La foi, c’est le sixième sens
1 …et c’est un sens de délivrance. Cela nous délivre
et nous libère de nos cinq sens dans lesquels nous avons été placés au
commencement. Et ce cinquième sens ici… les cinq sens, l’homme est
tombé là à cause de ces sens par son appétit.
Maintenant, remarquez que ces sens ne vous ont été
donnés que pour vous mettre en contact avec votre demeure terrestre,
afin que vous voyiez, goûtiez, touchiez, sentiez, et entendiez. Mais
ils ne doivent pas du tout vous conduire. Et ainsi, bien des fois…
Qu’adviendrait-il si je décidais de ne plus voir, si
je bandais simplement mes yeux et disais: «Je refuse de voir.» Très
bien, mes yeux ne pourraient plus me servir. Ainsi donc, je–je
deviendrais finalement aveugle. Et ainsi, si mon fils s’approche, que
je lui bande les yeux et dise: «Non non, la vue n’existe pas.» Je lui
bande simplement les yeux, je ne lui permets pas de voir. Il dirait:
«Mon père m’a dit que la vue n’existe pas, alors je vais bander les
yeux de mon fils.» Eh bien, pour commencer, notre génération naîtrait
aveugle. C’est vrai. Si vous n’utilisez pas vos six sens, ils
deviendront inactifs. Ils ne pourront pas du tout fonctionner.
2 Frère, c’est ce que l’Église a fait du sixième sens
dans lequel Dieu l’a mise. Il a simplement mis de côté la foi dans les
prodiges et les miracles. Et la chose qui entre en contact avec Dieu,
qui lui donne le Saint-Esprit et tout, il a mis cela de côté là-bas ou
quelque part ici, jusqu’à ce que cela soit mort. C’est vrai. Il ne sait
pas utiliser cela. Cela ne signifie rien pour lui.
Vous dites: «Eh bien, Dieu est un Guérisseur.»
«Oh, comment ça, Dieu est un Guérisseur!»
S’Il a déjà été un Guérisseur, Il est toujours un
Guérisseur. S’Il a déjà été un Sauveur, Il est toujours un Sauveur.
S’Il a déjà été Dieu, Il est toujours Dieu. Vous voyez donc que c’est
un manque de foi qui a été prêché aux gens, et qui fait qu’ils laissent
ce sixième sens (c’est-à-dire la foi) inactif.
3 Et toute l’année, ils vont courir, tomber malades,
et courir chez le médecin et dire: «Docteur, oh, il y a quelque chose
qui ne va pas.» Le médecin examinera cela, disons qu’il essayera.
L’homme… un brave et honnête médecin va travaillé aussi patiemment que
possible, avec toute la capacité que Dieu lui a donnée pour opérer et
faire ce qu’il doit faire pour vous aider. Ensuite, vous savez, cela
progresse. Eh bien, il dira: «Je dois vous avouer que je ne peux plus
rien faire. Si vous voulez aller chez un autre médecin, allez le voir.»
Eh bien, ensuite, vous allez chez un autre médecin. Il dit: «Non, il
n’y a rien à faire. C’est à un stade trop avancé.»
Maintenant, c’est le moment. C’est le moment de
recourir au sixième sens. C’est le moment d’accepter Dieu. C’est le
moment de se fier à l’Esprit de foi que Dieu a mis en vous.
4 Et ainsi, dans le cas où les gens ont reçu un
enseignement contraire à cela pendant très longtemps, cela complique la
chose. Frère Boze me parlait aujourd’hui, il disait: «Frère Branham, je
n’ai jamais compris à quoi vous vous opposiez.» Voyez? Vous ne réalisez
pas ce que c’est, combien c’est dur lorsque vous apportez… Et la
puissance de Dieu descendra là, si réelle devant les gens qu’ils
regarderont et verront l’Esprit se mouvoir parmi les gens et accomplir
des choses, et certains se tiendront là et diront: «Oh, si vous faites
juste ceci ou cela, ou cela, l’une ou l’autre chose, peut-être que cela
m’aiderait.»
Oh, frère, si ce sixième sens pouvait comprendre ce
que nous prêchons cette semaine (Amen), que le Saint-Esprit… Dieu a
fait cette promesse. Christ a fait la promesse. Nous avons pris cela
cette semaine à travers les Écritures, dans tous les sens, et avons
examiné entièrement cela au point que nous savons que Dieu avait promis
de faire cette chose qu’Il est train de faire maintenant, aujourd’hui,
le surnaturel. Ainsi, une vraie foi authentique voit cela et s’en
empare, et tous les démons de l’enfer ne peuvent jamais la détacher de
cela.
Mais nous, nous nous achoppons à cela. On ne
l’utilise pas assez. Nous dépendons trop de ces cinq. Et quand… la
plupart du temps, 95% de gens ou plus, dès qu’ils voient que les cinq
sens ne fonctionnent plus: «Eh bien, c’est fini. Creusez ma tombe,
apprêtez mon cercueil», vous voyez.
5 Oh, je pensais à une petite dame que j’ai reçue
dans une entrevue ici, il y a un ou deux jours. Je ne la vois pas ici
maintenant. Le nom du mari c’est (un nom plutôt allemand) Dorch, Dash,
ou Doughish. Et sa femme a eu un songe et elle est venue me raconter le
songe. Et elle a dit: «Frère Branham, je–j’ai rêvé que le diable est
venu à côté de mon lit. Et il a jeté un coup d’œil sur moi et s’est mis
à me faire des grimaces de jubilation, disant: «Je t’ai eue
maintenant.» Et elle a dit: «Je… Quelque chose m’est arrivée. Alors
j’ai sauté du lit et j’ai dit: ‘Démon, sors d’ici, au Nom de
Jésus-Christ.’ Et je me suis mise à le pourchasser et il est sorti de
la maison en courant.» Et elle a dit: «Je ne comprends pas ce que cela
veut dire.»
Puis le Saint-Esprit, étant présent, donna
l’interprétation. Peu après cela, son mari a eu une crise cardiaque. Et
lorsqu’elle a vu son mari tomber – et c’est un homme âgé, robuste – et
ses mains sont tombées en arrière et ses yeux sont restés fixes. La
mort est venue pour le prendre. Mais Dieu n’avait pas fini avec lui. Et
la foi de cette petite dame s’est élevée et elle a dit: «Je ne peux pas
supporter cela! Je réclame sa vie au Nom de Jésus-Christ!» Il s’est
rétabli. Voyez?
Pourquoi? Ce sixième sens s’est réveillé; ce moment
crucial, cette fois-là, lui donna la foi. Dieu lui a donné le songe
bien que cela n’était pas encore interprété pour elle. Mais j’ai dit:
«Voilà votre interprétation.» Alors la petite amie s’est mise à crier
et à louer Dieu. Elle a dit: «C’est exactement comme ça que c’est
arrivé.» Voyez? C’est… Eh bien, cela démontre la grâce. Voyez? Il lui a
donné le songe, sans même qu’elle sache ce que c’était. Mais Dieu est
toutefois content et fidèle pour tenir Son peuple au courant.
6 Si seulement nous étions spirituels et utilisions
ce sixième sens, nous… Oh, que de choses nous pourrions éviter; que de
choses nous pourrions connaître si l’église était dans l’ordre, un
endroit où les esprits et les dons de l’église étaient en action. Nous
aurions des Ananias et des Saphiras étendus d’un bout à l’autre,
partout. C’est vrai. Le péché disparaîtrait de l’église.
Mais, nous sommes devenus si liés à la terre avec
nos sens, de telle façon que nous disons: «Eh bien, si je ne vois pas
ça, si je ne peux pas…» Et ainsi, ces sens… le diable entre dans ces
sens. Et il vous laissera voir quelque chose de vos yeux et puis il
vous fera douter quand même de cela. En effet, bien des fois vous
gardez vos yeux fermés si longtemps que vous devenez aveugle.
7 Une fois un homme m’a dit, il a dit: «Frappez-moi
d’aveuglement! Frappez-moi d’aveuglement! Vous croyez à la guérison
divine, au même Saint-Esprit que Paul a prêché. Frappez-moi
d’aveuglement!» J’ai dit: «Je ne peux pas le faire, car vous êtes déjà
aveugle.» J’ai dit: «Votre père le diable l’a fait il y a longtemps.
Voyez? Vous–vous–vous–vous–vous êtes déjà aveugle.» En effet, la Bible
dit qu’il est aveugle. Cet Évangile est… s’Il est caché à quelqu’un,
c’est à ceux qui sont aveugles, à ceux qui n’ont pas essayé d’utiliser
leurs sens. Le sens de… que Dieu leur a donné. Ce sens, s’il est
utilisé, c’est un sens de délivrance, lorsque les cinq autres
faillissent. De grandes choses ont été accomplies grâce à ce sens.
Récemment ici, dans l’une de mes réunions, une dame
est passée à l’estrade, et elle avait un–un estomac ulcéré, qui
saignait. Et le Saint-Esprit s’est mis à parler (elle savait que moi je
n’en étais pas capable) et Il lui a dit qui elle était, d’où elle
venait. Elle avait un estomac ulcéré. Ensuite, quand Il a terminé, Il a
dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous êtes guérie.» Puis elle est retournée
chez elle.
8 Et il y avait une dame [Espace vide sur la
bande–N.D.É.] …voisinage, qui était là-bas dans la ligne de prière.
Quand on en est arrivé… elle avait une grosseur à la gorge. Et quand
c’était son tour dans la ligne de prière, Cela lui a dit, Cela a
dit–lui a dit qui elle était, d’où elle venait, tout à son sujet. Elle
a dit: «C’est exact.»
Il a été dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous êtes
guérie.» Et ainsi, ces deux dames sont parties ce soir-là, ensemble.
Elles n’ont senti aucun changement.
Cela n’a rien à voir. Cela n’a rien à voir, peu
importe que vous sentiez que vous… Vous–vous ne… ne tenez pas compte de
ces sensations. Si vous comptez sur elles, vous ne pourrez pas compter
sur cela. En effet, c’est l’évidence des choses que vous ne voyez pas,
que vous ne goûtez pas, que vous ne touchez pas, que vous ne sentez
pas, ou que vous n’entendez pas. C’est un autre sens.
9 Observez ce qui est arrivé. Environ deux semaines
s’écoulèrent. Cette femme qui avait l’estomac ulcéré a essayé de
manger, et elle a failli simplement mourir. Mais elle a tenu bon malgré
tout. Elle a dit: «Il y a quelque chose de surnaturel à ce sujet. En
effet, cet homme ne m’avait jamais vue de sa vie, et pourtant, il m’a
dit qui j’étais. Et cela doit être de Dieu, puisque cela est conforme à
la Bible.» Vous voyez? Et elle a dit: «Et je connais cet homme. Je l’ai
entendu prêcher et il n’a pas d’instruction. Il ne connaît rien de ces
choses, mais il m’a tout dit. Et le même homme a dit: ‘AINSI DIT LE.
SEIGNEUR.’ Et s’il est serviteur de Dieu, il ne dirait pas cela si
c’était juste son imagination. C’est le Saint-Esprit qui a dit au
travers de lui que vous êtes guérie.
Et elle a continué, et–et son mari était chrétien,
ses enfants… Et elle l’a dit. Et elle est partie voir sa petite amie,
un peu plus loin de chez elle sur leur rue, qui avait le nodule; aucune
différence. Mais toutes les deux s’étaient résolues dans leur cœur
qu’elles avaient accepté cela comme étant Dieu; voilà tout à ce sujet.
10 Un matin, les enfants étaient partis à l’école, et
elle était debout faisant la vaisselle. Et elle ne pouvait rien manger
du tout, parce que l’ulcère la brûlerait tout simplement. Elle faisait
la vaisselle, et elle a dit: «Tout à coup une sensation vraiment froide
m’a parcourue.» Et elle a continué, et s’est dit: «Qu’était-ce? Je me
suis sentie vraiment bizarre, vraiment légère, avec une sensation
froide.» Eh bien, elle a simplement continué de faire la vaisselle.
Quelque temps après, elle a eu très faim. Alors elle
est allée à la–à la table… Et les enfants avaient laissé de la bouillie
d’avoine dans une assiette. Alors elle a rempli une cuillère de cette
bouillie d’avoine et elle en a mangé avec un petit morceau de toast.
