Le son incertain
1 Bonjour, les amis. Je suis de nouveau si heureux
d’être à l’église ce matin, après avoir passé la semaine à remettre à
tout instant au diable mon rhume. Vous savez, chaque fois qu’il voulait
me le donner, je le lui refilais. Et on est encore à se battre. Je suis
simplement déterminé à ce qu’il le garde, voyez. Chaque fois qu’il me
le donne, je le lui refile. Il me le donne, et je lui refile. Enfin, il
sait comment faire, vous savez, il a du métier. Mais on l’a finalement
épuisé, ou plutôt, on a épuisé sa patience, comme je l’ai expliqué
l’autre soir.
2 Quelqu’un pour qui j’avais prié m’a dit: «Le
diable m’a dit que je n’étais pas guéri.» Il a dit: «Je voyais bien que
tous mes symptômes persistaient.» Et il a ajouté: «Puis j’ai dit:
Satan, c’est vrai, je ne me sens pas mieux. Mais tu sais quoi? Je vais
continuer à témoigner de toutes mes forces pour la gloire de Dieu,
jusqu’à ce que mes symptômes s’en aillent. Mais si tu veux rester à mes
côtés et m’écouter témoigner, t’as beau.»
3 C’est là une vraie foi. Témoigner à la gloire de
Dieu! Parce que «la foi est l’assurance des choses qu’on espère, une
démonstration de celles qu’on ne voit pas». Vous voyez? On ne voit pas
la foi. Vous croyez, c’est tout.
4 Et cette semaine, j’ai été pas mal occupé à la
maison. Lundi, en effet, il y en a eu, je pense, pas moins d’une
trentaine. Et puis ça a été toutes mes entrevues et ce qui va avec ça.
Ça a été une semaine très occupée.
5 Et j’ai aussi appris quelque chose. J’ai un ami
ici en ville, c’est un très chic type. Il est médecin. Lui et moi, on
allait à la même école; il s’agit du Dr Sam Adair, et c’est un
homme tout simplement sympathique. Et je ne l’avais pas vu depuis
environ quatre ans; et cette semaine on s’est entretenu pendant trois
ou quatre heures. On est allé à son bureau, on a verrouillé derrière
nous, et on a discuté.
6 Et je lui racontais des choses que j’avais
découvertes, en rapport au spirituel, sur les puissances du mal et
leurs façons de s’introduire. Lui m’en donnait le diagnostic en termes
médicaux. Et c’était étonnant de voir l’exactitude des deux rapports!
7 Donc, il me parlait d’un certain mucus qui pénètre
dans l’être humain, d’où l’homme n’a pas à transporter le rhume,
disons, ou autre chose. Ce n’est qu’un mucus qui pénètre, et ensuite ce
mucus produit le germe.
8 J’ai dit: «Eh bien, si le mucus produit le germe,
alors j’aimerais savoir d’où vient la vie du germe.»
9 Alors il a dit: «Eh bien, nous ne sommes
évidemment pas au courant de ces choses. On ne sait tout simplement
pas.»
10 On attrape froid, ou quelque chose comme cela, et
ce germe-là se transforme. Il a un moyen de se multiplier, et il ne
cesse de produire des germes de ce mucus, je pense. Un docteur ou une
infirmière aurait une meilleure compréhension de tout cela.
11 Mais ce qui m’intéressait, et sur quoi je fixais
mes pensées, c’était ce qui touchait à ce germe proprement dit, à la
vie de ce germe. À l’intérieur de ce petit bouchon qui ressemble à une
petite capsule, si menue que l’œil ne peut la voir, mais à l’intérieur
de cette minuscule chose que seul un puissant microscope peut voir, à
l’intérieur se trouve une vie. Qu’est-ce qui fait que cette vie
s’empare de ce mucus et l’enveloppe, et produise cette capsule,
voyez-vous, ou ce germe? — C’est le diable. C’est une puissance
spirituelle. Ça, ils ne seront jamais capables de le voir. Ils sont
parvenus à voir ce qui est encore plus infime qu’une molécule, ce petit
globule, et ainsi de suite, et cette petite muqueuse qui ne peut être
aperçue que par un puissant microscope. Et puis (mais) ils ne peuvent
voir au delà de cela, parce qu’il n’y a pas de substance palpable sur
laquelle se poser.
12 Il y a des gens debout … Charlie, j’aime
donc pas te voir debout… et David et Rodney, et vous tous là. Vous
prenez tellement bien soin de moi quand je vais chez vous. Et je ne
peux pas vous donner une place assise dans la maison de Dieu, oh! Mais
je vais vous dire ce que je vais faire. Si vous veniez ici, celle-ci
est à moi. Montez ici, et sentez-vous chez vous. Si l’un d’entre vous
veut venir prendre cette place, c’est libre. Vous êtes plus que les
bienvenus.
13 C’est une bonne chaise. Au fait, ce n’est pas à
moi, c’est à M. Wilson, le directeur d’école. Je l’ai depuis 1937;
c’est la plus vieille, quoi!
14 Il était ici il n’y a pas longtemps, et il m’a
dit: «Hé, t’as encore mes chaises?»
J’ai dit: «Je m’assois toujours dessus juste avant
de prêcher.»
Et il a repris: «Eh bien, faut dire qu’elles sont
entre bonnes mains.»
15 Vous êtes les bienvenus. Il y a une place ici. Et
puis si vous voulez venir ici où sont assis les enfants… Faudrait pas
que cela vous embarrasse maintenant; on ne vous prendrait pas pour un
jeune enfant, vous n’en êtes pas un. Ici aussi il y a une place. Et il
y en a une autre là. Comme ça vous serez capables, particulièrement
quelques-unes des dames qui sont là… C’est gentil de rester debout
comme ça. Merci. On aimerait que vous veniez vous asseoir ici. Ce
serait très bien.
16 Et Charlie, je pensais que t’étais venu par ce
côté-ci. Je passe mon temps à le taquiner. Je lui ai dit: «Monte à
l’église.» J’essayais de le faire venir ici me visiter. Et puis je lui
ai dit: «Quand tu vas venir, je vais annoncer: ‘Ce matin, le docteur
Charlie Cox va nous apporter le message.’ Et puis je vais me retirer.»
17 Il m’a dit: «Je vais m’évanouir.» [Frère Branham
rit. — N.D.É.] Aussi, avant que je l’appelle, il s’est sauvé dans la
pièce arrière, voyez.
18 Aussi, avant de commencer notre leçon,
j’aimerais… Je pense que la semaine dernière le Seigneur nous a bénis.
Avez-vous aimé le… [La congrégation dit «amen». — N.D.É.] Oh là là! Des
mains levées partout! Même que ce Message est rendu en Californie. Hier
soir, on appelait de là-bas, à ce sujet. Et là ils veulent se fixer et
avoir la même chose en Californie, au mois de janvier prochain, vous
voyez.
19 Le Saint-Esprit semble simplement frapper du même
coup là-bas à Shreveport. Et ça va d’un lieu à l’autre, comme cela.
C’est l’heure de la révélation.
20 Aussi nous nous réjouissons et sommes
pleins de confiance, de voir notre propre groupe, ici, du Tabernacle,
qui prospère grandement par ceci, en voyant la manifestation de Dieu
parmi nous. Nous nous en réjouissons, et nous croyons que nous sommes à
cette heure glorieuse où l’Église est appelée à sortir et à mettre les
choses à l’ordre.
21 J’ai découvert quelque chose, pendant que je
discutais avec mon bon ami, Dr Adair, à son bureau. Il a dit… on
parlait de différentes choses concernant les rayons X, les mauvais
rhumes et les différents germes; il fouillait dans ses livres et me
montrait à travers eux ce qu’ils avaient découvert. Il a dit: «Je vais
te dire, Billy, pour un rhume, et pour bien des choses de ce genre, on
n’a rien pour ça.»
22 J’ai dit: «J’ai toujours pensé que lorsqu’on a la
gorge irritée, d’utiliser un liquide pour se gargariser…» J’ai dit:
«Après une prédication, quand je reviens à la maison, j’ai la gorge un
peu enrouée, et je me verse du Lavoris, et je me gargarise.» J’ai dit:
«On utilise ce rince-bouche depuis des années à la maison.»
23 Il a dit: «Une eau fraîche ferait tout aussi bien
l’affaire.» Vous voyez? Il a dit: «Parce que, ne va jamais croire qu’un
rince-bouche peut te faire du bien, parce que tout ce qu’il pourrait
faire serait de te débarrasser des germes qui sont dans ta gorge. Ça
n’atteindrait pas les veines. Si c’était le cas, ça ferait éclater ta
gorge et tu aurais une hémorragie. Tu vois?» Il a dit: «Non, ça ne peut
pas t’aider.»
24 Ainsi le vieux dicton revient à nouveau: Le
médicament est fait pour être vendu, pas pour être pris. [Frère Branham
rit. — N.D.É.]
25 Et, après tout… je l’ai lu aussi des livres de
médecine que j’ai à la maison… Je suis intéressé par la médecine,
certainement; en tout ce qui peut aider le peuple de Dieu, aider l’être
humain. Si c’est la paix, en étudiant des termes se rapportant à la
paix, je suis intéressé en cela. Je suis intéressé d’avoir une
meilleure communauté dans laquelle vivre. Je suis intéressé d’avoir de
meilleures écoles où envoyer nos enfants. Je suis intéressé dans tout
ce qui est bon, sain et droit.
26 Et la médecine a fait de grandes choses. Je crois
que Dieu l’a utilisée dans bien des situations. Je crois que si nous
étions plus sincères et plus consacrés à Dieu, ils y auraient déjà des
remèdes contre les cancers et tout le reste. Dieu a le remède, si
seulement nous le Lui demandions. Vous voyez, Lui demander. Et je crois
que la raison pour laquelle le vaccin Salk a été trouvé, c’était de
voir des petits enfants souffrir comme ils souffraient. Et Satan, cette
méchante chose aux aguets, paralysait ces petits enfants et tout. Et
Dieu a permis qu’il soit découvert, pour le traitement de la maladie.
Cela a été d’une grande importance, et pour laquelle nous sommes
reconnaissants au Dieu Tout-Puissant. Nous sommes simplement si
reconnaissants que Dieu nous ait ainsi bénis!
27 Et, frère, où… Il ne s’en retourne pas chez lui,
n’est-ce pas, sœur Nash? [Sœur Nash dit: «Non. Il va chercher quelques
chaises. — N.D.É.] Oh, c’est très bien, très bien.
28 Maintenant, quand je suis revenu à la maison, je
me suis assis dans une pièce et j’ai étudié longuement. «Qu’est-ce que
tout cela?», me suis-je demandé. Je vais vous en parler un peu, sur ce
que j’étudie, pour que vous étudiez avec moi. Et le Seigneur… Quand
nous étions dans la pièce, je considère que c’était bien Lui, en raison
des grandes expériences que j’ai eues avec Lui.
29 Mais savez-vous qu’après que le docteur m’eût dit
cela, et qu’il me l’eût montré d’un bout à l’autre des livres de
médecine, des choses que je sais qu’ils viennent à peine de découvrir…
Il y a un docteur parmi nous, ici, de toute façon, qui m’écoute.
Maintenant ceci: la dernière et la meilleure trouvaille qu’il y ait
pour un rhume… Ils n’ont pas de remède. Ils condamnent l’aspirine, et
ainsi de suite; ça ne fait qu’apaiser le malaise qu’occasionne le
rhume, mais ça ne touche pas le rhume en tant que tel. Ça vous aide
toutefois à vous reposer. Et ce qu’il y a de mieux pour un rhume, c’est
de se coucher et de dormir, de relâcher; de simplement s’étendre dans
un lit, c’est à peu près ce qu’il y a de mieux à faire.
30 Là, ensuite, j’ai dû étudier. J’ai dit: «Dr Sam,
alors ceci est ceci: pour un rhume, le mieux à faire c’est de se
reposer?»
Il a dit: «C’est ce qu’il y a de mieux pour tout.»
31 J’ai dit: «Eh bien merci, docteur, c’est joliment
intéressant.» Puis nous avons discuté encore un peu, et je suis rentré
à la maison. Je lui ai dit… Il aime le lièvre et l’écureuil. On avait
l’habitude de chasser ensemble quand on était jeunes, de pêcher plus
particulièrement.
32 Aussi quand je suis rentré, j’en suis arrivé à me
dire: «Qu’est-ce?» Vous savez, j’ai remarqué les animaux. Quand un
chien tombe malade, il va boire un peu d’eau, puis il va s’étendre
quelque part. Eh bien, la conclusion m’est ensuite venue le lendemain,
alors que j’étais encore au lit, en attendant que les enfants se
lèvent. Ils se lèvent aux environs de 6 h 30, et moi vers les
4 h 30 ou 5 heures. J’étais couché, je réfléchissais.
Souvent, Dieu révèle des choses… Vous savez, je n’enseigne pas ceci,
mais saviez-vous…
33 L’homme, au commencement, quand Dieu l’a créé, Il
ne l’a pas créé pour être traité par les médecins. Il avait cela en
lui. Il était équipé. Il était lui-même une unité de soin. Voyez? Et
puis la guérison ne vient d’aucune source extérieure; elle doit venir
de l’intérieur. Maintenant, on peut recevoir une aide extérieure, pour
tuer les germes ou toutes autres choses dans notre organisme. On peut
avoir une greffe de la peau, ou l’ablation de l’appendice, ou
l’extraction d’une mauvaise dent; mais la guérison ne vient pas d’une
chose que l’on applique. La guérison ne vient que par la puissance qui
est en vous, qui reconstitue à nouveau les tissus affectés. Et, par
conséquent, la guérison est en vous. Maintenant, écoutez bien, et
réfléchissez profondément avant de faire vos commentaires.
34 L’homme, au commencement, quand il a été créé, un
homme est un dieu. Il est absolument un dieu, car il a été créé à
l’image de Dieu, étant un fils de Dieu, et il est un héritier de tout
ce que Dieu est. Et il lui a été donné un domaine, et ce domaine était
la Terre. Vous avez la puissance sur les poissons, sur les oiseaux du
ciel, et sur tout. Il parlait, et tout lui obéissait, parce qu’il était
en lui-même un dieu; pas le Dieu universel, c’est-à-dire le Dieu des
cieux et de la terre, mais il était un gouverneur sur son domaine. Il
était un roi, un roi-gouverneur. C’était l’homme. Et même en ce moment,
dans son état déchu, il en a encore l’apparence.
35 Il n’y a pas si longtemps, ils essayaient de
faire des croisements, et ainsi de suite, et ils disaient que «l’homme
venait d’animaux inférieurs et que par l’évolution il s’était mis sur
ses pieds». Bon, vous voyez, ils en sont venus à démontrer la fausseté
de leur propre théorie à force de jouer avec la science.
36 Il n’y a rien que vous puissiez croiser qui
parviendra à une plus haute évolution; ça n’avancera à rien. C’est
impossible. Du maïs hybride, ou toute autre chose, ne peut pas se
reproduire. Ou comme je le disais l’autre jour, l’âne et la jument
peuvent être accouplés et donneront un mulet, mais ce mulet ne pourra
pas se reproduire. Cela doit revenir directement au commencement. Parce
que Dieu a dit: «Que chaque semence produise selon son espèce.»
37 Maintenant, quand nous avons été créés… Récemment
ils ont découvert que votre corps est plein de lumière. Le rayon X le
prouve. Le rayon X ne possède pas sa propre lumière. Il emprunte de
vous cette lumière. Vous naissez avec quatre rayons. Après un certain
temps, disons vingt, vingt-cinq ans, un rayon disparaît; et à
trente-cinq, un rayon disparaît, ou à quarante ans, un autre disparaît;
et finalement, quand vous passez les soixante-cinq ans environ, vous
vivez de votre dernier rayon. Et chaque fois qu’on vous prend un rayon
X, ces rayons sont démolis. C’est pourquoi on a plus… vous mettiez les
pieds de ces jeunes dans ces machines, et ça ne faisait qu’arracher les
rayons de leurs petits corps. Et c’est de la lumière cosmique qui est
en vous, dont vous êtes fait, plein de cellules de lumière. Ça c’est de
la lumière cosmique.
38 Mais Dieu est d’une Lumière différente. Cependant
Il est Lumière. Je pense maintenant à la photo, qui est une grande
preuve de ce que je me prépare à dire, que Dieu est Lumière. Et quand
nous marchions dans la Lumière de Dieu, comme fils de Dieu… Dieu n’est
pas de la lumière cosmique, mais la Lumière de Dieu opérait à travers
la lumière cosmique de nos corps, de nos cellules. Nous étions
absolument, à un moment donné, de réels et authentiques fils de Dieu.
Mais ensuite quand la chute est venue,…
39 Les fruits de l’Esprit aujourd’hui sont l’amour,
la joie, la foi, la longanimité, la douceur, la gentillesse, la
patience; tous surnaturels. C’est parvenu au point où tout le corps,
graduellement…
40 Comme les algues que l’on trouve dans les fonds
marins. Il arrive souvent que les plongeurs se prennent sous ses
algues, et avant de s’en rendre compte, ils sont enveloppés de telle
manière par ces algues qu’ils ne peuvent plus s’en déprendre.
41 Eh bien, c’est ce que le péché a fait de l’être
humain. C’est ce que la froideur a fait de l’église. C’est ce que les
communistes ont fait de la nation. C’est si sournois! Et puis ça a
enveloppé le corps humain, et ça a poussé à l’extérieur cette Lumière
de Dieu; par les dénominations et le reniement de la foi et ainsi de
suite, cela a poussé à l’extérieur tous les rayons de la grande
puissance de foi de Dieu, vous voyez, qui est en nous (qui devrait être
en nous). Il a poussé à l’extérieur tous les rayons, au point que l’on
ne s’en tient plus qu’à une loge. Et là, maintenant, c’est en deçà de
la loge qu’on trouve l’église, parce que toutes les ténèbres font
pression sur elle. Et on l’entendra même dire : «Ça ne se produit pas»,
niant que les miracles de Dieu peuvent se produire, vous voyez.
42 Et cependant, l’homme, quelque part au fond
de lui, quelque part en lui, si seulement il laissait cette petite…
Comme je l’ai illustré, comme un bouton. Quand un homme est sauvé, ce
peu de lui est Dieu. C’est la petite Lumière qui entre, pour lui faire
cesser ses mauvaises actions. Si maintenant vous pouvez ôter de lui
toute la malice et l’envie, et les soucis et l’incrédulité, ce petit
semblant de bouton de la Lumière et de la puissance de Dieu continuera
à grandir, et grandir, et grandir, et grandir, poussant dehors
l’incrédulité, faute de place. Et ce n’est pas par des exhortations…
par l’exercice corporel. Vous le faites par une vie sanctifiée,
consacrée, que le Saint-Esprit fait agir à travers vous. J’ai compris
un peu de cela au point où, il n’y a pas longtemps…
43 Combien de vous se rappellent la fois où Elij’
Perry a été ressuscité des morts? Il y en a quelques-uns de ce côté-ci.
Vous l’avez lu dans le journal, bien des fois. J’ai vu que sœur Wilson
et d’autres avaient levé leurs mains. J’étais là quand l’homme est
mort. Il reste pas loin d’ici à présent; il vient à l’église de temps à
autre, et en témoigne.
44 Il est demeuré mort durant plusieurs heures. Il
est mort d’hémorragies des poumons, et baignait dans son sang. Et je me
suis éloigné; je n’étais qu’un jeune prédicateur en ce temps-là. Et
sœur Jackson venait alors ici à l’église. Et la femme d’un prédicateur
méthodiste… j’oublie le nom de son mari maintenant, Shafiner, frère
Shafiner et sœur Shafiner, ils avaient un lien de parenté avec les
Wiseheart. Elle était à son chevet, et je me préparais à partir. Le
sang lui coulait de partout; il en était mort. Ses yeux étaient
révulsés, et sa gorge était enflée. Et ils ont couvert sa tête d’un
drap. Sa femme était là. Ils pleuraient, et ils tentaient de trouver
des adresses, pour appeler les amis.
45 Et comme je m’éloignais du lit, j’ai senti
quelqu’un poser sa main sur moi. Je croyais que c’était sœur Shafiner.
Et quand je me suis tourné, il n’y avait personne près de moi. Cela m’a
laissé quand je me suis tourné.
46 Et frère Elij’ était étendu là, mort. On avait
été de très bons compagnons; on allait pêché ensemble à la rivière.
Vous savez tout ce qu’on a fait ensemble. Et il s’est fait frapper,
ici, sur une voie ferrée. Ça lui a écrasé les poumons. Il saignait; il
saignait et a contracté la tuberculose, suite à cela, et il est mort.
47 Et comme je m’éloignais de ce côté, j’ai de
nouveau senti cette main. Je me suis tourné, Il a retiré Sa main de moi.
48 Et avant de me rendre compte de ce que je
faisais, j’étais étendu sur l’homme, mes lèvres contre ses lèvres.
J’étais tout aussi plein de sang qu’il l’était, étendu sur cet homme;
et j’implorais Dieu! Et j’ai senti quelque chose près de mon oreille,
c’était sa main.
49 Et vous l’avez entendu ici même en témoigner,
vous voyez. Et il est revenu à la vie. Ça se passait il y a environ
vingt-cinq ans, ou peut-être trente; il habite là, dans la courbe. Il
est venu en témoigner à l’église il n’y a pas longtemps.
50 Bon, c’est cette fois-là où le Canada a appelé
pour savoir. J’en avais parlé au Canada quand j’ai commencé mes
réunions. Ils ont téléphoné à M. Coots, l’entrepreneur des pompes
funèbres, pour lui demander s’il n’y avait pas eu un homme qui était
ressuscité au salon funéraire, qui était mort. J’ai encore les coupures
de presse. Ils ont dit: «On a entendu parler de plusieurs miracles qui
s’étaient accomplis.» M. Coots avait répondu: «M. Branham est un
ami personnel, et toutes sortes de choses se sont produites. Mais il
n’est aucune mention d’une personne qui serait ressuscitée des morts,
en particulier dans ce salon funéraire.»
51 Les Canadiens l’avaient mal interprété. Et le
lendemain… eh bien, cela faisait les grands titres. Il a dit: «Des
centaines de personnes ont appelé de partout.» Et frère Perry lui-même
témoignait de la résurrection de son corps, et contestait la chose
qu’on avait dite dans le journal. Là on a compris que ce n’était pas au
salon. Cela s’était passé chez lui, et c’est là qu’il était, mort. On
ne l’avait pas encore transporté au salon funéraire à ce moment-là.
52 Puis j’ai lu l’autre soir où Irénée, je crois, ou
plutôt saint Martin s’était étendu sur le corps de son ami, après la
pendaison de celui-ci. C’est là de l’histoire. Il s’était étendu sur
lui durant une heure, et l’homme était revenu à la vie.
53 Et je vois dans la Bible où Élie s’est étendu sur
le corps d’un enfant mort, et il est revenu à la vie.
54 Je pense au petit garçon, en Finlande, alors
qu’il était étendu sur le sol, mort, sur le bord de la route.
55 Là, aussi, il y a environ deux mois, je crois,
Gene, dans le Newsweek, qu’à Londres, ils ont laissé agir «les
guérisseurs divins», comme ils les appellent. Ils les ont laissés aller
prier pour les malades. Et il y eut environ quatre-vingt pour cent plus
de guérisons qu’il y en a par la médecine. Cette prière pour les
malades!
56 Le Reader’s Digest en a parlé. Et en Amérique,
ici, c’était écrit dans le Reader’s Digest, où on s’était interrogé sur
la guérison divine. Ils ont demandé à un frère de prier pour un malade
qu’on lui avait emmené, et il a prié pour lui. Et puis ils ont placé
une feuille d’aluminium (nous savons tous que la feuille d’aluminium
réfléchit ce rayon) entre le malade et la main du frère qui priait, et
ils en ont pris une radiographie. Et de la main de l’homme se voyait la
réflexion d’un rayon, qui sortait de sa main et qui allait vers l’autre
homme. Vous voyez, c’est exact.
57 Dieu savait ce qu’Il disait quand Il a dit: «Ils
imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»
58 L’imposition des mains de cet homme sur un
malade, et le rayon X mécanique (oh! Dieu) montrait la Lumière qui
venait de la main de l’homme. Comment les gens peuvent-ils être si
stupides, de dire que la guérison divine n’existe pas? Voyez? Eh quoi,
même les appareils, ces machines que la science a faites, sont (quoi?)
un reproche aux pensées mêmes de ces églises qui disent: «Il n’y a pas
de telles choses, comme la guérison divine et la puissance de Dieu.»
