Entrez dans l’Esprit
1 C’est étrange, mais c’est bien hier soir, je
crois, que je parlais de frère David, et le voici sur l’estrade ce
soir. Eh bien, c’est formidable. Frère David, nous sommes heureux de
t’avoir ici à Chicago. Il est agréable de vous avoir ici derrière moi
ce soir, les frères, et de savoir que vous me soutenez par la prière
...?... Soyez en prière pour moi. Il est bon d’être ici de nouveau, ce
soir, dans cette auditorium rempli à souhait, et d’être dans l’attente
de voir le Saint-Esprit venir œuvrer encore une fois parmi nous ce soir.
2 Nous sommes ici depuis dimanche soir dernier, ou
plutôt dimanche après-midi dernier, et nous avons sûrement aimé chacune
des heures de ces réunions. Nous avons passé un moment si
extraordinaire, si merveilleux, et le Saint-Esprit a fait des choses
glorieuses parmi nous. Nous L’avons vu guérir les malades, faire des
miracles, et sauver les gens, puis les remplir du Saint-Esprit, et
simplement des choses glorieuses. Que pourrions-nous Lui demander de
plus que cela, de plus que ce que nous L’avons vu faire?
3 Je suis tellement content de savoir que nous
vivons dans les derniers jours. En tant que ministres de l’Évangile, je
crois que nous avons le privilège de nous adresser aux élus de Dieu
dans les derniers jours. Quel privilège c’est pour nous prédicateurs,
que d’être ici sur la terre aujourd’hui, et de nous adresser au dernier
âge de l’Église, la dernière Église. Je crois vraiment cela de tout mon
cœur, que nous nous adressons présentement au dernier âge de l’Église,
qui se terminera finalement dans l’Église de Laodicée. Ensuite, Jésus
viendra, puis tout sera terminé.
4 Je serai content quand cela arrivera. Je me sens
comme Jean aux jours d’autrefois: «Cependant, viens, Seigneur Jésus.»
Il a dit: «Cependant...» [Version King James. –N.D.T.] J’en ai
simplement assez vu en quelque sorte. J’ai été çà et là et il m’a
semblé qu’au lieu de s’améliorer, le monde ne cesse d’être de plus en
plus méchant. Ainsi, je pense, comme Jean l’a dit: «Cependant, viens,
Seigneur Jésus.» Puis, tout sera terminé.
5 Je vois qu’ils ont toujours ce petit livre, ici,
concernant la vision qu’on a publiée. Chaque fois que j’y pense, j’ai
le cœur qui brûle d’aller d’avantage dans les réunions, de faire
quelque chose tout de suite, parce que bientôt nous n’aurons peut-être
plus le temps de faire quoi que ce soit. Ainsi, nous voulons le faire
maintenant, pendant que cela nous est possible. Puisse le Seigneur
ajouter Ses bénédictions ce soir encore.
6 Maintenant, demain matin, ici même, je crois, il y
aura le déjeuner des hommes d’affaires. Je crois qu’on a déjà annoncé
qu’il y aura un déjeuner d’hommes d’affaires demain, et je pense que le
public y est invité. Pourvu que vous y veniez, eh bien, nous serons
très heureux. Si cela plaît au Seigneur, ce sera à moi de parler dans
la matinée, du moins d’être l’un de ceux qui prendront la parole, au
déjeuner. Je veux donc croire que le Seigneur nous rencontrera tous.
7 Certains de vous, hommes d’affaires de cette
ville, si vous n’avez jamais assisté à l’un de ces déjeuners, cela vous
fera sûrement du bien de venir entendre ce que Dieu a fait pour
d’autres hommes d’affaires. Bon, vous êtes peut-être un homme prospère,
pour ce qui est de vos affaires, toutefois... Nous n’essayons pas de
vous présenter quelque chose qui fera de vous un meilleur... ou qui
améliorera vos affaires. Nous tentons de vous présenter quelque chose
qui vous rendra meilleur, vous. C’est Christ, voyez. Christ.
8 Comme je l’ai dit l’autre soir, il y a très
longtemps que l’église a perdu son programme, lorsqu’elle a essayé de
se comparer au monde, avec l’instruction, la rigolade et le
divertissement, et ainsi de suite. On ne pourra jamais se comparer à
eux. Les enfants de la nuit sont plus rusés que les enfants du jour.
Ils sont plus prudents. Jésus l’a dit. Nous ne réussirions jamais à
leur donner le divertissement et... Après tout, l’Évangile n’est pas
une lumière éblouissante, c’est une lumière rayonnante. C’est un
rayonnement, pâle et doux.
9 Il y a bien une chose que nous avons et que le
monde n’a pas, et ne peut avoir, à moins qu’ils ne deviennent l’un de
nous: nous avons Jésus. Voilà. Nous avons Jésus. Nous ne sommes pas
aussi rusés qu’ils le sont. Nous ne sommes pas aussi avancés dans la
science. Nous ne connaissons rien de cela. Nous n’essayons pas de nous
maintenir à leur niveau et d’avoir une meilleure instruction, ou de
meilleures écoles, ou ainsi de suite, et de dire que notre église
possède cette école-ci, et ainsi de suite. C’est très bien dans cet
ordre d’idées, mais nous avons Jésus. Voilà ce que nous tentons
d’apporter au monde, c’est Jésus-Christ; Il est le Fils de Dieu, et Il
est notre Sauveur, et nous Le connaissons dans la puissance de Sa
résurrection. Ça, c’est du vrai.
10 Bon, certains d’entre nous... moi... pour ma
part, je ne connais peut-être pas trop bien Son Livre, mais Lui, je Le
connais vraiment bien. Il me suffit de Le connaître Lui, c’est tout.
Connaître Son Livre ne vous donne pas la Vie éternelle. Mais la vie,
c’est Le connaître. La vie, c’est Le connaître Lui, le sujet du Livre.
11 Maintenant, demain soir encore, nous nous
attendons d’avoir un autre service de guérisons, si le Seigneur le
veut. Puis, ces réunions prendront fin demain, ou dimanche après-midi.
Je partirai ensuite pour le nord de la Colombie-Britannique, Dawson
Creek, Grande Prairie et Fort Saint John, à travers cette partie du
pays là-bas, pour le reste de l’été peut-être. Soyez donc en prières
pour nous, et nous espérons vous voir dans la matinée, au déjeuner et
pour le reste de la réunion.
12 Vous les visiteurs, ne l’oubliez pas maintenant:
la raison pour laquelle tous ces frères sont assis ici ce soir, c’est
qu’ils sont des ministres de ce même Évangile. Trouvez où leurs églises
sont situées, et remplissez-les pour eux dimanche matin, en un grand
rassemblement. Nous espérons seulement que ça laissera un vrai vrai bon
réveil, agissant à travers la ville, jusqu’à ce que Jésus vienne.
13 Maintenant, le petit Joseph Boze, ici, m’a
toujours dit qu’il y a des années... nous étions assis à Lakeshore
Drive, et dans son mauvais anglais il m’a dit: «Frère Branham, nous...
j’ai toujours eu un sentiment dans mon cœur, de voir Chicago être
secouée. Je veux voir Chicago être secouée. Il y a des années, a-t-il
dit, je suis venu ici de New York pour voir Chicago être secouée.»