Elle s’est dit: «Eh bien, comme d’habitude, je vais peut-être vomir
cela dans quelques minutes.» Et elle a donc continué. La première
chose, vous savez, tout allait bien. Elle a continué… Elle s’est sentie
bien. Alors elle est allée là et elle a encore goûté. Tout allait bien.
Alors elle a eu un véritable jubilé gastronomique. Elle est allée se
frire deux œufs, un grand morceau de jambon, elle s’est préparé une
tasse de café, et elle a vraiment mangé. Elle a continué à faire la
vaisselle pendant quelque temps. Puis elle s’est mise debout. Elle se
sentait bien. Elle a levé les mains et a commencé à glorifier Dieu,
elle est descendue dans la rue en courant; elle allait raconter à sa
sœur ce qui était arrivé. Lorsqu’elle est arrivée là, cette petite dame
marchait sur le plancher en secouant le drap aussi fort que possible.
Elle a dit: «Eh bien, que se passe-t-il, ma sœur?» Elle a dit:
«Regarde, cette chose qui était sur mon cou a disparu. Je ne retrouve
pas cela dans le drap. Je ne retrouve cela nulle part.» C’était parti.
Qu’était-ce? C’est parce qu’elles s’étaient
accrochées à ce sixième sens de la Parole de Dieu qui ne considérait
pas «un non» pour réponse. Deux mois après, elles sont venues à la
réunion, toutes les deux, elles m’ont montré le… comment elles étaient
guéries et tout. Qu’était-ce? Le sixième sens, ce sixième sens, ce sens
puissant, cette chose qui les a libérées. Ce n’est pas parce que
j’avais prié, mais c’est parce qu’elles avaient cru. C’est ça. C’est ce
qui a fait cela.
11 Eh bien, elles étaient là au Cadle Tabernacle, à
Indianapolis, ou plutôt c’est en bas, en partant d’ici, à Indianapolis…
Il y avait un–un garçon qui était atteint par la polio. Et on avait
amené… Après la guérison de la fille Redigar… La fille de frère Redigar
était assise là dans le–dans le hangar à charbon. On essayait de la
retenir… Elle était devenue folle.
Combien ici se souviennent de B.E. Redigar, le
pasteur du Tabernacle de l’Évangile de Fort Wayne? Oh, vous parlez d’un
homme qui a cru à la guérison… Du temps de frère Bosworth… Ne vous
souvenez-vous pas de lui, docteur Sullivan? Et un très brave homme…
Et sa fille qui était assise là était devenue folle,
souffrant de la maladie mentale qui avait tué sa sœur. Et c’était une
belle femme. C’était un matin de Pâques. Et sa mère était assise là. Et
quand j’en ai fini avec la ligne de prière, quelqu’un a dit: «Il y a
ici dans le hangar à charbon, une dame, dans le… à l’église, avec sa
fille.» Il a dit: «C’est madame B.E. Redigar du Tabernacle de
l’Évangile de Fort Wayne.»
Je me suis dit: «Quoi? La femme et la fille de B.E.
Redigar assises dans mon hangar à charbon!» Alors je suis allé là. Et
là elles étaient assises sur de vieux petits bancs de l’école du
dimanche, qu’on avait jetés là avec des papiers… Une belle jeune fille
était assise là, elle avait environ dix-huit, vingt ans, et elle se
tirait les cheveux, comme ceci, disant: «Une pièce de cinq cents est
une pièce de cinq cents. Une pièce d’un sous est une pièce d’un sous.
Une pièce de cinq cents est une pièce de cinq cents. Une pièce d’un
sous épargnée, une pièce d’un sous–une pièce d’un sous gagnée, une
pièce d’un sous épargnée. Une pièce de cinq cents perdue, une pièce de
cinq cents perdue.» Elle continuait ainsi, se tirant les cheveux,
continuant…
12 J’ai dit: «Madame Redigar…» J’ai dit: «Êtes-vous
Madame Redigar?»
Elle a répondu: «Oui.»
Et j’ai dit: «Je suis frère Branham.»
Elle a dit: «Eh bien, enchantée de faire votre
connaissance, Frère Branham.»
J’ai dit: «Votre mari était presque une idole de mon
cœur lorsque j’étais petit. Quel grand homme!» Elle s’est mise à
pleurer. J’ai dit: «Celle-ci est-elle sa fille?»
Elle a dit: «Oui, Frère Branham. Nous l’avons amenée
partout mais on n’y peut rien. Et sa sœur Romaine est morte.»
J’ai dit: «Romaine, est-elle morte de ça?» J’ai dit:
«J’ai des photos de vous tous et tout, vos livres sur les eaux de vie
et tout, que frère Redigar a écrits.» J’ai dit: «Eh bien, lorsque
j’étais encore petit, lui était un grand homme. Je l’écoutais à la
radio.» J’ai dit: «Celle-ci est-elle sa fille?»
Elle a dit: «C’est sa fille.»
13 Quelque chose m’est venu à l’esprit. Son père est
mort et enterré. Je suis allé à… ce sixième sens a commencé à agir.
J’ai dit: «Satan, tu ne peux plus la retenir encore. Au Nom de
Jésus-Christ, sors d’elle.»
Alors sa mère a dit… J’ai dit… Elle a dit: «Que
dois-je faire?»
J’ai dit: «Elle est guérie; amenez-la à la maison.»
Elle était toujours assise là, disant: «Une pièce de cinq cents est une
pièce de cinq cents, une pièce d’un sous gagnée, une pièce d’un sous
perdue», et ainsi de suite, continuant comme cela. On l’a amenée à la
maison. Et le lendemain, elle est revenue à elle, et maintenant elle
est mariée, avec une ribambelle d’enfants. Qu’était-ce? S’accrocher à
ce sixième sens.
14 Il y a quelque temps (si vous voulez une
confirmation de ce témoignage, de ce que fera le sixième sens), nous
étions à la… J’étais avec frère G.H. Brown, 505, rue Victor, à Little
Rock, dans l’Arkansas. Et il y avait là l’un des cas les plus terribles
que j’aie jamais vus de ma vie. Frère Brown (après que j’eus essayé de
prendre un petit repos, pour être resté très longtemps dans la ligne de
prière), il a dit: «Frère Branham, ici au sous-sol de l’auditorium se
passe une des scènes les plus horribles que vous ayez jamais vues.» Il
a dit: «Cette dame du Mississippi a été guérie de la folie; son fils
était militaire; elle a été dans cet état pendant vingt ans; elle ne
reconnaissait même pas son fils. Et elle est revenue dans son bon sens
pendant que je priais pour elle. Cela a embrasé la chose. Et ainsi… il
a dit: «Regardez ceci.» Et je suis allé là. Et une femme très solide,
jeune, avec les pieds juste en l’air, portant juste des petits habits
qu’on lui avait fait porter à l’asile, parce qu’elle n’avait jamais
soulevé les pieds, elle ne s’était jamais mise debout pendant deux ans.
Ses jambes saignaient. Ses bras saignaient. Et elle restait couchée,
les deux pieds en l’air et les deux mains en l’air comme cela.
Et j’ai parlé à cet homme, j’ai dit: «Qu’a-t-elle?»
Il a dit: «Elle a perdu la tête, Frère Branham. Elle
avait reçu une piqûre, et quelque chose lui est arrivé, a-t-il dit,
juste après la naissance de notre bébé.» Et il a dit: «Cela–cela a
paralysé quelque chose dans sa tête.» Il a dit: «C’est depuis deux ans
qu’elle est donc dans un asile.» Et il a dit…
J’ai dit: «Pourquoi saigne-t-elle ainsi?»
Il a dit: «Eh bien, on ne voulait pas la faire
sortir de l’asile.» Et il a dit: «On n’a pas voulu prendre une
ambulance, parce qu’elle est–elle est impétueuse.» Et il a dit: «J’ai
loué un frère pour qu’il prenne sa voiture Chevrolet et quatre hommes
de plus. Et nous avons essayé de la maintenir sur le siège arrière,
quatre hommes, et elle a cassé les fenêtres et tout en donnant des
coups de pieds en venant ici, environ 90 miles [145 km–N.D.T.] depuis
l’asile où elle était.»
Et j’ai dit: «Vous voulez dire qu’elle saigne comme
cela… » J’ai dit: «Eh bien, je vais sortir lui imposer les mains.»
Il a dit: «Oh, ne faites surtout pas cela.» Elle a
dit: «Elle vous tuerait.» Eh bien, j’étais jeune dans la carrière, et
j’étais donc dans le ministère depuis environ, oh, je pense, c’était
quelque chose comme un an. Et je me suis dit: «Ô Dieu, occupe-Toi de
ça.» Je suis sorti, et elle avait les mains en l’air… j’ai dit:
«Bonjour, sœur.»
15 Et c’était une bonne chose d’avoir fait attention.
Cet énorme et puissant bras (lorsqu’on est possédé d’un démon, on
devient dix fois plus puissant…) Et elle m’a secoué comme ceci et si
fortement qu’elle m’a basculé de mes pieds. Et quand elle l’a fait, mon
pied a directement cogné son–son sein, ici, et cela a dégagé
brusquement ma main. Et j’ai fui loin d’elle. Et j’ai couru comme cela
sur la marche et son mari, se tenant là…
Et elle m’a poursuivi en rampant sur son dos comme
un serpent, prenant plaisir à me pourchasser sur son dos, les mains et
les pieds en l’air, faisant juste… J’entends encore ce bruit affreux,
se traînant comme un serpent, avançant sur le parquet. Elle pesait
environ 170 livres [85 kilos–N.D.T.] et elle se traînait comme cela.
Elle est venue tout droit jusque-là, elle a fait le tour, a mis ses
jambes très solides contre le mur comme cela et a cogné très fort avec
ses pieds, elle a cogné un banc qui se trouvait là, elle s’est arraché
la peau de sa tête; une partie de son cuir chevelu a été pelée; le sang
a commencé à couler comme cela. Et elle a pris le morceau de bois qui
s’en est détaché, et elle l’a lancé vers son mari, et cela a arraché du
mur tout le plâtre. Nous avons dû baisser vivement la tête. Il a dit:
«Je vous l’avais dit» J’ai dit: de n’ai jamais rien vu de pareil de ma
vie.»
Il a dit: «Qu’est-ce, Frère Branham?
J’ai dit: «C’est le diable.»
Et juste à ce moment-là, elle a rampé tout droit, et
elle a dit: «William Branham, tu n’as rien à voir avec moi. C’est moi
qui l’ai amenée ici.» Et son mari a jeté un coup d’œil et a dit: «Eh
bien, elle ne sait même pas qui elle est. Comment… Elle ne vous connaît
pas.» Et j’ai dit: «Ça ce n’est pas elle; c’est le démon. C’est le
démon en question.»
Et j’ai dit: «Satan, tu comprends et tu sais
réellement que je n’ai aucun pouvoir sur toi, mais mon Seigneur en a,
car Il t’a vaincu au Calvaire. Et par un don divin qui m’a été donné
par un Ange, qui m’a dit d’amener les gens à être sincères et que rien
ne résisterait à la prière…» Et j’ai dit: «Au Nom de Jésus-Christ, sors
d’elle.» Aucun changement.
16 Son pauvre mari, qui portait une vieille
salopette, a jeté son bras autour de mon cou et a commencé à me serrer
dans ses bras. Et il a dit: «Que dois-je faire d’elle, Frère Branham?»
J’ai dit: «Ramenez-la à l’asile, s’ils acceptent de
la recevoir.»
Il a dit: «Eh bien, qu’en pensez-vous?»
J’ai dit: «Il–il ne s’agit pas de ce que je pense,
il s’agit de ce que vous, vous pensez.»
Il a dit: «Je crois qu’elle sera guérie.»
J’ai dit: «C’est tout ce que vous devez faire.»
«Je crois qu’elle sera guérie.» Sur le chemin de
retour, ce soir-là, ils n’ont pas eu le moindre ennui avec elle. Le
lendemain matin, quand le… ils sont entrés pour la chercher, elle était
debout et elle parlait à l’infirmière en chef. Et le deuxième jour, on
l’a fait sortir de l’hôpital, tout à fait normale et en bonne santé.
