1          Restons debout juste un moment maintenant pour prier. Combien ici ont une requête dans leur coeur, c’est-à-dire que vous voudriez que Dieu fasse quelque chose de spécial en votre faveur pendant cette convention? Maintenant, inclinons la tête devant Lui.

2          Père Céleste, nous sommes un peuple privilégié d’être rassemblés ici au Nom du Seigneur Jésus, dans un pays libre où, jusqu’à présent, nous pouvons T’adorer selon la voix de notre conscience. Et nous prions, Père, qu’il en soit ainsi pendant longtemps. Et maintenant, puissions-nous tirer profit de ce grand privilège que nous avons. Puissions-nous mettre tout notre coeur dans la réunion de ce soir pour T’adorer, de sorte qu’on puisse dire que «Dieu était au milieu de nous ce soir, qu’Il a béni Son peuple».

3          Sauve chaque âme perdue qui est ici ce soir, Seigneur. Et que tous les rétrogrades puissent revenir à la maison de Dieu. Je prie que tous les malades soient guéris, que les affligés marchent, que les aveugles voient, que les sourds entendent, que la louange et la gloire soient rendues à Jésus-Christ parmi Son peuple. Qu’on s’en souvienne longtemps après, Seigneur, parce que nous nous sommes rassemblés et nous demandons ces bénédictions au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

4          D’une façon ou d’une autre, quand j’arrive à l’Auberge Ramada, en un sens, c’est toujours un peu comme rentrer à la maison, parce que j’ai si souvent été ici que je–je pense que les gens commencent forcément à me connaître. Et j’en suis très content, parce que j’ai trouvé un groupe de gens formidables à l’Auberge Ramada. Celle de Tucson et celle-ci, les gens y ont été vraiment gentils avec nous, en nous permettant de tenir ces réunions. Il n’y a pas longtemps, j’ai tenu une de mes propres réunions à l’Auberge Ramada, et le gérant n’a même pas voulu que je paie la location de la salle. C’est vraiment gentil. Je m’en souviendrai aussi lors de mon passage dans différents pays, donc, de ceux qui sont bons envers la famille de Dieu.

5          Eh bien, depuis dimanche soir, ou plutôt depuis dimanche après-midi, nous avons passé des moments bénis dans le Seigneur, ou du moins, c’est mon cas, à moi. J’ai passé des moments merveilleux à jouir de Ses bénédictions, et de la communion du Saint-Esprit, et avec Son peuple.

            Je–j’aime garder à l’esprit qu’en étant ensemble, nous adorons Dieu. Vous êtes un attribut de Dieu, une partie de Dieu, quand vous devenez un fils ou une fille de Dieu. Et Dieu est en vous, Il veut accomplir Sa volonté, pourvu que vous Le laissiez faire.

6          Ce soir, nous espérons donc que chacun oubliera les choses qui ont rempli ses journées, qu’il mettra tout de côté, pour avoir notre coeur dans la réunion, maintenant; pas seulement ce soir, mais aussi la convention qui va suivre. Sans doute que beaucoup de délégués se sont rassemblés ici. Effectivement, je vois quelques personnes de plus sur l’estrade ce soir, on se rassemble en vue de la convention qui commencera demain. Et je demanderais aux gens qui sont ici à cause des réunions de réveil que nous venons de tenir, si c’est possible, j’aimerais que vous restiez pour la convention. On aura de très bons prédicateurs au programme. Un frère n’a pas pu venir, et–mais il y en aura beaucoup ici pour le remplacer. Moi-même, je veux être là pendant toute la convention, pour savourer la communion fraternelle.

7          Vous savez, nous montons ici, nous les prédicateurs, et nous prêchons, et nous sommes là à donner constamment aux gens tout ce qu’il y a en nous. Une fois, j’ai prêché sur un sujet, sur ce que Jésus avait dit: «Considérez le lis, il ne–ne travaille ni ne file cependant, Je vous dis que Salomon, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux.»

8          Et je vois que le lis doit croître jour et nuit, filer, travailler, pour être radieux. Mais il n’en retire aucune bénédiction pour lui-même. Il s’ouvre, et–et le passant renifle son parfum. L’abeille tire le miel de son sein. Tout ce qu’il a acquis par son travail, il le donne. Et j’ai intitulé mon message: Monsieur le révérend Lis. C’est donc un sujet un peu bizarre.

            Mais–mais c’est ça, les prédicateurs se donnent aux gens, et alors, c’est bon de s’asseoir et–et d’écouter les autres. C’est comme se chauffer près du feu, nous aimons nous asseoir à la flamme du feu des uns des autres, et nous réchauffer le coeur avec l’Évangile que nos frères prêchent aux gens. Et je suis reconnaissant d’avoir l’occasion de le faire.

9          Et maintenant, j’espère que ce soir... Billy m’a dit qu’il avait distribué toutes les cartes de prière. Nous ne pourrions pas avoir une ligne de prière par ici, même s’il le fallait. Voyez-vous, il vous faudra passer par-là, traverser par-là, par un couloir sombre, et venir de ce côté. Vous vous cogneriez contre toutes sortes de choses pour venir jusqu’ici. Ceux qui sont affligés et les infirmes seraient très mal en point, en faisant cela.

            Mais nous ne savons pas ce que notre Seigneur peut faire. Il se peut qu’Il descende directement au milieu de nous, ce soir, et–et qu’Il guérisse tous ceux qui sont ici, chaque malade. Oh! je préférerais voir ça que toutes les lignes de prière que j’ai jamais formées dans ma vie, juste–juste voir la souveraineté de Dieu descendre au milieu de Ses enfants obéissants. C’est ce que je–j’aime, toujours.

10        Généralement, si on a un contact personnel avec les gens, comme par l’imposition des mains, il est possible–je ne pense pas que beaucoup le feraient–eh bien, les gens diraient: «Tel prédicateur m’a imposé les mains, et gloire à Dieu!» Cela amène alors les gens à regarder à ce prédicateur-là.

11        Mais si on peut simplement se tenir ici, prêcher la Parole, et laisser le Saint-Esprit guérir chacun, alors là, c’est absolument la grâce de Dieu. Et alors, Dieu en reçoit toute la louange, toute la gloire, et il n’y a pas l’ombre de quoi que ce soit pour quelqu’un d’autre.

12        C’est ainsi que je… dans mon ministère, la raison pour laquelle je n’arrive pas à prendre beaucoup de gens, à moins... Bon, hier soir, nous avons essayé de prier pour le plus de gens possible. Mais quant à l’imposition des mains...

            C’est généralement le soir, peut-être que le Saint-Esprit pourra tout simplement venir au milieu de nous et commencer à Se manifester, à Se révéler parmi nous. Et, alors ainsi, je pense que c’est réel, quand Il peut, peut-être dans Sa souveraineté…

13        Voyez-vous. Je ne peux donc pas dire: «Cet homme-ci, ou cette femme-ci, ou cet enfant-là», voyez-vous. C’est le Saint-Esprit qui se déplace dans la salle et qui parle à celui à qui Il veut. Voyez-vous, c’est souverain. Et alors, c’est de cette manière que la connaissance vient, parce que c’est une promesse de Dieu, et c’est de cette manière que la connaissance de–de … Dieu est souverain, et Sa Présence aussi descend parmi nous. Nous devrions le voir et nous réjouir!

14        Et peu importe...Vous dites: «Eh bien, j’ai une main infirme. J’étais là hier soir. Je–je–je ne vais pas mieux.» Ça n’a absolument aucun rapport. Pour vous, c’est déjà terminé. Vous ne regardez pas votre main à ce moment-là, vous regardez la promesse, voyez-vous.

15        Par conséquent, vous ne pouvez pas dire: «Eh bien, frère Untel n’a pas prié la prière de la foi, ou telle et telle personne.» C’est la Présence du Seigneur qui vous a donné la foi, voyez-vous, et alors Il a envoyé Sa Parole et les a guéris.

            Eh bien, hier soir, je–j’ai encore manqué à ma promesse. Mais je vais vraiment essayer de la tenir ce soir, si je le peux. Bon, quelqu’un disait: «Vous ne vous êtes pas tenu à votre sujet hier soir.»

16        Non, je–je ne l’ai pas fait, je vais en fait vous dire pourquoi. J’avais l’intention de prêcher sur un sujet, je ne me souviens plus exactement lequel maintenant; «mais… Dieu, qui est riche en miséricorde».

            Et je me suis mis à essayer d’expliquer ce que Paul avait dit là, quand il avait dit: «Nous qui, autrefois,» à un moment donné, à un autre moment que maintenant, «nous étions morts dans–dans notre péché et dans nos offenses; Dieu qui nous a vivifiés, ramenés à la Vie...»

17        Bon, voyez-vous, avant que quelque chose puisse être vivifié, il doit y avoir quelque chose là pour le vivifier. C’est exact.

            Donc, voyez-vous, si vous étiez dans la prescience de Dieu, alors vous devenez une partie de Dieu. Et le seul moyen pour vous d’être un fils ou une fille de Dieu, c’est d’avoir été forcément une partie de Dieu, et Dieu n’est pas complet sans vous. Absolument. C’est exact, parce qu’il y a une et une seule source de Vie Éternelle, et c’est Dieu, et Lui seul a la Vie Éternelle. Voyez? Donc, et vous étiez une partie de Lui, en ce sens que vous êtes un attribut ou étiez dans Sa pensée au commencement. Et c’est à cause de ça, (parce qu’Il vous avait en pensée au commencement), que vous êtes attiré vers Lui. C’est cela qui doit être vivifié.

18        Certaines personnes ne seront jamais vivifiées; cela n’est tout simplement pas en eux, un point c’est tout. C’est comme si vous mettiez un grain de maïs en terre, qui n’a pas... Il peut beau avoir une très belle apparence, s’il n’a pas en lui le germe de vie, il ne pourra jamais être vivifié. Mais le germe de vie doit d’abord se trouver là.

19        J’ai cette petite histoire de l’aigle qui se promenait avec les poules et les poulets, parce qu’il avait éclos et était né là-bas, mais il ne s’était jamais senti dans la peau de ces poulets. Et, vous savez, quand sa maman est passée et qu’elle a poussé son cri, il a entendu une voix qui lui a vraiment plu. En effet, souvenez-vous, il était un aigle dès le départ. Tout ce qu’il lui fallait faire, c’était qu’il arrive à se découvrir et à découvrir sa place.

20        Et il en est ainsi pour chaque croyant. Vous n’êtes pas né pour ce monde-ci. Vous avez été créé à l’image de Dieu, pour être un fils de Dieu. Et vous n’êtes pas à votre place dans cette basse-cour d’ici. Vous êtes un aigle.

            Et vous savez, je me suis emballé en parlant de cet «aigle», et je n’arrivais plus à revenir sur terre ; alors j’ai simplement... J’ai prêché trop longtemps, et puis j’ai oublié mon sujet, j’ai perdu mes notes et tout le reste. Je passais un moment très glorieux. Et c’était bien cela, c’était en parlant de cet «aigle».

21        Maintenant, puisse cet Aigle, Dieu… Vous savez, Dieu compare Ses prophètes à des aigles. Et Il Se nomme Lui-même un aigle; Il est l’Aigle Jéhovah, Papa Aigle. Et s’Il Se donne ce nom-là, c’est parce que l’aigle peut voler plus haut que tous les oiseaux, et il est conçu différemment de tous les autres oiseaux. Eh bien, il ne construit pas son nid au sol, comme les poules et tout, mais il va dans les hauteurs pour y construire son nid.

22        Autre chose, c’est un oiseau d’une constitution spéciale. Bon, si un–si un faucon, ou un corbeau, ou une buse, ou n’importe quel autre oiseau essayait de le suivre dans les cieux, il se désintégrerait, il n’est pas conçu pour ça. Il faut être quelqu’un de spécial pour monter là-haut. Ses plumes sont fixées plus solidement que ceux de tous les autres oiseaux.

            Et–et son oeil est plus perçant que celui de tous les autres oiseaux. Et plus haut il monte, plus loin il voit. Eh bien, certains oiseaux, une fois arrivés à la hauteur où ils devraient être, ils deviennent aussi myopes qu’une chauve-souris.

23        Et c’est pareil pour... Eh bien, quand ils se détachent de leur credo, alors ils ne savent rien là-dessus. «Les jours des miracles sont passés.» Pourquoi? Ils ne peuvent pas voir cela.

            Mais les aigles peuvent monter jusque dans les cieux, et jusque dans les cieux des Cieux, là-haut. A quoi sert-il de monter jusque là si vous ne pouvez pas voir? Oh! je suis si heureux d’être l’un d’eux, et de m’associer maintenant avec tout un nid rempli de ces aigles.

            Allons maintenant dans l’Ancien Testament, le Livre des Proverbes, écrit par Salomon, l’un des hommes les plus sages du monde, après notre Seigneur Jésus. Mais Lui n’était pas tout à fait comme Salomon, en ce sens que Salomon était un homme né d’une femme et engendré par un père terrestre, David. Mais Jésus était un Fils né d’une vierge, et Il n’était pas seulement un homme, mais Il était aussi Dieu, l’Homme-Dieu, Il était plus qu’un homme, Il était un homme plus. Voyez?

24        Mais Salomon n’était qu’un homme comme vous et moi, et il a demandé à Dieu la sagesse, pour diriger son royaume. Et il a reçu un don de sagesse, l’homme le plus intelligent qu’on ait jamais connu, après notre Seigneur. C’est lui qui a écrit les Proverbes, et je trouve qu’ils sont vraiment bons.

25        Et maintenant, nous allons prendre le Livre des Proverbes, au chapitre 1, et, ou plutôt au chapitre 2, et les premiers versets de Proverbes 2, à partir de 1. Proverbes 2, à partir de 1, la suite des conseils de Salomon à ses fils: «Mon fils, si tu reçois...» Excusez-moi.

            C’est Proverbes 3.1. Excusez-moi. J’ai regardé ici, dans–dans mon livre, et je vois que c’est Proverbes 3, et non 1 ou 2. Excusez-moi. Proverbes 3.1.

            Mon fils, n’oublie pas mon enseignement, et que ton coeur garde mes commandements ; car ils seront... ils t’ajouteront un prolongement des jours et des années de vie, et la paix.

            Que la bonté et la vérité ne t’abandonnent pas; lie-les à ton cou, écris-les sur la tablette de ton coeur.

            Tu trouveras la faveur et la bonne sagesse, aux yeux de Dieu et des hommes.

            Confie-toi de tout ton coeur à l’Éternel, et ne t’appuie pas sur ton intelligence; dans toutes tes voies connais-le, et il dirigera tes sentiers.

26        Oh! je pense que c’est vraiment le plus beau passage de l’Écriture! Eh bien, j’aimerais prendre comme sujet, tiré du–du verset 5: Ne t’appuie pas sur ton intelligence.

27        Or, voilà un–un sujet très bizarre pour le jour où nous vivons, parce qu’aujourd’hui on met certainement beaucoup l’accent sur l’instruction et sur la compréhension que nous avons des choses, en ce jour du–du savoir. Mais nous voyons que cette déclaration bizarre, ici, comme d’autres passages de l’Écriture, a sa place, et nous faisons confiance à Dieu qu’Il nous fera voir quelle est cette place.