14 Juste avant mes entrevues, l’autre matin, j’ai
déjeuné avec Joseph (et je l’ai toujours tellement aimé)... Ainsi donc,
j’ai dit: «Frère Joseph, ton grand désir a été réalisé, seulement je ne
crois pas que tu le comprennes, tu vois. Lorsque tu parles de “secouer
une ville, secouer une nation”, ça ne signifie pas cette chair à canon
qui court çà et là. Cela signifie l’Église. C’est l’Église qui se fait
secouer. Non pas le groupe ecclésiastique, mais le Corps de Christ.
C’est lui qui est secoué et qui revient s’aligner à nouveau.»
15 Ceux du groupe de Chicago savent que
c’est...qu’ils ont été vraiment secoués au cours de ces dernières
années, au cours des six ou sept dernières années, comment de grands
hommes de Dieu sont venus dans cette ville et ont prêché aux élus.
Puis, il y a eu tellement de signes et de prodiges qu’il n’y a pas
d’excuse. Absolument. Il n’y a pas une excuse. C’est: repentez-vous ou
périssez. Voilà.
16 Maintenant, pour ceux qui comptent, ou, disons-le
ainsi, qui prennent en note les textes, j’ai quelques versets et des
notes écrites ici, ce soir, sur un petit sujet que je devrais avoir
terminé à onze heures, ou un peu plus tard. Ainsi... Hier soir, j’ai...
[Tout le monde rit. – N.D.É.] Merci, c’est gentil. Chaque soir... Billy
m’a dit: «Quand tu iras à Chicago, je veux voir si tu seras capable de
terminer à neuf heures trente, un soir. Je veux voir si tu peux le
faire.»
17 «Oh, j’ai dit, ce sera facile. Je ne vais prêcher
que vingt minutes chaque soir.» Chaque soir en sortant, il me dit: «Tu
as dépassé ton temps de combien, ce soir?»
18 J’ai dit: «De pas plus de deux heures, quelque
chose comme ça.» C’est que je ne connais pas grand-chose. Mais j’aime
répéter ce que je sais, jusqu’à ce que ça pénètre.
19 Une fois, un vieux prédicateur est allé à une
église. Je sais que ce n’est pas ici la place pour faire des
plaisanteries. Mon intention n’est pas de blaguer mais, juste pour
changer les idées un instant. Il est allé à une église, et le premier
soir il a prêché: «Repentez-vous!» Le deuxième soir il a prêché:
«Repentez-vous!» Les troisième, quatrième, cinquième et sixième soirs,
il a prêché: «Repentez-vous!» Bon, c’était très bien.
20 Les anciens de l’église l’ont donc convoqué, et
ils ont dit: «Docteur, nous apprécions votre message sur la repentance,
toutefois, vous avez prêché le même message de repentance six soirs de
suite.»
21 Il a dit: «Oh, enfin, c’est très bien.»
22 Ils ont dit: «N’avez-vous pas un autre message?»
23 Il a dit: «Oh oui! Mais premièrement, qu’ils se
repentent tous. Ensuite je prêcherai sur quelque chose d’autre», vous
voyez. Une fois qu’ils se seront tous repentis, là il prêchera sur
autre chose. Ainsi, c’est une assez bonne philosophie, voyez.
Repentez-vous, jusqu’à ce que l’on se soit tous repentis. Ça serait
bon. Je suis sûr que nous resterions longtemps ici.
24 Dans II Rois, troisième chapitre, et je veux lire
le quinzième verset:
Maintenant, amenez-moi un joueur de harpe. Et comme
le joueur de harpe jouait, la main de l’Éternel fut sur Élisée.
25 Si je voulais tirer un texte de ceci, pour en
puiser un contexte, je pourrais prendre ce sujet-ci: Entrer dans
l’Esprit.
26 Un assez grand changement s’était opéré en
Palestine en ces jours-là. Un grand événement s’était passé. Le grand,
éminent prophète avait été enlevé, emporté dans la gloire. C’était une
grande perte pour l’église, lorsqu’un grand homme comme celui-là a été
pris. Toutefois, quelle consolation cela aurait dû donner à la nation
(qui était alors l’église), de savoir que cet homme, qui leur avait été
envoyé pour représenter Dieu, était parti à la maison sans même mourir,
le fait qu’il avait été enlevé et emporté.
27 Élie était un très beau type de ce jour-ci où...
C’est peut-être en dehors du sentier battu, pour des hommes qui
connaissent mieux la Bible que moi, mais d’une certaine façon, je crois
que dans les derniers jours, il y aura un message, quelque chose de
semblable à Élie; et cette église comme Élie, ne mourra pas, mais elle
sera enlevée, elle sera emportée. Le Feu l’emportera dans la gloire. Le
Feu de Pentecôte va l’enlever.
28 Cependant, Dieu trace toujours un chemin pour Son
église. Une fois qu’Il a fini avec un homme, Il en a un autre qui
attend. Dieu reprend Son homme, mais jamais Son Esprit. Il a toujours
quelqu’un d’autre sur qui Il peut placer Son Esprit.
29 C’est curieux, mais à travers la Bible, Dieu n’a
jamais eu deux prophètes – prophètes majeurs – en service en même
temps. Il n’a toujours eu qu’un seul prophète. Puis une fois qu’Il a eu
terminé avec celui-là, Il l’a retiré et en a mis un autre à sa place.
C’est ce qu’Il avait fait. Il avait seulement changé de messager, le
même esprit cependant – Élie et Élisée.
30 Comme j’aimerais avoir le temps d’entrer dans
cela ce soir, pour voir que lorsque Dieu a retiré le vieux prophète
fatigué du champ de travail... Il avait prêché contre Jézabel et sa
foule mondaine, et il avait vivement repris Achab et les chefs et les
associations de prédicateurs, et tout, jusqu’à en être fatigué; Dieu
allait l’amener à la maison. Ainsi, Il l’a tout simplement fait venir
au fleuve, et...
31 Avant de le faire, Il voulait oindre quelqu’un
qui prendrait ce même message. Vous voyez, le même message devait
demeurer. Il est donc parti et a jeté son manteau sur Élisée. Puis
Élisée, une fois qu’il a eu sur lui le manteau d’Élie... Il avait dû le
reprendre. Il l’avait simplement jeté sur lui. Il avait dû le reprendre
de nouveau, car il est tombé de ses épaules, lorsqu’il est monté.
32 Nous voyons maintenant qu’Élisée... Élie a essayé
de le décourager. Il a dit: «Reste ici, car l’Éternel m’a demandé
ailleurs.» Ensuite, nous découvrons qu’il a passé par trois étapes: À
Guilgal, et de là, à l’école des prophètes à Jéricho; puis jusqu’au
fleuve et il a traversé le Jourdain avec lui.
33 Si nous remarquons, comme nous l’avons prêché
dimanche dernier, sur Abraham et sa descendance après lui, nous voyons
qu’Il a donné trois carrefours à Abraham: au chapitre 12, la
justification, en l’appelant, au chapitre 15, la sanctification, par le
sacrifice du sang, au chapitre 17, à tirer la force de son corps... le
Saint-Esprit, dans le corps d’Abraham, afin de le fortifier pour la
venue du fils, comme Il l’a fait pour l’église.
