Fils De David, Aie Pitié De Moi (Aveugle Bartimée)
1 ...souvienne... d'eux ce soir devant Dieu dans... ? Notre Père céleste, nous sommes si heureux du fait que Tu réponds à la prière. Nous sommes si heureux de retrouver après tant d'années, de rencontrer des gens toujours guéris depuis si longtemps, 1946 et 1947, alors qu'ils se mouraient du cancer, qu'ils étaient des estropiés, dans des fauteuils roulants, aveugles et ne voyaient pas. Et les voici qui me serrent la main ici, disant : " Frère Branham, j'étais estropié ; j'étais aveugle ; j'étais abandonné avec le cancer, et depuis lors, pas un seul jour je n'ai été malade. " Ô Seigneur, nous savons que cela ne pouvait être que Ta grâce envers eux. Nous en sommes si ravis, et nous prions, ô Dieu, que d'autres qui souffrent aujourd'hui, se rappellent que Tu es le même hier, aujourd'hui et éternellement.
Nous Te prions de nous bénir ce soir, alors que nous communions autour de la Parole écrite, afin que la gloire de Dieu vienne parmi nous. Nous sommes si heureux d'apprendre les résultats de la réunion d'hier soir, que des gens ont reçu le Saint-Esprit et sont sauvés. Ô Seigneur, combien nous Te remercions pour ces choses ! Nous Te prions à présent de nous bénir dans la suite du service alors que nous nous attendons à Toi. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
2 [Espace vide sur la bande - N.D.E.]... un grand privilège d'avoir un bon auditoire comme celui-ci à qui s'adresser, et - et cela fait que c'est si facile pour vous de - de croire en Dieu lorsque ces... arrive comme ceci. Maintenant, cela fait quelques soirées que je prêche, et - et juste l'Evangile ; en effet, je pense que si une - si une personne est guérie, qu'elle vit très longtemps, elle retombera probablement malade. Mais si vous êtes sauvé, ça c'est éternel, et vous avez la Vie Eternelle. Et il est si... on est si tard avec les lumières du soir que je sens qu'il y a une grande chose dont on a besoin par-dessus tout, c'est le salut.
Et la guérison divine, c'est simplement une... C'est comme le disait frère Bosworth, la guérison divine c'est l'appât que vous accrochez à un hameçon. Le poisson ne voit pas l'hameçon. Il prend simplement l'appât et avale l'hameçon. Il en est donc ainsi. Les gens voient le - le surnaturel, le phénomène surnaturel, Dieu guérissant les malades. Et ensuite, ils - ils tendent la main pour prendre cela, et bien vite ils - bien vite ils sont en plein dans les bras du Seigneur Jésus avec une grande foi pour croire. Et cela... alors ils deviennent des chrétiens, ils ont la Vie Eternelle. Maintenant, la majeure partie du ministère de notre Seigneur, environ quatre-vingts pourcent ou plus, je pense que c'était ça, on estime qu'environ quatre-vingts pourcent de Son ministère consistait en la guérison divine. Il faisait cela pour attirer l'attention de la multitude, et pour montrer aussi qu'Il était leur Messie. Il leur a montré des signes messianiques pour dire qu'ils... était le Messie.
Eh bien, hier soir, je pense que le frère Arganbright a demandé à l'auditoire combien voulaient qu'on continue avec - avec les services de prédication, et... ou plutôt combien voulaient qu'on passe pour avoir juste les services de guérison. Et je pense qu'environ, oh ! juste un très petit pourcentage de gens était pour des services de guérison. Mais de toute manière, si nous ouvrons nos coeurs à Dieu, Dieu le fera n'importe quand. Voyez-vous ? C'est comme ça que nous voyons cela.
3 Je suis un peu fatigué ce soir. Je suis... Partout j'ai une à trois réunions par jour, vous savez. Donc au moment où j'arrive ici, je suis pratiquement épuisé pour commencer. J'étais donc à la vieille église Pisgah cet après-midi, et... ou plutôt le home Pisgah, peu importe comment on l'appelle, et je vous assure, nous avons passé des moments glorieux. Je - j'ai vu que certains vétérans de la rue Azusa sont encore dans cette église là et y adorent, sur la vieille rue Azusa. J'ai vu ces hommes et ces femmes âgés assis là. Je - je voulais simplement les entourer de mes bras là et les étreindre, vous savez. Ils - ils semblent si doux.
Je pense qu'un enfant très jeune, ou plutôt une personne âgée, vous savez... Elle semble impuissante pour la deuxième fois et vraiment je - je... J'aime être avec une jeune personne et essayer de la mettre sur le droit chemin en la secouant, et ensuite aller vers la personne âgée pour voir combien de fossés il a traversés et comment il les a traversés, alors je saurai comment les traverser quand j'y arriverai. Ainsi... Mais j'aime les jeunes et les vieux et aussi ceux qui sont entre les deux âges. J'aime tout le monde. Je - je peux le dire du fond de mon coeur. Si je savais ce soir que j'avais un ennemi... Il se peut que j'en aie. J'en ai peut-être. Mais si c'est le cas, je ne sais tout simplement pas de qui il s'agit. Si je le savais, je ne me mettrais certainement pas à prêcher jusqu'à ce que je sois allé d'abord arranger cela, pour voir si je pourrais redresser la chose ; en effet, nous ne sommes pas censés avoir quelque chose contre qui que ce soit, ou bien si nous pouvons faire quelque chose, que personne n'ait quoi que ce soit contre nous. Voyez-vous ? Et maintenant si... Et il n'est pas dit : " Si vous avez quelque chose contre un frère ", mais " si le frère a quelque chose contre vous. " Voyez-vous ? Allez vers lui, voyez-vous, s'il a quelque chose. Et de cette manière, eh bien, vivons en paix.
4 Frère Goad que voici, un précieux jeune homme... Des fois quelqu'un dit : " Pourquoi... A quoi est dû le succès de vos réunions, Frère Branham ? " C'est bien sûr Christ. " Comment tenez-vous donc le coup, et continuez-vous d'avancer soirée après soirée ? " Mes jeunes gens, les chr-... les gens qui sont avec moi. Ce jeune homme-ci passe des fois des jours sans même manger, et prosterné face contre terre, implorant Dieu de me venir en aide. Eh bien, Dieu ne peut pas rejeter cela. Voyez-vous ? Ma femme à la maison, mes enfants, mes bien-aimés, mon peuple, mes amis, jeûnent et prient. Voilà ce qui explique le succès.
Voyez-vous, chacun de nous... Tous nous ne pouvons pas prêcher, et tous... certains d'entre nous ne peuvent pas faire l'une ou l'autre chose. Mais tous nous pouvons faire quelque chose et cela aide. Voyez-vous ? C'est exactement comme cette montre ici. Elle a une - une aiguille qui indique l'heure. Eh bien, je ne sais pas combien de fois cette petite pièce là à l'intérieur a fait des va-et-vient pour indiquer l'heure qu'il est. C'est l'aiguille qui indique l'heure. Mais si cette petite roue ne faisait pas ces va-et-vient comme cela, il - il - il - il n'y aurait pas d'aiguille ici pour donner l'heure. Voyez-vous ? Je ne saurais pas où on en est. Et s'il n'y avait pas de ressort pour remonter cette petite chose-là, eh bien, cela ne ferait pas ces va-et-vient. Voyez-vous ? Ainsi, nous - nous... Tout doit opérer ensemble. Toute l'église doit prier, tous les laïcs doivent prier, les diacres, les administrateurs et le pasteur ; alors tous ensemble nous entrons dans la Présence de Dieu comme cela, comme une grande unité.
5 Voyez-vous, eh bien, disons par exemple que ce piano produira un son. Comment le sais-je ? Comment sais-je qu'il produira un son ? Eh bien, je crois qu'il le fera. C'est ma foi. Maintenant, que ferez-vous pour que ce piano produise un son ? Mon doigt doit le toucher. Très bien. Eh bien, tout d'abord, ma tête, mon esprit, doit y penser ; mon coeur doit me dire si cela se fera ou pas. C'est par la foi. Eh bien, disons que mon doigt est une chose importante. Mon oeil, c'est l'oeil prophétique, la vue. Eh bien, maintenant, si je m'asseyais simplement et regardais ce piano, disant : " Eh bien, il va jouer ", eh bien, cela - cela ne - cela ne fera pas la chose. Or, voyez-vous, il faut que je fasse... Mes pieds doivent travailler. Eh bien, et si mes pieds disaient : " Eh bien, je ne suis pas l'oeil, je ne vais donc rien faire. " Eh bien, mes - mes pieds disent : " Je vais vous amener là. " Très bien, me voilà parti. Voyez-vous ? Mes pieds m'amènent là. Bon, bon, me voici, me voilà. Eh bien, mon oeil regarde toujours, mais il - il - il ne peut pas toucher les touches. Le pied dit : " Eh bien, je n'appuie pas sur la touche ", mais il faut que ça soit le doigt. Voyez-vous ? Et, voyez-vous, si le - si le nez dit : " C'est moi qui le ferai ", il ne se passera rien. Si l'oeil dit : " Je vais essayer de l'appuyer ", il ne se passera rien. Voyez-vous ? Il faut que ça soit mon doigt. Ainsi, quand tout travaille ensemble [Frère Branham joue une note sur le piano. - N.D.E.], j'ai la chose. Voyez-vous ? C'est cela.
6 Eh bien, qu'est-ce que la foi ? Combien de sens le corps humain possède-t-il? Cinq : la vue, le goût, le toucher, l'odorat et l'ouïe. Est-ce juste ? Ainsi donc, la foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas, qu'on ne goûte pas, qu'on ne touche pas, dont on ne sent pas l'odeur, qu'on n'entend pas. Est-ce juste ? C'est le sixième sens. Si j'avais une semaine de plus, je prêcherais sur l'une de ces choses, le sixième sens... ou plutôt au cours d'un service de guérison. Maintenant, c'est simplement... je pourrais...
Approchez, Frère Borders. Maintenant, laissez-moi vous montrer. Avez-vous déjà entendu les gens dire : " Voir c'est croire. " ? Combien ont déjà entendu cela ? Oh ! vous avez déjà entendu cela : " Je veux des preuves. Vous savez, vous devrez me le prouver. " Et maintenant, il y a un homme debout devant moi. Il a des cheveux bruns, il porte plutôt un costume brun, une cravate brune, avec une chemise blanche. Combien croient cela ? Voyez-vous ? Eh bien, maintenant j'ai un sens qui déclare qu'il est là. C'est ma vue. Maintenant, reculez un petit peu. Très bien. Maintenant, il est impossible à mon oeil de dire qu'il est là, mais je suis sûr qu'il est là maintenant juste autant que je sais que je le regarde. Pourquoi ? Je ne le vois pas. Allez-vous discuter avec moi pour dire qu'il n'est pas là ?
7 Eh bien, vous diriez : " Il se pourrait que vous ayez là frère Buntane. " Ah ! non, non, non, non ! Ce n'est pas frère Buntane, c'est frère Roy - frère Roy Borders.
" Comment savez-vous que c'est lui ? Vous tenez simplement la main d'un homme. "
Vous ne m'avez pas changé de personne. Il porte une très grosse alliance, voyez-vous, et je sais que c'est lui. Voyez-vous ? C'est pourquoi je - je suis sûr que c'est... Eh bien, je ne le vois pas, mais je sais cependant qu'il est là, exactement comme si je le voyais. Voir ce n'est donc pas croire, n'est-ce pas ? Non, non, huh-uh, pas dans ce cas-ci. Certainement pas, parce que sentir c'est croire. Est-ce juste ?
Bien, maintenant. Voyez maintenant, qu'est-ce que... Merci. Qu'est-ce que la foi ? La foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, la pleine démonstration de celles qu'on ne voit pas, qu'on ne goûte pas, qu'on ne touche pas, dont on ne sent pas l'odeur, et qu'on n'entend pas. Voyez-vous ? Voilà ! Vous dites : " Cette chemise est blanche. "
Eh bien, et si je vous disais : " Cette chemise est rouge " ?
Vous diriez : " Un instant, Frère Branham, cette chemise est blanche. "
Eh bien, je dirais : " Non, elle est rouge. " Ainsi donc, la seule façon pour que cela soit... Serait-ce possible qu'elle soit rouge ? Oui. Si vous étiez daltonien, elle pourrait être rouge. Voyez-vous ? Ainsi voir ce n'est pas encore croire. Voyez-vous ?
8 Mais votre foi... Alors que la foi est certaine, vous, vous pouvez être - ne pas être très certain. Par exemple, si vous êtes assis dans un - un... soumis à un procès, dans un procès. Vous regardez alors par une fenêtre et vous voyez un accident ; c'est difficile pour les juges de considérer votre déposition, parce qu'il se pourrait que vous ayez eu une illusion d'optique. Vous n'avez pas vu cela de cette façon. Voyez-vous ? Et des fois, vous pensez que vous avez certainement raison. Vous est-il déjà arrivé en allant sur une route d'y voir un mirage ? C'est exactement comme si c'est de l'eau. Il y a quelque temps, j'ai lu dans le journal qu'un groupe de canards pensaient que c'était - c'était de l'eau, et ils devaient avoir cru de leurs yeux, et ils sont tombés en plein sur la route. Ils en sont tous morts (voyez-vous ?), parce que c'était un mirage.
Bien des fois des êtres humains voient un mirage, et ils se disent : " Oh ! c'est exactement la chose ", ils finissent par se tuer. Voyez-vous ? On les voit dans le désert pendant qu'ils y font des prospections. Leur eau s'épuise et leur gamelle se vide, et ils n'ont plus d'eau. Et ils commencent à voir des mirages et s'imaginent que c'est de l'eau, et ils courent et tombent par terre et se mettent à (pensent-ils) - à se baigner. Et qu'est-ce ? Ils entassent du sable chaud. Et c'est comme ça que le diable fait. Des fois, il vous montre un faux mirage. Et vous pensez que c'est quelque chose de glorieux, mais quand vous y arrivez, vous vous retrouvez en train d'entasser de plus en plus du sable chaud et les péchés sur vous. Voyez-vous, ne suivez pas le mirage du diable ; que votre foi s'ancre juste dans la Parole de Dieu. Tenez-vous-en à cela, voyez-vous, comme cela. Cela doit se retirer. Voyez-vous ?
9 Ce sixième sens va - va - va mettre au défi tous ces autres cinq sens. Nous utilisons correctement les cinq sens tant qu'ils sont en accord avec le sixième. Mais il n'a pas été donné à l'homme de vivre par les cinq sens ; il a été... pour laisser les cinq sens le guider. Il lui a été donné de... il est sujet à... il est né pour être conduit par le sixième sens. Voilà la raison pour laquelle Dieu lui a donné le sixième sens. C'est la place de Dieu dans le coeur pour nous conduire. Nous sommes donc conduits par le sixième sens, si seulement nous l'acceptons. Eh bien, si le sixième sens déclare que la - la Parole a tort, alors ne - vous n'êtes pas dans le sixième sens. Voyez-vous ? Ce sont là les cinq sens. Mais le sixième sens croit des choses que les cinq sens ne clarent - ne déclarent pas. C'est un peu compliqué mais ce - c'est vrai (voyez-vous ?) ; le sixième sens, c'est ce qui nous guide.
10 J'étais sorti il y a juste quelques moments, j'ai prié pour une précieuse vieille femme qui était étendue là depuis quatre jours, attendant qu'on prie pour elle. Et une telle chose, je vous assure, je sens comme si je devrais transformer ceci en un service de guérison d'une façon ou d'une autre, pour voir l'Esprit de Dieu se mouvoir comme cela. Et cette pauvre vieille créature, je l'ai saisie par la main, et - et j'ai vu ce qui n'allait pas. Et, eh bien, cela...