59 Qu’en est-il de l’homme de Chicago (des
témoignages sans nombre), quand il m’a placé devant cet appareil, là,
et cette chose, comment cette main l’enregistrerait comme un détecteur
de mensonge? Voyez?
60 Et cette autre femme, couchée dans un lit,
mourante, lui en a fait subir le test. Ça a même fait lever sa main,
avec suffisamment de force pour envoyer un message radio autour du
monde, quarante fois, et démolir l’appareil. Cette sainte, mourante,
faisant sa confession. On a branché cela sur la main d’un homme
méchant, qui se mourait; et une fois branché, cela a projeté sa main du
côté opposé, assez pour briser l’appareil. C’est ce même infidèle qui a
dit: «S’il y a un Dieu et qu’Il est rempli de bonté, digne de louange,
qui enverrait assez de puissance à cet appareil pour projeter sa main,
il y a quelque chose dans cette femme, qui produisait cette puissance.
Et si, sur un homme méchant, ça l’envoie de l’autre côté, il a dit,
Dieu, soit miséricordieux envers moi, un pécheur.» Et il a donné son
cœur à Christ. C’est exact. Eh bien, la science est au courant.
61 Et un jour vous allez découvrir que Dieu est en
vous, vous voyez! Dieu Lui-même dans l’être humain. Dieu en nous! Oh,
comme je remercie Dieu pour ces choses; c’est si merveilleux!
62 Maintenant, avant d’approcher Sa Parole, et
prenons notre temps, parce que ce matin nous allons prier pour les
malades …?…
63 Et quelqu’un demandait si nous allions être ici
dimanche prochain. Eh bien, pour le moment, je ne sais pas. Je peux
difficilement le savoir à moins que le Seigneur le révèle. Si le
Seigneur le permettait, ce serait peut-être dimanche soir prochain. Je
prends tous les sermons du matin à mon précieux frère, ici. [Frère
Neville dit: «Amen. C’est très bien, frère.» — N.D.É.] Dimanche soir
prochain, peut-être, si je suis dans les environs, le Seigneur voulant;
je suis d’habitude dans les environs, à moins d’un appel de
l’extérieur. Je parlerai sur: Nous avons vu Son étoile dans l’Est et
sommes venus L’adorer. Vous voyez, un simple message de Noël.
64 Et avant d’approcher Sa Parole, approchons-nous
de Lui par la prière. Si tous ceux qui peuvent se lever se levaient
juste un moment.
65 Notre Père Céleste, nous sommes le peuple le plus
heureux, nous devenons si remplis de joie que nos âmes humaines ne
peuvent le contenir. Nous devons simplement pousser des cris parfois,
et donner libre cours à la joie qui est dans nos cœurs par
Jésus-Christ; de savoir que dans l’heure où nous vivons, malgré tous
les bouleversements qui s’y trouvent, il y a cependant une Fondation
qui est sûre.
66 Et d’avoir vu des hommes intelligents se lever,
dans les jours passés, pour essayer de nier l’existence même de Dieu.
Mais leurs propres appareils mécaniques sont revenus témoigner à la
gloire de Dieu. En effet, Judas a lui-même été obligé de dire qu’il
avait «trahi un Sang innocent». Le centurion romain a dit: «En vérité,
c’était le Fils de Dieu.» Ses propres ennemis ont dû témoigner. Et nous
vivons pour voir un siècle scientifique arriver à son terme. Ils ne
peuvent aller plus loin. Ils vont, à un moment donné, s’envoyer des
bombes et tout faire sauter. Et toutefois nous voyons que les appareils
scientifiques qu’ils ont inventés, pour essayer de Te réfuter, se sont
retourné et ont témoigné de Ta gloire. Nous T’en remercions infiniment,
Seigneur! Permets qu’aujourd’hui nous nous souvenions que la Parole de
Dieu ne faillira jamais.
67 Accorde-nous la foi, Seigneur. Ce que j’ai
maladroitement exprimé tout à l’heure, ayant trait à la puissance de
Dieu qui est en nous, et que toutes nos fibres sont Lumière de Dieu, et
les ténèbres et le péché ont étouffé les petites pores en nous, de
notre âme. Que le Saint-Esprit, ce matin, se répande dans notre être,
imprimant la foi dans notre être le plus profond, pour que nos corps
entiers et nos vies soient si saturés de la puissance de Dieu, que les
gens verront que Jésus-Christ vit dans Son Église. Accorde-le, Père.
68 Nous Te remettons tout cela à présent, et
demandons que Tu bénisses ces quelques paroles que nous allons
prononcer, pour essayer de commenter sur ce qui a déjà été écrit par
l’un de Tes apôtres, le grand saint Paul. Et je prie, Père, que le
Saint-Esprit prendra ceci et qu’Il le laissera croître dans le cœur des
gens, pour leur donner la foi à l’approche de ce service de guérison.
Nous le demandons dans le Nom de Jésus. Amen. Assoyez-vous. [Une sœur
parle dans une autre langue, puis un arrêt de la bande. Un frère parle
dans une autre langue, puis un arrêt de la bande. Un frère donne une
interprétation. — N.D.É.]
69 Remercions le Seigneur. Amen. Gloire à Dieu.
70 Cher Dieu, nous Te remercions pour Ta bonté et Ta
grâce. Nous Te remercions pour Ta manifestation d’amour et de
puissance, pour tout ce que Tu as fait pour nous. Nous sommes indignes
des bénédictions que Tu nous donnes. Par le débit du message, cela doit
avoir été le même message qui a été donné, et qui semblait appeler les
pécheurs à se tourner vers Toi, car l’heure de la destruction est
proche. Et, Père, nous prions que si cette personne est ici, ce matin,
ou ces personnes, qu’elles comprendront que nous ne savons rien de ces
choses, que c’est vraiment le Saint-Esprit qui parle par des lèvres
humaines, pour en donner l’interprétation; pour appeler les gens qui
ont été ordonnés avant la fondation du monde à être des fils et des
filles de Dieu, et qui ont longtemps fui cette chose. Puissent-ils
venir aujourd’hui, Seigneur, afin de Te connaître, et afin de trouver
ce lieu caché, car l’heure est proche. Accorde-le, Père, tandis que
nous nous attendrons à Toi, dans ce message. Dans le Nom de
Jésus-Christ. Amen.
71 Maintenant, s’il y a des gens qui ne
comprendraient pas exactement comment ces messages sortent de cette
façon, deux d’entre eux, c’est probablement dû à ce que l’un a omis de
dire une chose que l’autre a saisi; car vous avez remarqué le peu de
mots que l’autre a prononcés, quelques mots peut-être que l’autre n’a
pas dits. Et quand la traduction est venue, ça s’est fait en une même
fois, vous voyez, le message a été donné, un appel aux pécheurs.
72 Il faut dire que ces personnes ne savent pas sur
quel sujet j’allais parler. Personne ne le sait, il n’y a personne au
monde qui le savait, mais c’est le sujet même dont je vais parler,
voyez. Oui. Tournez maintenant avec moi à I Corinthiens, chapitre 14.
C’est bon de laisser simplement toute l’incrédulité sortir de vous,
pour que le Saint-Esprit puisse entrer et avoir la prééminence, vous
savez, et se déplacer directement dans vos fibres et contrôler votre
vie.
73 Maintenant, vous qui prenez en notes les
Écritures… J’ai remarqué l’autre jour que ce genre d’enseignement aide
beaucoup. J’ai trois ou quatre pages ici, sur quoi je vais parler ce
matin, d’Écritures et de choses que vous pourriez peut-être écrire et
en noter la provenance. Je les ai notés, comme ça je ne les oublierai
pas.
74 Maintenant, au chapitre 14 de I Corinthiens, les
versets 1 à 8. Écoutez attentivement:
Recherchez la charité. Aspirez aussi aux dons
spirituels, mais surtout à celui de prophétie.
En effet, celui qui parle en langue ne parle pas aux
hommes, mais à Dieu, car personne ne le comprend, et c’est en esprit
qu’il dit des mystères.
Celui qui prophétise, au contraire, parle aux
hommes, les édifie, les exhorte, les console.
Celui qui parle en langue s’édifie lui-même; celui
qui prophétise édifie l’Église. Je désire que vous parliez tous en
langues, mais encore plus que vous prophétisiez. Celui qui prophétise
est plus grand que celui qui parle en langues, à moins que ce dernier
n’interprète, pour que l’Église en reçoive de l’édification.
Et maintenant, frères, de quelle utilité vous
serais-je, si je venais à vous en parlant en langues, et si je ne vous
parlais pas par révélation, ou par connaissance, ou par prophétie, ou
par doctrine?
Si les objets inanimés qui rendent un son, comme une
flûte ou une harpe, ne rendent pas des sons distincts, comment
reconnaîtra-t-on ce qui est joué sur la flûte ou sur la harpe?
Et si la trompette rend un son confus, qui se
préparera au combat?
75 Maintenant, je veux, quand vous rentrerez chez
vous, que vous continuiez à lire le chapitre au complet, parce qu’il y
a plusieurs versets là-dessus, quarante versets dans ce chapitre. Et
j’aimerais que vous les lisiez une fois à la maison. Ils expliquent les
dons.
76 J’intitulerai le sermon comme ceci: Le son
incertain
77 Paul, ici, parlait du parler en langues. S’il n’y
avait pas eu d’interprète, qui aurait pu savoir ce que ces personnes
disaient tout à l’heure . Personne ne l’aurait su. Mais il parle
simplement à Dieu. Bien sûr son esprit laisse entendre la Parole et il
est glorifié, il en est béni. Il a dit: «Il s’édifie lui-même», parce
qu’il a la consolation que Dieu lui parle. Mais s’il y a un interprète
avec ça, vous voyez, si un interprète poursuit derrière, alors ça
n’édifie pas seulement la personne, ça édifie toute l’assemblée; ça
donne par ce moyen à chacun la Parole du Seigneur.
78 Ils ont dit: «S’il y a le prophète, alors, le
prophète parle afin que l’assemblée entière, laquelle est…» Un
prophète, qu’est-ce que c’est? — Un divin révélateur de la Parole
divine, qui a la révélation de la Parole à donner aux gens. Alors cela
édifie tout le monde, vous voyez.
79 Toujours, l’homme qui parle en langues peut
parler en langues. Et il est défendu d’une part qu’une personne parle
en langue à l’église à moins qu’il y ait un interprète. C’est aussi la
raison pour laquelle il est permis de parler en langues ici, parce que
nous avons maintenant trois ou quatre interprètes dans l’assemblée, de
cette église-ci, des interprètes de langues inconnues. Mais s’il n’y
avait pas d’interprète, alors il ne leur serait pas permis de parler
dans l’église. Toutefois ils le peuvent à la maison et quand ils
prient, parce qu’ils s’édifient eux-mêmes, parce que l’Esprit est sur
eux. Ces gens croient en effet qu’ils se font comprendre quand ils
parlent; mais ce n’est pas le cas. Ils se lèvent et commencent à dire
quelque chose, et ils ne peuvent mettre un frein à cela, ça continue
simplement à s’exprimer d’eux. Et ils pensent que vous comprenez ce
qu’ils disent; c’est un état subconscient.
80 C’est comme quand vous êtes sur l’estrade, comme
aujourd’hui, vous allez remarquer quand les discernements viennent. Il
y a plusieurs personnes ici que je n’ai jamais vues de ma vie.
Surveillez le Saint-Esprit quand Il descend; Il commencera à traverser
l’assemblée et à dire aux gens qui ils sont, ou d’où ils viennent, leur
condition et leur maladie. Tout cela, vous voyez, qu’est-ce que c’est?
C’est «la Parole de Dieu, plus tranchante qu’une épée à deux
tranchants, (…) atteignant jusqu’à la moelle de l’os, et discernant les
pensées mêmes et les intentions du cœur et de l’esprit». Vous voyez?
Vous voyez? C’est la Parole de Dieu.
81 Maintenant Paul a dit: «Si tous parlent en
langues, et qu’il n’y a pas d’interprète, et que survienne un homme du
peuple, ne dira-t-il pas que vous êtes fous, insensés.» Le mot fou
signifie «insensé». «Ne dira-t-il pas qu’ils sont insensés. Mais s’il
en est un qui peut prophétiser et révéler les secrets des cœurs, alors
tous tomberont sur leur face et publieront: ‘Dieu est avec vous’.»
82 Maintenant, «s’il y a un interprète…» Une
interprétation à une langue inconnue est une prophétie. Voyez, c’est
une prophétie en elle-même, parce que le Saint-Esprit parle et donne
l’interprétation. Elle dit à certaines personnes certaines choses à
faire, et tout. Et chacun sait quand ça vous frappe, vous savez à qui
Il s’adresse.
83 C’est bon de voir que ce ne sont pas les êtres
humains, mais que c’est Dieu dans les êtres humains qui fait Son œuvre.
Nous remercions grandement le Seigneur pour ces choses.
84 Et je commence à remarquer que ça se répand dans
les autres endroits, les autres églises. Charles Fuller… Combien ont
déjà entendu parler du Old Fashioned Revival Hour? Un grand homme. Il y
a quelque temps, il a dit: «Nous avons le parler en langues,
l’interprétation, ici même.» Là-bas à Long Beach. Tout à fait. J’ai
prêché là avec lui à plusieurs reprises. Donc, ils ont
l’interprétation, et cela fait que chacun reste bien tranquille.
85 Voyez, la chose est que nous ne donnons pas leur
place à ces dons. Et quand parfois un don sort de l’ordre, vous devez
le rappeler. C’est Satan qui essaie de les faire s’emballer. S’il ne
peut pas vous empêcher de recevoir une vérité, il prendra cette même
vérité et vous fera vous emballer avec ça. Voyez? C’est exact. Il s’en
servira pour introduire le fanatisme.
86 Nous essayons ici de garder cela dans l’ordre. Ça
recommence à se manifester dans notre église, pour la première fois
depuis des années. Donc on garde cela dans l’ordre; on les en instruit.
Quand maintenant, souvent, comme en ce moment, il pourrait y avoir
quelqu’un qui sent qu’il va parler en langue, voyez, en ce moment, mais
ils sont supposés garder le silence. Car c’est l’heure de la
prédication. Voyez? Voyez? Et quand la prédication est terminée,
l’appel à l’autel ou quoi que ce soit est terminé ici, alors un message
peut être donné, vous voyez. Celui qui parle peut parler quand le
prédicateur a terminé, ou avant qu’il ait commencé.
87 Si maintenant cela continue de vouloir
s’exprimer, et que les dons surviennent, alors nous tiendrons un temps
particulier pour eux. Et ils se rencontreront, des heures avant que
l’église n’ouvre, et ils s’assiéront ensemble, et prophétiseront, et
parleront en langues; et ils écriront ces messages et les mettront ici
sur l’estrade.
88 Quand le pasteur s’avancera, il dira directement:
«Ainsi dit le Seigneur: Il arrivera, dans deux jours, que frère Jones,
qui vit ici, près de la voie ferrée, déménagera, parce qu’il y aura une
voiture qui perdra contrôle et qui frappera de plein fouet sa
maison.» «Ainsi dit le Seigneur: Il y a une femme ici, ce matin, du nom
de Madame une telle. Elle vient de tel endroit. Elle a volé quelque
chose quand elle était une jeune fille. Frère Branham ou frère Neville,
ou un autre, imposera ses mains sur elle, après qu’elle aura confessé
et réparé cette chose, et elle sera guérie. Son nom est Madame une
telle.» Vous voyez? Le pasteur, avant que le service ne commence, lira
ces prophéties. C’est exact. Vous voyez?
89 C’est maintenant à l’état infantile parmi nous.
C’est à l’état infantile. Alors, vous voyez, il n’y a rien qui pourra
se glisser. Le diable s’introduira et voudra rendre la chose charnelle;
ensuite, s’il y parvient, il mettra en pièces l’église entière comme
cela, voyez, ira dans le fanatisme, et sortira de l’ordre en tout
temps. Mais l’Église est dans l’ordre.
90 Et maintenant, si la personne qui a un don est
rappelée par l’Écriture, et qu’elle perd le contrôle d’elle-même, cela
montre que ce n’était pas un don de Dieu. Parce que tout don de Dieu
respectera la Parole, sera doux, vous voyez.
91 C’est pourquoi la guérison divine est ce qu’elle
est. Et le Saint-Esprit respecte la Parole, le Saint-Esprit, le baptême
dans le Nom de Jésus-Christ. Le Saint-Esprit en vous respectera cette
Parole, parce qu’Il l’a écrite Lui-même, et Il est en vous. C’est cette
Lumière de Dieu qui est en vous, qui honorera la Parole sans se soucier
d’où cela vient. L’esprit des prophètes (ceux qui prophétisent, les
dons) sont soumis au prophète, vous voyez, lequel est le révélateur
divin de la Parole. N’êtes-vous pas heureux de voir ces choses en cette
heure? — [Amen.]
C’est maintenant un jour d’incertitude.
92 Il est dit ici: «Si la trompette rend un son
confus, qui se préparera au combat?» Paul parlait ici, bien sûr, aux
Corinthiens. Beaucoup d’entre eux étaient soldats, en ces jours-là,
dans leur armée respective. Si la trompette rend un son confus, qui se
préparera? Vous devez avoir la certitude des choses. Nous devons savoir
si c’est vrai ou faux.
93 Nous vivons actuellement en un jour de grande
incertitude. Nous en sommes tous conscients. Un jour d’incertitude, et
un temps d’incertitude. Je ne crois pas qu’il y ait jamais eu un temps,
— depuis le commencement du temps dans le jardin d’Éden, quand le péché
est entré et qu’il a forcé le temps aux dépens de l’éternité, — je ne
crois pas qu’il y ait jamais eu un temps d’une aussi grande incertitude
que ne l’est ce jour. Parce qu’il n’y a pas même une ombre d’espoir
dans le monde naturel d’aujourd’hui.
94 Là vous dites: «Eh bien, j’ai vu des périodes,
j’ai lu dans l’histoire où les guerres étaient partout sur la terre.» —
C’est vrai.
95 Mais pas une fois où la terre entière sera
réduite en morceaux, en une seconde, voyez, et d’une telle ampleur.
Alors qu’il aurait fallu des semaines et des heures, et ainsi de suite,
maintenant il faudrait une minute, et peut-être pas autant. Un simple
bouton a pressé, et elle est détruite. C’est tout. Même Cuba peut le
faire. Haïti peut le faire. La moindre petite nation, si elle le veut,
peut anéantir le monde par le feu, et le faire sortir de son orbite,
quand ils voudront. Vous voyez? Ça ne prend qu’un seul fanatique pour
le faire, quand il y en a des dizaines de billions d’entre eux autour
du monde.
96 Surveillez le cas d’un suicide qui s’est produit
là, et parmi eux, et le diable l’a tellement pris en sa possession, là
où sont les hangars; il n’aurait eu qu’à presser un bouton, et vlam!
les voilà parties. Et aussitôt qu’elles partent, elles entrent dans les
écrans-radars des autres, et ils pressent les leurs. Et c’est là où
nous sommes, vous voyez, c’est tout. Parce que chacun surveille son
écran; sur les mers, des sous-marins; dans les îles, partout, ils sont
établis; au Pôle Nord, au Pôle Sud, partout, il y a de ces grands
écrans. Que quelqu’un appuie sur le bouton, c’est tout ce qu’ils
veulent; aussitôt leur bouton à eux sera pressé, et celui de tous les
autres. Et qu’arrivera-t-il! Mais, oh, pensez, et cela pourrait arriver
avant la fin du service de ce matin.
97 Mais, rappelez-vous qu’avant que cela n’arrive,
Dieu a promis de venir pour Son Église. Il a promis de venir, et nous
ne connaissons pas l’heure de Sa venue. Quelle chose glorieuse! Et Il
apparaîtra à tous ceux qui aiment Son avènement. N’aimeriez-vous pas Le
voir ce matin? — [Amen.] Comme nous chantons ce petit chant, Je désire
Le voir, Le voir face à face, Et chanter pour toujours Sa divine grâce.
Quand toute vie sera terminée, et que les troubles et les peines auront
pris leur envol pour la dernière fois, nous Le verrons. Et là nous
serons jeunes, immortels, à jamais en Sa Présence, où il n’y aura
jamais plus de péché, de maladie, de chagrin, de peine. Quand le temps
fondra dans l’éternité, quelle chose merveilleuse!
98 Et puis, qu’est-ce que cela vous pousse à faire?
Vous voulez travailler à amener chacun dans cette position, tous ceux
que vous pouvez, pour l’Enlèvement.
99 Je me suis reconsacré, et j’ai promis à Dieu que
j’essaierais de faire une double portion. J’ai fait tout ce que je
savais faire. Et je souhaiterais seulement être de nouveau jeune, avoir
dix-huit, vingt ans, et savoir ce que je sais; je resterais peut-être
un peu plus longtemps ou je rendrais un peu plus de visites, ou quelque
chose comme cela, pour le Royaume de Dieu.
100 Vous les jeunes gens, ce matin, qui avez encore
toute votre jeunesse, et qui n’êtes pas pris par la famille et ces
choses-là, puisse Dieu vous montrer la vision aujourd’hui, pour voir
l’heure qu’il est.
101 L’incertitude. Survolons quelques points
d’incertitude, en ce temps d’incertitude. Étant donné que l’on parle de
guerre, il y a de l’incertitude dans la voix des seigneurs de la
guerre. «Nous ne pouvons pas comprendre» disent-ils. Ils ne savent pas.
Ils auront d’importants meetings, et ainsi de suite, et ne pourront
s’entendre. Il y a de l’incertitude. Ils ne sont pas sûrs. Ils ne
savent pas ce qui va se passer. Tous les grands stratèges, et ainsi de
suite, qui étudient les guerres, et les possibilités de guerres, et
comment celles-ci seraient provoquées, ils n’ont pas la réponse, ce
matin. Il n’y a personne qui le sait. Ils ne pourraient pas vous le
dire.
102 Eh bien, la science, après toutes les grandes
découvertes qu’ils ont pu imaginer, toutes les grandes stratégies
qu’ils ont pu envisager, toutes les manœuvres scientifiques, et les
interrupteurs qu’ils ont pu abaisser, de leurs appareils scientifiques,
et leurs grands penseurs, et quand ils se sont réunis, ils ont dit une
chose: «Il est minuit moins trois.» C’est leur réponse.
103 «Pourrions-nous survivre à une telle attaque?
Pourrions-nous creuser assez profond, pour nous garder de l’explosion
des bombes, et survivre comme nation?» — Vous ne le pourriez
certainement pas. Ça remuera la terre jusqu’à deux kilomètres de
profondeur. «Et si on était à quinze kilomètres sous la terre?» — Si
vous étiez à cette profondeur, vous seriez dans la lave. Si vous
pouviez descendre à cette profondeur, la secousse briserait tous les os
de votre corps. Il n’y a pas de sortie, par le bas.
104 La sortie est par le haut! Oh, je suis si
heureux d’avoir la solution. Pas vous? — [Amen.] Un Son qui est certain!
105 Cette trompette, de creuser et de s’enfermer
dans des cavernes… Et j’ai entendu qu’ils déplacent ici le gouvernement
et les choses qui lui appartiennent près de Fort Knox et près de
Mammoth Cave, et qu’ils ont un endroit, là qu’ils préparent. Si une
petite dispute survient, d’une guerre ou de quelque chose, ils vont
prendre le gouvernement à l’intérieur de ces cavernes. La Bible ne
dit-elle pas clairement qu’ils se cacheraient dans les cavernes et
tout, qu’ils feraient ces choses? Exactement. Voyez, ils n’ont pas de
solution. Donc, notre grand régime de force militaire n’a pas de
solution.
106 Autrefois notre science aimait dire: «Nous
pouvons fabriquer une grosse machine. Nous avons de meilleures armes
que les Allemands. Nous avons des gens qui ont beaucoup plus de cran et
de pouvoir, et de dynamisme et de joueurs de tambours, et de sonnerie
de clairon et de drapeaux flottants, et de hourras, et toutes ces
choses-là. Ou bien nous pouvons traverser l’océan! Et on a tout ce
qu’il faut derrière nous, pour le faire.» Vous n’avez pas à traverser
l’océan. Cette fois-ci on va l’avoir sur notre territoire. Oui.
