Une Robe D'Occasion
1 Restez juste debout un instant. Notre Père céleste, nous Te remercions du privilège que nous avons d’être assemblés encore une soirée de ce côté-ci de la Venue du Seigneur. Et puissions-nous vivre et agir ce soir, faire et accepter juste comme nous le ferions si c’était la dernière soirée.
Accorde-le, Seigneur. S’il y en a ici qui ne Te connaissent pas par le pardon de leurs péchés, dont la vie n’est pas jusqu’à présent remplie par le béni Saint-Esprit, puisse cette soirée être celle où ils Le recevront. Accorde-le, Seigneur.
Et qu’aussi chaque malade et chaque affligé soit guéri de ses afflictions ce soir, et manifeste Ta main puissante pour guérir les malades et sauver les perdus. Accorde-le, Seigneur, car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils bien-aimé. Amen. Assoyez-vous.
2 Je suis très content du privilège que j’ai d’être de retour dans l’église une fois de plus ce soir. Je crois que quelqu’un a dit une fois : « Je suis dans la joie quand on me dit : ‘Allons à la Maison de l’Eternel.’ » Et ceci est un privilège qui est.-.qui. est rare pour nous tous, de nous assembler pour servir le Seigneur Jésus.
Et maintenant, je pense que le technicien chargé de ceci peut… Je peux, j’espère que ma voix ne porte pas trop haut. Arrivez-vous à très bien m’entendre ? Et… N’arrivez-vous pas à m’entendre là-bas ? Voudriez-vous relever cela juste un tout petit peu, le chargé de–de la technique, le bout de ces micros, s’il vous plaît ?
Je ne parle pas trop haut, et je pense donc qu’il est plutôt difficile d’entendre parfois. Maintenant, ça va mieux ? Arrivez-vous à très bien entendre cela maintenant ? C’est bien. Là-haut au balcon, ça va ? Eh bien, c’est bien. D’accord.
3 Maintenant, notre ami, frère Mattsson Boze, parlait cet après-midi, et–et sur la route ce soir, on m’a annoncé qu’il avait eu un message merveilleux. Ainsi, vous qui étiez ici, vous avez eu le privilège d’écouter le message, nous prions donc que vous vous rassuriez, si possible, de venir demain après-midi pour écouter encore son message. Je pense que ses services commencent vers quatorze ou quinze heures, quelque chose comme cela. Ils ont probablement déjà annoncé cela.
Joseph, comme je l’appelle, je le connais depuis longtemps, et je sais qu’il vit ce qu’il prêche. C’est cela donc l’essentiel. Vous savez, je préférerais que vous me viviez un sermon plutôt que de m’en prêcher un. C’est de loin mieux que cela soit vécu et… plutôt que ça soit prêché. Il faut un vrai serviteur de Dieu pour vivre un sermon, mais pratiquement tout celui qui prêche, à part moi-même, en a peut-être prêché un de temps à autre.
4 Nous faisons donc confiance au Seigneur ce soir que tout le monde sera béni. Et je venais d’entendre que frère Jack Coe ne va pas encore très bien. Et je prie certainement que Dieu guérisse frère Jack Coe. Je–je–je peux me souvenir de frère Jack comme beaucoup parmi vous le connaissent, tel qu’il paraît aujourd’hui, mais la toute première fois que je l’ai vu, il était un jeune garçon mince. Et il…
J’étais à San Antonio, au Texas. Et il était le petit garçon le plus curieux que j’aie jamais vu alors qu’il n’arrivait pas à comprendre comment Dieu identifiait des choses. Alors, un soir, je sortais, il a dit : « Dites donc, j’aimerais vous poser une question. » On me retirait de l’estrade. Et évidemment, c’était alors que l’onction quittait. On n’est pas mal en point quand elle est là ou une fois qu’on n’en a pas. Mais c’est entre les deux moments que se passe la chose. Tout celui qui connaît les Ecritures sait ce que cela veut dire.
5 Et monsieur Kidson, quelques frères me retiraient du lieu, et–et frère Jack a dit : « Dites donc, dites-moi ce qui cloche chez cette femme ici, et je vous croirai. » Voyez ?
J’ai dit : « Monsieur, le Seigneur ne travaille pas comme cela. » Voyez ? J’ai dit : « Il ne… Il y eut une fois qu’on a dit : ‘Descends de la croix et je croirai en Toi.’ Il a été dit une fois : ‘Ordonne que ces pierres deviennent des pains et je croirai en Toi.’ Une fois, on Lui a mis un lambeau sur Son visage et on L’a frappé sur la tête, on a dit : « Dis-Toi… dis-nous qui a fait cela et nous croirons en Toi.’ » J’ai dit : « Ce n’est pas ainsi que Dieu travaille. »
Il a dit : « Monsieur, je suis simplement curieux. »
J’ai dit : « Ça va. Eh bien, la femme que vous avez a une tumeur dans son flanc. » Et j’ai dit : « Et l’unique problème avec vous, c’est que vous êtes un jeune prédicateur curieux. Vous ne comprenez pas ceci, mais un jour, vous serez sur le champ de travail, prêchant l’Evangile et priant pour les malades. » Et c’est–c’est le commencement de Jack Coe. Il est parti de là même.
6 Et ce soir, il est couché très malade, souffrant de la polio dans ses poumons, je pense ; il est dans un état très–très critique. Et maintenant, frère Jack comme je le connais, dans les champs de travail à l’étranger, là où nous traitons avec la lèpre et tout, et frère Jack a eu à affronter beaucoup de maladies et autres. Et cela… Personne ne peut réellement, en vérité, à part Dieu, apprécier un homme qui s’expose à toutes sortes de choses comme cela.
Ainsi, je pense donc, avant que nous commencions le service, veuillez bien incliner la tête pour un mot de prière en faveur de frère Jack.
Notre Père céleste, c’est avec des coeurs inclinés que nous venons devant Toi ce soir, cette aimable église ici à Brooklyn, T’offrir nos sincères actions de grâces pour frère Jack Coe et pour son ministère et pour des choses qu’il a accomplies pour Toi et en Ton Nom.
7 Et maintenant, Père, il est là à l’article de la mort. Oh ! Grand Saint-Esprit, veux-Tu délivrer notre frère ? Nous offrons la prière de la foi, au mieux de notre connaissance. Et nous Te prions de manifester Ta forte puissance de guérison. Et, Père, si possible, je Te prie de donner une vision sur ce qu’il faut aller dire à frère Jack, je partirais sans tarder.
Et je Te prie d’être miséricordieux envers lui, d’épargner sa vie, de Te souvenir de ses bonnes oeuvres et des choses qu’il a accomplies pour Ton Royaume, l’orphelinat pour de pauvres petits enfants qui sont sans papas et sans mamans. Et, ô Dieu, si–si l’ennemi le retire, qu’adviendra-t-il à cette école-là ?
Ô Dieu, nous pensons à sa propre famille, à l’oeuvre du Seigneur. Sois miséricordieux envers frère Jack, et je prie que maintenant même, le Saint-Esprit prenne le dessus, qu’Il repousse la polio, que ses poumons reprennent à respirer normalement. Accorde-le, Seigneur. Nous T’offrons humblement cette prière, Seigneur, avec toute la foi que nous avons, croyant que Tu nous exauceras. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Lui qui a dit : « Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai. » Et je prie que cela soit exaucé de cette manière-là pour la gloire de Dieu, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
8 Je vous ai gardés un peu tard hier soir, je vais peut-être tâcher d’être un peu plus bref ce soir. Et j’aimerais lire juste un verset dans les Ecritures, dans l’Ancien Testament, 2 Rois, chapitre 2, verset 20, ou plutôt je veux dire verset 13.
Et il releva le manteau qu’Elie avait laissé tomber. Puis il retourna, et s’arrêta au bord du Jourdain.
Et maintenant, comme thème ce soir, j’aimerais me servir de ceci comme thème : Une Robe d’Occasion. Et puis comme–et puis comme–comme sujet : Se tenir au Jourdain. Et que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole, et en faisant cela, qu’Il suscite la foi dans l’assistance.
9 Je suppose que nous formons à peu près la même assistance qui était ici hier soir. Nous comprenons donc comment nous approcher de Dieu, comme je l’ai expliqué hier soir, comment venir vers Lui et l’opération et la résurrection de Jésus-Christ d’entre les morts, et Il est vivant ce soir. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Quant au sujet de ce soir, je sais que vous ici, vous avez un très bon pasteur, un bon prédicateur, et je sais que vous êtes habitués à la prédication. Et je me sens très petit pour me tenir derrière la chaire ici, où frère Hutchins a prêché. En effet, en ce qui me concerne, je ne suis pas un orateur. Je ne suis pas un très bon, j’ai une–une instru-… une très pauvre instruction. Et je–et je fais simplement confiance au Seigneur pour le peu que je fais, que je peux faire pour Lui, mais ce que je sais de Sa Parole, j’aimerais assurément le dire à quelqu’un d’autre, quand nous communions autour de la Parole bénie.
10 Maintenant, à l’époque de cet événement dont nous parlons ce soir, ou aussitôt après la mort d’Achab, Achazia son fils a pris sa place (Pardonnez-moi.) et il avait fait ce qui était mal ; et il tomba par des treillis d’une maison en Samarie. Il était maudit et il était couché, mourant.
Et alors, comme il était un idolâtre, il a envoyé les hommes depuis la Samarie pour aller consulter Baal-Zebub et… les–les puissances démoniaques sur ce qui lui arriverait, s’il pourrait… par ce grand dieu qu’on appelait Baal, s’il pourrait se rétablir de cette maladie.
Et sur son chemin vers là, aux messagers qu’il avait envoyés, Dieu qui connaît toute chose a fait venir Son serviteur Elie et a dit : « Va à leur rencontre et dis-leur : ‘Pourquoi faites-vous cela ? Est-ce parce qu’il n’y a point de Dieu en Israël ?’ »
Et quand il a obtenu que les serviteurs rentrent, sur leur chemin de retour, ou quand ils furent retournés, il leur demanda : « Pourquoi n’êtes-vous pas allés transmettre le message ? »
Et il a dit : « Nous avons rencontré un homme qui nous a dit : ‘AINSI PARLE L’ETERNEL.’ »
Et alors, le roi a demandé : « Quel genre d’homme était-il ? »
Il a dit : « C’était un homme vêtu de poil, il avait une ceinture de cuir aux reins. » Et il reconnut que c’était Elie le Thischbite.
11 Dieu, à aucun moment, n’a jamais manqué un véritable témoin sur la terre. Il a toujours eu un vrai témoin quelque part. Et depuis la fondation du monde, Il en a eu. Et aujourd’hui, quelque part, il y a un vrai témoin de Dieu. Au milieu de toutes nos neuf cent soixante-neuf différentes dénominations ici, Dieu a un vrai témoin quelque part.
Eh bien, à l’époque ancienne, Il avait des prophètes. Après avoir autrefois et de plusieurs manière envoyé le message à nos pères par des prophètes, Dieu, en ce dernier jour, nous a parlé par Son Fils, Jésus-Christ. Ainsi donc, la Parole venait par les prophètes. Aujourd’hui, nous avons des dons de prophétie, et nous avons aussi des prophètes.
12 Et il y a une très grande différence entre un don de prophétie et un prophète. Un don de prophétie, c’est un don qui opère dans l’église ; il peut être sur quelqu’un une soirée, et sur un autre une autre soirée ; et sur un autre encore une autre soirée. Et avant que cela soit reçu par l’église, il doit être jugé par trois différents juges. Et puis, trois témoins doivent accepter cela comme étant la Parole du Seigneur, alors cela est enregistré ; et si cela ne s’accomplit pas, il y a donc eu un mauvais esprit parmi les gens. C’est pourquoi, je pense, nous avons mal utilisé les dons divins de Dieu.
Dans notre tabernacle, chez nous, au début, quand je… dans notre église baptiste au début, quand j’avais reçu le baptême du Saint-Esprit, et que j’avais eu un appel au ministère, nous avons essayé de chercher Dieu pour les dons spirituels. Nous recevrions tous ceux qui venaient, qui avaient des dons, peut-être une heure avant le début du service.
13 Et les dons de l’Esprit comme quelqu’un qui parlerait en langues inconnues et l’autre qui interpréterait… Et cela ne peut pas être juste une répétition des Ecritures ; en effet, Dieu ne recourt pas aux vaines répétitions. Ça doit être un message direct à l’église. Et puis, si c’était un… pour l’église avant que cela soit reçu par l’église, il devait y avoir au moins trois dons spirituels là. C’était pour les appeler… nous les appelons, par exemple, des juges pour juger. Trois personnes avec le don de discernement, cela est appelé comme ça dans la Bible.
Et l’un d’eux pouvait se lever et dire : « C’est de la part du Seigneur. »
Et un autre se lève et dit : « C’est de la part du Seigneur. » Eh bien, les deux remportaient sur l’autre. Ainsi donc, on écrivait le message ; et ensuite, on le plaçait à la chaire. Et cela ne pouvait donc pas être du genre : « Jésus vient bientôt. » Ça, nous le savons. Et les autres choses que les Ecritures ont déclarées…
14 Ça devrait être quelque chose du genre : « Dites : AINSI DIT LE SEIGNEUR, dites à frère Johnson de quitter sa demeure, car elle est près d’une voie ferrée. En effet, demain à quatorze heures, il y aura un accident là, et sa maison sera détruite. » Ou : « Dites à frère Branham que ce soir quelqu’un viendra de telle ville, souffrant de telle maladie, il sera habillé de telle façon. Et il ira vers lui, on l’amènera ce soir à bord d’une ambulance, et dites-lui que cette chose qui est… c’est contre lui. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. »
Eh bien alors, si ces messages ont été notés, que les témoins ont témoigné que c’était le Saint-Esprit, cela était déposé à la–la chaire, et ensuite, quand l’église commençait à s’assembler, tous les dons avaient déjà joué leur rôle dans une réunion. Rien ne se passait alors, si ce n’est chanter la Parole… chanter les–les cantiques.
15 Et puis, quand je sortais pour parler, c’était en fait dans une pièce, on appuyait un bouton, une lumière rouge s’allumait. J’étais là peut-être tout l’après-midi, priant ; je m’avançais avec–avec le message de la part du Seigneur sur mon coeur. Avant que j’apporte le message à l’estrade, à la chaire, on déposait ces messages là. Je les lisais, ensuite j’allais de l’avant avec le message. Et puis, après le message, l’appel à l’autel.
Et si les choses qui étaient écrites là s’accomplissaient, nous remerciions le Seigneur et nous Le louions pour cela. Si cela ne s’accomplissait pas, on passait un temps de nettoyage. Il y avait eu un mauvais esprit parmi eux, car Dieu ne dit pas des mensonges. Voyez ?
Et c’est ainsi que les dons devraient opérer. Et puis, toute cette histoire qui se passe sous le nom des dons devrait être extirpée. Et alors, nul n’aimerait avoir un mauvais esprit sur lui pour mentir et faire de telles choses. On veut ce qui est réel. Il y a un Esprit véritable. Vous n’avez pas à avoir ce genre d’esprit. Dieu a le véritable Esprit pour vous. Ainsi donc, vous n’aimeriez pas ces choses que le diable vous donne.
16 Et si c’était faux, alors tous ces gens-là se repentaient, priaient, jeûnaient, et allaient devant le Seigneur jusqu’à ce que cet esprit les quitte, eux tous. Les témoins aussi, eux tous, ceux qui avaient discerné cela et tout, ils étaient tous en erreur. Et alors, nous avions ôté complètement la chose. Et c’est ainsi que les dons devraient opérer dans l’église, à mon avis. C’est ainsi que cela a merveilleusement marché dans notre église, chez nous.
Ainsi donc, si cela a marché dans l’église baptiste, cela devrait assurément marcher dans une église pentecôtiste. Cela devrait certainement marcher. Ainsi donc, si… ce–c’est juste de la sincérité. Et vous devez respecter ces dons et leur accorder leur place et tout, là où ils sont… ils devraient être.
Et la Bible est le patron, juste comment ils devraient s’assembler, et comment ils devraient opérer. Vous n’aurez alors pas d’ennuis, pas du tout, nulle part. Tout se passera exactement selon la volonté du Seigneur. S’Il veut que quelque chose soit dit, Il parlera et Il en donnera l’interprétation, et cela sera placé là, et cela arrivera exactement à la minute, tel que Dieu a dit que ça arriverait.
17 Et, oh, des choses merveilleuses que nous avons vu notre Seigneur accomplir, par ces choses-là. Mais il faut une vie consacrée, une vie abandonnée, et–et tout, et une église qui est purgée chaque jour par le Sang du Seigneur Jésus et ces choses arriveront.
Et il y a une grande différence entre un don de prophétie et un prophète. Un don de prophétie agira sur l’un, et puis sur l’autre, et il doit être jugé. Mais un prophète a la Parole du Seigneur. Un prophète naît prophète. Voyez ?
En effet, Jésus-Christ était le Fils de Dieu, Il était–Il était la Semence de la femme promise depuis le jardin d’Eden. Croyez-vous cela ? Moïse naquit prophète. On a reconnu cela, à sa naissance, né, un enfant prophète, le libérateur de–d’Israël.
Et Jean-Baptiste, sept cent douze ans avant sa venue sur la terre, il était la voix de celui qui crie dans le désert, par le prophète Esaïe.
Jérémie, Dieu a dit à Jérémie : « Avant que tu sois même formé dans le ventre de ta mère ou que tu sortes, Je te connaissais, Je t’avais consacré, Je t’avais établi prophète des nations. » Voyez ? Les dons et les appels sont sans repentir. Dieu en a. Voyez ? C’est… Oh ! C’est merveilleux… Mais, eh bien, c’est au pasteur de s’en occuper. Je suis ici pour vous prêcher la guérison divine. Très bien.
18 Mais de toute façon, à l’époque, à la… Tant qu’Israël marchait devant Dieu et écoutait les prophètes, et.-.et.-.et avait la chose juste, alors Dieu les exauçait et les bénissait. Et Il fera la même chose dans l’église aujourd’hui, si les gens vont… Le touchent, écoutent et gardent les choses en ordre, et que tout évolue directement selon Christ. Dieu fera la même chose pour l’église.
Or, Dieu avait Son homme et c’était Elie le Thischbite. Et généralement, Dieu en avait un majeur à l’époque, un prophète majeur. Puis, parfois, Il en aura d’autres, des prophètes mineurs.
A l’époque d’Elie, Il savait qu’il se préparait pour son enlèvement. Dieu allait l’enlever. Il est donc allé appeler Elisée pour le remplacer. Et il a jeté sa robe sur lui et il l’a appelé au ministère sous l’inspiration du Saint-Esprit.
19 Et alors, à l’époque, ils avaient une école, appelé l’école des prophètes, et c’était un… Nous l’appellerions aujourd’hui un séminaire. Ils avaient vu la grande oeuvre que Dieu accomplissait par Elie, ils se sont donc dit qu’ils s’établiraient une école, et–et ils en feraient éclore quelques-uns, ils auraient quelques prophètes comme Elie dans le pays.
Eh bien, c’est–c’est une chose noble. Mais cela n’avait jamais marché avec succès. Cela ne marchera jamais aujourd’hui. C’est vrai. Il faut que Dieu appelle. C’est l’unique faille qu’il y a là. Dieu doit appeler. Et si Dieu n’appelle pas, alors ça ne sert à rien au prophète d’aller. Mais si Dieu appelle, Il honorera Sa Parole partout où il va. Dieu sera avec lui.
20 Maintenant, nous voyons ce qu’était devenue cette école des prophètes. Je peux m’imaginer chaque prophète là… Quand Elie y est allé, nous avons vu qu’ils ne menaient pas le bon genre de vie ; en effet, ils disaient : « C’est trop rigoureux par ici, quand Elie vient. » J’imagine que si–si c’était aujourd’hui, ils se débarrasseraient de toutes leurs émissions à la télévision et de tous leurs vieux magazines d’histoire d’amour, ils arrêteraient de fumer, de boire, et toutes ces choses, et se purifieraient.
S’il y a quelque chose dont on aurait besoin aujourd’hui, ce serait cela. C’est vrai. Tous ceux qui restent à la maison le mercredi soir, s’absentant de la réunion de prière, pour voir Nous aimons Lucy ou Qui aime Lucy, ou je ne sais quoi, une telle personne a besoin d’un moment de repentance à l’autel à l’ancienne mode. C’est tout à fait vrai. Et tout celui qui serait… qui se minimiserait avec de telles choses qui proviennent de Hollywood, et qui se modèlerait sur ces gens immoraux, mariés cinq ou six fois, courant çà et là, et se comportant tel qu’ils se comportent, en vêtements impies, et tout ce qu’ils ont dans ce lieu-là, et en faire votre modèle…
Eh bien, vous devriez regarder à Jésus-Christ. Vous vous êtes engagé par un voeu vis-à-vis de ces choses qui sont vivantes en Christ. Faites de Lui votre Modèle.
21 Et c’est terrible, si vous voyez comment la… notre grande nation est en train de sombrer et s’écroule, et toutes les émissions pratiquement à la radio et tout, c’est une espèce de blague ou–ou de sales plaisanteries, ou une espèce de choses drôles et grossières qui se racontent. Et toute cette musique qu’on a, du boogie–woogie, ou je ne sais comment on appelle cela, du rock-and-roll, et ces gens impies comme Pres–Presley, et Arthur Godfrey, et ces gens qui débitent des plaisanteries grossières. Et vous ingurgitez cela chaque jour à la radio, et puis vous venez à l’église, vous attendant à une bénédiction. Comment pouvez-vous jeter de l’eau stagnante à un endroit et vous attendre à ce qu’il en sorte de bonnes choses ? Il y a un cochon dans le bourbier quelque part. Nous avons besoin d’un temps de nettoyage. L’église a besoin d’être purgée par le Sang du Seigneur Jésus-Christ afin que vous vous affectionniez aux choses d’En Haut et à la Venue du Seigneur.
22 Or, ces gens mènent leur vie. Que Dieu ait pitié d’eux. Je ne les minimise pas ni rien, mais j’essaie seulement d’insister sur un point pour l’église. Il n’est pas étonnant que nous ne puissions pas avoir un réveil comme nous devrions en avoir. Il n’est pas étonnant que Billy Graham soit en train de crier l’autre jour qu’on n’arrive pas à voir un réveil en ce temps-ci.
Frère, on a besoin d’un nettoyage depuis la chaire droit jusqu’à la–à la pièce du concierge, dans les églises, dans le pays, c’est ce dont nous avons besoin avant que le Saint-Esprit puisse prendre place. Dieu est un Dieu Saint. C’est vrai. Et maintenant, je ne crois pas que vous irez au Ciel sur base de votre sainteté, mais vous irez au Ciel sur base de Sa Sainteté. Mais ce sont les oeuvres que vous faites qui prouvent ce qui est en vous. C’est vrai. Vous L’aimez et Dieu veut que vous L’aimiez.
Et si vous L’aimez, vous L’adorerez et vous L’aimerez. Ce qui est dans votre coeur, c’est ce que vous aimez, ce que vous aimez. Là où est votre trésor, là aussi sera votre coeur. C’est une chose merveilleuse.
23 Comme je disais de ma femme : « C’est ce que… C’est une affaire d’amour. » Maintenant, quand je vais outre-mer, je ne dis pas : « Eh bien, attends une minute, madame Branham. Je vais te donner une loi maintenant. Je vais outre-mer, et tu n’auras pas d’autres maris. Et ne te mets pas à flirter avec un autre homme », et toutes ces choses.
Eh bien, à son tour elle dirait : « Eh bien, juste une minute, jeune homme, et j’aimerais te donner des ordres. Tu ne prends pas de femmes pendant que tu seras absent et… » Eh bien, cela… Ne serait-ce pas là une vie à mener ? J’aurais horreur de lui faire confiance comme cela. C’est vrai. Et je pense qu’elle aurait horreur de me faire confiance.
Mais nous nous aimons l’un l’autre. Quand je suis sur le point de partir, nous nous agenouillons sur le parquet et nous offrons des actions de grâces à Dieu pour le privilège que nous avons d’aller pour l’Evangile et d’être au service du Seigneur. Et je demande à Dieu de bénir mes petits enfants et ma femme et de prendre soin d’eux ; nous nous relevons, je l’embrasse pour lui dire au revoir. Je dis : « Au revoir, chérie, à nous revoir à mon retour. Soyez en prière pour moi. »
Elle dit : « Je prierai, Billy. » C’est réglé.
24 Eh bien, si jamais… peu m’importe qui c’était. Si pendant que je… si je pensais même que je pouvais sortir avec quelqu’un d’autre et m’en tirer avec cela, je… Même si j’étais sûr qu’elle me pardonnerait cela, je ne le ferais pas. Je L’aime trop. J’ai trop de considération pour elle pour la blesser. Elle me pardonnerait, mais cela lui ferait mal.
Eh bien, ça, c’est juste l’amour humain. A combien plus forte raison il en sera quand vous aimez le Seigneur Jésus ? Il n’a pas… Vous ne resterez pas à la maison pour suivre ces choses. Vous L’aimez. Vous n’aimerez pas Le blesser. Eh bien, tout ce que vous aimeriez faire, c’est faire quelque chose pour Lui, pour… En effet, vous L’aimez. Même si vous dites : « Il me pardonne cela » (c’est vrai.), Il peut vous pardonner, mais si réellement vous L’aimez, vous n’aimeriez pas faire cela.
25 Et nous avons trop d’écoles des prophètes qui laissent passer ces choses. C’est la vérité. Et j’aimerais vous faire remarquer ces gens-ci. Quand ils étaient allés là, eh bien, Elie est allé les voir un jour. Et l’un d’eux est allé cueillir–cueillir des pois. Et il a cueilli des coloquintes plein son vêtement et il les a fait cuire.
