, dans ce grand observatoire, là où vous pouvez voir à cent vingt millions d’années-lumière... Et ils calculaient... Comme la science peut faire volte-face dans sa théologie, je vous assure ! A l’époque où j’allais à l’école, et puis d’entendre cette science, je vous assure, il n’y a plus rien comme ce que j’ai appris à l’école.

24        Vous savez, mon papa avait coutume de s’asseoir et de dire, au sujet de la Bible, il disait: «Billy, comment peut-il se faire...»

            Je disais: «Papa, le soleil se tient parfaitement immobile, cela a été prouvé scientifiquement, et la terre tourne autour de lui.»

            Il disait: «Josué a dit qu’il a arrêté le soleil.»

            Je disais: «Comment allait-il le faire?» Je disais: «Papa, c’est ce que nous avons appris à l’école.» Et je disais: «Ils ont prouvé cela scientifiquement.»

            Il disait: «Bien, peut-être qu’ils ont prouvé cela, mais ce n’est pas le genre de ma science.» Il disait... Il croyait que Josué...

            J’ai posé la question à l’enseignant de la Bible à l’école. Il a dit: «Eh bien, bien sûr, tu sais, Josué, les gens de ces jours-là étaient ignorants, et Dieu a simplement tenu compte de son ignorance, et Il a arrêté la terre au lieu d’arrêter le soleil.» Mais maintenant, ils sont obligés de retirer cela. C’est le soleil qui tourne. Le soleil tourne aussi. Ils ont prouvé cela scientifiquement. Le–le soleil tourne.

25        Lorsque j’étais écolier, on disait que, lorsque le soleil se couche, il projette une lumière sur les étoiles, et que les étoiles en réalité reflètent la lumière du soleil. Maintenant, on prouve scientifiquement que ce n’est pas ainsi. Il faut des milliards et des milliards d’années pour que la lumière du soleil, qui se déplace à des millions de kilomètres par heure, ou que sais-je, en partant du soleil, pour atteindre une de ces étoiles. Donc ce n’est pas le cas. Une étoile produit donc sa propre lumière.

26        Le fils de frère Moore vient d’obtenir son diplôme universitaire, et l’un de ces grands hommes de science est venu il y a quelques semaines, et lui a donné une accolade, et lui a remis sa bourse. Il a dit qu’à Washington D C, il y a cent vingt-quatre livres scientifiques les plus récents sur tout ce que la science moderne a prouvé scientifiquement. Il a dit: «Jeune homme, il te faudra deux ans pour lire tous ces livres.» Et après que tu auras fini de les lire, alors tu devras te débarrasser de tout ce que tu auras appris, parce qu’il y aura quelque chose de différent.» Et lorsqu’il a dit cela, j’ai crié un petit «amen», comme cela. Mais je me suis dit que je pouvais me tenir debout et dire ceci: mais j’ai un Livre ici qui traversera des âges et des âges, et vous ne devrez jamais faire des compromis. Cela restera toujours la même chose, parce que c’est inspiré. Les gens sont obligés d’y revenir chaque fois. Tous les adultes cherchent à apprendre, et ils attrapent des cheveux gris en essayant d’étudier la science. Etudiez simplement la Bible de Dieu, parce que c’est le Livre le plus pur de tous.

27        Et puis, je me dis que chaque fois que cette âme quitte ce corps, nous entrons dans une autre maison qui n’est pas faite de mains d’hommes. Nous entrons dans la Présence de Dieu, et là nous tabernaclons avec Lui, dans la Présence du Seigneur Jésus, Lui qui est omnipotent, oh ! je veux dire omniprésent, toujours présent. Et puis, s’Il est omniprésent, nous le serons, lorsque nous entrerons dans notre nouveau tabernacle là-bas. Et puis, s’Il a dit: «Là où deux ou trois sont réunis, Je serai au milieu d’eux», alors Il est obligé d’être ici cet après-midi. Aussi sûr qu’il existe un–un ciel et une terre, Jésus-Christ est présent en ce moment. Mais le problème, c’est qu’Il est dans une dimension invisible. Nous ne Le voyons pas, mais il y a quelque chose dans l’âme du chrétien, qui fait que la personne se rend compte, quand Sa Présence est là, qu’elle se tient dans la Présence de Quelque Chose qu’elle ne voit pas.

28        Nous savons qu’il y a des ondes de radio qui traversent ce lieu maintenant. Il y a des ondes de télévision qui passent par ici en ce moment. Oh ! je ne peux pas capter cela. Mais ça se trouve dans un autre monde ; et il en est de même des anges de Dieu qui sont placés autour de cette salle, en train de veiller cet après-midi. Les anges de Dieu campent autour de ceux qui Le craignent. Jésus est sur... Il est omniprésent, à chaque instant, veillant sur nous. Et nous savons que c’est forcément la vérité.

            Je pense à Elie lorsqu’il était là à Dothan ; Guéhazi est sorti et il a regardé là, et il a dit: «Oh ! toute l’armée syrienne, regarde-les ; ils ont entouré cette ville et nous sommes encerclés.»

            Elie a dit: «Ceux qui sont avec nous sont en plus grand nombre que ceux qui sont avec eux.»

            Il a dit: «Eh bien, je ne vois personne.»

            Elie a dit: «Ô Dieu, ouvre les yeux de ce garçon.» Et lorsque ses yeux se sont ouverts, la montagne était en feu et il y avait des anges de feu et des chars de feu. Evidemment. Il est ici.

            Et lorsque les croyants chrétiens peuvent croire qu’Il est présent maintenant, en ce moment même, pendant qu’ils sont assis ensemble, assis ici dans les lieux célestes en Jésus-Christ: en Jésus-Christ, communiant (Amen !) autour de la Parole de Dieu, le Saint-Esprit est ici, prenant la Parole de Dieu par vision, et La faisant entrer dans chaque coeur comme cela, alors que la Parole est apportée et que chaque croyant La reçoit. Oh ! si nous pouvons seulement nous lever et réclamer les privilèges que Dieu nous a donnés ! C’est le moment où Dieu peut enlever ce bréchet du dos d’une personne et mettre en elle une véritable colonne vertébrale de l’Evangile à l’ancienne mode: ça fera de lui quelqu’un qui prend position pour la vérité, peu importe combien ça semble sombre.

29        Dieu a laissé les enfants hébreux entrer droit dans la fournaise ardente avant qu’Il puisse agir. Il était toujours là ; n’ayez pas peur. Il est toujours présent. Amen. Si donc l’Eternel affermit les pas du juste, de quoi avons-nous peur? Si Dieu est pour vous, qui sera contre vous? Oh ! la la ! Pensez-y ! Oh ! si Dieu a permis que Ses portions du ciel se rassemblent dans une réunion... Amen. Essayez tout simplement de–essayez cela, alors quand le Saint-Esprit prend la Parole, Il pilonne comme un marteau pneumatique contre un rocher, oh ! la la ! Il brise nos coeurs de pierre et ôte l’incrédulité pour croire cela, pour une communion autour de la Parole. La communion est merveilleuse.

30        Lorsque Adam et Ève se sont séparés de Dieu par le péché, ils se sont séparés, alors ils sont devenus des vagabonds, coupés de la communion, ils erraient çà et là, ils faiblissaient. Observez le problème de l’homme aujourd’hui. Le péché a séparé l’homme de ce genre de communion. Aujourd’hui nous nous demandons comment nous allons faire ceci, et nous nous demandons comment nous allons faire cela.