107 Un seul homme a à presser le bouton, c’est tout
ce qu’il faut. Un seul homme. Ça ne prend pas un millier de soldats
bien entraînés. Un seul homme sans jugement suffit, possédé du diable,
pour presser ce bouton. Et c’est suffisant, voyez.
108 Donc, ils n’ont pas de solution; aussi, à quoi
ont-ils finalement conclus? «Eh bien, il est minuit moins trois
minutes.»
109 J’ai le film qui en parle. Je l’ai emprunté d’un
ami médecin. Minuit moins trois. Ce film a été réalisé il y a environ
cinq ans, quand les Juifs ont commencé à rentrer en Palestine. Et ce
film les montre transportant des vieillards infirmes sur leur dos, à
pied. Et ils les ont interviewés. Et quand ils leur ont demandé: «Vous
retournez dans votre patrie, mourir dans votre patrie?»
110 Ils ont répondu: «Nous revenons pour voir le
Messie.» — Et qu’est-ce que le prophète promet?
111 Plusieurs d’entre vous ont lu le magazine Look,
le Life et les autres. Ils ont la photo de ces avions qui les ramènent
des différents pays; de l’Iran, et de ces endroits où ils étaient. Et
quand est venu le temps pour eux de s’embarquer… Voyez savez, ils
labourent encore avec de vieilles charrues de bois, comme ils le
faisaient il y a deux mille cinq cents ans, lors de leur dispersion par
l’Empire romain. Et ils refusaient d’embarquer sur ces avions.
112 Mais leur vieux sacrificateur, un de leurs vieux
rabbins, un enseignant, a pris les devants et leur a dit: «Dieu ne nous
a-t-Il pas dit qu’un jour nous reviendrions dans notre patrie sur les
ailes d’un aigle?» Ils ont abandonné leurs charrues, ont pris l’avion,
et sont retournés dans leur patrie, sur des ailes. Ésaïe l’a vu, mais
ils ne savaient pas comment nommer cela. Ça ressemblait simplement à un
oiseau qui volait. Il a vu Israël revenir, agité de côté et d’autre. Et
vous qui voyagez par avion, vous savez ce que c’est. C’est une
agitation, de côté et d’autre, comme un oiseau qui vole, qui revient à
la maison.
113 Ils sont ensuite débarqués, et ont dit: «Où est
le Messie?» Ils ont voulu Le voir. Et je vais vous dire, quand vous
voyez les Juifs revenir comme cela, c’est l’horloge de Dieu. Nous
sommes à la fin.
114 C’est tout récemment devenu une nation, c’est
devenu tout ce qu’ils sont. Ils ont leur monnaie, leur armée, et tout;
ce qu’ils ont est à eux. Ils sont de nouveau une nation. Voyez? Oh!
rien qu’à la pensée! J’ai quelques citations là-dessus, que je vous
donnerai un peu plus loin.
115 Incertitude maintenant de la guerre, on ne sait
à quelle heure. Écoutez la radio. Vous les entendez dire à la radio:
«Amassez des vivres dans vos sous-sols. Faites suffisamment de
provisions d’eau, à cause des retombés. Ayez avec vous une radio, et ne
vous en faites plus.» J’ai lu dans des magazines qu’ils font l’annonce
de petits abris où vous pourriez vous cacher, que vous pouvez mettre
dans votre sous-sol ou votre cour, ou ailleurs. Si les bombes
commençaient à tomber et que vous en surviviez, les retombés atomiques,
elles, auraient raison de vous; donc, aussi bien ne pas vous en faire.
S’ils laissent tomber une bombe sur la Nouvelle-Orléans, les retombés
vont nous atteindre ici. À quoi bon, donc, vous mourrez de toute façon.
«Abritez-vous, comme ça vous vivrez un peu plus longtemps», ou des
choses comme ça. Oh là là! Je ne crois même pas ça. Je crois que c’est
de la folie même d’essayer. C’est exact.
116 Mais l’Église n’a pas à s’en faire. Vous ne
serez pas ici quand ces choses vont arriver, de toute façon. C’est là
une chose assurée. Vous n’y serez pas. Parce que la certitude de la
Parole de Dieu nous le promet.
117 Prenons maintenant quelque chose d’autre qui est
incertain, plusieurs autres choses. Les emplois sont incertains. Vous
ne savez pas quand ça peut arriver. Aujourd’hui vous travaillez, et
demain vous ne savez pas. C’est une incertitude. Vous avez un bon
emploi, du moins c’est ce que vous pensez, et le lendemain, le patron
vous remplace par un autre, et vous, vous êtes mis à la porte. Donc,
c’est l’incertitude de l’emploi.
118 Prenons aussi la vie familiale comme
incertitude. Je vous le dis, je ne sais pas ce qui est arrivé à la
nature de nos femmes. Le divorce, partout. C’est épouvantable. Et voyez
quel est le groupe le plus touché. Ce sont des jeunes qui se marient et
qui ont deux ou trois enfants, ou quelque chose comme cela. Puis ils
vont se séparer, partir et se remarier, et se remarier, et se remarier,
et se remarier, et se remarier. Et leurs foyers?
119 J’étais chez des gens vraiment vraiment pauvres
l’autre soir. L’homme m’a dit: «Je vais vous dire, je ne sais pas du
tout ce que je vais faire pour arriver.»
120 J’ai regardé autour de moi. Il revenait du
travail. Il avait une femme loyale comme tout, et quatre ou cinq petits
visages sales qui jouaient dans la pièce. J’ai dit: «Mais tu es un
millionnaire.»
121 Et il a dit: «Hon! frère Branham, je ne voudrais
pas vous contrarier, mais je n’ai pas un sou!»
122 Et j’ai dit: «Mais tu as quelque chose que
l’argent ne peut pas acheter.» J’ai dit: «Tu as une petite femme, ici,
qui ne possède peut-être pas deux robes à elle.» Et si c’était le cas,
c’est que quelqu’un les lui avait données, parce que son mari ne
travaillait qu’une journée par-çi par-là. Et j’ai dit: «Regarde, mais
elle est d’une loyauté exemplaire.» J’ai dit: «Il y a plus d’un
millionnaire, ce soir, qui donneraient tout l’argent qu’ils ont pour
trouver à la maison à leur retour une femme comme elle.» C’est exact.
J’ai dit: «Sa femme est sortie, est avec d’autres hommes quelque part,
ou dans un bar quelconque; elle jure, chante, fume, court, et des
choses comme celles-là. Et pourtant il l’aime, mais vois ce qu’il a.
Toute sa vie est pour cette femme, et vois sa façon de se conduire.» Et
vice versa. C’est pareil.
123 Le temps est maintenant arrivé où tout n’est
plus qu’une agglomération de péchés. Une femme restera à la maison,
pour prendre soin de ses enfants, tandis que son mari sera à
l’extérieur, à boire et à se malmener, à courir d’autres femmes. Que
donnerait-elle, si elle possédait des millions de dollars, pour voir
son mari devenir véritablement un homme? Il n’y a qu’une seule façon
pour que cela se produise: Jésus-Christ est la solution. Il n’y a rien
d’autre qui puisse jamais suffire. C’est à la fin du temps. C’est
Christ, et Lui seul.
124 J’ai donc dit: «Combien de pères millionnaires
sur cette terre, aujourd’hui, donneraient tout ce qu’ils ont pour voir
leur enfant épileptique être tout aussi en santé qu’est le vôtre ici ce
soir? Voyez? Il a commencé à me regarder droit dans les yeux.
125 J’ai dit: «Regarde, de l’argent que tu as retiré
cet après-midi, tu as dit avoir des viandes froides, des fèves et du
pain pour nourrir tes enfants ce soir.» J’ai dit: «Ils ont tous de bons
estomacs, et peuvent en manger. Et toi aussi.
126 «Dis-moi, John D. Rockefeller n’a-t-il pas dit
qu’il donnerait sans broncher un million de dollars pour pouvoir manger
un plat de chou?» Et j’ai ajouté: «Tu as dit que tu étais près de la
fenêtre, ce matin, et que tu sentais la froideur du vent par les
fentes. Lui est assis dans un palais quelque part, tu vois. Mais
cependant, s’il pouvait s’asseoir là et manger un plat de chou, dans ce
vent froid, bouchée par du papier, j’ai dit, John D. Rockefeller aurait
donné un million de dollars pour pouvoir manger une fois ce que tu
manges quand bon te semble.
127 «Combien d’aveugles, avec une canne à la main,
donneraient tout l’argent qu’ils ont pour avoir tes yeux?» Voyez, on ne
peut évaluer les choses qui valent une richesse par les choses qu’on
appelle la richesse.
128 Maintenant, pardonnez-moi, membres d’église,
c’est pourquoi nous essayons de dire, ce matin, que vous ne pouvez
évaluer votre grosse église et vos hauts clochers, et ces choses, à
l’amour de Dieu qui est dans nos cœurs, par le Saint-Esprit. C’est sans
comparaison! Ces choses viennent de façon surnaturelle. Vous pensez
peut-être que nous sommes bizarres parce que vous les avez entendus
parler en langues et interpréter, et les gens pleurent et poussent des
cris. Je préférerais avoir ça que tout le reste. Je préférerais être un
pasteur d’une petite bâtisse comme celle-ci, où la puissance de Dieu se
mêle aux gens, où l’Église se rassemble avec ces choses en son sein,
que d’avoir la plus grande cathédrale du monde où y prêcher, parmi une
bande de tièdes, qui se disent chrétiens, et qui surveillent tous les
mots que vous dites. Et vous ne pouvez prêcher par inspiration. Cela
doit être superficiel, et il faut prendre soin de tous les juges et les
docteurs et tout ce qui s’y trouve, pour ne pas dire des choses qui
blesseraient leurs sentiments, parce que ce sont de bons payeurs dans
l’église. Je prendrai le chemin des quelques méprisés du Seigneur.
Voyez? Vous ne pouvez pas évaluer cela. Il n’y a pas de façon de le
faire.
129 Aussi, aujourd’hui, l’homme qui est riche est
l’homme qui est en Christ. Maintenant, disons que vous avez une bonne
vue, une bonne santé, beaucoup d’argent et tout le reste, mais si vous
n’avez pas Christ, vous êtes perdu. Vous êtes pauvre, misérable,
aveugle et nu, et vous ne le savez pas, voyez. C’est ce qu’était l’âge
de l’église de Laodicée. Vous pourriez appartenir à la plus grande
église qu’il y a dans la nation, vous pourriez appartenir à la plus
large dénomination, mais être néanmoins aussi perdu qu’il est possible
de l’être. Voyez? Donc, l’homme riche est celui qui est en Christ.
C’est exact.
130 Maintenant, l’incertitude de la vie familiale,
l’incertitude de l’emploi, l’incertitude de la guerre, l’incertitude
des églises.
131 Étant donné que l’on vient de toucher à cela,
parlons-en donc pendant quelques minutes, de l’incertitude de la vie
d’église. Vous ne pouvez à peine l’évaluer; parce qu’il n’y a aucune
manière d’évaluer ce qu’est une expérience dans le Saint-Esprit, à un
membre d’une église. Voyez? D’aucune manière. Il n’y a aucune manière
d’acheter ce Saint-Esprit. Il vient comme un don gratuit de Dieu. Il
vient à tous ceux qui veulent.
Vous dites: «Est-ce que ce sera seulement pour la
Pentecôte?»
132 La Pentecôte n’est pas une dénomination. C’est
ce qu’ils ont essayé d’en faire, mais vous ne pouvez pas faire de Dieu
une dénomination. La Pentecôte est une expérience que tout croyant peut
avoir. Voyez? C’est pour les baptistes, les catholiques, les juifs; les
noirs, les blancs, les bruns, les jaunes, les rouges; pour toutes
couleurs, credos, ou tout; riche ou pauvre, avec rien ou avec beaucoup;
pour qui que ce soit. Pour vous, c’est pour vous.
133 Et c’est l’amour et la miséricorde de Dieu
répartis pour vous, de l’accepter. Ça ne vous coûte rien. Tout ce que
cela vous coûte, c’est de Lui soumettre votre vie et de Le recevoir.
Comme c’est simple! Oubliez seulement tout ce que vous avez jamais su,
et abandonnez-vous à Lui. Et c’est de la manière qu’Il vient, quand on
Le reçoit de cette manière.
134 Les dénominations, ça ne peut être ça. La
dénomination donne un son confus. Laissez-moi vous démontrer que c’est
un son confus. Dans cette dénomination, ils disent: «Nous L’avons reçu.
Les autres ne L’ont pas.» Très bien, allez-y. Vous allez à l’autre, ils
disent: «Nous L’avons. Les autres ne L’ont pas.» Vous voyez, chacune
d’elles le prétend! Il y a neuf cents différentes églises nominales.
Neuf cent soixante-neuf, je crois, pour être exact, selon les
statistiques. Neuf cent soixante-neuf différentes églises nominales, et
chacune déclare que l’autre est dans l’erreur et qu’eux l’ont. Donc,
comme son, c’est tout ce qu’il y a de plus confus. Voyez, neuf cent et…
135 Mais quel en est le son? — Jésus-Christ le même
hier, aujourd’hui et éternellement? [La congrégation se réjouit. —
N.D.É.] Y a pas d’incertitude en cela, n’est-ce pas? [Non.] C’est le
moyen de l’évaluer. C’est le moyen d’évaluer où se trouve la vérité.
136 Vous dites: «Nous les méthodistes, nous L’avons.
Nous les baptistes, nous L’avons. Nous les catholiques, nous L’avons.
Nous les presbytériens, nous L’avons.»
137 Eh bien, Jésus-Christ est Celui qui l’a, parce
qu’Il a dit: «Je suis la lumière, la vérité, le chemin.» Donc, c’est
Christ en vous.
138 Donc ces différentes grandes dénominations
certainement sont différentes entre elles et rendent un son très
douteux. Et tout ce qui est incertain comme cela est aussi douteux.
Tout ce qui est confus est douteux. Ce n’est pas simplement en vous
joignant à une église que vous pouvez dire que vous êtes en sécurité.
Parce que chacune donne un son différent, et où va-t-on comme ça? Cela
vous rend confus. Si jamais il y a un endroit que je connaisse… J’ai
souvent mentionné ceci, et je le répète à nouveau ce matin: L’endroit
où l’on a le plus besoin de missionnaires, c’est bien aux États-Unis.
Qu’est-ce qu’un païen? Un païen, c’est un «incroyant».
139 Et maintenant, on a en Afrique et en Thaïlande,
et en différentes parties du monde, on a le païen qui adore une idole.
Et on l’appelle païen parce qu’il adore une idole. Il ne fait pas de
différence entre sa droite et sa gauche, il ne connaît pas son ABC.
Lui, la seule chose qu’il connaisse, c’est de ce dieu dont un sorcier
lui a parlé; et pour lui, c’est là où se trouve Dieu, en ces choses. Et
la seule chose qu’il sache faire, c’est de se trouver de quoi manger,
peu importe la manière qu’il se l’approprie. C’est là ce que nous
appelons un païen. Mais, maintenant, cet homme n’est pas si difficile à
convaincre quand vous lui apportez la vérité.
140 Mais le plus difficile à convaincre est ce païen
instruit, vous voyez, ce païen d’ici, des États-Unis, qui est diplômé
quatre fois du collège et qui se tient derrière une chaire, un
incroyant.
141 Dites: «Eh bien, on a tenu un service l’autre
jour, et le Seigneur a guéri une dame.
142 «Huh-huh!» dira-t-il. C’est un païen. Il n’est
qu’un païen instruit. Un païen, c’est un incroyant.
143 Avant hier, alors que j’étais au bureau, il y
avait un groupe de personnes, dont quelques-uns sont ici en ce moment,
quand une dame est arrivée en voiture dans la cour avant. Il y avait
cinq ou six personnes à l’intérieur, et une dame est arrivée, au volant
d’une roulotte-mobile. Un homme est venu à ma porte, et a dit: «Frère
Branham, je n’aime pas passer outre à cette indication, mais on passait
et on voulait vous dire que…»
J’ai dit: «Entrez.»
144 «Non, a-t-il dit, ma femme veut simplement
témoigner, vous raconter ce qui lui est arrivé.» Eh bien, de fait, elle
était une bonne amie de sœur Mercier et de la mère de frère Leo, ici,
un de nos frères de l’église, un de ceux qui enregistrent.
145 Et il y a huit ou dix ans, j’étais quelque part
dans l’Est, et une femme était venue sur l’estrade pour qu’on prie pour
elle. Le Saint-Esprit a dit: «Vous êtes Madame une telle, et vous venez
d’une certaine ville. Vous souffrez de telle et telle chose.»
Oui, c’était l’exacte vérité.
146 Ensuite Il a dit: «Vous avez une amie qui vit en
Californie; elle est une amie précieuse. Et cette femme est mourante,
d’un cancer du rein.»
Elle a dit: «Y a rien de plus vrai, frère Branham.»
147 C’est le Saint-Esprit qui révélait les secrets
du cœur, vous voyez. Cela aurait dû faire tomber sur leur face le
peuple américain, en disant: «Oh! Dieu!» Voyez, c’est ce que ça devrait
faire.
148 Mais, oh, ce sont des païens instruits. C’est la
sorte qu’il est difficile de convaincre. Voyez, il est si intelligent,
il en sait plus que Dieu Lui-même. C’est aussi pourquoi il hybride le
maïs, hybride les animaux et tout. Voyez-vous ce qu’il fait de
lui-même? Revenant tout droit, faisant simplement, eh bien, un rejeton
de lui-même, c’est vrai, en faisant ces choses. Avec tout le savoir de
leur pensée, de leur esprit, ils se tirent d’affaire.
149 Maintenant nous remarquons que cette femme a
dit: «Oui, c’est exact.» [Coupure sur la bande. — NDT] …jusqu’à ce que
ça atteigne, je crois l’avoir entendu dire, quarante-cinq ou
soixante-cinq centimètres. Et elle était si grosse, qu’elle ne pouvait
rester debout, avec cette tumeur. Quand elle voulait se lever, elle ne
pouvait pas bouger.
150 Et ils l’ont emmenée à cette église, et l’ont
assise là. Ils l’y ont emmenée le soir suivant le service de guérison
du matin. Les frères lui avaient dit que nous n’allions pas prier pour
les malades ce soir-là, parce que nous avions prié pour les malades le
matin. Et ils ne voulaient pas mettre trop de pression sur moi ce même
jour. Et, donc, après le service, j’étais là, en train de parler à
quelques personnes, et un homme l’a prise et l’a portée près de la
maison, et il l’a assise sur la marche comme les gens sortaient. Elle
était assise là; l’homme l’y avait amenée.
151 Et frère Taylor, l’un de nos précieux frères de
l’église, se trouvait là quand cela s’est produit; et je crois même
qu’il l’a aidé à porter la femme. Es-tu ici, frère Taylor? où es-tu? À
l’arrière, oui, là. Il y était, et l’a aidé à la porter à l’arrière.
152 Et la tumeur se voyait, comme ceci. Donc, quand
j’ai franchi la porte arrière, j’ai baissé les yeux et l’ai regardée;
j’ai dit: «Femme, le Seigneur Jésus, qui vous a guérie de ce cancer du
rein il y a plusieurs années, vous guérira aussi de cette tumeur. AINSI
DIT LE SEIGNEUR.» Je ne l’ai jamais touchée, ou rien de cela. Je me
suis dirigé vers ma voiture, et m’en suis allé. Je suis parti.
Il a dit: «Sortiriez-vous la voir.»
J’ai dit: «Oui, certainement. Dites-lui d’entrer.»
Il a répondu: «Non, nous n’avons pas le temps. Il
nous faut partir tout de suite.»
153 Je suis sorti. Et la petite femme est sortie
d’un bond de la voiture, aussi plate du ventre que je peux l’être. Elle
avait eu un temps béni sur la route, parlant en langue, et criant à
tue-tête, en face du pasteur presbytérien; elle avait un temps béni.
154 Bon, il y a sûrement des voisins qui ont regardé
par la fenêtre et qui ont pensé: «Ça alors, ça doit être quelqu’un de
l’Institut de psychiatrie venu voir frère Branham pour une prière.»
Cette femme ne sortait pas d’une institution psychiatrique. Son âme
revenait de la gloire, voyez, elle avait un temps béni.
155 Elle a dit: «Regardez ici, frère Branham.» Elle
a ouvert son manteau, et cette proéminence ne se voyait plus. Elle a
dit: «Les premiers deux ou trois mois après que vous m’ayez dit ces
choses, j’étais dans un très mauvais état.» Elle a dit: «Le docteur a
dit qu’il n’allait rien tenter de plus si je ne lui permettais pas
d’essayer d’extraire cette tumeur de moi.»
156 Combien a-t-elle dit que ça pesait? Près de
quatorze kilos, frère, frère Taylor? [C’est ça.] Ils ont estimé la
tumeur à près de quatorze kilos.
157 Et elle a dit: «Tout à coup, ça a commencé à
faire ‘Shuu, shuu, shuu, sh’.» Oh, Il tient Sa Parole! Tout à fait.
158 Pour ceux qui aimeraient lui écrire, nous avons
son adresse et tout. Elle l’a laissée à Leo, et pour qu’il salue sa
mère pour elle.
159 Et de fait, son frère à elle a marié une amie à
moi, d’ici, à Utica. La fille était là. Son nom est Clyde Raines. Je
connais beaucoup de… il y a beaucoup de… On l’appelle Chisel. On jouait
ensemble quand on était jeunes. Il vit ici à Utica Pike; il est une
sorte d’officier d’état là-bas.
160 Et sa sœur se trouvait dans la voiture. Et ils
vont, je pense, à l’église cambelliste. Je me demande bien quelle
impression cela a eu sur elle? Elle a dit: «Billy, c’est
extraordinaire.» Je connaissais personnellement la fille. Nous sommes
sortis ensemble à quelques reprises, quand nous étions jeunes, quand
nous restions ici sur la route. Une très bonne fille, des plus
gentille. Elle a maintenant presque mon âge. Et donc, elle écoutait ce
témoignage, tout bonnement. Et c’était la sœur de son mari qui avait
été guérie.
161 Oh, je vais vous dire, frères, il n’y a pas
d’incertitude à ce sujet. C’est vrai. C'est la Parole de Dieu. C’est ce
qui rend la chose vraie.
162 Tout ce qui est incertain n’est pas digne de
confiance. Et même encore aujourd’hui, quand ils ne sont pas certains
que Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement, laissez cela
de côté.
163 C’est possible d’être certain. Vous pouvez être
sûr, même s’Il n’accomplissait jamais plus d’autre miracle pour vous
que le grand miracle, celui de vous pardonner vos péchés. C’est le plus
grand miracle que Dieu ait jamais accompli, de pardonner à l’homme ses
péchés.
164 Prenez un homme et convertissez-le des choses,
voyez, qui change son être le plus profond de ces choses. Auparavant il
buvait et gageait, agissait mal et des choses comme ça. Et, du jour au
lendemain, il fait demi-tour et revient à l’amour, revient à sa femme,
et dit: «Ma chérie, je suis désolé de t’avoir ainsi traitée.» Il prend
ses enfants dans ses bras et leur dit: «Papa dépensait tout son argent
à du whisky, et papa a fait ceci. Et maman s’est absentée toute la
soirée et vous a laissés. Je ne le referai jamais plus. Dieu m’a
pardonné.» Et ce témoignage est l’un des plus grands témoignages qu’il
y ait. Tous les Alcooliques Anonymes, et tous ces mouvements ne peuvent
jamais transformer comme cela le peut. Ça ne peut rien pour la personne.
165 Voyez Rosella Griffith, ici, elle est assise là,
quand tous les mouvements anonymes de Chicago, quatre des grands
hôpitaux et leur personnel médical l’eurent laissée tomber; l’espace
d’un moment, sur l’estrade, a changé ce plus que semblant de femme qui
se tenait là. Elle portait un manteau coupé comme ceci, un manteau de
vison, que sa mère lui avait acheté. C’était une femme intelligente.
Elle gardait ses bouteilles de whisky dans son manteau. Elle craignait
de tomber dans la rue et de geler là avant que quelqu’un ne la trouve.