Or, un gars qui ne sait pas faire la différence entre les coloquintes sauvages et les haricots n’est pas tellement prophète, il n’en a pas l’air. Mais il a jeté cela dans le pot et s’est mis à les faire cuire. Ils étaient en train de faire cuire quelque chose très bien. Et quand ils se sont mis à manger, l’un d’eux s’est rendu compte qu’il devenait malade, et il a dit : « La mort est dans le pot. »
Eh bien, qu’a fait Elie ? Ils sont allés vers lui, qui avait la double portion. Ils sont donc allés vers lui et ils voulaient savoir quoi faire. Et il n’a jamais dit : « Débarrassez-vous donc de tout cela. » Il a dit : « Ne faites pas cela. » Mais il est allé prendre une poignée de farine, il l’a jetée dans le même pot et a dit : « Maintenant, mangez tout ce que vous voulez. Il y a la vie là-dedans. »
26 Eh bien, ce qui faisait la différence, c’était la farine. Et la farine à l’école, on offrait l’offrande de farine au Seigneur, elle était moulue, chaque grain. Et chaque grain de farine devait être moulu pareillement. Et cette farine représentait Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et une fois qu’Il est projeté dans la mort, cela produit toujours la vie.
Ce dont nous avons besoin, c’est de Christ dans le pot, où nous faisons cuire du poison. C’est vrai, tout le… Nous n’avons pas besoin de nous débarrasser des méthodistes, des baptistes, des pentecôtistes ; nous avons juste besoin d’une poignée, d’un coeur plein de Christ parmi eux, et toutes ces autres vieilles émissions et autres seront nettoyées. Et la mort sera changée en vie une fois Christ placé dedans.
27 Les séminaires, les écoles, les dénominations, ils sont bons ; mais ils ont besoin de Christ. Les membres sont de braves gens ; ce sont des êtres humains comme vous et moi, qui aiment manger, et ils ont des familles aimables, et ils aiment comme cela. Mais ce dont ils ont besoin, c’est de Christ dans leur vie. Ils n’ont pas besoin d’un standard auquel se mesurer par cela. Christ entre ; Il prend la place de ce standard.
J’ai grandi dans une campagne où nous avions beaucoup de bois durs. Et en hiver, un petit chêne rabougri conserve toujours ses feuilles tout l’hiver, le chêne le fait. Eh bien, quand le printemps arrive, vous n’avez pas à sortir cueillir toutes–cueillir toutes les feuilles du chêne, les vieilles, afin que les nouvelles puissent pousser. Tout ce qu’il vous faut faire, c’est attendre et laisser la nouvelle vie monter ; la vieille feuille tombe. C’est tout ce dont nous avons besoin, c’est de Christ, la nouvelle Vie, et toutes les choses du monde seront mortes pour vous. On a juste besoin de Christ dans l’église. C’est ce dont nous avons besoin aujourd’hui : plus de Seigneur Jésus ressuscité.
28 Maintenant, remarquez : Or, cette école, je peux m’imaginer chacun d’eux là-bas, ils portent tous leurs Bibles juste comme Elie le faisait, vous savez. Et chacun faisait retentir sa voix comme Elie. C’est encore un grand jour d’imitation. Ne croyez-vous pas cela ?
Billy Graham était récemment à Louisville, et je vous assure, à chaque programme qui passe, tout le monde dit : « Que le Seigneur vous bénisse vraiment. » Je ne… Ça, c’est juste un être humain, je pense. Et On cherche à parler comme Billy Graham, porter sa Bible comme Billy Graham, ou un évangéliste de passage dans la ville. C’est ainsi que cela… C’est de l’imitation, de l’imitation charnelle.
29 Et maintenant, voici ce qu’il y a. Cela peut blesser juste un peu, mais ma mère me donnait… Nous avons grandi très pauvres, nous–nous avons eu à manger du pain de maïs à base de graisse, de la graisse extraite de peaux de viandes, on faisait cuire cela dans une–dans une casserole, vous savez. On faisait bouillir la graisse pour faire… Et chaque samedi soir, je sais qu’il nous fallait prendre une dose d’huile de ricin. Et je–je–je n’arrive même pas à supporter cela aujourd’hui.
Et maman disait … Je me tenais le nez. Je disais : « Maman, ça me rend très malade. Je n’arrive même pas à supporter cela. »
Elle disait : « Si cela ne te rend pas malade, cela ne te fera aucun bien. » C’est peut-être pareil avec la prédication de l’Evangile. Si cela ne vous remue pas un peu… Et je crains aujourd’hui que beaucoup parmi nous, qui réclament de grandes choses de Dieu, ne fassent que des imitations charnelles… ?... à la manière de quelqu’un d’autre, ils agissent comme ils le font, et ils essaient de nous coller la même chose, et agir comme cela, alors que le christianisme n’est pas de l’imitation ; c’est une vie.
Le christianisme vient par une naissance lorsque vous naissez de nouveau de l’Esprit de Dieu, et vous devenez une nouvelle créature en Jésus-Christ. Les choses anciennes sont passées et toutes choses sont devenues nouvelles. Suivez.
30 Et nous trouvons que tout le monde disait : « Eh bien, quand Elie partira, je vais vous dire quoi, vous savez, c’est moi le doyen de l’école. Le manteau tombera sur moi. C’est… C’est moi qui le prendrai au départ d’Elie. »
Et un autre disait : « Mais, rappelez-vous, je suis aussi professeur ici. Et je suis le doyen en psychologie. C’est moi–moi qui le prendrai, car je sais vraiment comment manipuler les gens. » Tout sur…
Mais vous savez ce que Dieu a fait, Dieu avait choisi un jeune garçon, un laboureur là. Cela montre bien la différence. Peut-être qu’il ne connaissait pas son abc. Peut-être qu’il ne pouvait pas compter jusqu’à cent, mais c’est lui que Dieu avait choisi. Parfois, le choix de l’homme est de loin différent de celui de Dieu.
31 Une fois, on choisissait un roi. Et quand le prophète est allé là, même le prophète avait une corne d’huile pour oindre un des fils de David. Et on a fait venir un très grand, de six pieds [1,82 m], vous savez. Il a dit : « La robe et la couronne lui iront bien. » Mais Dieu l’a rejeté. Dieu a choisi un petit gars maigre là. La Bible dit : « Un petit homme au teint rosé, portant un manteau en peau de brebis, avec une fronde en main ; il paissait les brebis de son papa. »
Mais Dieu ne regarde pas à l’apparence ; Dieu regarde à l’intérieur. Et nous essayons de trop exagérer et mettre trop l’accent sur l’apparence extérieure, alors que Dieu regarde le coeur. Amen. Oh ! la la ! Combien nous en avons besoin aujourd’hui, partout, en tout lieu. Le monde entier est corrompu partout. Comment Dieu supportera-t-Il jamais cela ?
32 Mais remarquez, ils sont sortis là. Et Elie, quand il est passé, son temps était pratiquement accompli pour partir, il a parlé à Elisée. Il est passé là où il était, et il a dit : « Maintenant, reste ici. Je vais là à Guilgal. » Vous voyez, il a essayé de le décourager.
Et souvent, quand une bénédiction est bien en route, le diable essaie tout ce qu’il peut pour nous décourager. Nous endurons des épreuves et des tests. Mais Elisée, étant aussi spirituel, savait qu’il avait un objectif et qu’il n’allait pas le quitter. Il a dit : « L’Eternel est vivant, et ton âme est vivante. Je ne te quitterai pas. » J’aime ça, cette détermination-là.
Oh ! la la ! Nous recevons une petite chose de la part de Dieu et nous sommes tout découragés en une heure, mais pas Elisée. Il a patiemment attendu le temps. Il savait que c’était près. Il est donc allé à un autre lieu et il a dit : « Reste ici, je te prie, car l’Eternel m’appelle ailleurs. Toi, reste ici derrière. » Mais il n’était pas question pour Elisée de rester. Il avait la révélation de ce que Dieu allait faire.
33 Si donc quelqu’un dit : « Reste donc à la maison ce soir pour regarder la télévision. Il fait trop mauvais temps pour sortir, ne vous en faites pas. Si vous savez que le Seigneur Jésus va venir, oh ! vous allez partir à l’église sans tenir compte du temps qu’il semble faire ou n’importe quoi. Vous allez rester là même. Car nous nous attendons à ce que quelque chose arrive n’importe quand.
Quand nous voyons Moscou avec des missiles guidés, qui peut frapper toute cette nation en une heure sans jamais quitter Moscou… On envoie juste cette roquette comme cela, avec des explosifs là-dedans, cela explose plusieurs milliers de kilomètres et c’est guidé à l’aide des étoiles et des radars. On largue cela en plein sur Manhattan ici, trois ou quatre de cela du coup. Et il y aura un… sur une circonférence de quinze miles [24 km] de part et d’autre, creusant un trou dans le sol de cent soixante-dix pieds [51 m]. Que feriez-vous ?
Ou peut-être on en largue du coup cent ou deux cents sur les villes principales du coup, en une heure, il n’y aura plus d’Etats-Unis ni de monde, ça déclenche des réactions en chaîne, et cela cause une destruction totale. Qu’est-ce que cela peut faire ? Où allez-vous fuir ? Autrefois, on disait : « Trouvez-vous un abri antiaérien. » On dit maintenant : « C’est du non-sens. »
34 Mais nous avons un abri antiaérien. Amen. Savez-vous de quoi il est constitué ? Des plumes : Sous Ses plumes (Amen !) pour être emporté, un abri antiaérien, la sûreté, certainement…
Oh ! la la ! Comment ce prophète, il n’a pas été découragé. Il a dit : « Non, l’Eternel est vivant, et ton âme est vivante, je vais m’attacher à toi. » Ils ont donc continué jusqu’à l’école des prophètes. L’autre a dit : « Reste ici, car je vais au Jourdain. » Il a dit : « L’Eternel est vivant, je ne vais pas te quitter. »
Ils sont descendus au Jourdain, pour traverser le Jourdain. Alors, Elisée s’est retourné et a dit à Elie… Elie a dit à Elisée : « Que veux-tu ? Pourquoi traînailles-tu ? » Oh ! la la ! J’aime ça. « Pourquoi traînailles-tu ? Que veux-tu ? »
35 Eh bien, la Bible dit : « Demandez beaucoup. » Certainement. Vous savez, nous avons peur que nous ayons à demander trop à Dieu. Mais vous ne pouvez pas trop demander à Dieu quoi que ce soit. Pouvez-vous vous imaginer un petit poisson, d’à peu près cette longueur, en plein océan, dire : « Eh bien, je ferais mieux de boire avec parcimonie, car cela pourrait s’épuiser un jour » ? Du non-sens.
Pouvez-vous vous imaginer une petite souris, d’à peu près cette taille-là, dans les grands greniers d’Egypte, dire : « Je ferais mieux de manger quelques grains chaque jour et d’être très conservatrice, là, car je vous assure, je pourrais être à court d’ici la fin de l’hiver, avant la prochaine moisson » ? Oh ! la la !
Eh bien, c’est… Ajoutez dix milliards de fois à cela, et vous pouvez voir combien c’est insensé d’essayer de penser que vous pourrez épuiser l’abondance de bénédictions de Dieu pour vous. Eh bien, oh ! la la ! Il a dit : « Demandez beaucoup afin que votre joie soit parfaite. » Et Elisée allait demander beaucoup. Il a dit : « Je veux une double portion de ton Esprit sur moi. » Oh ! Quelle question, quel désir !
36 Maintenant, rappelez-vous, Elisée et Elie étaient le type de Christ et de l’Eglise. De même qu’Elie fut enlevé et qu’il a renvoyé son manteau pour Elisée, afin qu’il le porte, de même Christ a été enlevé et Il a renvoyé Sa Robe. Il a été demandé un jour par la–la mère de deux de Ses disciples, elle a dit : « Que mes fils s’assoient l’un à Ta droite et l’autre à gauche. »
Il a dit : « Pouvez-vous boire la coupe que Je bois ? »
Elle a dit : « Oui. »
Il a dit : « Pouvez-vous être baptisé du baptême dont je suis baptisé ? »
Elle a dit : « Oui. »
Il a dit : « Vous le pouvez. Vous le serez. Mais quant à être assis à droite ou à gauche, ce n’est pas à Moi de l’accorder. » De même qu’Il a été baptisé du Saint-Esprit et Il a dit : « Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, et vous en ferez davantage », une double portion de l’Esprit de Christ était descendu sur l’église à la Pentecôte. En effet, cela parcourt le monde entier, une double portion comme c’était le cas pour Elie.
37 Eh bien, Elisée voulait trouver une chose dans son esprit, dans son coeur ; il y avait un profond désir. Et quand la profondeur se lance vers la profondeur, il doit y avoir une profondeur pour répondre à cet appel-là. Avant qu’il y ait une nageoire sur le dos d’un poisson, il devait y avoir de l’eau premièrement où il nagerait. Avant qu’il y ait un arbre qui pousse dans la terre, il devait y avoir premièrement la terre où l’arbre pousserait.
Avant qu’il y ait un désir dans votre coeur pour davantage de Dieu, il doit y avoir davantage de Dieu quelque part pour répondre à ce désir-là.
38 J’ai vu ici, il y a quelque temps, un petit garçon qui mangeait les gommes des crayons, il a mangé la pédale d’une bicyclette. On l’a amené au laboratoire pour qu’on l’examine. Et on a découvert, plutôt à la clinique, on a découvert que son petit corps avait besoin de soufre. En effet, s’il y avait quelque chose à l’intérieur qui réclamait du soufre, il devait y avoir du soufre pour répondre à cet appel-là.
Voici, c’est comme ceci. Avant qu’il puisse y avoir une création, il devait y avoir un Créateur pour créer cette création-là. Et si, ce soir, vous désirez être guéri par le Seigneur, il doit y avoir une fontaine ouverte quelque part. C’est vrai. Si vous désirez le baptême du Saint-Esprit dans votre coeur, il doit y avoir quelque chose là pour créer ce désir-là. Quand la profondeur appelle la profondeur, il doit y avoir une profondeur pour y répondre.
39 Et Elisée, oh ! il voulait cet Esprit-là. Et même s’il n’avait pas de promesse pour cela, jusque-là, il savait néanmoins qu’Elie portait une robe. Et il savait qu’il avait porté cette robe-là. Et je peux le voir là debout sur la colline, où toute l’école, des docteurs en théologie et des docteurs en philosophie, se tenait en regardant ce qui allait se passer…
Mais Elisée avait porté cette robe-là plusieurs années auparavant. Or, Elie devait grandir jusqu’à… Elisée devait grandir jusqu’à ce que cette robe lui convienne. Aujourd’hui, nous essayons de rétrécir la Robe pour qu’elle nous convienne, c’est Dieu qui doit nous tailler pour que nous, nous convenions à la Robe. Voilà la différence. Ce–c’est juste l’inverse.
Vous devez changer pour convenir au Saint-Esprit de Dieu. Dieu ne changera pas l’Esprit pour qu’Il convienne à votre désir. Voyez ? Mais c’est vous qui devez changer. Alors, Elisée avait grandi plusieurs années jusqu’à ce que la robe lui convienne. Il pensait donc qu’elle lui irait très bien. Il était en route, gravissant la colline.
40 Alors, Elie s’est retourné. Tout ce qu’il voulait savoir était qu’il pouvait donc obtenir cette promesse-là. C’est tout ce qu’il voulait. Et il a dit : « Maintenant, je vais te demander ce que… te dire ce qu’est mon désir. Je veux une double portion de ton Esprit sur moi. Que vas-tu dire ? »
Elie, le prophète oint, s’est retourné et a dit : « Tu as demandé une chose difficile. Mais cela te sera donné sous une condition. » C’est pareil pour le Saint-Esprit, Il vous est donné sous condition. Voyez ? « Sous condition, si tu peux remplir la condition, c’est-à-dire si tu peux me voir partir, tu auras ce que tu demandes. » C’est tout ce qu’Elisée voulait, c’était la promesse.
Puisqu’il connaissait la promesse et les conditions de la promesse, alors il a gardé son regard droit sur Elie. Je peux m’imaginer quelqu’un dire : « Monsieur, pourquoi le déranges-tu ? »
« Je n’ai pas le temps de te parler. Je regarde droit vers lui. »
41 Et aujourd’hui, la promesse… Beaucoup parmi vous ici sont malades. Et la promesse est pour vous. Si tu peux croire. Vous avez la promesse. La promesse se trouve ici dans la Bible. La promesse est pour vous, mais le problème en est que vous laissez les écoles des prophètes et tout le reste vous distraire de part et d’autre, vous parler, vous décourager et vous dire : « Les jours des miracles sont passés. Pareille chose n’existe pas ; c’est la lecture des pensées. C’est de la télépathie mentale », et toutes ces choses. Et vous écoutez cela, et c’est la raison pour laquelle vous ne recevez pas la promesse. Je peux m’imaginer Elisée suivre Elie, le regard droit sur lui. Il n’allait pas se détourner pour regarder, ou il n’a pas regardé en arrière pour dire : « Hein ! Les gars, que pensez-vous que je suis en train de faire ? » S’il l’avait fait, Elie aurait été enlevé sans qu’il ait eu la promesse.
42 Et quand nous nous retournons aujourd’hui pour regarder ceci, regarder les conditions, regarder les symptômes–symptômes… Oh ! Nous disons : « Maintenant, regardez, on avait prié pour moi hier soir. Vous voyez, ma main ne va pas mieux. » Et cela n’arrivera jamais comme ça. Non, non. Ne regardez pas aux symptômes, regardez à la promesse. Amen ! La promesse, c’est ce qu’il y a. Regardez à Celui qui a fait la promesse. C’était Dieu qui avait fait la promesse. C’est la Parole de Dieu qui a l’autorité. C’est Dieu qui a prononcé la promesse. C’est de Lui qu’il s’agit.
Et vous regardez vos symptômes. Les symptômes sont l’un des plus grands obstacles que Dieu ait à traiter avec, ce sont les symptômes. Et si jamais, s’il y a quelque chose qui cloche, c’est un homme ou une femme qui peut regarder et dire : « Maintenant, je ne me sens pas mieux. Eh bien, on a prié pour moi là à mon église hier soir. Et on croit dans la guérison divine, mais à vrai dire, je ne me sens pas mieux. »
Ne vous fiez jamais à vos sensations. Jésus n’a jamais dit : « Avez-vous senti cela ? » Il disait : « Avez-vous cru cela ? » Voyez-vous comment vous renversez complètement la chose ? C’est votre foi dans Sa promesse qui accomplit cela. Comme Elisée, il voulait la promesse. Et si Elie avait dit qu’il pouvait avoir cela, pourvu qu’il fixe son regard sur lui, il a fixé son regard sur lui. C’est tout. Amen.
43 Il y avait un homme dans la Bible qui a une fois eu des symptômes. Son nom était Jonas. Vous parlez des symptômes, il en avait eus. Eh bien, il était rétrograde. C’est un grand mot à prononcer pour un baptiste, mais je pense que vous pouvez le faire. Il était donc rétrograde. Dieu lui avait dit de descendre à Ninive, et il est allé à Tarsis, la voie la plus facile.
Alors, une tempête a éclaté, une mer houleuse. Il avait les mains liées, les pieds liés, on l’a jeté dehors. Un grand poisson passait et il l’a englouti, il est descendu au fond de la mer.
Tout homme… Nourrissez vos poissons rouges et observez-les, quand ils parcourent les eaux jusqu’à trouver leur proie. Et puis, une fois qu’ils se sont nourris, ils descendent directement et font reposer leurs nageoires au fond de–de–de la ban… de l’océan.
44 Ce grand poisson qui avait avalé Jonas est descendu jusque dans le ventre… au fond de la mer, et il s’est couché là pour se reposer. Maintenant, vous parlez des symptômes, cet homme-là en avait. Pour commencer, il était rétrograde. Ensuite, il avait les pieds et les mains liés derrière lui, et il était sur une mer houleuse, dans le ventre d’un grand poisson, au fond de la mer.
Et quand il regardait de ce côté-ci, il y avait le ventre du grand poisson ; quand il regardait de ce côté-là, il y avait le ventre du grand poisson. Partout où il regardait, c’était le ventre du grand poisson. Vous parlez des symptômes, il en avait. Il n’y a personne ici qui soit dans pareille condition ce soir. Mais qu’a-t-il dit ? Il a dit : « Ce sont des vanités mensongères. Je ne les regarderai même pas. » Mais il s’est retourné dans le liquide visqueux, avec les algues autour de son cou, dans le ventre du grand poisson, et il a dit : « Eternel, je verrai encore Ton saint temple. » Pas les symptômes, le temple. Pourquoi ?
45 Quand Salomon dédicaçait le temple, il avait prié, disant : « Eternel, si Ton peuple se retrouve en difficultés à n’importe quel moment, et qu’ils regardent ce saint lieu, et prient, exauce donc du haut des cieux. » Et Jonas refusa tous ces symptômes et il les appela des vanités mensongères, parce qu’il avait foi dans la prière de Salomon qui avait dédicacé le temple.
Et si Jonas a pu faire cela dans ces circonstances, que devrions-nous faire, nous qui ne regardons pas le temple de Salomon, mais le Ciel lui-même où Jésus est assis à la droite de Dieu avec Sa propre promesse, pour intercéder sur base de notre confession ? Les symptômes, certainement pas, nous les renions. Cela n’existe pas. Nous prenons Dieu au Mot, nous fixons le regard sur la promesse, et nous allons de l’avant.
Quand vous recevez le Saint-Esprit, le diable cherchera à dire : « Vous n’avez rien reçu. » Eh bien, c’est tout ce qu’il sait à ce sujet. Voyez ? Si donc vous lui cédez, vous perdez cela. Mais fixez le regard sur la promesse.
46 Je peux voir Elisée alors qu’il gravit la colline, avec Elie devant lui. Ils vont de l’avant, l’un le regard fixé sur l’autre. Quelqu’un lui crie d’un côté, des gens de l’école de prophètes crient de l’autre côté du Jourdain. Il continuait à fixer son regard droit sur lui, allant droit de l’avant. D’autres parmi eux disent : « Attends une minute ; attends une minute ici. Tu sais, c’est moi le professeur Untel… »
« Peu m’importe qui tu es ; j’ai la promesse. Je vais droit de l’avant. »
Ils disent : « Tu sais quoi, le pasteur… »
« Peu m’importe qui tu es. J’ai mon regard sur la promesse. » C’est ainsi qu’on obtient cela. Gardez votre regard sur la promesse. C’est ça. Restez avec cela ; accrochez-vous à cela. C’est exact. Ne soyez pas des méduses, des gens mous, un pas dedans et un pas dehors, avec des hauts et des bas, comme un ver dans un citron. Mais restez avec le regard sur la promesse. Dieu l’a dit ; c’est réglé. Dieu l’a dit, cela prendra soin de soi en ce qui me concerne. Dieu l’a dit ; Il doit être fidèle à Sa Parole, et Sa Parole est aussi éternelle que Dieu. Il–il a donc gardé son regard sur lui.
47 Peu après, un son retentit depuis le ciel comme cela s’était passé le jour de la Pentecôte. Et le feu descendit comme cela était descendu le jour de la Pentecôte, et cela les a séparés, et comme cela avait séparé Christ des disciples à la Pentecôte.
Mais Elie monta à bord de ce char de feu, tiré par des chevaux de feu, et s’en alla. Et pendant que le jeune prophète se tenait là, qu’il était là, les yeux levés, il a crié à tue-tête : « Mon père, mon père, char d’Israël et sa cavalerie. » Tout d’un coup, quelque chose tomba sur lui, cela lui convenait bien parfaitement, la robe d’Elie.
C’est pareil aujourd’hui, frère, pour tout homme qui lève les yeux et dit : « Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu, Tu as fait une promesse. » Soyez sincère là-dessus, et observez le fond de robe autour de vous. Cela lui convenait exactement. Qu’a-t-il fait ? Il a enlevé ses propres habits et les a déchirés. C’était fini avec les émissions à la télévision et tout le non-sens. Toutes les choses mondaines, les cinémas, boire, fumer, les jeux d’argent, les mensonges, les sales plaisanteries, tout était terminé là. Il a déchiré sa propre robe et il l’a jetée par terre, disant : « J’entre dans le ministère. » Amen.
48 C’est ce dont nous avons besoin aujourd’hui. Il s’est retourné, il a regardé alors en arrière vers les prophètes. Amen. C’est cela qui vient en premier. Revêtez-vous-en, recevez la promesse ; faites-la descendre dans votre coeur. Ensuite, il s’est retourné et il a regardé vers… Même s’il portait une robe d’occasion, frère. Mais il marchait en conquérant… ?... derrière lui… ?... Alors qu’il se dirigeait vers le Jourdain… Que Dieu soit miséricordieux, frère.
Nous nous dirigeons aussi vers le Jourdain ce soir. Nous devons nous tenir là au Jourdain. Je suis content de porter une Robe d’occasion, aussi, pas la robe de ma propre justice, car cela ne servirait à rien, mais la Robe de Sa justice. Je Lui fais confiance. Il L’a portée, Il me L’a renvoyée. Je suis content de L’avoir.
49 J’aimerais me revêtir de Sa justice. Je sais qu’il y a une grande ombre placée devant nous. Chacun de nous passe par cette voie-là ce soir, mes amis. A chaque battement de votre coeur, vous vous approchez de cette grande porte appelée la mort. Un jour, vous allez émettre votre dernier battement, et vous entrerez.
Je sais, en tant que votre évangéliste et serviteur, moi aussi, je dois y aller. Je dois arriver au bout, peu importe combien j’ai prêché à ce sujet. Je dois y arriver, mais ce que je fais, je n’aimerais pas y arriver avec ma propre… ?... les haillons de ma propre justice. Quand je verrai que c’est mon dernier battement, et que je franchirai cette porte-là, j’aimerais être revêtu de la Robe de Sa justice, sachant ceci que je L’ai connu dans la puissance de Sa résurrection, et quand Il appellera d’entre les morts, mon nom sera appelé. C’est l’essentiel dans ma vie ce soir, savoir que je Le connais dans la puissance de Sa résurrection, qu’Il vit et règne. Et je Le connais par le pardon des péchés, par Son Esprit qui traite, par le fait qu’Il se meut et agit. Je sais que c’est Lui.
50 Et comme il… Elisée descendait là, portant la robe, mais quand il est arrivé là près de la rivière, avez-vous remarqué qu’il a enlevé la robe ? La robe était bonne.
