Messieurs, Nous Voudrions Voir Jésus
1 ...appelé Cleveland, dans le Tennessee. Et j’ai attendu impatiemment le temps où je devais revenir au Tennessee, depuis la dernière série de réunions que nous avions tenue là à Chattanooga. Nous avions passé de merveilleux moments là-bas. Et nous avons attendu avec grande impatience de retourner parmi les–parmi vous. Et Dieu a accordé ceci, ce qui est pour nous un privilège. Nous considérons cela comme un grand privilège d’être ici ce soir pour ce petit moment de communion autour de la Parole de Dieu.
Et nous sommes venus pour être une bénédiction pour vous, et nous savons que vous serez une bénédiction pour nous. Et dans tout cela, nous prions que Dieu, notre Père, soit glorifié dans notre rassemblement, car c’est dans ce but que nous sommes venus. Nous n’avons qu’un seul objectif, celui de communier autour de la Parole de Dieu et de voir les pécheurs être sauvés, et les rétrogrades revenir à Dieu; et de voir les gens être guéris de leurs maladies et afflictions. Tous ces privilèges nous sont donnés gratuitement à travers les souffrances que Jésus-Christ a endurées à notre place et Sa grande expiation au Calvaire. Et nous sommes venus pour partager ces bénédictions avec vous et communier ensemble.
2 Et maintenant, il y a.... A ma gauche, il y a des orateurs, qui sont de loin meilleurs que moi, qui sont assis là. Je ne suis pas fameux comme orateur, mais j’aime partager avec d’autres frères les bénédictions que Dieu m’a données. Et je vois, je pense, un frère assis ici au bout. Et j’ai essayé... Il m’avait demandé de l’appeler, ou il voulait que je le rappelle. J’ai essayé... Cook... J’ai essayé de retrouver ce petit bout de papier. Je l’ai perdu: votre numéro de téléphone. J’ai dit à la dame que c’est le 88888, du mieux que je pouvais me souvenir. Et là, je n’arrivais pas à vous joindre. Donc pardonnez-moi; ce n’était pas intentionnel. Et j’ai perdu ce bout de papier. Je devais le rappeler aussitôt que j’ai trouvé frère Moore... Je ne pense pas que frère Moore soit venu aujourd’hui. Il sera probablement là ce soir: Frère Jack Moore, un des managers.
3 Et maintenant, aujourd’hui, j’ai eu le privilège de rencontrer quelques autorités de la ville. Si toutes les autorités de cette ville sont comme celles que j’ai rencontrées, vous avez de merveilleuses gens dans vos comités, dans la politique et tout dans cette ville. J’ai eu le privilège de rencontrer le doyen de cette école-ci aujourd’hui (un très bon gentleman) pendant que nous étions en train de visiter l’endroit et de tester l’acoustique. C’est vraiment un privilège d’être ici.
Demain matin, je crois qu’il y aura un petit déjeuner pour les ministres. Et ainsi nous sommes... Le Seigneur voulant, je pense que ces gens sont des ministres. Bien souvent les Hommes d’Affaires Chrétiens, les Hommes d’Affaires du Plein Evangile... Je ne pense pas qu’ils tiennent un chapitre ici. S’ils en ont, je ne le sais pas. Je pense que ceci est réservé aux ministres. Ainsi demain matin je compte m’entretenir avec eux, et je vais partager quelques-unes des expériences que nous avons eues dans nos voyages à travers le monde en servant le Seigneur Jésus; ce qui, je crois, va beaucoup aider, parce que les ministres, ils–ils savent... eux-mêmes sont des prédicateurs. Alors, nous pourrons tout simplement avoir notre–notre communion autour des choses que le Seigneur a accomplies.
Et ensuite, je pense que dimanche il faut que je prêche dans une église ici dans la ville. Et dimanche soir ce sera la réunion de clôture. Et samedi soir, demain soir, ce sera de nouveau la prière pour les malades. Et nous prions que... et nous croyons que vous allez beaucoup prier pour nous.
4 Maintenant, nous ne venons jamais vous visiter afin de représenter une quelconque église dénominationnelle. Nous ne sommes pas venus pour–pour nous présenter nous-mêmes en tant que guérisseurs; nous venons juste pour communier. Nous ne sommes pas venus pour créer des divergences entre les dénominations; nous sommes venus pour–non pas pour déchirer mais pour souder ce qui a déjà été déchiré. Nous–nous ne représentons donc aucune église. Et nous les aimons toutes. Et je sais que c’est le quartier général de deux de ces grandes Eglises de Dieu, qui sont connues à l’échelle mondiale. J’ai rencontré leurs frères partout dans le monde, pratiquement, qui viennent de ces bonnes églises. Et c’est un très... C’est ce qui fait de votre ville ce qu’elle est, d’avoir ces très bonnes églises par ici et leurs...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?...
Cela nous aidera un peu tout le long de ces réunions, avec les choses que vous avez enseignées et pour lesquelles vous avez combattus depuis bien longtemps, non pas pour prêcher une nouvelle foi, mais pour combattre ardemment pour ce qui a été prêché. C’est tout ce que nous essayons de faire. Bon, que le Seigneur vous bénisse.
5 Et maintenant, pour... Chaque fois, j’essaie de faire ceci au cours de la première soirée, une petite introduction; et je ne parle pas très longtemps, et nous prions pour les malades. Maintenant, j’aimerais tout simplement expliquer cela afin que cela soit compris (je pense que les enregistreurs ont enregistré cela), que dans la prière pour les malades nous ne venons donc pas pour dire, que nous pouvons guérir quelqu’un. Je–je ne crois vraiment pas que cela soit conforme aux Ecritures, tel que je comprends la Bible. Je pense que la guérison divine... dans la pratique de la guérison divine, on n’essaie pas de guérir quelqu’un, mais on essaie de présenter cette bénédiction qui a été accordée gratuitement à tous au–au Calvaire où Jésus... Là: «Il était blessé pour nos transgressions, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.»
Ainsi donc la guérison divine, c’est quelque chose qui est au temps passé. Et j’ai entendu des gens dire qu’ils avaient rencontré des hommes qui prétendaient être des guérisseurs divins. Je n’en ai encore jamais rencontré. Mais s’il existe de pareilles gens, ou une personne qui prétendrait l’être, je douterais bien de la parole de cet homme, parce que la guérison divine est quelque chose qui a déjà été accomplie; c’est une oeuvre achevée; c’est un produit du Calvaire. C’est un produit de ce pourquoi Jésus est mort, afin de vous accorder le privilège d’accepter cela par votre propre foi en Lui.
6 Et nous avons eu bien des choses que nous comprenons... Et quand les gens sont dans une assistance mélangée comme ceci, il y a toutes sortes de gens ayant différentes idées. Et la guérison divine, à maintes reprises, a été mal présentée aux gens. L’Evangile également, de plusieurs manières, a été mal présenté aux gens. Et chaque véritable chose a été mal pré-... mal présentée.
C’est ce que nous voyons dans les vertus de la vie et partout. Et ainsi vous devez considérer le pour et le contre, la–la loi de contraste. Vous devez avoir le jour pour savoir... avoir la nuit plutôt, pour savoir apprécier le jour. Vous devez avoir la–la pluie pour apprécier le soleil brillant. Vous devez avoir la vallée pour apprécier la montagne.
7 Et le péché n’est que la justice pervertie. Alors si on n’avait pas le péché, alors on ne saurait jamais comment apprécier la justice. Si nous n’avions jamais été des pécheurs, nous ne connaîtrions jamais la joie du salut. Par conséquent, je crois que lorsque le Seigneur viendra, et que toute la grande famille de la terre se rassemblera sur la terre et chantera l’histoire de la rédemption: Sauvé par grâce, je crois que les anges se tiendront là, leurs têtes inclinées, ne sachant pas de quoi cette famille sera en train de parler. Ils se tiendront là autour du globe terrestre leurs têtes inclinées, ne sachant pas de quoi nous serons en train de parler, parce qu’eux n’ont jamais eu besoin de la rédemption. Mais nous, nous savons ce que c’est qu’être perdu et être retrouvé. Nous pouvons apprécier le salut, parce que nous étions perdus autrefois. Vous devez donc avoir le–le mal pour apprécier le bien.
Et je pense que c’est ce qu’il en est de la guérison divine et de l’Evangile de... De toute façon, ça... Vous devez avoir le côté opposé pour apprécier la chose véritable. C’est juste ce que je–je crois.
8 Je–je crois donc de tout mon coeur que Dieu nous permettra de nous unir, à tel point que nous oublierons nos divergences et regarderons directement à la Bible. Je crois que tout enseignement doit provenir de la Bible. Et je sais que Dieu peut faire des choses qui ne sont pas écrites dans la Bible. Il peut faire tout ce qu’Il veut, parce qu’Il est Dieu. Mais j’ai toujours un peu peur que nous puissions nous écarter du chemin pour nous engager dans une sorte de fantasme si nous... ou dans une illusion si nous ne nous en tenons pas à la Bible. Mais si cela se trouve dans la Bible, alors je crois que c’est la vérité, parce que Dieu l’a dit: nous avons l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.
9 J’ai remarqué, bien des fois, que parfois nous pourrions avoir le... Et cela arrive de cette manière-là: nous bâtissons sur quelque chose de fantastique ou sur un certain phénomène quelconque, et nous courons avec. Mais si vous restez simplement dans la Bible, vous avez alors l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, et Dieu honorera Sa Parole. Ma parole faillira. Votre parole faillira.
Et aucune parole d’un homme n’est... Aucun homme ne vaut plus que sa parole. Si vous ne pouvez pas... Si je ne peux pas accepter votre parole, je–je ne peux tout simplement pas vous croire. C’est tout. Et c’est de cette manière que je crois Dieu: cette Bible est Sa Parole infaillible. Et s’Il a écrit cette Bible par... s’Il L’a envoyée par inspiration, Elle a été écrite par plusieurs hommes dans des âges différents, et aucune Parole n’en contredit l’autre, de bout en bout. Cela inspire. Je pourrais lire un texte ici ce soir, et je vais lire cela dans quelques minutes, Dieu voulant... Pendant des milliers d’années les hommes ont lu ce même passage dans chaque âge, et cela a toujours inspiré dans chaque âge.
10 Maintenant, je pourrais vous écrire une lettre et dire: «Cher frère Untel, j’étais enchanté de vous rencontrer...» Et la manière dont je vais vous exprimer mes sentiments, ce serait bien. Vous apprécierez cela si vous êtes mon ami. Mais vous seriez l’unique personne que cela aiderait. Et après un moment, cela–cela passerait, cela n’aurait plus aucun sens du tout, après que vous... ce serait fini pour cette lettre. Mais pas la Bible. Chaque Parole est éternelle.
Lorsque Dieu dit une chose une fois, Il ne peut plus la retirer; Il est obligé de s’en tenir à cela. Et cette Parole ne changera jamais, c’est juste comme un cercle... c’est comme chercher un coin dans un cercle, vous n’y arriverez pas. C’est éternellement la vérité.
11 Maintenant: «Au commencent était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.» Maintenant, qu’est-ce que la Parole? La Parole est une pensée exprimée ou rendue manifeste. Alors, avant que Dieu ait fait quoi que ce soit, Il a pensé à cela. Et lorsqu’Il a formé le plan dans Sa pensée et qu’Il a ensuite exprimé cela par la Parole, Il ne pouvait plus jamais retirer cela. Cela devait être–être éternellement ainsi; cela ne peut faillir; cela ne peut changer, parce que Dieu est infini. Il est omniprésent, omnipotent et infini. Et s’Il était... s’Il est infini, s’Il ne l’est pas, Il n’est pas Dieu. Et s’Il est infini dès le commencement, avant que le monde soit formé, Il connaissait la fin dès le commencement. Il connaissait le... chaque puce, chaque mouche, chaque moucheron, chaque personne. Tout ce qui allait arriver, Il connaissait très exactement ce que c’était avant même que le monde commence. Il est infini. Ainsi donc, Lui, étant ainsi, Il peut prédestiner ou ordonner à l’avance même la colère de Ses ennemis pour Le louer.
12 Il ne veut pas qu’aucun périsse, mais Il savait par la prescience ceux qui périraient. Alors, par conséquent, écoutez la Parole. La Bible dit, parlant de Dieu... Maintenant, écoutez, la Bible dit que Christ était l’Agneau de Dieu, immolé avant la fondation du monde. La Bible dit-Elle cela? Eh bien, écoutez maintenant. S’Il était immolé avant la fonda-... Comment se fait-il que Lui, qu’Il ne soit immolé que quatre mille ans après que le monde a été amené à l’existence? Lorsque Dieu a prononcé cette Parole, c’était le... une oeuvre achevée lorsque Dieu a prononcé cela. Et aux yeux de Dieu dans les Cieux, lorsque Dieu a prononcé la Parole avant la fondation du monde, voyant ce qu’Il devrait faire, Christ était effectivement immolé lorsque Dieu a déclaré cela. Le voyez-vous? Quatre mille ans plus tard, cela fut manifesté. Combien cette Parole est infaillible ! Dieu déclare une chose. Notre petite pensée limitée ne peut pas pénétrer cela. Parce que nous avons une pensée limitée, et Lui est infini. Mais lorsqu’Il déclare une chose, cela doit s’accomplir. Même si cela tarde, même si cela prend du temps, cependant au temps marqué par Dieu, cela doit s’accomplir, parce que Dieu l’a déclaré.