28        Aujourd’hui, nous envoyons nos enfants à l’école pour qu’ils acquièrent la connaissance des choses. Une fois l’école primaire terminée, nous les envoyons à l’école secondaire pour qu’ils aient une meilleure connaissance sur le plan scientifique. Et une fois ces études-là terminées, certains enfants ont même la chance d’aller à l’université, ils vont à l’université pour parfaire leurs études et leurs connaissances scientifiques. C’est ce qu’on leur exige...

29        Souvent, pour obtenir un emploi, il faut avoir fait au moins des études secondaires, ou des études supérieures, et tout. Pourtant, le sage Salomon nous a dit de ne pas nous appuyer là-dessus, pas sur notre propre intelligence… «Ne recevez pas vos instructions de ces choses-là.» car…

30        Nous nous demandons pourquoi il dirait une chose pareille. C’est parce que, d’habitude, notre connaissance contemporaine correspond généralement à la sagesse de l’homme, laquelle est contraire à la Parole de Dieu. Je pense que le conseil que Salomon essayait de prodiguer à ses fils, ce n’était pas d’être illettré, mais de ne pas s’appuyer sur leur intelligence.

31        Et je trouve que ce serait une bonne exhortation pour aujourd’hui, de dire à nos fils et aux fils de Dieu qu’il n’y a pas de mal à s’instruire, il n’y a rien contre ça; mais quand cette instruction est contraire à la Parole de Dieu, alors appuyez-vous sur la Parole et laissez tomber votre instruction, voyez-vous, à cause de la Parole. L’instruction va vous servir, va vous donner un bon emploi, et probablement un bon standing parmi les intellectuels, et il n’y a pas de mal à ça ; ça vous aidera peut-être beaucoup, ça vous aidera du côté financier et du côté de vos–vos moyens de subsistance, ça vous permettra peut-être de vivre un peu mieux.

32        Mais souviens-toi d’une chose, mon fils, tu devras mourir. Peu importe toutes les études que tu as pu faire, toute la culture que tu as pu acquérir, tu devras quand même affronter la mort, parce qu’il est écrit que «l’homme doit mourir, après quoi vient le Jugement». Et Dieu, quand... La mort n’est pas si grave, mais de passer en Jugement, c’est ça qui est grave.

33        Bon, vous pouvez mourir, «mais après quoi vient le Jugement». Et Dieu ne va pas vous demander combien vous avez étudié quand vous étiez sur terre, combien de connaissances vous avez acquises, si vous avez obtenu votre licence en lettres, ou le diplôme que vous avez bien pu obtenir, même en tant que prédicateur. Ce n’est pas sur ça qu’on vous demandera des comptes.

34        Mais on vous demandera des comptes sur ce que vous avez fait de ce que vous compreniez de la Parole de Dieu. Ce sera ça l’exigence. En effet… Votre instruction, c’est bien, mais la Parole de Dieu, c’est la Vie. «Ma Parole est Vie», et La connaître, c’est la Vie.

35        Et Il–Il a dit: «De Le connaître, Lui.» Il est la Parole. Alors, vous ne pouvez Le connaître que par la Parole, car Il est la Parole. Et c’est le seul moyen pour vous de Le connaître, c’est par Sa Parole.

36        Quelqu’un pourrait se présenter là et dire: «Ceci, c’est Dieu», ou, «ça, c’est Dieu», ou «ceci, c’est Dieu», ou «ceci, c’est juste» ; et «ça, c’est juste», mais revenons à la Parole, qui est la Vérité.

37        La Parole, c’est exactement comme la–l’étoile polaire, c’est une vraie étoile. Peu importe de quel côté le monde peut flotter, l’étoile polaire est centrée par rapport à la terre. Vous réglez votre boussole en fonction de l’étoile polaire. Celle-ci est toujours au centre par rapport à la terre. Les autres étoiles se déplacent avec la terre, mais l’étoile polaire reste stable.

38        Or, la boussole, c’est le Saint-Esprit, et (le) votre–votre poteau d’attache serait l’étoile polaire; alors, le Saint-Esprit vous dirigera toujours vers la Parole. Le Saint-Esprit ne vous conduira jamais vers quoi que ce soit d’autre que la Parole de Dieu.

39        Alors, comment un homme pourrait-il accepter un credo, alors que c’est contraire à la Parole, et continuer quand même à prétendre avoir le Saint-Esprit? Le Saint-Esprit vous dirigerait dans le sens opposé. C’est le Saint-Esprit qu’il faut pour vous diriger vers la Parole, car Il est la Parole. Il est la Parole.

40        Et Il peut... Comme la–Comme l’aiguille aimantée de la boussole est réglée pour n’indiquer que le pôle Nord, elle ne peut être attirée que dans cette direction-là. Et comme le Saint-Esprit est l’Auteur de la Parole, comme c’est Lui qui L’a écrite et qui La vivifie, comment peut-Il diriger quelqu’un vers quelque chose d’autre que la Parole?

            Alors, quand quelqu’un prétend avoir le Saint-Esprit et qu’il accepte quelque chose de contraire à la Parole, on peut voir par là qu’il n’a pas le véritable Saint-Esprit. Voyez? Il se pourrait que ce soit un esprit, ça, je n’en doute pas, mais ce–ce n’est pas le Saint-Esprit de–de Christ.

41        Eh bien, vous savez, très souvent, les gens prennent les esprits les uns des autres; et alors, avec ça, cela indiquera, disons, un groupe d’hommes, une certaine chose, mais ça ne vous dirigera pas vers Christ. Mais le Saint-Esprit, Lui, indique toujours Christ, et Christ est la Parole.

42        C’est ce que nous voyons très clairement dans la Bible. Ou plutôt, c’est ce que moi je vois. Il se pourrait que je me trompe, mais dans ma pensée… mais je ne crois pas à cause de ceci: «Ne t’appuie pas sur ta propre compréhension des choses.» Si vous vous appuyez sur votre intelligence, alors forcément vous sortirez du bon chemin.

43        Vous ne pouvez pas vous appuyer sur l’intelligence de quelqu’un d’autre quand il est question de la Vie. Pour trouver la Vie, vous devez vous appuyer sur la Parole. C’est Elle, la Vie.

44        C’est ce que nous voyons dès le commencement. Il nous est montré très clairement, dès le commencement, que Dieu a donné Sa Parole à Sa première famille sur terre, pour qu’elle En vive. Elle devait vivre uniquement de Sa Parole. Bon, ce n’est pas en mangeant de la nourriture, et tout, mais c’est de Sa Parole qu’ils devaient vivre, éternellement. Et, tant qu’ils restaient fidèles à la Parole, ils vivaient éternellement. Mais dès qu’un petit bout de phrase de cette Parole a été mal placé, toute la chaîne a été rompue, et l’espèce humaine a été plongée dans la mort. Voyez?

45        Maintenant, remarquons. Ève, qui était sans doute une personne intelligente, la première qui est venue directement d’Adam, celui-ci était le–le fils de Dieu... Et Ève, certainement que, se trouvant dans cette position-là, où il n’y avait pas eu de péché, pas de place pour le péché, certainement qu’elle devait avoir une conception merveilleuse de ce qu’était Dieu. En effet, tous les après-midi, elle et son mari se promenaient dans la fraîcheur du jardin, le soir, et ils parlaient avec Dieu face à face.

46        Comme c’était–c’était insensé qu’une personne qui marchait avec Dieu, Le voyait face à face, tous les jours, se tourne ensuite vers un raisonnement, vers quelque chose qui l’a fait raisonner pour la détourner de la Parole de Dieu.

47        C’est ce que nous avons encore aujourd’hui. Un raisonnement peut si facilement détourner les gens de la Parole de Dieu, après qu’ils ont été assis dans la Présence de Dieu. Ils voient la Parole de Dieu qui est prêchée, la Parole de Dieu qui est manifestée, des ivrognes et des pécheurs qui viennent à l’autel et se convertissent, qui deviennent de nouvelles créatures en Christ, des gens de mauvaise vie qui sont transformés en dames et en gentlemen, et ensuite, ils se détournent de cette Chose bénie qui les a conduits à cette Vie-là, et ils se pervertissent en suivant un credo quelconque, pour être plus populaires ou–ou pour s’intégrer dans ce qu’ils appellent une meilleure classe de gens.

48        Eh bien, vous êtes dans la meilleure classe qui soit: des fils et des filles de Dieu. Eh bien, moi, je préfère cette compagnie-là à celle de tous les rois et de tous les potentats, et tout le reste. Pour moi, rien ne vaut ce groupe de gens humbles. Même s’ils ne savent pas distinguer leur main droite de leur main gauche, tant qu’ils connaissent Dieu, qu’ils L’aiment et qu’ils Le servent, à mon avis, ce sont eux les célébrités du Ciel. Oui.

49        Bon, mais nous voyons qu’Ève a été facilement persuadée par Satan de se détourner de la Parole de Dieu, et elle s’est appuyée sur sa propre intelligence. En effet, Satan lui avait présenté quelque chose qui ne correspondait pas à ce qu’elle comprenait vraiment de Dieu, mais, l’ennemi, Satan, lui a dit autre chose, et elle a cru cela.

            Maintenant, nous en voyons les conséquences. Cela a plongé toute la race humaine dans la mort, parce que la première mère sur terre s’est appuyée sur son intelligence, quelque chose de contraire à la Parole de Dieu, et elle a plongé toute la race humaine dans la mort. Maintenant, croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] C’est la Parole.

50        Eh bien, la femme est toujours...Le type de l’église, dans la Bible, c’est la femme. Et aujourd’hui, une église peut accepter un tas de dogmes ou de credos, et plonger toute l’assemblée dans la séparation d’avec Dieu. Ces gens qui adoptent ces choses à la place de la Parole de Dieu sont exactement comme Ève. Et c’est ce qui s’est fait tout au long de l’histoire, si bien que toute cette génération se trouve loin de la Parole de Dieu.

51        Et quand la Parole est manifestée, que la Parole est révélée, ils ne veulent pas L’accepter, parce qu’… ils ne le feront pas, parce qu’ils s’appuient sur leur intelligence. «Cette église a été construite ici. C’est un bâtiment magnifique. C’est une grande organisation. Ça fait partie d’une grande communauté de gens. Pourquoi ne pas en faire partie? Je vais me confier en cela.» Ne vous confiez pas en votre intelligence, mais confiez-vous en la Parole du Seigneur!

52        Donc–donc, finalement, toute la race s’est retrouvée dans la mort, comme je le disais; c’est la même chose maintenant, pour les nombreuses personnes qui comptent sur leur intelligence, sur leurs dogmes et leurs credos, et tout, déclarant que «la Parole de Dieu n’est pas entièrement vraie, qu’une partie est inspirée et qu’une autre ne l’est pas».

53        Comment pouvez-vous avoir la foi dans une Bible dont une partie est inspirée et l’autre non? Si une seule, si une seule citation est fausse, alors toute la chose pourrait bien être fausse. Il faut qu’elle soit toute vraie, entièrement vraie.

54        Et certaines de ces soi-disant écoles bibliques, perverties, qui enseignent un tas de connaissances humaines, où on se réunit en conseil, et on dit: «Maintenant, écoutez, si les jours des miracles… cela a pris fin aux jours des apôtres...»

55        Et bien des hommes qui dépendent de l’évêque ou des hommes haut placés s’assiéront là et diront: «Eh bien, si je peux juste être d’accord avec lui, sans doute, peut-être que je pourrai lui succéder.» Vous voyez, alors vous vous appuyez sur votre intelligence, au lieu de vous lever pour défendre la Parole de Dieu. C’est ce qui cause ces choses.

56        Il y a quelque temps, quelqu’un... J’ai été engagé dans un litige pour une affaire d’impôts sur les revenus. Eh bien, on me disait, on disait: «Eh bien, vos administrateurs ne sont que des marionnettes, j’imagine.»

57        J’ai dit: «Si j’avais dans le conseil un administrateur qui, étant d’un autre avis, ne se lève pas (quel que soit celui qui parlerait sur le sujet) pour exprimer son opinion personnelle, je l’exclurais du conseil.» Oui oui. Même si cela est contraire à ce que moi, je crois, je voudrais qu’il exprime ce que lui pense être juste. C’est pour ça que je l’ai placé là, pour avoir son opinion. Et c’est ce que nous trouvons chez nous.

58        Remarquez, Jésus a dit, dans saint Jean 10: «Mes brebis connaissent Ma Voix.» Une Voix, bien sûr, c’est Sa Parole, quand Il parle. «Mes brebis connaissent Ma Voix. Il leur a été attesté que Ma Voix est la vérité. Il a été confirmé que c’est bien Ma Voix.» Maintenant–maintenant, remarquez, ils ne peuvent suivre aucune autre voix. Ils ne le feront pas. «Mes brebis connaissent Ma Voix, et elles ne suivront pas un étranger.»

59        Autrement dit, elles ne comprendront pas une voix théologique qui donne un enseignement contraire à la Parole. Les brebis ne comprennent pas ça, pas plus que l’aigle d’hier soir ne pouvait comprendre le gloussement de la poule,–elles ne le comprennent pas–parce qu’il était un aigle. Et c’est pareil pour un véritable enfant de Dieu né de nouveau, il ne comprend que les choses de Dieu.

            Maintenant, quelqu’un dirait: «Eh bien, écoutez donc, vous pourriez faire ceci, je pense. C’est, je crois que ce n’est pas comme ceci. Je crois que les jours des miracles sont passés. Je ne crois pas que c’est de la guérison divine, ça. Je ne crois pas cela.»

60        Or, un véritable chrétien né de nouveau, ses oreilles ne retiendront jamais ça, il ne le comprend pas du tout. Et comment un homme qui croit en Dieu, qui peut lire la Bible et voir qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, comment peut-il arriver à accepter une chose pareille, je ne comprends pas cela.

            Donc, ils ne s’appuient pas sur leur intelligence.

61        C’est juste comme un–un bébé. Prenez un petit bébé qui est né et qui s’est appuyé une fois sur le sein de sa mère, qui a tété son lait chaud, appuyé sa petite tête sur son sein, même s’il n’est âgé que de quelques heures... Un jour ou deux plus tard, arrachez-le à sa mère et placez-le au sein d’une autre mère: les petits pieds en l’air, il va gigoter et hurler. Ce n’est pas sa mère. Voyez-vous? Il a déjà en lui quelque chose, parce qu’il est une partie de cette mère, déjà là, la nature l’a doté d’un moyen pour reconnaître sa propre maman.

62        Et si la nature a doté le bébé d’un moyen pour reconnaître sa mère qui lui a donné naissance, à combien plus forte raison un fils de Dieu qui est né de l’Esprit de Dieu. Il connaît sa Maman! Il sait, parce qu’il est né de la Parole, et il comprend la Parole. Mettez-le dans un lieu étranger, certainement qu’il ne sera pas–pas à sa place, il sortira de là à toute vitesse. En effet, il a, il ne s’appuie pas...

            Quelqu’un dira: «Attends là, mon chéri, c’est désormais celle-ci ta maman.»

            Ce n’est pas sa maman, parce qu’il a un moyen pour reconnaître qu’il est une partie de cette mère-là. C’est sa mère, personne d’autre ne pourra jamais la remplacer. Il reconnaît sa mère à lui.

