Jéhovah-Jiré
1 Inclinons la tête juste un moment pour la prière. Notre Père céleste, nous Te remercions de ce privilège que nous avons de nous rassembler dans ce tabernacle ce soir. Nous Te remercions pour ce tabernacle, pour ce pour quoi il prend position. Nous Te remercions pour ses fondateurs, pour ses ministres qui ont travaillé au fil des années. Nous Te prions ce soir, Père céleste, de nous accorder une visitation de Ton Bien-Aimé Fils, le Seigneur Jésus, ce qui produira une réunion qui entrera dans l’histoire, non seulement dans les livres terrestres, mais dans les Livres du Ciel. Que des âmes viennent à Christ. Que les malades soient guéris. Tire gloire de ce service, Père. Car nous le demandons au Nom de Ton Bien-Aimé Enfant, le Seigneur Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
2 Il fait terriblement chaud dans ce tabernacle ce soir, mais nous sommes heureux d’être ici au service du Seigneur. Si j’ai bien compris, ma soeur, ma belle-soeur, ma belle-mère, et un groupe de gens venus de Jeffersonville sont ici. C’est juste quand j’arrivais que mon fils me l’a dit. Nous sommes certainement heureux de vous avoir dans ce Cadle Tabernacle ce soir. Ma belle-mère, c’est la mère de ma première épouse. C’était elle qui avait franchi la porte avec moi là, lorsqu’E. Howard Cadle était descendu pour nous serrer la main et nous conduire dans ce tabernacle, il y a environ vingt ans ou plus. C’est donc un très grand privilège pour nous ce soir de servir le Seigneur en ce jour.
Et maintenant, hier soir je suis venu vous parler du docteur F. F. Bosworth, qui a tenu des campagnes ici durant plusieurs semaines, ça fait bien des années. Le révérend Bosworth prêchait avant ma naissance. Et hier soir, il était étendu là avec un râle d’agonie dans sa gorge, et sa femme désespérée... Avec un caillot qui avançait dans son coeur... Et hier soir, sa femme téléphonait partout et, finalement, ils ont appelé l’endroit où je logeais, et nous y sommes allés et avons prié ; et ce soir, il est debout, et je viens juste de lui parler au téléphone. Je lui ai dit que lorsque j’ai annoncé cette maladie à l’église hier soir, pour que l’on prie, je lui ai dit que les gens ont pleuré. Frère Bosworth est certainement un–un vaillant soldat de Dieu. Je l’aime comme... Je pense que l’amour que nous nous témoignons, frère Bosworth et moi, c’est un peu comme le cas de Jonathan et David, je pense que c’était juste... Nous sommes vraiment, vraiment des frères en Christ. Je lui ai dit que j’espère voir le jour où nous pourrons être ensemble au Cadle Tabernacle. Il se fait vieux, il a presque cent ans, mais le Seigneur est avec lui, et c’est un homme vraiment merveilleux.
3 Et maintenant, ce soir il se fait un peu tard. Frère Joseph me disait qu’ils avaient un petit quelque chose de plus à faire, et il était un peu tard avant qu’il m’appelle, et nous allons maintenant entrer directement dans le service. Et soyez en prière, priez beaucoup pour ce service.
J’aimerais dire que ce matin j’ai eu le privilège d’entendre l’un de vos enseignants ici dans cette convention, dans une convention qui a réuni environ, je pense, près de trois cents personnes. Plus de trois cents personnes s’étaient réunies ce matin dans la chambre haute d’un hôtel, où elles prenaient le petit déjeuner, et j’ai eu le grand privilège d’être là, et de dire quelques mots, et d’entendre un merveilleux message sur la souveraineté de l’église locale, et c’est certainement mon point de vue là-dessus. Alors...
4 Bon, ce soir, pour aborder les Ecritures, et vous les gens dans le tabernacle, nous allons juste commencer maintenant, ceci est notre troisième soirée. Et nous sommes... C’est bien dommage qu’il ne nous reste que deux soirées, un rassemblement devrait pourtant durer au moins dix jours ou deux semaines afin de saisir la valeur réelle de ce rassemblement.
Mais maintenant, nous allons ouvrir la Parole, et la seule manière que nous puissions le faire, c’est d’En tourner les pages, mais il n’y a qu’une seule Personne qui peut ouvrir la Parole de Dieu : C’est Christ. Et Il est ressuscité des morts, comme nous le voyons soirée après soirée, la preuve visible de Sa résurrection. Et ce soir, nous Le prions de nous aider tandis que nous lisons Sa Parole. Mes paroles sont les paroles d’un homme ; elles faillissent, comme celles de tout autre homme. Mais cette Parole est la Parole de Dieu, Laquelle ne peut faillir. Elle ne faillit jamais. C’est pourquoi la lecture de Sa Parole sera une bénédiction pour nous.
Dans Genèse, je prends une Ecriture pour la leçon de ce soir, au chapitre 20 de la Genèse, ou plutôt au chapitre 22, et les–les versets 7 et 8, et puis le verset 14. Et ce soir je vais plutôt laisser un petit peu l’enseignement sur la guérison divine, pour entrer dans l’enseignement sur la foi pendant un petit moment. Et nous lisons ceci dans les Ecritures :
Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit : Mon père ! et il répondit : Me voici, mon fils ! Isaac reprit : Voici le feu et le bois ; mais où est l’agneau pour l’holocauste ?
Abraham répondit : Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l’agneau pour l’holocauste. Et ils marchèrent tous deux ensemble.
Maintenant, le verset 14 :
Abraham donna à ce lieu le nom de Jéhovah-Jiré. C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui : à la montagne de l’Eternel il sera pourvu.
Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à Sa Parole.
5 Ce merveilleux texte de ce soir, nous allons retourner dans le Livre de la Genèse pour en tirer un petit contexte. Cela est basé sur la vie d’Abraham. En effet, tous les hommes savent qu’Abraham était celui à qui Dieu avait donné l’alliance. Et cette promesse a été faite à Abraham et à sa postérité.
Maintenant, il y a une chose que je vois dans l’enseignement, ou plutôt dans l’Eglise, c’est que bien des gens, en ce jour, semblent avoir peur de s’accrocher à ce qu’a dit Dieu. Si Dieu l’a dit, c’est la vérité. Cela–cela ne peut être que la vérité. C’est le... Dieu a prononcé cette Parole avant même la fondation du monde. Et le seul moyen par lequel cela a été écrit dans un livre, c’est parce qu’Il a révélé Sa Parole et Son plan à Ses prophètes et à Ses apôtres, et ceux-ci ont écrit cela dans la Parole.
6 Maintenant, Abraham avait reçu la promesse. Et c’était une glorieuse promesse. Ici, ce vieillard et son fils gravissent la montagne, pour offrir le fils, un très beau tableau de Christ. La Bible toute entière est un tableau de Christ. Et quand ils ont gravi la colline, nous voyons que Dieu est apparu là à Abraham, sous le Nom de Jéhovah-Jiré.
Eh bien, Dieu a sept noms composés, des Noms rédempteurs. Ces Noms rédempteurs sont inséparables. Vous ne pouvez pas les séparer l’un de l’autre. Jéhovah-Jiré : l’Eternel a pourvu à un sacrifice ; Jéhovah-Rapha : l’Eternel qui guérit ; Jéhovah-Manassé : le bouclier, l’écu et–et ainsi de suite, sept Noms composés rédempteurs.
Et comme frère Bosworth le disait ce soir-là pendant la discussion, lorsque l’Ange du Seigneur a été photographié à nos côtés, il a demandé au docteur Best : « Les Noms composés rédempteurs de Jéhovah s’appliquent-ils à Jésus, oui ou non ? » Cela a mis fin à tout le débat. S’Il n’était pas Jéhovah- Jiré, alors Il n’était pas Jéhovah-Rapha. Et s’Il est Jéhovah-Jiré, l’Eternel a pourvu à un sacrifice, Il est Jéhovah-Rapha, l’Eternel qui guérit toutes tes maladies, et Il doit être le même hier, aujourd’hui et éternellement, alors cela règle la question. Vous ne pouvez pas diviser Dieu et Le couper en morceaux. Dieu est Un. Et on ne peut pas diviser Dieu.
7 Bon, le contexte... Nous devrons retourner maintenant dans l’Ancien... Aimez-vous l’Ancien Testament ? J’aime beaucoup cela, à cause des pépites qu’il y a dans l’Ancien Testament. Nous les déterrons, nous les polissons et les contemplons. Chacune d’elles parle du Calvaire. Tout l’Ancien Testament était une ombre des choses à venir. Et j’aime vraiment me mettre à faire de la prospection, et extraire les pépites de l’Ancien Testament, et établir le parallèle qu’il y a avec le Nouveau Testament. Et même le... Et avec la simplicité de cela, les enfants comprennent ce que cela signifie.
Et maintenant, lorsque Dieu a appelé Abraham, Il l’a appelé par l’élection, par la grâce souveraine. Et l’alliance qu’Il fit avec Abraham est complètement et entièrement inconditionnelle. Il n’a posé aucune condition du tout à ce sujet. Dieu a fait Lui-même cette alliance avec Abraham, ce n’était pas : « Abraham, si tu fais telle chose... » Il a dit : « Je l’ai déjà fait. »
Ce n’était pas : « Si tu as quelque chose à faire là-dedans... » Dieu était décidé à sauver l’homme.
8 Or, dans le jardin d’Eden, lorsque Dieu fit une alliance avec l’homme, c’était : « Si tu ne touches pas à cet arbre... » L’homme s’est carrément retourné et a brisé son alliance avec Dieu. L’homme brise toujours son alliance avec Dieu. Alors pour s’assurer que cela n’échouerait pas, Dieu Lui-même fit l’alliance avec Abraham, et jura par Lui-même qu’Il la confirmerait et l’accomplirait. Et maintenant, si vous pouvez seulement comprendre que vous êtes la postérité d’Abraham. La Bible dit : « Nous, étant morts en Christ, nous devenons la postérité d’Abraham, et nous sommes héritiers selon la promesse. »
Si vous pouvez voir que cela a été accordé à Abraham d’une manière souveraine sans qu’il soit obligé de faire quelque chose, et comprendre que cela vous a été accordé de la même façon...
9 On entend bien des gens dire : « Frère Branham, j’ai cherché Dieu jour et nuit. » Excusez-moi : nul homme n’a cherché Dieu. C’est direct, mais c’est la vérité. C’est Dieu qui cherche l’homme, ce n’est pas l’homme qui cherche Dieu. Sa nature même, dans le jardin d’Eden, dès qu’il avait péché, c’est Adam qui aurait dû courir dans tous les sens dans le jardin, en criant : « Père, Père, où es-Tu ? »
Mais c’était Dieu qui parcourait le jardin, en criant : « Adam, Adam où es-tu ? » Et Adam s’était caché. Et c’est sa nature aujourd’hui. La nature de l’homme n’est pas de se présenter pour confesser ses péchés ; c’est de se cacher derrière quelque chose. Et les gens continuent à le faire. Jésus a dit : « Nul ne peut venir à Moi, à moins que Mon Père l’attire premièrement. » Donc ce n’est pas vous qui avez cherché Dieu, c’est Dieu qui vous a cherché.
Et quel privilège ce soir de savoir que nous vivons à l’ombre des bombes atomiques, d’une destruction à l’échelle mondiale par la colère et le jugement éternels que Dieu doit déverser sur un monde désobéissant ! Et savoir que nous avons le grand privilège de comprendre, que nous, qui sommes appelés, nous n’avons rien fait par nous-mêmes ; c’est Dieu, qui par Sa grâce souveraine, a fait cela pour nous, nous n’avons rien fait par nous-mêmes. C’est Dieu, qui nous a appelés par Sa grâce.
10 Remarquez, Abraham n’était pas différent de quiconque d’autre. Il était juste un homme ordinaire. Il était descendu avec son père, après la dispersion de Babylone, il était descendu dans la vallée de Schinear et il a habité dans la ville d’Ur, au pays de Chaldée, c’était juste un homme ordinaire, un vieil homme. Lorsque Dieu l’appela, il avait soixante-quinze ans.
Eh bien, certains d’entre vous les personnes âgées vous direz, alors que vous cherchez la guérison divine ou les bénédictions de Dieu, vous direz : « Je suis un peu trop vieux, Frère Branham. » Vous n’êtes jamais trop vieux pour Dieu. Aussi longtemps que vous abandonnez votre coeur et votre volonté pour faire la volonté de Dieu, Dieu vous recevra toujours, peu importe combien vous êtes vieux, ou combien vous êtes jeune.
Maintenant, combien cela nous amène à L’aimer d’un amour éternel, combien Il est bon envers nous, et combien nous sommes désobéissants envers Lui, cependant, malgré toute notre nature répugnante, Il nous a aimés le premier et a donné Son Fils unique, afin que, si seulement nous croyons en Lui, Il puisse nous donner la Vie Eternelle. Quel beau tableau !
11 Maintenant remarquez, Abraham était juste un homme ordinaire, mais Dieu, par élection, dans Sa souveraine grâce, appela Abraham, alors qu’il y avait beaucoup de jeunes dans le pays en ce jour-là. Il y avait probablement des gens qui étaient plus aptes qu’Abraham pour faire le travail, comme le monde pourrait le penser, mais Dieu connaît le coeur. C’est ça.
Parfois, nous nous demandons comment Dieu prend les choses folles pour confondre les sages, mais Dieu connaît le coeur de l’homme. D’habitude les hommes...
Vous, lorsque vous élisez vos pasteurs, bien souvent vous placez le gars sans faire attention ; un grand homme de sept pieds [2,1 m], aux cheveux bouclés et ainsi de suite, du type Hollywood. Des fois Dieu ne choisit même pas ce genre d’homme. Vous voulez quelqu’un qui sera sociable, qui ira avec vous aux parties de cartes, et qui prendra part à des parties de jeux, et... un homme sociable. L’homme veut des hommes sociables, mais Dieu veut des séparateurs. C’est ça le problème aujourd’hui, vous ne pouvez pas mélanger le monde avec Christ. Cela ne marchera simplement pas. C’est ça le problème de la prétendue église chrétienne d’aujourd’hui. Vous essayez de satisfaire les deux côtés. Dieu veut des séparateurs.