            Jésus a dit que ce sont les païens qui recherchent de telles choses, nous nous demandons ce que nous allons manger et comment nous allons nous habiller, ou ce que nous allons faire de ceci et de cela. Après tout, ces choses, Il a dit que ce sont les Gentils et les incrédules qui recherchent ces choses. Mais votre Père céleste sait de quoi vous avez besoin avant même que vous Lui demandiez. Oh ! combien on est libre de soucis maintenant !

            Eh bien, j’ai une petite fille aux yeux bruns là-bas, eh bien, elle saute par-dessus la clôture, et tombe, et tout ; elle ne se fait pas de souci, aussi longtemps que je suis là. Elle dit: «Papa, soulève-moi.» Elle est tout simplement insouciante. Je me suis dit: «Ô Dieu, si je pouvais simplement être comme cela, être simplement sans soucis.»

31        Il y a quelques jours, frère Joseph m’a beaucoup encouragé. J’ai vu apparaître dans les églises bien des choses qui ne devraient pas se faire, et oh ! eh bien, je–j’ai vu que je devais tout simplement sortir et arrêter tout cela moi-même. Et je–j’allais sortir et dire: «Ça ne peut pas être comme ceci, et ça ne peut pas être comme cela: vous ne pouvez pas faire cela, parce que vous allez gâcher le programme de Dieu. Vous mettez là-dedans des histoires qui ne devraient pas y être, et tout ceci.» Et je savais que c’était faux, scripturairement faux. Et je suis censé me tenir ici, oh ! je commence à découvrir que moi-même je suis quelque peu hors de la ligne, je deviens un peu amer. Je me suis arrêté là sur ce point et je me suis mis à prier, et Joseph est venu. Il a dit: «Ecoutez, je viens de lire l’histoire de Martin Luther, et la question qui se posait, ce n’était pas étonnant que Martin Luther ait pu protester contre l’Eglise catholique et s’en tirer. Mais ce qui était miraculeux, c’était comment Martin Luther, malgré tout le fanatisme qui avait suivi, s’est élevé au-dessus de tout cela. Voilà la chose principale.»

            Ensuite j’ai entendu comme...?... a dit, Christ a dit: «Que t’importe? Toi, suis-Moi. Je m’occuperai du reste. Va simplement de l’avant et suis-Moi.» C’est comme ça. Alors retournez à l’état où vous êtes libre de soucis. Très bien.

32        Lorsque l’homme s’est séparé de Dieu, il est devenu un vagabond, il errait partout. Combien c’est le tableau de ce jour ! Lorsque l’homme sort complètement de la communion d’avec Dieu, cette semaine il est un méthodiste, la semaine suivante il est un baptiste, et ensuite il est ceci, et cela: il erre ça et là, il est ballotté à tout vent de doctrine. Les coeurs devraient être affermis. Je ne dis pas que vous devez être méthodiste, baptiste, ou quoi que ce soit... Vous devez être en ordre avec Dieu.

            Voilà. Peu importe l’église que vous fréquentez, là où–le groupe avec lequel vous communiez, que ce soit les Assemblées de Dieu, ou les Unitaires, ou les Binitaires, ou les sai-... pluies des derniers jours, ou quoi que ce soit, aussi longtemps que votre communion est pure avec Dieu... Amen. La Bible dit que nous–le Sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché, et puis que nous avons communion les uns avec les autres. Amen. J’aime cela. Oh ! la la ! La manière...

            Ainsi lorsque Dieu a vu que l’homme était sorti de la communion, alors Il lui fallait faire quelque chose pour ramener Sa créature là où Il pourrait de nouveau avoir son coeur, là où l’homme peut retrouver son–son chemin. Maintenant, c’est là que commence maintenant la partie–la partie triste de l’histoire, juste là.

33        Eh bien, l’homme a essayé de substituer quelque chose à cette communion, depuis le commencement des temps. Maintenant, aujourd’hui nous disons: «Evidemment, venez tous adhérer à notre église. C’est nous qui avons la chose.» Les méthodistes veulent croire cela au sujet de leur église, les baptistes de la leur, les catholiques de la leur, les presbytériens de la leur, les pentecôtistes de la leur, les apostoliques de la leur. Et à ce propos ils ont élaboré une déclaration de credos. Et ils ont organisé cette église-là et établi un tas de credos, et ils prétendent partout que c’est cela le moyen d’avoir la communion. Ecoutez, vous ne pouvez pas avoir une communion de cette façon. Vous pouvez adhérer à chaque église qui existe dans ce pays et malgré tout ne pas être en communion avec Christ. Dieu a établi un seul plan là au commencement, lorsqu’Il a immolé un agneau, ou une brebis, et qu’Il a déroulé le tapis de bienvenue pour la race humaine pour qu’elle revienne à la communion, et c’était au travers du sang. Amen.

34        Maintenant, on n’entend pas tellement parler du sang aujourd’hui. Nous parlons toujours d’autres choses. Nous parlons des temps et de la bombe atomique. Ces choses-là sont bien, mais, frère, pour moi, sans effusion de sang il n’y a point de pardon de péché. Lorsque le sang a été correctement appliqué, le péché disparaît, l’homme est ramené à la communion avec Dieu. Amen. Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est un bon réveil à l’ancienne mode qui a été acquis par le sang. Amen. La Vie se trouve dans le sang. Et lorsque le Sang de Christ nous purifie de toute iniquité, alors nous avons communion avec Dieu.

            Vous pouvez vous repentir, ou venir à l’autel et faire une confession, être mis à l’essai pendant six mois, être trié sur le volet, et être membre de l’église méthodiste (Oui, monsieur.), et communier avec tout le monde. C’est juste. Ou vous pouvez aller à l’Eglise baptiste, et recevoir la main d’association, faire une confession, et être baptisé dans l’eau, communier avec l’Eglise baptiste. Laissez-moi vous dire ; dans l’Eglise pentecôtiste vous pouvez prier un peu jusqu’à ce que vous parliez en langues, et que vous communiiez avec chacun d’eux. Mais, mon frère, ma soeur, tant que votre âme n’est pas lavée dans le Sang de Jésus-Christ, vous n’aurez jamais communion avec Lui. C’est juste.

35        Et lorsque votre âme a été lavée dans le Sang de l’Agneau, toute la malice, toute la haine, toute l’envie, toute dispute, toutes ces choses sont mortes. Le sang fait l’expiation. Amen. C’est la raison pour laquelle aujourd’hui dans nos communions pentecôtistes, dans nos différentes communions du Plein Evangile, nous avons tant d’histoires, il y a tant d’opposition et tout dans le corps que nous formons, parce que nos–nos–nos différents ismes et tout plutôt se sont installés. C’est parce que l’un tire et fait ceci, et l’autre tire et fait ceci, et un autre tire et commence une–une dénomination ou une organisation. La cause même de cela, c’est parce que le coeur de cette personne n’est pas en ordre avec Dieu, pour commencer. Dieu désire que nous soyons tous un seul corps: un seul corps de croyants, baptisés dans le Saint-Esprit. Amen. Oh ! la la ! Dieu a étendu un tapis pour accueillir les hommes. C’était le tapis de bienvenue. Depuis que la communion a été brisée autrefois, la restauration se fait par le sang. C’est dans le sang que vous avez la communion, la restauration de la communion avec Dieu.

36        Adam ne pouvait pas rencontrer Dieu sur base de sa propre théologie. Il s’est cousu des feuilles de figuier et s’en est couvert, mais cela n’a pas marché. Il a fait sa propre organisation ; il a fait sa propre dénomination, mais cela n’a pas marché.

