Les Influences
1 C'est bien. Je pense que nous devrions nous lever pendant que nous lisons Sa Parole. Ne le pensez-vous pas ? [L'assemblée dit : " Amen. " - N.D.E.] Levons-nous donc juste un instant pendant que nous lisons Sa Parole. Je lis ce soir, pour une leçon sur les Ecritures, dans le Livre d'Esaïe, au chapitre 6. Suivez attentivement :
L'année de la mort du roi Ozias, je vis le Seigneur assis sur un trône très... élevé, et les pans de sa robe remplissaient le temple.
Des séraphins se tenaient au-dessus de lui ; ils avaient chacun six ailes : deux dont ils se couvraient la face, deux dont ils se couvraient les pieds, et deux dont ils se servaient pour voler.
Ils criaient l'un à l'autre, et disaient : Saint, saint, saint est l'Eternel des armées ! Toute la terre est pleine de sa gloire !
Les portes furent ébranlées dans leurs fondements par la voix qui retentissait, et la maison se remplit de fumée.
Alors je dis : Malheur à moi ! je suis perdu, car je suis un homme dont les lèvres sont impures, j'habite au milieu d'un peuple dont les lèvres sont impures, et mes yeux ont vu le Roi, l'Eternel des armées.
Mais l'un des séraphins vola vers moi, tenant à la main une pierre ardente qu'il avait prise sur l'autel avec des pincettes.
Il en toucha ma bouche, et dit : Ceci a touché tes lèvres ; ton iniquité est enlevée, et ton péché est expié.
J'entendis la voix du Seigneur, disant : Qui enverrai-je, et qui marchera pour nous?
Je répondis : Me voici, envoie-moi.
2 Inclinons maintenant la tête.
3 Père, " malheur ", nous nous sentons comme Esaïe : " Malheur à nous ! car nos yeux ont vu le Roi, le Seigneur de gloire. " Nous Te remercions, Seigneur, de ce qu'il y a un processus de purification ce soir, qui peut toucher non seulement nos lèvres, mais aussi nos coeurs et nos âmes, et nous purifier de toute notre impureté. Car, c'est vrai, nous habitons au milieu d'un peuple dont les lèvres sont impures, et nos lèvres aussi sont impures. Nous prions que le Glorieux Saint-Esprit vienne toucher nos lèvres ainsi que nos coeurs par l'onction, le Feu du Saint-Esprit pris sur l'autel de Dieu, et de nous purifier de toute notre incrédulité et de tous nos doutes, qu'Il puisse entrer et établir Sa demeure en nous. Car nous L'aimons, nous L'apprécions, et nous L'adorons.
Ce soir, nous prions, Père, que s'il y en a ici qui n'ont pas encore eu cette touche purifiante du Glorieux Saint-Esprit, le Feu de Dieu, que celle-ci soit la soirée où s'accomplira cette oeuvre en eux, pour la gloire du Royaume de Dieu. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
4 Bon, je suis ... nous essayerons de sortir tôt. Je ne veux pas que vous manquiez l'école du dimanche. Eh bien, il n'y a pas de mal si vous ratez une journée de travail, vous n'en souffrirez pas trop. Je vous retiens jusqu'à 21h30' ou quelque chose comme cela, un autre soir. Mais ne manquez pas l'école du dimanche, quoi que vous fassiez.
Bon, mon sujet ce soir, c'est : Les Influences.
5 Si nous voulons lire cette histoire, nous devrions prendre II Chroniques, chapitre 26, et on pourra lire cela. Cet Ozias était un jeune berger. Et il... II Chroniques 26 nous raconte qu'il avait été oint roi à l'âge de seize ans. Et son père était un homme pieux. Et cet homme était un homme bon, il avait des parents pieux. " Il fit ce qui est droit aux yeux de l'Eternel. " Or, nous voyons que d'ordinaire...
6 Je-je pense que notre grand problème aujourd'hui, concernant ce que nous pensons être de la délinquance juvénile, c'est la délinquance parentale, un foyer délinquant. Notre-notre peuple s'est éloigné des choses auxquelles il-il devait s'accrocher. L'église est devenue tiède ou froide, et les-les enfants vont dans le monde.
7 Aujourd'hui, Hollywood diffuse un tas de films ainsi que-ainsi que des émissions télévisées et autres, qui ne sont même pas censurés, dans lesquels on profère des blasphèmes et-et-et on prend le Nom de Dieu en vain. Et-et, autrefois, c'était mauvais pour les enfants dans les églises de la Sainteté d'aller aux-aux bioscopes ou au cinéma. Mais aujourd'hui, Satan a fait un saut en avant en amenant cela en plein dans la maison, sous forme de télévision ; et puis, c'est sans censure, et-et ainsi de suite. Et c'est le propre de Satan, s'infiltrer graduellement.
8 C'est comme la vieille piste de luge. Beaucoup d'entre vous ne s'en souviennent pas, parce que vous êtes trop jeunes. C'était un divertissement pour les enfants. On s'asseyait sur une luge et on tournait continuellement. Il y avait un trou, une chute. Et chacun lançait le défi à l'autre de pouvoir s'en approcher le plus. Et peu après, avant qu'on s'en aperçoive [Frère Branham claque les doigts. - N.D.E.], on tombait
9 C'est comme ça avec le péché. Ne jouez pas avec le péché. Ne voyez pas à quel point vous pouvez vous en approcher. Voyez à quel point vous pouvez en rester éloigné. Voyez ? Ne courez pas de risque. Si vous, vous allez courir le risque... Moi, je ne veux pas courir le risque.
10 Une fois, un vieil Ecossais, raconte-t-on, allait traverser une montagne. Et les voitures à cheval attendaient ; chaque homme voulait le faire traverser. Il a dit : " Je veux que le meilleur charretier me prenne. "
11 L'un d'eux a dit : " Eh bien, moi, je peux conduire mes six têtes de chevaux à plein galop, à -à dix pouces [25 cm] du bord de cette montagne. " Si vous tombez, c'est la mort. Il a dit : " Je suis un assez bon charretier pour conduire mes chevaux en toute sécurité, en gardant par là mes roues à dix pouces du bord, sans tomber. "
12 Un autre a dit : " Je peux faire plus que ça. Je peux conduire à six pouces ou quatre pouces [15 ou 10 cm] sans jamais tomber. "
Il a demandé : " Et vous, monsieur ? "
13 Il a dit : " Eh bien, je ne sais pas. Je n'aime pas faire ça. Moi, je-je colle tout simplement au flanc. "
Il a dit: " Vous, prenez-moi. " C'est exact. C'est celui qu'il faut
14 Ce n'est pas à quel point vous pouvez vous approcher, combien efficace vous estimez votre protection, tenez-vous aussi loin que possible du péché. Eloignez-vous autant que possible.
Vous direz : " Eh bien, je peux faire ceci. Il n'y a pas de mal à le faire. "
Eh bien, s'il y a un doute dans votre esprit, ne le faites pas du tout. S'il y a un doute quelque part, tenez-vous-en éloigné. Alors, vous voyez, vous vivez donc absolument par la foi, s'il n'y a aucun doute. S'il y a un doute, laissez donc cela. Ne vous en approchez pas du tout.
15 Et je pense que, dans bien des cas, ce sont les parents qui s'éloignent. Je sais que parfois, ce sont les-les écoles et tout. L'école du dimanche ne prend qu'environ une demi-heure, ou une heure, le dimanche matin, et le monde prend les enfants le reste de la semaine et les bourre d'histoires plus qu'une enseignante de l'école du dimanche ne le fait. Et souvent, très souvent, l'enseignante de l'école du dimanche a une petite leçon trimestrielle qu'elle donne pendant qu'elle se peint les lèvres et arrange ses cheveux, et elle laisse les enfants faire de leur mieux.
16 Et puis, à la maison, ils ne reçoivent aucune éducation chrétienne, pas du tout. Maman se retrouve quelque part dehors à une partie de cartes, et papa est allé au bowling, et-et la soeur est sortie avec quelqu'un qui a un bolide. Et vous y êtes, vous voyez. Quoi... Où allons-nous ? Seulement, vous... ce n'est que... c'est-c'est terrible.
Et alors, nous voyons cela, tout ça ensemble. Junior dehors, parcourant la rue sur sa motocyclette. Et, oh ! Il y en a qui jouent au golf, et d'autres au billard, on est juste à l'un ou l'autre divertissement. Et on rate l'église.
17 Bien des fois, on tient alors un conseil là ! S'il arrive que ce pasteur aborde à un point sensible qui est-est plutôt un peu contraire, ou dise quelque chose à ce sujet, le comité le fera comparaître ; on transmettra son nom au quartier général, et il sera excommunié. Vous voyez donc, c'est devenu un gagne-pain au lieu qu'on ait des serviteurs oints pour prêcher l'Evangile. Voyez. C'est vrai. C'est devenu quelque chose qu'ils veulent avoir. C'est-c'est un gagne-pain. Ils doivent rester là, avoir un bon salaire. Ecoutez, frère. Que Dieu ait pitié d'un homme qui vendrait son droit d'aînesse pour cela. Ecoutez !
18 Il nous faut des hommes qui manipuleront l'Evangile avec des mains nues, sans une espèce de gants dénominationnels.Qui prêcheront cela là tel que c'est écrit, et-et advienne que pourra. " Si la chaussure convient, disait maman, porte-la. " Elle disait : " Si ça ne te fait pas mal au bout. " Eh bien, il y a donc ces choses que nous devrions écouter.
19 Bon, ce roi Ozias avait été un merveilleux enfant. Il avait eu un père pieux. Sa mère était originaire de Jérusalem, et son pieux père était roi avant lui, et c'est ce genre d'enseignement que ce garçon avait reçu.
20 Je ne suis ni démocrate ni républicain. J'ai voté une seule fois, et c'était pour Christ. Il est-Il est... Je vais l'emporter à ce sujet.
21 Eh bien, je-je pense que le plus grand président, en tout cas, que nous ayons jamais eu, c'est Abraham Lincoln. Non pas parce qu'il était aussi du Kentucky, mais parce que cet homme est venu de nulle part. Et tous les livres que cet homme ait jamais possédés depuis sa tendre enfance jusqu'à ce qu'il avait de l'âge, pratiquement, c'étaient la Bible et-et Le Voyage du Petit Pèlerin de Bunyan. Voyez, cela l'a façonné en (Quoi ?) cet " honnête Abe. " Il...
Ce que vous lisez, ce que vous faites, ça façonne votre caractère. Cela-cela révèle ce que vous êtes. Et maintenant, vous voyez, il avait lu là où il est écrit : " Si vous faites le mal, vous paierez pour cela ; si vous faites le bien, Dieu honorera cela. " Et cela l'a façonné, a fait de lui ce qu'il était. Et sa mère était aussi une-une femme pieuse. Il disait : " S'il faut attribuer un quelconque mérite à quelqu'un, cela reviendrait à ma mère pieuse, celle qui m'a bien élevé. "
Eh bien, cela a façonné, à mon avis, je dirais, au moins un président, si pas le plus grand que nous ayons eu. Il est venu de nulle part, et Dieu a fait de lui le président parce qu'il était un homme honnête et un homme bon.
22 Eh bien, nous voyons que c'était pareil avec ce garçon. Comme il avait eu ces parents pieux, il a fait ce qui était juste. Une fois devenu roi, à seize ans, il n'a pas tenu compte de toute la politique et de toutes les opinions populaires de son temps, et il a servi Dieu avec révérence. Cela a fait de lui un véritable roi, le fait de ne pas tenir compte de la politique et de l'opinion moderne, et de servir Dieu avec révérence ; c'était très bien. Son royaume, Dieu l'avait béni, et il avait tellement prospéré qu'il venait après celui de Salomon. Salomon avait le plus grand royaume qui ait existé, mais celui de ce garçon suivait celui de Salomon.
23 C'était d'une-d'une grande assistance pour le jeune prophète Esaïe qui, à ce moment-là, était un jeune homme qui grandissait. Etant né prophète, il observait l'influence que cet homme exerçait sur les gens et il a vu d'où venait son influence: c'était de sa confiance absolue en Dieu. Et il avait... Et il a encore remarqué, Esaïe, que Dieu bénira ceux qui resteront fidèles à la Parole de Dieu.
24 Maintenant, nous voyons que ce jeune homme voulait s'accrocher aux principes énoncés par Dieu. Il observait Ses lois. Ozias ne s'en détournait ni à gauche ni à droite. Il était fidèle à ce que la Parole disait, et Dieu l'a honoré et l'a béni dans tout ce qu'il faisait, il a prospéré, il allait droit de l'avant. Quel-quel exemple est-ce pour n'importe quelle jeune personne !
25 Je pense que si, aujourd'hui, nous avions des gens, nos églises qui se disent chrétiennes, si elles s'abstenaient des choses du monde et qu'elles menaient ce genre de vie, cela influencerait les plus jeunes chrétiens à faire autant. Mais aujourd'hui, lorsqu'ils se relâchent, boivent, fument et se méconduisent, et cherchent toujours à maintenir leur confession qu'ils sont des chrétiens, cela place une grosse pierre d'achoppement sur le chemin des autres. Et cela rend la chose très difficile.
26 Souvenez-vous, la Bible dit : " Vous êtes des épîtres vivantes, écrites, et lues de tous les hommes. " Or, beaucoup de gens ne veulent pas lire la Bible, mais Dieu a fait de vous un représentant vivant. Vous êtes une épître qui marche, vous devriez être une Bible qui marche, avec Christ en vous. Vous devriez être la Parole de Dieu qui marche. Et si vous professez être un chrétien et que ça n'est pas le cas, votre influence, votre... l'influence que vous exercez vous obligera de répondre au jour du Jugement pour les nombreuses âmes que vous aurez détournées, éloignées de Christ.
27 Je pense qu'il nous incombe ce soir d'y penser. Car chaque homme, chaque femme, chaque garçon et chaque fille, sait qu'il viendra en jugement. Vous pourriez échapper à ceci ou à cela. Vous pourriez échapper à l'impôt sur le revenu, et vous pourriez échapper au fisc. Vous pourriez faire une chose ou l'autre. Vous pourriez dépasser la vitesse maximale et ne point vous faire attraper par la police. Mais un jour, le Jugement vous rattrapera. C'est certain.
28 " Et nous savons que l'homme doit mourir, et après quoi vient le Jugement. " La mort n'est pas une chose difficile. C'est le jugement après la mort qui est difficile. Et là, ce que vous avez fait dans la vie, comment vous avez influencé les autres, ce Jour-là, vous aurez à répondre pour cela.
29 "A combien plus forte raison devrions-nous rejeter tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si facilement, afin que nous puissions courir avec persévérance dans cette carrière qui nous est ouverte, ayant les regards, non pas sur les credos, ni sur les dénominations, ni sur une autre personne, mais sur Jésus-Christ, qui est le Chef et le Consommateur de notre foi. "
30 Combien nous devrions penser à ces choses, mes amis, profondément et révérencieusement, alors que nous voyons ce Jour approcher, et que nous savons qu'à n'importe quel moment les pages du livre de votre vie pourront être fermées ce soir. Et demain, ce sera trop tard pour vous de faire cela. Ne renvoyez pas à demain ce que vous pouvez faire aujourd'hui, car demain, car demain pourrait ne jamais venir. Les hommes et les femmes, les jeunes garçons et les jeunes filles qui sont peut-être assis ici ce soir seront dans une morgue avant l'aube. C'est vrai. A ce moment-là, votre livre sera fermé, et vous n'aurez jamais une autre occasion. Ceci pourrait être la dernière occasion que vous puissiez jamais avoir. Pensez-y, sérieusement. Vous direz : " Eh bien, peut-être que ce n'est pas ça. " Probablement que ce n'est pas ça, mais ça peut l'être. Mais, souvenez-vous, un jour, le livre va être fermé, et ce que vous faites maintenant...
31 Et particulièrement, vous qui prétendez être des chrétiens, séparez-vous des choses du monde. N'ayez rien à faire avec le monde. Evitez-le, car quelqu'un vous observe. Quelqu'un vous observe. Et vous allez, non seulement vous envoyer là, mais vous allez amener les autres au mauvais endroit, et vous aurez à répondre pour votre influence.
32 Combien ce prophète a observé cet homme et a vu que Dieu le bénissait, et quelle influence c'était ! Combien cet homme prospérait, et combien Dieu a fait pour lui ! Il menait une-une vie merveilleuse, bénie de Dieu. Et il ne se détournait ni à droite ni à gauche.
33 Maintenant, nous voyons ici un autre exemple, ici en cet homme, cet homme d'Ozias, un grand roi qui a marché autrefois avec Dieu. La Bible dit que " quand le roi s'est senti en sécurité, a senti que tout allait bien pour lui, alors il s'est enflé d'orgueil dans son coeur. "
34 Permettez-moi de m'arrêter ici pour dire ceci, solennellement, mon frère, ma soeur. Dieu a fait de vous mon auditoire ce soir. Je dois être très sérieux dans ce que je dis, et vous devez écouter avec beaucoup de sérieux.
