Dieu Utilisant Son Don
1 Merci, frère, c’est très gentil. Bonsoir, amis. C’est merveilleux de revenir au Life Tabernacle une fois de plus ce soir. Le frère disait que j’étais en retard. J’ai eu beaucoup de temps pour m’attiser ou me détendre devant le Seigneur. Et je–j’ai entendu frapper à la porte, mais je n’ai simplement pas répondu. C’est tout ce qu’il y avait ; en effet, je–j’avais quelque chose d’important dont je devais Lui parler. J’ai donc continué à parler.
2 Eh bien, comme toujours, je suis en retard, c’est la vérité. J’étais en retard à mon mariage. Si seulement je peux être en retard à mon service funèbre, c’est–c’est ce qui importe. Qu’en pensez-vous, Frère Alment? C’est pratiquement vrai, n’est-ce pas?
Frère Alment, je viens de le voir là derrière. C’est un très bon frère chrétien, il est venu tout récemment à Christ, c’était un ex-militaire. Il enseigne la phonétique dans une école... Il se mourait récemment de la maladie du coeur, il était dans un état terrible... Le Seigneur Jésus l’a touché, alors qu’il était juste à l’article de la mort, les meilleurs médecins l’ayant simplement abandonné pour qu’il s’en aille pour de bon. Voulez-vous juste lever la main, Frère Alment? Il vient de l’Ohio, je pense, ou de Mich-... Où est-ce, Frère Alment? Michigan. Nous remercions le Seigneur pour la guérison de notre bien-aimé frère.
Je me rappelle l’avoir pris tout au début quand il venait d’être sauvé, j’allais le baptiser à la rivière... Aussitôt que son pied était entré dans l’eau (Oh! la la!), il est simplement devenu tout bleu. On dirait qu’il allait mourir là même. Et le Seigneur Jésus est descendu et l’a guéri. Il est merveilleux.
3 Eh bien, certainement que nous... Une chose pour laquelle je prie ardemment maintenant, c’est d’aller dans le vieux Mexique. Je m’attends avec impatience à une grande effusion du Saint-Esprit là parmi les Espagnols. Et j’aimerais que vous priiez. Les Espagnols étaient les premiers chez qui j’avais tenu des réunions, à part les Anglo-Saxons, les gens de la race blanche, ou les–les anglophones. Et ensuite, c’étaient les Amérindiens. Et puis, je pense que de là, nous sommes partis en Afrique et ailleurs, et dans divers pays depuis lors.
Je suis juste un peu enroué. Ceci est la quatrième fois aujourd’hui de... Donc je... Vous êtes une gentille assistance au point que j’ai–j’ai simplement perdu la voix. Vous avez donc été très gentils, et j’apprécie ce beau moment de communion avec tout un chacun parmi vous, dans différentes églises et ailleurs. Et je prie que Dieu soit avec vous et qu’Il vous bénisse jusqu’à ce que nous nous rencontrerons.
4 Souvent... Hier soir, je pensais au grand combat qui se déroule quand la mort et la vie s’affrontent. Et c’est une chose difficile parfois de prêcher comme il faut quand on est–quand on est sous un tel fardeau. Mais maintenant, beaucoup parmi vous ont lu les visions. C’est publié cette fois-ci dans Herald Of Faith [Le Héraut de la Foi]. Beaucoup parmi vous qui reçoivent ce petit magazine... Je ne suis pas un vendeur, je ne vends rien. Mais j’ai une seule police d’assurance, et elle n’est pas à vendre, elle est gratuite. C’est la police d’assurance de la Vie Eternelle. Elle est gratuite ce soir. Vous n’avez pas à payer pour ça, on a déjà payé pour ça. Vous n’avez qu’à la recevoir.
5 Je ne sais pas si je vous ai raconté cela ou pas. Wilmer Snyder, un ami à moi, nous avons fréquenté l’école ensemble, c’est un agent du service des assurances. Et c’est une bonne chose: L’assurance-vie. Eh bien, mon papa avait souscrit une police d’assurance pour mon frère et moi alors que nous avions environ... Nous, il y a un décalage d’âge d’un an entre nous, nous avions alors environ huit et neuf ans. Quand nous avons atteint vingt ans, c’était une police d’assurance à capital différé de dix ans, je ne sais quoi c’était... Et elle était censée produire environ cinq cents dollars. A l’échéance, l’agent n’avait jamais lu cela comme il fallait à mon père. Et cela valait environ un dollar soixante-quinze cents. Et, oh! la la! si cela ne m’avait jamais rendu amer de savoir que mon pauvre papa avait eu à travailler comme il l’avait fait, par séduction. Et il n’y a personne qui peut lire cela correctement ; un avocat de Philadelphie n’a pas pu lire cela. Ainsi donc, je me suis un peu aigri contre l’assurance.
6 Donc je... Un jour, Wilmer Snyder, un ami à moi (Nous avons fréquenté l’école ensemble), est venu chez moi, il a dit: «Billy, j’aimerais te dire quelque chose.»
J’ai dit: «D’accord, Wilmer.»
Il a dit: «Je souhaiterais que tu arrêtes simplement ce non-sens.» Il a dit: «Ça ne sert à rien que tu affiches cette attitude-là. Tu as besoin d’une police d’assurance.»
J’ai dit: «J’en ai.»
Il a dit: «Oh! Tu es assuré?»
J’ai dit: «Oui.» Ma femme m’a regardé comme pour dire: «Dis donc, qu’est-ce qui ne va pas avec toi? Tu racontes une histoire», en d’autres termes. Elle a dit: «Quel est...Quoi?»
J’ai dit: «Oui, je suis assuré.»
Il a dit: «Billy, quelle assurance as-tu?»
J’ai dit: «Assurance bénie, Jésus est mien. Oh! Quel avant-goût de la Gloire divine! Héritier du salut, racheté par Dieu. Né de Son Esprit, lavé dans Son Sang.»
«Oh! a-t-il dit, c’est bien, Billy, mais cela ne te placera pas au cimetière.»
J’ai dit: «Mais cela m’en fera sortir.»
Je ne m’inquiète pas tant d’y aller ; le problème, c’est d’en sortir. C’est ça qui m’en fera sortir. Et la bonne chose à ce sujet, c’est déjà payé. Ainsi donc, le prix est déjà payé au Calvaire. Elle est offerte à quiconque veut la recevoir.
7 Et maintenant, dans le... ce champ de bataille de la vie, gardons nos têtes tournées vers le Calvaire, nos yeux regardant droit vers Celui qui est mort et qui a payé le prix suprême pour notre salut au Calvaire, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Et ce soir, nous croyons en Lui de tout notre coeur. J’espère revenir. Et merci de ce que vous me souhaitez la bienvenue pour mon retour. Je–je sais que vous avez été sincères là-dessus, et vous–vous m’aimez, et je vous aime.
On dirait que le Saint-Esprit m’amène directement à prier pour les malades maintenant ; je vais directement m’y mettre. Je sais que c’est juste ce moment stratégique.
Je ne suis jamais venu à Shreveport sans avoir tenu un véritable service de guérison. C’est vrai. En effet, je viens et je prêche. Et chaque... Quand je viens parfois pour un service de guérison, que quelqu’un d’autre apporte la prédication, qu’on me laisse juste sous la croix pendant toute la journée, et on peut voir la différence avec ça (Voyez?), lorsqu’on arrive. Mais ici, après avoir quitté la chambre et quand j’arrive ici, je parle un peu... Et parfois, je parle trop longtemps et puis, j’en perds un peu les effets, alors je... c’est quelque chose de ce genre, c’est l’onction.
8 Et maintenant, concernant cette nouvelle vision que le Seigneur m’a donnée, la vision qui est publiée dans Herald Of His Coming [Le Héraut de Sa Venue], ou plutôt Herald Of Faith [Le Héraut de la Foi], je pense aussi Le Héraut de Sa Venue. Cela leur a été envoyé. Le Héraut de la Foi paraît à Chicago, le journal de frère Mattsson Boze, un merveilleux petit journal. On y a publié un article ce mois-ci. Vous en avez un rouleau, frère...? Je souhaiterais que vous lisiez cet article-là. Vous savez, il avait beaucoup d’articles et tout, mais il y a un prédicateur luthérien qui m’a donné un de mes articles favoris. Et je–j’ai certainement apprécié cela. Et frère Joseph Boze a réimprimé cela. Cela se trouve dans la publication de ce mois-ci.
Et en lisant la vision, vous constaterez comment le Saint-Esprit a montré quelque chose d’autre qui est sur le point d’arriver. Et dans ce genre de services de guérison que je tiens maintenant, en attendant que je sois sous tente, je suis juste comme un enfant qui attend impatiemment la Noël. C’est à peine si je peux attendre d’y entrer. En procédant comme ça, je peux seulement subsister très longtemps, car c’est votre foi qui fait cela. Ce n’est pas moi qui fais opérer ce don de Dieu. C’est votre foi qui fait cela. Voyez? Ce n’est pas moi, c’est vous.
9 Vous direz: «Frère Branham, pouvez-vous...» Je ne peux rien faire. C’est vous qui faites cela. C’est vous qui me faites parler. C’est votre foi qui fait cela. Vous là dans l’assistance avec des afflictions et des maladies et tout, c’est vous qui vous servez du don de Dieu. Maintenant, vous voyez, Dieu a un don.
Eh bien, présentons-le simplement comme ceci afin... parce que quelqu’un peut assister pour la première fois, ce soir. Jésus-Christ était le plus grand Don que Dieu ait jamais eu. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Et quand Il était ici sur terre, Il avait–Il avait l’Esprit sans mesure: toute la plénitude de la Divinité habitait corporellement en Christ. Eh bien, Il était comme tous les océans, toutes les mers, toute l’eau. Ce qui fait qu’environ les quatre cinquième de la terre, c’est couvert de l’eau. Toute cette eau était en Lui, c’est une comparaison avec la bénédiction et la mesure de l’Esprit que Dieu Lui avait données. Or, dans Ses serviteurs, les prédicateurs et nous, il n’y a qu’une cuillerée d’eau par rapport à l’océan ou à la mer. Mais les mêmes–les mêmes composants chimiques qui sont dans tout l’océan se retrouvent aussi dans cette cuillerée. Voyez? Cela doit donc produire la même chose si cela vient du même endroit. Voyez-vous? En voilà la raison.
Eh bien, vous dites: «Frère Branham...» Je–j’ai beaucoup de critiques et je serai très content... Je prie que Dieu me permette de déclencher cela dans le vieux Mexique pour la première fois.
10 Et quand je suis venu à Shreveport pour la première fois, c’était l’imposition des mains aux gens, et Il me laissait savoir ce qui clochait chez eux. Il m’avait dit: «Si tu es sincère, il arrivera que tu connaîtras le secret même du coeur.» Combien se rappellent que j’avais prédit cela auparavant? Oui, oui. Cela est-il arrivé? Eh bien, cela est allé un peu plus loin que ça maintenant. Pas un peu plus loin, mais beaucoup plus loin. Voyez? Maintenant, cela continuera à progresser. Et notez-le. Vérifiez s’il y a un brin de fanatisme ou de quoi que ce soit qui ne soit pas l’AINSI DIT LE SEIGNEUR en soi. Ça sera purement scrip-... scripturaire.
