Alors Jésus Vint, Et Il Appela

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Date: 64-0213 | La durée est de: 1 heure et 9 minutes | La traduction: VGR
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1  Je désire lire dans Jean, au chapitre 11, à partir du verset 18.

Et, comme Béthanie était près de Jérusalem, à quinze stades environ,

Beaucoup de Juifs étaient venus vers Marthe et Marie, pour les consoler de la mort de leur frère.

Lorsque Marthe apprit que Jésus arrivait, elle alla au-devant de lui, tandis que Marie se tenait assise à la maison.

Marthe dit à Jésus : Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.

Mais, maintenant même, je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera.

Jésus lui dit : Ton frère ressuscitera.

Je sais, lui répondit Marthe, qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour.

Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort;

Et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?

Elle lui dit : Oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, qui devait venir dans le monde. (Remarquez cela!)

Et, ayant ainsi parlé, elle s’en alla. Puis elle appela secrètement Marie, sa sœur, et lui dit : Le maître est ici, et il t’appelle.

2 Prions. Père Céleste, confirme ces Paroles à nos cœurs ce soir, alors que nous nous attendons à Toi maintenant. Nous remettons Ta Parole, Ton serviteur et ce texte entièrement entre Tes mains, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

Vous pouvez vous asseoir.

3 Le but de ma présence ici, c’est d’essayer d’aider le peuple de Dieu. Pas tant de prier et d’imposer les mains aux malades, mais d’amener les gens à reconnaître que Jésus-Christ est au milieu de nous, que le Fils de Dieu est au milieu de nous. Le sujet de notre prédication de ce soir est : Alors Jésus vint, et Il appela.

4 Maintenant, ce moment dont nous allons parler, c’était un moment de grande tristesse. Si vous avez déjà lu ce récit de la vie de notre Seigneur, on découvre là qu’Il était un grand Ami de ce jeune homme, Lazare. Il était… Après le décès de Joseph, ou, Il était parti habiter chez Marthe, Marie et Lazare. Et ils étaient de grands amis. Ils avaient… Il était comme un pasteur pour eux, un—un véritable Ami. Ils Lui avaient fait quelques vêtements, à ce qu’on dit, je crois, une tunique, qui était tissée d’une seule pièce, sans couture. Et ils avaient fait des choses pour Lui, parce qu’ils croyaient en Lui. C’était parce qu’ils—ils avaient cru et qu’ils avaient vu. Ils avaient quitté l’église et tout, pour Le suivre. Et de—de quitter l’église, à cette époque-là, c’était quelque chose de grave, qui pouvait même être passible de la peine de mort.

5 Mais Jésus, cet Homme qui allait ici et là, qui, d’après les gens, mettait la division dans leurs églises et disait de vilaines choses sur leur sacrificateur, et—et tout, Il leur avait—Il leur avait fait beaucoup de mal, pensaient-ils. Et—et le simple fait de se déclarer pour Lui entraînait la—l’exclusion des synagogues. Alors, si on était exclu de l’église, d’après ces—ces gens, on n’avait aucune—aucune possibilité d’être racheté. Si on ne faisait pas partie de l’une de leurs sectes, les pharisiens, les sadducéens ou quelque chose du genre, il n’y avait pas de rédemption, si on était en dehors de cela. Et, s’ils avaient le droit, les clés, alors, ils pouvaient tout simplement vous mettre à la porte s’ils le voulaient. Ça, c’est ce qu’eux-mêmes déclaraient. Ce n’est pas étonnant que Jésus ait dit : “Vous, par votre tradition, vous avez annulé l’effet de la Parole de Dieu.” Voyez?

6 Et maintenant, la chose s’est répétée de nouveau, puisque, comme nous le savons tous, l’histoire se répète de façon cyclique. Et c’est—c’est triste à dire, mais il avait été prophétisé que cela se répéterait, et cela s’est reproduit de nouveau.

Nous voyons que Jésus n’était pas bien considéré.

7 Souvent, les gens sont enclins à juger l’homme qui n’est pas d’accord avec eux. Nous ne devons pas faire ça. Nous pouvons être en désaccord les uns avec les autres, tout en étant gentils. Si je ne peux pas être en désaccord avec un homme, et continuer à l’aimer et à prier pour lui, être en désaccord avec lui en…avec lui en me fondant sur l’Écriture, et afin que nous soyons mieux éclairés, alors je ne lui dirai rien du tout. Je tiens à ce que mon désaccord avec lui soit toujours amical, parce que je l’aime, et que je—je ne veux vraiment pas qu’il soit perdu. Et il devrait, lui aussi, agir de la même manière envers moi; nous ne voulons pas être perdus. Et nous devons baser nos idées sur ce que dit la Parole. Que la Parole soit Vraie. Pas notre credo ni nos idées, mais ce qu’Il dit; aucune interprétation particulière : seulement ce que dit la Parole.

8 L’autre soir, j’ai fait quelque chose qui semblait presque sacrilège — c’était, je crois, à un petit-déjeuner de prédicateurs l’autre matin. J’ai fait passer Jésus en jugement. J’ai dit : “Ce que les gens avaient fait en ce temps-là, ils font exactement la même chose aujourd’hui.” Peut-être qu’il serait bon que je prenne un instant pour répéter cela, si nous avons le temps. Eh bien, j’ai dit qu’aujourd’hui, nous constatons que…

9 Dans la réforme de Luther, lui, en ce temps-là, a déclaré que le juste vivra par la foi. “Celui qui croit, lui il L’a.” Mais nous avons vu que beaucoup d’entre eux disaient croire, et ils ne L’avaient pas.

10 Du temps de—de John Wesley, s’ils recevaient ce qu’ils appelaient la deuxième bénédiction, la sanctification, une sanctification complète, ils ressentaient une grande joie et poussaient des cris. “Tous ceux qui poussaient des cris L’avaient.” Mais ils ont constaté qu’ils ne L’avaient pas. Beaucoup d’entre eux poussaient des cris, et ils ne L’avaient pas.

11 Au temps de la Pentecôte, ils ont dit : “Maintenant la restauration des dons est venue, le baptême de l’Esprit. Celui qui parle en langues, il L’a.” Nous voyons que beaucoup ont parlé en langues, et ils ne L’avaient pas.

12 Alors, ils disent : “Eh bien, C’est le fruit de l’Esprit, voilà.” Oh, non, Ce n’est pas le fruit de l’Esprit. Ça, la Science Chrétienne l’a, au point que pratiquement… L’amour est le fruit de l’Esprit. Et eux, ils ont plus d’amour que n’importe qui, et ils nient la Divinité de Jésus-Christ; ils disent qu’Il n’est qu’un prophète, un homme comme les autres. Voyez? Donc, ça, ça ne fait pas l’affaire.

13 Permettez-moi de faire une petite remise en question là-dessus, pendant un instant. Faisons passer Jésus en jugement. Et que Dieu me pardonne cette déclaration depuis l’estrade, mais je vais être contre Lui pendant un instant, juste pour vous éclairer. Voyez?

14 “Bon, vous êtes ici devant moi ce soir; je m’adresse à vous. J’étais là, à l’époque où Jésus de Nazareth était sur terre. Je viens vers vous, pour plaider devant vous contre cet individu : Jésus de Nazareth. Bon, nous savons tous que Dieu est amour. La Bible le dit. Très bien, et l’amour, l’Esprit, c’est la longanimité, la bonté, la patience, la douceur, et ainsi de suite, et l’amour. Maintenant, disons, je veux vous demander quelque chose. Prenons, par exemple, ce que nous considérons tous comme un Chrétien.

15 “Considérez votre vieux sacrificateur. Son arrière-arrière-arrière-grand-père était sacrificateur. Pour être sacrificateur, il devait naître dans cette lignée des Lévites. Nous constatons que sa vie de jeune homme n’est pas celle que vous, vous avez eue. Qu’est-ce qu’il fait ? Il se sacrifie, il reste là-bas pour étudier la Parole, la Parole de Dieu. Il l’étudie jour et nuit, jour et nuit, car il doit en connaître chaque lettre, connaître chaque mot qu’il y a sur le rouleau. Il doit connaître cela par cœur. Il—il lui faut absolument connaître ces choses.

16 “Et, en plus, quand votre père et votre mère se sont mariés, qui les a unis comme mari et femme? Votre bon vieux sacrificateur, ce saint homme. Qui est venu trouver votre père quand il était dans le besoin, qu’il devait de l’argent pour sa ferme, et que les créanciers allaient la saisir? Qui l’a soutenu? Votre bon vieux sacrificateur. Qui a soutenu votre mère, quand elle était là, dans la salle, en train de vous mettre au monde? Ce bon vieux sacrificateur. Qui vient vous voir quand vous êtes malade, que vous avez un besoin? Votre bon vieux sacrificateur. Qui vous a béni, vous a consacré à Dieu et vous a circoncis, le huitième jour? Votre bon vieux sacrificateur. Quand votre père et votre mère étaient sur le point de divorcer, qui les a réconciliés, les a gardés ensemble? Votre bon vieux sacrificateur. Quand il y a un problème dans le quartier, qui s’en occupe? Votre bon vieux sacrificateur. Certainement.

17 “Maintenant, ce bon vieux sacrificateur sait que la Bible déclare que Dieu demande un agneau comme sacrifice. Beaucoup d’entre vous, vous êtes des hommes d’affaires, vous n’élevez donc pas de brebis, mais Dieu demande une brebis. Ils ont installé de petits enclos là-bas, ils y ont vendu leurs brebis, pour que les—les hommes d’affaires puissent aller les acheter, et offrir pour leur âme le sacrifice que Dieu demande.

18 “Ce jeune homme appelé Jésus, qu’a-t-il fait? D’où est-il venu? On prétend qu’il est né d’une naissance virginale. A-t-on déjà entendu pareilles sornettes? Nous savons que sa mère l’a eu avant qu’elle et Joseph soient nés, ou, qu’il est né avant qu’elle et Joseph soient mariés. On voit bien qu’il a—qu’il a mauvaise réputation, depuis le début.

19 “Quelle carte de membre porte-t-il? S’il est un saint homme, à quel groupe s’est-il joint? Alors que votre sacrificateur a étudié, étudié, étudié, étudié, pour connaître cette Parole, le voilà qui se présente et qui démolit ce que ce dernier a bâti. Appelleriez-vous ça ‘Dieu’? Certainement pas.