35 Voilà le problème avec beaucoup de gens aujourd'hui. Ils pensent... Nous avons certains de nos frères ministres; certains en arrivent au point, peut-être, qu'ils ont de grands ministères, jusqu'à se sentir en sécurité. Nous avons eu cela, nous savons que c'est vrai. Beaucoup de ministres aujourd'hui dans le pays commencent à boire.
D'autres se disent : " Eh bien, je me suis bâti mon petit royaume autour de moi. Il n'y a aucune raison pour moi... Ces gens m'aiment tellement qu'ils ne feront même pas cas, que je fasse ceci ou cela. "
Permettez-moi de vous dire, frère, qu'il y en a Un qui regarde, et c'est Dieu. Nul n'est en sécurité en dehors de Dieu.
36 Parfois, nous en arrivons donc à nous dire : " Dieu nous a bénis. " Il m'a donné une Cadillac, Il m'a donné un meilleur travail, Il m'a donné ceci. " Ce n'est pas du tout une évidence qu'il soit impossible pour vous de rejeter Sa bénédiction.
37 Quand vous vous enflez et que vous vous dites : " Eh bien, autrefois, je passais toute la nuit à prier. Autrefois, je faisais ceci et je faisais cela, mais je ne le fais plus ", vous êtes sur un terrain glissant.
38 Voilà le problème avec nos pentecôtistes, alors qu'autrefois, il y a longtemps, nous avions une petite mission quelque part au coin, les femmes, sans bas sur elles, battaient un tambourin là-bas et devaient prier toute la nuit, et tout. La police vous mettait sous les verrous, et vous restiez en prison et tout. Vous priiez. Les églises et toutes les dénominations riaient de vous et se moquaient de vous.
Mais aujourd'hui, Dieu vous a élevés au point que vous avez certaines des meilleures églises du pays, de très puissantes dénominations. Vous commencez à vous sentir en sécurité. Faites attention ! C'est alors qu'on s'enfle. Alors, quand Dieu envoie Quelque Chose, vous ne pouvez plus L'accepter, parce que vous avez déjà rendu témoignage à telle autre chose. Quand vous commencez donc à vous sentir en sécurité, c'est alors que vous êtes en route vers votre chute. Cela vaut pour les dénominations. Cela vaut pour les nations.
39 Considérez notre nation, c'était autrefois l'un des grands pays du monde pour ce qui est de la moralité; considérez-la aujourd'hui. Elle est la risée du monde, elle est plus souillée que n'importe quoi que je connaisse.
40 Quand je suis descendu de l'avion, à mon arrivée à Rome, et que je suis allé à Saint Angelo pour visiter les catacombes, j'étais dans l'embarras en voyant un écriteau sur les catacombes de Saint Angelo. Il y était mentionné : " Un mot à toutes les femmes américaines. Veillez vous habiller avant d'entrer dans les catacombes par égard pour les morts. " Elles y arrivent en shorts et en pantalons, dans une ville comme Rome. Et on devait donc dire aux femmes américaines : " Par égard pour les morts, habillez-vous. " Eh bien, c'est devenu une puanteur dans les narines.
Et tout notre argent à l'étranger, nos crédits financiers et tout de ce genre, ça n'achètera jamais l'amitié.
41 Ce dont nous avons besoin dans cette nation, et nous ne l'aurons jamais, mais ce dont nous avons besoin, c'est d'un temps de nettoyage de la maison; pas un nettoyage politique de la maison, mais d'un réveil envoyé du Saint-Esprit, qui la balayera de fond en comble. C'est ce dont nos églises ont besoin. C'est ce dont notre peuple a besoin. C'est ce dont nous avons besoin en tant qu'individus. Que notre influence... Quand nous nous enflons pour dire : " Je suis pentecôtiste, j'ai parlé en langues, j'ai crié, j'ai dansé par l'Esprit ", peut-être que vous l'avez fait, mais laissez-moi vous dire quelque chose, frère. Ce n'est pas une garantie pour vous, pas du tout.
42 Nous voyons, quand Ozias s'est enflé dans son coeur, nous voyons que Dieu l'a frappé. Qu'a-t-il fait ? Il a eu le toupet de chercher à exercer l'office d'un ministre. Il pensait que, parce qu'il était élevé, Dieu l'avait béni et avait fait de lui un grand homme, il pouvait faire tout ce qu'il voulait.
43 Il n'y a pas longtemps, j'ai entendu un jeune homme me parler, disant : " Vous savez, Dieu m'aime tellement, Frère Branham, qu'Il me laisse simplement faire tout ce que je veux. Il n'en fait pas cas. "
44 Aujourd'hui, j'entends beaucoup parler de Dieu qui est un Dieu bon. Il l'est. Je ne conteste pas cela. Il est un Dieu bon, mais Il est aussi un Dieu de colère. Sa sainteté exige la justice. Sa loi exige le jugement. Si la loi n'est pas assortie d'un jugement, elle est sans effet.
A quoi servirait- il de dire que c'est illégal de brûler ce feu rouge, ici, si ce n'est pas passible d'une sanction ? Voyez, ce ne serait pas une loi. On ne pourrait rien faire à ce sujet tant qu'il n'y a pas de sanction. Il y a une sanction contre la violation des lois de Dieu, et cela va...vous aurez à payer jusqu'au tout dernier sou avant d'être libéré.
45 Or, beaucoup d'hommes aujourd'hui commettent cette triste erreur que cet homme avait commise quand il s'est exalté, s'est enflé et en est arrivé à tout avoir entre ses mains, il s'est senti en sécurité. " Dieu m'aime tellement que rien ne pourra me déranger maintenant. " Quand il a fait cela, il s'est retrouvé dans le même pétrin que Nebucadnetsar autrefois, comme vous les lecteurs de la Bible, vous le savez. Nous voyons ensuite qu'il fut frappé de lèpre parce qu'il a cherché à prendre la place d'un ministre.
46 Il n'y a pas longtemps... Je parle pour les Hommes d'Affaires du Plein Evangile dans le monde entier. Il y a quelque temps, j'étais assis quelque part, c'était là en Jamaïque. Nous tenions une série de réunions.
47 Je les aime, parce que ce sont des gens venus de toutes les églises. Cela me donne l'occasion de-de parler. Parfois, les églises ne veulent pas collaborer, mais leurs hommes d'affaires, eux, collaborent ; elles-elles auront plutôt à tenir face grâce aux hommes d'affaires.
48 Et, nous voyons donc, à ce propos, que je tenais une série de réunions. Ce soir-là, quand ils sont rentrés au Flamingo Motel, j'ai dit : " J'ai honte de vous. " J'ai dit : " C'est une disgrâce. Tout ce dont vous parliez devant tous ces leaders politiques et autres, et les hommes d'affaires, ici et là, c'était : 'J'avais une toute petite affaire par ici', et, 'j'ai seize Cadillacs', ou que sais-je encore. " J'ai dit : " Ces hommes, vous ne pouvez pas vous comparer à eux. "
49 " Voilà le problème avec l'église aujourd'hui. Vous essayez de vous comparer à Hollywood. Vous cherchez à vous y prendre comme Hollywood. Souvenez-vous, Hollywood brille avec éclat. L'Evangile luit. Vous ne pouvez pas aller sur leur terrain. Vous devez les amener sur notre terrain. C'est là que nous devons les amener. Vous devez les amener ici; pas que nous, nous allions là-bas. Nous ne pouvons jamais nous comparer à eux. Nous n'avons pas à le faire. Eux brillent et étincellent; l'Evangile luit avec douceur et humilité. Voilà la différence entre une luisance et un éclat. "
50 Maintenant, nous voyons... J'ai dit à ces hommes, j'ai dit : " Le problème, c'est que, vous les hommes qui êtes juste des hommes d'affaires, vous cherchez à prêcher l'Evangile. Vous n'avez pas à faire cela. Nous les prédicateurs, nous passons des temps assez difficiles pour garder le niveau. Et vous, vous ne devriez pas faire cela. Vous essayez de prendre la place qu'il ne faut pas. Vous êtes des hommes d'affaires, mais ne cherchez pas à exercer un office dans l'Evangile. "
51 Je-j'ai dit : " Le problème, c'est qu'aujourd'hui, vous cherchez à dire combien vous possédez. Combien c'est différent des premiers pentecôtistes ! Les premiers pentecôtistes s'étaient débarrassés de ce qu'ils avaient. "
52 Un certain petit chanteur là, c'était un brave petit homme, je l'aime, c'est un brave homme, mais il a dit : " Frère Branham, je ne voudrais jamais contester ce que vous dites ni dire quoi que ce soit contre Cela. "
53 J'ai dit : " C'est très bien. Si ce n'est pas la Parole du Seigneur, alors vous en avez le droit, frère. "
Et il a dit : " Voilà l'unique fois où vous avez tort. "
54 J'ai dit : " Oh ! Non. Non, non. " J'ai dit : " Les premiers pentecôtistes avaient vendu tout ce qu'ils avaient, ils ont placé cela dans les missions et-et s'en sont allés. "
55 Et un prédicateur qui était là a dit : " C'était la pire des choses qu'ils aient faites. "
J'ai dit : " Quoi ? Le Saint-Esprit commettre une erreur ? "
56 Il a dit : " Ce n'est pas ce que je dis. Mais c'était la pire des choses qu'ils aient faite. " Il a ajouté : " Ensuite, quand il y a eu du trouble dans l'église, ils n'avaient plus de maisons où aller. "
57 J'ai dit : " C'est exactement la raison pour laquelle Dieu les a amenés à vendre leurs maisons. Ils sont alors allés partout, répandant le Message dans tout le pays. Ils n'avaient plus où aller ". Dieu sait ce qu'Il fait. Laissez-Le seulement s'en occuper.
58 Nous voyons que cet homme a pris un encensoir, il est entré pour-pour- pour secouer un encensoir, brûler l'encens. Ce n'était pas son travail. Il était roi, il ne devait pas être un sacrificateur. Et le sacrificateur a couru après lui et lui a parlé, disant : " Tu ne dois pas faire ceci. C'est une tâche réservée au lévite, et toi, tu n'es pas lévite. Il faut un homme consacré pour cela, et tu n'es pas consacré à l'Eternel. Tu es un roi. Dieu te bénit. C'est bien. Mais tu n'es pas consacré pour faire cela. "
59 Très souvent, nous avons vu des tentatives d'imitation des dons, alors que ces gens n'étaient pas consacrés à cet appel. Et tout ça, nous l'avons vu. Et aujourd'hui, nous le voyons, c'est exactement comme jadis. Nous voyons quelqu'un essayer d'imiter l'autre qui a le Saint-Esprit, crier comme lui, parler en langues comme lui, et pourtant il ne connaît pas plus au sujet de Dieu qu'un Hottentot n'en sait au sujet d'un chevalier égyptien. C'est vrai, rien que de l'imitation, faire semblant, copier quelque chose.
60 Mais laissez-moi vous dire, vous qui regardez cela; souvenez-vous, quand vous voyez quelqu'un imiter cela, c'est qu'il y a quelque chose d'authentique quelque part. Si je vois un dollar, un faux, c'est seulement une évidence qu'il a été fabriqué à partir d'un véritable.
61 Nous voyons cet homme d'Ozias chercher à exercer l'office de ce sacrificateur. Et quand les autres ont couru après lui et lui en ont parlé, il s'est fâché. Il s'est retourné et il leur a fait savoir : " Je ferai ce qui me plaît. Qui êtes-vous pour me dire quoi faire ? Vous, me dire ce que je dois faire ? C'est moi le roi. Je ferai ce que je veux. "
Et Dieu l'a frappé de lèpre sur-le-champ. Et il est mort lépreux. Dans sa colère, alors que sa colère était enflammée, il fut donc frappé de lèpre.
62 Ce fut alors une leçon pour ce jeune prophète. Certainement. Après qu'il eut observé cet homme monter et décrocher son doctorat en philosophie, son doctorat en droit, et tout, et ensuite exercer un office qui n'était pas le sien, il a vu, et il s'est fâché à ce sujet. Alors qu'on cherchait à lui dire ce qu'était l'AINSI DIT LE SEIGNEUR, il a manqué de reconnaître cela. Alors, Dieu l'a frappé de lèpre, ce qui est un type du péché. Bien.
A partir de cela, Esaïe a appris que c'est Dieu qui ordonne Son homme à sa place. C'est Dieu qui le place. Parfois, on ne peut pas prendre un homme et lui faire cela.
63 Il n'y a pas longtemps, une jeune dame, m'a dit qu'elle avait un petit garçon, elle allait... Elle a dit : " Il pensait avoir un appel ". Elle avait environ trente cinq ans, je pense. Elle a dit : " Mon fils, d'environ quatorze ans, sent qu'il a un appel. Frère Branham, qu'on l'envoie obtenir son doctorat en philosophie ou l'une ou l'autre chose comme ça, qu'on l'envoie à l'université ? Que me conseilleriez-vous ? "
64 J'ai dit : " La meilleure université que je connaisse, c'est l'université de la genoullologie, être sur ses genoux. " J'ai dit : " Il peut aller là en plein milieu de ces choses, et bien vite, vous savez, on commence à apprendre les math... les mathématiques et tout à ce sujet, et autant au sujet de ceci, et on le soumettra à un test mental et à celui du coefficient intellectuel, et tout, comme ça. Et alors, ils feront sortir tout ce qu'il y avait de Dieu en lui. " J'ai dit... Je ne rabaisse pas ces choses, mais je vous montre simplement à quel point on s'écarte de la ligne.
65 Observez et voyez ce qui est en fait arrivé. Eh bien, c'est Dieu qui ordonne Son homme à sa place.
66 Il n'y a pas longtemps, je lisais une petite histoire d'une femme qui était... avait une-une maladie, une-une-une-une pneumonie, à Saint Louis, dans le Missouri. Elle était très très malade. Et on disait qu'elle allait mourir. Elle avait un fils à l'université. Il est donc venu, le médecin, voir combien de temps encore il pensait qu'elle avait à vivre. Et il a dit : " Encore un ou deux jours, et elle ne sera probablement plus ici. "
67 On a donc envoyé un télégramme au jeune homme lui disant qu'il ferait mieux de rentrer à la maison, que sa mère était gravement malade. Le jeune fils ayant donc reçu le télégramme, s'est préparé à rentrer, mais il a reçu un autre télégramme disant : " Votre mère va mieux maintenant. Tout va bien. Ne venez pas. "
68 Eh bien, ensuite, à peu près une année plus tard, eh bien, le garçon a effectué sa visite annuelle à la maison. A son arrivée à la maison, il a dit : " Maman ! " Après l'avoir saluée, il a dit : " Tu sais, je me pose bien de questions, quand tu étais très malade, tu ne m'as jamais dit ce qui s'est passé au juste. "
69 Elle a dit : " Oh ! Fiston, j'ai quelque chose à te dire. " Elle a dit : " Tu connais cette petite mission ici au bas de la rue, ici, ici où ces gens hurlent, crient et font des histoires ? "
Il a dit : " Oui. "
70 Elle a dit : " Leur pasteur croit à la prière pour les malades. " Elle a dit : " L'une des dames est venue ici et m'en a parlé. " Elle a dit : " Un docteur m'avait dit que je n'avais plus que quelques jours à vivre. " Elle a dit : " Alors, on a envoyé chercher... Elle voulait faire venir ce pasteur pour prier pour moi, cette dame-là. Et j'ai dit : 'Eh bien, certainement, faites-le venir.' " Elle a dit : " Tu sais, il est venu, a-t-elle dit, il a lu une Ecriture dans la Bible. " Et elle a dit : " Il est venu, m'a imposée les mains et a prié pour moi. Et, tu sais, la fièvre m'a quittée, et j'étais guérie. " Et elle a dit : " Oh ! gloire à Dieu ! "
Il a dit : " Maman, maman, eh bien, tu es mieux avisée que ça ! "
71 Elle a dit : " Oh ! Oh ! Non, non, chéri, a-t-elle dit, cela est réellement arrivé. " Elle a dit : " Gloire à Dieu ! C'est moi qui te le dis. " a-t-elle dit.
72 Il a dit : " Maintenant, tu agis vraiment comme ces gens-là. " Il a dit : " Tu ne dois pas faire cela, maman. "
73 Elle a dit : " Mais, a-t-elle dit, chéri, il a lu cela en plein dans la Bible. Il a lu là dans Marc, chapitre 16 : 'Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.' C'est Ici même. " Elle a dit : " Nous, nous... c'est Ici même ", a-t-elle dit.
74 " Oh ! Maman, c'est ce genre d'illettrés là-bas. " Il a dit : " Ces gens là-bas n'ont aucune instruction. " Il a dit : " Ce ne sont que des pauvres gens, c'est de la racaille des rues, et tout, qui sont envoyés là-bas. " Il a dit : " Ce pasteur là... " Il a dit : " Nous avons appris à l'université que Marc 16, du verset 9 jusqu'à la fin, n'est pas inspiré. "
Elle a dit : " Gloire à Dieu ! "
Il a dit : " Maman, qu'est-ce qui te prend ? "
75 Elle a dit : " J'étais juste en train de penser, fiston, que si Dieu a pu me guérir avec la parole non inspirée, que ferait-Il vraiment avec Celle qui est inspirée ! "
Je pense donc que ça règle la question, n'est- ce pas ? Eh bien, si celle qui n'est pas inspirée guérit, que fera Celle qui est inspirée ? C'est ça, mes amis. Oui, oui.