11 Qu'avez-vous donc lu ? Luc, ouais. Oui, oui. Très bien. Maintenant, je veux tirer de cela un texte, le Seigneur voulant. Eh bien, Dieu voulant, demain soir comme je l'ai promis, je voudrais prêcher sur Le Sceau de Dieu. Tous, aimez-vous les leçons d'enseignement de ce genre ? Le Sceau de Dieu, et puis La marque de la bête le soir suivant. Et ce soir je voudrais tirer de là un texte ou - comme sujet, du passage qu'il a lu ici, Saint Luc, au - au chapitre 18. Et il a lu du verset 35 au verset 43 inclus.
Eh bien, je voudrais prendre le verset 38 comme texte. Fils de David, aie pitié de moi. Et considérons cela plus comme un petit drame ce soir. Ma gorge est un peu fatiguée, et présentons cela sous forme d'un drame pendant quelques instants.
12 Notre - notre scène s'ouvre un matin froid de printemps, et c'est auprès de la muraille, sur les ruines de la vieille muraille de Jéricho. Et là est assis un - un homme que nous connaissons comme étant un mendiant du nom de l'aveugle Bartimée, ou plutôt Bartimée. C'est l'un ou l'autre, c'est bien prononcé. Et aussi y avait-il en ce temps-là beaucoup de mendiants. Et pendant toute la nuit, il n'avait pas arrêté de se retourner, il n'arrivait pas à dormir. Beaucoup parmi nous savent ce que sont ces genres de nuits, sans repos du tout. Et il se roulait d'un côté du lit à l'autre, et le pauvre vieil homme n'avait pas du tout eu de repos. Et il s'est levé tard, et il est donc arrivé tard à son poste. Par conséquent, si - s'ils ne venaient pas de bonne heure, les négociants et autres qui arrivaient... Il y avait tellement de mendiants et de gens aux maladies incurables, comme la cécité, la lèpre, et les estropiés, et ainsi de suite, et des indigents. Et le premier mendiant que les gens rencontraient recevait d'eux une pièce de monnaie, et c'était fini. C'est tout ce qu'ils pouvaient se permettre pour la journée.
Il est donc arrivé tard à sa place. Disons que c'était aux environs de huit heures du matin, et qu'il aurait dû y être aux environs de six heures. Mais la raison pour laquelle il était en retard, c'était parce qu'il n'avait pas suffisamment dormi. Pendant toute la nuit, il n'avait pas arrêté de se retourner, et il n'arrivait pas à dormir. Et il avait - il rêvait toute la nuit qu'il voyait de nouveau. Il a rêvé qu'il avait recouvré sa vue. Et il s'est réveillé, puis il s'est rendormi.
Vous savez, je crois que bien des fois Dieu nous avertit dans les songes. Ne le pensez-vous pas ? Il l'a toujours fait, et Il a promis que dans les derniers jours Il montrerait des visions et permettrait aux gens d'avoir des songes. Et imaginons Bartimée, il a rêvé qu'il pouvait re-... il avait recouvré la vue et qu'il voyait de nouveau.
13 Quand il est donc arrivé là ce matin-là, il était en retard, et tous les négociants étaient déjà entrés dans la ville, et - et c'était comme une grande ville commerciale. Mais tous - tous étaient entrés, ils étaient arrivés tôt au marché pour vendre leurs marchandises et ainsi de suite. Il devait peut-être alors s'en passer ce jour-là. Il n'a pas - n'aurait pas sa pièce de monnaie quotidienne pour le repas. Et je peux m'imaginer, comme nous l'avons décrit plusieurs fois : avec son vieux manteau en lambeaux comme cela, et ses vieux petits bras ratatinés, une barbe grise recouvrant le visage ; et - et il était aveugle, longeant la route, essayant plutôt d'arriver à l'endroit où il s'asseyait pour mendier. Chacun d'eux avait un coin personnel où il mendiait.
C'est une chose pitoyable. J'ai été en Inde et je les ai vus là où ils sont... L'Inde compte quatre cent soixante-dix millions d'habitants ; et en toute sincérité, je dirais que pratiquement quatre cents millions d'entre eux sont des mendiants. Vous... Partout il n'y a que des mendiants, des mendiants, et des mendiants. Et chacun a son coin, son emplacement, et ils font une sorte de petits enchantements pour attirer l'attention des touristes ; et quel spectacle pathétique !
14 Et ainsi, nous le voyons assis là. Et après une mauvaise nuit, eh bien, il s'est rendu compte qu'il n'y avait personne là, alors il s'est dit peut-être qu'il s'assiérait sur une pierre. Vous savez que la muraille avait été détruite à l'époque de Josué, quand il avait effectué son entrée, et de grosses pierres gisaient d'un côté. Alors il doit s'être frayé son chemin du côté de la porte nord qui mène vers Jérusalem. Et il s'est assis là au soleil. Et il se disait : " Eh bien, le printemps approche maintenant, et je crois que je vais juste m'asseoir ici au soleil chaud. J'ai froid ce matin, et mes vêtements sont légers, et je vais juste m'asseoir ici au soleil chaud pour un petit moment, et - et il se pourrait qu'il en reste peut-être un de qui je pourrais recevoir ma pièce de monnaie. Sinon, ma famille va - va passer à jeun cette journée. "
Et pendant qu'il était assis là, il s'est mis à penser à son songe. " Cette nuit, j'ai rêvé que je voyais. Oh, comme le ciel doit être beau ! Les collines recommencent à fleurir. " Alors sa pensée remonte à l'époque où il était un petit garçon, lorsqu'il vivait là près de la rive du Jourdain, et au début du printemps, eh bien, les grosses renoncules des champs poussaient, ainsi que les petites fleurs. Comment, petit garçon, il errait sur la colline et s'asseyait et - et cueillait ces fleurs, et s'étendait là, et oh, le matin et il se disait que le ciel était très beau, avec les gros nuages blancs qui passaient au printemps, et le gazon poussait, le ciel était bleu, et le Jourdain était en crue, la neige descendait de la Judée, et c'était la floraison.
15 Et alors, il entendait une voix familière que nous aimons tous entendre, la voix douce d'une mère, appeler : " Bartimée, mon petit, ton déjeuner est prêt. " Et puis c'était quand son père était quelque part au champs, en train de travailler ; il rentrait, cette petite mère juive l'attendait sur les marches, et elle le prenait dans ses bras, et l'étreignait, et le faisait asseoir pour son - son dîner. Et alors, après avoir terminé, il sortait sous le porche. Et il s'asseyait sous le porche, et sa mère le berçait, et il devait faire sa petite sieste de l'après-midi. Alors elle écartait de ses yeux ses cheveux en les ramenant vers l'arrière, et - et il levait les yeux et voyait ces jolis grands yeux doux d'une mère, et elle embrassait ses petites joues et disait : " Oh ! combien je remercie le Grand Jéhovah Dieu pour un beau petit garçon comme toi, Bartimée. Tu sais, Bartimée, quand tu es né, je t'avais consacré à Jéhovah. J'ai toujours cru que Jéhovah t'utilisera un jour, Bartimée, qu'Il t'utilisera pour Sa gloire. " Et alors il se disait : " Me voici assis ici, aveugle, peut-être à pas plus d'un mile [1,6 km - N.D.T.] de l'endroit où je jouais ayant ma vue. Et comment Jéhovah pourrait-Il jamais m'utiliser ? Je suis aveugle. Il n'y a aucun espoir pour moi. "
16 Mais on ne sait pas toujours, vous savez. Dieu agit par des voies mystérieuses pour accomplir ses prodiges. Si nous confions quoi que ce soit à Dieu en croyant cela, comme nos enfants ou quoi que ce soit d'autre, croyons que Dieu répondra à cette prière. La veille de mon départ, le téléphone sonnait sans arrêt, les mères ayant des enfants me disaient : " Priez pour eux. "
J'ai dit : " Eh bien, confiez-les simplement à Dieu. C'est tout ce que vous avez à faire. Et ne vous en occupez plus. Laissez Dieu en disposer. " Si vous avez l'intention de faire quelque chose à ce sujet, alors Dieu se retirera et vous laissera aller de l'avant, jusqu'à ce que vous soyez fichu. Mais quand vous confiez la chose à Dieu et Le laissez en disposer, alors Il le fera. Croyez simplement - simplement en Lui. Restez derrière et ne faites rien, mais croyez. C'est à ce moment-là que la grâce est imputée à justice, si vous croyez que Dieu le fera.
17 Alors il a dit... Sans doute qu'il s'est souvenu dans son coeur que sa mère lui lisait les histoires de la Bible. Vous savez, à l'époque, les mères avaient le temps de lire les histoires de la Bible à leurs enfants. Elles n'en ont plus aujourd'hui. Il leur faut se procurer la nouvelle voiture, ou plutôt sortir pour aller à une partie des cartes de dames, et - et tout. A l'époque les mères devaient transporter leur eau depuis la source et la faisaient bouillir à l'extérieur. Je me rappelle que ma mère avait une très grosse et vieille bouilloire en fer, et qu'elle faisait sa lessive dehors, et... Elle avait pourtant plus de temps qu'une mère moderne qui appuie juste sur un bouton, comme cela, pour faire sa lessive, sa vaisselle, et tout le reste, en appuyant juste sur un bouton. Mais je ne pense pas que notre confort moderne nous ait amenés quelque part. Et le problème est que cela nous a rendus très paresseux, nous tuant avec des troubles cardiaques et tout le reste.
Susanne Wesley a eu dix-sept enfants. Et avec ces dix-sept enfants, il y a des centaines d'années, elle pouvait toutefois consacrer deux à trois heures par jour, malgré tout son programme chargé, pour lire l'Evangile et prier pour ses enfants. Qu'est-ce que cela a donné ? Elle a eu parmi eux un John et un Charles qui ont bouleversé le monde. Susanne Wesley, je me suis tenu récemment près de sa tombe et j'ai posé ma main sur la pierre tombale. J'ai dit : " Ô Dieu, donne à l'Amérique ce genre de mères. " C'est juste. Elle a produit un Charles et un - et un John Wesley. Charles a offert au monde quelques-uns des ses meilleurs cantiques de l'Evangile. Et John, oh ! la la ! il était sûrement un tison arraché du feu. C'est juste. Quel grand homme de Dieu il était !
18 Eh bien, mais aujourd'hui, malgré tout notre confort moderne, au lieu de lire la Bible aux enfants, nous allumons la télévision et laissons les enfants regarder quelque chose qu'il ne leur convient même pas de regarder. Eh bien, c'est juste. C'est juste. Et autre chose, nous leur donnons ces vieux petits magazines de bandes dessinées, et ces vieux petits livres de contes pris de la tablette de cheminée d'un drugstore, et qui ne devraient même pas être vendus pour en faire - faire du bois de chauffage, ou plutôt d'allumage. Et pourtant, nous faisons avaler tout ce genre d'histoires à nos enfants. Eh bien, le... américain... Je parie qu'il y a... que presque chaque garçon en Amérique peut vous dire qui était Davy Crockett. Mais j'imagine qu'il n'y en a pas un tiers qui puissent vous dire qui est Jésus-Christ. C'est juste. Oh ! le cow-boy masqué [Feuilleton télévisé américain - N.D.T.] ou quelqu'un de ce genre ou une vedette de cinéma, ils en savent tout là-dessus parce que c'est ce qui est placé devant eux. Et la Bible est le Livre qui est mis de côté. Et quand le ministre vient, ils La déterrent, L'époussettent, puis ils La mettent au-dessus comme cela. On ne La lit jamais. Ce dont nous avons besoin aujourd'hui, c'est de nouveau de braves mères à l'ancienne mode qui ramèneront leurs enfants à la prière. Le meilleur remède que je connaisse pour guérir la délinquance juvénile (c'est juste), ce sont de braves mères honnêtes.
19 J'entends les gens parler de l'analphabétisme des mères du Kentucky, là dans la partie de la contrée d'où nous venons, là au nord. Eh bien, elles peuvent être... Elles n'ont pas... elles ne savent peut-être pas distinguer la main droite de la main gauche, mais qu'une de leurs filles rentre la nuit avec les cheveux tout en désordre, toute déshabillée, le visage tout barbouillé de rouge à lèvres comme cela, et qu'un fumeur de cigarettes à moitié ivre, au teint jaunâtre, amène sa fille au grand jour ; je vous assure que cette fille ne pourra pas sortir du lit pendant trois mois. Je vous garantis cela maintenant. Oui, oui. Et vous parlez de l'analphabétisme... ?... qui est... Nous avons besoin davantage de mamans de ce genre. Certainement. Certainement. Cela - cela ramènera la discipline.
Chez nous, il y avait les dix commandements. Ils étaient accrochés au-dessus de la porte. Une branche de noyer constituait tous les dix, avec le bout comme cela. Et je vous assure que c'est de cela que nous avons reçu - nous avons reçu notre éducation. C'est juste. Je peux voir mon père tendre encore la main et dire : " William... "
Je disais : " Mon Dieu !" Je savais ce qui venait. Mais je - je suis heureux qu'il l'ait fait. C'est exact.
20 Bartimée pensait à sa précieuse petite maman, comment elle lui racontait des histoires de la Bible au sujet de ce que le Seigneur avait fait. Elle disait : " Bartimée, tu sais, nous les Juifs, selon le choix de Dieu... Il nous a choisis pour être Son peuple, parce que nous L'avons aimé et L'avons servi. Bartimée, il se peut que tu vives pour être un grand homme un jour. Je m'attends à ce que tu deviennes le roi d'Israël. Je - je veux que tu... " Toute mère s'attend à ce que son enfant devienne un grand homme, et c'est ainsi qu'elle devrait être. Et elle a dit : " J'ai prié. Et je... quand j'ai su que tu venais sur la terre, quand Dieu t'a placé sous mon coeur, eh bien, je - j'ai consacré ta petite vie à Dieu. Et tu sais, je veux que tu serves ce Grand Dieu. Je vais te dire combien Il est grand, Bartimée. Et tu sais, nous sommes sortis d'Egypte. Nous étions autrefois des esclaves, mais Il nous a fait sortir d'Egypte ", Il a ouvert la mer Rouge, a nourri les enfants d'Israël avec la manne qui venait du ciel, a fait souffler un vent qui a amené de la viande, des cailles pour eux, Il leur a donné l'eau du rocher dans le désert, et toutes les grandes choses qu'Il a faites. Et, oh, ses petits yeux brillants... Il disait : " Ô maman, ce Grand Jéhovah est-Il toujours vivant ? "
" Oh ! oui, chéri. Il est le même qu'Il a toujours été. Il est toujours Jéhovah. "
21 Il aimait cette histoire, et [elle] racontait comment les enfants d'Israël... Elle disait : " Juste là au vieux gué... Un jour, le grand et vaillant Josué a traversé juste là avec les enfants d'Israël. C'est juste là près de la ville où nous allons nous procurer de l'épicerie, là à Jéricho, c'est exactement là que Josué, le grand et vaillant guerrier, le serviteur de Dieu, a traversé. Moïse s'est tenu là-bas sur la montagne, il a regardé monter la marée du fleuve, et l'incroyant se disait : 'Voici un temps favorable. Nous sommes en sécurité. Dieu doit être un piètre ingénieur, pour choisir ce moment de l'année pour la traversée.' " Mais Dieu prend parfois le pire moment pour prouver qu'Il est Dieu. Oui, oui. Normalement, Il les aurait conduits lorsque le fleuve... les aurait amenés là quand le fleuve était bas. Non, ce n'est pas le cas. Il veut simplement vous prouver qu'Il est Dieu. Il - Il aime manifester Sa gloire. Et, oh ! j'aime cela. J'aime cela, voir et être certain qu'Il est Dieu.