34 Il a fait la même chose pour la postérité
d’Abraham: la justification, par Luther, la sanctification par Wesley,
le baptême de l’Esprit par le mouvement pentecôtiste, ensuite le
placement du fils, faisant des dons à l’église, puis apparaissant sous
la forme de... Il était Dieu dans la chair, se manifestant Lui-même,
connaissant les secrets du cœur et ce que Sara faisait dans la tente
derrière Lui.
35 Que ces carrefours... et constater que ces
églises viennent directement à la même place... Il avait dû changer les
corps de Sara et d’Abraham tout de suite après ce message-là, afin de
recevoir le fils promis. C’est ce qu’Il a fait à cette église-ci. Il
lui a fait traverser les mêmes choses. Maintenant, ce qui viendra
ensuite, c’est un changement, en un instant, en un clin d’œil, et
aller...
36 Nous devrons avoir un corps changé. Maintenant,
Sara et Abraham ne pouvaient pas recevoir le fils promis dans l’état de
leurs corps. Ils étaient âgés de cent ans. Il a dû changer leurs corps.
Pas tant de les faire redevenir jeunes (ce qu’Il a fait), mais Il les a
aussi changés. Sinon ils auraient été comme ils étaient au départ. Mais
Il a changé leurs corps de manière à ce qu’ils puissent recevoir le
fils. Nous voyons maintenant que la prochaine chose qui doit venir pour
l’Église, c’est un corps changé. Ce n’est pas tant que nous, les gens
âgés, redeviendrons jeunes (nous le deviendrons cependant, et nous
serons là, jeunes, tout aussi certainement), mais nous devons avoir un
corps changé, afin de recevoir le Fils, parce que nous Le rencontrerons
dans les airs. L’enlèvement se fera en l’espace d’un instant, d’un clin
d’œil.
37 Nous découvrons maintenant que Dieu a fait passer
Élisée par le même processus, par trois étapes différentes. Puis, après
avoir quitté l’école, il est descendu au Jourdain et l’a traversé. Puis
une double portion de l’esprit d’Élie s’est trouvé sur lui.
38 Jésus a dit: «Vous ferez aussi les choses que Je
fais. Vous en ferez de plus grandes, parce que Je m’en vais au Père.»
C’est un type de Christ et de l’Église.
39 Christ a été enlevé, et le même Esprit qui était
sur Christ est venu sur Son église. Or, tandis que Christ ne pouvait
exercer Son ministère qu’à un endroit, Il peut maintenant être
universel dans Son église, exercer Son ministère tout autour du monde.
Imaginez! Nous voici à Chicago, ce soir, avec Christ exerçant Son
ministère là-bas à Philadelphie, exerçant Son ministère (Christ) en
Afrique, au Japon, en Asie, en Europe, partout. À cet instant même,
autour du monde, des gens sont guéris par la puissance de Dieu. Des
gens reçoivent le Saint-Esprit, par douzaines, autour du monde, à
l’instant même, vous voyez. Une double portion, Son Esprit répandu dans
les derniers jours.
40 Dès que ceux de l’école de théologie, au sommet
de la montagne de Jéricho, eurent revenu, ils virent qu’Élisée avait
traversé, ainsi que le miracle qu’il avait accompli, précisément comme
Élie l’avait fait, eh bien, ils dirent: «L’esprit d’Élie repose sur
Élisée.» Ensuite, nous voyons que les gens ont su que l’Esprit de Dieu
était sur ce prophète. Ainsi ils l’ont consulté pour voir s’il ne
ferait pas pour une bonne cause un miracle pour eux.
41 Ils ont dit: «Nous avons une cité magnifique ici,
sise sur la colline. Les vues sont belles, c’est un endroit charmant
pour une école, et ainsi de suite. C’est Élie qui l’a bâtie, mais l’eau
y est amère.» Ils avaient donc besoin d’une nouvelle source. Bien sûr
ils étaient changés. Et il leur fallait une nouvelle fontaine. Ainsi,
vous ne pouvez pas mettre du vin nouveau dans de vieilles outres. Ça
les ferait éclater, vous savez. Je pense qu’aujourd’hui est aussi le
jour où il nous faut un changement d’eau.
42 Nous avons besoin d’un plat de sel, un plat neuf
de sel, dans lequel il n’y a jamais rien eu auparavant. C’est ce que
Dieu fait habituellement, Il suscite une personne sans importance venue
de nulle part, qui ne connaît rien, et jette un plat de sel dans
quelque vieille eau ecclésiastique. On constate bien vite que tout
redevient doux à nouveau, un autre réveil, le Saint-Esprit descendant
sur chacun, allant partout. C’est ce qu’il nous faut ce soir. Voilà ce
dont nous avons besoin à nouveau, d’une autre pincée de sel, n’est-ce
pas, pour adoucir l’eau. N’oubliez pas qu’il a pris un plat tout neuf,
qui n’avait jamais rien contenu, et il y a mis du sel. Maintenant le
sel donne de la saveur s’il entre en contact, mais il doit d’abord
entrer en contact. Il doit faire son contact.
43 Dans le monde de la politique, il y avait aussi
eu un grand changement. Un homme du nom d’Achab était mort. Et son fils
Joram avait pris la relève. Il était à peu près comme, oh, comme son
père Achab, j’imagine. Il avait redressé des choses, mais il avait mal
tourné en quelques autres. De fait, c’est à peu près comme ça que c’est
aussi. Quand nous formons un nouveau système, nous prenons des choses
que l’ancien système n’avait pas et y mettons quelque chose de
peut-être pire. On continue d’avancer comme ça. Mais c’est ainsi que ça
s’était passé en ce temps-là.
44 Il y a quelques soirs, j’ai parlé de Josaphat
allant rencontrer Achab et faire une alliance avec lui. Il tomba en
mauvaise compagnie. Ici, il est surprenant que Josaphat soit toujours
roi à la dix-huitième année de son règne. Lorsque Joram prit la
succession d’Achab, il envoya quelqu’un vers Josaphat, parce qu’il
s’était mis dans une mauvaise situation. Et Josaphat se remit de
nouveau directement en mauvaise compagnie.
45 N’est-il pas bizarre que l’on fasse ces choses?
Ils vont toujours de mal en pis. On s’aperçoit que les gens vont... Ils
viendront sans détours et commenceront à servir Dieu; puis, avant
longtemps ils retourneront tout droit dans le monde de nouveau. La
Bible dit: «Comme le chien est retourné à ce qu’il avait vomi, et une
truie à la mare bourbeuse...» Et le chien devrait savoir que si ça l’a
rendu malade à vomir la première fois, ça fera pareil la seconde fois.
46 Si le péché du monde fait qu’un homme réalise
qu’il était une fois dans l’erreur et qu’il s’en repente, cela le fera
la seconde fois. Ainsi, de toute façon, pourquoi ne pas s’abstenir de
la chose? Si cela vous a rendu malade et que vous vous en êtes
débarrassé, abstenez-vous en. Restez en dehors de l’apparence même du
mal. Nous constatons pourtant que ça suit ce courant, et c’est ce que
nous voyons. Nous l’avons toujours eu, aussi j’imagine que c’est ce que
nous allons continuer de voir.