Debout, là, quand tous les Alcooliques Anomymes et tous les autres
n’eurent plus su quoi en faire. Elle est en train d’écrire un livre
là-dessus.
166 Elle s’est avancée à l’estrade. Le Saint-Esprit
lui a dit: «Ton nom est Rosella Griffith.» Il n’y a aucune incertitude
en cela, voyez. «Tu es une alcoolique. Tu es allée chez les Alcooliques
Anonymes, et tout. Mais, AINSI DIT LE SEIGNEUR, c’est terminé
maintenant.»
167 Et cette autre femme, qui était assise au
balcon, la partenaire de danse de Fred Astaire, s’est levée d’un bond.
Le Saint-Esprit a dit: «C’est exact. Elle est, elle aussi, une
alcoolique, et une droguée. Elle est recherchée en ce moment.»
Et son père s’est levé, et a dit: «C’est assez, là!»
Elle a repris: «Attendez un instant, papa. L’homme a
raison.»
168 Il n’y a pas d’incertitude en cela. «AINSI DIT
LE SEIGNEUR, vous êtes guérie. Abandonnez-vous.» Elle est maintenant
sur les champs missionnaires avec son mari, prêchant l’Évangile. Oh là
là!
169 Qu’est-ce que c’est? Jésus-Christ le même hier,
aujourd’hui et éternellement. En ces jours où la dénomination en donne
une incertitude, pourquoi écouterions-nous une église nominale, quand
Christ demeure le même? Il n’y a pas d’incertitude en cela, c’est
certain à tout coup. Maintenant, la Bible, nous savons que la Bible dit
ici, que si…
170 Tout ce qui est mort rend un son. Une chose
morte, des églises mortes, ou quoi encore, rendent des sons. Mais à
moins qu’il n’y ait une distinction dans le son, à moins qu’il n’y ait
quelque façon d’en être certain…
171 J’ai des Écritures d’écrites ici concernant les
soldats. Oui. Les soldats peuvent, lors de l’entraînement, différencier
ces clairons. Quelques-uns sonnent la retraite, ou les appellent au
boulot, et tout. Ils sont formés au son des clairons. Et s’ils ne
connaissent pas le son de ces clairons, comment vont-ils se préparer?
C’est exact. Mais ils sont préparés à répondre à ce clairon. Et ils
savent, quand ce son retentit, ce qu’il signifie.
172 Comment, quand Titus a assiégé les murs de
Jérusalem, quand il l’a investie par les armées, tous ces soldats bien
entraînés… Ces disciples, ce que les historiens en écrivent.
173 Jésus, sur le mont, ce jour-là, a dit: «Quand
vous verrez Jérusalem investie par les armées, que celui qui est dans
les champs ne retourne pas à la maison pour prendre son manteau; que
celui qui est dans la maison ne monte pas sur le toit, ou en descende,
mais fuyez dans les montagnes, car il y aura un temps de détresse.»
174 Maintenant, regardez ce que toutes les grandes
églises confessionnelles ont dit quand elles ont vu Titus marcher sur
eux: «Nous devrions monter à la maison du Seigneur, offrir nos
prières.» C’était trop tard.
175 C’était un son confus, pour le sacrificateur.
C’était un son confus, pour l’église. Mais pour ceux qui avaient été
entraînés à la voix de Jésus, ils se sont enfuis dans les montagnes
aussi vite qu’ils l’ont pu. Et ce sont les seuls qui ont survécu.
«Sortez de la ville.» Là, si Jésus ne leur en avait pas parlé ni donné
instruction, ce son de préparation, comment auraient-ils su qu’il
fallait s’enfuir?
176 Maintenant, Josephus, le grand historien, a dit:
«Les seuls à avoir survécus ont été les disciples du Christ, qui
étaient des cannibales.» — Un des historiens a dit qu’ils étaient des
cannibales. Il a dit: «Ils prirent un homme appelé Jésus de Nazareth,
que Pilate avait crucifié, et ils ont volé son corps du sépulcre, l’ont
tranché et l’ont mangé.»
177 Ce qu’ils faisaient, c’est qu’ils prenaient la
communion (le corps du Seigneur, vous savez), comme nous le faisons ici.
178 Et il a dit: «Ils ont été les seuls à survivre,
parce qu’ils sont sortis de la ville.» Ils connaissaient le Son.
179 Oh, frère, puisse le Saint-Esprit venir en nos
cœurs, ce matin, nous donner le son du battement du cœur du
Saint-Esprit et de Sa puissance. Seulement cela pourra survivre: le
retentissement de la trompette de Dieu et nos cœurs préparés à cette
heure indiqueront ce qu’il faut faire.
180 «Nous qui sommes vivants et qui serons restés,
nous ne devancerons pas ou ne nuirons pas à ceux qui sont endormis, car
la trompette retentira.» Tous ces soldats dans leur tombe, endormis, à
travers les siècles, mais quand la trompette retentira… Bien qu’ils
soient endormis, cela ne les retiendra pas, car la trompette retentira
et les réveillera. Ils sont prêts!
181 Ceux qui ne sont pas prêts ne connaissent pas le
son. Quand ce Son, de la venue du Seigneur retentira, il secouera le
Ciel et l’enfer. Mais ceux qui sont en enfer, ceux qui sont perdus, ne
connaissent pas ce Son. Ils ne savent pas quoi faire.
182 Mais pour les autres, bien qu’endormis en
Christ, ils connaissent ce Son certain!
Oh, la trompette du Seigneur retentira,
Et le temps cessera,
Et ce sera un matin éternel, de lumière et de justice,
Quand les sauvés de la terre se réuniront
À leur maison au-delà du ciel,
Et quand la liste sera appelé
Je veux y être.
183 Mettez aujourd’hui votre nom dans le Livre de
Vie de l’Agneau, par le Sang du Seigneur Jésus, et ce ne sera pas un
son incertain.
184 Maintenant nous entendons venir le bruit des
troubles: des bombes atomiques en attente partout, de la détresse entre
les nations, de la perplexité du temps. Pourquoi s’inquiéter de nos
emplois? Pourquoi s’inquiéter de nos foyers? Pourquoi s’inquiéter de
toute autre chose?
185 Jésus ne nous a jamais dit de nous inquiéter,
mais Il a dit: «Quand vous verrez ces choses commencer à arriver, levez
votre tête et réjouissez-vous, car votre rédemption est proche.» C’est
la certitude du son de l’Évangile.
186 Quand nous voyons le Saint-Esprit venir dans
l’église, commencer à discerner les pensées des cœurs, accomplir ces
grands signes et renvoyer l’Esprit au temps du soir, quand les Lumières
étincellent, nous Le voyons venir faire la chose même qu’Il a faite à
Sodome, avant que ça ne brûle. Voyez cet Ange, le dos tourné, dire:
«Pourquoi Sara a-t-elle ri?», derrière Lui. Jésus a dit: «Comme il en
était aux jours de Sodome, ainsi en sera-t-il à la venue du Fils de
l’homme.» Qu’est-ce? — C’est le retentissement de la venue du Seigneur
Jésus.
187 «Voici, Je vous enverrai Élie, le prophète,
avant que ce jour grand et redoutable ne détruise le monde. Il ramènera
le cœur des enfants à la foi originelle, à l’Évangile, à la puissance
de Dieu, au vrai Saint-Esprit, à Christ à nouveau, avant que le jour
terrible ne vienne.»
188 Nous entendons le retentissement de la
trompette. Oh là là! Qu’est-ce à dire? — Réveillez-vous, saints du
Seigneur, pourquoi sommeiller quand la fin est si proche; soyons prêts
pour cet appel final. S’il donne un son incertain, qui se préparera au
combat, si c’est confus? Mais ce ne l’est pas.
189 Les gens disent: «Quelle est cette histoire dont
ils parlent, le Saint-Esprit qui lit les pensées mêmes des gens et les
choses qu’ils font?» C’est là la certitude du son de l’Évangile. Christ
a dit que c’est ce qu’on verrait.
190 «Eh bien, pourquoi toutes ces grandes églises
sont-elles là?» Christ a dit qu’il en serait ainsi. Ce n’est pas
incertain. C’en est la certitude. Nous venons de passer huit jours
consécutifs là-dessus, pour savoir que la Bible dit strictement que
cette chose ira en ce sens. De grandes dénominations se lèveront, elles
se formeront toutes dans une confédération d’églises; c’est ce que nous
avons. Faisant une image à la bête, la hiérarchie catholique. C’est
déjà là, une confédération, chaque dénomination y est. Ce n’est pas un
son incertain. Cela donne un vrai son. C’est un son certain.
191 «Nous avons mis une grande confiance en nos
Nations Unies.» Eh bien, ça ne vaut pas plus que ce qu’était la ligue
des Nations; c’est du pareil. Nous avions une ligue des Nations, après
la Première Guerre mondiale. Ils allaient être les gardiens du monde
entier. Ça n’a pas marché. Ce que disent maintenant les Nations Unies
est si incertain; ils ne savent pas de quel côté se tourner. Krushchev
aurait enlevé son soulier et tapé sur le pupitre, et cela a donné quoi
de bon? Et tous les autres. C’est l’incertitude des Nations Unies. Les
Nations Unies sont très bien comme ils sont, mais il est trop tard. Il
est trop tard pour quoi que ce soit du genre.
192 Il n’y a qu’un son qui soit certain, et c’est
l’Évangile. Préparez-vous au combat! Quel combat? — La venue du
Seigneur! Préparez-vous pour le combat contre le mal, alors qu’on le
voit assaillir les gens de toutes parts, alors que tout va mal, que la
vie de famille va mal, que les Nations Unies échouent, que les nations
s’effondrent, que les bombes atomiques nous entourent, que les foyers
se brisent, que la maternité diminue, que l’immoralité est partout, que
la confiance envers les autres manque, et que les dénominations dans
l’ensemble se font des histoires et se mordent. Que ferez-vous? — Soyez
certain, préparez-vous vous-même pour le combat!
193 Quand la télévision devient décadente, et que la
radio et les journaux, toutes les annonces publicitaires, quand tout ne
parle que de cigarettes, de tabac, de whisky, de boisson, de femmes
sexy, de sales blagues, de plaisantins dans des programmes télévisés,
et que les Américains se meurent de ces choses comme lors de la soirée
chez le roi Nebucadnetsar, le soir où il y eut une agitation. Ils
étaient à une partie dansante, où le vin coulait, et leur télévision,
si cela s’était passé en ce jour, leurs plaisantins sont sortis, et là
est apparue une écriture sur la muraille.
194 Et, aujourd’hui, quand nous nous pensions en
parfaite sécurité, — nous avons les meilleurs scientifiques du monde,
nous avons le meilleur de ce qu’il y a dans le monde, — et nous venons
de découvrir que nous sommes loin derrière dans la course aux missiles.
Uh-huh. Et ensuite, qu’est-ce qui est arrivé aux États-Unis? — Pas
seulement une écriture sur la muraille, mais les balistiques des
missiles écrivent dans le ciel que nous sommes loin derrière, des
années derrière. Qu’est-ce qu’il y a? — L’écriture est sur la muraille.
195 Et, en ces jours-là, cela s’est écrit en une
langue inconnue, écrit sur la muraille. Il n’y avait qu’un seul homme
dans tout le royaume qui pouvait l’interpréter. Il avait le don
d’interprétation. Et il a interprété et a dit: «Tu as été pesé dans la
balance et as été trouvé léger.» Dieu vous a envoyé une nation de gens
parmi vous, que vous appelez ‘exaltés’. Vous êtes allés les rencontrer
et les avez déshonorés, mis à mort, et expulsés; et vous avez pris vos
dieux et vos idoles, ces choses, et c’est par ces choses que vous avez
adoré, et vous avez vécu de délices. Maintenant vous êtes allés prendre
les vases mêmes du temple de leur Dieu, et êtes venus faire des farces
sur eux, vous moquer de ‘l‘exalté, du prédicateur chauve’, et ainsi de
suite. Et Dieu en a eu assez de ça! Et l’heure de votre ruine est
proche. La nation même qui allait les prendre attendait à leur porte.
Peu de temps après, ils étaient tués, leurs femmes retranchées. Leurs
gardes, leur armée, et tout, étaient investis. «Pesé dans la balance,
et trouvé léger.»
196 Et notre radio et notre télévision sont remplies
de blagues et de souillure, de fausseté et de méchanceté, que Dieu en a
marre de tout cela. Quand l’Évangile, le véritable Évangile de l’Église
du Saint-Esprit, est prêché de long en large de la nation, démontrant
la certitude de Jésus-Christ et de Sa venue, au point que le temps est
venu où Dieu écrit dans nos cieux: Pesé dans la balance, et trouvé
léger. Amen. Nous sommes dans une situation terrible. Écoutez le Son
certain, pas les Nations Unies incertaines. Oui monsieur.
197 Même que l’autre jour, lors des élections, ils
ont dit que lorsqu’ils ont compté les votes du monde politique, ils
auraient dit… ils ont dit: «Nous avons maintenant un appareil, pour que
tous usent d’honnêteté, parce que vous n’avez qu’à tirer un petit
levier et ça inscrit votre candidat. Vous le rabaissez, ça fait un
petit clic, et ça inscrit votre candidat.» On a découvert que ce n’est
pas une certitude.
198 M. Edgar Hoover l’a exposé, a exposé au grand
jour le Parti démocrate, l’autre jour. Après avoir installé leur
appareil, chaque fois qu’ils votaient pour M. Nixon, ils devaient de
même voter pour M. Kennedy. Et pourquoi n’arrêtent-ils pas cela,
pensez-vous, s’ils ont découvert que ça se passe comme cela? Pourquoi?
— Eh bien, il n’y a pas de certitude à cela. Non. Vous savez ce qui est
arrivé à M. Hoover! Vous voyez, tout ça, tout est incertain. Vous ne
pouvez pas dire qui a vraiment été élu, si c’est Kennedy ou… Kennedy a
été déclaré élu, mais je ne sais pas si vraiment il l’était. Là, je ne
suis pas un politicien, je ne sais rien de la politique. Mais je sais
reconnaître le vrai du faux. J’ai suffisamment de sens pour savoir que
ce n’est pas honnête. Quand c’est devant nous, l’homme a prouvé, par le
F.B.I., qu’ils avaient truqué les appareils. Ce n’est pas l’autre parti
qui l’a fait, mais c’est le parti de Kennedy qui l’a fait. Pourquoi? —
Ça doit être ainsi.
199 Rien en ce monde ne peut tenir en dehors du
Royaume de Dieu, car tout royaume est pesé dans la balance, et trouvé
léger; notre nation. Pourquoi ça?
200 Ici, il n’y a pas si longtemps, on avait un
grand arbre, et j’avais l’habitude d’aller m’y asseoir. Et je me suis
dit: «Cet arbre, quand je serai devenu vieux, si j’y parviens, je vais
venir m’asseoir sous ses branches.» Ce n’est plus qu’un chicot
maintenant. Là où je vivais, j’ai vu mon père sortir et… Il était du
Kentucky, et il faisait de la coupe de bois et ces choses. Un petit
homme, d’environ soixante-cinq, soixante-dix kilos, mais fort. Oh là
là! M. Coots, d’ici, m’a dit l’avoir vu charger un rondin de frêne de
quatre cents kilos, tout seul. C’était vraiment un homme fort. Je le
voyais, il avait l’habitude de se relever les manches pour se laver,
dehors, devant un bout de miroir cassé fixé à un pommier.
201 Et sûrement qu’il y a des gens de l’Indiana qui
ne savent pas comment il nous fallait s’arranger là-bas. On avait un
vieux baril d’eau près de la pompe. Et ma mère avait mis là un vieux
sac, un sac pour la farine, et on l’utilisait comme serviette. Elle
l’avait tant soit peu décoré, en en tirant quelques fils à son
extrémité. Elle me débarbouillait, puis m’essuyait avec cette
serviette. La peau nous arrachait presque. C’était une vieille toile
rugueuse. Elle me lavait et m’essuyait avec ça.
202 Maintenant, je voyais mon père rouler ses
manches et faire sa toilette. Et, oh, je voyais ses muscles! J’ai dit:
«Vous savez, il vivra sûrement cinq cents ans, il est si fort!» Mais
vous savez quoi? — Il est mort, il avait cinquante-deux ans. Pourquoi
ça? — Nous n’avons pas ici-bas de cité permanente.
203 Je me suis trouvé à Rome, où le grand César
s’était tenu, où il avait emprunté ses rues, avec la masse des gens, en
grande pompe et gloire, et tout ce qu’ils avaient. Et savez-vous où
l’on trouve leur royaume? — À six mètres sous terre. Deux mille ans
l’ont enfoncée.
204 J’ai été au Caire, en Égypte, où le grand
pharaon s’est tenu, un jour, celui qui avait persécuté le peuple de
Dieu, qui avait fait d’eux des esclaves. Leurs ruines gisent à six ou
sept mètres sous la terre.
205 J’ai été à Londres, en Angleterre, où toutes les
grandes hiérarchies d’archevêques se sont tenues, et j’ai vu là aussi
que cela s’est enfoncé dans la terre. Qu’est-ce à dire? — Nous n’avons,
ici, pas de cité permanente, mais nous en cherchons une à venir.
206 Pourquoi tous ces royaumes? — C’est simplement
pour vous dire qu’ils nous parlent de celui qui est éternel. Pourquoi
l’arbre est-il beau? — Il attend, il attend la pleine manifestation des
fils de Dieu, quand cet arbre pourra vivre à jamais. Il y a un Royaume
à venir. Et la Bible a dit: «Nous n’avons pas ici-bas de cité
permanente, mais nous en attendons une.» Et là Dieu nous a donné un
Royaume qui ne peut être ébranlé.
207 Tout sur terre est chancelant, ébranlable; ça
s’effondre. Tout est en décadence. Nous vivons dans un monde qui est en
péril. Tout est en péril. Les arbres sont en péril. Le gazon est en
péril. Les fleurs sont en péril. Les villes sont en péril. Le monde est
en péril. Vous êtes en péril. Tout est en péril. Je suis en péril. Tout
est en péril. Ce certain rayon acide dans l’air, ces éléments chimiques
de l’air…
208 Juste avant l’érection du grand pont, ici, je
l’avais vu vingt-deux ans avant qu’il ne soit construit, j’avais vu des
hommes perdre leurs vies sur ce pont. J’avais parlé de la construction
de ce pont, et ma mère avait voulu m’emmener chez le docteur, pensant
que j’avais des spasmes nerveux. Et je lui avais dit: «J’ai vu un pont
sur le fleuve, et j’ai compté les hommes.» Vingt-deux ans plus tard, le
pont a été érigé, et ce même nombre d’hommes a perdu la vie. Je crois
qu’ils étaient seize.
209 Maintenant, j’ai pensé, quand ils ont fixé les
gros piliers: «Ce pont-là est planté là pour toujours.» Oh, ils l’ont
peinturé à trois ou quatre reprises, et la rouille est après lui.
Qu’est-ce à dire? — Les rayons de l’air le brûlent.
210 Une belle jeune fille de seize ans, assise dans
une église, mâchant son chewing gum, et faisant la pitre et se
malmenant; une fois dehors, elle enlève de ses vêtements, pour avoir
l’air sexy, pour se trémousser. Et il ne faudra que quelques couchers
du soleil, et elle sera vieille et ridée, et sa chair sera flasque. Et
ce petit corps qu’elle trémoussait, et qui laissait un esprit y vivre,
la contrôler, jetait sa moralité aux chiens, et aura à répondre au jour
du Jugement pour adultère. «Quiconque regarde une femme dans le but de
la convoiter a déjà commis adultère avec elle.» Ne réalisant pas
qu’elle n’est rien que de la poussière, et qu’elle retournera à la
poussière, car «tu es poussière, et tu retourneras à la poussière».
Qu’est-ce à dire? — Si seulement elle le réalisait et s’arrêtait. C’est
là un son incertain.
211 «Eh bien, Untel à la télévision, Untel à
l’école», qui essaie d’imiter certaines petites personnalités à
l’école. Ne permettez jamais que ce soit là vos exemples. Regardez à
Dieu!
212 Oh! des sons incertains! Les élections. Ce temps
d’incertitude est là maintenant, plus que jamais.
213 Si nous avions du temps… allons voir dans la
Bible. Je vois les sœurs prendre en note les Écritures. Maintenant, en
II Timothée 2, lisons à partir du chapitre 3. Écoutez ceci. L’Esprit
dit ici:
Sache que, dans les derniers jours il y aura des
temps difficiles.
214 C’est là le Saint-Esprit que vous entendez dans
l’église, ce matin, qui parle depuis ce temps reculé, depuis 2000 ans,
en l’an 66 de notre ère.
Car les hommes seront égoïstes (…), fanfarons,
hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats,
irréligieux,
215 Considérons ce jour-là aujourd’hui. Vous parlez
de saint, ils vous appellent des saints qui se roulent par terre. Voyez
les enfants, ce qu’ils font. On parle de délinquance juvénile. En ceci
je ne suis pas de votre avis, les parents. Ce n’est pas de la
délinquance juvénile, c’est de la délinquance parentale. Vous voyez,
c’est ce que c’est.
216 Certains d’entre vous ont dit que ces mamans du
Kentucky étaient ce qu’il y avait de plus «illettrées». Ces vieilles
mamans, avec leur capeline sur la tête, comme cela, on a dit d’elles
qu’elles étaient illettrées et ignorantes. Elles ne sont peut-être pas
ultra-chic, mais je vous dirai, qu’il y ait donc une de leurs filles
qui rentre à la maison comme l’une des vôtres le fait parfois, toutes
débraillées, du rouge à lèvres plein le visage, et toutes échevelées.
Elles ne lui diront pas: «As-tu eu du bon temps, ma jolie?» Elle
l’agripperait par j’ne sais où, et elle se souviendrait de la dernière
fois qu’elle est sortie. Et vous l’appelez illettrée! Oui. C’est ça.
…ingrats, irréligieux,
insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants,
cruels, ennemis des gens de bien, (Ils détestent les gens qui essaient
de vivre correctement, voyez)
traîtres, emportés, enflés d’orgueil, aimant le
plaisir plus que Dieu…
217 Ah, ils dépenseront des millions de dollars pour
aller à une joute de balle, ou quelque chose du genre, ou là où une
vedette de cinéma donne un certains spectacle ou autre, comme les
anciens cirques romains le faisaient il y a des années. Mais quand
viendra le temps de traverser la rue pour aller à une réunion du
Saint-Esprit, ils resteront assis sur leur perron et riront de ça.
218 «Eh bien, dites-vous, frère Branham, ceux-là
sont des communistes.» D’accord, allons voir ce que le 5e verset en dit:
…ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui
en fait la force.
219 Reniant la puissance de quoi? — De la puissance
de Dieu. Ayant l’apparence de Dieu, mais reniant la puissance de Dieu.
Allant à l’église et appartenant à une dénomination, mais reniant
l’existence même du Saint-Esprit qui est dans l’Église, faisant en
sorte qu’ils agissent et font les mêmes choses qu’ils ont faites au
commencement. Oh là là! Vous voyez comment est la malédiction
confessionnelle? Huh! J’espère que vous ne m’en voudrez pas; j’espère
plutôt que vous le verrez à la lumière de ce que j’essaie de dire.
Voyez? Maintenant, remarquez ceci.
ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force.
Éloigne-toi… (que dit-Il à l’Église?) Éloigne-toi de ces hommes-là.
(Éloignez-vous de ça! Sortez de cela!)
220 C’est exact. Car, écoutez, lisons un autre
verset, ou deux. Écoutez ça, car considérez comment est ce genre. Voyez
si c’est incertain.
Il en est parmi eux qui s’introduisent dans les
maisons, et qui captivent des femmes d’un esprit faible et borné,
chargées de péchés, agitées par des passions de toute espèce,
apprenant toujours et ne pouvant jamais arriver à la
connaissance de la vérité.
221 Qu’est-ce que la vérité? — Jésus-Christ est la
vérité. Il a dit: «Je suis la vérité.»
Pilate a dit: «Qu’est-ce que la vérité?»
«Je suis le chemin, la vérité, la vie.»
222 Les femmes, avec toutes sortes de sociétés de
femmes, qui font des couvertures, qui se réunissent et font des
plaisanteries, qui organisent des soupers, des repas pour payer le
pasteur, et ainsi de suite, et qui ne peuvent jamais arriver à la
connaissance de savoir que Jésus-Christ existe aujourd’hui dans la
puissance de Sa résurrection et du Saint-Esprit. Vous voyez, jamais!
