Combattre Ardemment Pour La Foi Qui A Été Transmise Aux Saints Une Fois Pour Toutes

Date: 56-0419 | La durée est de: 1 heure et 39 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci beaucoup, frère. Bonsoir, mes amis. Nous sommes heureux d’être ici ce soir pour vous apporter la Parole, au Nom du Seigneur Jésus. Nous considérons cela comme un grand privilège d’être ici. Je pensais tout à l’heure combien le Seigneur Jésus est bon pour nous, les choses qu’Il a faites pour nous; nous, sans mérite, nous ne sommes–ne sommes pas dignes de bénédictions que nous recevons de Sa part.

            Et ce soir, comme nous avons un peu plus d’espace par rapport à ce que nous avions hier soir, et si... Je suis content de voir que tout le monde peut s’asseoir, celui qui le veut, qui désire un.-.un siège.

            [Frère Branham tousse.–N.D.E.] Excusez-moi, je ne suis pas enrhumé, mais je suis tout le temps en déplacement, cela me garde ainsi constamment partout. Et parfois, je suis tellement fatigué que ma voix me fait simplement défaut. Et s’il n’y avait qu’une seule réunion, ce serait autre chose, mais je vais de réunion en réunion. Et après ce pays, et outre-mer et partout, en plein air et à l’intérieur et... Et partout où le Seigneur m’accorde d’aller, je vais. Je ne peux pas aller à tous les endroits. Mon secrétaire... juste certains des endroits sont... quatre cents villes principales de l’Amérique appellent maintenant même, certaines d’entre elles avec des pétitions signées. Quatre cents villes principales et quelques, nous ne pouvons pas aller dans toutes ces villes. Mais il nous faut simplement suivre la conduite du Seigneur. Nous sommes donc contents d’être ici pour apporter la Parole ce soir.

2          Cette soirée, on l’a consacrée à la prière pour les malades. Et juste avant de le faire, j’aimerais vous expliquer certaines choses, du genre pourquoi, quand nous prions pour les malades et–et des dispositions que nous prenons, la façon dont nous prions pour les malades. Et puis, nous connaissons les instructions et comment les suivre.

            C’est juste comme n’importe quoi d’autre, il vous faut jouer le jeu suivant les règles ou comme il faut, sinon vous–vous ne pouvez pas gagner. C’est juste comme le jeu de la vie que nous jouons. Il vous faut être loyal envers vos voisins, traiter correctement les gens, vivre comme un homme le devrait, comme un voisin devrait vivre, si jamais vous vous attendez à aboutir quelque part. Cela revient à avoir de la considération les uns pour les autres. Et le problème en est que, quand nous prions pour les malades, il nous faut suivre la voie à laquelle il est pourvu, la voie appropriée; il nous faut savoir comment aborder cela.

3          Vous savez, par la grâce de Dieu, j’ai prié pour plusieurs rois: le roi Georges d’Angleterre, Gustav, et beaucoup d’autres grands monarques et potentats. Chacun devait être reçu d’une façon différente. A un endroit, on m’a pris au revers de mon pantalon. Evidemment, vous le savez tous, on ne tourne jamais le dos au roi, on le quitte à reculons. Il y a diverses approches de différents dignitaires et autres. Eh bien, pour votre cour ici, si vous aviez une–une audience à la cour, et que vous vous leviez et disiez: «Hé ! Juge, une minute, là, vous, vieil homme. J’aimerais vous parler un peu», on vous ferait asseoir aussitôt même, voyez? En effet, ce n’est pas là l’approche pour s’adresser au juge. Il vous faut avoir plus de–de manières pour aborder.

            Et rien qu’au cours d’une ou deux soirées de réunion, ce serait certainement injuste pour–pour les gens, et ce serait discréditant, pour la cause de la guérison divine, d’essayer d’exprimer au cours de deux ou trois soirées les sentiments qui exigeraient des semaines.

4          La première question que nous aimerions régler pour les gens est la suivante: Tout celui qui croit la Bible sait que la guérison divine vient de Dieu. Et Il–Il... Son attitude doit rester la même envers les gens.

            Il y a un certain passage des Ecritures qui est clair... tout à ce sujet. En effet, ce soir, je pensais qu’il serait plus approprié, comme on prie pour les malades ce soir, que j’explique comment être guéri.

            Eh bien, pour commencer, si vous voulez savoir comment être guéri... Si quelqu’un disait: «Eh bien, il y a dans la ville quelqu’un qui a le don de guérison», eh bien, cela ne veut pas dire que cette personne-là, par ce don de guérison, peut vous guérir. Mais cela veut seulement dire que si vous avez foi dans la guérison, et la connaissance que vous avez de cela par la Parole de Dieu, car la guérison a déjà été acquise.

5          Or, si prêcher la guérison divine fait de l’homme qui la prêche un guérisseur divin, alors l’homme qui prêche le salut, cela fait de lui un sauveur divin. Mais personne n’aimera être appelé un sauveur divin. Mais prêcher le salut, vous prêchez que cela vient par l’expiation déjà acquise pour les gens au travers de l’oeuvre achevée par Christ, c’est pareil que vous prêchez la guérison divine. Et vous ne pouvez pas traiter du péché, en aucune façon, sans traiter de la maladie. Vous avez à traiter cela, car c’est un attribut du péché.

            La maladie vient du péché. C’est la désobéissance qui a produit la maladie. Peut-être pas votre désobéissance, mais cela est hérité et–et par la faiblesse des races, comme la Bible le dit, qu’ils deviendront plus faibles, mais plus intelligents.

6          Or, je pense que nous croyons tous cela. Toutes les églises: Les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, les catholiques romains, tous croient dans la guérison divine. Souvent, il leur est très difficile de voir la restauration des dons...?... le... ils acceptent le...?... la restauration des–des prédicateurs, des évangélistes et des pasteurs, le même fardeau comme apôtres ou missionnaires, prophètes et... Vous ne pouvez pas accepter une partie de Christ sans accepter–accepter tout Christ, et si vous acceptez qu’une chose est bonne pour nous, vous devez accepter que toutes les choses sont bonnes pour nous. Et vous ne pouvez pas traiter de quoi que ce soit que le péché a suscité; mais quand vous traitez du péché, vous traitez de tout ce qu’il a produit. Ainsi, nous savons que la guérison divine vient de Dieu.

            Or, tout cela est limité à votre foi, de même que le salut est limité à votre foi. Il était blessé pour nos péchés; et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Il n’y a rien... J’espère ne pas contrarier la théologie de quelqu’un là-dessus, mais si c’est ce que je fais, c’est que cela contrarie la Bible si cela va dans tout autre sens. Aucun homme sur la face de la terre n’a la puissance de guérir. Elle n’est donnée à aucun homme, à aucun médecin ni à personne d’autre. Dieu est...?... guérir. Il n’y a jamais eu une seule dose de médicament qui ait déjà guéri quelqu’un. Et aucun–aucun médecin n’a jamais soutenu être un guérisseur.

7          J’ai été interviewé à la Clinique Mayo, ils ont dit: «Nous ne professons pas être des guérisseurs. Nous professons assister la nature. C’est Dieu qui est le Guérisseur.» Certainement, c’est vrai. Et si vous vous fracturiez le bras en démarrant à la manivelle votre véhicule et qu’ensuite vous disiez: «Hé ! docteur, guéris très vite mon bras. J’aimerais terminer à démarrer à la manivelle mon véhicule.»

            Il dirait: «Il y a vraiment quelque chose qui cloche chez vous.» Eh bien, c’est vrai. Il pourrait mettre en place votre bras, c’est son devoir. C’est ce qu’il étudie, c’est ce pour quoi nous avons des médecins, ils étudient la constitution, l’anatomie. Il n’y a que deux sens grâce auxquels ils peuvent travailler: Ce qu’ils peuvent voir et ce qu’ils peuvent toucher, et aucun d’eux ne prétend être un guérisseur. Non. Les médecins ne prétendent pas cela. Ils soutiennent assister la nature. Ils peuvent enlever une grosseur, suturer un endroit, mais ils ne peuvent pas guérir l’entaille. Ils peuvent arracher une dent, quand elle est mauvaise, mais ils ne peuvent pas guérir la cavité créée par son extraction. Ils ne peuvent pas former les tissus. Ils peuvent remettre un bras en place, mais ils ne peuvent pas produire le calcium et ce qu’il faut pour guérir le bras, il faut Dieu pour faire cela, voyez, pour souder le bras ensemble: la nature, Dieu. Ainsi donc, la guérison vient uniquement de Dieu seul.

8          Or, dans des réunions, il y a beaucoup de gens qui prient pour les malades sur le champ de travail aujourd’hui. C’était pareil pour un presbytérien spécial; ils ont une femme qui s’occupe des campagnes de guérison, et elle utilise... elle leur impose les mains et prie pour eux. Dans le milieu du plein Evangile, chez les pentecôtistes et autres, nazaréens, pèlerins de la sainteté, beaucoup de ceux-là, ils imposent les mains aux malades. L’imposition des mains aux malades est une tradition, une tradition juive.

            Dans la Bible, il y eut un homme du nom de Jaïrus, et quand il avait... sa petite fille se mourait, il a dit à Jésus: «Viens imposer les mains à ma fille et elle vivra.» Mais le Romain, il avait un serviteur qui se mourait, il a dit: «Je ne suis pas digne que Tu viennes même sous mon toit. Dis seulement un mot, et mon serviteur vivra.»

9          Voyez-vous la différence? Le Juif avait appris l’imposition des mains, et le Romain, l’autorité. Le Romain a dit: «J’ai... je suis un centenier. J’ai des hommes sous mes ordres. Je dis à celui-ci: ‘Fais ceci’, et il le fait.» Il reconnaissait l’autorité suprême que Jésus avait sur des maladies et les afflictions. Voyez? Il disait donc que tout était soumis à Jésus, Lui qui avait l’autorité de faire ce...?... «Prononce seulement la Parole et mon fils vivra, ou mon serviteur.»

            Et... mais le–le Juif a dit: «Non, viens imposer les mains à mon enfant», voyez. Et maintenant, beaucoup de gens imposent les mains aux malades, c’est parfaitement en ordre. Je n’ai rien contre l’imposition des mains aux malades. Ce n’est pas cela mon ministère, l’imposition des mains aux malades. Je ne cherche pas à amener les gens à me toucher, ni à ce que moi, je les touche, mais à ce que leur foi touche Dieu. C’est ce qui produit les résultats après tout.

10        Comme frère Oral Roberts dit...?... le frère pentecôtiste, il dit: «Etablissez un point de contact.» Eh bien, c’est–c’est bien. C’est en ordre, voyez. Dieu le bénit et opère des prodiges, et nous en sommes reconnaissants.

            Mais la façon dont nous nous y prenons... Hier soir, je demandais combien voulaient qu’on prie pour eux. Parfois, s’il y a juste une ou deux douzaines, eh bien, nous pouvons juste les faire venir et prier pour eux, rentrer et...?... Mais quand il y en a trois ou quatre cents, il nous faut distribuer des cartes de prière aux gens. On va les mettre en ligne et avec des numéros, ainsi nous pouvons...?... sans se bousculer, sans se heurter, sans se disputer: Qui est le premier et qui est le deuxième, nous leur donnons des cartes de prière. Nous distribuons chaque jour une... de prière...?... personne, que vous veniez à une réunion la première soirée ou la deuxième soirée ou la troisième soirée, on donne chaque jour de nouvelles cartes de prière–prière.

11        Et avec ça, partout où nous nous sentons conduit à commencer, je commence par...?... beaucoup parmi eux comme cela, ces cartes de prière ont été distribuées juste à la réunion. Elles ne sont pas interchangeables. Tout celui qui échange sa carte de prière, on le fait sortir de la ligne de prière, il perd sa place. En effet, nous voulons que chaque individu apporte sa propre carte de prière, vous ne pouvez pas la prendre et la donner à quelqu’un d’autre et le faire entrer. Voyez, la personne elle-même doit venir suivre les instructions, quand il vous faut quitter les réunions et autres, et recevoir sa propre carte de prière. Tout le monde peut en avoir une, mais personne ne peut échanger une carte de prière.

            Et si vous en voulez une pour quelqu’un d’autre, faites venir la personne et dites: «Telle personne veut une carte de prière.» Et celui qui les distribue lui donnera une carte de prière, ça sera en ordre. Mais elles ne peuvent pas être échangées.

            Eh bien, chaque jour donc, avec de nouvelles cartes de prière qui ont été distribuées, s’il y a quelqu’un qui manque...?... les cartes de prière...?... tous ne les reçoivent pas. Il y a un nouveau venu qui arrive, il peut recevoir cela. Ils ont...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

12        Père, ce soir, nous venons à Toi tout aussi solennellement que nous savons comment venir, car le Seigneur Jésus nous a accordé le temps. Et nous venons en Son Nom, car Il a dit: «Si vous demandez quelque chose au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Et nous sommes sûrs que nous avons une.-.une requête et qu’Il exaucera, si nous venons en Son Nom.