            Et aujourd’hui, oh ! lorsque je roulais le long de la colonie de nudistes que vous avez par ici, c’est là sur la route... Ils ne peuvent même pas attendre que–que le soleil soit haut. Ils s’étendent là complètement dévêtus, là sur la plage, et des hommes et des femmes sont ensemble, on dirait une bande de je ne sais quoi. Et chacun d’eux, peut-être, est membre d’une certaine église quelque part, il récite quelques prières là avec les gens, et chante la doxologie quelque part, peut-être dans des chorales, et ils s’étendent là comme cela. Cela montre que quelque chose est tombé. Des gens sensés qui ont une morale pure ne se comporteraient pas comme cela. Frère, c’est vrai. Si jamais vous avez un peu de Christ dans votre coeur, vous resterez loin de tels endroits. Amen. Eh bien, ça pourrait faire mal, vous pourriez ne pas être d’accord avec cela, mais faites descendre cela une fois au fond de votre coeur comme il faut, et voyez ce que Dieu fera à ce sujet.

37        Je vous assure, même ma pauvre petite fille, elle n’a pas plus de deux ans, elle est entrée dans une pièce là, là dans le–elle est sortie l’autre jour là dans la cour, et il y avait une femme là qui tondait le gazon avec le–portant de sales petits vêtements horribles, et cette petite enfant de deux ans est entrée et a dit: «Oh ! papa, cette dame a oublié de porter sa jupe.» Eh bien, vous y êtes. Vous voyez, un enfant en sait mieux. Mais lorsque les hommes et les femmes laissent leur coeur s’endurcir, ce sont des démons, des puissances démoniaques. Il n’y a eu dans tous les âges qu’une seule chose qui a déshabillé les hommes, et c’étaient des démons, qui ont plutôt déshabillé des femmes (C’est exact.), ou les hommes, qu’il s’agisse de l’un ou de l’autre. Cela ressemble à une bande d’animaux préhistoriques dévêtus et étendus là dehors, sans aucune conscience. La Bible dit que leur conscience serait marquée au fer rouge. Et ces mêmes gens, celles dont je parle en particulier et que je connais, chantent dans une chorale maintenant. Oh ! la la ! ils communient avec leur groupe. Oh ! mon Dieu ! Mais pour ce qui est de communier avec Christ... Oui, monsieur. Je sais que c’est fort, mon frère, ma soeur. Mais que Dieu nous aide. Si l’Eglise pentecôtiste ne revient pas au Sang de Christ, vous êtes finis. C’est juste. Revenez ! Il y a longtemps, c’était un péché pour nos pentecôtistes de se comporter comme cela. Il y a bien longtemps, ils ne le faisaient pas. Mais ils le font eux aussi maintenant. C’est parce que la chaire s’est relâchée.

38        Vous vous mettez à dire: «A moins que vous soyez membre de cette église, ou de cette dénomination, ou de quelque chose comme cela.» Vous feriez mieux d’avoir communion avec Christ. Amen. Ce sera une chose horrible un de ces jours, une des déceptions au Jugement ! Le contrebandier de l’alcool ne sera pas déçu, il connaît son sort. Le menteur et le voleur, ils savent ce que sera leur sort lorsqu’ils se tiendront devant Dieu. Mais là où il y aura la déception, c’est quand les membres des églises pentecôtistes seront rejetés avec leur orgueil, car ils étaient avisés, mais ils se sont volontairement plongés là-dedans. Amen. Alléluia !

39        Ce qu’il nous faut aujourd’hui c’est un bon réveil à l’ancienne mode qui secoue les gens. Retournons à cet endroit qui est sous le Sang du Seigneur Jésus, sous la communion.

            C’a toujours été le moyen d’approcher Dieu tout au long des âges, parmi les gens. Observez tout au long des âges ce qui était le seul moyen de Dieu. Le plus ancien Livre de la Bible, c’est le Livre de Job. Lorsque Job s’est approché de Dieu et qu’il a communié avec Dieu au travers du sang versé... Job offrait un agneau chaque fois qu’il allait communier. Les adorateurs de l’Ancien Testament, de la Genèse jusqu’au Nouveau Testament, chaque fois qu’ils avaient communion avec Dieu, ils faisaient un holocauste, ils immolaient d’abord un agneau, car ils s’approchaient sous le sang.

            Job, lorsqu’il était–il s’approchait de Dieu, il immolait un agneau. C’est le plus ancien Livre de la Bible, il fut écrit avant la Genèse. Moïse a donc écrit la Genèse des centaines d’années plus tard. Mais remarquez, Job était le plus ancien Livre, tout au long depuis l’Eden, Job faisait un sacrifice, il versait le sang d’un agneau, et il confessait ses péchés à travers ce sang. «Que Dieu ait pitié de moi maintenant, et je m’approche de Toi au travers du sang.»

40        Savez-vous pourquoi les prières des gens ne sont pas exaucées de la manière dont elles devraient l’être? C’est parce qu’ils s’approchent par une excitation psychologique plutôt qu’au moyen du sang. C’est juste. Venez au travers du sang.

Cher Agneau mourant, Ton précieux Sang
Ne perdra jamais Sa puissance,
Jusqu’à ce que toute l’Eglise rachetée de Dieu
Soit sauvée pour ne plus pécher.

41        C’est au travers de cela que nous devons venir: le Sang versé. Et là, Job offrait le sang versé quand il s’approchait de Jéhovah, sachant que Dieu ne le recevrait sur aucune autre base. Si vous L’approchez aujourd’hui au nom d’un homme bon: «Je paie mes dettes. Je ne trompe pas le gouvernement. Je paie mon impôt sur le revenu. Je fais toutes ces choses. Je suis un bon voisin.» Néanmoins, Dieu ne vous exaucera jamais. Si vous dites: «Je suis un membre fidèle d’église. Je paie ma dîme. Je donne d’importantes offrandes à l’église...?...» Dieu ne vous recevra jamais, jamais, pas du tout.

            Vous direz: «Eh bien, ma mère était une brave femme ; mon père était un brave homme ; mon grand-père était un prédicateur. Tout ce que je fais... Je n’ai jamais fait ceci ; je n’ai jamais volé ; je ne bois jamais ; je n’ai jamais fumé ; je n’ai jamais dérobé ; je ne fais jamais ces choses.» Dieu ne vous exaucera jamais. Et peu importe qui vous êtes, combien vous êtes mauvais, si vous vous approchez par le moyen auquel Dieu a pourvu au travers du sacrifice du sang, et que brisé vous posiez la main sur la tête d’un agneau mort, d’un agneau mourant, et que vous confessiez vos torts et l’acceptiez, alors Dieu va remplir votre âme du Saint-Esprit, consumant toute iniquité et tout ce qui est charnel, et faisant de vous une nouvelle créature.

42        Job, je pense à Job ce jour-là en tant que papa. Il avait une ribambelle d’enfants. Ceux-ci étaient quelque peu têtus. Et il se souciait toujours de ses enfants. Ne serait-ce pas de loin mieux si tous les membres des églises de Chicago avaient ce même genre d’idée au sujet de leur ville? Vous n’auriez pas de délinquance juvénile. Vous ne verriez pas ces émeutes raciales–ou plutôt je veux dire ces émeutes et tout qu’ils ont par ici aujourd’hui: des coups de fusil, des meurtres, des vols, des viols, et toutes ces choses. C’est parce que les gens ne se soucient pas de leurs enfants. Tout d’abord ils disent: «Eh bien, je les ai inscrits dans le registre des enfants lorsqu’ils étaient petits, j’ai confié le reste à la monitrice de l’école du dimanche,» et cette dernière passe peut-être toute la nuit à des parties de danse, et elle rentre, maquillée comme une sorte de–comme si elle allait au cirque plutôt qu’à l’église. Et vous confiez vos enfants aux mains d’une telle personne, mère, honte à vous ! Vous devriez placer cet enfant qui a un besoin là-dedans et lui faire lire la Bible. Posez vos mains sur sa tête, invoquez Dieu en disant: «Ô Dieu, aie pitié. Epargne ma fille, épargne mon fils.» Oui.