76 Maintenant, essayer de prendre la place d'un autre. C'est Dieu qui ordonne Son homme à sa place. Dieu ordonne Son homme à sa place. Ce dernier ne doit pas essayer de prendre la place d'un autre. Vous ne devez pas le faire.
77 Maintenant, la vision au temple. Il est allé au temple quand il a vu cela. Esaïe a vu cela, Ezéchias, ce qui lui était arrivé. Et à la fin, il est mort, et il y a eu un-un (je veux dire Ozias)... et-et il a été amené au camp des lépreux, et son fils a dû régner à sa place. Et alors, Esaïe en a eu marre, pour ainsi dire. Alors, un jour, il est allé au temple pour vider son coeur.
78 Je pense que c'est une bonne chose à faire pour nous tous: Aller à la maison de Dieu, nous agenouiller et libérer notre âme, et ôter la chose de notre esprit.
79 Esaïe s'est donc agenouillé là et s'est mis à prier, vous. Il...peut-être que c'était un après-midi, et il... ou tôt le matin. Je ne sais pas. Il s'est donc agenouillé à l'autel et s'est mis à prier. Et il s'est mis à prier jusqu'à devenir vraiment sincère. Eh bien, c'est comme ça. Il avait vu faillir ce qu'il regardait, ici sur terre. Ce roi que Dieu avait béni, ce grand et puissant roi, le plus puissant du pays, avait pourtant failli. Et alors, il ne savait que faire, et il s'est mis à prier.
80 Alors, tout à coup, il a levé la tête, et alors, il a vu le Véritable Roi. Il a vu Dieu très élevé. Les pans de Sa robe remplissaient les Cieux. Il a vu-il a vu quelque chose à regarder, un vrai modèle. Quand vous regardez et essayez de faire d'un homme votre modèle, vous vous tromperez, à coup sûr, car celui-ci faillira. Mais il cherchait à dire au prophète : " Ne regarde pas à l'homme ou à ce que l'homme dit. Tourne le regard vers Moi et vers ce que Je dis. Lève les yeux par ici, pas vers un trône terrestre, mais vers un Trône céleste, élevé très haut aux Cieux. " Et les pans de Sa robe remplissaient les Cieux.
Et il a levé les yeux. Et alors, il a regardé dans le temple. Il vit au temple Dieu élevé, et il a vu les séraphins célestes.
81 Or, les séraphins, là, ne sont pas des anges. Ils sont censés être ceux qui brûlent le sacrifice, qui frayent la voie au coupable. Et c'étaient eux qui brûlaient le sacrifice.
82 Ils étaient couverts d'une couverture spéciale, montrant que Dieu est entièrement Saint. Dieu est entièrement Saint.
Et ils criaient à tue-tête: " Saint, saint, saint est l'Eternel Dieu Tout-Puissant. Saint, saint, saint ", juste dans la Présence de Dieu.
83 Rappelez-vous, c'étaient les séraphins et les chérubins qui gardaient le lieu saint. Ce sont eux qui prennent le sacrifice et qui l'offrent. Et ils étaient là, vivant juste dans la Présence de Dieu, criant : " Saint, saint, saint est l'Eternel Dieu Tout-Puissant. "
84 Considérons un moment leur constitution. Nous voyons que c'étaient des créatures dotées de six ailes. Ils avaient deux ailes qui couvraient leur face, deux qui couvraient leurs pieds, et ils volaient avec deux ailes.
85 Pensez-y. D'abord, deux ailes qui couvraient leur face. Premièrement : c'était quoi ? Voyons ce que représentent les deux ailes qui couvraient leurs faces. Si Dieu est si saint que même les saints anges et les saints chérubins doivent se couvrir la face pour se tenir dans Sa Présence, comment allons-nous nous tenir dans Sa Présence, alors que nous aurons à nous tenir dans la Présence de Dieu ? Il est le Juge suprême. Et nous aurons tous à nous tenir dans Sa Présence.
Et les saints anges qui n'ont jamais connu ce qu'était le péché, qui ont été créés des êtres spéciaux, alors pour se tenir dans Sa Présence, ils doivent se couvrir leur sainte face. Si les anges doivent se couvrir leur sainte face pour s'y tenir, que ferons-nous pour devoir vivre dans la Présence du Dieu Tout-Puissant, si nous nous tenons dans Sa Présence ? Nous avons en tout cas une couverture, le Sang de Jésus-Christ. C'est exact. Aujourd'hui...
86 C'est ça la révérence. Ça représentait la révérence dans la Présence de Dieu.
87 Aujourd'hui, il n'y a aucune révérence. Oh ! Le peu qu'il y a, c'est vraiment insignifiant ! Quoi ? Vous voyez des gens se moquer de ce qu'on appelle christianisme. Que va-t-il arriver à cet homme ? Quand Dieu envoie quelque chose sur la terre, et qu'on voit cela opérer exactement selon la Parole, et alors, les hommes en parlent et s'en moquent, savez-vous ce que dit la Bible ? Jésus a dit : " C'est le blasphème contre le Saint-Esprit et cela ne sera jamais pardonné. "
" Oh ! disent-ils, c'est du diable ! "
88 Faites attention à ce que vous dites, frère, soeur. Faites attention à ce que vous dites, pécheur. Il n'y a pas de pardon pour cela. Jésus a dit : " Dire un mot contre cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir. "
89 Remarquez ce qu'il venait de faire, le discernement, leur révéler les pensées de leurs coeurs. Et ils ont dit : " Il est Beelzébul ", ils ont taxé l'Esprit de Dieu d'un esprit impur, d'un démon qui faisait l'oeuvre de Dieu.
90 Et Il a dit : " Moi, Je vous pardonne. " A ce moment-là, l'expiation n'avait pas encore été faite, mais... et Jésus n'était pas mort. " Mais, a-t-Il dit, quand le Saint-Esprit sera venu, parler contre cela ne vous sera jamais pardonné. " Quand le Saint-Esprit sera venu accomplir la même oeuvre qu'Il accomplissait alors, cela ne sera jamais pardonné.
Des gens irrévérencieux ! A quoi d'autre pouvons-nous nous attendre, nous, cette nation qui a rejeté Dieu, sinon au jugement ?
91 Cette nation, alors que plusieurs, Billy Graham et Oral Roberts, ont martelé ce pays, ainsi que d'autres grands soldats de la Croix ont parcouru ce pays, prêchant l'Evangile, il y a chaque année une recrudescence de la violence. Le péché ne cesse de s'accroître.
92 Il y avait le-le grand évangéliste Billy Graham qui a dit l'autre jour, dans l'une de ses réunions, quand il est allé à New York, il a dit qu'il croyait que le péché avait augmenté de plusieurs pour cent à New York depuis son réveil là-bas. Il a dit que quand il était ici en Californie, à Los Angeles, il a dit que dans dix ou quinze ans, chaque citoyen sera obligé d'avoir sur lui un pistolet ou quelque chose comme cela pour se protéger. Ils ne peuvent pas suffisamment appliquer la loi, il y a une recrudescence du péché.
93 Oh ! Qu'est-ce ? C'est l'irrévérence vis-à-vis de la Bible. Elle a rejeté son opportunité; ils ont blasphémé et s'en sont moqué. C'est juste.
94 Maintenant, venons-en un peu plus chez nous. Considérez les églises, ce qu'elles ont fait. Beaucoup parmi eux parcourent le pays. Quand vous avez un homme qui a assez de véritable puissance de Dieu pour parler aux gens de leurs voies pécheresses ! Avoir quelqu'un qui leur dira qu'ils doivent naître de nouveau, pas une poignée de mains, ni venir prendre une décision, qu'ils doivent naître de nouveau. Pas insérer son nom dans un registre ni adhérer à l'église, ni serrer la main, ou une aspersion, ou un quelconque baptême, mais naître de l'Esprit de Dieu, être séparé, la Vie de Dieu vivant en vous, se manifestant, pas seulement aujourd'hui ou demain, mais le reste de vos jours. Avec joie dans vos épreuves et tribulations, vous continuez d'avancer, sachant que la route vers la Gloire est ouverte devant vous. Voilà le genre d'Evangile qu'il faut.
Quand vous les trouvez comme cela, vous prêchez Cela, revenez alors l'année prochaine. Ils sont là, les mêmes. C'est la même chose, seulement c'est pire, et il y a davantage de cela et davantage de cela. Plus vous prêchez contre cela, pire ça devient. Qu'est-ce donc ? C'est l'irrévérence !
95 Et puis, quatre-vingt-quinze pour cent de ces gens fréquentent l'église, leur nom figure dans le registre, ils se disent chrétiens. Les hommes qui fument, boivent, jouent aux jeux d'argent, disent de sales plaisanteries, se disent chrétiens. Plusieurs diacres dans le conseil ont une, deux, trois, et quatre femmes. C'est vrai. Quelle disgrâce ! Des femmes chantent dans la chorale avec des cheveux coupés. La Bible dit qu'elle déshonore ! Le visage maquillé. Il n'y a qu'une seule femme dans la Bible qui se soit jamais maquillé le visage. C'était Jézabel. Dieu l'a donnée en pâture aux chiens. Vous voyez donc ce que Dieu en pense.
Et alors, vous venez leur en parler. L'année suivante, vous revenez, elles sont pires qu'au commencement. L'irrévérence ! Elles n'ont aucun respect, aucune-aucune notion de la décence.
96 Permettez moi de vous dire quelque chose, femmes, jeunes femmes et les vieilles aussi, vous qui sortez ici vêtues de ces robes et de ces petits habits collants et bizarres, et en shorts...
Vous direz : " Vous ne devriez pas parler comme ça, Frère Branham. "
Je dois le faire. C'est mon devoir. Ceci est une... ceci, c'est une chaire.
97 Un homme m'a téléphoné il n'y a pas longtemps, l'un des plus grands évangélistes pentecôtistes du pays. Il a dit : " Laissez ces gens tranquilles. "
J'ai dit : " Qui êtes-vous pour me dire de laisser ces gens tranquilles ? "
98 Il a dit : " Je vous aime. " Il a dit : " Votre ministère, c'est de prier pour les malades. "
J'ai dit : " C'est de prêcher l'Evangile, frère. "
99 Et il a dit : " Ecoutez, Frère Branham. " Il a dit : " Eh bien, ces gens croient que vous êtes un prophète. "
J'ai dit : " Je n'ai jamais dit que je l'étais, n'est-ce pas ? "
100 Il a dit : " Mais eux croient que vous l'êtes. Pourquoi n'enseignez-vous pas à ces femmes comment recevoir le Saint-Esprit, et comment recevoir des dons, et faire quelque chose, au lieu de les réprimander constamment à cause de leur habillement, et ce qu'elles font. Pourquoi ne leur enseignez-vous pas ce genre des choses pour les aider ? "
101 J'ai dit : " Comment puis-je leur enseigner l'algèbre, alors qu'ils ne veulent même pas apprendre leur ABC ? " Savez-vous c'est quoi l'ABC ? Always Believe Christ. [Toujours croire Christ.] C'est juste.
102 Bon. Eh bien, comment pouvez-vous le faire ? Comment pouvez-vous le faire ? On dirait qu'ils sont sous pression, quelque chose les empêche de le faire. Ça en fait une Sodome moderne. C'est l'heure dans laquelle nous sommes, ce sont des choses affreuses qui se passent dans le pays aujourd'hui.
Et il a dit : " Eh bien, écoutez. "
103 J'ai dit : " Non. Je n'ai point de programmes à parrainer. Je n'ai aucune église qui me chassera. Non, monsieur. "
Et j'ai dit... Il a dit : " C'est au pasteur de le faire. "
J'ai dit : " Mais ils ne le font pas. "
104 Alors, ça revient à quelqu'un; une voix doit s'élever contre cela, car c'est faux. Certainement, c'est faux. Révérez, respectez cela.
105 Une autre jeune dame m'a dit une fois, elle a dit : " Monsieur Branham, on ne confectionne que ce genre d'habits. "
106 J'ai dit : " On vend toujours des tissus, et on a des machines à coudre. " C'est juste.
107 Permettez-moi de vous dire quelque chose, madame. Vous pourriez être aussi pure et vertueuse que possible. Vous pourriez être tout aussi fidèle que possible envers votre mari, votre ami. Mais un de ces jours, à la barre du Jugement, vous allez répondre pour avoir commis adultère.
" Même si je ne suis pas coupable ? "
108 Vous êtes coupable. Jésus a dit : " Quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis adultère avec elle dans son coeur. "
Quand ce pécheur qui vous a regardée comme cela et a eu ces pensées à votre sujet, aura à répondre pour cela au jour du jugement... Et pourquoi a-t-il fait cela ? C'est vous qui vous êtes exposée à ses yeux, toute entortillée dans une espèce de vêtement et des choses semblables. Exact. C'est une honte. Vous aurez à répondre, madame.
109 Et vous hommes qui vous dites chrétiens, qui devriez conduire votre foyer, mais qui laissez vos femmes faire cela, repentez-vous, sinon votre foyer tout entier périra.
110 Il se peut que vous ne m'aimiez plus après ceci, mais je vais vous dire la vérité, car mes mains seront pures de sang, quand je comparaîtrai à la barre du jugement. C'est une chose certaine, voyez.
Ecoutez, frère. Il y a toujours une voix qui accompagne le signe, vous savez, et vous feriez mieux de l'écouter. Pas la mienne, mais c'est ce que dit la Bible. C'est juste. Oh ! Je sais que ça a l'air vieillot, mais c'est juste ce que dit la Bible. Et c'est ce que nous sommes censés être.
Les anges doivent se couvrir la face pour se tenir dans la Présence de Dieu.
111 Et les femmes, comme dit la Bible, que ce n'est pas indécent, ou plutôt c'est indécent, pour une femme de prier même avec les cheveux coupés, elle n'a pas le droit de prier. Mais vous la mettez dans la chorale, et même vous en faites un prédicateur. C'est juste.
112 Je sais que ça vous donne un peu de nausée, mais vous savez, comme maman me le disait au sujet de prendre l'huile de ricin : " Si ça ne te donne pas la nausée, ça ne te fera pas de bien du tout. " C'est pareil avec l'Evangile. Cela doit vous amener à réfléchir. C'est la vérité. Les hommes et les femmes sont tous... tous coupables. Les deux côtés, c'est du pareil au même.
113 C'est exactement cela notre situation.
Irrévérencieux. Peu importe ce que dit la Parole. " Eh bien, c'est très bien. Je crois que c'est très bien. " Vous présumez que c'est très bien. La Bible dit que c'est faux. Et présumer, c'est s'aventurer sans aucune autorité. Dieu ne vous a pas autorisé à le faire.
114 Ces séminaires, ces écoles et autres qui passent par-dessus ces choses comme cela, c'est une disgrâce ! Cela place des jeunes hommes, des jeunes ministres sur la mauvaise piste, cela les égare et leur fait suivre une espèce de théologie faite de mains d'hommes au lieu de la Parole de Dieu.
Ce n'est pas étonnant qu'ils ne puissent pas croire un véritable et authentique Message. Ce n'est pas étonnant qu'ils ne puissent pas avoir ces choses dans l'église. Ce n'est pas étonnant qu'ils aient eu à les mettre dehors dans les derniers jours. Pas de révérence dans Sa Présence. Sa Présence peut descendre, et ils riront, ils feront éclater le chewing-gum, ils marcheront çà et là, se comportant comme je ne sais quoi. Point de révérence du tout dans Sa Présence.
115 Bon. Eh bien, pas du tout de révérence pour Dieu ou pour Son peuple. Pourquoi ? Pourquoi font-ils ceci ? Maintenant, écoutez attentivement. Pourquoi font-ils cela ? Ils ne sont pas conscients de Sa Présence. Ils ne pensent pas que c'est Dieu.
116 Pensez-vous que cette femme aurait vraiment... ou plutôt que ces soldats L'auraient frappé au visage, auraient mis un lambeau sur Son visage, l'auraient frappé à la tête et dit : " Maintenant, si Tu es prophète, dis-nous qui t'a touché " ? Si cet homme savait que c'était Dieu qu'il frappait, pensez-vous qu'il l'aurait fait ?
Pensez-vous que ce soldat ivre Lui aurait arraché la barbe du visage et Lui aurait craché au visage, aurait... se serait raclé la gorge et craché sur ce visage s'il avait su que c'était le Fils de Dieu ? Il n'en était pas conscient.
117 Et aujourd'hui, ce que les gens taxent de bande de fanatiques, ce sont des gens dans lesquels le Saint-Esprit oeuvre, ils n'en sont pas conscients. Ils passent tout simplement à côté de tout, inconscients de cela, inconscients de Sa Présence. Vous savez, c'est comme le dit le vieux dicton. Certains disent : " Je vais à la réunion et je ris bien, je vais à la réunion pour trouver des fautes. "
Il est dit que l'insensé marche avec des souliers cloutés là où les anges craignent de poser les pieds. Ils ne sont pas conscients que c'est Dieu, voilà la raison.
118 Pourquoi n'êtes-vous pas comme David ? David a dit : " Je Le mets constamment sous mes yeux. " C'est la raison pour laquelle il a dit : " Je ne chancellerai pas ", que Dieu est toujours sous ses yeux. Oui, monsieur.