Et, frère, beaucoup de gens aujourd’hui essaient de descendre au Jourdain en robe d’occasion, portant l’étiquette de méthodiste, baptiste, presbytérien, rongée par des doutes, trouée partout et tout, comme cela. N’essayez jamais de traverser le Jourdain avec cela. Ça ne marchera pas. Ça ne marchera certainement pas. Les mites ont tout rongé.
Peut-être que pour John Wesley, cela avait marché. Peut-être que c’était bon pour son époque, mais vous n’essayez pas de vous fier au fait que vous êtes méthodiste. N’essayez pas non plus de vous fier à la robe baptiste de John Smith. Ne vous fiez pas non plus à la robe luthérienne de Martin Luther, ou du prêtre catholique et sa robe. Ne comptez pas sur le fait d’être de la pentecôte et de la soi-disant aujourd’hui.
Mais, frère, une fois qu’Elisée était arrivé là, nous voyons qu’il a enlevé cette robe d’Elie. Ce n’est pas une espèce de robe qui compte, mais qu’a-t-il fait ? Il savait que nous tous, nous l’observons. Il ne pouvait pas se fier à la robe d’Elie, mais il a dit : « Où est le Dieu d’Elie ? » Amen !
51 Nous avons eu la Pentecôte, mais où est le Dieu de la Pentecôte ? Où est la Pentecôte, Jésus-Christ ressuscité, qui se manifeste vivant parmi les gens ce soir ? Oh ! Vous réclamez qu’il y ait la Pentecôte dans chaque église. Vous réclamez cela, chez les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, les soi-disant Assemblées, tous les autres. Mais où est le Dieu de la Pentecôte ? C’est ça la chose suivante. Ne vous fiez donc pas à une robe mitée et élimée de la pentecôte, que vous portez de nom. Ça ne marchera pas.
Un autre homme avait peut-être porté cela avec éclat il y a quelques années, mais, frère, cela ne marchera pas sur vous. Mais il faut le Dieu de la Pentecôte. Oui, oui.
52 Alors, il s’est tenu au Jourdain. Alléluia ! Et il s’est tenu au Jourdain et a dit : « Où est le Dieu d’Elie ? » Il savait qu’Il était près. Alors, quand il a pris la robe et qu’il l’a jetée sur les eaux, je vous assure, celles-ci se sont séparées de part et d’autre. Je me demande parfois quand les pentecôtistes, les baptistes, les presbytériens, et les autres se tiennent là et voient le Seigneur Jésus-Christ ressuscité agir avec une grande puissance, comment… eux qui prétendent avoir baisé la coupe d’or des bénédictions de Dieu, comment peuvent-ils se taire et mener le genre de vie qu’ils mènent.
Et le Dieu de la Pentecôte est en train de se mouvoir parmi les gens. Je me demande, amis, ce que nous rendrons comme compte le jour du Jugement. Je me demande ce qui arriverait en ce temps-là. Si seulement vous saviez que Jésus-Christ vit et règne toujours.
53 La robe d’occasion, mais une fois arrivé au Jourdain, il vous faut avoir le Dieu de la Pentecôte. Il voulait le Dieu d’Elie. Si le serviteur de Dieu fait l’oeuvre de Dieu, il doit avoir la puissance de Dieu. Si les Pentecôtistes portent une robe de la Pentecôte, ils doivent avoir la puissance de la Pentecôte et le Dieu de la Pentecôte, sinon ça ne servira à rien.
Dites-vous pentecôtiste si vous le voulez, mais où est le Dieu de la Pentecôte ? C’est vrai. Oui, oui. Où est Celui qui apparaît devant eux ? Qui est Celui qui était descendu auprès de Paul cette nuit-là quand il était là dans un navire et qu’il n’y avait plus d’espoir, tout en sécurité ? Et l’Ange du Seigneur est venu vers lui, il a dit : « Paul, ne crains pas. Tu dois comparaître devant César. Et voici, ce… tous ceux qui naviguent avec toi, Je te les donne. »
Ce petit Juif est monté là sur le pont, avec le ca… les bras tout liés avec des chaînes, il a traversé, les jambes liées avec des chaînes, il s’est avancé là, il a secoué ses mains et a dit : « Ayez bon courage. » Amen.
Qu’était-ce ? « L’Ange de Dieu que je sers, m’est apparu hier soir, il a dit : ‘Paul, ne crains point.’ Et, messieurs, j’ai cette confiance en Dieu, qu’il en sera comme il m’a été dit. » Oui, absolument.
54 Ce dont nous avons besoin, ce n’est pas de la Pentecôte, mais du Dieu de la Pentecôte. Vous arrivez au Jourdain, hommes et femmes. Chacun de vous descend au Jourdain. Je ne sais quand ça pourra avoir lieu. Ça peut se faire avant l’aube pour certains parmi nous.
Mais je vous assure, il arrivera un temps où vous aurez besoin de plus qu’une robe rongée d’une église. Vous allez avoir besoin du Dieu qui avait enflammé l’église à l’époque primitive. Vous aurez à avoir la vision qu’ils avaient eue à l’époque primitive, où ceci avait été porté. Mais les nouvelles écoles sont apparues, et ça a été rongé des trous, des doutes, des superstitions, des théologies et autres au point que cela ne sert à rien du tout. Réclamez le Dieu de la Pentecôte. C’est ce dont nous avons besoin aujourd’hui. Certainement.
55 Le serviteur de Dieu doit invoquer Dieu. Il doit compter sur Dieu, pas sur son église, pas sur sa robe. Il doit compter sur Dieu. Dieu lui demande de faire l’impossible. Pour faire l’impossible, vous devez invoquer Dieu pour que la puissance de Dieu accomplisse l’impossible. Si nous sommes serviteur du Messie, nous devons avoir la puissance du Messie.
Et il nous l’a promise : « Je suis le Cep, vous êtes les sarments. C’est Moi qui donne la Vie à chaque sarment qui produit le fruit. » Alléluia ! Vous y êtes. Ça y est. Oui, oui.
56 Et l’un de ces quatre matins, je dois arriver à la rivière. Et alors… Probablement, tous les Branham, si je vis jusqu’à devenir vieux, j’espère que je le deviendrais, avec une longue barbe et des cheveux qui pendent tout autour de moi… Quand j’arriverai au bout du chemin, étant sûr d’avoir fait de mon mieux, avoir livré ma dernière bataille, j’aimerais enlever le casque et le déposer sur la plage, ici même au Jourdain, qui cogne contre ses rebords. J’aimerais déposer mes boucliers, enlever la vieille épée de la foi, la remettre dans le fourreau de l’Eternité et m’écrier : « Ô Dieu, envoie Ton… ?... Je rentre à la Maison ce matin. »
Comme le poète l’a dit : « Il peut voir Adam se retourner et secouer Ève, disant : ‘Chérie, réveille-toi, Cela est ici.’ Ève tend la main et saisit Seth, et dit : ‘Réveille-toi, chéri. Il est ici.’ Seth saisit Abraham, il dit : ‘Réveille-toi, Abraham. Cela est ici.’ » Il y aura un grand moment, pour se réveiller, un de ces quatre matins, quand le Jourdain commencera à se cogner contre le rivage. Je veux connaître le Dieu qui fraie la voie dans le Jourdain plutôt que d’avoir une robe rongée.
57 Comme je disais il n’y a pas longtemps concernant une certaine chose qui s’est passée en Suisse. Quand j’étais en Suisse, non pas… Il y a environ un an, dans ces grandes Alpes suisses, là, il y a un nom que nous connaissions dans l’histoire, qui est pratiquement oublié. Vous, hommes et femmes de mon âge, vous vous souvenez quand nous voyions cela à l’école. C’était la–l’histoire de–d’Arnold von Winkelried. Quel vaillant homme !
A l’époque, quand la Suisse s’était retirée, elle était allée là, dans de petits territoires, sans minerais dans les montagnes, mais ils avaient de petites fermes. Et ils vivent toujours comme cela, c’est un peuple aimable et doux qui aime le Seigneur là-haut au sommet de la montagne.
58 Et alors, quand des armées des envahisseurs étaient arrivées un jour, toute la Suisse s’était rassemblée dans un petit champ, au pied d’une montagne, pour protéger leurs petites maisons sur des montagnes. Et quand les–les armées des envahisseurs s’avançaient, en une très grande foule, bien formées, avec lances et armures… et tous les hommes comme un mur de pierre, s’avançant vers sa demeure, ils allaient droit détruire la Suisse, violer leurs femmes, tuer leurs enfants, prendre leurs maisons, prendre ce qu’ils avaient.
La petite armée Suisse s’est rassemblée là en bas, n’ayant rien pour combattre avec, des fourches, et–et–et de vieilles lames de faux, et tout ce qu’ils pouvaient ramasser pour combattre avec, ils n’avaient pas d’armes, ni rien avec lequel combattre, mais ils se sont tenus là sans espoir, sur le flanc d’une montagne. Qu’ont-ils fait ? Tout autour d’eux, cette grande armée s’avançait comme un gros mur, s’avançant là, martelant, martelant.
59 Un petit homme s’est tenu là, sans secours. Finalement, à l’heure cruciale, très sombre, Arnold von Winkelried s’est avancé et a dit : « Hommes Suisses, aujourd’hui, je donne ma vie pour la Suisse. Aujourd’hui, je vais sauver la Suisse. » Alors, il a dit : « Là sur la montagne, il y a une petite maison blanche, il y a là ma charmante femme et mes enfants qui attendent mon retour, mais ils ne me verront plus jamais. » Il a dit : « Car, aujourd’hui, je vais donner ma vie pour la Suisse. »
Ils ont dit : « Que vas-tu faire, Arnold von Winkelried ? »
Il a dit : « Suivez-moi simplement et agissez, au mieux de vos possibilités, avec ce que vous avez. » Qu’a-t-il fait ? Il a lâché un cri, il a levé les mains, il a laissé tomber son arme et il a dit : « Place à la liberté ! » Et il a regardé, il a repéré l’endroit où il y avait la plus forte concentration de lances, il a foncé droit là où il y avait ces lances, criant à tue-tête : « Place à la liberté ! »
Et il a saisi une brassée de ces lances et il se les a enfoncées dans le coeur alors qu’il tombait mort. Et une telle démonstration de bravoure et d’héroïsme a fortifié cette armée-là. Et ces hommes l’ont suivi à toute vitesse, ils ont combattu avec tout ce qu’ils pouvaient, ils ont chassé ces armées-là de leur territoire. Et ils sont libres jusqu’à ce jour.
60 Eh bien, vous pouvez mentionner son nom là en Suisse, et les larmes, un peu de larmes chaudes couleront de leurs joues pour leur héros. Une telle démonstration de bravoure et d’héroïsme, c’est rare qu’on voie cela sur la terre. Mais cela ne représentait pas grand-chose.
C’est juste comme quelque chose d’autre qui s’est passé un jour. Alors que l’humanité, les fils d’Adam étaient acculés dans un coin par des maladies, des afflictions, et que le péché les rongeait, les dévorait, les poussait en enfer, comme les chefs de corvée, et que le diable avait cassé tout ce qu’ils essayaient, Dieu leur avait envoyé des prophètes. Ils s’étaient simplement débarrassés des prophètes. Dieu leur avait envoyé des juges. Ils s’étaient débarrassés des juges, des rois. Tout, Il avait fait tout… Il leur avait envoyé la loi. Ils ne l’avaient même pas observée. Tout ce qui pouvait être fait avait été fait, et la race d’Adam se tenait là sans secours.
61 La maladie, les afflictions, les indispositions, le péché, tout tenait ce petit groupe de la race d’Adam en échec, de sorte que personne ne pouvait rien faire à ce sujet. Ils étaient sans secours. Le diable et sa grande armée étaient en marche, bien équipée, puissante, des êtres surnaturels. Il y avait un petit peuple naturel, sans rien qu’il pouvait faire. Alors, quelque chose s’est passé au Ciel. Quelqu’Un s’est avancé, du Nom de Jésus, le Précieux Fils de Dieu.
Il a dit aux anges et à Ses frères : « Aujourd’hui, Je vais donner Ma Vie. Je vais sauver la race d’Adam. » Et Il est descendu, Il a été fait chair, Il a habité parmi nous.
Un jour, Il se tenait au Calvaire ; alors, Il a vu là où il y avait la plus grande concentration qu’il y a dans toute–toute vie humaine ; la partie la plus sombre de l’esprit, de la vie humaine, c’est la mort. Chaque homme a peur de la mort.
Et quand Jésus de Nazareth a affronté chaque démon qu’il y a en enfer, Il s’est emparé de la mort juste dans son propre sein, Il a conquis la mort, et Il a renvoyé le Saint-Esprit et a dit : « Prenez ceci et faites de tout votre mieux, libérez les gens… » Oui.
62 Et je vous assure, nous devons combattre, nous avons l’arme la plus puissante. Le diable s’en moque et dit : « Il n’y a rien. » Mais prenez ce soir, recevez le Saint-Esprit et vainquez chaque démon du péché, de l’ivrognerie, quoi que ce soit. Nous l’avons mis en fuite pour être vaincu. Oui. Et un jour, le Grand Capitaine en chef viendra ; alors le péché, la maladie, les chagrins seront terminés. C’est vaincu. Et nous les hommes qui avons le–l’Esprit en notre possession, comme le cep… les sarments du Cep avec l’Esprit, donnant la Vie à l’Eglise par le Saint-Esprit, il nous est ordonné d’aller par tout le monde et de prêcher la Bonne Nouvelle, de chasser les démons et–et d’imposer les mains aux malades, et les malades seront guéris. « Voici, Je suis avec vous, en tête de l’armée, jusqu’à la fin du monde, et Je me manifesterai vivant. Car Je serai le même hier, aujourd’hui, et éternellement. » Amen.
Croyez-vous cela, Eglise de Dieu ? Si vous le croyez, acceptons-le ce soir d’un coeur plein et croyons avec tout ce que nous avons en nous, pour croire pour la justice de Christ. Oh ! Comme nous écoutons Sa Parole ! La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole. Maintenant, prions juste un instant.
63 Notre Père céleste, comme ce soir nous voyons le Capitaine de notre salut, le Seigneur Jésus, dans toute Sa splendeur et Sa puissance, ointe, Son Eglise, et Il les a envoyés prêcher l’Evangile par tout le monde. Il a dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : En Mon Nom, ils chasseront les mauvais esprits. Ils accompliront de grands signes et de grands prodiges. Je serai avec eux. Je me manifesterai à eux. Je me manifesterai vivant ; même si les croyants Me verront jusqu’à la fin du monde, cependant les incroyants ne Me verront plus. »
Et, Père, cette promesse que Tu as faite est valable aujourd’hui. Je garde mes yeux là-dessus, comme Elisée gardait ses yeux sur Elie. Tu as dit : « Voici, Je suis avec toi tous les jours, même jusqu’à la fin du monde. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. » Et je sais que ces promesses sont vraies. Et ce soir, nous avons l’espérance et la foi centrées sur cela. Tu as dit que Tu le ferais. Maintenant, la théologie et les passages des Ecritures ont été enseignés aux gens pendant des années, mais maintenant, c’est le temps du soir. C’est maintenant le jour de la restauration de toutes choses.
64 Et nous Te prions, Père céleste, de Te manifester ce soir ici par la grande puissance de la résurrection, avec des bénédictions de la résurrection. Et que chaque personne qui sait et qui reconnaît que cela c’est Toi, Seigneur, puissent-ils mettre leur espérance et… sur la promesse, voyant que Tu leur as promis que Tu ressusciterais d’entre les morts, et que Tu l’as fait. Tu as dit : « Je suis vivant aux siècles des siècles. » Et Tu l’es. « Et Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde. » Et Tu l’es.
Et Tu as dit : « Les oeuvres qui ont été accomplies en ce moment-là seront accomplies jusqu’à Ton retour. » Et c’est ce qui se passe. Et dans chaque principe Tu es le même que Tu as jamais été. Tu l’es aujourd’hui. Et nous T’aimons pour cela, Seigneur.
Et que cette église-ci ainsi que ces gens ce soir voient que Tu tiens Ta promesse. Non seulement Tu tiens Ta promesse, que Tu es ressuscité et Tu nous rencontreras, mais que Tu tiens Ta promesse de guérir les malades, de délivrer les gens de mauvais esprits, de déverser le Saint-Esprit sur les gens qui le veulent. Et chaque promesse dans la Bible est vraie. C’est la Semence de Dieu qui a été semée dans le coeur humain et crue par la foi.
Accorde, ce soir, Seigneur, que Tu te manifestes Toi-même. Et quand nous partirons d’ici ce soir, puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs : « Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous ? » Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
65 Je crois en Dieu, Je crois qu’Il existe. Et ceux qui viennent à Dieu doivent croire qu’Il existe, et qu’Il est le Rémunérateur de ceux qui Le cherchent diligemment.
Maintenant, à certains parmi vous, les nouveaux venus ici, cela peut paraître un peu étrange, dans une–une église comme celle-ci. Cela peut ne pas… Ils peuvent ne pas adorer ici et les gens louent le Seigneur et disent les choses qu’ils font, agissent peut-être d’une façon un peu étrange pour vous. Mais, ami, si seulement vous aviez reçu ce qu’ils ont, vous vous sentiriez de même. Ouvrez la Bible et voyez cela. Voyez ?
66 C’est aujourd’hui le jour, comme je le disais au sujet des prophètes portant leurs Bibles et les imitations. C’est un grand jour d’imitations. Peignez en rouge vos marches et la semaine prochaine, voyez ce que votre voisin fera. Il peindra aussi en rouge les siennes. Portez un petit chapeau noir à l’église et voyez ce que votre voisin fera. Il portera aussi un chapeau noir. Ils veulent… Achetez un nouveau costume et voyez combien c’est beau, et observez votre voisin, il demandera où vous l’avez acheté. C’est de l’imitation. Ils veulent se comparer. Ils veulent s’égaler.
Et, frère, peu m’importe que mon pantalon s’accorde avec mon manteau ou que ma chemise s’accorde avec ma cravate. Je veux que mon expérience s’accorde avec la Bible de Dieu. C’est le genre d’accord que l’église devrait avoir. C’est tout à fait exact. Mon Seigneur est ressuscité d’entre les morts, et Il est vivant ce soir. Il est aussi votre Seigneur. Et Il est ici pour vous bénir et pour vous aider.
67 Et voici ce que la Bible est pour moi. C’est soit la vérité, soit une erreur. Si c’est une erreur, je ne veux rien avoir à faire avec cela. Non, non. Je crois que j’aimerais être ce… Si c’est une erreur, je n’aimerais rien avoir à faire avec Cela. Si c’est la vérité, je suis prêt à mourir pour Cela. C’est vrai. Faites-En donc l’un ou l’autre. Que Dieu hâte le jour où soit les soi-disant chrétiens confesseront être chrétiens, soit ils diront ce qu’ils sont pour commencer. Je préférerais être un incroyant plutôt qu’un hypocrite. C’est vrai.
Soyez ce que vous êtes. Si vous croyez en Christ, dites : « Oui », et pas juste : « Oh ! Je crois ceci, et je–je crois ceci, et je… » Croyez tout cela, ou n’en croyez rien. C’est Dieu. C’est soit la Parole de Dieu, soit ce n’est pas la Parole de Dieu. Si Dieu n’a pas écrit Cela, alors donc… Si une partie de Cela n’est pas vraie, alors l’autre partie n’est pas vraie. C’est vrai.
68 Combien ont déjà entendu parler de Morris Reidhead ? Quelqu’un ici ? Eh bien, c’est le président de la grande… l’une des plus grandes… fondamentalistes, eh bien, les Grandes Missions Soudanaises, les plus grandes au monde. Il se tenait là, après qu’un Indien eut été instruit… (Juste avant que nous formions la ligne de prière.) Il était là. Ai-je dit… J’en ai parlé hier soir ici, je pense, n’est-ce pas, n’est-ce pas… ?...
Et Mor–Morris Reidhead, c’est un ami à moi. Il est sur le champ de travail, prêchant le–l’Evangile, le plein Evangile. Et quand il était–il était… Il a dit… Cet Indien avait été instruit, c’était un bon garçon. Il était venu étudier ici, je pense que c’était l’électricité ou quelque chose comme cela. Il avait acquis son instruction, un garçon très intelligent, brillant, un musulman.
69 Et quand il retournait outre-mer, monsieur Reidhead lui a dit, il a dit : « Eh bien, fils, a-t-il dit, vous avez acquis votre instruction. Vous allez retourner pour être d’une grande assistance à votre pays. » Il a dit : « Eh bien, pourquoi n’oubliez-vous pas ce vieux prophète mort que vous servez pour accepter le Seigneur Jésus-Christ ressuscité, et ramener Jésus avec vous comme Sauveur ? »
Alors, le musulman est resté là un petit instant. Il a dit : « Gentil monsieur, a-t-il dit, qu’est-ce que Jésus peut faire de plus pour moi que Mahomet ? » Il a dit : « Eh bien, ils ont tous deux écrit des livres, et nous les croyons. Le nôtre, c’est le Coran. Le Vôtre est appelé la Bible. Vous croyez le Vôtre, et je crois le mien. Ils ont tous deux promis la vie après la mort. Je crois donc que Mahomet a dit la vérité, et vous croyez que Jésus a dit la vérité. Quel bien Jésus peut-Il donc me faire de plus que Mahomet–que Mahomet ne peut pas faire ? »
« Eh bien, a-t-il dit, eh bien, la première chose, a-t-il dit, c’est que, vous voyez, Mahomet est mort. Et Jésus est vivant. » Il a dit : « C’est là la différence. »
Et le musulman a dit : « D’accord, monsieur. Est-Il vivant ? » Il a dit : « J’aimerais vous voir prouver cela. »
70 Oh ! Docteur Reidhead a dit : « Je me suis rendu compte que je n’avais pas rencontré un parvenu. J’avais rencontré un homme qui savait de quoi il parlait. » Il a dit : « Est-Il vivant ? »
Il a dit : « Non, Il est mort, tout comme Mahomet est mort. » Il a dit : « Il n’est pas vivant. »
Il a dit : « Eh bien, attendez une minute. » Il a dit : « Nous savons qu’Il est vivant. » Il a dit : « En effet, nous Le sentons dans notre coeur, et nous avons la joie de savoir qu’Il revient. »
Il a dit : « Eh bien, juste un instant, monsieur Reidhead. La religion musulmane peut produire autant de psychologie que le christianisme. » Il a dit : « Nous avons autant de bonheur, autant de cris, autant de joie, de savoir que Mahomet reviendra un jour que vous en éprouvez, de savoir que Jésus reviendra un jour. Qu’en est-il ? » C’est la vérité.
Il a dit : « Eh bien, attendez une minute. » Et monsieur Reidhead a dit, qu’il a su là même. Il a dit : « Ce jeune homme, il ne se laissait pas facilement faire. »
71 Et il a dit : « Eh bien, a-t-il dit, mais juste une minute », a dit le musulman au chrétien. Il a dit : « Docteur Reidhead, gentil monsieur, a-t-il dit, je n’aimerais pas me moquer de votre religion. J’ai du respect pour la religion de tout homme. Mais, a-t-il dit, vous voyez, monsieur Reidhead, a-t-il dit, Mahomet ne nous a promis que la vie après la mort. » Et il a dit : « Et c’est ce que nous croyons. Mais, a-t-il dit, votre Jésus a promis que vous les enseignants, vous feriez la même chose que Lui avait faite s’Il est ressuscité d’entre les morts. » Il a dit : « Maintenant, nous attendons de vous voir, vous les enseignants, manifester cela, et alors, nous croirons qu’Il est ressuscité d’entre les morts. Avant que vous le fassiez, Il n’est pas ressuscité d’entre les morts. »
Eh bien, il a dit qu’il s’est tenu là un petit instant, et il a dit : « Eh bien, que voulez-vous dire, par exemple, la guérison des malades ? »
Il a dit : « Oui, c’est une chose. »
Il a dit, monsieur Reidhead a dit : « Eh bien, maintenant, vous vous référez probablement à Marc, chapitre 16. »
Il a dit : « Oui, monsieur, c’est une chose à laquelle je me référais. »
72 Il a dit : « Eh bien, maintenant, dans Marc 16, a-t-il dit, eh bien, les érudits les mieux formés comprennent. » Il a dit : « Eh bien, les–les illettrés prennent le reste de cela, mais, a-t-il dit, nous savons que Marc 16, du verset 9 jusqu’au bout, là où il est dit : ‘Ils chasseront les démons, ils parleront en langues, ils imposeront les mains aux malades et tout,’ a-t-il dit, nous savons, nous les érudits les mieux formés, nous savons que cette partie de la Bible n’est pas inspirée. C’était écrit par le Vatican, et ce n’est pas inspiré. »
Vous savez ce que le musulman a dit, il a dit : « Ça ne l’est pas ? Quel genre de Bible lisez-vous ? » Il a dit : « Tout le Coran est inspiré. »
C’est là la faiblesse du christianisme, le soi-disant. Il a dit : « Qu’en est-il donc de Marc 11 : ‘Tout ce que vous demanderez ?’ Qu’en est-il de ceci, quand Il a dit : ‘Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.’ » ?
Il a dit : « Eh bien, Il a dit : ‘Les oeuvres que Je fais… », Eh bien, il a dit : « Vous voyez, nous–nous prêchons l’Evangile dans le monde entier. » Il a dit : « Ce sont de plus grandes oeuvres. »
Il a dit : « Vous l’avez fait. Vous avez eu deux mille ans pour prouver qu’Il est vivant, et les deux tiers du monde n’ont jamais entendu parler de Son Nom. » Il a dit : « Que Mahomet ressuscite d’entre les morts, et tout le monde le saura dans vingt-quatre heures. »
73 Ah–ah, vous parlez d’une défaite. Et docteur Reidhead a dit : « Monsieur Branham, a-t-il dit, j’ai cogné mon pied au sol. »
Il a dit : « Maintenant, monsieur, quand vous prouverez qu’Il est vivant et que vous me laisserez Le voir accomplir les oeuvres par vous Ses enseignants, ce qu’Il avait promis que vous accompliriez, alors je vous croirai. Et les musulmans vous croiront. » Et c’est la vérité. J’ai vu cela être confirmé. Et je sais qu’ils croiront. C’est ce dont le monde a besoin. L’Amérique est toute raffinée avec trop d’instruction, ils se tiennent là et écoutent monsieur, docteur, docteur en philosophie Jones avec tout leur grand, parler à propos des fleurs et autres.