43        J’aime faire cela, je prends mes petites filles, et là, je les fais asseoir là, et je les regarde droit dans les yeux pendant qu’elles sont en train de me suivre, ou pendant que leurs oreilles écoutent et que leurs yeux regardent, et je leur dis ces choses, tout ce qui se rapporte à Jésus, et combien Il les aime, et tout. Elles s’agenouillent juste là à côté des chaises et prient comme nous autres. C’est ce que nous devons faire, n’est-ce pas? C’est ce que beaucoup d’entre vous font. C’est ce que vous devriez faire.

            J’allais dans une maison une fois, et les enfants se rassemblaient toujours pour la prière familiale. Oh ! que Dieu bénisse cette famille. C’est le lien qui unit. Si vous faisiez cela chez vous, il n’y aurait pas tant de divorces, et ces choses qu’on a. Vous auriez la communion les uns avec les autres.

44        Ensuite je vois Job ; ses enfants se sont mariés et ils sont partis en empruntant différentes voies, comme le font les oiseaux lorsqu’ils quittent un nid. Job, sachant qu’il n’y avait aucune autre voie, aucun moyen possible, pour que l’homme s’approche de Dieu et communie avec Lui, excepté par le sacrifice d’un agneau, par le sang ; Job a dit: «Il se peut que mes enfants aient péché, alors je vais offrir un agneau pour eux.» Quelque chose disait à Job qu’il ferait mieux de l’apprêter, qu’il ferait mieux d’être prêt. Et alors, lorsqu’il a offert l’offrande du sacrifice de l’agneau pour ses enfants, un jour cela arriva. Les tempêtes sont venues et ont tué tous...?... par le feu et ainsi de suite, et les ont emportés. Mais avant que ceci arrive, Job s’était rassuré que chacun d’eux était sous le sang. Amen.

45        Le rejet, on L’a rejeté aujourd’hui. Cette nation est en train de tuer Christ aussi vite que possible, elle attriste le Saint-Esprit et L’éloigne par des credos et des formes de religion, elle attriste le Saint-Esprit. Il n’y a pas longtemps je lisais... J’ai entendu dire quelque part, oh ! et ce grand évangéliste Billy Graham pendant qu’il était en Ecosse. Savez-vous quel est le problème? Si les pentecôtistes étaient restés ensemble, au lieu de se séparer et de faire tout ce que vous faites, vos réunions se dérouleraient comme celles des baptistes ; mais les baptistes vous ont ravi cela. C’est vrai. Quand ils tiennent un réveil, ils vont quelque part. Parce qu’ils rassemblent tout, et ils ont leur–leur prophète là, et ils s’en vont. Ils se tiennent derrière lui. Mais aujourd’hui, que quelqu’un monte du milieu des assemblées de Dieu, et–et tous...?...

46        [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... accueillait environ sept mille personnes, et j’avais environ sept mille personnes qui se tenaient dehors, et lui en avait environ trois mille. C’est juste. Alors lorsque je suis allé le voir, je pensais que c’était un petit garçon quelconque qui se tenait là, oh ! récitant de petites comptines–des comptines du genre: «Jésus, un petit bébé né dans une crèche.» Mais lorsque j’ai vu ce petit garçon, oh ! la la ! il était différent. Ce petit garçon avait environ cette taille. Je ne savais même pas que c’était le petit David. Il a ôté sa veste, il a pris un texte, et il a prêché comme un prédicateur. J’ai su que Dieu était avec lui. J’ai dit: «Voilà un petit garçon que Dieu a envoyé.» Eh bien, si vous les papas de l’église vous pouvez l’encadrer, ne pas le laisser devenir prétentieux, et ne pas le laisser aller à–courir après une liasse d’argent, mais l’encadrer, et exercer une influence correcte sur lui, il sauvera des milliers de petits enfants.

47        Mais je me trouvais là dans l’Oregon, à Grant’s Pass, dans l’Oregon, un matin, devant frère Hall et les autres. J’ai dit: «Observez. Cela ne marchera pas.» Je m’adressais à un petit groupe ; j’ai dit: «Et si on faisait venir le petit David maintenant dans une ville comme celle-ci?» Oh ! j’ai dit...  «C’est un unitaire.»

            J’ai dit: «Peu m’importe ce qu’il est. Dieu est avec lui.» Eh bien, naturellement, alors les Assemblées de Dieu devaient se trouver un petit David. Ceux de l’Eglise de Dieu se sont trouvé un petit David. Et bien vite, vous savez, il y avait des milliers de petits David. Ils ont démoli le principe même selon lequel Dieu essayait d’atteindre les petits enfants. Ils ne reconnaissent pas leur jour. «Le boeuf connaît la crèche de son maître, la mule connaît sa stalle, mais Mon peuple n’a point d’intelligence», a dit Dieu. C’est juste. Ils ne connaissent pas le jour de leur visitation. C’est la chose la plus drôle ; ils essaient les choses les plus drôles pour amener le peuple de Dieu à comprendre le jour de sa visitation. Ils commencent certainement à traîner quelque chose, ou de personnalités ou quelque chose de ce genre, et ils ignorent comment manier cela. Ils ruinent leur communion dans une dénomination au lieu de l’avoir en Christ.

48        Alors lorsque Job a vu ce qu’il avait donc fait, qu’il avait offert ce sacrifice, la Bible dit que ses enfants furent recueillis auprès de lui. Eh bien, il prenait des dispositions.

            Une autre pensée. Israël, lorsqu’ils avaient la communion, montrait ce qu’ils avaient fait. Avant que la grande destruction n’arrive, l’Ange qui avait détruit leur pays, l’Ange destructeur, la première chose qui est arrivée, Israël avait reçu l’ordre de prendre un agneau, de le tuer, et d’appliquer le sang sur la porte, et chaque famille entrait dans la maison et mangeait cet agneau-là: ils communiaient autour de l’agneau rôti. Ils mangeaient le corps du sacrifice qui était mort à leur place. Dieu avait dit: «Quand Je verrai le sang, Je passerai par-dessus vous.» L’Ange de la mort ne pouvait pas les toucher, parce que le sang de l’agneau était sur la porte, et ils étaient à l’intérieur, en train de prendre la communion, communiant autour de l’agneau. Il en est ainsi dans nos coeurs lorsque nous appliquons le Sang du Seigneur Jésus qui ôte tout le péché, alors nous pouvons avoir communion en mangeant la Parole de Dieu autour de la table de Dieu, communiant sur base des choses saintes.

            Lorsque vous prêchez la guérison divine, tout le monde crie, et dit: «Amen. C’est vrai.» Lorsque vous prêchez que nous devrions abandonner tout le péché, la malice, les querelles et tout, le vrai croyant dira: «Amen», (C’est juste.), communiant autour de la Parole. Voyez-vous ce que je veux dire.