119 Maintenant, deuxièmement, ils se couvraient les pieds. Que signifiait " ils se couvraient les pieds " ? L'humilité. Se couvrir la face représentait la révérence dans la Présence de Dieu; se couvrir les pieds, c'était l'humilité dans Sa Présence.
120 C'est comme Moïse qui, dans Sa Présence, a ôté ses souliers ; il a découvert ses pieds.
121 Paul, quand il a trouvé Jésus, la Colonne de Feu, il est tombé par terre, il est tombé. Là où devraient se trouver ses pieds, c'est là qu'il avait la face. L'humilité.
122 Jean-Baptiste, ce grand prophète, le premier dans le pays depuis quatre cents ans, a dit : " Je ne suis pas digne de toucher Ses pieds, de délier la courroie de Ses sandales. "
123 Vous voyez ? Celles qui couvraient ses pieds représentaient l'humilité.
Observez maintenant ce serviteur, dans la Présence de Dieu : sa face couverte par révérence, ses pieds couverts par humilité. Oui, vraiment conscient de... soyez vraiment conscient de votre petitesse.
124 Chacun de nous cherche à être quelqu'un de grand. " Je suis docteur Untel, le grand Untel. " Vous n'êtes rien. C'est juste. Ce n'est que... Vous n'êtes rien. Si vous voulez savoir combien vous êtes grand, plongez votre doigt dans un étang d'eau et retirez-le, retrouvez le trou créé par le doigt. Vous voyez ? Il n'y a rien là. C'est ce que nous sommes. Dieu peut se passer de nous; mais nous ne pouvons pas nous passer de Lui. Qui êtes-vous ?
125 Voyez, soyez conscients de votre petitesse. La voie vers le haut est le bas. Celui qui s'humilie sera élevé; celui qui s'élève sera abaissé.
126 Il n'y a pas longtemps, j'ai été invité à Chicago par un groupe des saints pour prêcher. Il y avait là un certain grand ministre pentecôtiste qui avait environ quatre diplômes universitaires, et tout. Et celui-ci n'aimait pas ma petite façon de prêcher de novice, là, devant ce grand conseil qu'ils allaient tenir. Ils ont donc fait venir là un homme d'une école biblique, d'une grande école biblique de Chicago, pour qu'il parle. Et cet homme lui a alors dit ce qu'il ferait : " Viens, va là, minimise ces gens sur presque tout ce qui leur viendrait en tête, combien ils avaient tort de croire qu'il existe un Saint-Esprit, et toute cette histoire comme cela ", devant les pentecôtistes.
Il s'est avancé là, torse bombé, col retourné, en smoking, on dirait, il a étalé toutes ses notes sur la chaire. Il avait si magistralement arrangé cela qu'il pouvait bien expliquer la Bible, et Dieu n'en savait rien.
127 Et, bien vite, vous savez, vous... Il a vu que ça ne tenait pas, le peuple ne saisissait rien. Il continuait à dire l'une ou l'autre chose comme cela, et les gens étaient tout simplement assis à se regarder. Ça n'arrangeait pas ce genre de gens, ces pentecôtistes Alors, peu après, il s'est rendu compte qu'il était dégonflé, et il a pris ses histoires sous le bras, il a quitté l'estrade, la tête baissée. Et un vieux saint qui était assis là vers le mur a dit : " S'il était monté tel qu'il est descendu, il serait descendu tel qu'il est monté. " Et c'est pratiquement aussi comme ça.
128 Humiliez-vous ! Voyez combien vous pouvez devenir petit. Pas ce que vous savez; ce que vous ne connaissez pas. Humiliez-vous devant Dieu.
Nous voyons maintenant, en troisième lieu, qu'il pouvait voler avec les deux autres ailes.
129 Maintenant, suivez. Premièrement, il était révérencieux dans la Présence de Dieu, ayant la face couverte. Deuxièmement, il était humble devant Dieu, ayant ses pieds couverts. Et avec les deux autres ailes, il pouvait voler, se mettre en action. Oh ! la la !
130 Que faisait Dieu ? Il montrait au prophète comment Ses serviteurs préparés doivent être. Dieu montrait : " Ceux-ci sont Mes serviteurs. Ils sont à Moi. Regarde comment ils sont préparés : révérencieux, humbles et en action pour Dieu. " C'est ainsi que sont les serviteurs de Dieu. Oh ! la la !
131 C'est ainsi que nous devons être : révérencieux, humbles et en action.
132 C'est comme la femme, quand elle fut appelée à l'action, elle est venue quand elle a dit : " Venez voir un homme qui m'a dit ce que j'ai fait. "
133 Son signe l'a influencée, comme quoi Il était le Messie. Elle a dit : " Seigneur, nous savons que lorsque le Messie sera venu (eh bien, Tu dois être un Prophète), nous savons que lorsque le Messie sera venu, Il nous dira ces choses. "
134 Vous voyez ? Elle s'attendait à ce qu'Il lui dise : " Eh bien, le Messie vient bientôt. Je suis juste Son précurseur. "
Mais Il a dit : " Je Le suis. "
135 Cela l'a mise immédiatement en action. Elle est entrée en action. On ne pouvait pas l'arrêter. C'est comme une maison en flamme, comme je l'ai dit l'autre soir, par un jour de grand vent. On ne pouvait pas l'arrêter. Elle est entrée dans la ville.
" Venez voir un Homme qui m'a dit ce que j'ai fait. Ne serait-ce pas là le Messie ? " Voyez, elle était en action. Qu'a-t-elle fait ? D'abord, elle s'est approchée, elle s'est humiliée.
" Donne-moi à boire. "
136 Elle a dit : " Eh bien, nos pères ont bu de ce puits ", et ainsi de suite. Et-et elle...
137 Il a dit : " Eh bien, Moi, Je vais te donner de l'eau à boire. Tu n'es pas venue ici... "
Elle a dit : " Seigneur, Seigneur, donne-moi de cette eau. "
138 Voyez, elle était humble à ce sujet. Et c'est quand elle s'est humiliée que Jésus lui a montré le signe du Messie, et cela l'a mise en action. Elle était alors prête à aller. Elle était prête à le dire à quiconque entrait en contact avec elle.
139 En fait, selon les traditions en Orient, ces hommes n'auraient jamais écouté cette femme. Une telle femme n'a pas droit à la Parole parmi les gens. Certainement pas. Elle ne peut rien dire. Mais essayez de l'arrêter ! Elle était en action. Elle devait le dire à quelqu'un. " Venez ici voir vous-même. Cet Homme m'a dit ce que j'ai fait. N'est-ce pas là ce que nous attendions ? N'est-ce pas là ce que les Ecritures disent que le Messie ferait quand Il viendra ? " Elle était en action, car elle s'était humiliée, et Dieu était entré en elle.
140 Pierre. Quand il a accepté Sa Parole, après qu'il avait pêché à la seine toute la nuit, comme il était un pêcheur, là-bas, il est rentré, découragé, sans poissons. N'importe quel bon pêcheur sait ce que ça représente, ne pas avoir des poissons. La chose suivante alors, il a nettoyé ses filets, les a étendus sur la rive, et les laissait sécher.
141 Et Jésus est venu et a demandé d'emprunter son bateau. Il a prêché. Ensuite, Il a dit : " Simon, avance en pleine eau, et jette tes filets pour la pêche. Retourne droit là où tu as péché à la seine toute la nuit. Retourne droit là où tu as travaillé durement heure après heure, et jette ton filet pour une grande pêche, une grande prise. "
142 Maintenant, regardez. Il a dit: " Seigneur, nous avons durement travaillé toute la nuit sans rien attraper. Mais sur Ta Parole, Seigneur, je vais jeter le filet. " Sur Ta Parole, c'est cela. Prenez Dieu au Mot. Et lorsqu'il a jeté le filet, il a attrapé tellement de poissons que les filets ont commencé à céder.
143 Cela l'a mis en action. Oui, oui. L'influence de Jésus sur lui l'a mis en action, et il a laissé tomber le filet. Et Jésus a dit : " Ne crains point. Désormais, tu seras pêcheur d'hommes. "
144 L'aveugle assis à la porte et... ou plutôt qui était assis dans la rue, quand il était guéri... et que les pharisiens avaient dit que quiconque confesserait Jésus et aurait quoi que ce soit à avoir avec lui, serait chassé du temple.
145 Ils-ils sont venus, ils ont interrogé le père et la mère. Ils ont dit : " Il a de l'âge. Interrogez-le. "
Il a dit : " Un homme appelé Jésus m'a guéri. "
146 Ils ont dit : " Cet homme est un pécheur. Il n'appartient pas à nos groupes. Nous ne savons d'où Il vient. Donne gloire à Dieu. "
147 Il a dit : " Eh bien, s'Il est un pécheur ou pas, moi, je ne sais. " Il a dit : " Mais je sais une chose, c'est que j'étais aveugle et que maintenant je vois. " Et il a dit : " La chose étrange pour moi est que vous qui êtes censés être les conducteurs spirituels de cette heure... Et cet Homme m'a ouvert les yeux ; et pourtant, vous ne savez pas d'où Il vient. "
Qu'a-t-Il fait ? Il est entré en action. C'est vrai. Cela l'a mis en action. En effet, il a répandu Sa renommée dans toute la contrée.
148 Les gens, le jour de la Pentecôte, après Jésus leur a dit d'attendre là-haut et qu'ils seraient... est descendu, et quand le Saint-Esprit est descendu sur eux le jour de la Pentecôte, ils furent alors influencés par la Parole de Dieu rendue manifeste. Maintenant, souvenez-vous, Jésus avait dit : " Attendez à Jérusalem jusqu'à ce que vous soyez revêtus de la puissance d'En Haut. "
Ils ont attendu, pas huit jours, pas neuf jours. Ils ont attendu dix jours, jusqu'à ce que la promesse fût manifestée, alors le Saint-Esprit descendit et des langues de Feu se posèrent sur chacun d'eux.
149 Et quand ils furent influencés par le Saint-Esprit, ils entrèrent en action, titubant comme des hommes ivres, criant, parlant en langues. Ils sont sortis dans la rue.
Les gens ont dit : " Ces hommes sont pleins de vin doux. "
150 Lui, Pierre, se leva et dit : " C'est ici ce qui a été annoncé par le prophète Joël : 'Dans les derniers jours...' "
Qu'est-ce que cela a fait ? Cela l'a mis en action.
151 Cela vous mettra en action. Si vous ne l'avez pas, cela vous mettra en action quand vous verrez la Parole de Dieu accomplie. Ce que nous avons vu dans ces derniers jours devrait nous mettre en action. Cela devrait le faire, si seulement nous le faisons avec révérence et humilité.
La Colonne de Feu, devant Paul, a mis ce dernier en action. Et aujourd'hui, quand nous voyons cette même Colonne de Feu, prouvée par la science, par Ses résultats, par ce qu'Elle a promis, accomplissant exactement la Parole de Dieu dans ces derniers jours, cela devrait nous mettre en action. C'est le signe qui a été donné. " Ce qui arriva du temps de Sodome, juste avant que Sodome soit brûlée, arrivera de même à la Venue du Fils de l'homme. " Il sera de nouveau manifesté, le même hier, aujourd'hui et éternellement.
Cela devrait mettre chaque membre du Corps de Christ en action, y incluant tout ce que vous pouvez, car celle-ci est la dernière heure, c'est le dernier appel, le dernier appel. Cela s'est accompli à la lettre. Cela devrait certainement nous mettre en action.
152 Nous, comme le prophète, nous avons vu le sort des dénominationnels prétentieux : ils ont perdu leur place en Christ, ils ont perdu l'emprise qu'ils avaient sur Sa Parole, en acceptant des credos. Et nous avons vu ce qui leur est arrivé quand ils ont fait cela. Ils sont spirituellement morts. Nous voyons ce qui est arrivé aux luthériens quand ils ont refusé l'appel de Wesley. Nous voyons ce qui est arrivé aux méthodistes quand ils ont refusé l'appel des pentecôtistes. Aujourd'hui, qu'en est-il des pentecôtistes ? Voyez-vous ?
153 Nous avons vu des hommes qui se sont enflés eux-mêmes, du genre d'Ozias, et qui ont cherché à exercer un office oint.
L'office d'un homme dans l'église est oint. Ce n'est pas par nomination. Il est oint. L'église, le-le pasteur, l'évangéliste, le prophète, l'apôtre doivent être des offices oints de Dieu, non pas élus par l'homme. Des hommes ont une fois essayé de nommer par élection à cet office. Ils ont jeté le sort pour cela; le pauvre Matthias n'a jamais rien fait, mais Dieu a choisi Paul. Et lui, il a fait quelque chose, parce qu'il était oint.
Et nous avons vu ces officiels oser dire : " C'est le saint évêque Untel, c'est un ceci de district, c'est un cela. " Cela n'aboutit à rien, jamais. Mais quand Dieu vient prendre le contrôle, nous voyons alors l'onction du Saint-Esprit confirmer la Parole de Dieu.
154 Maintenant, l'impact de la vision sur le prophète, qu'a-t-elle fait à cet homme qui était né prophète ? Souvenez-vous, il a écrit la Bible entière. Le Livre d'Esaïe compte soixante-six livres, et la Bible compte soixante-six livres. Ça commence comme dans la Genèse. Au milieu du Livre, il y a le Nouveau Testament, Jean-Baptiste; et ça se termine par le Millénium. Un grand prophète. Esaïe était l'un des plus grands prophètes que nous ayons jamais eu, et il était né à cette fin.
155 Mais quand il s'est tenu dans la Présence de Dieu, qu'est-ce que cela a fait faire au prophète ? Le prophète a dit : " Malheur à moi ! car je suis un homme dont lèvres sont impures. " Entrer dans la Présence de Dieu, et voir un vrai vase de Dieu oint, cela a amené le prophète à confesser qu'il était un pécheur. Ça devrait être pareil pour nous. Cela le devrait, la Présence ointe de Dieu.Quand Il l'a vu crier et les fondements être ébranlés, et ces anges allant çà et là prouvant qu'ils étaient devant Dieu, et ils étaient les serviteurs de Dieu, oints, alors il a crié; il était un pécheur.
156 Qu'arriva-t-il alors quand il fut prêt ? Maintenant, suivez, alors que nous terminons. Il était prêt à confesser qu'il était un pécheur: " Malheur à moi ! car je suis un homme dont les lèvres sont impures, et j'habite au milieu des gens dont les lèvres sont impures. Malheur à moi ! ". Alors, l'ange a pris les pincettes. Et il a pris une pierre sur l'autel, il l'a tenue dans ses mains, il est venu et l'a purifié avec. Alors vint la purification, après sa confession.
157 Si donc un prophète, appelé, confirmé comme prophète de Dieu, une fois dans la Présence de Dieu, il a vu sa petitesse, il était prêt à confesser qu'il était un pécheur, que devrons-nous faire, vous et moi ? Mais savez-vous ce que nous faisons ? Nous détournons la tête, nous partons en riant. C'est dans cet état que nous sommes, jusqu'à ce que la purification ait lieu.
Regardez, Esaïe...
158 Je voudrais que vous remarquiez autre chose. Dieu n'a pas utilisé des manuels, la théologie et des terminologies théologiques pour purifier Son serviteur. Il a utilisé le Feu. Il n'a jamais utilisé des credos pour purifier Son serviteur; Il a pris du feu sur l'autel. Et si jamais Dieu a purifié un homme aujourd'hui, ça doit être par le Feu du Saint-Esprit qui purifie l'homme, pas la lecture d'un manuel, ni faire ceci, ou un certain autre ouvrage écrit par Untel.
159 Un certain grand ministre ici en Californie a dit, l'autre jour, qu'il avait " le livre de l'année ". Je ne partage pas son avis. Le Livre de l'année, c'est la Bible, Elle l'a toujours été. Le Livre de l'année, c'est le Livre de Dieu, toujours.
160 Donc, Dieu a utilisé le Feu pour purifier Son serviteur. Puis a suivi, après qu'il eut humblement confessé qu'il avait tort, et puis a suivi la purification. Et après, la purification a suivi ; enfin, la commission. Vous voyez ? Voilà le problème. Certains d'entre nous, cherchent à être commissionnés avant d'être purifiés. Voyez ? Nous dirons: " Eh bien, je vais suivre ceci. " Nous devons suivre Dieu. Ces anges faisaient une seule chose : ils vivaient dans la Présence de Dieu, humbles, révérencieux, et en action devant Dieu. Puis a suivi la commission, après la confession et la purification. C'est alors qu'Esaïe purifié a crié : " Me voici. Envoie-moi. "
161 Oh ! frère, soeur, si jamais il y a eu un temps où les Esaïe devraient descendre à la Maison de Dieu pour être purifiés, si jamais il y a eu un temps où le membre d'église devrait vraiment venir confesser ses péchés, si jamais il y a eu un temps où le rétrograde...
162 Pensez-y donc, la nuit où Sodome fut brûlée, je me demande combien de gens s'étaient éloignés du Message de ces anges. Je me demande combien de gens n'étaient pas assez intéressés à écouter leur voix. Et ils ont péri cette nuit-là même, et ils ne seront plus jamais, si ce n'est pour leur châtiment en enfer.