13 Et ceci pourrait vous encourager un peu, vous les chrétiens. Le poète chantait autrefois ce cantique. Nous le chantions bien des fois dans l’Eglise baptiste: «Il y a un nouveau nom écrit là dans la Gloire ce soir», vous savez. Quelqu’un a écrit: «Oh ! Mon nom a été écrit dans le Livre de Vie ce soir.» Ce poète, en disant cela, c’était bien, et cela a conduit beaucoup d’âmes à Christ, mais il était bien dans l’erreur. La Bible dit que nos noms ont été écrits dans le Livre de Vie de l’Agneau avant la fondation du monde. Quand était-ce? Quand l’Agneau a été immolé, chaque personne qui devait être sauvée était associée à l’Agneau lorsqu’Il a été immolé avant la fondation du monde. La seule chose que je trouve dans l’Eglise chrétienne aujourd’hui, c’est la peur. L’Eglise a peur. Elle recule. Elle ne comprend pas les privilèges qu’Elle a.
Nous vivons très loin en dessous des–en dessous des privilèges que Dieu nous a accordés. Nous sommes maintenant, ce n’est pas que nous serons, mais maintenant vous êtes des fils et des filles de Dieu [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Maintenant. Et nous essayons de renvoyer cela quelque part dans le Millénium. Mais, c’est maintenant que vous l’êtes.
14 Je réfléchissais l’autre jour, lorsque le Seigneur Jésus... Un homme me parlait, et il a dit: «Frère Branham, je n’aime pas être en désaccord avec vous, parce que je vous aime.» Il a dit: «Mais vous essayez de mettre la guérison divine et les puissances de guérison dans l’Eglise aujourd’hui, alors que cela n’existe pas.»
J’ai dit: «Eh bien donc, frère, ça ce n’est que d’après ce que les gens pensent, et la manière dont ils considèrent les choses.» J’ai dit: «Nous allons peut-être faire ceci. Je vais vous montrer dans la Bible là où Dieu a donné à l’Eglise la puissance de guérir les malades, de ressusciter les morts, de purifier les lépreux, et de chasser les démons. Et je vais vous montrer dans la Bible là où Il a donné cette puissance. Bon, vous, montrez-moi dans la Bible là où Il l’a retirée de l’Eglise.» Voyez? Ça n’y est pas. Il l’a donnée, et une fois qu’Il l’a donnée, Il ne peut pas retirer cela; Il est Dieu. S’Il...
Cet homme a dit: «Eh bien, c’est un grand privilège pour les gens qui sont assis dans des fauteuils roulants et qui souffrent, de montrer la bonté de Dieu et ainsi de suite, en souffrant...»
J’ai dit: «Dans ce cas Christ est allé à l’encontre du but même qu’Il poursuivait lorsqu’Il guérissait les malades en ce temps-là, si Dieu prend plaisir au fait que les gens soient malades, car Il guérissait les malades chaque fois qu’Il était en contact avec eux. Il guérissait les malades. Alors si c’est la volonté de Dieu que les gens souffrent, dans ce cas, s’Il l’a fait ainsi, Christ est allé à l’encontre de Sa propre volonté lorsqu’Il est venu...» Oh ! la la ! Quel genre d’Evangile auriez-vous? Voyez? Dieu ne dirige pas Ses affai-... Ce n’est pas ainsi que vous pourriez diriger vos affaires. Ce n’est pas ainsi que je pourrais diriger mes affaires, et vous ne le feriez pas non plus avec les vôtres. Et que dire de Dieu dirigeant les Siennes? Voyez?
Dans Son travail Dieu poursuit un seul but: c’est de sauver, de manifester sa bonté, et de faire tout ce qu’Il peut. C’est Son plaisir d’accorder Ses bénédictions avec bienveillance à Son peuple. Mais nous faillons, ce n’est pas parce que la puissance n’est pas dans l’Eglise, parce que la puissance n’est pas dans l’Eglise pentecôtiste, ou dans l’Eglise méthodiste. Vous les baptistes, les presbytériens, les luthériens, qui que vous soyez, vous possédez la puissance, mais vous n’avez pas la foi pour faire opérer cette puissance.
15 Considérez ces disciples dans Matthieu, chapitre 10. Jé-... Jésus leur a donné la puissance de guérir les malades, même de ressusciter les morts. Et dix, environ dix jours plus tard, nous les voyons lamentablement vaincus. Ils avaient un homme qui avait l’épilepsie, et ils n’arrivaient pas à chasser le démon. Et Jésus leur a dit: «Oh ! Race incrédule, jusques à quand vous supporterai-Je? Amenez-le-Moi ici.» Et Il a guéri ce garçon.
Et lorsqu’Il a guéri ce garçon, qu’est-il arrivé? Les disciples vinrent auprès de Lui, et dirent: «Eh bien, pourquoi n’avons-nous pas pu faire cela?»
Eh bien, Jésus n’a jamais dit: «Je vous avais retiré Ma puissance. Je ne vous l’avais confiée que pour cette seule mission dans laquelle vous étiez partis.» Ce n’est pas ce qu’Il a dit. Il a dit: «C’est à cause de votre incrédulité.» C’est juste, ce n’est pas à cause du manque de puissance, mais le manque de... à cause de votre incrédulité, pour mettre en action la puissance que vous avez. Et si nous pouvions donc voir cela directement dans la Parole et permettre aux gens de voir cela, cela agira de soi-même, aussitôt que les gens verront ce que c’est.
16 Maintenant, remarquez, ces mêmes disciples... Comme les gens peuvent être mesquins, comme les adultes peuvent se comporter comme des enfants ! Dans nos organisations, dans nos dénominations, et dans nos affiliations, et ainsi de suite, et dans nos credos, nous terminons par un point, alors que nous devrions terminer par une virgule. «Nous croyons ceci plus tout ce que Dieu nous révélera.» Mais si nous terminons par un point, cela règle la question. C’est tout. Nous disons: «Nous ne nous soucions pas de ce que Dieu veut nous révéler. Nous ne–c’est tout ce qu’il nous faut.» Et c’est ce que nous avons fait après avoir commis une erreur.
17 Maintenant, suivez attentivement. Ces mêmes disciples, quelques jours plus tard, ils avaient trouvé un homme qui chassait les démons. Il faisait du bon travail. Et alors ils étaient très jaloux. Et ainsi ils... Ils sont allés, et ils lui ont dit: «Eh bien, hé ! soit tu rejoins nos rangs, soit tu arrêtes de faire ça.» Et cet homme leur a fait savoir qu’il n’était pas obligé d’adhérer à leur dénomination, de joindre leurs rangs. Il était simplement allé là, et il avait entendu Jésus dire: «Celui qui veut...» Alors il avait simplement accepté cela et il est allé de l’avant. Et il faisait du bon travail. Eh bien, les disciples ont dit: «Nous t’interdisons de le faire.» En d’autres termes: «Nous allons te boycotter, nous allons faire tout ça si tu ne veux pas t’exécuter.»
Ils sont rentrés en parler à Jésus, et Jésus leur a dit: «Eh bien, ne faites pas cela.» Il a dit: «Car il n’est personne qui, faisant un miracle en Mon Nom, puisse aussitôt parler en mal de Moi. Et celui qui n’est pas avec Moi, disperse.» Voilà donc.
Voyez-vous ce que c’était? Une petite jalousie mesquine de ces disciples. C’est ce qui était dans ces hommes à l’époque; ça se trouve encore dans les hommes aujourd’hui. C’est juste. Parce que cet homme-là faisait du bon travail. Et bien des fois, nous trouvons des gens qui font du bon travail et qui ne font pas partie de nos rangs, et nous voulons alors nous emporter à ce sujet. Mais c’est exactement le même élément. Et si cela s’était passé dans l’église des douze qui ont marché avec Jésus, cela doit se passer dans cette église-ci et dans toutes les autres. C’est juste.
Alors, frère, nous sommes ici pour représenter le Seigneur Jésus-Christ et Sa résurrection, et nous prions que vous communiez avec nous autour de la Parole. Prions un peu.
18 Notre Divin Père céleste, nous Te remercions pour le–le Seigneur Jésus-Christ, pour L’avoir ramené ici sur terre et avoir fait de Lui un–un exemple de ce que Tu attends que les hommes soient. Et nous Le voyons pendu sur la croix, en train de souffrir, de frayer une voie pour toutes ces choses que nous pouvons maintenant apprécier et dont nous pouvons jouir. Et nous ne savons guère les apprécier comme nous les apprécierons un jour lorsque le voile sera ôté.
Et nous Le voyons étendu dans la tombe, pâle et silencieux, embaumé, avec la plaie laissée par une lance romaine qui Lui avait transpercé le coeur, des empreintes de clous dans Ses mains, les crachats des moqueurs sur Sa barbe. Ensuite nous voyons la puissance de Dieu manifestée quand nous Le voyons ressusciter des morts, se tenir à la tombe (que tous L’acclament), tenant en main le flambeau de l’espérance, le flambeau de la puissance. Nous Le voyons graduellement être enlevé de la terre, donnant Sa commission d’aller partout dans le monde, par tout le monde, et de prêcher l’Evangile à toute la création. Et maintenant, seul le tiers du monde a entendu l’Evangile: «Par tout le monde, à toute la création, et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Voici les miracles qui...» C’est ce qu’Il a dit. Et nous sommes tellement reconnaissants ce soir, d’être associés à un groupe d’hommes et de femmes qui croient que c’est la Parole infaillible de Dieu, et les ordres généraux, et la dernière commission de notre Seigneur, nous essayerons d’accomplir cela avec révérence et de tout notre coeur aussi longtemps que Tu nous inspireras.
19 Et aide-nous, ce soir, alors que nous entrons dans ces trois jours de communion avec Toi, et avec Ta Parole, et avec ces frères. Nous Te prions de chasser l’ennemi hors du camp. Ôte tout doute. Que les vieilles rancunes et tout soient enterrés et que cela disparaisse. Et qu’un réveil à l’ancienne mode vienne dans cette belle ville, qui se tient comme un mémorial à travers le monde. Et qu’il y ait un éclatement, un déchirement, et un réveil à l’ancienne mode qui feront fondre les coeurs, les églises, et les gens ensemble de façon à les unir au point que le Seigneur Jésus sera exalté aux yeux du monde entier. Accorde-le, Seigneur.
Quel endroit merveilleux que ces collines du Tennessee, pour y commencer ce réveil à l’ancienne mode qui va balayer la nation ! Accorde-le, Seigneur.
Maintenant, inspire-nous. Oins les lèvres qui parlent. Oins la Parole; donne à cette Parole la Vie qu’il Lui faut, et qu’Elle tombe sur la bonne sorte de terre. Qu’Elle soit reçue avec joie, de sorte que les gens qui L’auront reçue aillent vendre toutes les choses du monde, tout ce qui est du diable, et qu’ils achètent cette glorieuse Perle de grand prix, et que de là, ils entretiennent Cela dans leur coeur et vivent désormais pour le Seigneur Jésus. Que dans une année, ils reçoivent des enfants, des petits-enfants, et des arrière-arrière-petits enfants dans l’Evangile.
Guéris les malades, Seigneur. Sois miséricordieux envers ceux qui ne peuvent pas obtenir miséricorde. Les médecins, Tes serviteurs ont abandonné beaucoup d’entre eux si bien qu’ils vont mourir, et ils devront mourir, déjà, aide-les, Seigneur. Et que quelque chose soit dit ou fait de telle manière que cela les amènera à croire en Ton Fils, le Seigneur Jésus, et qu’ils soient guéris. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.
20 Maintenant, pour ouvrir la Parole pour vous qui aimez lire et noter les différents passages des Ecritures dont nous nous servons... Et je sais que nous ne pouvons pas garder cet amphithéâtre ouvert trop longtemps; c’est l’amphithéâtre d’une école. Et nous apprécions la courtoisie des autorités de cette école. Que Dieu les bénisse abondamment.
Et nous voulons ouvrir nos Bibles maintenant, dans Saint Jean, chapitre 12, et nous aimerions commencer à partir du verset 20, et lire juste deux versets, afin que si mes paroles ne produisent aucun effet, ces Paroles produisent un effet; car ça c’est la Parole de Dieu, et Sa Parole ne faillira jamais. Et ainsi donc, si nous ne faisons rien d’autre que la lecture de la Parole, ce sera une bénédiction d’être ici.
Quelques Grecs, du nombre de ceux qui étaient montés pour adorer pendant la fête,
S’adressèrent à Philippe, de Bethsaïda en Galilée, et lui dirent avec instance: Seigneur, nous voudrions voir Jésus.
Maintenant, que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à cette portion de la Parole.
21 Maintenant, ceci c’était juste après qu’un... beaucoup de gens étaient venus à la fête, parce que Lazare avait été ressuscité des morts, et cela avait suscité un grand...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Et les gens étaient venus pour voir Lazare, et ils étaient aussi venus pour voir Jésus. Et maintenant, je crois que cela devrait être le désir de chaque coeur ici, comme il en était de ces Grecs qui étaient venus, après avoir entendu parler de la renommée du Seigneur Jésus, alors ils désiraient Le voir: Monsieur, nous voudrions voir Jésus.
Maintenant, je ne sais pas combien de gens ici ce soir aimeraient faire cette même déclaration et aimeraient voir Jésus. J’aimerais simplement vous voir lever la main, si vous désirez voir Jésus. Nous désirons tous Le voir: je désire Le voir; vous désirez Le voir; et c’est le désir du monde chrétien, de Le voir. C’était le désir du monde orthodoxe, de l’Eglise juive lorsque Jésus était venu: Ils voulaient voir le Messie; mais ils n’ont pas cru en Lui lorsqu’Il a été manifesté. Et je me demande, parfois, si ce n’est pas ainsi que nous agissons aussi. Nous désirons voir Jésus, mais lorsqu’Il apparaît, nous pensons que c’est quelque chose d’autre; nous Le rejetons.