17 Environ six mois après, j’étais à Jonesboro, dans
l’Arkansas, avec Richard Reed au Tabernacle de l’Heure du Réveil à
l’Ancienne Mode, à Jonesboro, dans l’Arkansas. C’était un grand
tabernacle baptiste, avec une capacité de–avec une capacité plus
importante que ça, que cet endroit. Et j’ai commencé à prêcher… Et je
voyais constamment quelqu’un me saluer de la main là-bas, mais je ne
savais pas qui c’était. Et elle n’a simplement pas pu supporter cela
plus longtemps. Elle a dit: «Vous souvenez-vous de moi?» Elle avait
quatre ou cinq petits enfants… Et j’ai dit: «Je ne pense pas.» Elle a
dit: «Je ne vous ai jamais vu auparavant non plus.» Elle a dit: «Mais
je suis cette femme qui rampait sur le dos.» Et son mari, en l’espace
de ces six mois, avait été appelé au ministère, et il partait prêcher
l’Évangile. Oh! la la!
Qu’est-ce? S’accrocher à ce sixième sens. La foi l’a
dit… Il a dit: «J’ai gardé cela dans mon cœur. Si Dieu a pu faire telle
chose aux autres, Il peut faire cela pour ma femme.» Il a continué à
s’accrocher à cela. Rien ne pouvait le détacher de cela. C’est ce que
ce sixième sens fera quand il sera libéré; et laissez cela avoir son
pouvoir de contrôle.
18 Un soir, je suis rentré chez moi; je me suis
couché dans mon lit. Si vous voulez écrire pour avoir ces témoignages,
je vous donne les adresses. Écrivez à Georgie Carter, à Milltown, dans
l’Indiana, et cela pourra–cela pourra lui parvenir: Georgie Carter,
Milltown, Indiana. Et elle était membre d’une église qui ne croyait pas
dans la guérison divine. Elle prenait des leçons de piano pendant
qu’elle était une petite fille, et son oncle l’amenait pour cette–pour
une leçon de piano. Et quand il l’a amenée, cet homme, un adulte tout
fait, et elle, une petite fille, et il a violé cette enfant. Et alors,
cela lui a donné la tuberculose. Et elle était restée couchée pendant
neuf ans et huit mois à plat sur son dos, avec la tuberculose des
glandes femelles, partout dans son corps et dans ses poumons. Et elle
pesait à peu près 37 livres [18,5 kilos]. Je pense que ce qu’on a pu
peser d’elle…
Maintenant vous pouvez lui écrire si vous voulez.
C’est votre privilège, si vous voulez le faire. Elle sera ravie de
répondre. Et je ne connaissais rien sur cette fille. Je ne savais même
pas où se trouvait Milltown.
Et je suis rentré chez moi et j’ai vu maman… Et j’ai
dit: «Ce soir je vais aller tôt au lit, parce que j’ai l’intention
d’entrer méditer sur le Seigneur.»
Elle a dit: «Très bien, Billy, entre tout
simplement, va au lit.»
19 Je suis allé dans la chambre, j’ai prié et j’ai
prié pendant longtemps. Et après quelque temps, j’ai regardé par-là… Et
maman était juste l’une de ces femmes paysannes à l’ancienne mode; elle
lavait ses habits et les étalait sur une chaise (Je ne sais pas si vous
femmes avez déjà fait cela ou pas), et elle les étalait là jusqu’à ce
qu’elle les repassait, elle était debout, pieds nus, et elle repassait.
Et ainsi je… Maman avait placé là des chaises et elle y mettait des
habits de nous tous les garçons dans… à la maison. Et à l’époque je
restais chez nous. C’était longtemps après que j’eus perdu ma femme.
Et j’ai regardé, et c’était comme si cette chaise
venait vers moi. Et quand j’ai regardé, c’était cette Lumière qui
venait vers moi. Et quand Elle est venue droit vers moi, c’était comme
si je commençais à marcher dans un désert. Et j’ai entendu quelque
chose comme un petit agneau, faisant: «Bêê, bêê.» Et je me suis dit:
«Oh, ce pauvre petit ami est pris quelque part.» Et je suis entré dans
la brousse, essayant de le retrouver. Et quand je suis arrivé à un…
près de lui, je l’ai encore entendu; j’ai dit: «Où est-il?» Je me suis
dit: «La pauvre petite créature!» Et je me suis approché, plus près,
fonçant dans la brousse. Et quand elle bêlait, elle partait, faisant:
«Milltown, Milltown.» Et je me démenais, essayant de l’atteindre. Puis
je suis sorti de la vision. Je me suis dit: «Où se trouve Milltown?» Je
me suis dit: «Il y a des problèmes à Milltown. Un agneau a été attrapé
là-bas ou là-haut, peu importe où c’est.»
20 Et je suis parti, et j’ai demandé à mon église le
mercredi soir, s’ils connaissaient un endroit du nom de Milltown.
Personne ne connaissait cela. Eh bien, alors le dimanche, j’ai encore
posé la question: «Quelqu’un connaît-il un endroit du nom de Milltown?»
Georgie Wright (Beaucoup de mes membres ici venant du Tabernacle
connaissent Georgie Wright; il vient là depuis des années), il a dit:
«Eh bien, Frère Branham, a-t-il dit, Milltown c’est juste une… là au
Sud, à environ trente cinq miles [56 km–N.D.T.] d’ici, une petite
ville, elle est située sur une petite colline là-bas.» Il a dit: «Je
connais l’endroit.»
J’ai dit: «Voulez-vous m’y amener?»
Il a dit: «D’accord.»
Eh bien, alors j’ai dit: «J’y serai samedi prochain.»
21 Eh bien, je suis allé à Milltown. Nous y sommes
allés; ils ont à peu près deux épiciers. Et j’ai vu venir des gens dans
leurs camions et dans leurs bogheis. Comme on le fait dans le Kentucky,
vous savez, là dans les montagnes. Et je me suis dit: «Eh bien, je ne
vois rien ici.» Je suis allé demander à un homme s’il pouvait me vendre
cette petite caisse en bois.
Il a dit: «Oui, que voulez-vous en faire?»
J’ai dit: «Il y a beaucoup de gens qui se tiennent
ici; je voudrais me faire une estrade où me tenir. Je suis prédicateur.
Je voudrais prêcher.»
Il a dit: «Vous ne me devez rien pour cela.
Emportez-la. C’est bien.»
22 Et ainsi j’ai pris ma caisse… Et quand j’ai pris
ma caisse et que je suis sorti, j’ai vu venir frère Wright. Il a dit:
«Frère Branham, je dois faire des achats ici sur la colline.» Il a dit:
«Si vous le voulez, vous pouvez m’y accompagner.» J’ai dit: «D’accord.
Je place juste ma caisse ici… Il y aura une foule un peu plus grande
quand je reviendrai.» Et j’allais là à la colline, et nous sommes
passés près d’une vielle et grande église blanche. J’ai dit: «Quel
genre d’église est-ce?» Il a dit: «C’est une vieille église baptiste.»
Il a dit: «Le prédicateur a eu des ennuis et…» Il a dit: «Il est devenu
un bandit et il a violé la femme de quelqu’un, et on lui a tiré dessus.
Et il s’en est suivi beaucoup d’histoires.» Il a dit: «La
pe-l’assemblée s’est dispersée.» Et il a dit: «Ils n’ont plus d’église.»
23 Eh bien, je me suis mis à contourner l’église avec
lui. Et à ce moment-là, Quelque Chose a dit: «Va à cette église.» Et
j’y suis allé et il…
J’ai dit: «Je vais me tenir ici pendant que tu iras
là sur la colline.»
Il a dit: «D’accord.»
J’ai dit: «On ne tient pas des cultes ici?»
«Non.»
J’ai essayé d’ouvrir la porte, mais la porte ne
s’ouvrait pas. J’ai dit: «Père céleste, y a-t-il quelque chose en
rapport avec cette église, pour lequel Tu m’as appelé? Est-ce cette
église qui était toute blessée dans la brousse? Est-ce pour ceci que Tu
criais «Milltown»? Si c’est ici que Tu as besoin de moi, ouvre-moi
cette porte.» J’ai saisi la porte, elle ne s’ouvrait pas. Eh bien, je
me suis assis sur la marche.
Et presque à ce moment, un homme s’est approché de
l’église. Il a dit: «Bonjour.»
J’ai dit: «Bonjour, monsieur.»
Il a dit: «Voulez-vous entrer dans l’église?»
Et j’ai dit: «Oui, monsieur.»
Il a dit: «J’ai la clé.» Il a ouvert la porte.
24 J’ai jeté un coup d’œil là à l’intérieur; j’ai
dit: «À qui appartient-elle?»
Il a dit: «À la ville.»
J’ai dit: «Je voudrais savoir si les gens peuvent
avoir des réunions ici.»
Il a dit: «Allez là à la carrière et demandez-leur.»
Et je suis allé là et il a dit… J’ai dit: «Je
travaille dans les entreprises de service public; je vais y installer
un compteur. Je voudrais y tenir des réunions.»
Il a dit: «Servez-vous, vous n’avez pas du tout de
loyer à payer pour cela. Prenez-en simplement soin.»
Et j’ai dit: «Merci, monsieur; c’est ce que je vais
faire.»
Et je suis allé là, et je me suis placé un compteur
et j’ai commencé un réveil. La première soirée j’ai apporté: «Dieu est
un… Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Dieu
reste Dieu.» Et Frère Hall… l’homme qui a écrit là un petit article… ce
n’était pas plutôt frère Hall; c’est Frère Wright qui a écrit un petit
article là-dessus et qui a dit: «Venez écouter le jeune Billy Sunday.»
Eh bien, ce soir là j’ai eu une grande assemblée: monsieur Wright, ses
deux filles, et son fils, pour une église d’une capacité d’environ cinq
cents personnes. Eh bien, j’ai prêché de toutes mes forces.
25 Le soir suivant, j’avais la même assemblée. Juste
au moment où je me suis apprêté pour… Assis sur une chaise derrière la
chaire, j’allais appeler l’église–la réunion à l’ordre… j’ai distribué
les livres de cantiques; on les avait déposés partout, et j’avais
dépoussiéré complètement cela. J’avais travaillé durement toute la
journée; je suis venu et j’ai dépoussiéré cela. J’ai commencé par ces
livres de cantiques… par ces livres de cantiques… J’en ai donné un à
frère Wright, un aux autres, et je suis retourné m’asseoir. À ce
moment-là j’ai entendu quelqu’un faire [Frère Branham frappe quatre
fois sur la chaire–N.D.É.] à la porte. J’ai regardé et j’ai vu entrer
un gars.
Frère Wright a dit: «Oh, la la!» Il adit: «Voilà le
plus grand hypocrite et le plus grand infidèle de la contrée.» Et il a
cogné sa vieille pipe à épi de maïs contre le mur du bâtiment, il est
entré comme cela; il avait perdu une dent, et sa chevelure pendait sur
ses yeux. Il a dit: «Où est ce gars qu’on appelle le jeune Billy
Sunday?’»
Je suis allé derrière et j’ai dit: «Votre nom,
monsieur?»
Il a dit: «Je suis Bill Hall, le fleuriste d’ici.»
J’ai dit: «Eh bien, je suis frère Branham.»
Il a dit: «Êtes-vous le jeune Billy Sunday?»
J’ai dit: «C’était une erreur.» J’ai dit: «Non, je
ne suis pas le jeune Billy Sunday.» J’ai dit: «Ne voulez-vous pas venir
ici devant et vous asseoir?»
Il a dit: «Je serai tout à fait bien juste ici
derrière.»
J’ai dit: «Très bien, faites comme chez vous. Voici
un livre de cantiques.»
Il a dit: «Je ne sais pas chanter.»
J’ai dit: «Eh bien, nous non plus. Mais nous allons
faire pour le Seigneur un bruit de joie.»
26 Et je suis allé là-haut, et j’ai prêché. Lorsque
j’ai commencé à prêcher, il n’a cessé d’avancer un tout petit peu,
d’avancer un tout petit peu. Et quand j’ai fait l’appel à l’autel, il
était à l’autel; et il est devenu le pasteur de cette église jusqu’à
présent. Vous voyez?
Eh bien, quelques jours après cela, j’ai commencé à
prêcher sur la guérison divine. On m’a parlé d’une fille qui vivait là
sur la colline, et qui était alitée depuis neuf ans et six… ou plutôt
huit mois, sans même voir l’extérieur. Eh bien, je–j’ai dit: «Eh bien,
je ne sais pas si la–si…» Leur pasteur avait déjà dit cela dans une
certaine église dénominationnelle qui disait: «Les jours des miracles
sont passés.» La plupart de toutes les églises de la place disaient:
«Si quelqu’un ose simplement y aller, il sera pour commencer
excommunié.» Ainsi son père était diacre dans cette église. C’était
donc difficile qu’ils viennent là.