49        Maintenant–maintenant, le seul endroit où Dieu a toujours rencontré l’homme, où Il a dit qu’Il rencontrerait l’homme... Il n’a jamais promis de nous rencontrer dans les dénominations. Il n’a jamais promis de nous rencontrer d’une quelconque autre manière, sinon au travers du sang versé. Israël de l’Ancien Testament, peu importe où ils se trouvaient, avant d’adorer Dieu, ils se réunissaient dans un endroit qu’ils avaient en commun, lequel était le tabernacle dans le désert. Quand un homme se trouvait au sommet d’une colline, et qu’il désirait communier avec Dieu, il allait au tabernacle dans le désert, pour y rencontrer Dieu. Moïse, lorsque Myriam était atteinte de la lèpre, il est entré et s’est prosterné devant Dieu sous le sang versé. Voyez-vous cela?

50        Mettez-vous maintenant en position pour ce soir (Voyez?) ; mettez-vous sous le sang. Toutes ces choses qui sont dans votre coeur, faites-les sortir. Allez devant Dieu sous le sang, confessez vos torts, invoquez Dieu et mettez la chose en ordre en disant: «Aide-moi.»

            Moïse a reçu une réponse immédiate à sa prière parce qu’il a suivi la voie de Dieu sous le sang. Avant qu’il pût communier, il est entré sous le sang. Eh bien, remarquez, l’agneau était immolé.

            Autrefois dans l’Ancien Testament, ils avaient une génisse rousse. Dieu a dit à Moïse lorsqu’ils ont commencé ce voyage, Il a dit: «Maintenant, prends des dispositions pour la purification du peuple pendant qu’il voyagera, car s’ils commettent un mal, ils sortiront de la communion. Et avant qu’ils puissent communier, Je veux que tu apprêtes des eaux de séparation pour eux.» Et alors il fut ordonné à Moïse de prendre une génisse rousse, une jeune génisse.

            Oh ! je veux que vous remarquiez que le mot «rouge» signifie quelque chose. Pour vous et moi, le «rouge» signifie un danger. Mais le «rouge» dans la Bible signifie la rédemption, la rédemption par le sang. Tout du long de la Genèse à l’Apocalypse, il y a une raie rouge du sang tout du long, toute rouge. Remarquez, ils devaient venir sous le sang versé.

51        Dieu a dit: «Prends une génisse rousse.» Or, avez-vous déjà remarqué du point de vue scientifique, que si vous prenez quelque chose qui est vraiment rouge et que vous regardiez le rouge à travers le rouge, cela paraît blanc. Savez-vous cela? Le rouge vu à travers le rouge paraît blanc. Et ainsi, Dieu sachant que l’homme était un pécheur par nature, sachant qu’il était dans l’erreur dès le départ, Il a pris la disposition du sang versé. Et Dieu, en vous regardant à travers le Sang du Seigneur Jésus, vous un pécheur rouge, Il vous voit blanc comme neige. Vous n’avez plus de péché. Lorsque Dieu regarde à travers le Sang de Christ, peu importe ce que vous avez fait, combien de péchés vous avez commis, ce que vous avez fait, si le Sang de Christ a été appliqué à votre coeur, Dieu vous voit parfait.

52        Ecoutez. Je vais vous dire un petit secret dans quelques minutes au sujet de la guérison divine et tout. La première chose, mes amis, c’est la préparation du coeur de l’homme. Oui, oui.

            Tenez, il y a quelques jours, j’étais ici à Chicago, où la vieille science avait coutume de dire que: «L’homme pense avec son coeur... C’est absurde, la Bible a tort. Il n’existe aucune faculté mentale dans le coeur par laquelle penser. L’homme pense avec la tête, avec son esprit.» Mais maintenant on a découvert que Dieu avait raison. Voyez? L’homme ne pense pas avec sa tête, mais avec son esprit. Il est une–il est une personne double. Ecoutez, d’abord c’est... D’abord ici c’est–c’est–c’est lect–l’intellect. Mais on dit que dans le coeur de l’homme, chose qui ne se trouve pas dans le coeur d’un animal, ni dans aucun autre coeur, juste dans le coeur de l’homme, il y a un petit compartiment au milieu du coeur de l’homme, dans lequel il n’y a même pas une seule cellule de sang. C’est la demeure de l’âme. L’homme pense donc réellement avec son coeur, pas avec sa tête.

53        Maintenant, si vous réfléchissez, c’est pour cela que nous avons beaucoup de membres d’églises tièdes aujourd’hui. Les gens ont une foi intellectuelle. Ils sympathisent, et disent: «Oh ! la Bible a raison. Certainement. C’est bon.» Voyez-vous? Ils ont... intellectuel. «Oh ! je crois que le Seigneur Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Je L’ai accepté comme mon Sauveur personnel»: ils fument la cigarette, ils boivent du whisky, ils sortent, ils vont à des parties de danse, ils s’étendent sur ces plages et tout par ici. «Bien sûr que Christ est mon Sauveur. Oh ! bien sûr, certainement, je suis membre de l’église.» Ça, c’est la foi intellectuelle. Beaucoup qui viennent dans la ligne de prière, disent: «Oh ! frère, j’ai la foi.» Evidemment, c’est une foi intellectuelle.

54        Mais lorsque cette foi intellectuelle descend ici dans ce petit compartiment, cela devient réel. Alors tous les vieux démons de l’enfer ne pourront pas ôter cela. C’est juste. Lorsque cela descend là, la question du péché est réglée. Amen. Lorsqu’Il dit: «Je suis l’Eternel qui te guérit», et que cela passe par la foi intellectuelle, et que cela s’enfonce dans ce petit compartiment, il n’y a pas assez de médecins à Chicago pour vous dire que vous allez mourir. Non, non. Non, pas du tout. Si vous êtes réellement certain, c’est ce que Dieu fait. Il entre carrément et prend cette foi intellectuelle, et par la Parole Il la fait descendre dans le coeur de l’homme. Et lorsqu’elle arrive dans le coeur, elle devient réelle. C’est là que Dieu Lui-même entre dans le coeur de l’homme et rend cela un fait réel. Amen. Lorsque cette foi quitte l’esprit de l’homme pour entrer dans le coeur de l’homme, maintenant, voyez-vous ce que je veux dire?

55        Maintenant, sous le sang versé, Il a dit: «Prenez cette génisse de trois ans, et elle doit être rousse.» Et on la faisait sortir. Premièrement, elle ne devait avoir jamais porté de joug sur son cou. Oh ! j’aime simplement cela. Maintenant écoutez, ceci pourrait brûler, écorcher et grésiller, mais c’est mieux de subir cela juste un petit moment que de le subir pour toujours. Suivez, quoi donc? Cette–cette génisse représentait Christ, et Christ n’était sous aucun joug (Amen.), sauf celui de Dieu seul.

            Maintenant, ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug propre–étranger, allant ici dans ceci–ceci et cela, et dans des tergiversations, et vous exposant dans ces fêtes et danses, et tout. Tenez-vous loin de cela. Associez-vous à Christ. «Prenez Mon joug sur vous, recevez Mes instructions.»

56        Cette génisse ne pouvait pas avoir un joug sur elle. Elle ne devait avoir aucun joug sur elle. Et puis, elle devait être tuée en présence du souverain sacrificateur. Et ensuite, lorsque le souverain sacrificateur, Aaron, voyait que la génisse était tuée, Eléazar prenait son sang sur les doigts, et il allait, il faisait avec sept raies sur la porte, sur la porte du tabernacle, comme un témoignage public. Ensuite la génisse était prise et mise au feu et brûlée: elle était brûlée et ensuite on emportait cela hors du parvis (Remarquez, comme c’est merveilleux ! Nous devons nous dépêcher.), hors du parvis, c’était placé dans un endroit pur, car c’était les eaux de séparation.