22 Les disciples, un soir, ils étaient dans une barque, où ils avaient perdu tout espoir d’être sauvés... La petite barque était complètement remplie d’eau à tel point qu’elle était sur le point de couler à chaque vague qui montait. Et ils ont vu Jésus venir, marchant sur les eaux, et ils ont eu peur de Lui. Le seul secours qu’ils pouvaient recevoir devait venir de Jésus; et lorsqu’Il est apparu, ils ont eu peur de Lui.
Je suis pratiquement sûr que dans toutes les parties du monde c’est ce qu’est l’attitude des gens lorsqu’ils Le voient, et qu’Il se présente à eux; ils en ont peur. Et j’aimerais que vous le remarquiez; ils ont pensé que c’était un esprit, ce que nous appellerions aujourd’hui un fantôme ou quelque chose du genre, vous savez: un fantôme. Lorsqu’ils L’ont vu, ils ne se sont pas rendu compte que c’était le Véritable Jésus.
Et lorsque Jésus est venu et qu’Il s’est manifesté à l’Eglise, Il accomplissait des oeuvres surnaturelles. Il a dit: Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père qui M’a envoyé, alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres de Mon Père, alors si vous ne pouvez pas Me croire, croyez à ces oeuvres. Mais si Je ne fais pas les oeuvres que...» En d’autres termes: «Si Je ne confirme pas les Ecritures qui ont été écrites à Mon sujet, alors ne Me croyez pas; car les Ecritures rendent témoignage de Moi.»
23 Maintenant, puis-je utiliser cela comme un moyen secondaire, une réponse ce soir. Toutes les Ecritures ont une multiple... (les prophéties, particulièrement), elles ont une multiple signification ou une double réponse. Par exemple: «J’ai... hors de Nazareth... J’ai appelé Mon Fils hors d’Egypte.» Matthieu, chapitre 1. Mais nous avons compris qu’Il appelait... Concernant l’Ecriture originale pour cela, c’était lorsqu’Il a appelé Israël hors d’Egypte: cela avait une double signification.
Et puis-je ajouter ceci ce soir, de même: Lorsque la Parole de Dieu est prêchée, à ce moment-là Dieu est tenu à cette Parole. S’Il ne se manifeste pas par cette Parole, vous avez le droit de douter de Lui. Moi, je douterais de cela. Ou bien s’Il faisait une promesse et qu’ensuite Il ne la tienne pas, alors ce ne serait pas le–le Dieu de la création. Nous serions complètement embrouillés dans quelque chose. Mais s’Il tient Sa promesse, alors si nous en doutons, nous devenons donc des pécheurs.
24 Maintenant, qu’est-ce que le péché? Eh bien, le péché, ce n’est pas le fait de fumer, de prendre de l’alcool, de commettre adultère, de maudire, et ainsi de suite. Ce n’est pas ça le péché. Commettre adultère, ce n’est pas le péché. Fumer la cigarette et prendre du whisky, ce n’est pas là le péché: ce sont les attributs de l’incrédulité. Le péché, c’est l’incrédulité. Saint Jean 3 déclare: «Celui qui ne croit pas est déjà condamné.» Il n’y a que deux chemins. L’un c’est l’incrédulité, et l’autre c’est la foi. Jésus a dit: «Celui qui entend Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle.» Ce n’est pas: «Ceci, cela, ceci ou cela.» mais a la Vie Eternelle, parce qu’il croit. Et si vous croyez, votre vie porte les fruits de votre foi. Si vous dites que vous croyez et que votre vie ne produise pas de fruits, alors c’est à leurs fruits qu’on les reconnaît. Et l’arbre fruitier de Dieu ici produira les fruits de Sa Parole. Et si ce n’est pas le cas, alors la Parole est fausse.
Si je vous dis que je suis un chrétien et que j’aime le Seigneur Jésus, et que demain vous me voyiez sur la rue en train de boire, de courir après d’autres femmes et faire de mauvaises choses, vous aurez le droit de croire que je–je... que mon témoignage n’est pas vrai. Voyez? Eh bien, les fruits démontrent ce que vous êtes.
25 Maintenant, si Jésus... Combien croient qu’Il est ressuscité des morts? Dites: «Amen». Très bien. C’est la foi de l’Eglise chrétienne que Jésus est ressuscité des morts. Eh bien, par la grâce de Dieu, j’ai eu le privilège de voyager pratiquement dans chaque nation au monde, prêchant l’Evangile: de petites nations comme de grandes. J’ai eu le privilège d’atteindre deux millions d’âmes que j’ai conduites à Christ. Maintenant, j’aimerais... Et j’ai vu toutes les différentes religions qui existent: les musulmans, et les bouddhistes, les jaïns, les sikhs, oh ! toutes différentes sortes de religions...
En Inde on avait été reçu un après-midi par dix-sept religions différentes, et chacune d’elles niait le christianisme. Or, de toutes ces religions, aussi nombreuses qu’elles soient, il n’y a pas une seule dont le fondateur n’est pas mort et enterré, à moins qu’il s’agisse d’une nouvelle qui vient juste de commencer. Ils sont bel et bien morts.
Un cheval se tient à la tombe de Mahomet. Depuis environ deux mille et quelques années on y met toujours un cheval. Ils changent des gardes toutes les quatre heures. Et on a placé un cheval blanc à la tombe de Mahomet, on s’attend à ce qu’il ressuscite un jour et parcourt le monde entier sur ce cheval, pour le conquérir. Mahomet qui était aussi un fils d’Abraham, mais pas par la femme qui était libre.
26 Maintenant, remarquez ceci. Dans toutes les autres religions, leurs fondateurs sont morts. Il n’y avait qu’Un seul qui a dit: «J’ai le pouvoir de donner Ma Vie et de La reprendre.» Et c’était Jésus-Christ. Eh bien, si c’est vrai, c’est qu’alors Il n’est pas mort. Alors, comme le thème de mes campagnes–le thème de mes campagnes a toujours été Hébreux 13.8: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»... Maintenant, si Christ est le même, cette Ecriture est vraie... Nous n’avons aucun... Si nous doutons de cette Ecriture, alors nous ne sommes plus des chrétiens; nous sommes des incrédules. Si une seule Parole de cette Bible est fausse, alors tout est faux. Cela doit être parfait parce que c’est un Dieu infini qui a écrit Cela.
Maintenant, si c’est l’Ecriture, et nous savons qu’Elle est vraie, Celle qui dit que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il doit être le même en principe, Il doit être le même en puissance, Il doit être le même en attitude, Il doit être le même Jésus, sinon Il n’est pas ressuscité des morts. Maintenant, si la Bible déclare qu’Il est le même, alors Il doit être le même. Si la Bible dit qu’Il est le même et qu’Il n’est pas le même, alors la Bible est fausse. Maintenant, nous... cela... vous...
Je crois que tout ce qui existe est soit vrai, soit faux. Vous ne verrez jamais dans votre vie un ivrogne sobre. Non, non. Vous ne verrez jamais un oiseau qui est à la fois noir et blanc. Non, soit c’est vrai, soit c’est faux. C’est de cette manière que je crois la Parole de Dieu: soit Elle est vraie, soit Elle est fausse. Soit les promesses sont vraies, soit elles ne le sont pas.
27 Tout récemment, un homme bien connu a été converti, et il a reçu le Saint-Esprit dans mon bureau. Il était venu me voir et il avait un récit à vous fendre le coeur, et il m’a dit ce qui était arrivé: comment un musulman lui a infligé une cuisante défaite. Morris Reedhead, le président de la Mission Soudanaise, la plus grande mission au monde. Il a dit: «Frère Branham, un jeune Indien est venu et était–était... il a fait ses études ici, dans une grande et bonne université.»
Et je pense... je ne sais pas ce qu’il avait suivi comme formation. Ça pouvait être l’électricité et la mécanique ou quelque chose comme cela. «Sur son chemin du retour, je...» Il a dit: «Je lui ai posé la question: ‘Pourquoi ne renonces-tu pas à ton vieux prophète mort et ne reçois-tu pas le Seigneur Jésus ressuscité?’»
Et il a dit, ce mahométan a répondu: «Gentil monsieur, qu’est-ce que votre Jésus ressuscité, comme vous L’appelez, peut faire pour moi, de plus que mon prophète?» Il a dit: «Les deux ont écrit des livres: le vôtre s’appelle la Bible; le mien s’appelle le Coran.» Il a dit: «Les deux ont promis la vie après la mort, et nous croyons cela.» Il a dit: «Qu’est-ce que votre Jésus peut faire de mieux pour moi que ce que mon prophète peut faire?»
Eh bien, le Docteur Reedhead lui a dit, il a dit: «Eh bien, Il pourrait... Mon Jésus est ressuscité des morts et votre a... Mahomet se trouve toujours dans la tombe.»
Lui, le mahométan a dit: «C’est vrai ça? J’aimerais vous voir prouver cela.»
«Oh, a-t-il dit, nous savons qu’Il est ressuscité des morts.»
«Eh bien, a-t-il dit, vous avez eu deux mille ans pour le prouver, et a-t-il dit, un seul... seulement un tiers du monde a déjà entendu parler de Son Nom.» Il a dit: «Que Mahomet ressuscite des morts, et le monde entier le saura en vingt-quatre heures.» Et il a dit: «Il ressuscitera un de ces jours, et le monde le saura en moins de vingt-quatre heures, parce qu’il va conquérir le monde.» Il a dit: «Mais votre Jésus est mort juste comme mon Mahomet.» Et il a dit: «Et vous n’arrivez pas à le prouver.»
Et là-dessus, Docteur Reedhead a dit: «Eh bien, un instant. Nous pouvons avoir la joie, l’Esprit de Dieu dans notre coeur. Nous nous réjouissons parce que nous savons que Jésus est ressuscité des morts.»
Le mahométan a dit: «Eh bien, un instant, Monsieur Reedhead. La religion musulmane peut produire autant de psychologie que le christianisme.» Il a dit: «Nous sommes tout aussi heureux, nous pouvons crier tout aussi fort, en nous attendant au retour de Mahomet comme vous, vous attendez le retour de Jésus.»
Docteur Reedhead a dit: «J’ai compris que je n’avais pas rencontré un novice. Cet homme savait de quoi il parlait.»
28 Et, frère, Jésus ne nous a jamais donné la commission d’aller dans le monde entier et de construire des églises, bien que ce soit bon, et de faire ces choses, et de former des grandes organisations, et ainsi de suite. Il ne nous a jamais dit de faire cela. Sa commission était: «Prêchez l’Evangile.» Et l’Evangile ne vient pas en parole seulement, mais en puissance et par la démonstration du Saint-Esprit. «Voici les miracles qui accompagneront celui qui aura cru.» Et nous avons fait tout, sauf ce qu’Il nous a ordonné de faire. C’est pourquoi le monde n’en a pas encore entendu parler, à cause de la faiblesse de la théologie humaine et non faute de la puissance de la résurrection de Christ.
29 Et il a dit: «Monsieur Reedhead, a-t-il dit, permettez-moi... Mahomet a seulement promis la vie après la mort. Votre Jésus a promis que, vous les croyants, vous feriez les mêmes choses qu’Il a faites. Maintenant, faites-nous voir vous les croyants... Nous les mahométans, nous voulons...» Ils sont trois fois plus nombreux que les chrétiens. Il a dit: «Nous les mahométans, nous voulons vous voir, vous les chrétiens, produire ce que votre Maître a dit, alors nous croirons qu’Il est ressuscité des morts.»
«Eh bien, a-t-il dit, maintenant, je suppose que vous voulez parler de Marc 16.»
Il a dit: «Ça ce n’est qu’une Ecriture.» Il a dit: «Eh bien, maintenant, a-t-il dit, nous... les–les gens de la plus basse classe, ils s’y achoppent un peu et disent que... mais nous les meilleurs érudits, nous savons que Marc 16, à partir du verset 9, n’est pas inspiré.»
Il a dit: «Monsieur Reedhead, quel genre de Bible lisez-vous?» Il a dit: «Tout le Coran est inspiré.»
Voyez-vous la défaite là? C’était la peur. Eh bien, tenez, je n’aimerais pas que cela blesse, mais j’aimerais que cela pénètre dans vos poumons et dans votre coeur. Voyez-vous? Les gens ont peur d’affronter le problème. Les gens ont peur de confirmer la Parole de Dieu, et vous essayez d’esquiver cela. «Tout le Coran est inspiré.» Mais alors si une partie de la Bible n’est pas inspirée, c’est juste la partie que vous voulez qu’elle soit inspirée. Eh bien, si elle n’est pas entièrement inspirée, alors ce n’est pas la Parole de Dieu. Et si la Bible dit que Jésus est ressuscité des morts, moi je crois que Jésus est ressuscité des morts. C’est réglé.
30 Eh bien, il y a quelque temps, à la rivière Ohio où j’habite, un petit garçon est allé poser une question à sa mère, il a dit: «Maman, ce Dieu qui est si grand, peut-on Le voir?»
Celle-ci a répondu: «Pose la question à–à ta monitrice de l’école du dimanche.»
Eh bien, il a posé la question à la monitrice, et celle-ci a dit: «Pose la question au pasteur.»