63        Remarquez comme–comme c’est bien vrai ; Dieu a créé chaque chose selon son espèce. Le bétail selon leur espèce. Souvent, quand nous rabattions le bétail pour le rassemblement, nous rabattions tous les troupeaux de bétail; et les petits veaux, je me demandais comment ils reconnaîtraient leur maman.

64        Or, elles–elles descendaient des montagnes, toutes les bêtes mélangées. Une–une–une vache qui est avec le veau, un petit veau affamé, peut-être qu’il pourra téter un peu une autre mère s’il est très affamé; mais, quand nous les arrêtons dans la plaine, la maman va chercher son petit dans ce rassemblement de vaches et de veaux, jusqu’à ce qu’elle le retrouve, et le veau court à la recherche de sa mère. Il connaît ce timbre dans le gémissement de sa mère. Elle mugit pour appeler ce petit veau, et les autres mères mugissent, si bien qu’on n’entend même plus sa propre pensée, mais ce petit veau va reconnaître sa mère, parce qu’il est une partie de cette mère.

65        Et un chrétien né de nouveau du Ciel, il est une partie de cette Parole. Exact. Il ne suivra pas une autre maman. Il est une partie de la Parole. Il s’en tient à la Parole. «Si la trompette rend un son confus, qui pourra se préparer au combat?», a dit Paul. Il connaît le son de la Parole.

66        Remarquez ce–ce qu’il en est, la main prédestinée de Dieu les accompagne du début à la fin. Il sait qu’il a été destiné à cela, qu’il était dans la Vérité de l’Évangile. Il sait qu’il est né de l’Esprit de Dieu. Il sait que l’Esprit de Dieu ne peut pas nier la Parole de Dieu ; par conséquent, il ne suivra pas un étranger.

            Remarquez combien... Je regardais une note, ici, que j’avais écrite, là. Je–je n’y avais pas fait attention, mais quand mes yeux sont tombés sur le passage de l’Écriture, j’ai pensé m’y référer encore une fois.

67        Remarquez comme Ses brebis prédestinées à Lui L’ont suivi, à l’époque même des plus grands théologiens qu’on ait jamais eus. Ils sont sortis sans hésiter, parce qu’ils L’ont reconnu. Ils savaient ce que la Parole avait promis pour ce jour-là. Ils savaient à quoi ressemblerait le Messie quand Il viendrait. Et Simon Pierre est venu vers Lui–à ce moment-là, il n’était encore que «Simon».

            André avait essayé de lui en parler. «Cet Homme est le Messie.» Bon, Simon, évidemment, il était peut-être un peu obstiné, il ne voulait pas y aller. Mais quand il s’est avancé jusque dans la Présence de Jésus, quand Jésus a dit: «Tu t’appelles Simon, et tu es le fils de Jonas...»

68        Or, nous savons que Jésus a dit à Ses apôtres qu’Il les connaissait, et Il... «avant la fondation du monde». Ils étaient les attributs de Ses pensées. Par conséquent, comme cette semence reposait en lui, et qu’il savait que la Parole l’avait annoncé et que la promesse avait été faite que le Messie serait un prophète, quand il a vu cela, pour lui c’était fini avec la pêche. Il a su alors qu’il allait déposer ses filets, parce qu’il allait–allait devenir pêcheur d’hommes.

69        En effet... Or, d’autres personnes s’étaient tenues là, elles avaient vu la même chose être faite, et ont taxé cela de mauvais esprit. C’était des théologiens; c’est parce que ça ne correspondait pas au goût de leur enseignement théologique. Et ils ont rejeté cela, parce qu’ils s’appuyaient sur leur compréhension, celle de leur doctrine; alors que Jésus-Christ était venu, accomplissant la Parole promise, ils étaient trop aveugles pour le voir. Ils se sont appuyés sur ce que les sacrificateurs disaient, et sur ce que l’église disait, plutôt que sur ce que Dieu disait.

70        Eh bien, Jésus les a réprimandés à cause de ça. Il a dit: «Sondez les Écritures, car vous prétendez avoir en Elles la Vie Éternelle. Ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi. Ces Écritures que Je vous demande de sonder, Elles vous disent Qui Je suis.»

            Mais ils ne voulaient pas s’appuyer sur ce que la Parole disait, ils s’appuyaient plutôt sur leur compréhension. Ils s’appuyaient sur leur compréhension. Et l’Écriture nous dit qu’ils étaient voilés. Le voile de leur propre théologie les avait aveuglés.

            Vous dites: «Frère Branham, où voulez-vous en venir?»

71        Voici où je veux en venir. Cette chose-là est en train de se passer de nouveau, ç’en est au point où des hommes et des femmes, et des gens s’appuient sur une certaine église à laquelle ils ont adhéré et dont ils sont membres, peu importe ce que la Parole de Dieu en dit. Ils continuent carrément avec cela, en s’appuyant sur leur intelligence, et ne tenant aucun compte de la Parole de Dieu, comme si Elle n’avait même jamais été écrite. C’est une semence de vie humaine qui n’a pas été fécondée. La vie physique est là, mais il n’y a pas à l’intérieur une vie spirituelle qui puisse être vivifiée.

72        Le voile couvrait leur visage. Maintenant remarquez, ils avaient leurs propres conceptions de ce que Dieu devrait être, ils avaient leurs propres idées de ce que le Messie devrait être. Mais la Parole disait ce que le Messie devrait être! Alors, voyez-vous, ils avaient leur propre entendement de ce qu’Il serait.

73        Sans doute que le souverain sacrificateur disait: «Tous mes sacrificateurs, vous qui dépendez de moi, maintenant, quand le Messie viendra... Nous avons construit un grand temple, ici. Nous avons fait tout ceci. Et la Bible dit qu’Il entrera soudainement dans Son temple, et toutes ces choses. Quand Il le fera, le Messie viendra directement ici et Il Se fera connaître parmi nous, Il dira: ‘Je suis le Messie. Je suis arrivé. Je suis ce Messie que vous attendiez.’» Eh bien, quand Il est effectivement venu, Il est venu d’une manière tellement différente de l’idée qu’ils s’en étaient faite qu’ils ne L’ont pas reconnu. Ils n’ont pas su Qui Il était.

74        Mais Ses... Que se serait-il passé si un hypocrite s’était présenté là et qu’il avait dit: «Je suis le Messie. Je suis le docteur Untel»? Ils l’auraient accepté. Mais quand on est venu vers cet Homme qui était né d’une naissance douteuse, qui n’avait reçu aucune instruction dans une école qu’Il aurait fréquentée, Il n’avait aucune expérience de séminaire, aucune carte de membre ; mais Il était l’interprétation de la Parole de Dieu manifestée. «Les oeuvres que Je fais vous disent Qui Je suis. Si Je ne fais pas les oeuvres qui avaient été promises à mon sujet, alors ne Me croyez pas.»

75        Ne pourrions-nous pas appliquer cela à ce jour-ci? Quand le Saint-Esprit vient, ils veulent attribuer cela à un autre âge ; quand Il vient avec les oeuvres et les démonstrations de Sa puissance de Vie Éternelle, les gens veulent appeler cela du–du «fanatisme déchaîné». Pourquoi? Ils s’appuient sur leur intelligence et non sur la Parole du Seigneur. Vous savez que c’est vrai.

            L’identification, l’interprétation que Dieu donne Lui-même, c’est la manifestation de la promesse.

76        Peut-être que je vais le dire, le rendre un peu plus clair. Quand Dieu prononce la Parole, Il n’a besoin d’aucun homme, d’aucune femme, ni de qui que ce soit d’autre, pour En donner la signification. Quand Il a dit... Eh bien, vous dites: «Dieu voulait dire ceci.» Dieu veut dire exactement ce qu’Il dit que ça signifie. Voyez?

77        Or, comment interprète-t-Il Sa propre Parole? En L’accomplissant.

78        La Bible avait annoncé: «Une vierge concevra», et elle a conçu. Cela n’a besoin d’aucune interprétation. Dieu a dit: «Que la lumière soit», et la lumière fut. Ça n’a besoin d’aucune interprétation.

            Dieu a aussi dit qu’en ces derniers jours, Il répandrait Son Esprit sur toute chair, et Il l’a accompli. Cela n’a besoin d’aucune interprétation. Tout ce que ça demande, c’est une acceptation, quelqu’un qui acceptera ce que Dieu a fait. Cela n’a besoin d’aucune interprétation.

79        Dieu interprète Sa propre Parole. Dieu a promis ces choses que nous voyons jour après jour ; Il a promis qu’Il les accomplirait au dernier jour. Les gens d’aujourd’hui, comme à cette époque-là, s’appuient sur leur intelligence. «Mon pasteur dit que c’est du ‘fanatisme’.» Mais la Bible a dit que ces choses se produiraient. Sur l’intelligence de qui allez-vous vous appuyer?

80        La Bible a promis que dans les derniers jours, «l’Âge de l’Eglise de Laodicée se serait tellement enrichie, et serait tellement insuffi-… qu’il se suffirait: ‘Je suis riche. Je n’ai besoin de rien. Je suis assise en reine.’» Et Elle est riche. Et Il a dit: «Tu ne sais pas que tu es misérable.» Donc ça, c’est tout l’âge de l’Eglise, l’Eglise!

81        «À l’église de Laodicée: Tu es nue, aveugle, pauvre, misérable, et tu ne le sais pas.» Assise au milieu de ses richesses, des myriades des myriades, et des milliers de membres, les richesses du monde dans sa main, presque. Si on met tout ça ensemble, ils… l’Eglise catholique et les Protestants ensemble, alors qu’ils sont en train de s’unir, ils détiennent les richesses du monde.

82        Notre pays est fauché, ou presque. Nous faisons des emprunts qui seront remboursés sur des impôts qui seront perçus dans quarante ans, d’après ce qu’on me dit, selon ce qu’ils ont dit à l’émission Life Line. Les impôts sur lesquels nous engageons des dépenses aujourd’hui seront perçus dans quarante ans. Si Jésus tarde, les impôts que mon petit-fils paiera quand il aura quarante ans, c’est ce que nous dépensons en ce moment. Nous envoyons ça pour aider les pays étrangers, alors que les Indiens de chez nous et les autres crèvent de faim; nous cherchons à acheter l’amitié.

83        L’amitié ne s’achète pas. Un ami ne s’achète pas. Non, mais voilà ce que nous faisons. Voilà notre système, on impose aux gens tout ce qu’on peut récolter. Impôt, impôt, impôt!

84        Et la dette de guerre que nous avons contractée à cause des politiciens ne sera pas réglée avant–avant des centaines d’années encore, je suppose. Et, bon, nous ne devrions pas être dans cet état-là. Nous n’avons aucune raison d’être dans cet état-là.

85        Mais les églises, elles, se sont enrichies. Presque toutes les richesses du monde, dit la Bible, se trouvent dans l’Eglise catholique. C’est pour ça que la Russie l’a expulsée, que la Russie l’a excommuniée. C’est ça qui a été à l’origine même du communisme, c’est parce que l’église enseignait qu’elle était quelque chose, alors qu’elle n’était pas différente du reste du monde.

86        Quand nous étions là en Finlande, et que ce petit garçon a été ressuscité des morts, ces soldats russes se sont tenus là au garde-à-vous, et ils ont dit: «Nous recevrons un Dieu qui peut ressusciter les morts.»

87        Nous avons construit des dénominations, et des écoles, et–et des bâtiments, mais nous n’avons pas fait ce que Jésus nous avait dit de faire, c’est-à-dire de «prêcher l’Évangile». Nous avons cherché à instruire le monde. Il n’a jamais dit: «Instruisez le monde; celui qui sera instruit sera sauvé.» Vous devez naître de nouveau, être rempli de l’Esprit.

88        Voilà pourquoi nous avons échoué si lamentablement partout. Voyez-vous, nous possédons des richesses, nous possédons cela. Maintenant, qu’est-ce qui va arriver? Quand cette église, le Conseil mondial des Églises se réunira, ne pouvez-vous pas voir qui sera à la tête? Vous les Méthodistes et les Presbytériens, ne pouvez-vous pas comprendre cela? Et vous autres, même les Pentecôtistes, vous dites que vous n’y entrerez pas. Ou bien vous y entrerez, ou bien vous démantèlerez votre dénomination; l’une ou l’autre chose. C’est là, devant vous. Vous devrez le faire. C’est une contrainte, la marque de la bête.

89        Et c’est exactement ça. Le système dénominationnel, c’est carrément (je peux le prouver par la Bible) la marque de la bête. «Elle était une prostituée; ses filles étaient des prostituées.» Et nous savons que c’est la Vérité. La religion organisée, c’est contraire à la Parole, et les principes sur lesquels elle se fonde sont antichrists. Tout ce qu’on trouve là-dedans n’est pas antichrist, mais les principes sur lesquels elle se fonde, son système est antichrist, parce qu’il est contraire à la Parole de Dieu. Tous les systèmes organisés sont ainsi.

90        Voilà, voyez-vous, et vous vous appuyez sur l’intel-… de quelqu’un d’autre–sur leur intelligence, au lieu de vous appuyer sur l’intelligence de Dieu, sur ce que Dieu a dit. C’est pour cela que c’est faux. Des jeunes gens vont dans les séminaires qui offrent une bonne instruction, ils vont à ces soi-disant écoles bibliques. Et peut-être qu’ils ont–ont un appel de Dieu dans leur coeur. Ils vont là-bas et on leur a vraiment inculqué une opinion selon laquelle «Untel a dit ceci, l’évêque Untel. Celui-ci a dit une telle chose. Celui-là a dit une telle chose. Les hommes réunis en conseil se sont mis d’accord que ça devrait être ainsi.»

91        Ne faites pas attention à ce que n’importe qui dit. Jésus a dit: «Que toute parole d’homme soit reconnue pour mensonge, et la Mienne pour Vérité. Peu importe de qui elle est, que la Mienne soit la Vérité!»

92        Maintenant, comment reconnaît-on ce qui est la Vérité? Quand la Bible déclare que quelque chose arrivera, que quelque chose se produira, et que la chose arrive telle quelle.

93        Eh bien, la Bible dit: «On a trouvé chez elle les–les richesses du monde; l’or, l’argent.» Eh bien, si notre économie est basée sur l’étalon-or et que nous sommes fauchés, eh bien, qu’arrivera-t-il? Qu’arrivera-t-il?

94        Vous savez, les riches de cette nation, ces grandes usines, les magnats du whisky et du tabac, et tous les autres, comme cela, ils n’accepteront pas de changer la monnaie ; alors, la seule chose à faire sera d’emprunter. Et il n’y a qu’un seul endroit où nous pouvons l’emprunter. Et, en faisant cela, nous y vendons notre droit d’aînesse. C’est exact.

95        Alors, qu’allez-vous faire? Vous êtes la propriété de cela. Ce–ce système-là. Il n’y a plus rien à faire. Oh! les amis, ne pensez pas que je... Vous pensez peut-être que je suis fou. Mais quand la mort aura fait taire ma voix, ces bandes continueront à jouer, et vous reconnaîtrez que ce que j’ai dit s’est accompli.