57        Dans Ephésiens, Paul a dit là que Dieu, par la prédication de la Parole, les eaux de séparation... La foi vient de ce qu’on entend, de ce qu’on entend la Parole. Et la Parole de Dieu constitue les Eaux de séparation, nous sommes lavés en entendant, par l’Eau, par la Parole. Le fait d’entendre la Parole vous sépare.

            Maintenant, l’incrédule, ou l’homme qui péchait restait dehors. Voici une petite partie que nous n’aimerions pas passer: ces eaux de séparations devaient être gardées dans un endroit pur. Et le prédicateur qui prêche l’Evangile doit être un homme pur et droit, pas un mordu de la cigarette, pas un toxicomane, pas un ivrogne, ni un homme qui joue au golf le dimanche après-midi, et ainsi de suite comme cela. Remarquez, cela doit être gardé dans un vase pur, sanctifié, saint, celui qui garde le mystère de Dieu dans son coeur.

            Cela doit être dans une église pure, pas dans une église où les gens jouent au bingo au sous-sol, à la loterie, où ils organisent des soupers de bienfaisance là-bas, et des danses pour les jeunes. Eh bien, frère, si jamais j’en arrive à un point où je dois faire cela pour garder l’assistance, je quitterai cette église et je prendrai un tas de tentes et monterai au Canada où je me bâtirai une cabane pour y vivre. Amen. Je préfère faire cela que de savoir que j’ai fait des compromis sur la Parole pure et sans mélange de l’Evangile du Seigneur Jésus. Donnez-moi la communion avec Lui. Amen. Prêchez la Parole. Vous n’êtes pas obligé d’avoir tout ce non-sens. Tenez-vous-en à la Parole. Et la Parole sépare le pécheur de son péché.

58        Alors chaque homme qui était en dehors de la communion devait d’abord s’approcher des eaux de séparation dans l’assemblée, et il était aspergé de ces eaux. Maintenant, qu’était-ce? Les eaux parlaient d’un sacrifice mort qui l’avait précédé. La génisse morte était morte à sa place. Et lorsque nous prêchons la Parole, cela n’est pas une certaine dénomination ; c’est sur Christ, le Sacrifice qui est mort à votre place, pour vos péchés.

            Lorsque vous êtes en dehors de la communion, vos prières ne peuvent pas être exaucées. Tout est noir autour de vous lorsque vous êtes en dehors de la communion. Revenez donc à la Parole. La Parole tranche, Elle vous sépare: «Eh bien, vous ne devez pas faire ceci, vous ne deviez pas faire cela. C’est un péché. Vous n’avez plus de communion. Vous êtes sorti de la communion.» Voilà les eaux de séparation, elles vous disent ce que vous devez faire.

59        Ensuite, bien vite, le croyant après avoir fait cela, la chose suivante qu’il faisait, il allait alors de l’avant. Il entre, le croyant maintenant va de l’avant. Lorsqu’il venait, qu’il entrait par la porte, il regardait et voyait sept raies de sang, ce qui signifiait que le sang l’avait précédé. Maintenant, il venait sous ces sept raies de sang, il entrait sous le sang, et alors il avait communion (Vous voyez cela?), il communiait avec Dieu, il n’y avait de communion nulle part ailleurs. Et tout cela c’était dans le tabernacle, la justification dans le parvis, la sanctification à l’autel, le Saint-Esprit derrière le voile ; on entrait et on laissait tomber le voile, tout cela est un tableau de Christ.

            Peu importe combien ils se sont organisés... Koré a fait une organisation et a dit: «Il y a plusieurs hommes saints à part Moïse.» Mais lorsque cela a touché Dieu, Il a dit: «Séparez-vous de lui maintenant même», parce qu’il avait brisé le programme de Dieu. Voyez-vous? La communion se faisait en un seul endroit ; c’était sous le sang versé.

60        Maintenant écoutez,...?... Ecoutez, chrétiens. Il n’y a pas de communion en dehors du Corps de Jésus-Christ. Vous ne pouvez pas communier avec Dieu. Ce n’est pas étonnant que les gens ne croient pas dans la guérison divine. Ce n’est pas étonnant qu’ils n’arrivent pas à croire dans un réveil à l’ancienne mode envoyé par Dieu. Ce n’est pas étonnant qu’ils n’arrivent pas à croire dans ces choses qui purifient le coeur de l’homme. Vous devez d’abord entrer dans la communion avant même que vous vous repentiez de vos péchés. Entrez, écoutez la Parole ; cela vous sépare, cela vous lave. Ensuite venez sous le sang dans le Corps de Christ ; en effet, le tabernacle était le type parfait de Christ.

61        «Démolissez ce bâtiment, Je le rebâtirai en trois jours.» Voyez? C’est ce qu’Il était, et ensuite par un seul Esprit... Nous sommes tous introduits par le Saint-Esprit dans le Corps de Christ, et alors nous venons sous le Sang. Tout le problème du péché est réglé à l’extérieur, par la prédication de l’Evangile, par le sacrifice de–de l’agneau à l’autel. Et maintenant nous communions avec Christ et nous pouvons entrer et communier avec les autres.

            Ceux qui sont dans le bâtiment, en Christ, nous entrons. Vous l’avez autrefois traité de saint exalté. Jadis vous disiez qu’il était fou, qu’il avait perdu la tête. Mais dès que vous entrez une fois sous le Sang versé et que vous communiez, vous vous avancez vers cet homme que vous pensiez autrefois être fou...?... cette femme que vous avez entendue crier ce soir-là, ce voisin dont vous parliez, ou plutôt qui était venu vous parler de la guérison divine, vous désirerez ardemment mettre votre main dans la sienne, et partager la Parole de communion. Eh bien, vous êtes venu sous le Sang.

62        Sans effusion de sang, il n’y a point de pardon de péché. Peu importe combien vous êtes bon, l’église dont vous êtes membre, les credos que vous récitez, les prières que vous dites, tant que vous ne venez pas sous le Sang, vous êtes malgré tout en dehors de la communion avec Dieu. Ne serait-ce pas merveilleux maintenant si tout notre groupe ici, de quelque six cents ou cinq cents, ou six cents personnes, quel que soit le nombre, tous ces gens qui sont réunis cet après-midi, si nous étions d’un commun accord ; de venir directement sous le Sang, tout comme nous sommes ici sous ce toit, sous le Sang du Seigneur Jésus-Christ, qu’est-ce qui, pensez-vous, pourrait arriver à l’instant même? Qu’est-ce qui, pensez-vous, pourrait arriver? Oh ! la la ! il n’y aura pas une seule personne faible parmi nous dans les cinq prochaines minutes. Oh ! la la ! Le pécheur assis à côté de vous sentira une telle condamnation, qu’il ne pourra même plus se tenir tranquille, alors que le Saint-Esprit viendra là, que les eaux de séparation seront déversées, l’Evangile, la prédication du Seigneur Jésus-Christ, avec Son sacrifice suprême. Et la puissance guérissante se déversera au travers du Calvaire, oh ! nous allons simplement passer un moment merveilleux, n’est-ce pas? Ne serait-ce pas merveilleux, si nous pouvions tous entrer dans la communion? Combien aimeraient être dans cette communion? Levez la main.