Le pasteur a dit: «Non, nul ne peut voir Dieu.»Il s’est mis à remonter la rivière en se dirigeant vers l’île Six Miles, au-dessus de Jeffersonville. Un jour il était en train de descendre là, après une tempête, un arc-en-ciel est apparu, et le vieux pêcheur tirait sa barque. Il a levé les yeux vers l’arc-en-ciel et s’est mis à pleurer: Sa barbe blanche était trempée de larmes qui coulaient sur ses joues. Le petit garçon était tellement enthousiasmé qu’il a couru vers l’avant et il s’est jeté là; il a dit: «Monsieur, j’aimerais vous poser une question à laquelle personne ne semble être en mesure de me répondre. Peut-on voir Dieu?»
Le vieux pêcheur tira les rames sur ses genoux, embrassa le petit garçon, et dit: «Que Dieu bénisse ton coeur, chéri. Tout ce que j’ai vu pendant ces quarante dernières années c’est Dieu.»
Il vous faut L’avoir ici dedans pour Le voir là dehors. Il faut qu’il demeure à l’intérieur.
Jésus a dit: «Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez, car Je (et «Je» est un pronom personnel), Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.»
Il est donc le même hier, aujourd’hui et éternellement.
31 Maintenant, si nous voulons voir Jésus, et s’Il est omnipotent, omniprésent, Il doit être à Cleveland ce soir, car Il a fait cette promesse: «Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je serai au milieu d’eux.» Maintenant, si nous sommes assemblés ce soir au Nom de Christ, vous pouvez maintenant par la foi Le voir sortir des corridors du Ciel, descendre pour être ici. Si ce n’est pas le cas, Sa Parole est fausse. Et si Elle est fausse, votre foi est fausse; votre espérance est fausse; vous êtes perdu, et vous êtes fichu.
C’est comme Longfellow le disait:
Ne me dites pas en un chant mélancolique,
Que la vie n’est qu’un rêve dénué de sens !
...l’âme qui sommeille est morte,
Et les choses ne sont pas ce qu’elles semblent être.
La vie est réelle !
Et la vie est solennelle !
Et la tombe n’en est pas le but.
Tu es poussière et tu retourneras à la poussière
N’a pas été dit de l’âme.
Et la vie de tous les grands hommes nous rappelle
Que nous pouvons rendre nos vies sublimes,
Et en partant, laisser derrière nous
Des empreintes des pas sur le sable du temps.
32 Frère, les empreintes des pas signifient la possession. Mes frères ministres, n’ayez pas peur de mettre l’empreinte... des empreintes de pas là où Dieu vous a dit d’aller. Amen. C’est la possession. Il avait dit à Josué: «Tout lieu que foulera la plante de vos pieds, vous appartient.» Amen. Nous ne reculons pas; nous prenons ce que Dieu a dit et c’est la vérité. Peu importe l’opposition, combien elle semble grande, et combien ça paraît difficile, si Dieu l’a dit, cela vous appartient. Lorsqu’Il l’avait donné à Josué, Il n’a point dit: «Je vais ôter tous–tous les Héviens, et les Philistins, et vous la donner.» Josué a dû combattre pour chaque centimètre du terrain, mais Dieu était avec Lui. Et chaque centimètre de terrain que vous allez parcourir, frère, pour y poser les empreintes de vos pas, vous combattrez tout au long de votre parcours. Mais prenez l’Epée de l’Esprit, frère, et allez de l’avant. Les empreintes des pas signifient la possession.
33 Si nous allions ce soir-là dans la ville chercher Jésus, quel genre de personne irions-nous chercher? J’aimerais voir s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Quel genre de personne? Allez-vous–allons-nous chercher une personne habillée différemment des autres hommes? Peut-être quelqu’un qui porte un grand turban sur la tête, et une longue tunique flottante, en train de marcher sur la rue? S’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il ne serait pas habillé comme cela, parce qu’Il s’habillait comme les gens du commun; Il marchait au milieu d’eux, et on ne pouvait pas Le distinguer de toute autre personne. C’est juste.
Et irions-nous chercher un homme qui utilise des mots grandiloquents, un homme qui a étudié toute la journée des mots épatants pour s’adresser à une assistance qui ne comprend pas de quoi il parle? Certainement pas. Jésus parlait le langage simple de la rue, de sorte qu’aujourd’hui cela a embrouillé les traducteurs. Ils ne savent pas comment rendre cela, parce que les mots qu’utilisaient les gens de la rue étaient tellement différents de ce que leurs érudits utilisaient que cela les confond aujourd’hui.
34 Vous... Lorsque... Le pire endroit où je–où j’ai eu terriblement besoin d’un interprète comme nulle part ailleurs, c’était à Londres, en Angleterre. Lorsque j’entendais ces Londoniens parler, je ne saisissais rien. Une fois, j’appelais depuis–depuis Shreveport, en Louisiane. J’appelais à New York. Juste ici en Amérique, on a dû faire venir quelqu’un à Saint Louis, ces petits téléphonistes, eh bien, cette petite fille du Nord ne comprenait rien de ce que disaient les gens du Sud. Et cette petite rebelle ne comprenait pas ce que ce Yankee disait. Ils ont dû chercher quelqu’un pour les interpréter, ici même aux Etats-Unis. Donc Jésus utilisait le langage ordinaire. Son...
«Frère Branham, je pensais que vous ne prêchez que la Bible.» C’est vrai; La Bible dit que les gens du peuple L’écoutaient avec plaisir. Il parlait un langage qu’ils comprenaient. Où Le trouverions-nous? Dans les grandes cathédrales et les grands endroits de la ville? Non. Non, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est venu vers les gens du peuple. On L’avait rejeté dans les grands milieux cultivés. Les gens avaient leur propre manière classique. Et Lui ne s’accordait pas avec leur programme. J’espère qu’Il pourrait s’y accorder aujourd’hui. Peut-être non. Mais Il... Je ne pense pas qu’Il s’accorderait avec cela. Il ne s’est pas accordé avec cela à l’époque, alors Il ne le peut pas maintenant, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
35 Alors, que chercherions-nous? Irions-nous chercher un érudit sorti d’un grand séminaire? Je ne pense pas. Ils Lui ont demandé où Il avait reçu Son savoir, ou «Où as-Tu acquis cette connaissance? De quelle école es-Tu sorti?» Nous n’avons aucun récit qui dit qu’Il soit allé à l’école. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est ce que dit la Bible.
Maintenant, si je veux vous Le présenter ce soir comme votre Sauveur que vous connaissez, il n’y a qu’une seule différence en Jésus ce soir, par rapport à ce qu’Il était à l’époque, il s’agit de Son corps physique. Son corps physique est à la droite de Dieu. Son Esprit est ici, faisant les mêmes oeuvres qu’Il faisait. Ainsi donc nous devrions trouver ce gen-... Nous devrions prendre Sa Vie comme modèle.
Maintenant, il doit y avoir quelqu’un qui a raison et quelqu’un qui a tort. Ils ne peuvent tout simplement... Il y a neuf cent soixante-neuf différentes églises dénominationnelles et il doit y avoir quelqu’un qui a raison et quelqu’un qui a tort dans tout cela.
36 Maintenant, rapidement, il me reste environ dix minutes avant que nous commencions à prier pour les malades, si Dieu le veut. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
Maintenant, j’aimerais vous demander quelque chose. Il n’y a qu’un seul moyen pour trouver qui Il est, Son aspect, ce qu’Il fait, et tout ce qui Le concerne. Le seul moyen pour que nous puissions le faire comme il faut, ce n’est pas de retourner dans mon église, l’Eglise baptiste, pour en tirer un exemple, c’est de ne pas aller dans votre église, l’Eglise presbytérienne, ou la vôtre, l’Eglise catholique, ou la vôtre, vous les pentecôtistes, ou l’Eglise de Dieu, ou les Assemblées de Dieu. Ce n’est pas ça; mais il faut retourner à la Parole de Dieu pour voir ce qu’Il était.
37 Voyons. Nous connaissons l’histoire de la Noël, elle est encore fraîche dans notre mémoire, nous avions eu cela il y a une semaine ou deux. Maintenant, considérons-Le lorsqu’Il–lorsqu’Il a commencé Son ministère. Aussitôt qu’Il a commencé Son ministère, Jean-Baptiste, celui qui devait Le présenter, et qui était le plus grand prophète de tous les âges, Jean-Baptiste... Et c’est ce qu’a dit Jésus, Il a confirmé qu’il était le plus grand prophète. Il était plus grand qu’Elie, plus grand que tous les autres, c’était Jean, parce qu’il a présenté le Messie. Les autres ont prophétisé Sa Venue; mais lui a dit: «Voici l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde.» Il a eu le privilège de présenter au monde le Messie Dieu.
Et Jean Le connaissait parce qu’il y avait un signe qui L’accompagnait, le surnaturel. Et partout dans la Parole de Dieu, là où Jésus apparaît, ou là où le Saint-Esprit apparaît, il y a le surnaturel. Alors nous ne pouvons pas conduire nos églises vers des credos théologiques morts, ça doit être l’Esprit du Dieu vivant, agissant, se confirmant. Nous verrons cela le dimanche ou une autre fois, le Seigneur voulant.
38 Mais remarquez. Nous allons considérer Sa Vie. Maintenant, à vous qui voulez lire la Bible, pour rendre cela... Prenons alors la Bible. Commençons ce soir. Je vais citer la Bible. Suivez-moi pendant que vous lisez, si vous voulez, dans Saint Jean, chapitre 1. Nous lisons dans Jean, nous allons donc simplement prendre Saint Jean, 1er chapitre, nous allons prendre Matthieu, Luc, Marc et tous les autres, et nous allons faire ressortir cela. Prenons Saint Jean.
Aussitôt qu’il a été tenté par le diable pendant quarante jours, et le diable l’a laissé pendant un temps, Jésus commença son ministère.
39 Maintenant, observez le genre de ministère qu’Il avait. J’aimerais vous poser une question: si nous pouvons trouver le genre de ministère... Eh bien, la Bible nous enseigne que Son corps est dans la Gloire, assis à la droite de Dieu sur le Trône de Dieu. Mais Elle enseigne aussi que le Saint-Esprit, qui est l’Esprit de Dieu, est ici sur terre, continuant Son oeuvre, et qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. «Encore un peu de temps, et le monde (c’est un... le mot Kosmos, l’ordre du monde) ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez.» Il a promis d’être avec nous, non seulement dans cet âge-là, mais jusqu’à la fin du monde: le même hier. Et: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Est-ce juste? «Et vous en ferez davantage.» La version Roi Jacques dit: «De plus grandes». Mais qui... la traduction correcte c’est: «davantage». Considérez cela et voyez. «Davantage.» Vous ne pourrez pas faire de plus grandes oeuvres: Il a arrêté la nature, ressuscité les morts, et tout ce qui devait être fait. «Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez. Vous Me verrez.» Jusqu’à quand? Dans chaque génération jusqu’à la fin du monde. Oh ! J’aime cela: c’est la Parole de Dieu. C’est de cela que le Saint-Esprit se nourrit, juste là. Juste de la... «L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.»
40 Et laissez-moi vous donner quelque chose juste ici, à vous les malades. Jésus était... Eh bien, Il était Dieu. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Il n’était pas un philosophe. Il n’était pas un simple prophète. Il était Dieu.
Une femme me parlait il n’y a pas longtemps. Je n’ai pas l’intention de citer la religion de quelqu’un. Vous le saurez si je...?... l’église: la Science chrétienne. Et elle m’a dit: «Monsieur Branham, vous mettez trop l’accent sur la divinité de Jésus. Vous faites de Lui un dieu.»
J’ai dit: «Il n’était pas un dieu: Il était Dieu Lui-même.»
Elle a dit: «Oh ! Monsieur Branham, Il n’était pas Dieu.»
J’ai dit: «Oh ! si.»
Elle a dit: «Vous Le vantez trop.»
J’ai dit: «Je ne pourrais pas Le vanter assez.»
Elle a dit: «Eh bien, si je vous prouve par la Bible qu’Il n’était qu’un homme, juste un exemple, le croirez-vous?»
J’ai dit: «Si la Bible l’indique de cette manière, je crois la Bible. Oui, parce que c’est là que repose mon espérance, sur la Bible.»
Et elle a dit: «Je vais vous le prouver par la Bible qu’Il n’était pas Dieu. La Bible rend cela clair qu’Il n’était pas Dieu.»
J’ai dit: «Faites-moi voir ça.»
Elle a dit: «Saint Jean, chapitre 11: quand Jésus s’est rendu à la tombe de Lazare, la Bible dit qu’Il pleura.»
J’ai dit: «Eh bien, qu’est-ce que cela a à faire avec la chose?»
Elle a dit: «Eh bien, ça prouve qu’Il n’était pas Dieu, parce qu’Il ne pouvait pas pleurer s’Il était Dieu.»
J’ai dit: «C’est moins consistant qu’une sh-... sauce faite à base de l’ombre d’un poulet qui est mort de faim.» J’ai dit: «Cela n’a rien à faire avec la chose.» J’ai dit: «Il était un Homme, le Fils de Dieu dans la chair, mais dans l’Esprit, c’était la divinité: Il était Dieu.» Il était un homme, lorsqu’Il se rendait à la tombe, pleurant, mais lorsqu’Il s’est tenu là et qu’Il a redressé ce petit corps... La Bible dit qu’Il n’avait aucune beauté pour nous plaire. Peut-être qu’on ne dit pas grand-chose... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Il a dit: «Lazare, sors !» Et un homme qui était mort depuis quatre jours s’est tenu debout et est revenu à la vie, c’était plus qu’un homme. C’était la Divinité parlant par des lèvres. C’est juste. Mmm. J’ai dit: «C’est vrai. Il était un Homme lorsqu’Il est descendu de la montagne, ayant faim, regardant sur les arbres là pour trouver quelque chose à manger. Mais lorsqu’Il a cherché sur l’arbre pour trouver des figues, et qu’Il n’a pu rien trouver à manger, Il était un Homme lorsqu’Il avait faim, mais lorsqu’Il a pris cinq petits pains et deux morceaux de poissons et qu’Il a nourri cinq mille personnes, c’était plus qu’un Homme qui parlait. C’était un Homme quand Il avait faim, mais c’était Dieu quand Il a nourri les gens.» C’est juste.