            Et nous Te prions, Père céleste, ce soir, de jeter un regard de miséricorde en bas. Pas de jugement, Seigneur, mais de Ta miséricorde...?... Regarde ce petit groupe de gens assemblés ici, à cette aimable petite assemblée assise ici. Je regarde juste là derrière et il y en a qui souffrent, enfoncés dans des fauteuils, ils arrivent à peine à respirer, des hommes et des femmes, servant les malades et ceux qui souffrent. Peut-être que beaucoup d’entre eux ont été chez Tes braves serviteurs ici, les médecins, que Toi, Tu as placés dans cette ville, et dans les villes avoisinantes pour les servir. Et ils sont arrivés au bout de leur connaissance sur quoi faire. Les médecins ont essayé, il n’y a rien d’autre qui puisse être fait.

13        Père, nous prions, pendant que nous Te parlons en faveur des médecins. Donne-leur de grandes choses, Seigneur, pour qu’ils aident Tes pauvres enfants qui souffrent, partout. Bénis les hôpitaux, chaque cabinet médical. Ô Dieu, nous prions que les Anges de Dieu se tiennent près...?... donnant la sagesse de savoir quoi faire, chaque intervention chirurgicale. Alors, Père, quand il arrivera au bout du rouleau, comme il est juste un homme comme nous ici, alors, nous aurons le droit de venir à Toi, le Grand Créateur de nos corps; nous sommes Ton ouvrage.

            Et nous venons, Seigneur, pour ceux qui représentent des cas désespérés pour les médecins, et nous implorons la miséricorde divine pour eux ce soir, Père. Que Tu étendes la main de Ton Saint Fils, le Seigneur Jésus, et que Tu guérisses les malades ce soir.

            Aide-nous à apporter la Parole. Bénis chaque église qui est représentée ici et toutes ces très bonnes églises que Tu as à travers le pays ici. Tu sais combien elles sont bonnes et nous sommes très contents de voir la maison de Dieu dans cet état.

            Je Te prie de bénir chaque pasteur. Accorde, Seigneur, à cause de ce réveil, que cela déclenche un réveil dans chaque église ici, que ça soit un réveil à l’ancienne mode qui balaie la petite ville et toute la contrée. Aide-nous donc ce soir. Circoncis les lèvres qui parlent, et les coeurs qui écoutent, car nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen.

14        Dans la Sainte vieille Bible, qui sert de fondement à tout le christianisme, nous allons lire, dans l’Epître de Jude, quelques versets. Accordez-moi toute votre attention pendant quelques instants. Ce que j’ai, ce sont des questions sérieuses et vous, répondez.

Jude, serviteur de Jésus-Christ, et frère de Jacques, à ceux qui ont été appelés, qui sont aimés en Dieu le Père, et gardés pour Jésus-Christ:

            Voyez à qui il l’adresse, premièrement en tant qu’un serviteur.

Que la miséricorde, la paix et la charité vous soient multipliées !

Bien-aimés, comme je désirais vivement vous écrire au sujet de notre salut commun, je me suis senti obligé de le faire afin de vous exhorter à combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

            Puis-je juste lire ces derniers... oh ! vers le troisième verset.

... afin de vous exhorter à combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à Sa Parole.

15        Quel solennel passage des Ecritures nous avons ici sous examen ! Sans doute qu’il y a des membres du clergé de divers courants de la foi qui sont assis ici. Généralement, un réveil évangélique amène beaucoup à venir. Et je parle à mes frères et d’abord, j’aimerais vous dire que je représente cette église-ci. Que vous soyez méthodiste, baptiste, pentecôtiste, nazaréen, pèlerin de la sainteté, quoi que vous soyez, je représente cette église-ci, car nous prêchons Christ, et Christ crucifié, c’est ce que nous croyons.

            Aujourd’hui, j’ai été là, un missionnaire évangéliste, j’ai vu beaucoup de grandes choses étranges. J’ai été accueilli il y a quelques semaines à Bombay, en Inde, par dix-sept différentes religions, et chacune d’elles était opposée au christianisme. Quand vous arrivez sur le champ de bataille, peu importe ce que... que vous soyez méthodiste ou baptiste, ou presbytérien ou quoi que vous soyez. Il est question d’arracher les pauvres mortels des idoles et de les amener vers le Dieu vivant.

16        Mais, mes frères, peut-être ce soir, vous venez ici, vous ne comprenez pas. Je ne dirais pas que vous ne croyez pas. Aucun ministre qui est déjà entré en contact avec Christ n’oserait dire qu’il ne croit pas que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            L’Ecriture, dans hébreux 8, déclare qu’Il l’est; 13.8: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

            Mais, mes frères, l’unique chose dont vous pouvez être sûr, si tout ce que vous avez eu comme enseignement, c’est par votre culture et instruction américaines, c’est que vous avez encore beaucoup à apprendre, lorsque vous allez sur le champ de bataille.

            Notre théologie et tous nos écrits livresques, l’instruction, ne courez jamais la chance avec cela. Ils peuvent produire autant de psychologie que nous. Il vous faut avoir les preuves de ce que la Bible dit, sinon ils ne vous croiront pas. Et ça devrait être ainsi.

17        Vous butez contre l’islam, le bouddhisme. Vous voyez toutes les différentes sortes de religions. Ils ont des bibles: le Coran et autres, qu’ils lisent. Ils sont tout aussi heureux et se réjouissent de leur religion, comme nous le faisons maintenant, mais leur religion n’a rien promis d’autre que la vie après la mort. Mais notre religion a promis que les mêmes oeuvres que Christ faisait, nous les ferons jusqu’à ce qu’Il revienne. Et quand eux lisent ceci, ils s’attendent à ce que Cela soit manifesté. C’est là que nous faillons.

            Nous avons fait tout sauf ce que Christ nous a ordonné de faire. Nous avons construit des églises, des séminaires; cela n’a jamais été ordonné dans la Bible, qu’il en soit ainsi. Prêchez l’Evangile, c’est ce que Christ avait ordonné. L’Evangile ne vient pas en Parole seulement, mais par la puissance et la manifestation du Saint-Esprit. Juste après, Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.»

            J’aimerais vous poser une question. Dans les Ecrits solennels ici ce soir, nous sommes contraints, ou plutôt il nous est ordonné par l’apôtre, ou l’écrivain de combattre ardemment pour la foi.

18        M’entendez-vous du côté droit, là-bas? N’entendez-vous pas bien? Je pensais donc que... Pouvez-vous entendre très bien par ici, à gauche? Est-ce mieux par ici maintenant? Pouvez-vous mieux entendre comme ceci? J’étais trop près. Je m’excuse.

            La Bible nous ordonne de combattre. C’est l’unique passage de la Bible, que j’aie jamais trouvé, où il nous faut combattre. Nous ne sommes pas censés avoir des luttes, mais dans ce seul passage, il nous est ordonné «de combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.»

            Or, si je demande à nos frères méthodistes: «Combattez-vous pour cela?»

            Ils répondraient:» Oui, monsieur.»

            Mes frères baptistes? «Oui, monsieur.»

            Mes frères pentecôtistes? «Oui, monsieur.»

            Nazaréens, pèlerins de la sainteté...?... je ne sais quoi encore: «Oui, monsieur.»

            Je crois que vous avez raison. Je crois vraiment que vous avez raison, dans toute la mesure où vous avez été enseignés à faire cela.

            Mais maintenant, en faisant cela, il doit y avoir... En effet, il y en a beaucoup, tant de divergences parmi nous, il doit y avoir quelqu’un qui est dans le vrai et quelqu’un qui est dans l’erreur. Donc, pour que cela soit compris pleinement, il n’y a qu’Un Seul qui a l’autorité suprême, et c’est Dieu, pour répondre à cette question. Croyez-vous cela? Donc, nous devons savoir cela, nous savons ce que la foi est, ce pour quoi nous sommes censés combattre et à juste titre. Or, il n’y a aucune de nos confessions: nos méthodistes, baptistes, presbytériens, pentecôtistes, et toutes–toutes les dénominations, cela a été organisé de ce côté-ci, les jours des saints du début.

19        Aucune de nos organisations ne tire son origine dans le Nouveau Testament...?... Les catholiques étaient les premiers; quelques trois cent-soixante ans après la mort du dernier apôtre, l’Eglise catholique est née. Après mille cinq cents ans d’âges des ténèbres, Martin Luther est apparu, la première réforme. Mille cinq cents ans, de ce côté-ci de la mort de Christ. Après cela apparurent Calvin, Zwingli, puis John Wesley, Calvin, Knox, les autres, Alexander Campbell. Et ça a continué jusqu’en ces derniers jours, des nazaréens sont apparus, les pèlerins de la sainteté, les pentecôtistes, et les autres, ainsi de suite. Cela a ainsi continué, suivant le même modèle de l’organisation, tout le monde.

            Mais maintenant, dans le conglomérat de neuf cents soixante et quelques différentes églises dénominationnelles, nous...?... ceux qui combattent pour cette foi-ci. Nous savons tous qu’il y a cependant une question, c’est de revenir à la Bible et de découvrir le genre de foi qu’ils avaient, et ensuite comparer cela à ce qui nous a été enseigné. Et voyons si c’est la foi pour laquelle nous devons combattre, oui ou non. Cela devrait régler la question, ne le pensez-vous pas, partout?

20        Si seulement nous pouvons découvrir le genre de foi qu’ils avaient ! Si nous arrivons à découvrir qu’ils étaient presbytériens, baptistes, méthodistes, luthériens, catholiques, quoi que ce fût, alors nous pourrons combattre pour cela. Ainsi, l’unique moyen correct de s’y prendre, c’est de remonter dans le passé découvrir ce que cela était. Cela implique tout homme, cela donne à tout homme une chance, cela donne à Dieu une chance, cela me donne une chance ce soir de défendre ce pour quoi je prends position de par les Ecritures. Mais je crois vraiment que toute doctrine qui ne repose pas sur cette Bible est une hérésie. Elle n’est pas vraie. Elle doit provenir de cette Bible, non pas d’un seul passage des Ecritures, mais de chaque passage des Ecritures, d’un bout à l’autre de la Bible, sinon ce n’est pas vrai. Dieu ne commet pas d’erreurs. Il est infini et Il ne peut pas commettre d’erreurs. Il est infaillible, omniscient, omniprésent, omnipotent. Il ne peut pas commettre d’erreurs. Et Il n’écrit pas une chose à un moment, puis quelque chose pour contredire cela par ici. Il n’y a pas de tel passage dans les Ecritures.

21        Maintenant, remontons au commencement et découvrons le genre de foi que les saints avaient. Et puis, comparons cela avec ça, avec ce qui nous a été donc enseigné, nous aurons alors une certaine idée générale. Donc, si nous pouvons découvrir la foi qu’il y avait et que cette foi-là devient un article vivant ici même, pas en 1956, mais ce soir, ici à Spindale, alors cela reste la même foi qui avait été autrefois, vivante, agissante, en tout, comme cela avait été autrefois. Nous combattrons vraiment alors pour cela, car c’est ce que dit l’Ecriture.

            La première fois que nous avons été appelés des saints, évidemment, quand... les termes du Nouveau Testament. Il nous faudra retourner au début du Nouveau Testament. Jean-Baptiste était entre la loi et la grâce. Il était un prophète, le précurseur de Jésus-Christ; c’est lui qui faisait le–le pont entre la dispensation de la loi et la dispensation de la grâce.

            Il était le plus grand des prophètes, car Jésus l’a dit, et il n’a jamais accompli des miracles. Seulement, la raison pour laquelle il était le plus grand, c’est qu’il lui avait été donné le privilège de présenter Celui dont les autres prophètes avaient annoncé la Venue; c’est ce qui faisait de lui le plus grand. Il a présenté au monde le Fils du Dieu vivant. Et la façon dont il L’avait présenté, c’était par un signe. Y avez-vous déjà pensé?

22        Jean a dit: «Je ne Le connaissais pas, mais Celui qui m’a dit dans le désert d’aller baptiser, a dit: ‘Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et s’arrêter, c’est Celui-là qui baptisera du Saint-Esprit et de Feu.’»

            Jean savait...?... personne d’autre ne semblait voir cela, à part Jean. Il a vu le Saint-Esprit sous forme d’une Colombe descendre sur Lui, et une Voix a retenti: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui Je...» Dieu rend témoignage.

            Beaucoup de gens qui voient parfois...Comme cet Ange ici sur la photo, Il a été vu par des millions de gens. Certains parmi eux disent: «Eh bien, eux tous devraient...» Oh ! Non, cela est donné parfois juste à certaines personnes. Les mages, croyez-vous qu’ils avaient vu une étoile? Aucun des observatoires (On déterminait même le temps par les étoiles), personne d’autre n’a rien vu à ce sujet à part les mages; cela a été donné uniquement à eux.

23        Quand Paul fut terrassé, une Lumière l’avait aveuglé, la même Lumière, la même Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël; Elle a dit: «C’est Moi Jésus, qui Me tiens devant.»

            Mais les hommes qui étaient avec lui n’ont rien entendu, ils étaient juste là à ses côtés, des soldats qui l’accompagnaient, les gardes du temple, ils allaient là. Ils n’avaient point entendu. Il n’est donné qu’à certaines personnes de voir et d’entendre des choses.

