La Divinité Expliquée
1 Merci, Frère Carlson. Et bonjour à vous tous,
frères et sœurs dans le Seigneur. C'est... Parfois, je suis un peu
réticent à m'avancer, quand j'écoute des témoignages si merveilleux, et
tout, comme je l'ai fait ce matin. Et puis, un concitoyen dans la
souffrance et la persécution, comme ce que notre frère et notre sœur
baptistes ont traversé; comme je suis moi-même un–un ancien baptiste,
un baptiste missionnaire, et–et je sais ce que c'est quand les vôtres...
2 La même chose m'est arrivée. Ceux avec qui j'étais
m'ont rejeté, et ils avaient l'idée de me renvoyer parce que j'étais
devenu fou. Et j'ai découvert, comme j'avais l'habitude de le dire
d'une manière un peu détournée: «Si je suis fou, laissez-moi
tranquille, parce que je suis plus heureux comme ça que quand j'avais
toute ma tête.» Oui monsieur. Merci. Laissez-moi... Alors c'est un
genre de petite philosophie que j'ai, à moi. Et–et depuis le–le temps
que je suis comme ça, je me sens vraiment bien.
3 Et le petit frère de l'Église de Christ, ici,
comme on a l'habitude de l'appeler, ou campbellite. Et je me souviens
qu'ils frappaient vraiment fort contre les réunions au début, quand on
a commencé. Mais, vous savez, on en a eu un qui s'appelait Paul, qui
était pareil autrefois, et qui est devenu l'un des nôtres. Donc, je
pense que ce qu'ils cherchent à voir, d'habitude, c'est la vie que vous
vivez. Vous savez, il vaut toujours mieux me vivre une prédication que
de me la prêcher.
4 Il y a quelque temps, un grand prédicateur, un
brave homme du Plein Évangile; je suppose que vous le connaissez tous.
C'est le pasteur Booth-Clibborn; il prêche l'Évangile en sept langues
différentes. Il est vraiment intelligent. Et je... C'est un géant
cérébral. Et une fois, on voyageait ensemble, et lui et Frère Moore et
moi, et on discutait de quelque chose. Et mon idée était contraire à la
sienne, et il a tourné les yeux vers moi. I1 a dit: «Vous ne connaissez
vraiment pas votre Bible.» Vous savez comment Frère Booth peut le dire.
5 J'ai dit: «C'est vrai, Frère Booth, mais je
connais vraiment bien l'Auteur.» Alors, alors je–je veux... Vous savez,
ce n'est pas de connaître Sa Parole qui est la Vie, mais «Le connaître,
Lui, c'est la Vie». C'est vrai. Voyez? Que je connaisse Sa Parole ou
pas; si seulement je Le connais, Lui! Et c'est certainement la Vérité.
6 Ce matin, je serrais la main aux braves frères
prédicateurs de cette association, ici. Et là-bas, assis, il y avait
ce... Je ne veux pas mettre qui que ce soit en avant. Mais cet homme de
couleur est entré, ce frère, il s'est assis là. J'ai dit à mon
secrétaire ici: «Voilà un vrai chrétien.»
7 Il me rappelle tellement l'Ancien Smith qui était
de l'Église de Dieu en Christ, je crois. Je prêchais tellement souvent
chez eux, là-bas, et–et je le revois encore. Il ressemblait un peu au
frère ici, sauf qu'il avait un genre de moustache grise. J'entrais par
la porte arrière, et je n'ai jamais oublié l'expression que ce
vieillard utilisait; en levant les yeux, et tous les saints étaient en
train de chanter, vous savez. Et il y avait une jeune fille qui
habitait au coin. Mon chant préféré, c'était Élève-Le. Et ils tapaient
tous des mains, à la manière pentecôtiste, vous savez, Élève-Le. Ils
m'aimaient, et je les aimais. Et quand on entrait. D'habitude, il était
assis là, la tête appuyée comme ça, sur la table, et il les regardait,
vous savez. Il disait: «Entrez, ancien. Laissez reposer votre chapeau.
Laissez reposer votre chapeau.»
8 Le frère ici; et j'ai appris, alors, qu'une de mes
chanteuses de musique chrétienne préférées, c'est son épouse. Et j'ai
fait toutes les allusions possibles, pour qu'elle chante. Et, là, elle
a demandé qu'on ne la fasse pas venir, et je sais ce que ça veut dire,
ça. Mais je vais l'inviter personnellement, si elle peut, à venir
chanter chez nous.
9 Mais, vous êtes bien la sœur qui a chanté–chanté
ça, Ohé du Navire! un matin aux Hommes d'Affaires Chrétiens, n'est-ce
pas? [La sœur dit: «Oui, monsieur. Oui.» – N.D.É.] J'espère que mon
épouse viendra cette semaine, et je veux qu'elle vous entende, parce
que je vous ai tellement vantée. Et si vous manquez ça, sur la bande,
on va régler ça. J'aime ces beaux chants.
10 Et, je disais aux gens, je–je n'ai jamais su
chanter. Oh, j'étais à des millions de milles de là. Mais je disais:
«Si jamais vous arrivez au Ciel, que vous vivez dans votre grand
palais, vous savez, Là-haut,» je disais, «tout en bas, au pied de la
colline, au fond du bois, là-bas, il y a une petite cabane, là. Ce sera
la mienne. Et un de ces matins, quand vous sortirez sur la véranda et
que vous entendrez quelqu'un qui est là, en train de chanter: ‘Grâce
étonnante! qu'il est doux le son, qui a sauvé un misérable comme moi!’
Vous direz: ‘Gloire à Dieu! Le brave Frère Branham y est enfin
arrivé.’» Ce sera moi là-bas à écouter, en train d'essayer de chanter.
11 À mes frères chrétiens, et à... Je crois qu'un
frère nous l'a présenté, ce matin, comme un ministre du culte de
Bouddha, ici. Bonjour à vous, mon cher ami. Et j'ai eu beaucoup
d'échanges, pas trop, mais avec les bouddhistes; et en particulier au
Canada, parmi les Chinois, et je les ai trouvés vraiment chaleureux et
gentils.
12 Je me souviens qu'un petit bouddhiste du temple
de Bouddha était venu à la réunion de Winnipeg, et il était aveugle. Ce
sont des gens si petits, vraiment gentils, et ils croyaient assurément
que Dieu était le guérisseur. Et pendant qu'on priait pour lui, et il
répétait sans arrêt combien il aimait Dieu, et tout d'un coup ses yeux
se sont ouverts, dans... Et ça a été une–une chose tellement
merveilleuse. Alors, nous–nous apprécions tous les hommes et toutes les
personnes.
13 Maintenant, je n'ai pas eu cette occasion
auparavant, à Chicago, d'essayer de parler... Et je n'essaierais pas
d'apporter un message en particulier, parce qu'il y a ici des
prédicateurs bien plus capables que moi, d'apporter un message. Mais,
et après tout, vous n'êtes pas ici pour entendre un message. Mais j'ai
pensé que ça pourrait être un moment très glorieux qui me permette de
rencontrer les prédicateurs de Chicago, de cette région, ici, et de
mieux les connaître, et qu'on puisse mieux se connaître. Et je remercie
vraiment le Seigneur pour cette occasion. En effet, je suis souvent
venu ici dans cette ville, soutenu par une seule église, et soutenu par
les Hommes d'Affaires Chrétiens; donc sans la possibilité de m'exprimer
à l'association de frères.
14 Et–et puis j'ai pensé, et il y a tellement de
choses qui suivent un ministère comme celui-ci, les tenants et les
aboutissants, et des hauts et des bas, que parfois, c'est facile pour
quelqu'un de s'en faire une mauvaise impression. Et je veux prendre les
quelques minutes qui vont suivre pour essayer d'expliquer et–et de
rendre ça clair pour mes frères, aussi clair que je peux le rendre.
15 Et je–je ne suis pas à la hauteur, et je suis
incapable de faire un–un discours qui puisse peut-être avoir du sens
pour des hommes qui sont instruits. Je n'ai pas d'instruction, et, j'en
manque. Mais j'ai été... j'aime le Seigneur. Et le Seigneur m'a donné,
peut-être, une autre manière de gagner des âmes, par un don Divin, pour
combler la lacune de ce que mes parents n'ont pas pu me donner une
instruction. Je viens d'un foyer de famille pauvre, avec dix enfants,
et un père malade, et je n'ai pas eu la possibilité de faire des
études. Ainsi, mais, à ma naissance, il est arrivé quelque chose, une
expérience avec Dieu, pour ma mère et mon père. Et vous avez lu mon
histoire. Et, c'est avec cela que j'essaie d'apporter ma contribution,
avec vous, les frères, pour attirer des pécheurs à Christ. Et
maintenant je...
16 Je ne suis pas superstitieux. Mais j'aime
toujours, avant d'ouvrir la Parole, parler un peu à l'Auteur. Alors,
pourrions-nous juste courber la tête de nouveau un instant.
17 Notre précieux Père, Tu es notre Dieu, et nous
nous approchons de Toi au nom de l'Évangile. Je suis ici devant Tes
enfants, Tes pasteurs, et des frères qui ont reçu une foi du même prix
que la mienne. Et combien ça remplit mon cœur d'enthousiasme d'entendre
ces hommes qui ont été mal compris, et envoyés dans des hôpitaux
psychiatriques, pour la cause du Royaume de Dieu; de voir comme Tu
appelles Tes enfants dans les derniers jours.
18 Et nous croyons réellement, Père, que nous vivons
à la fin de la course. Comme le prophète l'a dit: «La Lumière paraîtra
au temps du soir.» Et nous croyons aujourd'hui que nous sommes les
porteurs de cette grande Lumière de l'Évangile que, par Ta grâce, Tu
nous as permis d'apporter jusqu'aux confins de la terre, où ce réveil
est parvenu.
19 Et je Te prie, Père, de me permettre d'exprimer
le fond de mon cœur à mes frères, ce matin, le motif et l'objectif de
ma vie pour Toi, pour qu'ils comprennent. Accorde-le, afin que nous
puissions avoir une communion, une collaboration et un amour parfaits,
dans toute l’œuvre de l'Évangile. Car nous le demandons au Nom de
Jésus, Qui a prié pour que nous soyons un, comme Lui et Son Père
étaient Un. En croyant ceci, qu' «à ceci tous connaîtront que vous êtes
Mes disciples, si vous avez de l'amour, les uns pour les autres». Amen.
20 Maintenant, juste... Et j'espère et je veux
croire que je ne vous ennuie pas, frères et sœurs, avec ceci. Mais je
pense, j'aimerais être clair, pour que vous n'ayez pas à écouter ce que
quelqu'un d'autre a dit. Et j'ai expliqué, bien des fois, dans d'autres
réunions de prédicateurs, mais c'est la première fois pour moi, à ce
groupe de Chicago, et j'aimerais me faire connaître vraiment bien, sur
ce que j'essaie de faire.
21 Dans le vieil Évangile béni, ici, au chapitre 26
du Livre des Actes, nous lisons:
En conséquence, roi Agrippa, je n'ai point résisté à
la vision céleste:
22 Ici, bien sûr, c'est Paul qui parle. Et nous
tous, en tant que prédicateurs, nous aimons nous référer à lui, parce
qu'il... Nous croyons, d'un même accord, qu'il était l'apôtre pour
l'église des nations, que Dieu l'a appelé à être un témoin pour ceux
des nations. Et son ministère avait été mis en question.
23 Et d'habitude, quand quelque chose d'inhabituel
se déclare, c'est mis en question. C'est, et je pense que c'est tout à
fait juste; ça doit être mis en question. Et je pense que parfois les
pasteurs se méfient des–des choses qu'ils entendent, et je pense qu'ils
sont en droit de le faire. En effet, si je comprends la traduction du
mot pasteur, ça veut dire un «berger». Et, par conséquent, il est
un–un–un homme qui nourrit, ou qui conduit un groupe d'hommes et de
femmes que le Saint-Esprit a confié à sa surveillance. Et il a le droit
de savoir quelle sorte de nourriture ses brebis reçoivent, et d'où elle
vient. Je pense qu'il y a droit.
24 Et si un pasteur, ou quelquefois des gens,
avaient l'air d'être quelque peu méfiants, jamais ça ne, ça ne devrait
déranger personne. Ça devrait seulement créer du respect dans le cœur
d'un homme, pour un homme qui tient cette–cette position, qui mettrait
ça en question. Et, après tout, si vous n'êtes pas certain d'être
aligné comme il faut, comment pourrez-vous jamais marcher par la foi?
25 Si vous vous mettez en tête... Maintenant, ceci a
l'air d'être de la psychologie; d'ailleurs c'en est probablement, et
c'en est, mais ça ne fait rien. Mais si vous pensiez réellement, dans
votre cœur, que vous n'alliez jamais vous relever de la table,
probablement que vous ne le feriez pas. Voyez? Vous devez... C'est
aussi simple que ça.
26 Vous devez croire. Vous devez avoir la foi. Vous
devez avoir confiance. Et comment pourriez-vous avoir confiance en
quelque chose quand vous–quand vous ne savez même pas où vous allez?
Comment est-ce que je pourrais m'en aller sur une route où je n'ai
jamais été avant, en conduisant à une vitesse folle, et avec plein de
virages, sans savoir ce que cache le prochain virage? Vous devez voir
où vous allez, sinon vous ne savez pas comment marcher. Et c'est comme
ça que tout le monde devrait être. Et à ce moment-là, quand vous
pouvez, que vous le voyez, que ça vous est révélé, et que vous savez où
vous allez, alors rien ne vous arrêtera.
27 Et c'est ça, je pense, Paul, ce qu'il essayait de
faire comprendre à Agrippa ici. Là, il–il leur disait qu'autrefois
j'étais l'un des vôtres».
28 Et je pense, peut-être, si–si ce frère baptiste,
et s'il pouvait aller à l'église baptiste ce matin, lui et son épouse,
ce serait peut-être leur témoignage. «Je–j'étais autrefois l'un des
vôtres.»
29 Ou celui de l'Église de Christ, ou le–le frère
campbellite, ici, s'il allait vers–vers les siens. Je crois qu'ils
portent un meilleur nom; les Disciples de Christ, c'est ce qu'ils se
nomment, mais, en fait, ils sont pour la doctrine d'Alexander Campbell.
Et puis l'Église de Christ s'est retirée de vous, à cause de la
musique. C'est vrai, n'est-ce pas? Et s'il pouvait retourner vers eux,
il dirait: «J'étais autrefois l'un des vôtres.»
30 Et Paul va voir le roi Agrippa, là-bas, et
Festus, et il disait: «J'étais autrefois l'un des vôtres. J'étais le
pharisien des pharisiens.» Il avait été l'élève de Gamaliel, le grand
docteur, et il connaissait toutes leurs règles et règlements, et
exactement ce qu'ils croyaient et ce qu'ils ne croyaient pas. Et il a
dit: «J'ai même persécuté l'Église de Dieu à mort.» Voyez? Il a dit:
«La chose même pour laquelle je suis mis en question, je la
persécutais.»
31 Et j'ai toujours pensé que la mort d'Étienne a dû
donner un coup à Paul, à cause de ce regard glorieux qu'il a vu sur le
visage d'Étienne. Quand il a levé les yeux, alors que les pierres le
frappaient à mort, et qu'il a dit: «Je vois Jésus debout à la droite de
Dieu.» Et, vous savez, vous pouvez tuer un messager, mais vous ne
pouvez jamais tuer son message. C'est la Vérité. Et le message, bien
qu'Étienne était parti rejoindre Jésus, son message a quand même
survécu, parce que Paul n'arrêtait pas de parler de ça, et de ce que,
il était «le moindre» d'entre eux, et qu'il n'était pas digne d'être
compté parmi eux, parce qu'il avait été témoin et–et qu'il avait donné
son approbation pour qu'on supprime cette personne sainte.
32 Et donc, Paul, comme tous les hommes, devant les
hommes, devraient faire, Paul ramène son–son expérience, au début, à ce
qu'il était; et puis il la place et la fonde sur l'Écriture, pour
montrer que ce qu'il faisait était conforme à l'Écriture. Bien que
c'était contraire à leur croyance, il leur montrait que c'était quand
même l'Écriture.
33 Donc, je pense que nous... Peu importe ce que
c'est, comme je l'ai souvent dit, frères, vous qui avez été dans les
réunions, si jamais il m'arrivait à moi de dire des choses qui ne sont
pas conformes à l'Écriture, alors je pense qu'il est vrai que... ou à
tout autre frère, on devrait venir l'un à l'autre et dire: «Ça ne se
trouve pas dans la Bible», vous voyez. Si c'est dans la Bible, il se
peut que vous en ayez une interprétation différente; mais, c'est, si
c'est dans l'Écriture, alors d'accord.