47 Mais je peux m’imaginer que Josaphat a pensé: «Eh
bien, je vais aller voir. Ce nouveau pasteur, Joram, sera peut-être
différent. Il sera un tout petit peu différent de ce qu’était l’ancien
pasteur.» Nous constatons qu’il était un nouveau pasteur, d’accord,
mais il avait le même vieux système. Il y avait simplement ajouté de
nouvelles choses et incorporé de nouveaux programmes que l’ancien
système n’avait peut-être pas.
48 Je pense que c’est ce que l’on voit beaucoup de
nos jours, mes amis. Nous, pentecôtistes, c’est en grande partie ce que
nous avons fait. Avec l’ancien système, nous essayons de lancer un
nouveau réveil, mais bien vite nous faisons volte-face, en finissons
avec le nouveau réveil, et y faisons entrer l’ancien système à nouveau.
Et c’est ce qui met la chose en pièces.
49 Il n’y a pas longtemps, ici, lorsque le réveil a
commencé dans les milieux pentecôtistes, ils ont commencé quelque chose
qu’on appelle La pluie du dernier jour. Eh bien, ils ont déménagé à
différents endroits et ils ont dit: «Nous ne sommes pas organisés.»
Finalement, on a découvert qu’ils étaient plus étroitement organisés
que les autres ne l’étaient. Vous voyez? Vous êtes revenus à l’ancien
système, avec le nouveau pasteur, et ça ne marchera tout simplement
pas, voilà. Ça sème la confusion dans toute l’affaire. Ensuite, vous
êtes tout déchirés.
50 C’est donc ce qui s’est passé ici. Josaphat est
allé voir ce nouveau pasteur, Joram. Il a pensé qu’il allait peut-être
jeter un coup d’œil à son système et voir ce qu’il avait. Ce n’était
cependant qu’un moyen pour le mettre dans le pétrin à nouveau. Puis,
avec tout le prestige et tout ce qu’il avait à lui offrir, nous
constatons qu’il a passé...ils ont passé sept jours sans consulter
l’Éternel, sans savoir avec certitude si Dieu était au milieu d’eux.
51 Bon, c’est ça le problème. On entreprend ces
choses, mais on ne s’arrête jamais pour savoir si oui ou non c’est
vraiment le Seigneur parmi nous; ou si c’est une espèce d’émotion, ou
un genre d’excitation, ou un certain système insensé, ou quelque chose.
Nous devrions éclaircir la chose et voir si c’est de Dieu ou non.
52 Je crois que c’est là que nous nous trompons.
Cela fait sept jours que l’Église est en voyage. Nous constatons que
sur une période de sept jours, tenant simplement pour acquis que Dieu
était là... C’est ce que nous avons fait, nous avons tenu cela pour
acquis, c’est tout.
53 «Oh, eh bien, nous allons adhérer à l’église.
Dieu y est.» Ça ne fait absolument aucun doute.
54 Essayez donc de voir si Dieu y est ou non!
55 Jésus a dit: «Voici les miracles qui
accompagneront ceux qui auront cru...» Des signes, des prodiges, des
miracles. Lorsque l’on voit que nos églises se refroidissent et que ces
choses-là n’arrivent pas, que l’on doit attendre la venue d’un certain
évangéliste en ville ou quelque chose, et puis fabriquer une petite
émotion, au son de quelques tambourins, Dieu n’est pas dans ça.
56 Non, je vous le dis, ce qu’il nous faut
aujourd’hui, c’est un nouveau retour à la vieille Bible, un retour à
l’enseignement pentecôtiste d’autrefois, de la Bible, un retour au
Saint-Esprit, un retour à la puissance de Dieu, un retour aux réunions
de prières qui durent toute la nuit, où ils ont faim et soif de Dieu.
C’est ce dont nous avons besoin, ce soir, dans nos églises,
d’introduire cela dans nos systèmes.
57 Ils ont finalement découvert, après sept jours de
marche, que ça les conduisait dans un désert. C’est ce que nous avons
aussi découvert. Nous avons eu sept âges d’Église. Nous vivons
actuellement au septième âge de l’Église. Qu’avons-nous fait quand un
réveil a éclaté? Nous avons établi un système qui fait de nous un petit
groupe de ce côté, qui dit: «Nous croyons ceci, et nous n’aurons rien à
voir avec cet autre groupe.» Et cet autre groupe se rassemble de son
côté, et ils n’auront rien à voir avec ce groupe-ci. Et ils commencent
simplement à faire un tas d’histoires, à se mettre dans tous leurs
états, et ainsi de suite. Maintenant, au milieu de tout ça, nous
constatons que cela fait à peu près sept jours que nous sommes partis
et que Dieu n’est pas parmi nous. C’est vrai.
58 Bon, le prophète a dit qu’il y aurait un jour qui
ne serait appelé ni jour ni nuit. Ce serait un jour plutôt obscur,
sombre. Nous avons eu un jour comme ça. Depuis les derniers deux mille
ans, nous avons eu un jour où nous avons tenu des réunions, où nous
avons accepté Jésus comme le Fils de Dieu et comme notre Sauveur, où
nous avons vu Dieu faire des choses glorieuses parmi nous. Cependant,
il s’est écoulé beaucoup de temps depuis la lumière de Pentecôte.
59 Pendant deux mille ans nous avons formé des
organisations, bâti de grosses écoles, et nous avons eu des systèmes.
Au septième âge de l’Église, ici, nous découvrons que nous avons manqué
quelque chose. Il y a quelque chose qui cloche. Nous voyons que nous
sommes arrivés dans un désert et que les fruits ont tous séché. Voilà
ce que l’église pentecôtiste a fait de nos jours. Elle s’est organisée
si rigoureusement, au point qu’elles se sont retournées les unes contre
les autres et que tous ses fruits se sont desséchés. Nous n’avons plus
l’amour, la paix, la joie, la longanimité, la communion fraternelle que
nous devrions avoir, comme ils l’avaient au commencement. Les fruits
ont tous séché dans le désert. Sept jours sans découvrir le vrai Dieu
vivant.
60 Nous sommes partis avec des petits ismes. Dieu a
donné la justification à Luther. Il est parti avec cela. Il a donné la
sanctification à Wesley. Il est parti avec cela. Il a laissé les
pentecôtistes parler en langues. Et ils sont partis avec cela.
61 Dieu veut nous appeler à venir ensemble dans une
unité de puissance pour ramener la plénitude du Saint-Esprit dans
l’église, avec tous les dons spirituels fonctionnant dans chaque corps
local. Oui, sept jours sans Dieu les ont conduits dans un désert. On
voit actuellement la même chose. Ses fruits ont séché. J’imagine que
lorsqu’ils sont partis des vallées verdoyantes et tout, pour aller de
l’autre côté de la colline, ils ont commencé à voir les endroits
devenir plutôt arides.
62 Vous savez, tous veulent l’expérience du sommet
de la colline, et ils ne veulent jamais de la vallée. Tout le monde,
l’église pentecôtiste aussi. Si on ne pousse pas des cris chaque soir,
si on ne danse pas, si on ne sautille pas, si on ne parle pas en
langues, si on ne court pas çà et là sur le plancher, quelque chose de
ce genre, c’est comme s’ils n’avaient rien eu. Eh bien, vous savez,
c’est très bien d’être au sommet de la montagne. C’est bien. Mais
laissez-moi vous dire que vos fruits vont geler là-haut la nuit. Quand
viendra la période de froid, vous perdrez tous vos fruits.