22 Puis l'une des histoires que le petit Bartimée aimait tant, c'était l'histoire de la Sunamite, parce qu'elle parlait d'un petit garçon, vous savez. Il y est parlé d'un petit garçon qui ... Et elle parlait de ce grand et puissant prophète Elie, comment Dieu avait fait de lui un si puissant prophète. Il vivait dans le désert et n'avait pas beaucoup d'habits, et il s'enveloppait d'un morceau de cuir, et - et cependant il était un grand et vaillant homme de Dieu. Il vivait sous l'onction de Dieu.
Et il passait par une certaine ville, et il y avait là une Sunamite. C'était une femme aimable, qui, en plus, aimait Dieu. Bien qu'étant une femme des Gentils, elle - elle aimait Dieu. Et je dirais que la mère a dit peut-être à Bartimée : " Tu sais, Bartimée, Dieu nous a choisis. Mais un jour, un Grand Messie viendra. Et alors - alors c'est Lui qui appellera toutes les nations, parce que cette Sunamite... Dieu est aimable envers tous ceux qui sont aimables. Il veut venir aider ceux qui veulent être aidés. "
23 " Et, Bartimée, cette grande dame voyait ce saint homme passer dans la ville. Alors elle a voulu lui manifester une certaine bienveillance, parce qu'elle aimait Dieu, et elle savait que cet homme était Son serviteur, et elle voulait l'aider et faire quelque chose pour lui. Alors, elle - elle l'a vu venir, et elle est sorti et l'a invité à entrer et - et à rester avec eux. Ainsi, son mari était plutôt un homme riche. Elle a donc dit un jour à son mari : 'Tu sais, chéri, ce grand et saint homme de Dieu vient par ici, il se rend là-haut à une caverne où il vit, là au mont Carmel. Comme il passe donc par ici, je crois qu'il serait bon que nous lui construisions juste une petite pièce sur le côté de notre maison. Je crois que ce serait très bien si nous faisions cela, parce que tous deux nous croyons en Dieu, et Il est Dieu, et c'est le représentant de Dieu. L'ordre le plus élevé de Dieu sur la terre maintenant, c'est Son représentant.' Ainsi son mari a dit : 'Je pense que ce serait une bonne chose.' Alors ils ont construit là la petite maison. "
24 " Puis un jour, quand Elie et Guéhazi, son - son serviteur, sont passés par là, ils ont vu cette petite pièce qui avait été construite là, ils y sont entrés. On leur avait installé là un beau petit lit, et - et un petit tabouret, avec de l'eau et tout. Alors il a dit : 'Va demander à cette Sunamite ce que je peux faire pour elle. Elle a été si gentille envers nous ; peut-être que nous pourrions lui rendre service en retour. Peut-être qu'elle voudrait que je parle au roi, ou peut-être qu'elle voudrait que je parle au chef de l'armée ou à quelqu'un d'autre.' Mais, tu sais quoi, Bartimée ? Cette femme n'a rien demandé. Mais quand Guéhazi est revenu, il a dit : 'Je vais te dire, Elie, grand prophète de Dieu, la femme est stérile. Elle n'a pas d'enfants. Elle n'a jamais eu d'enfants.' " Et elle a dit : " Bartimée, tu sais, toute mère aimerait avoir un petit, un mignon petit garçon comme toi. Tu vois ? C'est la raison pour laquelle Jéhovah est si bon envers moi en te donnant - me donnant un petit garçon comme toi. Et cette pauvre mère désirait un petit garçon comme toi. Alors Elie a dit : 'Va lui dire de venir se présenter devant moi.' Et ainsi, sans doute qu'Elie avait eu une vision de ce qu'il devait faire. Ainsi donc, quand la femme est entrée, il a dit : 'Au temps de la vie, tu auras un fils.' Et elle est sortie. Et tu sais quoi, Bartimée ? Cette mère a reçu un mignon petit garçon, juste un petit garçon des Gentils, juste comme toi, tu es un petit garçon juif. Comme cette mère aimait ce petit garçon ! Comme elle devait se dire qu'il était la petite créature la plus mignonne. "
25 " Et à peu près à l'âge de onze ans, un jour il est allé aux champs avec son papa pour - pour faire la moisson. Et je crois qu'il a dû avoir une insolation, parce qu'il s'est mis à crier : 'Ma tête, ma tête.' Il devint de plus en plus malade. Alors, comme le père était très occupé avec les ouvriers agricoles, il a demandé à un serviteur de ramener le petit à la maison, et celui-ci l'a déposé sur les genoux de sa mère. Celle-ci l'a gardé sur ses genoux jusqu'aux environs de midi, et le souffle se retira complètement de lui, et le pauvre petit garçon mourut. Eh bien, Bartimée, je veux cependant que tu remarques ce que cette femme des Gentils a alors fait. Elle l'a amené à l'intérieur et l'a étendu sur le lit du prophète. "
Maintenant, il y a là une merveilleuse révélation. Voyez-vous ? Elle ne l'a pas amené à son propre lit, ni à son lit à elle, ni à celui de son père. Elle l'a amené et l'a étendu sur le lit du prophète, dans la chambre où le prophète avait dormi.
26 " Et alors elle a dit à son mari : 'Selle un mulet, et pars maintenant, a-t-elle dit au serviteur, et ne t'arrête pas. Si quelqu'un te salue, ne lui réponds pas, mais va directement jusqu'auprès de l'homme de Dieu, au mont Carmel.' "
" Eh bien, a-t-il dit, eh bien, a dit son mari, ce n'est ni nouvelle lune ni sabbat, par conséquent l'homme de Dieu ne sera pas là.' "
" Elle a dit : 'Tout va bien.' " J'aime cela, quand vous vous emparez vraiment de la foi, accrochez-vous-y. C'est une bonne leçon maintenant pour vous tous, les petits Bartimées. Suivez. " Et elle a donc dit : 'Pars ! Ne t'arrête pas pour des appels sociaux et autres. Pars simplement ! Continue d'avancer. Ne t'arrête que si je te l'ordonne.' Et naturellement, quand il a approché du mont Carmel, quand le prophète... "
Vous savez, Dieu ne révèle pas tout à Ses prophètes. Nous le savons tous. Il ne révèle à Ses prophètes que ce qu'Il veut que ces derniers sachent.
27 " Et alors, quand il s'est approché, Elie est sorti, il était probablement vieux et sa vue s'était peut-être un peu affaiblie. Il a relevé les mains et il a dit : 'Voici venir cette Sunamite, mais elle a l'air inquiète. Mais Dieu me l'a caché.' Alors il a dit à Guéhazi : 'Sors l'appeler.' Mais elle avançait très vite. Quand elle est arrivée là, il a crié : 'Te portes-tu bien ? Ton mari et ton enfant se portent-ils bien ?' "
" Et, écoute ce que cette femme a dit : 'Tout va bien' " Amen. Voyez-vous, elle savait que Dieu était dans ce prophète. C'est juste. Elle savait que c'était l'ordre le plus élevé que Dieu avait en ce temps-là. Je pense que c'est là que Marthe a eu l'idée. Elle devait avoir lu cette histoire. Quand son frère Lazare est mort, elle savait que si Dieu était dans ce prophète, Dieu était certainement dans Son Fils. C'est juste. Elle est donc allée auprès de Lui et a dit : " Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais, maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l'accordera. " J'aime cela. J'aime cela. Voyez-vous, cela Le fit tressaillir. Voyez-vous ? " Maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l'accordera. "
28 Ce petit garçon qui est assis ici avec ce pied écrasé, un autre jeune homme est assis ici, je les ai vus tous les deux crier hier soir. Ils doivent être des jeunes pentecôtistes, ils doivent avoir Dieu dans leur coeur. Vous dites : " Frère Branham, je ne marcherai probablement plus jamais. C'est ce que le médecin a déclaré. " Celui-ci par ici qui souffre des troubles cardiaques, l'autre ici souffrant de je ne sais quoi, peu importe votre problème, vous dites : " Eh bien, le médecin a dit que je ne marcherai plus jamais. Je ne pourrai jamais m'en tirer. J'ai le cancer. J'ai une tumeur. J'ai ceci cela. "
" Mais, même maintenant, Seigneur, tout ce que tu demanderas au Père, Il te l'accordera. " C'est cela. " Même maintenant, tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l'accordera. " C'est forcément de là que Marthe a tiré cette histoire.
29 La Sunamite a dit : " Tout va bien. " Eh bien, elle ne réclamait pas son fils, elle savait que Dieu pouvait par ce prophète lui dire pourquoi Il avait pris l'enfant, et cela allait la satisfaire. S'Il pouvait révéler pourquoi Il avait pris le garçon, alors tout irait bien. Elle était donc devant le représentant de Dieu, et tout allait bien.
J'imagine que les yeux du petit Bartimée brillaient. " Maman, maman, dépêche-toi. Dis-moi ce qui s'est passé. " Vous voyez, les petits garçons sont pressés. Ils veulent connaître la fin de l'histoire. " Eh bien, le grand prophète, après qu'elle lui a révélé la chose et qu'elle lui a raconté son histoire, ce que... le petit garçon était mort et il était étendu dans la chambre, alors le prophète a dit à son serviteur : 'Prends mon bâton et va le mettre sur l'enfant.' " Eh bien, je pense aussi que c'est de là que Paul, dans le Nouveau Testament, a tiré l'idée de faire appliquer des mouchoirs et des linges qui avaient touché son corps.
30 Eh bien, Elie savait que tout ce qu'il touchait était béni. Mais s'il pouvait amener la femme à croire cela, c'était tout... S'il pouvait amener la femme à croire la même chose, un miracle se serait produit, exactement comme toujours, si la femme avait la foi dans ce qu'Elie lui disait de faire. Mais la foi de la femme n'était pas dans le bâton. Eh bien, j'aime plutôt la façon dont elle l'a dit de toute manière. Elle a dit : " L'Eternel est vivant et ton âme ne mourra point, je ne te quitterai point. " J'aime cela : déterminée à tenir bon. Voilà. Si vous vous engagez pour Dieu, tenez bon jusqu'à ce que le Saint-Esprit vienne, jusqu'à ce que tout ce que vous avez demandé arrive. Ne lâchez pas. " Je ne Te délaisserai point. Je suis entre Tes mains, Seigneur, jusqu'à ce que Tu me répondes. " Voilà comment il faut s'y prendre.
Vous savez, Jésus l'a enseigné comme cela. Il a dit que le juge inique, vous savez, il - il - il ne voulait pas faire justice à la veuve face à son ennemi. Mais il a dit : " Pour me débarrasser d'elle, je m'en vais lui faire justice face à son ennemi. " Eh bien, à combien plus forte raison votre tendre Père céleste sera-t-Il disposé à vous accorder la chose. Mais maintenant, non pas... Il a dit : " Cherchez et vous trouverez ; frappez et l'on... ouvrira. " Eh bien... " Et demandez. " Or, si vous remarquez bien, il ne s'agit pas simplement de dire : " Seigneur, je désire la chose. " " Celui qui demande, qui cherche. " Continuez de chercher. Continuez de frapper. Continuez sans cesse, sans cesse. Vous êtes arrivé là, continuez donc simplement de frapper jusqu'à ce que cela s'accomplisse. " Je crois cela, Seigneur. Je suis - je suis entre Tes mains. Je suis entre Tes mains. "
31 Rappelez-vous, le Seigneur m'a guéri des troubles gastriques. Le diable dit : " Tu - tu n'es pas guéri. "
J'ai dit : " Tiens-toi simplement là et écoute-moi témoigner alors. Si - si tu veux... ?... Si tu veux entendre Dieu être glorifié, tiens-toi simplement là et écoute-moi pendant un moment. " Il en eut assez et s'en alla. C'est donc ce qu'il fera. L'autre jour il a essayé de me donner un gros rhume. Il me l'a passé, et je le lui ai rendu. Il me l'a de nouveau passé. Et je le lui ai de nouveau rendu. Et nous nous sommes battus là-dessus pendant trois ou quatre jours, et finalement cela est parti. Vous y êtes alors. Voyez-vous ? Continuez simplement de le lui rendre. Ne recevez simplement pas cela. Rendez-le-lui. Rendez-le-lui. C'est ce qu'il faut faire. Soyez vraiment déterminé. Accrochez-vous-y.
32 C'est ce qu'elle a fait. Elle a dit : " L'Eternel est vivant, et ton âme ne mourra point... " Eh bien, voyez-vous, elle croyait qu'il avait une âme qui ne mourrait point. Voyez-vous ? " L'Eternel est vivant et ton âme est vivante ", voyez-vous, " je ne te quitterai point. Je resterai avec toi jusqu'à ce que je comprenne ce qui est arrivé. " Il ne pouvait donc pas se débarrasser d'elle. Alors, il a dû ceindre ses reins, et le voilà partir.
Je remarque que quand il est entré dans la chambre... Regardez ce que le prophète a dû affronter. Il ne savait pas ce que le Seigneur allait faire. Le père était là, criant à tue-tête, et tous les voisins criaient. Ce beau petit garçon d'une famille si aimable était mort, gisant dans la chambre ; tout espoir était parti. Eh bien, que fit Elie ? Exactement comme Jésus, il les fit tous sortir de la maison. Ils se sont éloignés de l'endroit où la chose se passait... comme l'a fait Jésus lorsque la fille de Jaïrus était morte. Et observez ce que fit le prophète. Il n'avait pas besoin de sortir, de chercher, et de prier, et de beaucoup prier pour être prêt. Non, je - je crois que nous devrions rester toujours en prière, ne pensez-vous pas ?
33 Récemment une petite femme irlandaise venait à bord d'un navire, raconte-t-on. Et quelque part, à environ trente, quarante miles [48 km, 64 km - N.D.T.], du - du port de New York, une violente tempête se leva. Et les gens se disaient que le petit bateau n'allait pas s'en sortir. Ils ont envoyé un s.o.s. Et ainsi, on leur a dit que la tempête devenait de plus en plus terrible. S'ils arrivaient - s'ils arrivaient à la braver pendant trente minutes, ils atteindraient le - le - le port. Mais s'ils n'y arrivaient pas, ils seraient au fond de la mer. Alors tous les orchestres de musique de jazz s'arrêtèrent et les gens se mirent à prier et à jouer : Plus près de Toi, mon Dieu, et ainsi de suite. A la différence de tout le monde, cette petite dame irlandaise marchait de long en large en criant et en braillant. " Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! ", disait-elle.
Le capitaine a dit : " Est-ce que vous m'avez bien compris ? "
Elle a dit : " Oui, monsieur. Je vous ai compris. "
Il a dit : " Eh bien, pourquoi ne priez-vous pas ? "
Elle a dit : " J'ai déjà prié. " Voilà donc. Il faut avoir déjà prié, être prêt. C'est ce qu'il nous faut faire. Et elle a dit : " Je suis si heureuse. " Et elle s'est remise à crier.
Le capitaine a dit : " Pourquoi criez-vous ? "
Elle a dit : " Vous avez dit que si nous tenons le coup pendant trente minutes, nous serons à New York. Et si nous ne tenons pas le coup, nous serons au fond de la mer. "
Il a dit : " C'est juste. "
Elle a dit : " Je viens de l'Irlande et je vais voir ma fille à New York. J'en ai une autre dans la gloire, et dans trente minutes, je verrai l'une d'elles. " Ainsi, c'est... Si le bateau coulait, elle monterait... ?... Voilà donc. Vous ne pouvez pas perdre. Voyez-vous ? Elle criait donc de toute façon. Elle savait que dans trente minutes, elle verrait l'une de ses bien-aimées. Oh ! c'est ça ! Il faut avoir déjà prié.