74 Miséricorde, bonté divine ! Ce dont nous avons besoin, c’est de l’Evangile. Et l’Evangile est la puissance et la démonstration du Saint-Esprit. Ce–c’est ce dont le monde… Nous sommes allés construire des églises. Jésus n’a jamais dit : « Construisez une église. » Montrez-moi un passage des Ecritures. « Nous sommes allés construire des écoles. » Il n’a jamais dit : « Construisez des écoles. » Nous avons construit des hôpitaux. Il n’a jamais dit : « Construisez des hôpitaux. » Mais nous l’avons fait. C’est très bien. Je n’ai rien contre cela. Nous l’avons fait. Mais Il n’a jamais ordonné de le faire. Nous avons fait ce qu’Il a dit… les choses mêmes qu’Il nous a ordonné de ne pas faire, nous avons fait cela, ou les choses qu’Il nous a ordonné de faire, nous refusons de le faire. Prêchons et démontrons la puissance de l’Evangile. C’est pourquoi les deux tiers du monde n’ont jamais entendu cela.
75 Et il… Monsieur Reidhead était là dans la pièce, il a dit, dans mon propre bureau, il a dit : « Frère Branham, a-t-il dit, j’ai vu des pentecôtistes donner des coups de pieds aux meubles, et détruire cela, et tout comme cela. Mais, a-t-il dit, j’ai appris qu’il… » Il a dit : « J’ai assez de diplômes pour plâtrer votre mur. » Il a dit : « Quand j’étais un petit garçon de sept ans, je me suis mis à étudier les Ecritures. J’ai donné ma vie à Christ. »
Il a dit : « Quand j’ai décroché ma licence en lettres, je me suis dit que Christ serait là dedans. » Il a dit : « J’ai décroché ma licence en lettres ; ce n’était pas ça. » Il a dit : « Ensuite, quand j’ai été ordonné, ce n’était pas ça. » Il a dit : « Quand j’ai décroché mon doctorat en droit, je pensais que cela ferait l’affaire. Ce n’était alors pas ça. J’ai donc toute sorte de doctorats auxquels on peut penser, des doctorats à titre honorifique, au point que je peux en plâtrer votre mur. Mais, a-t-il dit, où est Christ dans tout cela ? Est-ce que les enseignants étaient en erreur ? »
J’ai dit : « Je n’aimerais pas dire que les enseignants étaient en erreur, monsieur. Mais je dis une seule chose, c’est qu’ils ont laissé de côté la clé de voûte. Ils ont laissé de côté la Pierre angulaire. Christ ne réside pas dans une licence en lettres, ou un doctorat en théologie, ou un doctorat en droit ; Christ réside dans la puissance de Sa résurrection dans un coeur qui peut Le recevoir. »
76 Il a dit–il a dit : « Monsieur Branham, puis-je recevoir le Saint-Esprit ici même ? »
J’ai dit : « Si vous remplissez les conditions de Dieu. »
Il a dit : « Peu m’importe ce que c’est. J’aimerais connaître Christ. » Je lui ai imposé les mains là et j’ai prié là dans la pièce, il est tombé sous la puissance de Dieu et la tablette à café là, il en a cassé la vitre, et il a reçu le baptême du Saint-Esprit, et il prêche la guérison divine aujourd’hui sur le champ de travail : docteur Morris Reidhead.
77 Pendant que j’étais à Chattanooga, dans le Tennessee, chez mon ami Don Wells, la plus grande église baptiste du Sud, il a reçu le baptême du Saint-Esprit, et plus de deux cents de ces membres avaient reçu le baptême du Saint-Esprit dans cette église baptiste.
Il y a quelques semaines, quand un doyen luthérien de psych… un doyen là d’une grande école était venu, il me critiquait pour avoir dit que le diable ne pouvait pas guérir. Il s’est moqué de moi, alors que je me basais sur la Parole, en disant que le diable ne pouvait pas guérir.
Il a dit : « Eh bien, je vais donc vous prouver que le diable peut guérir. » Il a dit : « Nous avons une femme qui habite dans notre ville, elle invoque les morts. » Et il a dit : « Les gens viennent chez elle et elle tire un cheveu de sa tête, elle pince leurs veines, et met le sang dessus, elle descend à la rivière et jette cela par-dessus son épaule. Puis, elle rentre chez elle. Et si elle se retourne et regarde, la maladie revient sur les gens. Si cela arrive, elle la chasse. » Et il a dit : « Environ trente pour cent des gens sont guéris. Alors, vous dites donc que le diable ne peut pas guérir ! » Il a dit : « J’ai honte de vous. J’ai prêché l’Evangile avant votre naissance. » Il a dit : « Vous êtes encore jeune. »
Durant tous mes quarante-sept ans… Il a dit : « J’ai prêché l’Evangile pendant cinquante ans. »
J’ai dit : « J’ai donc honte de vous alors. Et vous ne connaissez pas plus les Ecritures que ça. » J’ai dit : « Certainement, la femme… les gens sont guéris ; mais ce n’est pas la sorcière qui ait quoi que ce soit à faire avec la chose. »
78 Il y a dans le pays aujourd’hui des gens qui disent : « J’ai la guérison dans ma main. Sentez cela, sentez cela. » et toutes ces histoires comme cela. C’est du non-sens. C’est de la psychologie.
Mais les pauvres gens qui s’approchent, viennent en pensant qu’ils s’approchent de Dieu, et Dieu doit honorer la foi ; peu m’importe où est-ce. Ils s’approchent de Dieu au travers des sorciers. Ils pensent qu’ils s’approchent de Dieu en passant par là. Et Dieu doit honorer cette foi.
C’est pourquoi Il a dit : « En ce jour-là, beaucoup viendront et diront : ‘N’ai-je pas chassé les démons et–et tout en Ton Nom ? » Et ainsi de suite.
Et cet homme, quand il a entendu cela, il a dit : « J’aimerais que vous veniez à mon collège. » Monsieur Boze en est témoin, juste ici à Minneapolis, une université luthérienne.
79 Je suis allé là, et mon organisateur est allé avec moi et s’est assis là dans un grand bâtiment des scandinaves là, tous étaient assis là, ces étudiants luthériens.
Il a dit : « Monsieur Branham, j’ai suivi ces réunions, et je demande pardon pour avoir dit que vous étiez un–un devin raffiné. » Il a dit… C’est ainsi qu’il m’avait traité, un devin raffiné. Il a dit : « Je demande pardon pour cela, et j’aimerais que vous me disiez comment… moi et cette école, nous pouvons recevoir le baptême du Saint-Esprit. »
J’ai dit : « Qu’est-ce que l’Eglise luthérienne va faire ? »
Il a dit : « Peu m’importe ce que l’Eglise luthérienne dit. Je veux Dieu. »
J’ai dit : « Est-ce votre avis à vous tous ? »
Ils ont dit : « Oui. »
J’ai dit : « Reculez vos chaises de la table et tournez-vous au mur, appuyez-vous–appuyez-vous contre le mur et mettez-vous à prier. » Et je suis allé là et je leur ai imposé les mains. Et soixante-douze étudiants luthériens, avec le doyen, ont reçu le baptême du Saint-Esprit. C’était à Minneapolis, dans le Minnesota. C’est vrai.
80 Qu’est-ce ? Des hommes et des femmes ont soif de Dieu. Ce jour est arrivé. Le Saint-Esprit est ici. Jésus est ici, ressuscité d’entre les morts. Ne parlez pas contre cela. C’est un blasphème. Mais recevez-Le. Il est ici ce soir. Je crois en Christ. Pas vous ? Oui, oui.
Il existe un faux. Certainement. Qu’est-ce qui fait–fait qu’une chose réelle soit réelle ? Si je voyais un faux dollar, je saurais qu’il a dû y en avoir un véritable à partir duquel cela a été contrefait. Donc, le diable a certainement une imitation, mais il existe un véritable et authentique baptême du Saint-Esprit, un vrai–un vrai Seigneur Jésus ressuscité, qui est fidèle à Sa Parole ; Il est fidèle à chaque Parole qu’Il a prononcée.
81 Maintenant, soyons en prière. Eh bien, amis, encore une chose. Et alors, je pense, demain soir, je vais soit prêcher, soit former la ligne de prière. Je vous garde jusque très tard. Mais j’aimerais vous demander quelque chose. Combien étaient ici à la réunion hier soir ? Faites voir vos mains. Combien n’y étaient pas ? Faites voir vos mains. Oh ! la la ! C’est juste… Où sont tous ceux qui étaient ici hier soir ? Nous ne…
Voilà ce que c’est, ami. Ecoutons, juste un instant. Si jamais un homme vous dit qu’il est un guérisseur, il est en erreur. Je dois prendre un temps pour expliquer ceci à vous les nouveaux venus.
82 Ecoutez, il n’y a aucun homme qui soit un guérisseur. C’est Christ qui est le Guérisseur. Voyez ? Et c’est uniquement notre foi dans l’oeuvre achevée de Christ au Calvaire. C’est notre foi personnelle. Le salut, la guérison, et chaque bénédiction rédemptrice y est incluse, et chaque bénédiction dans la rédemption, c’était tout ce qui était à la base dans la chute. Tout ce que nous avons perdu dans la chute nous a été restauré au Calvaire.
La maladie, c’est quoi ? Un attribut du péché. Vous ne pouvez donc pas traiter avec le péché sans traiter avec la maladie. En effet, la maladie est venue après le péché, qui était un attribut du péché. Tout à fait vrai. Maintenant, ne dites pas que c’est Dieu qui fait tomber les gens malades, car vous vous faites attraper sur vos questions là comme les luthériens l’avaient fait. Voyez ? Vous–vous ne pouvez donc pas faire cela.
83 Si–si… L’autre jour, quelqu’un a dit, un ministre me parlait, il a dit : « Oh ! Quelle grande bénédiction, Frère Branham ! Oh ! Le… j’ai vu les gens les plus malades étendus dans des fauteuils roulants. » Et il a dit : « Dieu veut qu’ils soient malades. Il les laisse tomber malades afin qu’Il puisse montrer Ses bénédictions. »
J’ai dit : « Si cela est donc vrai, c’est qu’alors Jésus-Christ a combattu le but même de Dieu en venant sur la terre. Il guérissait tout celui qui entrait en contact avec Lui, comme je le fais. » Exact.
Oh ! Frère, ce–c’est peu convaincant. Voyez, ça ne marche simplement pas. Vous feriez tout aussi mieux de voir la réalité en face, c’est que vous ne croyez pas la Bible et vous dites simplement cela, et c’est tout. En effet… Soit vous avez peur de vous avancer et de défier Dieu sur base de Sa promesse comme Elie avait fait. C’est vrai.
84 Maintenant, qu’est-ce qu’est Christ ? Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et quand Il était ici sur terre, Il ne prétendait pas être un guérisseur, n’est-ce pas ? Non, non. Il a dit : « Ce n’est pas Moi. C’est Mon Père qui demeure en Moi. C’est Lui qui opère la guérison. » Est-ce vrai ?
Et quand Il était là, on L’a interrogé sur un homme dans Saint Jean 5.19 ; nous avons vu cela hier soir. Cet homme transportait son lit sur son épaule comme ceci… Et Il fut interrogé à ce sujet, après qu’Il eut dépassé tous ces affligés et qu’Il eut guéri ce seul homme et qu’Il fut parti. Il fut interrogé. Et nous avons examiné cela hier soir.
Comment est-Il interrogé ici ? Mais qu’a dit Jésus ? « En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même. » Est-ce vrai ? « Mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement. » Combien de lecteurs de la Bible savent que c’est la vérité, que Jésus l’a dit ?
85 Eh bien, Jésus, d’après Sa propre Parole, ne faisait rien avant d’avoir premièrement vu cela se faire au Père en vision. Est-ce vrai ? Saint Jean 5.19 : « En vérité, en vérité (C’est-à-dire : Absolument, absolument), Je vous le dis, Je ne fais rien de Moi-même ; mais ce que Je vois faire au Père, Je vais ensuite faire ce qu’Il Me montre de faire. Le Père agit jusqu’à présent, Moi aussi J’agis. »
Maintenant, juste un instant, ensuite nous commencerons la ligne de prière. Quand Il était ici sur terre, Il ne prétendait pas guérir les gens. Tout ce qu’Il faisait, Il regardait et voyait ce que le Père Lui avait dit. Et le Père…
86 Un jour, Philippe alla chercher Nathanaël à trente miles [48 km] de l’autre côté de la montagne. Il le ramena là où était Jésus pendant qu’Il était là. Juste un passage…
Et quand il revenait, Jésus regarda et les vit. Ils étaient peut-être dans la ligne de prière ou là dans l’assistance, je ne sais pas où c’était. Alors, Jésus les regarda, et Il a regardé Philippe… Nathanaël et Il a dit : « Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude. » Eh bien, cela l’a étonné. Comment a-t-Il su qu’Il était un Israélite ? Et comment a-t-Il su qu’Il était un croyant, un orthodoxe ?
Eh bien, il a dit : « Comment m’as-Tu connu, Rabbi ? »
Il a dit : « Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre en train de prier hier, Je t’ai vu. »
Eh bien, qu’est-ce que le–qu’est-ce que l’Israélite a dit ? Il a dit : « Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël. »
Jésus a dit : « Parce que Je t’ai dit cela, tu Me crois ? Tu verras de plus grandes choses que ça. »
87 Maintenant, qu’est-ce que les croyants juifs croyaient ? La plus grande église comme nous en avons aujourd’hui, ils ont dit : « Il est un diseur de bonne aventure. Il est Béelzébul. » Est-ce vrai ? Et ils ont dit : « C’est ce qu’Il est. Il est un devin, ou Béelzébul. Il lit leurs pensées. C’est de la télépathie mentale. »
Qu’est-ce que Jésus leur a dit ? Il a dit : « Vous dites cela contre Moi, Je vous pardonnerai. Mais quand le Saint-Esprit sera venu et qu’Il fera la même chose, si vous dites un mot contre Cela, cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir. » En effet, ils disaient qu’Il avait un mauvais esprit (Est-ce vrai ?), taxant les oeuvres de Dieu d’un esprit impur.
Or, si… Il a dit : « Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde. » Maintenant, c’est soit la vérité, soit une erreur. Je crois qu’Il est ressuscité d’entre les morts. Et s’Il vient ce soir accomplir parmi vous la même chose qu’Il faisait quand Il était ici sur terre, parmi les gr–groupes comme celui-ci, allez-vous Le recevoir ? Allez-vous dire : « Je vais Le recevoir et je croirai en Lui, je croirai qu’Il est vivant et qu’Il me donnera ce dont j’ai besoin » ?
88 Maintenant, c’est difficile, après avoir parlé ou prêché comme je l’ai fait. Je n’avais pas l’intention de parler si longtemps. Mais il est simplement arrivé que je l’ai fait. Ainsi donc, nous allons demander à Dieu d’être avec nous. Maintenant, je pense que les jeunes gens ont distribué, ont-ils dit, une centaine de cartes. Et hier soir, nous en avons pris la première partie. Et ce soir, commençons avec la deuxième partie de la centaine de cartes, et nous allons… Et demain soir, nous commencerons à partir de quelque part ailleurs, de cela, et la soirée suivante, quelque part ailleurs. Et juste où que nous allons comme ça…
Maintenant, commençons ce soir par 50. Très bien, regardez donc votre carte de prière et voyez qui a la carte de prière 50. Voudriez-vous lever la main, quelqu’un ? Madame, venez ici même. 51, voudriez-vous… ? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
89 Frère Branham, il s’agit de vous soumettre au Saint-Esprit, juste vous abandonner. Maintenant, peu importe combien Il a cherché à travailler avec moi, Il doit aussi travailler avec vous. Si vous n’arrivez pas à vous soumettre à Lui, alors Il ne peut pas travailler par vous. C’est votre foi. C’est votre foi. Si jamais vous êtes guéri, ça sera votre foi personnelle en Christ. Ça ne peut pas être une quelconque guérison que j’ai, car les hommes ne sont pas des guérisseurs. Même pas un médecin, il n’est pas un guérisseur. Il n’y a pas de médicament qui puisse guérir. Je vais vous le prouver demain.
Maintenant, j’aimerais que vous m’ameniez un médecin qui dit que le médicament guérit effectivement, je vais vous montrer comment il agit drôlement. Voyez ? Il n’y a aucun médicament qui puisse guérir un simple rhume de foin. Des milliers en meurent chaque année. Il n’y a rien qui puisse guérir… Christ est l’unique Guérisseur. « Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies. » L’hôpital n’a jamais guéri, le médicament n’a jamais guéri, c’est Dieu qui fait tout cela.
On donne un médicament à quelqu’un, cela le tue, puis on le donne à un autre, il se rétablit alors que deux souffrent de la même maladie. C’est l’Eternel qui est le Guérisseur.
90 Maintenant, maintenant, nous… J’ai… Est-ce la patiente ? Est-ce vous, madame ? Très bien, venez ici juste une minute. Maintenant, j’aimerais d’abord parcourir du regard la ligne de prière d’un bout à l’autre, ici. Maintenant, je vous suis inconnu, pas un inconnu, dans le sens de–de frère et soeur, mais je vous suis inconnu en tant que–en tant que des êtres humains qui se connaissent. Je ne pense pas qu’il y ait dans la salle quelqu’un que je connaisse à part mon frère qui est assis là, Gene. C’est lui qui fait les enregistrements. Ma belle-fille là et mon fils, frère Joseph et frère Hutchins, voici à peu près les seuls que je vois, que je connais dans toute l’église.
Maintenant, vous n’avez pas à être ici à l’estrade pour être guéri. Vous pouvez être guéri là même où vous êtes. Vous n’avez pas à être assisté par le Saint-Esprit, ici à l’estrade. Vous pouvez parler là.
91 Une femme courut dans la fou–foule une fois et toucha Son vêtement, elle rentra s’asseoir, elle nia l’avoir fait. Mais Jésus dit : « Je me suis senti faible. » Il promena le regard jusqu’à la repérer. Et Il lui parla de sa perte de sang qui avait été guérie. Est-ce vrai ? Assurément.
Maintenant, est-Il le même aujourd’hui ? S’Il l’est, Il fera la même chose aujourd’hui. Donc, nous avons un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Il peut donc vous guérir aujourd’hui là où vous êtes. Très bien.
92 Maintenant, la dame ici debout, à côté de moi, est une inconnue et je ne la connais pas. Elle ne me connaît pas. Donc, nous nous tenons juste ici. Elle est une chrétienne ; je suis un chrétien. C’est la première rencontre dans la vie, et voici encore une fois un tableau identique ce soir d’une scène de la Bible, une femme au puits. Combien ont déjà entendu parler de cette histoire ? Eh bien, voyons si Jésus était le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Le Père Lui avait dit de monter non pas… Il descendait à Jéricho, mais Il est monté par le chemin de Samarie. Et pendant qu’Il était assis sur le puits là, une femme est sortie, c’était une Samaritaine, et elle a pris… puisant de l’eau. Et Il lui a dit : « Apporte-Moi à boire. » Je me demande pourquoi Il a dit cela.
Elle a dit : « Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose aux Samaritains. Nous n’avons pas de relations.
Il–Il a dit : « Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui m’aurais demandé à boire. » Il s’est mis à lui parler (Est-ce vrai ?), engageant la conversation. Que faisait-Il ? Il saisissait son esprit. Puis, Il a découvert ce qu’était son problème. Est-ce vrai ? Il a dit : « Va chercher ton mari. »
Elle a dit : « Je n’ai point de mari. »
Il a dit : « C’est vrai. Tu en as eu cinq. Et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari. »
93 Eh bien, qu’a-t-elle dit ? Eh bien, écoutez très attentivement maintenant. Qu’a-t-elle dit, vous les nouveaux venus ? Elle a dit : « Je vois que Tu es Prophète. » Eh bien, elle a dit : « Nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses, mais Toi, qui es-Tu ? »
Il a dit : « Je Le suis. » Si c’était cela le signe du Messie à cette époque-là, c’est le signe du Messie aujourd’hui, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai ?
Maintenant, voici exactement la même scène. Exactement. Maintenant, voici une femme ici debout. Je… Dieu m’a envoyé à New York. Je ne sais pas. Il m’a simplement envoyé ici. Voici une femme qui monte à l’estrade. Je ne l’ai jamais vue, je ne sais rien sur elle. Elle est assise, elle est debout ici.
94 Maintenant, le Messie peut, par un don divin, descendre révéler à cette femme ce pour quoi elle se tient ici, ce qu’est son problème, de même qu’Il l’avait fait pour cette autre femme-là. S’Il le faisait, serait-ce toujours le signe du Messie pour vous tous ? Croiriez-vous cela ? Vous qui n’avez jamais vu cela, croiriez-vous cela ? Levez la main pour dire : « Je crois cela. » Amen.
Maintenant, que la dame en soit juge. Maintenant, s’Il vous connaît, soeur, et vous savez que moi, je ne vous connais pas, n’est-ce pas ? Non, je suis inconnu. Et s’Il peut vous révéler votre–votre maladie ou ce pour quoi vous êtes ici (Moi, je ne le sais pas, vous le savez), mais s’Il peut révéler par moi, à moi ce pour quoi vous êtes ici, croirez-vous que vous obtiendrez ce que vous demandez ? Croirez-vous cela ? Eh bien, que le Seigneur l’accorde. J’aimerais que tout le monde reste calme maintenant. Soyez vraiment calme et soyez très respectueux.
95 Maintenant, juste simplement… La dame est consciente qu’il se passe quelque chose. Et si quelqu’un… Frère, avez-vous déjà montré la photo de cet Ange du Seigneur ici, déjà ? Ils ont vu cela. O.K. Maintenant, C’est ce qui est juste près d’elle maintenant. Voyez ? Cette Lumière-là, Cela avance ; la dame entre, si on peut encore m’entendre. La dame s’éloigne.
Et je la vois. Elle souffre d’une maladie de nerfs terrible, très.-.très nerveuse. Et puis, elle a quelque chose sur les mains, ce n’est pas visible, mais c’est une éruption, on dirait des taches rouges. Ça la dérange et c’est ce qui est à la base de cette maladie de nerfs. C’est vrai. Est-ce vrai, madame ? Si c’est vrai, levez la main, si c’est vrai. Très bien. Très bien.
96 Maintenant, croyez-vous ? Maintenant, suivez, si–si je lui parle davantage, il lui sera davantage dit. Mais cela me fait transpirer. Ça affaiblit beaucoup. C’est une vision. Eh bien, maintenant même, le seul moyen pour moi de savoir ce qui clochait chez elle, c’est de faire jouer cette bande pour découvrir cela (Voyez ?), ce qu’Il lui a dit. Mais il y avait quelque chose.
Maintenant, juste parler avec la femme, afin que vous sachiez qu’il y a quelque chose de différent. Juste lui parler, peut-être Il pourrait montrer autre chose. Il s’agit juste de saisir son esprit, de m’abandonner au Saint-Esprit, et Lui se tient entre nous, et on s’abandonne simplement. Il me prend et se met à utiliser ma voix pour parler.
97 Il a dit qu’Il avait placé dans l’Eglise des apôtres, des prophètes, des docteurs, des évangélistes et des pasteurs. Ainsi, nous ne pouvons pas sauver l’un et pas l’autre. Et je ne suis pas un fameux prédicateur, mais j’ai été appelé. Je suis né pour faire ceci. Toute ma vie, cela est arrivé. A aucun moment cela n’a jamais échoué, et cela n’échouera jamais parce que ça vient de Dieu.
Maintenant, la dame, c’est comme s’Il parlerait encore avec elle, par Sa grâce ; elle s’éloigne de moi. Et je la revois. Elle marche dans une pièce, très nerveuse, on dirait. Et elle regarde ses mains. Il y a quelque chose qui fait éruption sur sa main et il y a des taches rouges. Et puis, elle souffre de quelque chose comme des maux de tête. Cela lui fait mal comme un… C’est la sinusite qu’elle a à la tête. Et puis encore, elle a de–elle souffre de–d’estomac, c’est une tumeur dans l’estomac. Et cela a été causé par une chute… ?... ici…
Maintenant, croyez-vous que je suis Son serviteur, madame… ?... maintenant. Eh bien, c’est Lui, Celui qui était au puits. Eh bien, puis-je guérir la femme ? Certainement pas. Je peux prier pour elle. Je peux prier, mais je ne peux pas la guérir. Maintenant, prions pour elle.
Père céleste, tout ce dont cette femme a besoin, que si Satan l’a liée, nous par le Nom de Jésus-Christ, nous prenons l’initiative. Et nous demandons qu’il quitte cette femme et qu’il soit chassé au Nom de Jésus-Christ. Amen. Maintenant, allez en vous réjouissant et soyez heureuse, madame. Très bien, madame.
98 Maintenant, cela devrait tout régler. Cela devrait tout régler, vous croyez au Seigneur Jésus-Christ. Si la Bible dit : « Si tu peux… » Vous dites : « Oh ! Elle était sous émotion. » Probablement que si vous aviez été guéri de la même chose, vous auriez aussi un peu d’émotion. Si vous étiez… si seulement vous aviez le coeur ouvert, observez l’expression sur leur visage quand–sur leur visage quand ils croient. Ils ne peuvent pas se tenir dans cette Présence-là sans le savoir. Voyez ? Ce n’est pas moi, c’est Lui.
Maintenant, maintenant qu’elle rend grâce à Dieu, maintenant je demande à tout le monde ici présent, au Nom de Jésus-Christ, de regarder de ce côté-ci, de croire de tout son coeur, et voir si Dieu ne vous appelle pas à Lui. Voyez ? Je veux dire : Combien n’ont pas de cartes de prière et aimeraient être guéris ? Faites voir les mains. Ceux qui n’ont pas de cartes de prière, levez la main, partout. Voyez, vous y êtes. Eh bien, c’est simplement partout.