            Tous ne sont pas des prophètes, tous ne sont pas des apôtres, tous ne sont pas ceci ou cela, mais cela est donné. Ces choses sont innées en nous par élection. Les dons et les appels sont sans repentir. Combien de lecteurs des Ecritures savent cela? Voyons. Les dons et les appels, ce n’est pas ce que vous voulez devenir, c’est ce que Dieu fait de vous, voyez. Vous l’êtes parce que Dieu vous a choisi à l’être, non parce que vous, vous avez choisi de l’être; c’est Dieu qui vous a choisi. Et si vous essayez de faire de vous-même quelque chose que Dieu n’a pas choisi de faire de vous, vous êtes simplement un imitateur, et cela ne deviendra jamais un succès. Il vous faut être ce que Dieu a choisi que vous soyez.

24        Maintenant, au commencement, nous voyons que Jean prêchait, disant: «Il y a Quelqu’Un qui vient après moi, et aussitôt qu’Il sera venu, disait-il, Il doit croître, et moi, je dois diminuer. Je dois disparaître de la scène, Lui doit prendre la relève.»

            Aussitôt après qu’Il fut baptisé, Il est allé au désert et Il est resté là quarante jours, en jeûne. Il en est sorti, et maintenant, le premier signe de Son ministère, c’était la guérison des malades. La première chose...?... Sa renommée a commencé à se répandre. Et si Jésus était Celui qui avait introduit la foi, et qu’Il a commencé Son ministère par la guérison des malades, et qu’Il a ordonné à Ses disciples... La première commission qui soit jamais donnée aux disciples était de guérir les malades, ressusciter les morts, purifier les lépreux, chasser les démons. «Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement.» C’était la première commission à l’église quand Il les avait envoyés.

            La dernière commission qu’Il a donc donnée à l’église, les dernières Paroles qui sont donc sorties de Ses lèvres, c’étaient: «Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle. Celui qui croira et qui sera baptisé, sera sauvé. Celui qui ne croira pas sera condamné. Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: En Mon Nom, ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues, ils saisiront des serpents; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» La dernière commission qui a été donnée, c’était de guérir les malades. La première commission qui a été donnée, c’était de guérir les malades. Donc, c’était par Celui qui avait introduit la foi chrétienne, nul autre que le Christ Lui-même.

25        Maintenant, suivons-Le et voyons ce qu’Il avait fait. Eh bien, voici là où cela vous achoppe juste un peu. Maintenant, écoutez attentivement. Prétendait-Il être un guérisseur? Faites attention. Prétendait-Il être un guérisseur? Absolument pas. Il ne prétendait jamais être un guérisseur. Il disait: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est le Père qui demeure en Moi, c’est Lui qui fait les oeuvres.»

            Donc, si aujourd’hui un homme dit qu’il est un guérisseur, il s’attribue plus d’autorité que le Fils de Dieu n’en avait jamais eue. Il ne peut donc pas être un guérisseur. Si Jésus, et Dieu n’avait pas donné la gloire à la chair de Son propre Fils, aucune chair ne peut se glorifier devant Lui. Et Il ne partagera pas non plus Ses louanges et Sa gloire avec quoi que ce soit.

            Gloire soit rendue à...?... et Dieu seul. Jésus a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi.» Eh bien alors, si le Père demeurait en Lui, comme Il était le Fils de Dieu né de la vierge, Il n’était rien d’autre que Dieu Lui-même rendu manifeste. Donc, Christ était Dieu. Il n’était pas juste un–un prophète, ou un homme de bien, ou quelque chose comme cela, Il n’était rien d’autre que Jéhovah Dieu Lui-même manifesté dans la chair. La Bible dit: «Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.» C’est scripturaire. S’Il était moins que cela, Il était un séducteur. Il était soit Dieu, soit le plus grand séducteur que le monde ait jamais connu.

26        Et en ce jour-ci, où les gens essaient de faire de Lui pas plus qu’un prophète, je vous assure, cela encourage une personne, surtout quelqu’un qui a le Message et le monde sur ses épaules, d’essayer de leur prêcher l’Evangile alors qu’ils cherchent à faire de Lui un prophète.

            Il était Emmanuel, déclare la Bible, Dieu avec nous. Dieu, Jéhovah, demeurait dans Son Fils, sans mesure. Nous sommes des fils d’adoption, Jésus avait l’Esprit sans mesure; nous, nous L’avons avec mesure. Eh bien, Jésus était comme... l’Esprit de Dieu qui était en Jésus était comme l’océan...?... pour Lui. Vous et moi, nous avons le...?... juste comme une cuillerée de cela, mais les mêmes composants chimiques qui sont dans la cuillerée sont dans tout l’océan, ils se retrouvent dans la cuillerée; seulement, ce n’est pas une grande quantité de cela.

            Donc, vous et moi, en tant que fils et filles de Dieu, nous tirons la même...?... et les mêmes oeuvres que Jésus accomplissait, nous devrions aussi les accomplir, car c’est ce qu’Il a dit.

            Maintenant, observez-Le quand Il était ici. Suivons-Le. Et vous qui aimerez suivre les Ecritures, ouvrez avec moi maintenant dans Saint Jean, chapitre 1. Nous trouvons Son ministère juste dans le...?... Il est venu, Il a prié pour les malades et beaucoup de choses se sont accomplies. Il y avait un homme du nom d’Etienne, ou pas Etienne, du nom de Philippe, excusez-moi. Il fut sauvé. Et aussitôt qu’il fut sauvé, il est allé trouver quelqu’un d’autre, son ami.

            C’est un bon signe qu’il était sauvé, quand on va chercher quelqu’un d’autre. Le christianisme n’est pas une chose égoïste, c’est une chose à laquelle on aimerait que tout le monde vienne adhérer, le christianisme. C’est comme une piscine d’eau où tout le monde peut plonger.

27        Il est allé trouver son ami. Si jamais vous avez été à la Terre sainte, mesurez la distance entre le lieu où Jésus était en train de servir les malades et là où Philippe L’a laissé. Il est allé, plusieurs kilomètres de l’autre côté, contournant sur la route, derrière la montagne. Il a trouvé là quelqu’un qui était tout aussi orthodoxe qu’un canon de fusil, droit au possible. Un vrai Israélite, membre d’une bonne église. Il l’a trouvé sous un arbre en train de prier, et Philippe tout excité a dit à Nathanaël, son ami: «Viens voir Qui nous avons trouvé.»

            Ecoutez donc. Nous parlons de la foi: «Viens voir Qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

            Et Nathanaël, se relevant, a dit ceci: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?» Une ville méchante.

            Et il lui a donné la meilleure réponse qu’un homme pût lui donner. «Viens, et vois.» C’est le meilleur moyen de découvrir. «Viens, et vois de toi-même.» Il a dit: «Viens, et vois.»

            Ils ont marché ensemble, ils ont pris le virage. Ce soir-là...?... Il est entré, et Jésus était là, en train de prier pour les malades. Il s’est avancé dans l’assistance, à peu près comme vous êtes assis là. Et alors, Jésus l’a regardé et Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Jésus l’a dit à Nathanaël, la première fois qu’Il le voyait donc dans Sa vie. Quoi? Ecoutez maintenant: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Si je le disais aujourd’hui, je dirais: «Voilà un chrétien, un homme honnête.»

            Alors, il L’a regardé et il a dit: «Rabbi (ou Docteur), quand m’as-Tu connu? Comment as-Tu su quoi que ce soit à mon sujet?»

            Eh bien, Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Est-ce vrai?

28        Qu’a dit l’église? Ils...?... tous les sacrificateurs, les érudits, ils ont dit: «Cet Homme est le chef des diseurs de bonne aventure, Il est Béelzébul, Il est le chef des démons.»

            Dire la bonne aventure, tout, c’est du diable, nous le savons. Il a dit: «Il est le chef des diseurs de bonne aventure.» Il n’était pas assez spirituel pour comprendre ce qu’Il était, il a dit: «Il est le chef des diseurs de bonne aventure, le Béelzébul.»

            Qu’a dit Jésus? Il a dit: «Toutes sortes de blasphèmes seront pardonnés. Vous parlez en mal contre le Fils de l’homme, cela vous sera pardonné, mais quand le Saint-Esprit sera venu et qu’Il fera la même chose, dire un mot contre Cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Vous feriez donc mieux de faire attention, car...

            Eh bien, Son Sang n’avait pas encore été offert, voyez. Mais: «Je vais vous pardonner pour ça, pour avoir dit cela; mais quand le Saint-Esprit sera venu, vous ne serez jamais pardonné.» Combien connaissent cette Ecriture? Dites: «Amen.» Amen veut dire: Ainsi soit-il. Eh bien, quand le Saint-Esprit sera venu, si vous dites: «Eh bien, ce n’est pas le Saint-Esprit», alors qu’Il sera en train d’accomplir la même oeuvre, cela ne sera jamais pardonné.

            Mais qu’a dit Nathanaël? Il se tenait à côté de Lui. Comment ce petit Charpentier se tenant là, juste un Homme ordinaire, habillé comme un homme ordinaire... Il ne faisait pas... Il ne s’habillait pas différemment, en habits de membre de clergé, Il ne les portait pas. Il ne parlait pas une langue inconnue de gens, Il parlait clairement, et un langage ordinaire, de tout le jour. En effet, les gens du peuple L’écoutaient avec joie. Il n’était pas très instruit, ce–c’est la raison pour laquelle on n’arrive pas à traduire la Bible. On cherche à élever cela à un autre niveau, alors qu’Il utilisait un langage d’un niveau bas.

            Le pire lieu où j’aie jamais eu besoin d’un interprète, c’était en Angleterre. Quand ces Londoniens parlaient là, ils parlaient, je ne savais de quoi ils parlaient, alors qu’ils parlaient l’anglais...?...

29        Eh bien, je ne savais pas ce qu’il disait, j’ai dit: «Monsieur.» J’essayais de lui demander le chemin vers l’Abbaye, il n’arrivait pas à me le dire. Il essayait, mais j’avais besoin d’un interprète, un problème pire partout.

            Eh bien, c’est ce qu’on appelle le bon anglais. Essayez de...?... par rapport à mon vieux sassafras du sud...?... le pain de maïs, le haricot rouge, et le hit, hain’t, tot-tote, fetch, carry. Qu’est-ce qu’ils en sauraient là?

            Eh bien, c’est ainsi qu’on essaie de traduire la Bible, en haut...?... l’hébreu et le grec, alors qu’Elle a été exprimée dans le langage de la rue, de chaque jour. Il L’a cachée aux sages et aux intelligents, et Il l’a révélé aux enfants qui veulent apprendre. C’est la raison pour laquelle nous sommes tout embrouillés. Ce mot grec signifie ceci, et ceci signifie cela, l’unique moyen de le savoir, c’est d’aller vers l’Auteur, Christ.

30        Puis, quand ils... Cet Homme, se tenant là...?... il était... Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Eh bien, comment a-t-Il vu de l’autre côté, derrière cette montagne, à plusieurs kilomètres, environ quinze miles [24 km]? Comment a-t-Il vu de l’autre côté, derrière cette montagne, de l’autre côté de la montagne, là où cet homme était, alors que Lui se tenait ici même, ici à l’estrade, en train de parler aux gens tout le temps?

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, Je t’ai vu.»

            Vous savez ce qu’il a dit, l’homme sur qui le miracle avait été accompli? Il a dit: «Rabbi (Docteur), Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.» Il a reconnu, à partir de cela qu’Il était le Messie. Pour les Hébreux, les Juifs, les élus, les gens honnêtes reconnaissaient en Lui le Fils de Dieu, parce qu’Il avait fait cela.

            Maintenant, suivons-Le un peu plus loin. Un peu plus loin, nous voyons que des choses continuent à s’accomplir dans Son ministère. Il se tenait juste parmi les gens. Et la Bible dit: «Il connaissait leur pensée... leurs pensées». Est-ce vrai? Maintenant, dites-moi la différence entre connaître une pensée ou lire votre pensée. Ecrivez la différence et déposez cela ici à la chaire. Pas de différence.

31        Mais le diable, tout ce qu’il peut faire, c’est imiter ce que Dieu a créé. C’est tout ce qu’il était après tout: Un perverti. Il est un imitateur.

            Et aussi sûrement qu’il y a un dollar imité, ou je–je dirai un dollar contrefait, le dollar contrefait n’est que la preuve du véritable et authentique dollar. Si le dollar contrefait, s’il est le–l’original, alors, il est authentique; mais si le véritable est contrefait, c’est la preuve qu’il est le véritable. S’il y a un vieux diseur de bonne aventure quelque part, ou un devin, l’une ou l’autre chose, c’est la preuve seulement qu’il existe aussi le Saint-Esprit authentique. Si ce n’est pas le cas, cela est l’authentique.

            Ainsi, vous les pasteurs ici, vous qui essayez de retirer le Divin de la Bible en Amérique, voyez-vous là où vous vous retrouvez à la minute où vous le faites? Comprenez-vous cela? Vous y êtes. Vous cherchez seulement à rendre véritable le faux, le contrefait, en attribuant le mérite au diable. Il existe un vrai Dieu vivant. Remarquez, à cause du temps, dépêchons-nous, juste un peu.