11 Maintenant, Jésus de Nazareth, alors que toute cette eau était...?... là... ou l’Esprit qui était sur Lui plutôt, comme je disais l’eau il y a quelques instants, en donnant une parabole afin que vous compreniez... Eh bien, Il était le Don de Dieu. Et chaque fois que Dieu voulait qu’Il fasse quelque chose, Dieu L’élevait simplement et Lui montrait quoi faire. Et Il a dit: «Je ne fais rien de Moi-même.» Est-ce vrai? «Je ne fais que ce que Je vois faire au Père.» Jésus l’a-t-Il dit? Il ne pouvait donc pas mentir. Ce devait être la vérité. Maintenant, nous ferions tout aussi mieux de régler cela pour toujours.
Jésus a dit qu’Il ne faisait rien à moins que le Père Lui ait montré premièrement quoi faire. «Ce que Je vois faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Vérifiez dans la Bible et voyez si les prophètes, ou n’importe qui, ont jamais fait quoi que ce soit sans l’avoir premièrement vu s’accomplir ; en effet, vous ne pouvez pas dire que c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR si le Seigneur ne l’a pas dit et que vous le sachiez. Ce n’est pas un montage mythique ou une émotion mentale. Ce n’est pas de la psychologique... psychologie. C’est absolument Dieu montrant d’avance quelque chose qui va arriver. Exact. Et cela arrivera chaque fois. Cela ne faillira jamais.
12 Maintenant, observez Jésus de Nazareth. Il parcourait une assistance de gens et une petite femme s’est frayée une voie parmi tous les incrédules. Elle était anémique. Elle avait une perte de sang. Et elle s’est dit dans son coeur: «Je crois en Lui. Si seulement je peux toucher Son vêtement, je serai guérie.» Et peut-être qu’elle s’est faufilée en dessous du bras de tel homme, celui-ci l’a repoussée. Elle a contourné de ce côté-ci, elle s’est faufilée de l’autre côté, elle est passée entre les genoux d’Untel, et ainsi de suite jusqu’à ce qu’elle soit arrivée à Le toucher. Elle est rentrée, elle est allée dans l’assistance. Jésus s’est arrêté et a demandé: «Qui M’a touché?» Et elle et les autres ont dit: «Pas moi.» Ils ont tous nié cela. Mais Il a dit: «J’ai connu que Je suis devenu faible.» Vérifiez si cette traduction n’est pas correcte: «La vertu (la force) M’a quitté.»
Voyez? Qu’a-t-elle fait? Il a promené le regard jusqu’à ce que Sa puissance de discernement repère la femme, qui elle était. Il a dit: «Ta foi t’a sauvée.» Et alors, elle est venue, elle s’est prosternée à Ses pieds et a confessé tout cela. Eh bien: «Ta foi t’a guérie», ou t’a sauvée, plutôt. «Ta foi t’a sauvée.»
13 Eh bien, elle s’est servie du don de Dieu. C’est ce qui L’avait affaibli. Mais quand Lazare était mort, Dieu avait montré d’avance à Jésus, à l’avance, comment Il s’en irait et s’absenterait tant de jours jusqu’à ce que Lazare soit mort, et aux jours indiqués, Il viendrait pour son–son corps en décomposition. Et alors, Il était... Tout ce temps, Dieu Lui avait montré cela. En effet, Il l’a dit à la tombe, Il a dit: «Je Te loue, Père, de ce que Tu M’as déjà exaucé.» Voyez? Il savait ce qui allait arriver.
Regardez là. Il a dit: «Notre ami Lazare dort.»
Ils ont dit: «Oh! Il se repose.»
Il a dit: «Il est mort. A cause de vous, Je me réjouis de ce que vous... Je n’étais pas là, car cela aurait bouleversé votre foi. Si vous voulez que J’aille prier pour lui, vous m’auriez imploré de faire cela, et Je ne l’aurais pas fait. Alors, vous auriez peut-être perdu la foi. Mais tel que c’est arrivé, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là. Mais Je vais le réveiller.» Il savait cela. Pourquoi? Il a dit: «Je ne fais rien à moins que le Père M’ait premièrement montré cela.» Il a dû voir cela premièrement. Mais remarquez. Quand Il était là, combien la résurrection de Lazare était un miracle de loin plus grand que le fait pour la femme d’avoir touché Son vêtement! Mais rien n’a été dit, quand Il s’était affaibli. Dieu s’était servi de Son don qui était en Christ, Il avait montré d’avance la résurrection de Lazare, tandis que la femme s’était servie du don de Dieu pour obtenir ce qu’elle voulait.
14 Donc, dans cette nouvelle chose que le Seigneur m’a montrée, ça sera Dieu qui se servira de Son don. Et lorsqu’on se tient ici en public, devant les gens, là comme ceci, on tire constamment. Et c’est juste un miracle de Dieu. Si Lui, le Fils de Dieu, né d’une vierge, a été une fois sous une pression telle que cela L’a abattu et qu’Il était devenu faible, qu’en est-il de moi, un pécheur corruptible? Et comptez le nombre de fois que cela est arrivé. Voyez?
C’est Dieu se servant de Son don, ou c’est vous qui vous servez de Son don. Ce n’est donc pas moi qui me tiens ici. C’est vous qui vous tenez ici qui faites cela. Vous là dans l’assistance et vous ici sur l’estrade, c’est vous qui tirez du don de Dieu. Je ne suis pas Son don. L’Esprit est Son don. Ceci n’est pas ma voix. Il se sert simplement de ma voix. C’est–c’est sourd, cela est sourd-muet jusqu’à ce qu’il y ait derrière quelque chose qui parle. Et je serai de même sourd-muet en rapport avec quoi que ce soit de surnaturel jusqu’à ce que le surnaturel se serve de l’instrument pour parler au travers. Que le Seigneur vous bénisse.
15 Luc, chapitre 19, verset 42. Juste avant que nous examinions la Parole, parlons à l’Auteur.
Notre Père céleste, les services touchent à la fin. Des hommes et des femmes ont été ici. Beaucoup ont accepté le Seigneur Jésus. A partir de cela, des jeunes hommes et des jeunes femmes probablement seront des hommes et des femmes de demain, si Tu tardes. Beaucoup de vieux vont s’en aller, ils se préparent pour cette glorieuse heure, pour la longue Eternité sans fin qui est à venir. Ô Dieu, nous Te remercions pour tout le monde. Beaucoup qui s’étaient tenus ici à l’estrade, étant gravement malades, là dans l’assistance aussi, des cas graves, sont ce soir bien portants, à cause de Ta grâce et de Ta gloire.
Cela ne nous importe pas que le monde scientifique examine et taxe de ceci, cela ou autre. Nous considérons Ta Parole comme étant la vérité.
Maintenant, nous sommes bien prêts pour le service de clôture. Aide-nous, ô Dieu. Parle dans Ta Parole. Distribue-nous notre portion de ce soir, comme Tu avais distribué le pain et les poissons à des multitudes qui attendaient il y a de cela plusieurs années sur le rivage sablonneux de Galilée. Accorde-le, Père. Nous demandons ces bénédictions au Nom de Jésus-Christ, Ton Tendre Fils. Amen.
Et Jésus lui dit: Recouvre la vue ; ta foi t’a sauvé.
16 Vous pourrez lire à loisir toute l’histoire, ou à des moments appropriés pour la lecture. Maintenant, soyez aussi respectueux que possible pendant quelques instants. Nous allons essayer dans les vingt minutes qui suivent, Dieu voulant, d’être prêt pour commencer la ligne de prière. Demain, c’est lundi, vous irez au travail, et nous, nous quitterons tôt le matin pour Houston.
17 Oh! la la! Il faisait froid, et je peux bien le voir trembler alors qu’il se mettait sous le soleil. Et il est... Et ça avait été un mauvais jour, on avait... Personne ne lui avait rien donné. Il y avait beaucoup de mendiants en Palestine à l’époque. Et il y avait des gens souffrant de la lèpre, et–des affligés, des malades, et–et des gens étendus dans des rues: des aveugles, des boiteux, des estropiés, des paralytiques. Et des gens pouvaient donner des pièces d’argent en passant: c’était l’unique faible moyen dont ils devaient vivre. Je peux le voir alors qu’il a quelque chose à coeur.
On ne lui avait pas donné de pièce d’argent ce jour-là. Il quitte l’ombre du bâtiment, juste un peu, pour se mettre sous le soleil, et là, il s’est assis. Il chemine à tâtons, puis se met sous le soleil. Pendant qu’il était assis là, il s’est rappelé sa situation passée et sa situation du moment. Il s’est souvenu de Rachel, sa femme, qui était à la maison ; il s’est souvenu de la petite Léa, sa fillette, comment cela... ce qui allait leur arriver cette nuit-là si papa se frayait son chemin vers la maison, disant: «Voudriez-vous m’aider un peu, gentil monsieur?»
«Oui, Bartimée, je vais t’aider au prochain coin.»
«Quelqu’un va-t-il m’aider au prochain coin? Y a-t-il quelqu’un qui me connaît dans la foule? Voudriez-vous m’aider jusqu’au prochain coin? Je cherche à trouver mon chemin vers la maison.» Et il s’est dit, une fois arrivé à la maison et que sa fillette lui aurait brossé ses joues barbues, l’aurait embrassé et lui aurait ratissé les cheveux... Et il sentait les petites mains osseuses de sa femme alors qu’elle le tapotait, l’étreignait et l’embrassait, et il se demandait si on lui donnerait ce jour-là quelque chose pour la nourriture du soir. C’est pitoyable, n’est-ce pas? Pas d’argent, juste un mendiant.
18 Il s’est mis à réfléchir, pendant qu’il était assis sous un soleil ardent. Il rassembla son manteau en lambeaux autour de lui ; il n’avait pas de moyen de s’en acheter un neuf. C’était lui qui pourvoyait aux besoins de sa famille. Il–il se préoccupait de sa famille premièrement avant lui-même. Tout véritable et authentique papa fera de même, le mari aussi.
Tout chrétien se souciera des autres avant lui-même. Chaque chrétien essaie de placer Dieu en premier, sa famille en deuxième position, lui vient en troisième position. J’ai essayé d’en faire une pratique dans ma propre vie.
19 Alors, je le vois assis là: «C’est un bon moment, dit-il, pour un peu... Il n’y a pas d’agitation dans les rues, tout est calme depuis longtemps. Je ne sais où est parti tout le monde aujourd’hui, mais apparemment, il n’y a personne ici.»
Et alors qu’il se blottit là sous ce soleil ardent, il s’est mis à réfléchir sur des choses. Aimez-vous vous retrouver seul et réfléchir sur des choses? Moi, oui. Juste être à l’écart... Parfois, je conduis ma voiture à l’écart, là loin dans la campagne, je me retrouve dans les bois, j’arrête le moteur, je sors simplement et je m’assois sur un rondin quelque part, juste pour réfléchir sur des choses, me retrouver seul.
Et pendant qu’il était assis là en train de réfléchir, il a dit: «Oui, vous savez, il y a quelques semaines, j’avais un... deux petites tourterelles qui faisaient des amusements et–et qui faisaient des culbutes, de petites culbutes l’une sur l’autre. Mais, vous savez, depuis que ma fillette était tombée malade, je suis allé demander à Dieu que s’Il la guérissait, je–je ferais quelque chose de spécial pour Lui, je Lui donnerais ces petites tourterelles. Alors, elle a été guérie, je Lui ai donc donné les tourterelles. Et ensuite, quand ma chère, douce et tendre femme était tombée si gravement malade cette nuit-là que le médecin avait dit qu’elle ne pouvait plus vivre... Je me suis frayé un chemin à tâtons vers ma petite maison en adobe, je me suis agenouillé là au coin... et.-.et.-.et alors que la brise chaude de Palestine descendait dans les champs, les déserts, j’ai fait une promesse à Jéhovah que s’Il la guérissait... Il ne me restait qu’une seule chose, et c’était un.-.un.-.un agneau.»