41 Il était un Homme, lorsqu’Il était couché à l’arrière de la barque ce soir-là, et que dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer, et les vents soufflaient, hurlaient, le mât s’était brisé, et les rames, la petite barque était remplie d’eau et ils allaient couler... Le diable brillait comme un éclair au sommet de chaque vague, et ses yeux scintillaient, et il disait: «Je L’ai eu maintenant.» Il était un Homme, couché à l’arrière de cette barque où les vents et les vagues ne Le dérangeaient pas du tout. Il était un Homme couché là, endormi, fatigué comme n’importe quel autre homme. Mais quand Il a posé Son pied sur le bastingage de la barque, Il leva les yeux et dit: «Silence, tais-toi !» Et les vents et les vagues Lui obéirent, c’était plus qu’un homme. C’était la Divinité parlant à travers Lui.
C’est vrai qu’Il était un Homme lorsqu’Il a crié à la croix: «Mon Dieu, pourquoi M’as-Tu abandonné?» Il était un Homme vivant là... suspendu là sur la croix, mais lorsqu’Il est ressuscité le matin de Pâques, en brisant le sceau romain, et en ouvrant la tombe, Il a prouvé qu’Il était Dieu.
Oh ! Le poète a dit:
Vivant, Il m’aima; Mourant, Il me sauva;
Enseveli, Il emporta mes péchés au loin;
Ressuscitant, Il me justifia gratuitement à jamais:
Un jour Il vient, oh ! quel jour glorieux !
42 Cela a fait frémir le coeur de chaque homme, de chaque femme, chaque poète, ou de n’importe quel homme qui a jamais vécu depuis ce temps-là, de savoir qu’Il était plus qu’un homme. Il était un Homme; Il était Dieu Homme. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.
Je Le vois au début de Son ministère. Nous allons Le suivre pendant quelques minutes. Dans Son ministère Il a commencé à guérir les malades, à prier pour les malades, de grands miracles ont commencé à accompagner. Maintenant, suivez attentivement; je vais prendre juste un peu plus de temps. Vous êtes une si bonne assistance à laquelle parler, entièrement remplie de l’Esprit. Que peut-Il arriver ici ce soir? Oh !...
43 Ensuite nous Le voyons comme un Homme se tenant dans la chair humaine, mais quand Il priait, les miracles ont commencé à L’accompagner. Il y avait un homme du nom de Philippe qui a été converti. Et aussitôt qu’il a été sauvé, il a voulu aller voir son ami. Ce dernier s’appelait Nathanaël. C’est un bon signe qu’il était sauvé, lorsque vous allez en parler à quelqu’un d’autre. Et toute personne qui trouve quelque chose de bon aime en parler à quelqu’un d’autre.
Alors il effectue plusieurs kilomètres en contournant la montagne, presqu’une journée de marche, là où Nathanaël, un croyant fidèle, un Juif croyant, orthodoxe, qui était vraiment loyal... Il va le voir en contournant la colline. Philippe était sorti pour... il a trouvé Nathanaël là dans son jardin, sous un figuier, ou un arbre, en train de prier. Et alors il l’a appelé et lui a dit: «Viens voir qui j’ai trouvé: Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.» Maintenant, suivez attentivement. Suivez. Après qu’il a fini de prier, il s’est relevé, et a dit: «Eh bien, peut-il venir d’une ville comme Nazareth quelque chose de bon?»
Je pense que Philippe lui a donné la meilleure réponse qui puisse être donnée. Il a dit: «Viens, et vois.» C’est le meilleur moyen pour comprendre. «Viens, et vois.» Ne reste pas à l’écart pour critiquer. Ne donne pas ton point de vue. Viens voir toi-même. «Voyons, a-t-il dit, retournons. Tu te feras ta propre opinion.»
«Très bien. J’irai.» Et le voilà qui s’en va en contournant la montagne.
44 Le jour suivant, ils arrivèrent dans la ligne de prière, là où Jésus se trouvait; c’était à une journée de marche en contournant la montagne. Maintenant, voici Jésus. Considérons-Le hier. Jésus se tenait là, en train de prier pour les malades. Peut-être que Nathanaël est entré dans la ligne de prière. Peut-être qu’il était là dans l’assistance. Il se trouvait quelque part. Mais dès que... Maintenant, écoutez. Dès que Jésus a porté Son regard sur Nathanaël, Il a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.» En d’autres termes: «Voilà un homme de bien, juste, honnête. En qui il n’y a pas de fraude, ce n’est pas un trompeur, c’est un homme loyal.»
Eh bien, cela l’a un peu étonné. «Comment sais-Tu que je suis un Israélite?» Pour commencer, il pouvait bien être un Grec, il pouvait bien être un Romain, il pouvait bien être quelqu’un d’autre.
Et tout d’abord, vous savez, il a dit: «Comment sais-Tu que j’étais honnête et droit? Quand m’as-Tu connu, Rabbi? Comment as-Tu su cela?»
Eh bien, les Juifs se tenaient là, ils se tenaient à côté: «Oui, oui.»
Ici se tenait le... et voici que Nathanaël se tenait là. Ecoutez, voilà Philippe qui suivait. «Quand m’as-Tu connu, Rabbi?»
Jésus a dit: «Avant que Philippe t’appelât, Je t’ai vu. (A trente miles [48 km] en contournant la montagne.) Hier, Je t’ai vu sous l’arbre.» Quels yeux ! Il devait être plus qu’un homme. «Je t’ai vu sous l’arbre, avant que tu viennes à l’église, tu étais en train de prier sous un arbre. Je t’ai vu.» Quel effet cela a dû produire sur ce croyant parfaitement honnête et orthodoxe?
Il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.» C’était réglé.
Jésus a dit: «Parce que Je t’ai dit cela, tu crois?» Bien sûr, c’était là le signe du Messie.
45 Maintenant, que faisaient tous ces gens qui étaient membres de la grande église classique, les Juifs? Ils disaient: «Cet Homme fait cela par Béelzébul.» Béelzébul, c’était le chef des diseurs de bonne aventure, le diable.
Et nous savons tous que dire la bonne aventure, c’est du diable. Alors ils ont dit: «Il est Béelzébul, le chef des diseurs de bonne aventure.»
Maintenant écoutez. Ceux qui sont sincères de coeur reconnaissent le signe du Messie: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.»
Jésus a dit: «Parce que J’ai dit ceci, tu Me crois? Tu verras des choses plus grandes que ceci.»
Mais les membres d’église ont dit: «C’est Béelzébul.»
Jésus s’est retourné et a dit: «Vous pouvez parler contre Moi, et Je vous pardonnerai.» Je vais présenter cela de sorte que les enfants comprennent. «Si vous parlez contre Moi, le Fils de l’homme, cela vous sera pardonné. Mais quand le Saint-Esprit viendra faire la même chose, une seule parole contre cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Alors faites bien attention ! Cela ne sera jamais pardonné, parce que les gens disaient qu’Il avait un esprit impur. Voyez-vous? C’était au commencement.
46 Maintenant observez, juste deux citations. C’était Jésus hier. S’Il est le même aujourd’hui, Il doit être le même. C’était Son ministère hier.
Suivons-le à partir de Saint Jean. Voici Pierre qui s’avance. Son nom était Simon. Voici venir un très grand pêcheur costaud, ayant sur lui un grand tablier de pêche plein de graisse, il s’est assis là sur le côté de–d’un rondin ou autre, en train de L’écouter prêcher. Lorsqu’il s’est avancé vers Jésus, Jésus lui a dit: «Pierre, tu t’appelles Simon. Le nom de ton père est Jonas.» Comment sait-Il cela? «Tu t’appelles Simon. Le nom de ton père est Jonas, mais Je vais te donner un autre nom: tu seras appelé «une petite pierre» désormais, Pierre.»
Je peux imaginer Pierre dire: «Eh bien, Seigneur, me voici.»
47 Remarquez. Nous Le voyons de nouveau. Suivons-Le un peu plus loin. Nous Le voyons au chapitre 4. Il monte vers... Il descend vers Jéricho. Si vous avez déjà été en Palestine, Jérusalem est située sur la colline; Jéricho est située sur la montagne, ou plutôt dans la vallée. Et la Samarie se trouve là en suivant un chemin détourné. «Mais il fallait...» Maintenant, j’aimerais m’arrêter sur ce point-là. «Il fallait qu’Il passât par la Samarie.» Pourquoi? Observons maintenant.
Vous savez, la Bible est une lettre d’amour. Le savez-vous? Ma femme peut m’écrire une lettre; elle dira: «Cher Billy, je–je suis assis ici ce soir...» J’irai outre-mer. «Je pense à toi,» et ainsi de suite. Ça c’est ce qu’elle est en train de dire sur papier, mais je peux lire entre les lignes, parce que je l’aime. Elle m’aime. Vous aimez le Seigneur; lisez cela et cela apparaîtra clairement. Vous savez, vous... C’est une lettre d’amour qu’Il a écrite à Son Eglise. Vous ne pourrez pas comprendre cela. Il l’a caché aux yeux des sages et des intelligents, et Il l’a révélé aux enfants qui veulent apprendre. Voyez? Il ne s’agit pas des séminaires, de l’instruction, ni de l’érudition; il est question d’être amoureux du Seigneur.
48 Remarquez, Le voici qui vient. Et maintenant, Il est allé à Samarie, c’était vers midi.
Alors Il a envoyé tous Ses disciples dans la ville pour acheter des vivres. Et pendant qu’Il était resté, c’est en quelque sorte un petit décor panoramique là, comme ceci, il y avait des vignes qui poussaient par là. Il était assis, adossé contre le mur. Oh ! Un–un Juif d’environ trente ans et quelques, mais Il paraissait en avoir cinquante, ont dit les gens. Saint Jean 6, les gens Lui ont simplement dit, ils ont dit: «Tu dis avoir vu Abraham et Tu as à peine cinquante ans.» En d’autres termes, Son travail avait exercé une telle pression sur Lui qu’Il paraissait vieux, Lui qui était un jeune Homme.
Et Il était assis là, adossé. Et une femme de mauvaise réputation... Nous n’allons pas entrer là-dedans, vous comprenez ce que je veux dire: une prostituée de la rue, comme nous le croyons ici. Alors elle s’est présentée au puits. Peut-être qu’elle avait passé toute la nuit dehors et qu’elle venait de se lever, peut-être...
La vérité est qu’elle ne pouvait pas venir là au même moment que les vierges. Il y avait un... Il y avait une discrimination à l’époque, entre le bien et le mal. Mais aujourd’hui tout est complètement mélangé.
49 Mais lorsqu’elle est venue au puits pour puiser de l’eau, Jésus était assis là, et Il lui a dit: «Femme, apporte-Moi à boire.»
Et elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs demandiez à nous les Samaritains pareille chose. Il n’y a pas de relation entre vous et nous.»
Jésus a dit: «Mais si tu savais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.» Il a dit: «Je te donnerais de... Je te donnerais une eau que tu ne...»
Elle a dit: «Le puits est profond et Tu n’as rien pour puiser.» Et la conversation a continué, ça a pris du temps. Elle a dit: «Nos pères ont adoré... Et notre père Jacob a bu de ce puits, et Toi, Tu dis... Nous adorons sur cette montagne et vous, vous dites qu’il faut aller adorer à Jérusalem.» Et la conversation s’est poursuivie. Que faisait Jésus? Eh bien, vous devez me croire sur parole pour ceci. Il était en train de contacter son esprit. C’est le Père qui L’avait envoyé là. Lui ignorait pourquoi, mais Il attendait. Alors, quand Il a contacté son esprit, qu’Il a parlé à la femme... Maintenant, suivez attentivement. Pendant qu’Il parlait à la femme, Il a découvert son problème. Il a dit: «Va chercher ton mari.» C’était là son problème. Est-ce juste? «Va chercher ton mari.» Il parlait des eaux de la Vie, c’est ce dont elle avait besoin. Il a dit: «Va chercher ton mari.»
Elle a dit: «Je n’en ai pas.»
Il a dit: «C’est juste. Tu en as eu cinq. Et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari.»
50 Maintenant, écoutez cette femme. Maintenant, qu’a dit Nathanaël lorsque Jésus avait fait cela sur lui? Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.» Ça c’était l’attitude du Juif.
Maintenant, quelle est l’attitude de la Samaritaine? Observez. Elle a dit: «Tu as dit vrai...» Jésus a fait... Il a dit... «Tu as dit vrai: tu n’as point de mari.»
Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Maintenant, écoutez. «Nous (les Samaritains), nous savons que lorsque le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses. Il nous annoncera toutes choses.»
Mais elle ignorait qui Il était. Elle savait que c’était là le signe du Messie; alors Il devait être un prophète du Messie, parce qu’elle savait que lorsque le Messie viendrait...
Et ils n’avaient pas eu de prophètes depuis des années, alors elle a reconnu que cela ressemblait au signe du Messie. Elle a dit: «On nous a enseigné à croire que lorsque le Messie viendra, c’est ce qu’Il fera, mais Toi, qui es-Tu?»
Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.» Amen. «Je Le suis.»