99 Maintenant, regardez de ce côté-ci, vous qui n’avez pas de cartes de prière, qui n’allez pas être dans la ligne. Croyez simplement, ayez foi. Maintenant, la petite dame ici debout m’est inconnue. Je ne l’ai jamais vue de ma vie, à ce que je sache. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre ? Nous le sommes. Maintenant, s’il y a quelque chose qui cloche chez vous, je ne le sais pas. Mais Dieu le sait certes. Il sait… Il vous connaissait avant la fondation du monde. Il connaît tout ce que vous avez eu dans votre vie. Il sait ce pour quoi vous êtes ici.
S’Il me disait ce que vous–ce que vous désirez de Sa part, accepteriez-vous cela et croiriez-vous cela ? Maintenant… Si quelque chose que vous… Ça peut être de l’argent, ça peut être pour le foyer ; ça peut… je ne… ça peut être la maladie. Je–je ne sais pas. Lui le sait. Maintenant, le miracle, c’est que, eh bien, si je disais : « Voici un homme dans un fauteuil roulant, il a des membres tordus. » Vous regarderez et vous diriez : « Oh ! Oui, assurément. Je vois cela. » Mais voici une femme qui apparemment est en bonne santé. Pourquoi est-elle ici ?
100 Peut-être qu’elle est une séductrice. Si c’est le cas, observez ce qui lui arrive. Voyez ? Voyez, si c’était cela. Voyez ? Observez ce qui arrive. Combien ont déjà vu cela arriver, quand un séducteur montait à l’estrade ? Oui, oui. Quelqu’un est monté à l’estrade, il a cherché à m’ensorceler un soir. Le gars parcourait des camps militaires en ensorcelant des gens, les faisant aboyer comme un chien et tout comme cela. Alors, le Saint-Esprit a réagi, disant : « Toi enfant du diable. » Et il a été paralysé là même, et il y a de cela trois ans, quatre ans, il est toujours paralysé aujourd’hui. Voyez ? Oui, oui.
N’osez pas… On ne fait pas la religion. Vous êtes dans la Présence du Saint-Esprit. Voyez ? Ce n’est pas l’homme, c’est Lui. Nous pouvons être non instruits et des gens simples, mais c’est nous que Dieu a appelés au ministère pour faire ceci. Et ceci est Son oeuvre.
101 Maintenant, la petite dame, je–j’aurais bien voulu vous aider d’une façon ou d’une autre, soeur. Si je le pouvais et que je ne le faisais pas, je serais une brute, vous le savez. Mais je–j’aimerais vous aider. Je–j’aimerais voir le Seigneur faire quelque chose de bien pour vous.
Maintenant, si–si seulement je–je peux m’abandonner au Saint-Esprit ! Je dis : « Maintenant, vous êtes une chrétienne de toute façon ». En effet, le… votre esprit vient vers moi. Voyez ? Maintenant, maintenant que je–j’ai votre esprit sous mon contrôle (Voyez ?), vous ne pouvez pas cacher votre vie, même s’il vous le fallait maintenant (Voyez ?), car c’est devant Dieu.
102 Et je vois que vous êtes–vous êtes très nerveuse aussi. Et vous avez… vous… votre maladie, c’est… Vous avez des problèmes à la tête. C’est dans votre cou et dans vos épaules et le dos. Cela a été causé par une chute que vous avez subie et c’est ce qui a fait ça. C’est vrai, n’est-ce pas ? Maintenant, croyez-vous de tout votre coeur ? Croyez-vous que vous êtes guérie maintenant et que vous allez être rétablie ? Avancez.
Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, bénis cette femme que je bénis en Ton Nom, réclamant sa guérison par le Nom de Jésus-Christ. Amen. Maintenant, que Dieu vous bénisse. Allez, et que le Seigneur Jésus vous bénisse et vous accorde les meilleurs de Son Royaume. Maintenant, soyez très respectueux. Ne… Soyez simplement–simplement très respectueux. Croyez de tout votre coeur.
103 Jésus a dit : « Je le peux, si vous croyez. » Mais vous devez premièrement croire. Juste un instant. Si notre frère de couleur là… Voudriez-vous reculer d’un côté ? Il y a une vision qui se passe juste là, juste là en bas. Il y a une dame en train de prier. Et je vois cela. Eh bien, oui. La nervosité et une maladie gynécologique… Croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablit ? Juste de l’autre côté, maintenant, imposez la main à la–à la dame à côté de vous là. Juste là, juste ici. Non, la dame à côté de vous. C’est ça. Voyez ? Non, la dame en chapeau rouge, imposez la main à la dame là même. Voyez ? Très bien.
Maintenant, notre Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus, nous réclamons cette délivrance. Je prie que le Dieu Tout-Puissant fasse s’accomplir cela maintenant même, pour la gloire de Dieu, au Nom de Jésus. Amen.
104 Je n’arrivais à voir qu’une seule femme, mais cette femme paraissait jeune, et l’autre paraissait vieille, et je n’arrivais pas à identifier où c’était. Et c’était au-dessus de l’homme. J’ai pu avoir la vision. C’était une petite dame assise au bout. Très bien. Vous pouvez regagner votre–votre place maintenant. Que Dieu vous bénisse, madame. Votre simple petite foi a touché Son vêtement. Vous étiez assise là en train de prier à cette fin-là, n’est-ce pas ? Vous étiez assise là en train de prier pour cela, n’est-ce pas ? Si c’est vrai, levez… Tenez-vous debout si vous étiez en train de prier pour cela afin que les gens sachent que c’est ça. Voyez ?
Comment ai-je su ce pour quoi elle priait ? Elle–elle priait pour que je vous désigne. C’est la raison pour laquelle Il a fait ça. Amen. Maintenant, vous êtes guérie et vous pouvez rentrer chez vous, bien portante. Amen. Que Dieu vous bénisse. Qu’est-ce qui a fait cela ? La femme a touché Son vêtement. Elle ne m’a pas touché. Elle L’a touché. Lui s’est simplement servi de ma voix pour répondre. Nous sommes des sarments. Il est le Cep. C’était le Sien ; ce qui est passé, Il s’est simplement servi de ma voix comme Il se sert de nos yeux, de nos mains et tout.
105 Maintenant, la dame ici m’est inconnue. Je ne la connais pas, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Nous sommes de parfaits inconnus, n’est-ce pas ? C’est vrai. Maintenant, je suis content que la soeur de couleur soit ici debout ; en effet, il y a beaucoup de gens de couleur ici ce soir. Et vous pouvez voir que Dieu ne fait acception de personne, de nationalité. C’est Lui qui nous a tous créés. Nos couleurs et autres n’ont rien à faire avec cela.
Il a parlé à la femme au puits… Voici un parfait tableau de la femme au puits une fois de plus, une fois de plus. Voici un Blanc et une femme de couleur. Voyez, tout à fait : un Juif et une Samaritaine. Et aujourd’hui dans le Sud, on connaît une ségrégation, comme celle qu’on a… qu’on avait à l’époque. Ils connaissaient alors une ségrégation, les Juifs et les Samaritains. Mais Jésus lui a fait savoir que Dieu ne s’occupait pas de leur ségrégation. Dieu, quand ils parlaient, tous les hommes doivent L’adorer en Esprit et en Vérité.
106 Très bien. Comme nous sommes de parfaits inconnus, nous ne nous connaissons pas l’un l’autre, Dieu nous connaît tous deux. S’Il me révèle ce pour quoi vous vous tenez là, allez-vous croire cela ? Est-ce que le reste parmi vous, gens de couleurs, croirez-vous cela de tout votre coeur là dans l’assistance, si Dieu fait cela pour votre soeur de couleur ? Très bien. Que le Seigneur vous bénisse. Encore un contraste, les gens de deux nationalités (Voyez-vous ce que je veux dire ?), et le même Seigneur Jésus qui nous aime tous deux…
Votre maladie est dans votre flanc. Ce n’est–ce n’est pas gros. C’est une grosseur, c’est une petite grosseur grasse, dans votre flanc droit au niveau de la taille. C’est vrai. A la minute où vous avez placé votre main dessus, avant que j’en aie parlé, que le Seigneur accorde autre chose, afin que l’assistance et les gens de couleur voient que cela vient du Seigneur Jésus. Croyez-vous de tout votre coeur ?
Vous n’êtes pas d’ici. Vous venez d’une ville appelée Jamaïque, New York. Et tenez, votre nom est Esther et–et Lewis. Est-ce vrai–est-ce vrai ? Me croyez-vous pour… Vous dites qu’Il connaissait Pierre et les autres. Croyez-vous qu’Il est le même Christ ? Très bien, poursuivez votre chemin, soeur, et que le Seigneur Jésus vous rétablisse, au Nom de Jésus.
107 Croyez-vous de tout votre coeur ? Vous pouvez avoir ce que vous demandez. « Si tu peux croire. »
Petite dame assise là en train de louer le Seigneur, soeur, vous souffrez d’une–une maladie qui est… qui cause l’insomnie, la nervosité. Vous prenez des somnifères pour dormir. N’est-ce pas vrai ? Très bien. Croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablira ? Acceptez-vous cela ? Vous étiez assise là en train de prier et croyant ; levez la main si cela… c’est vrai. Très bien. Voyez ? Très bien, rentrez chez vous et dormez ce soir, je vous envoie au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas, mais croyez. Tout est possible à ceux qui croient. Jésus a dit : « Si tu peux croire, tout est possible à ceux qui croient. » Mais premièrement, vous devez croire.
108 Si vous croyez, madame, cette hernie et cette nervosité vous quitteront. Si vous croyez, vous assise là en manteau rouge, derrière vous, si vous croyez de tout votre coeur, Jésus-Christ vous rétablira.
Vous dites : « Vous êtes en train de lire leurs pensées. » Non, monsieur. Sa foi a touché le Seigneur Jésus. C’est vrai. Si tu peux croire… Les conditions sont : si vous pouvez croire. Ce n’est pas pour les incroyants. C’est pour ceux qui peuvent croire. Amen.
Vous souffrez de l’hypertension, n’est-ce pas ? Mais si vous croyez de tout votre coeur, Jésus-Christ vous rétablira. Celui qui est assis à côté de vous, vous avez, vous avez mal à la jambe, une affection de jambes, vous assis là. Mais Jésus-Christ peut vous rétablir si vous croyez cela. Amen. Amen.
109 Il se déplace ici. Oh ! Que c’est merveilleux ! « Si tu peux croire », c’est ce qu’Il a dit. Croyez-vous, madame ? De tout votre coeur ? Si Dieu me révèle ce pour quoi vous êtes ici, madame, allez-vous croire que je suis Son serviteur ? Maintenant, voici ce que l’Ange a dit : « Si tu peux amener les gens à te croire… » Non pas me croire comme Lui, mais croire qu’Il m’a envoyé pour vous aider. Je suis juste Sa voix. Voyez ? Je suis juste Sa voix en vision, juste comme quand vous regardez n’importe quoi que vous voyez. Eh bien, croyez cela. Que Dieu bénisse votre coeur. Très bien, que le Seigneur vous accorde votre requête.
Vous en avez une très bonne, madame. Premièrement, vous êtes nerveuse comme vous l’êtes en fait. Ensuite, vous cherchez quelque chose. Vous cherchez Dieu. Vous voulez une marche intime avec Dieu. Vous voulez le baptême du Saint-Esprit ; c’est… ?... Oui, et vous… mais vous… Mais, voyez, cela va vous quitter, et vous recevrez le Saint-Esprit.
110 Maintenant, regardez, Ève cherchait une nouvelle vie quand Satan l’a séduite. Ainsi donc, faites attention, allez de l’avant. J’aimerais prier pour vous afin que Dieu vous accorde le baptême du Saint-Esprit et vous accorde ce que vous désirez. Venez ici.
Seigneur Jésus, accorde à cette dame la bénédiction, et puisse-t-elle recevoir le Saint-Esprit. Même au… dans sa propre maison ce soir, c’est possible, Seigneur, pour vous à l’église. Accorde qu’elle reçoive cela, au Nom de Christ, je le demande. Amen. Maintenant, allez en croyant, soeur. Il le sait. Il sait ce que vous cherchez, sinon Il ne me l’aurait pas révélé. Maintenant, j’ai… ?... [La soeur parle à frère Branham.–N.D.E.] Oui, soeur. Oui. Oui. Oui. Oui.. Puisse cela se faire, ce qu’Il a fait là même. Voyez ? Cela… Ça s’arrangera pour vous. Allez simplement et croyez Dieu. Allez et croyez de tout votre coeur.
111 Viens, petit garçon. Un beau petit garçon, eh bien, je–je suis sûr que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je vais te poser une question, fiston. Tu as l’air d’un beau petit–petit garçon. Eh bien, savais-tu que Jésus a dit : « Laissez venir à Moi les petits enfants et ne les en empêchez pas ; car le Royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent » ? Un petit enfant, c’est le… un modèle du Royaume de Dieu. Il a dit : « Laissez-les venir à Moi et ne les en empêchez pas. »
112 Maintenant, si Jésus était ici aujourd’hui, et que toi, tu venais là où Il était… Tu as appris qu’Il était ici à Brooklyn, et tu es venu vers Lui, et Il est venu vers toi ; maintenant, Il te connaîtrait, n’est-ce pas ? Il–Il ferait ce que Tu… quel était ton… ?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]… brûler d’arriver ici. Et c’est juste comme quand je me retourne, comme quand l’onction frappe. Je n’ai pas l’intention d’essayer d’expliquer cela. On ne peut pas l’expliquer. Je ne connais pas plus à ce sujet que vous. Mais on dirait que cela ne fait que descendre de l’un à l’autre. C’est comme s’Il voulait t’appeler. Mais si seulement tu casses cette croute de l’ombre de doute (Voyez-vous ?), c’est l’unique chose qui t’empêche de recevoir cela. Maintenant, regarde vers Lui.
Ce cher petit garçon est ici debout. Il est probablement malade, ou quelque chose comme cela. Je ne sais pas. Il est ici debout. Mais ce pauvre petit garçon, un enfant… Eh bien, que le Seigneur l’accorde. Et s’Il le fait, combien Lui feront une promesse ce soir… Si Dieu… que le petit garçon en soit juge. Si–si Dieu, s’Il parle à cet enfant et lui révèle sa vie ou son futur ou n’importe quoi… Eh bien, si je venais ici et que je disais : « Oh ! Le Seigneur dit que tu vas te rétablir », eh bien, tu aurais le droit d’en douter.
Mais quand le Seigneur vient et que je dis : « La semaine prochaine, ton état va s’améliorer, et dans deux semaines, tu vas te rétablir », tu as le droit d’en douter. Mais quand le Seigneur descend et te dit ce que tu as été auparavant, tu sauras si c’est vrai ou pas. Vois-tu ? Tu sais cela. Ensuite, Il t’annonce ce qui arrivera. Tu peux croire cela, car ça sera tout aussi vrai que l’autre l’était. Il est Dieu.
113 Maintenant, combien diront à Dieu : « Ce soir, je me débarrasserai de toute ombre de doute et je croirai en Toi, si–si Tu révèles à ce petit garçon et que Tu nous mont res que Tu es le même Seigneur Jésus ressuscité dans toute Ta puissance, je–j’accepterai cela » ? Faites-nous voir les mains levées vers Dieu maintenant. Vous faites… C’est bien. Très bien. Que le Seigneur Jésus l’accorde. Partout au balcon, chacun de vous.
Maintenant, voici un petit–un.. petit garçon. Vous savez combien bon… Je l’ai vu se tenir ici, portant un petit manteau bien coupé, sa petite cravate, son petit pantalon. Savez-vous à quoi je pense ? Là loin dans une patrie, en Afrique du Sud. Les petits enfants là, peut-être, ils n’ont jamais porté d’habits. Ils ne–ils ne savent même pas distinguer la main droite de la main gauche. C’est la raison pour laquelle, amis, je laisse le peuple américain. Mon coeur brûle pour l’Afrique.
114 Ils venaient là… J’ai vu trente mille purs païens avec des idoles en mains accepter du coup Jésus-Christ comme Sauveur personnel. Le Seigneur nous a donné un grand ministère parmi les gens de couleur là. J’y retourne. Il y a quelques soirées, une jeune fille de couleur est montée à l’estrade, elle devait juste marcher comme ceci. Et j’ai dit : « Seigneur, si seulement Tu accordes à cette jeune fille son désir… » En effet, juste avant que j’aie vu ces champs en Afrique, comme cela, en vision. Et je n’arrivais pas à voir la jeune fille à cause de cela. Et ça semblait juste comme un appel vers l’Afrique. Et le Saint-Esprit est descendu et lui a dit qu’elle avait–elle avait connu un accident d’automobile et elle s’était tranché un nerf au niveau de la tête, ici. Et elle n’arrivait pas à entendre, ni à parler, ni à bouger d’un côté. Et j’ai dit : « Saint-Esprit, si Tu accomplis un signe devant cette assistance nombreuse ce soir, que Tu donnes à cette jeune fille une parfaite santé, je ferai des préparatifs pour retourner en Afrique. »
Et aussitôt que cela a été dit, la jeune fille a lâché un cri, elle a dégagé tous les deux bras, elle était parfaitement normale, avec un nerf tranché, sectionné, elle a crié : « Maman, maman, maman. » Oh ! C’est si bon comme cela, encore.
115 Eh bien, voici un petit garçon ici debout. Je ne sais rien à son sujet. Mais maintenant, vous avez fait une promesse à Dieu, et j’ai fait une promesse à Dieu moi-même en m’abandonnant.
Maintenant, fiston, j’aimerais donc te parler une minute, sans faire de toi un… J’aimerais simplement voir le Saint-Esprit guérir tout le monde à la fois, vous savez ce que je veux dire. Très bien.
Maintenant, petit garçon, je te regarde simplement. Comme Pierre, Jacques et Jean, Pierre et Jean passaient par la porte appelée La Belle, dans la Bible. Ils ont dit au boiteux, ils ont dit : « Regarde-nous. » Cela ne veut pas dire les regarder comme étant quelque chose, mais de faire attention à ce qu’ils disaient. Voyez ? « Regarde-nous. »
Et Elie le prophète a dit : « Si je n’avais égard à Josaphat, je ne te regarderais même pas. » Mais il a dit : « Faites venir le joueur de harpe. » Et l’Esprit est venu sur…
116 [Espace vide sur la bande–N.D.E.]… les muscles. Il a une affection des muscles. Il a été partout. Je le vois aller chez les médecins, et les médecins ne savent même pas ce qui est à la base de cela ni ce que c’est. Je le vois quitter l’hôpital, faire des va-et-vient ; ce sont de différents hôpitaux. Il a même subi une intervention chirurgicale pour cela, rien ne lui a fait du bien. C’est une malédiction du diable. C’est vrai, n’est-ce pas, fiston ? Si c’est vrai, lève la main vers Dieu.
Maintenant, quant à le guérir, je ne le peux pas. Mais Dieu le peut. C’est vrai. Le petit garçon est couvert de l’ombre. Voyez ? Dieu seul peut faire cela. Et toi, dans cette pièce, il y en a beaucoup ici qui sont couverts de l’ombre. Mais Dieu peut ôter la malédiction. « En Mon Nom, ils chasseront les démons. » Jésus-Christ est ici. Croyez-vous cela ? Alors, vous tous, recevez… et soyez donc guéris. Allez-vous croire cela, vous tous ?
Pendant que je prie pour le petit garçon, alors, imposez-vous les mains les uns aux autres, voyons ce que le Saint-Esprit fera. Dans la ligne de prière, partout, imposez-vous les mains les uns aux autres. Là, madame. Inclinez la tête partout. Soyez vraiment–vraiment consacrés à Dieu.
117 Ô Père céleste, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur ces gens. Et Tu es ici, Te mouvant parmi les gens dans la ligne de prière, là dans l’assistance, partout. Et les gens reconnaissent que Tu es ici. Ils savent que l’homme ne peut pas faire ces choses, alors que cela leur a été prêché par la Bible, que Jésus de Nazareth est ressuscité d’entre les morts et qu’Il se manifeste comme étant vivant.
118 Un petit garçon se tient ici, il se tient ici, un petit Ethiopien. Et le diable l’a lié. Et, oh ! Satan, tu t’es caché au médecin, mais tu ne peux pas te cacher à Dieu. Je t’adjure par le Dieu vivant de sortir de lui et de laisser le petit garçon tranquille. Quitte-le. Nous venons au Nom de Christ, représentant la mort de Christ et Sa souffrance à notre place. Il est ici ressuscité. Et Il est ici parmi nous ce soir.
Et tu le sais, tu es donc exposé, et sors de cette assistance. Quitte ces gens, toi démon. Nous t’ordonnons par le Nom de Jésus-Christ, de quitter les gens et de sortir d’eux. Au Nom de Jésus-Christ.
Maintenant, que tout celui qui croit de tout son coeur garde la tête inclinée, les yeux fermés. Dites ceci : « Seigneur Jésus, entre dans mon coeur, ôte toute ombre de doute, cette vieille robe de doute rongée. Je jette ça. Je me revêts de la foi dans le Saint-Esprit. Je suis la postérité d’Abraham. J’appelle ces choses qui n’étaient pas comme si elles étaient. Je crois que je suis guéri. Je confesse Christ. »
Satan, sors de ces gens, au Nom de Jésus-Christ. Levez-vous. Rendez gloire à Dieu.
E-1 Just remain standing a moment. Our heavenly Father, we thank Thee for the privilege that we have of being assembled together one more night this side of the coming of the Lord. And may we live and act tonight, and do and accept just as we would if this was the last night.
Grant it, Lord. If there be any here who doesn't know Thee in the pardoning of their sins, the blessed Holy Spirit has not filled their life until this time, may this be the night that they receive Him. Grant it, Lord.
And may also every sick and afflicted person be healed of their diseases tonight and show Your great hand to heal the sick and to save the lost. Grant it, Lord, for we ask it in Jesus' Name, Thy beloved Son. Amen. You be seated.
E-2 So happy for the privilege of being back in the church again tonight. I believe one said once, "I was happy when they said unto me, 'Let us go unto the house of the Lord.'" And this is a privilege that's--that's rare to us all to assemble together to serve the Lord Jesus.
And now, I believe the engineer on this may--I may, hope I'm not too loud. Can you hear me all right? And... Can't hear me over there? Would you step it up just a little bit, ever who's on the--the engineering end of these microphones, if you will.
I don't talk too loud, and so I guess it's kindy hard sometimes to hear. Now, is that better? Can you hear that all right now? That's fine. Up in the balcony all right? Well, that's good. All right.
E-3 Now, our friend, Brother Mattsson-Boze was speaking this afternoon, and--and on the road over tonight they told me he had a wonderful message. So you people that were here were privileged to hear the message, and so we pray that you'll trust that if possible you'll be out tomorrow afternoon to hear his message again. I think his services begins around two or three o'clock, something like that. They probably already announced it.
Joseph, as I call him, I've knowed him for a long time, and I know him to live like he preaches. So that's the main thing. You know, I'd rather you live me a sermon than preach me one. It's a lot better to be lived and--than it is to be preached. It takes a real servant of God to live one, but most anyone that preaches, besides myself, maybe preached one once in a while.
E-4 So we are trusting through the Lord tonight to bless each one. And I have just heard that Brother Jack Coe isn't too well yet. And I certainly do pray that God will heal Brother Jack Coe. I--I--I can think of Brother Jack as many of you know him, as he looks today, but when I first seen him, he was a little skinny boy. And he...
I was at San Antonio, Texas. And he was the most curious little fellow I ever seen when he couldn't understand the callings of things of God. So one night on the road out, he said, "Say, I want to ask you something." They'd just taken me from the platform. And 'course, then is just when the anointing is leaving; it ain't bad while it's there or when you're out of it. But it's in between the times is what does it. Anyone who knows the Scripture know what that means.
E-5 And Mr. Kidson, a few of the brethren were taking me from the place, and--and Brother Jack said, "Say, tell me what's wrong with this woman here, and I'll believe you." See?
I said, "Sir, the Lord doesn't work like that." You see? I said, "He doesn't... It was one time they said, 'Come off the cross, and I'll believe You.' It was one time said, 'Turn these stones into bread and I'll believe You.' One time they put a rag over His face and hit Him on the head, said, 'Tell you--tell us us who done it and we'll believe You.'" I said, "God doesn't do it that way."
He said, "Sir, I'm just curious."
I said, "That's right. Now, the woman that you have has a tumor in her side." And I said, "And the only thing's the matter with you is just a little curious preacher. You don't understand this, but someday you'll be out on the field preaching the Gospel and praying for the sick." And that's--that's the beginning of Jack Coe. He left from right there.
E-6 And tonight, he lays very ill with polio in his lungs, I think, and is very, very bad. And now, Brother Jack as I know in the foreign fields where we deal with leprosy and everything, and Brother Jack has had to face lots of sickness and things. And that... No one can really, truly, outside of God, appreciate a man that goes before every kind of a thing like that.
So I think before we start the service, will you just bow our heads for a word of prayer for Brother Jack.
Our heavenly Father, it's with bowed hearts that we come before Thee tonight, this lovely church here in Brooklyn, to offer our sincere thanks to Thee for Brother Jack Coe and for his ministry, and for the things that he has done for Thee and in Thy Name.
E-7 And now, Father, he stands just at the point of death. Oh, great, Holy Spirit, will You deliver our brother? We pray the prayer of faith to the best of our knowledge. And we pray that You will manifest Your great healing power. And Father, if be possible, I pray that You'll give a vision of what to go tell Brother Jack, I would leave immediately.
And I pray Thee to be merciful to him and to spare his life, thinking of his good works and of the things that he has did for Thy Kingdom, the orphanage of the poor little children that without papas and mamas. And oh, God, if--if the enemy takes him, what'll happen to that school?