34 Là, Paul donnait son interprétation de ce que le
prophète avait annoncé, et de ce que Moïse avait annoncé, qui
s'accomplissait. Et il a rencontré Jésus sur le chemin, dans une
vision. Et ce Jésus l'a appelé.
35 Et ça n'aurait pas dû être quelque chose de
difficile pour ces Juifs, comme il disait: «Très excellent Festus,»
et–et ainsi de suite, que ça «vous semble-t-il étrange que Dieu
ressuscite les morts?» Voyez? «En effet, si vous savez ce que Dieu
était à l'époque, par les–les Écritures, certainement vous devriez
savoir qu'Il est capable de ressusciter les morts.»
36 Et puis il a dit, il leur avait rapporté
l'expérience qu'il avait eue sur le chemin de Damas, de ce qui était
arrivé, tout ça, pour leur faire savoir que ce Jésus, au sujet–au sujet
duquel il prêchait, ce qui causait tant d'émoi parmi eux, était le Dieu
même qu'ils avaient toujours servi. En effet, Il était dans le désert,
avec eux, Celui qui les conduisait, puisqu'Il était cette Lumière; le
Feu, la Colonne de Feu qui les conduisait. Et Il est apparu à Paul dans
la même chose, de nouveau la Lumière, qui l'a aveuglé. Et Il a demandé:
«Qui es-Tu, Seigneur?»
37 Et Il a dit: «Je suis Jésus que tu persécutes. Et
il serait dur de regimber contre les aiguillons.»
38 Et il essayait de leur expliquer ce qu'il en
était, et–et il essayait de leur enseigner que ce qu'il apportait aux
gens, c'était que «Jésus-Christ était le Messie, et qu'Il était mort,
et que Dieu L'avait ressuscité». Et que c'était conforme aux Écritures.
«Et qu'Il était maintenant monté en Haut, vers Dieu le Père», et
que–qu'il était un témoin de Sa résurrection. Et que ces miracles, et
ces signes, et ces prodiges, qui étaient étranges pour les gens, ce
n'était pas du tout quelque chose de nouveau pour un vrai croyant de
l'Écriture, parce que le Bible en avait parlé.
39 Regardez, à l'époque des prophètes, comment il
était prophétisé, ce que, à la venue du Messie, et ce qu'Il ferait: «Le
boiteux sautera comme un cerf», dans Ésaïe 35 et plusieurs passages de
l'Écriture auxquels il aurait pu se référer. Nous ne l'avons pas par
écrit, ici, mais peut-être que de reprendre ça et s'y référer dans son
bref discours devant les rois; en effet, ils n'auraient probablement
pas été aussi patients avec lui que vous l'êtes avec moi. Alors, et
puis il–il expliquait cela, et il essayait de leur dire que le Dieu
même qu'ils servaient...
40 Et puis, de nouveau, il a dit: «Selon la voie
qu'ils appellent secte,» c'est-à-dire «folie», vous voyez. «La voie
qu'ils appellent une secte, voilà comment j'adore le Dieu que vous
adorez.» Vous voyez: «Selon la voie qu'ils appellent secte.»
41 Je suis certain qu'aujourd'hui, si nous nous
présentions devant les anciennes églises auxquelles nous appartenions,
comme les presbytériens, les catholiques, les baptistes, et plusieurs
autres, nous pourrions donner le même témoignage à ces gens qui disent
qu'ils veulent, par exemple, mettre le frère dans un pavillon pour
psychopathes, ou quelque chose comme ça. «Selon la voie qu'ils
appellent une secte, voilà comment j'adore le Dieu de nos pères.»
42 Et quel témoignage grandiose c'était devant
Agrippa, au point que même en plein milieu de son discours, Agrippa
s'est écrié en disant: «Paul, Saul, tu vas bientôt me persuader de
devenir chrétien.» Vous voyez comme il a apporté les Écritures si
clairement, pourtant c'était contraire à sa propre synagogue. Mais les
Écritures étaient si parfaitement claires qu'il a dit: «Tu vas bientôt
me persuader de devenir comme tu es.»
43 Paul a dit: «Je souhaiterais que tu le sois, tout
à fait, seulement je ne voudrais pas que tu sois enchaîné comme je le
suis, tu vois», mais qu'il soit un croyant comme lui. Autrement dit, si
je... «Plaise à Dieu que tu voies la révélation comme–comme je la
vois.» Autrement dit: «Je–je souhaiterais que tu puisses le faire.»
Voyez? «Je souhaiterais vraiment que tu le fasses.»
44 Quand Festus, je crois, lui avait dit qu'il avait
«trop étudié», qu'il était «dérangé de la tête». Mais il lui a fait
savoir qu'il–qu'il ne l'était pas; qu'il–il savait où il en était.
45 Et je dirai ceci, ce matin, frères. Je
souhaiterais tout à fait pouvoir... Pas en comparaison de la vie de
Paul, mais juste pour faire un petit exposé de base. En effet, il y en
a bien d'autres ici qui vont peut-être parler ce matin, mais je voulais
cette occasion de dire ceci. Maintenant, j'aimerais que chacune des
églises, comme je vous ai entendus les énumérer, le Temple Béthel,
l'Indépendante, les Assemblées de Dieu, et plusieurs autres... Je
souhaiterais tout à fait que vous puissiez voir ce que je vois. Que
vous puissiez, je souhaiterais que vous puissiez voir la vision que je
vois, alors vous auriez une compréhension plus claire, pour ce qui est
du ministère.
46 Quand j'ai quitté l'église baptiste, pour gagner
la pentecôte; et le docteur Roy E. Davis, qui m'avait ordonné dans
l'église baptiste missionnaire, m'a dit que j'avais eu un cauchemar,
quand la vision du Seigneur était venue et–et m'avait parlé. Et–et vous
savez où la guérison en était à l'époque, c'était au plus bas.
47 Et–et je ne savais rien des pentecôtistes.
J'avais entendu qu'ils étaient une bande d'exaltés qui se couchaient
par terre et qui bavaient comme des chiens enragés, et qu'on devait les
éventer et les ranimer, et tout ça. Voilà tout ce que je savais des
pentecôtistes.
Il a dit: «Qui, penses-tu, va t'écouter?»
48 J'ai dit: «Si Dieu m'envoie, il y a quelque part,
et quelqu'un vers qui Il m'envoie.» C'est vrai. Voyez? En effet, j'ai
dit: «Docteur Davis,» j'ai dit, «Il était vraiment réel; j'étais là, et
je Le regardais», j'ai dit. On m'a dit que ces visions...
49 Je suis un grand croyant, frères, en–en ce que
les dons et les appels sont sans repentance. Je–je crois ça. Vous êtes
né, vous ne pouvez pas être quelque chose que vous n'êtes pas. Et quand
vous essayez de vous faire passer pour quelque chose que vous n'êtes
pas, vous ne faites que jouer le rôle d'un hypocrite. Et que Dieu me
fasse mourir plutôt que je devienne un hypocrite, vous voyez. Que je
sois ce que je suis, simplement, et puis que je le fasse comprendre
clairement. Et–et puis, que–que je sois comme ça, et là tout le monde
sait. Alors vous savez exactement.
50 Et alors, maintenant, comme vous savez, je n'ai
pas fait beaucoup d'études, comme je l'ai dit. Alors, dans ma... en
théologie, je suis le plus médiocre de tous. Et je pense que vous le
savez, vous voyez. Et, comme prédicateur, je peux à peine dire que j'en
suis un, parce que je n'ai pas fait d'études, que je ne connais pas les
mots, et ainsi de suite. Mais le peu que j'ai, pour... ce que j'ai
comme connaissance, de connaître, par Sa grâce, le Seigneur Jésus,
j'essaie de partager ça avec tous mes frères partout, de partager ça.
51 Et, mais, quand j'ai quitté l'église baptiste;
qui est la seule église où je sois jamais entré, ou dans laquelle j'aie
été ordonné. Et j'ai été ordonné en 1933, dans l'église baptiste
missionnaire, à Jeffersonville, dans l'Indiana. C'est un–un... c'est un
membre de la Southern Baptist Convention. Alors nous, à ce moment-là,
je... quand je suis sorti et que...
52 Maintenant, l'église baptiste est une église
souveraine. Nous–nous savons tous ça, que c'est une–c'est une... Vous
pouvez prêcher à peu près tout ce que vous voulez, si votre assemblée
l'accepte. Ils... Vous prêchez ce que vous désirez.
53 Et j'aime ça, vous voyez, parce que je crois que
c'est apostolique. En effet, le chef, l'ordre le plus élevé de
l'église, c'est le berger, nous comprenons ça, le pasteur. Et–et si
le–le... Si un évêque ou quelqu'un d'autre est là pour ôter au pasteur
sa révélation, alors comment Dieu pourra-t-Il jamais agir dans son
église? Vous voyez, on n'y arrive pas, c'est tout. Alors, et j'ai...
54 Quand je suis sorti de là, j'ai rencontré le
premier groupe, ce qui était la guérison de la petite Betty Daugherty,
à St. Louis, dans le Missouri. Et c'était une église unie pentecôtiste,
ou une église pentecôtiste du Nom de Jésus, et ce pasteur y
appartenait, et sa petite fille a été guérie. Franchement, je pensais
que c'est ce qui faisait de lui un pentecôtiste, qu'ils s'appelaient
«Jésus Seul». Je pensais que c'est ça qui faisait d'eux des
pentecôtistes, que c'était parce que qu'ils s'appelaient comme ça, et
que c'était là la différence. Alors, bon, ensuite de là je suis allé
à...
55 Et un homme bien; on a eu une grande réunion à
St. Louis, dont on a la photo là-dedans. Et on avait l'auditorium Kiel;
et après un soir, ou deux, on a fait salle comble, avec quatorze mille
personnes, et on ne pouvait même pas... il a fallu mettre des policiers
près des portes, pour les empêcher d'entrer.
56 Et puis de là, en continuant, chez Richard T.
Reed, du Tabernacle du Bon Vieux Temps de la Bible, à Jonesboro, qui
était aussi de la même organisation. Et de là, chez le docteur G. H.
Brown, même organisation, au 505, rue Victor à Little Rock, Arkansas.
Et, de là, à la Côte Ouest.
57 Et là, quand je suis arrivé sur la Côte Ouest,
j'ai fait connaissance avec le feu. Là, j'ai découvert qu'il y avait
autant de divisions parmi les pentecôtistes, dans leurs organisations,
qu'on en a, nous, les baptistes. Vous voyez, il y en avait-il y en
avait tellement de différentes, il y avait, il y en avait différentes.
Il y avait les Assemblées de Dieu, et l'Église de Dieu, et les autre
chose, et les autre chose, et les autre chose et les–et les différents.
Et ils s'étaient séparés, et ils avaient tracé des petites frontières.
Et tous les autres frères se sont mis à venir vers moi, et à me dire:
«Oh, vous êtes un Jésus Seul, avec ce groupe, là-bas.»
58 J'ai dit: «Non, je ne–je ne me donne pas ce
nom-là.» Voyez? Il a dit: «Mais, vous les fréquentez, pas vrai?» J'ai
dit: «Eh bien, je–je n'en suis pas un pour autant.» Voyez? Et j'ai dit:
«Je–je–je ne fais que... Ils étaient des frères.»
59 Et il a dit: «Oh, ils sont un tas de... Oh, ils
n'ont rien d'autre qu'un tas de perchoirs à vautours, et tout, par-là,
comme ça. Où...»
60 J'ai dit: «Là, je regrette. J'ai rencontré des
hommes vraiment pieux, là. Et ce sont des hommes de Dieu.» Et j'ai dit:
«Je–je n'admets pas du tout qu'on dise qu'ils sont mauvais; parce
qu'ils ne le sont pas.»
61 Bon, alors j'ai essayé de tenir aussi longtemps
que j'ai pu, sans me prononcer pour l'un ni pour l'autre. Bon, je me
suis mis à étudier quelles étaient leurs idées, et quelles étaient
leurs séparations, et ce qui les séparait. Et j'ai trouvé que deux des
grands groupes, l'un d'eux, s'appelait Jésus Seul, et l'autre
s'appelait les Assemblées de Dieu. Et ils se sont rassemblés, ou
séparés, à cause de la question du baptême d'eau; l'un utilisait «Père,
Fils, Saint-Esprit», et l'autre utilisait le Nom de «Jésus».
62 Bon, je regardais, et des deux côtés, il y avait
de grands hommes, des serviteurs de Dieu. Et je me disais: «Ô Dieu, si
seulement je pouvais tous les voir émerger, pour avancer simplement et
avoir... mais de ne pas tracer leurs lignes, en disant: «Nous ne
fraterniserons pas les uns avec les autres.» Mais j'ai découvert,
là-dedans, que l'esprit mauvais s'était introduit parmi eux et avait
suscité de la haine et de la méchanceté, sur des questions qui
s'étaient déclarées parmi eux. Je me suis dit que ça, ça faisait tout à
fait l'affaire du diable. C'est exactement ce qu'il veut. Tant que vous
braquez vos fusils les uns sur les autres, il n'a pas besoin de lever
le petit doigt. Et je...
63 Et puis alors, finalement, l'épreuve de force est
arrivée. Et cette épreuve de force a eu lieu à Seattle, dans le
Washington, vers 1946. Et un matin, on m'a amené dans le hall d'un
hôtel, un peu comme ici, pour un–un déjeuner avec quelques
prédicateurs. Et je devais parler à deux hommes principaux.
64 Et l'un d'eux était le Dr Ness. Je suppose que
vous, les frères des Assemblées de Dieu, vous vous souvenez de lui. Il
était du territoire nord-ouest; un grand homme, intelligent, un érudit.
Et il représentait les Assemblées de Dieu.
65 Et puis, le Dr Scism, de l'église pentecôtiste
unie. Je pense que vous, les frères pentecôtistes unis, vous vous
souvenez de lui. Lui aussi il était des territoires nord-ouest, là-bas,
il était à la tête de ceux-là, et des districts de là-bas.
66 Eh bien, ces deux hommes se sont rencontrés. Et
j'allais être amené devant eux, parce que la–la tension montait, et on
m'attaquait de tous côtés. Et je me disais: «Qu'est-ce que je dois
faire? Qu'est-ce que je peux faire?»
67 Maintenant, bon, ils disaient: «Bon, vous devez
prendre parti pour l'un ou pour l'autre. Si vous voulez marcher avec
ceux du Nom de Jésus, il faut que vous soyez du Nom de Jésus. Et si
vous allez avec les Assemblées de Dieu, il faut que vous quittiez ceux
du Nom de Jésus, et que vous soyez des Assemblées de Dieu, ou ainsi de
suite.» C'était arrivé à un point où je devais ouvrir mon jeu, en
quelque sorte.
68 J'ai beaucoup prié ce matin-là avant d'y aller.
J'ai dit: «Ô Dieu, aide-moi. En effet, il y a là deux grands hommes; il
y a des milliers de serviteurs. Et Tu m'as envoyé ici avec un
ministère. Et ils sont tous les deux Tes serviteurs. Et est-ce que je
devrais donner le peu d'influence que j'ai à une organisation alors
qu'elle combat l'autre?» Voyez? «Je–je n'arrive pas à trouver que ce
serait bien de faire ça. Je ne pense pas que ce serait la volonté de
Christ que je le fasse.» Et j'ai dit: «Ô Dieu, aide-moi et donne-moi
quelque chose à faire, ou donne-moi quelque chose à dire.»
69 Et puis je n'avais personne. J'ai seulement dû me
tenir là, rien que le Seigneur Jésus et moi, ce matin-là.
70 Eh bien, le grand débat a été soulevé. «Qu'est-ce
que vous allez faire? Quelle–quelle–quelle décision est-ce que vous
allez prendre?»
71 J'ai dit: «Ma décision est déjà prise. Là, ma
décision, c'est de me tenir entre vous deux, et de ne me joindre à
aucune organisation; et de dire, en vous entourant tous les deux de mes
bras: ‘Nous sommes frères.’» Voyez? Vous voyez, nous sommes frères.
Voyez? Et j'ai dit: «J'ai essayé de lire tous les livres que j'ai pu,
comment tout cela est venu, ce qu'on appelait cette ‘nouvelle
question’, et comment ils s'étaient séparés, et comment celui-ci avait
commencé comme ceci et comme cela. Et j'ai dit: «Dans les disputes
qu'il y a entre vous,» j'ai dit, «c'est la même chose que ce qui a
divisé le mouvement de Pentecôte, le jour... après la Pentecôte. Ils se
sont mis à se disputer entre eux.» Et j'ai dit: «C'est encore cette
chose-là qui sépare.»