27 Et mon petit livre… Il se peut que beaucoup
d’entre vous aient lu cela; c’est intitulé: Jésus-Christ, le même hier,
aujourd’hui et pour toujours. Eh bien, là… Le témoignage de la petite
Nail s’y trouve, quand elle a été guérie.
Eh bien, ils m’ont envoyé quelqu’un pour que j’aille
prier pour une fille qui avait la tuberculose. Et ses parents voulaient
que j’aille. Je suis allé là et j’ai prié pour elle. Ce soir-là, elle
est revenue avec moi à l’église, après être restée couchée là pendant
longtemps.
Georgie s’est accrochée à ceci et elle s’est mise à
pleurer. Finalement sa mère et son père ont accepté que j’aille prier
pont elle, mais ils ne voulaient même pas être dans la maison. Ils sont
partis et ils se sont éloignés. Alors je suis entré.
28 Pauvre petite créature! Elle essayait de tousser;
elle faisait: [Frère Branham imite le toussotement d’une personne
malade–N.D.É.] Elle ne pouvait pas tenir son crachoir pour y cracher.
Et elle a dit: [Frère Branham imite la voix de Georgie ressemblant à
celle d’une personne épuisée et qui essaie de parler] «J’ai… lu… le
petit… livre.» Et j’ai regardé, il y avait là ma photo et ce petit
livre intitulé: «Jésus, le même hier, aujourd’hui et pour toujours.» Et
elle a dit: «Je… crois… qu’Il me guérira.»
Et j’ai dit: «Eh bien, je ne voudrais pas provoquer
des conflits dans votre église, ma petite chérie. Mais où sont ton père
et ta mère?» Les larmes (j’ignore où elle a eu assez d’eau pour avoir
des larmes) ont coulé sur son visage, où on pouvait même voir les
jointures de son crâne. Elle était membre d’une église très célèbre qui
renie la puissance de Dieu. Ne… Juste des pharisiens modernes, ils ne
croient pas au Saint-Esprit, ni à rien. Soyez tout simplement baptisé
dans l’eau et soyez membre de l’église. Ainsi je ne voulais pas
susciter de mauvais sentiments parmi les gens.
29 Et j’ai dit: «Eh bien, maintenant je vais prier
pour toi.»
Et elle a dit: «Voulez-vous le faire comme vous
l’avez fait pour la fille Nail?»
J’ai dit: «Ma sœur, ça c’était une vision. Je ne
peux faire que ce que Dieu me dit de faire.» Et j’ai prié pour elle;
elle n’allait pas mieux. J’ai terminé mon réveil… Et j’avais environ
soixante ou soixante-quinze personnes à baptiser à la fin de la
semaine. Et elle a promis à Dieu que si elle était guérie, elle irait
se faire baptiser au lieu appelé Totten Ford, là dans le Little Blue
River. Eh bien, le jour…
30 Quand ce fut le jour du baptême, je suis parti là.
Il y avait là un prédicateur qui m’avait humilié au sujet du baptême
d’eau. Oh! la la! Et il avait tenu un réveil dans une tente, juste au
sommet de la colline. Et pendant que j’étais là dans l’eau, baptisant,
j’ai dit: «Il me semble que les Anges de Dieu sont assis tout près.» Et
chaque membre de son assemblée (cette eau boueuse avec des gens portant
de jolies robes blanches) s’est avancé là et s’est fait baptiser du
baptême chrétien, chacun d’eux. C’est vrai. Oh, quel temps!
Nous sommes allés chez monsieur Wright pour prendre
le souper. Et quand je suis allé, j’ai dit: «Je n’ai pas envie de
prendre le souper avant de retourner à la réunion ce soir. Je crois que
j’irai là prier. J’ai un fardeau sur mon cœur concernant cette petite
fille.»
Et je suis allé là-haut et… sur le flanc de la
colline et j’ai commencé à prier. Il y a environ deux semaines que
j’étais là, dans cette même petite brousse. Je me suis agenouillé là,
je priais, regardant à Dieu. J’ai essayé de me tenir tranquille et il y
avait des épines vertes autour de ma jambe, qui me piquaient, juste…
Vous savez, dès que vous commencez simplement à prier ou à faire
quelque chose de bien, voyez comment le diable se cramponne à vous. Et
je suis rentré là au fond et les rayons du soleil couchant me
frappaient aux yeux. Puis je suis retourné de ce côté, où que vous
fussiez… Puis finalement, je ne m’en faisais plus. Et j’ai dit:
«Seigneur Dieu, que ces piquants me fassent mal aux genoux, ou que ces
pierres me fassent mal aux genoux, et que sais-je encore, je prie.» Et
je me suis mis à prier.
31 Juste au moment où j’étais totalement plongé dans
la prière, j’ai regardé et dans un petit cornouiller… Tout le monde
sait ce que c’est qu’un cornouiller? Oh, évidemment, l’Ohio sait ce que
sont les cornouillers. Un petit cornouiller là… Cette Lumière, cet Ange
de Dieu dont vous avez la photo ici, cette Lumière brillait là dans ce
buisson, Elle a dit: «Tiens-toi debout.»
J’ai dit: «Oui, mon Seigneur.»
Il a dit: «Dirige-toi vers chez les Carter.» C’est
tout ce qu’Il a dit.
32 Eh bien, quand je–j’ai entendu cette cloche
sonner… Et monsieur Wright m’avait parlé, il avait dit: «Eh bien, quand
cette cloche sonne, c’est que maman a mis le souper sur la table, et
vous, il faut venir.» Une vieille cloche paysanne… Il a dit: «On la
sonne. Elle… quand elle sonne cela, venez.» Je l’ai entendue. Mais
j’étais dans la vision, et je ne pouvais pas partir. Vous savez que
Dieu répond sur les deux bouts de la ligne. Ne croyez-vous pas cela?
Au même moment, la petite Georgie est devenue très
nerveuse, sachant que j’allais quitter la contrée, elle pleurait; et
elle voulait venir et être baptisée; et elle l’avait promis à Dieu; et
elle devint très agitée.
Et sa mère, une merveilleuse dame, elle est allée
dans la cuisine et s’est agenouillée, et elle a fermé la porte entre
elle et Georgie. Et elle a dit «Ô Dieu du ciel, a-t-elle dit, fais
quelque chose à ce vil imposteur qui est venu ici dans notre contrée.
Pendant les neuf ans que ma pauvre petite fille est restée sur ce lit,
jamais une seule fois elle ne s’est plainte. Et maintenant, il l’a
complètement embrouillée dans son esprit, en lui parlant d’un
Guérisseur ou de quelque chose de ce genre.» Et elle a dit: «Réprimande
cet homme. Réprimande cet homme, Seigneur.» Elle était honnête en cela.
Elle a dit «Chasse-le de la contrée. Ma pauvre petite fille est étendue
là, se mourant là, sans espoir de vivre plus longtemps; et étant
étendue là comme cela… et cet imposteur l’a complètement embrouillée,
en lui donnant un faux espoir…»
33 Elle a dit… Maintenant, voici son témoignage; je
n’étais pas là. Elle a dit qu’elle s’est levée. Elle a cru avoir
entendu quelqu’un venir. Elle s’est levée. Sa fille vivait là un peu
loin sur la colline. Et elle pensait que c’était sa fille. Elle s’est
retournée. Elle a regardé, puis elle a dit que sur le mur, au moment où
le soleil se couchait (au même moment, moi je priais), elle a vu une
ombre venir sur le mur. C’était Jésus, a-t-elle dit. Elle a dit: «Il
était là aussi clair que vous L’avez jamais vu, avec Sa barbe. Il a
dit: ‘Pourquoi pleures-tu? Qui vient? a-t-elle dit.» Elle a dit qu’elle
a regardé par-là et elle a vu mon ombre, en quelque sorte, à moitié
chauve et portant cette même Bible-ci sur mon cœur, approchant, entrant
avec un homme derrière moi.
Et elle est entrée en courant et elle a dit:
«Georgie, la chose la plus drôle est arrivée.» Elle a dit: «Je dois
m’être endormie. J’ai fait un rêve. J’ai vu entrer ce prédicateur.»
34 Presque à ce moment-là, la portière de la voiture
a claqué. C’était ma descente. Oh, Dieu répond de deux côtés, si vous
Le laissez simplement faire cela. Georgie croyait là contre toute
incrédulité. Elle attendait toujours que Dieu puisse la guérir. S’il a
pu guérir une fille, Il pouvait en guérir une autre. Oui. Et elle m’a
vu. Et je me suis avancé, étant sous l’onction. Je n’ai même pas frappé
à la porte. J’ai juste ouvert la porte. Son père était parti à l’étable
chercher du lait, en effet il avait fui de traire les vaches. Et ainsi,
je me suis avancé, j’ai ouvert la porte, je suis entré, je… Et cette
femme, la mère, s’est simplement évanouie et s’est écroulée sur le
plancher. Et Georgie était là, et elle a levé les yeux vers moi.
Et j’ai dit: «Sœur Georgie, le Seigneur Jésus-Christ
que tu aimes…» Et là au dos du lit, le petit poster de son lit, elle en
avait gratté toute la peinture… Tant qu’elle pouvait de ses mains
atteindre cela, elle s’accrochait à cela et criait à Dieu de la
secourir. Et son église lui racontait que les jours des miracles
étaient passés. Mais elle était née pour être une fille de Dieu. Et
elle était là, accrochée à cette promesse. Dieu, dans Sa miséricorde, a
donné une vision et m’a envoyé là. C’est là qu’on en était. J’ai dit:
«Je sais qui tu es maintenant. Tu es cet agneau que j’avais vu attrapé
ici dans ce tas de théologie.» Alléluia! J’ai dit: «Georgie, le
Seigneur que tu aimes et que tu sers, m’est apparu ici, là sur cette
colline il y a un instant, sous forme de cette même Lumière qui est
suspendue sur la fille Nail, et Il m’a dit de venir par ici. J’ordonne
au diable, au Nom de Jésus-Christ, de te quitter.» J’ai dit: «Tiens-toi
debout»
Satan a dit: «Comment va-t-elle se mettre debout
alors que ses jambes sont presque comme des manches à balai.» Ce
n’était pas une pensée. «Lève-toi de toute façon!» Elle ne pouvait même
pas soulever son crachoir.
35 Et elle s’est levée de ce lit sous la puissance du
Saint-Esprit, et a traversé le plancher, louant Dieu, puis elle est
sortie et s’est assise dans le jardin, et elle a béni la pelouse, les
feuilles, et tout. Elle n’avait pas vu cela depuis neuf ans. Je me suis
retourné, puis je suis parti. Sa mère s’est relevée et s’est mise à
crier et elle est tombée, et elle est tombée sous la véranda et dehors,
au jardin. Les voisins ont commencé à venir, pensant que la fille était
morte ou quelque chose de ce genre. Et elle était là dans le jardin, se
promenant, caressant les feuilles et louant Dieu.
Son père a entendu tout ce brait, alors il est venu.
Sa femme était étendue dehors et les gens l’éventaient comme cela. Et
il a entendu jouer l’orgue. Et il est entré dans la maison. Sa petite
fille était là, assise à l’orgue, jouant:
Il y a une fontaine remplie de Sang
Tiré des veines d’Emmanuel,
Lorsque les pécheurs plongent dans ce flot,
Ils perdent toutes les tâches de leur culpabilité.
36 Oh! la la! Depuis ce temps-là, elle n’a plus été
dans son lit que pour dormir. Cela fait quinze, seize ans. Oh,
qu’était-ce? S’accrocher à ce sixième sens, quelque chose à l’intérieur
disant: «S’Il a pu guérir une personne, Il peut me guérir.» Alléluia!
C’est la vérité. C’est vrai.
37 Rappelez-vous, ici à Fort Wayne, le vieux John
Rhyn. Non pas l’homme à la moustache, l’autre, l’aveugle John Rhyn.
J’avais là une réunion dans un grand tabernacle. Je vais terminer, pour
commencer à prier pour les malades. Cet homme était assis là au balcon.
Il était catholique. On l’a amené près de l’autel, on l’a amené à
l’estrade suivant sa carte.
Quand il est arrivé là où j’étais, j’ai dit: «Vous
vous appelez John Rhyn.»