163 " Ce qui arriva du temps de Noé. " Combien de gens se sont moqué de lui et l'ont raillé ? Ils n'y allaient que pour entendre son... ils disaient : " Nous allons monter écouter encore ce vieil excentrique gueuler, juste pour nous amuser. " Ils sont montés, ils sont allés, ils ne voulaient même pas l'entendre prêcher. Toutes sortes de choses. Et ils ont péri dans les jugements qu'il annonçait dans ses prédications.
164 Amos, ce petit prédicateur, on le sait, venu de nulle part, un prophète oint, il est venu et a baissé le regard sur Samarie cette fois-là, avec sa calvitie étincellante, sa barbe grisonnante, il traversait la colline. Il a baissé le regard. Ses saints yeux se sont rétrécis alors qu'il regardait cette ville, non pas comme les touristes venus de partout dans le monde. En effet, les sacrificateurs, eux tous, avaient péché. Les faux prophètes leur disaient que tout était en ordre. Il est descendu là, sans aucune collaboration pour son réveil. Il est descendu là sans rien et a crié. Il a dit : " Le Dieu même que vous prétendez servir va vous détruire. "
165 Et moi, je dis : " AINSI DIT LE SEIGNEUR, le Dieu que l'Amérique prétend servir va la détruire. " Prenez cela comme vous voulez. Ce qu'il nous faut, c'est nous agenouiller à l'autel, Esaïe... [Espace vide sur la bande - N.D.E.]
Et Dieu a dit : " Qui ira pour Moi ? "
166 Esaïe a dit : " Me voici. Envoie-moi. " Je pense à ce cantique :
Quand la pierre ardente toucha le prophète,
Le rendant aussi pur que possible,
Quand la Voix de Dieu demanda : " Qui ira pour nous ? "
Alors, il répondit : " Maître, me voici, envoie-moi. "
167 Premièrement, il devait s'humilier, être purifié, être prêt, comme nous l'avons vu pour le serviteur préparé. Considérez Ozias, comment il était préparé, mais il a failli. Ne mettez pas...
168 Vous direz : " Eh bien, bon, je sais que Docteur Untel est un homme de bien. Je connais frère Untel... " Peut-être qu'ils le sont, mais ne regardez pas à cela.
169 Levez les yeux ici, en haut, voyez. La Voix est ici, Dieu a une façon de préparer. Comment s'y est-Il pris ? Le jour de la Pentecôte, Pierre leur a dit quoi faire. Il leur a prescrit une ordonnance, et elle demeure toujours la même. Ne la trafiquez pas. Vous tuerez votre patient. Ils ont demandé : " Que pouvons-nous faire pour être sauvés ? "
170 Il a dit : " Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom du Seigneur Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. "
171 Cela est ici même, ce soir. Puisque Dieu continue à appeler, voilà l'ordonnance. Vous pouvez encore recevoir le même Saint-Esprit qu'eux jadis, juste... Vous pouvez recevoir la même chose ce soir. Suivez bien jusqu'au bout. C'est tout ce que vous faites. Oui. Alors, vous pouvez dire :
Quand la pierre ardente toucha le prophète,
Le rendant aussi pur que possible,
Quand la Voix de Dieu demanda : " Qui ira pour nous ? "
Alors, il répondit : " Maître... voici, envoie-moi. "
Chantons cela.
Parle, mon Seigneur, parle, mon Seigneur,
Parle et je Te répondrai vite;
Parle, mon Seigneur, parle, mon Seigneur,
Parle et je répondrai " Seigneur, envoie-moi. "
172 Ecoutez ceci, frère.
Des millions se meurent aujourd'hui dans le péché et la honte;
Oh ! Ecoutez leurs cris tristes et amers;
Hâtez-vous, frère, hâtez-vous à leur secours ;
Répondez vite maintenant : " Maître, me voici. "
Oh ! Parle, mon Seigneur, parle, mon Seigneur,
Parle et je Te répondrai vite;
Oh ! Parle, mon Seigneur, parle, mon Seigneur,
Parle et je répondrai : " Seigneur, envoie-moi. "
173 Inclinons la tête. [Frère Branham se met à fredonner Parle, mon Seigneur. - N.D.E.]
Le rendant aussi pur que possible,
Quand la Voix de Dieu demanda : " Qui ira pour nous ? "
Alors, il répondit : " Maître... voici, envoie-moi. "
Voulez-vous être humble et purifié ?
Parle, mon Seigneur, parle, mon Seigneur
Parle et je Te répondrai vite;
Parle, mon Seigneur, parle, mon Seigneur,
Parle, et je répondrai : " Seigneur, envoie-moi. "
174 Maintenant, pendant qu'on joue, y a-t-il un Esaïe ici ce soir, ou une centaine, qui aimerait aller, qui a besoin de la purification de Dieu dans sa vie ? Vous qui ne connaissez pas Christ comme votre Sauveur, vous êtes maintenant invité à l'autel, s'Il parle à votre coeur. Je ne suis pas très fort en persuasion. Je pense que c'est le Saint-Esprit Lui-même qui persuade. Mais si vous êtes ici, et que vous êtes sans Christ... Maintenant, souvenez-vous, vous répondrez au jour du Jugement pour ce que vous en faites ce soir. Voyez ?
Maintenant, si vous voulez venir, je suis ici pour prier avec vous.
175 Au Nom de Christ, je vous offre l'occasion de venir chercher Dieu. Vous pourrez, par bonheur, Le trouver. Jeunes, vieux, personnes d'âge moyen, membres d'église, qui que vous soyez, si le Feu de Dieu, par le Saint-Esprit, ne vous a pas purifié le coeur, au point de croire chaque Parole de cette Bible, et que Christ est le témoin vivant de votre... dans votre coeur, comme quoi Il est ressuscité des morts, alors, je vous invite à l'autel. Venez ici, et que nous priions avec vous.
Je crois que vous tous donc, à voir ce que vous faites, vous êtes sauvés.
176 Alors, y a-t-il un rétrograde ici qui voudrait venir ? Je vous demande en tant qu'un serviteur de Christ, de bien vouloir venir ici et nous laisser prier avec vous. Je ne dis pas qu'Il vous ramènera (je crois qu'Il le fera). Ne voudriez-vous pas venir essayer cela maintenant ? S'Il vous parle, venez.
177 Ceux qui n'ont pas le baptême du Saint-Esprit. Je suppose qu'il n'y en a pas un seul qui ne l'ait pas, qui ne soit pas rétrograde. Donc, c'est qu'on doit avoir prié pour tous ; ce sont des chrétiens, on a prié pour eux.
Et alors, si l'on a prié pour vous, et que vous n'avez pas reçu le baptême, et que vous voulez que Dieu vous Le donne, alors, c'est votre occasion maintenant.
178 Il y a un seul homme ici qui ne L'a pas. Que son humble coeur soit béni. Je crois que c'est un autre Esaïe.
Maintenant, redressez donc vos têtes.
179 Il n'y a qu'un seul homme à genoux ici à l'autel, un homme qui, je crois, est un Esaïe. Maintenant, Il est ici. Croyez-vous qu'Il est ici ?
180 Maintenant, je vais vous dire ce que vous avez fait. Vous avez commis l'erreur la plus horrible que vous ayez jamais commise. Il y a ici deux ou trois cents personnes qui devraient être à l'autel.
181 Permettez-moi de vous montrer, au Nom du Seigneur, que ce que je dis est vrai.
Regardez. Certains d'entre vous qui êtes ici, priez.
182 Voici, voici une dame assise ici en manteau blanc, en petite veste blanche, elle regarde droit vers moi. Je ne peux pas... Elle est une chrétienne. Mais elle prie pour une infirmité. Elle souffre de l'arthrite. Croyez-vous que Dieu peut vous rétablir, vous guérir ? Alors, vous pouvez obtenir cela.
183 L'homme à côté, assis là à côté de vous, a quelque chose qui cloche à ses oreilles. Croyez-vous que Dieu peut guérir votre mal d'oreille, monsieur, et vous rétablir ? Oui. Levez la main, si vous croyez.
Maintenant, s'il vous plaît, soyez révérencieux juste un instant.
184 L'homme qui est juste à côté de lui souffre d'une maladie de coeur. Croyez-vous que Dieu peut vous guérir, monsieur, de cette maladie de coeur ? Je ne vous connais pas. Vous m'êtes inconnu. Est-ce vrai ? Vous êtes un étranger. Eh bien, écoutez. Si Dieu peut me dire qui vous êtes, cela vous aidera-t-il ? M'entendez-vous bien ? Votre nom est monsieur Blackwood. Croyez-vous qu'Il peut me dire d'où vous venez ? Vous venez de Riverbank, en Californie. Si c'est vrai, levez-vous. Je ne l'ai jamais vu de ma vie. Très bien.
185 Que Dieu vous bénisse, monsieur. Votre foi vous a guéri.
Cette femme, assise là juste à côté de vous, souffre des nerfs. Voulez-vous être guérie de votre nervosité ? Levez la main, si vous le voulez. Imposez-lui la main, monsieur, afin qu'elle soit guérie.
186 La dame assise juste à côté de vous, là, en robe rouge, elle souffre de diabète sucré. Elle veut qu'on prie aussi pour elle. Voyez ? Elle veut qu'on prie pour elle. Ayez foi.
187 Voici une dame assise là tout au fond. Elle est sur le point de subir une opération. Si seulement elle peut... ô Dieu ! Elle a un affaissement de la matrice. Son nom, c'est madame Maxwell. Croyez. Levez-vous, acceptez votre guérison, madame. Vous n'avez pas de carte de prière, n'est-ce pas ? N'avez-vous pas de carte de prière ? Très bien. Vous n'en avez pas besoin. Levez la main, si c'est vrai. Je ne vous connais pas. Si c'est vrai, faites signe de la main. Nous ne nous connaissons pas l'un à l'autre. Faites signe de la main comme ceci. Qu'a-t-elle touché ? Elle ne m'a point touché.
188 Monsieur Stewart, voulez-vous aussi être guéri de la nervosité ? Et croyez-vous que Dieu va vous guérir ? Je vous suis inconnu. Mais c'est là votre nom, et vous souffrez de nervosité. C'est à peine si vous pouvez vous contenir. Levez-vous et acceptez votre guérison, au Nom de Jésus-Christ.
189 Voici une dame assise là derrière vous. Elle souffre aussi de nervosité. Elle a un mal des muscles, dans le corps. Elle va rater cela si... Madame Newell, levez- vous si c'est cela votre nom. Et si c'est qui vous êtes, croyez. [La soeur pousse un cri fort. - N.D.E.] Croyez-vous ? [L'assemblée dit : " Amen. " - N.D.E.]
190 Certainement. Voici une dame assise juste ici. Elle souffre d'une maladie de coeur et de l'hypertension. Croyez-vous que c'est vrai, soeur ? Levez-vous, si c'est vrai.
191 La dame assise là à côté de vous, elle a mal à la poitrine. Si c'est vrai, levez-vous.
192 Dites à la dame qui est à côté d'elle qu'elle a des grosseurs au visage, on dirait de petites tumeurs. Si elle veut en être guérie, dites-lui de se lever et d'accepter cela.
193 Maintenant, il y a un groupe parmi vous ici qui devrait se retrouver à l'autel, en train de chercher le Saint-Esprit. C'est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Voyez-vous ce que je veux dire ? Je vais encore une fois faire cet appel. Ça, ça confirme que je vous dis la vérité. Dieu parle aux gens ici, et vous avez un petit peu de doute. Serez-vous assez sincère pour lever la main et dire : " Oui, Frère Branham, j'ai toujours été un peu indécis. Je veux davantage de Dieu. Je sais qu'il me manque quelque chose ici dedans, et je devrais l'avoir eu quand j'avais confessé avoir le baptême du Saint-Esprit. "
Levez la main. Voulez-vous le faire ? Soyez vraiment sincère avec vous-même. Le Saint-Esprit ne se trompe jamais. Pourquoi ne venez-vous donc pas ici pour dissiper ce doute ? Venez.
Je... vite...
Parle, mon Seigneur, parle, mon Seigneur, (c'est ça)
Parle, et je Te répondrai vite...
194 Vous voyez, je ne vous dis rien de faux, mes amis. C'est le Saint-Esprit qui appelle. Il y en a des centaines ici. Si vous croyiez que je suis un prophète... Maintenant, souvenez-vous, je vous le dis au Nom du Seigneur, vous avez été séduits. Venez.
La pierre ardente toucha le prophète,
Le rendant aussi pur que possible,
Quand la Voix de Dieu demanda : " Qui ira pour nous ? "
Alors, il répondit : " Maître... voici, envoie-moi. "
195 Ne voudriez-vous pas dire la même chose ? Alors, levez-vous, levez les mains.
Parle, mon Seigneur, oh ! parle, mon Seigneur,
Parle, et je Te répondrai vite;
Parle, mon Seigneur,...
196 Que fait-Il ? Répondez-Lui donc, si c'est Lui qui parle. S'il y a un peu de doute quelque part, c'est que vous n'en êtes donc pas sûr, ne courez pas le risque.
... Seigneur, envoie-moi. "
Oh ! parle, mon Seigneur, (Il est en train de parler, venez)... mon Seigneur,
Parle, et je... vite...
197 Maintenant, amis, je ne suis pas sujet au fanatisme. Je ne suis pas enclin à dire des choses fausses. Je me sens conduit, quand je dis ce que je dis.
... mon Seigneur,
Parle, et je répondrai...
198 Vous direz : " Que diront les gens à ce sujet ? " C'est ce que Dieu dira à ce sujet qui compte.
Envoie-moi.
Parle, mon Seigneur, (c'est bien)
Parle, et je Te répondrai vite;
... mon Seigneur, oh ! parle, mon Seigneur
Parle et je répondrai : " Seigneur, envoie-moi. "
Des millions se meurent aujourd'hui dans le péché et la honte;
Oh ! Ecoutez leurs cris tristes et amers ;
Hâtez-vous, frère, hâtez-vous à leur secours ;
Oh ! répondez vite : " Maître... voici, envoie-moi. "
Oh ! Parle, mon...
199 Maintenant, vous tous ici présents, nous voulons nous apprêter pour un grand service de guérison pour demain, aussi. Et j'aimerais que chacun de vous ministre vienne à côté de ces gens qui cherchent le Saint-Esprit. Ne vous arrêtez pas juste dans cinq minutes, restez là jusqu'à ce que (Jusque quand ?) jusqu'à ce que le Saint-Esprit vienne.
... mon Seigneur,
Oh ! parle, et je...
200 Maintenant, que l'assistance, là... imposez les mains à quelqu'un d'autre et imposez-vous simplement les mains, à quelqu'un, vous qui allez prier, qui représentez ces gens qui sont ici.
... mon Seigneur,
201 Eh bien, les allées sont bondées; l'autel est plein, il y a environ cent cinquante, deux cents personnes.
... mon Seigneur,
Parle, et je répond...
202 Maintenant, mettez-vous à prier. " Seigneur, envoie-moi. Parle, mon Seigneur ! Seigneur, envoie-moi. "
203 Guéris ces gens, Seigneur, au Nom de Jésus-Christ. Ô Seigneur, accorde-le ! Ô Dieu, exauce les prières de ces gens !
204 Ne lâchez pas, restez là même jusqu'à ce que cela arrive. Restez jusqu'à ce que vous entendiez le cri de Dieu. Restez jusqu'à ce que les chérubins vous secouent, que le Saint-Esprit ait pris la pierre ardente sur l'autel de Dieu, et qu'Il la pose sur vos lèvres.
205 [Frère Branham appelle frère Roy Borders à la chaire. - N.D.E.]
Parle, mon Seigneur, parle, mon Seigneur...
1 That's right. I think we ought to stand when we read His Word. Don't you think so? So let's stand just a moment as we read His Word. I'm reading tonight for a Scripture lesson found in the Book of Isaiah the 6th chapter. Listen closely,
In the days of the king Uzziah died I saw also the Lord setting upon a throne, high... lifted up, and his train filled the temple.
Above it stood the seraphims: each one had six wings; with twain he covered his face, and with twain he covered his feet, and with twain he did fly.
And one cried unto the other, and said, Holy, holy, holy, is the Lord God of hosts: the whole earth is full of his glory.
And the posts of the door moved at the voice of him that cried, and the house was filled with smoke.
Then said I, Woe is me! for I am undone; because I am a man of unclean lips, and I dwell in the midst of a people of unclean lips: for my eyes have seen the King, the Lord of hosts.
Then flew one of the seraphims unto me, having a live coal in his hand, which he had taken with the tongs from off the altar:
And he laid it upon my mouth, and said, Lo, this has touched thy lips... thine iniquity is taken away, and thy sin is purged.
Also I heard the voice of the Lord, saying, Whom shall I send, and whom will go for us? Then said I, Here am I; send me.