20 “Et, l’autre jour, alors que votre sacrificateur avait préparé cet endroit, là-bas…là où vous pouviez acheter le sacrifice, qu’a fait ce jeune homme? Ça, de la gentillesse? Il a donné des coups : il a tressé des cordes, du lin et du cuir, et il a regardé les gens avec colère, il a renversé les tables à coups de pied, et il a chassé les gens à coups de fouet. Et vous appelez ça les fruits de l’Esprit, de regarder les gens avec colère? Et, voyez, il a privé l’homme de sa possibilité d’adorer Jéhovah! L’homme d’affaires veut L’adorer; comme il n’élève pas de brebis, il s’est rendu là-bas pour en acheter une. Et lui, il a renversé tout ça, à coups de pied, et il les a chassés.”

21 Là, qui a le fruit de l’Esprit? Voyez? Voilà. Voyez-vous, ce n’est pas le fait d’avoir le fruit de l’Esprit, ni de parler en langues, ni de pousser des cris.

22 Vous dites : “Alors, Frère Branham, quelle est la preuve? Quelle est la preuve?” La confirmation de la Parole pour l’heure en question.

23 Ils avaient la Bible. Il correspondait parfaitement à ce que Jéhovah avait dit qu’il allait arriver. Cela n’a besoin d’aucune interprétation. Cela a été interprété à ce moment-là. Il y avait là les sacrificateurs, il y avait là tout ce qu’ils avaient, et tout le reste, une routine bien rodée, et tout, et pourtant ils n’ont pas vu la Parole. Et Il faisait vivre la Parole pour cet âge-là. Voilà la preuve, pour l’âge en question.

24 Luther avait la preuve pour son âge, Wesley pour son âge, la Pentecôte pour son âge, mais nous, nous sommes dans un autre âge. Ces choses-là sont bien. Mais, comme le bébé, qui a un doigt, un œil, un nez, mais au bout d’un moment, il doit devenir un être humain. Il doit devenir un—un enfant mature; ensuite naître, avoir une âme, un corps, un esprit, pouvoir se déplacer.

25 Or nous voyons que, tout cela, Jésus l’avait déclaré, et seulement un petit nombre, seulement ceux qu’Il avait destinés à la Vie, L’ont vu. Pas de grandes foules; Ses foules à Lui n’auraient jamais pu être comme les foules de Caïphe. Eh bien, Caïphe aurait pu rassembler toute la nation. Jésus n’a rassemblé qu’un petit groupe. Peu de gens L’ont connu. Il y avait des milliers de milliers de gens, quand Il est venu sur la terre. Il est passé sur la terre, et ils n’ont jamais su qu’Il était là.

26 Il en sera ainsi de nouveau! Il viendra à ceux qui ont été appelés à la Vie. Il sait qui a été appelé à la Vie. Et Il ne… C’est à Lui de veiller à cela.

27 Donc, nous voyons qu’ils avaient quitté leur église et qu’ils avaient cru en Lui. Tout ce que la Parole avait dit à Son sujet, Il l’était.

28 Et, un jour, Il a quitté leur maison. Je veux parler de trois choses : Jésus était parti; la mort était venue; et il n’y avait plus d’espoir. Je veux parler de ces trois choses-là pendant quelques minutes.

29 Jésus était parti. Et lorsqu’Il est parti, les problèmes sont arrivés. Alors, lorsqu’Il vous quitte, ou qu’Il quitte votre domicile, les problèmes sont en route. La porte est ouverte à Satan, lorsque Jésus s’en va.

30 Il était parti, et—et dès qu’Il est parti, la mort est arrivée. Lorsque Jésus part, la mort arrive. Être séparé de Lui, c’est la mort; alors, la mort est arrivée lorsque Jésus est parti.

31 Et la mort a pris son temps auprès de Lazare. Alors, Celui en qui ils croyaient et qu’ils aimaient, ils L’ont envoyé chercher pour qu’Il vienne prier pour Lazare; en effet, ils L’avaient vu, et ils savaient qu’Il connaissait Dieu, que “tout ce que Dieu…” Marthe l’a exprimé là-bas : “Tout ce que Tu diras à Dieu maintenant, Dieu le fera.” Elle avait reconnu que Lui et Dieu étaient Un. Il était la Parole de l’heure — elle avait donc reconnu cela. Et elle savait qu’il lui suffisait d’entrer en contact avec Lui, mais Il était parti, et ils n’arrivaient pas à Le joindre. Alors, ils L’ont envoyé chercher, et plutôt que de venir, Il s’est éloigné davantage. Alors, ils L’ont encore envoyé chercher, et plutôt que de venir, Il s’est éloigné davantage.

32 Nous nous demandons parfois pourquoi ces choses arrivent, mais l’Écriture ne dit-elle pas que “toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu”? Il sait ce qu’Il fait. S’Il tarde, c’est en ordre. Il sait ce qu’Il fait. Il y avait un but.

33 Nous voyons qu’Il a dit, dans Jean 5.19 : “En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.”

34 Le Père Lui avait dit de partir, et de s’absenter un certain nombre de jours. Au terme de ces jours, alors Il a dit ce qu’Il a dit : “Lazare, notre ami, dort.”

Et il a dit : “Bon, il se porte bien.”

35 Il a dit : “Il est mort. Et, à cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là.” En effet, ils auraient tenté de Le convaincre d’aller le voir, pour le guérir ou pour dire ce qu’il fallait faire. Mais Il savait ce qu’il fallait faire, alors, Il a fait exactement ce qu’Il était destiné à faire : s’absenter. Observez-Le au sépulcre, quand Il est revenu. Il a exprimé cela, quand Il est revenu et qu’Il a retrouvé cette demeure.

36 Il n’y avait plus d’espoir. Lazare était mort. À chaque heure, elles ne cessaient de penser : “Il pourrait arriver. Il pourrait arriver. Il pourrait revenir.” Finalement, il est mort, il a expiré.

37 Elles sont allées l’embaumer, on a drainé son corps de son sang, on l’a enveloppé d’un linceul, avec les aromates, on l’a embaumé, et on l’a mis dans le sépulcre, on a placé une pierre devant le sépulcre, ce qui était la coutume, la façon d’ensevelir les morts à cette époque-là. Un trou dans le sol, peut-être dans le roc, et on plaçait une pierre devant, c’était la coutume.

38 Le premier jour a passé, le deuxième jour a passé, le troisième jour a passé, le quatrième jour a passé, cet homme se décomposait déjà dans le sépulcre. Son nez s’était probablement déjà affaissé. Je pense que la première chose qui s’affaisse, c’est le nez. Alors, il se décomposait. Sa—sa chair était retournée à la poussière de la terre, ou plutôt, elle y retournait. Son âme était à quatre jours de voyage, quelque part, loin de lui.

39 Il n’y avait plus aucun espoir de le revoir dans cette vie. Et alors, quand il n’y avait plus d’espoir… Elles avaient attendu : “Il se pourrait qu’Il vienne — le premier jour, le deuxième jour!” Eh non. Puis, il est mort, et Il n’était toujours pas venu. Alors le désespoir s’est installé.

40 Au bout d’un moment, quelqu’un lui a sans doute dit : “Le Maître est dehors.” Voilà Marthe qui descend la rue!

41 Jésus est venu à cette heure sombre, quand il n’y avait plus aucun espoir. C’est généralement à ce moment-là qu’Il vient. Voyez? Il vient précisément au moment le plus sombre, c’est là que Jésus entre en scène.

42 Maintenant, regardez bien, Il est venu, et Il a demandé Marthe. Sa Présence a apporté de nouveaux espoirs. Ce jeune homme était mort, peu importe, Sa Présence apporte un nouvel espoir.

43 Vous pourriez être assis là, ce soir, mon ami, alors que les médecins vous ont abandonné, vous avez un cancer, vous souffrez du cœur. Peut-être dans un fauteuil roulant, infirme, toute la science déclare qu’il n’y a aucun espoir pour vous; le dépôt de calcium a—a raidi vos—vos—vos os, au point que vous ne pouvez plus les fléchir. Ou bien votre—votre cœur est en si mauvais état que le médecin dit que vous pourriez partir d’un moment à l’autre. Oh, et tout un tas de gens qui ont le cancer et la tuberculose, c’est peut-être le dernier espoir que vous avez, et il semble que le médecin vous a abandonné. Toutefois, le fait d’être dans la Présence de Jésus-Christ, et de reconnaître cette Présence, fait renaître l’espoir.

44 Quelqu’un peut même vous en donner le nom. Peut-être que vous n’en aviez jamais entendu parler, mais si quelqu’un vous dit : “Je sais où se trouve une église où on croit en Dieu et où on prie pour les malades”, rapidement (Vous êtes à l’article de la mort, là. Voyez?), de nouveaux espoirs surgissent. C’est toujours comme ça. En cette heure sombre, c’est souvent là que quelqu’un dit quelque chose à ce sujet, qu’on vous parle de Jésus. Sa Présence a apporté de nouveaux espoirs.

45 Puisse-t-elle faire la même chose ce soir, comme elle l’a fait hier soir. Quand nous voyons cette Parole confirmée sans l’ombre d’un doute, que nous La voyons se manifester et nous prouver que ce Jésus, qui a vécu il y a mille neuf cents ans, qui est mort sur le Calvaire, qui est ressuscité le troisième jour, qui est apparu aux disciples et leur a ouvert les yeux, et qui a fait cette promesse pour aujourd’hui, est ici même ce soir, en notre présence maintenant, ça ne peut pas faire autrement que faire naître des espoirs chez les gens. De nouveaux espoirs surgissent.

46 Peut-être quelqu’un a-t-il dit : “L’église s’est un peu desséchée depuis quelque temps. Nous n’avons pas eu de bonne eau fraîche depuis—depuis—depuis quelques mois. Nous n’avons pas eu de réveil. On dirait que tout le monde stagne, ou quelque chose du genre. Nous nous contentons d’aller à l’église, de chanter un cantique et—et d’écouter quelques messages, puis nous repartons.” Mais, tout à coup, quand nous commençons à nous dessécher, alors Jésus entre scène, Il nous rafraîchit, Il nous apporte quelque chose de nouveau. Il est toujours là pour le faire. De nouveaux espoirs arrivent quand—quand Jésus entre. Sa Présence apporte un nouvel espoir.

47 Elle savait qu’Il était cette Parole de Dieu manifestée. Elle avait reconnu que c’était l’âge en question. Sinon, elle serait restée orthodoxe. Elle serait restée membre de cette église. Mais elle avait vu cette Parole promise. Elle avait vu cette Parole promise manifestée par Lui, et elle savait qu’Il était cette Parole vivante. Alors, quand elle a entendu cela, peu lui importait le nombre de ceux qui la critiquaient, ou quoi encore, elle est partie à Sa rencontre, à toute vitesse. Voyez? Elle savait qu’Il était cette Parole manifestée.