Elle est entrée dans la ville et elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit les choses que je... Ne serait-ce pas le Messie même?» Si c’était le Messie à l’époque, qui a fait cela, et étant le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il doit faire la même chose aujourd’hui, s’Il est le Messie. Est-ce vrai? Bon, encore une citation.
51 Un jour, une petite femme avait une perte de sang. Elle était allée chez les médecins; ceux-ci avaient fait tout leur possible. Je ne suis pas contre les médecins. Que Dieu les bénisse, ce sont nos–ce sont nos serviteurs; ce sont des dons destinés au public. Mais aucun médicament ne guérit. Le médecin ne vous dit pas que son médicament guérit. Le médecin ne peut pas guérir. Il ne dit pas qu’il est un guérisseur. S’il prétend l’être, il... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... guérisseur. Vous savez ce que je veux dire: guérisseur.
Alors si j’étais en train de démarrer ma Ford à la manivelle, et que je me casse le bras, et que je coure chez le médecin et dise: «Docteur, guérisseur, guéris mon bras immédiatement; je dois démarrer ma Ford.» Il comprendrait que j’ai besoin d’une guérison mentale. La seule chose qu’il pourrait faire, ce serait de remettre mon bras en place. Eh bien, si je disais: «Est-ce guéri? Puis-je rentrer chez moi et démarrer ma voiture?»
Il dira: «Oh ! Non.» Il remet seulement le bras en place, il laisse à Dieu le soin de le guérir. Psaumes 103.3 dit: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.»
Que se passerait-il si je me coupais la main, et que je dise: «Je saigne à mort, docteur. Guérissez ma main immédiatement, guérissez cette blessure.» Il ne pourrait pas la guérir. Il pourrait suturer cela et laisser cela à Dieu pour qu’Il la guérisse. C’est tout. Il est l’Eternel... Le médicament ne reconstitue pas le tissu. Le médicament garde l’endroit propre pendant que Dieu fait... reconstitue le tissu, juste comme ce que font l’eau et le savon sur votre main. Très bien.
52 Maintenant, remarquez. La Parole ne se contredit pas. La Parole de Dieu marche toujours d’une manière parfaite et sans à-coups à travers la Bible.
Maintenant, remarquez donc cette déclaration. Cette petite femme avait fait tout son possible. Les médecins avaient fait tout leur possible. Ils étaient honnêtes, mais ils n’ont pas pu aider cette femme. C’était probablement un cas de ménopause, et elle était dans cet état depuis bien des années. Elle avait une perte de sang, et elle était maigre et frêle. Et elle disait... Elle avait entendu parler de Lui, et elle a cru qu’Il était un saint Homme de Dieu. Eh bien, voilà. C’était son approche à elle. Maintenant, écoutez. Etes-vous prêts? Il s’agit de votre approche; ça dépend de ce que vous en pensez.
Cette femme a touché Son vêtement. Eh bien, tout le monde sait que le vêtement palestinien est ample, et il comporte aussi un vêtement de dessous. Et moi, je ne sentirais jamais cela si vous touchiez ma veste. Mais elle a touché Son vêtement et elle s’est retirée, et Il a dit: «Qui M’a touché?»
Pierre a dit: «Toute la foule Te touche.» Il L’a repris.
Il a demandé: «Qui M’a touché?» Et tout le monde a nié cela, elle a nié cela, tous ont nié cela.
Mais Jésus a dit: «Je suis devenu faible.» La vertu est sortie de Lui. Il a cherché des yeux autour de Lui. J’expliquerai cela dans un autre message, ce qui était arrivé. Il a dit: «Il a regardé autour de Lui [Espace vide sur la bande–N.D.E.] jusqu’à ce qu’Il a trouvé là où un...?... était en train de tirer. Et Il l’a trouvée. Ah ! Il l’a regardée, Il a dit: «Ma fille, aie bon courage. Ta perte de sang est finie. Tu... ta foi t’a sauvée.» Elle ne pouvait pas cacher cela. Elle avait touché la Fontaine quelque part. Cette Fontaine peut-elle être ouverte ce soir? Vous direz: «Frère Branham, peut-on Le toucher ce soir?»
«Oui, oui.»
«De même que cette femme-là L’avait touché?»
«Certainement.»
«Comment peut-on le faire? Est-ce que la Bible le dit?»
«Oui, oui. Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités: un Souverain Sacrificateur. Touchez-Le et voyez. Votre guérison est achevée, elle est déjà accomplie. Mais Il doit avoir un autre moyen pour vous permettre de savoir que vous L’avez touché. Lorsqu’Il vient dans la réunion pour se confirmer, touchez-Le une fois et voyez s’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de vos infirmités.
[Elle] L’a touché, et Il a dit: «Ta foi t’a sauvée.»
53 Maintenant, Il descend au chapitre 4 de Saint Jean. Il va... ou plutôt au chapitre 5... Il arrive à une piscine appelée Béthesda. Il y avait là une grande multitude de boiteux, d’infirmes, d’aveugles, de paralytiques (Maintenant, suivez très attentivement, nous allons terminer sur cette observation.), de grandes foules, des multitudes, des centaines et des centaines de gens qui s’étaient amassés. Regardez quelle masse de gens c’était ! Eh bien, suivez attentivement.
Maintenant, croyez-vous qu’Il était plein de compassion? C’est ce que dit la Bible, mais cette compassion est un genre de compassion différent de ce que nous appelons compassion. Il existe deux différentes sortes de compassion. L’une, c’est la sympathie humaine. L’autre, c’est la compassion divine. La compassion divine consiste à faire la volonté de Dieu. La sympathie humaine jette le tout dans un sac.
Tenez. C’est juste comme les deux mots grecs pour amour. L’un d’eux, le mot grec, signifie l’amour pour votre femme: l’amour phileo, l’amour phileo. Cela signifie l’amour que vous avez pour votre femme. Si un homme l’insultait, vous le tueriez à cause de cela. Et ensuite, il existe un autre mot grec pour désigner l’amour, c’est le mot Agapao. Et ce mot signifie: «L’amour divin de Dieu.» Et ce même amour poussera un homme à prier pour l’âme perdue de l’autre au lieu de le tuer. Voilà la différence entre les deux. L’un vous poussera à tuer un homme, l’autre vous poussera à prier pour lui. Voyez? Eh bien, c’est la même chose que la sympathie humaine:
«Oh ! Frère Branham, ne faites pas ça. Laissez...»
«Dites, toi le guérisseur divin, je connais le vieux Jean Dupont qui est assis là dans la rue; ça fait quarante ans qu’il est aveugle. Va là le guérir, et je croirai en toi.» Ça, c’est le diable. C’est vrai.
54 Le diable avait demandé à Jésus d’accomplir un miracle lorsqu’Il venait de commencer Son ministère, il a dit: «Si Tu es le Fils de Dieu, fais un miracle ici devant moi.» Eh bien, ce démon n’est pas mort. Il entre même dans les églises, même dans des prédicateurs.
Maintenant, fais un miracle ici devant moi. J’aimerais Te voir faire quelque chose; je croirai en Toi, Toi le guérisseur divin. Toi le grand faiseur de miracles, si Tu es le Fils de Dieu, transforme ces pierres en pains, que je T’y voie. Je croirai en Toi.»
Il est entré dans les pharisiens, ils ont dit: «Si Tu es le Fils de Dieu, descends de la croix, et nous croirons en Toi.»
Un Romain a placé un bandeau sur Ses yeux, il L’a frappé sur la tête avec un bâton, et a dit: «Toi qui prophétise, dis-nous qui T’a frappé. Prophétise maintenant, Toi qui prophétise.» Dieu ne fait le clown pour personne. Il n’a point ouvert Sa bouche. Non, Il n’a rien dit. Il n’avait senti aucune vertu. Mais la femme, qui L’avait approché d’une manière correcte, et qui avait touché Son vêtement, a reçu la vertu. Son désir a été exaucé. Cet autre gars a été condamné; il est allé en enfer pour cela, sans doute. Quelle est la différence? C’est votre attitude qui compte, le genre de climat que vous créez autour de vous par votre foi ou par votre incrédulité. Alors abandonnez toutes vos superstitions et créez autour de vous un climat. Voilà la différence. C’est le climat qui fait la différence.
Une poule peut pondre son oeuf et cela va éclore. Mais placez cela dans un incubateur sous la même chaleur, cela éclora de toute façon. C’est le climat qui fait la différence.
55 Or, Jésus s’était rendu à cette piscine. On descendait quelques marches pour y parvenir. Et là-dedans, il y avait une eau agitée. Et de temps en temps, un ange descendait et agitait cela et l’eau devenait agitée. Vous qui vivez ici près de cette rivière, vous savez ce que sont des eaux agitées, certainement: le courant va dans un sens, et–et les vagues viennent dans l’autre sens. Et cela provenait de ces cataractes qui descendaient en trombe, puis cela allait dans l’autre sens. Tout celui qui entrait le premier était guéri, quelle que fût sa maladie, s’il avait la foi pour croire cela. Beaucoup critiquaient cela, s’en sont moqués, mais la Bible dit que c’était un ange. Et je le crois. Dieu fraie toujours une voie.
Jésus est venu à cette piscine et il y avait des gens qui étaient couchés là, des boiteux, des aveugles, des infirmes, et des paralytiques. C’est vrai, frère. C’est ce que dit la Bible. Considérez cette situation chaotique: des gens souffrant de l’arthrite, des aveugles, des mères qui avaient des bébés hydrocéphales et toutes sortes d’afflictions. Et voici venir le Fils de Dieu, juste quelques jours après que cette femme avait touché Son vêtement, marchant carrément au milieu de cette foule. Où est toute cette compassion? Il n’a touché aucun d’eux. Il a regardé autour de Lui jusqu’à ce qu’Il a trouvé un homme couché sur un grabat.
Eh bien, nous les gens du Sud nous savons ce que c’est qu’un grabat. Vous devez utiliser un autre mot là au Nord, parce qu’ils ne savent pas ce que c’est qu’un grabat. J’ai grandi dessus: un grabat.
Il a cherché jusqu’à ce qu’Il a trouvé ce grabat qui était posé là, et un homme était couché dessus. Peut-être qu’il avait la prostatite. Il l’avait depuis trente-huit ans. C’était chronique, cela n’allait pas ruiner sa santé; cela n’allait pas le tuer. Mais Jésus s’est approché de cet homme après être passé à côté de tous ces boiteux, ces aveugles, ces infirmes, ces paralytiques, et Il a dit: «Veux-tu être guéri?» Eh bien, ça c’est l’Ecriture: Saint Jean 5. Commencez simplement à lire. Il a dit: «Veux-tu être...» Eh bien, pourquoi pas l’aveugle: «Veux-tu être guéri?» Pourquoi pas l’infirme: «Veux-tu être guéri?» Je soulève ceci pour vous faire remarquer quelque chose. Il avait guéri les malades et les affligés, mais je fais ceci juste pour vous montrer pourquoi Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
56 Maintenant, suivez attentivement. Lorsqu’Il s’est approché de cet homme, Il l’a vu, Il a dit: «Veux-tu être guéri?»
Ce dernier a dit: «Monsieur, je n’ai personne pour me jeter dans l’eau, pendant qu’il y a quelqu’un qui peut courir plus vite que moi.»
Il a dit: «Lorsque je descends, quelqu’un me devance.» Certaines personnes n’avaient que de maux de dents, et ainsi de suite, ils pouvaient courir plus vite que cet homme qui était sérieusement malade.
Et Il a dit: «Prends ton lit et va chez toi.» Et cet homme a pris son lit, il l’a posé sur son épaule, et il s’en est allé, marchant. Les gens ont douté de Lui. Si Jésus passait dans cette ville aujourd’hui, et qu’Il accomplisse la même chose, on douterait de Lui. Mais le monde reconnaît les siens. C’était Jésus hier. Maintenant, observons-Le.
Et lorsqu’Il est arrivé là, Saint Jean 5.19... Maintenant, prenez le verset 19 de votre chapitre 5. Et quand on a interrogé Jésus là-dessus, qu’a-t-Il dit? Maintenant, écoutez: «En vérité, en vérité (C’est absolument, absolument.), Je vous le dis, le Fils ne fait rien de Lui-même, mais ce que Je vois faire au Père; le Fils le fait pareillement.» Est-ce juste?
Comment un homme peut-il avoir l’audace de prétendre être un guérisseur divin, alors que Jésus-Christ Lui-même ne prétendait pas l’être? Il a dit: «Je ne peux rien faire de Moi-même.» Eh bien, soit c’est la vérité, soit ce n’est pas la vérité. Il a dit: «Je fais seulement ce que le Père Me montre. Je ne fais rien de Ma propre volonté, ou rien par Moi-même. Le Père ne Me contraint pas de le faire, Il Me montre ce qu’il faut faire.» Est-ce juste? «Je ne fais rien...» Avez-vous compris cela, Saint Jean 19? «Je ne fais rien de Moi-même, mais ce que Je vois faire au le Père, le Fils le fait pareillement. Le Père agit, Moi aussi, J’agis jusqu’à présent.» En d’autres termes, J’accomplis juste sous forme de drame ce que le Père Me montre de faire. Et Je vais carrément le faire.