2 Let us bow our heads now. Father, woe... We feel the same way as Isaiah felt. Woe is us, for our eyes have seen the King, the Lord of glory. We thank Thee, Lord, that there is a cleansing process tonight, that can touch not only our lips but our hearts and our souls, and cleanse us from all of our uncleanseiness. For it is truly; we dwell among people with unclean lips, and our lips also is unclean. We pray that the great Holy Spirit will come and touch our lips and our hearts with the anointing, the fire of the Holy Spirit from the altar of God, and cleanse us from all of our unbelief and doubts, that He might come in and make His abode with us. For we love Him, and we adore Him, and we worship Him. We pray, Father, tonight if there's any here that hasn't yet had that cleansing touch of the great Holy Spirit, and the fire of God, that this night that this work will be wrought in them, for the Kingdom of God's sake. We ask it in Jesus' Name. Amen. Be seated.
4 Now, we'll try to be out early. I don't want you to miss Sunday School. Now, it's all right for you to miss a day's work; you won't miss that too much. But... Keep you till nine-thirty or something on any other night. But don't miss Sunday School, whatever you do.
5 Now, my subject tonight is "Influences." We want to read this story. We should turn to II Chronicles the 26th chapter and you could read it. This Uzziah was a shepherd boy, and he... II Chronicles 26 tells us he was anointed king at the age of sixteen. And was...?... his father, a godly man. And this man was a good man, having godly parents. He did that which was right in the sight of the Lord.
6 Now, we find that usually... I--I think today, our great problem of what we believe to be juvenile delinquency is a parent delinquent, a home delinquent. Our--our people got away from the things that they--they should've stayed with. The church got lukewarm or cold, and the children got out into the world.
Now, Hollywood puts out lots of movies, and--and televisions, and so forth, that's even uncensored, where they curse and--and use God's Name in--in vain. And it used to be it was wrong for the children in the holiness churches to go to--to--to bioscopes--or picture shows. And now, Satan got one jump ahead by bringing it right into the house in the form of television, and then uncensored and--and so forth. And that's the--Satan's way of gradually entering in.
8 Like the old toboggan slide used to be. Many of you don't remember it, 'cause you're too young. Used to have entertainment for the children. You set down on your toboggan and just move around and around. There's a hole, a chute. And everyone would dare one another, who could go closest to it. And after while, before you knew it, down you went.
That's the way sin is. Don't trifle with it. Don't see how close you can get to it; see how far you can stay away from it. See? Don't take no chance. If you're going to take a chance... I don't want no chance.
10 An old Scotsman one time, they said, was going to cross the mountain. And the carriages was waiting, each man wanting take him across. And he said, "I want the best teamster to take me." One of them said, "Well, I can drive my six head of horses, at a full gallop, within--within ten inches of that rim around that mountain." Fall off, it's death. Said, "I'm a good enough teamster to drive my horses safely around there within ten inches, my wheels, and not fall off."
The other one said, "I can beat that. I can drive within six inches, or four inches, and never fall off."
He said, "What about you, sir?"
He said, "Well, I don't know. I don't like to do that. I--I just hug the bank."
He said, "You take me." That's right. That's the one.
14 It isn't how close you can come, and how well you think you're fortified. Stay just as far away from sin as you can stay. Just get just as far away as you can. Say, "I can do this. There's no harm in doing this." Well, if there's a question in your mind, don't you do it at all. Anywhere there's a question, stay away from it. Then you see, then you're absolutely living by faith if there's no question. If there's a question, then leave it. Don't go around it at all.
15 And I think that many times that it's the parents that get away. I know there's sometimes that the--the schools and things, and Sunday School about a half-hour, or hour, on Sunday morning, and the world has the kids the rest of the week, and cram into them more than a teacher. And many times too many times, the teacher's got a little quarterly that she teaches about while she paints her lips, and fixes her hair, and lets the children do the best they can.
And then at home they get no Christian training at all. Mother's out somewhere to a card party, and dad's down to the bowling alley, and--and sis is out with somebody with a hot-rod, and here you are. See, what... Where did we... Where did we go? You just... It's just... It's--it's terrible. And then we find out that all these things together, junior out beating up and down the street on his motorcycle, and, oh, it's some of them down playing golf, and others playing pool, and it's just--it's something another for entertainment. And the church is let go.
17 Many times then, they--they got a board there. If that pastor would happen to hit a little wire that was--was kind of little contrary, or say something about it, that board would have him up. His name would go up to headquarters, and he'd be excommunicated. So, you see, it's become a meal ticket, and instead of anointed servant to preach the Gospel. See? That's right. It becomes a thing that they want a... It's--it's a meal ticket. They got to stay there, get good pay. Listen, brother. God have mercy upon a man that would sell his birthright for that...?...
We need men that'll handle the Gospel barehanded, not with any kind of a denominational glove on. Just lay it out there the way it's wrote, and--and let the chips fall wherever they want. "If the shoe fits," Mama used to say, "wear it. If it don't trim your corn." Now, so we have those things that we ought to be listening to.
19 Now, this King Uzziah, being such a wonderful child... He had a godly father. His mother came from Jerusalem, and a godly father who was king before him. And that kind of a teaching melted into that boy.
I'm neither Democrat nor Republican. I made one vote, and that was for Christ. And--and He's--He's... I'm going to win on that.
21 Now, I--I think the greatest president though, that we ever had was Abraham Lincoln. Not because he was a Kentuckian too, but it's because that the man come up from nothing. And all the books that man ever owned from the time he was a young boy until he was of age almost, was the Bible and--and Bunyan's "Pilgrim's Progress." See, that molded into him, what that honest Abe, he... What you read, what you do molds your character. It--it tells what you are. And now, you see, he read where if you did wrong, you paid for it, if you did right, God would honor it. And that molded him what he was. And his mother a godly woman too... He said if there's any credit given anybody, it was a godly mother that raised him right. Now, that's made, I think, I'd say at least one, if not the greatest President that we had. He come up from nothing, and God made him President because he was an honest man and a good man.
22 Now, we find that this boy was the same. Having these godly parents, he did that which was right. When he was made king and--and when he was sixteen years old, he ignored all the politics and the popular opinions of his day, and served God with reverence. That made him a real king, to ignore the politics, the modern opinion, and serve God with reverence. That was very good. His kingdom, God blessed it, was so great till it was next to Solomon's. Solomon had the greatest that there was, but this boy was next to Solomon in his kingdom.
It was a--a great help to the young prophet Isaiah. And him being a young chap at that time just coming on. Being born a prophet, he watched the influence that this man had upon the people, and seen where his influence come from, because he trusted God emphatically. And how he noticed again, Isaiah did, how that God will bless them that will be true to God's Word.
24 Now, we realize that this young fellow wanted to stay with the principles of what God said. He kept His laws. His eye wouldn't turn right or left. He stayed right with what the Word said, and God honored him, and blessed him in everything he done, prospered, went right on. What a--what an example that is for any young person.
I think if we had people today, our churches who claim to be Christians, if they would abstain from the things of the world and live that kind of a life, it would influence the younger Christians to do so. But today when they let down, and drink, and smoke, and carry on, and still try to hold their confession as Christianity, that puts a bad stumbling block in other people's way. And it makes it very hard.
26 Remember the Bible said, "You are living, written epistles read of all men." Now, many people won't read the Bible. But God has made you a living representative. You are a walking letter, should be a walking Bible, Christ in you. You should be the walking Word of God. And if you profess to be a Christian and not that, your influence--your--what you're influencing will make you have to answer for many souls that you've turned aside, away from Christ, in that day of the judgment.
I think it behooves us tonight to think about that. For every man, woman, boy, and girl, knows that you're coming to the judgment. You might escape this, that, or the other. You might beat the income tax, and you might escape the Internal Revenue. You might do one thing or another. You might have run over the speed limit, and the cops never catch you. But one day judgment's going to get you. That's certain. It--it...
28 We know that man must die, and after that the judgment. Death's not a hard thing. It's the judgment after death; that's the bad part. And there what you've done on life, and how you've influenced others, you'll have to answer for it in that day.
How much more ought we to set aside every weight and the sin that easily beset us, that we might run with patience this race that's set before us, looking not to the creed, to the denomination, to some other person, but to Jesus Christ, Who is the Author and Finisher of our faith.
30 How we should think them things, friends, sternly and reverently as we see this day approaching, and knowing that any time your life's pages, the book may be closed tonight. And tomorrow will be too late for you to do it. Don't put off what you can do today for tomorrow... For tomorrow may never come. Men and women, boys and girls may be setting here tonight, will be in the morgue before daylight. Surely then, your book is closed, and you'll never have another chance. This may be the last chance that you'll ever have. Think of it seriously. You say, "Well, it probably isn't." I... It probably isn't, but it could be. But remember; someday the book's going to be closed. And what you're doing now...
And especially you people who are claiming to be Christians, separate yourself from the things of the world. Have nothing to do with the world. Shun it. For some person is watching you. Somebody is watching you. And you're going to not only stand yourself there, but going to take them to the bad place, and you're going to have to answer for your influence.
32 How this prophet watched this man and seen that God blessed him, and how--what an influence that was. How that man prospered, what God did for him. He lived a life that was wonderful, blessed of God. And he wouldn't turn right or left.
Now, here we find another example, here in this man, this man Uzziah, a great king who once walked with God. The Bible said when the king felt that he was secured, felt that he was all right, then he was lifted up in his heart with pride.
34 Let me stop here to say this solemnly, my brother, sister. God has made you my audience tonight. I must be dead earnest in what I am saying, and you must listen with dead earnest.
That's what's the trouble with many people today. They think... We have some of our ministering brothers; some of them gets to a spot maybe in big ministries, until they feel secure. We've had the--know this to be true, of many ministers in the land today, begin to drink. Some of them think, "Well, I've got my little kingdom built around me. There's no reason for me... Them people love me so much until they'll never pay any attention if I do this or I do that." Let me tell you, brother, there's One Who is looking, and that's God. No man's secure outside of God.
36 Sometimes that we get to a place we think God blesses us. "He give me a Cadillac; He give me a better job; He give me this." That's no sign that you can't turn His blessings from you.
When you get lifted up and feel, "Well, I once laid all night and prayed. I once did this, and I do that, but I didn't do it any more," you're on dangerous ground.
That's what's the matter with our Pentecostal people. Why, back yonder a long time ago, when we had a little missions down on the corner somewhere, the women with no stockings on, and beating the tambourine down there, had to pray all night and everything. Cops locked you up, and stayed in jail, and so forth. You prayed. The churches, all the denominations, laughed at you and made fun of you. But now, God has lifted you up till you got some of the best churches in the country, a great powerful denomination. You begin to feel secure. Be careful. That's when you get lifted up. Then when God sends something, you can't accept it anymore, because you've already witnessed to this thing. Then you begin to feel secure. That's the time that you're on your road to your fall. That's for denominations does for nations.
39 Look at our nation. Once one of the great moral countries of the world, look at it today. It's the laughing stock of the world, filthier than anything I know of.
When I got off the plane and come in at Rome, and went up to St. Angelo to go into the catacombs, I was embarrassed when I seen a sign setting at the--the St. Angelo's catacomb. Said, "A word to all American women. Please put on clothes, before entering the catacombs to honor the dead." Coming in there with shorts on, and trousers on, in a place like Rome. And then had to say to the American women, "To honor the dead, and put on clothes." Why, it's become a stench in the nostrils. And all of our overseas money, and lease loans, and everything like that, will never buy friendship.
41 What we need in this nation, and we'll never have it. But what we need is a house-cleaning time, not a political house-cleaning, but a Holy Ghost-sent revival, that'll sweep her from tip to toe. That's what our churches need. That's what our people need. That's what as individuals we need, that our influence when we get lifted up... Say, "I'm Pentecostal; I spoke with tongues. I shouted; I danced in the Spirit." You might have done that. But let me tell you something, brother. That's no security to you, not a bit.
42 We find out when Uzziah got lifted up in his heart, we find out that God smote him. What did he do? He tried so much to try to take a minister's place. He thought because he got lifted up, God had blessed him, made him a great man, he could just do anything he wanted to.
I heard a young man tell me not long ago, he said, "You know, God loves me so much, Brother Branham, He just lets me do anything I want to. He don't care."
44 I hear so much today about God being a good God. He is. I'm not disputing that. He is a good God, but He's also a God of wrath. His holiness requires righteousness. His law requires judgment. If there is no judgment to law, law is of non-effect. What good would it do to say it's against the law to run this red light down here, without being a penalty behind it? There'd be no law. You couldn't do nothing about it till there's a penalty. There's a penalty for transgressing God's laws. And it will... You'll have to pay to the utmost farthing before you're brought out.
45 Now, many men today makes that sad mistake like this fellow did. When he got exalted, got big, got so he had everything in his own hands, he felt secure. "God loves me so much that there's nothing can bother me now." When he did that, he throwed hisself in the same shape that Nebuchadnezzar did one time, as you Bible readers know. Then we find out that he was smitten with leprosy because he tried to take a minister's place.
46 Not long ago... I speak international for the Full Gospel Business Men. Sometime ago, I was setting in a place. It was over in Jamaica. We was having a meeting.
I love them, because it's people out of all the churches. It gives me a chance to--to speak. Sometimes the churches won't cooperate, but their businessmen are cooperating. They--they have to kind of hold their face, for the Business Men's sake.
48 But now, we find out, that in there I was having a meeting. That night when we come back over to the Flamingo Motel, I said, "I'm ashamed of you fellows." I said, "It's a disgrace. All you talked about, before all the political leaders and things, and businessmen up and down here, was about, 'I had a little bitty business down here,' and, 'I got sixteen Cadillacs,' or whatevermore." I said, "Them men, you can't compare with them."
That's what's the trouble with the church today. You're trying to compare with Hollywood. You're trying to make it like Hollywood. Remember, Hollywood glares, the Gospel glows. You can't go over on their ground. You've got to bring them on our ground. That's where we've got to get them. You've got to get them over here, not us go out there. We can never compare with them. We don't want to. They shine and glitter; the Gospel glows with meekness and humility. That's just the difference between a glow and a glare."
50 Now, we find out... I said to these men; I said, "The thing of it is, you men, which are just businessmen, are trying to preach the Gospel. You ain't got no business doing that. We preachers have a hard enough time keeping it level. And you fellows oughtn't to be doing that. You're trying to take the--the wrong place. You're businessmen. But don't try to take the Gospel's place."
I--I said, "The thing of it is today, you're trying to say how much you got. What a difference it is from the first Pentecostals. The first Pentecostals got rid of what they had."
Some little singer there was a fine little man. I love him; he's a nice man. But he said, "Brother Branham, I never want to dispute your word or say anything against it."
I said, "That's all right. If it's not the Word of the Lord, then you got a right to, brother."
He said, "That's one time you're wrong."
I said, "Oh, no. No, no." I said, "The first Pentecostals sold everything they had, throwed it in the missions, and--and went out and to preach."
Yeah, he said, "That's the worst thing they ever did."
I said, "What? The Holy Spirit make a mistake?"
He said, "I don't say that. But it was the worst thing they ever did." Said, "Then when the dispute come in the church, they had no homes to go to."
I said, "Just exactly the reason God had them to sell their homes. Then they went everywhere, scattering the message throughout the country. They had no other place to go. God knows what He's doing. Let Him run the business."
58 We find out that this man took a censer, started into the--to the--to--to make a wave--a--a censer, burn incense. That wasn't his job. He was king, not to be priest. And the priest run behind him and told him, said, "You shouldn't do this. It's only for a Levite to do that, and you're not a Levite. It takes a consecrated man for that, and you're not consecrated to the Lord. You're a king. God's blessing you. That's good. But you're not consecrated to do that."
So many times have we seen gifts tried to be impersonated, when they wasn't consecrated to the call. And we've seen all this. We see it today, just as it was then. See somebody try to impersonate a person having the Holy Ghost, shout like them, speak in tongues like them, and still they don't know no more about God than a Hottentot would know about a Egyptian knight. That's right. Just an impersonation, acting like it, putting on something.
But let me tell you, you that's looking on that; remember, where you see somebody impersonating it, there's a genuine something somewhere. If I found a dollar, and it was a bogus, it's only a sign it's made off of a real one.
61 We find this man Uzziah trying to take the place of this priest. And when they run after to tell him, he got angry. He turned around and let them know, "I'll do what I want to do. Who are you to tell me what to do? You tell me what I'm supposed to do? I'm king. I'll do as I want to." And God smote him with leprosy right there, and he died a leper. In his anger, when his anger had kindled up, then he was smitten with leprosy.
Then was a lesson for the young prophet, sure enough. After he had watched this man come up and get his Ph.D., his LL.D., and so forth, and then try to take a place that didn't belong to him, he found out and got angry about it. When somebody tried to tell him what was THUS SAITH THE LORD, he failed to recognize it, and God smote him with leprosy, which is a type of sin. All right. By this, Isaiah learned that God orders His man to his place. God does the ordering. We can't take a man sometime and do this to him.
63 A young lady here, not long ago, she told me... She had a little boy. She was going to... Said he felt he had a call. She was about thirty-five years old, I guess. She said, "My son, about fourteen years old, he feel he's got a call. Brother Branham, would you send him away to get his Ph.D. or something another like that, or send him to some college? What would you advise?"
I said, "The best one I know is the College of Kneeanology, down on his knees." I said, "He'd get out there amongst that, and the first thing you know, it's a... They begin to learn math, mathematics and all about this, and so about this, and they give him a mental test, and an IQ, and all like this, and then they got all the God that was ever in him took out." I said... Not I'm just degrading them things, but I'm showing you how far they get off of the line.