48 Sans doute avait-elle lu l’histoire d’Élie à son époque. Or, celui-ci était la Parole de Dieu manifestée, à cette époque-là. Il était prophète, et la Parole du Seigneur vient au prophète. Et là, une femme avait eu un petit enfant qui lui avait été donné suite à une bénédiction que ce prophète avait prononcée sur elle, elle avait donc eu cet enfant.

49 Un jour, vers onze heures, il a dû attraper une insolation. Il était dans les champs avec son père, la Bible ne dit pas que c’était cela, que c’était une insolation, mais il s’est mis à crier : “Ma tête! Ma tête!” Vers onze heures du matin. Et il a dit, le père a dit au serviteur, de l’emporter à la maison. Il est resté sur les genoux de sa mère jusque vers midi, il était de plus en plus malade, et il a fini par mourir.

50 Et alors, plutôt que de céder au désespoir, la…tous les voisins étaient là, ils criaient et tout, mais cette mère a gardé son sang-froid, son bébé était mort, elle l’a monté dans la petite chambre qu’elle avait mise à la disposition du prophète, et elle l’a couché sur son lit, comme ça. Et elle a dit au serviteur : “Selle-moi un mulet, et va tout droit, ne t’arrête pas sans que je te le dise.” Oh! la la! C’est ça!

51 Nous n’avons pas le temps de discuter et de faire des histoires. Ce temps-là est passé. Avançons. Nous devons arriver là. Nous avons un besoin.

52 Donc, il a dit : “Avance, et ne t’arrête pas en route sans que je te l’ordonne.” Et ils ont fait route jusqu’à ce qu’ils arrivent auprès d’Élie.

53 Élie était un homme de Dieu, non pas comme Christ; Christ, Lui, connaissait toutes choses, parce qu’Il était Dieu. Élie était une portion de Dieu. C’était Christ en Élie. C’était là le message de l’heure, car la Parole du Seigneur pour cette heure-là était avec ce prophète.

54 Jésus était la plénitude de tous ces prophètes, chacun d’eux ne faisait que Le manifester, c’est tout. Tout au long, depuis Joseph, les trente pièces d’argent, et partout, il—il représentait Christ. Moïse aussi!

55 David, assis sur la colline, un roi rejeté, pleurant parce qu’il était rejeté. Huit cents ans plus tard, le Fils de David s’est assis sur une colline. C’était l’Esprit de Christ en David, là-bas. Et Il… Oh! Il était à la fois la Racine et la Postérité de David. Donc, Il s’est assis sur la colline, pleurant, un Roi rejeté : “Jérusalem, Jérusalem, combien de fois ai-Je voulu te prendre sous Mes ailes, comme une poule sa couvée.” Qu’était-ce? C’était Christ, là-bas.

56 C’était Christ qui s’écriait, quand David a écrit le cantique : “Mon Dieu, pourquoi M’as-Tu abandonné? Tous Mes os, ils Me regardent. Ils ont percé Mes pieds et Mes mains. Ils se sont partagé Mes vêtements. Ils ont tiré au sort Ma tunique.” C’était Christ qui parlait en David. C’est vrai. Il était la manifestation de la Parole. Christ est venu accomplir les choses qui avaient été annoncées par les prophètes, parce que la Parole était avec les prophètes.

57 Il l’a dit, dans notre leçon d’hier soir, qu’Il était venu pour accomplir ce que les prophètes avaient dit de Lui, parce qu’ils avaient la Parole. Et Élie était le prophète de Dieu, la Parole pour cette époque-là.

58 Donc, la Sunamite est restée avec ce prophète jusqu’à ce qu’il vienne manifester la puissance de Dieu, qu’il se couche sur l’enfant, et que l’enfant revienne à la vie.

59 Or, Marthe devait avoir reconnu cela, bien qu’elle ait été occupée aux soins domestiques, à la vaisselle et tout. Mais là, elle a montré ce qu’elle était. Elle a montré ce qui était vraiment en elle. Elle est immédiatement allée Le chercher. Si Dieu était en Élie, Dieu était forcément en Christ, puisqu’Il avait prouvé qu’Il était cette Personne-là. Amen. J’aime cela, cette détermination! Elle va vers Lui. Elle devait absolument arriver jusqu’à Lui. Et elle a constaté là-bas, en arrivant auprès de Lui—de Lui; maintenant, souvenez-vous, elle savait qu’Il n’avait jamais changé, que Dieu ne change jamais Son programme. S’Il était en Élie et avait pu ressusciter les morts, Il était en Christ et pouvait ressusciter les morts, même s’Il ne l’avait pas encore fait — puisque c’est le même Dieu.

60 Et Il n’a toujours pas changé! Il est Dieu ce soir, autant qu’Il l’a toujours été. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il ne change pas.

61 Et Il savait qu’elle avait reconnu que c’était en Lui. Regardez, au bout de quelques minutes, cela s’est confirmé, quand elle Lui a dit quelque chose au sujet de son frère, et qu’elle a dit : “Seigneur, je—je crois que c’est Toi.”

62 Et Il a dit : “Je suis la Résurrection et la Vie. Quand même il serait mort, il vivra. Et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. JE SUIS.” Le JE SUIS qui était dans le buisson ardent, avec Moïse. “Je suis la Résurrection. Je suis la Vie. J’étais la Muraille. Je Le suis toujours. Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort; et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais.” Suite à cette grande assurance qu’elle avait, à savoir qu’Il était la Parole promise, quand Il a dit — comme Il était Prophète, Il ne pouvait pas mentir, donc Il, quand Il a dit : “Je suis le JE SUIS. Je suis Celui qui est la Résurrection et la Vie.”

63 Elle a dit : “Je crois que Tu es Celui-là, le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde. Bien que mon frère soit mort, qu’il soit étendu là-bas dans le sépulcre, qu’il…que son corps soit maintenant en décomposition; mais, maintenant même, tout ce que Tu diras s’accomplira.” C’est vrai!

64 Tout ce qu’elle voulait, c’était L’entendre dire cela! Amen. Oh, Marthe, où sommes-nous ce soir? “Prononce simplement la Parole, et mon serviteur vivra!” Juste L’entendre dire cela! Des gens étaient peut-être venus lui dire qu’Il avait dit cela, mais maintenant Il était là en Personne. Ô Dieu, ouvre les yeux aveugles, afin qu’ils puissent voir! Lorsque Lui, dans Sa Présence, prononce la Parole, la chose se manifeste toujours.

65 Elle a dit : “Tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera. Je désire juste l’entendre!” Elle voulait qu’Il prononce la Parole. C’est tout ce qu’elle voulait entendre. Obtenir cette Parole, c’est tout ce qu’il lui fallait : L’entendre dire qu’Il le ferait.

66 Et Il l’aurait fait à l’instant même, mais, voyez-vous, selon la vision que le Père Lui avait montrée, Il devait se tenir près du sépulcre. Oh! la la! Gardez votre foi! Dieu est à l’œuvre, pour tout arranger. Tout ira bien. Attendez un peu qu’elle arrive au sépulcre.

67 Remarquez, si elle pouvait simplement L’amener à dire cela, même quand il était encore… Il n’y avait plus aucun espoir, aucun, du tout. Il était mort, il se décomposait dans le sépulcre, mais juste L’entendre dire cela, c’est tout ce qu’elle voulait.

68 Alors, quand Il a dit : “Je suis la Résurrection et la Vie”, elle l’a cru. Elle l’a cru. Maintenant remarquez, il lui fallait maintenant croire à des choses impossibles, quand elle L’a entendu dire : “Je suis la Résurrection et la Vie. Quand même il serait mort, il vivra. Et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais.” Il a dit : “Crois-tu cela?”

69 Et elle a dit : “Oui, Seigneur, je le crois. Je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.” J’aime ça. J’aime ça.

70 Je—j’ai déjà dit ceci. C’est encore valable maintenant. Je parlais à une femme il n’y a pas longtemps, c’était une certaine église, que j’ai mentionnée tout à l’heure, qui ne croit pas qu’Il était Dieu, ne croit pas à Sa Divinité, croit qu’Il n’était qu’un prophète, un homme comme les autres.

71 Il était cela, c’est vrai. Il était cela, plus Dieu. Voyez, Il était la manifestation. Jésus, c’est le corps, le Garçon, l’Homme; Dieu, c’est ce qui habitait en Lui. Dieu était en Lui. Il était le Dieu-homme. Il était un Homme, pourtant Il était Dieu manifesté en chair. Quand nous voyons Jésus, nous voyons Dieu. C’est ce qu’Il a dit : “Quand vous voyez le Père, Me voyez, vous voyez le Père.” En effet, Il en était le reflet, parce qu’Il était la Parole, amen, qui était au commencement. Amen.

72 Il a appelé les prophètes “dieu”. Le savez-vous? Il a dit : “Vous appelez ‘dieu’ ceux à qui la Parole de Dieu est venue. Comment pouvez-vous Me condamner lorsque Je dis que ‘Je suis le Fils de Dieu’?”

73 En effet, cette même Parole avait dit qu’Il serait là, et voilà, la Parole était là, de nouveau manifestée. Et pourtant, les gens refusaient toujours d’y croire.

74 Cette femme m’a dit : “Je peux vous le prouver.” Elle a dit : “J’aime vous entendre prêcher, mais il y a une chose sur laquelle vous insistez trop.

— Quoi donc?”

Elle a dit : “Vous faites trop de cas de Jésus.”

75 J’ai dit : “J’espère que c’est tout ce que Lui, Il aura à me reprocher, lorsqu’Il viendra.” Et elle a dit… J’ai dit : “J’espère que ce sera la seule chose qu’Il, le seul défaut qu’Il trouvera en moi.” J’ai dit : “Même si j’avais dix mille langues, je ne pourrais pas parler assez — oh! la la! — de ce qu’Il est!”

Elle a dit : “Mais vous, vous Le faites Dieu.”

76 J’ai dit : “Il L’était. Et, s’Il ne L’était pas, Il était le plus grand imposteur que la terre ait jamais porté.”

Elle a dit : “Il était un prophète.”

77 J’ai dit : “Il était un Prophète, c’est vrai : un Dieu-prophète, la plénitude de la Parole. Le prophète, la Parole venait à lui, voilà, c’est ce qui faisait de lui—faisait de lui un prophète. Mais Lui, Il était la plénitude de cette Parole.”