20 Vous savez, vous avez vu des aveugles dans la rue être conduits par des chiens. A l’époque, c’étaient des agneaux qui les conduisaient. Il a donc promis à Dieu qu’il Lui donnerait cet agneau-là. Et le lendemain, quand il montait l’offrir au temple, au lieu où on brûlait le sacrifice, son agneau, le sacrificateur lui a dit, il a dit: «Où vas-tu, aveugle Bartimée?»
Il a dit: «Je vais offrir mon agneau.»
Il a dit: «Aveugle Bartimée, tu ne peux pas faire cela.» Il a dit: «Je vais te donner de l’argent pour acheter un agneau à offrir chez les marchands là-bas.»
Il a dit: «Mais, sacrificateur, je n’avais jamais dit à Dieu que je Lui offrirais un agneau, je Lui avais dit que je Lui donnerais cet agneau-ci.» Il a donc dit: «Je dois offrir cet agneau.»
Il a donc dit: «Tu ne le peux pas, aveugle Bartimée. Cet agneau-là, ce sont tes yeux.»
Il a dit: «Dieu pourvoira à un autre agneau pour les yeux de l’aveugle Bartimée.»
Il pensait à cela. «Eh bien, je n’ai plus de pigeons pour attirer l’attention des touristes et des passants. Je n’ai point d’agneau pour me conduire à la maison. Je dois simplement compter sur la miséricorde des gens.»
21 Et son esprit est remonté un peu plus loin. Il s’est souvenu du jour où sa maman, alors qu’il était un petit garçon, avait l’habitude de l’appeler, disant: «Bartimée!»
«Oui, maman.»
Et elle venait, le prenait sur ses genoux, le berçait et disait: «Mon tendre petit garçon, j’aimerais te raconter une histoire, qui est une histoire vraie. Bar–Bartimée, il y a des années, le Grand Dieu Jéhovah avait conduit notre peuple vers ce pays-ci. Il nous l’a donné par la promesse au travers du père Abraham. Quand notre peuple était en Egypte, dans la servitude, Dieu était descendu, le Grand Jéhovah.»
«Et Il a envoyé sur terre un prophète du nom de Moïse. Et ce Moïse était un homme puissant. Et Jéhovah était certainement avec ce prophète. Et il a accompli des miracles et des prodiges. Il a fait sortir les enfants d’Israël hors d’Egypte. Il les a amenés dans le désert. Et là, Jéhovah les a nourris de la manne du ciel. Il leur a donné l’eau du rocher. Et quand ils tombaient malades et qu’ils étaient nécessiteux, Il pourvoyait à l’expiation pour leur maladie. Alors, les boiteux, les estropiés, les aveugles, ou je ne sais quoi qui clochait chez eux, ils regardaient cette expiation et vivaient. Mais, hélas! cela est passé. Le sacrificateur nous raconte que Jéhovah n’est plus comme cela aujourd’hui. Il–Il ne fait plus cela. Il l’a seulement fait dans le passé pour ces gens-là, mais Il ne le fait plus.»
N’est-ce pas là un type d’aujourd’hui? Ils contredisent tout cela. Ce n’est pas Jéhovah qui s’est éloigné. C’est le peuple qui s’est éloigné.
22 Il entend du bruit. Voici quelqu’un passer. Qui est-ce? Il entend un petit âne passer au trot, et la chose suivante, vous savez, alors qu’il passe, un messager passe devant le... Il a un petit âne, il peut entendre les pieds nus par terre. Il a dit: «Seriez-vous...» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
«Oh! la la!... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... Donnez-moi, à moi un aveugle, une pièce de monnaie. Je suis dans le besoin aujourd’hui. J’ai une famille. Voudriez-vous m’aider?»
«Ôte-toi de mon chemin. Je suis serviteur de Jéhovah. J’ai une meilleure occupation plutôt que de perdre du temps avec vous les mendiants aveugles aujourd’hui. Je suis en route pour la réunion de ce matin de l’association des prédicateurs, ici à Jéricho ; en effet, il y a un Fanatique qui vient ici aujourd’hui. Et nous avons appris qu’Il cause beaucoup d’agitation quand Il arrive, et nous allons former un comité pour arrêter ce non-sens avant que cela se répande dans la contrée. Ôte-toi de mon chemin, mendiant!»
«Pardonnez-moi, gentil sacrificateur, votre sainteté, votre révérence. Je ne voulais pas interrompre le serviteur de Dieu.» Il entend le petit âne s’éloigner au trot.
23 Puis, il rassemble ses–ses vieux habits en lambeaux et s’assoit de nouveau. Il continue sa méditation. Il dit: «Vous savez, quand ce petit âne allait en trottant, il est allé là, là sur ces mêmes routes pavées qu’Elie et Elisée ont empruntées, cette même route, bras dessus bras dessous ensemble, descendant pour traverser le Jourdain. Ma mère m’avait raconté cette histoire-là. Oh! Si seulement j’avais vécu à l’époque... Si seulement je pouvais m’asseoir ici. Si seulement Jéhovah avait un autre prophète comme cela aujourd’hui, je courrais dans la rue à leur passage et je dirais: ‘Ô grands et honorables prophètes de Dieu, voudriez-vous dire un... dire un–un petit mot de prière pour moi, un aveugle?’ Et je crois que si ces prophètes oints avaient imploré Jéhovah, Jéhovah m’aurait fait recouvrer la vue. Et pensez donc,» alors qu’il se posait des questions, réfléchissant, «ils sont passés à un jet de pierre.»
24 «Maintenant... Mais, oh! chaque fois qu’on m’amène au temple, on me répète que tous les jours des miracles sont passés ; que cela n’arrive plus. Je me demande ce qui est arrivé à Jéhovah. Je sais qu’Elie est parti, et Elisée aussi, mais Jéhovah est-Il parti?» Il raisonne dessus. Vous savez, il y a toujours une raison pour ces raisonnements.
Et il réfléchit encore: «Juste à environ quelques... à environ cinq cents yards [457 m] d’ici un peu plus loin, ce vaillant guerrier Josué, le prophète, le conducteur, descendait vers le Jourdain ce matin-là, alors que le vieux Jourdain, au mois d’avril, de grosses vagues déferlent ; toute la vallée était inondée depuis la Judée, la neige ayant fondu dans des montagnes. Et ce vaillant guerrier descend là à ce Jourdain et il a dit: ‘Convoque tout le peuple. Vous allez voir la gloire de Dieu.’ Oh! a-t-il dit, si seulement je pouvais vivre à l’époque! Ça aurait été merveilleux, n’est-ce pas, si je pouvais vivre à cette époque-là, et que j’avais pu rencontrer Josué!
«Et alors, quand il a pris... le sacrificateur a placé la Parole en premier, c’était l’Arche, et il s’est dirigé vers le Jourdain, ce même Jourdain qui mugit juste ici derrière, à une courte distance, a frayé une voie, il a formé des murs, et mes anciens pères ont traversé le Jourdain à sec. Mais, oh! ce jour est passé: Jéhovah n’est plus comme ça, me dit-on. Il ne guérit plus. Il n’a plus de prophètes et autres. Il ne pourvoit plus à pareilles choses.» Oh! Quelle erreur!
Quelle erreur commettent encore les gens en ayant de telles pensées! Jéhovah ne change pas. La Bible déclare qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Dieu a fait cela dans le passé. Il est tenu de faire face à la même chose dans les mêmes conditions.
25 Alors, pendant qu’il était assis là... Et peu après, il fait un peu froid et il rentre. Le soleil brille sur lui là. Il baisse la tête et se met à réfléchir encore: «Vous savez, maman avait l’habitude de me lire les Ecritures. Et elle me parlait de tout ce qu’elle lisait sur Josué et cette grande armée de gens. Et certains de mes pères avaient été là. Ils avaient campé juste là, peut-être donc, si le vent soufflait dans cette direction-ci, comme on disait ce matin, ils campaient juste en dessous ici, juste à une courte distance. Et les murs mêmes près desquels je me tiens, ses ruines maintenant, étaient tombés après que les gens avaient marché autour de cela. Quel Grand Jéhovah Il a dû être à l’époque! Mais Il ne l’est plus aujourd’hui.»
C’est ce qui se passe aujourd’hui. Nous enseignons toujours ces choses. Quelle grande Pentecôte c’était! C’était une grande chose quand Pierre et Jean passaient par la porte appelée la Belle, un homme fut guéri. A quoi sert un Dieu d’hier s’Il n’est pas le même aujourd’hui? A quoi sert le Dieu de Moïse s’Il n’est pas le même aujourd’hui?
26 Cela me rappelle un homme avec un oiseau dans une cage. Il va et lui donne la meilleure nourriture qu’il peut donner pour fortifier les os, cela donne des os très durs à ce canari. Cependant, il l’enferme dans une cage de sorte qu’il ne peut pas s’envoler. A quoi sert-il de lui donner la bonne nourriture orthodoxe si vous le gardez enfermé? C’est ça le problème aujourd’hui. On envoie des prédicateurs aux séminaires, ils deviennent très orthodoxes, on essaie de leur donner la meilleure nourriture, mais ils ont peur de sortir dire aux gens que leur foi peut les libérer, les guérir et les rétablir, que Jéhovah est toujours le même. A quoi sert-il d’étudier la Bible? A quoi sert-il de prêcher l’Evangile si vous gardez les gens dans une cage? Frère, chacun de vous ce soir peut prendre la Parole du Dieu vivant et partir d’ici tout aussi libre qu’un oiseau échappé d’une cage. Amen.
A quoi sert un Dieu qui a guéri un homme à la porte appelée la Belle s’Il n’est pas le même Dieu ce soir, s’Il a perdu Sa puissance, si Sa Parole n’est pas vraie ce soir comme autrefois, Ses promesses ne sont pas vraies...
27 Oh! J’étais... Mon indignation de juste fut consumée l’autre soir, alors que je suivais cet enseignant catholique qui a une audience au niveau national ; il disait que cette Bible n’était rien, mais qu’essayer de vivre par Elle, c’était comme patauger dans un tas de flaques boueuses. C’est du blasphème! Et il a dit: «Qu’était-ce?» Il a dit: «Peut-être que Dieu s’était proposé au Ciel qu’Il allait vous envoyer une Bible, Il a donc pris des anges, Il a rédigé Cela et Il a demandé à un petit ange de se présenter aux portails de la Gloire, de descendre vous La remettre.» Il a dit: «C’était un credo catholique.» Il a dit: «Les apôtres et Marc, Luc, Jean n’ont jamais rien écrit. C’est juste un tas d’histoires qui ont été écrites. Et la moitié de cela était vrai, et des histoires ont été racontées, et tout...» Je crois que chaque Parole est solennellement la Vérité de Dieu. Oui, absolument. Et je crois, il a dit: «Maintenant, la Parole était une espèce d’histoire de ouï-dire de l’Eglise catholique il y a des années.» Il a dit: «Mais l’église progresse aujourd’hui.» Si l’Eglise catholique est la véritable église de Dieu et qu’elle ne s’aligne pas sur Sa Parole originelle, si c’est la Parole de Dieu, alors il y a quelque chose qui cloche quelque part.
La Bible déclare: «Malheur à celui qui retranche Quelque Chose d’Ici ou qui ajoute quelque chose à Cela. Il sera retranché du Livre de la Vie.»