12 Une fois, lorsqu’Israël a choisi un roi, leur premier roi, ils ont commis une grave erreur. Un grand homme de sept pieds [2,1 m], dépassant tout le monde de la tête : Saül. Et il est devenu un rétrograde, et il a amené la disgrâce en Israël. Ensuite Dieu a fait Son choix. Et Il a dit à Samuel : « Prends de l’huile dans une fiole et va dans la maison d’Isaï, car Je te montrerai celui que J’ai choisi. » Et lorsqu’il s’est rendu à la maison d’Isaï, Isaï était très heureux.
Il avait donc sept fils, et il a appelé le plus grand, un bel homme de grande taille, il a dit : « N’aura-t-il pas belle allure en robe royale, et avec la couronne sur sa tête ? On dirait un roi tout fait. »
Mais lorsque Samuel prit la fiole et s’avança pour l’oindre comme roi, le Seigneur dit : « Ne le fais pas. Je l’ai refusé. Ce n’est pas lui que J’ai choisi. » Et on a fait venir un autre, celui qui venait juste après lui ; Dieu a dit : « Je ne l’ai pas choisi non plus. » Alors il a fait venir le sixième, et Dieu l’a rejeté.
Samuel a dit : « N’en as-tu pas un autre ? » Suivez. « N’en as-tu pas un autre ? »
Il a dit : « Oh ! si, mais c’est juste un petit gars maigre, blond, décharné, qui reste là à l’arrière du désert à paître ses brebis. Celui-là ne ferait jamais un roi. »« Allez donc le chercher. »
13 Et lorsque le petit David est arrivé, vêtu d’un manteau de peau de brebis, un petit bâton crochu en main, le bâton de berger, le Saint-Esprit a dit : « Va, oins-le, car c’est Mon choix. » Voyez ? C’est Dieu qui fait le choix, parce que Dieu regarde le coeur.
Parfois nous pensons que c’est dans de grandes églises, ayant de grands clochers, et où est installé un orgue d’un million de dollars, que Dieu se trouve. Pas toujours, ce n’est pas vrai. Dieu choisit un coeur humble. Peu m’importe s’il est tellement pauvre qu’il est obligé de porter une salopette, ou si c’est un mendiant dans la rue, s’il est humble et qu’il est disposé à croire en Dieu, Dieu le prendra. Voilà tout à ce sujet. Amen.
14 Abraham était juste un homme ordinaire, Dieu l’appela un jour et dit : « Abraham, Je vais te prendre et faire de toi le père des nations, et tu vas avoir un enfant par Sara. » Eh bien, Sara c’était sa femme ; elle avait soixante-cinq ans, elle était de dix ans plus jeune qu’Abraham, elle avait dépassé la ménopause depuis quinze ans, oui, plus que cela. Mais Il a dit : « Abraham, peu importe... » Il l’avait probablement épousée quand elle n’était qu’une jeune fille ; en effet, c’était sa demi-soeur. Il a dit : « Maintenant... mais Je vais te donner un enfant par Sara. » Il avait soixante-quinze ans, elle soixante-cinq.
15 Et la Bible dit qu’ « Abraham ne douta pas par incrédulité au sujet de la promesse de Dieu, mais il fut fortifié, donnant gloire à Dieu. » Comprenez-vous cela ? Oh ! cela ne vous fait-il pas quelque chose de savoir que c’est aussi notre Dieu, de savoir que ceci c’est Sa Parole, et que c’est Sa promesse pour vous, chaque promesse ? Et Il a dit qu’il allait avoir un enfant, alors Abraham n’eut pas peur de témoigner. Il est allé dans la rue et s’est mis à dire : « Eh bien, nous allons avoir un bébé, Sara et moi. » Je pense qu’il a acheté les couches, les épingles et tout, et qu’il a tout apprêté.
Les gens disaient : « Abraham, ta tête a un tout petit peu bougé, mon vieil homme. » Que pensez-vous qu’un médecin lui dirait, si le–aujourd’hui, si un homme amenait sa femme au cabinet d’un médecin, une femme de soixante-cinq ans, et un homme de soixante-quinze ans, et qu’il dise : « Docteur, nous voulons vous prendre comme notre médecin. Nous allons avoir un bébé dans notre foyer. » On chercherait à les mettre dans un asile d’aliénés.
Tenez : tout homme, sans exception, tout homme ou toute femme qui prend Dieu au mot, le monde le considère comme un petit fou. Parce que le–la sagesse du monde c’est de la folie aux yeux de Dieu, mais il a plu à Dieu de sauver les perdus par la folie de la prédication. Combien nous L’aimons !
16 Voyez Abraham aller partout, à soixante-quinze ans, une barbe blanche pendante, des cheveux gris tombant sur ses épaules, disant : « Gloire à Dieu ! Nous allons avoir un bébé. » Après le premier mois, je le vois s’approcher en toute hâte de Sara, et dire : « Sara, comment te sens-tu, chérie ? »
« Aucun changement, Abraham. »
« Gloire à Dieu ! Nous allons l’avoir de toute façon. »
Pourquoi ? Dieu l’avait dit, c’était suffisant. Je peux voir les critiqueurs dans la rue dire : « Abraham, où est cet enfant ? »
« Il va venir de toute façon. »
« Ne t’es-tu pas trompé un peu ? Es-tu certain ? Peux-tu le prouver scientifiquement ? »
« Je n’ai pas besoin de le prouver scientifiquement ; Dieu l’a dit. » C’est assez scientifique pour n’importe quel croyant. Amen. C’est un peu tranchant, mais c’est la vérité. La Parole de Dieu règle la question pour toujours. Dieu l’a dit ; alors c’est en ordre. Dieu le fera.
17 Remarquez, peu après, Dieu a appelé à une séparation totale. Dieu fait des choses qui sont de la folie aux yeux du monde. Combien Dieu semble agir d’une manière folle : prendre un vieil homme (Je m’adresse au monde.), un vieil homme de soixante-quinze ans et une vieille femme de soixante-cinq ans et leur donner un bébé ! Et, souvenez-vous, ce bébé n’était pas né jusqu’à ce que le père ait atteint cent ans et la mère quatre-vingt-dix ans. Mais Abraham, au lieu de faiblir, il fut fortifié tout le temps, rendant gloire à Dieu. Car c’était chose certaine que cela allait s’accomplir ; parce que Dieu l’avait dit.
Mais vous dites que vous êtes la postérité d’Abraham, et si Dieu n’accomplit pas un miracle et ne fait rien pour vous : « Oh ! j’ai perdu ma guérison. Bien, je pense que je ferais mieux de retourner demain soir. » La postérité d’Abraham ! La postérité d’Abraham s’accroche à la promesse de Dieu. La Postérité d’Abraham c’est le Saint-Esprit, qui a été donné aux gens des nations comme aux Juifs à travers Christ.
18 Remarquez, alors que les jours passaient, Abraham fut fortifié : « Bien, si cela n’arrive pas ce mois-ci, ce sera le mois prochain, gloire à Dieu, tu auras soixante ans dans deux mois, soixante-cinq ans dans trois mois. » La première année passa. « Qu’en est-il, Sara ? »
« Aucun changement. »
« Mais, gloire à Dieu ! Nous allons l’avoir de toute façon. Nous allons l’avoir de toute façon, Dieu l’a dit. »
Or, Dieu avait dit : « Abraham, sépare-toi de ta patrie et de tes associés, et va dans un pays que Je te montrerai, et tu y séjourneras comme un étranger et un pèlerin. » C’est ce qui est difficile. Séparez-vous. C’est là le problème qu’ont les gens aujourd’hui. Dieu ne pouvait pas bénir Abraham aussi longtemps qu’il était associé à un groupe qui ne croyait pas la même promesse que lui. Amen. J’espère que le Saint-Esprit fait pénétrer cela sous la cinquième côte gauche.
C’est cela le problème aujourd’hui. Les gens qui se disent chrétiens s’associent aux choses du monde, mais Dieu veut que vous vous sépariez de ces choses. Sortez du milieu de ces choses ; éloignez-vous de ces sales choses stagnantes avec lesquelles vous perdiez votre temps. C’est par vos oeuvres qu’on vous reconnaît, par ce que vous faites.
19 Eh bien, je ne condamne pas les pécheurs pour la manière dont ils vivent ; c’est tout ce qu’ils connaissent. J’ai pitié d’eux. Je ne condamne pas un pécheur du fait qu’il sorte et s’enivre. C’est tout ce qu’il a comme plaisir. Donnez-lui un autre plaisir. Je ne le condamne pas du fait qu’il parie, aille à ces endroits, et dans des boîtes de nuit ; c’est tout ce qu’il a comme plaisir. Je ne condamne pas un cochon du fait qu’il mange dans du fumier ; c’est tout ce qu’il connaît. Mais, vous qui vous dites chrétiens et qui faites cela, c’est vous que je vise. Vous êtes avisés.
Vous n’aimeriez pas voir un agneau aller dîner en compagnie d’un cochon, n’est-ce pas ? Ce serait étrange, mais ce ne serait pas étrange pour un cochon d’être–de manger là-bas. Donc vous mangez à l’endroit qui correspond à votre nature. Quelle est votre nourriture ? Si vous êtes la postérité d’Abraham, vous croyez en Dieu et vous aimez les choses célestes. Voyez-vous cela ? C’est... Séparez-vous ; sortez et soyez un pèlerin et un étranger.
20 Dieu appelle chaque homme, sans exception, à une séparation. Tout homme qui vient à Christ doit se séparer des choses du monde. Pour avoir la foi en Dieu, vous ne pouvez pas marcher là où sont les gens, être parmi ces gens, vous associer aux gens dans de mauvaises choses et vous attendre à avoir la foi. Vous ne pouvez pas aller là où sont les Thomas et–et tous leurs enfants, là où ils disent : « Oh ! les jours des miracles sont passés, cela n’existe pas. » Bien vite, cet esprit viendra sur vous. Sortez du milieu d’eux, dit la Bible. Séparez-vous ; soyez séparé. « Ne touchez pas à leurs choses impures et Je vous recevrai, dit le Seigneur. »
Le problème est que nous avons tant de prédications à la Hollywood et pas suffisamment de temps pour une prédication rude. J’aime le genre de prédication à l’ancienne mode, qui vous écorche vraiment, qui met la chose à sa place. Il y a tant de cajoleries, il nous faut l’Evangile à l’ancienne mode (Amen.) prêché dans la puissance de la résurrection du Seigneur Jésus. C’est ce dont le monde a besoin aujourd’hui. Une destruction totale...
21 Remarquez, alors quand ils sont partis, le test est venu. Chaque fois qu’un homme sort réellement pour servir Dieu, il passe par le test. Dieu vous donne une petite formation, une formation des enfants. Ce n’est pas très agréable, dit la Bible, pendant un moment, mais cela produit des fruits doux.
Mon papa avait coutume de m’amener dehors derrière la maison, avec une lanière en cuir à peu près comme ça, et je recevais une bonne formation à la vieille mode des enfants. C’est bien dommage que nos enfants ne reçoivent plus cela aujourd’hui. Le problème est que vous les mères qui fumez la cigarette, qui prenez des cocktails, qui courez aux salles de cinéma, vous courez après les bars et tout, et vous laissez une baby-sitter s’occuper de vos enfants, au lieu d’être chez vous pour vous occuper d’eux comme Dieu vous les a donnés, c’est ce qui a causé toutes ces histoires dans lesquelles ils sont plongés. C’est l’exacte vérité.
Il n’est pas étonnant que vous ne puissiez pas avoir la foi. Comment pouvez-vous vous associer aux choses du monde et essayer d’associer ces dernières à Christ ? Dieu appelle à une séparation ; ensuite les épreuves et les tests viennent. La Bible dit que si on ne peut pas supporter les épreuves et les tests, alors nous devenons des enfants légitimes–illégitimes. La Bible appelle cela « des bâtards » et pas des enfants de Dieu. Si on ne peut pas supporter les épreuves et les tests.
22 Une famine est venue et Abraham a fui. Ensuite, après Dieu lui est apparu quand il revenait... Il est revenu dans la Terre promise. Il était là un pèlerin, il a bâti un autel à l’Eternel et a adoré l’Eternel. Et puis, il avait encore un vieux petit parasite accroché à lui ; c’était son neveu Lot, un croyant tiède. Voilà le pro-... C’est le genre qui donne des nausées à Dieu. Il a dit qu’Il les vomira de Sa bouche. Un croyant frontalier, mou, qui a suffisamment de religion pour lui donner des nausées, c’était Lot. Et lorsque leurs bergers se sont mis à se quereller, alors il–Abraham a dit : « Eh bien, nous sommes frères ; séparons-nous ; nous n’aimerions pas avoir des problèmes entre nous. »
Et Lot est descendu dans les plaines arrosées du Jourdain, et il y a dressé ses tentes jusqu’à Sodome, il est devenu un grand homme, il a rétrogradé là-bas. Quand il est allé...
23 Lorsque vous vous mettez à chercher la facilité, vous êtes en route vers la débâcle. J’aime ce vieux poème :
Dois-je être transporté à la Maison au Ciel
Sur un lit fleuri d’aisance,
Pendant que d’autres ont combattu pour gagner le prix,
Et ont navigué sur des mers de sang ?
Non, je dois combattre, si je dois régner,
Augmente mon courage, Seigneur.
Cela devrait être la prière du chrétien ce soir. En empruntant le chemin du monde, le chemin le plus facile où les gens vous tapotent sur le dos... L’amitié du monde est inimitié contre Dieu.
Alors Lot est descendu à Sodome, et après donc qu’Abraham se fut entièrement séparé de tous les parasites, de tout ce qui s’accrochait à lui, Dieu lui apparut de nouveau. J’aime cela. Dieu est venu vers lui et a dit : « Abraham, sors ici un instant ; J’aimerais te montrer quelque chose. » Il a dit : « Lève les yeux ; regarde vers le nord aussi loin que tu peux voir, vers le sud, l’est, et l’ouest. » Il a dit : « Je t’ai donné tout cela. (Amen.) Alors parcours le pays, tu en es le maître ; tout ceci t’appartient. »
24 Ce n’est pas étonnant que David se soit écrié (l’Ecriture que nous avons lue hier soir) : « N’oublie aucun de Ses bienfaits. » Eh bien, vous savez, après que vous êtes entré dans ce Royaume de Dieu, il y a de nombreux bienfaits qui accompagnent cela. Lorsque Dieu vous appelle, frappe à votre coeur, vous sépare des choses du monde et vous donne une petite formation d’enfant, pour voir si vous allez tenir ou pas, qu’Il vous donne une petite fessée, vous secoue, et vous donne un petit châtiment... Vous le recevrez tous, si vous êtes réellement des enfants de Dieu, vous recevez une petite formation.