57 Regardez à la tombe de Lazare. Il a dit: «Père, Je Te remercie...» Pourquoi avait-Il quitté la maison de Lazare et s’était-Il éloigné? On L’avait envoyé chercher. Il a simplement continué à s’éloigner. Si votre pasteur faisait cela, vous le chasseriez à la prochaine réunion des diacres. Mais, vous voyez, Il a simplement continué. Et lorsque... Il a dit qu’Il savait que Dieu le Lui avait révélé. Eh bien, soit Jésus disait la vérité, soit Il ne disait pas la vérité. Il a dit qu’Il ne faisait rien avant que le Père Lui ait montré premièrement quoi faire. Il voyait cela d’abord dans une vision, et le Père le Lui montrait. Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait. Et le Père Lui avait montré pendant qu’Il était ailleurs depuis un certain moment, Il a dit: «Notre ami Lazare dort, mais Je vais le réveiller. Je suis heureux à cause de vous de ce que Je n’étais pas là, parce que si vous M’aviez demandé de prier pour lui, Je serais allé à l’encontre de la volonté de Dieu. Je vais le réveiller. Il doit être enterré et rester là pendant quatre jours avant que Je puisse le réveiller.», en d’autres termes. Il le savait. Et lorsqu’Il s’est tenu à la tombe, Il a dit: «Père, Je Te remercie du fait que Tu M’as déjà exaucé, mais Je dis ceci à cause de ces gens qui M’entourent. Lazare, sors !» C’était tout ce qu’il fallait. Il l’a fait parce que le Père Lui avait montré quoi faire.
58 Maintenant, tenez, mon ami. Jésus a dit (Maintenant, suivez attentivement, nous allons prier.): «Celui qui croit en Moi (Saint Jean, je crois que c’est vers le–le chapitre 14, au verset 7), celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais. Il en fera davantage, parce que Je M’en vais au Père.» Est-ce bien ce qu’Il a dit? «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Encore un peu de temps, et le monde (le monde froid et formaliste, après que Son corps physique a été enlevé), ils ne Me verront plus. Peu importe ce qui arrive, ils ne Me verront pas. Mais vous, vous Me verrez.» Maintenant, il y aura un monde jusqu’à ce qu’Il viendra et il y aura un vous jusqu’à ce qu’Il reviendra. «Vous Me verrez, car Je serai avec vous, Je serai en vous; Je ferai la même chose que J’ai faite ici sur... lorsque J’étais ici dans Ma propre chair. Je serai en vous, faisant la même chose jusqu’à la fin du monde.» Alors Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
59 Maintenant, la Bible dit que Dieu a établi dans l’Eglise, premièrement les apôtres, ou les missionnaires, les deux mots disent la même chose. Comment les gens préfèrent être appelés missionnaires, je ne sais pas. Je pense que le mot apôtre, c’est mieux. Mais apôtre signifie celui qui est envoyé. Que signifie missionnaire? Celui qui est envoyé. Les apôtres, les prophètes (c’est-à-dire les voyants), les évangélistes, les pasteurs, et les docteurs, cinq différents offices que Dieu a établis dans l’Eglise. Vous ne pouvez pas retrancher une partie de cela et laisser les autres; vous devez les prendre tous. Dieu a établi cela... Un pasteur n’est pas un évangéliste, un évangéliste n’est pas un apôtre. Un apôtre n’est pas un voyant, et ainsi de suite. Tout cela sert à l’édification du corps de Christ.
Maintenant, mon ami, si Jésus vient dans cette église ce soir maintenant même et qu’Il confirme et fasse la même chose qu’Il fit lorsqu’Il était ici sur terre, allez-vous tous Le recevoir comme votre–comme votre Guérisseur, votre Sauveur, ou tout ce qu’il vous faut, allez-vous lever la main vers Lui pour dire: «Je vais Le recevoir?» C’est une grande déclaration. Et c’est un... vous ferez mieux de savoir de quoi vous parlez avant de le dire.
60 Maintenant, prions juste un instant. Père céleste, il semble qu’il n’y a pas moyen de nous arrêter lorsque nous commençons Ta Parole, avec une assistance si attentive. Et je Te prie maintenant, Bienveillant Père céleste de parler maintenant. Ton serviteur a parlé bien longtemps, et à ce qu’il paraît, l’assistance a reçu la Parole. Mais un seul mot venant de Toi aura plus d’effet que tout ce que je pourrais dire s’il m’était donné de vivre plusieurs fois. Alors comme j’ai parlé de Toi, Père, je Te prie de confirmer cette Parole. Elle est peut-être un peu différente de la vieille école de pensée, mais Tu ne t’es jamais attaché à une quelconque école, car Tu es Dieu. Je Te prie de Te faire connaître ce soir et de manifester Ta grande puissance et Ton grand amour parmi les gens.
Lorsque nous quitterons ce lieu ce soir, que cette assistance sur leur chemin du retour, dans ces petites rues par ici, et de l’autre côté de la colline là-bas, et que peut-être certains d’entre eux, avec une lanterne ou une petite torche à la main, en route vers leurs petites demeures, qu’ils soient comme ceux qui revenaient d’Emmaüs, ces disciples qui revenaient d’Emmaüs, qui ont dit: «Nos coeurs ne brûlaient-il pas au-dedans de nous lorsqu’Il nous parlait en chemin?»
Et, ô Père, nous savons que ce jour-là, en ce jour de la résurrection, lors de cette première glorieuse Pâques, ils ne savaient guère que ce même Jésus qui était... qui avait vécu avec eux pendant trente-trois ans et demi, était revenu à la vie, et que c’était Lui qui marchait avec eux. Mais lorsqu’Il les a eus dans une pièce où ils étaient seuls, les portes fermées derrière eux, Il a fait quelque chose exactement comme ce qu’Il avait fait lorsqu’Il était ici sur tertre avant Sa crucifixion. Personne ne pouvait nier cela, car Il était la seule Personne qui pouvait le faire. Et ils ont reconnu que c’était Lui, parce qu’Il l’a fait exactement comme Il l’avait fait avant Sa crucifixion. Et cela a prouvé qu’Il était le même.
Et maintenant, Père, puisses-Tu ce soir faire les choses ici dans cette église, que Tu avais faites lorsque tu étais ici avant Ta crucifixion, afin que cette petite assistance voie, sache, et croie que Tu es ressuscité des morts, et que Tu les aimes, et que Tu désires T’exprimer, et que Tu essaies de les amener à avoir la foi pour croire dans Ton oeuvre achevée. Je le demande, alors que nous nous remettons à Toi, au Nom de Jésus. Amen.
61 [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Ô Dieu, accorde au prédicateur, mets son office... Or, il y a des prédicateurs faits par l’homme; et il y a des prédicateurs envoyés par Dieu. Voyez? Les prédicateurs faits par l’homme sont juste à la recherche de l’argent et d’autres choses. Mais un prédicateur envoyé de Dieu est à la recherche des âmes perdues. Voyez? Et c’est cela la sincérité.
Maintenant–maintenant, Jésus-Christ est ressuscité des morts. Eh bien, Il est–Il est apparu, et Il a envoyé un don, les visions, vous... qui consiste à voir des visions. Et Son Esprit agit tout simplement. Peu importe le nombre de fois, je n’en ai pas le contrôle, je n’y peux rien du tout. C’est votre propre foi personnelle. Peut-être que demain soir j’aborderai cela; alors vous verrez que ce n’est pas moi, c’est vous qui provoquez cela.
Maintenant, nous ne pouvons pas appeler tout le monde à la fois sur l’estrade. Et nous devons appeler les gens et ne laisser venir qu’un certain nombre selon nos capacités. Chaque jour nous distribuons des cartes de prière afin que les nouveaux venus qui entrent les reçoivent. Et nous appellerons quelque part à partir d’un numéro chaque soir, nous allons faire monter quelques personnes ici afin de prier pour eux, alors vous pourrez vous mettre à prier là-bas. Mais remarquez que le Seigneur guérit dix personnes là-bas contre une ici. Voyez? C’est votre foi qui compte. Peu importe où vous êtes, Dieu vous connaît; Il sait–Il sait quel genre de foi vous avez. Il est obligé... Vous... Il est un Souverain Sacrificateur. Ce n’est pas le fait de me toucher, moi; mais de Le toucher, Lui. Me toucher moi serait juste comme toucher votre mari, ou–ou votre soeur, votre femme, ou toute autre personne que vous touchez. Voyez? Ce serait simplement... Mais Le toucher Lui, c’est divin. Me toucher moi, c’est juste toucher un homme; mais Le toucher Lui... Peu importe si vous êtes ici ou pas, si vous êtes ici ou pas. Voyez? C’est dans votre coeur. Maintenant, croyez.
62 Eh bien, je crois que les jeunes gens ont distribué des cartes de prière. Mais j’ai oublié juste par où... Combien? De 1 à 50? Très bien. La carte de prière... Quelle lettre était-ce ce soir? T? Très bien. Mon fils a distribué des cartes de prière cet après-midi. Et il a dit qu’il a distribué la série T, de 1 à 50. Maintenant, nous ne pourrons pas les faire monter tous à la fois, parce qu’il pourrait y en avoir quelques-uns qui doivent être transportés et tout. Et il faudra que nous appelions simplement un petit nombre à la fois. Ainsi donc, commençons à partir du numéro 1, ce soir. Demain soir peut-être nous pourrons commencer à partir du numéro 20 ou ailleurs. Nous commencerons à partir d’un certain numéro. Mais commençons à partir de...
Jetez un coup d’oeil... C’est une petite carte qui porte ma photo dessus. Et puis sur l’autre côté, retournez-la, elle porte un «T» et le chiffre «1». Et voyons qui a la carte T-1, voulez-vous lever la main? ...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
63 Que tout le monde soit très respectueux, restez très tranquilles maintenant, et soyez très respectueux. Maintenant, gardez vos pensées centrées sur le Seigneur Jésus et soyez en prière. Reste avec nous. Dieu sait que c’est ce que nous désirons tous. Vous rendez-vous compte, chrétiens, là où je me tiens ce soir? Si quelqu’un pouvait prendre ma place ici, je serais heureux de la lui céder. Mais me voici devant, je pense, un millier de gens. Je ne sais pas: c’est un petit groupe. Mais je me suis tenu comme ceci devant cinq cents mille personnes lorsqu’un aveugle a recouvré la vue et que des dizaines de milliers sont venus à Christ à la fois. Voyez?
Maintenant, cette Bible, j’ai dit que c’est la Parole de Dieu. Maintenant, soit Elle est la vérité, soit Elle n’est pas la vérité. Je me base ce soir sur Hébreux 13.8, qui dit que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Les choses qu’Il a faites à l’époque, Il les fait aujourd’hui, sinon la Bible est fausse, et je suis un faux témoin. S’Il fait réellement la même chose, et qu’ensuite vous doutiez de cela, eh bien, c’est entre vous et Dieu. J’espère que vous n’allez pas douter de cela, mais que vous croirez et tirerez le même profit, car vous êtes un peuple très aimable.
64 Maintenant, Père, nous nous remettons nous-mêmes ainsi que notre esprit entre Tes mains. Et je me rends compte, Père, que peu importe à quel point Tu peux oindre Ton serviteur, je ne peux rien faire à moins que l’assistance aussi croie. Car Tu étais allé dans Ta propre patrie, Ta propre ville, et il est dit: «Il ne pouvait pas accomplir beaucoup de miracles à cause de leur incrédulité.» Alors je Te prie de faire disparaître toute l’incrédulité ce soir et de confirmer que Tu es vivant, le même Seigneur Jésus. Qu’ils ne regardent pas à la personne illettrée qui parle, mais qu’ils considèrent la Parole de Dieu qui a appelé cela, qui l’a déclaré, et Dieu a promis qu’Il accomplirait cela. Et qu’on dise, peut-être comme lorsque Pierre est passé par la porte appelée la Belle, les gens ont reconnu qu’il était un homme du peuple sans instruction, mais ils ont reconnu qu’il avait été avec Jésus. Qu’il en soit ainsi ce soir. Puisses-Tu faire ce soir quelque chose maintenant, Seigneur. Les mêmes choses dont nous avons parlé, puisses-Tu venir et accomplir la même chose, afin que les gens sachent que Tu es ressuscité des morts et que Tu es ici vivant, que Tu nous aimes et Tu veux que nous croyions en Toi. Et maintenant, je m’abandonne moi-même à Toi, avec cette assistance; nous prions au Nom de Jésus que Tu tires gloire de ce service. Amen.
65 Maintenant, gardez vos enfants près de vous. Il n’y a qu’une seule chose qui cause souvent des ennuis, c’est l’épilepsie. C’est pour cette raison que nous gardons l’estrade vide au possible. Maintenant, soyez très respectueux. Maintenant, nous ne sommes pas... Nous sommes–nous sommes dans l’église: dans l’église. Maintenant, soyez très respectueux.
J’aimerais simplement que vous veniez par ici, monsieur, un moment. Eh bien, ici ce soir il y a, je pense, des centaines de malades ici. Et j’ai clairement expliqué que personne ne peut vous guérir. Votre guérison a déjà été accomplie; vous devez accepter cela. Mais Dieu, par les dons de la prédication de la Parole... Peut-être qu’un ministre est venu et vous a expliqué la Parole à tel point que vous n’avez plus besoin de quelque chose d’autre: cela réglera le problème. Mais par un autre don qui consiste à voir...
Maintenant, voici un homme qui se tient ici. Je pense que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, n’est-ce pas? Nous ne nous connaissons pas. Eh bien; cet homme et moi, nous avons une différence d’âge, nous sommes nés à des kilomètres de distance et à des années d’intervalles, et nous ne nous sommes jamais rencontrés avant cet instant. C’est la première fois que nous nous rencontrons. Je ne l’ai jamais vu. Il ne m’a jamais vu, à ce que je sache. Il–il est ici pour une certaine cause. Je ne sais pas. Je ne saurais vous le dire. Mais il a l’air d’être en bonne santé. Eh bien, si je disais: «Il y a une femme assise là dans un fauteuil roulant.» Tout le monde voit cela. Vous voyez? Si je disais: «Il y a une dame assise ici qui porte des lunettes, elle a des yeux malades.» Tout le monde voit cela, mais qu’est-ce qui ne va pas chez cet homme-ci? Voilà le miracle. Voyez?