72 J'ai dit: «Est-ce qu'il y a une possibilité qu'il
y ait un moyen terme entre vous, vous, les frères? Est-ce qu'il y a
quelque chose qui–qui puisse tenir?»
73 Eh bien, ils ne voulaient pas ouvrir la bouche
là-dessus, parce que c'était très tendu. Vous savez, il y a environ
quinze, vingt ans, comment c'était, parce qu'un groupe venait de se
séparer de l'autre, et il y avait beaucoup de disputes.
74 Donc j'ai dit: «Eh bien, frères, voici ce que je
vais faire. Je vais... Ce n'est pas pour baptiser que Dieu m'a envoyé,
de toute façon. Il m'a envoyé prier pour Ses enfants malades.» J'ai
dit: «Alors, ce que je vais faire, c'est de–de prier pour les enfants
malades, et vous, les prédicateurs, vous ferez vos baptêmes
vous-mêmes», j'ai dit.
75 J'ai dit: «Maintenant, je veux vous demander
quelque chose, juste pour que vous compreniez.» J'ai dit: «Frère Ness,
ces gens du Nom de Jésus, croyez-vous qu'ils ont reçu le Saint-Esprit,
quand ils parlent en langues et qu'ils font la même chose que vous, des
Assemblées de Dieu, vous faites?»
Il a dit: «Certainement.»
76 J'ai dit: «Frère Scism, croyez-vous que les
Assemblées de Dieu ont le Saint-Esprit, quand ils parlent en langues et
qu'ils font la même chose que ce que vous, vous avez fait après avoir
été baptisés?»
Il a dit: «Bien sûr que oui.»
77 J'ai dit: «Maintenant, la Bible dit: ‘Dieu donne
le Saint-Esprit à ceux qui Lui obéissent.’ Maintenant, qui est-ce qui
Lui a obéi? Qui est-ce qui Lui a obéi? Lequel d'entre vous Lui a obéi?
Et Dieu vous a donné le Saint-Esprit à tous les deux, vous voyez.»
78 J'ai dit: «Diriez-vous, Frère Scism, que Frère
Ness n'a pas le Saint-Esprit?»
Il a dit: «Non.»
79 J'ai dit: «Diriez-vous que Frère Scism n'a pas le
Saint-Esprit?»
80 «Non.» Vous voyez ça? Ils croyaient tous les deux
que l'autre avait le Saint-Esprit.
81 Mais, vous voyez, ça n'a vraiment aucun sens,
frères. Ça n'a aucun sens. Et j'ai entendu, peu de temps après ça...
Je vais revenir à mon sujet dans un instant.
82 Les frères finlandais, ici, après que j'ai quitté
la Finlande; où Dieu nous a donné, à mon avis, une de nos réunions les
plus glorieuses. Là, où le petit garçon mort a été ressuscité, et
beaucoup de choses. À Stockholm, en Suède j'ai rencontré Lewi Pethrus,
de l'église Filadelfia, là, c'est un grand homme de Dieu, et l'église
Filadelfia. Frère Gordon Linsdsay, qui était, maintenant.. .je pense.
Je ne pense pas qu'il en fasse partie maintenant, mais il était, il
faisait partie des Assemblées de Dieu.
83 Et les Assemblées de Dieu sont un de mes
principaux commanditaires, dans le monde entier. Et ceux de l'Évangile
aux Quatre Coins, qui sont sortis des Assemblées de Dieu, sont un de
mes principaux commanditaires. Les unitaires, dans le monde entier, ce
sont un de mes principaux commanditaires. Voyez? Et j'ai simplement
pris cette position-là, quitte à laisser des tensions, et puis j'ai
pris une position, comme quoi je ne prendrai parti pour aucun des côtés
de cette chicanerie. Jusqu'à ce que nous puissions voir que nous sommes
frères, et nous rassembler, alors nous–nous verrons tous ce même point
précis, là, auquel nous arrivons, le motif et l'objectif pour lequel on
le fait.
84 Et vous–vous devez tester votre motif et votre
objectif, d'abord. D'abord, trouver la volonté de Dieu; et ensuite
trouver votre objectif; et ensuite tester votre motif pour voir si
votre motif est bon. Alors, comme Jésus l'a dit dans Marc 11:24: «Si
vous dites à cette montagne: ‘Ote-toi de là’, et si vous ne doutez pas
dans votre cœur.» Mais tant que vous avez du doute dans le cœur, à
savoir si oui ou non c'est la volonté de Dieu, ou si votre motif ou que
votre objectif sont faux, comment est-ce qu'elle bougerait? Mais quand
vous savez que votre motif est juste, et que c'est la volonté de Dieu,
et que votre objectif est juste, elle doit bouger. Voilà tout, sinon
Dieu aurait dit quelque chose de faux.
85 C'est la raison même pour laquelle, quand je vais
sur l'estrade, dans des églises, personne ne m'a jamais entendu
mentionner ces choses sur l'estrade, ces questions. Je les laisse de
côté, c'est tout. Vous voyez, ça, c'est votre affaire à vous, les
frères. Voyez? Je suis ici pour vous aider à gagner des âmes à Christ,
par un don Divin, vous voyez. Voyez? Ça ne change rien... Faites vos
baptêmes vous-mêmes. Mais après, quand il s'est agi...
86 Bien sûr, on m'a traité de tous les noms. On m'a
traité, je ne sais pas de combien de noms, de tout, depuis un–un «fils
de Dieu incarné» jusqu'à un–un «démon». C'est vrai, de tout. Mais, au
fond de tout ça, je suis votre frère, concitoyen du Royaume de Dieu;
qui travaille avec vous tous, pour le Royaume. Et c'est bien vrai.
87 Maintenant, je, si ça vous va, et si vous pensez
que nous avons assez de temps, j'aimerais vous dire comment la
discussion s'est passée. Est-ce que ça vous va, frères, juste un
instant? [Les prédicateurs disent: «Allez-y. Bien sûr.» – N.D.É.]
Frère, Frère Ness et les autres... Très bien. Et ça pourrait être un
petit quelque chose pour vous aider. Ça vous aiderait à comprendre, en
quelque sorte.
88 J'ai mis par écrit, ici, certaines des choses que
je me suis rappelées. C'était parti de là. Et donc ils m'ont demandé ce
que je croyais de la «trinité», si je croyais qu'il y avait une
«trinité» de Dieu.
89 Maintenant, frères, comme nous allons aborder
ceci, j'espère que, quand ce sera terminé, nous serons les mêmes frères
que nous avons toujours été depuis le début. Voyez? Mais j'estime que
je vous dois ça, parce que les gens de chez vous viennent à mes
réunions, et je ne voudrais assurément pas que l'un d'eux reparte
séduit, à cause de moi.
90 Et j'ai toujours dit aux gens qui m'écrivent des
questions, en dehors de ce que je prêche en chaire... Et mon secrétaire
est ici, et tout. S'ils me posent une question: «Qu'en est-il de ceci,
ou qu'en est-il de cela?»
91 J'ai dit: «Demandez à votre pasteur, vous voyez.
En effet, s'il vous a amené jusqu'ici, au point où vous ayez reçu le
Saint-Esprit, il continuera à vous faire avancer, vous voyez. Vous,
voyez, demandez à votre pasteur.» En effet, des petites choses comme ça
produisent de la confusion, et, par conséquent, je m'en tiens éloigné,
vous voyez.
92 Maintenant, et on m'a dit que j'étais un–un
opposant des organisations. Maintenant, je n'en suis pas un. Je pense
que les organisations, c'est merveilleux, mais quand votre système de
votre organisation se corrompt, voilà contre quoi je suis. Voyez? Peu
importe que ce soit l'unité, ou–ou que ce soit la trinité, ou quoi que
ce soit, le système; c'est que quand vous en arrivez à un point, là, où
vous... vous dites: «Nous sommes les Assemblées de Dieu.
– Eh bien, c'est qui, de l'autre côté de la rue?
93 – Oh, ce sont nos frères. On les–on les appelle
les pentecôtistes unis.
– Eh bien, et là-bas, c'est qui?
94 – Oh, ce sont les frères de l'Évangile des Quatre
Coins. Oh, nous sommes de merveilleux frères. Nous avons une grande
communion, les uns avec les autres.
– Oh, vous croyez tous la même chose?
– Oh, oui, nous croyons.
– Mais, alors, qu'est-ce qui vous rend comme ceci?
95 – Eh bien, ces frères-ci baptisent comme ceci. Et
ceux-ci baptisent comme ceci, tournés dans l'autre sens que nous. Et
ceux-ci baptisent...»
96 C'est comme en Afrique du Sud, là, frère, on en a
vu de ça. Ils m'ont demandé. Un groupe baptise trois fois, vers
l'avant. Et l'autre baptise trois fois, vers l'arrière. Et ils ont
dit... j'ai dit: «Où est-ce que vous prenez ça?»
97 L'un d'eux a dit: «Quand I1 est mort, la Bible
dit qu'Il s'est penché en avant,» et il a dit, «donc on doit les
pencher en avant.»
98 Et j'ai dit: «Bon,» à l'autre groupe, «qu'est-ce
que... Et vous?»
I1 a dit: «A-t-on jamais enterré un homme face
contre terre?»
99 Eh bien, et vous savez quoi? Ils se sont séparés
et ils ont fait deux groupes, deux organisations. Oh, miséricorde,
frères! Ça fait tout à fait l'affaire du diable. Ça fait tout à fait
son affaire. Eh oui. Faites-vous...
100 Maintenant, voyez, ce n'est pas la Mission de la
Foi Apostolique, ou–ou non plus–non plus les Assemblées de Pentecôte,
de l'autre côté. Ce n'est pas ça. Il y a des hommes bien dans les deux
groupes, comme il y en a ici. Mais, vous voyez, c'est le système de la
chose.
101 C'est tout comme les catholiques, comme je l'ai
souvent dit. S'il est catholique, et qu'il compte sur Christ pour le
salut, il est sauvé. Certainement, c'est vrai. S'il compte sur
l'église, il est perdu. Et n'importe lequel de vous, frères
pentecôtistes, vous savez que si nous comptons sur l'église
pentecôtiste pour nous sauver, «nous sommes les plus malheureux des
hommes», c'est vrai, parce que nous sommes perdus. C'est vrai.
102 Mais si nous comptons sur Jésus-Christ, alors
nous sommes sauvés: «Par ta foi», (quoi?) une oeuvre achevée. Et ces
petites choses de fonctionnement, et ces marques, ça ne change pas
grand chose.
103 Maintenant, j'ai dit à Frère Scism, à... et à
Frère Ness: «Pour répondre à votre question,» j'ai dit, «maintenant, je
ne prends parti pour aucun de vous, frères. Et je sais que tant que
vous vous disputez, vous avez tous les deux tort. Voyez? En effet, je
préférerais avoir une doctrine fausse, et le cœur juste, plutôt que
d'avoir la doctrine juste et le cœur faux.» Voyez? J'ai dit: «Après
tout, c'est l'état de votre cœur.»
104 Et j'en ai fait une pratique, de savoir ceci;
que si un homme, peu importe ce qu'il fait, et combien il est en
désaccord, et ce qu'il dit de moi; si dans mon cœur, pas juste par
devoir, mais de mon cœur, je ne peux pas aimer cet homme autant que
j'aime n'importe qui d'autre, alors je sais qu'il y a quelque chose qui
ne va pas ici, à l'intérieur, vous voyez. C'est vrai, parce que, peu
importe s'il...
105 Un petit frère est venu, il n'y a pas longtemps,
un petit frère de l'Église de Christ. Et, oh, il s'est avancé, et il a
dit: «Ce type est un démon.» Voyez? Il disait: «Il parle du
Saint-Esprit.» Il disait: «Ça n'existe pas. Ils, eh bien, il n'y a que
les douze apôtres qui ont reçu le Saint-Esprit. Et–et la guérison
Divine n'a été donnée qu'aux douze apôtres.» Et il a continué, environ
une demi-heure.
106 Et j'ai dit: «Un instant, frère. Je pense que
vous devriez me donner juste une occasion de défendre Ceci, vous
voyez.» J'ai dit: «Vous avez dit que vous parliez quand la Bible
parlait, et que vous vous gardiez le silence quand Elle était
silencieuse.»
Et il a dit: «C'est bien ce que nous faisons.»
107 J'ai dit: «Maintenant, vous avez dit qu'il n'y a
que les douze apôtres qui ont reçu le Saint-Esprit. La Bible a dit
qu’‘ils étaient cent vingt dans la chambre haute quand le Saint-Esprit
a été déversé, des femmes et tout’. Et voudriez-vous me dire,
pensez-vous que Paul n'avait pas le Saint-Esprit? Et lui L'a reçu
longtemps après ça, vous voyez. Et vous avez dit que le don de guérison
n'a été donné qu'aux douze apôtres. Et Étienne est descendu, quelques
jours après, et il n'était pas l'un des douze. Il n'était même pas
prédicateur. Il était diacre, et il est descendu en Samarie, et il a
chassé des démons.» J'ai dit: «Oh, frère!» C'était très silencieux, là,
précisément où il fallait qu'il le soit.
108 Et après que c'était terminé: «Mais», j'ai dit,
«je vous pardonne de m'avoir appelé un démon, parce je sais que vous ne
pensiez pas vraiment ça.»
109 Et puis après avoir terminé, il est venu vers
moi. Il a dit: «Il y a une chose que je peux dire. Vous avez l'Esprit
de Christ.»
110 J'ai dit: «Maintenant, frère, je suis quoi, un
démon ou de Christ?» Voyez? Voyez?
111 Mais je vous dis, vous voyez, c'est parce qu'un
homme, là, il pouvait voir que je l'aimais; même s'il était en
désaccord, et terriblement en désaccord, et qu'il attaquait violemment.
Il...
112 Je suis un chasseur, et avec les bêtes sauvages,
toute ma vie. Et les gens ont dit: «Comment...» La fois où j'ai dû tuer
cet ours, avec un couteau, vous voyez. On m'a dit: «Vous n'aviez pas
peur de lui?»
113 J'ai dit: «Non. Si j'avais eu peur de lui, il
m'aurait tué, vous voyez.»
114 Mais, vous voyez, vous ne pouvez pas–vous ne
pouvez pas faire semblant avec eux. Ils savent si vous avez peur d'eux
ou non. Si vous avez peur d'un cheval, vous allez voir ce qu'un cheval
va faire, il va vous piétiner. Voyez? Donc si vous avez peur... Vous ne
pouvez pas faire semblant. Vous devez réellement l'avoir.
Et c'est pareil avec Satan.
115 C'est pareil parmi les hommes. Vous devez aimer
les hommes, vous ne pouvez pas juste faire semblant. Vous devez
l'avoir, sinon votre vrai jour va ressortir quelque part, vous voyez.
C'est vrai. Vous devez réellement aimer les gens, et ils savent que
vous les aimez. Vous voyez, il y a quelque chose là.
116 Et cet homme, voilà qu'il a appelé ma femme, il
y a quelques jours, et il a dit: «Est-ce que Frère Branham est là?»
Elle a dit: «Non.»
117 Il a dit: «Eh bien, il y a une chose que je dois
dire. Je n'étais pas d'accord avec lui, sur la théologie, mais je dis
qu'il est un serviteur de Christ.»
118 Eh bien, alors, et puis avant que je parte, il
m'a envoyé une lettre, et il disait: «Je vais venir, dès que vous serez
de retour. Je veux ce baptême du Saint-Esprit dont vous parlez.»
119 Donc, vous voyez, alors que si vous aviez... Si
j'avais eu ce sentiment, de dire: «Oh, vous ne valez rien. Votre
vieille dénomination ne vaut rien, et–et tous vos gens de l'Église de
Christ ne valent rien. Vous ne valez rien. Vous, vous êtes des démons.»
Je n'aurais jamais gagné cet homme. Et si je lui avais dit que je
l'aimais, et que je ne le pensais pas dans mon cœur, il aurait su que
ce n'était pas vrai. Voilà tout. Vous devez le penser de votre cœur.
120 Et c'est ça les soirs où j'avance sur l'estrade,
sous ce discernement, vous voyez. Je n'y pense pas. Tout ce que je
fais, c'est que je ne mange pas de nourriture après le repas de midi;
et je jeûne et je prie, et je reste dans la chambre. Parce qu'Il m'a
promis qu'Il le ferait. Et par conséquent, j'y vais sans l'ombre d'un
doute, parce qu'Il a promis qu'Il le ferait. Donc, vous voyez, mon...
Je sais que mon motif est (quoi?), mon objectif est (quoi?), pour
l'avancement du Royaume de Dieu.