34 " Le vieil Elie, quand il est monté dans le - dans le bateau, vous savez, ou plutôt qu'il est monté sur la terrasse de la petite pièce qu'elle lui avait bâtie, elle faisait les cent pas. Et il allait et venait, dit la Bible, dans la chambre. Et ensuite, après qu'il a senti l'Esprit venir sur lui, il est allé s'étendre sur le bébé, et il s'est étendu là avec son corps sur le bébé. Et alors, il a senti le bébé se réchauffer, il s'est donc relevé, il a fait encore les cent pas dans la pièce, des allées et venues. Il est revenu et s'est étendu de nouveau sur le bébé, et le bébé a éternué sept fois, puis est revenu à la vie. Il a pris le bébé et a dit : 'Appelle la Sunamite.' Et, oh ! combien le petit Bartimée aimait cela !
35 Il a commencé à se dire : " Oh ! quand j'écoutais ma mère raconter ces histoires ! " A ce moment-là, il a entendu quelque chose cliqueter, le bruit d'un petit mulet qui venait. Cela devait être plutôt un homme riche, parce que la plupart des gens voyageaient à pieds ou à... Les riches se déplaçaient à dos d'ânes, et l'armée utilisait des chariots. Et ainsi il - il a dit : " Ça doit être un homme riche qui arrive en retard. " Alors il s'est levé, il a jeté de côté son habit, il a couru et a dit : " Aumône pour l'aveugle. Aumône pour l'aveugle, s'il vous plaît ! "
Et le petit mulet s'est arrêté, et il a entendu une voix très grincheuse dire : " Hors de mon chemin, espèce de mendiant. Je suis le chef de l'association des ministres de Jérusalem. J'ai appris qu'il y aura un... Je suis le serviteur de l'Eternel. J'ai appris qu'un de ces soi-disant prophètes ici, qui voit des visions et tout, viendra ici aujourd'hui. Il va tenir un service de guérison. Je vais réunir tout le conseil ici aujourd'hui. Je dois rassembler ces ministres pour veiller à ce qu'on n'ait aucune de ces sottises par ici. Hors de mon chemin, je suis sur le chemin de l'Eternel. " Et la petite ânesse a descendu la rue. Et alors Bartimée s'est dit : " Ça alors ! Et c'est ça le serviteur de l'Eternel ! "
36 Eh bien, il a fait demi-tour, essayant de trouver où se trouvait la pierre. Et finalement lorsqu'il l'a retrouvée, le soleil avait avancé un petit peu, et elle était devenue plutôt froide. L'ombre de la muraille couvrait la pierre, alors il est allé un peu plus loin, et il a dit : " Eh bien, je pense que je n'aurai aucune pièce de monnaie pour aujourd'hui. Alors, peut-être que je vais simplement - simplement attendre un peu, et je vais peut-être m'asseoir encore. Je vais peut-être continuer de rêvasser sur mon enfance. " Alors il s'est rappelé aussi que sa mère lui avait raconté que bien des années auparavant ce grand prophète Elie ainsi que Elisée qui l'avait remplacé, deux puissants hommes de Dieu ont descendu juste cette même rue pavée, bras dessus bras dessous, allant au Jourdain pour ouvrir le Jourdain. Oh ! la la ! ils sont passés juste à trente pieds [environ 12 m - N.D.T.] de l'endroit où il était assis.
37 Mais hélas, le sacrificateur lui avait dit : " Tous les jours des miracles sont passés. Jéhovah ne guérit plus les gens, vous savez. " Cet esprit n'est jamais mort. Alors ils... " Oh ! Jéhovah ne fait plus ces choses. Nous sommes censés mener simplement une bonne vie, et - et payer nos dîmes, et aller à l'église et à chaque réunion, et c'est donc tout ce que nous sommes censés faire. Mais Jéhovah ne guérit plus. Il - Il était Jéhovah là autrefois, mais aujourd'hui, Il - Il n'est pas préoccupé par cela. " Oh ! quelle erreur ! Il est toujours préoccupé. Si jamais Il a été préoccupé, Il est toujours préoccupé. Oui, oui. Il ne peut pas changer Ses motifs. Il ne peut pas changer Son attitude. Il est toujours Jéhovah. Peu m'importe combien disent qu'Il a changé. Ce sont les gens qui ont changé, mais Lui n'a pas changé. La raison pour laquelle nous ne Le voyons pas faire ces choses, c'est parce que nous ne Le laissons pas le faire. Il est disposé.
38 Nous pensons que nous - nous épuiserons Ses abondantes bénédictions. Nous nous disons : " Eh bien, j'ai demandé à Dieu de me donner mon pain quotidien. Je ne devrais pas Lui demander trop de choses. " Oh ! la la ! Pourriez-vous vous imaginer un petit poisson d'environ cette longueur, là en plein milieu de l'océan, dire : " Une minute, je ferais mieux de boire cette eau avec modération. Je pourrais en manquer un jour. " Pourriez-vous vous imaginer une petite souris d'environ cette grosseur sous les grands greniers d'Egypte, dire : " Je ferais mieux de ne me permettre qu'un demi-grain de blé par jour. Il se pourrait que j'en manque avant la prochaine récolte. " Oh ! la la ! Eh bien, cela pourrait... Multipliez simplement cela par cent milliards, et essayez d'épuiser la bonté et la miséricorde de Dieu.
Il essaie d'entrer de force en vous, tout ce qu'Il peut. Demandez beaucoup afin que votre joie soit parfaite. Il veut que Son peuple soit heureux, en Lui demandant de grandes choses, en croyant à de grandes choses. Vous êtes une ville établie sur une montagne, avec de grandes ambi-... ambitions, de grandes attentes. Eh bien, miséricorde, même si nous voyons les aveugles recouvrer la vue ce soir, je veux voir les morts ressusciter demain soir. Certainement. Et je veux... Je - je continue simplement de croire pour de plus grandes choses. Quand l'église commence à recevoir le Saint-Esprit et à parler en langues, pourquoi vous arrêtez-vous à cela ? Oh ! la la ! continuez simplement à avancer. Allez jusqu'à la Terre promise. Nous sommes en route pour la Terre promise. Assurément, ne prenez pas juste une chose. Vous dites : " Eh bien, nous allons simplement... Avez-vous parlé en langues ? Eh bien, vous n'avez pas une grande bénédiction tant que vous n'aurez pas eu... " Eh bien, vous devriez être maintenant même à un million de kilomètres de cela sur la route, assurément, de plus grandes choses, et de grandes attentes. Certainement.
39 Maintenant, nous voyons donc qu'il a été dit à Bartimée que les jours des miracles étaient passés. Alors il a dit : " Eh bien, et si je m'asseyais ici, au lieu d'écouter cet homme qui se disait aujourd'hui être serviteur de Dieu... Et c'est quoi qu'il disait encore ? Il allait là pour veiller à quelque chose, c'était quoi ? Je me demande ce qui se passe dans la ville. Eh bien, de toute façon, les jours des miracles sont passés. " Et c'est ça le genre de serviteurs que Jéhovah a aujourd'hui? C'est bien différent de ce qu'étaient Elie et Elisée.
" Eh bien, si j'étais assis sur cette pierre, lorsque Elie et Elisée sont passés par là, en allant au Jourdain... Et ce n'est qu'à une petite distance en deçà de là où je suis assis que ce grand prophète a ôté sa veste, son manteau, l'a plié et a frappé le Jourdain, et celui-ci s'est ouvert (Amen), des centaines d'années après que Josué eut fait la même chose. " Amen. Cela montrait que Jéhovah était toujours le même tant qu'Il peut avoir quelqu'un qui croit qu'Il est le même. Oui.
40 Puis, après qu'il fut arrivé de l'autre côté... Eh bien, il était épuisé. Il s'était disputé avec Jézabel et les autres au point qu'il était... à propos du maquillage et de la mauvaise conduite de celle-ci, au point qu'il était fatigué, il rentrait simplement à la Maison. Et alors, le jeune prophète devait le remplacer. Il savait donc que de l'autre côté du fleuve, un chariot était attaché à un buisson là quelque part, et il - il allait faire un petit voyage pour rentrer à la Maison. Voyez-vous ? Mais le jeune prophète faisait attention à son nouveau ministère, il a vu ce que ce vieux prophète faisait, il savait donc qu'il devait le remplacer. Le jeune prophète a donc saisi sa vision, et il l'a vu monter, il a saisi le vêtement que l'autre a fait descendre, il a ramassé le même vêtement et il a frappé le Jourdain, en disant : " Où est le Dieu d'Elie ? " Oh ! la la ! Et le Jourdain s'est ouvert de nouveau. C'est juste. Où est le Dieu de la Pentecôte ? Où est le Dieu qui était en Jésus-Christ ? Quel est le problème du ministère aujourd'hui dans les églises ?
41 Je pense que vous avez lu cet article dans le journal qu'on m'a envoyé. Quelqu'un de cette église-ci me l'a envoyé, là où il est dit que ce ministre épiscopalien par ici a déclaré que la naissance virginale n'était qu'un mythe, et que le jardin d'Eden n'existait pas, et tout ce genre d'histoires. Cet homme n'a pas de place à la chaire. Non, non. Eh bien, c'est ça le problème aujourd'hui. C'est ce que... Considérez les gens très instruits comme cela qui se tiennent debout, et ils reçoivent tellement d'instruction qu'ils n'ont pas assez de bon sens pour savoir maîtriser cela. C'est tout. Ce dont nous avons besoin aujourd'hui... Paul a dit : " Je ne suis pas venu vers vous avec une supériorité de langage ou d'instruction. Je suis venu vers vous dans la simplicité avec la puissance et la démonstration du Saint-Esprit, afin que votre foi soit - repose sur la résurrection et la puissance de Dieu, et non pas sur des discours persuasifs ", ou quelque chose d'un soi-disant évêque ou quelque chose de ce genre.
42 Eh bien, nous voyons que juste un peu plus tard, comme Bartimée était assis là un peu plus longtemps, se demandant ce qui arriverait... Alors il s'est souvenu de cela aussi, que juste là en bas, à moins de cinq cents yards [457 m - N.D.T.] de l'endroit où il était assis, ce grand Josué, oh ! la la ! ce grand serviteur de Dieu qui avait remplacé Moïse, avait traversé la mer Rouge, et était passé de l'autre côté juste avec deux personnes de l'ancien groupe qui étaient autrefois là dans le désert, et qui croyaient qu'ils pouvaient s'emparer du pays. Ils regardaient à la Parole de Dieu. Ils croyaient à la Parole de Dieu. Neuf d'entre eux avaient dit : " Oh ! nous ne pourrons pas nous en emparer. Nous ressemblons à des sauterelles à côté d'eux. Les villes sont toutes emmurées. Il est impossible de le faire. " Mais pas pour ce gars-là. Non, non, frère. Il a dit : " Nous sommes plus que capables de nous en emparer. "
Pourquoi ? Cela dépend de ce à quoi vous regardez. Si vous regardez à votre main estropiée, elle restera toujours ainsi. Si vous regardez à votre tumeur, elle restera ainsi. Détournez les regards de cela. Regardez à la promesse de Dieu. Cela dépend de ce à quoi vous regardez. Les chrétiens regardent à l'invisible. Abraham appelait les choses qui n'étaient pas comme si elles étaient, parce que Dieu avait dit qu'elles étaient. C'est ce que les vrais chrétiens font. Peu importe ce que le monde dit, ce à quoi il ressemble, cela n'a rien à voir avec la chose. C'est ce que Dieu a dit à ce sujet qui compte. Oui. Ce qui était...
43 Dieu leur avait dit là en Egypte : " Je vous donne ce pays. " Mais Il n'avait pas dit : " J'irai là-bas et Je balayerai tout, et J'y ornerai des maisons, et J'y placerai des rideaux, et tout le reste. Entrez-y tout simplement, vous tous. " Non, non. Ils ont dû combattre pour chaque centimètre de terrain qu'ils ont pris. C'est juste, combattre, et s'emparer à chaque... combattre pour chaque centimètre. Mais Il a dit : " Tout lieu que foulera la plante de ton pied, tu le possèdes. " Les empreintes de pas signifient la possession.
Il en est de même aujourd'hui. La guérison divine nous appartient. Le Saint-Esprit nous appartient. C'est notre propriété, mais il faudra combattre pour chaque centimètre. Certainement. Mais, frère, les empreintes de pas représentent la possession. Continuez simplement à combattre. Emparez-vous-en. Si le diable dit : " Les jours des miracles sont passés. "
Dites : " Tu es un menteur. Dieu a dit qu'Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement. " Emparez-vous-en. Tout lieu que foulent vos pieds vous le possédez. C'est juste.
44 Josué a traversé directement le fleuve avec eux, ils ont campé là. " Oh, s'est dit l'aveugle Bartimée, et si j'avais vécu en ce temps-là ! Eh bien, dès que j'aurais vu ces sacrificateurs passer, et Josué avec cette épée levée, traversant, eh bien, je me serais rendu là et aurais dit : 'Grand Josué, prie pour moi.' Et je crois que j'aurais recouvré ma vue si ce grand homme avait prié pour moi. Assurément. Mais hélas, Josué n'est plus, et Dieu, je pense, n'existe plus. Et tous les jours des miracles sont passés, comme le dit notre sacrificateur. Je pense donc que c'est sans espoir. Je ne puis rien faire. Ainsi... sans espoir. "
Et puis il s'est dit : " Tu sais quoi ? Après qu'ils ont fait le tour de la muraille de Jérusalem pendant plusieurs jours... Un jour, Josué, ce vaillant guerrier, faisait un petit tour un après-midi, étudiant la stratégie à utiliser pour s'emparer de cette muraille de Jéricho... comment il allait s'y prendre. Il a vu ce fil écarlate suspendu chez Rahab. Il allait épargner cette maison... il observait cela. Et tout à coup il regarda, et voilà que là devant lui se tenait debout un autre Homme, son épée nue dans la main. Josué a tiré son épée, et il a couru à sa rencontre et l'a défié pour un duel. Il a dit : 'Es-Tu des nôtres ou es-Tu de nos ennemis ?' "
Il a dit : " Je suis le Chef de l'armée de l'Eternel. Je suis le Chef de Son armée. " Josué a jeté son épée à terre, il a ôté son casque, et il est tombé à Ses pieds. L'aveugle Bartimée a dit : " Oh ! si j'avais vécu en ce temps-là, j'aurais couru auprès de ce Chef de l'armée de l'Eternel, et je Lui aurais parlé. " Il ne se doutait pas que ce même Chef n'était pas à cent yards de lui, qu'il allait traverser la ville à ce moment-là... Le Chef de l'armée de l'Eternel allait traverser la ville.