28 Si Jésus-Christ... Ce ne sont pas les catholiques seuls qui retranchent cela, mais les protestants aussi. Assurément qu’ils le font. Ils découpent cela en cube, ils découpent cela, et: «Ceci est inspiré, et cela ne l’est pas ; et ceci est...» pour faire concorder cela à vos doctrines insignifiantes. Frère, chaque Parole de Cela est inspirée, et chaque Parole de Cela est tout aussi valable aujourd’hui qu’Elle l’était le jour où Jésus avait scellé le... cela... le Livre là avec Son Sang au Calvaire. Chaque promesse est oui et amen pour le croyant.
29 Bartimée était assis là, regardant çà et là. Il a directement pensé: «Vous savez quoi? Peut-être pas à deux cents yards [182,8 m] de ce côté-ci, le vaillant guerrier Josué marchait un jour, et quand il s’est approché du mur, à une portée d’arc depuis le mur, il a regardé, il a vu un Homme debout avec une épée dégainée. Et Josué, étant un guerrier, a dégainé son épée. Il est allé à Sa rencontre. Et il a dit: «Es-Tu des nôtres ou es-Tu de nos ennemis?»
Et cet Homme a dit: «Non. Je suis le Capitaine de l’Armée de l’Eternel.» Il s’est dit: «Pensez-y, Il était à deux cents yards [182,8 m] de là où je suis maintenant même.» Peu savait-il que ce même Capitaine franchirait la porte dans quelques minutes. Amen.
30 Vous savez, quand vous pensez à Dieu, quand vous gardez votre esprit... Oh! Vous pensez... Vous restez assis dans l’église et vous pensez à tout le reste sauf à Dieu ; comment vous allez faire votre lessive ; ce que vous allez faire au bureau demain ; comment vous allez faire ceci, cela ou autre.» Détachez votre esprit de cela et pensez à Dieu. La Bible déclare: «Que tout ce qui est vertueux et digne de louange fasse l’objet de vos pensées.»
«Je me demande si je serai appelé dans la ligne de prière.» «Je me demande si Dieu parlera...» N’ayez pas ce genre de pensées négatives. Ne laissez pas cela traverser votre esprit. Faites que chaque parole soit positive et que chaque pensée soit positive. Voyez-vous cela?
Vous savez, les disciples, après la résurrection de Jésus, Cléopas et son ami étaient en route vers Emmaüs, et alors qu’il allait, parlant de Jésus, en pensant à Jésus, c’est alors qu’Il est directement sorti du buisson et qu’Il a marché avec eux pendant qu’ils y pensaient, pendant qu’ils méditaient. C’est ce que Jésus fait aujourd’hui. Dans mon coeur, dans mon esprit, tout au long de la journée, laissez-moi marcher avec le Seigneur, à la Lumière de Sa Parole, avec la Colombe céleste ; laissez-moi avoir communion toute la journée.
31 L’aveugle Bartimée était assis là, méditant: «Oh! Si seulement j’avais vécu à l’époque où le Grand Capitaine de l’Armée de l’Eternel s’était tenu à côté du prophète Josué avec une Epée dégainée! Et Josué, le vaillant guerrier, a jeté son bouclier, il a jeté son casque, il a laissé tomber son épée par terre, il a couru et s’est prosterné à Ses pieds. Si seulement j’avais vécu à cette époque-là! Mais hélas, le sacrificateur dit que les jours des miracles sont passés. Nous ne pouvons plus avoir de guérison ni rien. C’est une chose passée.»
Tout d’un coup, on dirait le bruit qui se produit à la sortie des élèves de l’école, le bruit le plus horrible émanant de la ville. Certains parmi eux criaient: «Ôte-Le. Dis donc, Toi, Guérisseur divin, nous avons Mr le rabbin Jones par ici. Pourquoi ne viens-Tu pas le guérir? Accomplis un miracle ici et laisse-nous te voir accomplir cela. Oh! Tu as fait cela à Capernaüm, Tu disais... Tu l’as fait ici et là. Fais-nous voir cela ici. Tiens! Toi qui ressuscites les morts, nous avons un cimetière plein de Juifs morts par ici. Viens les ressusciter tous, si Tu es le Christ.»
Bartimée a dit: «Ecoutez ça. A qui s’adressent-ils?»
Et d’autres disaient: «Hosanna au Roi! Gloire à Dieu dans les lieux très hauts. On Lui jetait des fruits trop mûrs. C’était le conglomérat le plus terrible des bruits, certains sifflaient et se moquaient. Les autres disaient: «Hé, Toi qui peux détruire le temple et le rebâtir dans quelques jours, ne veux-Tu pas faire entendre cet homme, lui faire recouvrer son ouïe? Reviens ici et accomplis un miracle.» Le même vieux démon qui était... qui avait rencontré Jésus et avait dit: «Accomplis un miracle ici devant moi, ordonne que ces pains... que ces pierres deviennent du pain, et laisse-moi Te voir accomplir quelque chose», le même démon vit encore aujourd’hui.
32 Jésus, avec Son visage tourné vers le Calvaire, sortait de la ville... Alors qu’Il s’avançait doucement, Sa tête tournée vers les cieux, conduisant une foule de gens, les apôtres faisaient de leur mieux, ces douze petits hommes, pour retenir les gens et stopper les fruits trop mûrs et autres qu’on Lui jetait. Sa tête était tournée vers le Calvaire, Son coeur penché de ce côté-là, avec toutes les responsabilités du monde, chaque péché devait être placé sur Lui. Il devait entrer dans une agonie telle que le sang et l’eau devaient se séparer dans Son corps et en couler. Il devait faire cela. Il n’était pas obligé de le faire, mais Son amour Le contraignait de le faire. S’Il ne l’avait pas fait, nous serions perdus. Ses ennemis seraient perdus, mais Il aimait même Ses ennemis. Avec tout ça dans Son grand coeur, Il s’avançait lentement. Pendant qu’Il descendait, je peux bien Le voir.
33 Bartimée a dit: «De quoi parlent-ils?» D’abord, quelqu’un s’est heurté à lui et a dit: «Hé», il l’a heurté de son pied, il a dit: «Que fais-tu, assis ici? Tiens! Toi, là, Toi, avec Ta tête en l’air, Toi qui guéris les malades, laisse-moi m’entretenir un peu avec Toi.»
Bartimée dit: «Que... ‘Qui guérit les malades’...? Un... Gentil monsieur, que quelqu’un me dise qui passe? Pourquoi tout le... pourquoi tout ce bruit? Je suis un aveugle. Pouvez-vous voir?» Quelqu’un le tape de ce côté-ci. «Euh–euh... qui est-ce? Qui–qui passe?» Alors, quelqu’un d’autre le tape, finalement on le fait tomber. Il ramasse son vieux manteau en lambeaux, il se met à tâtonner, il s’en revêt.
34 Et finalement, une gentille dame a posé ses mains sur lui. Elle a dit: «Gentil monsieur, homme aveugle, personne ne semble faire cas de toi. Peut-être que tu ne comprends pas, que le Grand Prophète de Nazareth passe.»
«Qui est ce Prophète de Nazareth?»
«Eh bien, a-t-elle dit, monsieur, ne sais-tu pas? C’est Lui qui a été promis par Moïse. Et Esaïe a dit que quand Il viendrait, les aveugles verraient et les boiteux sauteraient comme un cerf, et tout, et Il soutient être cette Personne. Tu ne Le connais pas?»
«Non. Où est-Il?»
«Il est bien en train de passer.»
«Ô Jésus, Toi, Fils de David.» Alléluia! La foi s’était ancrée. «Aie pitié de moi.»
«Oh! a-t-elle dit, tu ne peux pas obtenir qu’Il t’entende, il y en a trop qui passent. Il est à une bonne distance de la route maintenant. Tu ne peux pas obtenir qu’Il t’entende, mais aie foi en Dieu. Tu sais que j’ai entendu parler d’un... Il y a quelques jours, une femme avait touché Son vêtement, puis elle avait fui dans l’assistance. Et tu sais quoi? On me dit qu’Il avait même senti cela. Sa foi L’avait touché. Et tu sais, j’ai aussi appris qu’un homme du nom de Philippe était venu vers Lui, il avait amené un homme du nom de Nathanaël, Il a même su qui il était. Il a même su où était le poisson qui avait une pièce d’argent dans sa bouche. Et Il est allé payer l’impôt pour calmer les autres afin qu’Il puisse prêcher.»
«Tu veux donc me dire, madame, que peut-être ma foi... J’ai la foi. J’étais en train de méditer sur la Bible. J’ai la foi. Ô Jésus, Toi, Fils de David... Jéhovah Dieu, que ma foi Le touche. Ô Jésus, Fils de David, aie pitié de moi. Aie pitié de moi.»
L’un d’eux a dit: «Oh! Fais taire cet homme-là, il se tient près... Il est déjà trop avancé sur la route.» Ce n’est pas trop loin pour Lui. Il n’est jamais trop éloigné pour ne pas être touché.
35 «Ô Jésus, Toi, Fils de David, aie pitié de moi». Alors, la foi de ce mendiant aveugle arrêta Jésus en plein milieu de la route.
Il s’arrêta, se retourna: «Juste un instant.» Il a entendu d’où cela venait, là loin derrière, Il a dit: «Faites-le venir ici.» Amen. J’aime ça. «Faites-le venir ici.» Oh! la la! [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Jésus s’est simplement arrêté sur Son chemin vers le Calvaire. Si la foi de ce mendiant aveugle L’a arrêté sur Son chemin vers le Calvaire, à combien plus forte raison votre foi L’arrêtera-t-elle ce soir alors qu’Il cherche à atteindre votre coeur?
Alors, Il s’est retourné. Il a dit: «Ta foi t’a sauvé, recouvre ta vue.» Il s’est retourné et Il a continué. Qu’était-il arrivé? Dieu avait pourvu à un Agneau pour les yeux de l’homme aveugle. Dieu a pourvu à l’Agneau pour les yeux de l’aveugle Bartimée.
Ce même Agneau est pourvu ce soir pour vous. Il est pourvu pour tout ce dont vous avez besoin. Et Il passe par ici. Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de vos infirmités. Prions.
36 Père céleste, alors que les gens, encore aujourd’hui, après deux mille ans d’enseignements bibliques, continuent à tâtonner dans les ténèbres profondes, les coeurs tout couverts de choses du monde... Et ce soir, le monde entier est dans le chaos. Et Tu es ici, juste parmi nous, toujours vivant. Tu ne mourras jamais. Tu es mort une fois pour ôter le péché, mais Tu es ressuscité et Tu es vivant aux siècles des siècles. En effet, Tu vis, Tu as donné la promesse que nous pouvons aussi vivre en T’acceptant et en croyant en Toi.
Je prie ce soir, Bien-Aimé Seigneur Jésus, en ce moment de clôture, sachant cela, que peut-être nous ne savons pas quand nous nous reverrons, je Te prie d’être miséricordieux ce soir. Et peut-être qu’il n’y a pas un homme aveugle ici, une femme aveugle, mais il y en a peut-être qui sont aveugles à Ta Présence ici, leurs âmes sont emportées par une espèce de théologie faite de main d’homme. Et en ce grand jour, Tu as permis que ceci se passe. Tu as dit: «Il arrivera un temps où ça ne sera pas la disette juste du pain et la soif de l’eau, mais d’entendre la Parole de Dieu ; les gens iront çà et là La cherchant. Et nous avons vécu jusqu’à voir ce jour-là, où quelqu’un dit: «C’est par ici...» Un autre dit: «C’est par là...» Mais nous sommes reconnaissants, Seigneur, de ce que Toi, Tu as dit: «Je suis le Chemin.» Et si Tu es le Chemin, alors Tu es (au temps présent) ici maintenant pour prouver que Tu es le Chemin. Non pas les doctrines d’une quelconque église ou d’une théologie, ou une quelconque dénomination, mais Tu es le Chemin.