78 Et elle a dit : “Je peux vous le prouver.” Elle a dit : “Vous Le rendez Divin.”

J’ai dit : “Il était Divin.”

Et elle a dit : “Il ne peut pas être Divin.”

J’ai dit : “Il… Pourtant Il l’était.”

Elle a dit : “Vous avez dit que vous croyez à la Bible.”

J’ai dit : “J’y crois.”

79 Elle a dit : “Je vais vous prouver, par votre propre Bible, qu’Il n’était pas Divin.”

80 J’ai dit : “Faites donc. Si la Bible le dit, alors je le croirai, parce que je crois que la Parole est vraie.”

81 Elle a dit : “Pendant qu’Il était en route vers le sépulcre de Lazare, vous vous rappelez, dans Jean 11?”

J’ai dit : “Certainement, madame.”

82 Elle a dit : “Eh bien, pendant qu’Il était en route, Il a pleuré. La Bible dit ‘qu’Il pleura’.”

J’ai dit : “Certainement, la Bible dit qu’Il pleura.”

Elle a dit : “Comment pouvait-Il être Divin et pleurer?”

J’ai dit : “Il était humain.

— Humain et Divin?”

83 J’ai dit : “Oui, madame. Vous ne reconnaissez pas. Il était un—un homme, lorsqu’Il se rendait là-bas, pleurant avec ceux qui pleuraient, c’est vrai, attristé avec ceux qui étaient attristés. Il était un Homme. Mais quand Il a redressé Son petit corps frêle, et qu’Il a dit : ‘Lazare, sors!’, un homme qui était mort depuis quatre jours s’est tenu debout. Pour ça, il fallait plus qu’un homme : c’était Dieu dans l’Homme.” Qui d’autre que Dieu peut ressusciter les morts? Il est la Résurrection et la Vie! C’est vrai.

84 Ce soir-là, sur la mer, quand Il était là-bas, fatigué, couché à l’arrière de la barque, alors que dix mille démons s’étaient juré de Le noyer ce soir-là, et cette petite barque, agitée dans tous les sens comme un bouchon de liège là-bas, sur une mer déchaînée. Ces démons pensaient : “Maintenant nous Le tenons. Il dort; nous allons tous les faire couler.” Oh, Il était un Homme, fatigué, mais dès qu’Il s’est réveillé, Il a posé le pied sur le bastingage, Il a levé les yeux et a dit : “Silence! tais-toi!”, et les vents et les vagues Lui ont obéi. Ça, c’était plus qu’un homme.

85 Il était un Homme, lorsqu’Il avait faim, qu’Il est descendu de la montagne, cherchant un morceau de pain, ou quelque chose à manger, ou une figue sur un arbre. Mais quand Il a pris cinq petits pains et deux poissons, et qu’Il a nourri cinq mille personnes, c’était Dieu dans cet Homme. C’est vrai.

86 Oh, tout homme qui a fait quelque chose de sa vie croyait cela; tous les poètes qui croyaient cela. Ce n’est pas étonnant que l’un d’eux ait écrit :

Par Sa Vie, Il m’a aimé; par Sa mort, Il m’a sauvé;

Par Son ensevelissement, Il a emporté mes péchés au loin;

Par Sa résurrection, Il a justifié gratuitement pour toujours;

Un jour Il reviendra, ô jour glorieux!

87 Eddie Perronet, lui dont les chants ne se vendaient pas. Un jour, titubant sous l’effet du Saint-Esprit, il a pris une plume, et il a écrit le chant d’intronisation, quand il a écrit :

Que tous acclament la puissance du Nom de Jésus!

Que les Anges se prosternent devant Lui;

Apportez le diadème royal,

Couronnez-Le Seigneur de tous! (Alléluia!)

88 Certainement, c’est ce que nous croyons qu’Il était. Oui monsieur.

89 Il lui fallait maintenant croire à des choses impossibles, impossibles selon la pensée moderne de cette époque-là. Vous aussi, il vous faut croire à des choses impossibles, afin de voir une nouvelle Vie, afin de voir quelque chose se produire. Mais, s’Il avait reconnu… Elle avait reconnu qu’Il était la Parole, alors les choses impossibles pouvaient se produire, parce qu’Il est le Créateur, et qu’Il s’en tiendra à tout ce qu’Il a dit.

90 “Et tout est possible à ceux qui peuvent croire.” C’est Sa Parole. Mais les choses impossibles se manifestent lorsqu’on prend Dieu au Mot. Oui monsieur. Lorsqu’on prend Dieu au Mot, les choses impossibles se—se manifestent. Quand Dieu dit que la chose arrivera, prenez cette Parole et regardez, là, regardez les choses impossibles arriver. Effectivement, elles arriveront.

91 Mais, remarquez, même au milieu de tout cela, elle a dit : “Maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera.” Elle savait que si elle arrivait à obtenir de Lui cette Parole. C’est tout ce qu’il lui fallait : obtenir cette Parole. Oui, c’était son heure la plus sombre, alors Jésus est venu, et Il a appelé. Oh, quelle chose extraordinaire ils ont vue : une résurrection!

Considérons d’autres personnages qui ont connu des heures sombres.

92 À un certain moment, il y a eu un homme du nom de Job, l’un des plus anciens prophètes de la Bible. Il était un grand homme. Il avait—il avait aimé le Seigneur, et il avait fait tout ce qu’il savait devoir faire. Et Satan désirait le cribler, alors, un jour, il a dit à Dieu… Oui, c’est plutôt Dieu qui lui a dit : “D’où viens-tu, Satan?”

93 Il a dit : “Oh, de parcourir la terre et de m’y promener.”

94 Il a dit : “As-tu remarqué Mon serviteur Job? Il n’y a personne comme lui sur la terre. C’est un homme parfait.”

95 “Oh, a-t-il dit, bien sûr, Tu lui donnes tout, Tu fais tout pour lui. Certainement, il est un grand homme. Mais livre-le-moi pendant un moment, je lui ferai changer de discours. Je l’amènerai à Te maudire en face.”

96 Il a dit : “Tu n’y arriveras pas.” Voilà la confiance qu’Il a dans le croyant. Pourquoi? Il est Infini. Il est Éternel. Il connaît la fin dès le commencement. Il savait que Satan n’y arriverait pas. En effet, Il est la Parole, Il savait ce que Job ferait.

97 Rappelez-vous, Job, il l’a couvert d’ulcères, il a tué ses enfants, il lui a ôté tout ce qu’il avait. Il a perdu la santé. Même ses consolateurs sont venus, et ils ne faisaient que l’accuser d’avoir péché en secret. Et le brave Job en était au point où il était vraiment dans la détresse.

98 Vous devez d’abord être en détresse. Vous devez vous retrouver dans un moment où vous êtes au bout du chemin.

99 Job était au bout du chemin quand il a dit : “Maudit soit le jour de ma naissance. Que le soleil ne brille pas sur lui, et que la lune ne brille pas sur cette nuit, qu’on n’en fasse jamais mention.” Et dans cette détresse, alors Jésus est venu. Il a regardé ici-bas et il a dit : “Moi, qui suis un homme, je vois qu’une fleur meurt, et elle repousse au printemps. Si un arbre est abattu par le vent, il revit à l’approche de l’eau.” Il voyait tous les végétaux reprendre vie, mais, a-t-il dit : “L’homme se couche, il expire, où est-il?” Il savait qu’il était un vieil homme. Il a dit : “Ses fils viennent le pleurer, et il l’ignore. Oh, si Tu voulais me cacher dans le séjour des morts et me garder dans le lieu secret, jusqu’à ce que Ta colère soit passée. Fixe-moi un terme et donne-moi un terme. Nous…” Et il a continué à parler comme ça. Il était au comble de sa détresse : “Que pourrait-il arriver? Les feuilles vivent, elles reviennent dans les arbres, les fleurs reviennent, tout le reste revit, mais l’homme se couche et il expire!” Il était en détresse. Il ne savait pas ce qui pourrait lui arriver, et il avait cet âge-là.

100 À ce moment-là, alors Jésus est venu. Dieu lui a fait tourner la tête vers le ciel, et il a vu venir Jésus, dans les derniers jours.

101 À cette heure la plus sombre, où sa femme a dit : “Maudis Dieu, et meurs”, malgré tout, il a dit : “Femme, tu parles comme une femme insensée. L’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté; que le Nom de l’Éternel soit béni!” Même sa femme l’avait rejeté. Son église l’avait rejeté. Tout le monde l’avait rejeté.

102 En cette heure sombre, où il ne savait plus quelle direction donner à sa vie, Jésus est venu. Alors il s’est écrié : “Je sais que mon Rédempteur est vivant, et qu’aux derniers jours, Il se tiendra sur la terre. Et même après que les vers de ma peau auront détruit ce corps, de ma chair je verrai Dieu, je Le verrai moi-même.” À l’heure la plus sombre de sa vie, alors Jésus est venu. Oui monsieur.

103 Moïse — pour Moïse, l’heure la plus sombre pour lui, elle est venue au milieu d’Israël. Il était en plein exercice de ses fonctions; il avait rencontré Dieu là-haut, dans le buisson, et Celui-ci avait dit : “JE SUIS LE JE SUIS.” Il était allé là-bas, et avait lutté contre toutes sortes d’imitations, Jannès et Jambrès qui cherchaient à imiter son travail. En tout cela, il était resté fidèle à Dieu. Finalement, il avait amené Israël à croire. Et le voilà qui sort de l’Égypte, il se dirige tout droit vers le—vers le pays promis, où Dieu avait dit : “Vous M’adorerez sur cette montagne.” C’était la Parole de Dieu. Moïse savait qu’il allait forcément arriver à cette montagne. Amen. Dieu l’avait dit! Aucun pharaon ne peut le tuer. Aucun démon ne peut le tuer. Rien ne peut le tuer. Il se dirige vers cette montagne. Amen! Alléluia! Je me sens religieux. Il se dirige vers cette montagne.

104 Nous aussi, nous sommes en route vers la Gloire! Rien ne peut nous arrêter. Non monsieur. Dieu va confirmer Sa Parole. Peu importe ce qui peut arriver, Il va le faire quand même. Oui.