96        Je serais la personne la plus insensée en prenant la position que j’ai prise, que… même contre cette chose… je serais–je serais contre Dieu, je serais contre tout ce qui est de Dieu, si je, si j’avais... étais en erreur dans mes opinions et dans mon appel. La chose serait contre Dieu.

97        Mais si j’ai pris cette position-là, c’est parce que je le vois ici dans la Parole. C’est la Parole de Dieu. Et puis, je vois cela être confirmé, prouvé que c’est la vérité. Voilà l’interprétation que Dieu donne de Sa Parole. L’interprétation que Dieu donne Lui-même de Sa Parole, c’est Sa façon de La confirmer et de La rendre manifeste.

98        Pourquoi les pharisiens étaient-ils aveugles? Qu’est-ce qui les rendait si aveugles? C’est parce qu’ils refusaient d’accepter la révélation ou la confirmation de la Parole. Et si ces églises d’aujourd’hui sont aveugles, c’est parce qu’elles ne veulent pas accepter la révélation, qui est en train d’être confirmée. Bien que la Parole le dise, que c’est révélé, et que cela est ensuite démontré, elles refusent quand même de L’accepter.

99        C’est pour cela que ces Juifs, les Juifs jusqu’à ce jour, refusent de L’accepter. Vous ne pouvez pas leur parler de Christ, parce que le voile couvre encore leur visage, ils sont aveuglés. Et l’église, vous ne pouvez pas lui parler du Plein Évangile et de la puissance de Dieu, parce que le dieu de ce siècle les a aveuglés aux vérités de Dieu, et qu’ils s’appuient sur leur intelligence.

100      Quand les femmes entrent dans l’église et qu’elles se coupent les cheveux, parce que leur pasteur leur dit: «Oh! il n’y a pas de mal à ça. Cet homme-là est fou…» Mais la Bible dit qu’elle agit mal quand elle fait cela, que Dieu refuse de répondre à sa prière. Et certaines de ces femmes ajoutent encore à la honte en essayant de se faire prédicateur, à ce moment-là, elle a fait deux choses. La Bible dit qu’elle ne doit pas faire ça, rien de tout ça.

101      Mais, l’organisation ecclésiastique va accepter ces choses, elle ordonnera cette femme et l’enverra. Ils s’appuient sur leur intelligence! Une seule Parole de Dieu mal placée, ou mal interprétée, ou qui n’est pas acceptée, brise toute la Chaîne. «L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.»

102      Comment se fait-il que vous, les femmes, vous m’entendez prêcher contre ces choses, concernant le port des shorts, le maquillage, et–et ces coiffures consistant en des cheveux coupés, et toutes les choses de ce genre, et puis, chaque année, quand je reviens, vous vous trouvez toujours dans le même état? C’est parce que vous vous appuyez sur votre propre intelligence plutôt que sur la Parole du Seigneur.

103      Et vous, les pasteurs, pourquoi ne nettoyez-vous pas complètement votre église? Parce que vous vous fiez à votre credo dénominationnel plutôt qu’à la Parole du Seigneur. C’est vrai. Ne vous appuyez pas sur votre intelligence.

104      Eh bien, ne vous appuyez pas sur votre intelligence, mais sur la Parole du Seigneur. Ils ne veulent pas accepter cela, parce qu’ils ne veulent pas en accepter la confirmation. Jésus est venu avec un–un Évangile, exactement comme Il avait dit qu’Il viendrait. Même que souvent...

105      Jean a eu un peu de confusion quand on l’a jeté en prison, et qu’il–qu’il était là... Il avait prêché que «le Messie viendrait, avec Son van à la main; Il nettoierait Son aire, et Il brûlerait la paille dans un feu qui ne s’éteint point et amasserait le blé dans le grenier». L’Esprit de Dieu sortait, jaillissait de Lui comme une–comme une source.

106      Et alors, quand il a vu Jésus venir sur la scène, un petit Homme du genre doux et humble, on Lui marchait sur les pieds, Il devait s’enfuir, ici, pour sauver Sa peau, et là… Eh bien, ils ne... Jean ne comprenait pas, alors il a envoyé quelques-uns de ses disciples voir Jésus, pour Lui demander s’Il était réellement Celui-là.

107      Comme c’était déshonorant pour Jésus! Après que ce prophète se fut tenu là, dans l’eau, avec la Parole de Dieu, et qu’il eut dit: «Je L’ai reconnu, parce que j’ai vu le–le Saint-Esprit, comme une colombe, Dieu descendre du Ciel comme une colombe et entrer en Lui, et j’ai entendu une Voix dire: ‘Celui-ci est Mon Fils bien-aimé.’» Et après ça, Jean a dit: «Allez Lui demander si réellement c’était Lui, ou–ou–ou: ‘Devons-nous en attendre un autre?’»

108      Eh bien, Jésus ne lui a pas du tout envoyé un traité sur la façon de bien se conduire en prison, ou sur l’église à laquelle il aurait dû adhérer. Mais Il a dit: «Restez un peu ici et observez ce qui se passe, et après, allez dire à Jean les choses que vous aurez vu faire». En effet, les oeuvres qu’Il faisait confirmaient qu’Il était le Messie, le Fils de Dieu. «Heureux celui pour qui Je ne suis pas une occasion de chute.»

109      C’est devenu une occasion de chute pour tant de gens. Il est si facile pour tant de gens de trouver dans la Parole de Dieu une occasion de chute. Si c’est contraire, ils veulent s’appuyer sur leur intelligence. Ils ne veulent pas accepter la Parole du Seigneur. Alors, forcément qu’ils vont tout simplement suivre la voie que–qu’on leur a enseigné de suivre. Et la voie qui leur est enseignée, leur église s’appuie dessus. Peu importe que Dieu ait promis qu’Il–qu’Il enverrait la pluie, qu’il y aurait la pluie le matin, si l’église dit: «C’est du non-sens», ils vont croire l’église plutôt que Dieu.

110      Pourquoi cela? Ils sont nés de l’église. Mais un homme qui est né de Dieu, il est de la semence de Dieu. Et la semence de Dieu, c’est la Parole de Dieu, et il vit uniquement de Cela. C’est sa Vie.

111      Donc, ils s’appuyaient sur leur propre intelligence, mais ils ne voulaient pas s’appuyer sur la Parole de Dieu. Ils savaient ce qu’il en était; c’était dans l’Écriture. Ils L’ont traité de «mauvais esprit», cet Homme-là. Pourquoi ça? Leur sacrificateur avait dit: «Tous ceux qui iront entendre cet Homme prêcher seront exclus de la synagogue.»

112      Lorsqu’un homme qui avait été autrefois aveugle était guéri par Jésus, même ses parents, qui étaient très heureux de sa guérison, avaient peur de confesser que c’était Jésus qui avait fait cela. Eh oui!

            On a demandé: «Est-ce là votre fils?»

            «Oui.»

            «Qui l’a guéri?»

113      Il a dit: «Je–je ne sais pas.» Il a dit: «Il a de l’âge, interrogez-le lui-même. Il–il parlera de ce qui le concerne.» En effet, il avait été dit que «tout homme qui s’appuierait sur Son intelligence à Lui, Christ», plutôt que sur leur intelligence à eux, «serait exclu de leur église». N’est-ce pas exactement la même chose maintenant? Je vous pose carrément la question. [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] C’est exact. Ils font la même chose. Peu importe ce que Dieu fait, il faut que ça concorde avec leur compréhension et non avec ce que Dieu confirme être la Vérité. Bon, mais cet homme-là avait tout de même la réponse.

            On a dit: «Qui t’a guéri?»

            Il a dit: «Celui qu’on appelle Jésus de Nazareth.»

            On a dit: «C’est un pécheur. Nous ne savons d’où Il vient.»

            Il a dit: «Eh bien, c’est étrange, ça. Vous êtes censés être les conducteurs de cette heure. Et voici un homme qui a ouvert les yeux, ce qui n’a jamais été fait depuis le commencement du monde, et pourtant vous dites que vous ne savez pas d’où Il vient.»

114      Oh! la la! Pourquoi? Ils s’appuyaient sur leur intelligence plutôt que sur la Parole du Seigneur. En effet, Ésaïe avait dit que «les aveugles verraient, le boiteux sauterait comme un cerf, les déserts éclateraient en cris de joie». Mais, voyez-vous, ils se sont appuyés sur leur intelligence et non sur la Parole; sur leur propre système qu’ils avaient conçu.

115      Maintenant remarquez, les églises aujourd’hui font de même. Elles ont formé une catégorie de gens très intelligents dans leurs systèmes dénominationnels, étant donné qu’ils ont une super intelligence ; ils ne veulent pas que quelqu’un d’autre y touche, et personne n’y entre à moins d’être membre de leur groupe.

116      Ne me dites pas le contraire; j’habite à Tucson, en Arizona. J’y suis arrivé il y a trois ans, j’ai eu une rencontre avec le conseil des églises, et j’ai dit: «Je ne suis pas du tout venu implanter une église. Je suis venu pour fraterniser avec vous. Je suis venu pour vous aider. Je suis missionnaire, évangéliste, c’est tout ce que je fais.»

            Ils ont dit: «Venez-vous vous installer ici pour établir une église?»

117      J’ai dit: «Non, monsieur. Je suis venu ici... Si je veux implanter une église, j’en ai une dans l’Indiana.» J’ai dit: «Je suis venu ici parce que le Seigneur m’a conduit, par une vision, à venir ici. Je vais donc rester pendant quelque temps, à moins qu’Il me conduise ailleurs, mais je ne suis pas du tout venu pour implanter une église. Je suis venu pour vous aider, frères.»

118      Ça, il y a de cela trois ans. Je n’ai été invité nulle part. Pourquoi? Parce qu’ils se sont réunis tout de suite après et ils ont dit que tout homme qui m’accorderait sa chaire, ils excommunieraient ce prédicateur-là.

119      Voyez? Pourquoi? Ils s’appuient sur leur propre intelligence! Certainement, c’est–ce sont les soi-disant… Ils se font un super entendement. Si vous n’inscrivez pas votre nom dans leur registre, vous... vous êtes sauvé–vous êtes perdu. Un ministre me disait ça.

120      «Oh!», vous dites, «ça, c’était une espèce d’imposteur.» C’était un pentecôtiste. Jack Moore et moi étions assis là, l’écoutant à Dallas, au Texas. Il disait qu’il allait devoir ôter un homme du registre.

            J’ai dit: «Pourquoi?»

            Parce qu’il a fraternisé avec vous.

            J’ai dit: «Eh bien, ôtez-le.»

            Il a dit: «Eh bien, à ce moment-là, il est perdu.»

            J’ai dit: «Perdu?»

            «Eh bien, a-t-il dit, il a dit, si son nom n’y est pas…!»

            J’ai dit: «Voulez-vous me dire que vous, ancien de district, vous croyez ça?»

            Il a dit: «C’est la vérité.»

            J’ai dit: «Raccrochez, monsieur. Vous–vous...

121      Ce n’est pas la grâce de Dieu, ça–ça.» Voyez-vous? «Nous avons tous, en effet, été baptisés dans un seul Esprit, pour former un seul Corps, et nous devenons membres de ce Corps.» La marque que vous portez, ça m’est égal, ça importe peu, ça n’a rien à y voir. C’est absolument par naissance que vous êtes un chrétien, et c’est le seul moyen. C’est le seul moyen qui vous permet de l’être, ce n’est pas par adhésion, pas par des credos, pas en excitant ceci, ou plutôt en récitant ceci, ou quoi que ce soit d’autre, ni par l’instruction, la théologie. Vous êtes un chrétien quand vous êtes né de nouveau, et vous ne pouvez pas naître de nouveau à moins d’avoir été élu pour naître de nouveau. «Car nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire; et tous ceux que Mon Père M’a donnés viendront.» Amen. «Je le ressusciterai au dernier jour.»

122      Ces soi-disant grandes écoles bibliques que nous avons, elles diront qu’elles s’appuient sur leur propre savoir. Oh! la la! elles… qu’importe ce que dit la Parole, ils peuvent l’expliquer si clairement, oh! faire qu’ils croient eux-mêmes cela et le faire croire à ceux de leur espèce, que «les jours des miracles sont passés. Un prophète, les prophètes, les apôtres, ça n’existe pas. Des dons de guérison, et tout ça, ça n’existe pas. Tout cela a pris fin aux jours de la Bible.»

123      Ils peuvent se faire croire ça. Vous savez, la Bible dit que «vous pouvez croire un mensonge et être condamné à cause de cela». Voyez-vous, c’est l’exacte vérité. Ils se forment... Peu importe ce que dit la Parole de Dieu, ils s’appuient sur leur propre intelligence. Ils–ils s’appuient dessus, ils y croient, ils pensent que c’est la vérité. Vous pouvez continuer à croire un mensonge, maintes et maintes et maintes fois, jusqu’à ce que cela devienne pour vous la vérité. C’est exact.

124      Mais comment savoir si c’est la Vérité ou pas? Dieu a confirmé que c’est la Vérité, parce que c’est dans Sa Parole et qu’Il confirme cela. Il En donne Lui-même l’interprétation.

125      Comment font-ils pour en arriver là? Ils le font à cause de leur culture, de leur instruction, leur connaissance de par leur diplôme de doctorat, leur diplôme, et tout, montrant qu’ils ont fréquenté tel séminaire et qu’ils ont appris ces choses.

126      Mais, regardez, mes amis, écoutez. Il ne nous est demandé nulle part dans la Bible de comprendre. Il ne nous est pas demandé de comprendre cela. Il nous est demandé de croire cela. Croire cela par quoi? Par la foi. Si vous comprenez cela, alors cela annule la foi. Vous ne pouvez pas comprendre cela, mais croyez cela quand même.

127      Si je pouvais comprendre Dieu, je n’aurais pas besoin de croire Dieu. Je ne comprends pas Dieu. Personne ne comprend Dieu. Je ne peux pas comprendre la Parole de Dieu, mais je L’accepte. Je La crois. Il ne m’est pas demandé de La comprendre.

            Je ne… n’ai fréquenté aucun séminaire, toute cette grande connaissance, ce que l’homme connaît là-dessus. Tout ce que je sais, c’est que la Bible dit que «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement», et c’est dans cette catégorie-là que je m’attends à Le trouver. Je sais ce qu’Il a promis de faire aujourd’hui, je m’attends à ce qu’Il le fasse, et Il le fait. C’est exact. Il a promis la grâce, j’ai cherché à la recevoir, et je l’ai reçue. Il a promis la guérison, j’y ai cru, je l’ai acceptée et je l’ai reçue.

128      Maintenant, je ne veux pas prendre trop de votre temps, mais je voudrais vous demander une chose, si vous voulez être patients avec moi pendant un instant, pour considérer quelques-uns de ceux qui ne se sont pas appuyés sur leur intelligence; des personnages de la Bible, juste quelques-uns, qui ne se sont pas appuyés sur leur intelligence et n’ont pas tenu compte de ce qui était l’entendement de leur âge.