God, we think of his own family, the work of the Lord. Be merciful to Brother Jack, and I pray that right now that the Holy Spirit will take over, drive away the polio, may his lungs begin to breathe back and forth normally. Grant it, Lord. We humbly offer You this prayer, Lord, with all the faith that we have, believing that You'll answer us. For we ask it in Jesus' Name, Who said, "Ask the Father anything in My Name, I'll do it." And I pray that it'll be answered in that way for the glory of God in Jesus Christ's Name. Amen.
E-8 By keeping you a little late last evening, I will try to maybe a little shorter this evening. And I want to read just a verse of Scripture from the Old Testament in 2nd Kings, the 2nd chapter and the 20, or I mean the 13th verse.
And he took up also the mantle of Elijah that had fallen to the ground and he went and stood by the Jordan.
And now, for a text tonight, I would like to use this as a text, "A Secondhanded Robe." And then for--then for a--a subject: Standing by the Jordan. And may the Lord add His blessings to the reading of His Word, and in doing so, bring faith to the audience.
E-9 I suppose we're about the same audience that was here last evening. So we understand how to approach God, as I explained it last night on how to come to Him and about the operation and what Jesus Christ was raised from the dead, and He's alive tonight, and He's just the same yesterday, today, and forever.
On the subject tonight as a way of knowing that you people here have a very good pastor, a good preacher, and I know you're used to preaching. And I feel very small to stand behind the pulpit here where Brother Hutchinson has ministered. Because as myself, I'm not a speaker. I'm not too well, I have a--an educ--very poor education. And I--and I just trust in the Lord for what little I do--can do for Him, and but what I know of the Word, I'd sure like to tell someone else about it when we fellowship around the blessed Word.
E-10 Now, in the day of the event that we're speaking of tonight, or right immediately after the death of Ahab, and Ahaziah his son had taken (pardon me) his place and had done wickedly; and he had fallen through the lattice of the place in Samaria and had been cursed and was laying, dying.
And so, him being an idolater, sent the men from Samaria to inquire of Beelzebub and--the--the demon powers of what would be his outcome, if he would be able to--by through this great god that they call Baalim, if they would be able to recover from his condition.
And on his road over there to the messengers that he sent, God Who knows all things, called for His servant Elijah, and said, "Go meet them and ask them, 'Why you doing this because there was no God in Israel?'"
And when he turned the servants back, and on their way back or when they returned back, they asked him, "Why didn't you go to take the message?"
And he said, "We met a man that told us, 'THUS SAITH THE LORD.'"
And then, the king inquired, "What kind of a man was he?"
He said, "He was a hairy man, and he had leather on his loins." And he knew it was Elijah, the Tishbite.
E-11 God has never been at any time without a true witness on the earth. He always has had a true witness somewhere. And since the world began, He's had it. And somewhere today, there is a true witness of God. In the midst of all of our nine hundred and sixty-nine different denominations here, there's somewhere that God has a true witness.
Now, in the old days He had prophets. The message came by God in sundry times and divers manners spake to the fathers by the prophets, and in this last day has spoke to us by His Son, Christ Jesus. And now, the Word came through the prophets. Today, we have gifts of prophecy, and we have prophets, also.
E-12 And there's quite a vast difference between a gift of prophecy and a prophet. A gift of prophecy is a church gift that operates, that might be on one one night, and another another night, and another another night. And before it can be received into the church, it has to be judged by three different judges. And then, three witnesses has to accept it as being the Word of the Lord, then it's kept on record; and if it comes not to pass, then there's an evil spirit among the people. And that's why I think that we have misused God's Divine gifts.
In our tabernacle at home when I first--in our Baptist church, when I first received the baptism of the Spirit and was called into the ministry, we tried to seek out God for the spiritual gifts. We had all the people that come who were gifted people, maybe an hour before the service ever started.
E-13 And the gifts of the Spirit as one would speak in unknown tongues and the other give the interpretation... And it could not be just a quoting of Scripture, 'cause God doesn't use vain repetition. It must be some direct message to the church. And then, if it was a--to the church before it could be received in the church, they had to be at least three spiritual gifts there. And that was to call them--we call them like judges to judge. Three people with the gift of discernment, in the Bible it's called.
And one of them would raise up and say, "It's of the Lord."
And the other one raise up and say, "It's of the Lord." Well, the two out-ruled the one. So then the message was taken down and then placed on my desk. And it couldn't be now like, "Jesus is coming soon." We know that. And the other things that the Scriptures declared...
E-14 It would be something like this: "Tell, THUS SAITH THE LORD, tell Brother Jones to get away from that place where he lives, for it's near a railroad track, for tomorrow at two o'clock, there's going to be a wreck there, and his house will be destroyed." Or, "Tell Brother Branham that tonight there'll be someone come in from a certain place that's got a certain disease, be dressed a certain way. And he shall go to them; they'll be brought in tonight by ambulance and tell them that this thing that's--that's against them. It's THUS SAITH THE LORD."
Well then, if them messages was taken down that the witnesses witnessed that it was the Holy Spirit, it was laid on the--the pulpit, and then when the church begin to gather, all the gifts they would done had their part of the need. There was nothing taking place then but the singing of the Word--of the singing of the--the hymns.
E-15 And then, when I came out to speak, which was in the room, they pressed a button, a red light come on. I'd been in there maybe all afternoon, praying, walked forth with--with the message of the Lord on my heart. Before I made the message on the platform, on the pulpit, leed--laid these messages. I read them off, then went on with the message. And then, after the message, the altar call.
And if the things that were written on there did come to pass, we thanked the Lord and praised Him for it. If it didn't come to pass, they had a cleaning up time. There was an evil spirit among them, 'cause God don't tell lies. See?
And that's the way the gifts should be operated. And then, all this stuff that goes on in the name of the gifts would be culled out. And then, no one wants a evil spirit on them to lie and do those things. They want the real; there's a real Spirit. You don't have to have that kind of a spirit. God's got a real Spirit for you. And so, you don't want them things that the devil would give you.
E-16 And if that was wrong, then all of those people repented and prayed, and fasted, and went before the Lord till that spirit got off of them, of all of them. And the witnesses and all, the--the one who discerned it and so forth. They were all wrong. And then, we had the thing cleaned up. And that's the way that the gifts should be operated in the church to my opinion. That's the way it worked wonderful in our tabernacle at home.
And then, if that would work in a Baptist church, it surely ought to work in a Pentecostal church. It certainly ought to. So then, if--that--it's just the sincerity. And you must respect those gifts and give them their places and everything where they're--they should be.
And the Bible is a blueprint, just how they should be put together and how they should operate. Then, you'll have no trouble at all nowhere. Everything will move just exactly in the will of the Lord. If He wants anything said, He will speak and give the interpretation of it, and set it out, and it'll happen just exactly to the minute just the way God said it would.
E-17 And oh, the marvelous things that we have seen our Lord do in those things. But it takes a consecrated life, a surrendered life, and--and so forth, and a church that's purged daily by the Blood of the Lord Jesus and them things will take place.
And there's a vast difference between a gift of prophecy and a prophet. A gift of prophecy will act on one and then another and it's to be judged. But a prophet has the Word of the Lord. And a prophet is a borned a prophet. See?
For Jesus Christ was the Son of God, He was a--He was a woman's Seed from the garden of Eden, that was promised. You believe that? Moses was borned a prophet. They recognized it when he was born, a prophet child, the emancipator of--of Israel.
And John the Baptist seven hundred and twelve years before he came to the earth, he was the voice of one crying in the wilderness through the prophet Isaiah.
Jeremiah, God told Jeremiah, "Before you was even formed in your mother's wombs or came forth, I knew you, and sanctified you, and ordained you a prophet to the nation." See? Gifts and callings are without repentance. God has. See? That's... Oh, what a wonderful... But well, that's the pastor's place to take care of that. I'm here to preach Divine healing to you. All right.
E-18 But anyhow, in the days--in the--as long as Israel walked before God, and listened to the prophets, and--and had the right thing, then God heard them and blessed them. And He will do the same thing in the church today, if the people will re--touch Him, and listen, and keep things straight, and everything's moving directly in Christ. God will do the same thing for the church.
Now, God had His man and it was Elijah, the Tishbite. And usually, God has one major in them days, a major prophet. Then sometimes He will have others, minor prophets.
In the days of Elijah, he knew that he was making ready for his translation. God was going to take him up. So he had went and called to Elisha to take his place. And he threw his robe around him and called him to the ministry under the inspiration of the Holy Spirit.
E-19 And now, in them days, they'd had a school, called the school of the prophets, that had a--and we'd call it today, a seminary. They'd seen the great work that God was doing through Elijah, so they thought they'd get them a school, and--and hatch them out a few, and get a few prophets across the land like Elijah.
Well, that's--that's a great thing. But it never worked successful then. Neither will it work today. That's right. It takes God does the calling. That's the only flaw there is to it. God has to do the calling. And if God don't do the calling, then it does the prophet no good to go. But if God does the calling, He will honor His Word wherever he goes. God will be with him.
E-20 Now, we find that this school of the prophets, how it turned out to be. I'd imagine every prophet there... When Elijah came up, we seen they didn't live the right kind of life, for they said, "It's too strict for around here when Elijah comes around." I imagine if--if it'd be today, they'd make them get rid of all their television programs, and all their old love story magazines, and quit their smoking and drinking, and all these things, and clean up.
If there's anything would be needed today, it would be that. That's right. Any people that stay home on a Wednesday night from a prayer meeting to see, "We love Lucy," or, "Who love Lucy," or whatever it is, that person needs an old fashion case of repentance at the altar. That's exactly right. And anyone that would be--belittle themself with such things that's come out of Hollywood, and pattern yourself with such immoral people that's married five or six times, and running around, and carrying on the way they do with their ungodly dressings, and things that they have in that place, and make that your example?
Why, you ought to look at Jesus Christ. You've vowed to those things that are alive in Christ. Make Him your Example.
E-21 And it's terrible if you see the way the--this great nation of ours is sinking and falling, and all the programs and nearly on the radio and everything is some kind of a gag, or--or dirty joke, or some kind of a smutty odd thing being told. And all this old music they have, a boogie woogie, or ever what you call it, and rock and roll, and them evil persons like Seth or Presley, and Arthur Godfrey, and those them who pull them smutty jokes. And you people gum that stuff down you every day on the radio, and then come to the church and expect a blessing. How can you throw stagnated water in a place and expect good things to come out of it? There's a hog in the wallow somewhere. We need a cleaning out time. The church needs to be purged by the Blood of the Lord Jesus Christ that sets your affections on things above and the coming of the Lord.
E-22 Now, them people live their lives. God have mercy on them. I'm not making light of them or anything, but I'm only trying to press a point from the church. No wonder we can't have revival like we ought to. No wonder Billy Graham was crying the other night about not being able to see a revival in this time.
Brother, they need a cleaning up from the pulpit plumb into the--the janitor's room in the churches through the land is what we need, 'fore the Holy Spirit can take place. God's a holy God. That's right. And now, I don't believe that you'd go to heaven on your holiness, but you go to heaven on His holiness. But it's the works that you do prove what's in you. That's right. You love Him and God wants you to love Him.
And if you love Him, you'll worship Him and you'll love Him. What's in your heart, that's where you love, what you love. Where your treasures is, there your heart is also. It's a wonderful thing.
E-23 Like I said to my wife, "What's that--it's a case of love." Now, when I go overseas, I don't say, "Now, wait a minute, Mrs. Branham. I'm going to lay some law down to you now. I'm going overseas, and thou shalt not have any other husbands. And don't you go to flirting with any other man," and all these things.
Now, when she said, "Now, just a minute, young man, and I want to give you some orders. And you're not taking any women out while you're gone and..." Why, that... Wouldn't that be a life to live? I'd hate to trust her like that. That's right. And I guess she'd hate to trust me.
But we love one another. When I get ready to leave, we kneel down in the floor and offer thanks to God for the privilege that we have of going in the Gospel and to be in the work of the Lord. And I ask God to bless my little children and my wife and take care of them; we raised up, and I kiss her good-bye. Say, "Good-bye, sweetheart, see you when I come back. Be praying for me."
She said, "I will, Billy." That settles it.
E-24 Well, if I ever--I don't care who it was. If while I--if I even thought that I could as to go out with someone else and get by with it, I--if I knowed she'd forgive me for it; I wouldn't do it. I love her too much. I think too much of her to hurt her. She'd forgive me, but it would hurt her.
Well, that's just human love. How much more it is when you love the Lord Jesus? He don't have--you won't stay home and listen to these things. You love Him. You wouldn't hurt Him. Why, everything you want to do is to do something for Him, to--'cause you love Him. Though you say, "He forgive me for it." That's right. He might forgive you, but if you really love Him, you don't want to do it.
E-25 And we got too many school of prophets letting those things get by. That's the truth. And I want you to notice these fellows. When they were up there, why Elijah went up to see them one day. And one fellow went out to get some--pick some peas. And he picked a lap full of gourds and he cooked them up.
Now, a guy that don't know any difference between wild gourds and beans ain't very much prophet, don't look like. But he threw them into the pot and begin to cook them. They were cooking up something all right. And when they begin to eat, one of them recognized he was getting sick, and he said, "There's death in the pot."
Now, what did Elijah do? They went to him, the one with the double portion. So they went to him and wanted to know what to do. And he never said, "Get rid of all of it now." He said, "Don't do that." But he went and got a handful of meal, and threw into the same pot, and said, "Now, eat all you want to. There's life in it."
E-26 Now, what made the difference was the meal. And the meal at the school was the--the meal offering that was offered to the Lord which was grounded of certain burr. And every grain of meal had to be ground the same. And that meal represented Christ, the same yesterday, today, and forever. And when He's throwed into death, it always brings forth life.
What we need is Christ in the pot where we got the poison cooking. That's right, all the... We don't need to get rid of the Methodists, Baptists, and Pentecostals; we just need a handful, a heart full of Christ in among them, and all this other old programs and things will clear up. And from death will turn to life when Christ is put in.
E-27 The seminaries, the schools, the denominations, they're all right; but they need Christ in them. The members are fine people; they're human beings like you and I are, that love to eat and lovely families and love like that. But what they need is Christ in their life. They don't need a yard stick to measure by. Christ comes in; He takes the place of that yard stick.
I'm raised in a country where we got a lot of hard wood. And in the wintertime, the little old scrub oak always holds its leaf all winter, the oak tree does. Now, when springtime comes, you don't have to go out and pick up all--pick all the oak leaves off the old ones so the new one can come on. The only thing you have to do is just wait and let the new life come up; the old leaf drops off. That's all we need, is Christ the new life, and all the things in the world become dead to you. Just need Christ in the church. That's what we need today: more of the risen Lord Jesus.
E-28 Now, notice, now this school, I can imagine each one of them up there, they each one pack their Bibles just about like Elijah done. You know. And each one used his voice just the way Elijah does. It's a great day again of impersonation. Don't you believe that?
Billy Graham was just in Louisville, and I'm telling you, every program comes on, everybody say, "The Lord bless you real good." I don't... That's just being human, I guess. And try to speak like Billy Graham, pack their Bible like Billy Graham, or some evangelist come to town. That's the way that it... It's impersonation, carnal impersonation.
E-29 And now here it is. It may hurt just a little bit, but my mother used to give me... We was raised so poor, we--we'd have to eat corn bread that was made out of grease--out of meat skins where they cook it in a--a pan you know and boil out the grease to make... And every Saturday night, I know we used to have to take a dose of caster oil. And I--I--I can't even stand it today.
And mama used to say... I'd hold my nose. I'd say, "Mom, it makes me so sick. I can't even bear it."
She said, "If it don't make you sick, it don't do you any good." So maybe that is with preaching the Gospel. If it doesn't stir you up a little bit... And I'm afraid today, that many of us that are claiming great things of God, are only carnal impersonations...?... someone else the way, they acting the way they do, and try to put the same thing on ourself and act that way.
When Christianity is not a mimic; it's a life. Christianity comes by a birth that when you're borned again of the Spirit of God and become a new creature in Christ Jesus. Old things are passed away and all things become new. Watch.
E-30 And we find every one said, "Now, when Elijah goes, I will tell you; you know I'm the dean of the school. The mantle will come on me. That's... I will get it when Elijah goes.
And the other one said, "But you remember, I'm the professor here too. And I'm the dean of psychology. I--I'll get it, because I really know how to handle the people."every on... But you know what God did, God had chose a little old plow boy down there. Just shows the difference.
Maybe he didn't know his ABC's. Maybe he couldn't count to a hundred, but God had chose him. Sometimes man's choice is a lot different than God's choice.
E-31 One time they was choosing a king. And when the prophet went up. Even the prophet had a horn of oil to anoint one of David's sons. And they brought out the great big six-footer, you know. Said, "The robe and crown would look good on him." But God refused him. And God chose a little old scrawny guy back there. The Bible said, "A little ruddy fellow with a sheepskin coat on, with a slingshot in his hand, and herding his daddy's sheep."
But God don't look at the outside; God looks at the inside. And we're trying put too much exaggerations and so much expressions on the outward appearance, when God looks on the heart. Amen. Oh, my, how we need it today, everywhere, every place. The whole world is corrupted everywhere. How does God ever stand it?
E-32 But notice, here they come out. And Elijah, when he come by, his time just about fulfilled for him to go, he spoke to Elisha. Come by where he was at, and he said, "Now, you stay here. I'm going up to Gilgal here." You see, he tried to discourage him.
And many times when there's a blessing laying right ahead, the devil tries everything he can to discourage us. We go through trials and testings. But Elisha, being spiritual minded also, he knew that he had a purpose, and he wasn't going to leave him. He said, "As the Lord liveth and your soul liveth, I'm not going to leave you." I like that, that determination.
Oh, my, we take a little thing from God and get all discouraged in a hour, but not Elisha. He looked forward to the time. He knowed that it was close at hand. So he went to another place and he said, "Tarry here, I pray thee, for the Lord's calling me somewhere else. You just stay back here." But there's no staying back with Elisha. He had the revelation of what God was going to do.
E-33 So if somebody says, "Just stay home tonight and look at the television. It's too bad to go out." Don't you worry. If you know the Lord Jesus is coming, oh, you're going to church regardless of what the weather looks like or anything else. You're going to stay right there. For we're expecting something to happen at any time.
When we see Moscow with guided missiles, who could take this whole nation in one hour and never leave Moscow... Just send up this rocket like that with explosions in it, that's blowed so many thousand miles and guide it through the stars and radar, drop it right on Manhattan here, three or four of them at a time. And there'll be a--for fifteen miles each way would be hole in the ground a hundred and seventy feet deep. What would you do?
Or maybe let loose a hundred or two of them on the major cities at one time, in one hour's time, there'd be no more United States and no more world, set up a chain reaction and cause a total annihilation. What could it do? What are you going to run to? Used to say, "Get a bomb shelter." They say now, "That's nonsense."
E-34 But we got a bomb shelter. Amen. You know what it's made out of? Feathers: under His wings (Amen.) to be carried away, a bomb shelter of safety, certainly...
Oh, my, how this prophet, he wasn't discouraged. He said, "No, and as Lord liveth and your soul liveth, I'm going to stay right with you." So they go on to the school of prophets. The other fellow said, "You stay here for I'm going to Jordan." He said, "As the Lord liveth, I'm not going to leave you."
On down to the Jordan they went to cross Jordan. Then Elisha turned around and said to Eli--Elijah said to Elisha, "What do you desire? What you hanging around for?" Oh, my, I like that. "What you hanging around for? What do you desire?"
E-35 Now, the Bible said, "Ask abundance." Certainly. You know, we're afraid we're going to ask God too much. But you can't over ask God anything. Could you imagine a little fish about that long out in the middle of the ocean saying, "Well, I better drink of this water sparingly, 'cause it might run out someday." Nonsense.
Could you imagine a little mouse about that long, down under the great garners Egypt, saying, "I better just eat a few grains each day and be very conservative now, because I tell you; I might run out before the winter's over, before the new crop comes in." Oh, my.
Now, that's... Add ten billion times to that, and you can find how silly it would be to try to think you could exhaust God's abundance of blessings for you. Why, my, He said, "Ask abundantly that your joys might be full." And Elisha was going to ask abundantly. He said, "I want a double portion of Your Spirit upon me." Oh, what a question, what a desire.
E-36 Now, remember Elisha and Elijah was a type of Christ and the Church. As Elijah was taken up and threw back his robe for Elisha to wear, so was Christ taken up and sent back His robe. Was asked one day by the--a mother of two of His disciples, she said, "Let my sons set one on the right and the left."
He said, "Can you drink the cup that I drink?"
Said, "Yes."
Said, "Can you be baptized with the baptism that I'm baptized with?"
She said, "Yes."
He said, "You can. You will. But the right and left hand is not Mine to give." So as He was baptized with the Holy Ghost and said, "The things that I do, more than this shall you do," a double portion of the Spirit of Christ come upon the church at Pentecost, 'cause it goes to all the world, a double portion as it was Elijah.
E-37 Now, Elisha wanted to find one thing in his mind, in his heart; there was a deep desire. And when the deep goes to coming to the deep, there's bound to be a deep to respond to that call. Before there's a fin on a fish's back, there had to be a water for him to swim in first. Before there's a tree to grow in the earth, there had to be a earth first for the tree to grow in.
Before there's a desire in your heart for more of God, there's got to be more of God somewhere to respond to that desire.
E-38 I seen here sometime ago, where a little kid eat the erasers off of pencils, eat the pedal off of a bicycle. And they taken him down to the laboratory to examine him. And find out, at the clinic rather, they found out that his little body needed sulfur. For if there's something in here calling for sulfur, there had to be a sulfur to respond to that call.
Here it is, like this. Before there can be a creation, there had to be a Creator to create that creation. And if you're desiring tonight to be healed of the Lord, there's got to be a fountain open somewhere. That's right. If you desire the baptism of the Holy Ghost in your heart, there's got to be something out there creating that desire. When the deep calleth to the deep, there's got to be a deep to respond to it.
E-39 And Elisha, oh, he wanted that Spirit. And though, he didn't have any promise of it yet, but he knew that Elijah was wearing a robe. And he knew he had that robe on. And I can see him stand up on the hill where all of the school, the D.D.'s and Ph.D.'s was standing back, seeing what was going to take place...
But Elisha had had that robe on many years before. Now, Elijah had to grow to--Elisha had to grow to fit the robe. Today, we're trying to cut the robe to fit us, and God has to cut us to fit the robe. That's the difference. That--it just got vice versa.
You've got to alter yourself to meet God's Holy Spirit. God won't alter the Spirit to meet your desire. See? But you got to alter yourself. So Elisha had several years of growing into fit the robe. So he thought it would fit him pretty well. He was on his road up the hill.
E-40 And Elijah turned around. The only thing that he wanted to know was, he could ever get that promise. That's all he wanted. And he said, "Now, I'm going to ask you what--tell you what my desire is. I want a double portion of your Spirit to come upon me. What are you going to say?"
Elijah, the anointed prophet, turned around and said, "Thou hast asked a hard thing, but this will be given to you on a condition." So is the Holy Ghost given to you on a condition. See? "On conditions, if you can meet the condition; that is, if you can see me while I go away, you'll have what you ask for." That's all Elisha wanted was the promise.
If he knowed the promise and the conditions of the promise, then he kept his eye right on Elijah. I can imagine somebody saying, "Sir, what are you bothering him for?"
"I ain't got no time to talk to you. I'm looking straight at him."
E-41 And today, the promise... Many of you here is sick. And the promise is to you. If thou canst believe. You've got the promise. The promise is laid down here in the Bible. The promise is yours, but the trouble of it; you let the schools of the prophets and everything else call you from one side to the other one, telling you, discouraging, and telling you, "Days of miracles is past. No such a thing; it's mind reading. It's mental telepathy," and all those things. And you listen to it, and that's the reason you don't receive the promise.
I can imagine Elisha following Elijah with them eyes straight on him. He wasn't going to turn to see, or didn't turn back and say, "Hey, fellows, how do you think I'm doing." If he would, Elijah might've been taken away and he wouldn't have got the promise.
E-42 And when we turn aside today looking at this, and looking at conditions, and looking at symptoms--symptoms... Oh, we say, "Now look, I was prayed for last night. You see, my hand's no better." And it never will be like that. No, sir. You don't look at the symptoms; you look at the promise. Amen. The promise is what it is. Look Who made the promise. It was God Who made the promise. It's God's Word Who's in authority. It's God Who spoke the promise. That's Who it is.
And you look at your symptoms. Symptoms are one of the greatest hindrance God has to work with, is symptoms. And if ever if anything that is wrong is a man or woman who'll look and say, "Now, I don't feel any better. Now, they prayed for me over at my church last night. And they believe in Divine healing, but really I don't feel any better."
You don't never go by your feelings. Jesus never did say, "Did you feel it?" He said, "Did you believe it?" See where you get the thing all turned around? It's your faith in His promise that does it. Like Elisha, he wanted the promise. And if Elijah said he could have it, if he kept his eye on him, he kept his eye on him. That's all. Amen.
E-43 There was a fellow in the Bible had some symptoms one time. His name was Jonah. Talk about symptoms, he had them. Now, he was backslid. That's a big word for a Baptist to say, but I believe you can do it. So he was backslid. God told him to go down to Nineveh, and he went to Tarshish, the easier road.
So out there a storm came up, a stormy sea. And he had his hands tied, his feet tied, throwed out. A big fish come along and swallowed him, went down in the bottom of the sea. Anybody... Feed your goldfish and watch them when they prowl through the waters till they find their prey. And then when they feed they go right down and rest their swimmers on the bottom of the--of the--of the ban--of the ocean.
E-44 This big whale that swallowed Jonah went down to the belly--bottom of the sea and was laying there resting. Now, you talk about symptoms, that man had it. The first place, he was backslid. The next place, his hands and feet was tied behind him, and he was on a stormy sea in the belly of a whale in the bottom of the sea.
And as he looked this way, it was a whale's belly; he looked that way it was whale's belly. Everywhere he looked was whale's belly. You talk about symptoms, he had it. There's nobody here in that condition tonight. But what did he say? He said, "They are lying vanities. I won't even look at them." But he turned over in vomit and seaweeds around his neck in the belly of this whale, and he said, "Lord, once more will I look to Your holy temple." Not at the symptoms, at the temple. Why?