«C’est vrai.»
«Et vous êtes de la foi catholique.»
Il a dit: «C’est vrai.»
«Vous faites du cheval au cirque.»
«C’est vrai.» Il a dit …?… alors: «Vous êtes aveugle
depuis vingt ans et quelques ou plus.»
Il a dit: «C’est vrai.» Et une sorte de leucémie ou
quelque chose, avait affecté ses yeux et l’avait rendu aveugle. J’ai
dit: «Vous êtes un mendiant»
Et il a dit: «Pas exactement un mendiant.» Mais il a
dit: «Je reste dans la rue.» Et j’ai dit: «Eh bien, c’est tout à fait
vrai.» Et j’ai dit: «Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérira?»
Il a dit: «Oui.»
J’ai prié pour lui et je lui ai imposé les mains.
J’ai dit: «Seigneur Jésus, je réprimande maintenant cette cécité au Nom
de Jésus-Christ. Que cela le quitte.» Puis je me suis retourné et j’ai
regardé, et je l’ai vu s’en aller, voyant. J’ai dit: «AINSI DIT LE
SEIGNEUR» (Faites attention à cela), «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous avez
reçu la vue.»
Eh bien, il–il a dit: «Je ne vois pas.»
J’ai dit: «Ça n’a rien à voir. Allez votre chemin,
vous réjouissant.» Alors il est parti.
38 Il y avait une femme, après quelques minutes, qui
avait un gros goitre pendant à sa gorge, et pendant que nous priions
pour elle, cela a disparu. John Rhyn est revenu, bousculant tous les
huissiers, et il est revenu. Et alors l’homme qui m’aidait dans la
ligne de prière, a commencé à le faire descendre de l’estrade. Il a
dit: «Je veux voir ce prédicateur.» Et alors on l’a ramené là. Il a
dit–il m’a dit, il a dit: «Vous m’avez dit que j’étais guéri.»
J’ai dit: «Vous l’êtes.»
Il a dit: «Eh bien, si j’étais guéri, je verrais.»
Il a dit…
J’ai dit: «Oh, non, cela n’a rien à voir. Vous
m’avez dit…»
Il a dit: «Eh bien, vous m’avez dit que j’étais
guéri.»
J’ai dit: «Vous avez dit que vous me croyiez.»
Il a dit: «Je vous crois sincèrement.»
J’ai dit: «Alors de quoi doutez-vous?»
Il a dit: «Eh bien, si j’étais guéri, ne verrais-je
pas?»
J’ai dit: «Vous verrez. Si Dieu m’a donné une vision
dans laquelle vous voyiez, cela doit s’accomplir.» Il était catholique
et on ne lui avait jamais enseigné quelque chose de ce genre.
Il a dit: «Mais je ne comprends pas cela. Que
dois-je faire?»
J’ai dit: «Eh bien, tout ce que vous avez à faire,
c’est de continuer votre chemin, louant Dieu pour vous avoir donné la
vue.»
Il a dit: «Où êtes-vous?» Il a commencé à faire
pression, il a dit: «Attendez une minute.» Il a dit: «Comment vous
appelez-vous?»
Et j’ai dit: «Branham.»
Il a dit: «Laissez-moi vous toucher.» Et je l’ai
laissé poser mes mains dessus. Il a dit: «Monsieur Branham, en tant que
catholique, on m’a enseigné à croire mon prêtre.» Et il a dit: «Je suis
venu à vous pour être aidé. Et vous m’avez dit qui j’étais et tout
concernant ma condition, ce que personne ne connaît, excepté Dieu. Je
crois que cela est la vérité et je vais dire sans cesse: «Gloire à
Dieu.» Puis il est descendu de l’estrade.
39 Eh bien, je pouvais à peine tenir le service les
deux soirées qui ont suivi. Il se levait là où je me trouvais, disant:
«Dieu soit loué pour ma guérison.» Et quand je commençais à prêcher,
lui se levait, criant: «Dieu soit loué pour ma guérison.»
On lui a donné un travail de vente des journaux.
Presque un mois s’était écoulé, il criait: «Dieu soit loué pour ma
guérison.» Et il était là, criant: «Édition spéciale, Dieu soit loué
pour ma guérison.» Les gens se moquaient de lui et le ridiculisaient.
Les petits vendeurs de journaux le sifflaient.
Les gens dans les rues disaient: «Ce vieil homme a
perdu la raison.»
Mais lui disait: «Édition spéciale, édition
spéciale, lisez tout cela; Dieu soit loué pour ma guérison. Édition
spéciale, lisez tout cela; Dieu soit loué pour ma guérison.»
40 Ils l’ont pris (et ils ont pensé qu’il fallait
l’envoyer dans un asile de fous) et ils l’ont questionné. Il a dit: «Je
suis tout aussi dans mon bon sens que je l’ai toujours été. Mais je
crois Dieu. Que Dieu soit loué pour m’avoir guéri.» comme cela.
Qu’était-ce? Il s’accrochait à ce sixième sens. Quelque chose là-dedans
tenait cela. Il ne s’en faisait pas s’il allait voir, en effet cette
vue n’avait rien à voir. Il voyait à l’aide d’une autre vue. Il voyait
Dieu! Nous regardons aux choses que nous ne voyons pas. Toute l’armure
du chrétien, c’est par la foi. Celui qui vient à Dieu doit croire que
Dieu existe. Tous les fruits de l’Esprit, tout, c’est la foi,
l’invisible. Nous regardons à l’invisible. Nous regardons à
l’invisible, c’est par la foi que nous voyons cela. Alléluia!
41 Un petit garçon l’a conduit à travers la rue pour
se faire raser chez le coiffeur. Et un certain petit coiffeur, un
monsieur je-sais-tout a voulu se moquer de lui. Ainsi il lui a très
bien savonné le visage. Et les autres coiffeurs, et il leur a fait un
clin d’œil comme cela. Il a dit… Il s’est mis à le raser, il est arrivé
à peu près à la moitié, il avait mis là une serviette de toilette, vous
savez, et il a dit: «Dis donc, papa Rhyn.»
Il a dit: «Oui, mon fils.»
Il a dit: «J’ai appris que vous êtes allé voir ce
saint exalté quand il était ici.»
«Oui,» a-t-il dit.
Il a dit: «Euh, j’ai appris que vous–vous avez été
guéri.»
Il a dit: «Oui. Que Dieu soit loué pour m’avoir
guéri.» Et quand il a dit cela, ses yeux se sont ouverts pendant qu’il
était sur la chaise du coiffeur. Il a sauté de cette chaise avec la
serviette de toilette autour du cou. Le coiffeur a couru à la porte
avec son rasoir en main. Le vieux Rhyn est descendu dans la rue à toute
vitesse, hurlant, criant: «Dieu soit loué, Il m’a guéri.»
42 Qu’était-ce? S’accrocher à ce sixième sens. C’est
quelque chose qui rend cela réel. Certainement. Par ce sixième sens,
des royaumes ont été conquis. Amen. Le sixième sens a conquis des
royaumes. Par ce sixième sens les murs de Jéricho se sont écroulés.
Amen. Croyez-vous cela? Les murs de Jéricho ont touché le sol par le
sixième sens.
Par le sixième sens, la mer n’a pas pu engloutir
Paul. Quand il est descendu là, quand il avait perdu tout espoir, il a
eu un vision de l’Ange du Seigneur. Et il est revenu là, disant:
«Prenez courage.» Qu’est-ce qui n’allait pas? Pas de lune ni d’étoiles
pendant quatorze jours et quatorze nuits, il faisait toujours tout
aussi sombre. La tempête était toujours tout aussi violente. Mais ce
sixième sens s’est mis à l’œuvre quand il a vu l’Ange du Seigneur.
Alléluia
Ce sixième sens ne pouvait pas laisser Pierre
demeurer en prison. Non, non. La puissance du Seigneur a envoyé un Ange
là à l’intérieur pour le libérer.
Le sixième sens ne pouvait laisser Paul et Silas au
pilori. Dieu a envoyé un tremblement de terre et a tout fait tomber par
des secousses.
Ce sixième sens, laissez-le quelques fois agir en
votre faveur. À cause de ce sixième sens les lions ne pouvaient même
pas dévorer Daniel. Les gens ne pouvaient pas jouer avec ce sixième
sens. Non, non.
Par ce sixième sens, le feu ne pouvait pas brûler
les enfants hébreux. Par ce même sixième sens qui opérait dans la
petite Marthe, quand elle a pu voir que Jésus a ressuscité de la tombe
son frère mort depuis quatre jours…
Ce même sixième sens a purifié un lépreux. Ce même
sixième sens a ressuscité Jésus-Christ le troisième jour. Ce même
sixième sens enlèvera l’Église un de ces jours et l’amènera d’ici vers
la Gloire.
43 Ne comptez pas sur les cinq. Ils sont trompeurs.
Mais ce sixième sens est véridique. Si vous voulez… Il y a un petit ami
ici ce soir; je ne sais pas si Charlie Ces est ici ou pas. Je lui
parlais du sixième sens. Il a considéré cela, il a cru cela et il a mis
cela sur une bande. [Espace vide sur la bande–N.D.É.] Sa femme a dit:
«Laissez-moi jouer cela.» Elle a couru dans l’autre pièce et elle s’est
mise à jouer cela. Elle a dit: «Seigneur, j’ai aussi le sixième sens,
elle vais le mettre à l’œuvre. J’ai besoin du Saint-Esprit,» et Il est
venu là. Qu’est-ce? Si vous croyez cela. Étant donné… Nous devrions
croire cela sans avoir rien vu. Mais cependant Dieu nous laisse voir
cela de toute façon. Il nous montre cela. Il nous manifeste Sa–Sa
Présence. Assurément, il n’y aurait donc pas d’excuse que ce sixième
sens ne se mette pas à l’œuvre. Inclinons la tête.
44 Notre Père céleste, le sixième sens, ces
témoignages de la Bible montrent que le sixième sens, comme j’appelle
cela, c’est la foi. Je lisais dans Hébreux 11 sur le sixième sens, la
foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration
de celles que les sens de la terre ne déclarent pas. Et nous voyons par
là, comment les gens ont conquis des royaumes, ont fermé la gueule des
lions et ont échappé au tranchant de l’épée. Et–et Hénoc fut enlevé au
ciel par ce sixième sens. Abraham a séjourné dans une terre étrangère
et a reçu un fils à l’âge de cent ans. Le sixième sens. Quand Sarah
n’était plus en état d’avoir des enfants, il ne considéra point ces
choses, il ne douta point par incrédulité au sujet de la promesse de
Dieu. Mais il fut fortifié donnant gloire à Dieu, sachant que Dieu fait
a la promesse et ayant la pleine conviction que Dieu peut tenir ce
qu’Il promet.
Ô Dieu, et nous sommes sensés être des enfants
d’Abraham. Que nous sommes lamentables! Ô Dieu, réveille le sixième
sens parmi ces gens dans cette église ce soir, alors que nous voyons
que Tu as donné ce grand signe à Abraham et ce qui est arrivé là. Ô
Dieu, je prie que les gens voient la Présence de l’Ange du Seigneur ce
soir et qu’ils ne s’appuient pas sur leur sensation, sur leur vue, mais
sur la Parole de Dieu qui a fait la promesse. Et que chaque personne
ici soit guérie et que celui qui n’est pas sauvé soit sauvé et que tous
ceux qui n’ont pas le Saint-Esprit Le reçoivent. Écoute-moi, Père, je
prie au Nom de Jésus. Amen.
45 Êtes-vous prêt à recevoir votre guérison? Vous
tous? Est-ce que vous–vous allez mettre votre sixième sens en action?
Qu’est-ce que le sixième sens maintenant? C’est la foi. Et la foi est
une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de
celles qui font que le sceptique ait tort, en disant: «Je suis
sceptique. Vous devez me prouver cela (vous savez), je dois voir cela.»
La foi, c’est cette chose qui conquiert des royaumes, qui exerce la
justice, qui fait toutes sortes de prodiges et de miracles de ce
sixième sens. Réveillez cela, enlevez le bandeau de vos yeux
spirituels. Regardez autour de vous, verrez si vous ne voyez pas que
Dieu reste toujours Dieu.