121 Qu'un homme aille comme ceci, comme cela, quelle
que soit l'église à laquelle il va, pourvu qu'il vienne à Christ, ça
m'importe peu. Et c'est dans mon cœur. Voyez? Et peu importe, si nous
allons nous joindre à l'Église de Christ, c'est tout à fait en ordre.
C'est très bien. S'il... À quelle église il se joint, ça m'importe peu.
Mais pourvu que j'aie gagné son âme à Christ, c'est le principal.
122 Alors, j'ai dit: «Frère Ness, pas pour être en
désaccord...» Maintenant je vais montrer. Est-ce que je peux utiliser
ça, frère? [Le frère dit: «Bien sûr». – N.D.É.] J'ai dit: «Je veux dire
et expliquer.» Et là, je peux vous dire, à vous, les frères, ici.
Maintenant, ne mentionnez pas ceci dans vos assemblées. Et, s'il vous
plaît, et rendez-moi un service, que je sois juste–juste–juste votre
frère, vous voyez. Et je, et si–si j'ai tort, alors pardonnez-moi. Mais
je veux vous expliquer, puisqu'il y a les deux groupes assis ici ce
matin, les deux, les unitaires et les–les Assemblées, aussi, et la
croyance trinitaire.
123 Maintenant, je veux faire cette déclaration. Je
veux dire que je crois que les deux côtés ont tort, tant qu'ils se
disputent entre eux, parce que leurs motifs sont faux. Et tant que vos
motifs sont faux; peu importe quel est votre objectif, mais que vos
motifs pour cet objectif sont faux, alors ça ne marchera jamais. [Frère
Branham donne quatre coups sur la chaire. – N.D.É.] C'est vrai.
124 Maintenant, certaines personnes ont dit: «Frère
Branham, vous êtes un Jésus Seul.» Je tiens à dire que ça, c'est une
erreur. Je ne suis pas un Jésus Seul.
125 Quelqu'un dit: «Frère Branham, êtes-vous un
trinitaire?» Non monsieur. Je ne suis pas un trinitaire. Je suis un
chrétien. Voyez? Je–je–je ne... Le mot trinitaire n'est même pas
mentionné dans la Bible, le mot «trinité». Et je ne crois pas qu'il y
ait trois Dieux distincts.
126 Je crois qu'il y a un Dieu en trois fonctions;
Père, Fils, Saint-Esprit. C'est exactement pour ça que nous avons reçu
la commission de baptiser au Nom de Père, Fils, Saint-Esprit. Je crois
que c'est Dieu qui s'abaisse, qui descend.
127 Maintenant, Dieu, quand Il est apparu pour la
première fois aux hommes, Il était sous la forme d'une Colonne de Feu.
Vous croyez ça, n'est-ce pas? La... Tout lecteur de la Bible sait ça,
que la Colonne de Feu qui était dans le désert était le Logos, que
c'était l'Ange de l'Alliance, qui était Christ.
128 En effet, Il a dit ...?... Je crois que c'est
Jean 6 là, Il a dit: «Avant qu'Abraham fût,» Il a dit, «JE SUIS.» Il
était le «JE SUIS».
129 Donc, c'était Dieu, saint; si un homme ne
faisait que toucher la montagne, il devait être tué, vous voyez. Très
bien. Maintenant, le même Dieu essayait de parvenir à retourner dans Sa
créature qu'Il avait créée. Maintenant, Il ne pouvait pas les
approcher, parce qu'elles étaient pécheresses, et le sang des boucs et
des agneaux n'a jamais enlevé le péché. Nous savons ça. Il ne faisait
que couvrir le péché.
130 Maintenant, mais alors, ce même Dieu qui était
la Colonne de Feu, Il est devenu chair, à travers Son Fils, et Il a
habité dans un corps appelé le Seigneur Jésus-Christ. La Bible dit: «En
Lui habite corporellement la plénitude de la Divinité.» Et Jésus a dit
dans... Eh bien, dans I Timothée 3:16: «Sans contredit, le mystère de
la piété est grand.» Et si eux pouvaient dire qu'il était grand, alors
nous, qu'est-ce qu'on ferait, voyez? «Le mystère de la piété est grand;
car Dieu a été manifesté en chair, et vu des anges, et élevé dans la
Gloire», et ainsi de suite. Maintenant, et Il a dit dans Jean 14, à
Thomas: «Quand tu M'as vu, tu as vu le Père. Pourquoi dis-tu:
‘Montre-nous le Père’?» La Bible dit que «Dieu était en Christ,
réconciliant le monde avec Lui-même».
131 Maintenant, Dieu ne peut pas être trois
personnes, trois Dieux. Jésus ne peut pas non plus être Son Propre
Père, en un. Voyez? Donc, vous voyez, ça fait que les deux sont
radicalement faux.
132 Maintenant, et maintenant si vous voulez bien
remarquer, il n'y a aucun endroit... Si nous avons trois Dieux, nous
sommes des païens. Ça, nous le savons.
133 Comme le Juif m'a dit une fois, quand je lui
parlais, il disait: «Lequel d'entre eux est votre Dieu? Lequel est
votre Dieu; le Père, le Fils, ou le Saint-Esprit? Lequel est le vôtre?»
Et j'ai dit: «Eh bien, il n'y a pas trois Dieux.»
134 Il a dit: «Vous ne pouvez pas couper–couper Dieu
en trois morceaux et Le donner à un Juif.»
J'ai dit: «Non, monsieur.» J'ai dit...
135 Quand John Rhyn avait été guéri de la cécité,
là, à Fort Wayne, vous savez; et ce rabbin, là, à Mishawa-... ou à
Fort... Benton Harbor. Il a dit: «Vous ne pouvez pas couper Dieu en
trois morceaux et Le donner à un Juif.»
136 J'ai dit: «Certainement pas. Je ne le fais pas.»
J'ai dit: «Rabbin, est-ce qu'il vous serait difficile de croire aux
prophètes?»
Il a dit: «Non.»
137 J'ai dit: «Dans Ésaïe 9:6, de qui est-ce qu'il
parlait: ‘Un Enfant nous est né, un Fils nous est donné, on L'appellera
Conseiller, Dieu Puissant, Prince de la Paix’?»
Il a dit: «C'était le Messie.»
J'ai dit: «Alors, rabbin, que sera le Messie, par
rapport à Dieu?»
II a dit: «II sera Dieu.»
138 «C'est ce que je pensais.» Voyez? Maintenant,
vous voyez, c'est tout à fait vrai. C'est ce qu'Il est. Alors, j'ai dit
«Maintenant, dites-moi où Jésus a manqué d'accomplir
exactement ce que le prophète a dit qu'Il ferait.» Et il s'est mis à
pleurer et à marcher de long en large. J'ai dit: «C'est par Cela que
John Rhyn a recouvré la vue.» Voyez?
Et il a dit: «Loin de Dieu l'idée d'avoir un fils!»
139 J'ai dit: «Le grand Jéhovah a couvert une femme
de Son ombre, comme le prophète avait dit qu'Il le ferait, et Il a créé
une cellule de Sang. Et c'est par cette cellule de Sang qu'a été
produit le corps de Christ.
140 «Regardez, dans l'Ancien Testament, rabbin,»
j'ai dit, «quand un homme allait faire une offrande, il prenait un
agneau. Il savait qu'il avait enfreint les commandements de Dieu, donc
il prenait un agneau. Il confessait ses péchés, et cet agneau était mis
à mort. Pendant que les... ses mains étaient sur l'agneau; pour
confesser qu'il savait qu'il devait mourir à cause de son péché, mais
que l'agneau prenait sa place. Et la cellule de sang était brisée; et
il tenait le petit agneau par la main jusqu'à ce qu'il sente sa petite
vie le quitter, et qu'il se raidisse. Alors le sacrificateur, bien sûr,
jetait le sang sur le–sur le feu, l'autel d'airain du jugement.»
141 Alors j'ai dit: «Cet homme, alors, il sortait de
là en sachant que l'agneau avait pris sa place, mais il sortait avec le
même désir qu'il avait en entrant, vous voyez, parce que ça ne pouvait
pas ôter le péché. Voyez? Mais, alors, dans ce cas-ci: ‘Celui qui rend
ce culte, étant une fois purifié, n'a plus aucune conscience du péché.’
Là, il y avait une offrande qui était faite chaque année. Mais», j'ai
dit, «maintenant, il y a, cette fois-ci, ‘celui qui rend ce culte,
étant une fois purifié, n'a plus aucune conscience du péché’. En
effet...
142 «Regardez, rabbin. Dans l'hémoglobine, cette
petite vie qui commence dans la cellule, elle vient du sexe mâle, et
elle entre dans la femelle. Et celle-ci produit l’œuf; seulement, une
poule peut pondre un oeuf, mais si elle n'a pas été avec l'oiseau mâle,
il n'éclora jamais.»
143 Et j'ai dit: «Alors Dieu, le plus grand, qui
remplissait tout le temps et tout l'espace, s'est fait tout petit, un
petit germe au sein d'une femme.» Et puis j'ai dit: «Quand nous sommes
sauvés aujourd'hui... Jésus n'était ni Juif, ni des nations, parce que
l'ovule avait seulement produit la chair. Le Sang avait la Vie. Donc
nous–nous sommes... La Bible dit: ‘Nous sommes sauvés par le Sang de
Dieu.’ Vous voyez, Il n'était ni Juif, ni des nations; Il était Dieu.
Par conséquent, quand nous venons à l'autel et que nous mettons nos
mains, par la foi, sur Sa tête, et que nous ressentons le déchirement
et l'agonie du Calvaire, et que nous confessons nos péchés, que nous
avons tort, et qu'Il est mort à notre place!
144 «Alors, vous voyez,» j'ai dit, «le sang de cet
agneau ne pouvait pas revenir sur ceci. Le sang qui... La cellule a été
brisée, et la vie qui a été libérée, par la rupture de cette cellule de
sang de l'agneau, ne pouvait pas revenir sur l'adorateur, parce que
c'était une vie animale, et elle n'était pas compatible avec la vie
humaine.
145 «Mais cette fois-ci, quand cette cellule de Sang
a été brisée, il ne s'agissait pas simplement d'un homme. Là, c'était
la Vie de Dieu, qui était libérée. Et quand l'adorateur pose ses mains,
par la foi, sur le Fils de Dieu, et qu'il confesse ses péchés; pas la
vie d'un autre homme, mais la Vie de Dieu revient sur cet homme, ce qui
est la Vie Éternelle. Le mot Zoé, qui se traduit par la ‘Vie’ même de
Dieu. Et Il a dit qu'Il nous donnerait Zoé, la Vie Éternelle, et
maintenant nous sommes des fils et des filles de Dieu. Voilà.»
146 J'ai dit: «Maintenant, qu'est-ce que c'est?
C'est Dieu, qui s'abaisse.» Il est venu, d'abord; ‘aucun homme ne
pouvait Le toucher’, parce que l'homme avait péché. Ensuite, Il est
descendu dans un corps, ‘pour goûter au péché, pour prendre le péché’.
Vous voyez, Il, la seule chose que Dieu pouvait faire, pour être juste,
c'était de le faire comme ça.»
147 Par exemple, qu'en serait-il si j'avais la
juridiction sur cet auditoire ce matin, comme Dieu l'avait sur la race
humaine, et que je disais: «Le premier homme qui regardera ce poteau
mourra», et que Tommy Hicks le regarde? Maintenant, par exemple, je
prendrais Carl-... «Frère Carlson, vous, mourez pour lui.» Ce ne serait
pas juste. Je dirais: «Leo, tu es mon secrétaire; toi, meurs pour lui.»
Ce ne serait pas juste. «Billy Paul, mon fils, toi, meurs pour lui.» Ce
n'est pas juste. La seule façon pour moi d'être juste, c'est de prendre
sa place moi-même.
148 Et c'est ce que Dieu a fait. Il, Dieu, Il est un
Esprit. Et Il a créé... Il–Il a changé de rôle. Ça devrait être
frappant, pour les gens, de penser au petit Jéhovah. Il aurait pu venir
comme homme adulte, mais Il est venu dans une crèche, au-dessus d'un
tas de fumier. Le petit Jéhovah, qui pleurait comme un bébé. Le petit
Jéhovah, qui jouait comme un garçon. Le petit Jéhovah, charpentier,
comme un ouvrier. Le petit Jéhovah, adolescent. Jéhovah, suspendu entre
ciel et terre, avec de la bave d'ivrogne, et des crachats de soldats
sur Son visage. Jéhovah, qui mourait pour Ses enfants. Jéhovah, qui
mourait, pour racheter; pas quelqu'un d'autre, mais Dieu Lui-même! Vous
voyez, Dieu, c'était Sa fonction. Pourquoi? Il essaie de retourner au
cœur de l'homme.
149 Or, on ne pouvait pas Le toucher, Là. Ici, on
L'a touché de nos mains. Maintenant, qu'est-ce qu'Il a fait, à travers
l'offrande de ce corps? Il est devenu Jéhovah en nous. Nous faisons
partie de Lui. Le Jour de la Pentecôte, la Colonne de Feu s'est séparée
tout d'un coup, et des langues de feu se sont posées sur chacun, pour
montrer que Dieu Se séparait parmi Son Église.
150 Alors, frères, si seulement nous pouvons nous
réunir, et rassembler Cela! Alors, nous avons Jéhovah dans la
plénitude, quand nous nous réunissons. Mais comment est-ce qu'on peut
le faire quand celui-ci parle en langues et qu'il a le baptême,
celui-ci; et puis qu'on garde cette langue de Feu-ci par ici, et
celle-ci? Rassemblons Cela.
151 Quand Dieu, le Jour de la Pentecôte, est
descendu, et la Bible a dit que «des langues de Feu se posèrent sur
chacun d'eux». Et ils... «Des langues, semblables à un Feu», des
langues. C'était cette Colonne de Feu, qui Se séparait et qui Se
divisait, parmi les gens, pour que nous soyons frères. «Ce jour-là,
vous connaîtrez que Je suis dans le Père, le Père en Moi; Moi en Moi,
et vous en Moi.» Et, nous–nous sommes un. Nous sommes un, pas divisés.
152 Maintenant, Jéhovah Dieu, là-haut, ne pouvait
pas toucher la race humaine, à cause de Sa Propre loi de sainteté;
Jéhovah Dieu est devenu péché pour nous, et Il a payé le prix; pour que
ce même Jéhovah Dieu puisse venir vivre en nous. Dieu au-dessus de
nous; Dieu avec nous; Dieu en nous. Pas trois Dieux; Un Dieu! Des
professeurs deviennent fous, à essayer de comprendre Ça. C'est–c'est
une révélation. Il faut que ça vous soit révélé.
153 Maintenant, maintenant, pour ce qui est du
baptême, là, beaucoup de gens... Maintenant, vous devez faire ça,
frères. Ou, c'est comme j'ai dit à Frère Scism et à Frère Ness, que si
vous... La–la querelle s'est déclarée. Et tous, beaucoup d'entre vous,
qui êtes des érudits, ici, vous êtes plus aptes que moi; mais j'ai
beaucoup étudié le sujet. Et j'ai lu les Pères prénicéens, le Concile
de Nicée, et tous les historiens, et ainsi de suite.
154 Cette question a été soulevée au Concile de
Nicée. Les deux côtés n'ont rien donné de bon; quand l'église
catholique a adopté le point de vue trinitaire extrémiste, et que
l'autre s'est faite unitarienne, alors les deux côtés sont partis de
travers. C'est tout à fait vrai, parce que l'homme avait quelque chose
à y voir.
155 Vous devez laisser Dieu le faire, et nous
n'avons pas besoin de chercher à comprendre. Soyons frères. Avançons,
c'est tout, et laissons Dieu faire la chose qu'Il va faire. S'Il est
infini et qu'Il connaît toutes choses, et qu'Il a prévu la fin dès le
commencement, comment pouvons-nous y faire quoi que ce soit? Continuez
à avancer, c'est tout. Voilà comment faire. Restez au diapason, comme
je l'ai dit hier soir, avec notre grand Josué.
156 Maintenant regardez, s'il y a trois Dieux... Je
veux juste vous montrer comme c'est ridicule. S'il y a trois Dieux,
alors Jésus était Son Propre Père... Jésus ne peut pas avoir été Son
Propre Père, en étant un. Et, s'il y en a trois, II n'est pas né d'une
naissance virginale. Maintenant, combien... [Frère Branham donne une
illustration, en utilisant trois objets. – N.D.É.] Je vais dire que ça,
c'est Dieu le Père; et ça, c'est Dieu le Fils, et ça, c'est Dieu le
Saint-Esprit.