105 Il était en route, sur le sentier du devoir. Et le voilà coincé entre les montagnes. Il tend l’oreille, et il entend un grondement derrière lui. Qu’est-ce? Les chars de Pharaon, qui arrivent par milliers : armés, avec des lances et tout, pour les renverser et les écraser. Et la mer Rouge lui barrait le passage. Qu’a-t-il fait? Là il était en dé-… Là il était en détresse. Tout le peuple criait : “Oh, maintenant on est fichus. Pharaon va nous tuer, il va nous passer au fil de l’épée. Nos enfants vont mourir ici, dans le désert.”

Moïse s’est écrié : “Ô Dieu!”

106 Et là Jésus est entré en scène. Il était la Colonne de Feu. C’est vrai. Il est descendu, et Il s’est tenu entre lui et le danger. Amen. Il est notre Intermédiaire. Il est Celui qui se tient au milieu, amen, un Médiateur. Il était là, se tenait là : pour les Égyptiens qui venaient tenter de changer la situation, pour ceux-là, Il était des ténèbres. Pour ceux-ci, Il était la Lumière, afin qu’ils puissent y marcher. Puis, le lendemain matin, alors que le vent avait commencé à souffler très fort pendant la nuit, qu’a-t-Il fait? Il était venu sous la forme de la Colonne de Feu.

107 Souvenez-vous, Il est toujours cette Colonne de Feu. Oui monsieur. Quand Il était sur terre, Il a dit : “Je suis venu de Dieu, et Je m’en vais à Dieu.”

108 Et après Sa mort, Son ensevelissement, Sa résurrection et Son ascension : saint Paul, sur le chemin de Damas, il a été jeté à terre par cette Colonne de Feu. Souvenez-vous, il était Hébreu. Il n’aurait pas dit cela… Il a dit : “Seigneur, Qui es-Tu?”, S majuscule-e-i-g-n-e-u-r, Elohim. “Qui es-Tu que je persécute?”

Il a dit : “Je suis Jésus.”

109 Amen! Alléluia! Il est le Premier et le Dernier. Il est toujours le même. “Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez. Je serai avec vous, et même en vous.” La même Colonne de Feu, le même Dieu, qui accomplit la même chose, par la même promesse, amen, qui manifeste Sa Parole. “Je suis la Résurrection et la Vie. Je suis Celui qui était, Celui qui est, et Celui qui vient.” Oui monsieur. Oui.

“Nos pères ont mangé la manne dans le désert.”

110 Il a dit : “Ils sont tous morts. Mais JE SUIS CELUI QUI SUIS.” Moïse… Dans le buisson ardent, c’était le JE SUIS. Il est toujours le JE SUIS, non pas J’étais : JE SUIS, au temps présent, toujours.

111 Nous voyons ici que Moïse était coincé là-bas, et que le Christ est descendu. Or, la Bible dit que—que “Moïse regardait le—l’opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l’Égypte.” L’opprobre de Christ! Christ était l’Onction, le Logos qui était sorti de Dieu. L’Ange, tout lecteur de la Bible sait que cet Ange était Christ. Il était là, dans le désert, et Il est entré en scène, sous la forme dans laquelle Il était censé se manifester. Gloire à Dieu!

112 Il vient aujourd’hui, le même Christ, sous la forme dans laquelle Il se manifeste.

113 Il leur avait dit qu’Il les ferait sortir. C’est ce qu’Il faisait. Il est venu là pour tenir Sa Parole, pour La confirmer. Ensuite, après qu’Il est venu, comme Il l’avait fait avec Marthe, alors Il a appelé. Il a dit : “Moïse, pourquoi cries-tu à Moi? Parle à ce peuple, et mettez-vous en marche.” En cette heure sombre, la mer Rouge s’est ouverte, et ils ont traversé, en route pour accomplir la Parole de Dieu. Oui, à l’heure la plus sombre de Moïse, alors Jésus est venu. Nous avons du temps maintenant… Et Il a appelé Moïse.

114 Nous aimerions attirer votre attention sur un autre petit homme. Il s’appelait Jaïrus. Ils sont vraiment nombreux dans le monde aujourd’hui. Il croyait en secret. Il aimait Jésus. Il avait entendu parler de Lui. Il croyait en Lui. Mais, vous voyez, il avait déjà adhéré à une organisation. Eh oui. Il—il—il—il… Il ne pouvait pas confesser cela ouvertement. Il y croyait, mais il ne pouvait pas le confesser, il s’était donc rallié aux incroyants. Mais il y croyait vraiment.

115 Vous savez, quand un homme est dans cet état-là, un jour ou l’autre, Dieu le pousse à la confrontation. C’est dans la détresse, c’est là que nous montrons ce qui est vraiment en nous, ce que nous sommes vraiment.

116 Il était donc là, déjà rallié aux incroyants, il était déjà allé inscrire son nom sur le registre, et tout. Et il était un sacrificateur, alors il—il aurait été assez difficile pour lui de faire cette confession, puisque c’était son gagne-pain. Donc, mais il croyait pourtant en Jésus.

117 Un jour, sa petite fille est tombée malade. Oh! la la! Lui, sans doute que cet homme, s’il…dans cette situation, a dû faire venir le médecin. Le médecin est venu, il a soigné l’enfant. Sa fièvre empirait toujours. Au bout d’un moment, elle était si brûlante de fièvre, et tout, qu’elle s’est retrouvée à l’article de la mort. Il était en détresse. Il devait faire quelque chose. Il—il ne savait vraiment pas quoi faire. Alors il s’est dit : “Si seulement je pouvais Le trouver, où qu’Il soit.” Eh bien, il n’a pas attendu qu’il fasse nuit, comme Nicodème l’avait fait, pour avoir un entretien privé. C’était l’heure de passer à l’action, l’heure était venue de passer à l’action, et il devait agir à ce moment-là.

118 Et je pense, mon frère, ma sœur, que c’est la même chose maintenant. L’heure est venue de passer à l’action. L’heure est venue, il faut soit croire ou ne pas croire. Chaque homme et chaque femme arrive à cette ligne de séparation. Chaque enfant y arrive. Parfois, quand on franchit cette ligne, il ne reste qu’une seule chose : le jugement — quand on franchit cette ligne qui sépare la miséricorde et le jugement, quand on franchit cette ligne.

119 Souvenez-vous, il était en détresse. Il ne savait pas quoi faire. Ses sacrificateurs étaient là, tous les rabbins l’entouraient. Toute la confrérie était avec lui, ils étaient tous là, regardant sa petite fille qui se mourait. Le médecin se tenait dehors, agitant ses mains jointes : “Je lui ai donné tous les médicaments que je connais, et malgré cela…”

120 Voyez, c’était Jésus qui était à l’œuvre pendant tout ce temps. Jésus faisait ça dans un but, celui d’amener ce petit homme à montrer ce qui était en lui. Au bout d’un moment, je peux le voir prendre son petit chapeau noir, le mettre et enfiler sa petite tunique de sacrificateur.

“Où vas-tu?

121 — Je vais… J’ai entendu dire qu’Il est là-bas, près du fleuve. Je vais Le chercher!” Oh! la la! Et il part!

122 En cette heure de détresse, il devait prendre une décision : laisser son enfant mourir, sinon, il savait que c’était là la manifestation de la Parole. Il était un sacrificateur, et il avait lu la Parole, et il savait que c’était là la manifestation de Dieu. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Il savait cela, alors il était forcé de prendre une décision. Il devait faire une erreur, laisser mourir son enfant, ou faire sa confession. Quand il était dans cette détresse, c’est à peu près à ce moment-là que Jésus est venu. Il est allé Le voir. Il a dit—Il a dit : “J’irai avec toi, d’accord.” Et là, sur la route, un messager est arrivé — quelle chose sombre. Il avait fait cette confession, qu’il croyait en Lui. Il venait de s’excommunier, il avait montré en public qu’il croyait en Jésus.

123 Un messager est arrivé, il a dit : “Ne dérange personne, car ta fille est déjà morte. Elle est morte hier. Elle est déjà morte. Ne—ne perds plus ton temps avec tout ça.”

124 Et, oh, son pauvre cœur a failli lâcher. Mais, en tournant le regard, il a vu les yeux de Jésus, Celui-ci a dit : “Ne te l’ai-Je pas dit? Ne crains point, si tu veux voir la gloire de Dieu. De quoi as-tu peur? Je t’ai déjà dit que J’irais.”

125 Il a déjà dit qu’Il viendrait. Il a déjà dit qu’Il ferait ceci, et Le voici en train de le faire. Amen. Il a dit qu’Il entrerait en scène dans les derniers jours, et qu’Il ferait ces choses qu’Il avait faites, comme nous l’avons lu hier soir et en avons parlé. Et Le voici en train de les faire. De quoi avez-vous peur?

126 Souvenez-vous, lorsqu’Il vint, alors Il l’appela d’entre les morts. Il est entré en scène et l’a appelée d’entre les morts.

À un certain moment, le vieil aveugle Bartimée a connu son heure la plus sombre.

127 Jésus était là-bas, Il avait organisé un petit-déjeuner des Hommes d’Affaires du Plein Évangile, là-bas à—à Jéricho, et Zachée était là. Quand Il l’avait rencontré, celui-ci était dans un arbre, un peu plus loin dans la rue. Donc, quand Il était… Eh bien, Il n’aurait jamais organisé quoi que ce soit d’autre, ça, j’en suis sûr. Voyez? Et donc, quand Il est arrivé là-bas, Il—Il l’avait avec lui, Zachée était allé avec Lui.

128 Le vieil aveugle Bartimée était aveugle depuis son enfance. Donc, pensant que Jésus allait peut-être passer par cette porte, il attendait là. Au bout d’un moment, il a entendu beaucoup de bruit, tous ces gens qui passaient.

129 Et il a entendu le sacrificateur qui disait : “Hé! Hé, toi! toi qui montes la colline, là-bas! Est-ce que—est-ce que—est-ce que… On nous dit que tu ressuscites les morts. Nous avons un cimetière plein de morts par ici. Si tu es le Messie, si tu es le Messie, viens par ici et ressuscite ces morts.”

130 Vous savez, ce même démon est encore vivant, voyez, sous la forme de la religion, même chose. Voyez?

131 “Si tu es le Messie, nous…tu ressuscites les morts; nous avons un cimetière plein de morts par ici. Viens.” Et, oh, tout le monde poussait des cris. Quelqu’un criait : “Hosanna au Prophète!” Un autre criait ceci, cela ou autre chose. Quelle confusion!