32        Observons-Le maintenant, ce véritable et loyal Hébreu, un homme sans fraude, un vrai orthodoxe. Il a reconnu en Lui le Fils de Dieu, parce qu’Il avait pu faire cela. Les membres d’églises de l’époque croyaient que les miracles étaient passés, ils disaient: «C’est un diseur de bonne aventure, le diable, Béelzébul.»

            Et Jésus a dit: «Eh bien, Je vais vous pardonner pour avoir dit cela. Mais quand le Saint-Esprit sera venu, Il ne vous pardonnera jamais.»

            Nous Le voyons un jour aller voir une jeune fille malade, et il y avait une petite femme qui souffrait d’une perte de sang depuis plusieurs années. Et elle disait: «Je crois qu’Il est exactement ce qu’Il a affirmé être, et que si seulement j’arrive à toucher Son vêtement, je crois que je serai guérie.» Et la femme s’est faufilée dans la foule parmi tous les incroyants, jusqu’à ce qu’elle est arrivée là où Jésus était, et elle a touché Son vêtement.

            Il n’avait point senti cela, physiquement. Le vêtement palestinien est ample, plus ample que nos vêtements, vous ne touchez jamais... Que quelqu’un touche votre manteau, vous ne le saurez jamais, comme ça. Elle a touché Son vêtement, et cela l’a satisfaite. Elle s’était alors détachée de la foule, puis elle s’est tenue là dans la foule.

            Jésus s’est retourné et a demandé: «Qui M’a touché?» Tout le monde a nié cela. Elle a nié cela: «Ce n’est point moi qui ai fait cela.» Personne n’avait fait ça.

            Il a dit: «Mais quelqu’un M’a touché, car J’ai connu que Je suis devenu faible. La vertu est sortie de Moi.» Un seul toucher avait fait cela.

            Eh bien, suivez-Le. Il a promené le regard sur l’assistance jusqu’à repérer la femme. Ses yeux se sont posés sur elle et Il a dit: «Ta foi t’a guérie. Je n’ai point fait cela, c’est Ta foi qui l’a fait.»

            Elle avait tiré de Dieu ce qu’elle désirait. C’est donc par la foi que cette dame a été guérie. Quand elle a vu qu’elle ne pouvait pas se cacher, elle est venue, s’est prosternée et a confessé tout cela, ce pour quoi elle avait fait cela.

            «Ta foi t’a sauvée.» Sauvé, nous appelons être sauvé, le salut, mais le même mot, être sauvé ou être guéri, c’est le même mot en grec, c’est sozo, le même mot, chaque fois...?... Etre sauvé physiquement ou spirituellement, l’un ou l’autre. «Ta foi t’a sozo, t’a sauvée.»

33        Remarquez donc, vous dites que c’était là Jésus hier. Si c’était là Jésus hier, qui pouvait comprendre les pensées des coeurs de gens, et que Dieu est toujours Lui, cela s’accomplira, ça doit être Jésus aujourd’hui, sinon Il n’est pas ressuscité d’entre les morts. Il n’est pas le même, votre foi est vaine. Il est un homme mort.

            Si une femme a touché Son vêtement, et qu’Il a senti que la vertu était sortie de Lui, et s’Il n’agit pas de même aujourd’hui, c’est qu’Il n’est donc pas le même.

            Eh bien, vous dites: «Prédicateur, Il était...» C’est vrai.

            La Bible déclare: «Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.» Combien savent que c’est vrai? C’est vrai. Il doit être le même. Vous pouvez encore Le toucher avec votre foi.

            Ce avec quoi vous Le touchez, c’est la foi. C’est ainsi qu’elle L’avait touché. Il a dit: «Qui M’a touché?»

            Pierre a dit: «Seigneur, qui T’a touché? Eh bien, a-t-il dit, toute la foule Te touche.» Voyez, beaucoup touchent comme cela aujourd’hui...?... Cela ne sert à rien.

            Oh ! Décrocher un très grand diplôme: Licence en lettres, doctorat en théologie, doctorat en droit, et parfois, ils ne connaissent pas Dieu, pas plus qu’un lapin n’en sait au sujet de raquettes de neige, si vous permettez l’expression.

            Et, regardez...?... vient et Pierre a dit: «Eh bien, toute la foule Te touche. Et pourquoi dis-Tu: ‘Qui M’a touché?’»

            Il a dit: «Je suis devenu faible. Quelqu’un M’a touché avec un bon genre de toucher.» C’est ce qui a fait cela.

34        Eh bien, si c’était là la foi qui avait été présentée au chrétien, par Christ Lui-même, c’est la foi pour laquelle nous devons combattre. Amen. Eh bien, remarquez, juste un peu plus loin. Nous allons juste un peu plus.

            Vous dites: «A-t-Il guéri tout le monde?» Non, non. Quand il fut donné aux disciples la puissance de guérir les malades, ressusciter les morts, purifier les lépreux, chasser les démons, cela leur avait été donné. Avaient-ils guéri tout le monde avec lequel ils étaient entrés en contact? Non. Avaient-ils guéri tout le monde pour qui ils avaient prié? Non, ils avaient misérablement échoué, après qu’il leur eut été donné la puissance. C’est là qu’on en est. L’église a la puissance, mais pas la foi pour la mettre en action.

            Jésus a donné aux disciples la puissance de guérir les malades, de chasser les démons, et ils pouvaient ressusciter les morts et–et faire toutes sortes de miracles. Dix jours plus tard, Il les a trouvés ayant misérablement échoué devant l’épilepsie. Quand Il est descendu de la montagne, un père avait son enfant là, ils criaient probablement, hurlaient, sautillaient, oignaient d’huile, le secouaient. Ils ont vu Jésus venir, le père a couru et a dit: «J’ai amené mon enfant à Tes disciples, et ils n’ont rien pu faire pour lui.»

            Jésus a dit: «Jusqu’à quand vous supporterai-Je? Amenez-le ici.»

            Mais quand Il a guéri ce jeune garçon, les disciples ont dit: «Eh bien, pourquoi n’avons-nous pas pu faire cela? Tu nous as donné la puissance de le faire, pourquoi n’avons-nous pas pu le faire?»

            Il a dit: «C’est à cause de votre incrédulité.»

            C’est toujours la même chose aujourd’hui. Christ ne change pas; les gens changent, votre foi change. Mais alors, Christ est le même.

35        Eh bien, observez juste un peu plus loin, s’il vous plaît. Un jour, Il descendait à la piscine appelée Béthesda, et la Bible dit qu’un grand nombre d’impotents étaient couchés là. Observez le genre de personnes: Boiteux, aveugles, paralytiques, attendant le mouvement de l’eau. Nous sommes dans Saint Jean 5 maintenant.

            Un grand nombre, souvent comme ce qu’il y a ici ce soir, peut-être dix fois ce qu’il y a ici. Ils étaient tous des boiteux, estropiés, paralytiques, aveugles, attendant le mouvement de l’eau. Et juste quelques jours après cela, cette femme-là avait touché Son vêtement, et Le voici passer à côté de cette même piscine, dépassant les aveugles, dépassant les estropiés, dépassant... Etait-Il plein de compassion? Oui. Eh bien, pourquoi n’avait-Il pas eu compassion? Vous voulez me dire que le Christ miséricordieux, Emmanuel oint, passerait au milieu des boiteux, estropiés, paralytiques et aveugles sans les avoir jamais guéris? La Bible dit qu’Il l’a fait...?...

36        Maintenant, suivez, gardez cela à l’esprit. Parfois, vous ne savez pas ce que la compassion veut dire, ami. Les gens sont si...?... liés, ils ne comprennent pas les choses célestes. Nous, non plus. Voyez, la compassion, c’est accomplir la volonté de Dieu, pas–pas la sympathie. Il y a une grande différence entre la sympathie et la compassion. Maintenant, suivez-Le.

            C’est juste comme l’amour. L’amour, il y en a de deux catégories. Nous le savons. Un seul. Les deux mots grecs, l’un, c’est–c’est Agapao, et l’autre, c’est phileo. L’amour phileo est terrestre; par exemple, l’amitié. L’amour Agapao vient d’En Haut. Ecoutez donc ceci. L’amour phileo, c’est ce que vous éprouvez pour votre femme, vos enfants: c’est phileo. Or, si quelqu’un offensait votre femme, ce genre d’amour vous pousserait à le tuer, l’homme qui a offensé votre femme. C’est phileo. Mais l’amour Agapao vous amènera à prier pour son âme perdue. Voilà la différence.

            C’est ainsi avec la compassion humaine et la compassion de Dieu. La compassion dans le domaine de l’Esprit, cela veut dire accomplir la volonté de Celui qui vous a envoyé. Jésus est passé au milieu de cette foule constituée de tous ces petits enfants aveugles, paralytiques, estropiés, boiteux (Saint Jean 5), Il est passé là et Il n’a guéri aucun d’eux; jamais. Il est allé vers un homme qui était couché sur un grabat; vous les gens du sud, vous savez ce que c’est un grabat. J’ai passé la plus grande partie de ma vie là-dessus, sur cela et sur une paillasse, mais couché sur un grabat.

37        Maintenant, suivez. Le Seigneur savait qu’il était là. Je dois surveiller...?... et Il a cherché dans cette foule jusqu’à ce qu’Il a repéré... Voici un paralytique, Il le regarde, ce n’est pas lui. Voici un aveugle, ce n’est pas lui.

            Quelqu’un a crié: «Oh ! Que quelqu’un m’aide à entrer dans la piscine quand l’ange vient.» L’ange venait sur l’eau et l’agitait. Dieu a toujours eu un moyen de guérir les gens. Il n’est jamais resté sans guérison. Ainsi, il... Le premier à entrer, avec la foi, toute la vertu de cet ange allait à cette personne-là. Ils devaient attendre un ou deux mois avant qu’Il revienne, de temps en temps.

            Et chaque fois, quelqu’un criait et hurlait: «La–l’eau est agitée, l’ange est ici.» Tout le monde se saisissait, sautait, se bousculait et tout, cherchant à y entrer le premier pour toucher, par leur foi, l’ange. Et vous savez, les historiens nous rapportent, les historiens, qu’ils se poignardaient même en cherchant à se frayer la voie vers la piscine. Et Jésus au milieu de ces gens qui avaient foi en Lui, ils ne se coucheraient pas là, s’ils n’avaient pas foi en Lui. Alors, Il est passé au milieu, sans jamais toucher aucun d’eux, Il est allé vers un homme couché sur un grabat, souffrant d’une espèce de maladie qui avait duré, peut-être la prostatite, ou–ou la tuberculose, il en avait souffert pendant trente-huit ans. Cela avait duré, cela n’allait pas lui faire du mal ni le tuer. Et Jésus est allé là où il était et Il a dit: «Veux-tu être guéri?»

            Pourquoi n’a-t-Il pas dit cela aux boiteux, aux aveugles, aux paralytiques qui allaient mourir? Comprenez-vous cela?

38        Maintenant, nous allons amener cela à l’apogée dans une minute. Pourquoi est-Il allé vers cet homme et non vers les autres? Ça aurait été un miracle de loin plus grand. Pourquoi n’est-Il pas allé vers eux? Il a dit: «Veux-tu être guéri?»

            Il a dit: «Je n’ai personne pour me jeter dans l’eau.»

            Il a dit: «Prends ton lit et rentre chez toi.» Il a quitté directement cette piscine-là, Il n’a pas...?... les pauvres, les boiteux, les estropiés, les aveugles, les paralytiques couchés là. Et s’Il faisait cela à Spindale ce soir? Il aurait le même genre de critiques qu’Il avait attrapées jadis. Ils L’ont critiqué. Ils ont attrapé l’homme avec son lit sur l’épaule. Maintenant, dans Saint Jean 5, le verset 19, quand Jésus fut interrogé, voici, écoutez. Quand Jésus fut interrogé, qu’a-t-Il dit? «En vérité, en vérité, (Ce qui veut dire absolument, absolument) Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Combien ont déjà lu cela dans la Bible? Faites voir les mains. Tout celui qui a déjà lu le...?...

            Il ne pouvait donc rien faire de Lui-même, Il nous a absolument dit là que le Père Lui montrait en vision premièrement quoi faire, et Il allait faire exactement ce que le Père Lui avait montré. C’est la raison pour laquelle Il avait dépassé toutes ces autres personnes et... En effet, la Bible dit qu’Il savait que cet homme était là et qu’il était dans cet état-là depuis longtemps. Est-ce vrai? C’est exact. Voyez, vous survolez cela en lisant.

            Souvent dans les écoles et les séminaires, vous survolez les vérités fondamentales de la Bible. Vous avez une doctrine établie, et puis vous vous y accrochez bien. C’est la raison pour laquelle les Juifs n’avaient pas reconnu Jésus. Ils avaient leur propre voie établie, selon laquelle Il allait venir. Nous avons nos propres voies établies, et Il–Il va probablement surprendre chacun de nous quand Il viendra. Il viendra d’une façon dont vous ne pensez même pas, et ça sera purement scripturaire.