65 Watch and see what did happen. Now, God orders His man to his place.
Not long ago I was reading a little story, where a woman that was--had a disease, a pneumonia, in St. Louis, Missouri, and she was very, very sick. And they said she was going to--to--to die. And she had a son in college. So they come over to find out, the doctor did, just how much longer he thought she had to live. And said, "She probably won't be here over a day or two more."
So, they wired to the young son that better come home, his mother was seriously ill. So the young son, getting a telegram, was getting ready to go. And he got another telegram, "Your mother is better now. All right. Don't come."
68 Well then, about a year later, why, the boy made his annual visit home. When he come home, he said, "Mother," after he greeted her, he said, "you know, I just wonder. When you were so sick, you never did tell me just what happened."
She said, "Oh, son, I've got something to tell you." She said, "You know that little mission down the street here, down here where them people that will hollers like that, and cries, and goes on?"
Said, "Yes."
Said, "Their pastor believes in praying for the sick." Said, "One of the ladies come up here and told me." Said, "A doctor told me I had a couple more days to be around." And said, "Then they sent and got--wanted to get this pastor to come pray for me. And the lady did. And I said, 'Well, sure, have him come up.'" She said, "You know he come up," and said, "he read a Scripture out of the Bible there." And said, "He come and laid hands on me and prayed for me. And you know, the fever left me, and I got well." And she said, "Oh, praise God."
He said, "Mother, mother, now you know better than that."
Said, "Oh, oh, no. No, honey," said, "it actually happened." She said, "Glory to God. I'm telling you..." She said...
He said, "Now, you're actually acting like them people." Said, "You mustn't do that, mother."
Said, but said, "Honey, he read it right out of the Bible. He read out there in Mark the 16th chapter, 'These signs shall follow them that believe.' Here it is right here." Said, "We, we... This is it right here." she said.
74 "Oh, mother, that's the illiterate type down there." Said, "Them people down there don't have no education." Said, "They're just poor people, trash like off the streets, and so forth, that run in there." Said, "That pastor..." Said, "We learned in the college that Mark 16, from the 9th verse on, is not inspired."
She said, "Glory to God."
He said, "Mother, what's the matter with you?"
She said, "I was just thinking, son. If God could heal me with the uninspired Word, what would He really do with that's inspired." So I think that just about settles it then. If the uninspired will heal, what will the inspired do? That's it, my friends. Yes, sir.
76 Now, trying to take another's place... God orders His man. God puts His man in place. He must not try to take another's place. You mustn't do that.
Now, the vision at the temple, at the temple, he went down when he found out that... Isaiah seen that Hezekiah, what had happened to him. And then he'd died, and there'd been (I mean Uzziah.)... And he'd--he'd--taken away to the leper camp, and his son had to reign in his place. And there Isaiah got kinda fed up. So he went down to the temple one day to kinda get the thing off of his--off of his chest.
I think that's a good thing for us all to do. is go down to the house of God, go down and deliver your soul, get the thing off your mind.
79 So Isaiah got down there and he got to praying, you know. It might've been along in the afternoon, and he--or early in the morning. I don't know. So he got down at the altar and begin to pray. And he got to praying till he got in dead earnest. Now that's the way. He'd seen what he was looking at there on earth had failed. That king that God had blessed, this great and mighty king, the mightiest in the land, and yet had failed. And then he didn't know what to do, and he got to praying.
Then all at once he lifted up his head, and then he saw a real King. He saw God lifted up on high. His train filled the heavens. He saw--he saw something to look at, a real Example. When you look and try to make a man your example, you'll sure go wrong, 'cause he'll fail. But He was trying to say to the prophet, "Don't look at man or what man says. Turn your eyes towards Me and what I said. Look up here not a earthly throne, but a heavenly throne, exalted way in the heavens." And His train filled the skies. And he looked up, and then he looked in the temple. At the temple he saw God lifted up, and noticed the heavenly Seraphims.
81 Now, the Seraphims there are not angels. They are supposed to be the sacrifice burners that plead the way for the guilty. And they were sacrifice Burners. A special covering was over these Beings, and showing that God is all holy. God is all holy. And they were screaming to the top of their voice, "Holy, holy, holy is the Lord God Almighty. Holy, holy, holy," right in the Presence of God.
Remember, it was the Seraphims and the Cherubims that guard the holy place. They are the one that takes the sacrifice and offers it. And here they was living right in the Presence of God, screaming, "Holy, holy, holy is the Lord God Almighty."
84 Let's look at their makeup for a little while. We find out that these were six-winged Creatures. They had two wings over their faces, two wings over their feet, and were flying with two wings.
Think. Two wings over their faces first. Firstly, what would it be? Let's find out what the two wings over their face meant. When God is so holy that even the holy Angels and Cherubims have to cover their face to stand in His Presence, how are we going to stand when to stand we all have to, in the Presence of God? He is the supreme Judge. And we'll all stand in His Presence. And holy Angels have never known what sin was. They were created a special Being, and to stand in His Presence have to cover their holy faces to stay there. If Angels have to cover their holy faces to stand there, what will we do to have to live in the Presence of Almighty God, if we stay in His Presence? We've got a covering, though, the Blood of Jesus Christ. That's right. Today...
That's reverence. That meant reverence in the Presence of God.
87 Today there's no reverence. Oh, what little there is, is just very little. What you see... People laugh at what's called Christianity. What's going to happen to that man, when God sends something to the earth, and they see it being operated just exactly with the Word, and then men talk about it, and make fun of it. You know what the Bible said? Jesus said it's blasphemy of the Holy Ghost and will never be forgiven.
"Oh," they say, "that's of the devil."
Be careful what you say, brother, sister. Be careful what you say, sinner. There's no forgiveness for it. Jesus said, "To speak a word against it would never be forgiven in this world or the world to come."
89 Look what He just got through doing, discerning, telling them the thoughts that was in their heart, and they said, "He's Beelzebub," calling the Spirit of God an unclean spirit, a devil doing the work of God.
And He said, "I'll forgive you." The atonement wasn't made at that time but--and Jesus hadn't died. But said, "When the Holy Ghost is come, to speak against that, it'll never be forgiven you." When the Holy Spirit comes to do the same work that He was doing then, it would never be forgiven. Irreverent people, what can we expect but judgment? This nation that's turned down God...
91 This nation has many Billy Grahams and Oral Roberts that's blasted across this country, and other great soldiers of the cross that went through this country preaching the Gospel. And it's on the rampage every year. Sin keeps multiplying.
Was the--the great evangelist Billy Graham said the other day, in one of his meetings when he went to New York, he said he believed New York had increased many percent in sin since his revival there. Said when he was here in California, Los Angeles, he said, "In ten or fifteen years from now that every citizen will have to pack a pistol, or some... to protect himself." They can't get enough law enforcement, sin is on such a rampage.
Oh, what is it? It's irreverence to the Bible. It's turned down the chance; they've blasphemed and made fun of. Right.
94 Now, let's bring it down a little close to home. Look at the churches, what they done. Many of them, going across the country, when you get a man with enough of--with enough real power of God about him to tell the people about their sinful ways... Get somebody who'll tell them they've got to be born again, not shake hands, and come up and make a decision, they've got to be borned again. Not putting your name on a book, or joining church, or shaking hands, or in sprinkling, or some baptism, but to be borned of the Spirit of God, separated. God's Life living in you, showing itself through, not just today or tomorrow, but the rest of your days. With joy in your trials and tribulations you move on, knowing that the road is open before you to glory. That's the kind of a Gospel. When you find them like that, you preach it, and come back next year. There they are the same. The same thing, only worse, and more of it, and more of it. The more you preach against it, the worse it gets. What is it then? Irreverence.
95 And then ninety-five percent of those people go to church, have their name on the book, claim to be Christians. Men claim to be Christians that smoke, and drink, and gamble, and tell dirty jokes. Many deacons on the board with one, two, and three, and four wives. True. What a disgrace. Women sing in the choir with bobbed hair. The Bible says she's a unhonorable person. Paint on their face... There's only one woman that ever painted her face in the Bible. That was Jezebel. God fed her to the dogs. So you see what He thinks about it. And then you come tell them about it. Next year, come back, they're worse than they was in the first place. Irreverent. They have no respects, no--no thoughts of decency.
96 Let me tell you something, women, young women and old too. Go out here with these dresses on, and these little old tight clothes, and shorts... You say, "You oughtn't to be talking like that, Brother Branham." I should. That's my duty. This is a--this is the pulpit.
I had a man call me in not long ago, one of the greatest Pentecostal evangelists in the land. He said, "You leave them people alone."
I said, "Who are you to tell me to leave them alone?"
He said, "I love you." And he said, "Your ministry is praying for the sick."
I said, "It's preaching the Gospel, brother."
And he said, "Look, Brother Branham." He said, "Why, them people believe you to be a prophet."
I said, "I never said I was, did I?"
He said, "But they believe you to be. Why don't you teach them women how to receive the--the Holy Ghost, and how to receive gifts, and do something, instead of always bawling them out about the way they're dressing, and the--what they're doing. Why don't you teach them them kind of things to help them?"
I said, "How can I teach them algebra, when they won't even learn their abc's?" You know what ABC is? Always Believe Christ. That's right.
102 Now. Now, why can you do it? How can you do it? It looks like there's a pressure on them. Something won't let them do it. That makes it a modern Sodom. That's the hour that we're standing in, that's awful things that's going on in the land today.
And he said, "Well, look."
I said, "No. I don't have no programs to sponsor. I don't have no church to put me out. No, sir."
I said... He said, "That's the pastor's duty to do it."
I said, "But they're not doing it."
Then it's up to somebody, some voice has got to cry out against it, because it's wrong. Certainly it's wrong. Reverence, respected...
105 Another young lady said to me, one time she said, "Mr. Branham, they don't make no other clothes than this."
I said, "They still sell goods, and they have sewing machines." That's right.
Let me tell you something, lady. You might be just as clean and virtuous as you can be. You might be as honorable to your husband, your boyfriend, as you can be. But one of these days at the judgment bar, you're going to answer for committing adultery.
"If I'm not guilty?"
You're guilty. Jesus said, "Whosoever looketh upon a woman to lust after her has committed adultery with her already in his heart." And when that sinner looked at you like that, and had them thoughts about you, he's going to have to answer for it at the day of the judgment. And why did he do it? You presented yourself to him twisted up in some kind of clothes and things like that. Right. It's a shame. You're going to have to do it, lady.
109 And you men that call yourselves Christians, that ought to rule your house, and let your women do that. Repent or your whole house will perish.
You might not like me after this, but I'm going to tell you the truth, 'cause when... My hands are going to be free of the blood, when I come to the judgment bar. That's one thing sure, friends. Listen, brethren. There's always a voice goes with the sign, you know, and you better hear it. Not mine, but this is what the Bible says. That's right. Oh, I know it sounds old fashion, but that's just what the Bible says. And that's what we're supposed to be.
Angels have to cover their faces to stand in the Presence of God.
111 And women, when the Bible says it's an uncommon thing, or common thing, for a woman even to pray with her hair cut, she has no right to pray. And you put her in the choir and even make her a preacher. That's right.
I know that makes you a little bit sick but... You know, like mama used to tell me, about taking castor oil, "If it don't make you sick, it doesn't do you any good." So that's the way with the Gospel. It's got to get you to thinking. It's the truth. Men and women both, both guilty, both sides, six to one and half-a-dozen of the other.
113 That's exactly right where we stand, irreverent. No matter what the Word says. "Well, it's all right. I believe it's all right." You're presuming it's all right. The Bible said it's wrong. And presume is to venture without authority. You haven't got God's authority to do it.
These seminaries and schools and things that pass over these things like that, it's a disgrace. It puts young men, young ministers on the wrong track, take them off after some kind of a manmade theology instead of the Word of God. No wonder they can't believe a real true message. No wonder they can't have these things in church. No wonder they have to put Him on the outside in the last days: no reverence in His Presence. His Presence can come down, and they'll laugh, and pop chewing gum, walk all around, carrying on like I don't know what, not no more reverence than nothing in His Presence. Now. Now, no reverence at all for God or His people...
115 Why? Why do they do this? Now, listen close. Why do they do it? They are not conscious of His Presence. They don't think it's God.
Do you think that woman would've actually--or that soldier would've smote Him in the face, and would've put a rag around His face and hit Him on the head, and said, "Now, if you're a prophet, tell us who touched you?" If that man knowed that was God he was hitting, do you think he would've done it? Do you think that drunken soldier would've pulled beard out of His face, and spit in His face, would've hawking and spitting in that face, if he'd knowed that would've been the Son of God? He wasn't conscious of it.
117 And today, what people calls a bunch of fanatics, they're not conscious that that's the Holy Spirit working in those people. Just get by with anything, not conscious of it, not conscious of His Presence. You know what the old saying is. Someone says, "I go to the meeting and laugh, go to the meeting to find fault." It's been said that fools will walk with hobnailed shoes where Angels fear to trod. Not conscious of God, that's the reason.
Why don't you be like David? David said, "I put Him always before me." That's the reason he said, "I'll not be moved," because God's always before him. Yes, sir.
119 Now, secondly, they covered their feet. What "they covered their feet" meant? Humility. Covering their face meant reverence in God's Presence, covering their feet was humility in His Presence. Like Moses in His Presence, taking off his shoes, uncovered his feet.
Paul, when he found Jesus, the Pillar of Fire, he fell to the ground, off his feet. Where his feet should've been, he had his face: humility.
John the Baptist, that great prophet, first one that'd been in the land in four hundred years. But he said, "I'm not worthy to touch His feet, to unloose the latches on His sandal."
123 See? The one over... His feet covered meant humility. Watch this servant now before God, his face covered in reverence, his feet covered in humility. Yes, very conscious of--be very conscious of your littleness.
All of us is trying to be some big somebody. "I'm Dr. So-and-so of the great so-and-so, so-and-so." You're nothing. That's right. That's just... You're nothing. If you want to know how great you are, put your finger in a pool of water and pull it out, and find the hole where you put it in. See? There's nothing there. That's what we are. God can do without us, but we can't do without Him. Who are you?
Be conscious of how little you are. The way up is down. He that humbles himself shall be exalted; he that exalts himself shall be abased.
126 Not long ago I was invited to Chicago by a group of saints to speak. Some great Pentecostal minister there with about four degrees from college, and so forth. And he didn't want my little cheechaker way of speaking up there before that great council they was going to have. So they had a man from a great Bible school there to come up, a great Bible school of Chicago to make the speech. And the man said... Now, what he would do, come up there and belittle those people for about everything he could think of, of how wrong they was by believing there was a Holy Ghost, and all that stuff like that, before Pentecostal people. He walked up there with his chest out, and his collar turned around like a tuxedo suit on, throwed all of his notes out upon the platform. He had it so masterly fixed that he could just explain the Bible and God didn't know nothing about it.
127 And the first thing you know, it... he... You see, it didn't take with the people. He kept saying something like that, and they just set and looked at one another. It didn't go with them kind of people, them Pentecostals. So after while he seen he was defeated, and he got his stuff up under his arm, walked off the platform, his head down, drooping. An old saint setting over to the wall said, "If he would've went up the way he come down, he'd have come down the way he went up." And that's just about the way it is too.
Humble yourself. See how little you can be. Not what you know, what you don't know. Let yourself get humble before God.
129 Now we find, thirdly, he could fly with the other two wings.
Now, watch. First, in the Presence of God he was reverent, with his face covered. Secondly, he was humble before God with his feet covered. And his next two wings he could fly, put him in action. Oh, my.
What was God doing? He was showing the prophet how His prepared servants should be. The God was showing, "These are My servants. These are Mine. Look how they are prepared: reverent, humble, and in action."
That's the way God's servants are. Oh, my. That's the way we should be: reverent to God's Word, humble, and in action for God.
132 Like the woman, when she was called into action, when she said, "Come see a Man Who's told me what I've done."
His sign influenced her, that He was the Messiah. She said, "Sir, we know when the Messiah is coming... Now, You must be a prophet. We know when the Messiah cometh, He'll tell us these things."
See? She expected Him to say, "Well, the Messiah's coming pretty soon. I'm just forerunning Him."
But He said, "I'm He."
That put her in action right now. She went into action. You couldn't stop her. It's like a house on fire, as I said the other night, in a high wind. You couldn't stop her. Down into the city she went. "Come see a Man Who told me the things I've done. Isn't this the Messiah?" See? She was in action.
What did she do? She come up first, humbled herself.
"Bring Me a drink."
Said, "Why, our fathers drank from this well," and so forth, and...
And she... He said, "Well, I'll give you water to drink, you don't come here..."
She said, "Sir, Sir, give me that water."
See? She was humble about it. And then when she humbled herself, then Jesus showed her the sign of the Messiah, and that put her into action. She was ready to go then. She was ready to tell everybody she come in contact with.
139 See, actually, on the traditions of the eastern country, them men would've never listened to that woman. A woman like that ain't got no voice amongst the people. She certainly hasn't. She can't say nothing. But you try to stop her. She was in action. She had to tell somebody. "Come out here and see for yourself. The Man told me what I'd done. Isn't that what we've been looking for? Isn't that what the Scripture says that the Messiah, when He comes, He'll do this?" She was in action because she got humble, and God got into her.