Ensuite Dieu vous baptise dans la communion du Royaume, et tout cela vous appartient. Amen.
« Abraham, les épreuves sont maintenant finies ; maintenant sors et fais un petit tour ; tout cela t’appartient. »
Quel beau tableau du vainqueur ! Amen. Le vainqueur est l’héritier de toutes choses. Vous savez, les gens... Je ne comprends pas quel problème vous avez en tant que chrétien, pour que vous ne fassiez pas un tour pendant un instant afin de voir ce qui vous appartient. Vous savez, iriez-vous si...
25 Si j’héritais d’une maison, sûrement je ne voudrais pas y emménager avant d’avoir eu l’occasion de tout visiter. J’aimerais voir ce qui m’appartient. J’aimerais voir ce que je possède. Et lorsque je deviens héritier du Royaume de Dieu, de la justice de Jésus-Christ, que je suis baptisé dans cette grande galerie des bénédictions éternelles de Dieu, j’aimerais faire un tour pour voir ce qui m’appartient (Amen.), regarder dans les étagères pour voir ce qui s’y trouve. Tenez, chaque promesse dans le Livre appartient à chaque croyant. Ne restez pas tranquille pour que quelqu’un vous pousse dans un coin, et vous offre une petite patate froide, et vous dise d’attendre. Ne prêtez pas oreille à cette histoire. La promesse de Dieu est pour vous maintenant même. On vous renvoie à un millénium quelque part... La Bible dit : « Nous sommes maintenant enfants de Dieu. » Ce que nous serons, nous le sommes maintenant, au temps présent.
S’il y a quelque chose qui semble un peu plus haut, et que cela ressemble à une bénédiction, eh bien, je vais me procurer un escabeau, je vais monter et examiner cela de toute façon. J’aime regarder partout. Tout cela vous appartient, et chaque promesse dans la Bible vous appartient.
Lorsqu’un chrétien est sauvé, Dieu lui donne un carnet de chèques signés au bas du Nom de Jésus avec le Sang. Chaque bénédiction rédemptrice appartient au croyant ; remplissez cela et envoyez cela au quartier général ; observez ce qui arrive. Il est obligé de prendre soin de Sa Parole. Je demande à toute personne malade ou à tout pécheur ce soir, de signer de votre nom ou plutôt d’écrire votre besoin sur un chèque au Nom de Jésus et d’envoyer cela une fois au Ciel. Ne doutez pas. Le caissier est juste là, parce que le dépôt a été effectué au Calvaire, au travers du Sang du Seigneur Jésus.
26 Oui, Abraham a regardé autour de lui. Ce ruisseau lui appartient ; cette fontaine lui appartient ; cette montagne lui appartient. Abraham pouvait regarder autour de lui et voir ce qui lui appartenait. Pourquoi ne le faites-vous pas ce soir ? Si vous êtes malade, pourquoi ne parcourez-vous pas cette galerie-ci pour voir s’Il n’était pas blessé pour nos péchés, et si ce n’est pas par Ses meurtrissures que nous sommes guéris. Si vous avez le cafard (Comme on appelle cela, selon l’expression de la rue) : « Il était blessé pour nos péchés, brisé pour notre iniquité, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui ; et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris. » Toutes ces bénédictins vous appartiennent. Elles sont à vous, elles sont votre propriété personnelle. Christ est mort afin qu’il en soit ainsi.
Mais vous, vous regardez aux symptômes. Oh ! si vous n’êtes pas guéri, vous dites : « Eh bien, voici mon bras ; j’ai accepté cela hier soir, il n’y a aucun changement ce matin. Eh bien, vous savez, j’avais une maladie de l’estomac hier soir, j’ai remarqué ce matin que j’ai toujours cela. » Vous ne pourrez jamais être guéri comme cela. Les symptômes...
27 Vous savez, s’il y a un homme qui a eu une fois le pire cas de symptômes que je connaisse, c’était Jonas. Il devait aller à Ninive, il a rétrogradé. Il a pris le chemin de Tarsis ; il se rendait là et il a eu des ennuis. Lorsque vous rétrogradez, faites attention, les ennuis sont en route. Et la mer s’est déchaînée, ce prédicateur cherchait à prendre le mauvais chemin, la route de la facilité... Combien parmi vous les prédicateurs ce soir cherchent à prendre le chemin de la facilité, cherchent à placer la guérison divine à un autre moment, les louanges de Dieu, le service que nous rendent les Anges, le Saint-Esprit, l’Esprit et tout, on essaie de renvoyer cela à une époque passée ! Vous feriez mieux de revenir, frère, puis d’aller à Ninive. Il y aura des eaux troubles un de ces jours...
Et on a pris Jonas, on lui a lié les mains derrière le dos, et les pieds, et on l’a jeté dans la mer. Dieu avait un très grand poisson, et celui-ci a avalé Jonas. Et un poisson, lorsqu’il a mangé, tout le monde sait... Donnez à manger à votre petit poisson rouge. Après avoir rôdé dans l’eau à la recherche de sa proie, il va au fond de l’eau, il fait reposer ses nageurs–ses nageoires au fond. Je ne sais pas à combien de mètres de profondeur, la mer devait être éloignée de Ninive, mais Jonas, dans le ventre de la baleine, avait les mains liées dans le dos, il était rétrograde, sur une mer en furie, dans le ventre de la baleine, baignant dans la vomissure, vous parlez des symptômes, il en avait vraiment. Qu’il regarde dans cette direction, c’était le ventre de la baleine. Qu’il regarde dans cette direction, c’était le ventre de la baleine. Où qu’il regarde c’était le ventre de la baleine. Maintenant, vous n’êtes pas dans une aussi mauvaise condition. Mais qu’a dit Jonas ? Il a dit : « Ce sont des vanités mensongères. Je n’y croirais pas. » Il a dit : « Eternel, encore une fois je regarderai à Ton saint temple. » Il ne considérait pas le ventre de la baleine ; il cherchait le temple.
Ne regardez pas à vos symptômes, regardez à la promesse. Peu importe combien vous êtes malade, regardez quelle Personne glorieuse a fait la promesse. Dieu l’a dit.
28 Et si Jonas... La raison pour laquelle il pouvait établir sa foi là-dessus, c’est parce que, lorsque Salomon avait dédicacé le temple, il avait fait cette prière : « Eternel, si Ton peuple est en difficulté à quelque moment, et qu’il tourne son regard en direction de ce lieu saint, et prie, alors exauce des cieux. » Et si Jonas, dans le ventre de la baleine, un rétrograde, dans une mer en furie, pieds et poings liés, baignant dans la vomissure, des algues autour du cou, a pu regarder à un temple, où un homme du nom de Salomon qui avait rétrogradé plus tard, avait offert une prière pour la délivrance des enfants, à combien plus forte raison devriez-vous regarder, alors que nous sommes assis dans la maison de Dieu, dans les lieux célestes en Jésus-Christ, là où les gens sont guéris tout le temps, et détourner vos regards de vos symptômes, non pas regarder à un temple fait de mains d’homme, mais au ciel lui-même, où Christ est assis à la droite de Dieu, intercédant avec Son propre Sang sur base de vos confessions. A combien plus forte raison devriez-vous dire : « Ce sont des vanités mensongères. Je n’y croirai pas. » Regardez vers le ciel. Cela dépend de ce que vous regardez. Si vous continuez à regarder à votre main, vous ne vous rétablirez jamais. Si vous regardez à la promesse de Dieu, vous serez certainement rétabli.
Jésus est le Souverain Sacrificateur de notre confession, Il est assis à la droite de Dieu, intercédant sur base de notre confession. Et chaque bénédiction rédemptrice pour laquelle Il est mort, Il est là pour l’accomplir en tant que le Souverain Sacrificateur. Amen. Cela devrait faire crier les méthodistes. Certainement. C’est la religion à l’ancienne mode, elle a été éprouvée tout au travers de toutes sortes de fournaises, et a éteint–éprouvé par toutes sortes d’eau, mais elle continue de brûler. Oui.
29 Abraham possédait tout cela. Il était l’héritier de tout cela, et vous êtes l’héritier de tout cela, étant la postérité d’Abraham. Dieu vous appelle par la grâce souveraine, de la même manière qu’Il a appelé Abraham. Ce soir vous avez professé avoir le baptême du Saint-Esprit, en fait vous devez mourir à vous-même pour naître de l’Esprit en tant que croyant. Vous, étant mort en Christ, vous devenez la postérité d’Abraham et vous êtes les héritiers de chaque promesse. Amen. N’ayez pas peur ; « amen » ne vous fera pas de mal. Amen signifie ainsi soit-il, et je ne suis pas en train de dire amen à moi-même, mais je crois la chose. C’est juste.
Chaque promesse est vraie pour le croyant qui prend Dieu au mot et qui qualifie ces choses comme Abraham l’a fait. La Bible dit qu’Abraham appelait les choses qui n’étaient pas comme si elles étaient. Et il ne douta point de Dieu par incrédulité. Il n’a pas du tout considéré l’état de son propre corps, dit Romains 4 (Son corps était déjà usé, à cent ans), ni que Sara n’était plus en état d’avoir des enfants, mais il a appelé des choses qui n’étaient pas, comme si elles étaient, ayant la pleine conviction que Celui qui avait fait la promesse était capable de l’accomplir.
Qu’en est-il de vous ce soir, vous qui vous dites la postérité d’Abraham et qui êtes héritier de la même promesse ? Si vous avez cette foi qu’Abraham avait, si vous êtes la postérité d’Abraham, vous possédez la même foi, sinon vous ne pouvez pas être la postérité d’Abraham. Amen. C’est très dur. Pour ainsi dire cela ne manage pas nos théologies favorites.
30 Mais ma maman... J’étais... Je pense qu’elle est ici ce soir. Nous avons grandi dans une grande pauvreté. Maman me disait, nous avions... Vous savez, nous devions bouillir des peaux de viande dans un moule à pains et extraire la graisse, vous savez, à mettre sur les pains de maïs. Et chaque samedi soir... nous avions un grand et vieux baquet en bois de cèdre. Il y avait huit Branham, et tous ces petits s’alignaient, et ils prenaient un bain chaque samedi soir dans ce vieux baquet, dans la même eau qu’on réchauffait un peu avec la bouilloire. Et chacun prenait un bain et recevait une bonne dose d’huile de ricin pendant l’hiver. Cette affaire me rendait tellement malade que jusqu’aujourd’hui je n’arrive pas à supporter cela. Et je me pinçais le nez, je tournais vers maman, j’avais un haut-le-coeur, je disais : « Maman, je n’arrive pas à supporter cela ; cela me rend malade. »
Elle disait : « Tiens-toi tranquille. Si ça ne te rend pas malade, ça ne te fera aucun bien. »
C’est la même chose que je dis à propos de ceci ce soir : si cela ne vous rend pas malade, cela ne pourrait pas vous faire du bien. Cela pourrait stimuler votre appétit spirituel et le faire fonctionner correctement pour recevoir la Parole et la promesse du Dieu Tout-Puissant. C’est Lui qui a donné cela. Et c’est de cette manière que vous devez venir à Lui.
31 Abraham a cru en Dieu, il a dit : « Eternel, comment saurais-je que ces choses vont arriver ? »
Il a dit : « Abraham, sors, J’aimerais te montrer. » Il a dit : « Premièrement... » Il a dit : « Regarde la poussière de la terre. » Il a dit : « Ta postérité sera comme la poussière de la terre. Peux-tu la compter ? »
« Non. »
Et Il a dit : « Lève les yeux vers le ciel », vers un autre endroit. Il a dit : « Ta postérité sera sans nombre comme les étoiles du ciel. » Voyez, de la poussière aux étoiles, ce qui évoquait la résurrection. Voyez-vous cela ? Les esprits spirituels devraient comprendre cela immédiatement : « De la poussière aux étoiles. » Et la Principale de toutes les étoiles, c’est l’Etoile du matin, la plus brillante, le Plus Beau d’entre dix mille, le Lys de la vallée, l’Etoile du matin, le Rédempteur, le Parent Rédempteur. Comme Il est admirable !
Il a dit : « Viens, Abraham, Je vais te montrer comment Je vais faire ceci. » Il a dit... Il est allé prendre une génisse, une chèvre, un bélier, une tourterelle et un pigeon. Et il a coupé en morceaux la génisse, la chèvre et le bélier. Il n’a pas coupé la colombe et le pigeon. Il les a mis ensemble.
Nous devrons aborder cela un jour. Laissez-moi vous montrer une petite chose ici. Je suis en quelque sorte un typologue. J’aime les types et les ombres. Ecoutez. Il avait cinq espèces différentes d’animaux : J-E-S-U-S, c’est ce que cela représentait, le sacrifice qui allait venir. Trois animaux ont été coupés en morceaux : J-E-S ; et l’autre, U-S, n’a pas été séparé : « Jehovah’s Elected one’s Salvation saiving U-S. » [Le salut de l’Elu de Jéhovah qui nous sauve], « us », qui est inséparable, et l’Eglise entière du Dieu vivant, qui ne tient pas compte des barrières dénominationnelles n’est pas séparée. Ils sont d’un seul coeur. Peu m’importe ce qu’ils sont. Ils n’étaient pas séparés. J-E-S-U-S. « Jehovah’s Elected Salvation saves U-S. » [Le salut de l’Elu de Jéhovah nous sauve.] Comprenez-vous cela ? Son Elu, préfiguré par Isaac, la Venue du Glorieux, Christ.