129      Prenons, par exemple, Noé. Noé a vécu à une époque de grandes recherches scientifiques. C’est probablement aux jours de Noé qu’ils ont construit les pyramides, ce qu’on ne peut plus rebâtir aujourd’hui. Nous n’avons pas ce qu’il faut pour le faire maintenant, ce qu’il faut pour lever ces gros blocs de pierre jusqu’à cette hauteur-là. On n’y arriverait pas aujourd’hui. À cette époque-là, ils avaient un genre de produit chimique qu’ils ajoutaient à la teinture, et cela a fait que les vêtements ont gardé leur aspect naturel jusqu’à aujourd’hui. Ils avaient un liquide d’embaumement qui leur permettait de faire une momie; nous ne pouvons pas en faire une aujourd’hui, même s’il le fallait. Nous pouvons... nous avons perdu beaucoup d’arts. Il a vécu dans un âge scientifique, un âge des gens habiles.

130      Jésus en a parlé, Il a dit qu’un âge comme celui-là réapparaîtrait avant Son retour: «Car ce qui arriva du temps de Noé...» Bon, vous êtes prêts à croire ça, n’est-ce pas? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Croyez-vous que Jésus l’a dit? [«Amen.»] Croyez-vous que nous sommes revenus à cet âge-là? [«Amen.»] Or, ça, c’est dans le Livre de Luc, au chapitre 17, le verset 29.

131      Maintenant, dans Luc 17.30, Il a dit: «Et ce qui arriva du temps de Lot, quand l’Ange du Seigneur...» Eh bien, Il lisait la même Bible que nous. Et quand Il… Retournez dans le passé pour voir quel genre d’époque c’était, avant le déluge. Remontez en arrière pour voir quel genre d’époque c’était, avant que le monde fût détruit, du temps de Lot. Voyez ce qu’il en était, et vous verrez de quoi Jésus parlait.

132      «Du temps de Noé, les hommes mangeaient, buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants; et ils ne se doutèrent de rien, jusqu’à ce que Noé entrât dans l’arche, et le déluge vint et les emporta tous.»

133      Du temps de Lot, juste avant que le monde ne soit... le monde des nations, les Sodomites, il y avait des homosexuels, des perversions, et tout, dans le monde. Un grand... C’était un Los Angeles moderne; non seulement un Los Angeles moderne, mais les États-Unis; non seulement les États-Unis, mais le monde. Certainement que ça l’était, de la perversion!

134      Les hommes avaient perdu leur mode naturel de vie, et le bon sens naturel qu’ils avaient, ils avaient été pervertis par un mauvais esprit qui avait changé toute leur mode de vie naturelle, et ils étaient possédés des esprits démoniaques. Si ce n’est pas là l’image du temps de Noé, alors je ne sais pas ce qu’il en est.

135      Et, du temps de Lot, je veux dire. Du temps de Noé aussi, les gens mangeaient, buvaient, se mariaient, mariaient leurs enfants, les tribunaux de divorce se remplissaient, et tout, c’était exactement ainsi.

136      Mais, souvenez-vous, avant que le monde soit détruit, Abraham a été envoyé sur la face de la terre, et il a reçu la promesse qu’il aurait un fils. Et Abraham avait rencontré Dieu à plusieurs étapes, comme type de l’Eglise qui a rencontré Dieu. Mais juste avant la destruction, et le retour du fils promis, ou plutôt, sa venue, la venue du fils qui avait été promis, Dieu est descendu et Il S’est manifesté dans une chair humaine, dans un Homme, trois Hommes. Ils sont venus chez Lot. D’abord, ils sont venus chez Abraham, et ils se sont assis. Le nom d’Abraham avait été changé d’Abram à Abraham; celui de Saraï à Sara.

137      Et cet Homme, Celui qui parlait, Élohim, quand Il est venu lui parler, qu’est-ce qu’Il a dit? Il a dit: «Où est ta femme Sara?»

            Il a dit: «Elle est dans la tente, derrière Toi.»

            Il a dit: «Je te visiterai à cette même époque.» Et elle a ri, dans la tente, derrière Lui. Et Il a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri?» Voyez?

138      Eh bien, Il aurait ôté la vie à Sara sur-le-champ pour avoir ri de Sa Parole, mais Il ne pouvait pas le faire, parce que Sara était une partie d’Abraham.

139      Et aujourd’hui, Jésus a dit, dans Luc, au chapitre 17, verset 30: «Ce qui arriva du temps de Lot arrivera de même au temps de la fin, quand le Fils de l’homme...»

140      Maintenant, souvenez-vous, «le Fils de l’homme», c’est un prophète. Jéhovah a appelé Ézéchiel «fils de l’homme». Jésus est venu sous trois noms: Fils de l’homme, Fils de David, Fils de Dieu. Il disait qu’Il était le «Fils de l’homme», pour que les gens comprennent, car Il était ce Prophète que le Seigneur Dieu devait susciter.

141      Maintenant, remarquez. Ensuite, Il a promis quoi? Que le Fils de l’homme Se révélerait de nouveau, juste avant ce temps-là, avant le feu. Et ce signe-là a été le dernier qu’Abraham a vu, avant l’arrivée du fils promis; et il est redevenu un jeune homme, et elle une jeune femme. Avant...

142      Maintenant, remarquez, c’est précisément ce que dit l’Écriture, nous devons donc nous attendre à ça.

            Et alors, si nous voyons le monde dans la perversion et les choses qu’on y trouve aujourd’hui, et la façon dont ça se passe, alors, comment pouvons-nous dire que cette partie-là est vraie et ne pas dire que l’autre aussi est vraie? C’est parce que quelqu’un… vous vous appuyez sur leur intelligence à eux et non sur l’intelligence du Prince de la Vie, qui était cette Personne qui était là avec eux, à la porte de Sodome.

143      Maintenant, nous remarquons, nous ne nous appuyons pas sur notre intelligence. Noé ne s’est pas appuyé sur son intelligence. C’était un grand âge scientifique, mais il ne s’est pas appuyé sur la compréhension qu’il avait de son époque. Mais il s’est appuyé sur la promesse de Dieu et, agissant sous la puissance de Dieu, il a préparé une arche pour sauver sa famille. Alors que c’était totalement contraire au bon sens; il n’y avait pas d’eau là-haut, il n’y en avait jamais eu. Mais il savait que si Dieu avait dit qu’il y en aurait, il y en aurait. Alors, il ne s’est pas appuyé sur son intelligence, mais c’est par la foi qu’il a agi selon la promesse de la Parole de Dieu. L’Esprit l’a poussé, et il a agi.

144      Abraham ne s’est pas appuyé sur sa connaissance de la vie humaine. Il avait épousé sa femme quand elle avait environ dix-sept ans. Et il était alors âgé de soixante-quinze ans, et elle de soixante-cinq ans, elle était de dix ans plus jeune que lui. Mais Abraham ne s’est pas appuyé sur son intelligence quand Dieu a dit qu’Il lui donnerait un fils par Sara. Mais il appelait tout, toute preuve scientifique qui était contraire à la Parole de Dieu, tout savoir qui ne se trouvait pas dans la Parole de Dieu, comme n’existant pas. Et il a donné la louange à Dieu, étant fortifié, il Lui donnait la louange.

145      Il n’a même pas considéré, regardé à son propre corps, ni au corps de Sara qui n’était plus en état d’avoir des enfants, ni–ni à son corps. Il n’a rien considéré, mais il s’est appuyé sur la promesse de Dieu. Il ne s’est pas appuyé sur sa propre intelligence. Il ne s’est pas appuyé sur des raisonnements.

146      «Voyons, dites-vous, Frère Branham, il est raisonnable que Dieu ne guérisse pas les malades, on a tellement de bons médecins.» La Bible dit: «Nous renversons les raisonnements.» Nous ne raisonnons pas. La foi ne raisonne pas. La foi croit et accepte.

147      Remarquez. Mais il a cru, au lieu d’être incrédule; et il a appelé les choses qui n’étaient point comme si elles étaient, ce qui était absolument contraire à tout raisonnement. Mais il n’a pas raisonné, il a seulement cru cela, c’est tout. Aucun raisonnement n’aurait pu démontrer la possibilité de la naissance de ce bébé. Ça faisait environ 20 ans que la femme avait eu la ménopause, et le corps du mari était pratiquement mort. Et à l’âge de cent ans, vingt-cinq ans plus tard, il donnait encore la louange à Dieu, contrairement à toute intelligence. Mais, par la foi, il savait que Dieu tiendrait Sa Parole. Il ne s’est pas appuyé sur son intelligence.

148      Que serait-il arrivé si Moïse s’était appuyé sur son intelligence, quand Dieu lui a dit qu’il allait–allait arracher Pharaon... ou plutôt les enfants d’Israël de la main de Pharaon? Que serait-il arrivé s’il s’était appuyé sur son intelligence, quand il était là, près de la Colonne de Feu, que Dieu lui a dit: «Vas-y, et Je serai avec toi»?

149      Que serait-il arrivé s’il s’était appuyé sur son intelligence, quand il les a amenés à la mer Rouge, et qu’ils étaient là, au bord de l’eau, alors que Dieu leur avait promis la Terre promise? Que serait-il arrivé s’il s’était appuyé sur son intelligence: «Comment vais-je traverser de l’autre côté? Nous n’avons pas le temps de construire un pont. Il y a l’armée qui arrive, juste derrière nous. Il y a des montagnes de chaque côté. Il y a l’eau devant nous, la mer Rouge»?

150      Eh bien, s’il s’était appuyé sur son intelligence, il aurait levé les bras et couru se jeter aux pieds de Pharaon, en disant: «Pharaon, pardonne-moi, j’ai mal agi.»  Mais il ne s’est pas appuyé sur son intelligence. Il a plutôt prié, et Dieu lui a dit d’avancer, et la mer s’est ouverte, ce qui était contraire à tout raisonnement. Mais il ne s’est pas appuyé sur son intelligence.

151      Que serait-il arrivé si Josué, quand il est allé là-bas avec les autres, les dix dénominations, qu’il s’est rendu là-bas et qu’il a vu cette terre que Dieu avait promise, s’il était revenu avec eux en disant: «Bon, un instant. C’est vrai. Nous avons l’air des sauterelles. Ce sont des géants. Comment pourrons-nous jamais avoir le dessus sur eux? Nous n’avons même pas d’épées, seulement ce que nous avons ramassé. Comment pourrons-nous jamais aller là-bas nous emparer de ce pays? Voyons, c’est totalement impossible. Ils sont cinquante fois plus nombreux que nous. Ce sont des soldats bien formés, et nous, on n’est qu’une bande de bergers et de tripoteurs de boue de l’Égypte. Comment? Nous n’avons même pas de boucliers, ni rien, comment pourrons-nous jamais nous en emparer?»

152      Voyons, l’intelligence aurait certainement démontré qu’ils ne pouvaient pas y arriver. N’importe quel militaire, comme lui ou Moïse, n’aurait pas pu s’appuyer sur son intelligence. Mais eux, ils ne se sont pas appuyés sur leur intelligence. Mais ils savaient que Dieu avait dit: «Je vous ai donné ce pays. Allez vous en emparer!» Ne vous appuyez pas sur votre intelligence.

153      Si vous vous appuyez sur votre intelligence aujourd’hui alors que vous êtes malade, peut-être que vous êtes assis dans un fauteuil roulant, que vous vous mourez du cancer, que vous souffrez du coeur, et que le médecin dit que vous allez mourir, si vous vous appuyez sur cette intelligence-là, vous mourrez. Mais ne vous appuyez pas sur cette intelligence-là. Certainement pas.

154      Et que dire des murailles de Jéricho dont on dit qu’on pouvait faire une course de chars dessus, sur ces gigantesques murailles? Dieu a dit: «Allez là-bas et faites-en le tour tant de fois, et sonnez de la trompette, et tous ensemble, poussez un grand cri, et la muraille s’écroulera.» Eh bien, ça, c’était absolument… ce serait insensé pour la pensée charnelle.

155      Mais Josué, il connaissait l’épaisseur de ces murailles, car il avait construit beaucoup de murailles en Égypte. Il savait quelle quantité de ciment il y avait dedans, il en connaissait la solidité pour qu’on fasse des courses de char dessus, et il y avait même des maisons construites dessus. Mais il ne s’est pas appuyé sur son intelligence. Il a cru que ce que Dieu avait dit était la vérité, et il a obéi à Sa Parole, et les murailles se sont écroulées. Il ne s’est pas appuyé sur son intelligence.

156      Et que serait-il arrivé si, pendant qu’il livrait la bataille, et, (comme je l’ai prêché dimanche) et que le soleil se couchait, alors que l’ennemi était mis en déroute? Cette nuit-là, ils se seraient rassemblés et ils seraient revenus avec d’autres effectifs, ils auraient tué beaucoup de ses hommes. Alors, que serait-il arrivé s’il avait dit: «J’ai besoin de la lumière du jour. Il me faut encore la lumière du soleil. Eh bien, un instant, maintenant. Dieu a établi cet ordre-là, et le soleil tourne, et donc, la terre tourne. Maintenant, voyons voir, si je priais le soleil de s’arrêter... Peut-être que si la terre s’arrêtait maintenant, alors, elle perdrait sa force de gravitation, je tomberais»?

157      Il n’a pas écouté son intelligence. Tout ce qu’il a dit, c’est: «Soleil, arrête-toi; et toi, lune, reste où tu es.» Et ils lui ont obéi. Il ne s’est pas appuyé sur son intelligence. Mais il s’est appuyé sur la promesse de Dieu: «Je t’ai donné ce pays; va t’en emparer.»

158      Il vous a donné la promesse du Saint-Esprit. Vous pouvez Le recevoir pendant cette convention. Vous pouvez Le recevoir maintenant. Ne vous appuyez pas sur: «Tu sais, je suis fatigué. Je te le dis, j’ai pris gros souper. Je–je–je n’aimerais vraiment pas que Jean me voie faire ça.»

159      Oh! miséricorde! Vous vous appuyez sur votre intelligence! «La promesse est pour vous, et pour les enfants de vos enfants, pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»

160      «Le médecin m’a dit que j’allais mourir. Il m’a examiné et il a dit que j’avais ce cancer, que j’avais ceci, ou que sais-je encore. Je suis condamné à mourir.» Ne t’appuie pas sur cette intelligence-là. Dieu est l’Eternel ton Dieu, qui guérit toutes tes maladies. Alors, ne t’appuie donc pas sur cette intelligence-là, sur l’intelligence d’aucun homme. Appuie-toi sur l’intelligence de Dieu.

161      Que dire de Samson, là-bas dans le champ, quand les Philistins, mille hommes, se sont jetés sur lui? Et il était là, un petit gringalet aux cheveux frisés, d’à peu près cette taille. Il… Eh bien, il ne s’y connaissait pas dans l’art de manier l’épée, parce qu’il ne savait pas, il n’avait aucune formation, aucune formation militaire.

162      Il avait l’air d’une espèce de petite femmelette aux cheveux frisés, avec sept tresses qui pendaient, le fils à maman, qui se tenait là; et voici mille Philistins qui arrivent. Eh bien, il n’avait rien à la main. Il a regardé par terre, et il a trouvé une vieille mâchoire blanchie, blanche, de mulet, et il l’a ramassée.