Assurément, Père, les rues devraient être bondées de gens maintenant même pour entendre et voir le Seigneur Jésus ressuscité venir dans Sa grande puissance et faire ces choses qu’Il a dit qu’Il ferait. Mais Tu nous as donné ceux-ci. Tu as dit: «Nul... Vous ne pouvez pas venir, et vous ne viendrez pas. Vous avez des yeux, mais vous ne voyez pas ; des oreilles, et vous n’entendez pas. Esaïe l’a bien dit à votre sujet.» Mais ceux qui sont venus, je Te prie, Père, de faire entrer tout un chacun d’eux dans Ton Royaume. Scelle-les avec la promesse du Saint-Esprit.
37 Pendant que nous avons nos têtes inclinées, je me demande s’il y a quelqu’un ici ce soir, à la fin de ce réveil, après avoir vu le... pas une nouvelle doctrine de l’église, non pas voir quelqu’un qui vient et qui cherche à présenter une espèce de doctrine ou une théologie, mais voir le Seigneur Jésus Lui-même se lever parmi vous et confirmer Sa Parole comme Il a dit qu’Il le ferait... Et vous êtes sans Christ, sans Dieu, et sans le Saint-Esprit ce soir, et vous avez levé la main par... vers Dieu, et en faisant cela, pour dire: «Je... Ô Dieu, s’il Te plaît, souviens-Toi de moi maintenant pendant que mon coeur bat encore, pendant que j’ai encore la vie et pendant que le Saint-Esprit me dit que j’ai encore une chance, si seulement j’accepte cela. Et je lève la main vers Toi et j’accepte cela.» Allez-vous faire cela en levant la main?
Que Dieu te bénisse, fils. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, petit homme. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, là tout au fond. Que Dieu vous bénisse, là-haut au balcon. Que Dieu vous bénisse, ici en bas, au fond, jeune homme. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Levez la main. Que Dieu vous bénisse, jeune fille, par là. C’est bien.
Rappelez-vous, juste au moment où vous levez discrètement votre main, la Parole de Dieu est vraie, juste en ce moment-là, Dieu vous donne la Vie Eternelle. Vous ne périrez jamais. Il l’a dit. «Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a (c’est au présent) la Vie Eternelle... Il ne viendra pas en Jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Si vous êtes sincère là-dessus, du fond de votre coeur, et que vous levez la main, Dieu y est tenu. Si vous croyez que je suis Son serviteur, et que je suis en contact avec le monde spirituel, qui est le Saint-Esprit, si vous croyez cela, écoutez mes paroles, car c’est la Bible que je vous cite.
38 Quelqu’un d’autre maintenant, qui aimerait lever la main? «Ne m’oublie pas...» Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, jeune fille. Que Dieu vous bénisse, vous là derrière, monsieur. Allez-vous faire de même ici, madame? Merveilleux. «Ne m’oublie pas, ô doux Sauveur...» Que Dieu vous bénisse, frère, là derrière, le... «Ecoute mon humble cri, ô Jésus, Toi, Fils de David... Pendant que Tu appelles les autres, ne m’oublie pas.»
On m’a dit hier soir qu’ici de ce côté, il y avait un homme avancé en âge, de soixante-dix ou quatre-vingts ans, assis là derrière. Le médecin lui avait donné une piqûre ; cela l’avait paralysé, d’une paralysie tremblante. Certains de ses bien-aimés l’avaient amené ici pour qu’il suive le service. Pendant qu’il était assis là, après la fin du service, sous la forte onction du Saint-Esprit, le frère avancé en âge a fermé les yeux et est allé à la rencontre de Dieu. Qui sera le prochain? Je ne sais pas. Ça peut ne pas être un vieil homme. Ça peut être un jeune homme, un garçon ou une jeune fille. Je ne sais pas.
39 Si vous n’êtes pas en ordre avec Dieu, voulez-vous lever la main maintenant? Quelqu’un qui ne l’a pas fait. Levez la main. Il y en a eu vingt ou trente. Levez votre... Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un... Que Dieu vous bénisse, monsieur. Quelqu’un d’autre, juste... J’ai l’impression d’être contraint par le Saint-Esprit à traîner un peu plus longtemps. Quelqu’un d’autre? Une dame là dans un fauteuil, que Dieu vous bénisse, soeur. C’est merveilleux. Il voit votre main, même si moi, je ne la vois pas ; Lui la voit. Là-haut au balcon, derrière la vitre là-haut, quelqu’un là-bas qui lèverait la main pour dire: «Ô Dieu, sois miséricordieux»? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Je vois votre main là-haut. Quelqu’un d’autre? «Sois miséricordieux envers moi, Dieu bien-aimé. Frère Branham, si jamais je ne vous revois de ce côté-ci de la Gloire, par la grâce de Dieu, j’ai l’intention de vous serrer la main là. Je viens sur base de la Parole de Dieu. Ce que vous avez dit à ce sujet ce soir: Il est disposé à me recevoir, Il ne veut pas que je périsse ; et je ne peux pas lever la main sans que premièrement Dieu me dise de le faire, car nul ne peut venir si le Père ne l’attire. Sur base de ma conviction maintenant, que tu as raison, que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, qu’Il est mort pour moi, qu’Il est ressuscité pour ma justification et qu’Il vit ici avec moi, je veux qu’Il voie ma main. Je L’accepte maintenant du fond de mon âme comme mon Sauveur et je désire que le baptême du Saint-Esprit vienne sur moi.» Très bien. Encore un autre? Très bien. Prions.
40 Maintenant, Père céleste, Tu as vu chaque main. Vingt ou trente mains, peut-être, je ne sais pas. Mais il y a une seule chose que je sais avec certitude, c’est que chaque main qui a été levée, un ange a noté cela, ou d’une façon ou d’une autre, c’est enregistré dans la Gloire ce soir. Satan est vaincu pour commencer. Une seule âme vaut dix mille mondes. Et ils ont levé leur main dans la sincérité de leur coeur. Ils croient que Tu es le Fils de Dieu, et ils veulent que Tu leur fasses miséricorde. Tu as dit dans Ta propre Parole: «Nul ne peut venir si le Père ne l’attire. Tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi et aucun d’eux ne sera perdu. Personne ne peut les arracher de Ma main. Mon Père Me les a donnés. Nul ne peut les arracher. Je lui donnerai la Vie Eternelle et Je le ressusciterai aux derniers jours.»
Petits garçons, gens d’âge moyen, jeunes hommes, hommes avancés en âge, jeunes femmes, femmes avancées en âge, ils ont ensemble levé les mains. Ils sont concernés, Seigneur, sachant qu’ils doivent quitter ce monde, et ils veulent qu’on se souvienne d’eux dans Ton Royaume. Comme le voleur à la croix a dit: «Souviens-Toi de moi, Seigneur, quand Tu viendras dans Ton règne.» Et Tu lui as en fait dit: «Aujourd’hui, aujourd’hui Tu seras avec Moi dans le paradis.» Merci, Père, pour tout le monde. Je Te prie de les garder dans la paume de Tes mains, par le Sang versé. Et un glorieux jour, quand il n’y aura plus de jour ni de nuit, car tout sera jour, là... le soleil ne brillera jamais, car l’Agneau sera la Lumière. Il n’y aura pas de ténèbres. Puissé-je être à mesure de serrer la main qui a été levée ce soir, quand nous contemplerons Celui qui nous a sauvés par Sa grâce. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.
41 Oh! Je ne sais comment vous vous sentez. Je... Si je suis un hypocrite, je.-.je.-.je ne le sais pas. Je suis honnête...?... mais je–je me sens, on dirait, soulagé... Je me sens donc très bien. Vous sentez-vous ainsi? Voyez? Le Seigneur a ramené à la maison des pécheurs repentants. C’est le plus grand miracle qui puisse jamais s’accomplir. Hommes et femmes qui parcourent ces rues ici, faisant des choses qui–qui ne devraient pas se faire... Et puis, quand ils viennent et donnent leurs coeurs à Dieu, cela change toute leur attitude, c’est un miracle. C’est comme prendre un cochon et en faire un agneau. Vous parlez d’un miracle: c’est plus glorieux qu’un malade qui est guéri ou n’importe quoi.
Maintenant, à vous les jeunes convertis, allez-vous me promettre qu’aussitôt le service de guérison terminé, vous vous approcherez, vous vous agenouillerez à l’autel et vous rendrez grâces à Dieu de vous avoir sauvés? Et je crois que tout à l’heure, Il vous donnera le baptême du Saint-Esprit.
42 Je ne dis pas qu’Il le fera ce soir, mais maintenant, pensons-y donc. Quel... Débarrassons-nous tout simplement–tout simplement de toutes les superstitions maintenant. S’Il est ressuscité d’entre les morts, alors, Il est tenu d’être avec nous ce soir, car Il a dit: «Je serai avec vous, toujours, même jusqu’à la fin du monde.» L’a-t-Il dit? S’Il l’a dit, Il le fera. C’est vrai.
Maintenant, qu’avez-vous fait il y a quelques instants en levant la main? Vous avez perdu votre vie. Quand vous avez levé la main... «Celui qui perd sa vie la retrouvera.» Est-ce vrai? «Mais celui qui garde sa vie la perdra.» Disons tous cela ensemble: «Celui qui perd sa vie à cause de Moi la retrouvera. Celui qui garde sa vie la perdra.» N’êtes-vous pas content de ce que vous avez perdu la vôtre? Et maintenant, Dieu gardera votre vie ; vous avez la Vie Eternelle. Grâces soient rendues à Dieu. Très bien. Je vais retourner à l’estrade pour prier pour les malades.
43 Combien aimeraient voir le Seigneur Jésus? Faites voir les mains. Certainement. Combien croient qu’Il est ressuscité d’entre les morts? Eh bien, comment pouvons-nous alors Le voir, s’Il est ressuscité d’entre les morts? Comment pouvons-nous Le voir? Comment a-t-Il dit que nous pouvions Le voir? Or, Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez (Est-ce vrai?), car Je serai avec vous, en vous jusqu’à la fin du monde.» Comment alors voyez-vous Jésus? Les uns dans les autres. «Vous êtes des Epîtres écrites.» Est-ce vrai? Christ est en nous. Oh! C’est merveilleux, n’est-ce pas? Oh! Ce–c’est incomparable ; c’est merveilleux. C’est au-delà de la pensée que Christ...
44 Une fois, Il a voyagé au-dessus des enfants d’Israël sous forme de la Colonne de Feu. Quand Il s’installait sur la montagne, rien ne pouvait même toucher la montagne, cela devait être tué. Ensuite, Il est descendu et Il a vécu dans Son Fils. Et Il a vécu là. L’homme pouvait Le toucher, mais Il était né d’une vierge. Il a donné Sa Vie, Son Sang, afin que les gens nés par le sexe puissent retrouver la communion et avoir communion avec Lui, et être une partie de Lui. C’est donc Dieu, pas dans la Colonne de Feu, pas Dieu en Christ, C’est en vous. Tout ce que Dieu était, Il l’a déversé en Christ. Est-ce vrai? En Lui habitait la plénitude de la Divinité corporellement. Et tout ce qui était en Christ, Il l’a déversé dans l’Eglise. Amen. Voyez-vous?
Maintenant, Son Esprit... Il a dit: «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres de Mon Père, quand bien même vous ne Me croyez pas, croyez les oeuvres.» Et c’est pareil ce soir, si un homme fait les oeuvres de Dieu, Il est donc de Dieu. S’il ne fait pas les oeuvres de Dieu, alors il n’est pas de Dieu. Que le Seigneur vous bénisse donc pendant que nous prions pour les malades.