39        Maintenant, encore une déclaration avant que nous terminions. Arrêtons-nous, une page en arrière. J’en ai raté une que je voulais vous donner. C’est le chapitre 4 de Saint Jean, vous qui ouvrez là.

            Jésus descendait à Jéricho. Combien ont déjà été à la Terre sainte? Probablement, peut-être personne. Mais Jérusalem est située sur une colline, Jéricho est située dans la vallée. Jérusalem est l’une des villes à une plus haute altitude, Jéricho est l’une des villes à la plus basse altitude. Et pour aller de Jérusalem à Jéricho, il y a une route directe là sur la montagne. Mais maintenant, suivez. Il lui fallait passer par la Samarie. Avez-vous déjà lu cela? Et la Samarie est située sur la colline de ce côté-ci. Pourquoi? Pourquoi monter dans ce sens-là pour descendre de ce côté-ci? Maintenant, suivez les Ecritures.

            Pourquoi a-t-Il fait cela? Le Père Lui avait dit de monter. Il monte et arrive là vers midi. Il s’assoit près d’un puits. Si jamais vous avez été en Orient, cette Bible devient pour vous un Livre nouveau, toutes les coutumes de l’Orient. Voyez, nous, nous sommes des Occidentaux, Ceci est un Livre de l’Orient. Et, oh ! que c’est différent !

            Nous aborderons cela cette semaine, entre ici et Charlotte et quelque part...?... Quand je reviendrai avec une tente, l’année prochaine, le Seigneur voulant, nous aurons beaucoup de temps...?...

40        Or, en Orient, si jamais vous voyez leurs coutumes, alors, ce Livre devient clair pour vous. Nous les Occidentaux, nous organisons ce que nous appelons travail, mais ce qu’il y a là, c’est tout à fait différent. Mais maintenant, Il a dit...

            Un puits est généralement un lieu où des plantes rampantes poussaient tout autour, il y avait on dirait comme une voûte là-dedans. Jésus va s’asseoir là et renvoie Ses disciples dans la ville pour chercher des vivres. Et en leur absence, une femme de Samarie sort puiser de l’eau. Eh bien, nous la connaissons comme une prostituée, une femme de mauvaise réputation, vous n’êtes pas exercés à ce....Une.-.une femme de mauvais caractère, était sortie puiser de l’eau.

            Eh bien, on est vers midi peut-être, comme elle ne pouvait pas sortir là quand les autres femmes y étaient. Il y avait une différence sur ce point à l’époque; aujourd’hui, elles sont toutes ensemble. Mais une femme d’un mauvais caractère, elle ne pouvait même pas s’associer avec les autres femmes. Elle ne le peut toujours pas en Orient. On les distingue, et elle devait venir à un autre moment. Eh bien, après que toutes les vierges étaient venues et avaient puisé de l’eau, elle pouvait sortir parce qu’elle avait une mauvaise réputation. Et peut-être que c’était ainsi, parce qu’elle était restée éveillée toute la nuit, et qu’elle venait de se réveiller. De toute façon, elle est allée là faire descendre sa cruche pour puiser de l’eau; et alors, Jésus, un Juif ordinaire...?... assis sur le puits, adossé au mur, a dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Eh bien, suivez attentivement maintenant. Elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose aux Samaritains. Nous n’avons pas de relations entre nous.» Juste comme entre les gens de couleur et les Blancs aujourd’hui, et les autres, un problème racial est là aujourd’hui, la ségrégation. Elle a dit: «Nous n’avons pas pareilles coutumes, que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose aux Samaritains.»

            Il a dit: «Mais femme, si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire, et Je t’aurais donné de l’eau que tu ne viendrais pas puiser ici.»

            Elle a dit: «Le puits est profond, et Tu n’as rien pour puiser. Comment vas-Tu avoir de l’eau?»

            Il a dit: «L’Eau que Je te donnerai, c’est l’Eau de ton âme, Elle jaillira jusque dans la Vie Eternelle.»

            Elle a dit: «Eh bien, nos pères ont adoré sur cette montagne. Vous, vous dites que c’est à Jérusalem.» La conversation s’est poursuivie longtemps. Eh bien, vous devez me croire sur parole là-dessus maintenant, voici, cette partie-ci. Il était en train de contacter son esprit. Le Père L’avait envoyé là, mais Il ne savait pas encore ce qui allait se passer. Et quand finalement Il a contacté l’esprit de la femme, Il est allé droit à son problème.

            Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est vrai, tu en as eu cinq.»

            Eh bien, suivez attentivement. Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Or, nous savons...» (Qui? Les Samaritains. Suivez les Juifs maintenant, chez Nathanaël.) Elle a dit: «Nous savons que quand le Messie sera venu...» (Croyez-vous que Jésus était le Messie? Assurément qu’Il L’était, le Fils de Dieu.) Elle a dit: «Nous savons, nous avons un signe que nous attendons. Quand le Messie sera venu, c’est ce qu’Il fera. Il nous annoncera toutes choses. Mais Toi, qui es-Tu?»

41        Eh bien, si c’était là le signe du Messie, Jésus, en ce temps-là, et si Jésus n’est pas mort et qu’Il est vivant aujourd’hui, qu’Il est ressuscité d’entre les morts, ça doit donc être le signe du Messie aujourd’hui, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai?

            Elle a dit: «Nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses, mais Toi, qui es-Tu?»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Elle est entrée dans la ville et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie?»

            C’était là le signe du Messie pour les Samaritains...?... les Ecritures. C’était le signe de...?... Messie pour les Juifs. Est-ce vrai? Maintenant, ils étaient trop raides et orthodoxes pour accepter cela.

            Mais Nathanaël a dit: «Je sais Qui Tu es. Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.»

            Mais les Juifs ont dit: «Non, Il ne l’est pas. Il est Béelzébul.» Mais c’était néanmoins le signe. Les Samaritains lisaient la même Bible dans l’Ancien Testament. Nous aborderons et prouverons cette semaine que c’est ce qu’Il était censé faire.

            Elle a dit: «Nous savons que c’est... Nous savons que le Messie fera cela, mais Tu dois être le Prophète.»

            Il a dit: «Je suis le Messie.»

42        Maintenant, juste un instant; croyez-vous qu’Il est ressuscité d’entre les morts? Vos oeuvres représentent-elles plus que... mort...?... ou notre Seigneur ressuscité? Notre Seigneur ressuscité.

            Maintenant, suivez. Quand Il partait, dans Saint Jean, chapitre 14, verset 12, Il a dit: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais. Davantage (Il est utilisé le terme de plus grandes là, pour vous qui prenez note...?... De plus grandes: il ne peut y en avoir; de plus grandes en quantité, pas en qualité.) vous en ferez davantage que ceci, car Je m’en vais au Père.» Est-ce vrai?

            Jésus a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus.» Est-ce vrai? «Mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Est-ce vrai?

            Maintenant, c’est ce qu’Il a présenté à Son Eglise. Je pense, Il savait...?... pour la–l’église, quand Il a dit dans Actes 2: «Hommes Israélites, Jésus de Nazareth, cet Homme à qui Dieu a rendu témoignage parmi vous par des signes et des prodiges que Dieu a opérés par Lui au milieu de vous tous, et vous en êtes témoins.» Est-ce vrai?

            Je pense que Nicodème l’a bien dit pour l’église orthodoxe: «Rabbi, nous savons...» Qui? Nous l’église. Il a dû venir de nuit, car il aurait été excommunié. Voyez?) «Nous savons que Tu es un Docteur venu de Dieu, car aucun homme ne peut faire les oeuvres que Tu fais si Dieu n’est avec lui.»

            Et quand la foi fut donnée à l’église, Pierre était sur le toit de la maison et Dieu allait l’envoyer à...?... chez Corneille, et Pierre a eu une vision des Gentils qui entraient; est-ce vrai?

43        Et puis, quand Paul était en route vers Damas pour arrêter ceux qui faisaient trop de bruits et les mettre en prison, il y avait là un homme du nom d’Ananias qui avait vu Paul en vision, sur quelle rue il restait, la position sur... dans laquelle il était. Et le Seigneur lui a dit d’aller lui imposer les mains, qu’il recouvrerait la vue et qu’il serait rempli du Saint-Esprit, et il était un prophète. Il a donc dit: «Maintenant, Seigneur, j’ai entendu parler de cet homme.»

            Il a dit: «Voici, il prie.»

            Et Ananias est passé par la place de la ville, il a vu ce que la vision lui avait annoncé. Il est descendu vers cette petite rue appelée la Droite. Il est entré, il a imposé les mains à Paul et a dit: «Frère Paul, le Seigneur Jésus t’est apparu en chemin, n’est-ce pas? Et Il m’a envoyé t’imposer les mains afin que tu recouvres la vue et que tu sois rempli du Saint-Esprit.»

            Si ce n’était pas là la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, c’est que je ne la connais pas. C’est vrai. Pierre était en prison et la Lumière a brillé sur lui, cette Lumière, c’était la Colonne de Feu; Elle est entrée dans la prison et l’a libéré de la prison.

            Paul fut coincé quatorze jours et quatorze nuits dans un navire: Pas de lune, pas d’étoiles ni... Il n’y avait plus d’espoir pour eux d’être donc sauvés. Il est descendu dans la cloison du navire et a prié, il est remonté, avec des chaînes sur lui, prêchant toujours l’Evangile. Il a secoué les chaînes de ses bras et a dit: «Prenez courage, car un ange de Dieu dont je suis le serviteur s’est tenu à côté de moi cette nuit et m’a dit: ‘Paul, ne crains point. Il faut que tu comparaisses devant César, et voici, Dieu te donne tous ceux qui naviguent avec toi.’ Et j’ai vu en vision que le petit navire doit faire naufrage sur une certaine île. Ainsi donc, frères, j’ai confiance en Dieu qu’il en sera exactement tel qu’Il me l’a dit.»

44        C’était là la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, et si ce même genre d’actions et d’oeuvres ne se passe pas aujourd’hui, c’est que nous manquons d’obéir à ce que Dieu nous a envoyé faire.

            Oui. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] «...?... plus que Dieu, déloyaux, calomniateurs, intempérants; ennemis de gens de bien.»

            Vous dites: «Frère Branham, là, ce sont des communistes.» Ce sont les membres d’église. Qu’a-t-Il dit? «Enflés d’orgueil, emportés, aimant le plaisir plus que Dieu, ennemis des gens de bien, ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force surnaturelle; éloigne-toi de ces hommes.»

            Les Ecritures en rapport avec cela, le Saint-Esprit l’a annoncé pour ce jour-ci. Il n’est donc pas étonnant que le communisme ait une–une emprise; c’est que l’église a relâché sur le Message du Seigneur Jésus-Christ, quant à représenter.

45        Docteur Morris Reidhead, le célèbre...?... qui était le président des Grandes Missions Soudanaises, les plus grandes au monde, est venu chez moi et a dit: «Frère Branham, j’ai assez de diplômes pour tapisser votre mur.» Il a dit: «Je sais que vous étiez un baptiste, mais vous traitez avec ces pentecôtistes.» Il a dit: «Je les ai vus renverser du pied les fauteuils et détruire les meubles.» Il a dit: «Y a-t-il quelque chose dans cela?»

            J’ai dit: «Il y a beaucoup de fanatisme, mais il y a un véritable et authentique Saint-Esprit aussi. Quand vous entendez un prétentieux, vous savez qu’il y a quelqu’un qu’il imite par ses prétentions.»

            Et il a dit: «Frère Branham, j’ai été totalement vaincu, plus de quelques semaines, et je me suis proposé de vous voir ici aujourd’hui...?... un ami et un autre homme.» Il a dit: «Je voulais vous poser une question.» Il a dit: «Eh bien, j’ai commencé à l’âge de sept ans.» Et il a environ quarante-cinq maintenant. Il a dit: «J’ai décroché ma licence en lettres, mon doctorat en théologie, mon doctorat en droit et tout. Je n’ai même pas...?... Mais, a-t-il dit, où est Jésus dans tout cela?» Il a dit: «Les maîtres étaient-ils en erreur?»

            J’ai dit: «Je n’oserais pas dire cela, docteur Reidhead, certainement pas.» J’ai dit: «Ils avaient raison, mais connaître... avoir un diplôme, ce n’est pas connaître Christ. Il vous faut Le connaître, Lui, la Personne.»

            Il a dit: «J’ai été vaincu...?... Frère Branham, c’est pourquoi je suis ici, a-t-il dit. Un musulman a suivi une instruction scolaire ici.» Il a dit: «Quand il rentrait, j’ai dit: ‘Pourquoi ne rejettes-tu–tu pas Mahomet, ton vieux prophète mort.’» [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Et de voir ce cheval blanc comme cela se tenir là et attendre qu’il ressuscite d’entre les morts. Il a dit: «Pourquoi ne rejettes-tu pas ton vieux prophète mort pour recevoir le Seigneur Jésus ressuscité et rentrer avec Lui chez toi?»