132 Ce vieil aveugle s’est dit : “Oh, je L’ai raté. Il est passé là-bas, je pensais qu’Il allait passer ici. On m’a placé au mauvais endroit.” Il s’est mis à crier. Il s’est dit : “S’Il est la Parole, Il est Dieu, Il l’est forcément.” Donc : “Ô Jésus, Fils de David, aie pitié de moi!” En cette heure de détresse, il a crié à Lui.

133 Or Jésus, notez bien, là, Il était à Jéricho. L’endroit où on dit qu’il était assis était à cent cinquante mètres de l’endroit où Jésus était. Avec des milliers de gens qui se bousculaient autour de Lui, Il n’aurait pas pu entendre le cri de cet homme. Non. Mais Il l’a senti. Il s’est arrêté.

134 Un de ces soirs, j’aimerais prêcher sur : “Alors Jésus s’arrêta.” Oh! “Alors Jésus s’abaissa.” Oh!

135 Mais, quand Jésus s’est arrêté, qu’est-ce qu’il y a eu? Il l’a appelé. “Le Maître est ici. Prends courage,” ont dit les disciples, “Il t’appelle. Il t’appelle.” Il l’a appelé, au milieu de cette foule.

Il fait la même chose maintenant. Est-ce que ceci pénètre en profondeur? Voyez?

136 “Le Maître est ici, et Il t’appelle.” Et Il l’a appelé, de la cécité à la lumière, des ténèbres à la lumière. Et Il l’a appelé, il est passé de la mort à la Vie. “Le Maître est ici, et Il t’appelle.” Et quand Il l’a appelé, Il lui a rendu la vue.

137 À un certain moment, il y avait, sur la colline, la petite femme qui avait la perte de sang, elle avait dépensé tout son argent chez les médecins. Sans doute qu’elle, qu’ils avaient vendu le—l’attelage. Ils avaient vendu la—la ferme, ils l’avaient hypothéquée. Ils avaient dépensé tout ce qu’ils pouvaient chez les médecins, aucun d’eux n’avait pu la soulager. Son état empirait continuellement. Le sang n’arrêtait pas de couler. Ça continuait comme ça, sans arrêt, elle était de plus en plus malade.

138 Et, un jour qu’elle était assise en train de tricoter, du haut de la colline où elle habitait, elle a regardé dans la vallée, et elle a vu une barque arriver. Tout le monde s’est précipité : “Hosanna au Prophète!”

139 Elle avait entendu parler de Lui. La foi vient de ce qu’on entend. Alors elle a dit : “Je vais descendre pour Le voir.”

140 Et, quand elle est arrivée là et qu’elle a posé son regard pour la première fois sur la Parole de Dieu manifestée en chair, il y avait quelque chose de particulier dans la façon de parler de cet Homme et dans Son apparence : elle a su que c’était Lui. Oui monsieur. “Oh, si seulement je pouvais attirer Son attention d’une manière ou d’une autre, si seulement je pouvais Le toucher d’une quelconque façon!” Elle s’est glissée à travers la foule et elle a touché Son vêtement.

141 Maintenant, souvenez-vous, ce n’est pas le doigt de cette femme qu’Il a senti. Non monsieur, parce que le vêtement palestinien est ample. Et Il…ils ont…

Pierre a dit : “Tout le monde T’a touché.”

142 Il a dit : “Mais ça, c’est un contact différent. Je sens que Je me suis affaibli.”

143 Jésus était venu. Elle n’avait plus d’argent, elle n’avait plus rien; mais, en cette heure sombre, alors que la perte de sang ne s’arrêtait pas, que les médecins n’arrivaient pas à l’arrêter, Jésus est venu. Et, qu’a-t-Il fait? Il l’a appelée. Il a regardé autour de Lui, jusqu’à ce qu’Il l’ait repérée, et Il a dit : “Tu avais une perte de sang, mais elle s’est arrêtée.”

144 “Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.” “Le Maître est ici, et Il t’appelle. Il est ici, et Il appelle.” Il l’a appelée et lui a redonné la santé.

145 Pour la petite femme au puits, dont nous avons parlé hier soir, il n’y avait plus d’espoir. Probablement que son cinquième mari l’avait quittée, peut-être, et qu’elle venait d’en prendre un sixième cette nuit-là, et là elle—elle avait quelques doutes à son sujet. Moralement, elle était fichue. Elle désirait être une vraie dame; elle avait sans doute lu la Bible.

146 Elle était en chemin pour se rendre là-bas, vers onze heures. Elle ne pouvait pas venir tôt le matin, au moment où les femmes vertueuses y venaient. Elles transportaient leur eau sur leur tête, avec les cruches, et elles s’en retournaient. Alors, elle ne pouvait pas venir se mêler à elles. Il—il y avait ce genre de ségrégation là, à l’époque : les gens bien et les gens pas bien ne se mélangeaient pas. Les gens immoraux restaient à leur place, elle ne pouvait donc pas venir avec les autres. On ne lui permettait pas de venir. Alors, après qu’elles avaient toutes puisé leur eau et qu’elles étaient rentrées… Elle est venue chercher quelque chose de meilleur.

147 Elle est donc arrivée là avec sa cruche sur la tête, et sans doute que, chemin faisant, elle se disait : “Eh bien, cet homme que j’ai épousé, ou, que j’ai trouvé hier soir, j’ai des doutes sur lui. C’est un homme, il a un comportement bizarre. Je—je ne suis vraiment pas sûre de lui. Je suis fichue. Je suis bannie de la société. Et je ne peux pas aller dans ces églises, elles ne… Regarde de quoi elles ont l’air! Je ne sais pas quoi faire. Je suis en détresse. Et j’ai lu la Bible; certainement qu’un jour, ce Prophète viendra. Or, je sais qu’ils déclarent qu’il n’en est rien, et que ça, c’est ‘peut-être pour dans cent ans, pour dans mille ans. Nous attendons ça depuis des milliers d’années, et ça ne s’est pas encore produit, alors nous ne nous y attendons pas en ce moment.’ C’est partout comme ça : ‘Oh, non, nous avons nos églises et tout. Nous n’avons pas besoin de ça en ce moment.’” Et donc, chemin faisant, elle avait ces pensées.

148 Vous savez, lorsque vous pensez à Lui, c’est là qu’Il vous apparaît. Comme nous l’avons vu hier soir : lorsqu’ils étaient en chemin vers Emmaüs.

149 Lorsqu’elle pensait à ces choses, elle a entendu un Homme dire : “Apporte-Moi à boire.”

150 Qu’est-ce que c’était? Dans son heure la plus sombre, alors qu’elle avait perdu toute moralité. C’était peut-être une jolie petite dame, elle avait été jetée à la rue, ce qui l’avait menée à ce genre de vie. Parfois, ce n’est pas la faute de la jeune fille, c’est la faute de ses parents, qui la laissent sortir, comme ça. Et elle était là, ses petites boucles pendaient peut-être; chemin faisant, elle était épuisée, abattue, et personne ne voulait avoir de rapports avec elle, cette enfant, peut-être qu’elle avait toute une histoire derrière elle.

151 Quoi qu’il en soit, je sais une chose, elle avait lu la Bible, et elle croyait la Bible. Et, au fond de son cœur, il y avait une petite semence qui lui faisait dire : “Si jamais cela se produit, je le saurai.” Elle était prédestinée à cela.

152 Regardez le vieux Judas, qui était là et qui avait agi comme ça. Tout au fond de son cœur, c’était l’obscurité. La Lumière brillait ici, dans ses œuvres, mais au fond de son cœur, il n’Y croyait pas. Et elle, elle était là… Voyez, la Lumière ne pouvait pas descendre là-dedans. Elle, par contre, elle était là, elle croyait, elle Y croyait, mais sa vie était plongée dans l’obscurité; lorsque la Lumière a frappé, Cela a chassé l’obscurité. Alors que, lorsque la Lumière a frappé celui-là, Cela l’a jeté dans l’obscurité complète. Voilà la différence.

153 Voyez, elle était née dans ce but-là. Elle—elle a dit, quand Il lui a dit combien de maris elle avait eus, elle… Que s’est-il passé? Tout à coup, elle était, pour ainsi dire, dans un grand émoi. Elle était dans la détresse. Elle a dit : “Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Je sais que, quand le Messie viendra, Il fera ces choses.”

154 Alors Il l’appela. Alors Il l’appela. “Je Le suis, Moi qui te parle.” Elle a reconnu cela par la Parole de Dieu. Il l’a appelée à passer de ses péchés à la Vie. Et son nom se trouve dans la Bible, et elle a la Vie immortelle aujourd’hui.

155 Il peut vous appeler de la même façon, parce qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Là…

156 Oui, elle avait perdu toute moralité, mais malgré tout, elle a reconnu qu’Il avait ce discernement. Elle savait que c’était forcément le Messie. Alors, quand Jésus a dit : “Je Le suis, Je Le suis”, elle savait que c’était bien Lui.

157 Un jour, les disciples étaient dans la barque, et il n’y avait plus d’espoir. Ces tempêtes — ils étaient partis sans Jésus, et voilà les tempêtes, exactement—exactement ce qui s’était passé dans la maison de Lazare. Il n’y avait plus d’espoir. La petite barque était pleine d’eau. Et ils criaient et pleuraient, et peut-être qu’ils priaient et tout, et les éclairs jaillissaient, la barque était remplie d’eau, les mâts étaient tombés, les rames étaient cassées, et ils s’agrippaient les uns aux autres, en pleurant.

158 Et en cette heure qui était vraiment la plus sombre, alors Jésus est arrivé en marchant. Mais ils Le voyaient comme une ombre. Il faisait peur à voir, comme un fantôme, et dans leur frayeur, ils ont poussé des cris.

159 C’est ça le problème aujourd’hui. C’est à cette heure que Jésus vient, à votre heure sombre, et vous En avez peur. Vous ne savez pas ce que C’est.

160 Ils ne savaient pas ce qu’Il était. Ils ont dit : “Oh, c’est un fantôme!” Ils hurlaient.

161 Alors Il les a appelés, Il a dit : “N’ayez crainte, c’est Moi.” À l’heure la plus sombre, Jésus est venu : leur Secours. C’est ce qu’Il fait toujours, Il vient à l’heure la plus sombre. Alors Jésus est venu, Il s’est manifesté, Il est venu à eux.

Pierre a dit : “Si c’est Toi, ordonne que j’aille sur les eaux.”

Jésus a dit : “Viens!”

162 Savez-vous quoi, mes amis? Il viendra bientôt pour les gens de ces derniers jours. Or, c’est étrange, n’est-ce pas, que l’église se soit retrouvée de nouveau dans cette heure sombre?