32 Ensuite, remarquez... Maintenant, vous y êtes, vous les enseignants arméniens, mes frères, je n’ai pas l’intention de faire pénétrer en frottant ceci maintenant. J’aimerais juste que vous observiez ceci très attentivement, pour vous montrer que ce n’est pas par les oeuvres, c’est par la grâce, par l’élection, par la prescience. C’est Dieu qui sauve. Vous n’avez rien à faire là-dedans. « Cela ne dépend ni de celui qui veut ni de celui qui court, mais de Dieu qui fait miséricorde. »
Remarquez : « Abraham, monte ici sur ce flanc de la colline. Maintenant, tu as veillé à éloigner les oiseaux de ce... » lorsqu’il les a mis ensemble. Il a dit : « Tu as veillé à éloigner les oiseaux de ces animaux, et le soleil est en train de se coucher maintenant. » Et la Bible dit : « Un profond sommeil tomba sur Abraham. »
« Maintenant, tu n’as rien à faire là-dedans, Abraham. Je vais simplement te mettre en dehors de la chose, te montrer que cela ne dépend pas de ce que tu peux faire ou de ce que tu veux. C’est Moi qui fais cela. C’est Moi qui sauve. » Il l’avait sauvé au départ, Il lui a dit qu’Il était venu vers lui quand il était âgé. Il allait sauver sa postérité après lui. Dieu l’a fait par la grâce souveraine. Alors de quoi avez-vous peur ? Voilà le problème de l’Eglise. Vous avez peur. N’ayez pas peur : si Dieu est pour vous, qui peut être contre vous ? Cessez d’avoir peur. Prenez Sa Parole. Que le Saint-Esprit qui est en vous prenne vie. Il est très faible. Qu’Il se réveille pour prendre conscience de l’heure même dans laquelle vous vivez, du temps dans lequel vous vivez. Observez-Le.
33 Il a endormi Abraham pour lui montrer : « Tu es hors de scène. » Et puis, aussitôt qu’Il a fait cela, qu’Abraham s’est endormi, une grande obscurité est venue, ce qui représente la mort. Chaque mortel doit arriver à ce point-là : la mort. Ensuite après la mort, il y avait une fournaise fumante, l’enfer, où tout pécheur mérite d’aller. Quelle image donne-t-il ? Le Calvaire, Jésus. Et ensuite, Il a montré... Au-delà de cela est sortie un–une petite Lumière. Dieu est Lumière. Et cette petite Lumière est passée entre tous les morceaux de ces animaux de sacrifice, faisant Son alliance. C’était une coutume orientale.
Bon, aujourd’hui lorsque vous et moi faisons une alliance, nous allons l’un vers l’autre, et je dis : « Frère, allez-vous faire telle chose ? »
« Oui, frère Branham, je le ferai. »
Bien, on se sert la main. C’est de cette manière que nous faisons une alliance. Là au Japon, voici comment les gens font une alliance là-bas : ils en parlent l’un avec l’autre, et ensuite ils prennent une petite salière remplie de sel. Ils se tiennent debout et se jettent du sel l’un sur l’autre. C’est une alliance, ils font une alliance de sel.
34 Aux jours d’Abraham, en Orient, voici comment les gens faisaient une alliance : ils prenaient un–un animal, ils le tuaient et le coupaient en deux, juste comme vous voyez Abraham le faire pour l’alliance de Dieu. Et ils coupaient l’alliance en deux. Puis ils écrivaient leur accord, et ensuite ils prenaient cela, et déchiraient cela, et chacun recevait un morceau. Et ensuite, ils faisaient un serment sur cette carcasse : s’il leur arrivait de briser cette alliance, qu’ils soient comme cet animal mort. Quel serment ! Et la seule manière que cette alliance pourrait être manifestée, c’était que les deux hommes ramènent les deux morceaux de papier, et ils devaient s’ajuster exactement comme cela, et cela confirmait le serment.
Maintenant, qu’est-ce que Dieu faisait ? Il montrait à Abraham comment il allait être le père des nations : par Isaac viendrait Christ. Et au Calvaire, Jéhovah Dieu, le Père, a pris Son propre Fils au Calvaire, et Il a mis sur Lui les péchés et la maladie du monde, et là Il L’a déchiré, Il a amené le corps au Ciel, là dans la Gloire, et a envoyé le Saint-Esprit sur la terre à l’Eglise. Et quand la résurrection aura lieu, le même Esprit qui était en Jésus-Christ, faisant les mêmes oeuvres que Jésus a accomplies lorsqu’Il était ici sur terre, devra être avec l’Eglise, l’Eglise qui est sous l’alliance, car, lorsqu’ils se rassemblent, les mêmes signes et les mêmes miracles que Jésus faisait devront concorder avec le corps de Christ pour former l’Epouse. Amen.
35 Voilà l’alliance de Dieu. La Vie qui était en Jésus a été tirée de Lui et envoyée à l’Eglise. Et la Vie qui était en Christ, étant en vous... Donc Jésus, Sa–Sa Parole dit qu’Il est ressuscité des morts, qu’Il est vivant parmi nous ce soir, accomplissant les mêmes oeuvres qu’Il avait accomplies lorsqu’Il était ici sur terre. Amen.
Je suis tellement heureux de le savoir. Jésus a dit : « Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, vous pouvez demander ce que vous voulez, et Je vous l’accorderai. » C’est juste. Il a dit : « Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort. Et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. » C’était Sa promesse éternelle envers Son Eglise. « Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Vous en ferez de plus grandes que celles-ci, car Je m’en vais au Père. » Quelle promesse ! C’est merveilleux !
36 Dieu a fait sortir Abraham lorsqu’il avait quatre-vingt-dix-neuf ans. Abraham devenait vieux. Le courant de la vie en lui avait tari. Tout homme, toute femme sait de quoi je parle. Sara, une vieille femme, et Abraham un vieillard. Et il a cru et a attendu que cette promesse s’accomplisse. Ensuite, qu’est-il arrivé ? Dieu l’a fait sortir et lui est apparu sous un autre Nom, sous le Nom du Dieu Tout-Puissant, dans Genèse, chapitre 17.
Et Il lui est apparu sous le Nom du Dieu Tout-Puissant. En hébreu c’est El-Shaddaï, ce qui veut dire : Les seins d’une femme. Il a dit : « Abraham, Je t’apparais maintenant comme Celui qui porte des seins. Je suis la Mère. Tu es vieux ; toute ta force est partie, mais Je suis le Dieu qui porte des seins. » En d’autres termes, ta force est partie, mais Je suis Celui qui peut t’allaiter pour te redonner la force. »
Le Dieu Tout-Puissant, si c’est ce qu’Il était pour Abraham, c’est ce qu’Il doit être pour la postérité d’Abraham, car ce sont les mêmes promesses. Et peu importe à quel point vous êtes malade, à quel point votre cas est désespéré, accrochez-vous aux promesses éternelles de Dieu et récupérez la vie en tétant. Peu importe à quel point vous êtes plongé dans le péché, à quel point votre âme est noire, vous pouvez être une prostituée de la rue, mais cette même promesse est pour vous, si vous prenez le courage de vous accrocher à Dieu.
37 Maintenant, souvenez-vous, Il n’a pas dit : « Je suis un sein. » Des seins, deux seins, le Nouveau et l’Ancien Testaments : « Il a été blessé pour nos péchés, c’est par Ses meurtrissures que vous êtes guéris... » ... Quand un bébé est malade et qu’il pleure, et qu’il a presque perdu sa santé, la mère le prend, et le met sur son sein, et elle se met à le caresser, à lui chanter quelque chose, et le bébé tire sa force de sa mère en tétant. Et cela le satisfait tout le temps qu’il tète. Il ne regarde pas aux symptômes ; il est satisfait aussi longtemps qu’il se trouve dans les bras de sa mère, tétant le sein de la mère.
Et chaque postérité d’Abraham, peu importe ce qu’est votre problème, qu’il s’agisse du salut, accrochez-vous ; qu’il s’agisse de la guérison, accrochez-vous ; et reposez là contre le sein de Dieu, et tétez jusqu’à ce que vous aurez récupéré votre force, et que vous serez satisfait, pendant que Dieu est en train de déverser pleinement Sa Vie en vous par Sa promesse divine, au travers de Son sein que tètent Ses enfants qui croient. Oh ! comme nous devrions L’aimer !
Nous allons devoir continuer demain soir. Il se fait trop tard pour finir ceci. Demain soir, nous allons prendre cela.
38 Que représente-t-Il pour vous ce soir, mon ami ? A quoi tout ceci aboutit-il ? Que signifie ceci après toutes ces années ? Jésus a dit : « Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous (Il a promis d’être en nous) jusqu’à la fin du monde. » Et qu’Il ferait la même chose qu’Il a faite. Voici Sa Parole rendue manifeste. Vous L’avez reçu. Les preuves... Le voici ici ce soir, visible, agissant, oeuvrant, accomplissant des signes, des prodiges, des miracles, ici même sur l’estrade. Et vous vous tenez là, et vous regardez cela, et la Bible soutient carrément cela. Ne L’aimez-vous pas ? Quel merveilleux soulagement pour un pauvre pécheur épuisé, et pour une personne épuisée, qui a eu des ennuis avec les choses de ce monde, de réaliser que Dieu est là près !
39 Il y a quelque temps, je me trouvais dans les montagnes, en train d’observer une mère aigle qui déposait ses petits dans le pré. Je gardais le bétail, alors j’ai simplement pris mes jumelles, et j’observais cette mère aigle, et elle est descendue, elle portait ses petits, et elle les a posés là sur le gazon. Et les petits oiseaux se sont mis à sautiller, et à picoter le gazon, et ils avaient un–un réveil pentecôtiste. Ils étaient sortis du vieux nid dégoutant, excusez-moi, le vieux nid puant de l’aigle, et peut-être que c’est de là que vous venez, d’un bar ou d’une boîte de nuit, de la puanteur du monde. Une fois que vous arrivez sur ce tapis du salut, voyez combien vous pouvez marcher d’un pas léger, combien cela est très doux.
Ces petits aiglons étaient insouciants au possible. C’est ainsi qu’est un véritable croyant. Rien ne peut lui faire du mal. Il sait que Dieu l’a ancré au Ciel ; c’est tout ce qu’il en est. Jésus l’a aimé, l’a appelé, et lui a donné le Saint-Esprit. Il est libre.
40 Je me suis réveillé l’autre soir avec un sermon sur mon coeur, au point que je ne pouvais pas supporter cela. Et je n’avais qu’une seule personne à qui prêcher cela : c’était ma femme. Je lui ai prêché, jusqu’à ce qu’elle s’est endormie, c’était sur le repos du chrétien. « Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et Je vous donnerai du repos. » Ne peinez plus, et ne vous inquiétez plus.
Je me demandais ce qui rendait ces petits aiglons si insouciants. Et cette mère, dès qu’elle les a laissés, elle est aussitôt retournée tout en haut et s’est posée sur le rocher le plus élevé qu’elle pouvait trouver. Elle s’est posée là. J’ai braqué mes jumelles sur elle, elle se tenait là en train de battre ces grandes ailes et de regarder autour d’elle, la tête levée. Je me demandais ce qu’elle était en train de faire. Alors, je me suis mis à étudier l’aigle. Elle surveillait un coyote ou n’importe quel animal qui essaierait de déranger ces petits bébés. Elle pouvait flairer une tempête, peu importe d’où elle venait, n’importe quel problème partout, elle était très haut. Elle a un oeil perçant qui peut voir à des kilomètres. Elle veillait sur ces petits.
Je me suis dit : « Ce n’est pas étonnant qu’ils soient insouciants. » J’ai dit : « Ainsi en est-il de tout homme qui a été retiré du monde et qui a été placé sur ce tapis de la facilité, qui aime... Peu importe les épreuves, vous êtes toujours au repos avec Christ, vous vous promenez sans aucun souci ; et notre grande Mère, Celui qui porte des seins, a escaladé les remparts de la Gloire, Il est assis à la droite de Dieu.
C’est comme Howard Cadle avait coutume de chanter : « Ses yeux sont sur le moineau, et je sais qu’Il veille sur moi. » C’est juste. Quoi qu’il puisse arriver, Dieu sait tout. Il est dans la Gloire ce soir, veillant sur Son Eglise. Vous pouvez être libre de soucis.
41 Au bout d’un moment, une tempête se leva, ces tempêtes du nord qui viennent subitement. Oh ! les éclairs déchiraient le ciel. Et cette mère aigle poussa un grand cri, elle fonça vers cette prairie, elle déploya ses ailes, et poussa un cri, et tous les petits aiglons dans le pré coururent très vite vers elle. Chacun planta ses petites pattes juste dans ses ailes, et de son bec il s’accrocha à une plume comme cela ; et cette mère aigle s’est simplement élevée avec eux comme cela, et ce vent qui descendait le canyon à environ soixante miles à l’heure [90,5 km/h, elle a percé ce vent-là, et elle est allée droit dans la fente du rocher.
J’ai posé mes jumelles, j’ai bien attaché mon cheval, et j’ai crié sur toutes les collines. J’ai dit : « Ô Dieu, être libre de tout souci. » Pourquoi nous soucions-nous ? Pourquoi nous soucions-nous de ce que le monde dit, de ce dont ils nous traitent ? S’ils veulent dire : « Fanatique ! », laissez-les le dire. Moi, je crois la Parole de Dieu. Et il y a quelque chose au-dedans de moi, pas moi, mais quelque chose au-dedans de moi, qui me dit que c’est la vérité. Je L’ai vu dans chaque épreuve. Alors je sais qu’un jour, lorsque viendra la tempête, Il descendra et déploiera Ses ailes et poussera un cri. Et tous les petits aiglons vont s’accrocher au Rocher des âges, et nous nous envolerons un de ces jours dans la cour de l’au-delà, en sécurité.
42 Il y avait une fois, un vieil homme de couleur, dans le Sud, il se trouvait un soir dans une réunion où on jouait de l’orgue, où on chantait de vieux hymnes. Si jamais vous êtes du Sud, vous savez de quoi je parle, comment les esclaves avaient coutume de se réunir dans les plantations, de chanter et d’organiser de très grandes fêtes, de chanter. Peu après, le... Un matin, un vieil homme vint là ; il fut sauvé. Il parlait à tous les autres esclaves ; il disait : « Je–je suis libre maintenant. J’ai été sauvé. »
Alors le patron l’a entendu, il a dit : « Mose, c’est quoi là que tu disais ? »
Il a dit : « Patron, je disais que je suis libre. »
Il a dit : « Tu es libre, vraiment ? » Il a dit : « Viens dans mon bureau, un instant ; j’aimerais te voir, après que tu auras mis les autres au travail. »
Il est entré dans le bureau et s’est assis, il a attendu jusqu’à ce que le patron arrive. Il est passé derrière... Le maître des esclaves est passé derrière le bureau, il a dit : « Mose, qu’est-ce que je t’entends dire, que tu es libre ? »
Il a dit : « Patron, je suis libre. » Il a dit : « J’étais un pécheur, et hier soir, Christ m’a affranchi de la loi du péché et de la mort. » Il a dit : « Ce matin, je suis un chrétien, patron. »
Il a dit : « Mose, es-tu sérieux en disant cela ? »
Il a dit : « Oui. »
« Alors quel est ton désir, Mose ? »
Il a dit : « J’aimerais en parler à tous mes frères. »
Il a dit : « Puisque Christ t’a affranchi, Mose, alors je vais aller signer ton émancipation, et je vais te libérer pour que tu prêches l’Evangile. » Et il l’a signé ce matin-là, et il a affranchi le vieil homme de couleur. Pendant des années, un fidèle serviteur...