«Des femmes d’un esprit faible et borné!»
223 Là il ne parlait pas de vous, les sœurs. Il a
dit: «Des femmes d’un esprit faible et borné», c’est ça, «agitées par
des passions de toute espèce». C’est pas votre cas; et je suis fier de
vous, mes sœurs.
224 Il a dit: «Ne pouvant jamais». Combien
incertain, alors, que le son d’une dénomination formaliste! Combien
incertain est le son de l’église d’aujourd’hui! Qui sait quoi faire?
Laissez-moi vous donner un aperçu de l’église d’aujourd’hui. Il y a la
crainte d’une guerre, il y a des problèmes partout, et les gens se
précipitent à leur église et ne peuvent y trouver là de réponse. Le
soir de Noël, je vais prêcher sur ce sujet, Pas de réponse à ce
qu’était l’étoile parue dans l’Est. Maintenant, remarquez. Oh là là!
C’est là, et ils ne savent pas ce que c’est. Ils ne savent pas quoi en
dire. Pourquoi? — La seule chose à laquelle ils peuvent se référer,
c’est: «Nous avons appris au collège.»
225 L’Église ne dépend pas de ce qu’ils ont fait au
collège. Mais il s’agit du Saint-Esprit qui vit dans l’Église, qui la
conduit et la guide, et qui lui montre au préalable les choses à venir,
comme Il l’a fait du temps de Titus. Il les a avertis des choses à
venir, de fuir la fureur à venir. Oh là là! «Que celui qui a des
oreilles entende ce que l’Esprit dit aux églises.»
226 Dites-moi, y a-t-il quelque chose, alors… Je ne
veux pas vous garder trop longtemps ce matin, mais, y a-t-il quelque
chose de certain? Vous ayant donné tant de choses qui sont incertaines,
y a-t-il quelque chose de certain? Y a-t-il quelque certitude quelque
part? Eh bien, oui, et j’en suis tellement reconnaissant. Y a-t-il
quelque chose de certain?
227 Je vous dirai ce qui est certain: c’est
l’Évangile de Jésus-Christ. Si vous voulez le noter, vous n’avez pas à
aller à ce verset, mais si vous le voulez, c’est en Matthieu 24.35, où
Jésus parle de ces jours et ce qui arriverait. Matthieu 24.35, Il dit:
«Les cieux et la terre passeront, mais Mes paroles ne passeront point.»
Et cela est certain, n’est-ce pas? — [Amen.] Voilà une chose qui est
certaine, c’est Sa Parole. Il y a donc une chose. Nous voyons que nous
ne pouvons pas bâtir sur notre église, nous ne pouvons pas bâtir sur
notre nation, c’est trop incertain. Mais il y a une chose qui est
certaine, c’est la Parole de Dieu. Vous allez certainement avoir à le
faire.
228 Quelqu’un disait: «Une chose certaine, c’est les
impôts.» Oh non, les impôts, c’est pas si certain que ça. Le Seigneur
peut venir. Ils peuvent éliminer ces choses, et tout sera réglé du coup.
229 Ils ont dit: «La mort est certaine.» Non
monsieur, la mort n’est pas certaine. De fait, elle ne l’est pas. Il
pourrait y avoir un Enlèvement, et là il n’y aurait pas de mort. La
mort n’est pas si certaine. Non, non, pas en ce jour. Elle l’était il y
a des années, mais elle ne l’est plus maintenant. La mort n’est pas si
certaine que ça.
230 Et, de plus, je connais un homme qui a marché
avec Dieu, que je vous montrerai comme exemple. Et un jour il s’est
fatigué de marche; aussi il est devenu très léger et a commencé à
s’élever, et est rentré à la maison, avec Dieu. Voyez? Vous savez tous
de qui je parle? — [Énoch.] Oui, Énoch. Et qui représentait-il? — Il
était un type de l’Église de ce jour.
231 Et Noé, lui, est un type, comme nous l’avons vu
la semaine dernière dans notre leçon, Noé, un type d’Israël qui est
porté, sera au mont de la Transfiguration, là-bas, en Palestine, qui
veille. Quand Noé a vu qu’Énoch était manquant, il s’est dit: «Que lui
est-il arrivé? Qu’est-il advenu d’Énoch? Où est-il?» Noé était le
petit-fils d’Énoch. Et il a dit: «Où est-il? Qu’est-il advenu de lui?
On ne peut plus le trouver.» Noé s’est mis à construire l’arche. Il a
su que l’heure était venue, suite à cela.
232 Et quand maintenant l’Église sera enlevée, et
que les gens diront: «Eh bien, j’ai appelé la police. J’ai appelé
partout. Elle était assise à table, et elle a disparu.» Eh oui. «Je ne
sais pas du tout ce qui est advenu d’elle. Et puis c’est pas tout: la
police nous dit que depuis le matin, ils ont reçu cinq cents appels du
même genre.» Que s’est-il passé? — C’est terminé, pour les Gentils.
Tout à fait. Veillez!
233 La Parole de Dieu est certaine. «Les cieux et la
terre passeront (Matthieu 24.35), mais les promesses de Dieu ne
passeront point.» Jésus a dit: «Les cieux et la terre passeront.»
Vous dites: «Les cieux?» — Oui.
234 En Apocalypse 21, Jean a dit: «J’ai vu un
nouveau ciel et une nouvelle terre; car le premier ciel et la première
terre avaient disparu, et la mer n’était plus. Et moi, Jean, j’ai vu
descendre du ciel la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, préparée
comme une épouse (c’est ce que c’était) qui s’est parée pour son
époux.» Oh, c’est là où je veux être. Dieu, aide-moi à y être en ce
jour-là! Oui, les promesses de Dieu sont certaines, nous le constatons.
235 Maintenant, faisons un petit voyage, revenons
découvrir quelque chose, pour voir qui étaient ceux qui croyaient en
ces temps-là. Et comment ils s’en sont sortis, en attribuant à la
Parole de Dieu un son certain. Revenons au début de la Bible, à deux ou
trois personnages. Et nous serons prêts pour la ligne de prière, dans
les quinze prochaines minutes.
236 Maintenant, venons-en au premier, et prenons
frère Noé, au commencement. Noé, dans la Genèse. Nous constatons qu’il
y avait deux ou trois sons, plusieurs sons étant entendus du temps de
Noé. L’un d’entre eux, Noé a entendu la Voix de Dieu, qui disait: «Il
va pleuvoir.»
237 Écoutez. Habituellement, Dieu vous dit des
choses qui sont absolument bizarres, relativement aux choses du monde,
qu’il est… Il le fait pour confondre le monde. Voyez? Ils se confondent
dans leurs pensées. Ils disent: «Une bande d’exaltés, oh, bonté divine!
vous m’dites pas, vous pensez que ce Dieu, le Saint Dieu, vivrait dans
des gens comme eux?»
238 C’est aussi ce que Balak a dit, et Balaam, après
avoir vu Israël. Il a dit: «Tout ce qu’il y avait de mauvais à faire,
ils l’ont fait.» Mais il n’a pas vu le rocher frappé et le serpent
d’airain, et les signes et les miracles de guérison et ces choses dans
le camp. De prime abord, ils n’étaient pas différents. Mais Dieu a fait
quelque chose de si marquant… Dieu est radical. Ça paraît étrange, mais
Il l’est. Nous le verrons par quelques-uns des personnages.
239 Voyez Noé. La Bible dit que du temps de Noé, il
ne pleuvait jamais. Dieu arrosait la terre, par la terre. Il n’avait
jamais plu. Et voici qu’ici il y avait ce fanatique, en train de
construire un gros bateau, l’équivalant de deux pâtés de maisons. Un
bateau qui flotterait, alors qu’il n’y avait rien qui le ferait
flotter. Il n’y avait pas d’eau. Pas même une goutte. Au plus, il y
avait des ruisseaux. «Pourquoi construisait-il ça, et le goudronnait-il
au dedans et au dehors? Pourquoi, disaient-ils, d’où viendra cette eau,
Noé?
— De là-haut.
240 — Je suis un scientifique. Et je peux te prouver
qu’il n’y a pas d’eau là-haut. S’il y en avait, elle tomberait à
l’instant où l’on se parle. Il n’y en a pas. Je peux te le prouver
scientifiquement.
241 — Eh bien, a répondu Noé, tu sais, Dieu est
capable d’en mettre un peu là-haut, tu vois. C’est ça. Dieu a dit que
ça viendrait de là. Et ça viendra de là.
— Qu’est-ce que tu fabriques là, Noé?
— Je me prépare, tu vois, je me prépare.»
242 Là, la science donnait son ton de cloche. La
science disait: «Cette bande d’exaltés, sur la colline, ils sont
vraiment fous. Ils ont perdu la tête, ma foi! Ils sont en train de se
découper un gros bateau, voulez-vous bien me dire ce qu’ils vont faire
avec ça? Si on faisait converger toutes les sources d’eau du monde au
même endroit, ils ne suffiraient pas à mouiller la coque. Et voici
qu’ils disent: ‘Il va flotter. Et l’eau va venir d’en haut.’»
243 Mais Noé, même si la science disait que c’était
fou, écoutait ce Son certain. Dieu avait dit: «Je vais détruire le
monde, par l’eau», il n’y avait rien de confus en cela. À cette époque,
cela semblait incertain, mais c’était la Parole de Dieu, peu importe
combien ridicule cela semblait.
244 Dieu a dit: «Je suis le Seigneur qui te guérit.»
Il n’y a rien de confus en cela. Croyez en cela.
245 Dieu a dit: «Je donnerai, à celui qui veut, le
Saint-Esprit.» Il est venu. Il n’y a rien de confus en cela.
Vous dites: «Je suis un buveur. Je suis une
prostituée.»
246 Ça m’importe peu. «Que celui qui veut vienne.»
C’est rien de confus.
247 Je préférerais qu’Il dise cela à ceci: «Quand
William Branham viendra en 1960, je lui donnerai les fontaines d’eau de
Vie.» Bon, cela aurait été vraiment bien, j’aurais pu croire qu’il
s’agissait de moi. Mais il aurait pu y avoir deux William Branham, et
je n’aurais pas su s’il aurait vraiment s’agi de moi.
248 Mais quand Il a dit: «Que celui», je sais qu’il
s’agit de moi, de toute façon, parce que je suis parmi ceux qui
voulaient venir, voyez.
Donc, vous voyez, la Parole de Dieu est certaine.
249 Maintenant, pour ceux du dehors, le monde
scientifique, cela paraît vraiment confus. Parce qu’ils ont dit: «Qui
aurait pensé… Regardez ça: il y a la lune la nuit; là sont les étoiles;
là sont les atmosphères.» Et, vous savez, ils en savaient plus en ce
temps-là qu’on en sait aujourd’hui.
250 C’est en ces jours-là qu’ils ont érigé les
sphinx. Pourrions-nous les bâtir de nos jours? Cela prendrait seize
wagons pour transporter une seule patte; et c’est haut comme un
demi-pâté de maisons. Pourrions-nous bâtir cela?
251 C’est en ces jours-là qu’ils ont bâti la
pyramide. Une seule de ces grosses pierres pèse des centaines de
milliers de tonnes. Eh bien, on a rien en ce monde qui puisse bâtir ça.
On n’a pas de puissance hydraulique, au carburant ou autre, qui
pourrait lever ces pierres à cette hauteur. On ne pourrait avoir de
machine suffisamment puissante. C’est si colossal! Et c’est si parfait
qu’on ne s’est pas servi de ciment. Ils les ont taillées au sol, et les
ont levées par quelque moyen, et vous ne pourriez pas glisser une lame
de rasoir entre elles, comme cela; elles sont tellement près les unes
des autres. Plus intelligents que nous le sommes aujourd’hui.
252 On utilisait la teinture en ce temps-là. On
pouvait faire une momie en ce temps-là. On ne pourrait pas en faire de
nos jours. On ne pourrait plus momifier un corps humain, nous ignorons
le produit qu’il faudrait mettre dans les corps pour les faire paraître
naturels. Ils utilisaient la teinture, ils en teintaient les vêtements
en ce jour-là, que l’on n’a pas aujourd’hui. On ne pourrait rien
produire de pareil. Il y a plein de choses qu’ils avaient alors et
qu’on n’a pas aujourd’hui.
253 Ici, il n’y a pas longtemps, ils ont déterré une
moderne station hydraulique, ici même, au Mexique, qui avait été
engloutie durant la période antédiluvienne. Une moderne station
hydraulique, beaucoup plus perfectionnée que ce que l’on a aujourd’hui.
Voyez?
254 «Ce qui arriva du temps de Noé», un peuple
astucieux comme ils étaient, «arrivera de même à l’avènement du Fils de
l’homme», une autre génération astucieuse.
255 Ces gens étaient intelligents, d’une science
probablement plus développée, qu’ils pouvaient mesurer la distance
d’une étoile à l’autre. À ce point intelligents qu’ils ont pu ériger,
géographiquement, au bon emplacement, cette grande pyramide; et si bien
centrée sur la terre que, peu importe la position du soleil, on ne
trouve jamais d’ombre autour: le matin, le soir, le midi, de tout côté,
il n’y a pas d’ombre. Voyez? J’y ai été.
256 Maintenant, considérez tout ce qu’ils ont fait,
et les compétences qu’ils avaient. Et pouvez-vous vous imaginer, il
n’avait jamais plu, et rien ne présumait qu’il pouvait pleuvoir.
Comment cet homme a-t-il jamais pu faire passer ce message? Il ne l’a
pas pu. C’était cela.
257 Mais comme Noé se tenait dans la porte de
l’arche et prévenait les gens d’une destruction imminente, il en est de
même du prédicateur de l’Évangile né de nouveau, aujourd’hui, qui se
tient à la porte, Jésus-Christ, enchâsser par le Saint-Esprit, mettant
en garde les gens d’une destruction imminente. Bien sûr, comme ce qui
arriva du temps de Noé, c’est aussi la situation que nous vivons
aujourd’hui.
258 Là, comment la science a-t-elle pu dire: «La
pluie, venir de là?» Mais, vous voyez, Dieu savait comment faire venir
la pluie de là. Il a soit fait se produire un tremblement de terre, ou
quelqu’un avait la puissance atomique, et ils s’en sont servi et fait
éclater une partie de la terre. Et cela a fait s’incliner la terre, l’a
fait sortir de son orbite, et maintenant elle penche en arrière. Après
coup, la chaleur de la terre et la froideur de la terre, depuis le
soleil et plus loin que le soleil, ont formé des nuages. Il est
Jéhovah-Jiré. Il peut pourvoir Lui-même à tout ce qu’a dit Sa Parole.
259 Il peut se pourvoir d’une Église. Il n’a pas à
m’avoir, moi. Il n’a pas à vous avoir, vous. Non. Il n’a pas besoin de
cela. Il peut pourvoir. Quelqu’un d’autre peut prendre votre place.
Prenez garde à ce que personne ne prenne votre couronne. Il n’a pas
besoin de nous, mais nous avons besoin de Lui. Si vous vivez, vous
devrez L’avoir. Parce qu’Il est le seul, comme l’a dit Pierre.
260 Quand Il a dit: «Voulez-vous aussi partir?»,
quand Il a dû leur annoncer la vérité. Il était un grand homme quand Il
guérissait les malades. Oh, et quand les signes et les miracles Le
suivaient, c’était un grand homme. Mais quand Il a commencé à leur
parler selon la vérité, alors qu’est-il arrivé? Là on L’a pris pour un
fanatique et on s’est poussé de Lui. Il s’est tourné vers les
disciples… Rappelez-vous, Il était très indépendant, parce qu’Il était
Dieu. Il s’est tourné vers eux et a dit: «Vous voulez aussi partir?»
261 Pierre a dit: «Seigneur, à qui irions-nous? Où
irions-nous? Car Tu es Celui qui a les paroles de Vie éternelle, et
nous en sommes convaincus.» Vous voyez, il n’y a pas d’incertitude en
cela. «Nous sommes certains que Tu es Celui qui la possède. Nous ne
sommes pas ballottés par tout vent de doctrine. Nous savons que Tu as
les paroles de Vie éternelle, parce que personne ne peut faire les
choses que Tu fais si Dieu n’est en lui (c’est exact), n’est avec
lui». Nicodème a fait la même remarque.
262 Disons ceci alors: Est-ce que le son auquel
écoutait Noé était confus? — Non monsieur, il était sûr. On a eu la
destruction antédiluvienne, qui a détruit le monde entier, et Dieu a
fait pleuvoir comme Il l’avait dit. Comment ça? — C’est la Parole de
Dieu qui l’a dit. Le monde scientifique a coulé et a été détruit.
263 Voyez, la chose même qui a sauvé Noé a tué ses
critiques. Saviez-vous cela? L’eau même! Sans eau, Noé n’aurait pas pu
être sauvé. Seule l’arche a flotté. Donc, ce qui a fait flotter l’arche
est ce qui a noyé les critiques.
264 Et ce même Saint-Esprit, aujourd’hui, dont les
gens se moquent, sauvera l’Église et condamnera les critiques. Cette
chose même, voyez, cette chose même. Ce qui sauve le croyant est ce qui
condamne l’incroyant. Tout à fait. Aussi, voyez-vous, ayez foi en la
Parole de Dieu! C’est la seule chose sur quoi on peut se tenir et qui
est certaine. Ce que dit Dieu est certain. Croyez-y simplement!
265 Prenons maintenant l’autre personnage, du temps
de Moïse. Moïse avait tenté par les programmes éducatifs, il avait
tenté par les programmes militaires de délivrer Israël, parce qu’il
savait être né dans ce but. Et l’heure était maintenant venue pour lui
d’agir. Mais il a essayé par ses propres moyens, par sa formation, et
formant sa grande société, ou quoi encore, faisant appel à l’aspect
militaire. De sa propre éthique, il a failli. Là, écoutez attentivement.
266 Mais un jour, Dieu s’est emparé de lui, par un
buisson ardent. Et voyez à quel point Dieu a rendu cet homme
déraisonnable. Dieu l’a attiré au buisson ardent et lui a parlé.
Maintenant, Dieu ne lui avait jamais parlé auparavant; il ne Le
connaissait que par la lecture. Donc, Dieu lui a parlé.
267 C’est la raison pour laquelle Noé savait de quoi
il parlait. Dieu lui avait parlé. C’est comme ça qu’il le savait. Il
l’avait entendu de Dieu. Voyez?
268 Mais un jour, quand Moïse, entraîné, cultivé… Oh
là là! était-il instruit! oh, et c’était tout un militaire! Il s’est
dit: «Avec toutes mes études, j’ai un PhD, un DDD, un double LD», et
tous ces diplômes auxquels on peut se référer, «là, je vais à coup sûr
savoir m’y prendre, parce que… je suis le cerveau de l’Égypte.»
269 Ça m’est égal de quoi vous êtes le cerveau,
c’est pas bon. Aux yeux de Dieu, c’est de la folie. Votre savoir est de
la folie pour Dieu. Voyez? «Parce que Mes voies sont plus élevées que
les vôtres, et Mes pensées plus élevées que les vôtres» dit Dieu.
Voyez? Donc, vos meilleurs cerveaux…
270 Comme Paul a dit: «Je ne suis pas venu à vous,
vous prêchant par un discours persuasif, comme le fait la sagesse.
Parce que, si je l’avais fait, vos espoirs auraient été bâtis…»
Pourtant Paul aurait pu le faire, parce que c’était un homme
intelligent. Il a dit: «Je pourrais le faire. Mais, s’il en était le
cas, vous reposeriez sur la philosophie de l’homme. Mais je suis venu à
vous, dans la puissance et la résurrection, avec le Saint-Esprit, pour
que votre foi soit en Dieu.» Voilà. Car l’autre chose est un son
incertain. Mais ceci est certain et vrai.
271 Donc Moïse avait essayé avec un son incertain,
avec ses éthiques. Son instruction était incertaine. Mais un jour il a
entendu un Son certain. Oh, là je me sens religieux. Oui, il a entendu
un Son certain, car il a vu une Lumière suspendue dans un buisson.
«Enlève tes souliers, là où tu te tiens, car c’est une terre sainte.»
Il a dit: «J’ai entendu les cris de Mon peuple, et Je me suis rappelé
Ma Parole.» Amen. Y a rien d’incertain en cela. «Je me rappelle ce que
J’ai dit à Isaac, Jacob et Abraham, et tous les autres. Je me souviens
de Mes promesses. Je ne les oublie pas. J’ai entendu les cris de ces
gens, et l’heure est venue. Je vais t’envoyer, Moïse.»
Moïse a dit: «Comment vais-je jamais y arriver?»
272 Écoutez. «Je serai avec toi.» Y a rien
d’incertain en cela.
273 «Comme J’ai été avec Moïse, Je serai avec toi.
(Voyez?) Je serai avec toi.» Y a rien d’incertain en cela. «Je serai
avec toi.» Des années plus tard, Il a dit à Josué: «Comme J’ai été avec
Moïse, Je serai avec toi.
— Comment vais-je venir à bout de ces grandes villes
fortifiées?»
274 — Ce n’est pas à toi de le figurer. J’ai été
avec Moïse, Je serai avec toi. Et tout lieu que foulera la plante de
votre pied, Je vous le donne. Continuez d’avancer (voyez). Nul ne
tiendra devant toi, tant que tu vivras.» Y a rien d’incertain en cela.
Je serai avec toi.
— Je serai certainement avec toi», a dit Dieu à
Moïse.
275 Maintenant, je veux que vous remarquiez que
lorsqu’un homme entend la Voix de Dieu, entend personnellement la
Parole de Dieu… Bon, vous pouvez l’entendre… Vous dites: «Eh bien, Dieu
doit venir me rencontrer.» Oui monsieur. Je pourrais rester derrière
cette chaire à prêcher jusqu’à ce que je tombe mort, et dans dix,
vingt, trente, cinquante ans d’ici, vous ne l’auriez toujours pas
entendue, si Dieu ne vous la révèle pas. Ça peut être directement à
votre place. Vous n’avez pas à être près d’un buisson ardent. Vous êtes
peut-être plus près que vous pensez l’être. Restez simplement assis et
laissez Dieu vous parler, dans la Parole.
276 «Je dois quitter ce genre de vie que je vis. Je
dois être en règle.» C’est Dieu, Dieu dans Sa Parole, se faisant
connaître à vous. «Je devrais mettre ma vie en règle avec Dieu.» C’est
Dieu. C’est Dieu. C’est certain. «Je devrai mourir un jour.»
Certainement, vous allez mourir un jour. «Je devrai en répondre au
Jugement.» Certainement, vous allez devoir en répondre au Jugement.
277 Où donc est votre Jugement? Là-bas au Trône, où
vous n’aurez aucune miséricorde? ou ici au Trône, où vous pouvez
obtenir miséricorde? C’est à vous de choisir. C’est l’arbre, comme au
jardin d’Éden, celui de la Vie et celui de la mort. Si vous le reportez
à là-bas, vous mourrez; prenez-le maintenant, et vous vivrez. Vous en
êtes le juge, voyez, vous êtes celui qui devez en juger. Vous en êtes
ici le juge, mais là-bas, c’est Lui qui le sera. C’est vous qui
maintenant êtes juge, à savoir si vous Le voulez ou non. C’est Lui qui
jugera là-bas si vous L’avez reçu ou non. Vous aurez à prendre la
décision de ce que vous allez faire; mais ça vous regarde. Devant tout
homme, comme pour Adam et Ève, est placé le bien et le mal, et c’est à
vous de décider.
«Je serai avec toi certainement.
278 — Comment pourrais-je venir dire à mon patron
que j’ai été sauvé et rempli du Saint-Esprit?
— Je serai avec toi certainement.
279 — Comment vais-je faire pour dire à mon mari que
je vais arrêter mes méchancetés? Comment vais-je faire?
— Je serai avec toi certainement.
280 — Comment vais-je faire pour dire à ma femme que
je l’ai trompée et que j’ai fait des choses mauvaises? Comment vais-je
faire? Comment vais-je faire pour regarder ma famille en face après
cela? Ils ne me croiront pas, quand ils savent que j’ai juré, que je me
suis mal conduit, et toutes ces autres choses, et venir leur dire que
je suis un chrétien?
— Je serai avec toi certainement», a dit Dieu.