157 Maintenant, pour vous les différents frères ici,
observez ceci un instant et vous verrez ce que j'essaie de montrer. Je
prie Dieu de vous le faire voir. Maintenant, regardez, vous croyez tous
les deux la même chose, mais le diable s'est seulement interposé entre
vous et vous a divisés là-dessus. C'est exactement la même chose, et je
vais vous le prouver, avec l'aide de Dieu et par la Bible de Dieu. Si
ce n'est pas la Bible, alors ne le recevez pas. C'est vrai.
158 Mais maintenant regardez. [Frère Branham donne
une illustration, en utilisant trois objets. – N.D.É.] Ça, c'est
(quoi?) Dieu le Père; ça, c'est Dieu le Fils; ça, c'est Dieu le
Saint-Esprit. Bon, maintenant, arrêtons-nous une minute maintenant, en
posant ces trois, là; Dieu le Père, le Fils et le Saint-Esprit.
159 Oh je–je ne vais pas avoir le temps de faire
ceci. Je... [Les frères disent: «Allez-y! Allez-y! – N.D.É.] Mais, vous
voyez, eh bien, je vais faire vite, aussi vite que je peux.
Pardonnez-moi, mes frères, mais je–je–je n'ai jamais eu l'occasion de
vous parler, et je–je tiens à le faire.
160 Alors, regardez; Dieu le Père, le Fils, le
Saint-Esprit. Maintenant, Qui était le Père de Jésus-Christ? Dieu était
le Père de Jésus-Christ. Nous croyons tous ça. Pas vrai? [L'assemblée
dit: «Amen.» – N.D.É.] Très bien.
161 Maintenant, quand nous prenons Matthieu 28:19,
quand Jésus a dit: «Allez, faites de toutes les nations des disciples,
les baptisant au Nom du Père, Fils, Saint-Esprit.» Dix jours après,
Pierre a dit: «Repentez-vous, et soyez baptisés au Nom du Seigneur
Jésus-Christ.» Il y a une contradiction évidente quelque part.
Maintenant, n'allons pas... il y a une...
162 Tout le monde a témoigné, et tout. La voici.
Voici ma croyance, et je ne fais que vous l'exposer, frères. Je ne dis
pas ceci derrière les chaires; c'est votre affaire à vous. Mais je veux
vous montrer ce que je vois des deux côtés, pour que le Saint-Esprit
vous le révèle, vous voyez.
163 Maintenant, Matthieu 28:19, et si–si Matthieu
28:19 contredit Actes 2:38, alors il y a une contradiction dans la
Bible, et Elle ne vaut même pas le papier sur lequel Elle est écrite.
164 Maintenant, si vous remarquez, dans Matthieu, au
chapitre 16, Jésus a donné à Pierre la révélation, et Il lui a donné
les clés.
165 Maintenant, rappelez-vous, la Bible n'est pas
révélée par la théologie d'un programme fait de main d'homme. Pas du
tout. C'est une révélation.
166 C'était une révélation dès le départ. Pourquoi
Abel a-t-il offert à Dieu un sacrifice plus excellent que celui de
Caïn? «Il lui a été révélé» que ce n'étaient pas des pêches, et des
pommes, et des oranges, et des pommes. Si des pommes ça fait prendre
conscience aux femmes qu'elles sont nues, on ferait mieux de passer les
pommes de nouveau, frère. Vous ne pensez pas? Maintenant, ça–ça a l'air
sacrilège, mais ce n'était pas mon intention en le disant. Mais, ce
n'étaient pas des pommes. Non monsieur. Maintenant, et si c'est ainsi,
alors, «il a été révélé à Abel» qu'il était le sang de son père. Donc,
il a offert du sang, parce que c'était une révélation. Le tout est bâti
là-dessus.
167 Maintenant, regardez, voici un vieux pêcheur
ignorant, pas même assez d'instruction... La Bible dit qu'il était
ignorant et sans instruction. Mais il était là, et Jésus a posé la
question: «Qui dites-vous que Je suis, Moi, le Fils de l'homme?»
168 «Quelqu'un a dit, eh bien, que Tu es–Tu es
‘Moïse’. Ils disent que Tu es ‘Moïse’. Qui est-ce qu'ils, est-ce que...
ils disent, et quelqu'un a dit, eh bien, que Tu es ‘Jérémie, ou les
prophètes’, et ceci, cela ou autre chose.»
169 Il a dit: «Là n'est pas la question. Je vous
l'ai demandé à vous. Qui dites-vous que Je suis?»
170 Et Pierre n'a pas hésité, il a dit: «Tu es le
Fils de Dieu.»
171 Et Il a dit: «Tu es heureux, Simon, fils de
Jonas.» Maintenant, regardez bien. «Ce ne sont pas la chair et le sang
qui t'ont révélé cela, mais c'est Mon Père qui est dans les Cieux.»
Voyez?
172 Maintenant, regardez bien, maintenant, l'église
catholique dit qu'Il a bâti l'Église sur Pierre. C'est faux.
173 L'église protestante dit qu'Il l'a bâtie sur
Lui-même. Mais maintenant, regardez bien, pour savoir, pour voir si
c'est ça.
174 Il l'a bâtie sur la révélation spirituelle de
Qui II était, vous voyez, parce qu'Il a dit: «Tu es heureux, Simon,
fils de Jonas. Ce ne sont pas la chair et le sang qui t'ont révélé
cela. Moi, Je dis que tu es Simon; sur cette pierre» (quelle pierre? la
révélation) «Je bâtirai Mon Église, et les portes du séjour des morts
ne prévaudront pas contre Elle.» [Frère Branham donne trois coups sur
la chaire. – N.D.É.]
175 Et puis, alors que Pierre était là, présent,
quand Matthieu 28 a été cité, voilà qu'il s'est retourné, et, dix jours
plus tard, avec cette révélation, et il a baptisé au Nom du «Seigneur
Jésus-Christ». Pourquoi est-ce qu'il l'a fait? Alors qu'il avait la
révélation de Dieu; et il avait les clés du Royaume, frère.
176 Maintenant, je vais peut-être vous blesser
pendant un instant, un côté parmi vous, mais arrêtez-vous juste un
instant. Il n'y pas un seul endroit dans la Bible où qui que ce soit
ait jamais été baptisé au Nom de «Père, Fils, Saint-Esprit». Il n'y a
pas un seul endroit dans les Écritures. Et s'il y en a, produisez-le.
Et si vous pouvez trouver n'importe où dans l'Histoire sacrée, jusqu'à
la formation de l'église catholique, je vous demande de le produire. Il
n'y a aucun endroit, là, et c'est vrai.
Mais maintenant, attendez un instant, vous les
unitaires, juste une seconde.
177 Maintenant, il n'y a aucun endroit où... Si un
homme peut me montrer un seul texte de l'Écriture où cette cérémonie a
été utilisée dans la Bible, de «Père, Fils, Saint-Esprit», vous êtes
tenu de venir me dire où quelqu'un a été baptisé comme ça.
178 Et certains d'entre eux disent: «Eh bien, je
vais prendre ce que Jésus a dit, pas ce que Pierre a dit.» S'ils
étaient contraires l'un à l'autre, qu'allons-nous faire? Si elle n'est
pas toute Dieu, quelle partie de la Bible est bonne?
179 Il faut qu'elle coïncide toute, et qu'elle
s'assemble, et uniquement la révélation de Dieu. Nos écoles ne
l'enseigneront jamais. C'est une révélation, que vous devez La voir.
180 Alors, si ces deux hommes étaient contraires,
l'un à l'autre, alors quelle sorte de Bible est-ce que nous lisons?
Comment est-ce que je sais si Jean 14, c'est juste ou pas? Comment
est-ce que je sais si Jean 3, c'est juste ou pas. Comment, comment,
comment est-ce que je sais? Voyez?
181 Mais la seule manière que je puisse avoir la foi
en Dieu, c'est de savoir que cette Bible est juste, et de croire
qu'Elle est juste, et de m'en tenir à Elle. Même si je ne La comprends
pas, je La mets quand même en action.
182 Mais quand ces contradictions apparaissent,
alors je m'approche de Dieu, pour savoir. Et le même Ange qui me
rencontre dans la réunion, et le soir, c'est Celui-là même Qui m'a
enseigné Ceci. Voyez? Maintenant, voyez si c'est, comment c'est,
maintenant.
183 Maintenant, Matthieu 28:19, soyons attentifs
pendant un instant, là. Et maintenant, je vais prendre Actes 2:38, ici
même, où Pierre a dit: «Le Seigneur Jésus-Christ.» Et Matthieu a dit:
«Père, Fils, Saint-Esprit.»
184 Maintenant, écoutez. Il a dit: «Baptisez-les...»
Pas «dans le nom du Père, dans le nom du Fils, dans le nom du
Saint-Esprit». Il n'a jamais dit ça. Il n'y a pas de «nom... au nom...
au nom».
185 Il n'a jamais dit: «Baptisez-les dans les noms
du Père, Fils, et Saint-Esprit», parce que ce n'est même pas sensé.
186 Il a dit: «Baptisez-les dans le Nom (N-o-m) du
Père, Fils et Saint-Esprit.» Pas vrai? [L'assemblée dit: «Amen.» –
N.D.É.] «... du Père, Fils, et Saint-Esprit», la conjonction «et...
et... et».
187 Pas «les noms». Pas «au nom du Père, nom du
Fils, nom du Saint-Esprit». Pas: «Aux noms du Père, Fils, et
Saint-Esprit.» Mais «au Nom», N-o-m, singulier, «du Père, Fils, et
Saint-Esprit». Maintenant, lequel d'entre eux est le bon nom, dans
lequel il faut baptiser? C'est un Nom. Lequel est-ce? Est-ce que c'est
«Père» le bon nom, ou est-ce que c'est «Fils» le bon nom, ou est-ce que
c'est «Saint-Esprit» le bon nom?
188 C'est un «Nom», quelque part. Pas vrai?
[L'assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.] Eh bien, alors, maintenant je veux
vous demander quelque chose. Si le «Nom», alors, si Jésus a dit:
«Baptisez-les au Nom du Père, Fils, et Esprit...» Combien croient que
Jésus a dit ça? [«Amen.»] Ça, ce sont les Écritures. C'est Matthieu
28:19: «Au Nom du Père, Fils...» [Frère Branham voit quelque chose qui
détourne l'attention.]
189 Est-ce quelque chose que nous... Non, c'est, je
pensais... Très bien, monsieur. [Un frère dit: «Excusez-moi, Frère
Branham?»] Oui. [«Je veux retourner cette bande, et je ne veux pas le
manquer.»] Très bien. [espace non enregistré sur la bande]
190 Maintenant, «au Nom du Père, Fils, et
Saint-Esprit». Maintenant, écoutez, frères. Il n'existe pas de nom du
«Père», parce que Père n'est pas un nom. C'est un titre. Il n'existe
pas de nom de «Fils», parce que Fils est un titre. Il n'existe pas de
nom de «Saint-Esprit». C'est ça qu'Il est.
191 Je disais ça à un déjeuner de prédicateurs un
matin, et une femme... Contraire à l'ordre, bien sûr, n'importe qui qui
interromprait quelque chose comme ça. Elle a dit: «Attendez une minute,
là! Je regrette!» Elle a dit: «Saint-Esprit, c'est un nom.»
192 J'ai dit: «C'est ça qu'Il est. Je suis un
humain, mais mon nom, ce n'est pas ‘Humain’.»
193 Il est le Saint-Esprit. Ce n'est pas un nom.
C'est ça qu'Il est. C'est un nom commun, bien sûr, mais ce n'est pas
un... C'est un–c'est un... Ce n'est pas un nom.
194 Maintenant, s'Il a dit: «Baptisez-les au Nom du
Père, et du Fils, et du Saint-Esprit», et que ni Père, ni Fils, ni
Saint-Esprit n'est un nom, alors quel est le Nom? Nous voulons le
savoir.
195 Maintenant, si vous voulez être attentifs, nous
pouvons tout trouver à un endroit, ici, et–et–et servir un peu de
temps, c'est-à-dire sauver un peu de temps, c'est ça que je voulais
dire. Maintenant, remarquez Matthieu 28:19. Maintenant, je ne dis pas
que...
196 Il se pourrait, il se peut que vous l'ayez fait,
certains d'entre vous, les sœurs ou les frères. Il se peut que vous
ayez ramassé un livre, un jour, et regardé à la fin, et ça disait:
«Jean et Marie vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants.» Eh bien,
qui sont Jean et Marie? Qu'est-ce que, qui sont Jean et Marie qui
vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants? Il n'y a qu'un seul
moyen pour vous de jamais savoir qui sont Jean et Marie; si c'est une
énigme pour vous, c'est de reprendre le livre et de le lire. Pas vrai?
[L'assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.] Reprenez-le au début et lisez-le
d'un bout à l'autre, et ça va vous dire qui sont Jean et Marie.
197 Eh bien, si Jésus a dit, Jésus-Christ, le Fils
de Dieu, qui a dit: «Allez, faites de toutes les nations des disciples,
les baptisant au Nom du Père, Fils et Saint-Esprit», et que ni Père, ni
Fils, ni Saint-Esprit n'est un nom. Alors, si c'est une énigme, on
ferait mieux de reprendre le début du Livre.
198 Maintenant, retournons au chapitre 1 de
Matthieu, et nous allons commencer, là, ça donne la généalogie, jusqu'à
ce qu'on arrive au verset 18.
199 Maintenant regardez bien, maintenant regardez
bien, un instant. [Frère Branham donne une illustration, en utilisant
trois objets. – N.D.É.] Ça, c'est le Père, à ma droite; ça, au milieu,
c'est le Fils; et ça, c'est le Saint-Esprit. Maintenant, ça, c'est le
Père de Jésus-Christ. Pas vrai? [L'assemblée dit: «Amen.»] Dieu est le
Père de Jésus-Christ. Nous croyons tous ça? [«Amen.»] Très bien.
200 Maintenant, Matthieu 1:18 a dit
Voici de quelle manière arriva la naissance de
Jésus-Christ. Marie, sa mère, ayant été fiancée à Joseph, avant
qu'elle... eussent habité ensemble, se trouva enceinte par la vertu
du... [Frère Branham fait une pause. L'assemblée: «Saint-Esprit.»] Je
pensais que Dieu était Son Père. [Frère Branham fait une pause. –
N.D.É.]
Elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom de
JÉSUS; ...
Et Joseph, son époux, qui était un homme de bien...
ne voulait pas la diffamer, mais se proposa de rompre secrètement avec
elle.
Ainsi, comme il y pensait, voici, un ange du
Seigneur lui apparut en songe, et dit: «Joseph, fils de David, ne
crains pas de prendre avec toi Marie, ta femme, car l'enfant qu'elle a
conçu vient du... [Frère Branham fait une pause. L'assemblée:
«Saint-Esprit.»]
202 Je pensais que Dieu était Son Père. Maintenant,
frères, est-ce qu'Il a deux pères? [«Non.» – N.D.É.] Il ne peut pas.
S'Il l'était, Il serait un enfant bâtard, et quelle sorte de religion
est-ce qu'on aurait là? Vous devez admettre que Dieu le Père, et le
Saint-Esprit, C'est un seul et même Esprit. Bien sûr que oui. Bien sûr,
Il est un seul et même Esprit. Bon, alors, on a vu ça.
Elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom de
JÉSUS; c'est lui qui sauvera son peuple de son péché.
Tout cela arriva afin que s'accomplît...
203 Je suis en train de citer l'Écriture. Vous les
prédicateurs, vous le savez, vous me suivez .
…afin que s'accomplît... avait annoncé le prophète,
par le Seigneur
...la vierge concevra, elle enfantera un enfant et
on lui donnera le nom d'Emmanuel, ce qui par interprétation...
[Frère Branham fait une pause. L'assemblée: «Dieu
avec nous.»]
204 «Dieu avec nous!» Pas vrai? [«Amen.» – N.D.É.]
205 Alors, quel est le Nom du Père, Fils, et
Saint-Esprit? [Un frère dit: «Jésus-Christ.» – N.D.É.] Eh bien,
certainement. C'est pour ça que Pierre les a baptisés au Nom de
«Jésus-Christ».
206 Mais, peu m'importe que vous soyez baptisé au
nom de Rose de Saron, Lis de la Vallée, l'Étoile du Matin, ce sont des
titres, aussi. Si votre cœur est droit envers Dieu, Il connaît votre
cœur.
207 Mais, bon, là, j'ai exprimé ça. Bon, là, j'ai
dit... Là, Frère Scism a dit: «Bon!» Évidemment, bien sûr, ça avait
l'air unitaire, alors il était tout à fait pour ça.