43 Lorsqu’arriva l’heure de sa mort, beaucoup de ses frères blancs sont venus le voir. Et alors, il était dans le coma. Au bout d’un instant, il s’est réveillé, il a regardé autour de lui, il a dit : « Suis-je encore ici ? »
Ils ont dit : « Oui, Mose. »
Il a dit : « Eh bien, j’étais au Ciel. »
Ils ont dit : « Mose, à quoi cela ressemble-t-il ? »
Il a dit : « Je vous assure, frères, a-t-il dit, je suis arrivé à la porte. » Et il a dit : « Un Ange est venu vers moi. » Et il a dit : « Et j’ai regardé de l’autre côté, et je L’ai vu. » Et il a dit : « L’Ange s’est avancé et a dit : ‘Mose, viens ici pour recevoir ta couronne et ta robe.’ »
Il a dit : « Ne me parle pas de couronne ni de robe, je n’en veux pas. » Il a dit : « Laisse-moi simplement me tenir là et Le contempler pendant mille ans. » Je crois que c’est ce que nous ressentons tous ce soir. Laissez-moi voir Jésus.
Il aurait fallu que soeur Cadle soit en vie ce soir, pour se tenir ici maintenant et chanter pour moi : « Quand j’atteindrai ce pays... sur le rivage–sur le rivage lointain, je veux voir Jésus », pas vous ? Je crois que c’est la soif du coeur de chaque chrétien : « Je veux voir Jésus. » Inclinons nos têtes un instant. Si, l’organiste le veut bien, juste une petite note...
44 Je me demande, ce soir, pendant que vous avez la tête inclinée, réalisant que vous êtes une personne liée à l’éternité, sachant que ceci pourrait être la dernière soirée où vous aurez eu le privilège de vous asseoir sur le siège sur lequel vous êtes... Vous savez, il y a bien des gens dans la longue histoire de cette église, qui ont entendu les puissants sermons de frère Cadle, de frère Lincoln, et de ces nombreux autres grands guerriers, du docteur Ford, du docteur Bosworth, et de Gypsy Smith. Si seulement ils pouvaient revenir et s’asseoir sur ce même siège, sur lequel vous êtes assis ce soir, où ils étaient assis, peut-être ce serait très différent.
Voulez-vous réellement Le voir ? Vous L’aimez, et vous savez que vous L’aimez, mais vous ne L’avez jamais accepté comme votre Sauveur personnel, et vous croyez que Dieu exauce ma prière, et vous voulez que je prie pour vous, et vous savez que vous êtes rebelle et éloigné de Dieu, voulez-vous juste lever la main ? Pendant que personne ne regarde, sauf moi, s’il vous plaît, et par cela vous dites : « Frère Branham, priez pour moi. Je veux connaître Jésus comme mon Sauveur. » Voulez-vous lever la main ? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. A ma droite. Y a-t-il quelqu’un ici par derrière ? Que le Seigneur vous bénisse. Très bien. Que celui qui est rétrograde lève la main, et dise : « Priez pour moi, Frère Branham. » Que Dieu vous bénisse. Je le ferai certainement, soeur. Maintenant, c’est bien. Que quelqu’un qui n’a pas le Saint-Esprit dise : « Priez pour moi, Frère Branham, je veux être la postérité d’Abraham. » Que Dieu vous bénisse. Beaucoup de mains sont levées...
45 Maintenant, notre Père céleste, Tu connais la condition de ces gens. Et je Te prie, maintenant même, d’avoir pitié, et de leur accorder... Ils ont abandonné leur volonté maintenant même, que cela leur amène la grâce de Ta part. Et que tous ces pécheurs qui ont levé leurs mains soient sauvés, que les rétrogrades soient ramenés à Christ. Et que tous ceux qui cherchent le Saint-Esprit Le reçoivent en cette heure. Accorde-le, Père. Nous demandons cela par Christ.
Et pendant que nous avons nos têtes inclinées, j’aimerais demander quelque chose à l’église. Maintenant, mes amis, vous qui avez levé la main, immédiatement après le service de guérison, j’aimerais que vous approchiez ici, que vous vous teniez près de l’autel, et que vous priiez avec quelques pasteurs, pendant qu’ils viendront prier pour vous ; et trouvez-vous quelque part une bonne église où vous vous sentirez chez vous, et fréquentez-la, une église. Il y a beaucoup de bonnes églises dans votre voisinage. Trouvez-en une quelque part qui prêche l’Evangile du Seigneur Jésus et la guérison divine.
46 Maintenant, j’aimerais vous demander quelque chose. Aimeriez-vous Le voir ? Combien ici, tandis que vos têtes sont inclinées, et vos mains levées, disent : « J’aimerais voir Jésus. J’aimerais simplement Le voir. » Que Dieu vous bénisse. Toutes les mains sont levées, pratiquement cent pour cent. Est-ce possible que nous puissions Le voir ? Il a dit que vous pouviez Le voir.
Je vois un homme ou un jeune garçon assis ici, qui parle aux muets avec ses doigts. Oh ! je prie que Dieu les guérisse, tous ce soir d’une manière ou d’une autre.
47 Il y a quelques soirs, j’étais dans une église où une jeune fille de couleur avait connu un accident à la suite duquel les nerfs auditifs et phonatoires étaient sectionnés, et son côté paralysé. Elle s’est avancée vers moi, elle ne pouvait même pas faire entendre un gémissement. J’ai vu les régions de l’Afrique derrière elle. J’ai dit : « Père céleste, cela–cette pauvre fille éthiopienne qui est ici, ses nerfs sont séparés d’un pouce [2,54 cm], ou quelque chose comme ça, ont été sectionnés dans un accident... » Je veux dire un pouce ; c’était... De toute façon ils étaient sectionnés. Elle n’avait jamais... Le médecin avait ligaturé cela en les bouchant. Elle ne pouvait jamais ni parler, ni entendre, ni avoir une quelconque sensation dans ce côté droit.
Et pendant que je priais pour elle et que je lui imposais les mains, la grâce de Dieu lui a été accordée, et elle a crié : « Oh ! maman, regarde ce que je–ce qui m’est arrivé. » Je prie ce soir pour que ces muets, qui sont assis ici, reçoivent leur guérison. Pendant que le garçon vous parle, mon cher ami, vous êtes enfermés tout seuls dans un monde. Mais il y a Quelqu’Un qui est avec vous dans ce monde-là : C’est Jésus. Il connaît votre coeur.
48 Maintenant, Père céleste, toutes les paroles que je pourrais dire ne signifient rien en comparaison d’une seule Parole de Ta part. Et je Te prie ce soir d’accorder maintenant que ces gens voient que ce message n’est pas vain, que cette réunion n’est pas vaine ; mais que Tu es réellement ressuscité des morts. Tu nous as promis, Seigneur, que Tu nous apparaîtrais dans chaque âge, et que Tu te manifesterais, et ferais la même chose que Tu as faite lorsque Tu étais ici sur terre. Et nous Te prions, ô Dieu, d’accorder cela à ces gens ce soir, au Nom de Jésus, et nous le demandons, alors que nous nous soumettons humblement devant Toi. Amen.
Excusez-moi. Un jour tout ceci sera terminé. Vous n’avez qu’un seul moment, mon ami, pour servir Dieu, et c’est maintenant.
49 Maintenant, voici ce que je soutiens : Combien ici croient que Jésus-Christ est ressuscité des morts ? Vous devez le croire pour être un chrétien. Mais souvenez-vous, les deux tiers du monde ce soir n’en savent même rien. Ils n’ont jamais entendu parler du Nom de Jésus. J’aimerais vous demander quelque chose : Savez-vous que les adeptes d’autres religions du monde sont de loin plus nombreux que les chrétiens ? Vous savez que les mahométans sont pratiquement deux fois plus nombreux que les chrétiens, les bouddhistes, et beaucoup de ces ismes et de ces cultes des idoles ? Mais j’ai été juste avec eux à un endroit, où on m’a défié, et je n’ai jamais vu une seule fois où notre Seigneur Jésus n’est pas venu à la rescousse et ne s’est pas manifesté. Lisez les articles dans les livres là-bas ; on n’a pas le temps d’en parler.
Mais voici ce que je dis : maintenant, Jésus ne peut pas venir ici dans un corps physique. Car lorsqu’Il viendra dans un corps physique, alors la Seconde Venue de Christ sera telle que tout oeil Le verra, tout genou fléchira, et toute langue confessera. Mais Son Saint-Esprit, Lequel est appelé dans la Bible le Consolateur, devait venir faire les mêmes oeuvres qu’Il a faites ; parce que c’est Christ en Esprit. Christ a dit : « Je viens de Dieu. Je retourne à Dieu. Encore un peu de temps, et le monde (ce sont les gens) ne me verra plus (l’ordre du monde). Mais vous, vous Me verrez (c’est l’Eglise), car Je serai avec vous et même en vous jusqu’à la fin du monde. »
Et Il a dit : « Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. » Maintenant, ça c’est pour les nouveaux venus.
50 Maintenant, vous les nouveaux venus, suivez attentivement avant le service de prière. Je veux que vous m’accordiez toute votre attention un instant. Je sais qu’il fait chaud, et j’ai parlé longuement, mais j’essaie de susciter la foi des gens. Alors ceci... Je ne suis pas–je ne suis pas ici à l’estrade juste pour être vu ou entendu. Je suis ici pour représenter quelque chose : la Vie Eternelle que Jésus-Christ peut donner à chacun de vous, et la guérison de votre corps. Cela vous appartient. La Bible l’a promis. Je ne suis responsable de rien, à part prêcher la Parole telle qu’Il L’a placée ici.
Bon, pour moi, soit ceci est juste, soit c’est faux. Et si c’est faux, je ne voudrais rien avoir à faire avec cela. Si les promesses de Dieu ne sont pas vraies, alors Il n’est pas Dieu. S’Il n’est pas ressuscité des morts, et s’Il n’est pas ce soir exactement le même qu’Il était, alors Il n’est pas Dieu. Il est un Dieu historique, et pas un Dieu ressuscité. Il serait tout aussi mort que Mahomet, Bouddha, ou Confucius, ou l’un de tous les autres.
51 Mais, remarquez. Dieu a promis qu’Il allait se manifester dans l’Eglise. Maintenant, voyons ce qu’Il a fait lorsqu’Il était sur terre. Maintenant, ceci c’est pour les nouveaux venus. Lorsqu’Il était sur terre, voyons ce qu’Il a fait en ce temps-là. Nous voyons ce qu’Il fait maintenant. Prétendait-Il être un Guérisseur lorsqu’Il était ici sur terre ? Pas du tout. Il était un Prédicateur. Le Seigneur L’a oint pour prêcher l’Evangile. C’est ce qu’Il a dit. Est-ce juste ? Et puis, a-t-Il dit qu’Il était un Guérisseur ? Il a dit qu’Il n’était pas un Guérisseur. Il a dit : « Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres ; c’est Mon Père qui demeure en Moi. C’est Lui qui fait les oeuvres. » Et, Il a dit dans Saint Jean 5.19, écoutez, ce sont les propres Paroles de Jésus. Il ne pouvait pas mentir et être Dieu. Il a dit : « En vérité, en vérité Je vous le dis : le Fils ne peut rien faire de Lui-même, sinon ce qu’Il voit faire au Père, et cela, le Fils le fait pareillement. »
Croyez-vous que c’est la vérité ? Il a laissé toute une multitude des gens qui étaient malades et affligés. Et on L’a interrogé. Un homme a transporté son lit le jour de sabbat. Il a guéri un seul homme qui avait une petite maladie ou quelque chose comme ça, et Il a laissé les infirmes, les boiteux, les aveugles, les paralytiques. Mais Il a dit que le Père Lui avait montré où aller pour cela. Il faisait tout ce que le Père...
52 Considérez la résurrection de Lazare. Il avait quitté leur maison, Il s’était éloigné. Et Il... On L’a envoyé chercher ; Il n’est pas parti. On L’a de nouveau envoyé chercher, Il n’est pas parti. Après un certain temps, quand Il a vu le jour approprié que Dieu Lui avait montré dans la vision, ce qui allait arriver, Il a dit : « Mon ami Lazare dort. »
Les gens ont dit : « Il est guéri. »
Il a dit : « Il est mort. Et à cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là ; parce que les gens M’auraient demandé de prier pour lui. » Mais Il a dit : « Je vais le réveiller. » Et lorsqu’Il est arrivé à la tombe, écoutez ce qu’Il a dit : « Père, Je Te remercie, Tu M’exauces toujours, mais c’est à cause de ceux qui M’entourent que J’ai dit cela : ‘Lazare, sors !’ » Et un homme qui était mort depuis quatre jours s’est tenu debout et est revenu à la vie. Jésus a vu cela par une vision.
53 Maintenant, lorsqu’Il était ici sur terre, prenons deux classes–trois classes de gens : les Juifs, les Gentils et les Samaritains. Et pendant qu’Il prêchait, priant pour les malades, il y avait un Juif du nom de Philippe qui fut sauvé. Et Philippe est allé trouver son ami Nathanaël, loin de l’autre côté, à plusieurs kilomètres, derrière la montagne. Et il l’a trouvé ; il était sous un arbre en train de prier. Il a dit : « Viens voir qui nous avons trouvé : Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph. »
Et il s’est levé, cet Hébreu fidèle, et il a dit : « Eh bien, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon ? »
Il a dit : « Viens voir. » C’est la meilleure façon. « Viens voir, voir par toi-même. »
Alors probablement que Philippe, sur leur chemin, a dit : « Maintenant, ne critique pas ; avance-toi simplement et sois honnête et sincère. »
Alors lorsqu’Il est arrivé là où Jésus était en train de prier pour les malades, il s’est avancé dans la ligne où se trouvait Jésus. Jésus l’a regardé, et Il a dit : « Voici (regardez, considérez, voyez)–voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude. »
Eh bien, il a dit : « Un instant. Rabbi, quand m’as-Tu connu ? Tu ne sais pas si je suis un critiqueur, un incrédule, ou quoi d’autre. Quand m’as-Tu connu ? »
Il a dit : « Eh bien, a-t-Il dit, avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu. »
Comment l’a-t-Il vu à une distance de quarante miles [64 km]? Il a dit : « Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu. »
Il a dit : « Rabbi, Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël. » C’est ce que les Juifs ont dit, que c’était le signe montrant qu’Il était le Messie.