281 Ça vous fera faire des choses que vous n’auriez
pas pensé. Voyez Moïse, et combien cela l’a fait agir avec assurance.
Qu’a-t-il fait, cet homme, de quatre-vingt ans?
282 Vous dites: «Frère Branham, j’aurai bientôt dans
la cinquantaine, un vieil homme.» Oh, votre âge n’a pas d’importance,
ça n’a rien à voir avec cela. Le jour où Dieu peut vous apaiser assez
pour vous parler, et que vous entendez Sa Parole, c’est le jour où Il
vous parle, peu importe votre âge. «Comment vais-je faire, frère
Branham?»
283 Considérez Moïse, à quatre-vingt ans. L’Égypte
avait conquéri le monde, ils détenaient tous les secrets militaires et
le reste. Et Moïse fit monter sa femme sur une mule, mit Gershom sur
elle, et il partit le lendemain, un bâton crochu en main, sa longue
barbe blanche comme ceci, et sa tête chauve reluisait probablement
comme cela, en tirant sa vieille mule. Il criait: Gloire à Dieu! Gloire
à l’Éternel!
Quelqu’un lui a demandé: «Tu vas où, Moïse?
284 — En Égypte, en prendre possession.» Combien
ridicule!
285 Mais quand un homme parle à Dieu, et qu’il porte
en lui la Voix de Dieu, et la Parole de Dieu!… «Si vous demeurez en Moi
(Jean 15), et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que
vous voudrez, et il vous sera accordé.» Voyez, y a rien d’incertain,
cela devra se faire. Tout à fait, c’est rien de confus.
286 Moïse a dû dire à Dieu: «Comment vais-je faire
une invasion tout seul? Comment vais-je faire, moi, un vieil homme de
près de quatre-vingt ans, comment vais-je pouvoir descendre là, et
combattre une grande armée d’un million d’hommes?
— Je serai avec toi certainement.»
287 C’est tout ce qu’il lui fallait entendre. Le
voilà parti. Il y va. Et il en a aussi pris possession. Pourquoi? — Il
était certain que le Son qu’il avait entendu était vrai.
288 Et le Son que vous entendez ce matin est vrai,
parce que c’est la Parole de Dieu.
289 Les enfants hébreux à la fournaise ardente,
comment savaient-ils qu’ils allaient être délivrés? Ils ont dit: «Notre
Dieu est capable de nous délivrer.» Il ne l’avait jamais fait
auparavant. «Il est capable de nous délivrer de la fournaise ardente.
Mais, néanmoins, nous sommes certains qu’Il le peut.» Y a pas
d’incertitude en cela. «Nous connaissons Sa volonté, et nous ne nous
inclinerons pas devant votre statue.
290 «Nous n’allons pas participer à ce festin. Nous
n’allons pas fumer ces cigarettes. Nous n’allons pas boire cette
boisson forte. Nous n’allons pas mentir. Nous n’allons pas commettre
adultère. Nous n’allons plus tromper nos femmes, nos maris. Nous sommes
certains que Dieu peut nous en délivrer.
291 «Et si c’est le cas, ils vont vous congédier des
jeux de bunco. Ils vont vous congédier des parties de cartes et des
maisons pour femmes.» Je me soucie peu de ce qu’ils me font. Dieu est
capable de me délivrer.
292 Vous savez ce qu’ils vont faire? Ils vont vous
dire que vous n’êtes pas à la mode. Si vous portez vos cheveux longs,
vos jupes longues, et agissez comme des dames, vous savez ce qu’ils
vont faire? Ils vont vous appeler ‘vieille mode’.
293 Je ne me soucie guère de ce qu’ils font. Mais
Dieu est capable de me délivrer, et c’est ce que je poursuis
aujourd’hui. Dieu est capable de me délivrer. C’est tout.
294 «Eh bien, si vous ne portez pas le short cet
été, que va dire Susie?»
295 Je ne m’arrête pas à ce que Susie dit. C’est ce
que Dieu dit qui m’intéresse. Parce que le son que rend Susie n’est pas
certain. Mais Dieu est vrai, c’est un Son certain. Ainsi, Il les a
délivrés.
296 Combien certain était Abraham, après vingt-cinq
ans d’attente, d’avoir cet enfant que Dieu lui avait promis!
Pouvez-vous imaginer Abraham, un vieil homme, de bonne réputation
devant le peuple, et un jour Dieu lui a parlé, lui a dit: «Abraham, je
vais faire de toi un ‘père des nations’, Je vais changer ton nom et
t’appeler Abraham; d’Abram en Abraham. Et je vais l’appeler Sara
(princesse) plutôt que Saraï; Je vais changer son nom. Et vous êtes
tous les deux âgés. Tu as soixante-quinze ans et elle en a
soixante-cinq. Tu vis avec elle depuis ses seize, dix-sept ans, parce
qu’elle est ta demi-sœur. Tu vis avec elle depuis tout ce temps, tu
l’as mariée quand elle n’était qu’une jeune fille. Toutefois, tu n’as
pas d’enfants. Mais tu en auras. Je vais te donner un enfant. Me
crois-tu, Abraham?
— Oui, Seigneur, je Te crois.
— Eh bien, ils vont maintenant te taxer de fou.
— Oh, peu importe, Seigneur, ça ira.
— Dis-leur que tu auras un enfant.»
297 Il a saisi Sara par le bras et lui a dit: «Ma
chérie, tu sais quoi, tu vas avoir un enfant!
— Quoi! un enfant!
— Oui.
— Comment tu le sais?
— Dieu me l’a dit.
298 — Amen, c’est vrai, chéri, nous allons l’avoir!
Tu sais ce que je vais faire? Donne-moi un peu d’argent; je vais aller
chercher des petites bottines, et d’autres trucs. On va se préparer à
l’avoir, tu vois, parce qu’il est en route.» Oui monsieur. Elle est
donc descendue en ville.
299 Je les entends dire à leur médecin: «Docteur,
vous savez quoi, nous aimerions que tout soit prêt, à l’hôpital, nous
allons avoir un enfant.
300 — Euh, uh, uh, uh, hum! Euh, quel est votre nom
déjà?
— Abraham.
301 — Hum, oui. Oui, monsieur, vous allez devoir
m’excuser, j’ai beaucoup à faire aujourd’hui.»
302 Il s’est retiré, et a dit: «Hé, vous feriez
mieux de le remettre aux autorités, de faire examiner ce vieux, il doit
avoir perdu la tête. À soixante-quinze ans, et sa vieille, celle qui
est assise, avec un châle sur les épaules, là, la p’tite grand-mère,
elle dit qu’elle va avoir un bébé. C’est bien là le fils de Térach, qui
est venu de Schinear pour s’installer à la tour? Est-ce bien son fils?
— Oui.
303 — Pauvre lui, il a trop pris de soleil, une
insolation probable. Un peu maboul, hein!» Mais c’est là un son
incertain.
Abraham, lui, avait un Son certain: «Dieu l’a dit.»
304 Les autorités ont dit: «C’est un homme loyal. Je
sais que bien des fois il a aidé des veuves. Il vient en aide, comme
ça. Elle, elle est des plus gentille. Je ne veux pas les enfermer, ou
quoi que ce soit. On ne va pas leur mettre des chaînes et agir comme
cela avec eux, ils deviendraient pires. On va plutôt garder l’œil sur
eux.» Et ils ont continué à les surveiller. Comme c’est incertain comme
son!
305 Mais Abraham savait que ce Son-là était certain.
Le premier mois passa. «Comment te sens-tu, chérie? Y a-t-il du neuf?»
Maintenant, rappelez-vous, vous les dames, il y avait belle lurette
qu’elle n’avait plus ces vingt-huit jours, depuis sa quarantaine
peut-être. Et ici elle en avait soixante-cinq. «Comment te sens-tu,
chérie?
— Oh, chéri, rien de neuf.
306 — Gloire à Dieu, on va l’avoir, de toute façon.
(Rien d’incertain.) Certain, je suis positif. Oui monsieur. Je suis
tout ce qu’il y a de plus certain.»
— Comment sais-tu, Abraham, que tu vas l’avoir?
— Dieu l’a dit. Je vais l’avoir, de toute façon.
307 Bon, le deuxième mois, le troisième mois, la
première année. «Y a-t-il quelque chose de différent, chérie?
— Non.
— Encore rien?
— Non, non.
— Eh bien, gloire à Dieu! On l’aura quand même.»
308 «Hé, Abraham, j’ai entendu dire que tu avais dit
que vous alliez avoir un bébé. Ooh, oh, oh!» C’est là un son incertain,
voyez.
309 Mais Abraham avait entendu un autre Son qui
avait anéanti tous les autres. «Gloire à Dieu! Peu importe le temps
qu’Il prendra. Je vais l’avoir, de toute façon.
— Comment le sais-tu, Abraham?
— Dieu l’a dit!
— Est-ce que Dieu est descendu te le dire?
— Oui.
— Comment sais-tu? Laisse-moi L’entendre.
310 — C’est à moi qu’Il a parlé, pas à toi. Continue
donc, continue, vieil incroyant! Tu ne crois pas, de toute façon. Je
crois en Lui, tu vois. Aussi, continue. C’est ça. On aura l’enfant de
toute façon.» Vingt-cinq ans passèrent.
311 Mais avant que n’arrive ce temps, ils riaient et
se moquaient. Dieu a dit: «Tu sais quoi, Je vais t’éloigner d’eux. Fais
tes bagages, tiens-toi prêt. Tu auras à te séparer de ce groupe
d’incroyants. Là-bas Je te donnerai une petite église, des gens qui te
croiront. Éloigne-toi de ces vieilles dénominations froides et
formalistes. Sors d’ici, marche avec Moi seul!» Dieu ne l’a jamais béni
tant et aussi longtemps qu’il ne l’a pas fait, ne s’est pas séparé de
toute incrédulité.
312 Et Il ne vous bénira jamais avant que vous ne
fassiez la même chose. Ôtez toutes ces vieilles superstitions de votre
chemin, ces «peut-être que c’est ça, et peut-être que c’est pas ça». Si
vous êtes ici pour une guérison, ce matin, venez avec une réelle foi.
«Dieu l’a promis, et ça règle tout.» Et c’est bien cela, Dieu l’a
promis. Et c’est tout ce qu’il y a à comprendre, Dieu l’a dit. Il l’a
dit, et ça règle la question. Vous n’avez plus à discuter, à penser.
Très bien.
313 Bon, après vingt-cinq ans. Abraham est à présent
un vieil homme; il a cent ans. Et Sara a quatre-vingt-dix ans. Pensez à
ça, une petite grand-mère, un châle sur ses épaules, une capeline
contre la poussière. Et le grand-père, vous savez, comme ceci, et ce
«Comment vas-tu, chérie?
— Pas le moins différente.
— On l’aura! Gloire à Dieu!»
314 Un beau jour, comme il leva les yeux pour
regarder au loin, il vit trois hommes marcher en sa direction. Ils se
sont arrêtés. Deux d’entre eux se sont dirigés vers Sodome, y prêcher.
315 Il a dit: «Abraham, où est ta femme, Sara?» Oh
là là! Fiou! Maintenant, rappelez-vous, Jésus a dit que ça se verrait
de nouveau, vous savez, ce même Ange. Il a reconnu que c’étaient des
anges, voyez. Il avait déjà entendu ce Son. Et quand il a entendu cet
Homme parler, il y avait quelque chose de particulier, qu’il a reconnu
comme étant la même Voix. Voyez? Il a su que c’était la même.
316 Il a dit: «Sara (après s’être glissé
discrètement dans la tente), fais vite, va promptement nettoyer l’âtre,
pétris la pâte… ou prends le morceau, et place-le dans la
saupoudreuse.» Vous vous rappelez de ça? «Tamise un peu de farine.»
317 Combien d’entre vous, du Kentucky, se rappellent
de cela? Eh bien, vous devriez! J’ai vu ma mère prendre de cette pâte
et la battre, boum, boum, boum, et la travailler, et la travailler, et
boum, boum, boum, en secouant la farine dans un tamis, pour nous faire
des gâteaux. Et puis bouillir une viande maigre dans un moule à pain,
et y verser de l’huile. Et des pois noirs et des navets verts; c’est
très bon à manger. Et quand le cidre surissait, et qu’il tournait au
vinaigre, vous savez, on prenait la moisissure qui était dessus, et on
mettait un peu de vinaigre dessus. Mmm! c’est bon.
318 Je vois Sara faire cuire ces gâteaux. Et Abraham
est sorti et est allé voir où il pourrait trouver un veau gras; et le
tuer, le rapporter et le préparer.
319 Il est sorti, a dit: «Il y a quelque chose de
particulier dans cet homme! J’ai déjà entendu cette voix-là. Je vois
que ses vêtements sont pleins de poussière. Il est là, se frotte le
visage, et regarde tout autour. Mais, je vous dis, je connais cette
voix; parce qu’elle n’est pas un son incertain, parce que je l’ai
entendue il y a vingt-cinq ans, et, chérie, nous avons attendu tout ce
temps, … il y a quelque chose de particulier concernant cet homme! Je
ne sais pas pourquoi, mais il y a quelque chose à son sujet, que je
crois.»
320 Très bien. Quand il est sorti, il a d’abord
envoyé les mouches, vous savez, et ils se sont assis pour manger. Donc,
après un bout de temps, deux d’entre eux ont commencé à regarder vers
Sodome, et sont partis en sa direction. Un prédicateur moderne est allé
leur prêcher l’Évangile.
321 Donc Abraham était assis là avec cet homme. Et
son dos était tourné à la tente. Il a dit: «Abraham, où est ta femme,
Sara?»
De lui répondre: «Elle est dans la tente, derrière
toi.»
322 Il a repris: «Quand son terme sera là, Je
reviendrai vers toi, selon la promesse que Je t’ai faite.» Il a su par
cela que ce Son était certain.
323 Qu’arriva-t-il? — Immédiatement, après le départ
de l’ Ange, Sara est devenue une jeune femme, belle, comme
autrefois. Montrant ce qu’Il va faire à chaque Semence d' Abraham.
Cette vieille grand-mère est devenue une jeune femme. Et Abraham, son
dos s’est redressé, et sa barbe blanche a disparu; il était redevenu un
jeune homme.
324 Et ils ont entrepris un petit voyage de près de
cinq cents kilomètres à Guérar. Et une fois là-bas, Abimélec, roi des
Philistins, se voulait une épouse. Il voyait bien les jolies femmes
autour de lui; elles étaient belles, c’est un fait. Il avait vu toutes
ces femmes, et avait dit: «C’est bien pour dire, mais je ne peux pas
m’en choisir une.» Un jour il a vu Sara de loin, une centenaire, une
petite mémé, et il a dit: «C’est celle que j’attendais! La voilà, c’est
elle.» Donc, il l’a prise et allait la marier.
325 Et Dieu lui est apparu en songe, et a dit: «Tu
l’as prise. C’est la femme de Mon prophète. Tu n’es qu’un homme mort.»
Il a répliqué: «Seigneur, Tu connais mon intégrité.»
326 Y avait pas d’incertitude en cela. «Tu la lui
rends, ou Je n’entendrai aucune prière qui Me vienne de toi. Je
n’écouterai rien de toi, parce que, il est un prophète, et tu lui rends
sa femme. Parce que, il a besoin d’un peu d’argent; c’est pourquoi tout
ceci est arrivé. Donc, il a besoin d’argent. Sors et rends-lui sa
femme. Sans quoi tu es un homme mort.» Il n’y avait rien d’incertain en
cela, parce que Dieu avait rendu stériles toutes les femmes. C’est
exact.
327 Il est sorti et a dit: «Abraham, pourquoi as-tu
fait cela?»
328 Il a répondu: «Eh bien quoi, elle est ma sœur,
comme je te l’ai dit, mais elle est devenue ma femme.»
329 Maintenant qu’était-il? Ensuite quand ce petit
bébé est né, après toutes ces années, quand ils sont revenus, il arriva
que Dieu dise: «Prends-le sur la montagne, tranche-lui la gorge.» Oh là
là!
330 Genèse 22 dit qu’il l’a emmené sur la montagne,
a pris le petit Isaac… oh, il n’était plus un bébé; il avait près de
quatorze ans… Il a rejeté en arrière ses cheveux bouclés, comme cela, a
pris le couteau, d’une main tremblante. Il n’y a pas de doute qu’il
devait ravaler, la gorge serrée, vous savez. «Mon seul fils, que j’ai
attendu tant d’années. Je n’ai jamais eu de garçon. Regarde-le!
Regarde-le! mon seul fils, pauvre petit. Mais, ô Dieu, Tu m’as demandé
de le faire. Je sais me confier en Ta Parole. Je ne sais pas comment Tu
vas le faire, mais, Seigneur, Tu me l’as donné, comme provenant des
morts.»
331 Si vous voulez l’écrire, c’est en Hébreux
11.17-19. Allons voir. Nous allons terminer dans une minute. Hébreux
11.17:
C’est par la foi qu’Abraham offrit Isaac, lorsqu’il
fut mis à l’épreuve, et qu’il offrit son fils unique, lui qui avait
reçu les promesses,
et à qui il avait été dit: «En Isaac sera nommée
pour toi une postérité.»
Il pensait que Dieu est puissant, même pour
ressusciter les morts; aussi le recouvra-t-il par une sorte de
résurrection.
332 Abraham a dit: «Seigneur, autrefois quand
j’étais stérile, je n’avais rien. J’étais pécheur. Et Tu as fait de moi
quelqu’un; Tu m’as fait une promesse. Et voici, Tu m’as donné ce
garçon. Et je l’ai attendu vingt-cinq ans. Maintenant, quatorze ans
plus tard, eh bien, il est devenu un jeune homme, la fierté d’une mère.
Je l’ai fait sortir doucement de la maison, sa mère ne comprendrait
pas. Mais je Te comprends, Seigneur, je sais que Ta Voix est véritable.
Là Tu me demandes de l’immoler, de le tuer. Et Tu m’as dit, que par
moi, moi, je serais le père d’une multitude de nations. Par lui, Tu
prendrais ce garçon, et par lui… Quand Tu m’as fait la promesse et que
Tu as divisé ces animaux en pièces ce jour-là, et cette petite lumière
blanche est passée entre les pièces, Tu m’as fait une promesse: par cet
enfant-ci, viendrait Ton propre Fils. Amen. Tu susciterais Ton propre
Fils, et qu’à travers la semence de mon fils Tu susciterais Ton Fils,
et Il sauverait toutes les nations. Je n’sais pas comment Tu vas le
faire, Seigneur, ça ne me regarde pas, mais je connais la certitude de
cela. Je connais la certitude de Ta promesse, et j’en suis persuadé. Et
je l’ai reçu comme provenant des morts. Et je suis pleinement persuadé
que Tu es capable de le ressusciter des morts. Et, par la foi, Tu
pourrais le rappeler à nouveau. Je prendrai Ta Parole, Seigneur.»
333 Il a tiré son couteau, a dit: «Au revoir,
Isaac», après l’avoir embrassé.
334 Dieu a dit: «Attends, Abraham. Attends une
minute. Je sais que tu Me crois. Et Je sais que tu M’aimes. Retire ta
main.»
335 À cet instant, il a entendu du bruit derrière
lui. Il s’est retourné pour voir, et un bélier se trouvait là, pris
dans un buisson. D’où venait ce bélier? d’où venait-il? Il était à cent
soixante kilomètres de toute civilisation, dans le désert, où il y a
des lions, des loups, des chacals, et toutes les bêtes du même genre,
qui tuent les moutons. Et, de plus, il se trouvait au sommet de la
montagne, où il n’y a pas d’eau ou quoi que ce soit qui permette à un
mouton d’y vivre. Et une minute auparavant il n’était pas là. Et en se
retournant, et c’était la minute qui a suivi, et il était là.
Jéhovah-Jiré, Dieu peut!
336 Abraham a levé les yeux, et a dit: «Tu es
Jéhovah-Jiré!» Que signifie Jéhovah-Jiré? «Tu peux pourvoir à tout ce
que Tu dis.» Si Tu dis que c’est ainsi, c’est ainsi! Tu es capable de
le faire.
337 Et qu’a-t-Il fait? — Il avait dû entendre le
même son que Noé avait entendu: «Comment va-t-Il pouvoir tirer de l’eau
du ciel?».
338 «Je ne sais pas, mais Il est Jéhovah-Jiré, Il
peut pourvoir de l’eau.» [Arrêt de la bande.]
339 …a dit: «Tu vas faire quoi avec cette Bible, tu
n’sais pas lire?»
340 Il a répondu: «J’y crois. J’y crois d’une
couverture à l’autre; pis j’crois la couverture aussi, parce que c’est
écrit Sainte Bible.»
Il a dit: «Je présume que tu crois aux histoires
qu’on y raconte?»
341 Il a répondu: «Oui, monsieur, je crois tout ce
que Dieu a dit. Et tout ce que Dieu me dit, je le crois.»
342 Il a dit: «Non, non, Sambo, écoute, tu ne peux
pas agir comme cela. Vois, si Dieu te demandait de passer au travers du
mur de pierres qui est là, le ferais-tu?»
Il a dit: «Oui, monsieur, je foncerais tout droit
dans le mur.»
343 Il a dit: «Comment vas-tu passer au travers,
sans ouverture dedans?»
344 Il a dit: «Si Dieu me dit de ‘passer au
travers’, Il aura fait un trou quand j’y arriverai.» C’est à peu près
cela. Tout à fait.
345 Dieu tiendra Sa Parole. Il n’y a pas
d’incertitude en cela. Quand la trompette de Dieu résonne à vos
oreilles, la trompette de l’Évangile, c’est certain. Amen. Demeurez
avec cela. Oh, c’est certain!
346 Et tous ces gens… et nous dépassons l’heure. Un
commentaire de plus, ou plutôt deux Écritures que je pense avoir
notées. Pourquoi ces gens ont-ils tous agi de la sorte? — C’est parce
qu’ils avaient entendu la Voix de Dieu. Très rapidement maintenant,
pour finir dans trois ou quatre minutes.
347 Jésus, quand Il était ici-bas, a dit: «J’ai le
pouvoir de donner Ma vie, et J’ai le pouvoir de la reprendre à
nouveau.» Il n’y avait rien d’incertain en cela. «J’ai!»; pas
«J’aurai», mais «J’ai maintenant!» «J’ai le pouvoir de donner Ma vie,
et J’ai le pouvoir de la reprendre.» Très bien.
348 Marthe, après avoir perdu son frère Lazare, Lui
avait entendu dire: «J’irai le réveiller.» Il a dit: «Où l’avez-vous
enseveli?»
349 Elle était allée Lui dire: «Jésus, viens guérir
mon frère, il est malade.» Jésus n’a jamais prêté attention à cela; Il
est parti. Elle est revenue vers Lui, elle et Marie, et Il n’a jamais
prêté attention à leur supplication.
350 Ensuite, un peu plus tard, Lazare est mort. On
l’a mis dans une tombe. Déjà il sentait, depuis quatre jours qu’il
était là. Son nez s’était affaissé, les vers bougeaient sur lui, et
tout, enveloppé dans ces langes. On avait placé une pierre sur sa
tombe. En Orient, on creuse simplement un trou, puis on place une
pierre par-dessus ce trou. C’était là la tombe.
351 Elles ont donc dit: «Viens, Jésus!» Donc, Marthe
s’est couvert les épaules de son châle, puis elle est sortie. Cette
belle jeune fille a couru vers Lui, et a dit: «Seigneur!…» Regardez
cette approche. Elle avait entendu un Son, un jour, et il était
certain. Elle savait qu’il y avait quelque chose de certain Le
concernant.
352 Que serait-il arrivé si elle avait dit: «On a
quitté notre dénomination parce que Tu as prêché contre elle. Et on a
tout fait ça parce que Tu as fait ceci et cela. Et on a la foi en Toi.
On parle de nous en ville. Tout le monde dit: ‘Où est passé votre
exalté de pasteur maintenant? Voyez, vous avez besoin, et Il est où? Il
s’est sauvé. Vous voyez, Il est où? Ils sont où, vos guérisseurs
divins?’»
353 Rappelez-vous que cela t’a été dit, frère
Wright, là-bas, par les prédicateurs de l’Église de Christ. Oui
monsieur.
354 «Où sont-ils? Où donc? C’est quoi tout ça? C’est
quoi tout ça maintenant, vous voyez?»