208 Maintenant, j'ai dit: «Là, ici, je veux vous
dire quelque chose, maintenant.» Voyez? J'ai dit: «Maintenant, je veux
vous prouver que ces deux hommes ont dit la même chose.»
209 Maintenant, Matthieu a dit: «Au Nom du Père.»
Pas vrai? [L'assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.] Très bien. Et Pierre a
dit: «Au Nom du Seigneur.» Matthieu 28:19 a dit: «Au Nom du Père», et
Actes 2:38 a dit: «Au Nom du Seigneur.» David a dit: «Le Seigneur a dit
à mon Seigneur.» Qui était-Ce? Le Père et le Seigneur sont le même Nom.
David a dit: «Le Seigneur a dit à mon Seigneur: ‘Assieds-Toi à Ma
droite.’» Vous voyez: «Au Nom du Père; au Nom du Seigneur.»
210 Et Matthieu a dit: «Au Nom du Fils», et Pierre a
dit: «Au Nom de Jésus.» Qui est le Fils? Jésus.
211 «Au Nom du Saint-Esprit», c'était Matthieu; et
Pierre a dit «Au Nom de Christ», le Logos.
212 Père, Fils, Saint-Esprit: «Seigneur
Jésus-Christ». Mais, c'est tout aussi parfait que ça peut l'être. Voyez?
213 Frère Scism m'a dit. Frère Scism, le frère
unitaire, il a dit «Frère Branham, c'est vrai, mais», il a dit, «ça,
c'est ceci.»
214 J'ai dit: «Dans ce cas, ceci, c'est ça.» C'est
vrai. Voyez? J'ai dit: «Si ça, c'est ceci, ceci, c'est ça. Alors,
pourquoi est-ce que vous vous disputez?»
215 J'ai dit: «Permettez-moi de vous adresser une
recommandation, frères. Si jamais je baptise quelqu'un, voici ce que...»
216 J'ai dit: «Maintenant, voici le Dr Ness.» Et
quelqu'un, parmi vous les frères, a dit il y a un moment, que vous
connaissiez le docteur Ness.
217 Bon, ici je vais dire, Frère Hicks, ici, il a
un... Je pense que vous avez un doctorat. Pas vrai? Très bien.
218 Alors, j'ai dit: «Si le Dr Ness, qui est assis
ici...» Alors, j'ai dit: «Si je voulais...» Maintenant, quand j'amène
une personne à l'eau, pour les baptiser, j'en tiens compte, tout comme
lui l'a fait, j'ai dit que «c'étaient des titres qui se rapportaient à
Son Nom».
219 J'ai dit: «Maintenant, les frères des Assemblées
utilisent des titres, et les frères unitaires utilisent un Nom.» J'ai
dit: «Maintenant, je vais vous prouver que vous avez tous les deux
tort, et que moi, j'ai raison.» Vous savez comment il faut... Quand des
hommes sont tendus, comme ça, il faut avoir un peu de sens de l'humour
de temps en temps, pour détendre un peu l'atmosphère. Alors j'ai dit:
«Je vais vous prouver que vous avez tous les deux tort, et que moi,
j'ai raison.»
220 J'ai dit: «Maintenant, disons que je veuille
montrer de la considération pour Frère Ness, et je dirais...»
221 Ou, ou Frère Hicks ici, vous voyez. Je dirais:
«Hicks!» Est-ce que ça ferait bien, ça? Non. Eh bien, et si je disais:
«Docteur! Eh, Doc! Et alors?» Ça, ça fait irrespectueux, n'est-ce pas?
222 «Quand,» j'ai dit, «c'est comme ça que vous
faites, vous, les Assemblées, vous voyez. Quand vous, les frères des
Assemblées, vous dites: ‘Au Nom du Père, et du Fils, du Saint-Esprit’,
tout ce que vous dites, c'est: ‘Au nom du pasteur, le docteur.’»
223 Et j'ai dit: «Et puis, vous les frères
unitaires, quand vous baptisez, vous dites: ‘Jésus’!» Ils n'utilisent
pas...
224 Eux, les Jésus Seul, ils n'utilisent que le nom
«Jésus». Il y a beaucoup de Jésus. Mais C'est le Seigneur Jésus-Christ,
vous voyez. Il y a beaucoup... Baptiser au nom de «Jésus», je ne suis
certainement pas d'accord avec ça; il n'y a pas de passage de
l'Écriture. Prenez l'original, voyez si ce n'est pas «Seigneur
Jésus-Christ». Certainement, Il est le Seigneur Jésus-Christ. Il y a
beaucoup de Jésus, certainement. Et le Christ, c'est le «Oint».
225 J'ai dit: «Maintenant, si je devais dire la même
chose à Frère Ness. Je dirais, est-ce que ça ferait bien que je dise:
‘Eh, Ness!’?» J'ai dit: «C'est comme ça que vous, les unitaires, vous
le diriez. Voyez? Est-ce que ça ne serait pas un manque de
considération irrespectueux envers cet homme qui a étudié, et qui a un
doctorat? S'il a étudié d'arrache-pied pour l'avoir, on devrait lui
donner ce titre.»
226 Et j'ai dit: «Et puis, si je disais: ‘Eh,
Doc’!», j'ai dit, «est-ce que ce ne serait pas trop direct, comme façon
de s'adresser d'un prédicateur à un autre?» Ou, j'ai dit: «C'est tout à
fait comme ça que vous le faites, seulement du côté par le titre.»
227 Mais j'ai dit: «Quand j'amène un homme à l'eau;
je m'avance, là, et je lui demande, et je parle, et je lui demande son
nom, et qui il est, et sa foi.
228 Ensuite, je prie, et je dis: ‘Maintenant, Père,
comme Tu nous as donné la commission d’«aller par tout le monde, et de
faire de toutes les nations des disciples...»’ Vous, les frères, vous
savez que c'est l'original, vous voyez. «...de faire de toutes les
nations des disciples, les baptisant dans le Nom du Père, et du Fils,
et du Saint-Esprit; et leur enseignant à observer toutes les choses»
que Tu as... toutes les choses que Tu nous as enseignées.’
229 «Alors j'ai dit: ‘Sur la confession de ta foi;
sur ta confession de tes péchés, et de ta foi dans le Fils de Dieu, je
te baptise, mon frère bien-aimé, au Nom du Seigneur Jésus-Christ.’»
230 J'ai dit: «Voilà comment je baptise. Je
reconnais à la fois Ses titres, ce qu'Il était, à la fois Père, Fils,
et Saint-Esprit. Et la raison pour laquelle Jésus a dit ça, c'était...»
231 Maintenant, regardez. Si–si ce n'est pas le cas,
vous avez une contradiction dans votre Écriture; vous avez une
contradiction. Et qu'est-ce que vous allez faire quand... Et si ce
frère bouddhiste se levait et qu'il disait ça, «Qu'en est-il de ceci?»
Qu'est-ce qu'ils ont dit quand ils m'ont raconté...
232 Là-bas, quand ce frère indien a lancé un défi à
Morris Reedhead, et qu'il lui a dit, il a dit: «Qu'en est-il de Marc
16?» Il a dû faire machine arrière là-dessus.
233 Vous n'avez pas besoin de faire machine arrière
sur quoi que ce soit. C'est la Parole de Dieu. Tenez-vous en à Elle.
Priez simplement. Recevez la révélation. Elle est pareille d'un bout à
l'autre.
234 Vous voyez, maintenant, tous les deux, ils
disent la chose; pas des titres; pas de façon directe. J'ai dit:
«Maintenant...»
235 Je L'ai reconnu. Il était le Père; pas un autre
Dieu. Il était le Fils; pas un autre Dieu. Le même Dieu! Ce sont trois
fonctions. Dieu dans la Paternité, la dispensation, si vous voulez
l'appeler comme ça, de la Paternité; la Filiation; et c'est le même
Dieu en nous maintenant, «Je serai avec vous». Le «Je», le pronom
personnel, «Je serai avec vous». Donc, vous voyez, ce sont trois
fonctions, pas trois Dieux.
Maintenant, frère, si les disciples n'ont jamais
utilisé ça, et ainsi de suite ...
236 Je ne dis rien contre ça. C'est très bien. Mais
je vous dis, si un homme venait ici, qu'il était baptisé au nom de la
«Rose de Saron, le Lis de la Vallée, et l'Étoile du Matin», et qu'il
croyait en Jésus-Christ comme son Sauveur; je dirais: «Que Dieu vous
bénisse, frère! Venez, allons-y!» Voyez? C'est vrai. En effet, si votre
cœur n'est pas droit, vous n'êtes pas dans le vrai, de toute façon.
C'est exactement ça. Alors, votre–votre cœur doit être droit.
237 Et j'ai dit: «Maintenant, regardez. Maintenant,
si moi, j'allais saluer Frère Ness, ici, je dirais ‘le révérend docteur
Ness’. Tout à fait. C'est un prédicateur. On doit le considérer comme
un révérend. Il a étudié, et beaucoup étudié. Il a un doctorat, alors
on devrait l'appeler ‘docteur’. C'est son titre, vous voyez. Et
pourtant son nom est ‘Ness’. Mais je ne dirais pas: ‘Eh, Ness! Eh,
Doc’! Non, ce ne serait pas bien. Je dirais: ‘Le révérend docteur Ness.’
238 «Vous voyez, c'est ce que je nomme, vous voyez,
ce qu'Il est; à la fois Père, Fils, et Saint-Esprit, ‘le Seigneur
Jésus-Christ’.» Voyez?
239 Et j'ai dit: «Si jamais je baptise quelqu'un
dans vos églises à vous, c'est de cette manière-là que je les
baptiserai.» J'ai dit: «Est-ce que vous le recevriez, Frère Ness?»
240 Il a dit: «Bien sûr. Il a été baptisé au Nom du
Père, Fils, et Saint-Esprit.»
J'ai dit: «Est-ce que vous le recevriez, Frère
Scism?»
Il a dit: «Bien sûr. Il est baptisé au Nom de Jésus.»
241 J'ai dit: «Alors, qu'est-ce que vous avez,
frères? Pourquoi ne voulez-vous pas accepter ça, et renverser ces murs
où ces pauvres êtres humains se trouvent? Les unitaires, ils veulent,
en réalité, les membres de leurs églises, ils veulent adorer avec ceux
des Assemblées. Et les Assemblées, les membres de leurs églises, ils
veulent adorer avec les unitaires. Et les frères sont comme ça. Ils
sont comme ça. Mais tant que le diable peut les faire se battre...»
242 Maintenant, vous voyez ce que je veux dire,
frères? Mon objectif, c'est une seule chose, Jésus-Christ, et l'union
du Corps de Jésus-Christ. C'est ça qui est mon but. [L'assemblée dit:
«Amen.» – N.D.É.]
243 Maintenant, je ne dis rien comme: «Eh, si vous
n'êtes pas baptisé au Nom de Jésus; vous allez en enfer.» Ça, c'est
absurde.
244 Je vais vous raconter ce qui s'est passé l'autre
jour. J'étais au Texas. Avant de partir... Et les–les frères ici en
sont témoins. L'église unitaire, soixante-douze assemblées ont parrainé
ma réunion. Et j'ai fait venir Frère Petty, le frère des Assemblées de
Dieu, sur l'estrade ce soir-là. Maintenant, vous savez que c'est vrai.
C'est un précieux frère, Frère Petty, s'il y en a parmi vous qui le
connaissent, de Beaumont, au Texas. C'est l'un des meilleurs hommes que
j'aie jamais rencontrés. Son épouse est une catholique convertie, une
femme vraiment sanctifiée. Il est un véritable homme de Dieu.
245 Dites-moi s'il y a un homme meilleur que Roy
Wead, des Assemblées de Dieu. Nommez-moi n'importe lequel de ces
frères, regardez, ici, tous ces frères que je connais par ici. Le frère
de l'église de Philadelphie, ici, et les hommes des Assemblées de Dieu,
et, est-ce qu'il y a de meilleures personnes? Dites-moi où. Dites-moi
s'il y a un meilleur homme que Jack Moore? Dites-le-moi. Il est ce
qu'on appelle... Ils sont de ceux… Il n'est pas un extrémiste. Vous
trouvez des extrémistes dans les deux camps; et c'est ça que les gens
montrent du doigt, et c'est ça que le diable montre du doigt.
246 Mais ils sont tous des hommes de Dieu. Dieu leur
a donné le Saint-Esprit. Si ce n'était la grâce de Dieu, nous serions
tous finis, avec nos disputes, et tout. C'est tout à fait vrai. Mais
c'est la grâce de Dieu qui nous unit. Ce n'est pas étonnant qu'on
puisse chanter: «Béni soit le lien qui unit nos cœurs dans l'amour de
Christ.» Voilà de quoi nous avons besoin, alors.
247 Alors vous savez quoi? Le Surveillant Général de
la–l'église m'a appelé, et il a dit: «Savez-vous ce que vous avez fait
hier soir?» Mon deuxième soir là-bas.
J'ai dit: «Quoi?» J'ai dit: «On a eu une
merveilleuse réunion.»
Il a dit: «Vous avez fait venir à votre chaire un
homme qui était un pécheur.»
J'ai dit: «Je ne le savais pas.»...?...
Il a dit: «Ce M. Petty.»
248 «Oh,» j'ai dit, «un pécheur? Mais,» j'ai dit,
«c'est un prédicateur des Assemblées de Dieu, frère.»
249 Il a dit: «Oui, mais c'est quand même un
pécheur, parce qu'il n'a pas été baptisé comme il faut.»
250 Et j'ai dit: «Frère, je vous prie de me dire
pourquoi.» J'ai dit: «Il a le Saint-Esprit.»
251 Il a dit: «Frère Branham, qu'est-ce que Pierre a
dit? ‘Repentez-vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ, pour le
pardon de vos péchés.’ Donc, vos péchés ne peuvent pas êtres pardonnés
tant que vous n'êtes pas baptisé au Nom de Jésus.»
J'ai dit: «Est-ce là la formule, mon frère?»
Il a dit: «C'est la formule.»
252 J'ai dit: «Et Dieu a chamboulé Son Propre plan,
alors, dans Actes 10:49, car: ‘Comme Pierre prononçait encore ces mots,
le Saint-Esprit descendit sur ceux qui écoutaient la Parole’, vous
voyez, et ils n'avaient absolument jamais été baptisés. Alors, Dieu a
donné le Saint-Esprit à des gens qui n'étaient même pas convertis?»
J'ai dit: «Mais où donc est-ce que vous vous tenez maintenant?»
253 Il a dit: «Vous savez ce que nous allons faire?»
Il a dit: «Nous traçons un petit rond, et nous le traçons pour que vous
soyez en dehors de notre cercle.»
254 «Alors,» j'ai dit, «je vais en tracer un autre,
et le tracer pour que vous soyez de nouveau dedans, cette fois.» J'ai
dit: «Vous ne pouvez pas tracer un cercle pour m'exclure, parce que je
vous aime. Vous voyez, vous ne pouvez pas le faire, c'est tout.» J'ai
dit: «Il y a bien trop de vos–vos frères là-bas qui m'aiment et qui
croient en moi.» J'ai dit: «Vous, je–je... Ils viendront quand même.»
J'ai dit: «Ils viendront. Et vous ne pouvez pas tracer un cercle pour
m'exclure. Si vous en tracez un pour m'exclure, j'en tracerai un pour
vous réinclure.» J'ai dit: «Quand vous faites un cercle; Dieu, par Sa
grâce, me permettra d'en tracer un autre et de vous réinclure, là.»
C'est vrai, en tracer un pour les réinclure.
255 Et, frère, oh, au Nom de Christ, que je dise
ceci. Je–j'ai... je sais que je prends du temps ici; et c'est presque
bientôt l'heure de terminer, je pense, mais que je dise seulement ceci,
vous voyez.
256 Et j'ai dit à cet homme, j'ai dit: «Je serais
d'accord avec vous, pour autant que vous prêchiez les Écritures, et que
vous ayez de l'amour, et que vous croyiez que–que... et que vous
prêchiez et que vous disiez que vous baptisez les gens... pas au nom de
‘Jésus’, Jésus seul. Non monsieur. Je–je ne serais assurément pas
d'accord avec ça, parce que je connais plusieurs Jésus; j'en connais en
Afrique et à plusieurs endroits, des gens qui s'appellent Jésus. Mais
si vous utilisez le terme de notre ‘Seigneur Jésus-Christ’, là, je
serai d'accord avec vous. C'est très bien. Je vous appuierai. Je pense
qu'on doit mettre ‘Père, Fils, et Saint-Esprit’ en premier, vous voyez,
pour que ce soit clair.» J'ai dit: «Je pense qu'on doit le faire.»