54 Eh bien, ces grandes églises orthodoxes raides qui étaient aussi saintes et méticuleuses que possible se tenaient là. Qu’ont-elles dit à Son sujet ? Elles ont dit : « C’est un diseur de bonne aventure. C’est Béelzébul, le prince des démons. »
Qu’a dit Jésus ? Il a dit : « Maintenant, vous pouvez dire cela de Moi, et Je vous pardonnerai. Mais lorsque le Saint-Esprit sera venu, le Consolateur, et qu’Il fera la même chose en Mon Nom, si vous dites un seul mot contre cela, cela ne vous sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir. » Et Il a prédit que lorsque le Saint-Esprit viendrait, Il accomplirait la même chose qu’Il faisait.
55 C’est comme la femme au puits, Il lui a parlé. Elle était une Samaritaine. Il savait où se trouvait un poisson qui avait une pièce de monnaie dans sa bouche. Il connaissait les pensées des gens.
Une femme est entrée dans la foule une fois, et elle a touché Son vêtement, puis elle s’est vite retirée et s’est assise, ou s’est tenue debout, ou quel que soit là où elle se trouvait. Elle s’était dit : « Si je peux seulement toucher ce Saint Homme, je serai guérie. » Elle avait une perte de sang depuis bien des années. Les médecins ne pouvaient rien pour elle. Et sa foi c’était qu’elle puisse toucher cet Homme. Et elle a touché Son vêtement ; Il ne pouvait pas sentir cela. Eh bien, vous n’auriez pas pu sentir cela, si c’était sur mon manteau ou le vôtre. Ce vêtement palestinien aussi épais qu’il était, et en plus du vêtement de dessous... Alors elle est partie, elle était satisfaite de L’avoir touché.
Maintenant suivez, Il s’est arrêté. Il s’est retourné, Il a dit : « Qui M’a touché ? » Eh bien, Il ne savait pas, sinon Il n’aurait pas posé cette question. Il a dit : « Qui M’a touché ? »
Eh bien, tout le monde a nié l’avoir fait. Elle a nié cela. Il a dit : « Oui, mais... »
Pierre a dit : « Eh bien, Seigneur, c’est tout le monde qui Te touche. C’est tout le monde qui Te touche. » Voilà le problème de l’église aujourd’hui : vous touchez de la mauvaise manière.
Il a dit : « C’est tout le monde qui Te touche. Et pourquoi dis-Tu : ‘Qui M’a touché ?’ »
Il a dit : « Pourtant Je sens que Je suis devenu faible. » Une force était sortie de Lui. Et Il continuait de regarder autour de Lui jusqu’à ce qu’Il a trouvé la petite femme. Il a tourné le regard droit vers elle, et Il a dit : « Ta foi t’a sauvée. » Sa perte de sang s’est arrêtée. Alors sa foi L’a touché, et elle était guérie.
56 Il connaissait les pensées des gens, et là où Philippe avait été, là où Nathanaël avait été, le poisson qui avait la pièce de monnaie dans sa bouche, mais Il ne connaissait pas tout. Juste ce que le Père Lui montrait, en tant que prophète.
Maintenant, pouvez-vous Le toucher ce soir ? S’Il est vivant ce soir, pourquoi ne pouvez-vous pas Le toucher ? La Bible dit que vous pouvez Le toucher. La Bible dit : « Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. » Il a Ses représentants ici sur terre.
Maintenant, Il n’est pas ici, mais Il est le Cep. Nous sommes les sarments. Le cep ne porte pas de fruits, ce sont les sarments qui portent des fruits. Et Il émonde le cep afin qu’il porte des fruits. Eh bien, nous nous abandonnons au Saint-Esprit. Abandonnez-vous à Lui pour votre maladie. Je m’abandonnerai à Lui pour Son Esprit, et voyez s’Il ne fera pas la même chose. Il est vivant, Il n’est pas mort ; ce n’est pas un Dieu historique, Il est un Dieu vivant.
57 Maintenant suivez. La femme est venue, elle s’est assise au puits. Elle était une mauvaise femme, une prostituée. Jésus a dit : « Apporte-Moi à boire. »
« Eh bien, a-t-elle dit, il n’est pas de coutume que vous les Juifs demandiez pareille chose à nous les Samaritains. Nous n’avons pas de relations. » C’est comme un Blanc et une femme de couleur... Elle a dit : « Nous n’avons pas de relations. »
Il a dit : « Mais si tu savais à qui tu parles, c’est toi qui Me demanderais à boire. » Eh bien, que faisait-Il ? Il était en train de contacter son esprit. Maintenant, ça c’est Jésus lorsqu’Il était ici sur terre, dans un corps physique, promettant de faire la même chose par Son corps spirituel. Il a dit : « Si tu savais à qui tu parles, c’est toi qui Me demanderais à boire. Et Je t’apporterais une eau–ou plutôt Je te donnerai une eau que tu ne viens pas puiser ici. »
Elle a dit : « Le puits est profond ; Tu n’as rien pour puiser. »
Il a dit : « L’eau que Je donne est un puits d’eau qui jaillit. »
Elle a dit : « Eh bien, nous adorons sur cette montagne. Vous, vous restez à Jérusalem. »
Et Jésus... La conversation s’est poursuivie jusqu’à ce que Jésus a saisi son esprit. Le Père L’avait envoyé là, parce qu’Il était en route vers Jéricho. Jérusalem est ici ; Jéricho est ici, et Il est allé ici tout en haut, en Samarie. La Bible dit : « Il fallait qu’Il passât par là. » Pourquoi ? Le Père Lui avait dit d’aller là-bas. Il s’est assis.
C’est pourquoi je suis ici ce soir. Le Père m’a dit de venir ici à Indianapolis. C’est tout ce que je sais. Je ne vous connais pas ni ne connais vos besoins. Mais Lui si.
58 Maintenant, la femme a continué à Lui parler. Au bout d’un moment, Il lui a dit... Il a découvert son problème. Il a dit : « Va chercher ton mari. »
Elle a dit : « Je n’ai point de mari. »
Il a dit : « Tu as eu raison de dire ça, tu en as eu cinq. »
Eh bien, elle L’a regardé. Maintenant écoutez, elle L’a regardé, et elle a dit : « Seigneur, je vois que Tu es Prophète. » Maintenant, écoutez ceci, vous les membres, les prédicateurs des églises. Elle a dit : « Nous savons que lorsque le Messie sera venu... » Croyez-vous que Jésus est le Messie ? Le Messie juif. Elle a dit : « Lorsque le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses–toutes choses. Mais Toi qui es-Tu ? »
Il a dit : « Je Le suis, Moi qui te parle. » Eh bien, c’était un signe pour les Juifs, pour les Samaritains, ainsi que pour les Gentils, montrant que Jésus était le Messie. Maintenant, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il doit faire les mêmes choses. Il–Il a acquis votre guérison par Sa mort au Calvaire. Il s’est manifesté par des miracles et des prodiges parmi vous pour vous amener à regarder au Calvaire et à croire les oeuvres qu’Il a accomplies pour vous. Ma prière est que Dieu vous l’accorde ce soir.
59 Les garçons, c’est quelle série de cartes de prière ? La série S ? Très bien. La série S de cartes de prière a été distribuée aujourd’hui, et qui a la carte de prière S-1 ? Voulez-vous lever la main ? S-1 ? Quatre mains se sont levées, ça ne peut pas être tout. S-1 ? Regardez sur votre carte de prière ; c’est une toute petite histoire. Cela porte une image au dos, au–au recto, et au verso cela porte un S et un numéro 1. Qui a cette carte-là ? Voulez-vous lever la main ? Est-ce que votre carte S, c’est le numéro 1, madame ? Venez juste par ici.
S-2, voulez-vous lever la main ? Qui a S-2 ? Billy, es-tu sûr que c’était bien cela ? Les cartes de la série S ? S-2, qui a cela ? Voulez-vous lever la main ? Regardez sur... de quelqu’un.... Ça pourrait être quelqu’un qui est sourd. Il y a des gens ici assis dans des civières et tout. Regardez autour de vous. Cela pourrait être l’un d’eux, qui ne peut pas se lever. Est-ce que cet homme-ci... Monsieur, avez-vous–avez-vous une carte de prière ? Hein ? Hein ? Il n’est pas nécessaire que vous en ayez une pour être guéri, mais tout simplement je... S-2 ? Tout... Très bien. Numéro 3 ? Numéro 4 ? C’est juste, levez vite la main. Numéro 5 ? 6 ? 7 ? 8 ? 9 ? 10 ? Que ceux-là se lèvent et viennent d’abord, si nous pouvons les voir : S-1 à S-10. Les jeunes gens ont simplement distribué les cartes de prière dans la salle. Tout celui qui en veut peut en avoir. Et nous venons simplement, nous appelons quelques numéros et nous commençons à prier. Mais souvenez-vous, ceci c’est juste pour faire monter quelqu’un sur l’estrade afin que le Saint-Esprit se mette à opérer. Très bien.
60 Bon, combien de gens dans la salle... J’aimerais que vous fassiez ceci : S’il y a un critiqueur ici, maintenant écoutez-moi ; ça c’est la loi. S’il y a un critiqueur ici, je ne voudrais pas que vous restiez plus longtemps. Parce que je ne suis pas responsable de ce qui arrive aux critiqueurs. Ils sont nombreux dans des asiles d’aliénés, et certains sont paralysés, et tout le reste. Alors je ne suis pas responsable pour ce qui arrive aux critiqueurs. Vous avez compris ce qui est arrivé à cet homme qui est venu et qui voulait m’hypnotiser, il était assis là dans une réunion. On l’avait payé pour cela. Il est venu là afin de m’hypnotiser, c’était un groupe de gens, et il était assis là. Je sentais continuellement un esprit bizarre, j’ai regardé et j’ai vu où il était. Et le Saint-Esprit a dit : « Toi, enfant du diable, parce que tu as fait cela, on va t’emporter d’ici. » Et ça fait deux ans maintenant qu’il est paralysé. Ainsi, nous ne jouons donc pas au religieux, mes amis. Vous ne croyez pas cela ; observez un tout petit peu et vous saurez. Jésus-Christ est vivant (Voyez-vous ?), Il n’est pas mort, mais Il est vivant.
61 Très bien, combien de cartes ai-je appelées ? Dix ? Essayons cinq de plus. Quelle... ai-je commencé–arrêté... 10, 11, 12, 13, 14, 15 de la série S : S-10, 11, 12, 13, 14, 15, voyons combien nous en avons.
Et maintenant, combien ici n’ont pas une carte de prière, mais croient vraiment que Jésus-Christ est vivant ce soir, et qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et désirent être guéris ? Vous qui n’avez pas de carte de prière, levez la main, afin que–afin que j’aie une idée générale de l’endroit où vous vous trouvez. Très bien.
Maintenant, voulez-vous faire ceci ? Si vous voulez bien... Ecoutez, mon ami, je pouvais descendre là et vous imposer les mains ; nous pouvons descendre, et faire tout ce que nous pouvons. C’est très bien. Je n’ai rien contre cela. Mais si vous regardez à l’oeuvre achevée au Calvaire... Moïse, lorsqu’il l’a élevé... Le serpent d’airain, était-ce un type de Christ ? Vous les érudits de la Bible vous savez cela. Le serpent d’airain ne pouvait prier pour personne. Les gens regardaient simplement et vivaient. Est-ce juste ? Bon, si le–si le type, un serpent d’airain produisait la guérison divine dans une ombre, un type de Christ, que fera l’antitype, le Sang de Jésus sur l’autel ce soir ?
Regarde et vis, mon frère, vis.
Regarde maintenant à Jésus et vis.
C’est écrit dans Sa Parole. Alléluia !
Il nous faut simplement regarder et vivre.
62 Je ne suis pas ici ce soir pour être un séducteur. Je resterais chez moi avec ma femme et mes enfants. Je préférerais faire cela et rencontrer Dieu en paix, que d’être ici comme un séducteur. Je suis ici pour essayer de vous révéler les bienfaits pour lesquels Jésus est mort pour vous. Ayez foi en cela, et si vous êtes des enfants d’Abraham, vous avez foi dans l’oeuvre achevée.
Maintenant, y a-t-il un... Sont-ils tous alignés, Paul ? Maintenant, si cette ligne se termine... Maintenant, souvenez-vous que cela m’affaiblit beaucoup. Si le Saint-Esprit le fait, s’Il ne le fait pas, nous...
Ce que nous ferons dans ce cas, nous appellerons une ligne de gens dans quelques minutes et nous prierons pour eux directement. Si le Saint- Esprit ne vient pas pour oindre, s’Il ne le fait pas, nous ferons passer les gens directement et nous prierons pour eux, deux ou trois cents, nous allons simplement leur imposer les mains et prier pour eux, si le Saint-Esprit ne vient pas. S’Il vient, je–Il m’arrête. Et puis, il y a quelques personnes : mon fils, Billy Paul, ces jeunes gens qui enregistrent, qui sont assis ici dans l’assistance, ici dans la fosse, frère Wood, frère Boze. Beaucoup se tiennent là et surveillent.
63 C’est le subconscient. Vous direz : « Le subconscient ? » Absolument. Renseignez-vous sur les prophètes et tout, voyez si ce n’était pas le subconscient. Certainement, c’était le subconscient. Certainement. C’est dans un autre monde.