E-45 When Solomon dedicated the temple, he prayed, and said, "Lord, if Thy people be in trouble at anytime, and look towards this holy place, and pray, then hear from heaven." And Jonah denied all those symptoms and called them lying vanities, because he had faith in the prayer of Solomon who dedicated the temple.
And if Jonah could do that upon them circumstances, what ought we to do who don't look to Solomon's temple, but to heaven itself where Jesus sets at the right hand of God with His own promise to make intercessions upon our confession. Symptoms, certainly not, we deny them. There's no such a thing. We take God at His Word, and keep our eye on the promise, and move on.
When you receive the Holy Spirit, the devil will try to say, "You ain't got nothing." Well, that's just all he knows about it. See? Then if you give in to him, you lose it. But keep your eye on the promise.
E-46 I can see Elisha as he goes up the hill, and Elijah in front of him. They're going on, he's keeping his eye on him. Somebody will holler to one side, some of the school of the prophets will holler across the Jordan. He just kept his eye right on him, going right on.
Some of them say, "Wait a minute; wait a minute here. You know, I'm Professor so and so..."
"I don't care who you are; I got the promise. I'm going right on."
Say, "You know what, the pastor..."
"I don't care who you are. I got my eye on the promise." That's the way to get it. Keep your eye on the promise. That's it. Stay with it; hold onto it. That's right. Don't be jellyfish, wishy-washy, in-and-out, up-and-down, like a worm in a lemon. But stay with your eye on the promise. God said so; that settles it. God said so; that takes care of it as far as I'm concerned. God said so; He has to stay with His Word, and His Word's eternal as God is. So he--he kept his eye on him.
E-47 After while, there came a sound from heaven like it did on the day of Pentecost. And fire came like it did on the day of Pentecost, and it separated them. And as it did, Christ from the disciples at Pentecost.
But Elijah stepped on this chariot of fire, pulled by horses of fire, and went away. And while the young prophet was standing there, standing there looking up and hollering, "My Father, my Father, the chariots of Israel and the horsemen thereof," all of a sudden something dropped on him, fit him just exactly: the robe of Elijah.
That's the way it is today, brother, any man that looks up and says, "Lord Jesus Christ the Son of God, You gave a promise." Be sincere in it and watch slips around you. It fit him exactly. What did he do? Took off his own garment and tore it to pieces. Television programs and all the nonsense is finished there. All the worldly things, the picture shows, the drinking, and the smoking, the gambling, the lying, the dirty jokes, everything is finished there. Tore his own robe to pieces and throwed it down, said, "I'm entering the ministry." Amen.
E-48 That's what we need today. He turned around, looked back then to the prophets. Amen. That's what's first. Get it on you, get the promise; get it down in your heart. Then he turned and looked towards... Although he was wearing a secondhanded robe, brother. But he was on his march of a conqueror...?... behind him...?... As he marched down towards the Jordan... God be merciful, brother.
We're going towards Jordan tonight, too. We got to stand there at the Jordan. I'm glad to be wearing a secondhanded robe, too, not the robe of my own righteousness, 'cause it wouldn't do any good, but the robe of His righteousness. I'm trusting in Him. He wore it, sent it back to me. I'm happy to have it.
E-49 I want to wrap myself in His righteousness. I know there's a great shadow setting before us. Everyone of us is coming that way tonight, friends. Every time your heart beats, you're one step closer to that big door called death. One day you're going to make the last beat, and you're going in.
I realize as your evangelist and servant, I too, have to go to that. I've got to come down, no matter how much I've preached about it. I've got to come down to it, but what I do, I don't want to come in my own...?... self righteous rags. When I see that my last beat's coming up, and I'm entering that door, I want to wrap myself in the robe of His righteousness, knowing this, that I knowed Him in the power of His resurrection, and when He calls from among the dead my name will be called. That's the main thing in my life tonight, is to know that I know Him in the power of His resurrection, that He lives and reigns. And I know Him by the forgiveness of sins, by His Spirit dealing, by Him moving and acting. I know that it's Him.
E-50 And as he--Elisha walked down there with the robe on, but when he got down there next to the river, did you notice, he took off the robe? The robe's all right.
And brother, many people today are trying to march down to the Jordan wearing a secondhanded robe called Methodist, Baptist, Presbyterian, moth-eaten by doubt, and holes all in it, and everything like that. Don't you never try to cross Jordan with that. That won't work. Certainly won't. The moths was eat out.
Maybe John Wesley it worked. That might've been good for his days, but don't you try to go upon the thoughts of being a Methodist. Don't you try to go upon John Smith's Baptist robe, either. Don't you go upon Martin Luther's Lutheran robe, or the Catholic priest and their robe. Don't you go on the Pentecostal and so called today.
But brother, when Elisha got there, and we find out that he took off this robe of Elijah. It isn't some kind of a robe, but what did he do? He knowed all of us watching him. He couldn't trust in the robe of Elijah, but he said, "Where is the God of Elijah?" Amen.
E-51 We've got Pentecost, but where is the God of Pentecost? Where is the Pentecostal, resurrected Jesus Christ, Who proves Hisself alive tonight among the people? Oh, you claim Pentecost in every church. You claim it in the Methodist, Baptist, Presbyterian, so called the Assemblies, and every the rest of them. But where is the God of Pentecost? That's the next thing. So don't trust in that moth-eaten, thread-bare Pentecostal robe that you're wearing by name. It won't work.
Some other man might've wore it with a flame a few years ago, but, brother, it won't work with you. But it takes the God of Pentecost. Yes, sir.
E-52 And he stood by Jordan. Hallelujah. And he stood in the Jordan and said, "Where is the God of Elijah?" He knowed He was close. Then when he took the robe and threw it across the waters, I tell you, she opened to one side to the other one. I wonder sometimes when the Pentecostal, and Baptists, and Presbyterians, and so forth, stand and see the resurrected Lord Jesus Christ moving in great power, how--who claim to kiss the cup of the golden blessings of God, how they can hold their peace and live the type of life they do.
And the God of Pentecost is a moving among the people. I wonder, friends, what we'll give an account at the day of the judgment. I wonder what'll take place at that time. If you only realized that Jesus Christ still lives and reigns.
E-53 The secondhanded robe, but when you come to Jordan you've got to have the God of Pentecost. He wanted the God of Elijah. If the servant of God does the work of God, he's got to have the power of God. If Pentecost is wearing a Pentecostal robe, it's got to have Pentecostal power and the God of Pentecost, or it won't do any good.
Call yourself Pentecost if you want to, but where's the God of Pentecost? That's right. Yes, sir. Where is He Who appears before them? Who is it that come down to Paul that night when he was out in a ship and all hopes was gone, that everything was safe. And the Angel of the Lord come to him, said, "Don't fear Paul. Thou must be brought before Caesar. And lo, that--all these that sail with you, I give to you."
That little Jew come out on the deck there with ca--arms all bound down with shackles and across, his legs is chains, walked out there shaking his hands and saying, "Be of a good courage." Amen.
What was it? "Angel of God Whose servant I am, stood by me last night, saying, 'Don't fear Paul.'" And sirs, I believe God, that it'll be just the way He told it to me." Yes, sir.
E-54 What we need is not Pentecost, but the God of Pentecost. You're coming to the Jordan, men and women. Each one of you is coming down to the Jordan. I don't know when that may be. It may be before daylight for some of us.
But I tell you; there's coming a time that when you're going to need more than a an old moth-eaten robe of some church. You're going to need the God that set that church afire in its early days. You're going to have to have the vision that they had in the early days that wore this. But the new schools has come in, and the holes has been eat it, and the doubts and superstitions and theologies and things till the thing is no good at all. Call for the God of Pentecost. That's what we need today, truly.
E-55 The servant of God has to call on God. He has to depend on God, not his church, not his robe. He has to depend on God. God's asking him to do the impossible. In order to do the impossible, you've got to call on God for power of God to perform the impossible. If we be the Messiah's servant, we have to have the Messiah's power.
And He promised it to us, "I am the Vine; ye are the branches. I energize every branch that brings forth fruit." Hallelujah. There you are. There it is. Yes, sir.
E-56 And one of these mornings, I got to come to the river. And when I do... Probably all Branhams if I live to be old, I hope I am, long beard and hair hanging around me... When I come to the end of the road, and I know I've done my best, I've fought my last battle. I want to take off the helmet and lay it down on the beach right here at the Jordan beating against the side of it. Want to lay the shields down, take the old sword of faith, and stick it back in the sheath of eternity, and scream out, "God, send out Your...?... I'm coming home this morning."
As the poet said, "He can see Adam turn over and shake Eve and say, 'Honey, wake up. It's here.' Eve reached over and got a hold of Seth and said, 'Wake up, honey. He's here.' Seth took a hold of Abraham, said, 'Wake up, Abraham. It's here.'" There's going to be a great wakening up time some of these mornings when the Jordan begins to beat the bank. I want to know the God Who makes His way through the Jordan, instead of having on some moth-eaten robe.
E-57 As I was speaking not long ago concerning a certain thing that taken place in Switzerland. When I was in Switzerland not--about a year ago up in them great Swiss Alps there, there's a name that we used to know in history here that's almost forgotten. You men and women about my age remembers when we had it in school. It was the--the history of--of Arnold Von Winkelried. What a mighty man.
In the days when Switzerland pulled away and went up in there, the little countries of no ore in the mountains, but they have little farms. They still live that way, a lovely, sweet people who love the Lord way up in the mountain top.
E-58 And then when the invading armies come in one day, all the Swiss gathered in a little field down at the foot of the mountain to protect their little mountain homes. And when the--the invading armies moving in a great massive bunch, well trained, spears, armor... And every man like a stone wall moving to his place, coming right on in to destroy the Swiss, ravish their women, kill their babies, take over their homes, take what they had.
The little Swiss army gathered down there with not nothing to fight with, pitchforks, and--and--and old scythe blades, and whatever they could pick up to fight with, no armors, nothing to fight with, but stood helpless by the side of a mountain. What did they do? All around them come this great army moving on like a big wall, moving in, tromp, tromp.
E-59 The little fellow standing there helpless, finally that great dark, crucial hour, Arnold Von Winkelried stepped out and said, "Men of Switzerland, this day I give my life for Switzerland. This day I'll save Switzerland." Then, he said, "Over yonder's mountain is a little white home, and there is my lovely wife and my children waiting for me to return, but they'll never see me no more." Said, "For this day I'll give my life for Switzerland."
They said, "What will you do, Arnold Von Winkelried?"
He said, "Just follow me and do the best you can with what you've got." What did he do? He screamed and threw his hands up in the air and dropped his a weapon and said, "Make way for liberty." And he looked, and he found where the deepest part of the spears was, and he run right into those spears screaming with all of his voice, "Make way for liberty."
And he grabbed a armful of those spears and plunged right into his heart as he fell to his death. And such a gallant play of heroism rallied that army. And these man followed him just as hard as they could, fighting with what they could, and drove that armies out of their land. And they've been free to this day.
E-60 Why, you can mention his name up there in Swiss, and the tears, little hot tears will run down their cheeks for their hero. Such a gallant play of dis--display of heroism had seldom been seen on the earth. But that wasn't much.
Just like something else that took place one day. When mankind, the sons of Adam was backed into the corner, diseases, affliction, and sin cankering them, eating them, driving them to hell like taskmasters, the devil has broke everything they'd tried. God sent them prophets. They just done away with the prophets. God sent them the judges. Done away with the judges, the kings. Everything, He had done every... He sent them the law. They didn't even keep it. Everything that could be done was done, and Adam's race stood helpless.
E-61 Sickness, diseases, affliction, sin, everything held the little group of Adam's race at bay, that no one could do nothing about it. And they were helpless. And the devil and his great marching army come marching in, well equipped, powerful, supernatural beings. Here set a little natural people with nothing they could do. Then in heaven something took place. There was One stepped out called Jesus, the precious Son of God.
He said to the Angels and His brethren, "This day I'll give My Life. I'll save Adam's race." And He came down, and was made flesh, and dwelt among us.
One day standing yonder at Calvary, when He seen the thickest part that there is in any--any human life; the darkest part of the spirit of human life is death. Every man fears death.
And when Jesus of Nazareth run against every devil there was in hell, and caught death right into his own bosom, and conquered death, and sent back the Holy Ghost, and said, "Take this and do the best you can, liberate the people..." Yes.
E-62 And I tell you: we got to fight, and we got the most powerful weapon. The devil makes fun of it and says, "There's no such a thing." But pick up tonight and receive the Holy Ghost and defeat every devil of sin, drunkenness, whatever it is. We've got him on the run to be conquered. Yes, and someday, the great Chief Captain will come, and sin, and sickness, and sorrows will be over. It's conquered. And we men have the--the Spirit in our own possession, as the vine--the branches on the Vine with the Spirit energizing the church with the Holy Spirit. And we're commanded to go into all the world, and preach the Gospel, and cast out devils, and--and lay their hands on the sick and they shall recover. "Lo, I am with you, leading the army into the end of the world and I'll show Myself alive. For I'll be the same yesterday, today, and forever." Amen.
Do you believe it, Church of God? If you believe it, let us accept it tonight with one full heart and believe with everything that we have within us to believe for the righteousness of Christ. Oh, how we listen to His Word. Faith cometh by hearing, hearing of the Word. Now, let us pray just a moment.
E-63 Our heavenly Father, as tonight we see the Captain of our salvation, the Lord Jesus in all of His splendor and power, anointed, His Church and sent them forth to preach the Gospel into all the world. Said, "These signs shall follow them that believe: In My Name they shall cast out evil spirits. They'll do great signs and wonders. I'll be with them. I'll manifest Myself to them. I will show Myself alive, though believers will see Me to the end of the world, yet the unbelievers will see Me no more."
And Father, that promise that You made is good today. I keep my eyes on that, as Elisha kept his eyes on Elijah. You said, "Lo, I am with thee always, even to the end of the world. The things that I do, shall you also. The works that I work, shall you work also." And I know that those promises are true. And tonight, we got our hopes and faith centered on that. You said You'd do it. Now, theology and Scriptural texts has been taught to people through the years, but it's evening time now. Now is the day of the restoration of all things.
E-64 And we pray, heavenly Father, that You'll manifest Yourself tonight here in great resurrection power with resurrection blessings. And may every person who knows and recognizes it to be You, Lord, may they put their hopes and--on the promise, and see that You promised them that You'd raise from the dead, and You did. You said, "I'm alive forevermore." And You are. "And I'll be with you, even in you, till the end of the world." And You are.
And You said, "The works that was done then would be done till You come again." And it is. And You're the same in every principle that You ever was. You are today. And we love You for it, Lord.
And may this church here and these people tonight see that You keep Your promise. Not only do You keep Your promise that You've raised and will meet with us, but You keep Your promise to heal the sick, to deliver the people from unclean spirits, to pour out the Holy Ghost upon the people that desire. And every promise in the Bible is true. It's the Seed of God that's sowed into the human heart and believed by faith.
Grant Lord, tonight, that You'll manifest Yourself. And when we leave here tonight, may we say like those who came from Emmaus, "Did not our hearts burn within us?" For we ask it in Jesus' Name. Amen.
E-65 I believe God, believe that He is. And they that come to God must believe that He is and a Rewarder of those who diligently seek Him.
Now, to some of you newcomers here, it may be a little strange in a--a church like this. It may not--they may not worship here and the people praising the Lord and saying the things that they do, acting maybe a little peculiar to you. But friend, if you only had received what they have, you'd feel the same way. Turn back in the Bible and see it. See?
E-66 Today is the day, as I said about the prophets packing their Bibles and impersonations. It's a great day of impersonations. Paint your steps red next week and find out what your neighbor will do. He will paint his red, too. Wear a little black hat to church and find out what your neighbor will do. They'll wear a black hat, too. They want... Get a new suit of clothes and see how nice it is, and watch your neighbor will ask where you got it. It's an impersonation. They want to match. Want to be matched.
And, brother, I don't care if my trousers match with my coat or my shirt matches my tie. I want my experience to match God's Bible. That's the kind of matching that the church ought to do. It's exactly right. My Lord raised from the dead, and He's alive tonight. He's your Lord, also. And He's here to bless you and to help you.
E-67 And here's the way the Bible is to me. It's either the truth or it's an error. If it's an error, I want nothing to do with it. No, sir. I believe I'd want to be that... If it's a error, I want nothing to do with it. If it's the truth, I'm ready to die for it. That's right. So make it one or the other way. God speed the day when so-called Christians will either profess and be Christians, or either say what they are to begin with. I'd rather be a infidel than a hypocrite. That's right.
Be what you are. If you'll believe Christ, say, "Yes," and don't just, "Oh, I believe this, and I--I believe this, and I..." Either believe it all or believe none of it. It's God--either God's Word or it's not God's Word. If God didn't write it, then just... If part of it's wrong, then the other part's wrong. That's right.
E-68 How many ever heard of Morse Reedhead? Anybody here? Why, he's the president of the great--one of the greatest fundamental... Well, the big Sudan missions, the biggest in the world. He was standing after an Indian had been educated... (Just before we call the prayer line.) He'd been standing. Did I say... Was I speaking of that last night here, I believe, wasn't I--wasn't..?...
And Mor--Morse Reedhead, he's a friend of mine now. He's on the field preaching the--the Gospel, the full Gospel. And when he was--he was... He said... This Indian had been educated, and he was a fine boy. He come over here to study, I believe it was electrical engineering or something. He got his education, very smart, brilliant boy, a Mohammedan.
E-69 And when he started back to go back across the sea, Mr. Reedhead said to him, said, "Now, son," said, "You got your education. You're going back to be a great help to your country." Said, "Now, why don't you forsake that old dead prophet your serving and accept the resurrected Lord Jesus Christ, and take Jesus back with you as your Saviour?"
So the Mohammedan stood there a little bit. He said, "Kind, sir," he said, "what could Jesus do for me any more than Mohammed could do?" He said, "Now, they both wrote books, and we believe them. Ours is the Koran. Yours is called the Bible. You believe yours, and I believe mine. They both promise life after death. So I believe Mohammed told the truth, and you believe Jesus told the truth. So what good could Jesus do me outside Mohammed, that Mohammed couldn't do?"
Why, he said, "Why, the first thing is," said, "you see, Mohammed is dead. And Jesus is alive." Said, "That's the difference."
And the Mohammedan said, "All right, sir. Is He alive?" Said, "I'd like to see you prove it."
E-70 Oh, Dr. Reedhead said, "I realized I hadn't met an overnight man. I met a man who knowed what he was talking about."
He said, "Is He alive?" Said, "No, He's dead, just exactly like Mohammed is dead." Said, "He isn't alive."
He said, "Why, wait a minute." Said, "We know He's alive." Said, "Because we feel Him in our heart, and we have joy of knowing He's coming again."
He said, "Now, just a moment, Mr. Reedhead. Mohammedan religion can produce just as much psychology as Christianity can." Said, "We have just as much happiness, and just as much shouting, and just as much joy, knowing that Mohammed will come someday as you do knowing Jesus is coming someday. What about that?" That's the truth.
Said, "Now, wait a minute." And Mr. Reedhead said, he knowed right then, said, "That boy--he just wasn't a pushover."
E-71 And he said, "Well," he said, "but just a minute," the Mohammedan said to the Christian. He said, "Dr. Reedhead, kind sir," he said, "I don't want to make fun of your religion. I respect every man's religion." But he said, "You see, Mr. Reedhead," he said, "Mohammed only promised life after death." And said, "And that's what we believe in." But said, "Your Jesus promised you teachers that you'd do the same thing He done if He raised from the dead." Said, "Now, we're waiting to see you teachers produce that, and then we'll believe He raised from the dead. Until you do that, He hasn't raised from the dead."
Well, he said he stood there a little bit, and he said, "Well, what do you mean, like the healing of the sick?"
He said, "Yes, one thing."
He said, Mr. Reedhead said, "Well now, you're probably a--a referring to Mark the 16th chapter."
He said, "Yes, sir, that's the one I was at."
E-72 He said, "Well now, in Mark the 16th," said, "Now, the better scholars understand." Said, "Now, the--the illiterate kindy takes the rest of it, but," said, "we know that Mark 16th from the 9th verse on, where He said, they shall cast out devils, and speak with tongues, and lay hands on the sick and things." Said, "We realize; we better scholars know that that part of the Bible is not inspired. It was written by the vatican, and it's not inspired."
You know what the Mohammedan said, he said, "It isn't? What kind of a Bible are you reading?" Said, "All the Koran's inspired."
That's the weakness of Christianity so-called. He said, "Then what about Mark 11, 'Whatsoever things you desire?' What about this when He said, 'The things that I do shall you also.'"
He said, "Well, He said, 'The works that I do...,' Well," he said, "you see, we--we preach the Gospel to all the world." Said, "That's the greater works."
He said, "You have. You've had two thousand years to prove that He's alive, and two thirds of the world never heard His Name." Said, "Let Mohammed raise from the dead and everybody will know it in twenty-four hours."
E-73 Ah-ha, you talk about a defeat. And Dr. Reedhead said, "Mr. Branham," he said, "I kicked my foot in the dust."
He said, "Now, sir, when you prove that He's alive and let me see Him do the works with you His teachers that He promised that you would do, then I'll believe you. And the Mohammedans will believe you." And that's the truth. I've seen it proved. And I know they will. That's what the world wants. America's all polished up with so much education, they stand and hear the Mr., Dr., Ph.D. Jones and all with their great, talking about the flowers and the things.
E-74 Mercy, goodness. What we need is the Gospel. And the Gospel is the power and demonstration of the Holy Ghost. That--that's what the world... We've went and built churches. Jesus never did say, "Build a church." Show me the Scripture. We went and built schools. He never did say, "Build schools." We built hospitals. He never did say, "Build hospitals." Yet, we done it. That's all right. I ain't got nothing against it. We done it.
But He never said do that. We done the things that He said--the very things that He told us not to do, we did it, or the things that He told us to do, we refuse to do it. Let's preach and demonstrate the power of the Gospel. That's the reason two thirds of the world has never heard it.
E-75 And he--Mr. Reedhead standing there in the room, he said, in my own room, he said, "Brother Branham," he said, "I've seen the Pentecostals and kick over furniture, and tear it up, and everything like that." But said, "I heard that there..." Said, "I have enough degrees I could plaster your wall." Said, "When I was a little boy, seven years old, I started studying the Scripture. I gave my life to Christ."
Said, "When I thought I got my B.A., that would be Christ in that." Said, "I got my B.A.; it wasn't so." Said, "Then, when I was ordained, it wasn't so." Said, "When I got my LL.D., I thought that would do it. It didn't then. So I've got every kind of degree can be thought of, an honorary degrees, till I could plaster your wall." But said, "Where's Christ in all of it? Has the teachers been wrong?"
I said, "I don't want to say the teachers are wrong, sir. But I say one thing they've left out, the Keynote. They've left out the Cornerstone. Christ doesn't lay in B.A.'s, or D.D.'s, or L.D.'s.; Christ lays in the power of His resurrection to a heart that will receive Him.
E-76 He said--he said, "Mr. Branham, could I receive the Holy Ghost right here?"
I said, "If you'll meet it on God's conditions."
He said, "I don't care what it is. I want to know Christ." There I laid hands on him and prayed there in the room, and he fell under the power of God and little coffee table there, broke the glass out of it, and received the baptism of the Holy Ghost, and is preaching Divine healing today on the field: Dr. Morse Reedhead.
E-77 While I'm at Chattanooga, Tennessee, to my friend Don Wells, the biggest Baptist church in the south. And he received the baptism of the Holy Ghost and over two hundred of those people has received the baptism of the Holy Ghost in that Baptist church.
A few weeks ago when a Lutheran dean of psych--a dean up there of a big school come down and criticized me when I said the devil couldn't heal. And made fun of me upon the Word, saying the devil couldn't heal.
He said, "Well, I'll just prove to you that the devil can heal." Said, "We got a woman lives in town with a familiar spirit." And said, "The people come to her and she pulls hair out of her head, and plucks their veins, and gets blood on it, walks down to the river and throws it over her shoulder, and she walks back to the house and if she's has to turn around and looks, the disease comes back to the people, if it does she casts away." And said, "About thirty percent of them get well. Then you say the devil can't heal." Said, "I'm ashamed of you. I was preaching the Gospel before you was born." Said, "You get a little age on you yet."
Of all my forty-seven years... He said, "I've preached the Gospel fifty years."
I said, "Then I'm ashamed of you, then. And know no more about the Scripture than that." I said, "Certainly, the woman--the people got well; but not the witch had nothing to do with it."
E-78 These's people in the land today, say, "I got healing in my hand. Feel it, feel it, feel it." and all just stuff like that. It's nonsense. It's psychology.
But the poor people that's approaching, coming, they're thinking they're approaching God, and God has to honor faith; I don't care where it's at. And they approach God through the witch. They think that they're coming to God, coming through there. And God's got to honor that faith.
That's the reason He said, "In that day, many will come and say, 'Have not I cast out devils and things in Your Name?'" And so forth.
And that man when he heard that, he said, "I want you to come to my college." Mr. Boze is a witness of this, right there at Minneapolis, a Lutheran college.
E-79 I went out there, and my manager went with me and set down there to a great big place of the Scandinavians there, all setting there, these Lutheran students.
He said, "Mr. Branham, I've watched the meetings, and I apologize when I said that you was a--a polished up soothsayer." He said... That's what he called me, a polished up soothsayer. He said, "I apologize to it, and I want you to tell me how--and me and this school can receive the baptism of the Holy Ghost."
I said, "What's the Lutheran church going to do?"
He said, "I don't care what the Lutheran church says. I want God."
I said, "Do all of you feel the same way?"
Said, "Yes."
I said, "Move back your chairs from the table and get around a wall and lean--lean against the wall and start praying." And I went over and laid hands on them. And seventy-two Lutheran students with the dean received the baptism of the Holy Ghost. That's at Minneapolis, Minnesota. That's right.
E-80 What is it? Men and women are hungering for God. The day is here. The Holy Ghost is here. Jesus is here, raised from the dead. Don't speak against It. It's blasphemy, but receive Him. He's here tonight. I believe Christ. Don't you? Yes, sir.