140 Peter, when he took his Word, when he seined all night being a fisherman out there, and he come in discouraged: no fish. Any good fisherman knows what that is, with no fish. Then the first thing, he'd washed his nets, laid them out upon the bank, and was letting them dry.
And Jesus came down, and asked to borrow his boat. He preached. Then He said, "Simon, launch out into the deep and let down for the draught. Go right back where you seined all night. Go right back where you toiled hour after hour, and let down for a great draught of fish, a great taking."
142 Now, look. He said, "Lord, we've toiled all night and have taken nothing. But at Thy Word, Lord, I'm going to let down the net." "At Thy Word," that's it. Take God at His Word. And when he let down the net, he enclosed such a great draught of fishes, until the net begin to break.
That put him in action. Yes, sir. Jesus' influence on him put him into action, and he dropped the net. And Jesus said, "Fear not. From henceforth ye shall catch men."
144 The blind man, when he was healed setting at the gate or setting in the street, and the--the Pharisees said anybody professing or having anything to do with Jesus would be put out of the temple.
They come, asked the father and mother. They said, "He's of age. Ask him."
He said, "A man called Jesus healed me."
Said, "This man is a sinner. He don't belong to our groups. We don't know from whence he come. Give God praise."
And he said, "Now, whether He's a sinner or not, I don't know." He said, "But this one thing I do know. Wherein I was blind, I can now see." And said, "The funny thing is to me, that you're supposed to be the spiritual leaders of this hour. And this Man opened my eyes, and yet you don't know where He come from." What did he do? He got in action. That's right. It put him into action because that he spread His fame abroad throughout all the country.
148 The people at the day of Pentecost, when Jesus told them to wait up there, and there'd be come down... And when the Holy Ghost came down upon them at the day of Pentecost, when they were influenced by the Word of God made manifest... Now, remember, Jesus said, "Wait at Jerusalem until you're endued with power from on high." They waited, not eight days, not nine days. They waited ten days, until the promise was made manifest, and the Holy Ghost fell, and divided Itself and tongues of fire set upon each of them. And while they were influenced by the Holy Ghost, they went into action, staggering like drunk men, screaming, speaking in tongues. Out into the street they went.
They said, "These men are full of new wine."
And Peter stood up, and he said, "This is that which was spoken of by the prophet Joel. 'And it'll come to pass in the last days...'" What did it do? It put him into action.
151 It'll put you into action. If you haven't got it, it'll put you into action when you see the Word of God fulfilled. What we've seen in these last days ought to put us into action. It should do it, if we would just do it with reverence and humility. The Pillar of Fire before Paul put him into action. And today, when we see that same Pillar of Fire, by science, by its results, by what It promised, making the Word in these last days come to pass exactly, it should put us in action. That's the sign that's been given. "As it was in the days of Sodom just before Sodom burned, so shall it be in the coming of the Son of man." He'll be manifested again, the same yesterday, today, and forever. It ought to put every member of the body of Christ into action, getting everything in he can, 'cause this is the last hour. It's the last call. Last call. Word by word, it's been fulfilled. It should certainly put us into action.
152 We, like the prophet, have seen the outcome of self-exalted denominationals lose their place in Christ, lose their hold on His Word, accepting creeds. And we've seen what happened to them when they did that. They spiritually died. We see what happened to the Lutheran when they refused Wesley's call. We see what happened to the Methodists when they refused the Pentecostal call. Now, what about the Pentecostals. See?
We've seen self-exalted men like that of Uzziah, who tried to take the place of an anointed office. The office of a man in the church is anointed, not appointed; it's anointed. The church, the--the pastor, the evangelist, the prophet, the apostles must be the anointed office of God, not elected by man. Men tried to elect that office one time. They cast lots for it. Poor Matthias never done nothing, but God chose Paul. And he did something because he was anointed. And we've seen these offices that try to say, "This is holy bishop so-and-so. This is state so-and-so man. This is so-and-so man." It never amounts to nothing. But when God comes in and takes over, then we see the anointing of the Holy Spirit vindicate the Word of God.
154 Now, the effects of the vision on the prophet, what did it do to this man who was born a prophet? Remember, he wrote the entire Bible. There's sixty-six books of Isaiah, and sixty-six books of the Bible. It starts out like in Genesis. The middle of the book comes, the New Testament, John the Baptist. And ends up over in the millennium. Great prophet, one of the greatest prophets we ever had was Isaiah, and he was born to be.
But when he stood in the Presence of God, what did it cause the prophet to do? The prophet said, "Woe is me! for I am a man of unclean lips." To come into the Presence of God, and see a truly anointed vessel of God, it caused the prophet to confess that he was a sinner. It ought to do us that way. It ought... The anointed Presence of God, when he seen that and crying, the post shaking, and these Angels going back and forth proving they was before God, and they were the servants of God anointed, and he cried out he was a sinner.
156 What happened? Then when he was ready... Now, listen in closing. He was ready to confess that he was a sinner, "Woe is me, for I'm a man of unclean lips and I dwell among people of unclean lips. Woe is me." Then the angel took the tongs, and taking a coal off the altar, held it in his hands, and come and cleansed him with it. Then come the cleansing after his confession.
Now if a prophet, called, vindicated to be a prophet of God, in the Presence of God seeing his littleness was ready to confess that he was a sinner, what ought you and I to do? But you know what we do? Turn our head, walk away, and laugh. That's where we're standing. The cleansing time... Look, Isaiah...
158 I want you to notice something else. God did not use books and theological terms to cleanse His servant; He used fire. He never used creeds to clean His servant; He took fire off the altar. And if God ever cleans a man today, it's got to be the Holy Ghost fire that cleanses a man, not reading a book, and doing this, or some other book by so-and-so.
A certain great minister here in California said, the other day, he had the book of the year. I differed with him. The Book of the year is the Bible, always been. The Book of the year is God's Book, always.
160 God used fire to cleanse His servants. Then followed, after he humbly confessed that he was wrong, and then come the cleansing. And after the cleansing, then come the commissioning. See? That's what's the matter. Some have tried to get commissioned before we get cleansed. See? We'll say, "Well, I follow this." We got to follow God. Them Angels did one thing, lived in the Presence of God, humble, reverent, and in action before God. Then the--followed the commission. After the confession and cleansing, it was then that the clean Isaiah cried, "Here am I. Send me."
161 Oh, brother, sister, if there ever was a time that the Isaiahs ought to come down to the house of God for cleansing, if there ever was a time that the church member ought to really come and confess his sin, if there ever was a time for the backslider...
Just think, in the night that Sodom burned, wonder how many people walked away from the message of those angels? Wonder how many people wasn't concerned enough to hear their voice? And they perished that same night and will never be no more, only their punishment in hell.
163 As it was in the days of Noah, how many people laughed at him, and made fun of him? They come up there just to hear, say, "We'll go up and hear the old crank pop off again, just to have some fun." Get up, walk away, wouldn't even listen to him preach, all kinds of things... And they perished in the judgments he was preaching.
Amos, that little preacher, knowing from nowhere, a prophet anointed, come up and looked down in Samaria that time, His bald head shining, his gray beard... When he come up across the hill and looked down, them holy eyes of his narrowed as he looked upon that city. Not like tourists that come from all over the world, 'cause their priests, all of them had sinned. And false prophets was telling them it was all right. He walked down there with no cooperation for his revival. He walked down there without anything and screamed out. And he said, "The very God that you claim to serve will destroy you."
165 And I say, "THUS SAITH THE LORD: the God that America claims to serve will destroy her." You take that for whatever you wish. What we need is, "Down to the altar, Isaiah." [Blank.spot.on.tape--Ed.]
And God said, "Who'll go for Me?"
Isaiah said, "Here am I. Send me." I think of that song,
When the coal of fire had touched the prophet,
Making him as pure as pure can be,
When the voice of God said, "Who'll go for us?"
Then he answered "Master, here am I, send me."
167 First, he had to humble himself, and be cleansed, and get ready, like he'd seen a prepared servant. Look at Uzziah, how he was prepared. But he failed. Don't put...
You say, "Well, I know Dr. so-and-so is a good man. I know Brother so-and-so..." They might be, but don't look at that. Look up here. See? Here's a way... God's got a way to prepare. How did He do it? On the day of Pentecost, Peter told them what to do. He wrote a prescription for them, and it's always remained the same. Don't tamper with it. You'll kill your patient.
They said, "What can we do to be saved?"
He said, "Repent, everyone of you. Be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of sins, and you shall receive the gift of the Holy Ghost. For the promise is unto you, and to your children, and to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call." That's from right here tonight. If God's still calling, that's the prescription. You can still receive the same Holy Ghost that they received there, just... You can receive the same thing tonight. Just follow through now. That's all you do. Yes. Then you can say,
When the coal of fire had touched the prophet,
Making him as pure as pure could be,
When the voice of God said, "Who'll go for us?"
Then he answered, "Master, here, send me."
Let's sing it.
Speak, my Lord, speak, my Lord,
Speak, and I'll be quick to answer Thee;
Speak, my Lord, speak, my Lord,
Speak, and I will answer, "Lord send me."
172 Listen here, brother.
There's millions now in sin and shame are dying;
Oh, listen to their sad and bitter cry;
Hasten, brother, hasten to their rescue;
Now quickly answer, "Master, here am I."
Oh, speak, my Lord, speak, my Lord,
Speak, and I'll be quick to answer Thee;
Oh, speak, my Lord, speak, my Lord,
Speak, and I will answer, "Lord, send me."
Let's bow our heads. [Brother Branham begins humming--Ed.]
Making him as pure as pure can be,
When the voice of God said, "Who'll go for us?"
Then he answered, "Master, here, send me."
Do you want to be humble and cleansed?
Speak, my Lord, speak, my Lord,
Speak, and I'll be quick to answer Thee;
Speak, my Lord, speak, my Lord,
Speak, and I will answer, "Lord, send me."
174 While they're playing now, is there one Isaiah in here tonight, or a hundred, that wants to go, wants the cleansing of God in your life? You that don't know Christ as your Saviour, you're invited now to the altar. Is He speaking to your heart? I'm not very much on persuading. I think the Holy Spirit Itself does the persuading. But if you're here, and you're without Christ... Now, remember, you will answer at the day of the judgment for what you do with this tonight. Now, if you want to come, I'm here to pray with you.
In Christ's Name, I offer you the opportunity to come seek God, if happily you might find Him. Young people, old people, middle-aged, church members, whoever you are, if the fire of God by the Holy Ghost hasn't cleansed you in your heart, until the place that you believe every Word of this Bible, and Christ is the living Witness of This in your heart, that He's raised from the dead, then I'm inviting you to the altar. Come here, and let us pray with you. Believing all of you then, upon your own action, that you are saved.
176 Then is there a backslider in here that would come? I am asking you as a servant of Christ, if you'll walk down here and let us pray with you. I don't say He'll take you back I believe He will; won't you come try it now. If He's talking to you, come.
Those without the baptism of the Holy Spirit, I presume there's not any here that doesn't, that isn't backslid. Everyone, then, must be prayed up, Christians and prayed up. And then, if you are prayed up, and you haven't got the baptism, and you'd like God to give it to you, it's your opportunity.
There's one man in here that doesn't have it. Bless his humble heart. I trust it's another Isaiah. Now, raise your heads a minute.
There's one man bowed here at the altar, one I trust to be an Isaiah.
Now, He's here. You believe He's here?
180 Now, I'm going to tell you what you've done. You've done the horriblest thing you ever done. There's two or three hundred people here ought to be at the altar.
Let me show you in the Name of the Lord, that I'm right on what I'm saying. Look. Some of you people in here, pray. Here...
Here sits a lady sitting here with a white coat on, little white jacket, looking right at me. I can't... She is a Christian, but she's praying for an infirmity. She has arthritis. Do you believe that God can make you well, heal you? Then you can have it.
The next man, setting next to you there, has something wrong with his ears. You believe God can heal your ear trouble, sir, and make you well? Yes. Raise up your hand if you believe.
Now, please be reverent just a moment.
184 The man right next to him is suffering with a heart trouble. Do you believe that God can heal you, sir, with the heart trouble? I don't know you. You're a stranger to me. Is that right? You're a stranger. Well, listen. If God would tell me who you are, would it help you? Can you hear me all right? Your name is Mr. Blackwood. Do you believe He can tell me where you're from? You're from Riverbank, California. If that's right, stand up on your feet. I never seen him in my life.
All right. God bless you, sir. Your faith made you well.
That lady setting right next to you there, has got nervous trouble. You want to be healed of your nervousness? Raise up your hand if you do. Lay your hand over on her, mister, and she'd be healed.
The lady setting next to you, now, has sugar diabetes, with the red dress on. She wants to be prayed for too. See? She wants to be prayed for. Have faith.
187 Here's a lady setting way back here. She's ready for an operation, if she can just... O God. She's got a fallen womb. Her name is Mrs. Maxwell. Believe, raise up; accept your healing at this...?... You don't have a prayer card, do you? You don't have a prayer card? All right. You don't need one. Raise up your hand, if that's right. I don't know you. If that's right, wave your hand, we're strangers, one to another. Wave your hand like this.
What did she touch? She never touched me.
Mr. Stewart, would you want to be healed too: nervousness, and believe that God will make you well? I'm a stranger to you, but that's who you are. And you're suffering with a nervousness. You can't hardly hold yourself together. Stand up on your feet and accept your healing, in the Name of Jesus Christ.
189 Here's a lady setting back behind you there. She's got a nervousness too. She's got something wrong in the muscles in her body. She's going to miss it if... Mrs. Newell, stand up if that's your name and that's who you are; believe.
You believe?
Here. Here's a lady setting right here. She's got heart trouble and high blood pressure. You believe? That's right, sister? Stand up, if that's right.
The lady setting next to you there, she's got trouble in her chest. If that's right, stand up.
Tell the lady next to her, she's got growths on her face, little tumors, like. If she wants that healed, tell her to stand up and accept it.
193 Now, there's a group of you in here ought to be at this altar, seeking the Holy Ghost. That's THUS SAITH THE LORD. You see what I mean? Once more I'm going to make this call. That's the vindication that I'm telling you the truth. God's speaking to people in here, and you're a little bit in doubt. Will you be honest enough to put up your hand and say, "Yes, Brother Branham, I've always been just a little shaky. I want more of God. I know there's something I'm lacking in here, in order to have, to profess the baptism of the Holy Ghost." Raise up your hand. Will you do that? Just be honest with yourself. The Holy Ghost is never wrong. Why don't you come up and settle that doubt? Come.
I'll be quick...
Speak, my Lord, speak, my Lord, (That's it.)
Speak, and I'll be quick to answer Thee...
194 See, I'm not telling you nothing wrong, friends. It's the Holy Spirit calling. There's hundreds in here. If you believe me to be a prophet... Now, remember, I'm telling you in the Name of the Lord, you've been deceived. Come up.
... the coal of fire had touched the prophet,
Making him as pure as pure can be,
Oh, when the voice of God said, "Who'll go for us?"
Then he answered, "Master, here, send me."
Won't you say the same thing? Then rise, raise up your hands.
Speak, my Lord, oh, speak, my Lord,
Speak, and I'll be quick to answer Thee;
Speak, my Lord,...
What's He doing? Answer Him then if He's speaking. If there's a little doubt somewhere, you're not sure now, don't take no chance.
... Lord, send me."
Oh, speak, my Lord... (He's speaking, come on.) my Lord,
Speak, and I'll be quick...
197 Now folks, I'm not prone to fanaticism. I'm not prone to saying things wrong. I feel led, when I say what I do...
... my Lord,
Speak, and I will answer...
You say, "What will the people say about it?" It's what's God going to say about it. That's it.
... Lord, send me.
Speak, my Lord... (That's right.)
Speak, and I'll be quick to answer Thee;
Speak, my Lord, oh, speak, my Lord,
Speak, and I will answer, "Lord, send me."
There's millions now in sin and shame are dying;
Oh, listen to their sad and bitter cry;
Hasten, brother, hasten to their rescue;
Oh, quickly answer, "Master, here, send me."
Oh, speak, my...
199 Now, every person in here, we want to get ready for a great healing service tomorrow. Also I want each one of you ministers to get around these people that's seeking for the Holy Ghost. Don't just stop in five minutes. Stay there until. How long? Until the Holy Ghost comes.
... my Lord, oh, speak, and I...
Now, let the audience now, put your hand over on somebody else; just lay your hand over on one another, on somebody, you that's going to pray. That's representing these people up here.
... my Lord,
Now, the aisles are packed full; the altar's packed full. There's about one hundred fifty, two hundred people.
... my Lord,
Speak, and I will answer...
202 Now, start praying. "Lord, send me.
Speak, my Lord. ("Lord, send me.")
Heal these, Lord, in Jesus Christ's Name. Now, grant it. O God, grant the prayers of these.
Don't turn loose; stay right there until it happens. Stay until you hear the cry of God. Stand until the Cherubims are shaking you, the Holy Ghost has got the coal of fire off the altar of God, laying it upon your lips.
Speak, my Lord, speak...