Mais j’aimerais vous demander quelque chose, à vous les croyants et les incroyants. Si Jésus-Christ se présente Lui-même sur cette estrade ce soir dans une humble et pauvre chair... Que ferons-nous ? Soumettez-vous. C’est un don. Dieu a-t-Il promis cela ? Qu’a-t-Il dit qu’Il allait établir premièrement dans l’Eglise ? Ce sont les dons de l’Eglise : premièrement, les apôtres. Est-ce juste ? Est-ce juste, les ministres ? Qu’est-ce qu’un apôtre ? Pourquoi voulez-vous être appelé missionnaire ? C’est un apôtre, c’est le même mot : « Un envoyé ». Est-ce juste ? Un apôtre, c’est un missionnaire.
64 Premièrement dans l’Eglise il y a des missionnaires, après cela des prophètes (Est-ce juste ?), des docteurs, des évangélistes, et des pasteurs. Est-ce juste ? Tous pour le perfectionnement... Et ensuite, il y a neuf dons spirituels qui vont tout simplement d’une personne à une autre dans une église locale, lesquels sont le don des langues, les interprétations, et tout, et les dons de prophétie. Il y a donc une grande différence entre un don de prophétie et un prophète. Un don de prophétie se trouve juste dans l’église, le don lui-même. Un prophète naît prophète. Moïse était né prophète. Jésus était le Fils de Dieu depuis la fondation du monde. Jérémie, Dieu lui a parlé, Il a dit : « Avant même que tu fusses formé dans le sein de ta mère, Je t’ai consacré et Je t’ai établi prophète des nations. »
Jean-Baptiste était un prophète et la voix de celui qui criait dans le désert, sept cent douze ans avant qu’il naisse. C’était la prescience de Dieu. Il n’avait pas besoin de demander quoi que ce soit, il était né comme tel. Les dons et les appels sont comment ? Sans repentir. C’est ce que Dieu a fait.
65 Maintenant, s’Il se présente, combien ici diront, s’Il fait cela : « Par la grâce de Dieu, je lèverai mes mains. Je ne douterai plus jamais dans ma vie, je le jure ! Ce sera... Seigneur Jésus, si Tu viens et confirmes que ce que ce prédicateur a dit ce soir et ce que Ta Bible dit est la vérité, je Te promets que je ne douterai plus jamais. »
Voulez-vous bien lever la main pour cela ? Dites : « Je ne douterai plus jamais dans ma vie. » Que Dieu vous bénisse.
Pourquoi certains d’entre vous ont gardé la tête–la main baissée ? « Quand même quelqu’un des morts ressusciterait, ne croirez-vous toujours pas ? » C’est ce qu’a dit Jésus, dans Luc 16.
Oui, peu importe ce qui arrivera, il y a des gens dans le monde qui sont nés pour ne pas croire. La Bible a dit : « Leur condamnation est écrite depuis longtemps » dans Jude. « Des hommes dont la condamnation est écrite depuis longtemps pour ne pas croire. » Peu importe ce que vous pourriez faire, ils n’y croiront pas de toute façon. Pharaon a été suscité dans ce même but. N’êtes-vous pas heureux ce soir, que Dieu ait attendri votre coeur pour que vous regardiez au Calvaire et que vous croyiez ?
66 Maintenant, j’aimerais que vous croyiez tous maintenant, asseyez-vous tout simplement. Restez très tranquilles pour les quelques prochaines minutes. Et vous les chrétiens, souvenez-vous, là où je me tiens ce soir. Il y a six, sept mille personnes ici dans ce tabernacle ce soir, peut-être plus. Je crois que ce tabernacle a une capacité de dix ou onze mille personnes. Il est rempli à plus des deux tiers. J’aimerais que vous vous souveniez qu’il y a des critiqueurs ici ; il y a tout le monde. Il y a des gens possédés de démons. Il y a des critiqueurs. Il y a des saints de Dieu. Il y a des croyants tièdes, des demi-croyants, des gens qui croient à moitié, tout. Et Satan est sur le qui-vive. Et comprenez-vous qu’il attend une seule erreur ? Et où est-ce que je me tiens ? Je représente un Jésus-Christ vivant.
Maintenant, j’ai apporté la Parole, donc par conséquent, l’Ange qui m’a parlé, m’a dit de faire ceci ; c’est pourquoi, je n’ai pas peur. Je n’ai jamais eu peur devant des dizaines de milliers de personnes, des centaines de milliers de personnes, Il est toujours venu à ma rescousse, et je crois qu’Il le fera ce soir. Alors, lorsque vous aurez des râles d’agonie dans votre gorge, si vous êtes toujours un incroyant, votre sang ne sera pas sur mes mains. Cela vous regarde. Si Dieu fait cela.
67 Maintenant, Père céleste, j’ai fait cette dure déclaration, et je regarde à Toi, et je Te prie d’accorder encore une fois cette bénédiction ce soir, Seigneur. Pardonne-nous nos péchés et notre incrédulité. Pardonne-nous notre iniquité, fais que Ton Saint-Esprit opère encore une fois dans cette assistance ce soir, afin de prouver que Tu es vivant ce soir et non mort, et que Ta venue est proche.
La raison pour laquelle Tu montres ces signes, Tu as dit : « Au temps du soir la lumière paraîtra. » Et nous sommes au temps du soir. Et la même lumière qui brilla sur les pays de l’est, au commencement... Tu as dit : « Ce sera un jour qui ne sera ni jour ni nuit, un jour sombre. » Et c’est ainsi, Père. Les gens ont suffisamment de foi pour croire que Jésus est mort et est ressuscité, mais la foi pour les miracles et les prodiges, ils n’en ont jamais eu depuis la Pentecôte, lorsque le soleil s’est couché. Mais Tu as dit : « Au temps du soir la lumière paraîtra. »
Nous sommes maintenant sur la côte ouest ; le soleil est en train de se coucher. Et le même soleil qui brillait là-bas au commencement, dans les premiers jours, il y a deux mille ans, est en train de briller de nouveau ce soir dans toute Sa splendeur et dans toute Sa puissance. Les critiqueurs se tiennent toujours là comme ils l’ont fait autrefois, des membres d’églises, des incrédules, des égoïstes, des sceptiques. Les saints continuent malgré tout leur marche.
Ô Dieu, aie pitié, et ceux que Tu as prédestinés à la Vie, puissent-ils recevoir cela ce soir. Et aide-moi, Seigneur ; envoie Celui qui m’a parlé ce soir-là, en Ton Nom, afin qu’Il te manifeste devant l’assistance. Je demande cela au Nom de Jésus-Christ, alors que je m’abandonne. Amen.
68 Soyez très respectueux, et soyez en prière. Très bien, amenez le patient. Oh ! excusez-moi.
Eh bien, je suis sûr que cette acoustique... L’ingénieur là-bas, s’il vous plaît, monsieur, si ma voie baisse, augmentez cela. Je... Quand le Saint-Esprit nous oint, je–je ne sais pas ce que je... Je sais ce que je dis, mais je–je suis ailleurs.
Combien ont déjà vu la photo ? Faites voir vos mains. La voici. Voyez-vous ? A mon avis, qu’est-ce qui conduisit les enfants d’Israël ? La Colonne de Feu. Est-ce juste ? Est-ce que c’était Jésus ? Bien, la Bib-... Il était l’Ange de l’alliance. Est-ce juste ? Alors Il était Jésus, la Colonne de Feu. Il est venu ici sur terre pour être un Homme, une âme, un corps, afin de mourir pour vos péchés et vos maladies. Il a dit : « Je viens de Dieu ; Je retourne à Dieu. »
69 Après Son ascension, quelqu’un L’a-t-Il vu après Son ascension ? Faites bien attention. Un seul homme : Paul. C’est juste, mon frère. Dans quoi était-Il ? A quoi ressemblait-Il ? A une Lumière. Est-ce juste ? Alors Jésus est le même qui conduisit les enfants d’Israël, le même hier, aujourd’hui et éternellement, faisant ici sur terre aujourd’hui les mêmes miracles et prodiges qu’Il faisait dans les jours passés. Le même... Pas Elle–Elle n’est pas là pour moi ; je suis simplement l’un de vous tous. Elle se trouve là pour prouver, c’est scientifiquement prouvé comme étant le seul Etre surnaturel qui ait jamais été photographié dans le monde entier. Ecrivez à Washington DC et voyez. Cela a été prouvé par George J. Lacy, le chef du FBI chargé des empreintes digitales et des documents.
Et ce même Ange, ce Feu, au Jugement, lorsque je vais rencontrer des milliers d’entre vous qui sont ici, vous saurez que c’est la vérité. Il se trouve à moins de deux pieds [60 cm] de l’endroit où je me tiens maintenant même. Vous direz : « Pourquoi je ne La vois pas ? » Pourquoi ceux qui étaient avec Paul ne L’ont-ils pas vu ? Ils ne pouvaient pas Le voir. Il ne leur avait pas été donné de Le voir. Mais Il est ici, et c’est Lui qui fait les oeuvres, pas moi. Je m’abandonne tout simplement et c’est Lui qui parle. Ce n’est pas moi ; c’est Lui.
70 Bon, c’est–ça c’est du mieux que je peux expliquer cela. Je vais parler à la femme. S’Il le fait, gloire à Dieu. S’Il ne le fait pas, gloire à Dieu de toute façon. Voyez ? Je ne le dis pas. Mais je pense que cette dame qui est ici à côté de moi est une inconnue. Sommes-nous des inconnus l’un pour l’autre ? Nous ne nous connaissons pas.
Maintenant, la dame, je ne la connais pas. Ainsi maintenant, pour vous les croyants, fixez votre pensée sur ceci : Saint Jean 4, lorsque Jésus s’est approché du puits. Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement... Il s’est assis au puits, et une femme s’est approchée de Lui. C’est la même chose ici ce soir, un homme et une femme en train de converser...
Maintenant, je déclare que Jésus est ressuscité des morts et qu’Il est vivant dans Ses sarments, Son Eglise, et qu’Il accorde à chacun des dons pour se soumettre : certains pour prêcher, d’autres pour chanter, d’autres pour accomplir d’autres choses. Le mien, c’est un don prophétique. La première vision que j’ai vue, j’avais environ dix-huit mois.
Mais maintenant, cette femme-ci, je lui ai tout simplement parlé, juste comme Jésus l’avait fait (Elle est la première personne.), afin de saisir son esprit.
Maintenant, s’Il pouvait–s’Il fait la même chose, madame, entre vous et moi, qu’Il a faite à la femme au puits, voudrez-vous L’accepter, pour qu’Il vous accorde ce que vous êtes venue demander ? Vous savez que je ne sais rien à votre sujet... Je ne vous ai jamais vue. Et vous êtes simplement sortie de l’assistance. Je ne vous connais pas. Maintenant–maintenant, s’Il le fait, allez-vous... S’Il vous dit ce qui s’est passé dans votre vie, ensuite–et vous dit ce qui arrivera dans votre vie, vous saurez si la première partie était vraie ou pas. Alors, vous pourrez avoir confiance pour croire que le reste est vrai. Est-ce que... Bien sûr, c’est vrai. Mais si je vous disais simplement ce qui arrivera sans vous dire quelque chose à ce sujet, alors vous aurez le droit d’en douter. Vous pourrez dire : « Eh bien, il a simplement dit cela. » Mais vous savez si votre vie passée... ce qu’elle a été. Maintenant, je ne dis pas qu’Il le fera, mais Il pourrait le faire.
71 Et vous êtes consciente maintenant que quelque chose est en train de se passer. Si c’est vrai, levez la main afin que l’assistance voie cela. Entre moi et cette femme, maintenant à l’attention des chercheurs scientifiques, il y a une autre dimension, la même Lumière qui a été montrée il y a quelques minutes sur les photos se tient entre moi et cette femme. C’est ce qui produit l’expression de son visage. C’est ce qui lui fait ressentir ce qu’elle ressent, un sentiment très calme, humble et doux. C’est Lui, Christ.
Comme c’est merveilleux que ce Fils de Dieu vienne nous honorer ! Maintenant, la femme semble s’éloigner de moi. Et je la vois chez elle complètement dérangée par quelque chose. Elle est extrêmement nerveuse. Elle est inquiète au sujet de quelque chose. Elle a quelque chose comme la névrite. Elle souffre aussi de la colonne vertébrale. C’est vrai. AINSI DIT LE DIEU TOUT-PUISSANT. Mais elle a quelque chose de plus profond que ça au fond de son coeur. Et jusque-là, Dieu ne me l’a pas montré. Mais c’est la vérité. Il y a quelque chose au fond de votre coeur que vous désirez ardemment. Si Dieu me le révèle, toutes les ombres vont-elles disparaître ? Je vois un très grand bâtiment qui apparaît. C’est un asile. Un asile d’aliénés. Et il y a une fille qui s’y trouve, et c’est votre fille. Elle s’appelle Shirley ou quelque chose comme cela. C’est juste. Et vous êtes ici à sa place afin que l’on prie. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Est-ce que vous croyez ? Prions :
Notre Père céleste, dans Ton aimable et bienveillante bonté, nous croyons sans l’ombre d’un doute que cette assistance croit maintenant que Jésus vit, et la Bible qui l’a très clairement déclaré est la Vérité. Et Le voici ce soir, et j’impose les mains à cette femme, et tout ce qu’elle désire, Seigneur, je Te prie sincèrement de le lui accorder. Du fond de mon coeur, je demande cela au Nom de Christ. Amen.
Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Puisse-t-Il vous accorder le profond désir... Merci, soeur. C’est de cette manière que vous recevez cela. Voyez-vous ? Je... Vous savez qu’il y a quelque chose qui fait cela, mais c’est votre attitude à l’égard de la chose qui–qui fait cela.
72 C’est votre attitude qui compte, c’est la manière dont vous vous approchez de Dieu. L’homme qui–la femme qui toucha Son vêtement s’était approchée de Lui avec révérence. Elle a obtenu sa guérison, mais le soldat (Ecoutez.) qui a mis un chiffon sur Son visage a pris un bâton, et L’a frappé sur la tête avec cela, et il a dit : « Maintenant, Toi qui es un Prophète, prophétise et dis-nous qui T’a frappé ; nous Te croirons. »...
Dieu ne fait pas les choses de cette manière-là. Eux n’ont senti aucune vertu. Cela dépend de votre approche.
Marthe s’est approchée de Jésus, elle a dit : « Seigneur, si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera. » Elle s’est approchée de cela de la manière correcte.
Si vous venez en critiquant, en doutant, vous ne recevrez jamais rien. Mais souvenez-vous de moi en tant que votre frère ; je ne dis pas que c’est moi. Si je le disais, je serais un menteur. Ce n’est pas moi. C’est Dieu. Et Il est ici seulement pour vous aimer et vous prouver que votre religion chrétienne est vraie.