63 C’est ce qui se passe en ce moment. Nous
accordons plus d’importance aux expériences du haut de la montagne, –
de danser dans l’Esprit, de trembler et de sautiller, – qu’aux réunions
de prières qui durent toute la nuit, dans la vallée de la décision, où
vous devez descendre et rencontrer Dieu, et vraiment abandonner votre
vie jusqu’à ce que quelque chose se passe. Nous avons laissé le... Nous
avons fait pousser des fruits là-haut, mais le gel les fait mourir.
C’est vrai. À chaque fois qu’il y a une petite période de froid, vous
n’avez rien sur quoi vous reposer. Une fois que l’émotion s’est calmée,
alors tous les cris se taisent, les bruits cessent, et puis après, où
en êtes-vous? La tentation vient, puis vous ne pouvez pas la supporter.
64 Ce dont nous avons besoin, c’est de descendre
dans cet endroit de broyage, en bas, dans la vallée, et creuser. C’est
tout à fait juste. C’est là qu’il faut que l’Église soit, ce soir. Oh,
je puis imaginer qu’ils remarquaient ce verdissement qui commençait
à... «Du vert» vous dites? Oui. Nous sommes peut-être verts, mais en
tout cas, nous avons la vie.
65 Tout le monde dit: «Cette bande de prédicateurs
pentecôtistes, certains d’entre eux...»
66 Il y a quelque temps, j’étais à une école, et mon
fils disait à des étudiants qu’il venait aussi de l’école biblique
Southwestern.
67 Ils ont dit: «Si tu sais lire et écrire, tu vaux
plus que cette bande-là.» Oh là là! Ils ont dit: «Eh bien, ce sont les
plus naïfs que j’aie jamais vus.» [Frère Branham fait un jeu de mots
avec green: vert ou naïf. – N.D.T.]
68 Oh, frère, nous sommes peut-être verts, mais nous
sommes flexibles. Tout ce qui n’est pas vert, tirez un peu dessus et
vous le casserez. C’est ce qu’il y a aujourd’hui avec l’expérience de
trop de gens. C’est trop sec et raide. Nous avons besoin de quelque
chose de flexible. Alors si le vent s’abat, il peut souffler dessus, se
ruer dessus, le tirailler de tous côtés, le faire pousser, y faire
entrer la vie.
69 J’aimerais mieux être un peu vert et être
flexible au Saint-Esprit, et être capable de m’abandonner à Lui, que
d’être là à faire un son lugubre, comme une cérémonie funèbre. Quand on
me souffle: «Les jours des miracles sont passés. La guérison divine
n’existe pas», c’est une cérémonie funèbre, ça.
70 Oh, ces jeunes arbres, cependant, quand ils sont
souples et capables de s’abandonner à l’Esprit, et que l’Esprit
commence à les faire bouger, comme un vent impétueux, les remplissant
complètement de la bonté de Dieu; oh, voilà le genre de vie. Il se peut
que ce soient des naïfs [Frère Branham fait un jeu de mots avec green:
vert ou naïf. – N.D.T.] mais néanmoins, c’est un groupe qui a la vie à
l’intérieur. C’est bien. S’il n’y a pas la vie à l’intérieur de quelque
chose, cela est mort. On sait cela, scientifiquement. C’est mort.
71 Sept jours. N’oubliez pas, ce fut en ce septième
jour qu’ils reconnurent ce qu’ils avaient fait. Je pense que nous avons
passé par Luther, Wesley, par les baptistes, presbytériens,
méthodistes, et ainsi de suite, et c’est maintenant en ce dernier âge
que nous venons de reconnaître ce que nous avons fait. Je crois que
cette fois l’église pentecôtiste a reconnu ce qu’elle a fait. Les
leaders vraiment remplis du Saint-Esprit, les chrétiens du mouvement
pentecôtiste, vraiment remplis de l’Esprit, ont reconnu qu’il s’est
passé quelque chose. Ils se sont refroidis, parce que tous ceux qui ont
tenté de vivre au sommet de la montagne étaient partis sans Dieu.
72 Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est de revenir
à Dieu, de revenir à l’expérience, de retourner. C’est à la septième
heure qu’ils ont reconnu qu’ils étaient là-bas sans fruits. Pas
d’amour, se faisant mutuellement des histoires: «Vous êtes unitaires»
et «Vous êtes trinitaires» et «Vous êtes des Assemblées» et «Vous êtes
de l’Église de Dieu» et «Vous êtes ceci, cela et quoi encore» et «Nous
n’aurons rien à faire avec vous.» se donnant mutuellement de vilains
noms.
73 Alors le monde se retourne, regarde, et dit:
«Mais qu’est-ce qu’ils ont ces gens? Les deux parlent en langues dans
cette église, prophétisent et tout ça. Celui-ci, de l’autre côté, de
cette autre église... Ils n’ont même pas de respect mutuel, ils n’ont
aucune gentillesse les uns pour les autres.»
74 Oh, ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est d’un
retour aux fruits de l’Esprit: l’amour, la joie, la paix, la foi, la
longanimité. Dieu peut envoyer un don parmi eux, et ils vont appeler ça
de la télépathie, ils vont appeler ça le diable, ils vont appeler ça
autre chose. Si une église parraine cela et que l’autre le reprend, là
c’est bien. Et parce que celle-ci a eu quelque chose à voir avec ça, ce
n’est plus bon. Oh là là! Quelle condition pitoyable. Oui monsieur.
75 Nous réalisons que le fruit de la foi, le fruit
de l’amour, la joie, la paix, la foi, la longanimité, la bonté,
l’humilité, la douceur, la patience... La patience? Eh bien, c’est à
peine s’ils peuvent se supporter pendant un court sept jours, sept
heures, même pas sept minutes parfois. Ils vont se lever d’un bond et
sortir de l’église si vous dites quelque chose qui n’est pas exactement
conforme à leur petite théorie chérie. Sur ce, ils vont se lever et
s’empresser de sortir de l’église. Oh, ils ne peuvent pas rester assis
tranquilles une minute. Ils doivent sortir de là. «Ah, ce n’est pas ce
que le pasteur Untel a dit. Alléluia! Je ne suis pas obligé d’écouter
de telles histoires.» Ils sortent. Oh, vous, malheureux!...
76 Très bien. C’est ça, continuez. C’est pourtant
ça, vous voyez. Ils ont perdu tous les fruits. Nous le constatons. Le
fruit de l’Esprit est sec. Tout ça n’ira pas plus loin, et c’est là
desséché, pulvérisé, prêt à être emporté par le vent. Quelle condition
c’est! Nous réalisons maintenant que nos grandes organisations... Elles
sont bien, les organisations, du moment qu’elles gardent Dieu avec
elles, du moment que le fruit de l’Esprit y est, du moment qu’elles
sont bonnes et aimables, et prêtes à communier fraternellement et à
aider l’autre frère.