45 Vous savez, c'est quand on se met à penser à Lui qu'Il apparaît. C'est au moment où Cléopas et les autres pensaient à Lui qu'Il est apparu. C'est toujours quand... " Que la méditation de mon coeur et - et que toutes mes pensées, et que tous mes cantiques, et que tout ce que je suis médite sur Toi, ô Eternel, jour et nuit. " Voilà comment attirer Dieu près de vous. Arrêtez de penser à ce que les voisins font, à ce que vous allez faire la semaine prochaine, et à toutes ces choses. Continuez simplement... Que... " Remplis-moi chaque jour d'amour, comme je marche avec la colombe céleste. Laisse-moi marcher toujours avec chant et sourire. Remplis-moi chaque jour d'amour. " C'est juste. Continuez simplement sur la route, peu importe ce que... que l'école observe ou pas. Si ce n'est pas le cas, chassons l'enseignant, et continuons simplement à croire au Seigneur. Voyez-vous? Continuez de méditer sur Dieu. Pensez à ces choses. La Bible dit : " Que tout ce qui est vertueux et digne de louange, soit l'objet de vos pensées. "
46 Eh bien, nos pensées sont toujours négatives. Nous venons dans la ligne de prière... Je constate que nous sommes venus dans la ligne de prière... " Oh, si - s'il me révèle... Est-ce cela ? " Oh ! la la ! vous ne recevez rien comme cela. Non. Pour commencer, vous êtes si négatif. Venez comme cela... " Venez à la Fontaine remplie du Sang tiré des veines d'Emmanuel, où le pécheur, une fois plongé sous les flots, perd toutes les taches de sa culpabilité. " C'est cela. Venez avec foi, en croyant. " Il faut que celui qui s'approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu'Il est le rémunérateur de ceux qui Le cherchent. "
Je ne vais pas entrer dans la ligne de prière d'Oral Roberts, puis dans la ligne de prière de Tommy Hicks, puis dans la ligne de prière d'Osborn et dans celle d'Allen, dans la ligne de prière de Branham, la ligne de prière d'Untel, aller à cette église-ci, puis à cette église-là. Eh bien, vous perdez simplement votre temps ; c'est tout. C'est tout. La chose à faire, c'est simplement - simplement de dire et d'accepter qu'il s'agit de Dieu, et que Dieu l'a dit, et que je vais satisfaire à Ses exigences, et cela règle le problème pour toujours. Amen. Dieu l'a dit. Je vais voir mon pasteur, je lui dis : " Pasteur, la Bible nous dit d'appeler les anciens, d'oindre les gens d'huile, de prier ; la prière de la foi sauvera les malades. C'est tout ce que je dois savoir. " Amen.
47 Récemment, j'ai reçu une lettre venant d'une petite dame en Allemagne. Elle était infirme depuis environ quinze ans à la suite de l'arthrite ; elle ne pouvait pas se déplacer. Je lui ai envoyé un mouchoir. Nous envoyons des milliers de mouchoirs chaque mois. Et ainsi, elle a reçu cette petite lettre. Et nous organisons une chaîne de prière à travers le monde. Elle a donc eu... Elle a lu ceci, et elle a dit : " Maintenant, il est dit ici : 'Si votre pasteur n'est pas là, ou s'il est un incroyant, ne l'appelez pas. Voyez-vous ? Mais s'il y a un voisin quelque part qui est un croyant, appelez le croyant. Confessez toutes vos fautes. Demandez à Dieu de vous pardonner tout ce que vous avez fait. Mettez tout en ordre. Et alors, priez. Mettez le mouchoir sur votre vêtement du dessous, sur votre coeur. Ensuite croyez. " Elle a observé toutes les exigences qui lui avaient été envoyées. Et quand elle l'a fait, elle a mis sa main sur son coeur. Elle a dit : " Maintenant, toi vieux démon, tu es resté en moi suffisamment longtemps. Sors ! " Et la voilà marcher... ?... C'est tout aussi simple que ça. C'est tout aussi simple que ça, de croire.
48 Ici en Arizona, nous étions partis chez les Indiens, les Apaches. J'ai toujours plaint les Apaches. Et voilà que ce soir-là, ils étaient là. Et ils ressemblaient à une armée postée là, et j'ai commencé à leur parler du Seigneur. Et, vous savez, le vieil Indien, c'est un peu un drôle de type. Il est comme un mulet ; il ne mange pas dans une mauvaise paille - étable. Il a donc écouté cela, il pensait d'abord que c'était truqué. Et alors il a amené... J'ai dit... J'ai appelé la ligne de prière. Eh bien, j'ai entendu quelqu'un là crier " Gloria a Dios. " [Gloire à Dieu ! - N.D.T.] C'étaient mes amis Espagnols. Je savais qu'ils auraient une ligne de prière s'ils étaient là, en effet, ils - ils ont toujours la foi pour croire. Ils étaient donc... Mais celle-ci n'était que pour les Indiens.
Et j'ai regardé là tout autour, et bien vite... La dame de l'Assemblée de Dieu, qui est là derrière, elle avait une petite mission. Je me tenais là sur une - sur une marche comme ceci, et tous les autres étaient assis tout autour. C'était un beau tableau. Et ainsi elle en avait quelques-uns là-derrière. Ils ont amené la première femme. Dès qu'elle est arrivée... de très gros poignets. Elle portait un petit bébé au dos, avec ce petit bébé peau rouge là derrière. Et je l'ai regardée. Et je me suis dit que j'essayerais de trouver grâce. J'ai dit : " Ne peux-tu pas me donner ce bébé ? " Elle n'allait pas faire cela. Alors j'essayais tout simplement de saisir sa pensée. Eh bien, j'ai dit : " Maintenant... " J'ai dit à l'interprète : " Elle souffre d'une maladie vénérienne, mais c'est... " Et alors l'interprète a dit cela. Elle m'a regardé d'un air très grave. J'ai dit : " Eh bien, ce n'est pas à cause d'une vie immorale, mais la condition dans laquelle elle a dû vivre, dans la saleté, la crasse comme cela. " Eh bien, elle a hoché la tête pour dire que c'était juste. J'ai prié pour elle.
49 Le cas suivant était celui de glaucome. Les Indiens en souffrent beaucoup. Et j'ai prié pour celui-là. La prochaine personne qui venait était une - était une fillette, et elle gardait la tête baissée comme cela. Et j'ai dit : " Eh bien... " Elle était une toute petite créature d'à peu près cette taille. Et il se faisait que c'était l'une des filles du chef. J'ai dit : " Eh bien, la fillette, ai-je dit, elle a eu une fièvre, et cette fièvre l'a rendue sourde-muette. Elle ne parle pas ni n'entend. " Et l'interprète a dit cela, et la mère a dit : " C'est juste, chaque détail est vrai. " Ces Indiens ont commencé alors à se regarder l'un l'autre, vous savez. Ils ont commencé à voir quelque chose qu'ils n'avaient jamais vu. Alors, j'ai dit : " Eh bien, je ne peux pas faire que la - la fille parle et entende. Il faut Dieu. Mais, ai-je dit, ceci n'est que le - le signe montrant qu'Il est ici, que Sa Présence est ici. Il nous a oint. " Et alors, j'ai pris la fillette par la main. J'ai dit : " Père céleste (On n'interprète pas la prière)... " J'ai dit : " Que cet esprit sourd-muet quitte cette enfant. " Je me suis baissé vers elle, et j'ai fait comme ceci [Frère Branham tape les mains. - N.D.E.] Et elle s'est retournée et elle m'a regardé avec ces gros yeux noirs, et j'ai dit : " Dis : 'Gloire au Seigneur !' "
Elle a dit... [Frère Branham imite la fille qui essaie de parler. - N.D.E.] Quelque chose comme cela.
J'ai dit : " Elle parlera mieux. "
Sa mère a dit : " Son parler s'améliore maintenant même. " Et - et elle est partie. Ainsi donc... " Son parler s'améliore maintenant même. "
50 Alors la suivante était une mère. Puis, le suivant était un pauvre petit garçon qui est venu là. Et j'ai dit : " Eh bien, crois-tu que Dieu... Parles-tu anglais ? " Non, elle ne parlait pas anglais. J'ai dit : " Crois-tu que Dieu guérira le petit ? " Et elle a baissé la main, elle l'a saisi par le sommet de la tête ; ils sont très rudes, vous savez, et sa petite chevelure aussi dure que la crinière d'un cheval, et ainsi... l'a tenu comme cela. J'ai dit : " Il louche, mais croyez-vous que Dieu... Elle a entendu l'interprète dire : " Les yeux qui louchent ", alors elle l'a saisi par la nuque et a ramené sa tête en arrière, ses petits yeux étaient fixes juste comme cela. J'ai dit : " Eh bien, si vous croyez que Dieu redressera ses petits yeux, ai-je-dit, alors Dieu le fera. " Et alors à l'interprète... J'ai dit : " Maintenant, rends cela de façon à... " Ils n'ont pas de - pas de phrase, ou plutôt de ponctuation. Ils commencent très bas, puis ils montent, montent, puis descendent. Ils... Vous savez comment sont les Apaches. Ils sont plutôt une tribu indienne rude. Ainsi donc, elle a dit : " Oui ", qu'elle croyait.
51 J'ai soulevé le petit garçon par... Il était vraiment comme un cheval sauvage qu'on essaie d'apprivoiser. Et j'avais un morceau de chewing-gum. J'ai mis cela sous son nez et je l'ai laissé le humer, vous savez. Puis je l'ai pris comme ceci, je l'ai pris dans mes bras, j'ai pris le petit garçon dans mes bras comme ceci. J'ai dit : " N'interprétez pas ceci. " J'ai dit : " Père céleste, ce pauvre peuple, ce sont vraiment d'authentiques Américains. " Et c'est juste. Nous ne sommes pas des Américains. Non. Nous ne sommes pas des Américains. Nous sommes des étrangers qui sont venus leur arracher le pays. Ce sont eux les vrais Américains. Dieu leur a donné ce pays ; nous le leur avons arraché. Je pense que la manière dont nous les traitons est une tache sur le drapeau. C'est juste. Nous envoyons de l'argent là-bas au Japon, et à tous ces endroits pour qu'en retour on nous le fasse sauter comme ceci, alors que nos Indiens sont là, mourant de faim, ce n'est pas juste. Bien sûr que ce n'est pas juste.
52 Et puis j'ai regardé, et le pauvre petit, je l'avais sur mon épaule. J'ai dit : " Seigneur, que je trouve grâce devant ces gens. Redresse les yeux du petit. " Pendant que je regardais comme ceci, j'ai vu une vision apparaître devant moi : ses petits yeux étaient tout aussi droits. J'ai dit : " Maintenant... " Il avait sa tête sur mon épaule. Je le tapotais. J'ai dit : " Maintenant, à vous tous... " (Ils étaient assis partout, des centaines et des centaines.) J'ai dit : " Maintenant, si les yeux de cet enfant ne sont pas redressés, alors je suis un faux prophète. Voyez-vous ? S'ils sont redressés, alors j'ai représenté Jésus-Christ devant vous. Je n'y peux rien quant au traitement que vous fait subir le gouvernement. Mais, ai-je dit, je sais que Jésus vous traitera comme il faut. Maintenant, voyez si ceci est juste ou pas. " J'ai tourné sa petite tête. Vous parlez d'une ligne de prière ! J'en ai eu une à ce moment-là. Oh ! la la ! c'était une ruée.
53 Et puis, la prochaine personne qui est venue était une vieille Indienne, et elle avait un... Elle devait être la suivante, oh ! ils avaient simplement... vous avez juste... Vous ne pouvez pas les battre. Une vieille Indienne s'est présentée. Elle avait deux manches à balai avec un - avec un morceau de tissu - tissu dans lequel était enveloppée une chose qu'elle avait ici sous le bras, elle cherchait à sortir. Et un petit garçon indien a sauté là, et il cherchait à la devancer. Et nous n'arrivions pas à lui faire comprendre, comme il ne parlait pas anglais. Et frère Moore, beaucoup parmi vous connaissent frère Jack Moore, il l'a simplement pris par le côté, et il l'a fait passer de l'autre côté. Et j'ai vu la vieille femme. Elle s'est approchée comme cela. C'est alors qu'ils ont cru. Oh ! vous parlez d'une ligne de prière !
Alors voilà la chose, elle approche là, très... comme cela. Et je l'ai observée, et elle... déplaçant ces deux béquilles comme ceci. Et elle prenait ce pied-là, vous savez, et la posait là, et ensuite l'autre comme cela, elle arrivait à peine à se déplacer. Je pense qu'elle avait quatre-vingts ans. Et elle a levé les yeux vers moi quand elle est arrivée tout près de moi. Et ces énormes et profondes entailles dans ses joues... Ma mère est une métisse (Je ne sais pas si vous le savez ou pas) mais elle aussi a ces grandes et profondes entailles. Et je l'ai regardée quand elle est montée comme cela, et les larmes coulaient de ces petits yeux pâles. Je me suis dit : " C'est la mère de quelqu'un. " Et elle a simplement levé les yeux vers moi comme cela. Et je me suis dit... Je - quand je... Avant que je ne prie pour elle, je me suis dit : " Ô Dieu, regarde ce petit menton qui tremble comme cela, pauvre petite créature ! " Elle m'a regardé. Elle s'est mise à sourire. Elle a simplement pris une béquille, elle l'a mise là, et elle me l'a remise, et elle est descendue de l'estrade en marchant. Oui. Voyez-vous, une simple foi, juste croire.
54 Je - j'allais essayer de prier pour tout le monde, mais, oh ! la la ! c'était vers... J'ai dû arrêter le discernement à ce moment-là. C'était donc vers trois ou quatre heures du matin, et les gens arrivaient trempés jusqu'à ce niveau comme ceci... trempés au possible. Et j'ai dit : " Qu'est-ce qui se passe avec eux ? "
Ils ont dit : " Eh bien, ils pensaient d'abord que vous étiez un trompeur. " Il a dit... Eh bien, ils ont dit : " Ils vont dans le désert chercher leurs bien-aimés. Ils ne vont pas jusqu'au gué. Ils traversent carrément la rivière avec eux, comme cela. "
Ainsi, voici venir un homme âgé, aux cheveux gris. Et il avait... Il était sur une planche avec deux bâtons en travers. Et ses pieds étaient posés sur deux bâtons, ainsi que ses bras, et il tremblait comme ceci, de la paralysie agitante. Et ainsi un très grand et beau gars se tenait là, un très grand Indien ayant des lèvres tout bleues, et il était trempé. Et j'ai dit : " N'avez-vous pas peur d'attraper la pneumonie ? "
Il a dit : " Non. "
J'a dit : " Parlez-vous anglais ? "
Il a dit : " Un peu. "
Et j'ai dit : " N'avez-vous pas peur d'attraper la pneumonie ? "
" Non, a-t-il dit, Jésus-Christ a pris soin de moi. J'ai amené mon père. "
J'ai dit : " Est-ce votre frère là ? "
" Oui. "
J'ai dit : " Si je priais pour votre père, pensez-vous qu'il se rétablirait ? "
" Oui. "
" Parle-t-il un peu d'anglais ? "
" Non. "
J'ai dit : " Mettez-le de côté. "
55 Ils l'ont mis de côté. Je lui ai imposé les mains, sa vieille tête tremblait comme ceci. J'ai dit : " Ô Père, il a travaillé dur pendant bien des jours pour ces garçons. Ils l'ont honoré maintenant, en lui faisant traverser la rivière à cette heure de la matinée pour qu'on prie pour lui. Je Te prie de le guérir. " J'ai dit : " Emportez-le. Amenez le suivant. " Peu après, on a entendu tout le monde crier, brailler. J'ai regardé, le vieil homme portait la planche sur ses épaules, il s'en allait ça et là en saluant tout le monde d'un geste de la main, comme cela... ?... Voilà la chose. C'est juste une simple foi pour croire en Dieu. Ce n'est pas de la supercherie. C'est simplement une foi d'enfant. Voyez-vous, nous - nous nous sommes complètement éloignés de la chose en essayant d'expliquer cela. Croyez simplement la chose.
56 C'est juste. Il en est ainsi de ce grand et puissant Chef de l'armée de l'Eternel. Il était là ce soir-là, la même personne qui était là-bas. Et vous savez qu'il y a quelque chose en cela. Là où se trouve Jésus, on entend toujours beaucoup de bruit. Je ne sais pas pourquoi, mais il - il en est ainsi. Là où vous trouvez Jésus, vous y trouvez beaucoup de bruit.