355 Donc après un bout de temps, il semble qu’elle
aurait dû avoir le droit de Lui faire des reproches et de Lui dire:
«Pourquoi n’es-Tu pas venu quand je T’ai appelé?» Mais, voyez, ce n’est
pas la manière d’approcher Dieu.
356 Ne posez pas de question. Sachez que le Son est
certain. Marchez droit devant, dites: «Oui, Seigneur!»
357 «Seigneur, s’ils m’imposent les mains, comment
vais-je savoir que je vais me rétablir?» — Cela ne vous regarde pas,
voyez.
358 La seule chose que vous faites, c'est de
connaître ce Son certain, que Dieu l’a dit, et continuez votre chemin.
Dieu l’a dit, voyez. Oui monsieur, c’est la Parole de Dieu.
359 Ensuite, la première chose que l’on remarque, eh
bien, la petite Marthe a couru vers Lui, et a dit: «Seigneur!» Oh,
j’aime cela. Voyez, elle L’a gratifié de ce qu’Il était. Il était son
Seigneur. «Si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.» Voyez?
Elle ajouta: «Mais même là, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te
l’accordera.» Rien d’incertain en cela, non! Voyez? Voyez?
360 C’est quand deux positifs se rencontrent. Voyez?
C’est quand deux omnipotents se rencontrent. Voyez? L’omnipotence
qu’elle avait, elle avait une foi parfaite, omnipotente en Christ; et
Christ était omnipotent, voyez. Elle avait une foi parfaite et sans
limites en Christ, qu’Il était le Seigneur, et savait que ce qu’Il
demanderait à Dieu, Dieu le Lui accorderait. En d’autres mots, elle a
dit: «Prononce simplement la Parole, c'est tout ce que Tu as à faire.
Tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te le donnera.» — C’est de
l’omnipotence, de la toute-puissance. Parce que, s’Il l’a
simplement prononcé!… voyez? Et Il était tout-puissant. C’est lorsque
deux puissances, deux puissances omnipotentes se rencontrent. Cela crée
un contact.
361 Quand une ligne ici possède un courant de 150
volts, et que cette autre possède 150 volts, quand elles sont reliées,
vous avez du 150 volts dans les deux sens. Voyez?
362 Et quand vous avez la puissance suprême… Quand
Jésus a dit: «Imposez les mains aux malades, et ils seront guéris», et
que vous avez la foi suprême, que c’est la vérité, vous avez alors
besoin d’un Dieu suprême qui a fait une promesse suprême, et un
résultat suprême viendra. Amen. C’est tout. Voyez?
363 Maintenant, surveillez-la. Elle est venue Lui
dire: «Seigneur, si Tu avais été là, mon frère ne serait pas mort. Mais
maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»
Il a dit: «Ton frère ressuscitera.»
364 Elle a dit: «Il est vrai, Seigneur, qu’il
ressuscitera à la fin, dans les derniers jours.» Pourquoi? — Elle avait
entendu cette Parole. Elle savait que c’était un Son certain. «Il est
vrai, Seigneur, qu’il ressuscitera à la fin, dans les derniers jours.
C’était un brave homme. Il ressuscitera à la résurrection générale,
dans les derniers jours.»
365 Jésus a dit: «Je suis!» Rien d’incertain en
cela. «Je suis la résurrection et la vie.» Fiou! «Je suis la
résurrection et la vie. Celui qui croit en Moi, même s’il était mort,
vivra à nouveau. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais.» Rien
d’incertain en cela. «Crois-tu ceci?»
366 Elle a dit: «Oui, Seigneur, je crois que Tu es
exactement ce que Tu as dit être. Tu es le Fils de Dieu qui vient dans
le monde, pour nous sauver. Et je crois que tout ce que Tu fais ou dis
est simplement parfait. Il n’y a pas un gramme d’incertitude à Ton
sujet.
— Où l’avez-vous déposé? Je vais aller le réveiller.»
367 Il n’a pas dit: «Je vais aller voir si Je peux.
Je vais aller essayer. Je vais aller voir ce que Je peux faire.» Non,
rien d’incertain. «Je vais aller le réveiller.»
368 Pourquoi? — Le Père Lui avait dit, et Il avait
la promesse de Dieu, laquelle était véridique. Il avait la promesse de
Dieu. Parce qu’Il a dit, en Jean 5.19, que «le Fils ne peut rien faire
de Lui-même, mais ce que le Père Lui montre». Il avait déjà eu la
vision de ce que Dieu allait faire, c’est pourquoi Il était positif.
369 «Je ne vais pas aller essayer. Je vais aller le
réveiller!» Amen, amen, amen. Oh, je désirerais prendre cela comme on
prend un tire-bouchon, et le visser en chacun. Voyez, pas «Je vais
aller essayer, Je vais aller voir si Je peux.» Mais «Je peux! Je vais
aller le réveiller. Je n’irai pas essayer. Je vais aller le faire. Je
vais aller le réveiller», et Il l’a fait. Oh là là! Rien d’incertain.
Non, non. «Je ne vais pas essayer. J’en ai la promesse!»
370 Et puis, quand Il est parti, Il ne nous a pas
laissés en nous disant: «Eh bien maintenant, vous irez par tout le
monde et ferez de grandes organisations. Et, oh, il en viendra
plusieurs centaines, mais tout ira bien comme ça pour eux.» Cela aurait
été incertain. C’est ce que l’homme a fait.
371 Mais voici ce qu’Il a dit avant de partir, pour
être certain que nous ne serions pas séduits. Il a dit: «Encore un peu
de temps, et le monde ne Me verra plus. Ce sont là les incroyants, ceux
qui sont arrêtés par l’incrédulité; ils ne Me verront plus. Cependant
vous Me verrez, car Je serai avec vous, et même en vous, jusqu’à la fin
du monde.»
372 Dans Jean 14.12, Il dit: «Les œuvres que Je fais
vous les ferez aussi, et de plus grandes, d’avantage.» Le mot qui est
là, regardez dans le grec, il est dit: «Vous en ferez plus.» Pourquoi?
— Dieu était dans un seul Homme; et maintenant, Dieu est dans Son
Église entière. Vous voyez? Dieu était auparavant dans un seul Homme;
et maintenant Il est dans tous les hommes qui croient en Lui.
«D’avantage que celles-ci ferez-vous, car Je m’en vais au Père. Je
retourne à la Lumière que J’étais, laquelle a guidé les enfants
d’Israël dans le désert. C’est à cela que Je retourne. Et encore un peu
de temps, et Je reviendrai à nouveau.» Voyez, Jean 14.12: «Les œuvres
que Je fais, vous les ferez aussi», et ici Il dit: «Et d’avantage».
373 En Marc 16, alors qu’Il s’élevait dans le ciel,
Il a dit: «Allez par tout le monde, et prêchez l’Évangile à toute la
création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui
qui ne croira pas sera condamné. Et ces signes suivront peut-être!
(non) …suivront.» Ils sont certains.
374 «Eh bien, vous savez, nous croyons ça, mais,
bien sûr, nous vivons en un autre jour», disent les dénominations.
C’est incertain.
375 Mais Jésus a dit: «Ils vont assurément suivre
ceux qui croient.» Que feront-ils? — «Ils chasseront les démons,
parleront de nouvelles langues, imposeront les mains aux malades, et
ils seront guéris.» Oh, frère!
376 Non pas: «Ils vont peut-être faire ceci. Ils
pourraient changer ça et en faire une dénomination.» Non, non …?… Oh
non, non non.
377 «Ces signes vont à coup sûr les suivre.» Il est
toujours le même Dieu. Il n’est pas mort. Comment le code chrétien
peut-il dire qu’Il est ressuscité des morts, et puis nier qu’Il est le
même hier, aujourd’hui et éternellement?
378 En Matthieu 17, maintenant, prenez ça en note,
Matthieu 17.2, concernant la transfiguration. Si vous avez le lexique
grec, voyez ce qu’il dit sur la transfiguration. Il est dit: «Et Il fut
transformé.» Je crois que c’est… laissez-moi voir si je peux le
retrouver. Matthieu 17.
Six jours après, Jésus prit avec lui Pierre,
Jacques, et Jean, son frère, et Il les conduisit à l’écart sur une
haute montagne.
Il fut transfiguré devant eux…
379 Maintenant, savez-vous ce que le grec dit qu’Il
a fait, par transfiguré devant eux? — Il changea Son apparence.
380 Oh, combien de temps avons-nous? [Frère Neville
dit: «Toute la journée.» La congrégation dit: «Amen.» — N.D.É.]
Supportez-moi encore un peu de temps, je dois juste faire passer ceci.
Quelque chose vient de me saisir si fortement, que je dois à tout prix
le dire. Pardonnez-moi. Le dîner, les fèves ne vont pas brûler. Oubliez
tout ça, d’accord.
381 Il est toujours le même. Il n’a jamais changé.
Il est toujours le même. Hébreux 13.12 et 13 a dit: «Jésus-Christ le
même, hier, aujourd’hui et éternellement.» Maintenant, regardez. Si
nous croyons qu’Il est ressuscité, alors, s’Il n’est pas mort, Il n’est
pas dans une tombe. Il est vivant. Il est le même hier, aujourd’hui et
éternellement. Vous croyez cela, n’est-ce pas? [Amen.]
382 Eh bien, qu’a-t-Il fait ici quand Il a été
transfiguré? Le grec dit: «Il a changé Son vêtement.» Oh, regardez,
regardez l’ordre de la résurrection. C’est ce qui m’a saisi tantôt.
Remarquez. Qu’est-il arrivé en premier?
383 Ici, dans le chapitre qui suit, le 16e chapitre,
Il leur a dit: «Il en est quelques-uns ici qui ne mourront point,
qu’ils n’aient vu venir le Royaume de Dieu dans sa puissance.» Ce
qu’ils feraient, en d’autres mots, ils verraient un avant-goût du
Royaume de Dieu, ils connaîtraient l’ordre de la résurrection et la
venue de Dieu. Voyez? C’est dans le 16e chapitre.
384 Il est maintenant sur la montagne, et Son
apparence a été changée. En d’autres mots, Il a été révélé sous une
autre facette. Me suivez-vous? — [Amen.]
385 Qu’avons-nous dit qu’était une révélation
l’autre soir, selon l’Apocalypse, la signification de l’Apocalypse? Un
sculpteur avait sculpté une chose, ici; puis il a enlevé ce qui
recouvrait sa sculpture et a dit: «Voici.»
386 Que refaisait-Il ici? Il se révélait sous une
autre apparence? Dans quelle forme se présentait-Il? — Dans une forme
glorifiée, transfigurée, Sa venue, la façon dont Il revient; un Christ
glorifié, transformé. Son vêtement resplendit comme le soleil. Oh là
là! Il était dans la nuée; et Il vient sur les nuées avec gloire.
Couvert d’une nuée. On ne parle pas ici d’un petit nuage blanc à
l’horizon, mais la nuée sur laquelle Il revient est une nuée avec
gloire, tous Ses anges avec Lui. Alléluia! Oh là là! C’est comme ça
qu’Il revient, revenant sur une nuée avec gloire.
387 Maintenant remarquez, quand ils Le virent sur
les nuées… Avant cela, Moïse et Élie Lui sont apparus. Surveillez cela.
388 Que représentait Moïse? — Moïse représentait
ceux qui étaient morts et qui reposaient dans la tombe. Parce que Moïse
est mort et a été enterré, personne ne sait où il a été enterré. Mais
il représentait ceux qui dormaient, quand Il reviendra.
389 Et Élie représentait ceux qui sont ravis, qui
n’ont pas à mourir. Voyez? Voilà.
390 Et Pierre, Jacques et Jean représentaient ce
reste d’Israël qui restent et qui disent: «Voici notre Dieu, en qui
nous avons cru.» Ce sont vos cent quarante-quatre mille. Voyez? Pierre,
Jacques et Jean. Trois, des témoins de Sa venue.
391 Qu’était la première chose? — La résurrection,
Moïse et (conjonction) Élie Lui sont apparus. Voyez? La résurrection
des morts, et ceux qui n’ont pas à mourir ont été changés et se sont
tenus là dans Sa Présence. Oh là là!
Et voici qu’Il se tenait là, glorifié.
392 Et là étaient Pierre, Jacques et Jean, le reste
des Juifs, qui regardaient, qui disaient: «C’est Lui. C’est Lui.» C’est
l’ordre de la venue du Seigneur. Le voyez-vous? C’est là, la
résurrection! Ils étaient là. Oh, n’est-ce pas merveilleux? — [Amen.]
393 Remarquez, la seule chose qu’Il ait faite, Il a
enlevé Son masque d’humanité et a pris l’état glorifié. Voyez, Il a
changé Son apparence.
394 Non pas trois personnes, comme aujourd’hui les
dénominations essaient de nous le dire. Oh, frère! Non pas trois
personnes, non pas trois, mais trois changements de la même Personne.
Oh! bonté divine! Il est déjà apparu comme un Père. Il a ôté Son
masque, Il était un Fils. Maintenant, Il a enlevé Son masque de chair,
et Il est le Saint-Esprit. Pas trois Dieux, mais trois changements du
même Dieu. Oh, béni soit le Nom du Seigneur! Trois changements de la
même Personne. Voyez?
395 Maintenant, quand Il était sur la terre, Il
était la Colonne de Feu qui a conduit les enfants d’Israël. N’est-ce
pas vrai? — [Amen.] Ensuite Il a été fait chair, dans le Fils de Dieu,
afin de goûter la mort pour la race humaine entière, en a fait
l’expiation. Croyez-vous cela? — [Amen.] Qu’est-Il maintenant
aujourd’hui? — Le même Jésus. Le même (quoi?), hier comme Père, le même
comme Fils, le même ici dans la forme du Saint-Esprit, la même Lumière.
396 Paul, sur le chemin de Damas, a été frappé par
une Lumière. Et il a dit: «Qui es-tu, Seigneur?»
Il a dit: «Je suis Jésus.»
397 Qu’est-ce? — Il a enlevé trois fois Son masque.
398 Il a enlevé Son masque, d’une Colonne de Feu, et
devenir quoi? — Un Homme, pour enlever le péché.
399 Ensuite Il a enlevé Son masque, en tant
qu’Homme, et est revenu comme Esprit, appelé le Saint-Esprit; l’Esprit
d’un Homme, pour revenir et être sur vous, et en vous, et faire les
mêmes œuvres. Le voyez-vous, église? — [Amen.] Il n’y a rien
d’incertain en cela. «Les œuvres que Je fais, vous les ferez aussi. Car
Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin de la consommation, la
fin du monde, la fin des temps, la fin de toutes choses. Je serai même
avec vous, faisant les mêmes œuvres.» Il n’y a là aucune incertitude en
cela.
400 Mais vous avez entendu dire de quelques-uns: «Eh
bien, vous devez être un presbytérien. Vous devez être un méthodiste.
C’est nous les baptistes qui L’avons. C’est nous les pentecôtistes qui
L’avons.» C’est tout faux. Ce sont des mensonges. C’est de
l’incertitude. Comment les pentecôtes peuvent-ils L’avoir, la
dénomination pentecôtiste, quand parmi eux il y a environ trente
organisations différentes? Laquelle serait la vraie? Comment les
méthodistes L’ont-ils, quand on a les Primitifs, les Méthodistes
libres, et beaucoup d’autres? Et soixante et quelques organisations
différentes de baptistes, je crois, et autant d’organisations
différentes de catholiques, et ainsi de suite. Laquelle serait la
vraie? Ce sont des sons incertains.
401 Mais quand vous L’entendez: «Je suis le même
hier, et aujourd’hui et éternellement», c’est là un Son certain.
402 Alors qui saura comment se préparer si la
trompette rend un son confus? Qu’est-ce à dire? Comment peuvent-elles
le prétendre, quand il y a neuf cents organisations différentes? Non,
elles ne le peuvent pas.
403 Quand Il a dit, en Actes 2.38: «Repentez-vous,
et que chacun de vous soit baptisé dans le Nom de Jésus-Christ pour le
pardon de vos péchés (il n’y a pas d’incertitude en cela), vous
recevrez le don du Saint-Esprit!» Non pas «Vous recevrez peut-être,
vous devriez peut-être», mais «Vous recevrez!» Quand? — Quand vous vous
êtes repentis. Bon, si vous entrez là sans vous repentir, vous ne Le
recevrez pas. Mais quand vous vous repentez véritablement et que vous
croyez au Seigneur Jésus-Christ, vous allez Le recevoir. Y a rien
d’incertain. «Vous recevrez le don du Saint-Esprit.» N’est-ce pas? —
[Amen.]
404 Quand Il a dit: «S’ils imposent les mains aux
malades, ils seront guéris. Tout ce que vous demanderez en Mon Nom, Je
vous l’accorderai», il n’y a rien d’incertain en cela. Ces signes sont
certains. «Je serai avec vous.»
405 Maintenant vous dites: «Eh bien, notre église ne
croit pas en ce genre de choses.» C’est effectivement un son confus.
406 La Bible dit cela. Il a Lui-même dit: «Je serai
avec vous. Et les œuvres que J’ai déjà faites, Je les ferai toujours en
vous. Et Je serai avec vous, jusqu’à la fin du monde. Et ceux qui
croient en Moi, quand ils imposeront les mains sur eux, s’ils sont
malades, ils seront guéris. Oui! Pas «Peut-être qu’ils le seront».
407 «Jones l’a été, mais pas Johnson.» Ça n’a rien à
voir. Si Johnson avait cru comme Jones, il aurait aussi été guéri.
N’est-ce pas vrai? — [Amen.]
408 Y a rien d’incertain, rien d’incertain. «Je ne
rejetterai pas celui qui vient à Moi.» Y a rien d’incertain!
409 «Eh bien, et si moi Il ne me recevait pas.» Oh,
vous, pauvre ignare!
410 Écoutez, laissez-moi vous dire, en tant que Son
serviteur, qu’il n’y a personne qui peut venir à Lui sans qu’Il ne le
reçoive. «Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs
comme la neige.» Y a rien d’incertain. «J’en pardonnerai une partie;
vous avez peut-être fait ceci et cela, et Je vous en tiendrai rancœur»?
Non! «Ils deviendront blancs comme la neige!»
411 «Il ne me pardonnerait pas ce que j’ai fait à
mon mari, ce que j’ai fait à ma femme, ce que j’ai fait à ma sœur, ce
que j’ai fait à mon frère.»
412 Ce que vous avez fait importe peu. Il n’y a rien
d’incertain. Il vous pardonnera tout! «S’ils sont rouges comme le
cramoisi, ils seront blancs comme la laine.» Rien d’incertain!
413 «Repentez-vous, et que chacun de vous soit
baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous
recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour
vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin… (écoutez ça, vous
trinitaires extrémistes), en aussi grand nombre que le Seigneur notre
Dieu les appellera.» Cette prescription sera la même pour toutes les
générations.
414 Pas: «Il se pourrait. Ça va changer, après un
bout de temps, en Père, Fils, et Saint-Esprit.» Vous, pauvre enseignant
ignare!
415 Dieu ne peut changer. Il est infini. La
prescription fonctionne à tout coup, si vous l’appliquez correctement.
Oui monsieur. «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom
de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don
du Saint-Esprit.» Car c’est quoi? Cette prescription, ce baptême, ce
genre de baptême, ce Saint-Esprit, cette même puissance… pas une simple
poignée de main en disant: «Je vais tourner une nouvelle page et faire
mieux.» Non monsieur. «Vous recevrez le don du Saint-Esprit; et la
puissance de Dieu viendra sur vous, changera vos voies, vous parlerez
en langues, imposerez les mains aux malades, chasserez les démons,
ferez ce qu’ils ont fait.
— Pour combien de personnes et combien de temps?
416 — Jusqu’à la fin des disciples.» Vous êtes un
faux prophète si vous dites ça. Vous êtes un faux enseignant si vous
dites ça.
417 Car Jésus-Christ, nous dit la Bible, est le même
hier, aujourd’hui et éternellement. Et ici les apôtres disent que «la
promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au
loin, en aussi… (dites-le avec moi) …en aussi grand nombre que le
Seigneur notre Dieu les appellera». Pour combien? — Pour tout âge,
toute génération, toute couleur, tout credo, tout ce que vous voudrez,
en aussi grand nombre que Dieu appellera. Et si Dieu vous appelle, Il
ordonne de vous faire baptiser dans le Nom de Jésus-Christ et de
recevoir le Saint-Esprit. Ensuite Christ Lui-même vit en vous, et il
n’y a pas de son incertain, d’incertitude face à cela. Vous avez la
Bible, oh, restez avec elle. Vivez avec elle, mourez avec elle. Vous
ressusciterez avec elle. Gloire! C’est la Parole de Dieu. Fiou! Oh là!
Oh là là!
418 Comme Rebecca, qui a donné à boire aux chameaux.
Le chameau même qu’elle a abreuvé est celui qui l’a portée à la
rencontre de son époux. Le Dieu même que nous prêchons, la Parole même
qui est Dieu, le Dieu même qui est dans la Parole, nous ressuscitera un
jour par le baptême du Saint-Esprit. Et nos critiques seront tués par
la même puissance qui vous a élevés dans la Gloire. Voyez? Oh là là!
Levez-vous et chevauchez-la!
Vous qui êtes malades, ne doutez pas de Dieu.
419 Est-ce que Leo et les autres ont distribué les
cartes de prière? Y en a-t-il de distribuées? Billy n’est pas venu ce
matin; il a pris un rhume hier. Très bien. On en n’aura pas besoin.
Non. Écoutez.
420 Ce que j’ai prêché, croyez-vous que c’est la
vérité? — [Amen.] Le croyez-vous de tout votre cœur? — [Amen.] Est-ce
un Son certain pour vous? — [Oui. Amen.]
421 Comment ceci s’entend-il? La première commission
que Jésus donne à l’Église, en Matthieu 10… Je ne le lis pas, je le
cite. Il a appelé les douze et leur a donné le pouvoir contre les
esprits impurs, de chasser les mauvais esprits, de guérir les malades
et de ressusciter les morts, et de chasser les démons, et de purifier
les lépreux. N’est-ce pas? — [Amen.] En amenant les gens à y croire, et
en imposant ensuite sur eux les mains. En amenant les gens à y croire,
et en imposant ensuite sur eux les mains. Était-ce là Sa première
commission, quand Il a envoyé les soixante-dix?
422 Quelle a été la dernière commission qu’Il a
donné? — Marc 16, les dernières paroles qui sont sorties de Sa bouche,
quand Il a commissionné Son Église: «Allez par tout le monde, prêchez
l’Évangile à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé
sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné.»
423 Maintenant, rappelez-vous, «Il pourrait être
condamné. Il pourrait avoir une chance»? — Il n’aurait aucune chance
venant de ce monde! Y a pas de son confus en cela. S’il ne croit pas,
il sera condamné.
424 Bon, quels sont les signes qui vont les suivre?
Ces signes… «Sur quelques-uns, ils vont suivre; c’est possible qu’ils
suivent; ils vont peut-être suivre»? Non. «Ces signes les suivront: Ils
croiront en la guérison. Ils croiront au fait de chasser les démons.
Ils croiront au parler en langues. Oh, ils croiront à toutes les œuvres
surnaturelles de Dieu, le Jésus ressuscité œuvrant avec eux.» N’est-ce
pas là la vérité? — [Amen.] N’est-ce pas là la dernière Parole de Dieu?
— [Amen.] Alors, maudit est celui qui essaie d’ajouter à cela ou d’en
retrancher. C’est comme ça. C’est comme ça.
425 L’église pentecôtiste n’était-elle pas une
église bruyante, quand le Saint-Esprit a d’abord tombé au tout début?
La vierge Marie, comme si elle avait été ivre, titubait sous la
puissance de Dieu, et tous les autres pareillement. Et les gens ont
dit: «Ils sont pleins de vin doux.» C’est comme ça qu’a été ordonnée
l’Église. C’est ainsi que chaque Église a été ordonnée. Chaque fois que
Dieu aura une Église, ce sera le même genre d’Église. Car ce n’est pas
un son incertain.