66 Eh bien, si Jésus est ressuscité des morts, Il connaît cet homme. Il l’a connu depuis sa naissance. Il l’a connu avant même qu’il naisse, oui, avant le commencement du monde. Avant que le monde commence, Il savait que nous nous tiendrions ici ce soir. Il savait que ce serait un témoignage pour vous s’Il accomplissait donc... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] bien avant que le monde commence.
Maintenant, cet homme pourrait être un infidèle, il pourrait être un athée, il pourrait être un critiqueur. Si c’est le cas, observez ce qui arrivera. Voyez? Maintenant, s’il est un chrétien, observez ce qui arrivera. Voyez? Je ne le connais pas. Dieu le connaît. Maintenant, voyez-vous dans quel état cela me met? C’est ma toute première fois de le voir et de le rencontrer...
67 Eh bien, si Jésus était ressuscité des morts et se tenait ici ce soir, portant ce complet qu’Il m’a donné là en Afrique, et... Maintenant, si cet homme était malade et disait: «Seigneur, je veux que Tu me guérisses.», que dirait Jésus? «Je l’ai déjà fait, Mon enfant, ne sais-tu pas que Je...» Il ne fait pas les choses à deux reprises. Il peut le faire seulement une fois. Il ne peut pas faire une expiation pour la guérison, et ensuite se retourner et faire une autre expiation pour cela. Il a déjà fait l’expiation et cela règle le problème. Mais Il le connaîtrait, et ce serait quelque chose comme ce qu’Il avait fait lorsqu’Il était ici sur terre avant Sa crucifixion, pour l’amener à comprendre qu’Il est Jésus. Est-ce juste? Maintenant, s’Il fait la même chose par cet homme comme Il l’a fait au temps de la Bible, promettez-vous tous que vous croirez au Seigneur Jésus, vous tous? Vous tous? Y a-t-il quelqu’un là dans l’assistance qui connaît cet homme, des gens qui le connaissent? Levez la main si vous le connaissez. C’est très bien. Il y en a plusieurs ici qui le connaissent. Maintenant, vous savez... Maintenant, que le Seigneur m’assiste, c’est ma prière. Je ne dis pas qu’Il le fera, mais s’Il le fait, Il recevra la gloire et la louange.
68 Eh bien, monsieur, dans la Bible il y avait une femme qui était venue auprès du Seigneur Jésus au puits. Il lui a parlé pendant quelques instants jusqu’à ce qu’Il a trouvé ce qu’était son problème, et ensuite Il–Il lui a révélé ce qu’était son problème, et elle a cru cela.
Et un homme est venu Le voir. Et Il lui a dit où il avait été, Il lui a même dit quel était son nom, Il lui a révélé tout ce qui le concernait. Et il a cru au Seigneur parce qu’Il le lui avait révélé, Il avait dit qu’avant que cet homme vienne, Il–Il l’avait vu sous un arbre en train de prier. Voyez? Et c’était merveilleux, naturellement. Et cet homme savait que seul Dieu pouvait faire cela. Ça devait être Dieu de nouveau, n’est-ce pas?
Maintenant, vous savez, monsieur, que je ne suis que votre frère, car je vois que vous êtes un chrétien. Vous avez un esprit chrétien. Donc vous êtes un chrétien, et vous êtes conscient qu’il se passe quelque chose. C’est–c’est la Présence du Saint-Esprit. Voyez? C’est juste. C’est tout. Eh bien, pendant que cet homme se tient là, si l’assistance peut encore m’entendre, cet homme s’éloigne de moi. Et il est recouvert par l’ombre de la mort. Cet homme a un cancer. N’est-ce pas vrai? N’est-ce pas vrai? Levez la main si c’est vrai.
Maintenant, tout ce qu’Il vous a dit, ce n’était pas moi; c’était Lui. Maintenant, voyez-vous, le simple fait de Lui parler, plus vous parlez à la personne, plus des choses sont révélées. Voyez? Mais ensuite cela m’affaiblit vraiment. Voyez? Cela me rend de plus en plus faible chaque fois, parce que cela–c’est lui qui touche. Voyez?
69 Maintenant, parlons juste un peu, étant donné que vous êtes la première personne. Parlons donc juste un moment. Maintenant, tout ce qu’Il vous a dit était la vérité. Vous savez, vous... S’Il peut vous dire ce qui était... Eh bien, je dis: «Vous avez le... Vous allez être guéri.» Eh bien, alors, vous avez le droit d’en douter, parce que vous ne savez pas ce que détient le futur. Mais s’Il sait ce qui a été, vous savez si c’est vrai ou pas. Et c’est juste.
Oui, je vois encore cet homme; il a une ombre autour de lui, et c’est un–c’est le cancer. Ensuite, il–il a un genre de problème chez lui. C’est une femme. C’est sa femme, et elle a eu une attaque d’apoplexie, elle n’arrive pas à parler. Et elle est ici ce soir. C’est juste. On vous appelle Ben, n’est-ce pas? Votre nom de famille est Oliver, n’est-ce pas? Croyez-vous que c’est le Seigneur Jésus? Il y a quelque chose ici, comme vous le savez. Croyez-vous que le...?
Notre Père céleste, Tu as dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Je demande ceci au Nom de Jésus. Amen. Oui. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Vous pouvez partir maintenant; qu’il vous soit fait comme vous l’avez cru.
Maintenant, que Dieu vous bénisse, mon frère. C’est vrai. Vous...?... Voyez?
70 Maintenant, que tout le monde ait la foi et croie. Est-ce que vous croyez de tout votre coeur? Maintenant, soyez donc très respectueux. Vous vous trouvez dans la Présence du Saint-Esprit. Voyez? Maintenant, soyez donc très respectueux. Vous devez savoir que ceci provient d’une dimension surnaturelle. Maintenant, ça dépend de vous, comment vous considérez cela. Tout ce que vous en pensez, c’est ce que vous en tirerez (Voyez?), votre opinion, votre approche à l’égard de cela. Maintenant, voici un homme. Je pense que nous sommes...?... d’abord. Je ne vous connais pas. Mais je ne vous connais pas. Non. Très bien, monsieur. Et puis, vous êtes ici pour une certaine cause, pour une raison. Je ne le sais pas, monsieur. Vous êtes conscient que je ne le sais pas; je n’ai aucun moyen de le savoir, à moins que cela me soit révélé ou que cela me soit montré. Maintenant, si Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et si je suis Son serviteur... Et je vois que–que vous avez également un esprit chrétien. Vous êtes donc un homme et moi aussi je suis un homme. Et nous voici. Vous venez ici pour une raison, vers Celui qui vous a aimé. Et je m’abandonne simplement pour voir ce qu’Il me dira de vous dire. Il est merveilleux. Vous êtes conscient que quelque chose est en train de se passer. Juste en ce moment cette Lumière... Nous en aurons la photo ici. C’est protégé par un droit d’auteur à Washington DC. C’est protégé par un droit d’auteur. Et cela vient à peine de vous toucher. Parce qu’entre vous et moi il y a une Lumière maintenant. C’est vrai.
... Saints, Jésus-Christ est dans la forme d’une Lumière. L’assistance devrait le savoir. Lorsque Paul Le vit sur le chemin de Damas, Il était une grande Lumière. Et c’était la même Lumière qui conduisit les enfants d’Israël à travers le désert: la Colonne de Feu.
71 Et vous êtes... vous n’êtes pas seulement un chrétien, vous êtes aussi un ministre. Je vous vois à la chaire. Et je vous vois dans une salle, en train de supplier ou d’agoniser au sujet de quelque chose. La raison pour laquelle vous êtes ici, moi, vous voulez une assistance spirituelle et vous voulez que je prie pour vous, afin que vous receviez une assistance spirituelle. Et vous n’êtes pas de cette ville. Vous venez d’une autre ville, et cette ville serait plutôt dans le nord. Et c’est une grande ville où il y a de très grandes autoroutes. Il y a une grande place comme... C’est Washington DC. C’est de là que vous venez. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et je vois une personne âgée apparaître près de vous. C’est une femme. Je la vois plus jeune, et elle vous tient. C’est votre mère, et vous voulez que je prie pour elle, parce qu’elle a une maladie du coeur. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous, monsieur? Merci.
Notre Bienveillant Père céleste, le Seigneur Jésus ressuscité des morts, et maintenant, je prie et je bénis cet homme, au Nom de Christ, le Fils de Dieu, afin qu’il reçoive la chose qu’il a crue, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon cher ami. Qu’Il vous accorde Ses bénédictions. Ayez foi en Dieu maintenant.
72 Vous, là-bas dans l’assistance, croyez simplement de tout votre coeur. Maintenant, bonsoir. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, n’est-ce pas, monsieur? Nous ne nous sommes jamais vus auparavant, je pense. Vous m’avez vu à partir de l’assistance, mais vous ne m’avez jamais connu. C’est la première fois que nous nous rencontrons.
Maintenant, soyez très respectueux. Chacun de nous est un esprit. C’est votre propre... Vous ne pourrez pas traiter de tout cela en une seule soirée, ce que sont les démons, comment ils agissent, ce sont des esprits aussi. Nous aborderons cela un peu plus tard. Soyez très respectueux. Quelque chose s’est passé ici [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... ici. Maintenant, continuez simplement à prier. Vous... C’est là dans l’assistance. Ce ne sera pas ici à l’estrade dans la ligne de prière, continuez simplement de prier. Quelque chose est en train de se produire. Je n’en ai pris conscience que quand j’ai senti cela par le Saint-Esprit. Quelqu’un vient juste de Le toucher: le Souverain Sacrificateur, pas moi. Ce n’est que de cette manière que cela répond.
73 Maintenant, cet homme, vous savez que je ne vous connais pas, et je ne sais rien à votre sujet, mais Jésus-Christ vous connaît. Il vous a connu depuis votre naissance. Mais je vois que vous souffrez d’une grave maladie de nerfs, c’est un de ces types de maladies qui vous tourmentent, qui vous amènent à vous faire beaucoup de soucis, et à vous construire toujours des châteaux en Espagne. C’est juste. Cela n’arrive jamais comme prévu: toujours, comme nous le disons, vous anticipez les choses; vous vous chargez des soucis des autres. Et à part ça, vous avez une–une–une grosseur sur le pied, cette grosseur se trouve sur votre pied.
Cette dame, qui est assise juste là sur la–la deuxième rangée à partir du fond, juste cette femme-ci en petit manteau blanc, elle a aussi une grosseur dans le dos. C’est juste, n’est-ce pas, madame? Si c’est juste, levez alors la main. Vous avez aussi une affection de la vésicule biliaire, n’est-ce pas? Si c’est juste, levez la main. Voyez? Vous L’avez touché par votre sentiment. Vous êtes tous les deux guéris maintenant. Vous êtes–vous êtes tous les deux guéris. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas de cela. Croyez simplement de tout cotre coeur.
Ces... Voici ce qui arrive: ces esprits s’appellent au secours l’un l’autre. Voyez? Vous pouvez... Je ne peux pas expliquer cela. Il n’y a aucun moyen de le faire, alors croyez-le tout simplement. Croyez-vous cela? De tout votre coeur? Jésus a dit: «Tu peux... si tu crois... si tu crois...»
74 Bonsoir, madame. Vous aussi, vous souffrez d’une maladie de nerfs. C’est juste. Vous avez aussi une grosseur. Vous avez un problème au niveau du cou: c’est une tumeur. C’est juste. Comme c’est étrange, la manière dont le Saint-Esprit dit la même chose que l’autre a déclaré. Cela doit être opéré, et Dieu doit guérir l’autre cas. Je ne peux pas ôter cela, mais Dieu le peut. Croyez-vous cela? Est-ce que vous croyez? Très bien. J’aimerais que vous croyiez de tout votre coeur. Si tu peux croire... Vous avez aussi une maladie de la vésicule biliaire, n’est-ce pas? Croyez-vous que Dieu vous guérira? De tout votre coeur? Oui, oui. Il m’est arrivé de voir cela. Ayez simplement foi en Dieu.
Vous la petite dame, qui êtes assise à côté d’elle, qui vous êtes levée il y a quelques minutes, si tu peux croire... Ayez foi en Dieu. Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Notre Père céleste, je demande sa guérison au Nom de Jésus. Et que cela la quitte, au Nom de Jésus, je prie. Amen. Maintenant, réjouissez-vous et soyez heureuse. Croyez de tout votre coeur, pour cet homme ici. Ayez foi en Dieu. La Bible a dit: «Ayez foi en Dieu.»
75 C’est une maladie gynécologique et une tumeur, n’est-ce pas, madame, vous qui portez le petit veston rouge? C’est juste, n’est-ce pas? Il pensait qu’il allait s’en remettre, mais ça n’a pas été le cas. Non, non. C’est juste. Gardez votre main levée si c’est juste, là-bas. Voyez? Votre foi L’a touché. Amen. La dame assise à côté de vous souffre de la poitrine, n’est-ce pas? La dame qui est assise là, ayant mis un mouchoir à la bouche, elle souffre de la poitrine. Vous êtes aussi très nerveuse, n’est-ce pas? C’est juste, levez la main, madame, par là. Que Dieu vous bénisse. Ayez foi en Dieu. Croyez. La Bible a dit: «Croyez.»
Bonsoir, monsieur. Le Seigneur Jésus est merveilleux. Est-ce que vous croyez? Maintenant, ne vous déplacez pas. Soyez très respectueux. Juste un instant...