45 L’aimez-vous? Chantons un petit choeur: Crois seulement ; maintenant, en effet, j’ai prêché. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
... crois, tout est possible,
Seigneur, je...
Bien-Aimé Père céleste, je Te prie, au Nom de Jésus, d’accorder la guérison à chacun de ceux-ci, qu’ils soient rétablis pour Ta gloire. Je prie au Nom de Jésus, Seigneur...?...
Tout est possible, Seigneur, je crois.
...10, 11, 12, 13, 14, 15...
Maintenant, je crois, maintenant, je crois,
Tout est possible, oh! maintenant, je crois ;
Maintenant je crois, maintenant je crois,
Tout est possible, oh! maintenant, je...
46 Tous les quinze? Quoi? Quel...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... Il a promis. Je ne crois pas qu’il y ait dans la ligne quelqu’un que je connaisse. Ils me sont tous inconnus. Vous m’êtes tous inconnus. Je ne vous connais pas, si je ne sais rien à votre sujet, levez la main. Tout au long de la ligne...?... Qu’en est-il de là d’un bout à l’autre de la... dans... Que dites-vous, Frère Moore? Où est-il? Oh! Frère Crouse. Oui, monsieur, je le connais. Je suis désolé, Frère Crouse, je ne vous ai point vu là debout. C’est en ordre. Très bien. Merci, Frère Moore. Je n’avais pas l’intention de commettre une faute. Je–je n’essaie pas... Je commets beaucoup de fautes. Ce n’est pas intentionnellement. Mais je disais: «Il n’y a dans la ligne personne que je connaisse.» Je n’avais point reconnu frère Crouse là debout. Je connais certainement frère Crouse.
47 Maintenant, combien dans l’assistance, là en haut, où que vous soyez, aimeraient que Dieu les guérisse ce soir? Levez la main. Vous n’avez pas de carte de prière, mais vous voulez que Dieu vous guérisse. Que Dieu vous bénisse. Regardez simplement les gens malades. Oh! Que Dieu te bénisse, chéri. Je–je–j’aurais voulu qu’il y ait quelque chose que je puisse faire. J’aurais sincèrement voulu qu’il y ait quelque chose que je puisse faire. Je–je–je ne le peux simplement pas. Je ne suis que votre frère. Si je pouvais descendre là et vous guérir, oh! que vos coeurs soient bénis, je–je formerais simplement une très longue ligne par ici et je dirais: «Je vais vous guérir. Je vais vous guérir.» Je–je–je le ferais pour tout le monde. Mais si Jésus se tenait ici, Il ne pourrait pas le faire. Il dirait: «Je l’ai déjà fait. Je l’ai déjà fait.» Voyez? Vous direz: «Ne croyez-vous pas cela?» «Qu’il vous soit fait selon votre foi.» Est-ce vrai?
Eh bien, si le Père Lui montrait quelque chose, Il dirait: «Le Père M’a dit ceci. Allez donc, et voyez cela s’accomplir.» Voyez? Voyez? Mais selon votre foi, si le Père ne Lui avait rien montré. «Qu’il vous soit fait selon votre foi.»
48 Donc, maintenant, regardez. Faisons donc... Nous avons beaucoup de temps, nous sommes en avance ce soir. Considérons donc ceci pendant quelques minutes. Je vais essayer de prendre toute cette ligne ici ce soir, et même plus si je le peux, afin de prier pour eux. J’aimerais que Dieu guérisse tout le monde là dans l’assistance.
Maintenant, représentons-nous donc maintenant. Nous sommes–nous sommes méthodistes, baptistes, nous sommes de toutes les différentes dénominations ici. Mettons-nous-y juste une fois pendant les quarante-cinq prochaines minutes, ou quoi que ce soit ; mettons-nous-y donc pendant quelques minutes et pensons à ceci. Maintenant, je vais regarder droit dans la Gloire...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] vous bénisse. Maintenant, si seulement vous attendez et–et que vous restez vraiment tranquilles et calmes... Gardez les petits enfants aussi tranquilles que possible. Continuez à regarder de ce côté-ci et à prier ; en effet, regardez, une fois que le Saint-Esprit frappe, chacun de vous Lui devient soumis. Voyez? Vous y êtes. C’est comme un grand souffle qui passe. [Frère Branham souffle.–N.D.E.] Et quand quelqu’un bouge, je peux le savoir.
49 «Oh! direz-vous, Frère Branham...» Oh! Oui. Jésus, une fois, quand Il est allé ressusciter la jeune fille morte, Il les a tous fait sortir de la maison. Il avait conduit un homme en dehors d’une ville, et ainsi de suite. Voyez? Il vous faut avoir du respect. Certainement, soyez tout aussi respectueux que possible maintenant pendant quelques instants.
Maintenant, veuillez faire venir votre premier patient...?... Est-ce le–l’homme ici, un jeune garçon? D’accord. Maintenant, soyez très respectueux. Juste un instant, que Ses bénédictions viennent. Maintenant, il y a un jeune homme qui se tient ici. Je ne l’ai jamais vu de ma vie, je pense. Il m’est un parfait inconnu. Est-ce vrai? Mais Dieu vous connaît, monsieur. Et moi, je ne vous connais pas. Tout ce que je sais, c’est que vous êtes juste un jeune homme ici debout. C’est tout ce que je sais. Maintenant, cet homme lève la main pour dire qu’il–qu’il ne m’a jamais connu. Je ne le connais pas. Alors, comment pourrait-il y... Comment quelque chose pourrait-il se passer si cela n’a pas été révélé? Eh bien, et si le Messie est le même? Et si cet homme qui est ici est un blasphémateur? Et s’il se tient ici, étant juste un–juste un hypocrite, et il se tient dans la ligne pour faire parade? Observez ce qui lui arrive. L’avez-vous vu s’occuper de cet homme hier soir? Savez-vous ce qui leur arrive? Beaucoup sont paralysés aujourd’hui et sont dans des hôpitaux psychiatriques et tout le reste pour avoir osé faire cela. Vous le savez. Vous le verrez ; Dieu parlera.
50 Et s’il est malade et qu’il a besoin d’assistance? Puis-je l’aider? Non. Jésus pourrait-Il l’aider s’Il se tenait ici? Non, pas plus que lui parler. Et si Jésus est ressuscité d’entre les morts et que moi, je peux m’abandonner à Lui, au Saint-Esprit, que ferait le Saint-Esprit s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement? La même chose qu’Il avait faite à la femme au puits: Il lui dirait ses problèmes.
Il dirait à l’homme ses problèmes, et ce pour quoi il est venu ici. Est-ce vrai? Alors, cela établira que le Jésus ressuscité vit dans Son Eglise. Est-ce vrai? C’est la preuve irréfutable de Sa résurrection.
Maintenant, jeune homme, j’aimerais simplement que vous regardiez de ce côté-ci pour vous parler juste un instant. Vous n’avez même pas à répondre. Voyez? Il y a beaucoup de gens autour de moi, derrière moi, et de ce côté-ci. Et maintenant, l’onction du Saint-Esprit est ici. Vous le savez. Et vous êtes un chrétien. Vous n’êtes pas un hypocrite, vous êtes un chrétien, ici debout devant moi, car aussitôt que je perçois votre esprit, il est le bienvenu. Voyez? Exact? Vous êtes un chrétien. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vu, je ne sais rien à votre sujet. Vous étiez... Nous sommes probablement nés à des endroits distants et peut-être que vous habitez ici. Et je–je ne vous ai jamais vu auparavant, mais Dieu vous connaît. Mais si Dieu, par Son Saint-Esprit, peut percevoir votre futur, comme Il l’a fait pour la femme au puits, et vous dire ce pour quoi vous vous tenez ici, alors, allez-vous Le recevoir et croire que ce n’est pas votre frère, que c’est le Seigneur Jésus qui se tient présent? Croirez-vous cela? Et accepterez-vous cela? Eh bien, que ça soit un problème d’argent, que ça soit la maladie, quoi que ce soit... Des problèmes spirituels, quoi que ce soit, Il vous l’accordera si vous le croyez, car Il l’a donc promis.
Maintenant, comme l’assistance entend encore ma voix, j’aurais souhaité que tout le monde voie ce que je vois. Une Lumière se meut entre moi et ce jeune garçon, et Il s’éloigne. Je vois le jeune garçon s’éloigner d’un lieu, ça doit être chez lui à la maison. Il est du sud, et il–il a un... Je vois on dirait du sang qui coule. Il a une maladie de sang. Il a un trouble d’estomac, il a un problème pour manger. C’est vrai. C’est exact. Cet homme ne vient pas d’ici non plus. Il vient de Macon, en Géorgie. Et c’est un prédicateur. Et son nom est Smith, et son prénom est Arthur. C’est vrai. Retournez chez vous en vous réjouissant et en louant Dieu, au Nom du Seigneur Jésus, pour votre guérison.
51 Croyez-vous? Ayez foi. Le Seigneur Dieu connaît toutes choses. Maintenant, cela devrait suffire pour chaque personne. Tout le monde, maintenant même, devrait être guéri en ce moment-ci alors que je vous déclare ce qui est la vérité. Je–je–je ne vous dis pas ce qui est faux. Je vous dis la vérité. Jésus connaît chacun de vous. Maintenant, prions encore.
Est-ce la patiente, la dame? Je ne vous ai jamais vue, madame, mais Dieu vous connaît, n’est-ce pas? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Avec... Maintenant, la raison pour laquelle je dis cela, ce n’est absolument pas de me croire comme Lui, mais croire qu’Il m’a envoyé. Or, je ne me suis jamais envoyé moi-même. C’est Lui qui m’a envoyé afin que je puisse vous aider. Vous êtes une femme, je suis un homme. Entre nous, il y a Dieu. Vous êtes Sa fille, je suis Son fils. Et puis ici, il y a quelque chose qui cloche chez vous, et Dieu m’a envoyé pour qu’Il utilise ma bouche pour vous dire quelque chose qu’Il veut que vous sachiez, afin qu’Il... Et puis, Il vous a annoncé la Parole, mais maintenant, afin que vous... En ce grand jour de science et tout, afin que vous sachiez qu’Il est réellement ressuscité et qu’Il est ici, vous croyez donc, n’est-ce pas, de tout votre coeur? Vous avez une seule chose, une maladie de nerf grave. Je vous vois parcourir la pièce: c’est la nervosité. Vous allez à la fenêtre, vous revenez, vous marchez dans une autre pièce, vous faites les cent pas, il y a quelque chose qui tombe quand vous... Oh! C’est une–c’est une affection de la vessie. C’est vrai. Je vois un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept fois que vous êtes allée pour guérir de cela, pour des interventions chirurgicales. Cela a échoué chaque fois. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ici pour vous guérir. Croyez-vous?
Bien-Aimé Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus, bénis cette femme qui se tient ici et puisse-t-elle partir guérie. Amen. Que le Seigneur soit miséricordieux envers elle.
52 Bonsoir. Juste pour vous contacter... Nous sommes inconnus l’un à l’autre, nous ne nous connaissons pas, mais Dieu nous connaît tous deux. Evidemment, vous portez des lunettes. Nous savons qu’il y a quelque chose qui cloche dans vos yeux. Vous aimeriez qu’on prie pour cela. Mais peut-être, en dehors de cela, il peut y avoir quelque chose qui cloche que vous aimeriez que je sache. Et s’il y a, et... Etes-vous conscient que ce que vous sentez maintenant est l’Esprit de Dieu? Maintenant, je sais qu’il y a quelque chose... Il y a un sentiment interne, pas externe. Vous ne sentez pas comme je mets ma main sur vous, mais à l’intérieur de vous, il y a quelque chose d’étrange qui se passe. N’est-ce pas vrai? En effet, cette Lumière est en train de s’établir tout autour de vous. Vous souffrez aussi des maux de tête. C’est vrai. Et je vous vois vous préoccuper d’un... c’est un–un–un jeune garçon, un enfant. C’est votre petit fils, on dirait qu’il est un retardé. Croyez-vous en Lui maintenant?