            Eh bien, il a dit: «Voyons voir, là, je ne ferai pas grand-chose avec ceci, parce que les casques qu’ils ont sur la tête... Ces Philistins, tous ces soldats-là, ils sont tous armés des lances. Ils ont tous des cuirasses. Et leurs casques pèsent une quinzaine de livres [Environ 6,8 kg–N.D.E.] chacun. Ce sont de grands gaillards, déterminés. Eh bien, si jamais je frappais un de ces casques-là avec cette vieille mâchoire fragile, voyons, elle volerait en mille morceaux. Voilà.»

163      Il ne s’est pas appuyé sur son intelligence. Il a tout simplement pris ce qu’il avait à la main, et il s’est mis à frapper les Philistins. Et après en avoir assommé mille, il avait encore la mâchoire à la main. Amen.

            Ce que la théologie des hommes en dit, ça m’est égal, ne vous appuyez pas là-dessus. Appuyez-vous sur la Parole de Dieu: «Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Certainement, il le croyait.

164      Que serait-il arrivé si David avait écouté la théologie de Sams-… de Saül? Goliath se tenait là, se vantant, et tout le monde avait peur; Saül dépassait d’une tête toute l’armée. Goliath disait: «Que quelqu’un vienne donc se battre contre moi. Il n’est pas nécessaire que–que nous mourions tous. Si je vous tue, alors vous tous vous allez nous servir. Et si vous me tuez, eh bien, c’est nous qui allons vous servir».

165      En effet, il avait l’avantage sur eux. C’est comme ça que le diable aime faire, quand il a tout son séminaire avec lui, et eux tous, quand il se présente, voyez-vous.

166      Ce brave petit David se promenait là-bas, vêtu d’une peau de mouton; le teint rosé, les épaules tombantes, un petit bout d’homme de peut-être cent ou cent dix livres [Environ 45 kg ou 48 kg–N.D.E.]. Il a dit: «Vous n’allez pas me dire que l’armée du Dieu vivant, qui est sous une alliance par la circoncision, va rester là et laisser ce Philistin incirconcis défier l’armée du Dieu vivant?»

167      Saül a dit: «Viens ici, mon garçon.» Il a dit: «J’admire ton courage, mais les jours des miracles sont passés. Nous n’avons rien de tout ça, tu vois. Et je vais te dire quelque chose: Quelle carte de membre peux-tu me montrer? Tu vois?

168      Tu n’as même pas d’armure. Tu n’as rien d’autre qu’une fronde à la main. Tu vois? Tu n’as pas de doctorat en philosophie, ni de doctorat en droit. Comment vas-tu faire? Eh bien, cet homme-là est un guerrier. Eh bien, il–il a un doctorat en théologie, il a un doctorat en droit, en philosophie, et que sais-je encore. Voyons, il a tellement de diplômes qu’il pourrait en tapisser un mur. Et toi, qui es-tu? Un berger.»

169      Il a dit: «Mais je voudrais te dire quelque chose.» Il a dit: «Tu sais quoi?» Il a dit: «Je faisais paître les brebis de mon père là-bas et, a-t-il dit, un lion est venu en a attrapé une, et s’est enfui avec. Et, tu sais, j’ai pris cette petite fronde, et je l’ai poursuivi, et je l’ai terrassé. J’ai arraché le–l’agneau de sa gueule, et alors il s’est dressé contre moi. J’ai simplement pris mon couteau et je l’ai tué.»

170      Il a dit: «Je suis retourné. Et là, un ours a surgi et a poursuivi une brebis, il l’a attrapée et s’est enfui avec. Je l’ai aussi tué.» Il a dit: «Donc, le Dieu... Pas mon doctorat en philosophie, pas mon intelligence. Je ne saurai te dire comment je fais. Je ne sais pas comment ça se fait. Mais le Dieu,» Amen! «Le Dieu qui m’a délivré de la patte de l’ours et de celle du lion, combien plus me délivrera-t-Il de la main de cet incirconcis de Philistin!»

171      Un évêque, Saül, a dit: «Tu sais, je crois que tu as un appel, mon garçon. Je t’assure, si tu viens ici, je t’apprendrai comment livrer un duel (vous voyez?). Et je t’assure, je suis–je suis docteur, revêts donc mon armure. Je voudrais t’habiller.»

172      David s’est tenu là, et ils lui ont donné un doctorat en philosophie, un doctorat en droit, et tout ça, et il–et le pauvre petit ne pouvait même plus bouger. Il ne savait pas comment s’y prendre.

            Il a dit: «Je n’ai jamais expérimenté ceci. Ce gilet ecclésiastique ne me va pas. Ôtez ça. Laissez-moi y aller avec ce avec quoi Dieu m’a aidé.» Et cela, c’était la foi dans la puissance de Dieu.

173      Et il–il ne s’est pas appuyé sur son intelligence. Il ne s’est pas appuyé sur ce que quelqu’un d’autre avait dit. Il s’est appuyé sur la foi. En effet, il savait que si Dieu l’avait délivré de la patte de l’ours, combien plus Il le délivrerait de ce Philistin!

174      Eh bien, si Dieu vous a aimés assez pour vous retirer du péché et vous remplir du Saint-Esprit, (qu’avez-vous, espèce de poules mouillées, partout dans le pays?) ne vous délivrera-t-Il pas à plus forte raison de votre affliction, puisqu’Il l’a promis? C’est la Parole de Dieu qui le dit. Il le fera. Certainement, Il l’a délivré de sa main.

175      Oh! chacun des prophètes, que se serait-il passé s’ils s’étaient appuyés sur leur intelligence, dans leur âge? Ils ne se seraient jamais avancés vers ces sacrificateurs et ces souverains sacrificateurs pour les traiter de «murailles blanchies», et tout le reste. Ils n’auraient jamais prophétisé contre eux. Ils auraient été comme certains de ces prophètes contemporains, ils auraient été d’accord, ils auraient porté de beaux vêtements et auraient été dans les palais des rois.

176      Que se serait-il passé si Jean avait essayé de s’appuyer sur son intelligence? Mais il s’est présenté là sans hésiter.

            Ils disaient: «Un instant, là, Jean, ne prêche pas sur le Mariage et le Divorce.»

            Il est allé sans hésiter chez Hérode ...?... et il a dit: «Il ne t’est pas permis de l’avoir pour femme.» Certainement.

            –On lui a dit: «Eh bien, sais-tu qui c’est? C’est le procla-...»

            –«Je m’en fiche, de qui c’est.» Il ne s’est pas appuyé sur ça.

177      On lui a dit: «Mais, tu sais, tu n’as pas grand-chose. Tu es là dans le désert. L’association ne t’acceptera pas si tu te mets à te conduire ainsi.» Il ne s’intéressait à aucune association. Il ne s’appuyait pas sur son intelligence, mais sur l’intelligence de Dieu. Certainement.

178      Il y a eu un homme qui lui, s’est appuyé sur son intelligence, et il s’appelait Judas Iscariote.

179      Oh! il... Je–je ne vois pas comment il a pu faire cela. Il avait marché avec Christ, côte à côte, exactement comme Ève l’avait fait au commencement. Il avait vu la confirmation, il avait regardé Dieu en face, comme Ève le faisait dans la fraîcheur du soir. Ève avait regardé Christ, dans la fraîcheur du soir, dans le jardin. Et Judas s’était assis, dans la fraîcheur du soir, dans le jardin de Gethsémané et à bien des endroits, et il avait regardé ce même Christ. Il L’avait entendu enseigner, démontrer ce qu’Il était, par la Parole, confirmer qu’Il était le prophète dont Moïse avait annoncé qu’Il serait suscité. Il leur avait dit, en prenant l’Écriture, Qui Il était, et tous les détails. Les gens avaient vu Dieu confirmer qu’Il était bien Celui-là; et alors, lui s’est appuyé sur son intelligence.

            Comment a-t-il pu faire cela? C’est parce qu’au départ, il n’y avait rien en lui. Il n’était pas une semence fécondée. Il était le fils de la perdition, né de la perdition, et il est retourné à la perdition.

180      Maintenant, remarquons. Mais il s’en est allé et peut-être qu’il s’était fait une idée de la chose par son intelligence. Peut-être qu’il pensait que Jésus... Il avait tant de respect pour Lui: «Bon, vous savez, je peux Le vendre pour trente pièces d’argent. Comme ça, j’aurai de l’argent, et je pourrai faire quelque chose avec. Et Il est capable de Se délivrer tout seul.» Voyez-vous, il ne savait pas que, selon l’Écriture, il avait été suscité pour jouer ce même rôle-là.

181      Et les gens d’aujourd’hui non plus ne se rendent pas compte de l’état dans lequel ils se trouvent. Cette église de Laodicée est destinée à être dans cet état-là, à bouter Christ dehors. Et Lui, Il frappe, cherchant à rentrer [Frère Branham donne cinq coups sur la chaire.–N.D.E.], mais sans aucune collaboration, nulle part. Il confirme maintenant Sa Parole en cet âge, comme Il l’a fait à chaque âge, mais les gens s’en détournent carrément. Ils s’appuient sur leur intelligence, c’est–c’est tout ce qu’il en est.

182      Ou peut-être, disons que–qu’il pensait peut-être qu’en vendant Christ pour trente pièces d’argent, eh bien, il communierait avec certaines grandes dénominations de l’époque, les Pharisiens et les Sadducéens. Il s’est peut-être dit: «Bon, attends un peu, Il peut s’en tirer tout seul. Je L’ai vu dans de grandes batailles; je–je sais qu’Il peut s’en tirer tout seul. Alors, je pourrais bien me faire un peu d’argent, un genre de–de petit fonds de retraite, pour ainsi dire. Et puis, peut-être qu’à ce moment-là j’aurais une position importante dans des églises d’aujourd’hui, si je Le leur livrais.» Voyez?

183      Mais il s’est appuyé sur son intelligence plutôt que sur l’intelligence de savoir que c’était là la Parole de Dieu confirmée. Et il a fait à Jésus exactement ce que les Écritures avaient déclaré qu’il ferait.

            Et aujourd’hui, le monde ecclésiastique a mis Christ à la porte, en ces derniers jours, et exactement comme l’a annoncé le Livre de l’Apocalypse. C’est l’esprit de Judas de nouveau sous forme d’église: «Ayant l’apparence de la piété, mais reniant la Parole.» Voyez? C’est exact.

184      Alors, oh! la la! quel en a été le résultat? La mort, exactement comme pour Ève. Et c’est ce qui se produit chez tous les autres qui cherchent à pervertir la Parole de Dieu et qui s’appuient sur leur intelligence. Même maintenant, ils vendent, pas pour trente pièces d’argent, mais peut-être pour devenir–oh!–quelqu’un de haut placé, avec une expérience de séminaire. Ça ne vaut pas trente pièces d’argent, mais ils la vendent quand même, ils vendent l’intelligence qu’ils ont de Dieu pour une chose pareille.

185      Comme c’est différent de ce grand érudit de saint Paul, qui possédait toute la connaissance dont il aurait pu se glorifier! Mais il a dit: «J’ai rejeté tout cela, tous mes raisonnements. J’ai rencontré une Colonne de Feu, un jour alors que j’étais en route pour Damas.»

186      Il a dit: «Je ne suis pas venu vers vous avec une supériorité de langage, parce que si je l’avais fait, vous auriez placé votre confiance dans la sagesse des hommes. Mais je suis venu vers vous avec la puissance et les démonstrations du Saint-Esprit, pour que votre–que vous vous appuyiez sur la Parole de Dieu.» Amen. Il a dit: «Si un Ange du Ciel venait vous annoncer quoi que ce soit d’autre, qu’il soit anathème», Galates 1.8. C’est exact. Certainement pas. Il n’a jamais fait cela.

            La petite femme au puits, elle était immorale. Mais, elle savait que les églises l’avaient excommuniée, et, mais elle ne s’est jamais appuyée sur son intelligence. Quand, au puits, elle a rencontré cet Homme qui lui a dit tout ce qu’elle avait commis comme péchés, elle est entrée dans la ville en courant. Or, ce n’était pas bienséant de la part d’une femme d’agir ainsi, d’aller là-bas et de dire quoi que ce soit, car, elle était une prostituée. Mais quand elle a rencontré Jésus, elle ne s’est jamais appuyée sur l’intelligence des gens de l’époque. Elle est allée dire: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce pas le Messie?» Elle ne s’est jamais appuyée sur son intelligence. Non.

            La vierge Marie, quand l’Ange Gabriel l’a rencontrée et qu’Il lui a dit qu’elle aurait un bébé, sans avoir connu d’homme… Fiou! Ça ne s’était jamais produit. Elle ne s’est pas du tout appuyée sur son intelligence, qu’une femme ne pouvait pas avoir un bébé sans avoir un–un mari. Elle ne s’est pas appuyée là-dessus. Mais elle a dit: «Je suis la servante du Seigneur; qu’il me soit fait selon Ta Parole.» Elle n’a pas dit: «Comment vais-je faire cela? Quand vais-je faire cela? Comment tout cela va-t-il se passer?»

            L’Ange a dit: «Le Saint-Esprit te couvrira de Son ombre; et le Saint Enfant qui naîtra de toi sera appelé le Fils de Dieu.»

            Elle a dit: «Je suis la servante du Seigneur.» Elle ne s’est pas fiée à son raisonnement, que c’était une chose impossible. Elle a seulement dit: «Je suis la servante du Seigneur.» C’est exact.

187      Remarquez. La–la femme qui avait la perte de sang, le médecin lui avait parlé, disant: «Il n’y a pas d’espoir.» Elle avait dépensé tout son avoir chez les médecins, et aucun d’eux n’avait pu l’aider. Elle ne s’est pas appuyée là-dessus. Quand Jésus... Elle s’est frayé un chemin dans la foule, et elle a dit: «Je crois que si je peux toucher les vêtements de cet Homme, je serai guérie.»

            Là voilà qui s’avance. «Eh bien, un instant, le médecin a dit que ‘tu ne peux pas te rétablir’.» Il y avait bien des années qu’elle avait cette perte de sang. Elle s’affaiblissait sans cesse, son état empirait. Les médecins l’avaient abandonnée. C’est là que se limitait leur intelligence.

188      Mais elle a dit, par la foi! Il n’y avait aucun passage de l’Écriture qui lui disait de faire ça. Mais elle a dit: «Si je peux toucher le bord de Son vêtement, je serai guérie». Et elle s’est faufilée jusque-là et L’a touché. Elle est retournée s’asseoir.

189      Jésus s’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?» Il a parcouru l’assistance du regard jusqu’à ce qu’Il la trouve. Il lui a parlé de sa perte de sang.

            Et elle a senti, au même instant, dans son corps (elle ne pouvait pas le prouver alors), mais elle a senti dans son corps que sa perte de sang s’était arrêtée. Elle n’a pas du tout raisonné, que «si le médecin l’avait abandonnée, comment était-il possible pour elle de recevoir de l’aide d’ailleurs?» Elle n’a pas du tout raisonné, mais elle a cru.

190      Or, la Bible dit qu’«Il est aujourd’hui le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités». Pas vrai? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Ne vous mettez pas à raisonner, disant: «Oh! que c’est...»

191      Il a dit: «C’est ce qu’Il est aujourd’hui. Il est en ce moment même le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

192      Que pensez-vous de l’Ange du Seigneur qui m’avait rencontré là-bas alors que j’étais un prédicateur baptiste, et qui m’a donné la commission d’aller faire ce que je fais maintenant? Eh bien, mon pasteur a dit: «Tu as perdu la tête. Eh bien, tu as fait un cauchemar, tu...»