            Il a dit: «Gentil monsieur», a dit l’Indien au chrétien, le musulman au chrétien, au grand docteur en...?... Il a dit: «Gentil monsieur, qu’est-ce que votre Seigneur Jésus peut faire pour moi de plus que mon prophète mort?» Eh bien, méditez juste une minute.

            Il a dit: «Oh ! Eh bien, vous voyez, a-t-il dit, votre prophète est mort et il est dans la tombe.» Il a dit: «Notre Seigneur Jésus est ressuscité d’entre les morts.»

            Il a dit: «C’est vrai? Prouvez-le-moi, qu’Il est ressuscité d’entre les morts.» Il a dit: «Il est tout aussi mort que Mahomet.»

            Il a dit: «Oh ! non, a-t-il dit, Il est ressuscité d’entre les morts.»

            Il a dit: «Monsieur, vous avez eu deux mille ans pour le prouver. Les deux tiers du monde n’en ont jamais entendu parler, a-t-il dit; quel est le problème?» Qu’en est-il? Eh bien, vous les enseignants des séminaires, vous baissez vivement la tête.

            Il a dit: «Prouvez-le, qu’Il est ressuscité d’entre les morts.»

            Il a dit: «Eh bien maintenant, attendez une minute, a-t-il dit, vous voyez, monsieur, a-t-il dit, eh bien, nous... autre...?... juste une minute.»

            Il a dit: «Votre Jésus, a-t-il dit, est ressuscité d’entre les morts il y a deux mille ans, les deux tiers du monde n’en savent rien. Que Mahomet ressuscite d’entre les morts, en vingt-quatre heures, le monde entier le saura.» C’est exact, c’est vrai.

            Il a dit: «Maintenant, regardez...» Docteur Reidhead a dit: «Frère Branham, je lui ai dit: ‘Oh ! mais nous avons la joie, nous avons le Saint-Esprit. Nous avons la joie et la paix, et nous savons de quoi nous parlons ce soir.’»

            «Juste un instant, monsieur Reidhead, a-t-il dit, l’islam peut produire autant de psychologie que le christianisme.»

46        Il a reconnu qu’il n’avait pas rencontré un bleu. Il avait rencontré quelqu’un qui savait de quoi il parlait. Il a dit: «Nous les musulmans, nous avons autant de joie et nous nous réjouissons...» Et ils ont cela, je les ai vus prendre des lances, ici même au menton, se percer directement le nez et ressortir cela sans jamais même saigner–saigner d’une goutte, et faire passer juste par émotions.

            Ils invoquent: «Allah ! Allah ! Allah ! Allah ! Allah !» Ils prennent des échardes, se les font passer par les doigts, et les retirent sans même jamais saigner, sans même jamais sentir cela. Assurément, l’un d’eux a une épée, il se la transperce, il la ressort, jamais...?... une goutte. Le médecin a saisi cela, il a pris, il a fait sortir cela, il a dit: «Faites passer de l’eau au travers de cet homme et faites passer cela par l’autre bout», et il se tenait juste devant moi. Assurément, ils peuvent produire autant de psychologie que le christianisme.

47        Il a dit: «Mais laissez-moi vous dire quelque chose, monsieur Reidhead.» Il a dit: «Mahomet nous a promis seulement la vie après la mort.» Il a dit: «Votre Jésus, dans votre Bible, a promis que vous feriez aussi les mêmes oeuvres qu’Il avait faites.» Il a dit: «Laissez-moi vous voir, vous les enseignants, produire cela, et nous les musulmans, nous croirons qu’Il est ressuscité d’entre les morts. Mais, a-t-il dit, tant que vous ne le faites pas, Il est un Homme mort autant que Mahomet.»

            Il a dit: «Frère Branham, je ne pouvais pas parler.» Il a dit: «Je n’avais nulle autre part où me tourner.» Il a dit... Il n’avait rien d’autre à dire, il se tenait juste avec un homme tout aussi intelligent que lui. Il a dit: «Je ne pouvais–je ne pouvais rien dire.»

            Il a dit: «D’abord, je lui ai dit...» Il a dit: «Oh ! Eh bien, a-t-il dit, je vais vous dire quoi–je vais vous dire quoi, monsieur, a-t-il dit, vous avez lu le Nouveau Testament.»

            Il a dit: «Oui, monsieur, je L’ai étudié d’un bout à l’autre, même depuis mon enfance.»

            Il a dit: «Vous vous référez à Marc 16, n’est-ce pas, là où Il a dit: ‘Allez par tout le monde, et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.’»

            Il a dit: «Oui, monsieur, c’est l’un des passages.»

            Il a dit: «Eh bien, vous voyez, monsieur, a-t-il dit, ce sont les–les illettrés qui acceptent cela, a-t-il dit; mais dans des séminaires, nous apprenons que Marc 16, du verset 9 jusqu’à la fin, n’est pas inspiré.»

            Le musulman a dit: «Quoi? Ce n’est pas inspiré?»

            Il a dit: «Non, du...» Il a dit: «Eh bien, c’est le Vatican qui a inséré cela là, a-t-il dit, du–du verset 9 jusqu’à la fin. Ce que Jésus avait dit, c’était: ‘Allez par tout le monde, prêchez la Bonne Nouvelle, celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, celui qui ne croira pas sera condamné’, et c’est tout. C’est le Vatican qui a simplement ajouté: ‘Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.’»

            «Eh bien, a-t-il dit, quel genre de Livre lisez-vous? Une Partie de Cela est inspirée et le reste de Cela n’est pas inspiré.» Il a dit: «Tout le Coran est inspiré.» Vous y êtes. Pourquoi ne regardez-vous pas la vérité en face, ministres...?... a dit Jésus.

48        Si je n’ai pas la foi d’accomplir cela, je ne ferai jamais obstacle à quelqu’un d’autre qui a effectivement la foi pour accomplir cela; ça, c’est une chose sûre.

            C’est la vérité, et c’est la raison pour laquelle l’église chrétienne est dans un état de défaite ce soir. Certainement, c’est qu’elle a manqué de faire, c’est représenter le Seigneur Jésus-Christ ressuscité. S’Il est ressuscité d’entre les morts, il n’y a qu’une seule différence entre ce qu’Il était, ce qu’Il est ici dans un corps Esprit plutôt que d’être dans un corps corporel comme nous ce soir.

            «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde. Et vous ferez aussi les oeuvres que Je fais et vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.» Est-ce vrai?

            En d’autres termes, Dieu travaillait uniquement au travers d’un seul Individu; c’était Christ. Maintenant qu’Il est sous forme du Saint-Esprit, l’oeuvre se fait à l’échelle universelle, dans le monde entier. «Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.» Il est ressuscité d’entre les morts.

49        Docteur Reidhead m’a dit: «Frère Branham, j’avais entendu parler de vos réunions. J’ai lu votre livre intitulé Un prophète visite l’Afrique.» Il a dit: «Est-ce la vérité?»

            J’ai dit: «Docteur Reidhead...?... C’est la...?... vérité. Jésus est ressuscité d’entre les morts.»

            Il a dit: «Y a-t-il quelque chose à part...» Il a dit: «Frère Branham, que puis-je faire de plus?» Il a dit: «Je suis baptiste, autant que vous.» Il a dit: «Dieu a parlé à Abraham, Il l’a justifié par la foi, a-t-il dit, Abraham crut Dieu, et cela lui fut imputé à justice. Quoi de plus peut faire un homme sinon croire?»

            J’ai dit: «C’est la vérité, docteur Reidhead, c’est tout ce qu’un homme peut faire. Abraham crut Dieu et cela lui fut imputé à justice, ai-je dit, mais après Dieu lui donna le sceau de la circoncision pour confirmer sa foi. Et quand un homme croit au Seigneur Jésus-Christ, Dieu lui donne le baptême du Saint-Esprit comme sceau pour montrer qu’Il a reconnu que sa foi est juste et Il lui donne le sceau du Saint-Esprit. Car la Bible dit dans Ephésiens 4.30: ‘N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu par lequel vous êtes scellé pour le jour de la rédemption.’»

            Eh bien, si nous pouvons ramener le Saint-Esprit, alors vous verrez les miracles s’accomplir. Le Saint-Esprit rend témoignage à Christ chaque fois. Voyez. Un homme peut témoigner et sa vie...?... Mais le Saint-Esprit s’accordera avec la Parole, car c’est le Saint-Esprit qui a écrit la Parole. Amen.

50        Eh bien, je vous ai gardés longtemps. Je n’en avais pas l’intention. Mais ce soir, j’aimerais vous poser une question. Je peux me tenir ici et prêcher une heure là-dessus. Cela sera la parole d’un homme. Une seule Parole de la part de Jésus-Christ représentera plus que tout ce que les hommes au monde pourraient dire. Maintenant, demandons-Lui de bien vouloir apparaître.

            Si Jésus apparaît ici sur la scène ce soir, devant vous ici même, Jésus-Christ, le Fils de Dieu ressuscité, s’Il apparaît ici, et tout ce qu’Il était jadis, à part un corps corporel, allez-vous croire qu’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il vit parmi Son peuple aujourd’hui? Si vous allez le croire, levez la main. Merci. Merci.

            J’étais surpris de voir que beaucoup de mains ne se sont pas levées. Qu’est-ce qu’il faut pour vous faire croire? Vous dites: «Produisez les oeuvres», et je ne peux pas croire l’Esprit, alors que ce sont les deux témoins que Dieu a. Qu’est-ce que vous croirez? Vous devez être né pour ne pas croire, vous n’avez rien avec quoi croire.

            Maintenant, à vous qui croyez, à vous qui attendez, à vous qui vous posez des questions, rappelez-vous, si Christ est ressuscité d’entre les morts, Il doit donc faire les mêmes oeuvres qu’Il faisait quand Il était ici sur terre, sinon la Bible est fausse et Christ est mort. Mais s’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il fait par Son Eglise les mêmes oeuvres que ce qu’Il faisait quand Il était ici sur terre, et qu’Il leur a annoncé que l’église verrait cela, jusqu’à ce qu’Il revienne, jusqu’à la fin du monde, alors quelle joie devrions-nous avoir, ce soir, de savoir que Jésus est ressuscité d’entre les morts. Prions.

51        Notre Père céleste, nous vivons dans un monde cruel, où l’indifférence, l’égoïsme, la cupidité, le préjugé, la peur...?... des bombes redoutables sont dans des silos ce soir, trois d’entre elles anéantiraient le monde en vingt-quatre heures, il ne resterait même pas un insecte. Tu as dit: «Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme», quand le monde fut détruit; sauf Noé qui surmonta le jugement dans l’arche. Nous sommes très contents de ce que Tu as une issue aujourd’hui pour ceux qui voudront écouter cela.

            Maintenant, de fortes déclarations ont été faites, Seigneur, ici devant sept ou huit cents personnes. Je Te prie de Te manifester, Seigneur, sachant que nous ne sommes que chair, juste un homme, un pécheur sauvé par la grâce. Je Te confie ce service ainsi que moi-même, afin que Tu viennes maintenant, Seigneur, confirmer que j’ai dit la vérité. J’ai parlé de Toi, Seigneur. Maintenant, viens parler, que c’est la vérité. Le veux-Tu, Père? Puissions-nous trouver grâce auprès de Toi ce soir, au Nom de Christ. Amen.

52        Maintenant, je vais vous demander quelque chose, si vous... Je ne vois d’horloge nulle part, mais généralement... Il y a une onction du Saint-Esprit, l’Ange du Seigneur.

            Maintenant, ne vous levez pas pour vous déplacer, voyez. Eh bien, si vous êtes un critiqueur, ne restez pas davantage, car je ne serai pas responsable des critiqueurs. Rappelez-vous, les maladies vont d’une personne à une autre. Nous ne faisons pas de religion. Peut-être que cette semaine, je vous en parlerai et je vous montrerai des déclarations scellées qui font état de ce que de grands hommes dans des villes sont paralysés, d’autres sont dans des asiles des fous, et tout le reste. Nous ne faisons donc pas de religion. Le même Saint-Esprit qui était jadis est le même Saint-Esprit qui est ici...?... peut aller de l’un à l’autre. Restez assis très respectueusement. Si vous ne pouvez pas rester assis pendant les quinze, vingt prochaines minutes, il est temps de partir maintenant, voyez.

            Et pendant que nous chantons un cantique et que nous formons la ligne de prière... Revenez demain soir, et je vous parlerai davantage de l’Evangile. Peut-être que vous pourrez rester là et écouter. C’est étrange qu’on ne vous ait pas enseigné ces choses, mais, mon bien-aimé frère, il n’y a rien de ce que j’ai dit ce soir qui n’ait été tiré de cette Bible, avec une promesse divine, à savoir les mêmes oeuvres s’accompliront. Et demain soir, nous continuerons directement là-dessus, et je vous montrerai que... comment cela continue dans la Bible, de la couverture à la couverture.