Ô Dieu bien-aimé, Toi qui as ressuscité Jésus d’entre les morts, je Te prie d’accorder ces bénédictions à cette femme qui se tient dans Ta Présence, dont la foi a parlé. Au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu soit miséricordieux envers vous, ma soeur.
53 Maintenant, ne doutez pas. Ayez seulement foi. Croyez simplement. J’essaie de m’abstenir de l’assistance aussi longtemps que possible. Vous avez une merveilleuse foi qui se meut là ce soir.
Puis-je parler à la femme juste un instant? Nous sommes inconnus l’un à l’autre, madame, nous ne nous connaissons pas, mais le Seigneur Jésus nous connaît tous deux... Et si aujourd’hui, s’il y a deux mille ans, la femme avait simplement quitté le puits, puis elle était entrée dans la ville où Jésus était, et elle avait dit: «Venez voir un Homme. Eh bien, Il m’a dit ce qu’était mon problème», et que vous alliez au puits, et que vous trouviez là le même Homme assis, ce serait merveilleux, n’est-ce pas? Eh bien, le monde dirait: «Oh! Mais Il est mort il y a des années», mais Il n’est pas mort, Il était Dieu, Il vit aujourd’hui ; juste le même aujourd’hui. Moi, je suis juste un pécheur sauvé par Sa grâce, sujet à commettre toutes sortes d’erreurs et à avoir des hauts et des bas. Oh! la la! Tout va mal avec moi. Mais il n’y a rien qui cloche chez Lui. Mais si Lui, par Son Esprit, m’accorde la grâce de vous révéler la même chose qu’Il avait faite à cette femme-là, ce qu’est votre problème, allez-vous L’accepter comme Celui qui est ressuscité? Comme je ne vous connais pas, je ne sais pas ce qui cloche chez vous. Assurément. Mais la raison pour laquelle vous êtes ici... Je vois quelqu’un d’autre debout. C’est un jeune garçon. Il boit, il titube, c’est un conducteur imprudent en tout ce qu’il fait. Vous redoutez qu’il lui arrive quelque chose. Je vois un autre homme entrer en scène, et ça doit être votre mari. Il fume, vous ne voulez pas qu’il fasse cela. Vous êtes une brave femme, vous êtes là, réclamant ce qui est correct. Que Dieu vous accorde votre requête, ma bien-aimée soeur ; au Nom du Seigneur Jésus, je vous bénis, car je vois un grand principe dans des choses pour lesquelles vous prenez position. Et que Dieu vous accorde le désir de votre coeur, ma bien-aimée soeur. Amen.
54 Etant donné que je vous suis inconnu, madame, il n’y a aucun moyen pour moi de vous connaître, à moins que nous nous présentions, que nous nous assoyions, et que vous me parliez pour me dire ce qu’est votre problème. C’est ce qui se ferait du côté humain. Mais s’il y a ici Quelqu’Un qui vous connaît... Si je vous disais: «Madame, un... vous êtes malade», et que vous disiez: «Oui», eh bien, vous êtes... ou que vous me disiez, vous disiez: «Monsieur Branham, je–je suis venue vers vous pour que vous priiez pour moi, car je suis malade», eh bien, je dirais: «D’accord. Vous allez être rétablie.» Vous auriez le droit d’en douter, car c’est juste un homme ; en effet, vous ne savez pas. C’est dans le futur. Mais, et si Dieu est ici, et qu’Il vous dise ce que... Peut-être que Dieu m’a dit cela. Mais, et s’Il me dit ce qui est arrivé dans le passé, alors vous saurez si c’est vrai ou pas. C’est un miracle, n’est-ce pas? Cela revient à examiner votre vie avec un esprit d’un voyant. Dieu a dit que dans les derniers jours, vos vieillards auraient des songes, des jeunes gens auraient des visions. C’est la promesse de Dieu. Est-ce vrai? Il est donc fidèle à Sa promesse. Croyez.
Votre problème, c’est dans les organes du milieu, le–l’abdomen, l’estomac. Vous êtes suivie par un médecin. Et le médecin est intrigué par votre cas. Il ne sait pas si c’est une tumeur, ou si elle est maligne, les kystes. Il a mentionné plusieurs choses, mais il ne sait pas ce que c’est. Et je vois une petite table apparaître, ou un tableau. Vous êtes programmée pour une intervention chirurgicale. C’est vrai. Et cela va avoir lieu vers le milieu de la semaine. Vers mercredi, vous allez subir une intervention chirurgicale. C’est vrai. Croyez-vous que Dieu va vous laisser vivre? Croyez-vous que Jésus a dit: «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris»? Venez ici.
Bien-Aimé Père céleste, alors que cette femme se tient ici, sa vie est à découvert devant Toi. Maintenant, si elle peut avoir foi, elle vivra. Sinon, elle ne vivra pas. Et je prie, ô Dieu, joignant ma foi à celle du reste de cette église, alors que je pose mes faibles mains indignes sur ce corps qui souffre, je réclame que sa vie soit épargnée. Au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que le Seigneur vous bénisse, ma soeur, et qu’Il soit bienveillant envers vous.
55 Soyez respectueux juste un instant. Ne vous déplacez pas. Je ne peux pas me retourner. C’est Lui qui fait que je me retourne. Voyez? Il y a une femme assise là, souffrant du coeur, elle regarde par-dessus la tête de cet homme-là, elle est en train de prier si intensément pour que je l’appelle. C’est vrai, n’est-ce pas, maman? C’est vrai. Et l’homme assis à côté de vous a quelque chose qui cloche dans sa gorge et il veut aussi être guéri. C’est vrai, monsieur. Levez la main. Maintenant, imposez-vous les mains l’un à l’autre pendant que je prie.
Bienveillant Père céleste, ils ont touché le Souverain Sacrificateur dans le monde surnaturel, non pas de façon naturelle, non pas avec leurs mains, mais avec leur foi. Et je prie qu’en retour le Sang de Jésus-Christ, qui a été versé gratuitement au Calvaire, soit maintenant pour leur guérison. Ils ont leur désir. Je prie, au Nom de Jésus. Amen.
56 Croyez seulement. Croyez-vous? Vous êtes couverte de l’ombre. Vous êtes très nerveuse, on dirait une dépression, cela dégénère à ça. Vous avez eu toutes sortes de pensées stupides qui vous ont traversé l’esprit. Je vous vois vous déplacer d’un bout à l’autre, même au point où Satan essaie de vous mentir, vous disant: «Vous avez traversé la ligne de démarcation», et–et: «Vous pouvez tout faire.» Mais il ment. Laissez-moi vous le dire afin que vous vous rassuriez que je suis serviteur de Dieu. Vous avez aussi quelque chose à la gorge, n’est-ce pas? Maintenant, me croyez-vous? Maintenant, la nervosité... Si seulement vous croyez maintenant même, cette chose vous quittera comme ceci. Je peux... par la grâce de Dieu et la prière de la foi, et Satan le sait, il se tient si près de ce véritable Saint-Esprit, il aura à vous quitter maintenant. Mais si vous avez la foi, il restera loin de vous. Franchement, il vous a quittée maintenant. Cette peur et des histoires sont parties. Maintenant, si vous pouvez croire, cela restera toujours loin, vous vous sentirez libre comme ça. Aimeriez-vous vous sentir comme cela tout le temps et être libre? Venez ici.
Dieu bien-aimé, avec des mains posées sur elle et le Saint-Esprit oignant ici, je Te prie de manifester ces choses, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame. Allez en croyant et en ayant foi.
57 La maladie du coeur, ce n’est pas une chose difficile à guérir pour Dieu ; en effet, Il peut guérir cela. Croyez-vous cela? Vous guérir... Vous êtes aussi un peu nerveuse, toute bouleversée et tout. Pas une nervosité de l’extérieur, mais vous êtes nerveuse à l’intérieur ; en effet, vous êtes juste... Vous pensez, vous faites des programmes et tout. Et c’est un peu votre nature. C’est ce qui fait que vous sentez des palpitations telles que vous les sentez. Mais Dieu est ici pour vous guérir. Croyez-vous cela? Venez ici. Je te bénis, ma bien-aimée soeur, non pas parce qu’il y aurait quelque chose en moi qui puisse le faire, mais parce que Jésus a dit: «Vous imposerez les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Et sur ce, je lui impose les mains en tant que croyant, au Nom de Jésus-Christ, afin qu’elle se rétablisse. Amen. Allez et croyez, ayez foi ; ne doutez pas.
58 Croyez-vous, soeur, que vous vous tenez dans la Présence du Seigneur Jésus et non de votre frère? Vous avez eu des hauts et des bas dans la vie, comme je vois une longue ombre noire qui vous suit. Vous avez connu des moments où vous avez essayé de vous consacrer, et vous n’êtes pas arrivée à le faire. N’est-ce pas vrai? Je ne suis pas en train de lire vos pensées. Je suis seulement oint du Saint-Esprit, le Jésus ressuscité.
Maintenant, finalement, vous avez de l’acide dans votre sang, cela vous a causé l’arthrite, et vous êtes raide le matin lorsque vous vous réveillez, et vous avez de la peine à marcher au point que vous... N’est-ce pas vrai? Maintenant, vous savez qu’il y a ici Quelque Chose qui me dit cela, n’est-ce pas? Voulez-vous une pleine consécration et une délivrance pure par le Saint-Esprit? Je prie que vous acceptiez ceci.
Notre Bienveillant Père céleste, au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils, je bénis ma bien-aimée soeur que voici, et je chasse d’elle le démon et toute peur. Puisse-t-elle partir et recevoir ce qu’elle a réclamé. Au Nom de Jésus-Christ. Je joins ma foi à la sienne. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Maintenant, partez et menez une vie vraiment consacrée.
59 Oh! la la! Il y a beaucoup de vos maladies dans l’assistance ce soir. Très nerveuse, n’est-ce pas? Juste... Croyez-vous que Dieu peut vous rétablir? Croyez-vous de tout votre coeur? Venez ici juste un instant. Cela vous a déjà quittée, mais j’aimerais simplement vous imposer les mains de toute façon.
Bien-Aimé Père céleste, je viens de voir cette ombre noire quitter cette femme tout à l’heure, il sait... Satan sait que Tu es ici. Bien des fois, il a su cela avant les croyants, ou les soi-disant croyants dans les jours passés. Et je Te prie de bénir ma soeur, et puisse cela la lâcher, chaque affliction de son corps. Au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez en croyant.
60 Croyez-vous? Disons: «Gloire au Seigneur!», maintenant. Gloire au Seigneur. Croyez simplement.
Voyez-vous la Lumière suspendue au-dessus de cette petite dame en train de prier? N’ayez pas peur, soeur, vous souffriez de l’estomac, mais Jésus-Christ vous rétablit. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Croyez-vous? Vous avez reçu ce que vous avez réclamé. Jésus-Christ vous a guérie. Oui. Croyez-vous que Jésus vous a rétablie? Amen.