Très bien, vous tous qui avez des cartes de prière,
alignez-vous par ici, à ma droite, suivant votre numéro. Carte de
prière 1, 2, 3, 4, levez-vous. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, venez
directement par ici maintenant, de ce côté-ci. [Frère Branham parle à
quelqu’un–N.D.É.] Oui. D’accord! C’est bien. Apportez le–votre… ainsi
les gens peuvent s’approcher; c’est bien. Déposez cela juste ici, si
vous voulez bien. Très bien. 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15,
sei… [Espace vide sur la bande]
46 Un groupe de gens religieux, un peuple choisi et
dont toutes les générations (les Juifs) avaient été enseignées sur la
Venue du Messie et sur ce qu’Il ferait à Sa Venue… Et quand Il est
venu, ils ont manqué de Le reconnaître. C’est pitoyable, n’est-ce pas?
Je pense que c’est l’une des histoires les plus tristes du monde. Le
monde a été fait par Lui et le monde ne L’a point connu. Il est venu
chez les Siens et les Siens ne L’ont point reçu. C’est vraiment triste
d’y penser.
Remarquez maintenant. Ils attendaient un Messie.
Est-ce vrai? Et le Messie, à Sa venue, devait être le Dieu Prophète.
Combien savent cela? Il devait accomplir le signe d’un prophète. En
effet, Moïse avait dit qu’Il serait un prophète, quand Il serait
manifesté dans la chair, il serait un prophète, Il accomplirait le
signe d’un prophète. C’est juste comme les Juifs maintenant. J’attends…
47 Frère Joseph et moi parlions cet après-midi.
Frère… Stockholm, en Suède. Frère Lewi Pethrus a envoyé à peu près un
demi-million de Bibles. Quand frère Arganbright m’a montré ce film:
«Minuit moins trois», ces Juifs qui viennent de partout dans le monde,
de l’Iran et d’ailleurs, ils n’ont jamais entendu parler du Nom de
Jésus. Ils ont été là tout le temps où ils étaient en captivité
romaine. Ils n’ont jamais entendu parler de quelque chose comme
Jésus-Christ. Frère Pethrus leur a envoyé ces Bibles. Ils les lisaient.
Et ainsi il avait eu une entrevue avec eux. Juste
sur… J’ai moi-même le film. Et ils regardaient cela. Et on leur a
demandé: «Pourquoi revenez-vous dans votre patrie, est-ce pour mourir?»
Ils portaient les vieillards au dos et tout…
Ils ont dit: «Nous sommes venus pourvoir le Messie.»
Oui, oui.
48 Quand le figuier commence à bourgeonner, l’été est
proche. Cette étoile à six branches de David est maintenant une nation.
Le plus vieux drapeau du monde flotte à nouveau, pour la première fois
depuis deux mille cinq cents ans. C’est vrai. Jérusalem a sa propre
monnaie, sa propre devise, ses propres lois, son propre gouvernement.
C’est de nouveau une nation. Jésus a dit que quand ce figuier commence
à bourgeonner, le temps est à la porte.
Quand ils ont vu cette–ces Bibles… Ils n’étaient pas
comme la plupart de nos Juifs du Wall Street. Ils étaient là, croyant.
Quand on est venu les prendre en avion, eh bien, ils ne voulaient même
pas monter dans cet avion. Ils avaient peur de cela. Ils n’en avaient
jamais vu du tout. Le TWA… Vous avez vu cela dans le Magazine Look. Le
vieux rabbin s’est présenté là et a dit: «Souvenez-vous, quand nous
étions appelés à retourner dans notre patrie, le prophète nous a dit
que nous serions ramenés sur les ailes d’un aigle.» Alléluia! Écoutez.
«Être ramené sur les ailes d’un aigle.»
Et ils étaient là dans leur patrie. Ils étaient de
nouveau revenus là. Ils ont pris cette petite Bible et ils ont commencé
à La lire, le Nouveau Testament. Les Juifs lisent en partant de la fin
vers le début, vous savez. Et quand ils l’ont lue jusqu’à la fin, ils
ont dit: «Si ce Jésus est le Messie…» Cela montre où ils en sont
aujourd’hui. «Si ce Jésus est le Messie, alors Il sera un prophète.
S’il est ressuscité des morts, qu’il accomplisse le signe d’un prophète
devant nous, et nous Le croirons.» Amen. Oh! la la! C’est tout à fait
vrai.
Vous les Gentils, vous ferez mieux de tomber sur
votre face. L’heure approche, où Dieu tournera Sa grâce vers les Juifs.
Et vous les Gentils, vous serez scellés sans Dieu, sans miséricorde,
juste une substance atomique. Ainsi mettez-vous en ordre avec Dieu
maintenant pendant que vous en avez l’occasion. Mettez-vous en ordre
avec Dieu maintenant.
49 Remarquez, quand Jésus est venu vers les Juifs, Il
a accompli ce signe Messianique, leur montrant qu’il était le Prophète.
Et ils L’ont appelé un diseur de bonne aventure, Béelzébul, un démon.
Et alors cela… Il restait un peuple qui attendait le
Messie. Combien savent qu’il n’y a que trois races de gens sur la terre
selon la Bible? La race de Cham, de Sem et de Japhet. Tous descendent
des fils de Noé. C’est exact. Très bien. Il s’agit des Juifs, des
Gentils et des Samaritains (lesquels sont à moitié Juifs et à moitié
Gentils). Et ces Samaritains attendaient la venue du Messie.
50 Jésus est passé par la porte, Il s’est assis là et
une femme est venue là. Et Il a dit: «Apporte-moi à boire.»
Elle a dit: «C’est contraire à la coutume, pour vous
les Juifs. Nous n’avons pas de relations avec vous.»
Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu
parles, tu me demanderais toi-même à boire.» La conversation a continué
jusqu’à ce que finalement Il a dit: «Va chercher ton mari puis viens
ici.»
Elle a dit: «Je n’ai pas de mari.»
Il a dit: «Tu as dit vrai, car tu as eu cinq maris,
et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»
Elle a dit: «Seigneur…» Cette prostituée en savait
plus au sujet de Dieu que beau… les deux tiers des prédicateurs des
États-Unis. C’est exact. Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es un
prophète. Nous (nous les Samaritains) nous savons que quand le Messie
viendra, Il accomplira ces signes. Il nous annoncera toutes choses.
Mais qui es-Tu?»
Jésus a dit: «Je le suis, Moi qui Te parle.»
Et elle a couru dans la ville et elle a dit: «Venez
voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait, ne serait-ce point le
Messie même? Avez-vous compris? N’est-ce point le Messie même? Très
bien.
51 Bien, Il a accompli ce signe devant les Juifs. Il
l’a accompli devant les Samaritains, mais pas devant les Gentils. Nous
étions des Anglo-Saxons, nous avions une massue sur le dos et nous
adorions des idoles, les Romains et tous les autres. Il n’a jamais
accompli ce signe devant eux. Et Il a dit que ce… Une génération
méchante et adultère en ces derniers jours recevra ce signe de Jonas,
le signe de la résurrection.
Or, Jésus leur a aussi dit: «Ce qui arriva du temps
de Sodome arrivera de même à la venue du Fils de l’homme. Quel genre de
signe Sodome a-t-elle reçu? La même chose, l’Ange avec le dos tourné.
(«Avez-vous… Tous tes gens sont-ils là, Billy? Tout le monde? Très
bien.») Il a dit…
52 Combien ici maintenant n’ont pas de carte de
prière et veulent que Dieu les guérisse? Levez la main. Dites: «Je–je
veux que Dieu me guérisse.» Eh bien, s’il y a encore des cartes de
prière, des gens qui ont des cartes, qu’ils entrent dans la ligne.
Maintenant si ce n’est pas le cas, pourquoi vous… Nous allons de toute
façon arriver à vous. Vous ne–vous n’êtes pas… Je veux que vous
trouviez… Si vous pouvez seulement saisir ce que j’ai dit ce soir, ce
sixième sens… Croyez de tout votre cœur.
Maintenant, beaucoup d’entre vous ont envoyé ces
mouchoirs. Je prie sur chacun d’eux, essayant de mon mieux de les
prendre tous. Maintenant, si je ne vous atteins pas, écrivez-moi à
Jeffersonville, dans l’Indiana. Je vous en enverrai un. Voyez? Je vous
enverrai cela par la poste. Si vous ne recevez pas cela ou manquez…
votre mouchoir d’une façon ou d’une autre se perd, écrivez-moi tout
simplement. Cela ne vous coûte pas un sou. Écrivez tout simplement et
nous… Évidemment, des fois certaines personnes les envoient avec un peu
d’argent, car nous dépensons des centaines de dollars par semaine pour
les timbres et tout, et nous envoyons ces–les mouchoirs partout dans le
monde, accompagnés de toutes sortes de prodiges et des miracles en
retour. En effet, cela atteint plus de gens que je ne le peux. Mais
regardez maintenant…
53 Je suppose que quatre-vingt-quinze pour cent de
gens… Je sais que j’ai ici des gens de Jeffersonville. Mais je n’en
vois aucun dans la ligne de prière. S’ils y étaient, je leur
demanderais gentiment de quitter (c’est vrai) car je peux les voir chez
nous. Ceci, c’est pour les gens qui sont ici, les gens qui ne peuvent
pas venir à un autre moment.
Maintenant, ici se tient une dame. Si je pouvais
guérir cette dame, je serais un–un–un–un coquin si je ne le faisais
pas. Si je pouvais le faire, je ne serais pas digne de me tenir
derrière cette chair, Frère Sullivan, si je pouvais la guérir. Mais je
ne peux pas la guérir. Elle est déjà guérie, si elle est malade.
J’ignore si elle est malade. Mais si elle est malade, Jésus l’a guérie
quand Il est mort au Calvaire. Il a rendu cela perpétuel. Il était
blessé pour nos péchés, par Ses meurtrissures nous avons été guéris.
Est-ce exact?
54 Maintenant, ces gens qu’on a poussés ici dans les
fauteuils roulants, je veux que vous regardiez… Hier soir je crois, une
dame qui était dans un fauteuil roulant, sur une civière, l’un ou
l’autre, le Saint-Esprit l’a appelée et l’a tirée de là. Eh bien, bien
des fois, vous qui êtes dans des fauteuils roulants, vous vous mettez à
dire: «Oh, mon cas est désespéré.» Aussi longtemps que vous croyez
cela, votre sixième sens est mort. Si votre sixième sens est vivant ce
soir, ceci est le dernier moment de votre souffrance. Vous vous lèverez
de là, vous rentrerez chez vous guéri.
Cet homme et cette femme qui se tiennent ici (ce
frère et cette sœur de couleur) avec leur petit garçon, croyez-vous ce
soir? Ayez foi, mon frère. Ayez foi, ma sœur. Le petit ami est trop
petit pour savoir ce qu’est la foi; croyez que Dieu guérira votre
enfant. La dame qui se tient ici avec ce petit garçon ici. Ayez foi…
Vous tous qui êtes autour de ces fauteuils roulants,
je veux que vous ayez foi pour ces gens. Et vous là-bas, certains parmi
vous qui êtes cardiaques, vous allez mourir dans quelques jours. Le
cancer… Si rien n’est fait, vous allez mourir. Ces gens peuvent vivre
une vie normale ici, étant paralysés. Mais si vous ne saisissez pas
Dieu tout de suite, vous allez mourir. Oui, oui. Mais saisissez Dieu et
dites: «Ô Dieu, j’utilise mon sixième sens; je crois. Et je crois que
Tu vas me rétablir.» Et alors Dieu fera cela. Ne croyez-vous pas cela?
Croyez le de tout cœur.
55 Bien, je ne vais pas utiliser la ligne de
discernement… Je ne saurai pas y faire passer ces cinquante. Je ne
saurai pas le faire. Mais je vais prier. Maintenant, si Dieu reste
toujours Dieu, si Dieu est toujours Dieu, alors Il peut tout faire
exactement comme Il…
Quelle est la forme la plus élevée de la–de la foi?
Il y avait un Romain… Un Juif a dit: «Viens, impose les mains à ma
fille; elle sera sauvée.»
Le Romain a dit: «Je ne suis pas digne, dis
seulement une parole.» C’est ce que les Gentils sont censés faire. Dans
les réunions outre-mer et à différents endroits, si les gens voient une
chose surnaturelle arriver, tout l’auditoire s’en ira par la foi.
Voyez? Ils croiront cela. Mais ici, c’est très difficile.