There is a counterfeit. Certainly. What makes a--what makes a real, real? It's because there is a counterfeit. If I seen a bogus dollar, I'd know there'd have to be a real one it was made off of. So certainly the devil gives the impersonation, but there's a real genuine baptism of the Holy Spirit, a real--a real resurrected Lord Jesus, Who's true to His Word; every word He said, He's true.
E-81 Now, let us be in prayer. Now, friends, one more thing. And then, I think tomorrow night, I'll just either preach or call the prayer line. I keep you too late. But I want to ask you something. How many was here at the meeting last night, let's see your hands? How many was not, let's see your hands? Oh, my. It's just... Where's all them that was here last night? We don't...
Here's what it is, friend. Let's listen, just a moment. If a man ever tells you that he's a healer, he's wrong. I have to take a moment to explain this to you newcomers.
E-82 Listen, there is no man that's a healer. Christ is the Healer. See? And it's only our faith in the finished work of Christ at Calvary. It's our personal faith. Salvation, and healing, and every redemptive blessing was included, and every blessing in the redemption was everything that was caused in the fall. Everything we lost in the fall, was restored to us in Calvary.
What is sickness? Attribute of sin. So you can't deal with sin without dealing with sickness, 'cause sickness came after sin which was an attribute of sin. Exactly right. Now, don't say that God makes the people sick, 'cause you cross up your questions there like the Lutheran did. See? So you--you can't do that.
E-83 If--if... Someone said the other day, a minister talked to me, said, "Oh, it's such a blessing, Brother Branham. Oh, the--I've seen the most patient people laying in wheelchairs." And said, "God wants them to be sick. He lets them be sick, so He can show His blessings."
I said, "Then, if that's the truth, then Jesus Christ defeated the very purpose of God when He come to earth. He healed every one He come in contact with them, like I do." Right.
Oh, brother, that--that's too thin. See, it just don't work. You just might as well face the fact, that you don't believe the Bible and just say so, and that's all, 'cause... Or either afraid to step out and challenge God to His promise like Elijah did. That's true.
E-84 Now, what is Christ? He's the same yesterday, today, and forever. And when He was here on earth, He did not claim to be a healer. Did He? No, sir. Said, "It's not Me. It's My Father that dwells in Me. He does the healing." Is that right?
And when He stood there, and they questioned Him about the man of Saint John 5:19, we had last night, packing his bed on his shoulder like this... And He was questioned about it, when He went through all those afflicted people and healed this one man and walked away. He was questioned. And we went through that last night.
How is He questioned here? But what did Jesus say? "Verily, verily, I say unto you, the Son can do nothing in Himself." Is that right? "But what He sees the Father doing, that doeth the Son likewise." How many Bible readers knows that that's the truth, that Jesus said that?
E-85 Now, Jesus, according to His own Word, did nothing until first He saw a vision of the Father doing it. Is that right? Saint John 5:19, "Verily, verily (that's absolutely, absolutely), I say to you, I do nothing in Myself; but what I see the Father doing, then I go do what He shows Me to do. The Father worketh; I worketh hitherto."
Now, just a moment, then we'll start the prayer line. When He was here on earth, He did not claim to heal the people. The only thing He did, He watched and seen what the Father told Him. And the Father...
E-86 One day Philip went and got Nathanael, thirty miles around the mountain, brought him back to where Jesus was when He was standing. Just one quotation...
And when he come back, Jesus looked and seen them. They might have been in the prayer line or out in the audience, wherever it was. And Jesus looked at them, and He looked at Philip, Nathanael and He said, "Behold, an Israelite in whom there's no guile." Why, it astonished him. How did He know he was an Israelite, and how did He know he was a believer, an orthodox.
Why, he said, "How did You know me, Rabbi?"
He said, "Before Philip called you, when you were under the tree praying yesterday, I saw you."
Now, what did the--what did the Israelite say? He said, "You're the Son of God, the King of Israel."
Jesus said, "Because I told you that, you believe Me? You'll see greater things than this."
E-87 Now, what did the Jewish believer believe? The great high church as we have today, they said, "He's a fortuneteller. He's Beelzebub." Is that right? And said, "That's what He is. He's a soothsayer or Beelzebub. He's reading their mind. It's mental telepathy."
What did Jesus say to them? He said, "You say that against Me, I'll forgive you; but when the Holy Ghost is come and does the same thing, if you speak a word against that, it'll never be forgiven in this world or the world to come." Because they said He has an unclean spirit (Is that right?), calling the works of God an unclean spirit.
Now, if... He said, "These things that I do shall you also. I'll be with you to the end of the world." Now, that's either the truth or it's an error. I believe that He's raised from the dead. And if He comes tonight and does the same thing here amongst you people that He did when He was here on earth amongst gr--groups like this, will you receive Him? Will you say, "I will receive Him and believe Him, and believe that He is living and will give to me what I have need of?"
E-88 Now, it's hard after speaking or preaching the way I did. Didn't aim to speak that long. But it just happened that I did it. So now, we'll ask God to be with us. Now, I believe the boys give out, they said, a hundred cards. And last night we took the first part of them. And tonight, let's start with the second part of the hundred cards, and we'll... And tomorrow night, we'll start from somewhere else in them, and the next night, somewhere else. And just wherever we go like that...
Now, let's begin tonight with fifty. All right, just look down on your prayer card and find out who has prayer card 50. Would you raise up your hand, someone? Lady, come right here. 51, would you...? [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-89 Brother Branham, it's submitting yourself to the Holy Spirit, just giving yourself over. Now, no matter how much He tried to work with me, He's got to work with you, too. If you can't submit yourself to Him, then He can't work through you. It's your faith. It's your faith. And if you're ever healed, it'll be your own personal faith in Christ. It cannot be any healing that I have, 'cause man are not healers. Not even a doctor is a healer. There's not one medicine that'll heal. I'll prove that to you tomorrow.
Now, I want you to bring me the doctor and says that medicine does heal, show you how funny he acts. See? There's not one medicine that will cure a simple bad cold. Thousands die every year with bad colds. Nothing that'll cure... Christ is the only Healer. "I'm the Lord Who heals all thy diseases." Never did a hospital, never did a medicine, God does it all.
Give one this medicine, and it'd kill him, then the other one would get well, same medicine, both same diseases. The Lord is the Healer.
E-90 Now--now let's--I've... Is this the patient? Are you the lady? All right, you come here just a minute. Now, I want to look through the prayer line first right along here. Now, I'm a stranger to you people, not a stranger in a way of--of brother and sister, but I'm a stranger to you as--as human beings knowing each other. I don't believe there's a person in the building I know except my brother setting here, Gene, that's taking the--the tape recordings. My daughter-in-law there and my son, Brother Joseph, and Brother Hudson here is about the only ones that I see that I know in the entire church.
Now, you don't have to be here on the platform to be healed. You can be healed right where you're at. You don't have to be ministered to by the Holy Spirit here at the platform. You can speak there.
E-91 A woman run through the cro--crowd one time and touched His garment, went back, and set down, and denied that she did it. But Jesus said, "I got weak." He looked around till He found her. And He told her that her blood issue was healed. Is that right? Sure.
Now, is He the same today? If He is, He will do the same today. Then, we got a High Priest that can be touched by the feeling of our infirmities. So He can heal today you where you're at. All right.
E-92 Now, the lady standing here by the side of me is a stranger and I don't know her. She doesn't know me. Therefore we're just standing here. She's a Christian; I'm a Christian. First time meeting in life, and here's a very picture again tonight of a Bible scene, a woman at the well. How many ever heard the story? Now, let's see if Jesus was the same yesterday, today, and forever.
The Father told Him to go up not... He was going down to Jericho, but He went up the way of Samaria. And when He set down on the well up there, a woman come out which was the Samaritan, and got--getting some water. And He said to her, "Bring Me a drink." Wonder why He said that?
She said, "It's not customary for you Jews to ask Samaritans such. We have no dealings.
He--He said, "But if you knew Who you were talking to, you'd ask Me for a drink." He went to talking with her. Is that true? Get the conversation. What was He doing? Catching her spirit. Then He found what her trouble was. Did He? He said, "Go, get your husband."
She said, "I don't have any husband."
He said, "That's right. You got five. And the one you have now is not your husband."
E-93 Now what did she say? Now, listen real close now. What did she say, you newcomers? She said, "I perceive that You are a prophet." Now, she said, "We know when the Messiah cometh, He will tell us these things, but Who are You?"
He said, "I'm He." If that was the sign of the Messiah then, it's the sign of the Messiah today, if He is the same yesterday, today, and forever. Is that right?
Now, here's exactly the same scene exactly. Now, here's the woman standing here. I--God sent me up to New York. I don't know. He just sent me up here. Here's a woman comes up on the platform. I never seen her, know nothing about her. She's setting--she's standing here.
E-94 Now, the Messiah can, through a Divine gift, come down and reveal to this woman what she's standing here for, what her trouble is, the same He did to that woman. If He would do it, would it still be the sign of the Messiah to you all? Would you believe it? You that's never seen it, would you believe it? Raise your hands and say, "I believe it." Amen.
Now, the lady be the judge. Now, if He knows you, sister, and you know I don't know you, do I? No, I'm a stranger. And if He can reveal to you your--your trouble or what you're here for. I don't know. You know that. But if He can reveal through me, to me what you're here for, would you believe that you would get what you ask for? You would believe it? Well, may the Lord grant it. I want everyone quiet now. Be real quiet and be real reverent.
E-95 Now, just merely... The lady is conscious that something's going on. And if anybody... Brother, have you ever showed the picture of that Angel of the Lord yet here? They've seen it. Okay. Now, that's just what's right around close to her now. See? That Light, It moves in; the lady comes in, if they can still hear me. The lady is going from me.
And I see her. She's suffering with a tremendous nervous condition, real, real nervous. And then, she's got something on her hands, not visible, but it's a breaking out, a rashing like, that bothers her that's cause this nerve condition. That's true. Is that right, lady? If that's right, raise up your hand, if that's right. All right, all right.
E-96 Now, do you believe? Now watch, if--if I would talk to her more, more would be said. But it just breaks me into perspiration. It's so weakening. It's a vision. Now, right now the only way that'd I know what was wrong with her is run that tape back and find it (See?), of what He said to her. But there was something.
Now, just to talk with the woman, so that you might know that there's something different. Just to talk to her, maybe He would show something else. It's just catching her spirit, yielding myself to the Holy Spirit, and Him standing between us, and just yielding. And He takes me and just begins to use my voice talking.
E-97 He said He'd set in the church apostles, prophets, teachers, evangelists, and pastors. So we can't save one and not the other one. And I'm not much of a preacher, but I was called. This I was born to do. In all my life, it's come. Never one time has it failed, and never will because it's of God.
Now, the lady it seems like if He would speak with her again, by His grace she moves from me. And I see her again. She's walking the floor, real nervously like. And she's looking on her hands. There's something on her hand which is a breaking out and a rashing. And then she had something like a--a trouble in her head. It hurts like a--it's a sinus trouble she has in her head. And then again, she has a--she has a--a stomach trouble, which is a tumor in her stomach. And that was caused by a fall...?... here...
Now, do you believe me to be His servant, madam...?... now. Now, that's Him, the One that was at the well. Now, could I heal the woman? Certainly not. I could pray for her. I can pray, but I can't heal her. Now, let us pray for her.
Heavenly Father, whatever this woman is in need of, if Satan has bound her, we through the Name of Jesus Christ take the initiative. And ask for Him to leave this woman and be cast out in the Name of Jesus Christ. Amen. Now, go rejoicing and being happy, lady. All right, lady.
E-98 Now, that ought to settle it. That ought to settle it that you believe on the Lord Jesus Christ. If the Bible said, "If thou canst..." You say, "Oh, she's emotionally." Probably if you was healed of the same thing, you'd be a little emotional too. If you was--if you was only standing with a open heart, watch the expression on their face when--on their face when they believe. They can't stand in that Presence without knowing it. See? It's not me, it's Him.
Now--now as she's giving thanks to God, now I challenge every person in here in the Name of Jesus Christ to look this way, and believe with all your heart, and see if God don't call you to Him. See? I mean, how many hasn't got a prayer card and wants to be healed? Let's see your hands. Without prayer cards, raise up your hand, everywhere? See, there you are. Why, it's just everywhere.
E-99 Now, you look this way, you without prayer cards, that's not going to be in the line. You just believe; have faith. Now, the little lady standing here is a stranger to me. I never seen her in my life, as far as I know. Are we strangers to each other? We are. Now, if there's something wrong with you, I don't know it. But God does know it. He knows--He knowed you before the foundation of the world. He knows everything that you've had in your life. He knows what you're here for.
If He'd just tell me what you--what you're desiring of Him, would you accept it and believe it? Now... If something that you... It may be finances; it may be domestic; it may--I don't--may be sickness. I--I don't know. He does. Now, the miracle is, now if I'd say, "Here's a man twisted up in a wheelchair." You'd look and say, "Oh, yeah, sure. I see that." But here looks like a healthy woman. What's she here for?
E-100 Maybe she's a deceiver. If it is, watch what happens to her. See? See, if it would be. See? Watch what happens. How many ever seen it happen when a deceiver come to the platform? Yes, sir. One come to the platform, tried to bewitch me one night. The guy went around army camps throwing spells on people make them bark like a dog and things like that. Then the Holy Spirit turned around, said, "You child of the devil." And he was paralyzed right there, and that's been three years, four years ago, and he's still paralyzed today. See? Yes, sir.
Don't you try... It's not playing church. You're in the Presence of the Holy Ghost. See? It's not man, it's Him. We may be uneducated and a simple people, but that's what God has called us to the ministry to do this. And this is His work.
E-101 Now, the little lady, I--I wished I could help you some way, sister. If I could and wouldn't do it, I'd be a brute, you know that. But I--I want to help you. I--I want to see the Lord do something good for you.
Now, if I--if I could just yield myself to the Holy Spirit. I say, "Now, you are a Christian though," 'cause the--your spirit is coming to me. See? Now, now that I--I have your spirit under my control (See?), you couldn't hide your life if you had to now (See?), 'cause it's before God.
E-102 And I see that you are--you're real nervous, too. And you got--you--your trouble is--you got trouble with your head. It's in your neck and in your shoulders and back. It was caused from a fall you had and done that. That's right, isn't it? Now, do you believe with all your heart? You believe that you're healed now and going to be well? Come forward.
Almighty God, Creator of heavens and earth, Author of Everlasting Life, bless this woman who I bless in Thy Name, and ask for her healing through Jesus Christ's Name. Amen. Now, God bless you. Go, and may the Lord Jesus bless you and give you the best of His Kingdom. Now, be real reverent. Don't... Just--just be real reverent. Believe with all your heart.
E-103 Jesus said, "I can, if ye believe." But first you got to believe. Just a moment. If our colored brother there, would just step back to one side. There's a vision moving right in there, right down there. It's a lady praying. And I see it. Why, yes. Nervousness and a female trouble... You believe that Jesus Christ make you well? Right across, now, lay your hand over on the--on the lady next to you there. Right there, right here. No, the lady next to you. That's it. See? No, the lady with the red hat on, lay the hand on the lady right there. See? All right.
Now, our heavenly Father, in the Name of the Lord Jesus, we ask for this deliverance. I pray that Almighty God will bring it to pass just now, through the glory of God in Jesus' Name. Amen.
E-104 I couldn't see but one woman, but this woman looked young, and the other one looked old, and I couldn't make out where it was at. And it was up over the man. I could see the vision. It was a little lady setting on the end. All right. You can get to your--your place now. God bless you, lady. Your simple little faith touched His garment. Wasn't you setting there praying for that end? You was setting there praying for that, wasn't you? If that's right, raise--stand up to your feet if you was praying for that, so the people will know that that. See?
How would I know what she was praying about? That--that praying for me to call you. That's the reason He did it. Amen. Now, you're healed and can go home and be well. Amen. God bless you. What did it? The woman touched His garment. She didn't touch me. She touched Him. He just used my voice to speak back. We are the branches. He's the Vine. It was His; went through, He just used my voice as He uses our eyes and our hands and so forth.
E-105 Now, the lady here is a stranger to me. I don't know her, never seen her in my life. We're perfectly strangers. Are we? That's right. Now, I'm glad that the colored sister is standing here, 'cause there's many colored people here tonight. And you can see that God is no respect of persons, nationality. He made us all. Our colors and things has nothing to do with it.
He told the woman at the well... Here's a perfect picture of the woman at the well again--again. Here's a white man and a colored woman. See, just exactly: a Jew and a Samaritan. And today in the south, they have a segregation, like that they have--they had then. They had a segregation then, the Jews and Samaritans. But Jesus let her know that God didn't care about their segregations. God, when they talked, all men must worship Him in Spirit and truth.
E-106 All right. Us being total strangers, knowing not each other, God knowing us both. If He will reveal to me what you're standing there for, will you believe it? Will the rest of you colored people believe it out there with all your heart, if God will do this to your colored sister? All right. May the Lord bless you. Again a contrast, two nationalities of people, see what I mean, and the same Lord Jesus Who loves us both...
Your trouble is in your side. It's--it's not big. It's a growth, a little fatty tumor in your right side at the waistline. That's right. The minute you put your hand on it, before I spoke about it, may the Lord grant something else so that the audience and the colored people will see that it's of the Lord Jesus. Do you believe with all your heart?
You're not from right around here. You're from a place called, Jamaica, New York. And here, your name is Esther and--and Lewis. Is that's right--that right? You believe me to... You say He knowed Peter and them. You believe He's the same Christ? All right, go on your road, sister, and the Lord Jesus make you well in Jesus' Name.
E-107 You believe with all your heart? You can have what you ask for if thou canst believe.
Little lady, setting there praising the Lord, sister, you suffer with a--a trouble that's a--it's sleepless, nervous. Take sleeping pills to go to sleep, isn't that right? All right, do you believe that Jesus Christ will make you well? You accept it? Setting there praying and believing, raise your hand up if that--that's right. All right. See? All right, go home and sleep tonight, I send you in Jesus Christ's Name. Amen.
Have faith in God. Don't doubt, but believe. All things are possible to them that believe. Jesus said, "If thou canst believe, all things are possible to them that believe." But first, you must believe.
E-108 If you believe lady, that hernia and nervous trouble would leave you. If you believe, setting there with a red coat behind you, if you'd believe with all your heart, Jesus Christ would make you well.
You say, "You're reading their mind." No, sir. Her faith touched the Lord Jesus. That's right. If thou canst believe... The conditions are, if you can believe. It's not for unbelievers. It's for those who will believe. Amen.
Got high blood pressure, haven't you? But if you'll believe with all your heart, Jesus Christ will make you well. Setting next to you, you got, they got leg trouble, trouble with the leg setting there. But Jesus Christ can make you well if you believe it. Amen. Amen.
E-109 Here He moves here. Oh, how marvelous. "If thou canst believe," is what He said. Do you believe, lady? With all your heart? If God will reveal to me what you're here for, lady, will you believe me to be His servant? Now, here's what the Angel, "If you can get the people to believe you..." Not believe me as Him, but believe that He sent me to help you. I'm just His voice. See? I'm just His voice by vision, just like looking at anything you see. Now, you believe it. God bless your heart. All right, may the Lord grant you your request.
You have a real good one, lady. The first thing, you're nervous as you'd actually be. Then you're seeking something. You're seeking God. You want a closer walk with God. You want the baptism of the Holy Ghost; that's...?... Yes, and you--but you--but see, it's going to leave you, and you'll get the Holy Ghost.
E-110 Now look, Eve was seeking new life when Satan deceived her. So now, be careful, go forward; I want to pray for you that God will give you the baptism of the Holy Ghost and give you your desires. Come here.
Lord Jesus, grant this woman's blessing, and may she receive the Holy Spirit. Even at--in her own home this night it's possible Lord, for you at the church. Grant that she will receive it in Christ's Name, I ask it. Amen. Now, go believing, sister. He knows it. He knows what you're after, or He wouldn't reveal it to me. Now, I got...?... [The sister talks to Brother Branham--Ed.] Yes, sister. Uh-huh. Yes. Yes. May that's what He did right there. See? It... You'll be all right. Just go and believe God; you go and believe with all your heart.
E-111 Come, little fellow. A fine little boy, well, I--I'm sure we're strangers to each other. I want to ask you something, sonny. You seem like a fine looking little--little fellow. Now, did you know Jesus said, "Suffer little children to come unto Me and forbid them not for such is the Kingdom of God."? A little child is the--a pattern of the Kingdom of God. He said, "Suffer them to come unto Me and forbid them not."
E-112 Now, if Jesus was here today, and you come down to where He was... You heard He was down here in Brooklyn, and you come to Him, and He come to you, now, He would know you, wouldn't He? He--He would what you--what was your...?... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... long to get in here. And it's just like when I turn like when anointing strikes. I don't mean to try to explain it. You cannot explain it. I know no more about it than you do. But it just look it's dipping from one to the other. Just like He would like to call you. But if you just break that crust of shadow of doubt (You see?); that's the only thing that's keeping you from receiving it. Now, look to Him.
This darling little boy standing here. He's probably sick or something. I don't know. He's standing here. But that poor little baby boy... Now, may the Lord grant it. And if He will, how many will make Him a promise tonight... If God... Let the little boy be the judge. If--if God, if He will speak to that child and tell him his life, or his future, or whatever... Now, if I come here and said, "Oh, the Lord says you're going to get well." Well, you have a right to doubt that.
But when the Lord comes around, and I say, "Next week you're going to be better, and two weeks from now, you're going to be well." You have a right to doubt that. But when the Lord comes down and tells you what you was, beforehand, you know whether that's right or not. See? You know that. Then He tells you what's going to be. You can believe it, 'cause it'll be just as true as the other was. He's God.
E-113 Now, how many will say to God, "This night I will throw away every shadow of doubt and believe you, if--if You'll reveal this little boy and let us see that You're the same resurrected Lord Jesus in all Your power, I--I'll accept it." Let's see your hands go up to God now. You're making... Just fine. All right. Just may the Lord Jesus grant it. All through the balcony, every one of you.
Now, here's a little--a little--a little boy. You know how good... I seen him stand here with a neat little coat on, and his little tie, and his little trousers. You know where my mind is a going to? Way down in the native home in South Africa. The little fellows down there maybe never had on clothes. They don't--they don't even know which is right and left hands. And that's the reason, friends, I leave the American people. My heart burns for Africa.
E-114 They come out there... I seen thirty thousand raw heathens with idols in their hands accept Jesus Christ as personal Saviour at one time. The Lord has give us a great ministry among the colored there. I'm going back. A few nights ago, a young colored girl came to the platform, and she was just had to walk like this. And I said, "Lord, if You will only grant to this young girl her desire..." Because just before I seen them fields of Africa waiting like that in a vision. And I couldn't see the girl because of that. Just look like a call to Africa. And the Holy Spirit come down and told her that she had--had a automobile accident and had severed the nerve in her head here. And she could not hear, or could not speak, or could not move one side. And I said, "Holy Spirit, if You'll make a sign before this massive audience tonight, that You'll give this girl her perfect soundness, I will make arrangements to return to Africa."
And no more than said that, till the girl let out a scream, and throwed both arms loose, and went perfectly normal, with a severed nerve, that's cut apart, hollering, "Mother, mother, mother." Oh, it's so good like that again."
E-115 Now, here stands a little boy. I don't know nothing about him. But now, you're under promise to God, and I under promise to God myself as yielding.
Now, sonny boy, I just want to talk to you a minute, not making you a... I just want to see the Holy Spirit heal everybody at once, you know what I mean. All right.
Now, the little boy, I'm just looking to you. Like Peter, James and John--Peter and John passed through the gate called, Beautiful, in the Bible. And they said to the lame man, said, "Look on us." That don't mean to look to them to be something, but to pay attention to what they were saying. See? "Look on us."
And Elijah, the prophet, said, "If it wasn't our respected the presence of Jehoshaphat, I wouldn't even look to you." But he said, "Bring me a minstrel." And the Spirit come on...
E-116 [Blank.spot.on.tape--Ed.]... muscles. He's got a muscle trouble. And he's been everywhere. I see him going to doctors, and the doctors don't even know what caused it or what it is. And I see him from hospital, in and out; it's different hospitals. He's even had an operation for it, and nothing done him any good. It's a curse of the devil. That's true; isn't it sonny? If that's true, raise up your hand to God.
Now, to heal him, I can't. But God can. That's right. The boy is shadowed. See? Only God can make it. And you in this room, there's many here that's shadowed. But God can take the curse away. "In My Name, they shall cast out devils." Jesus Christ is here. Do you believe it? Then let's all you receiving and be healed. Will you believe it, everyone of you?
While I pray for the lad, then, you lay your hands on each other, and let's see what the Holy Spirit will do. In the prayer line, everywhere, lay your hands on one another. There, laddie. Bow your head everywhere. Be real--real consecrated to God.
E-117 Oh, heavenly Father, the Author of Life, the Giver of every good gift, send of Thy blessings upon this people. And Thou art here moving among the people in the prayer line, out in the audience, everywhere. And the people recognizes that You're here. They know that man cannot do these things, when it's been preached to them by the Bible, that Jesus of Nazareth has raised from the dead and showing Himself alive.
E-118 Here stands a little boy, standing here, a little Ethiopian boy. And the devil has bound him. And oh, Satan, you've hid from the doctor, but you can't hide from God. I adjure thee by the living God to come out of him and leave this boy alone. Get from him. We come in the Name of Christ, standing as a representative of Christ's death and vicarious suffering. Here He is resurrected, and He's here in our midst tonight.
And you know when I say, you're exposed and come out of this audience. Leave this people, thou demon. We charge thee through Jesus Christ Name to leave the people and come out of them. In the Name of Jesus Christ.
Now, everybody that believes with all of your heart, keep your heads bowed, your eyes closed. Say this, "Lord Jesus, come into my heart, move all the shadow of doubt, this old moth-eaten robe of doubt. I cast it away. I wrap myself by faith in the Holy Ghost. I'm the seed of Abraham. I call those things which were not as though they were. I believe I'm healed. I confess Christ."
Satan, come out of these people in Jesus Christ's Name. Rise up; give God praise.