C’était vous qui criiez. Il a entendu. Vous avez touché Son vêtement. Il s’est simplement fait que quelque chose a frappé cette femme avancée en âge assise là derrière ; en effet, elle souffrait de la même chose et elle voulait être guérie. Quand cela vous a quittée, cela l’a quittée. Maman, levez la main, acceptez cela. C’est vrai. Maintenant, partez. Vous pouvez toutes deux être rétablies. Vous en êtes quittes. Voyez? Le diable est tout agité. C’est la maladie des nerfs qui a fait cela.
61 Alléluia!...?... Jéhovah-Jiré, Jéhovah-Rapha, Jésus-Christ, pour toutes les louanges dans la Gloire...?... C’est saint, respectueux. Amen. N’est-Il pas merveilleux? Il a dit: «Si tu peux croire.» Vous pensiez que je vous raterais concernant cette hernie, n’est-ce pas, frère? «Ne m’oublie pas, ô doux Sauveur.»
Vos yeux, la dame assise à côté de vous, vous pensiez qu’Il vous avait ratée? Croyez simplement. C’est tout ce qu’il a dit de faire. Ayez simplement foi en Dieu.
Bonsoir, monsieur. On est censé être inconnus l’un à l’autre, monsieur. Je ne vous ai jamais vu de ma vie. Nous sommes complètement inconnus l’un pour l’autre. C’est vrai. Si je suis serviteur de Dieu, peut-être que vous avez le droit de douter de moi en tant qu’homme, mais si Dieu prouve qu’Il est–qu’Il est ici et que ce n’est pas moi, alors vous croirez en Lui, n’est-ce pas? Croirez-vous? Vous avez eu beaucoup d’ennuis, n’est-ce pas? Dans votre poitrine. Vous avez été opéré là à cause d’une maladie à l’intérieur. C’était comme de la boue ou quelque chose qui était tombé sur vous et qui avait causé cela. C’est vrai. Et par-dessus tout... Vous avez besoin de la guérison de votre corps, mais par-dessus tout, vous avez besoin de la guérison de votre âme ; en effet, vous êtes un pécheur, vous n’avez jamais accepté le Seigneur Jésus. Allez-vous maintenant L’accepter comme votre Sauveur personnel? Croyez-vous maintenant au Seigneur Jésus-Christ et L’acceptez-vous comme votre Sauveur personnel? Tes péchés te sont pardonnés, et que le Dieu du Ciel guérisse ce corps et qu’Il le fasse croître avec force et la bonne santé. Je le demande, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Poursuivez votre chemin, frère ; vos péchés sont pardonnés et vous allez être rétabli. Que Dieu vous bénisse.
62 Disons: «Gloire soit rendue au Dieu vivant.» Crois-tu maintenant? Pouvez-vous croire pour toutes choses?
Et si je ne vous disais rien et que je disais simplement que Jésus-Christ vous guérit, croiriez-vous cela? Croiriez-vous? Allez donc en vous réjouissant, soyez heureux et dites: «Grâces soient rendues à Dieu.»
Et si je vous disais que pendant que vous vous teniez là en bas, il y a quelques instants, que je regardais autour de vous, et que vous m’aviez regardé de façon un peu étrange... Vous rappelez-vous quand je vous ai regardé là en bas? Tout ce mal au niveau de votre dos, juste...?... Vous êtes guéri. Vous avez été déjà guéri avant que vous–avant que vous quittiez.
Vous êtes couverte de l’ombre de la mort, madame. Le savez-vous? Il y a quelques instants, quand je parlais à une dame, ici à l’estrade, qui souffrait du cancer, oh! la la! quelque chose vous a frappée ; très étrange. C’est alors que cela vous a quittée. Maintenant, si seulement vous croyez, vous pouvez poursuivre votre chemin et avoir ce que vous demandez. Croyez-vous? Que Dieu vous bénisse. Disons: «Gloire au Seigneur!»
63 Bonsoir, petit homme. Crois-tu? De tout ton coeur? Qu’Il bénisse son petit coeur. Viens ici, fiston, auprès de frère Branham. Aimes-tu aller à l’église? Tu sais, quand la monitrice de l’école du dimanche te parle de Jésus qui prenait de petits enfants et de petites filles et qui leur imposait les mains, et ils étaient guéris de leurs maladies et tout, te rappelles-tu cela? Maintenant, Jésus fut crucifié afin qu’Il puisse vivre pour toujours. Vois-tu? Jésus a perdu Sa Vie afin qu’Il puisse la retrouver. Vois-tu? Il avait Sa Vie et Il a donné Sa Vie afin que nous puissions aussi avoir la vie. Maintenant, nous croyons en Lui. Et nous ne voulons pas la vie du monde, nous avons donc perdu notre vie afin que nous puissions la retrouver. Est-ce vrai?
Il y a une relation entre la dame, le petit garçon là, et cet enfant. J’ai senti le Saint-Esprit, et l’Ange est allé directement là. Il est suspendu au-dessus de quelqu’un maintenant. Cet enfant est anémique, mais Dieu peut le guérir. Vous croyez cela, n’est-ce pas?...?... Il a une hernie bilatérale. Ô Grand Jéhovah, Jéhovah-Rapha, sous forme du Saint-Esprit, Tu as pourvu à un agneau sur la montagne pour Abraham, et il a été offert à la place d’Isaac, viens maintenant, et accomplis Ta grande oeuvre pour cette famille. Je les bénis au Nom de Jésus-Christ. Amen. Va, mon petit garçon, et que Dieu aille avec toi.
... venir avec le garçon, il y a quelques instants, en parlant de la maladie du coeur, cette personne-là, vous venez de sentir, n’est-ce pas, que quelque chose s’est passé? N’est-ce pas vrai? Maintenant, allez de l’avant, en vous réjouissant, disant: «Gloire à Dieu.»
64 Notre Bien-Aimé Sauveur connaît toutes choses, et Il peut vous amener à manger et à avoir un bon estomac solide, et manger simplement, faire ce que vous voulez. Ne croyez-vous pas cela? Croyez-vous? L’acceptez-vous maintenant comme votre Guérisseur? Que le Seigneur Dieu vous bénisse, mon bien-aimé frère, et je vous impose les mains pour votre guérison, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon frère.
Venez maintenant. Et si je vous disais que vous avez été guéri pendant que vous étiez assis là, croiriez-vous cela, de... comme les autres l’ont été? Maintenant, allez de l’avant en vous réjouissant, disant: «Gloire à Dieu!»
Frère Crouse, je vous connais. Je connais votre maladie, je n’ai donc pas à mentionner cela (Voyez?) ; en effet, je vous connais. C’est ce calcul rénal qui descend. Mais Bien-Aimé Dieu du Ciel, mon brave frère est dans Sa Présence. Si j’avais le pouvoir de vous guérir, je le ferais. J’ôterais ce calcul rénal. Mais Celui qui se tient ici parmi nous a tout pouvoir. Je t’impose donc les mains, mon brave frère, et je condamne cette maladie qui risque de t’ôter la vie. Je condamne cet ennemi et je le demande au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qu’il vive une longue vie heureuse. Car, ô Dieu, je crois que cet homme le mérite, celui pour qui je demande. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon bien-aimé frère Crouse.
65 Oh! Que c’est merveilleux! Croyez-vous que Jésus vous guérira de l’hypertension, soeur, assise là en train de me regarder? Oui, oui. Vous étiez si sincère à ce sujet pendant que vous regardiez. Vous avez touché Son vêtement. C’est vrai. Croyez-vous qu’Il le fera et qu’Il vous guérira? Levez donc la main...?... Oh! Il est si réel, n’est-ce pas? Jésus a dit: «Je le peux, si tu crois.» N’est-ce pas vrai?
Vous vous intéressez à Lui, n’est-ce pas, madame? Dieu peut guérir ce mal de dos. Le savez-vous? Guérir aussi vos yeux. Croyez-vous cela? Imposez-lui la main.
Bien-Aimé Père céleste, au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus, je prie, ô Seigneur, alors que je sens ma force s’épuiser maintenant, je Te prie de les guérir et de les rétablir, au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen. N’ayez pas peur ; croyez.
66 Non, maman, ce n’était pas eux, c’était vous. Pensez-vous que Dieu vous guérira de ces maux de tête de sorte que vous n’en souffrirez plus? Croyez-vous cela? Très bien, vous pouvez donc avoir cela. Voyez-vous? La femme avancée en âge assise à côté de vous, elle sent aussi une pression, et une maladie gynécologique, elle soufre aussi des maux de tête, non, cette dame, de ce côté-ci, souffre aussi des maux de tête. C’est vrai. N’est-ce pas, madame? Cela vient de vous quitter tout à l’heure. Quand la soeur a été guérie, vous l’avez aussi été. Oh! Il est si merveilleux. Vous toutes deux ensemble, votre foi vous guérit.
La nervosité est une chose horrible, mais Jésus-Christ peut vous guérir. Croyez-vous cela? J’aimerais vous montrer quelque chose. Combien là dans l’assistance souffrent de la nervosité? Levez simplement la main. Regardez ça, madame. Voyez-vous là? Voyez-vous? C’est la raison pour laquelle cela me soutire carrément la vie. Voyez? Je sens simplement la sueur me couler partout. Je deviens faible, mes mains, le visage et le nez deviennent très épais et... je–je sais que c’est... De quoi avez-vous peur, soeur? Vous ne le savez simplement pas, n’est-ce pas? Cela semble simplement arriver, vous n’y pouvez simplement rien. Voulez-vous partir bien portante maintenant, et heureuse? Si Dieu me permet de vous prouver cela, maintenant même, en vous connaissant... sans vous connaître si ce n’est par l’Esprit, chasserez-vous cela, allez-vous partir et croire de tout votre coeur? Venez ici. Vous autres qui êtes nerveux, bouleversés, et vous les asthmatiques, inclinez la tête.
Satan, je sais que tu n’as pas peur de moi ni d’aucune autre personne ici, mais tu as peur de Celui qui veille sur nous. Tu n’as pas de droits. Tu as été dépouillé au Calvaire. Pas dérobé, mais tu as été dépouillé et tu n’as rien. Tu es un bluffeur. Et je te chasse loin de cette femme et des autres là dans l’assistance. Au Nom de Jésus-Christ, sors d’eux. Amen.
Maintenant, maintenant, regardez ici. Vous vous sentez maintenant différent, n’est-ce pas? Amen. Le reste parmi vous aussi. Croyez-vous? Pourquoi ne pouvez-vous pas alors être guéris? Soyons tous guéris...?...
67 Bonsoir, monsieur. Je ne vous connais pas. Je vous suis inconnu. Croyez-vous que Jésus peut vous guérir? S’Il ne vous guérit pas, vous devez mourir bientôt. Vous le savez. Le cancer du rectum. C’est vrai. Vous ne pouvez pas non plus vous permettre d’aller dans votre condition. Vous êtes un pécheur. Il vous faut être sauvé. Voulez-vous L’accepter maintenant comme votre Sauveur maintenant?
Ô Dieu, un homme étendu sous des ombres noires froides, mais pas un aveugle... Il a été aveugle spirituellement, mais maintenant il voit. Il lève sa main vers Toi, ô Dieu. Il T’accepte comme son Sauveur. Epargne sa vie, Père bien-aimé. Laisse-le vivre. Que ses péchés soient sous le Sang en cette heure-ci. Que Ta puissance vienne sur lui et le guérisse. Je prie, au Nom de Jésus. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Vous vous sentez différent maintenant, n’est-ce pas? Levez la main et louez Dieu. Amen.
Alléluia! Voulez-vous la même chose? Voulez-vous la même bénédiction? Levez-vous. Que tout le monde se lève. Ô Dieu, Jésus...?... Merci d’avoir sauvé les pécheurs, d’avoir guéri les malades, et je chasse chaque mauvais esprit au Nom de Jésus-Christ...