77 Peu importe ce qu’il croit, si c’est un frère, et
que Dieu lui a donné le Saint-Esprit... Dieu donne le Saint-Esprit à
celui qui Lui obéit. C’est vrai. Ainsi, si vous avez le Saint-Esprit et
que le méthodiste a le Saint-Esprit, que le baptiste a le Saint-Esprit,
que le presbytérien a le Saint-Esprit, que l’unitaire a le
Saint-Esprit, que l’Église de Dieu a le Saint-Esprit, eh bien, en ce
cas, vous vous disputez au sujet de quoi? Réunissons-nous. Avançons.
Voilà ce qu’il nous faut. Ce n’est pas l’organisation, vous voyez,
c’est le système de cette organisation qui établit une distance. C’est
le diable qui fait cela.
78 Nous voyons donc que tous nos efforts pour avoir
de gros édifices et d’importants programmes de construction, et ainsi
de suite... Je m’imagine ces hommes qui ont gravi cette montagne, ces
rois et les autres qui sont montés. Dans leurs grands programmes de
construction, programmes avancés, qui prenaient de l’ampleur, ils n’ont
pas tardé à s’apercevoir que les fruits devenaient de plus en plus
petits. Puis, au bout d’un moment, il n’y en avait plus.
79 Bon, je sais que c’est ce que nous avons fait. Et
nous l’avons vu à notre époque à mesure que nous avons pénétré dans cet
âge pentecôtiste. Il y a environ quarante ans, lorsque nous étions
là-bas, au coin de la rue, sans endroit où aller, et que quelque part,
par un petit trou dans le mur, une poignée de gens riaient, les
traitant d’exaltés. Eh bien, ils étaient certes plus spirituels qu’ils
ne le sont maintenant. C’est vrai. L’église était dans une meilleure
condition, chacune de ces organisations étaient dans une meilleure
condition qu’elles ne le sont actuellement, j’entends spirituellement.
80 Oh, en effet, nous valons des millions en
propriété. Cela ne signifie pourtant rien pour Dieu. Je préférerais
être complètement démuni de vêtements, comme Jean, n’avoir qu’une peau
de brebis autour du corps, et connaître Jésus-Christ, et savoir que mon
cœur est pur et propre devant Lui. Oh oui, ça plutôt que de posséder
toutes les richesses du monde. Ce qu’il y a, toutefois, c’est que
l’église est partie sans Dieu. Ils sont partis sans... et ils ont
découvert que le fruit de l’Esprit a disparu de l’église.
81 La longanimité, dites-vous? Certains d’entre eux
ont assez de tempérament pour battre une scie circulaire et parler du
Saint-Esprit ensuite. Voyez? Alors que le Saint-Esprit est l’amour, la
joie, la longanimité... Supporter? Oui, mais à peu près deux minutes,
c’est tout; et puis les voilà partis. Ainsi, la longanimité... les
fruits sont tout desséchés.
82 Nos grands programmes de construction ont pris de
l’ampleur, c’est vrai. Nos grands programmes d’enseignement supérieur
ont pris de l’ampleur. Nos pasteurs sont plus cultivés. Oh là là! Nous
avons des diplômes de toutes sortes. On en arrive là, la température
est déjà pas mal au-dessous du point de congélation aussi. Cela semble
bien atteindre les quarante degrés sous zéro. Oh, oui monsieur.
83 Nous avons pourtant tout ça. C’est vrai. Comme on
peut le constater, nous accumulons davantage, mais tous les fruits et
ces choses sont en train de disparaître. Il semble que les eaux de la
Vie se tarissent. Plus de Vie éternelle. Ça ressemble... Comme je l’ai
dit l’autre soir, les pasteurs sont si occupés, les gens sont tellement
occupés à faire des échanges de membres... C’est comme si l’on faisait
passer un cadavre d’une morgue à une autre, d’un endroit à un autre.
Voilà. C’est vrai. Certains d’entre eux sont en train de frire, les
autres en train de geler. Ainsi, c’est à peu près ce qu’il s’est
produit.
84 Puis, j’ai dit qu’ils glissent dans de petites
théories de l’heure qui seront devenues théories du passé au bout d’un
moment; et nous voilà partis, vous voyez. L’église en est là, si bien
que les fruits de l’Esprit sont en train de sécher, partout. Ça se voit
partout. Vous savez que c’est vrai. Nous ferions tout aussi bien de
déclarer ouvertement que c’est la vérité, car c’est bien le cas.
85 Or, nous voyons qu’ils étaient en train de mourir
là-bas dans le désert. Dans quelle affreuse condition cela les a
laissés, que d’être partis sans Dieu. Oh, ils ont marché sept jours.
Ils ont traversé, j’en conviens. Ils peuvent vous montrer le passé et
dire: «Nous sommes une telle, et une telle.» C’est bien trop vrai, mais
où donc est Dieu? Voilà. Où Dieu se trouve-t-Il dans tout ça?
86 Nous avons de plus grandes églises, coiffées de
hautes flèches, de grandes croix, ainsi que de somptueux bancs. Nous,
les pentecôtistes, nous pouvons nous comparer à n’importe quel d’entre
eux. L’argent qui coule à flots, les foules les mieux habillées, et
frère, des Cadillacs parquées un peu partout. Mais, où donc est Dieu?
Où Dieu se trouve-t-Il donc?
87 Puis lorsqu’Il vient au milieu de tout cela,
plusieurs de ceux-là dirent: «Bah, n’écoutez pas ça, voyons, ce sont
des absurdités. N’y prêtez aucune attention.» Voyez? Des chicots morts,
voilà tout. C’est vrai. Les fruits ont séché et sont disparus depuis
longtemps. Oh, en quelle heure terrible vivons-nous?
88 Or, quand ce moment-là est venu, ils ont bien
vite manqué d’eau. Ils n’en avaient plus une seule goutte. Ils se sont
alors mis à pousser des cris: «Hélas, hélas, ô Dieu, Tu as été si bon
pour nous, de nous avoir donné ces grands édifices.» Mais, plusieurs
parmi eux se sont mis à pousser ce cri: «Où sont les eaux de la Vie?»
Nous voyons s’avancer le communisme, nous voyons le monde parvenir à sa
fin, les prophètes prophétisant que la fin est proche et ainsi de
suite, puis on se demande: «L’eau, elle est où?» Que s’est-il passé?
89 Il est arrivé que quelqu’un s’est écrié, ou
plutôt, un juste s’est écrié: «N’y a-t-il pas quelque part un prophète
que nous pourrions consulter?» Est-ce qu’il n’y a pas un prophète
quelque part, s’est écrié Josaphat, le juste. «N’y a-t-il pas un
prophète? Nous sommes dans une situation critique. N’y a-t-il pas
quelque part quelqu’un que nous pourrions consulter à ce sujet?»
90 Bon, si nos organisations nous ont amenés où nous
sommes parce qu’on s’est séparé les uns des autres, n’ayant apparemment
pas la foi, alors il doit bien y avoir quelque chose quelque part. Là,
les justes s’écrient: «Où est cet homme de Dieu? Où est donc cette
personne qui saura nous le dire?»
91 Il est ici, ce soir, sous la personne du
Saint-Esprit. C’est Lui qui peut vous dire quoi faire. C’est Lui qui
peut vivement toucher vos cœurs. C’est Lui qui peut dévoiler vos
péchés. C’est Lui qui peut vous enlever le doute, et le “j’espère que”,
puis former en vous un “je sais que”. C’est Lui qui peut le faire,
cette Personne, le Dieu appelé le Saint-Esprit. C’est Lui qui est
présent.