Mais il a dit: «Oh, non, non! Ça–ça, c'est de
nouveau la trinité.»
J'ai dit: «Ce n'est pas une trinité. C'est un Dieu
en trois fonctions.»
257 Ce n'est pas une trinité, trois Dieux. Nous
n'avons pas trois Dieux. Certainement pas. Ça n'existe pas. Ça n'a pas
été enseigné dans la Bible. Et il n'y a qu'un seul Dieu. «Écoute, ô
Israël, Je suis l'Éternel ton Dieu.» Un seul Dieu! Premier
commandement: «Tu n'auras point d'autres dieux devant Ma face.»
Certainement, Il est Un seul Dieu, pas trois.
258 Ça, c'en est la version catholique; et elle a
été transmise des catholiques aux luthériens, et en continuant, et
ainsi de suite, et c'est une croyance généralement admise parmi les
gens aujourd'hui que nous avons trois Dieux.
259 Et c'est là que jamais vous... Cet Évangile
n'ira jamais aux Juifs... Ce que j'ai prophétisé l'autre matin à un
missionnaire Juif, là. Vous n'arriverez jamais à faire accepter un Dieu
en trinité à un Juif. Vous n'y arriverez jamais. Et d'ailleurs, il
n'est pas; il a plus de bon sens que ça. Vous voyez, il connaît mieux
la Bible que ça. Mais Il n'est jamais un Dieu trin, pour un–pour un
Juif. Si vous lui faites savoir que C'est le même Jéhovah, il
l'acceptera tout de suite. C'est sûr! C'est ça, vous voyez.
260 Et je crois que tout ceci... Comme Joseph l'a
dit: «Frères, ne soyez pas fâchés, parce que c'est Dieu qui a fait
ceci», vous voyez. Alors, si la chose se passe comme ça, c'est pour que
ça puisse attendre jusqu'à maintenant, c'est tout, parce que notre âge
des nations est presque terminé. Maintenant, je crois ça, de tout notre
cœur. Alors, voyez-vous, mes frères? [L'assemblée dit.: «Amen.» –
N.D.É.] J'essaie d'en venir à quelque chose, c'est que ce groupe de
gens, d'hommes qui ont le baptême du Saint-Esprit...
261 Le groupe d'Aimee McPherson, qu'est-ce qu'elle a
fait? Elle était d'abord unitaire, je crois; ensuite, elle est sortie
pour se joindre aux Assemblées; ensuite, elle s'est retirée et s'est
organisée différemment; ici, il n'y a pas longtemps, elle a introduit
un petit groupe, un petit...
262 J'étais assis dans la réunion d'O.L. Jaggers.
Maintenant, nous connaissons tous O.L. Jaggers. Son–son père a
contribué à fonder le Conseil Général des Assemblées de Dieu.
Maintenant, O.L. est un grand homme. C'est un grand prédicateur. Je lui
ai dit, il n'y a pas longtemps, j'ai dit: «Frère Jaggers, si je pouvais
prêcher comme vous l'avez fait, je ne ferais jamais un seul de service
de guérison.» Mais il avait tout ce sang, et ce vin, et tout, quand il
a commencé, là-bas, au début.
263 Excusez-moi si je vous blesse, frères, à ce
sujet. Je–je... C'est en ordre. Dieu peut faire venir du sang, venir du
vin, ou venir de l'huile, tout ce qu'Il veut, mais ce n'est pas ça qui
remet les péchés. Non monsieur. Non monsieur. Absolument pas. «Le Sang
de Jésus-Christ ne perdra jamais Sa puissance, jusqu'à ce que toute
l'Église de Dieu rachetée soit sauvée, pour ne plus jamais pécher.»
264 J'ai dit: «Frère Jaggers?» Je l'ai emmené; je
lui avais téléphoné. Et j'étais avec les Hommes d'Affaires Chrétiens.
J'ai dit, j'ai dit: «Frère O.L.?»
265 Il a dit: «Mais où êtes-vous donc?» J'étais dans
un petit motel bon marché, là-bas. Et il a dit: «Voulez-vous me dire
qu'ils vous ont logé là?»
266 J'ai dit: «C'est mon désir. Quand je suis venu
chez vous,» j'ai dit, «qu'est-ce que vous avez fait? Vous m'avez logé
là-bas à l'hôtel Statler, et il fallait que je reste dans un coin. Ils
m'avaient fait asseoir à la table; je ne savais pas quel couteau
utiliser, ni rien. Et je n'avais pas... Je suis passé, là, je ne
portais pas de veston, et ils voulaient me mettre dehors.» Et j'ai dit:
«Je–je ne sais pas comment me tenir.»
Il a dit: «Je vais vous amener là-bas, s'ils sont
trop pauvres pour le faire.»
267 J'ai dit: «Non monsieur.» J'ai dit: «Ce que je
veux faire, c'est prendre un steak avec vous, si vous êtes prêt à le
payer.»
Et il a dit: «D'accord.»
268 Alors on est allés quelque part, et on s'est
assis. Et j'ai dit «Frère Jaggers, j'admire vraiment votre...»
269 Et c'est un de mes très chers amis, un précieux
frère. Et je–j'avais son petit tract, et il... où il parlait de cette
femme qui venait d'arriver ici, d'outre-mer, qui avait du sang dans ses
mains, et tout. Je voulais qu'il me dise le contraire, rien qu'une
fois, et là, je l'avais en plein sur son–sur son papier, vous savez.
270 J'ai dit: «J'ai remarqué que vous continuez de
l'avant, que vous faites, que vous allez faire commencer un grand
réveil.» En effet, les Hommes d'Affaires m'avaient fait venir là, bien
sûr.
271 Il me semble que les gens devraient savoir. Si
le Saint-Esprit peut révéler sur l'estrade, ne peut-Il pas me dire ce
qui se passe à des endroits, frères? [L'assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.]
272 Je peux vous le dire, mot pour mot, et le
prouver par Frère Carlson, et ce frère, ici. J'étais assis à la
réunion, hier, et j'ai dit à ces frères ce qui allait se passer ici ce
matin. [Un frère dit: «Oui, monsieur.» – N.D.É.] C'est vrai.
Exactement. [«Amen.»] Voyez? En effet, le Saint-Esprit m'a réveillé, et
Il a dit: «Tiens-toi près de la fenêtre.» J'ai regardé par la fenêtre,
et Il m'a montré exactement ceci. J'ai dit: «Maintenant, frères...» [Un
frère dit: «C'est vrai.» – N.D.É.] Je vous ai montré ceci, c'est tout à
fait vrai. Voilà! Voyez?
Oh, ils devraient le savoir.
273 Ici, il n'y a pas longtemps, un homme s'est
levé, ici à Chatauqua, et il a dit: «Frère Branham est un prophète.» Je
ne prétends pas être un prophète. Voyez? Mais il a dit: «Frère Branham
est un prophète quand il est sous l'Esprit de discernement, mais,» il a
dit, «oh, sa Doctrine, c'est du poison. Faites attention à Ça.» Je me
suis dit, un homme instruit, dire une chose pareille?
274 Que signifie un prophète? «Un interprète Divin
de la Parole.» «La Parole du Seigneur est venue au prophète», vous
voyez. Mais, seulement ça, ce n'est pas non plus quelque chose à dire
ici.
275 Mais, de toute façon, Frère Jaggers. Et j'ai
dit, il a dit, oh... J'ai dit: «J'ai vu où il est question de cette
femme qui a du sang dans la main, là.»
276 «Oh,» il a dit, «Frère Branham, c'est la chose
la plus phénoménale qu'on ait jamais vue!»
277 J'ai dit: «Frère Jaggers, je vous aime. D'abord,
je veux que vous mettiez ma main dans la vôtre. Disons-nous que nous
sommes frères.»
Il a dit: «Bien sûr. Qu'est-ce qu'il y a?»
278 J'ai dit: «Vous êtes un des prédicateurs les
plus puissants que je connaisse. Quel–quel instrument pour Dieu vous
êtes!»
279 Il a dit: «Merci, Frère Branham. Vous êtes
vraiment humble.»
280 J'ai dit: «Je ne dis pas ça pour être humble. Je
dis ça parce que je crois que vous êtes le serviteur de Dieu.» Mais
j'ai dit: «Frère Jaggers, tant que vous ne... Vous–vous allez trop
loin; vous n'avez rien pour servir de contrepoids à ce dont vous
parlez. Vous fondez... «
281 Et c'est là le problème chez beaucoup d'entre
vous, des Assemblées de Dieu, et d'autres hommes, quant à ces services
de guérison. Je ne vous blâme pas. Il y a tellement de choses qui
passent pour... Et Tommy, ici, est un bon frère, et nous savons combien
il tient ferme. Mais il y a tellement de choses dans le pays
aujourd'hui sous le nom de guérison Divine, ce n'est pas étonnant que
vous ne vouliez pas parrainer une réunion en ville. Ils viennent, et
ils tirent l'argent des gens, et ils repartent. Et qu'est-ce qu'ils
ont? Ils ne donnent absolument rien de plus aux gens que ce que vous
leur apportez de l'estrade, de votre propre chaire. Et vous avez
raison, frères. Je vous le dis, vous avez raison. Mais c'est comme...
282 Je lisais l'histoire de Martin Luther. Il y
était dit que «ce n'était pas un mystère que Martin Luther ait pu
protester contre l'église catholique et s'en tirer.» Vous avez lu son
histoire. «Mais que Martin Luther ait pu garder la tête au-dessus de
tout le fanatisme qui a suivi son réveil, c'était ça le mystère.»
283 Et quand le phénomène est accompli, les
incirconcis ont suivi, tout comme il en était en Égypte. Et ça a
toujours provoqué des difficultés dans le pays. Nous savons ça, quand
nous arrivons là-bas. Là, Koré s'est élevé, et Dieu a dû détruire ça.
Mais frères, je ne vous blâme pas.
284 Frère Jaggers était assis là à essayer de me
dire que c'était le Saint-Esprit qui faisait ça. Et il disait... Et
puis j'avais, dans son propre journal... J'ai dit: «Frère Jaggers,
maintenant,» j'ai dit, «je suis un élève de septième année. Et vous,
vous êtes un docteur en théologie, et vous avez fait des études
d'avocat. Vous avez été élevé dans une église propre, décente, les
Assemblées de Dieu. Votre père a contribué à fonder cette foi. Et que
vous vous sépariez, ça vous regarde.» Mais j'ai dit: «Tout homme qui
veut faire ça, ça le regarde. Je n'ai pas à m'opposer à ça. Mais quand
c'en arrive au point où un instrument comme vous, qui pourriez gagner
des milliers d'âmes pour Christ, vous bâtissez votre ministère sur une
sensation.» J'ai dit: «Frère Jaggers, quand vous construisez une
colonne comme ça, si vous n'avez pas quelque chose pour servir de
contrepoids, elle tombera, après un moment. Et vous devez avoir des
références dans l'Écriture pour ce dont vous parlez.»
Il a dit: «Il y a des références dans l'Écriture.»
J'ai dit: «Produisez-les.»
285 Il a dit: «Eh bien, Frère Branham,» il a dit,
«c'est le Saint-Esprit qui fait ça.»
286 J'ai dit: «Montrez-moi, dans l'Écriture, où Elle
dit que le Saint-Esprit ait jamais fait apparaître du sang sur
quelqu'un, et ainsi de suite, comme ça. Montrez-moi donc ça; couler de
l'huile d'eux. Vous avez dit que ‘cette huile était pour la guérison
Divine’. Et vous avez dit que ‘le sang de cette femme serait le salut
des nations’.» J'ai dit: «Si c'est le cas, alors qu'est-ce qui est
arrivé au Sang de Jésus-Christ? C'est d'ôter. Et tout ce qui est contre
Celui-ci, c'est anti. C'est contre Lui. J'ai dit: «Ça devient une
doctrine antichrist.»
«Oh,» il a dit, «Frère Branham, un jour, vous
apprendrez.»
287 J'ai dit: «J'espère que je n'apprendrai jamais
comme ça. Maintenant, frère,» j'ai dit, «je vous aime, et vous êtes mon
frère.» Et j'ai dit: «Frère Jaggers, vous allez prendre une branche
latérale, au bout d'un moment, et vous ne pourrez plus vous en sortir.
Revenez à votre église, et revenez et tenez-vous-en à l'Évangile.» Et
j'ai dit: «Ne bâtissez-pas ça sur des sensations.» J'ai dit: «Les...»
288 Maintenant il a, il baptise pour la Vie
Éternelle, vous savez, «chaque fois que vous baptisez, vous redevenez
une jeune femme ou un jeune homme. Maintenant, ça, ça va.. . Vous
n'allez pas (jamais) mourir.» Alors, là, il y est, au bout de la
branche, maintenant; et ces «pilules vitaminées tirées de la mer
Morte». Vous voyez? Mais voilà ce que c'est, frère, il a commencé avec
ces petites sensations.
289 Et vous, les hommes ici, qui avez ces églises,
laissez quelque chose comme ça entrer dans la ville, et, vous savez, le
diable est rusé, et il–il se dépêche de s'emparer de ce genre de choses
là. Il en fait tout un plat. Et il–il fait que les gens soient tout
retournés, et il provoque des confusions dans l'église, et tout. Mais
ce n'est pas ça.
290 Maintenant, voici. Peu importe combien vous avez
raison, voici une chose que nous manquons et qui nous échappe, mes
frères. Maintenant, je termine, en disant ceci. Peu importe combien
j'ai raison, et combien je suis conforme à l'Écriture, et combien j'en
connais sur la Bible de Dieu; si je n'ai pas l'Esprit de Dieu, d'amour,
dans mon cœur, pour toute la race humaine et tout, alors j'ai tort dès
le départ.
291 Maintenant, Paul a dit, dans I Corinthiens 13:
«Quand j'aurais la connaissance, vous voyez, et la science de tous les
mystères de Dieu, vous voyez; coin-... tout... prendre; si je n'ai pas
la charité, je ne suis rien. Et quand je parlerais les langues des
hommes et des anges», c'est celles par lesquelles vous parlez à Dieu et
celles qui peuvent toujours être interprétées. «Quand je parlerais les
langues, les langues authentiques des hommes et des anges, si je n'ai
pas la charité, l'amour, cela ne me sert de rien.» Donc, si je connais
tous les mystères de Dieu, et que je peux les dévoiler et–et les faire
tous s'aligner, et que je n'aie pas l'amour, à quoi est-ce que ça sert?
Et quand je...
292 Jésus a dit: «À ceci tous connaîtront que vous
êtes Mes disciples, quand vous aurez...» quand les Assemblées auront de
l'amour pour les unitaires et que les unitaires auront de l'amour pour
les Assemblées, «quand vous aurez de l'amour, les uns pour les autres»,
que vous ayez raison ou tort. Et tant que l'objectif est faux, que le
motif est faux, plutôt, alors vous avez tort dès le départ. N'est-ce
pas vrai? [L'assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.] Vous voyez: «Quand je
parlerais les langues des hommes et des anges, si je n'ai pas la
charité, je ne suis encore rien.» C'est que Dieu est amour. Ça, nous le
savons.
293 Et je crois au parler en langues. Or, quelqu'un
a dit: «Frère Branham ne croit pas au signe initial.» J'aimerais
éclaircir ça avec vous maintenant. Voyez? J'aimerais vous dire.
294 Je crois que quand un homme reçoit Christ, il
reçoit une portion du Saint-Esprit. En effet, Jésus a dit, dans
Matthieu au–au chapitre 12, du chapitre 5 et vingt-... le
vingt-quatrième verset, Il a dit. Non, je crois que c'est Jean 5:24. Il
a dit: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M'a
envoyé, a la Vie Éternelle. Or il n'y a qu'une seule forme de Vie
Éternelle. «Et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort
à la Vie.»
295 Maintenant, je crois qu'aucun homme ne peut
s'appeler lui-même; c'est Dieu qui doit l'appeler. Et si Dieu l'a
vraiment appelé... Et il y a beaucoup de gens, nous le savons, frères,
qui sont sous le coup de l'émotion et pensent que Dieu les a appelés,
mais leur vie ne tarde pas à... découvrir, vous allez découvrir. Mais
si Dieu vous a appelés, eh bien, vous êtes, vous allez y être, et vous
allez y rester, vous voyez, savez. Et puis si... Maintenant, ce n'est
pas la doctrine baptiste. Vous savez ça, vous voyez.
296 Mais, c'est que je ne crois pas dans les
poignées de mains pour avoir la sécurité Éternelle, et toutes ces
choses-là. Je–je ne crois pas à ça, pas du tout. Si eux veulent croire
ça, eh bien, c'est très bien. Je dis quand même que ce sont mes frères.