Bien, vous êtes des pentecôtistes. Vous pouvez êtres
des méthodistes, mais si vous avez le Saint-Esprit, vous êtes les
pentecôtistes. Maintenant, si ce sixième sens en vous est prêt à être
vivifié, vivifions-le.
56 Maintenant, cette femme-ci ou celle-ci de toute
façon, je–je ne connais pas la femme. Je pense que nous sommes
étrangers l’un à l’autre. Maintenant, ici… voici une femme. Je ne l’ai
jamais vue de ma vie. Elle a dit qu’elle ne me connaît pas et moi, je
ne la connais pas. Bien, comment saurai-je et… Elle est juste arrivée
à… Et on a mélangé ces cartes et on les a distribuées aux gens et elle
en a pris une et la voici. Il se fait qu’elle est la première sur
l’estrade.
Et si certains d’entre vous, au moment même où je
lui parle, vous croyez là-bas, voyez s’Il ne viendra pas là-bas vous
touchez aussi de la même manière. Voyez? Maintenant, si cela peut être
fait une fois à une personne qui n’a peut-être jamais été dans la
réunion, c’est la confirmation que c’est la vérité. Dieu a dit à Moïse:
«Prends ce don et va là-bas et montre comment tes mains ont été guéries
de la lèpre.» Il a fait cela une fois et tout Israël l’a suivi vers la
terre promise. Voyez? Chaque fois qu’il rencontrait un Israélite, il ne
disait pas: «Regarde ici, à ma main, elle a la lèpre. Voyez? Elle est
guérie.» Non, non. Il l’a fait une fois et ils ont tous cru cela. C’est
ainsi que nous sommes sensés y aller: voir cela et croire cela.
57 Maintenant, voici ma main. À ma connaissance je
n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Si je l’ai déjà vue, je n’ai
jamais fais sa connaissance. Elle est totalement étrangère. Mais si le
Saint-Esprit peut venir vers moi et me dire pourquoi elle se tient ici,
ou quelque chose qu’elle a fait, ou quelque chose qu’elle s’est proposé
de faire, ou peut-être quelque chose que–qu’elle connaît et que
j’ignore, cela sera une confirmation qu’Il est toujours le même Jésus
qui a parlé à la femme au puits. Ce sera une preuve à cette génération
des Gentils que le Messie qui autrefois a vécu dans la Colonne de Feu,
dans la Paternité, a habité dans un corps humain appelé le Fils dans la
Filiation, maintenant sous forme le Saint-Esprit en vous et moi, par la
sanctification par le Sang, habite dans nos corps. Le Saint-Esprit
habite en nous: «Celui qui croit en moi, les œuvres que je fais, il les
fera aussi. En vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de
Lui-même, il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Croyez-vous cela?
58 Maintenant, j’aimerais vous poser une question,
vous qui êtes dans les fauteuils roulants. Maintenant, si je pouvais
guérir cette femme, je le ferais. Si je pouvais vous guérir, je le
ferais. Je ne le peux pas. Mais si le Seigneur Dieu (étant donné
qu’elle est proche de moi) si le Seigneur Dieu me dit quelque chose au
sujet de cette femme (qu’elle soit juge, si c’est vrai ou pas) qu’elle
sait que j’ignore, vous savez qu’il faut une certaine puissance
surnaturelle ici pour faire cela. Est-ce vrai? Croirez-vous que c’est
le Fils de Dieu selon Sa promesse, qu’il a promis qu’Il ferait cela?
Croirez-vous partout ici? Accepterez-vous alors votre guérison et
croirez-vous cela de tout votre cœur? Juste un cas réglera la chose si
vous êtes vraiment sincère. Amen. C’est tout à fait vrai. Si vous
pouvez croire cette seule chose. Cela serait certainement la vérité.
Très bien donc. Maintenant, je vais juste me tenir
près de ce microphone, en effet quand les visions viennent, je ne sais
pas combien je–je parle bas ou combien je parle haut. Mais j’ai cet
auditoire ici qui promet de recevoir sa guérison si le Saint-Esprit me
révèle quelque chose à votre sujet que je… vous savez que j’ignore.
Maintenant, cela sera… Cela pourrait–pourrait-il vous encourager et
vous faire croire, s’Il faisait cela pour vous? Cela se pourrait-il?
Certainement.
59 Eh bien, maintenant, je vous parle juste comme
notre Seigneur a parlé à la femme au puits. Voyez? Il l’a captivée,
elle d’abord, car elle était la première (Voyez?) et c’est ainsi que je
dois aussi faire pour arriver à… Voyez? Vous êtes un être humain. Vous
avez un esprit. Vous avez une âme. Je suis un être humain. J’ai un
esprit et une âme. Je sais maintenant que vous êtes une chrétienne. En
effet, votre esprit commence à me témoigner que vous êtes une
chrétienne, (c’est exact), Voyez? Il s’en réjouit. Si vous ne l’étiez
pas, Il repousserait cela.
Avez-vous déjà été dans l’une des réunions et vu ces
choses se produire? Vous les avez vues se produire. Vous avez déjà
remarqué quand les pécheurs viennent et tout, voyez combien Il
s’éloigne d’eux comme cela. Il le fera maintenant même et leur dira:
«Tu es un pécheur. Tu as fait ceci et cela. Tu as fait telle chose.»
Voyez?
60 Maintenant, si vous croyez de tout votre cœur,
avec tout ce qui est en vous, Dieu pourra me révéler votre problème ou
quelque chose là-dessus. Alors vous allez recevoir cela. Et cela les
fera tous croire. Ces paralytiques ont dit qu’ils croiront. Les
malades, les cardiaques et tout, ont dit qu’ils croiront. Ainsi donc
que chacun croie et toute la ligne croira là. C’est inutile de faire
passer la ligne de prière. Tous ceux qui ont vraiment voulu utiliser ce
sixième sens, allez simplement de l’avant et dites: «Je remercie le
Seigneur, Il me guérit.» C’est Son attitude envers chacun d’eux. Il
s’est fait que vous êtes la personne qui a tiré ici. Il y en a
beaucoup, beaucoup d’autres partout là-bas. Le Saint-Esprit pourra
probablement, après un moment passer par-dessus tout l’auditoire. Je ne
sais pas ce qu’Il fera. Alors quand je deviendrai très faible, mon fils
ou l’un d’eux, Gene ou l’un d’eux viendra me toucher sur le côté. Je
sais que c’est… Je dois alors arrêter (Voyez?) car je ne… Vous ne savez
pas où vous êtes quelque fois après tant de visions, tout vous semble
alors être une vision. Voyez? Jésus a dit: «Vous en ferez davantage,
parce que je m’en vais au Père,» les choses qu’Il a vues…
61 Maintenant, je vois ce qu’a la femme. Elle est
venue ici pour la prière, et la prière, pour une petite grosseur. Et la
grosseur se trouve sur son bras. C’est exact, n’est-ce pas? Maintenant
croyez-vous? Maintenant, la grosseur m’est cachée. Mais elle n’est pas
cachée à Dieu. Que je vous dise sur quel bras elle se trouve? Le bras
droit. C’est… Est-ce exact? Levez la main si c’est vrai.
Maintenant, croyez-vous de tout votre cœur?
Maintenant, ce sixième sens vous fait-il quelque chose? Êtes-vous
simplement aveuglé à cela pour dire: «Eh bien, c’est très bon» Voyez?
Ou bien ce sixième sens se met-il réellement à opérer, et vous dites:
«Dieu soit loué, je sais que cet homme ne connaît pas cette femme. Eh
bien, Jésus-Christ seul la connaît. Et Il a promis qu’Il ferait cela.
Cela veut dire que vous irez bien alors, si vous pouvez croire cela.
62 Vous dites: «Peut-être vous avez deviné ce qu’elle
avait.» Je ne pouvais pas le deviner. Aucune supposition en cela.
Peut-être… Je vous dirai autre chose. Vous n’êtes pas d’ici. Vous êtes
de Lima. C’est exact. Croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes?
Mademoiselle White, Madame White. C’est vrai. Dieu vous guérit
maintenant, rentrez chez vous et croyez cela de tout votre cœur.
Maintenant, croyez-vous, chacun de vous? Ayez foi en
Dieu. Si vous pouvez croire, toutes choses sont possibles à ceux qui
croient. Si vous pouvez croire. Ou qu’en serait-il si je vous disais
que vous avez été guéri pendant que vous étiez assis sur la chaise, me
croiriez-vous? Continuez votre chemin alors car vous l’étiez. Ayez foi
en Dieu.
Maintenant, qu’en serait-il si je posais mes mains
sur vous et que je disais: «Satan, éloigne-toi de ce garçon.»
Croiriez-vous cela? Pourriez-vous vous rétablir? Venez ici. Satan,
quitte ce garçon au Nom de Jésus. Amen. Partez en croyant donc. Ayez la
foi.
Qu’en serait-il si je vous imposais les mains et que
je disais: «Satan, quitte-le»? Croiriez-vous cela? Satan, quitte-le au
Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, partez en croyant.
63 Si je vous disais ce qui ne va pas en vous, cela
vous aiderait-il ou voudriez-vous plutôt que je vous impose simplement
les mains? Qu’est ce qui pourrait vous aider, que je vous dise ce qui
ne va pas en vous? C’est dans votre dos. C’est exact. Est-ce vrai?
Alors rentrez chez vous et soyez guéri au Nom de Jésus. Très bien.
Croyez-vous que si je vous dis juste quelque chose,
si je vous impose les mains, cela vous rétablira? Venez ici alors. Au
Nom de Jésus, qu’elle soit guérie. Amen. Croyez. Très bien.
Qu’en est-il de vous? Je crois que je vous connais.
C’est exact. Je vais juste vous imposer les mains et dire: «Satan,
quitte mon frère au Nom de Jésus-Christ. Amen.» Croyez de tout votre
cœur maintenant, frère: partez.
64 Croyez-vous, vous tous? Eh bien, écoutez. Voici ce
que je ne peux pas comprendre. Voyez? Pourquoi quand le Saint-Esprit
viendra et révélera les choses… Il me dit tout ce qui ne va pas chez
les gens. Si je m’arrête une minute, les autres par contre n’entreront
pas dans la ligne. N’est-il pas tout aussi glorieux de voir le Seigneur
quand les gens passent, avoir assez de foi pour être guéri, par
l’imposition des mains, que ce serait de–d’avoir un discernement après
que vous ayez vu cela être accompli? Sommes-nous devenus si
américanisés que le Saint-Esprit doit nous divertir?
Ici, venez ici. Je ne vous connais pas. Mais nous
sommes étrangers l’un à l’autre. Est-ce vrai? Vous me connaissez, mais
moi je ne vous connais pas. Mais Dieu nous connaît tous deux. Si Dieu
me révèle votre problème, croirez-vous que je suis Son prophète? De
tout votre cœur? Très bien. Vous êtes cardiaque, c’est tout à fait
vrai. Croyez-vous maintenant de tout votre cœur? Croyez-vous que vous
serez guéri? Vous venez de très loin pour ceci, n’est-ce pas? Tout ce
trajet depuis la Californie. C’est exact. Vous avez amené votre femme
aussi? Elle a aussi besoin de la guérison. Elle n’a pas eu de carte.
Mais elle a un problème aux hanches. C’était dû à une chute. N’est-ce
pas vrai? Rentrez chez vous; vous allez vous rétablir vous deux. Partez
en croyant.
65 Eh bien, maintenant, c’est la même chose que… Mes
amis… Si vous pouvez croire, tout est possible. Croyez-vous, sœur. Si
je vous impose simplement les mains, croirez-vous que vous serez
guérie? Venez donc. Au nom du Seigneur Jésus, guéris cette femme. Très
bien.
Venez, madame. Maintenant, voyez, maintenant,
pourquoi? Cette femme est guérie tout autant que l’autre homme.
Pourquoi ne disons-nous pas: «Dieu soit loué» pour avoir guéri cette
femme? Voyez-vous?
66 Ici, maintenant, vous savez que je sais ce que
vous avez. Vous le savez tout aussi bien que moi. Vous savez que Dieu
peut me le dire. Maintenant, si je vous le dis, cela vous aidera-t-il?
Il s’agit de vos nerfs qui craquent. C’est tout à fait vrai. Croyez de
tout votre cœur, partez et rétablissez-vous au Nom de Jésus-Christ.
Ayez foi.
Croyez-vous, sœur, de tout votre cœur? Au Nom de
Jésus-Christ, partez et soyez guérie.