53        Maintenant, avez-vous distribué des cartes de prière? B-1 à 100? 1 à 50.

            Très bien, la carte de prière B a été distribuée. Qui a la... de prière. C’est une toute petite carte, vous n’en avez pas une là, juste une petite carte, et cela porte ma photo d’un côté, et au verso, il y a une–une lettre B avec un numéro dessus. Et qui a B numéro 1, voudriez-vous lever la main, quelqu’un? Très bien, voudriez-vous venir là même, madame? Huissier ou quelqu’un, Billy, allez là, Gene ou l’un de vous, aidez-la. B numéro 2, voudriez-vous lever la main? Ici même.

            Numéro 3, pouvez-vous... numéro 3, regardez la carte de votre voisin. Peut-être que c’est quelqu’un de sourd, quelqu’un qui ne peut pas entendre ou parler, quelqu’un qui ne peut pas se lever. Si c’est le cas, eh bien alors, c’est... Nous l’aiderons. B numéro 3, voudriez-vous lever la main, s’il vous plaît? Vérifiez certaines de ces cartes, les gens ne peuvent pas se déplacer ou quelque chose comme cela; le voulez-vous, s’il vous plaît? Est-ce 3 là? Etes-vous 3?, B numéro 4, voudriez-vous lever la main? Très bien, madame, ici même. Numéro 5, voudriez-vous lever la main, si vous le pouvez? Numéro 5. Numéro 6, maintenant, ne levez pas la main ou quelque chose, nous allons... Faites signe à quelqu’un à côté de vous, qu’il vous aide à vous lever. Numéro 6, très bien.

            Numéro 7, B numéro 7, est-il là? Numéro 8, voudriez-vous lever la main? Numéro 8, voudriez-vous lever... 8, avez-vous eu cela, monsieur? Venez ici, s’il vous plaît, 8. Numéro 9, voudriez-vous lever la main? B numéro 9, voudriez-vous lever la main, s’il vous plaît? Numéro 9, ai-je raté cela? Qui a numéro 9? B numéro 9, il est déjà dans la ligne? Faites-moi voir votre main, vite, s’il vous plaît, avant que vous alliez dans la ligne afin que je...

            Numéro 10, qui a B numéro 10? Voudriez-vous lever la main? B numéro 10, venez ici même, très bien, monsieur, ici. Numéro 11, B numéro 11, voudriez-vous lever la main, s’il vous plaît? Que quelqu’un m’aide à voir. Est-ce... Est-ce le... numéro... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ...?... Formez la ligne de prière.

54        Maintenant, Père céleste, nous prions que Tes bénédictions reposent sur ces gens. Et maintenant, pour Ta gloire, je me soumets à Toi, sachant, Seigneur, que tous ces gens me sont inconnus, je ne les connais pas, mais Toi, Tu les connais certes. Je Te prie de les aider à rester calmes et accorde à Ton serviteur Ton Esprit et oins-moi maintenant même pour Ta gloire. Je demande ceci au Nom de Christ. Amen.

55        Très bien, vous pouvez relever la tête. Maintenant, la raison pour laquelle vous devez veiller à ceci, c’est que je ne sais pas à quel point cela porte haut ou bas. Eh bien...?... le micro, parce que vous seriez... Si le Seigneur apparaît effectivement, et qu’il y a beaucoup de visions, je deviens donc faible. Mes forces diminuent, c’est pourquoi ces jeunes gens se tiennent là, surveillant. Ils savent exactement quand c’est assez.

            Eh bien, rappelez-vous, amis, à vous ici qui ne comprenez pas les choses spirituelles, cela se passe dans une autre dimension, dans un autre monde. Et quand l’Esprit commence à oindre...

            Maintenant, voyez-vous cet Ange sur la photo là? C’est accroché à Washington, D.C. Cela a été examiné par le FBI, et c’est considéré comme l’unique Etre surnaturel qui ait jamais été photographié, preuves à l’appui. Voyez donc George J. Lacy, le responsable du département de FBI à l’époque, voyez donc son nom et son adresse et tout.

            Maintenant, ce même Ange n’est pas à cinq pieds [1,5 m] de là où je me tiens maintenant même. Eh bien, c’est vrai. Donc, ce n’est pas moi, c’est Lui. Il y avait une Colonne de Feu qui conduisait les enfants d’Israël. Combien d’étudiants de la Bible savent cela? Une Colonne de Feu. Est-ce vrai? Qui était cette Colonne de Feu? Christ, l’Ange de l’alliance, c’était Christ. Il était avec Moïse dans le désert, assurément. Il a dit: «Avant qu’Abraham fût, JE SUIS.» Il était le JE SUIS.

            Maintenant, s’Il est toujours le même, Il est encore ici sous forme de la Lumière comme la Colonne de Feu. Paul L’a vu quand Il était en route vers Damas, est-ce vrai? Il L’a vu. Il a dit: «Je viens de Dieu, Je retourne à Dieu. Le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez.»

56        Maintenant, j’aimerais parler à la femme juste pour contacter son esprit. Eh bien, si le Seigneur Jésus accomplit le même miracle ici, entre cette femme et moi, ou n’importe qui parmi vous qui est assis là dans l’assistance, peu importe qui vous êtes, veuillez regarder de ce côté-ci et croyez que je vous ai dit la Vérité de l’Evangile. Je vous assure que le Saint-Esprit vous parlera en retour. Eh bien, c’est un défi direct, n’est-ce pas? Et je suis sûr que vous les chrétiens, vous appréciez, moi étant votre frère en Christ, la situation dans laquelle je me trouve et pourquoi j’explique ce que Cela est en ce moment-ci. Soit j’ai dit la vérité, soit j’ai dit un mensonge, et c’est Dieu qui doit confirmer cela. Voudriez-vous venir prendre ma place? Montez ici même maintenant. Vous devez savoir...?... devant les sorciers et tout, les autres nations.

            Maintenant, juste parler à la dame un moment, juste comme notre–notre Seigneur Jésus avait parlé à la femme. Il était Dieu. Je ne suis que Son serviteur. Mais alors, s’Il accomplit la même chose, est-ce que vous tous ici qui êtes malades et nécessiteux, croirez-vous qu’Il est ressuscité d’entre les morts et accepterez-vous cela, tout le monde? Voyez?

            Maintenant, je fais cela parce que, voyez, il est question de mettre Ses Paroles en oeuvre. Je ne peux pas la guérir, et je–je n’ai rien pour le faire. Tout, c’est sa propre foi qui opérera la guérison, si elle est malade. C’est votre foi. Mais maintenant, comme un don, voyez... Personne ne peut vous sauver si vous êtes perdue, Jésus a déjà fait cela. Nul ne peut vous guérir si vous êtes malade, Jésus a déjà fait cela, c’est votre foi personnelle dans l’oeuvre achevée qui fait le travail.

            Mais maintenant, la femme se tient devant moi, maintenant même, elle sait qu’il se passe quelque chose. Si cette femme peut encore... Elle sait que juste entre elle et moi se tient l’Ange du Seigneur. La femme, si votre... la sensation que vous éprouvez, c’est... Vous n’avez jamais éprouvé cela auparavant. Si c’est vrai, levez la main, voyez. Assurément, Il se tiendra... Il se tient juste entre vous et elle.

            Je vois la femme en route vers ici. Elle n’est pas d’ici. Vous êtes venue du nord-ouest. Vous êtes venue de l’Etat d’Ohio, ici. Vous avez mal à la gorge, un cancer là. Noir, vous êtes couverte de l’ombre de la mort. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous maintenant? Maintenant, madame, il y a ici Quelque Chose qui vous connaît. Venez ici juste un instant, je vais prier.

            Maintenant, Père céleste, je Te prie au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus, de bénir cette femme et de la guérir, et que l’ombre de la mort soit ôtée d’elle, qu’elle vive pour la gloire de Dieu. Au Nom de Ton Saint Fils Jésus, je le demande. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez, heureuse et vous réjouissant, louant Dieu. Ecrivez votre témoignage, pour la gloire de Dieu.

57        Voudriez-vous venir, madame?

            Que tout le monde croie, ayez foi; juste un instant, que tout le monde soit très respectueux, maintenant.

            Maintenant, madame, vous êtes ici debout. Je n’ai aucune idée de ce que vous voulez, et ce pour quoi vous êtes ici. Mais Dieu sait certainement...?... Mais il y a quelque chose d’étrange chez vous. Il y a une Lumière autour de vous. Vous avez... Vous venez d’être guérie. Vous priez pour quelqu’un d’autre. Vous avez été guérie dans un service de guérison divine et vous étiez...?... et ce n’était pas ici. C’était lors de ma réunion en Colombie, là-bas. En effet, je vois la même estrade, là dans cette église-là, c’est vrai. Et vous êtes ici pour autre chose, et c’est un homme, c’est votre... Ce n’est pas votre ma-... C’est un frère, et il souffre d’un cancer, et vous êtes ici pour lui. Et le mouchoir que vous tenez en main, allez le poser sur lui, au Nom du Seigneur, et il se rétablira...?... Amen.

            Ayez foi, ne doutez pas, croyez en Dieu, il en sera ainsi.

            Maintenant, croyez-vous? Vous avez levé la main, vous souffrez de l’arthrite, n’est-ce pas?...?... vous là, je vous ai vu essayer de sortir du lit, en vous déplaçant de côté. Vous souffrez de l’arthrite, vous êtes en train de prier que Dieu vous guérisse. Levez-vous, monsieur. Jésus-Christ vous a guéri de votre arthrite. Cela vous a quitté. Amen. Vous n’en souffrez plus maintenant. Votre foi vous a guéri. Que Dieu vous bénisse.

58        Regardez ici, monsieur. Vous étiez assis là, priant: «Ô Dieu, fais qu’Il me parle.» C’est vrai. Vous étiez en train de prier pour que je me retourne et que je dise quelque chose. Est-ce vrai? Oui, monsieur. C’est votre foi. Touchez-Le. Vous ne me touchez point ...?... Touchez-Le. Maintenant, vous étiez...?... n’est-ce pas...?... C’est pourquoi votre arthrite est terminée. Le Seigneur Jésus vous a guéri.

            Maintenant, croyez-vous, vous tous? Est-Il ressuscité d’entre les morts? Ayez foi en Dieu.

            La deuxième personne assise là en bas, vous souffrez d’une maladie de sang, n’est-ce pas? Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérira? Croyez-vous? La petite dame, genre...?... regardant, vous avez un mouchoir au niveau de votre bouche comme ceci. Vous avez une maladie de sang, là. L’examen montre qu’il s’agit d’une maladie de sang. Si c’est vrai, levez la main, comme... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Accorde-le, c’est ça. Maintenant, la chose suivante, c’est...?... Ne voyez-vous pas cette Lumière suspendue au-dessus de la femme? Elle a été examinée, le sang coule, et elle est dans un...?... maladie. Mais, soeur, c’est clair, rentrez chez vous, votre foi vous a guérie. Que Dieu vous bénisse.

            Qu’est-ce qui a fait cela? Elle a touché Christ, juste comme la femme à la perte de sang avait touché Christ. Voyez, c’est votre foi. «Crois-tu?» Si vous pouvez croire, tout est possible. Maintenant, ayez foi en Dieu, ne doutez pas; croyez.

            Bonsoir, madame. Est-ce le patient, jeune homme? Je ne suis pas hors de moi, mais ce sont des visions qui me poussent de lieu en lieu.

59        Maintenant, vous savez, madame, que je suis votre frère, comme vous êtes une croyante chrétienne, moi aussi, je suis votre frère. Je suis ici uniquement pour essayer de vous aider. Je ne connais rien à votre sujet. Vous êtes... Vous savez cela, n’est-ce pas? Je ne vous connais pas. Je ne sais rien à votre sujet, il n’y a aucun moyen pour moi de savoir quoi que ce soit à votre sujet. Mais Dieu connaît à votre sujet, n’est-ce pas?

            Si par le Saint-Esprit, je peux être en mesure de vous dire ce pour quoi vous êtes ici, ou quelque chose à votre sujet, et vous savez que moi, je ne le sais pas, alors, vous devrez reconnaître que cela vient d’une puissance surnaturelle. Eh bien, ce que vous déciderez que Cela est, déterminera ce que vous aurez. Votre approche vers Cela, mais la souffrance que vous éprouvez, c’est ici dedans. Je vous vois bouleversée. Vous allez çà et là. Vous êtes inquiète au sujet... et je vous vois vous tenir le flanc, c’est une maladie du coeur. Vous souffrez du coeur, n’est-ce pas? C’est la vérité, madame. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Voyez-vous ce que je veux dire?

            Maintenant, suivez, plus on lui parle maintenant, l’Esprit étant sur elle, plus on lui en dira. C’est ainsi...?... pour vous. Une seule vision a fait sortir–fait sortir la vertu du Fils de Dieu, ça L’a affaibli; que ferait une vision à un pécheur sauvé par la grâce comme moi? Une seule vision a fait que Daniel a eu la tête troublée pendant plusieurs jours.