63        Maintenant, écoutez, mes amis. J’ai dit des choses dures cet après-midi au sujet de l’organisation. Maintenant, ce n’est pas que je suis contre l’organisation. Dieu sait que c’est la vérité. Ça ne me dit rien, l’organisation. Mais le problème, c’est quand vous pensez que l’organisation va faire quelque chose pour vous, ce n’est pas le cas. Le Sang de Jésus-Christ est la seule chose qui peut faire quelque chose pour vous. C’est vrai. Et ensuite, lorsque ce Sang entre dans votre coeur, toute votre conception mentale change, parce qu’alors vous pensez à partir d’ici. Voyez-vous? C’est là que Christ vient dans le coeur. Et vos pensées deviennent positives. Ce n’est pas: «Eh bien, mademoiselle Dupont dit qu’elle peut aller aux danses, cela ne la dérange pas.» Voyez? Vous pensez à mademoiselle Dupont ; mais lorsque ça se trouve dans le coeur, vous pensez au Seigneur Jésus, à ce qu’Il peut faire. Vous voyez, toutes vos propres pensées sont ramenées ici. Et c’est ce qu’il nous faut aujourd’hui, cette merveilleuse communion du Seigneur Jésus-Christ, et que Dieu soit de retour parmi nous et nous parle.

64        Maintenant suivez, eh bien, si ces étoiles ne respectaient pas leur cycle l’autre jour, dans l’observatoire... Juste avant que je termine, j’aimerais vous donner une pensée. Si ces étoiles–il est dit qu’il faut que la chaleur, que la lumière se déplace, j’ai oublié à la vitesse de combien de milliers d’années- lumière elle se déplace, à la vitesse de la lumière, la lumière se déplace à cette vitesse-là pour atteindre cette terre. La lumière parcourt des milliers et des milliers et des milliers et des milliers d’années-lumière pour atteindre cette terre depuis l’une de ces étoiles. Et nous pouvons voir à cent vingt millions d’années-lumière dans l’espace, et au-delà de cela, c’est autant étoilé qu’ici. Combien de temps faudrait-il à un ange pour arriver ici en venant de là?

65        Or, quand vous parlez du Ciel, ou quand nous mourons, on dit que nous allons à un endroit où vous ne pouvez même pas voir là-haut. Ne voyez-vous pas que Dieu a caché la gloire à l’oeil naturel?

            Nous sommes assis ici dans les lieux célestes. Maintenant le Saint-Esprit est ici. Maintenant Christ est ici. Et le corps que nous recevons lorsque nous partons d’ici, nous entrons dans une autre dimension, dans un endroit béni pour être avec le Seigneur Jésus, et au retour de Christ dans Son corps physique, nous retournerons sur terre, on revient spirituellement et on prend un corps tout neuf qui vivra éternellement. Amen. Oh ! la la ! si les gens pouvaient saisir cette idée maintenant même, que des anges parcourent ces allées, que Christ, le Fils de Dieu, est en train de se déplacer dans cette salle (Oh ! la la !), quelle différence ! Vous êtes dans Sa Présence.

66        Et lorsque votre esprit devient tellement insensible au monde extérieur, juste comme un–un aimant ou une galène dans une radio... Et lorsque ce gadget là-dedans devient tellement chargé et magnétisé avec ces paroles qui sont émises, cela atteint cela et produit un... réel. Les ondes radio qui passent dans l’air, les paroles, nous ne pouvons pas les entendre avec nos oreilles. Elles sont–nous ne pouvons pas les capter. Mais cette galène qui est dans la radio capte cela, c’est pareil avec la télévision. Cela devient réel. Et lorsque notre foi intellectuelle descend dans le coeur, et devient tellement chargée du monde invisible, chaque Parole de Dieu devient la vérité absolue. Voyez-vous ce que je veux dire?

67        Lorsque Dieu dit cela, et que cela produit un écho contre cette foi, c’est juste comme sur cette galène dans la radio, et cela rend la chose parfaite. Dieu a dit: «Je suis l’Eternel qui te guérit.» Cela règle la question. Amen. Cela rend la chose réelle. «Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Elle rend cela réel, vous continuez. Eh bien, il en est ainsi quand j’en viens à la guérison divine.

            Lorsque cet Ange du Seigneur est apparu ce soir-là, Il a dit: «Je serai avec toi ; n’aie pas peur.» C’est ce que ça ferait ; Il a dit qu’Il accomplirait des miracles et des prodiges parmi les gens.

            Je L’ai interrogé. J’ai dit: «Je... Les gens n’y croiront pas.»

            Il a dit: «Il arrivera que tu connaîtras les secrets mêmes de leur coeur et que tu leur parleras de ces choses.» Et j’ai posé des questions sur cela. Il s’est référé à Christ pour cela. Il a dit: «Je serai avec toi.» Alors, lorsque je monte sur l’estrade, et juste pour des malades, ou quelque chose comme cela en rapport avec ces choses, cela devient réel. Je crois cela.

68        J’aurais souhaité avoir la foi maintenant même pour croire que chaque malade dans cette salle sera guéri, de même que j’ai la foi pour savoir qu’Il se tient ici même. J’aurais souhaité avoir ce genre de foi là, j’aurais voulu que chacun de vous l’ait. Mais si nos pensées et notre communion sortent du domaine de ces choses que nous voyons et entrons dans les choses que nous ne voyons pas, alors celles-ci deviennent aussi réelles que les choses que nous voyons, ou même plus réelles. Que le Seigneur vous bénisse alors que nous inclinons la tête un instant.

69        Père céleste, oh ! pour cette communion que nous avons autour du Corps de Christ, autour de la Parole... Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu, et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous. Oh ! combien nous L’aimons ! Combien nous apprécions Sa Présence ici maintenant, le Glorieux Fils de Dieu, le Ressuscité, dont les Paroles ne peuvent jamais faillir ! Il est écrit ici dans la Bible que «là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je suis au milieu d’eux». Et c’est ce qu’Il a fait.

            Ô Dieu, que chaque incrédule qui n’est pas régénéré, qui n’est jamais passé par le Sang, qui va simplement à l’église, qui est encore colérique, qui a encore des habitudes du monde auxquelles il s’accroche, qui a une foi intellectuelle, mais qui n’a jamais été lavé et purifié afin d’avoir une communion parfaite... Ô Dieu, accorde ce soir que maintenant même en cet endroit même, que chaque coeur soit lavé, purifié dans le Sang de l’Agneau. Ils entrent dans une communion pour que le service de guérison de ce soir produise la plus glorieuse réunion qui ait jamais été tenue à Chicago. Accorde-le, Seigneur. Veux-Tu le faire pour la gloire de Dieu? Nous le demandons.

70        Pendant que nous avons la tête inclinée, je me demande, tandis que tout le monde est en train de prier, si vous voulez... Je sais qu’il se fait tard, mais écoutez, mes amis. Il se fait doublement tard. Le jour est très avancé. Ce dimanche après-midi, c’est le premier jour du mois de mai, et cet âge aussi est très avancé. Il est plus tard que nous ne le pensons. La venue du Seigneur est proche ; les coeurs des hommes en sont arrivés au point... la civilisation est en train de tomber, elle s’effondre en ce moment même. Considérez simplement cette Amérique. Quelle disgrâce ! Considérez ce qu’a dit Jésus, dans les derniers jours il en serait comme aux jours de Noé, où les gens donnaient en mariage et tout. Considérez les tribunaux de divorces en Amérique, ils sont plus bondés que dans toutes les nations réunies. Considérez l’immoralité ; considérez la perversion sexuelle dans des clubs pervertis, sur la côte ouest et partout. Des milliers et des milliers de fois, cela augmente chaque année. La souillure, la saleté, l’impiété, les gens pervertissent l’usage naturel du corps en quelque chose d’autre, des gens aux pensées perverties. Les hommes sortent et se comportent tel qu’ils le font, les femmes portent ces sales petits vêtements là dehors, elles ne pensent pas qu’elles sont dans l’erreur. Sûrement pas, leurs pensées sont perverties ; le diable s’est emparé d’elles ; elles ne le savent pas. Maintenant, qu’est-ce que je cherche à vous dire?