«Bon, bon, notre évêque dit…»
426 Ce que l’évêque dit importe peu, c’est ce que
dit la Parole qui importe. L’évêque a donné un son confus. Si le son
qu’il donne rend le même son que la Parole, il est correct. Et donc, si
l’église n’agit pas comme elle l’a fait autrefois, le son est faux. Si
vous dites L’avoir reçu et que vous n’agissez pas comme tel, alors il y
a quelque chose qui ne va pas. Parce que c’est exactement ce que la
Parole dit …?…
427 Philippe est allé prêcher aux Samaritains. Ils
leur a imposé les mains, … Pierre est venu leur imposer les mains. Ils
ont reçu le Saint-Esprit, ont fait la même chose qu’ils ont fait au
commencement.
428 À la maison de Corneille, où se trouvaient tous
les Gentils, les Grecs, et ainsi de suite, il leur a imposé les mains,
ils ont reçu le Saint-Esprit comme au commencement.
429 Permettez-moi de vous dire quelque chose. Je
suis un missionnaire, vous savez, et bon, je crois qu’un missionnaire
est un type qui va et vient. C’est un missionnaire. Si vous y allez
pour rester… ils appellent ça un missionnaire, mais, il est un citoyen,
ayant simplement changé de résidence, voyez. Ce n’est pas un
missionnaire. Paul était un missionnaire. Il ne restait pas, il allait
d’un endroit à l’autre. Un missionnaire ne change pas de résidence, il
va d’un endroit à l’autre.
430 Toujours, ils vont dans les champs de mission,
je vous dirai, dans les régions les plus reculées d’Afrique, pour
rejoindre les hommes de la brousse. Et il a fallu du temps avant de
savoir qu’ils étaient des humains. Le gouvernement britannique, quand
ils ont envahi l’Afrique du Sud… Au beau milieu de la jungle, vous
verrez ces hommes qui se secouent comme une bande de singes; et
regardez autour, il n’y a rien. Vous regardez par hasard, et vous
verrez une tête noire surgir hors du sable et regarder tout autour.
Voyez, il s’est enterré dans le sable… s’est sauvé et s’est enfoui dans
le sable, très rapidement. Longtemps ils ont cru qu’ils étaient des
animaux. Mais savez-vous comment ils ont découvert qu’ils étaient des
humains? — Ils avaient des chiens. Et un chien ne vivra avec rien
d’autre qu’un humain, voyez, et ils ont découvert qu’ils étaient des
humains.
431 Et tous ceux-là, les Basutos ou les Shangaan,
les Xhosas, chacune de ces tribus, ils ne savent pas distinguer leur
droite de leur gauche; et ils sont toujours en train de balbutier,
«blaw, blaw, blu», vous savez, ils parlent comme ça. Et ils sont tous
nus, les hommes, les femmes. Et je vais vous dire quoi faire! Dès que
le Saint-Esprit descendra sur eux, ils feront la même chose que vous
faites ici quand le Saint-Esprit descend sur vous. Il n’y a pas de son
incertain en cela. De sa vie, il n’avait jamais entendu parler d’une
telle chose que le parler en langue, et voici qu’il est en train de
vous parler en langue.
432 Mais voici que l’interprète et ce type se
parlent et disent: «Blaw? (Vous voulez être sauvé?)
— Blaw-ah (Oui.)
— Quelqu’un ici veut-il être… (Uh-blaw, blaw, blaw.)
— Levez vos mains et recevez-Le! (Uh-blaw.)»
433 Oh là là! Et le voici qui se met à parler en
langue; il n’était pas au courant de cela, n’en avait pas la moindre
idée. Il n’y a pas d’incertitude en cela, c’est Jésus-Christ le même
hier, aujourd’hui et éternellement. Il ira directement rejoindre la
tribu, et ira prier pour les malades. Vous n’avez pas à lui dire.
434 Et les femmes américaines et les membres
d’église… Ce n’est pas tant à vous ici que je parle; c’est enregistré,
vous savez. Vous, membres d’église, qui portez des shorts et qui vous
comportez comme vous le faites! Vous en enlevez un petit peu plus
chaque année. Ensuite vous portez des shorts, ensuite de plus petits
shorts, et ensuite de plus petits shorts encore, et ainsi de suite.
Vous, pauvres membres d’église illusionnés, vous êtes pires qu’ils le
sont en Afrique, quand ces femmes se sont présentées ce jour-là, ce
jour où trente mille ont reçu Christ comme leur Sauveur personnel, d’un
seul coup. Et vous chantez dans les chorales; et vous portez des shorts
dans votre cour, pour tondre votre gazon, et au centre-ville. Vous êtes
pires qu’ils le sont. Ils se lèveront au jour du Jugement et vous aurez
honte de vous.
435 Et j’ai vu des femmes nues, n’ayant rien d’autre
qu’un petit morceau devant elles, comme cela. Et à la hauteur de leur
buste, rien du tout. Une simple petite bande de dix à quinze
centimètres autour de leur taille, suspendue devant elles. Et les
hommes aussi étaient complètement nus. Ne reconnaissant pas leur droite
de leur gauche. Et dès que la puissance du Saint-Esprit est venue, ces
femmes se sont croisé les bras sur leurs seins, n’ayant rien pour se
couvrir. Elles se sont croisé les bras, honteuses, et se sont
éloignées. Le lendemain, elles étaient habillées. Alléluia! Oui. Il n’y
a pas d’incertitude en cela.
436 Le Saint-Esprit vous fait vous habiller. Oui,
vous agirez avec décence. Rien de confus en cela. Voulez-vous de Lui?
N’aimeriez-vous pas servir quelqu’un comme Lui, le Seigneur
Jésus-Christ? Éloignez-vous de ces sons incertains!
437 Oh, on vous aime bien, oui, toute maquillée, et
tout. Vous pensez plaire à tout le monde. Mais, ma chérie, vous êtes en
train de mourir. Vous pensez être en train de vivre, et vous êtes en
train de mourir. La Bible a dit: «La femme qui vit dans les plaisirs
est morte, quoique vivante.» La Bible dit ça. Ce n’est pas là un son
confus. Elle dit: «Elle est morte.» C’est exact. Y a pas de confusion
en cela. C’est de l’incertitude, frère.
438 Dieu est un Dieu saint. Et quand un homme naît
de l’Esprit-Saint, il est un candidat. Non seulement ça, mais il est
aussi un roi, il est un prince. Il vient d’une autre Nation. Son
Royaume est d’en haut. Il est rempli de la puissance de Dieu, de la
présence de Dieu. La femme qui fait cela, porte des vêtements. L’homme
vit décemment et est fidèle à sa femme. La femme vit décemment et est
fidèle à son mari. Ils ne désirent rien du monde. Leurs affections sont
placées sur les choses d’en haut. Ils ont fini avec les choses du
monde. Ils sont de nouvelles créatures en Christ. Et ils sont saints,
vivent ainsi. Ce n’est pas eux qui sont saints, mais le Saint-Esprit
qui les gouverne. Ils n’ont plus leurs propres pensées; c’est le
Saint-Esprit qui pense en eux. C’est pourquoi ils agissent comme des
fous aux yeux du monde, parce qu’ils sont mus par un Esprit d’un autre
Royaume.
439 Oh, je sais que c’est ainsi, mon ami. J’étais
perdu auparavant, mais maintenant je suis sauvé. J’étais aveugle à ces
choses, mais maintenant je vois. La grâce m’a appris à craindre, et
c’est elle qui m’a libéré de mes peurs. Elle m’est apparue si précieuse
le jour où j’ai cru, quand je suis venu à Christ.
440 Pour terminer, en ce qui concerne à la fois le
salut et la guérison, laissez-moi pendant une minute vous apporter ces
paroles.
441 Paul Rader était un de mes amis. Je l’ai connu
sur une courte durée, je n’étais qu’un garçon à l’époque, assis à ses
pieds. C’était un grand ministre qui est mort ici il n’y a pas
longtemps, en Californie. Il a été atteint d’un cancer et allait
mourir, là-bas, en Californie. Le tabernacle que possède maintenant
O. L. Jaggers, c’était lui qui l’avait auparavant. J’oublie
comment on l’appelait en ce temps-là, mais c’est maintenant The World
Church. Son tabernacle se trouvait sur la rue Eldorado, en face du
Temple McPherson, juste en face du chemin du parc.
442 Maintenant, quand Paul Rader en était le
pasteur… Avant sa mort, il a posé sa main sur l’épaule d’un frère, que
je connais très bien, un ami de Ern Baxter, et il a dit: «Si j’avais
pris mon message de grâce et l’avais vendu aux pétillants pentecôtistes
plutôt que de perdre mon temps avec vous, baptistes, je serais vivant
aujourd’hui. Mais, a-t-il dit, je suis inquiet à cause de vous, et je
suis devenu si tendu, au point que je suis maintenant mourant.»
443 Donc, alors qu’il était là dans la chambre, ils
ont fermé les rideaux, et ils se sont mis à chanter Plus près de Toi,
mon Dieu! Il avait un sens de l’humour, vous savez, et il a dit: «Qui
est-ce qui se meurt, moi ou vous? Vous me paraissez bien plus mourants
que je le suis. Ne faites pas ça. Chantez-moi plutôt quelque chose de
plus joyeux.» Et le petit quatuor du Moody Bible Institute s’est mis à
chanter À la croix où mourut mon Sauveur. Il a dit: «C’est beaucoup
mieux. Gloire à Dieu!»
444 Il a dit: «Où est Luke?» Et Luke et Paul était
lié d’amitié, comme Billy, mon fils, et moi. Ils étaient frères, et ils
étaient toujours ensemble. Il a dit: «Où est Luke?» Et Luke ne voulait
pas voir son frère mourir; il était dans la pièce avoisinante, à
l’hôpital. Il a dit: «Allez le chercher, et dites-lui de venir.»
445 Et quand il s’est approché de Paul, Paul a pris
sa main. Et Luke a tenté de tourner la tête. Il a dit: «Luke, on a
passé ensemble de dures épreuves; pas vrai, mon frère?»
446 Il a répondu: «Oui, c’est vrai. À travers ces
années, on a travaillé dur, mon frère. C’est exact, on a mené plusieurs
durs combats.»
447 Il a repris: «Luke, pense à ça! Dans cinq
minutes, je serai dans la présence de Jésus-Christ, vêtu de Sa
justice.» Il a serré les mains de son frère, et il est mort. Il n’y a
rien d’incertain en cela. Il en connaissait le chemin. Il savait. Il
avait le baptême du Saint-Esprit, la puissance de Dieu dans sa vie.
448 Il avait été bûcheron… il avait abattu des
arbres.
449 Il était aussi un missionnaire, comme quand je
vais outre-mer. Et lui et Luke, et les autres, alors qu’ils étaient
dans les îles, ont contracté la fièvre noire. Si quelqu’un s’y connaît,
c’est mortel, et c’est très virulent. Donc, il a contracté la fièvre
noire. Ils se trouvaient à être très éloignés dans la jungle, où il n’y
a rien, lui et sa tendre petite femme.
450 Il a dit à sa femme: «Chérie, c’est si sombre
ici. Je vais mourir.»
451 Elle lui a dit: «Oh, Paul! Paul!» Et elle est
tombée sur sa face et s’est mise à implorer.
452 Il a dit: «Chérie, continue. Continue d’implorer
Dieu, et laisse-moi entendre ta voix. Que quelqu’un prie. Moi je ne
peux plus prier. Pendant que je meurs, je veux entendre ta prière.»
453 Et elle a continué d’implorer Dieu: «Ô Dieu, ne
le laisse pas mourir. Il n’a pas encore fini son travail.» Elle a
continué: «Ô Dieu, s’il Te plaît, ne reprends pas Paul.» Elle était
couchée en travers de lui, comme cela.
454 Ça s’est assombri de plus en plus. Il a dit:
«Chérie, c’est de plus en plus sombre.»
455 Et finalement il est mort. Il a dit: «Une fois
mort, j’ai rêvé que j’étais de nouveau un jeune homme.» Il a dit: «Je
me trouvais dans la forêt», de l’Orégon, d’où il était originaire. Il a
dit: «J’avais abattu un arbre. Le patron m’avait dit: ‘Monte sur la
colline, Paul, et là tu abattras une quantité d’un certain arbre, et
puis nous devons faire du bois de construction.’»
456 Il lui a répondu: «Très bien, patron.» Il a dit
qu’il pouvait humer leur fraîcheur. Il se sentait si bien. Il a dit
qu’il montait dans la forêt comme ça. Il a empoigné sa hache, et il a
dit qu’il pouvait sentir le fer de la hache pénétrer dans ce pin
tendre, vous savez, le pin d’Orégon. Dans le Sud, ils ont ce même
arbre, il est très dur. Vous montez au Nord, et plus il fait froid,
plus le bois devient mou. Finalement, il a dit qu’il a pris sa hache et
en a coupé toutes les branches. Il a dit qu’il a planté sa hache dans
l’arbre et s’est dit: «Eh bien, je vais descendre la colline avec ça.»
457 Il l’a empoigné et a dit qu’il n’avait pas pu le
soulever. Il ne pouvait tout simplement pas le soulever. Il a dit qu’il
avait essayé et réessayé. Il s’était souvenu que les muscles les plus
forts d’un homme sont les muscles de son dos. Donc il a dit qu’il avait
collé ses genoux ensemble, pour ne pas se blesser, et il s’est penché
et l’a empoigné. Il a gonflé tous les muscles de son corps en forçant
pour le soulever, et il a dit qu’il a tiré et tiré sans pouvoir y
parvenir. Il s’est dit: «Il faut que je descende ce rondin! Il le faut!
Le patron me l’a exigé, et il faut que je l’amène. Eh quoi,
habituellement… Je me demande bien où j’ai laissé toutes mes forces.
J’aurais pu mettre cette chose-là sur mon épaule et descendre à pied,
mais je ne peux même pas le soulever.» Et il a essayé, et essayé, et
essayé. Il a dit qu’il ne pouvait tout simplement pas. Il s’est épuisé.
458 Il a dit qu’il s’est effondré au pied d’un arbre
et s’est dit: «J’ai essayé autant comme autant; j’ai tout essayé. Il
faut bien que je le descende, mais je ne sais pas comment. Je ne peux
pas le lever.» Il était assis là, et a dit qu’il s’était dit: «Je ne
sais vraiment pas quoi faire.»
459 Et il a dit qu’il avait entendu sa voix, la voix
de son patron, dire: «Paul», et il a dit que c’était la voix la plus
douce qu’il eût jamais entendue.
460 Et il a dit: «Quand je me suis retourné pour
regarder, c’était mon patron, mais c’était mon véritable Patron.
C’était Jésus.»
461 Et Il a dit: «Pourquoi forces-tu là-dessus comme
ça, Paul? Tu vois le ruisseau qui est là?» Il a dit: «Ce ruisseau coule
jusqu’au camp. Pourquoi ne le pousses-tu pas dans l’eau? Chevauche-le
et descends dessus.»
462 Donc, il a dit qu’il avait roulé le rondin dans
l’eau et était monté dessus; et il a passé les cascades, en jubilant et
en criant: «Je le chevauche! je le chevauche!»
463 Et il a dit, quand il est revenu, que sa femme
était étendue sur lui, dans la chambre, et priait. D’un bond il s’est
retrouvé au milieu de la chambre, en criant: «Je le chevauche! Je le
chevauche!»
464 Frères, laissez-moi vous dire quelque chose, ce
matin. Ne vous épuisez pas à cela. Je ne vais pas essayer de m’épuiser
à cela. Cela vous épuisera d’aller de l’un à l’autre, et «Je suis
méthodiste» ou «Je suis baptiste», et «Je suis ceci». J’ai simplement
reçu Jésus. J’ai pris Sa promesse, par la grâce. Il est venu à moi, et
je chevauche là-dessus. Je ne me soucie pas de ce qui arrive ou de ce
qui se passe, ou combien de fois nous sommes taxés de fous ou de
fanatiques.
465 Sur votre guérison, ce matin, quand on a prié…
on ne va pas avoir le temps maintenant pour une ligne de discernement
(il est presque 13 heures). Nous allons prier pour les malades, et
prier pour tous ceux qui sont ici. Jésus a dit: «Ces signes
accompagneront ceux qui croient.» N’est-ce pas? — [Amen.] «S’ils
imposent les mains aux malades, ils seront guéris.» Pas vrai? C’est ça
que je chevauche. Êtes-vous prêts à chevaucher là-dessus?
Courbons nos têtes un moment.
466 Ô Dieu bien-aimé, oh, en ces derniers jours,
quand les heures s’assombrissent, l’église a contourné la Parole, et
ils ont zigzagué parmi les dénominations. Et ils savent que ce n’est
pas correct, Seigneur. Puissent-ils cesser de déformer la Parole. Il y
a probablement des gens ici, ce matin, qui ont été d’une église à
l’autre; un jour dans la méthodiste, et l’autre dans la baptiste, et
puis dans la pentecôtiste, ensuite dans l’Église de Dieu, ensuite dans
la nazaréenne. Ô Dieu, puissent-ils arrêter d’agir ainsi.
467 Puissent-ils venir, chevaucher la promesse ce
matin, Seigneur. Relaxez, prenez Dieu à Sa promesse, quand Il a dit:
«Si vous vous repentez et êtes baptisé dans le Nom de Jésus-Christ pour
le pardon de vos péchés, vous recevrez le don du Saint-Esprit.» Ô Dieu,
accorde-leur de pouvoir chevaucher sur cette promesse, ce matin, de
tomber directement dans l’océan de Sa bonté, les jets de la Vie
éternelle, l’eau de l’Esprit. Accorde-le, Seigneur.
468 Que le Saint-Esprit, qui court en cascades, en
fraîcheur, qui se trouve à leur porte cette fois, puissent-ils sauter
dans le ruisseau, sur la promesse de Dieu, et dire: «Seigneur, je
chevauche Ta promesse. Me voici. Je chevauche Ta promesse.»
469 Puissent les malades et les affligés, qui sont
malades et ne savent plus quoi faire, les docteurs les ayant
abandonnés… ils ont lutté d’un hôpital à l’autre, d’une porte à
l’autre, d’une place à l’autre. Ils ne savent pas quoi faire, Seigneur.
Mais le ruisseau de la Vie coule maintenant à leur côté, ce matin.
Puissent-ils prendre cette Écriture, en Marc 16: «S’ils imposent
les mains aux malades, ils recouvriront la santé.» Les croyants
recouvriront la santé, si on leur impose les mains.
470 Seigneur, puissent-ils considérer cela, ce
matin, monter là-dessus et dire: «Seigneur, me voici. Je ne sais pas
comment je vais y aller, mais je la chevauche. Je vais descendre les
ruisseaux, me réjouissant, faisant éclabousser de mes mains les eaux de
la Vie, les jetant sur mon âme, et jusqu’à ma tête, et me baignant dans
Ta bonté, et me réjouissant, comme j’avance, chevauchant Ta promesse
qui dit: «Ils seront guéris.» Accorde-le, Père.
Maintenant, avec vos têtes inclinées.
471 Je me demande s’il y aurait dans cette bâtisse,
ce matin… combien ici ce matin ne connaissent pas Christ comme leur
Sauveur, et vous croyez que le ruisseau de la Vie est venu jusqu’à
vous? Vous avez eu toutes sortes de sons confus, vous avez bâti votre
maison sur des sables mouvants. Vous réalisez qu’un jour vous allez
mourir, vous allez sortir de ce monde. Et vous voulez, vous voulez
vraiment entendre un Son certain, et vous croyez l’avoir entendu ce
matin, que Christ vous aime toujours. Peu importe combien pécheur vous
êtes, Il vous aime toujours. Et vous voudriez que je me souvienne de
vous dans la prière?
472 Et là même où vous êtes… on ne peut vous appeler
ici à l’autel. Il n’y en a pas, parce qu’elle est remplie d’enfants, et
ainsi de suite. Mais vous aimeriez, vous croyez que vous aimeriez
accepter Christ en ce moment même comme votre Sauveur personnel, et
vous voulez que je me souvienne de vous dans un mot de prière?
Lèveriez-vous la main, et dire: «J’accepte maintenant Christ comme mon
Sauveur personnel. Je veux qu’Il me fasse part de Sa bonté.» Que Dieu
vous bénisse, vous qui êtes dans le fond, là-bas. Au bout de l’allée,
je vous ai vu aussi. Que Dieu vous bénisse. Y en aurait-il un autre?
Levez votre main, peu importe où vous êtes. Les têtes inclinées. Que
Dieu vous bénisse, jeune dame. Que Dieu vous bénisse à l’arrière, sœur.
Que Dieu vous bénisse à l’arrière, sœur.
473 Vous n’avez pas levé votre main, mais je suis
allé voir votre mari hier soir à l’hôpital; il était en très mauvais
état. Ne vous en faites pas, il ira très bien. Le Seigneur l’a touché
là même hier soir. J’ai vu ce qui n’allait pas avec lui. Les docteurs
ont tenté durant quatre jours de savoir, mais ils n’ont rien pu voir
par les rayons X. Mais le Saint-Esprit va plus profondément que les
rayons X. Il est Dieu. Il va bien, il rentrera à la maison. Et
peut-être aujourd’hui.
474 Très bien, quelqu’un d’autre? Tout au fond. Que
Dieu vous bénisse. «Je veux accepter Christ comme mon Sauveur
personnel. Je veux être prêt. Je connais l’incertitude de mon foyer. Je
connais l’incertitude de mon emploi. Je connais l’incertitude de ma
vie. Je ne connais pas le jour de ma mort. Ce pourrait être
aujourd’hui. Je ne sais pas. C’est incertain. Mais je veux un Son
certain. Je crois l’avoir entendu aujourd’hui à travers l’Évangile, que
Jésus-Christ m’aime. Et je veux L’accepter comme mon Sauveur
personnel.» Y a-t-il quelqu’un qui n’a pas levé sa main et qui voudrait
le faire? — Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Très bien.
Quelqu’un d’autre, qui n’aurait pas encore levé sa main? Levez la main
et dites: «Rappelez-vous de moi, frère Branham, dans la prière.» Que
Dieu vous bénisse. D’accord.
475 Père Céleste, il y a un Son certain que ces gens
ont entendu. Il y en a beaucoup qui T’ont ce matin accepté comme leur
Sauveur personnel. Maintenant, Père, je sais que c’est une tradition de
faire venir les gens à l’autel pour prier; mais ce n’est pas
scripturaire, parce que l’Écriture dit: «Tous ceux qui crurent en Lui
furent baptisés.» Aussi je prie, Père, que ceux qui ont cru en Toi, que
Tu t’es révélé à eux, dans ce Son certain d’une voix, pour qu’ils
sachent que c’est Toi. Et ils Te veulent comme leur Sauveur. Ils ont
levé leur main, pour que je me souvienne d’eux dans un mot de prière.
476 Ô mon Dieu, sachant que le temps va s’arrêter,
que les lumières vont s’éteindre… la lumière de la civilisation
s’éteint. La lumière de l’Amérique s’éteint. La lumière des nations
s’éteint, car la Lumière du monde entre. Je prie, ô Dieu, que Tu leur
permettras de recevoir cette grande Lumière. Nous réalisons que les
ténèbres ne peuvent exister dans la présence de la Lumière. La Lumière
est beaucoup plus intense que les ténèbres.
477 Et laisse-leur savoir qu’il y a 10 heures à
peine, cette bâtisse était recouverte de ténèbres, aucun siège ne
pouvait être vu. C’était la nuit noire dans cette bâtisse, il y a 10
heures. Mais le soleil s’est levé, et où est passée la noirceur?
Trouvez-la pour moi. On ne peut la trouver. Où en est sa chimie?
Qu’est-il arrivé? On ne peut la trouver. Elle n’est plus.
478 Il en est ainsi des péchés maintenant. Là où, il
y a 20 minutes, les ténèbres recouvraient leur âme; mais ils T’ont
accepté comme leur Sauveur, et les ténèbres ont disparu. «Vos péchés,
qui étaient nombreux, ont été purgés, et sont maintenant aussi blancs
que la neige.» Vous ne pouvez plus les trouver. Ils ne sont plus dans
le Livre. Ils ne sont plus sur le registre. Le Sang de Jésus-Christ
leur pardonne leurs péchés. Puissent-ils en retour se lever et être
baptisés ce soir dans le Nom de Jésus-Christ, faisant appel au Nom du
Seigneur, et recevoir le Saint-Esprit. Accorde-le, Père. Je Te les
remets comme les trophées du Message de ce matin, dans le Nom de
Jésus-Christ, Ton Fils. Amen.
[Frère Branham poursuit le service. — N.D.É.]