[Espace vide sur la bande - N.D.E.]... se bousculant et braillant, et certains d'entre eux criaient une chose : " Hosanna ! hosanna au prophète de Galilée ! "
D'autres disaient : " Au diable, cet imposteur ! Faites-le sortir de cette ville. Nous ne voulons pas de lui ici. " Et d'autres Lui jetaient des fruits trop mûrs, et peut-être aussi des oeufs, vous savez, puis ils continuaient.
Et il a dit : " Qui passe là, a demandé Bartimée, c'est qui qui passe ? "
Et il s'est retrouvé au milieu d'une grande foule et on le poussait en arrière. Et peut-être qu'après un moment il... les gens l'ont fait tomber en le bousculant. Il s'est assis, il a de nouveau cherché sa pierre à tâtons. Les gens... Il a entendu quelqu'un dire... les uns étaient pour Lui, les autres étaient contre Lui. Il en est de même aujourd'hui : les uns sont pour Lui, d'autres sont contre Lui. Immédiatement, il a entendu ce sacrificateur qu'il avait entendu venir, dire : " Hé, Toi, le prophète, Toi qui as dit que Tu as ressuscité un homme mort du nom de Lazare, nous en avons un cimetière plein ici. Vas-y en ressusciter un sous nos yeux. Nous croirons en Toi. Tant que Tu ne feras pas cela, Tu es un faux prophète. "
Il s'est dit : " C'est ce même homme qui m'a dit qu'il allait arrêter la chose. Que se passe-t-il au juste ? " Voyez-vous ?
57 Et il a dit : " Que quelqu'un m'explique. Que quelqu'un m'aide. Que quelqu'un m'aide, parce que... Ce que... Qui passe ? C'est quoi, tout ce bruit ? " Personne ne lui prête attention, et après un moment... Cela a dû être une jeune femme. Elle a vu le pauvre vieil homme étendu là, et elle l'a relevé. Elle a dit : " Monsieur, êtes-vous blessé ? "
" Non, madame. " Il a dit : " Je - je veux que vous m'expliquiez, c'est quoi, tout ce bruit ? "
" Oh ! a-t-elle dit, c'est Jésus de Nazareth qui passe ! "
" Eh bien, c'est qui, Jésus de Nazareth ? "
" N'êtes-vous pas un Israélite ? "
" Si. "
" Eh bien, voyez-vous, je suis une servante de Jésus de Nazareth. " Vous savez, il y a quelque chose chez les serviteurs de Jésus de Nazareth, ils sont toujours disposés à aider quelqu'un dans le besoin. Ils sont toujours disposés à s'arrêter pour aider quelqu'un qui est dans le besoin. C'est ce que font les serviteurs de Dieu. Elle a dit : " Je suis une croyante de Jésus de Nazareth. Eh bien, vous savez, ce Jésus de Nazareth est le Fils de David, que... "
" Le Fils de David ? Eh bien, je me rappelle... J'étais justement assis ici réfléchissant, et ma mère m'a dit qu'un jour le Fils de David viendrait. "
" Oui, c'est Lui, le Prophète de Galilée. "
" Un prophète ? "
" Oui. "
58 Elle a dit : " Vous souvenez-vous de cet homme, ici dans la ville, qu'on appelle Zachée, l'homme d'affaires ? "
" Oui, je me souviens très bien de lui. Huh-huh, il m'a déjà donné des pièces de monnaie. "
" Eh bien, ce matin... Vous connaissez Rébecca, son épouse ? "
" Oui, je me souviens de Rébecca. "
" Eh bien, Rébecca était en prière. Sachant que Jésus viendrait dans la ville, eh bien, elle priait pour que - pour que son mari Le re-... reçoive comme Sauveur. "
" Oui, allez-y, continuez de parler. "
" Eh bien, ce matin, Zachée partait pour Le voir, et il ne voulait pas que Jésus le voie. Alors il a couru jusqu'au coin de l'avenue Alléluia, là où elle vire pour déboucher juste ici sur la rue Gloire, et il - il a pris la poubelle et l'a placée là, et il a grimpé dans un sycomore, puis s'est assis là où deux branches se croisent. "
" Oui, oui. "
" Et Rébecca lui avait dit ceci - ceci : 'Eh bien, tu es un Juif, et tu sais que lorsque le Messie viendra, Il sera un prophète. Il sera un Dieu prophète, car Moïse a dit : 'L'Eternel votre Dieu suscitera un prophète comme moi.' Mais vous connaissez - vous - vous connaissez très bien Zachée, il est - est l'un des hommes d'affaires de la ville. Il est très attaché au... Lui et le rabbin jouent ensemble aux cartes, et ils ont leur... Vous savez, leur - leur... Les choses vont très bien. Ainsi, ils... Le rabbin ainsi que tous les autres ont dit de ne pas croire en cet homme, parce qu'il n'était pas un prophète. "
59 " Zachée voulait donc voir s'Il L'était. Alors il est monté dans cet arbre, et il a rassemblé toutes les branches, il les a ramenées toutes autour de lui comme ceci, et il s'est camouflé. Et il avait une très grande feuille de palmier qu'il soulevait afin de pouvoir Le voir lorsqu'Il prendrait le virage de l'avenue Gloire, vous savez, pour Le voir venir. Ainsi, il s'est assis là-haut dans l'arbre, tout perché là, et personne ne savait qu'il était là-haut. Et il s'est dit : 'Maintenant, je vais voir s'Il est un prophète. Je Le regarderai en face... je saurai s'Il est un prophète ou pas. Je sais quel aspect doit avoir un prophète.' "
" Et tous les disciples ont pris le tournant. Et voici venir le très grand pêcheur, disant : 'Je vous prie de reculer. Notre Maître est très fatigué. Nous sommes - nous sommes désolés de devoir faire ceci, mais voudriez-vous bien reculer un instant pour Le laisser passer. Il va chez Levinski pour dîner, il faut donc que vous - là au restaurant (voyez-vous ?), il faut donc que vous - vous reculiez. Je suis désolé de devoir faire ceci, mais je suis...' " J'espère qu'il n'y a pas de Levinski ici. Ainsi donc... De toute façon, je voulais juste dire... Je vous ai dit que ce n'était qu'un drame. Ainsi, il passait et parlait, vous savez, disant : " Reculez un petit peu. " Et voici venir les autres.
60 " Et il - il a soulevé sa feuille et il a regardé. Il a dit : 'Oui, oui. Qui sont-ils ? Oh ! oh ! ça doit être Ses disciples dont Rébecca m'a parlé. Oui, oui, je vais attendre juste un instant.' Puis un moment après, il a soulevé de nouveau la feuille et a dit : 'Eh bien, voyons si je suis bien couvert. Oui, je suis assis sur deux branches.' " C'est là où deux chemins se croisent, et c'est là que beaucoup de gens se tiennent, c'est là où votre chemin et celui de Dieu se croisent. C'est juste. C'est juste là qu'il vous faut prendre une décision.
" Il - il était donc assis sur cette branche, vous savez. Et il a regardé, et un moment après, il a constaté qu'il y avait en quelque sorte un temps mort, puis un moment après il a regardé qui arrivait au tournant. Il a soulevé très doucement sa feuille et il a regardé, il a regardé furtivement de dessous le coin de la feuille. Et vous savez quoi ? Il L'a regardé en face. Et dès qu'il L'a vu en face, il a dit : 'Cet Homme a quelque chose d'un peu différent. Je peux L'entendre tel qu'Il parle, et combien Il est compatissant, donc Il est différent. Mais, tu sais, je serais obligé de reconnaître qu'Il est un prophète ; en effet, s'Il n'est pas un prophète, alors Il n'est pas le Messie, parce que Moïse nous a dit que le Messie serait un prophète. Je L'ai donc eu maintenant. Je L'ai bien regardé. Je vais rentrer le dire à Rébecca. Tu sais, quelle bonne idée j'ai à exécuter ? Sauter de cet arbre et Lui dire vraiment ce que je pense.' " Vous savez... Vous savez comment... ?... " 'Je crois que je vais Lui dire que tous les jours des miracles sont passés, en effet Levinski l'a dit, ainsi que tous les autres. Le rabbin Jones ainsi que tous les autres l'ont dit (Vous voyez ?), je suis donc certain. Je crois que je vais le faire. Mais je ferais mieux de rester tranquille, car je suis très bien couvert.' "
61 " Il a donc avancé... " Elle a dit : " Et - et comment vous appelez-vous, monsieur ? "
" Je suis Bartimée. "
" Eh bien, Bartimée, Il a marché jusque précisément en dessous de l'arbre. Et quand Il est arrivé sous l'arbre, Il s'est arrêté, Il a levé les yeux, Il a dit : 'Zachée, descends vite. Je vais dîner avec toi dans ta maison.'... ?... Bartimée, pourriez-vous croire que c'est le Fils de David ? "
" Oh ! oui. C'est ça qu'Il fera. Où se trouve-t-Il ? "
" Il est déjà plus loin sur cette rue-là maintenant. "
Il a sauté et il a jeté son manteau par terre. " Ô Jésus, Fils de David, aie pitié de moi. Aie pitié de moi. Ô Jésus, Fils de David, aie pitié de moi. Oui, aie pitié de moi. " Sa dernière chance, Il passait là, Il était déjà passé, et comment pourrait-Il entendre ce pauvre vieil aveugle, insignifiant ? Et les gens disaient : " Assieds-toi, assieds-toi. Ne - ne crie pas comme cela. Assieds-toi. Il a déjà descendu la route. "
Alors sans doute que Bartimée a dit : " Il est le Messie. Je sais qu'Il L'est. Le seul moyen pour que je puisse L'attraper maintenant, s'Il est là-bas... Je sais que le Messie, quand Il viendra, Il nous dira toutes choses. Nous savons qu'Il sera un prophète. " Alors il est certainement tombé sur ses genoux et a dit : " Jéhovah Dieu, si c'est le Messie, c'est Ton Fils. Je Te prie de L'arrêter. Oh ! qu'Il ait pitié de moi. " Et Jésus s'arrêta. Qu'était-ce ? Ce n'est pas sa voix qui L'arrêta, mais sa foi L'arrêta. Suivez : " Ta foi t'a sauvé. " Voyez-vous ?
62 Observez. Avec tous les fardeaux du monde, Il se dirigeait droit à Jérusalem pour être crucifié. Il le savait. Tous les fardeaux et tous les péchés du monde. Chaque péché qui ait jamais été commis, ou qui serait jamais commis, reposait sur Lui. Pensez-y, sur Son coeur. Même les oeufs et les fruits et tout qu'on avait jetés sur Lui, tous les cris disant : " Viens ici et ressuscite des morts. Montre-nous un miracle. Que nous Te voyons faire telle et telle chose si Tu es le Messie. Que nous Te voyions... " Ce groupe de la - l'association des ministres de Jérusalem, voyez-vous, ou plutôt de Jéricho. " Que nous Te voyons faire quelque chose. Voyez-vous, je vous l'avais dit ; il n'en est rien. " Il ne prête pas attention aux démons. Même aujourd'hui, (voyez-vous ?) ainsi... Il ne fait que ce que le Père Lui montre, a-t-Il dit.
63 Mais ce vieux mendiant aveugle là disait : " Ô Fils de David, " et Il s'arrêta. Frère, j'aimerais vous prêcher un jour sur " Et Il s'arrêta. " Oui, oui. Il s'arrêta, et alors, Il se retourna. Eh bien, sa voix... Il ne l'avait pas entendue, bien sûr que non. Mais c'est sa foi qui L'arrêta. C'est sa foi qui L'arrêta. Et les gens l'amenèrent. Il a dit : " Que veux... que Je fasse pour toi ? "
Il a dit : " Seigneur, que je recouvre ma vue. "
Il a dit : " Ta foi t'a sauvé. " Voyez-vous, s'il avait assez de foi pour L'arrêter, assez de foi pour Le toucher... Ne voyez-vous pas que cela concorde avec le reste des Ecritures ? Voyez-vous ? S'il avait assez de foi pour L'arrêter, eh bien, alors il avait assez de foi pour accepter sa guérison. " Ta foi t'a sauvé. C'est ta foi qui l'a fait. " Et Il a continué son chemin, la face tournée vers Jérusalem, oh ! la la ! se dirigeant vers Jérusalem. Je peux voir l'aveugle Bartimée se tenir là et dire : " Il m'a parlé... Il m'a parlé de ma foi. Quelle foi ? La foi selon laquelle je crois qu'Il était le Messie. Comment a-t-Il pu m'entendre, alors que j'étais assis tout derrière, à deux cents ou trois cents yards [183 ou 274 m - N.D.T.] contre cette muraille ? Et eux tous braillaient et ils faisaient des histoires, et les gens qui se comportaient comme ils le faisaient, comment... Eh bien, j'ai eu assez de foi pour croire, et je L'ai arrêté, et Il m'a dit... Dites donc, je - je - je peux voir mes mains. " Et la Bible dit qu'il L'a alors suivi, se réjouissant et glorifiant Dieu. La foi d'un mendiant aveugle L'avait arrêté, alors qu'Il avait une aussi grande mission. La foi d'une personne ici ce soir peut L'amener de la gloire jusque dans cette salle. Bien sûr. Il peut vous guérir. Il peut - Il peut vous accorder la délivrance.
64 J'ai lu une petite histoire sur l'aveugle Bartimée. Avant de terminer, mon temps est terminé ; mais j'aimerais dire ceci avant de terminer, ensuite nous ferons l'appel à l'autel. Maintenant, prêtez attention un instant.
J'ai lu une histoire. C'était peut-être de la fiction. Ça l'était peut-être, je l'ignore. Mais j'ai lu quelque chose sur l'aveugle Bartimée, il était dit qu'il était aveugle depuis son jeune âge, qu'il était devenu aveugle. Mais il s'était marié, et il avait une femme et une fillette aux cheveux bouclés qu'il n'avait jamais vues de sa vie. Et il est dit qu'un soir il est tombé malade. Et on raconte, c'est ce que l'histoire raconte, qu'il avait là des tourterelles. Elles faisaient de petites culbutes l'une sur l'autre, et cela attirait l'attention des - des passants. Et ceux-ci contemplaient ces petites colombes faire de petites culbutes l'une sur l'autre, et les gens s'arrêtaient et riaient un petit peu, et ensuite ils lui donnaient une pièce de monnaie. C'est ce que les gens font encore.
65 Et sa fillette tomba donc malade. Ils ont fait venir le docteur, et le médecin a dit : " Eh bien, a-t-il dit, l'enfant fait une trop forte fièvre. Je - je ne pense pas que cette enfant va vivre, Bartimée. Nous n'avons rien pour arrêter cette fièvre, par conséquent je - je ne crois pas que cette enfant va vivre. " Et Bartimée a simplement dit... Peut-être qu'il s'est retiré à côté de sa petite hutte dobe - d'adobes, il s'est tenu là dehors et a dit : " Ô Jéhovah, si seulement Tu guéris ma fillette et ne la laisse pas mourir, je Te promets que demain je T'offrirai en sacrifice mes deux petites tourterelles. " Voyez-vous, quelque chose que vous devez abandonner...
Les gens pensent aujourd'hui que parce qu'ils font un petit quelque chose... Non, il s'agit de quelque chose qui fait très mal, quelque chose pour lequel vous devez creuser très profondément pour l'avoir. C'est le genre que Dieu considère. " Je T'offrirai mes deux petites tourterelles et je continuerai sans elles. " Et on raconte que le lendemain matin, sa - la fièvre était partie. Il alla offrir les deux tourterelles.