163 Là je vais dire quelque chose. Ce n’est pas une doctrine. Je prophétise. Savez-vous ce qui est arrivé? On en sera bientôt au point — notez bien ce que je dis — où toutes les dénominations devront adhérer au Conseil œcuménique. Sinon elles ne pourront pas avoir le soutien de ce Conseil. Par conséquent, il y aura un boycottage, et personne ne pourra fréquenter ces églises-là ni fréquenter aucune église — à moins d’avoir reçu une marque de votre église, vous ne pourrez ni acheter ni vendre. Vous voyez, ce qui est arrivé arrivera de nouveau : une marque, consacrés à la bête. Et l’église, les gens qui sont spirituels, ils s’en rendent compte.

164 Du moins, vous, les pentecôtistes, vous le reconnaissez. Vous avez commencé à le ressentir. Alors que vos églises, beaucoup de vos organisations pentecôtistes, je n’ai pas besoin de vous les nommer, mais vous le savez, qu’en ce moment elles sont—elles sont en train d’entrer là-dedans. Elles en ont déjà rendu témoignage. Et quand vous aurez fait ça, qu’est-ce que vous serez obligés de faire ensuite? Vous serez obligés de renoncer à votre enseignement évangélique du baptême du Saint-Esprit. Vous serez obligés de renoncer à votre doctrine Biblique.

165 Et les membres ne toléreront pas ça. Les vrais Chrétiens nés de nouveau vont préférer mourir. Ils ont été mis en garde par la Parole. Ils savent que cette chose-là va venir. Oui monsieur.

166 Et, c’est étrange, n’est-ce pas? Au milieu de cette heure la plus sombre, alors Jésus vient et Il nous appelle, Il dit : “N’ayez pas peur. C’est Moi. Je suis toujours avec vous. Je suis ici pour manifester Ma Parole.” Ce qu’Il était à l’époque, Il l’est encore maintenant. Il avait dit qu’Il ferait ces choses. Oh! la la! Le Maître est ici, et Il nous appelle.

167 Il y a sans doute ici beaucoup de malades, assis ici : le médecin vous a annoncé qu’il n’y a aucun—aucun espoir pour vous. Vous êtes peut-être dans votre heure la plus sombre, mais, souvenez-vous, le Maître est ici, et Il vous appelle.

168 Et un jour, un jour, le Maître viendra, et Il appellera chaque nom qui est écrit dans le Livre de Vie de l’Agneau. Si le vôtre n’y est pas, faites en sorte qu’il y soit, parce qu’Il viendra et appellera. Même ceux qui sont dans la tombe entendront Sa Voix et en sortiront, reviendront à la Vie. Le Maître viendra, et Il vous appellera. Et pendant qu’Il appelle aujourd’hui, répondez et préparez-vous pour ce Jour-là, voilà le conseil que je vous donne.

169 La promesse de cet âge : Il a promis qu’Il serait là. Que les choses qu’Il avait faites, Il les ferait de nouveau, et voilà maintenant que de nouveau le Maître est ici, et Il vous appelle.

170 Courbons la tête. Il me reste environ six pages ici, mais je—je ne peux pas aborder cela maintenant. Courbons la tête. Je vous ai promis que je vous laisserais sortir de bonne heure, et il est déjà et quart.

171 Père Céleste, ô Seigneur, fais que cela se produise de nouveau. Toutes ces choses que j’ai dites : “Jésus est ici, et Il t’appelle.” Que fait-Il quand Il vient? Il appelle. Fais que cela se produise de nouveau, Seigneur. Que Ton Saint-Esprit vienne au milieu des gens ce soir, le Seigneur Jésus sous la forme de—de l’Esprit. Qu’Il vienne ce soir, qu’Il Se révèle, et alors, qu’Il Se manifeste. Comme ces gens, de la manière dont ils ont cru, nous aussi, nous croirons, Seigneur. Il y a peut-être beaucoup de gens ici qui n’ont jamais eu cette occasion. Nous prions que Tu la leur accordes encore ce soir. Car nous le demandons pour la gloire de Dieu, au Nom de Jésus. Amen.

172 C’est ça, ma sœur, mais, continuez simplement à jouer cela. C’est très bien. Continuez. Oh, soyez bien tranquilles, tout le monde.

173 Croyez-vous qu’Il est ici? Il l’est. Est-ce qu’Il appelle encore quand Il vient? Alors, si vous pouvez seulement croire, c’est tout. Si vous pouvez seulement croire la Parole de Dieu, Dieu accordera cela.

174 Maintenant, regardez, je n’ai pas le temps de former la ligne de prière ici. Je vais appeler les gens dans l’auditoire, ce soir, si le Seigneur le veut. Le Maître est ici. Il est ici pour accomplir Sa Parole, en ce dernier jour. Et ce qu’Il était à l’époque, Il l’est encore aujourd’hui. Ce qui était Sa manifestation, ou Sa marque d’identité, à l’époque, ça l’est encore aujourd’hui, parce qu’Il est toujours la Parole de Dieu. Le croyez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”—N.D.É.] Et la Parole de Dieu discerne les pensées, les intentions du coeur. Et la façon dont Il a agi à l’époque, c’est la façon dont Il a toujours agi. Il est encore le même. S’Il faisait cela maintenant même, est-ce que vous croiriez en Lui? Est-ce que ça vous amènerait à croire en Lui?

175 Vous qui êtes dans l’auditoire, là, je vais d’abord regarder pour voir s’il y a quelqu’un que je connais, assis ici, quelque part, quelqu’un que je connais.

176 Tous ceux qui sont de ce côté-ci, qui ne me connaissent pas, levez la main; vous savez que je ne sais rien de vous, et vous êtes malades, levez la main. Je pense que c’est tout le monde. Très bien, maintenant croyez. Croyez simplement de tout votre cœur. Ne doutez pas. Ayez la foi. Croyez en Dieu.

177 Je vais vous demander de rester bien tranquilles, de rester assis. Ne vous déplacez plus maintenant, s’il vous plaît. Voyez? Voyez? Vous êtes une—une âme, un corps et un esprit. Et votre esprit… Et le Saint-Esprit est très timide.

178 Combien d’entre vous se souviennent, il y a bien des années, à propos du Saint-Esprit, quand j’étais venu ici, ce que je vous avais dit? Quand je prenais la main des gens, qu’Il m’avait dit que ce discernement allait venir, et que ça continuerait? Vous vous en souvenez, vous vous souvenez de ça? Mais Il a dit : “Si tu peux amener les gens à te croire.” Vous vous souvenez de ce temps-là, il y a bien des années? [L’assemblée dit : “Amen.”—N.D.É.] Vous devez croire.

179 J’ai vu un homme, je crois que c’était ici, pendant l’autre réunion, il était assis juste là. Et le Saint-Esprit… Je l’observais pendant que je prêchais. Il était infirme. Il avait des béquilles sous les bras. Et au moment où je commençais à faire l’appel, Satan est venu à cet homme, une ombre noire. Et j’ai vu cela de mes propres yeux. Il s’est levé et est sorti. Il restera toujours infirme, voyez. Donc, il, alors qu’il aurait été guéri sur place, si seulement—seulement il… Voyez? Mais, bon, j’ignore le pourquoi. Je suppose qu’il a tout simplement écouté l’ennemi. Mais, si vous pouviez être là à observer ces ombres, voir ces choses sous leurs différentes formes, voir ce qu’elles sont, et observer leur manière d’agir. Voyez, ce serait…

180 Maintenant, je ne peux pas vous guérir. L’homme qui vous dit qu’il peut vous guérir, il est dans l’erreur. Vous êtes déjà guéris. Mais il s’agit de reconnaître la Présence de Jésus-Christ. Or, comme Marthe a reconnu que, si elle pouvait Le revoir, elle recevrait ce qu’elle désirait, parce qu’Il était la Parole manifestée, alors ne pouvons-nous pas croire comme ça ce soir, croire cela? Certainement, nous le devrions. Il est ici. Il est ici, Il est ici sous la forme du Saint-Esprit. C’est Ce qu’Il est. Maintenant priez, simplement.

181 Voyez-vous, sur l’estrade, si une personne était debout ici, juste ici, près de moi, en train de—de prier; voyez-vous, il y a tellement de gens qui sont en train de prier, partout dans le bâtiment. Alors, il faut vraiment faire attention. Vous ne pouvez pas dire : “Dites, Frère Branham…” Non monsieur. Je—je ne peux pas faire ça, pas plus que vous, vous pouvez déclencher un songe par vous-même. Voyez? Vous pouvez avoir un songe. Vous, Dieu peut vous donner un songe à mon sujet, — vous croyez ça, — mais vous ne pouvez pas le déclencher vous-même. Vous ne pouvez pas dire ceci : “Frère Branham, maintenant je vais avoir un songe à votre sujet.” Non, vous ne pouvez pas faire ça. Ni moi avoir une vision. C’est à celui qui vous donne un songe, c’est à lui de faire ça. Même chose pour une vision.

182 Je vois un homme, juste ici, au bout de la rangée, il a de l’arthrite. S’il croit de tout son cœur, Dieu le guérira de l’arthrite. Croyez-vous qu’Il le fera, monsieur? Vous qui êtes assis là, le Mexicain assis au bout de la rangée, allez-vous le croire? Très bien, monsieur.

183 La dame assise à côté de vous, elle aussi, elle a de l’arthrite. Croyez-vous que Dieu vous guérira, madame? (Est-ce qu’il y a de l’écho là-dedans? J’ai peur que les gens n’entendent pas.) Vous le croirez? Très bien.

184 Et l’autre petite Mexicaine, assise à côté d’elle? Elle souffre de maux d’estomac. Croyez-vous que Dieu guérira votre estomac, madame?

185 Elle a obtenu cela. Quand je vois cette Lumière descendre, ça veut dire que la chose s’est produite. Oui. C’est ça. La Lumière l’a touchée. La voilà, tournoyant tout autour… [espace non enregistré sur la bande—N.D.É.] …avec ça, c’est réglé. Voyez? Quand Il peut trouver la foi! Voyez : “Il y a beaucoup de choses qu’Il n’a pas pu accomplir, à cause de leur incrédulité.”