92 Nous voyons donc qu’ils se sont tous mis à
pousser des cris. Puis, voyant que les fruits avaient complètement
disparu, qu’ils avaient séché, et qu’ils n’avaient plus d’eau, alors le
juste, l’élu bien sûr, l’homme a dit: «N’y a-t-il pas quelque part un
prophète que l’on pourrait consulter? Ne pourrait-on pas mettre la main
sur quelqu’un qui n’est pas dans cette confusion avec nous, quelqu’un
qui sache nous sortir de cette situation? Nous sommes tous venus ici,
avons formé une alliance, puis nous nous sommes rassemblés ici, sur le
sommet de la colline. Nous allons livrer un combat, et vous voyez que
nous n’avons rien pour combattre.»
93 C’est ce qu’il y a avec l’église aujourd’hui.
Nous avons beaucoup de membres, ils sont tous morts. Nous avons
beaucoup d’organisations qui sont imposantes, elles sont mortes. Nous
avons beaucoup d’enthousiasme, mais ce n’est pas celui qu’il faudrait.
Qui peut être le mieux habillé? Qui peut prendre le plus d’avance? Qui
possède la meilleure école? Qui peut arriver à avoir le plus d’équipes
de balles, le meilleur loto, ou quelque chose comme ça. Ce que nous
voulons, c’est de Dieu, pas de ces choses-là. Revenez à Dieu! «Où
est-Il? N’y a t-il pas quelque part un prophète qui sache nous dire
quoi faire? N’y a-t-il pas quelqu’un à consulter?» Oh, dans quelle
condition c’est!
94 Cela a été le cri du juste. Il ne s’en trouvait
qu’un seul parmi eux. C’était Josaphat. C’était un homme bon, mais il
avait de mauvaises fréquentations. C’est ce qu’il y a, ce soir. Tant de
bons hommes, beaucoup de bons hommes, là, dans toutes ces
organisations, un peu partout, de braves hommes.
95 Mais nous faisons face à un fait. Nous faisons
face à quelque chose, c’est que le mahométisme, le bouddhisme, et les
autres ismes peuvent déployer autant de psychologie que l’église
chrétienne peut le faire. C’est vrai. Ce dont nous avons besoin, ce
n’est pas de quelque chose qui soit effectué par la psychologie ou par
la théologie. Mais nous avons besoin de quelque chose dans l’église qui
soit effectué par le Saint-Esprit, d’entendre les gens s’écrier: «Où
est-Il ce Dieu qui a vécu autrefois?»
96 Où est-Il ce Dieu de la Pentecôte? Où est-Il ce
Dieu qui prend le cœur d’un pécheur, le lave et le rend blanc comme
neige, qui prend une prostituée de la rue pour en faire une dame, qui
prend un ivrogne du bar, ici, et en fait un prédicateur? Où est ce Dieu
qui peut s’avancer et prendre ces jambes infirmes et les redresser,
rendre la vue à ces yeux, faire que ces oreilles entendent, faire
disparaître ce cancer? Où se trouve-t-Il le Dieu qui a fait cela une
fois? C’est ça. Nous avons découvert qu’il y a quelque chose qui cloche.
97 L’autre soir, comme je prêchais sur le sujet du
plus grand flash d’information de l’histoire. Le bon vieux Jean, le
prophète, quand ses yeux se sont voilés, si l’on peut dire... Il avait
l’esprit d’Élie, et celui-ci avait fait une dépression lorsqu’il était
sous le genêt. Jean, lui, a fait une dépression en prison. C’était un
prophète énergique et il avait les nerfs à vif. Puis, ses yeux d’aigle
se sont voilés. Il a dit: «Allez donc voir si je me suis trompé.
Demandez-Lui s’Il est bien Celui-là, ou si nous devons en attendre un
autre.»
98 Jésus ne lui a pas envoyé de livre, comme les
Recettes de patience en prison, et des choses comme ça. Qu’a-t-Il dit?
Que lui a-t-Il dit? Restez simplement ici et surveillez la réunion de
cet après-midi. Ensuite, allez retrouver Jean et dites-lui que le
boiteux marche, l’aveugle voit, le...»
99 Jean avait prêché un Évangile où le messie
attendu aurait Son van à la main et nettoierait Son aire. Eh oui, Il
brûlerait la paille dans un feu qui ne s’éteindrait point. Quand
parfois Il est apparu, Il était un petit homme doux, doux et humble.
Cela ne correspondait pas à l’idée que Jean s’en était fait. Mais Il a
dit: «Allez dire à Jean que cela se déroule conformément à tout ce qui
a été prévu à Mon sujet. Tout va bien. Tout va très bien.»
100 C’est pareil ce soir. L’église, les gens du
monde se sont attendus à ce que les méthodistes, les baptistes, les
presbytériens, ou une église quelque part, produisent quelque chose
pour ramener Christ. Il est juste à l’heure. Le boiteux marche,
l’aveugle voit, le sourd entend. Gloire! Il est là, juste à l’heure
prévue. Amen. Rien ne cloche. Il ne cesse d’avancer. Dieu vit encore.
Il est toujours Dieu.
101 Ce juste s’est donc écrié: «Oh, n’y a-t-il pas
quelque part un prophète que l’on pourrait consulter?»
102 Or, il y avait parmi eux un bon frère, et je
puis l’entendre dire: «Oui, oui, je connais un tel homme. J’en connais
un comme ça.»
103 Je peux tout simplement le voir, cherchant des
yeux Joram, puis il a dit: «Bon, je sais bien que tu ne le croiras pas.
Je viens de comprendre, là. Tu ne croiras pas cet homme, car ton père
ne l’a pas cru. (Ah, ça non!) Ton père avait cette école là-haut sur la
colline, avec cette bande de prophètes, ou prétendus prophètes,
là-haut, et ils ne l’ont pas cru. Or, cet homme que je connais,
l’esprit de son père est sur lui. Il fait les mêmes choses que son
père. Il a fait comme Élie, pareil, et l’esprit d’Élie repose sur
Élisée. D’ailleurs, j’ai assisté à ses réunions, et je sais que c’est
la vérité.»
104 Amen! Que Dieu nous vienne en aide. Voilà ce que
nous voulons. Des réunions comme celles-là, où nous voyons l’Esprit de
notre Père, Jésus-Christ, dont Élie était un type, voyez. L’Esprit...
«Celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que Je fais.» Oh, frère!
C’est de Lui qu’il est question.
105 Ce bon frère a dit: «Je sais où se trouve cet
homme. J’ai vu l’esprit d’Élie sur lui. Il a versé l’eau sur ses mains.
Il vivait avec lui. Je sais que l’esprit d’Élie repose sur Élisée. Je
sais, Joram, que tu ne pourrais pas le croire. Et ton école de
prophètes ne le croirait pas non plus, ton séminaire théologique. Je
vais te dire pourquoi. En voici la raison: Lorsqu’Élisée est revenu et
qu’il leur eut dit qu’Élie avait été enlevé, il en avait une double
portion, eh bien, là ils ont dit: “ L’homme a perdu la tête.