66 On raconte qu'un peu plus tard, sa femme tomba très malade. Et alors le docteur vint et dit : " Eh bien, je crois qu'elle va mourir. Je ne crois pas qu'elle se rétablira, Bartimée ", après l'avoir soignée pendant un moment. Et il a dit : " Non, je... mes médicaments ne pourront pas l'aider. Elle va mourir. " Alors il est sorti encore une fois de la maison.
Et connaissez-vous ces chiens qui conduisent les gens aujourd'hui ? J'oublie comment on les appelle : les chiens d'aveugles. Ils conduisent. Mais les... ?... en ce temps-là, on rapporte que c'étaient les agneaux qui les conduisaient. Et Bartimée avait donc un agneau d'aveugle. Alors il a dit : " Si le... Eternel, si Tu guéris ma femme, et ne laisses pas ma précieuse compagne mourir, eh bien, je Te promets que demain je T'offrirai mon agneau. " Et le lendemain sa femme allait mieux.
Il est donc allé offrir l'agneau. Et on raconte que le sacrificateur a dit : " Où vas-tu, aveugle Bartimée ? "
Il a dit : " Je vais au - au - au lieu du sacrifice pour offrir mon agneau à Jéhovah. Je Lui ai promis de Lui offrir mon agneau parce qu'Il a guéri ma femme. "
Il a dit : " Oh ! Bartimée, tu ne peux pas offrir cet agneau. " Il a dit : " Je vais te donner un peu d'argent, et tu vas t'acheter un agneau, et alors tu offriras cet agneau-là. Achète-le chez les changeurs au - dans le parvis. "
67 Il a dit : " Oh ! sacrificateur, c'est gentil de votre part. Mais je n'ai jamais promis à Dieu un agneau ; je Lui ai promis cet agneau-ci. "
" J'amènerai quelqu'un d'autre. Je ferai une bonne oeuvre. " Mais qu'en est-il de vous-même ? Voyez-vous ?
" J'ai promis à Dieu cet agneau-ci. "
" J'ai promis à Dieu que s'Il me montrait seulement Sa Présence, je croirais en Lui de tout mon coeur. Pas que mademoiselle Jones croirait en Lui, mais je croirais en Lui de tout mon coeur. " C'est cela. Voyez-vous ?
" Je ne Lui ai pas promis un agneau, mais cet agneau-ci. "
Il a dit : " Bartimée, tu ne peux pas offrir cet agneau. Cet agneau, ce sont tes yeux. "
Il a dit : " Si je tiens ma promesse envers Jéhovah, Dieu pourvoira à un agneau pour les yeux de l'aveugle Bartimée. "
En ce matin frais de printemps, Dieu avait pourvu à un Agneau pour les yeux de l'aveugle Bartimée. " Fils de David, aie pitié de moi. "
68 Ce même Agneau a été offert pour chaque pécheur, pour chaque malade. Dieu a pourvu à un Agneau pour nos yeux spirituels, pour nos yeux physiques, pour notre maladie physique et pour notre maladie spirituelle. Il est Jéhovah-Jiré qui a déjà pourvu à un Agneau pour notre cécité, afin que nous puissions... en voyant le monde, nous ne puissions plus voir celui-ci et regardions à Lui ; en étant malades, que nous - que nous puissions savoir qu'Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement. Inclinons la tête juste un instant pour la prière.
Y a-t-il un pécheur ici qui voudrait dire : " Frère Branham, souvenez-vous de moi. Je - je - je - je crie : 'Ô Jésus, Fils de David, aie pitié de moi. Aie pitié de moi. Je - je - je désire recouvrer ma vue spirituelle. Je veux Te voir tel que Tu es, le véritable Fils de Dieu. Aie pitié de moi, Fils de David.' " ? Voudriez-vous lever les mains vers Lui ? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. En haut au balcon, levez la main, dites : " Je veux Le voir, je... Ô Agneau de Dieu, ô Fils de David. " Que Dieu vous bénisse, mon frère, tout au fond, là-haut au balcon.
69 Quelqu'un d'autre, quelques-uns parmi vous les jeunes ? Ecoutez ma petite histoire concernant le petit Bartimée lorsqu'il était jeune. Tu sais, ta mère, peut-être, t'avait aussi consacré à Dieu à ta naissance. Vois-tu, Bartimée a fini par accomplir la mission que Dieu avait préparée pour lui, lorsque sa maman l'avait consacré. Peut-être que ce soir vos petits yeux vont s'ouvrir, jeunes gens, et vous verrez l'Agneau de Dieu. " Fils de David, aie pitié de moi. "
Voudriez-vous lever la main, quelqu'un d'autre ? " Aie pitié de moi, Fils de David. " Que Dieu bénisse cette fillette. Que Dieu bénisse cette jeune femme. Que Dieu bénisse cette dame qui est assise ici. Que Dieu bénisse ce petit garçon par ici. " Fils de David, aie pitié de moi. " L'homme qui se trouve ici, oui, que Dieu vous bénisse. Quelqu'un d'autre là à ma droite ? " Fils de David, aie pitié. "
Votre foi peut Le toucher, Le faire descendre directement ici vers vous exactement comme l'a fait Bartimée. Il n'est pas dans une... Il s'arrêtera et quittera le ciel pour venir dans cette église de l'Assemblée de Dieu ce soir, afin de vous manifester la miséricorde, si vous avez la même foi qu'avait Bartimée. " Fils de David, aie pitié de moi. " Y a-t-il quelqu'un d'autre quelque part dans la salle qui n'a pas levé sa main ? Environ dix ou douze ont levé leurs mains pour montrer qu'ils voulaient que la miséricorde descende sur eux. " Fils de David. "
70 Hier soir j'ai remarqué ... Il y a une fillette assise ici, elle semble avoir environ dix ans. Elle a levé la main il y a quelques instants. Elle voulait Jésus. Elle a à peu près l'âge de ma petite Becky, je pense, chez moi ma petite Rébecca, et hier soir j'ai remarqué que la fillette est venue, quand elle s'est tenue là à l'autel. A peine s'était-elle tenue là qu'elle a commencé à parler en langues. Quelqu'un m'a dit, certains frères, qu'elle courait partout dans l'église, parlant en langues et chantant en langues et tout. Comme le Seigneur a béni cette fillette ! L'avoir lorsque son coeur est jeune et tendre, avant qu'elle ne le fasse passer dans les vieux magazines d'Histoires vécues et les souillures du monde, et n'endurcisse complètement son petit coeur. J'aime voir les petits venir. Dieu... Consacrez-Lui votre vie. Il fera aussi quelque chose pour toi, ma chérie. Il le fera certainement. Quelqu'un d'autre maintenant avant que nous priions ? " Seigneur, Fils de David, aie pitié de moi. "
71 Notre Père céleste, je te les confie. Ils ont levé la main. Ils sont Tes enfants par la foi en Jésus-Christ. Ils reconnaissent que Tu es ici, Père. Ils savent que Tu es le Fils de Dieu. Ils croient maintenant cela parce que Tu as parlé à leurs coeurs du fait qu'ils sont prêts à Te recevoir comme leur Sauveur, parce que Tu as dû premièrement parler. " Nul ne peut venir à Moi, a dit le Seigneur Jésus, si Mon Père ne l'attire premièrement. Et tout ceux que le Père M'a donnés viendront. " Et maintenant, Seigneur, ils viennent ce soir sur base du Sang versé du Seigneur Jésus. Et je - je prie, ô Père, en tant que leur sacrificateur, ou leur - ou leur pasteur, ou leur serviteur. Ma prière de la foi s'adresse à Toi.
Et pour qu'ils sachent qu'ils sont sauvés, je Te cite Ta Parole. Tu as dit : " Celui qui écoute Ma Parole... " J'ai toujours cité cela à la fin ou à d'autres moments. " Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M'a envoyé, a (au temps présent) la Vie Eternelle et ne vient jamais (jamais) en jugement ; mais il est déjà passé de la mort à la Vie. " Père, c'est ce que Tu as dit. Ils ont levé la main pour montrer qu'ils ont cru cela. Et ils - ils ont cru cela ; ils ont reçu cela. C'est pourquoi, je sais maintenant que Tu leur as donné la Vie Eternelle, et que Tu les ressusciteras au dernier jour. Tu as dit que Tu le feras. Tu as promis que Tu le feras, et Tu es Dieu et Tu tiens toutes Tes promesses. Tes promesses sont oui et amen, par conséquent Tu ne peux pas revenir sur Ta promesse. Tu - Tu as dit que Tu feras cela et Tu as promis de le faire.
72 Maintenant, Père, je Te prie de leur donner du courage afin qu'ils sachent que cet Eprit qui était tout près d'eux disait : " Mon enfant, tu as tort. Tu devrais Me recevoir ce soir. Je vais arrêter mon programme très chargé et me retourner pour dire : 'Tes péchés te sont pardonnés. Va et ne pèche plus.' " Comme Tu l'as dit tant de fois, Tu le leur as dit ce soir, parce qu'ils ont pris leur décision.
Maintenant, Dieu notre Père, je Te prie de ne laisser aucun d'eux... Je ne crois pas qu'ils aient levé la main juste parce qu'on leur a dit de les lever. Je crois qu'ils étaient sincères, qu'ils sont vraiment sérieux en le faisant. Et maintenant, je Te les confie et Te prie de leur pardonner tous leurs péchés. J'intercède de tout mon coeur en leur faveur afin que Tu leur pardonnes leurs péchés, à tous les pécheurs qui sont ici, que Tu leur pardonnes tous leurs péchés.
73 Ô Père, ce petit groupe, j'aimerais le rencontrer là en ce glorieux jour de l'enlèvement, où nous nous réunirons, et nous verrons les gens venir en courant d'une nation à une autre pour se rassembler. " Nous les vivants, qui seront restés, nous ne devancerons pas ceux qui dorment. " La trompette sonnera, et les morts ressusciteront premièrement, et alors nous les rencontrerons, et ensuite nous serons tous ensemble enlevés avec eux pour aller à la rencontre du Seigneur dans les airs, et nous serons toujours avec Lui. Seigneur, je sais que Tu l'as dit dans - dans l'Epître aux Thessaloniciens, chapitre 5, et je sais que c'est la vérité. Et je les rencontrerai avant de Te rencontrer. Nous en sommes donc très heureux.
74 Et nous croyons maintenant que... Je crois de tout mon coeur que parce qu'ils ont levé la main et qu'ils ont prié et demandé, parce qu'ils ont suivi la conduite de l'Esprit, au mieux de ma connaissance, leurs péchés leur sont pardonnés. Maintenant, ils en sont heureux, Seigneur. Or, il y a encore une chose que Tu leur as demandé de faire. " Celui qui Me confessera devant les hommes, Je le confesserai devant Mon Père et les saints Anges. "
Ceci sera une soirée que ces jeunes gens n'oublieront jamais, pour se souvenir que le jeune Bartimée écoutait les histoires que lui racontait sa mère, et il savait qu'un jour Dieu l'utiliserait. Et ceci est le moment où Tu les utilises, Tu les utilises pour les faire entrer dans Ton Royaume. Les plus âgés qui ont levé la main, ce sont peut-être eux qui étaient comme Bartimée qui, plus tard, alors qu'il était aveugle, recouvra néanmoins la vue, la vue spirituelle. Maintenant, Père, je Te prie de leur accorder de devenir Tes enfants ce soir et qu'ils adhèrent à une bonne église, et - et qu'ils soient baptisés du baptême chrétien pour recevoir le Saint-Esprit. Accorde-le, Seigneur.
75 Maintenant, pendant que vous avez la tête inclinée, je vais voir et demander à vous qui êtes profondément sincères, si vous croyez que je suis prophète de Dieu, ou plutôt Son serviteur ; si vous croyez de tout votre coeur que je suis Son serviteur et si vous croyez que je vous ai dit la vérité... Vous avez entendu la Parole qui dit : " Celui qui écoute Mes paroles (Saint Jean 5.24), et qui croit à Celui qui M'a envoyé... " J'ai prêché la Parole ; vous avez cru en Dieu. Et vous avez levé la main pour montrer que vous étiez un pécheur, et que vous ne vouliez plus être un pécheur. Et puis Dieu dit : " Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l'attire premièrement. " Alors, qui a levé votre main ? Dieu. Vous avez pris votre décision. Très bien. Maintenant, qu'a-t-Il dit ? " Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à Moi. " Vous êtes donc un chrétien, si vous étiez vraiment sérieux en le faisant. Vous jeunes gens et jeunes filles, vous qui êtes plus âgés, vous qui êtes entre les deux âges, ainsi que vous les adolescents, vous tous, vous êtes des chrétiens quand vous croyez la chose.
76 Maintenant, il y a encore une chose que vous devez faire. Si vous croyez réellement de tout votre coeur, je vais vous demander de vous lever et de dire ceci en étant debout... Vous n'avez pas besoin de dire un mot, mais tenez-vous simplement debout afin que vous témoigniez aux gens, en disant : " Je confesse maintenant tous mes péchés, et j'accepte Jésus-Christ comme mon Sauveur. " Maintenant, vous qui L'acceptez ainsi, levez-vous. Qu'en est-il de toi, fillette, qui était assise ici ? Crois-tu qu'Il est ton Sauveur ? C'est juste. Tiens-toi juste là, ma chérie. Le petit garçon par ici, il est... Très bien. Toi qui es au fond, toi qui es là au balcon, le petit garçon et la petite fille, au balcon ; c'est bien. Maintenant partout dans la salle, que ceux qui ont accepté Jésus comme leur Sauveur se lèvent. " Celui qui témoignera de Moi devant les hommes, celui qui rendra témoignage de Moi devant les hommes, Je rendrai témoignage de lui devant Mon Père et les saints... "
Eh bien, certains d'entre vous qui êtes plus âgés ont levé la main. En voici un, deux, trois, quatre, je regarde quatre enfants qui se tiennent debout après avoir entendu ce soir la petite historie que j'ai racontée sur Bartimée. Eh bien, qu'en est-il de certains d'entre vous qui êtes plus âgés et qui avez levé la main ? Avez-vous... Voyez-vous combien leurs petits coeurs sont tendres ? Ils - ils croient et c'est la raison pour laquelle ils se mettent simplement debout, ils se mettent debout pour L'accepter. Croyez-vous qu'ils sont pardonnés ? Bien sûr. Certainement.
77 Maintenant, certains d'entre vous autres qui désirent Le recevoir et dire : " Je rends publiquement témoignage. "... La Bible dit que tous ceux qui croyaient étaient ajoutés à l'Eglise. Croyez-vous ce soir que Jésus pardonne vos péchés ? Tenez-vous debout avec ces enfants. Combien acceptent de le faire maintenant même ? Très bien. Que Dieu vous bénisse. Le garçon qui est dans le fauteuil roulant, ce garçon-ci, cette fille-ci, cette dame. C'est bien. Bien. Que quelqu'un d'autre dise : " Je L'accepte maintenant même sur base de... "
Eh bien, ne... pas des sensations. " Je ne cherche pas les sensations. Je regarde parce qu'Il m'a promis : 'Celui qui écoute Mes paroles, et croit à Celui qui M'a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.' " Sur base du fait que vous avez confessé vos péchés et avez reconnu que vous êtes un pécheur, et que vous voulez vous lever pour L'accepter comme votre Sauveur, levez-vous. Un, deux, trois, quatre, cinq, six. N'y en a-t-il un de plus ? Encore un afin que je prie pour vous avant de vous asseoir ? Y en a-t-il encore un ? Quelqu'un parmi vous qui êtes debout là dans - dans le hall ? Que Dieu vous bénisse, madame. C'est merveilleux. Très bien, y en a-t-il encore un ? Que Dieu vous bénisse, soeur. Très bien, y en a-t-il encore un ? Il y en a sept. C'est un nombre parfait. Maintenant, inclinons la tête. Restez simplement debout.