186 Il y a une dame assise ici, en train de prier, juste ici. Elle a peur. Et pour cause. Elle a un cancer, de stade avancé. Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît. Croyez-vous que Dieu peut me dire ce qu’il en est de ce cancer, ou autre chose? Regardez-moi. Il y a tellement de gens qui sont là, en train de prier, voyez-vous, voilà pourquoi je dis cela. Regardez-nous. Maintenant, oui, vous n’êtes pas d’ici, vous n’habitez pas ici. Vous êtes d’un endroit appelé Porterville, en Californie. C’est exact. Croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes? Il le sait. Votre nom est Mme Wintham. C’est exact. Maintenant croyez, et le cancer partira. Si tu peux croire! Voilà tout ce que Dieu vous demande de faire. Si tu peux croire!

187 Ne croyez-vous pas cela de tout votre cœur? Quelqu’un dans cette section-ci, ne pouvez-vous pas croire? Le Maître est ici, et Il vous a appelés. Il vous appelle à passer de la mort à la Vie, de la maladie à la santé.

188 Il y a un homme assis juste là, derrière, la tête baissée, en train de prier. En fait, il ne prie pas pour lui-même, il prie pour quelqu’un d’autre. C’est une—une fille. C’est sa fille. Croyez-vous, monsieur? Vous avez des problèmes avec vos jambes. Vous avez des problèmes avec votre genou. C’est exact. Il ne faut pas pleurer, c’est Lui qui est là, à côté de vous. Votre fille est à l’hôpital, n’est-ce pas? C’est la tuberculose. Croyez. Croyez-vous? Le Maître est ici, et Il l’appelle. Allez-vous croire, en tant que son père? Vous allez croire? Puisse-t-Il la visiter ce soir, et vous aussi. Que ce soit terminé.

189 Il y a ici un petit garçon, un petit garçon au teint brun. Il souffre d’une maladie de la peau, et d’asthme, c’est un petit garçon mexicain, un garçon mexicain assis là. Il n’est pas d’ici. Il est de San Jose. Crois-tu, fiston? Autre chose : ton père est ici avec toi. C’est un prédicateur. C’est exact. Crois-tu que Dieu peut me dire ton nom? Est-ce que ça t’amènerait à croire très fort? Tu t’appelles Ruben. Maintenant, crois. Oui. Dieu te guérira.

190 Le Maître est ici, et Il vous appelle. Oh, pécheur, oh, toi qui es malade, ne voyez-vous pas le Maître manifesté dans des êtres humains, au milieu des croyants? Il est ici pour appeler à la santé Ses enfants qui croient. Il est ici pour appeler à la repentance le pécheur. Rétrograde, membre d’église, le Maître est ici, et Il vous appelle.

191 Le croyez-vous? Le croyez-vous pour ce qui est de votre besoin, maintenant même? Si oui, levez la main, pour dire : “J’applique ma foi à mon besoin.” Puis levez-vous maintenant, et acceptez-le. Le Maître est ici, et Il t’appelle. Et, qui que vous soyez, quel que soit votre besoin, le Maître est ici, et Il vous appelle. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

192 Cette petite femme s’en est allée dans la ville, et elle a dit : “Venez voir un Homme qui m’a dit ce qui n’allait pas.” Vous n’êtes pas allés dans la ville. Vous êtes venus, et vous l’avez vu de vos yeux, alors : le Maître et ici, et Il t’appelle.

193 Levez les mains et louez-Le, dites : “Seigneur Jésus, je suis un pécheur; pardonne-moi. Je suis un rétrograde; reprends-moi auprès de Toi, Seigneur. J’ai besoin du Saint-Esprit; remplis-moi. Je suis malade; guéris-moi. Je suis infirme; rétablis-moi.” Le Maître est ici, et Il t’appelle. Levez les mains maintenant, et louez-Le. Amen.

194 (Donnez-nous la note : “Je Le louerai, je Le louerai.” Vous connaissez? Je Le louerai. Vous le connaissez, n’est-ce pas?)

Croyez-vous?

Je Le louerai! Je Le louerai!

Oh, je louerai l’Agneau meurtri;

Que tout peuple Le glorifie,

Car Son Sang lave tous les péchés.

195 Vous L’aimez? Alors, n’est-ce pas que vous aimez chanter pour Lui pendant qu’Il est là? Il est un Esprit, Il est en train de se déplacer un peu partout dans le bâtiment. Il connaît vos cœurs, Il sait tout sur vous. Chantons-le pour Lui, de tout notre cœur.

Je Le louerai! (Levez les mains en le faisant.) Je… (Maintenant louez-Le, simplement.) …Le louerai!

Oh, je louerai l’Agneau meurtri;

Oh, que tout peuple Le glorifie,

Car Son Sang lave tous les péchés.

196 Oh, madame, vous qui êtes dans le fauteuil roulant, si vous pouvez croire un peu plus, là. “Je…” Essayons, encore une fois. J’attends quelque chose.

Je Le louerai! Je Le louerai!

Oh, je louerai l’Agneau meurtri;

Que tout peuple Le glorifie,

Car Son Sang lave tous les péchés.

197 Maintenant, pendant que nous le chantons de nouveau, tournez-vous, prenez la main de quelqu’un pendant que nous le chantons, que nous chantons “Je Le louerai.” Allez, tous en chœur maintenant.

Je Le louerai! Je Le louerai!

Je louerai l’Agneau meurtri;

Que tout peuple Le glorifie,

Car Son Sang lave tous les péchés.

198 Oh, ami pécheur, pourquoi ne pas vous avancer maintenant? Avancez-vous et rendez-Lui gloire, vous, tous les peuples. Vous tous, qui voulez Le confesser comme votre Sauveur. Dans Sa Présence, pendant que les saints adorent en Esprit, pourquoi ne pas venir vous placer ici? Dites : “Je veux témoigner ce soir. Je veux Lui rendre gloire. Je veux venir. Je n’ai pas honte de Lui. Je veux que le monde entier sache que je L’accepte comme mon Sauveur, ici même, pendant qu’Il est présent.” Venez, pendant que nous le chantons.

Je Le louerai! (Pourquoi ne pas venir?) Je Le louerai!

Oh, je louerai l’Agneau meurtri;

Oh, que tout peuple Le glorifie,

Car Son Sang lave tous les péchés.

199 Oh, c’est ça, madame, venez, approchez-vous. Qui d’autre veut venir, dans la Présence de Christ? Avancez-vous jusqu’ici, ma sœur, placez-vous ici.

200 Quelqu’un d’autre qui désire qu’Il soit son Sauveur maintenant même, quelqu’un qui n’a pas honte. Il a dit : “Si vous avez honte de Moi devant les hommes, J’aurai honte de vous devant Mon Père et les saints Anges.” Si vous n’avez pas honte de Lui maintenant, et que vous désirez qu’Il soit votre Sauveur — pendant qu’Il est ici! Vous L’avez vu. C’est tellement parfait, la Parole, Lui-même fait connaître Cela. Avancez-vous, pendant que les saints adorent, maintenant. Pourquoi ne pas vous avancer?

201 Que Dieu vous bénisse, monsieur. Voici venir une femme âgée, avancée en âge. Pourquoi ne pas venir maintenant?

Je Le… (Chantez-le, maintenant.) Je Le…

202 C’est ça, les jeunes, approchez-vous ici, autour. Louez-Le. Que Dieu vous bénisse, madame, c’est comme ça qu’il faut faire. Que Dieu vous bénisse, les jeunes.

…l’Agneau meurtri;

Que tout peuple Le glorifie,

Car Son Sang lave tous les péchés.

203 Pendant que les prédicateurs vont vers ces gens maintenant, pourquoi ne pas venir — quelqu’un d’autre? Vous qui êtes rétrograde, voulez-vous venir, dire : “J’ai honte de ma vie”? Il est ici. Croyez-vous que je suis le serviteur de Dieu? Levez la main. Eh bien, Jésus-Christ est au milieu de nous. Pourquoi ne pas venir?

Que tout peuple… (Pourquoi ne pas venir Lui rendre gloire?) …glorifie,

Car Son Sang lave tous les…

204 Marthe, est-ce que tu viens, ou est-ce que tu vas rester à la maison avec Marie? Est-ce que vous allez rester là, dans une organisation, et dire : “Oh, mon église ne Le croit pas de cette manière”, alors que Christ est manifesté? Est-ce que vous allez rester là et dire ça, ou bien est-ce que vous allez sortir de là? “Bon, je vais vous dire, quand je…” Non. C’est aujourd’hui, c’est maintenant l’heure. La mort rôde autour de vous, comme pour la fille de Jaïrus.

205 Venez maintenant! Rétrograde, viens maintenant. Pécheur, viens maintenant. Le moment, c’est maintenant. Le Maître est ici, et Il vous appelle. Il vous appelle. Vous dites : “Comment puis-je le savoir?” Il se sert de ma voix. S’Il se sert de ma voix pour dévoiler la maladie, les afflictions et tout, ne savez-vous pas qu’Il appelle aussi pour dévoiler le péché? Sortez de là! Venez maintenant, c’est peut-être la toute dernière occasion qui vous sera donnée.

206 Encore une fois : il y en a d’autres ici qui devraient venir, mes amis. Je ne veux pas vous mettre mal à l’aise, en vous appelant, comme ça. Ce n’est pas bien. Si vous, des fois, peut-être… Les pharisiens pensaient qu’ils étaient sauvés, mais ils ne l’étaient pas. Vous pensez la même chose. Venez maintenant.

207 Soyez-en certains! Ne—ne prenez aucun risque avec ça. S’il y a le moindre doute dans votre esprit, ne prenez pas de risque. Approchez-vous maintenant. C’est maintenant le moment, maintenant, pendant que la Source est ouverte, pendant que le Saint-Esprit est ici. Le Maître est ici. Ce petit doute, c’est ce qu’Il cherche à vous signaler : “Vous doutez.” Abandonnez ça. Venez maintenant. Le Maître est ici, et Il t’appelle. C’est ça, continuez simplement à venir, allez, continuez à venir.

Je Le louerai! Je Le louerai! (Pourquoi ne pas venir Lui donner des louanges?)

Je louerai l’Agneau meurtri;

Que tout peuple Le glorifie,

Car Son Sang lave tous les péchés.

208 Maintenant, pendant que les pécheurs s’avancent pour L’accepter : que les gens Lui donnent des louanges, alors que nous le chantons maintenant. Mains levées, chantez Ses louanges, maintenant, tous ensemble.

Je Le louerai! Je Le louerai!

Je louerai l’Agneau meurtri;

209 Donnez-Lui des louanges! Vous qui êtes ici, tout autour, priez, demandez-Lui de vous pardonner. C’est ce qu’Il fera. Le Maître est ici, et Il vous appelle. Que Dieu vous bénisse. 

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