Croyez-vous de tout votre cœur, sœur? Au Nom de
Jésus-Christ, partez et soyez guérie. Ayez foi.
Venez sœur, croyez-vous de tout votre cœur? Au Nom
de Jésus-Christ, partez et soyez guérie.
Maintenant, c’est exactement comme ça que Dieu a dit
de faire cela, n’est-ce pas vrai? Voici les miracles qui accompagneront
ceux qui auront cru.
Au Nom de Jésus-Christ, partez et soyez guérie. Amen.
Croyez-vous pour elle? Au Nom de Jésus-Christ, que
le démon quitte l’enfant. Amen. Partez maintenant, soyez guérie.
Voulez-vous prendre votre souper, être guérie des
maux d’estomac? Allez prendre votre souper et rétablissez-vous au Nom
de Jésus. Croyez-vous de tout votre cœur? Voyez?
67 Gardez le… Recevez ce sixième sens; écartez du
chemin ces vieux cinq sens, et croyez.
Bonjour. Que je vous dise quelque chose ou pas,
croirez-vous quand même, hein? Vous croirez cela de toute façon. Très
bien. Ce petit kyste sur votre colonne vertébrale, se trouve entre vos
épaules, partez en croyant et soyez guéri. Croyez-vous? Au Nom de
Jésus-Christ. Amen. Ayez foi.
Venez, mes frères, croyez-vous? Au Nom de Jésus,
qu’il soit guéri?
Venez. Croyez-vous, frère? Au Nom de Jésus-Christ,
je vous impose les mains, vous vous rétablirez. Amen. Croyez maintenant
Croyez-vous, monsieur? Au Nom de Jésus-Christ, soyez
guéri. Amen. Jésus le fait pour vous, si vous croyez.
Au Nom de Jésus-Christ, soyez guéri. C’est comme ça,
mes frères. C’est cela. C’est ainsi qu’il faut le faire.
Au Nom de Jésus-Christ, partez et soyez rétabli.
Amen.
Venez, ma sœur. Si l’onction du Saint-Esprit est ici
pour faire des miracles comme cela, vous allez certainement croire que
je suis oint par Lui, n’est-ce pas? Ainsi au nom de Jésus-Christ,
partez et soyez guérie. Amen.
Croyez-vous, frère? Au nom de Jésus-Christ, partez
et soyez guéri.
68 Si vous pouvez croire, tout est possible.
Est-ce le malade suivant? Très bien. Croyez-vous,
sœur, de tout votre cœur? C’est cela. Amen. Elle a réellement compris
cela. J’ai seulement observé, elle avait une ombre au-dessus d’elle, et
quand cela s’est éloigné, je me suis demandé ce que cela est devenu,
cela a fait un tour, maintenant, c’est parti parce qu’elle a cru.
Voyez? C’est cela.
Je ne vous connais pas. Vous ne me connaissez pas.
Nous sommes étrangers l’un à l’autre. Mais Dieu vous connaît, et Il
sait que je suis ici pour vous aider si possible. Le croyez-vous?
Juste une minute, quelque chose s’est passé dans
l’auditoire, quelque part, quelque part. C’est cela, vous commencez à
croire là-bas. Bien, votre mal se trouve dans le dos. C’est exact. Vous
avez mal au dos. Mademoiselle Finnhoeffer, rentrez chez vous et soyez
en bonne santé …?…
69 Venez en croyant de tout votre cœur. Croyez-vous,
monsieur? Au nom de Jésus-Christ, partez et soyez rétabli.
Venez. Maintenant, si je vous dis ce qui ne va pas,
ou si je ne vous le dit pas, ou quoi d’autre, allez-vous croire de
toute façon? Alors votre tr… féminin. Le trouble féminin vous a quitté,
allez de l’avant. Oui, je l’ai déclaré de toute façon. Très bien.
Croyez-vous que Dieu va guérir votre nervosité? Très
bien. Partez et soyez guéri au nom de Jésus-Christ, croyez de tout
votre cœur.
Vous voulez être guéri des maux d’estomac? Très
bien. Allez prendre votre souper et soyez bien portant au Nom du
Seigneur Jésus.
Croyez-vous de tout votre cœur? Très bien.
Croyez-vous, sœur? Au Nom de Jésus-Christ, partez et soyez rétablie.
Très bien.
Croyez-vous que ce petit garçon peut être guéri de
cette maladie? Je maudis le diable qui a fait ceci à votre enfant;
puisse-t-il être guéri au Nom de Jésus-Christ. Amen! Amenez-le
maintenant, ne doutez pas. Observez ce qui lui arrivera, si vous pouvez
croire.
Croyez-vous de tout votre cœur? Au Nom de
Jésus-Christ, que vous soyez guéri.
70 Il y a une guérison qui continue à tirer de ce
côté-ci. Il s’agit d’une petit dame qui est assise là derrière, portant
un chapeau brun, plutôt mince. Elle souffre de la tuberculose. Très
bien, sœur. Je ne vous connais pas, madame, et vous ne… connaissez pas.
Si, vous devez me connaître. Une fois vous avez été guérie dans ma
réunion; je vois, c’était à Fort Wayne, dans l’Indiana. Alléluia! Ça y
est. Croyez-vous que Dieu peut me dire le problème–votre problème là?
Vous aviez une tumeur, et Dieu vous a guérie de ça. AINSI DIT LE
SEIGNEUR. Alléluia!
Je vous défie de croire. Il y en a tant qui croient.
Ayez foi en Dieu. Croyez vous, sœur? Au Nom de Jésus, partez et soyez
rétablie pour la gloire de Dieu.
Croyez-vous, frère? Au Nom de Jésus-Christ, partez
et soyez rétabli.
Croyez-vous, frère? Au Nom de Jésus-Christ, partez
et soyez rétabli.
Croyez-vous, sœur? Au Nom de Jésus-Christ, partez et
soyez rétablie.
Croyez-vous, frère? Au Nom de Jésus, partez et soyez
rétabli.
Croyez-vous pour ce petit bébé? Maintenant,
regardez, je sais, c’est une maladie de naissance mais cela n’a rien à
voir… Ce que le diable fait chaque fois le diable, Dieu est capable
d’ôter cela. Croyez-vous cela? Je maudis le diable qui a fait ceci à
cet enfant. Au Nom de Jésus-Christ, puisse cet bébé être guéri. Amen.
71 Croyez-vous, sœur? Au Nom de Jésus-Christ, partez
et soyez rétablie.
Croyez-vous, sœur? Au Nom de Jésus-Christ, partez et
soyez rétablie.
Croyez-vous, sœur? Au Nom de Jésus, partez et soyez
rétablie.
Croyez-vous, sœur? (Est-elle la dernière de la ligne
de prière?) Très bien, regardez-moi, ici, juste une minute. Croyez-vous
de tout votre cœur? Si Dieu peut me révéler votre problème, allez-vous
croire cela? Une chose, c’est votre œil qui va mal. C’est vrai. Ce
n’est pas là votre grand problème. Vous avez une tumeur, la tumeur se
trouve dans l’estomac. Vous n’êtes pas d’ici. Rentrez dans l’Illinois
et rétablissez-vous. Que Jésus-Christ vous guérisse. Si vous pouvez
croire, tout est possible. Croyez-vous cela?
72 Cet homme qui est assis juste là derrière, a eu…
amené un petit bébé qui a la maladie bleue. Vous êtes de Chattanooga,
dans le Tennessee. Monsieur Kirkline, rentrez chez vous et croyez. Le
cœur de ce bébé va guérir. Jésus-Christ rétablit cela. Alléluia! C’est
la puissance de notre Dieu. Ayez foi en Dieu.
Une autre dame assise là, venant de Memphis, dans le
Tennessee, est assise là, par ici, elle prie pour sa fille perdue. Ayez
foi en Dieu.
Je cherche une dame, je ne la vois pas dans
l’auditoire. Mais elle est quelque part ici. Elle prie. Que Dieu m’aide
à la repérer. Il y a quelqu’un qui a la foi, il est cardiaque et
diabétique. Elle s’appelle madame Wells. Ayez foi en Dieu. Quelque
part, je n’arrive pas… [Quelqu’un dit: «La voici.»–N.D.É.] Très bien,
très bien, sœur, votre foi vous a sauvée. À part ça, la maladie de cœur
est héréditaire dans la famille. Vous n’avez pas de carte de prière,
n’est-ce pas? Puisque vous… Non. Puisque, toutes les cartes de prière
sont épuisées. La maladie de cœur est héréditaire dans la famille. Vous
avez un frère qui est cardiaque. Ce frère n’est pas ici. Ce frère vit
au Baltimore, dans le Maryland. Et lui aussi n’est pas sauvé, parce
qu’il est couvert d’une ombre noire. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.
73 Croyez-vous de tout votre cœur? Ce sixième sens
va-t-il agir sur vous? Imposez-vous les mains les uns aux autres ici
même, Ô Dieu, Créateur du ciel et de la terre, envoie Ton Saint-Esprit
en ce moment et guéris chaque personne qui est dans la Présence divine
au Nom de Jésus-Christ? Croyez-vous cela?
Combien ici veulent connaître Jésus-Christ comme
leur Sauveur? Tenez-vous debout. Vous êtes près de Lui. Que Dieu vous
bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est vrai. C’est merveilleux!
74 Combien désirent avoir le Saint-Esprit? Tenez-vous
debout. Combien désirent le baptême du Saint-Esprit, qu’ils se tiennent
debout, chacun de vous. Vous êtes trop nombreux ici pour être reçu
maintenant, entrez en file tout de suite dans cette pièce afin que nous
vous rencontrions ici. Au Nom de Jésus si vous venez avec sincérité,
vous serez rempli du Saint-Esprit et sauvé de tous vos péchés. Entrez
dans la pièce ce soir. C’est le moment. Venez par ici vers la pièce.
Tous ceux qui sont ici et qui croient en Dieu, qui veulent être sauvés
et remplis du Saint-Esprit. Déplacez-vous immédiatement de cette salle,
ainsi nous pouvons vous aider.
S’il y a ici quelqu’un de mon église de
Jeffersonville, qui n’a pas encore reçu le Saint-Esprit comme… Frère
Collins et eux tous qui ont reçu le Saint-Esprit, depuis qu’ils sont
ici, oh, ils ont déchiré la contrée. Venez par ici, c’est le moment
pour vous de Le recevoir, à l’instant même. Entrez. Ne sortez pas de là
avant de recevoir le Saint-Esprit. Tous les pécheurs, venez maintenant.
Entrez ici et cherchez Dieu pour le salut. C’est comme ça.
75 Je défie tout homme et toute femme qui est dans la
Présence divine, qui est malade, qui a quelque chose, je vous défie de
croire au Seigneur Jésus-Christ pendant que je prie pour vous. Le
ferez-vous? Combien promettent de faire cela? Si Dieu peut me donner
ici le pouvoir de discerner les esprits… je vous dis, je ne peux pas
vous guérir. Vous êtes déjà guéri. Jésus vous a guéri quand Il est mort
pour vous. Ne laissez pas ce sixième sens s’engourdir, mettez cela en
action maintenant et croyez cela. Qu’en est-il de vous tous qui êtes
ici dans ces fauteuils roulants, croyez-vous cela? Levons donc les
mains vers Dieu.
76 Ô Seigneur Dieu, ne laisse pas ce message passer
en vain. Ne laissez, pas la puissance de Dieu être gaspillée ici ce
soir. Mais que le Dieu du ciel envoie la puissance pour convaincre et
pour guérir tout le monde. Que le démon quitte tous ceux qui ont le
cancer, qui sont cardiaques, qui sont paralysés, qui ont la leucémie,
toutes sortes de maladies. Je défie cela par un don, reçu d’un l’Ange,
envoyé au travers des souffrances de Jésus-Christ pour guérir les
malades et les affligés.
Satan, sors d’eux. Je t’ordonne, au Nom de
Jésus-Christ, de sortir d’eux.
Maintenant, tous ceux qui acceptent Christ comme
leur Guérisseur, peu importe ce que vous avez, cela ne fait aucune
différence, si vous croyez Dieu, levez-vous et acceptez cela au Nom de
Jésus-Christ. C’est comme ça. Amen! Que Dieu vous bénisse. Ça y est!
C’est parfait, parfait. Que Dieu bénisse les vôtres, Frère Sullivan.