71        Etes-vous sous le sang, croyant? Si vous ne l’êtes pas, alors pourquoi... Que le Seigneur Jésus et moi seuls puissions voir ceci. S’il y a quelqu’un ici qui est sincère dans son coeur, et vous savez, après la prédication de la Parole, que vous avez pris conscience que vous avez tort, quelque chose dans votre coeur vous dit que vous avez tort, si vous avez encore ces habitudes et désirez encore ces choses. Il ne–il n’est pas nécessaire que vous les fassiez, il suffit d’en avoir le désir. Voyez? Celui qui regarde une femme pour la convoiter a déjà commis adultère dans son coeur.

72        Ce n’est pas celui qui prend une arme et qui tire sur son frère, mais c’est celui qui se met en colère contre lui sans cause. Si vous savez que vous avez tort, voulez-vous lever la main et dire: «Frère Branham, priez maintenant pour moi. Je prie pour que Dieu m’amène sous le Sang et m’accorde une expérience à l’ancienne mode, et pour que mon coeur soit pur devant Dieu.» Si une telle personne est ici, voulez-vous lever la main, maintenant même, avant que nous puissions prier, et dire... En levant simplement la main, pas vers moi, mais vers Dieu, pour dire: «Ô Dieu, aie pitié de moi maintenant ; je désire avoir un coeur parfaitement pur devant Toi.» Levez-la simplement, vous qui êtes là aux balcons et par là. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, et vous. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. C’est bon. Maintenant, que Dieu vous bénisse, mon frère. C’est juste. Soyez sincère avec Dieu.

            Maintenant, ce n’est pas–pas moi. Ce n’est pas vers moi que vous levez les mains, c’est vers Dieu. Que Dieu vous bénisse, madame ; je vous vois, là derrière. Quelqu’un d’autre qui voudrait... Que Dieu vous bénisse, madame ; et vous, monsieur ; et vous, monsieur. Que Dieu vous bénisse ; et vous, monsieur. C’est comme ça qu’il faut être sincère. C’est comme ça qu’il faut être des hommes et des femmes, nous sommes devant Dieu. Que Dieu vous bénisse, madame. Vous désirez que ces vieilles choses soient ôtées de votre vie. Certainement, Dieu va le faire. La seule chose que vous devez faire, c’est de Le laisser faire cela ce soir. Y a-t-il quelqu’un d’autre avant que nous priions?

73        Pendant que nous avons nos têtes inclinées, Dieu Bien-Aimé, ô Père, ces âmes humaines, nous réalisons, Seigneur, que Celui qui nous jugera en ce jour-là est ici dans cette salle. Même un moineau ne peut tomber à terre sans que le Père le sache, à combien plus forte raison Tu connais ces gens qui ont levé la main avec sincérité, qui sont restés assis pendant ces longues petites heures de l’après-midi, à écouter la Parole. Je Te prie, ô Dieu, de purifier chaque coeur maintenant même avec le Sang du Seigneur Jésus. Chaque habitude, chaque péché lié à une oppression, ou quoi que ce soit qui ne va pas chez ces chères personnes, ô Dieu, je Te prie d’ôter cela d’elles maintenant même. Accorde-le. Puissent-ils devenir des chrétiens humbles et doux, qui haïssent l’iniquité et qui aiment la justice. Accorde-le, Père. Oh ! Sauveur béni, guide-les.

            Maintenant, Père, que chaque personne ici reçoive une grande foi maintenant même. Nous attendons avec impatience le service de ce soir, Seigneur, pour la guérison des malades. Oh ! veux-Tu le faire juste encore une fois, Seigneur? Permets que cela se produise encore une fois. Je crois, si notre frère va outre-mer, pour qu’il puisse aller avec une nouvelle vision dans son coeur pour voir le Royaume de Dieu être présenté aux enfants de Mamon.

            Qu’il y ait un merveilleux service ce soir ; que chaque malade qui passera les portes pour entrer en Christ soit parfaitement guéri. Veux-Tu bien l’accorder, Seigneur? Guéris ceux qui sont nécessiteux, tout le Corps ; car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

74        Il y a quelques jours, lorsque j’étais chez moi, j’ai eu beaucoup d’ennuis et tout, vous savez, ça se passe à la maison. Hier soir, avant-hier, jusqu’au lever du jour, j’étais sorti durant toute la journée d’hier. Hier soir, j’ai dormi très peu, et je me suis levé ce matin et me voici. C’est un peu dur. Je vous ai gardés pendant longtemps. Je m’excuse de vous avoir gardés pendant tout ce temps. J’espère que vous–c’est le Saint-Esprit... J’ai remarqué. J’aimerais dire ceci, je préférerais vous donner un petit bouton de rose maintenant que de vous donner toute une couronne après votre mort. Voyez-vous?

            Je n’ai jamais... J’ai eu de bons auditoires partout dans le monde. Mais je n’ai jamais eu un a-... auditoire plus attentif que celui que j’ai ici dans cette petite église, ici à Chicago, vous qui êtes ici. Je l’ai remarqué cet après-midi ; j’avais sur le coeur, lorsque je suis monté sur l’estrade, de parler de quelque chose d’autre. Le Saint-Esprit était réellement...?... sur–sur l’arche de l’alliance, c’est ce dont je voulais parler. Lorsque je suis monté sur l’estrade, ici, je me suis dit: «Ce serait bon de parler de la communion.»

75        J’ai fait quelque chose qui est un–je me suis embrouillé moi-même alors que le Saint-Esprit m’avait dit de ne pas faire cela. J’ai essayé de lutter jusqu’au bout. Laissez-moi vous dire une chose, j’ai souvent dit au sujet de frère Joseph...?... quand... tort, raison ou tort. Vous aussi, personne ne s’est levé pour quitter cette salle cet après-midi. Pendant tout ce temps ils ont pu rester assis ici, tout en sachant tout ce temps que le service de guérison allait commencer, et pourtant beaucoup doivent rentrer chez eux pour prendre leur souper. Vous êtes restés juste ici avec moi. Que vous êtes gentils ! Je vous aime. Je vous présente à Dieu. Et vous vous êtes accrochés à cela même lorsque vous m’avez vu en train de lutter. Voyez? C’est ce que je veux dire. Des fois je suis en erreur (Voyez-vous?), lorsque je suis en erreur.

76        Maintenant, je prie Dieu de vous accorder tout ce qu’il vous faut, chaque désir de votre coeur. Et puissiez-vous... Combien ici aimeraient être guéris ce soir? Levez la main. C’est tout le monde qui est ici. Que Dieu vous bénisse. Oh ! la la ! Que Sa grâce soit avec vous. Maintenant, si vous devez rentrer chez vous, allez vous reposer un petit peu. Revenez peu après prendre une carte de prière, et venez ce soir pour que l’on prie pour vous. Je crois vraiment que nous allons avoir un moment merveilleux, n’est-ce pas? Amen, amen. Que Dieu vous bénisse. Je remets maintenant le service à frère Joseph. Je vous verrai ici dans environ deux heures.