            J’ai dit: «Vous feriez mieux de me retirer la carte de membre tout de suite.»

            Bon, il a dit: «Comment toi qui n’as même pas achevé tes études primaires, tu vas prêcher dans le monde entier? Comment vas-tu prier pour des rois et des potentats, alors que tu–tu–tu ne sais même pas utiliser une bonne grammaire?»

193      Je n’avais pas confiance dans ma grammaire. Je n’avais confiance dans aucune capacité personnelle. J’avais reçu une commission. Alléluia! Je ne me suis pas mis à raisonner. Si j’avais écouté les raisonnements, probablement que des milliers de gens seraient morts, il y a des années. Mais j’ai porté un Message, exactement comme Il l’avait dit, partout dans le monde.

            Et, par la grâce de Dieu, je repars; pas par le raisonnement, mais par une commission. Alléluia!

194      Je ne me suis pas appuyé... Eh bien, vous dites: «Vous avez cinquante-cinq ans.» Même si j’en avais quatre-vingt-quinze, ça n’a absolument rien à y voir. Il est toujours le même Dieu qu’Il était avec Abraham. Certainement. Ne vous appuyez pas sur votre intelligence.

195      Et, après que le signe a été manifesté et que la Voix a suivi, les églises se sont mises à me rejeter et à me fermer leurs portes, à cause de la Doctrine, alors qu’aucune d’elles n’ose se tenir devant moi pour me dire qu’Elle est vraie ou fausse.

196      Je mets n’importe laquelle d’entre elles au défi. Oui, oui. Ce n’est pas pour faire le malin, mais je sais où je me tiens. Voyez? C’est vrai. Qu’ont-ils fait? Qu’ont-ils fait? Ils ont fermé toutes les portes. «Maintenant, qu’allez vous faire?»

197      L’autre jour, je me tenais là-haut, sur la montagne. Je disais: «Seigneur, je n’ai qu’une porte ouverte dans tout le pays, pour autant que je sache, c’est à Phoenix, en Arizona. C’est la seule que j’aie.»

198      Comme je descendais la montagne, aussi clairement que j’ai jamais entendu quelqu’un parler, Il a dit: «Que t’importe? Toi, suis-Moi.» Amen...?... Pas sur mon intelligence. Je m’appuierai sur Sa promesse.

            Oh! mon ami, ne vous appuyez pas sur les raisonnements. Écriez-vous alors, comme Eddie Perronet autrefois :

            Que tous acclament la puissance du Nom de Jésus!

            Que les Anges se prosternent; Apportez le diadème royal,

            Et couronnez-Le Seigneur de tous;

            Couronnez-Le Seigneur de tous.

199      C’est vrai. Ne vous appuyez pas sur ce que vous, vous pensez, sur ce que quelqu’un d’autre pense. Par la foi, acceptez la promesse de Dieu. Voulez-vous le faire? Maintenant, il ne s’agit pas de savoir si quelqu’un d’autre l’a fait ou ne l’a pas fait, mais qu’en est-il de vous?

200      Que ferez-vous de ce Jésus qu’on appelle le Christ, qui Se fait connaître aujourd’hui, de la même manière qu’Il l’avait fait à cette époque-là? Croyez-vous en Lui? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

            Prions.

201      Seigneur Jésus, Roi des rois, Seigneur des seigneurs, Dieu des dieux, Dieu de tous les potentats, le Premier, le Dernier, l’Alpha, l’Oméga, le Commencement et la Fin, l’Étoile Brillante du Matin, la Rose de Saron, le Lis de la Vallée, la Racine et le rejeton de David, viens, Seigneur Dieu, le même hier, aujourd’hui et éternellement! Bénis cette foule de gens, Seigneur.

202      Cette... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] qui va bientôt commencer, demain. Nous avons eu quelques réunions ici, et Tu nous y as bénis. Tu T’es fait connaître à nous. Je Te prie, ô Dieu! de continuer à Te faire connaître à nous. Bénis-nous ce soir. Aide-nous maintenant. Nous sommes un peuple nécessiteux.

203      Et, Seigneur, Tu sais que je n’aime pas réprimander les gens, mais comment faire taire cette chose sacrée qui brûle en moi? Je n’aime pas faire cela, Seigneur. Tu connais ma vie, mon coeur. Je dois le faire. Aussi je Te prie, ô Dieu! de m’aider à le faire. Accorde-moi seulement la grâce, et ne me laisse jamais m’appuyer sur mon intelligence, mais laisse-moi m’appuyer sur Ta promesse. Au Nom de Jésus. Amen.

204      Je voudrais que vous soyez tous très respectueux pendant quelques instants. Dans cette foule de gens, il y a sans doute des hommes et des femmes qui sont malades. Combien ici sont malades et affligés? Levez la main, dites simplement: «J’ai besoin de Dieu.» Levez la main maintenant même. Dites: «J’ai besoin de Dieu.»

205      Bon, je ne connais pas un grand nombre de personnes. Je connais ces trois garçons qui sont assis juste ici. Je connais monsieur Dauch et sa femme, qui sont assis là. Je pense, je pense que c’est soeur Moore ici. Je ne suis pas sûr. Est-ce bien soeur Moore? À part ceux-là, je pense que c’est tout. Frère Mike, qui est à l’estrade. Ça, c’est pour autant que je sache, d’après ce que je vois, tous ceux que je connais.

            Mais le Père céleste qui a promis qu’en ce jour-ci, Il confirmerait ce qu’Il est, dans cet âge-ci, exactement de la même manière qu’Il l’avait fait à Sodome… Est-ce qu’Il l’a promis? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Qu’Il Se manifesterait? Croyez-vous cela? [«Amen.»]

            Maintenant, veuillez prier, et par la foi!

206      Eh bien ne cherchez pas à raisonner: «Comment puis-je Le toucher comme Souverain Sacrificateur?» Or, la Bible dit, dans le Nouveau Testament: «Il est en ce moment même le Souverain Sacrificateur. Il est toujours comme Souverain Sacrificateur selon l’ordre de Melchisédek. Il est le Souverain Sacrificateur pour toujours. Il n’y a pas d’autre Souverain Sacrificateur que Lui. Pas d’autre médiateur entre Dieu et les hommes, si ce n’est Christ, Homme.» C’est vrai. Il est le seul, et Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

207      Eh bien, Il demeure le même Souverain Sacrificateur, et la Bible dit que «nous pouvons Le toucher par le sentiment de nos infirmités», comme l’avait fait cette petite femme qui avait touché Son vêtement, votre foi peut Le toucher ce soir, et Il agira de la même manière (dans une chair humaine) qu’Il l’avait fait quand Il était dans une chair humaine, là-bas, sous–sous le chêne d’Abraham. Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Il a promis qu’Il le ferait.

208      Maintenant, priez, tout simplement, vous tous qui avez un besoin. Et je–je... C’est comme je le disais, un don, ce n’est pas quelque chose comme de prendre un couteau, et si vous voulez vous en servir pour couper ceci, vous pouvez le couper, ou pour couper ceci, vous pouvez le couper, ou quoi que vous voulez couper. Ce n’est pas ça un don de Dieu. Voyez? Non.

209      Un don de Dieu, c’est un moyen que vous avez de vous ôter du chemin. Et les dons et les appels relèvent de la prédestination de Dieu. «Les dons et les appels sont même sans repentir.» Vous naissez avec. C’est un petit levier pour vous faire passer d’une vitesse à une autre, mais vous ne pouvez pas appuyer sur l’accélérateur. Voyez? C’est Dieu qui doit le manoeuvrer.

210      Vous devez vous ôter du chemin. Votre foi à vous peut le manoeuvrer, pas la mienne; la vôtre. La mienne, c’est juste de m’ôter du chemin, c’est tout. Croyez de tout votre coeur que Jésus-Christ vit aujourd’hui.

            Ne vous appuyez pas sur votre intelligence. Vous dites: «Eh bien, regardez, donc, mon–mon état très grave, frère. Vous ne me connaissez pas. Ça fait longtemps que je suis dans ce fauteuil roulant... ça fait longtemps...» Je… donc…

211      Le temps que vous avez fait ne compte pas. Voyez si Dieu ne va pas descendre pour faire exactement ce qu’Il avait fait quand Il était ici sur terre dans un corps physique. Il le fera dans votre corps, dans mon corps, ensemble comme un seul corps en croyant en Lui. Il le fera, parce qu’Il l’a promis.

212      Maintenant, ne vous appuyez pas sur ce que quelqu’un a dit: «Oh ! ça, c’est–ça, c’est de la télépathie», comme les gens l’appellent. Ils ont dit la même chose de Jésus. Ils L’ont traité de diseur de bonne aventure, de démon. Mais Il était le Fils de Dieu, parce qu’Il était la réponse à la Parole promise de Dieu.

213      Maintenant, comme je le disais, les salles qu’on–on a… on n’est pas obligé d’avoir cela pour faire venir les gens ici afin de leur imposer les mains. Nous leur avons imposé les mains hier soir. Mais la seule chose qu’il vous faut avoir, c’est la foi, et ensuite de reconnaître par la foi… Vous l’acceptez par la foi. Pas–pas quoi que ce soit que...

214      Ne dites pas: «Eh bien, là, comment est-ce possible?» Si je pouvais vous dire comment cela s’est fait, alors, ce ne serait plus la foi. Je ne sais pas comment cela se fait. Je ne sais pas, mais je le crois. Je–je ne sais pas comment–comment Dieu fait pour sauver un pécheur, mais Il le fait. Je ne sais pas comment Dieu fait toutes ces choses, mais je l’accepte. Il–Il le fait, et c’est comme ça. En effet, je ne peux pas l’expliquer. Maintenant, bon, je... Ça ne s’expliquera jamais. Personne ne peut l’expliquer. Parce que si vous l’expliquez, à ce moment-là, ce n’est plus la foi.

215      Je ne peux pas comprendre que Dieu et Christ puissent être une même Personne, mais Ils l’étaient. L’Écriture le dit. Eh bien, vous ne pouvez pas l’expliquer, mais Ils l’étaient. «Mon Père est en Moi. Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui est en Moi. Si Je ne fais pas Ses oeuvres, alors cela montre que Je ne suis pas de Lui. Mais si Je fais Ses oeuvres, alors c’est Lui-même qui rend témoignage que Je suis de Lui.»

            Eh bien, c’est donc la même chose, exactement la même chose. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, si vous le croyez.

216      Maintenant, il y a un homme assis juste ici devant moi, il a les cheveux bruns. Il porte une montre au bras, un complet foncé. Il porte des lunettes. Si vous regardez juste ici, vous le verrez assis, les yeux fermés, il prie. Je ne connais pas cet homme. Le Père céleste sait que je ne le connais pas. Mais je vais juste m’occuper de lui un petit instant, parce qu’il semble être vraiment sincère, assis là.

217      Depuis que j’ai fait mention de cela, cet homme a simplement fermé les yeux et il s’est mis à prier. Cet homme est un inconnu pour moi, c’est à ma portée. Je ne le connais pas. Dieu connaît cet homme, et Il peut me révéler, si cette promesse de la Bible est vraie, Il peut me révéler la raison pour laquelle cet homme a les yeux fermés, et pour quoi il prie. Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

            Le croyez-vous, monsieur? Si vous voulez bien ouvrir les yeux, vous qui êtes assis juste ici, regardez juste ici. Croyez-vous cela? Très bien. Maintenant, vous savez que je ne vous connais pas. Nous sommes étrangers l’un à l’autre. Mais Dieu vous connaît. Maintenant, il se met à pleurer, à sangloter. En effet, je peux lui dire tout de suite que Dieu va exaucer sa requête, voyez-vous, parce que cette Lumière l’a touché juste à ce moment-là, c’est passé des ténèbres à la Lumière. Voyez?

218      Maintenant, cet homme prie pour quelqu’un d’autre ; il s’agit de ce petit garçon qui est assis ici à côté de lui. C’est son fils. C’est exact. Maintenant, ce petit garçon souffre de–de troubles gastriques, et il a aussi quelque chose aux intestins. C’est exact. C’est exact.

            Vous n’êtes pas d’ici. Vous n’êtes pas de l’Arizona. Vous êtes de la Californie. C’est exact. Et vous êtes un ministre, vous êtes membre des Assemblées de Dieu. C’est vrai. Vous êtes le révérend McKay, ou révérend Kaid, c’est exact. Est-ce vrai? Faites signe de la main, comme ceci. Maintenant, votre petit garçon va guérir.

219      Votre foi… Maintenant, qu’est-ce? Bon, cet homme est là, les mains levées, il ne me connaît pas, je ne le connais pas. Mais qu’est-ce qu’il y a eu? Il a touché le Souverain Sacrificateur. Maintenant, voyez-vous, il n’a pas pu s’appuyer sur son intelligence. Maintenant, que doit-il faire, que lui reste-il à faire? Il doit croire que ce qui lui a été dit est la vérité, parce qu’il sait qu’il ne me connaît pas. C’est exact.

220      Tenez, ici, il y a une femme assise juste ici devant moi, elle aussi a la tête inclinée. Elle souffre d’un cancer. Elle aussi vient de la Californie. J’espère qu’elle ne manquera pas la chose. Mademoiselle Adams, c’est cela son nom. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Oui, c’est bien vrai.

221      Il y a une dame assise juste là au fond. Je ne peux pas mettre ma... la montrer du doigt, mais je vois une Lumière au-dessus d’elle. Elle a des ennuis sérieux. La première chose, elle a mal au cou. Autre chose, elle a des–des problèmes spirituels, elle se fait du souci pour ça. Et elle a un problème de famille; sa fille s’est enfuie dernièrement. C’est exact. C’est vrai, n’est-ce pas? Elle a la main levée. Madame Miller, c’est exact. Croyez-vous? Dieu vous la renverra, Il guérira votre corps. Eh bien, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Elle m’est totalement inconnue.

222      Il y a une dame assise ici, dans l’auditoire. Elle–elle n’est pas d’ici; elle aussi, elle est de la Californie. Elle a un cancer, et c’est un cancer du sein. Elle a été opérée à un sein, et le cancer s’est propagé à l’autre. C’est exact. Madame Kaland, c’est exact. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Très bien. Croyez. Je suis un inconnu pour vous, madame, je ne vous connais pas. C’est vrai. Voyez? Elle est…?…

223      Pour que vous sachiez que Dieu est présent! Il y a une dame assise juste à côté d’elle. Son nom est madame Harris. Elle m’est totalement inconnue. Mais quand l’Esprit a touché cette femme-ci, elle aussi avait de la compassion pour elle, et elle vient de la Californie. C’est exact. Et elle a mal à l’épaule. C’est exact. Croyez-vous que Dieu vous guérira? Si c’est vrai, levez la main pour que les gens voient; elle m’est totalement inconnue.

            Ne vous appuyez pas sur votre intelligence.

224      Qu’est-ce qui peut faire cela? Ça ne s’explique pas. C’est un paradoxe. C’est inexplicable. Demandez à ces gens; je ne les ai jamais vus de ma vie, je ne connaissais absolument rien sur eux. Ça pourrait continuer ainsi durant toute la série de réunions.