297 Ce matin, si j'allais demander un morceau de
tarte (et c'est presque l'heure du dîner), il se peut que je l'aime aux
cerises, et que vous la preniez aux pommes, mais on mange tous les deux
de la tarte. Voyez? Donc, ça ne change rien, tant qu'on mange de la
tarte.
298 C'est ce que nous croyons. Si vous voulez être
unitaire, soyez unitaire; si vous voulez être Assemblée de Dieu, soyez
Assemblée de Dieu. Si vous voulez être ce que vous êtes, baptiste,
presbytérien, soyez-le en chrétien. Voyez?
299 Et–et sondez ça par vous-mêmes, mais ne faites
pas d'histoires entre vous. En effet, ces petites choses, elles
s'emboîtent toutes les unes dans les autres. C'est vrai. Elles
s'emboîtent toutes les unes dans les autres et aboutissent à ce seul
point.
300 Et–et peu importe ce que nous faisons, combien
de miracles nous pouvons accomplir, combien de montagnes nous pouvons
déplacer, ou quoi que ce soit; tant que nous n'en sommes pas arrivés au
point où nous aimons, pas du faux-semblant, mais que nous nous aimons
les uns les autres. Quand nous aimons chaque frère, peu importe à
quelle église il appartient, nous l'aimons; pas seulement faire
semblant, parce que nous savons que c'est une notion religieuse, c'est:
«Nous devons le faire.» Mais, parce que nous le faisons, nous nous
aimons les uns les autres; alors, avec longanimité, nous supportant les
uns les autres.
301 Et, je crois, dans Colossiens 3, autour du
verset 9, quelque part par là... Je pourrais, je–je ne... Je pourrais
me tromper de passage de l'Écriture, mais Il disait ceci. Une fois
qu'on est devenus chrétiens, on ne doit pas se jalouser. Voyez? Nous ne
pouvons pas avoir la foi quand nous essayons de rendre le respect et
l'honneur les uns aux autres. Vous voyez, nous ne pouvons pas faire ça;
nous ne pouvons pas avoir la foi. Nous devons honorer Dieu, vous voyez,
L'honorer, Lui. Croire en mes frères, bien sûr, c'est de l'amour; mais
le respect et la dignité reviennent à Dieu! Pour ce qui est de... Mais
d'avoir une foi et une confiance les uns dans les autres. «Et ne mentez
pas les uns aux autres.» Voyez? «Ne mentez pas les uns aux autres.» Si
je vous dis ce matin: «Je vous aime», il faut que je le pense vraiment.
Sinon, je suis un hypocrite. C'est exact.
302 Maintenant, frères, dans le même sens...
Maintenant, Frère Tommy, j'espère que je n'ai pas trop retenu, là.
Je... Frère Tommy a quelque chose à dire dans une seconde, là. Mais je
peux dire ceci, quand je suis venu au milieu de vous...
303 Je crois ceci. Je crois que Dieu notre Père a
couvert de Son ombre une vierge appelée Marie, et qu'Il a créé en elle
une cellule de Sang qui a produit Jésus-Christ, qui était le Fils de
Dieu, le tabernacle dans lequel Dieu S'est voilé, en chair, S'est
manifesté parmi nous. «Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec
Lui-même.» Je crois que cette cellule de Sang a été brisée au Calvaire,
pour la rémission de nos péchés. Et l'Esprit est sorti de Lui et est
revenu sur l'Église, parce que, le Christ, le Saint-Esprit; le Christ,
le Logos, était en nous maintenant, le Saint-Esprit, par le baptême. Ce
qui fait de nous... Christ S'est séparé, en donnant Sa Vie à chacun de
nous, pour que nous, en tant que groupe de gens, nous puissions être
l'Église de Dieu. Et il n'y a pas longtemps...
304 J'ai déjà fait de l'équitation. Vous savez ça.
Mon père était un cavalier, il en était un excellent. J'ai déjà fait de
l'équitation. On conduisait le–le... dans la vallée d'Arapaho, ou je
veux dire la rivière Troublesome, de l'autre côté des pâturages
d'Arapaho. C'est l'association Hereford qui fait paître dans cette
vallée. Et dans cette vallée, les propriétaires de ranchs, ils–ils ont
tant d'herbe qu'ils peuvent faire pousser. Et quand un ranch produit
jusqu'à une tonne de foin, ça vous permet de mettre une vache sur
le–sur le pâturage, là-bas, juste en dessous du parc Estes, là, et on
peut mettre une vache sur ces pâ-... Ces terres où j'aime beaucoup
chasser, là-haut. Et j'ai été cow-boy là-bas pendant un an. J'y vais
encore au printemps et en automne, quand je suis libre et que je peux,
et je fais les rassemblements, rien que pour être là-haut, parce que
j'aime faire du cheval. Et tout le long des ran-... de cette vallée, il
y a un groupe de cow-boys qui ont un droit d'entrée, là, et pour faire
paître leur bétail. Et au printemps, bien des fois, je les ai aidés à
rassembler leurs bêtes, et à les conduire là-bas.
305 Et il y a une clôture à bétail, pour les
empêcher de revenir sur les terrains privés, en traversant le pâturage.
Et le cow-boy se tient là, et il compte ces bêtes alors qu'il entre,
alors qu'elles entrent. Et bien des jours, je suis resté assis là heure
après heure, à regarder entrer le troupeau de M. Grimes, il avait les
«Diamond Bar»; les nôtres, c'était le «Turkey Track»; et il y avait
le–le «Tripod» juste en dessous de nous; et ceux de Jeffrey, et ainsi
de suite. Et puis, quand je mettais ma jambe, comme beaucoup de vous le
savez, par-dessus le pommeau de la selle, et je restais assis là à
observer le cow-boy qui était là, en train de compter ces bêtes.
306 J'ai remarqué une chose. Il ne faisait pas très
attention à la marque qu'elle portait. Mais il y a une chose qu'il
cherchait vraiment, c'était l'étiquette de sang. Il fallait que ce soit
une Hereford de race, sinon elle ne pouvait pas traverser cette
clôture, mais la marque ne changeait pas grand-chose.
307 Et je pense que c'est comme ça que ce sera au
Jugement. Il ne va pas regarder notre marque, mais Il cherchera
l'étiquette de Sang.
308 J'ai fait mes erreurs, frères, et j'ai fait
tellement de choses qui sont fausses. Et si jamais, le long du chemin,
j'ai apporté, ou vous avez entendu quelque chose que j'ai pu mentionner
ou dire, qui soit offensant d'une quelconque manière, ou si j'ai dit
quelque chose ce matin qui soit offensant, je vous demande, en tant que
frère ou sœur chrétien, de me pardonner. Ce n'est pas mon intention de
le faire. Je n'ai fait que vous ouvrir mon cœur, pour que nous sachions.
309 S'il y a des baptêmes à faire, vous les frères,
faites-les vous-mêmes, vous voyez. Ça, c'est, je–je ne le fais pas. Si
je le faisais, c'est comme ça que je baptiserais, la personne de cette
façon-là. Et vous pourrez tous les deux l'accepter, vous voyez. Alors
vous pourrez prendre la personne, ils sont baptisés au Nom du Père,
Fils, et Saint-Esprit, et ils sont baptisés au Nom du Seigneur
Jésus-Christ, aussi. Alors si jamais j'en baptise une... mais je ne
l'ai pas encore fait. Je ne baptise que dans ma propre église, et ça,
c'est seulement les gens de là-bas. Et c'est de cette façon-là que les
gens de mon église sont baptisés. Et si vous voulez regarder en
arrière, c'est l'ancien rituel missionnaire, l'ancien rituel baptiste
missionnaire. Et maintenant, si... Voilà pour ça.
310 Je crois à la guérison Divine. Je crois au
baptême du Saint-Esprit. Je crois que le–que le Saint-Esprit parle en
langues. Je crois à tous les dons que Dieu a donnés à Son Église. Je
suis pour, à cent pour cent. Mais je crois...
311 Beaucoup de ces guérisons sensationnelles, là,
dont on entend parler aujourd'hui, je ne suis pas pour. J'aimerais
juste faire une, remarque ici. Il y a quelque temps, il y avait un
frère... Et ce n'est pas mon précieux Frère Tommy Hicks, que je
considère comme un véritable serviteur de Christ. Il y avait un autre
homme, dans un autre pays, et dans ce pays-là, il y avait... Il
n'arrêtait pas, c'était tout le temps: «Le guérisseur sensationnel de
Dieu! Guérisseur sensationnel», vous savez, comme ça.
312 Et j'ai reçu une lettre après que cet homme...
de l'église luthérienne. Et mon secrétaire ici sait que nous l'avons
dans nos dossiers. Je ne citerai pas le nom de cet homme, parce que ce
n'est pas chrétien de faire ça. Même si je ne suis pas d'accord avec
les idées de cet homme, mais c'est parfaitement en ordre. Je l'aime. Il
est mon frère.
313 Mais c'en est arrivé à un point où il leur faut
un genre de sensation, ou d'excitation, ou quelque chose du genre, vous
voyez. Et, ça, ça ne donne rien, vous voyez, frère. «L'exercice
corporel accomplit très peu de choses.»
314 Et donc ce prédicateur luthérien a répondu à ce
prédicateur par une–une–une lettre. Et il disait: «Vous, les
évangélistes américains qui venez ici,» il disait, «avec toute votre
guérison sensationnelle pour tout le monde!»
315 Et là, j'ai l'air de me jeter des fleurs, mais
Dieu sait que ce n'est pas mon intention. «Mais,» il a dit, «quand la
petite Déborah Stadsklev est morte, ce bébé, et que la mère s'était
tenue là, ce jour-là, en India-... en Californie, là où il y avait eu
ce bébé qui était mort, et qui était froid. Et d'avoir vu... déposer ce
bébé dans les bras de Frère Branham, et lui était là, en train de prier
pour lui. Et le bébé s'est mis à crier et à gigoter; et il le lui a
remis.»
316 Il connaissait aussi le cas du Mexique. Et on
peut se fier sur une attestation des Hommes d'Affaires du Plein
Évangile. Il faut avoir quelque chose d'attesté par un médecin. Quand
ce petit bébé mexicain était mort ce matin-là à neuf heures, et là, il
était onze heures du soir. Un médecin a rédigé son attestation. Frère
Espinoza, que beaucoup d'entre vous, les frères des Assemblées de Dieu,
connaissez, c'est lui qui est allé chercher cette attestation du
médecin, comme quoi il était mort.
317 Et j'ai vu une vision, au-dessus de la foule;
quand vingt mille catholiques sont venus à Christ, dans la ville de
Mexico. J'ai dit: «Ne prenez pas ça. Je ne sais pas, ce bébé... Je
viens juste de voir une vision, ici.»
318 Et Billy était là, en train d'essayer, avec
trente ou quarante huissiers, ils n'arrivaient pas à empêcher cette
petite femme d'entrer dans la ligne de prière avec ce bébé. Elle leur
passait entre les jambes, et tout. Alors j'ai fini par envoyer Jack
Moore. J'ai dit: «Va prier pour lui.»
319 J'ai regardé, là, et j'ai vu un petit bébé
mexicain qui souriait. J'ai dit: «Attendez une minute. Amenez-le ici.»
Voyez? Et quand j'ai mis mes mains sur cette couverture... Il pleuvait
à verse, toute la journée. Et ils étaient restés là depuis tôt ce
matin-là, et là, il était environ onze heures du soir. Et j'ai mis mes
mains sur le petit bébé. Il s'est mis à gigoter et à gazouiller. Et eux
se sont mis à crier.
320 Alors, ensuite, ils l'ont redescendu et ils sont
allés chercher l'attestation. Ils sont allés voir le médecin, et le
médecin a dit: «J'ai déclaré ce bébé mort, ce matin à neuf heures. II
est mort d'une pneumonie.» Voyez? Et donc ces choses sont–sont–sont
vraies. Elles sont attestées. II faut qu'elles le soient.
321 Nous devrions toujours être honnêtes et
véridiques en tout. N'en mettez pas... Que ce soit simplement ce que
c'est. Que ce... Dieu n'a pas besoin d'aide pour quoi que ce soit. Vous
voyez, Il est, Il est Dieu.
322 Donc, voici ce qu'il a dit, là: «Mais quand
cette mère a appelé Frère Branham en Amérique, elle lui disait en
pleurant au téléphone: ‘Venez ressusciter mon petit bébé’! Et le
gouvernement des États-Unis...»
323 Son mari est aumônier dans l'Armée. Et vous
connaissez tous Julius, beaucoup d'entre vous; il a écrit mon livre: Un
prophète visite l'Afrique.
324 Et cette pauvre mère norvégienne criait, aussi
fort qu'elle pouvait, en disant: «Frère Branham, j'étais là quand ce
bébé a repris vie!» Elle a dit: «Nous croyons que vous êtes un
serviteur du... de Christ.» Elle a dit: «Venez, imposez les mains à mon
bébé et il vivra.» Il venait de mourir, un instant auparavant, d'une
pneumonie; il avait été malade pendant environ quatre heures, ou cinq.
325 Et ces hommes s'étaient tenus là-bas, en hurlant
et en criant, et en sautant, en disant: «Dieu va le ressusciter! Dieu
va le ressusciter!» Et il a été dit...
326 Pour ça, American Air-... ou, pas American
Airlines. L'Armée des États-Unis allait m'amener là-bas en avion à
réaction et me ramener ici, en un jour. Voyez?
327 Et j'ai dit: «Avant de venir, je veux trouver la
volonté du Seigneur.» Alors j'ai prié pendant deux jours. Et ce médecin
a eu la gentillesse de garder là le bébé.
328 Alors, un matin, je me suis levé et je m'en
allais vers la cuisine. J'ai regardé; il y avait là une Lumière, à peu
près de la grosseur de cette lumière, là, qui tournoyait, et qui a dit:
«Ne touche pas à ça. Ne réprime pas ça. C'est la main du Seigneur.»
329 Je suis vite retourné téléphoner à destination
de ce pays, et j'ai appelé, et j'ai dit: «Je–je ne peux pas venir.»
330 Et ce prédicateur luthérien disait: «Pourquoi
n'attendez-vous pas d'avoir une décision nette de la part de Dieu,
comme Frère Branham l'a fait, pour alors savoir de quoi vous parlez!»
331 Maintenant, c'est ça, frères, si seulement nous
ne tirions pas de conclusions trop hâtives; et que nous attendions, que
nous soyons éclairés, que nous ayons une décision claire et nette de la
part de Dieu.
332 Et tout ça, là, toutes ces guérisons de pécheurs
qui ne savent rien de Dieu. Je crois que la guérison Divine est basée
sur un principe, selon lequel il vous faut venir à Dieu d'abord, et Lui
donner votre cœur, et laver vos vies dans le Sang de Jésus-Christ, et à
ce moment-là Dieu se mettra à l’œuvre pour vous et vous guérira. C'est
comme ce que ce frère mentionnait, au sujet de la petite femme pour
laquelle il avait prié, là-bas, une sainte de Dieu, vous voyez.
333 Dans ma vie, j'ai fait beaucoup d'erreurs. J'ai
fait beaucoup de choses qui sont fausses. Je vais probablement, si je
vis encore longtemps, je vais en faire beaucoup d'autres. Peut-être que
certaines d'entre elles seront des pierres d'achoppement sur votre
chemin. J'espère que vous me pardonnerez.
334 Je lisais au sujet d'Abraham, des défaites qu'il
a eues. Comment il, oh, les choses qu'il a faites; il a douté de Dieu;
et il a menti au sujet de sa femme; et tout. Mais quand son commentaire
Divin a été écrit dans Romains 4, il n'a pas du tout été question de
ses erreurs, mais il a été dit: «Abraham ne douta point», au sujet de
l'incrédulité... par Dieu, «mais il fut fortifié.» Toutes ses erreurs
ont toutes été oubliées, quand le commentaire Divin sur sa vie a été
écrit. Il n'a même pas été fait mention de ses défaites. Il n'a pas été
fait mention de ses erreurs.
335 Et, frères, j'espère que, quand mon commentaire
sera lu, ce Jour-là, qu'Il effacera les miennes aussi, et qu'Il n'y
pensera pas. J'espère que vous le ferez aussi. Que Dieu vous bénisse.
[Frère Tommy Hicks fait des commentaires, puis prie. L'assemblée loue
le Seigneur, puis chante Je L'aime. Les frères se donnent l'accolade,
et les sœurs s'embrassent. Après huit minutes, Frère Branham revient au
microphone. – N.D.É.]
337 Si je pouvais voir ceci se produire partout dans
le monde, je dirais: «Seigneur, laisse Ton serviteur s'en aller en
paix!»