Et certains d’entre vous qui êtes faibles, qui ne marchez pas d’une manière satisfaisante, recevez-Le de tout votre coeur ce soir, et sachez qu’Il connaît tout ce qui vous concerne. Maintenant, croyez. Cela devrait régler la question. Cela devrait la régler pour toujours.
73 Mais ici se tient une femme avec deux petits bébés. Nous ne pouvions pas l’oublier. Je crois que Dieu ne l’oubliera pas. C’est une jeune femme, plus jeune que moi. Je pense que c’est la première fois que nous nous rencontrons. Est-ce juste, madame ? Je n’ai aucun moyen de savoir ce que vous êtes ni pourquoi vous êtes ici. Vous–vous pourriez avoir n’importe quel genre de maladie. Je ne sais pas. C’est Dieu qui sait cela. Pas moi. Et si je pouvais vous donner... Si vous êtes malade, et que moi, étant capable de vous guérir, je ne le fasse pas, je serais une brute. Ou si un de ces petits enfants est malade, et que moi, étant capable de le guérir, je ne le fasse pas, je serais une personne méchante. Mais je–je n’ai jamais voulu être populaire. Non. Et je ne veux pas être populaire. Je veux être sincère. Voyez ? Et je suis sincère avec vous, pour vous dire que Christ est ressuscité des morts et qu’Il est en train d’accomplir ces miracles que vous voyez, essayant de vous amener à croire en Lui, et à accepter ce qu’Il a fait pour vous au Calvaire. Tout ce que vous recherchez, Il est ici.
74 Vous êtes une chrétienne. C’est juste. Vous êtes une croyante, vous-même. Maintenant, parce que votre esprit vient vers moi. Maintenant, si Dieu me révèle ce que vous désirez, alors que vous savez que je l’ignore... Mais s’Il me le révèle, allez-vous accepter cela ? Vous allez le faire ? Maintenant, vous éprouvez un sentiment très étrange. Vous savez cela, vous pouvez hocher la tête si c’est juste. Mais ce n’est pas... Cela ne vous fera aucun mal. C’est quelque chose pour vous aider.
Mais vous avez des problèmes. Vous avez des problèmes sérieux. Vous avez deux enfants malades. C’est vrai. C’est pour ces enfants que vous voulez que l’on prie. Pas vrai ? Ils ont un problème respiratoire. C’est juste, n’est-ce pas ? Je vous vois complètement hystérique, tout récemment, tout affolée. Oh ! c’était parce que l’un d’eux était presque mourant. Pas vrai ? Je ne lis pas votre pensée. Le petit enfant était presque mort. C’est dans leur gorge. Et leurs diaphragmes ne s’ouvrent pas correctement. C’est une maladie des nerfs qui fait ceci. Et une chose...
Voici autre chose : Maintenant, souvenez-vous, vous ne pourriez pas cacher votre vie maintenant. Vous avez des problèmes chez vous, des problèmes de ménage. C’est juste. C’est de votre mari qu’il s’agit. Et vous priez pour lui, parce qu’il n’est pas sauvé. Monsieur, si j’étais vous, je serais sauvé et donnerais mon coeur à Jésus-Christ, afin que ces enfants soient rétablis. Redressez votre foyer, et mettez-le en ordre. Cette tension retombera toujours sur les enfants. Croyez-vous que si je prie pour les enfants, vous accepterez la guérison des enfants ? Allez-vous le faire ? Je vais prier ce soir pour que votre mari devienne un serviteur de Dieu, afin que vos ennuis prennent fin.
75 Père céleste, alors que ces deux chéris, ces petits enfants se tiennent ici, et que cette jeune mère les tient, je leur impose les mains au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, et je réprimande cet ennemi qui étouffe ces enfants ; et je demande qu’il les quitte. Et que le Saint-Esprit de Dieu guérisse ces enfants et leur accorde de vivre. Ô Dieu, fais de ce foyer un faisceau d’amour et de puissance pour Toi. Et que ce témoignage de la guérison de ces enfants amène beaucoup de gens à venir à Christ. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Maintenant, soeur, bien sûr, vous n’avez aucun moyen de le savoir maintenant, mais pendant que vous marchez... Faites-les marcher rapidement, observez celui-ci, et observez sa respiration. Voyez si cela ne l’a pas quitté, lorsque vous sortirez là. Ça l’a quitté maintenant. Partez, réjouissez-vous et soyez heureuse, et louez Dieu. Que Dieu vous bénisse.
76 Approchez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur ? Croyez-vous ? Répondez-moi, car je suis en train d’entrer en contact avec votre esprit. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Votre gorge est toute irritée ; vous, la jeune soeur en robe jaune. Vous souffrez de la nervosité, n’est-ce pas ? C’est juste. Vous étiez guérie à l’instant. Vous aviez cela depuis un certain temps. Ce qui fait que votre gorge soit dans cet état, soeur, c’est à cause de vos nerfs. Arrêtez de penser à cela. Cela va vous quitter maintenant. Votre foi L’a touché. Vous êtes guérie.
Croyez-vous ? Ayez foi en Dieu.
Je vois que vous avez été chez un médecin. Et je vous vois secouer la tête pendant que vous quittez le cabinet du médecin. C’est parce qu’il vous a parlé d’une sorte d’opération ou de quelque chose comme ça. C’est vrai. Et cette opération doit se faire à votre cou. C’est juste. Eh bien, et si je répétais les paroles qu’il vous a dites, allez-vous croire que je suis Son prophète ? Il a dit que s’il ôtait cette grosseur, cela vous paralyserait le visage. Est-ce là ce que le médecin vous a dit ? Comment ai-je su ce que le médecin vous a dit là dans son cabinet ? Vous êtes venue vers moi, croyant que si je prie pour vous, Dieu va vous guérir sans opération. Est-ce juste ? Alors, approchez.
Notre Père céleste, Toi qui es omnipotent et qui connais les secrets du coeur, j’impose les mains à cette femme, et puisse-t-elle recevoir ce qu’elle a demandé. Je demande cela au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Que Dieu vous bénisse, soeur. Partez en croyant maintenant. Ecrivez votre témoignage, et envoyez-le à votre église pour la gloire de Dieu.
77 Ayez la foi maintenant. Ne doutez pas. Priez tout simplement. C’est la première fois depuis que je suis ici, cette foi commence réellement à opérer parmi les gens. Maintenez la foi, vous verrez quelque chose se produire. Souvenez-vous-en. Vous commencez quelque peu à vous habituer, si bien que vous observez et voyez maintenant ce qui est en train de se produire. Vous commencez à croire en Lui. Il y a environ quatre vingt pour cent de différence, ce soir, par rapport à ce qui s’est passé dans n’importe quelle soirée. Cela va commencer à opérer parmi vous, si seulement vous avez la foi. C’est tout ce qu’Il vous demande, avoir foi en Dieu.
78 Bonsoir, madame. Je ne vous connais pas, et nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, mais Dieu nous connaît tous les deux, n’est-ce pas ? Qu’en serait-il si Jésus se tenait ici ce soir, portant ce complet, et que vous veniez chercher la guérison ? Il vous dirait qu’Il vous a déjà guérie lorsqu’Il est mort pour vous. Ne le croyez-vous pas ? Mais Il pourrait vous révéler quelque chose qui vous encouragerait. Il pourrait vous dire d’avoir plus de foi, ou vous dire quelque chose tout comme Il l’a fait au temps de la Bible.
Croyez-vous qu’Il est vivant ce soir, dans le type–sous la forme du Saint-Esprit ? Le croyez-vous ? Bien, voici ce que vous Lui demandez : vous avez des problèmes aux genoux, n’est-ce pas ? Et, autre chose, vous avez un problème des glandes, ce qui est visible, vous avez un surpoids. C’est vrai, n’est-ce pas ? Eh bien, plus je vous parle, plus Il parle. Mais nous avons d’autres personnes pour lesquelles prier.
Mais je vais vous dire encore ceci : vous ne venez pas de ce pays. Vous venez d’un pays... Je vous vois descendre une rue où il y a un... Vous venez d’une grande ville. Et vous passez par un endroit où, du côté droit, il y a un parc et une piscine. Et de l’autre côté ici, il y a une chaîne de montagnes, et il y a un rivage le long de la côte. Et il ya une île là, l’île Victoria. Eh bien, vous venez de Vancouver, en Colombie-Britannique. C’est exact. Et vous êtes la femme d’un prédicateur. Et votre mari est un chanteur. Et il a des problèmes d’yeux. Et vous êtes en visite, vous irez ailleurs après ici. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai. Est-ce vrai ? Puissiez-vous recevoir ce que vous avez demandé, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen.
Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas, croyez. Est-ce que vous croyez ?
79 Ne pleurez pas, soeur, en robe noire, qui regardez dans cette direction, et qui venez de prier. Vous avez l’arthrite. Vous–mais... Celle qui est assise juste là derrière... Pas vrai ? Afin que vous soyez sûre, laissez-moi vous montrer, pas vous montrer, mais je vois l’Ange du Seigneur qui se tient juste là dans cette rangée. Vous étiez juste là où cette femme se tient debout, l’Ange...?... Vous avez l’arthrite, n’est-ce pas, madame ? Et vous étiez... Laissez-moi vous montrer. Vous étiez en train de regarder dans cette direction, et vous priiez, sincèrement, sachant que vous n’avez pas été appelée dans la ligne de prière, mais vous vouliez que je vous parle, pour que vous acceptiez votre guérison de l’arthrite. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main. Très bien.
Maintenant, cette dame qui s’intéresse tant à vous, qui est assise à côté de vous, regardez-moi, soeur, croyez que je suis le prophète ou le serviteur de Dieu. Le croyez-vous ? Très bien, vous avez un problème au niveau d’un disque intervertébral. C’est juste, n’est-ce pas ? C’est la vérité absolue. Tout à fait. Croyez-vous que Dieu va vous guérir ? Alors vous les deux dames, imposez-vous les mains. Que Dieu vous bénisse. Cela vous a quittées toutes les deux, il commence à faire clair autour de vous. Vous aviez aussi l’arthrite.
80 La sinusite, la dame qui est là, croyez-vous que Dieu va vous guérir de cela ? Croyez qu’Il va vous guérir aussi de l’arthrite, vous qui êtes assis là ? Croyez-vous cela de tout votre coeur ? Comment ai-je su ce qui ne va pas chez vous. Vous m’êtes inconnue, mais Christ est ici. C’est Lui seul qui fait cela. Croyez-vous en Lui pour votre guérison ? Au Nom de Christ, recevez cela. Rentrez chez vous. Vous–vous êtes guérie. C’est tout ce que Dieu exige, il suffit d’avoir la foi. Il a dit : « Si tu peux croire. »
Qu’en penses-tu, jeune homme qui es assis là, la tête baissée, en chemise verte, toi qui souffres de l’estomac, et qui es assis ici derrière, priant pour être guéri ? Il vient à l’instant d’exaucer ta prière, fiston. Tu as un ulcère gastrique dans l’estomac, c’est ce qui rendait ta nourriture aigre. Cela remonte dans Ta bouche. C’est juste. Pas vrai ? Très bien, maintenant va manger ton hamburger que tu veux manger. Jésus-Christ t’a rétabli. Ta foi t’a guéri.
Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur, et recevez ce que vous demandez. Jésus a promis que vous pourriez avoir cela.
81 Oh ! n’est-Il pas merveilleux ? Croyez-vous que Dieu a guéri cette hernie ? Le croyez-vous ? Très bien. Jésus-Christ le fait alors pour vous si vous pouvez croire. Que Dieu vous bénisse.
Vous n’avez pas une carte de prière, n’est-ce pas, monsieur ? Vous n’avez pas une carte de prière ? Vous n’avez pas besoin d’une carte de prière. Je vois un accident d’automobile. Vous avez été blessé dans cet accident. Je vois les gens vous faire sortir. Vous êtes rétabli maintenant. Votre foi vous a guéri. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant.
Croyez-vous que ce coeur ne vous dérangera plus ? Poursuivez votre chemin, et réjouissez-vous, et dites : « Merci, Seigneur. »
Vous avez un problème au dos, mais Dieu peut le guérir, n’est-ce pas ? Votre mal de dos vous a quitté. Croyez simplement de tout votre coeur. Partez et Jésus-Christ vous guérit.
La gravité de la chose ne change rien. Jésus a guéri cela. Maintenant, partez en croyant, et recevez votre guérison.
Disons : « Grâces soient rendues à Dieu ! » [L’assemblée dit : « Grâces soient rendues à Dieu ! »–N.D.E.]
Le cancer. Croyez-vous que Dieu va vous guérir ? « Si tu crois, tout est possible. »
82 Vous, madame qui êtes couchée là dans cette civière, l’Ange de Dieu est au-dessus de vous. Oui, vous. Vous étiez en train de prier, n’est-ce pas ? Je ne peux pas vous guérir, mais vous ne pouvez pas cacher votre vie. Vous êtes mourante. C’est vrai. Vous savez cela. Eh bien, écoutez, il y avait une fois quatre lépreux assis à la porte de Samarie. Dans la ville, les gens mangeaient les enfants les uns des autres. L’armée assyrienne les avait acculés. Ces lépreux ont dit : « Eh bien, pourquoi restons-nous assis ici ? Si nous restons assis ici, nous mourrons. Si nous allons dans la ville, nous mourrons. Nous n’avons qu’un seul choix : c’est descendre au camp de l’ennemi. S’ils nous épargnent, nous vivrons. » Et Dieu a récompensé leur foi, ils sont descendus au camp de l’ennemi. Vous, vous n’avez pas besoin d’aller au camp de l’ennemi. Vous avez touché....?... devant Dieu, un Père aimable ce soir, qui est ici pour vous guérir. L’arthrite vous a rendue infirme. Vous avez un problème du coeur. Mais si vous croyez en Jésus-Christ, et croyez que je suis Son prophète... Croyez-vous cela ? Alors je me lèverai, je prendrai ce fauteuil au Nom de Jésus-Christ et je rentrerai chez moi et serai guéri. La voilà, ma soeur.
Tenons-nous debout, rendons grâces à Dieu. Levons nos mains.
Notre Père céleste, au Nom de Jésus-Christ, guéris tous ceux qui sont...?...