            Mais, maintenant, regardez, ne vous appuyez pas sur votre intelligence, mais appuyez-vous sur la promesse qu’Il a faite, qu’Il ferait cela. N’est-ce pas là le même Esprit qui a habité dans une chair humaine, qui savait que Sara avait ri dans la tente, derrière l’Homme ? Pas vrai?

225      Et Il a promis, juste avant que le monde soit détruit par le feu, qu’alors le Fils de l’homme Se révélerait de nouveau de la même manière, comme le–le Fils de l’homme (prophétique) Se révélerait dans une chair humaine, comme Il le fait ici avec nous ce soir, de la même manière qu’Il l’avait fait à l’époque. Alors, dans quelle heure vivons-nous? Tout près de la destruction.

226      Mon ami, ne restez pas un pécheur plus longtemps dans cette salle. Acceptez Jésus-Christ pendant que vous êtes dans Sa Présence. Bon, je sais que généralement c’est la coutume que les prédicateurs supplient et racontent des histoires au sujet d’une mère qui est morte et qui s’en est allée. Il n’y a pas de mal à cela. Mais nous ne venons pas en fonction de notre mère qui est morte. Ma mère aussi, elle est morte; mon père aussi. Mais venons intelligemment, en l’acceptant sur la base du fait que Dieu S’est manifesté Lui-même en Jésus-Christ pour ôter les péchés du monde. Venons et plaçons notre foi dans l’Expiation. Alors qu’Il a confirmé Sa Parole...

227      Peu m’importe l’église que vous avez fréquentée, que ce soit l’Eglise méthodiste, baptiste, catholique, presbytérienne, ou pas d’église du tout. Veuillez admettre que vous en avez reçu une compréhension différente, et reconnaissez que vous n’êtes jamais réellement né de nouveau, mais que vous le désirez, et que vous désirez l’accepter maintenant, la promesse, maintenant. Vous ne serez peut-être pas rempli maintenant, mais vous serez rempli quand le... à mesure que les réunions se poursuivront. Si vous voulez L’accepter sur cette base-là, voulez-vous vous lever pour que je prie pour vous, juste là où vous vous tenez? Tous ceux qui sont ici, qui savent... Ne vous appuyez pas sur votre….

228      «Oh!», dites-vous: «J’ai parlé en langues.» Eh bien, ça n’a absolument rien à voir avec cela. Moi aussi, je crois au parler en langues.

            Mais j’ai vu des sorcières, des démons, et tout le reste, parler en langues et interpréter. C’est vrai. Demandez aux missionnaires ici, nous pouvons nous renseigner. Frère Creech est ici présent, vous savez, demandez-lui. Vous savez que c’est vrai.

229      Je les ai vus parler en langues, et boire du sang dans un crâne humain, invoquer le diable. Certainement. Je les ai vus poser un crayon par terre, et celui-ci s’est soulevé et a écrit en langues inconnues; et la sorcière, le sorcier se tenait là et en donnait l’interprétation.

230      Le parler en langues n’est donc pas le signe que vous avez le Saint-Esprit. Si ce–si vous parlez en langues et que vous niez cette Parole, il y a quelque chose qui cloche quelque part. C’est vrai, c’est vrai. Ne vous appuyez pas sur votre intelligence. Quelqu’un… Bon, vous direz: «Eh bien, j’ai poussé des cris.» Moi aussi, j’en pousse. Mais ne vous appuyez pas là-dessus.

            J’ai vu toutes sortes de puissances démoniaques pousser des cris et hurler. J’ai vu des musulmans pousser des cris et hurler, jusqu’à être tellement emballés qu’ils se sont transpercé les mains avec des esquilles.

231      En Inde, je les ai vus pousser des cris, sautiller, prendre des boules remplies d’eau et en enfoncer l’hameçon dans leur peau, et marcher sur des charbons brûlants, c’est vrai, alors qu’ils renient Jésus-Christ. Voyez-vous, ne vous appuyez pas sur votre intelligence, mais sur la Parole de Dieu.

232      Si votre vie n’est pas à la hauteur de cette Bible pour croire chaque Parole qui s’Y trouve, mais que vous vouliez Y croire, que vous vouliez que Dieu accomplisse Sa volonté en vous,–parce que vous pouvez être une partie de Dieu,–voulez-vous vous lever et dire: «Je vais l’accepter tout de suite, Frère.»

233      Merci. Merci. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est merveilleux! Que Dieu vous bénisse. Puisse Dieu vous l’accorder, vous, tous ces gens sincères. Vous dites... Continuez simplement–simplement à vous lever, simplement...

            Vous dites: «Je suis membre d’église, Frère Branham, mais vraiment, je suis pentecôtiste, mais, pour ce qui est vraiment de dire vraiment que je peux croire que toute la Parole est la Vérité, je ne peux simplement pas le faire, mais je–je veux bien. Aidez-moi, priez pour moi. Je veux me lever et dire: ‘Je–je ne...’» Vous dites: «Eh bien, écoutez, je suis assise ici, ou je vais témoigner à cette église que je l’étais.» Mais vous le savez, au fond de votre coeur, que vous ne l’êtes pas. Dieu aussi, Il sait que vous ne l’êtes pas, voyez-vous, alors pourquoi ne pas vous lever? Ne vous appuyez pas sur votre intelligence, mais appuyez-vous sur Sa Parole.

            Voulez-vous vous lever, d’autres personnes? Quelqu’un d’autre voudrait-il se lever? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous, vous. «Ô Dieu! aide-moi!» Que Dieu vous bénisse tous. C’est bien. Continuez simplement à vous lever.

            Vous dites: «Est-ce que ça va m’avancer à quelque chose?» Levez-vous une bonne fois, vous verrez si ça va vous avancer à quelque chose. Soyez vraiment sincère. «Je veux, Frère Branham, je veux être en ordre. Je veux être en ordre.»

234      Bon, je ne dis pas de quitter votre église. Certainement pas. Restez juste là où vous êtes, mais soyez une personne vraiment remplie du Saint-Esprit dans cette église-là, c’est tout.

235      Vous dites: «Eh bien, je ne sais pas ce que mon pasteur en dira.» Il vous appréciera si vous êtes, s’il est un homme de Dieu. C’est exact.  «Que votre lumière luise ainsi devant les hommes afin qu’ils voient vos bonnes oeuvres, et qu’ils glorifient le Père.»

            Que Dieu vous bénisse. Eh bien, que Dieu vous bénisse tous les deux, et vous; et vous, frère, vous. Que Dieu vous bénisse, chacun. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, fiston.

            Maintenant, vous qui êtes debout, si vous vous sentez mieux après vous être levés, levez donc la main pour faire savoir aux autres que vous vous sentez mieux après vous être levés. Voyez-vous, chaque main. Voyez? Bien sûr que vous vous sentez mieux. Voyez-vous.

236      Si vous êtes sincère, levez-vous, dites: «Je vais rendre témoignage.» «Celui qui prendra position pour Moi ici, Je prendrai position pour lui là-bas. Celui qui aura honte de Moi ici, devant ces hommes, J’aurai honte de lui devant Mon Père et les saints Anges.»

237      N’ayez pas honte de Lui. Ne vous appuyez pas sur vos raisonnements. Appuyez-vous sur la Parole de Dieu. «Celui qui Me confessera devant les hommes, Je le confesserai devant Mon Père et les saints Anges.» Y en aurait-il d’autres, juste avant que nous priions? Alors, inclinons la tête.

            Que Dieu vous bénisse, soeur. Bien sûr. Que Dieu vous bénisse, vous, vous frère. Certainement. Est-ce qu’il y en aurait un autre, pendant que nous avons la tête inclinée? Que Dieu vous bénisse, vous, vous. Bon, c’est ça, les gens continuent à se lever. Nous allons simplement attendre un instant, un petit instant. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse. Vous dites: «Est-ce que ça signifie quelque chose de dire: ‘Que Dieu vous bénisse’?» C’est ainsi que je prononce mes bénédictions sur vous. Que Dieu vous bénisse. Certains d’entre vous qui sont debout le long du mur, vous n’avez pas de place pour vous asseoir, voulez-vous simplement lever la main, pour dire: «Moi, ô Dieu! c’est de moi qu’il est question»? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, et vous; et vous, soeur; et vous, mon frère; vous, et vous, ma soeur.

            Oh! le Saint-Esprit se déplace avec tellement de douceur sur l’auditoire. Pouvez-vous Le ressentir? Que Dieu vous bénisse, jeune homme, ici sur l’estrade. Que Dieu vous bénisse, là au coin. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Oui.

            Ô Saint-Esprit! meus-Toi donc maintenant même dans nos coeurs. Révèle-nous nos fautes, Seigneur. Nous ne... Nous ne nous appuierons pas sur notre intelligence, sur notre raisonnement. Mais nous nous appuyons sur Toi, parce que nous savons que nous nous en tenons à Ta promesse divine confirmée de ce jour.

238      Tu T’es fait connaître au-delà de tout, au-delà de tout raisonnement. Nous ne pouvons pas raisonner ni expliquer la chose. Mais Tu es descendu ici, au milieu de nous, maintenant, et Tu nous as montré que Tu es ici. Et des hommes et des femmes le croient et l’acceptent.

239      Ô Dieu! prends chacun d’eux dans Ton sein, et cache-les dans le Rocher des Âges, jusqu’à ce que les feux soient passés. Nous allons bientôt être brûlés, Seigneur. Nous le savons. Nous en sommes de nouveau à Sodome. «Mais le juste ne périra pas avec le coupable.»

240      Tu appelleras Tes enfants, Seigneur. Tu as dit à Lot: «Sors de là. Sors.» Je prie, ô Dieu! que chaque personne qui est dans cet état-là ce soir, qui est là-bas, sans savoir avec certitude où elle en est...

            Ô Dieu! ils ne prendraient pas le risque de descendre une rue à sens unique en sens inverse. Ils ne prendraient pas le risque de griller un feu rouge, s’ils sont dans leur bon sens, parce qu’ils pourraient se faire tuer. Alors, comment des gens peuvent-ils prendre des risques quand il s’agit de leur destination éternelle, se contenter de supposer, de présumer, de s’aventurer sans avoir vraiment l’autorisation de s’aventurer, du fait qu’ils sont membres d’une église ou d’une dénomination?

241      Et, vraiment, ils ne peuvent pas, ils ne peuvent pas comprendre que la Parole de Dieu puisse être aujourd’hui telle qu’Elle était à cette époque-là, que ces promesses puissent être manifestées. «L’âge apostolique, c’est du passé.» Aide-les, Père. Je Te les confie au Nom de Jésus-Christ. Amen.

242      Merci, mon frère, ma soeur. Je suis si heureux de vous appeler mon frère, ma soeur.

            Souvenez-vous, Dieu me fera répondre de chaque parole, au Jour du Jugement. Tout ce que j’ai prêché ce soir, j’aurai à en répondre. J’en suis conscient. Qu’ai-je fait depuis que j’étais un jeune garçon, sinon prêcher cet Évangile? Et être ensuite rejeté?

243      Maintenant, combien d’entre vous sont malades et affligés ici ce soir, et veulent qu’on prie pour eux? Levez la main. Maintenant, voulez-vous faire juste une chose encore pour moi? Imposez-vous les mains les uns aux autres. Imposez-vous les mains les uns aux autres. Que tout le monde incline la tête maintenant, exactement comme si vous étiez à l’église, ici sur l’estrade.

            Dieu bien-aimé, au Nom de Jésus-Christ, et de Sa Présence, une Présence qui a été confirmée… La Parole même qui a été prêchée a été confirmée, comme quoi Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Que le Saint-Esprit de Dieu inonde cette foule de gens maintenant même. Beaucoup d’entre eux sont venus T’accepter comme leur Sauveur, beaucoup de rétrogrades T’ont accepté et sont revenus.

            Ô Dieu! je Te prie, au Nom de Jésus-Christ, de guérir chaque personne. Tu as dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Tu l’as promis, Seigneur, et les enfants qui croient ont imposé les mains les uns aux autres.

            Satan, tu es vaincu. Sors de ces gens, au Nom de Jésus-Christ. Laisse-les s’en aller, dans l’intérêt du Royaume de Dieu, au Nom de Jésus. Amen.

            Vous tous qui croyez donc que Jésus-Christ est votre Guérisseur et votre Sauveur, et qui voulez L’accepter sur les mêmes bases, levez-vous, dites: «J’accepte maintenant Jésus comme mon Guérisseur et mon Sauveur.» Merveilleux! Gloire au Seigneur! Grâces soient rendues au Seigneur! Maintenant, levons les mains et chantons pour Lui.

            Je Le louerai, je Le louerai,

            Je louerai l’Agneau immolé pour les pécheurs;

            Donnez-Lui gloire, vous tous les peuples,

            Car Son Sang a effacé toutes les taches.

            Oh ! ne vous sentez-vous pas bien? Agitez la main. Oh! la la! Chantons-le encore.

            Je Le louerai, je Le louerai,

            Je louerai l’Agneau…pour... (Souvenez-vous, cet Agneau est «le même hier, aujourd’hui et éternellement».)

            Donnez-Lui gloire, vous tous les peuples,

            Car Son Sang a effacé toutes les taches.

            Aimez-vous cela? [L’assemblée s’écrie: «Alléluia!»–N.D.E.] Amen. Tendons le bras pour serrer la main à quelqu’un. Ceci est le début de la série de réunions, c’est parti, pour la convention. Dites: «Que Dieu vous bénisse, frère, pèlerin. Que Dieu vous bénisse.» C’est formidable! C’est bien. Merveilleux! Maintenant, croyez-vous que nous allons avoir une grande convention après ceci? [«Amen.»] Nous remercions Dieu pour de grandes réunions et, maintenant, nous allons tenir une grande convention. Que tous ceux qui le croient disent: «Amen.» [«Amen.»]

            Ma foi regarde à Toi,

            Toi, Agneau (Regardons à Lui maintenant.) du Calvaire,

            Ô Sauveur Divin;

            Maintenant, écoute ma prière,

            Efface mon péché,

            Ô que je sois dès ce jour

            Tout entier à Toi.

            Et dans ce labyrinthe,

            Entouré de malheurs,

            Oh! sois mon Guide!

            Dissipe ces ténèbres,

            Essuie mes larmes de tristesse

            Que je sois tout à Toi

            Dès ce jour.

            Amen! Que l’assemblée dise: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Alléluia!

            Oh! louez-Le,

            Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs;

            Donnez-Lui gloire, vous tous les peuples,

            Car Son Sang a effacé toutes les taches.

            Comme c’est merveilleux!

244      Bien, maintenant, pouvons-nous incliner la tête pour la bénédiction. Eh bien, je ne sais pas qui a été choisi pour le faire. Frère Johnny Manedahl, de la Californie, alors que nous avons la tête inclinée. Eh bien, n’oubliez pas, demain soir, ce sera le début des réunions. Demain soir, la convention se tiendra ici même, juste ici dans cette salle, à dix-neuf heures et demie.

            Que Dieu vous bénisse. Avez-vous apprécié la Présence de Dieu? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Amen. Maintenant, inclinons la tête, pendant que Frère Johnny vous congédie.