            Maintenant, il y a quelque chose qui bouge entre nous. Cela semble grave, c’est une ombre noire, je n’arrive plus à repérer cela. Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu, ou en tant que serviteur de Dieu? Croyez-vous effectivement de tout votre coeur? Il y a autre chose dont il faut se décharger, ce n’est pas encore fini pour vous. Il y a quelque chose que vous avez commencé, un profond désir dans votre coeur, et c’est la raison pour laquelle vous êtes très inquiète et vous cherchez à tirer de l’Esprit de Dieu, n’est-ce pas vrai? En effet, c’est au sujet de quelqu’un d’autre. Et cette personne-là souffre aussi du coeur. Et c’est votre mari, et il est dans un hôpital; c’est vrai. Il est dans un état critique, suite à la maladie du coeur. Je le vois faible, c’est... Croyons le Seigneur.

            Père céleste, je prie pour la sagesse divine dans ce cas-ci. Que cela soit accordé ce soir par Jésus-Christ, Ton Fils. Amen.

            Ne doutez pas, allez en croyant toutes choses; car tout est possible à ceux qui croient.

60        Bonsoir, madame. Je vous suis inconnu, je ne vous connais pas. Jamais... Croyez-vous? Ayez foi en Dieu. Ayez foi en Dieu. Vous pouvez ainsi être guérie. Maintenant, étant donné que je vous suis inconnu, madame, je ne vous ai jamais vue de ma vie, je ne vous ai jamais connue, il doit y avoir Quelque Chose de surnaturel qui me fait savoir quelque chose à votre sujet, s’il y a quelque chose qui cloche. C’est vrai. Maintenant, ce que vous déterminez que cela est, déterminera la bénédiction que vous en tirerez. Si vous avez jugé cela, vous avez mal jugé cela; alors, il n’y aura pas de bénédiction pour vous.

            Il y eut une fois une femme qui toucha Son vêtement, elle sentit la vertu, mais un soldat romain mit un lambeau autour de Sa tête, de Son visage, Le frappa à la tête et dit: «Toi qui peux avoir des visions et prophétiser, dis-moi qui T’a frappé.»

            Il n’avait point rien dit. Il avait uniquement des visions selon que Dieu Lui en donnait. Et l’unique moyen pour moi d’avoir des visions, c’est si quelqu’un... C’est votre propre foi en Dieu qui tire des visions, pas moi; je n’ai rien... je me soumets simplement.

61        Je peux entendre quelqu’un tousser, mais j’ai eu une vision, j’ai regardé, c’était une femme qui était en train de tousser, et c’est une autre femme. La femme là, elle était en train de tousser, c’est...?... Elle tousse la nuit, elle crache...?... comme de votre... de votre gorge, c’est vrai. Levez la main, si c’est vrai, là, la petite dame en bleu là. Levez la main, levez–levez la main, ici, la petite dame ici, c’est vrai. Croyez-vous maintenant? Très bien, si vous croyez, c’est terminé. Amen. Acceptez cela, et ayez foi en Dieu. Voyez-vous combien Il est merveilleux?

            Que pensez-vous, soeur? Vous avez mal à la tête, n’est-ce pas? Maux de tête? N’est-Il pas merveilleux? Tout cela vous a quittée maintenant. Amen. Qu’est-ce qui a fait cela? Sa foi, sa foi L’a touché.

62        Venez ici, madame. Une ombre noire vous suit. Votre vie a été celle des hauts et des bas. Vous avez toujours désiré des choses, mais vous ne les avez jamais reçues, surtout pour Christ...?... Vous désirez marcher avec Lui. Vous Lui avez récemment fait des promesses. S’Il vous assistait dans cette maladie dont vous souffrez, que vous aurez une marche plus intime avec Lui, c’est vrai. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Vous souffrez d’une tumeur, une grosseur, c’est vrai, n’est-ce pas? Et cette tumeur m’est cachée, mais elle n’est pas cachée à Dieu. Si je vous dis là où cette tumeur se trouve, me croirez-vous? Elle est sur votre jambe. C’est sur votre jambe droite. Si c’est vrai, levez main. Maintenant, allez en croyant, et recevez cela.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu...?... notre Seigneur Jésus-Christ.» Ayez foi en Dieu. «Si tu peux croire, tout est possible.» Ayez foi.

63        Croyez-vous, madame? Croyez-vous que je suis Son serviteur, Son prophète ou serviteur? Je surveille ce terme, les critiqueurs ne comprennent pas. Mais je vous suis inconnu, je ne vous ai jamais vue, et vous ne m’avez jamais vu. Mais vous savez qu’il y a Quelque Chose entre nous. Vous êtes dans la Présence de Quelque chose d’autre que votre frère, un homme. Si vous savez cela, levez la main. Nul ne peut se tenir si proche de Lui sans reconnaître Cela. Ce n’est pas un homme, vous le savez. Vous ne sentez pas cela autour des hommes; Dieu seul. En effet, ce n’est pas moi, Il est ici même. Je suis un homme, vous êtes une femme. S’il y a quelque chose qui cloche chez vous, je ne sais pas. Je ne sais pas, vous le savez, pas moi. Il est ici comme un Médiateur, entre vous et Dieu. Maintenant, moi, j’ai un don par Sa grâce, vous pouvez tirer de Lui ce qu’Il veut que je vous dise.

            Je vois maintenant que vous êtes–vous êtes très–très inquiète. Vous êtes dérangée par quelque chose, c’est vrai. Vous avez peur de quelque chose. Je vois que vous avez subi une espèce d’examen, c’est pour le sang. Levez la main si c’est vrai. C’est une–c’est une infection de sang. La leucémie, c’est ce dont vous avez peur. C’est vrai, c’est vrai, je ne suis pas en train de lire vos pensées. Je vous dis ce qui est vrai.

            Vous n’êtes pas non plus d’ici. Vous venez d’une ville à l’ouest d’ici, et elle a un–un grand lac, et un drôle de... carré dans le... au milieu de la ville, c’est là-haut dans les montagnes. C’est–c’est... venir à cela, c’est Ashville, c’est de là que vous venez. C’est vrai. Votre nom est Elisabeth, n’est-ce pas? Happs. Croyez-vous maintenant? C’est bien, mademoiselle Happs? C’est fait. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Est-ce vrai?...?...

            Notre Père céleste, je bénis cette femme mourante au Nom du Seigneur Jésus; et change les ténèbres en jour, car Tu nous donnes cette autorité, qu’elle puisse croire en Toi, le Seigneur Jésus. Et sachant que...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. Et je fais ceci par obéissance à Tes commandements, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

64        Maintenant, regardez de ce côté-ci, juste un instant. S’Il sait qui vous êtes, d’où vous venez, et tout sur votre vie, Il connaît assurément le futur, n’est-ce pas? Maintenant, écoutez, vous avez faim et soif de Dieu, de marcher avec Dieu. Et vous avez aussi un profond, profond désir d’une marche intime avec Lui. Maintenant que vous partez, allez prendre... abandonnez-vous à Lui et faites tout ce que vous pouvez pour Le glorifier. L’ombre noire qui vous a suivie jusqu’à l’estrade vous a quittée. C’est votre foi qui a fait cela, maintenant allez en vous réjouissant. Et n’ayez plus peur de la leucémie.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu !» Tout le monde peut croire. «Si tu peux croire, tout est possible.»

            Si je vous disais que votre mal de dos vous a quitté pendant que vous étiez assis dans le fauteuil, me croiriez-vous? Croiriez-vous cela? C’est ce qui s’est donc fait. Disons: «Grâces soient rendues à Dieu !»

65        Venez. Madame, vous souffrez d’une maladie qui tue plus de gens que n’importe quoi d’autre: la maladie du coeur. Mais Jésus-Christ peut guérir le coeur. Croyez-vous cela?

            Père, j’intercède pour cette chère femme mourante, au Nom de Jésus-Christ, que Tu la guérisses et que Tu la rétablisses, pour Ta gloire. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez, heureuse, vous réjouissant maintenant, et louant Dieu.

            Voudriez-vous venir, monsieur? Eh bien, l’insuline est une bonne chose, mais Christ était...?... pour les diabètes. Croyez-vous qu’Il vous guérira du diabète et vous rétablira? Croyez-vous cela?

            Ô Dieu notre Père, je condamne ce démon qui tue mon frère. Et je Te demande de le guérir au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Très bien, allez en croyant maintenant. Ne doutez pas, ayez foi en Dieu. Croyez-vous maintenant? Jésus était-Il ressuscité d’entre les morts?

66        Venez ici, madame, juste un instant, tenez-vous là. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Que Dieu bénisse votre coeur, femme...?... Regardez cette mère avancée en âge, tout le monde voit l’expression qu’ont les gens quand ils entrent dans Sa Présence. Regardez cette...?... cette femme, cette chrétienne, qui se tient là, souffrant de l’arthrite, en train de pleurer dans la Présence du Seigneur Jésus. Non pas à cause de moi, je suis Sa Voix.

            Mère, croyez-vous qu’Il vous accordera de vous rétablir? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Croyez-vous? Très bien, rentrez donc et retournez chez vous en vous réjouissant, Dieu...?... Ô Dieu, accorde-le au Nom du Seigneur Jésus-Christ, Ton Fils.

            Ayez foi en Dieu, ne doutez pas. «Si tu peux croire.» Qu’a-t-Il dit? [L’assemblée répond: «Tout est possible.»–N.D.E.]

            Oh ! Quel moment glorieux, vivre dans la Présence de Jésus-Christ ressuscité ! Croyez-vous qu’Il est ressuscité d’entre les morts? [L’assemblée loue le Seigneur.–N.D.E.] Si donc Il l’est, Lui qui a promis: «Voici les...» Il accomplira ces choses; ensuite Il a promis que si vous demandez au Père quoi que ce soit en Son Nom, Il le fera. Amen.

            Chaque promesse est vraie. Ceci est la Parole de Dieu, et chaque promesse est vraie. Tout est possible à celui qui croit. Ne doutez pas. Non, je ne suis pas en train de lire les pensées. Arrêtez d’avoir de telles pensées. Maintenant, que quelqu’un prie. Voyez si je lis les pensées. Priez. Croyez simplement Dieu.

67        Vous vous sentez mieux, n’est-ce pas, depuis que vous avez été guéri de la nervosité. N’est-Il pas merveilleux?

            Très bien, vous les deux dames au bout, vous là debout, vous deux, vous souffrez de la même maladie, là derrière, les deux dames qui se tiennent juste là derrière. Vous deux, vous souffrez d’une tumeur de sein. Si c’est vrai, levez la main. Et vous deux, vous avez besoin d’une assistance spirituelle. C’est vrai, n’est-ce pas? Faites passer vos mains l’une autour de l’autre.

            Bien-Aimé Père céleste, Satan est exposé. Qu’il les quitte toutes deux et sorte au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Regagnez vos sièges maintenant...?... Disons: «Gloire au Seigneur !»

            Croyez-vous, monsieur? Croyez-vous que je suis Son prophète, Son serviteur? Je suis un inconnu, je ne vous ai jamais vu. Non, nous sommes inconnus l’un à l’autre. Quelque chose d’étrange à votre sujet cependant, je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vu. Mais vous êtes ici pour que je prie pour vous à cause de la maladie du coeur; c’est vrai. Si vous... Avez-vous cessé de fumer? Cessez de fumer et–et–et servez le Seigneur, faites tout votre possible pour Lui plaire. Allez-vous le faire? Promettez de le faire, levez la main; promettez-vous de le faire? Très bien, partez donc, et que le Seigneur Jésus vous touche alors que vous partez, au Nom de Jésus-Christ. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, monsieur. Soyez heureux et croyez. «Crois-tu?»

68        Il doit pratiquement être temps pour moi de partir. On me touche sans cesse de côté, et je sais que je n’ai aucune notion de temps. Et ce que vous croyez, vous voyez cette personne ici, oh ! on vient de prier pour vous, n’est-ce pas? Ayez foi et croyez.

            Qu’en est-il de vous qui êtes estropiés et affligés ici? Où est votre foi? Je ne suis pas votre guérisseur, je suis votre frère. Je défie votre foi. Je défie cela, car Christ vit.

            Vous, assis dans le fauteuil là-bas, avec votre main levée, croyez-vous cela? Si Dieu me dit de quoi vous souffrez, ce que vous avez, allez-vous croire en Lui? Vous avez des grosseurs dans les intestins. Vous avez une affection de vessie, n’est-ce pas? C’est vrai, n’est-ce pas? Ne voudriez-vous pas sortir de votre fauteuil, rentrer à la maison et être bien portant, au Nom de Jésus...?...

            Croyez-vous? Si Dieu me dit ce qui cloche chez vous, allez-vous accepter votre guérison?...?... hypertension...?... Vous me croyez maintenant, n’est-ce pas? Si vous croyez de tout votre coeur, alors Jésus-Christ vous guérit, levez-vous, prenez votre lit et rentrez chez vous. Soyez bien portant, tenez-vous debout, comme cela, monsieur...?...

            Disons: «Gloire au Seigneur !» Combien croient au Seigneur...?... pas vous? Vous y êtes, soyez guéri. Prenez votre lit et rentrez chez vous maintenant...?... les autres parmi vous seront guéris, si vous croyez. Allez-vous croire? Levons les mains vers Dieu.

            Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, nous accusons le diable d’être un menteur. La Vérité de Dieu, toujours la Vérité, et maintenant, nous demandons que chaque personne ici présente soit complètement rétablie au Nom de Jésus-Christ.

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