78 Notre Père céleste, Ta Parole ne peut pas faillir. Elle est éternelle. Tu as dit : " Celui qui écoute Mes paroles, et qui croit à Celui qui m'a envoyé, a la Vie éternelle. " Tu l'as dit, Seigneur. " Et ne vient point en jugement (ou ne sera pas condamné au jugement), mais il est passé de la mort à la vie ", parce qu'ils ont cru au Seigneur Jésus-Christ, qu'Il est mort à leur place, en portant leurs péchés. Et de leur injustice, ils sont rendus justice de Dieu par Jésus-Christ. Les voilà, Père. Ils sont les trophées du message. Les voici. Ils sont Tes enfants. Maintenant, il se peut que je ne puisse plus jamais leur serrer la main sur cette terre. Mais, ô Dieu notre Père, sur base de Ta Parole, je crois et j'accepte Ta Parole selon laquelle Tu es Dieu, que Tu ne peux pas mentir, et que Ta Parole est éternelle. Je les réclame pour l'Evangile. Je les réclame pour l'amour de Dieu, par Jésus-Christ, qui pardonne tous leurs péchés.
Et, Père, je Te prie de conduire ces enfants jusqu'à la Vie Eternelle. Conduis-les jusqu'au baptême du Saint-Esprit. Baptise-les, ô Père, et qu'ils entrent dans l'Esprit et dans la puissance du Corps de Jésus-Christ, afin qu'ils voient de leurs propres yeux que Tu es le Fils de Dieu. Ils ont cru cela par la foi maintenant et ils l'ont accepté, et sur cette base Tu as dit qu'ils étaient sauvés. Je prie pour eux et les abandonne entre tes mains, au Nom de Jésus-Christ.
79 Maintenant, comme vous voyez ceux qui sont debout (levez la tête), ceux qui sont debout, je veux que vous leur serriez la main alors qu'ils s'assoient. Là-haut au balcon, là, juste ici, vous, chaque chrétien qui est à côté d'eux maintenant, alors que vous êtes assis, serrez-leur simplement la main et dites : " Que Dieu vous bénisse ! " Serrez la main de ce petit garçon qui est ici. Que Dieu bénisse son petit coeur, là. Certaines d'entre vous, les mamans qui êtes assises là ; juste ici... C'est juste. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, frère, vous qui avez la jambe fracturée, là. Ne vous inquiétez pas, vous serez rétabli. J'ai su cela il y a quelques soirées, ne vous inquiétez donc pas à ce sujet. Vous êtes rétabli. Donc... Là-haut au balcon, vous tous. Voyez-vous ? Tout va très bien. Oh ! n'est-Il pas merveilleux ?
" Jésus, Fils de David, ai pitié de moi. " Vous dites : " Frère Branham, croyez-vous que c'est la vérité ? " Eh bien, je crois certainement que c'est la vérité. Je ne me tiendrais pas ici pour prêcher quelque chose que je n'ai pas cru. J'ai toujours des ennuis quand je prêche des choses que je crois. C'est ce qu'il en est. Je... Mais je crois cela parce que Dieu l'a dit, et cela règle le problème pour moi. Je crois que de tels - que ces gens, cette petite fille, ces petits garçons, et ces gens-ci L'ont appelé de la gloire exactement comme l'aveugle Bartimée qui L'avait arrêté sur la route. Croyez-vous cela ?
80 Combien parmi vous sont malades, levez la main, les malades et les nécessiteux. Amen. Combien croient que ce même Dieu... Je ne sais pas. Très bien. Je - je... Quelque Chose m'a frappé à ce moment-là. Il est ici, l'Ange du Seigneur que vous voyez sur cette photo. Dieu est mon juge ; au jour du jugement, vous découvrirez qu'Il est juste ici maintenant. C'est juste. L'Ange du Seigneur est ici.
Quelqu'un quelque part, quelque part, souffre. Il a la foi. Quelque chose s'est déplacé. Quelqu'un a fait quelque chose quelque part, ou a fait quelque chose. Il ne serait pas venu comme cela pendant que moi, j'essaye de maintenir ceci comme un service d'évangélisation.
Avez-vous des cartes de prière ? Vous n'en avez pas. Eh bien, vous n'en avez pas besoin. Vous n'en avez pas besoin. Ayez la foi et croyez. Si j'ai raconté... Vous les jeunes convertis, ici, étant donné qu'Il est ici... Très bien. Mes amis, vous ne saurez jamais ce qu'on ressent lorsqu'Il - Il vous frappe. Vous savez alors de quoi vous parlez. C'est juste. Oui, vous savez de quoi vous parlez. Oh ! je suis aussi certain que possible. Ayez la foi maintenant. Croyez simplement.
81 Sara était assise dans la tente, et elle a parlé en elle-même. Elle a ri, et l'Ange s'est retourné et a dit : " Pourquoi Sara a-t-elle ri, en disant en elle-même que c'est impossible ? " Est-ce juste ? Que direz-vous de la femme qui avait touché Son vêtement et qu'Il avait regardée ? Ne croyez-vous pas qu'Il est le même Souverain Sacrificateur ce soir ? Et vous les jeunes convertis, je voudrais vous prouver que Celui que vous avez touché... Ma soeur chérie, ici, vous ainsi que la jeune - la soeur qui est assise ici, et le frère, le petit garçon, et ce petit garçon et cette jeune fille assise là-bas, je voudrais vous prouver que c'était le même Seigneur Jésus qui a fait la promesse. Oh ! la la ! Oh ! j'aurais voulu me sentir tout le temps comme ça. C'est juste. Ayez foi en Dieu. Priez, vous tous. Soyez simplement en prière.
82 Je vais vous tourner le dos. Qu'a fait cet Ange du Seigneur ? Pour vous montrer que nous sommes aux jours de Sodome, et pour vous montrer que nous sommes dans les derniers jours, que ce pays-ci est une Sodome moderne, pour vous montrer que l'Ange du Seigneur est toujours l'Ange du Seigneur... Eh bien, vous n'avez pas de cartes de prière, nous n'aurons donc pas de ligne de prière. Mais, vous n'avez pas besoin d'avoir des cartes de prière. La seule chose que je vous demande de faire est de croire que je vous ai dit la vérité, la vérité de l'Evangile, et c'est Dieu.
Je veux me tourner vers ces ministres ici derrière. Croyez-vous ceci, frères ? De tout votre coeur ? Croyez-vous que l'Evangile que je prêche est la vérité ? Que Dieu bénisse vos coeurs. Il y a une sensation très agréable derrière moi, c'est votre foi, frères. Cette semaine, à plusieurs reprises, j'ai tranché, j'ai taillé et tout le reste. Je ne veux pas que vous pensiez que je vous ai blessés. Je vous aime. Vous êtes mes frères. Mais vous savez vous-mêmes que l'église s'éloigne. Nous devons la ramener, la ramener. Nous devons la ramener.
83 Maintenant, voici la chose. Il y a une femme devant moi. Je regarde droit vers elle. Quelqu'un là-bas est train de toucher le Souverain Sacrificateur. Je vois l'aspect de la personne ici. Une minute. Quelqu'un L'a touché, exactement comme la femme qui avait touché notre Seigneur Jésus. C'est ce que cette femme avait fait, et moi, j'agis à Sa place. Voyez-vous ? ... ?... Comprenez-vous ? Maintenant, ce sera... Je vais saisir cela juste un moment. Il y a... Cela provient de... Maintenant, quelqu'un L'a touché. Chacun de vous prie. Croyez maintenant de tout votre coeur. Asseyez-vous très calmement ; croyez.
Oui, oui. C'est une dame qui est assise juste là dans un coin. Oui, c'est juste. Vous avez une carte de prière... Non, je sais que vous n'avez pas de carte de prière. Je ne vous connais pas ; Dieu vous connaît. Voyez-vous, je veux que vous regardiez dans cette direction. Ne voyez-vous pas cette Lumière mystique qui est suspendue au-dessus de cette femme là-bas ? Voyez cette - cette petite... juste là au-dessus d'elle. Voyez-vous la Lumière mystique qui est suspendue juste au-dessus d'elle là-bas ? Maintenant, observez, Cela s'ouvre. La femme a été examinée par un certain genre de médecin, et il lui a dit qu'elle avait une grosseur, une espèce de... Elle attend de subir une opération, mais elle ne veut pas être opérée. Elle essaye de faire confiance au Seigneur pour sa guérison. Si c'est juste, levez la main, madame.
84 Maintenant, vous les jeunes convertis... Cette dame qui est assise juste là à côté d'elle, elle semblait être une... Cette Lumière s'est déplacée et est allée juste au-dessus de cette dame qui est assise juste à côté d'elle. La voilà une fois de plus. Je pensais qu'Elle est retournée vers la dame, mais Elle est allée vers cette autre dame-là. Elle est une croyante, une croyante chrétienne. Elle a une sorte de... comme une allergie, une éruption sur ses mains. C'est juste. Je ne vous connais pas, n'est-ce pas, madame ? Vous n'avez pas de carte de prière, bien sûr. Croyez-vous que vous allez vous rétablir ? Croyez-vous que c'était Dieu ? Croyez-vous - vous cela, que - que je peux vous dire l'objet de votre prière ? Croyez-vous cela ? Par Dieu... (Restez tranquilles, restez tranquilles, asseyez-vous, je vous en prie.) Croyez-vous ? Mme Bossler, croyez-vous maintenant que vous allez être rétablie ? Que Dieu vous bénisse. C'est votre nom, n'est-ce pas ?
85 Qu'en est-il de toi, jeune homme, qui es assis juste ici ? La voici juste ici auprès de toi. Crois-tu ? Je vois que tu as plutôt le dos voûté, comme cela. Mais à part cela, il y a autre chose qui ne va pas chez toi. Si Dieu me dit de quoi tu souffres, croiras-tu que je suis Son prophète, Son serviteur ? Tu souffres des troubles gastriques. C'est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C'est juste. Il ne s'agit pas des ulcères, tu es simplement nerveux et tu as une indisposition au niveau de l'estomac ; c'est ce qui cause cela. C'est exact. Si tu crois de tout ton coeur...
86 Croyez-vous ? Maintenant, soyez très respectueux. Ne vous déplacez pas. Voyez-vous, chaque fois que vous vous déplacez, cela - cela - cela fait quelque chose. Voyez-vous ? Soyez respectueux. Y a-t-il quelqu'un de ce côté-ci ? Elle est venue par ici, maintenant Elle va par ici. Croyez-vous ? Quand nous en avons trois ou quatre, disons - disons quelque chose. Ayez la foi ; ne doutez pas. Je dois simplement observer partout où je... J'aurais voulu dire ceci ou cela. Je ne peux pas. Je dois simplement observer. La foi est une chose dont on est si inconscient.
La petite dame qui est assise juste là, qui me regarde. Non, juste derrière vous, soeur, juste... Oui. Vous souffrez des yeux. C'est juste. Croyez-vous - vous qu'Il vous guérira de cela ? Sinon, vous allez perdre votre vue. Elle devient de plus en plus faible. Croyez simplement de tout votre coeur. Croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes ? Vous savez que je ne vous connais pas. Mme Johnson, vous pouvez rentrer chez vous et être en bonne santé... ?...
87 La dame qui est assise juste à côté d'elle, vous avez dû vous lever et vous en aller, il y a quelques minutes. Satan a fait tout son possible pour vous détourner de ceci. Croyez-vous que Dieu peut me révéler votre problème ? M'acceptez-vous comme Son prophète, ou plutôt Son serviteur ? Croyez-vous cela de tout votre coeur ? Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, mais vous êtes vraiment en contact avec Dieu en ce moment. C'est juste. Vous êtes très sérieusement malade. C'est juste. Il s'agit de la vésicule biliaire. C'est juste. Autre chose, vous avez un coeur hypertrophié. C'est tout à fait juste. Mme Miller, levez la main si c'est juste. Allez, recevez votre guérison. Jésus-Christ vous rétablit.
88 Je vous demande de croire cela. Je - je - je vous prie de croire cela. Très bien. Ayez foi en Dieu. Croyez-vous en Lui ? " Jésus, Fils de David, aie pitié de moi. " Croyez-vous en Lui de tout votre coeur ? Alors prêtez-moi l'oreille, suivez. Combien de croyants y a-t-il ici ? Levez la main. Très bien, si vous êtes un croyant... Maintenant, baissez la main. Chacun de vous est un croyant. Combien sont malades ? Levez la main. Très bien, les croyants, imposez-vous les mains les uns aux autres. Je vais citer la même Parole. " Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. " C'est cela. Croyez-vous cela ? Maintenant, priez pour quelqu'un. Imposez les mains à quelqu'un à côté de vous, près de vous, là-haut au balcon. Oui, croyez.
Cette dame qui est assise là au milieu, là, qui souffre de la nervosité... ?... Très bien... ?... Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue de ma vie. Est-ce juste ? Vous souffrez de la nervosité depuis des années. Christ vous guérit, Il vous rétablit.
Tout en haut au balcon. Amen. Il guérit chacun de vous si vous croyez cela. Maintenant, priez les uns pour les autres. Imposez-vous les mains les uns aux autres.
89 Père céleste, la foi de ces gens a ramené ce soir le Seigneur Jésus-Christ sous la forme du Saint-Esprit parmi eux, sauvant les perdus et guérissant les malades. Ô Seigneur, ils sont des croyants. Ils ont leurs mains posées les uns sur les autres. Ils croient que Tu es le même hier, aujourd'hui et éternellement, et que Tu es le même Dieu. " Ô Jésus, Fils de David ", crient-ils. Que la puissance qui a ressuscité Jésus de la tombe les fasse se lever à partir du témoignage, criant et glorifiant Dieu. Qu'ils se tiennent debout comme Bartimée, regardant leurs mains jusqu'à ce qu'ils voient que la puissance de Dieu les a guéris. Accorde-le, Seigneur.
90 Continuez de prier, continuez de prier, continuez simplement de prier. Ô Seigneur, il n'y a qu'une chose qui pourrait empêcher un service de guérison spontanée, et c'est l'incrédulité. J'ai remarqué partout dans la foule pendant que je regarde par ici, Seigneur, je vois une petite traînée ténébreuse qui essaye de retenir cette glorieuse Lumière là-bas qui tournoie et qui cherche à se frayer une voie à travers ces ténèbres afin de toucher quelqu'un. Ô Dieu notre Père, donne-moi la force, donne-moi la foi. Que les gens comprennent que Tu as confirmé, ô Seigneur, que je leur dis la vérité. Quand Tu étais ici sur terre, Tu as dit : " Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. " Si je ne fais pas les oeuvres de mon Sauveur, alors qu'ils ne me croient pas. Mais, ô Seigneur, Tu fais les mêmes oeuvres que Tu faisais lorsque Tu étais ici sur terre. Ô Père, je prie maintenant afin qu'ils croient réellement dans une portion. Donne-moi la foi pour briser et faire disparaître ces ténèbres de dessus eux, ô Seigneur, afin que cette puissance et cette Lumière de Dieu tombent sur chaque âme qui est ici, et que cela guérisse chacun d'eux.
Satan, tu es exposé. Eh bien, tu es un démon, et tu essaies de retenir ce groupe de gens. Je te somme au Nom de Jésus-Christ de sortir de ces gens et de les laisser tranquilles.