Prends un groupe de cinquante hommes, partez à sa recherche, et allez
voir où il... Il ne peut pas être monté, ça non. Il est toujours là-bas
quelque part.” Puis ils...»
106 Nous avons essayé tous nos systèmes
ecclésiastiques... Oh, ne vous fâchez pas après moi. Laissez-moi plutôt
vous dire que ces systèmes ecclésiastiques, par des programmes
d’éducation, par la théologie, par les organisations, ont mis plus de
deux mille ans à essayer de trouver le Seigneur Jésus qui a été élevé,
et ils n’ont pas réussi à Le trouver. Amen. Il ne vient pas par la
théologie de l’homme. Il ne vient pas par l’organisation. Il vient par
un cœur qui s’est abandonné à Lui par le baptême du Saint-Esprit. Amen.
Nos systèmes d’homme n’arrivent pas à Le trouver.
107 Oh, ils ont formé des groupes, et ils sont
partis à sa recherche. Ils ont dit: «Oh, non, l’Esprit n’a pas fait
monter cet homme, pas du tout. Soyez raisonnables, vous savez bien que
nous sommes tous licenciés ès lettres, et tout. Nous savons mieux que
cela. Un homme qui s’est assis là et a mangé du pain de maïs avec nous,
comme ça, voilà, nous savons que cet homme n’aurait pas pu être enlevé
dans un char de feu.»
108 «Il est dans tous ses états, cet homme. Il est
allé de l’autre côté, là, et il a ramené beaucoup de fanatisme avec
lui. Aussi, nous savons mieux que cela. Faites asseoir le vieux
bonhomme. Sa boule de billard a trop chauffé, vous savez, tenons-le à
l’écart un petit peu. Allez donc voir ce qui s’y passe. Cherchez.
Envoyez un groupe...»
109 Il leur dit: «Allez-y, mais vous ne le trouverez
pas. Moquez-vous de moi, traitez-moi d’idiot, si ça vous chante,
cependant, Dieu a...»
110 Vous ne Le trouverez jamais dans vos systèmes
organisés. Non monsieur. Il a été élevé de la terre, et Il revient sous
la forme du baptême du Saint-Esprit. Vous n’y amènerez jamais les gens
par l’instruction; il faut qu’ils y naissent. Il faut que ce soit le
baptême du Saint-Esprit, rien de moins. Il ne s’agit pas d’être tout
énervé mentalement, ni d’une certaine émotion, ni d’un système
ecclésiastique, ni encore d’un signe; mais il faut que ce soit le
Saint-Esprit, vrai et authentique, qui apporte le fruit d’amour, de
joie, de foi, de longanimité, de bonté, de douceur, de patience du
Saint-Esprit. Voilà. C’est ça. Oui.
111 C’est certain que Joram ne le pouvait pas. Il
n’y aurait pas cru. Ces gens ne pouvaient pas le croire. Ceux de
l’école ont dit: «Ça fera. Nous savons que ce type est tout énervé.
Laissons-le se calmer, puis nous rassemblerons notre groupe et irons le
chercher. Il est quelque part là-bas.»
112 C’est ce que nous avons essayé de faire depuis
deux mille ans. Pentecôtistes, vous faites la même chose, en essayant
d’aller Le chercher par l’organisation. Vous n’y arriverez jamais en
vous séparant des autres frères. Vous devez revenir, et nous devons
faire un.
113 Ça m’est égal que l’homme soit dans l’erreur.
S’il a tort, tout en étant sincère dans son cœur, et que vous, vous
croyez ce qui est juste, mais avez tort dans votre manière d’agir, je
préférerais être à sa place plutôt qu’à la vôtre. C’est vrai. Je
préférerais me tromper dans ma doctrine et être juste dans mon cœur.
Dieu respectera cela davantage.
114 Ainsi, qu’est-ce que ça peut bien faire si un
homme a tort? Venez lui en aide. Il a besoin d’aide. Aimez-le. Si vous
ne pouvez aimer vos ennemis comme vous aimez ceux qui vous aiment, vous
n’êtes pas mieux que les publicains. C’est vrai. Voilà ce que l’église
n’a pas compris. J’espère bien que vous le saisissez ce soir. J’espère
que vous comprenez de quoi je parle. C’est un retour à l’amour, l’amour
rédempteur. Tout le reste est bien, mais il nous faut revenir à la
communion fraternelle entre nous.
115 Les gens ont dit que je combats les
organisations. Ce n’est pas le cas. Ce que je combats, c’est ce système
qui rompt la fraternité. C’est ce que j’ai toujours fait, et je ne
cesserai jamais de le faire. C’est vrai. Cette chose qui divise les
frères.
116 Unissons-nous. Soyons frères. Si je pouvais voir
chaque église de cette ville, chaque église dans le monde, ressembler à
ce que nous étions l’autre matin à ce déjeuner ministériel, où j’ai vu
les unitaires, les binitaires, les trinitaires en train de se serrer
mutuellement, de s’entourer de leurs bras les uns les autres, alors je
dirais comme le Siméon d’autrefois: «Seigneur, laisse Ton serviteur
partir en paix, car mes yeux ont vu Ton salut.» C’est vrai.
117 Vous pouvez réduire cela à une petite
communauté, et ça ne sera pas long que le diable va y revenir et encore
tout saccager. Alors vous pouvez... Mais pour ce qui est de le faire
partout, on ne le peut pas. L’un de ces jours cela s’accomplira. Dieu
leur enverra un châtiment, et ils seront forcés de le faire.
118 Ainsi l’évêque Joram n’allait tout simplement
pas croire ça. Il savait qu’il ne voudrait pas le croire, car son père
ne l’avait pas cru. Il ne croyait pas qu’Élie avait été enlevé. Aussi,
comment allait-il croire ceci?
119 Ils chercherait donc par l’entremise d’une vaine
théologie. «Bon, nous sommes une école de prophètes. Tout est bien en
place. Nous savons exactement ce qu’il devrait faire. Nous savons
précisément comment il devrait procéder. Nous savons quel comportement
il devrait adopter. Nous savons que tout ce que tu as à faire, c’est
d’entrer et de dire: “Je crois.” Et tous se donnent une poignée de
main. Et nous aspergerons comme ceci, ou nous baptiserons comme ceci,
ou par en arrière comme ça, ou encore de cette façon, ou, oh là là! et
nous l’avons. C’est exactement comme cela qu’il s’y prend.»
120 Et vous partez, et baptisez comme ceci, et
baptisez comme cela, et aspergez comme ceci, et aspergez comme cela, et
prenez la communion comme ceci, et comme cela, et vous constatez que
vous êtes toujours sans Dieu. Ce que vous avez, c’est une forme de
rituel. C’est tout. Dieu est Esprit. Ceux qui L’adorent doivent
L’adorer en esprit et en vérité. Amen. Dieu nous envoie Ses prophètes
pour remettre la chose en pièces, et pour mettre en évidence la vérité
qui la démontrera. Une vaine théologie. Oh là là!
121 Nous voyons donc qu’il a dit: «En effet, je sais
où est cette personne-là. Allons-y, et...» Bon, bien sûr, certains
d’entre eux en ont peut-être été étonnés, mais remarquez ce que dit
Josaphat ici, ce véritable serviteur élu de Dieu. Il dit: «L’Esprit de
Dieu est sur lui.» Oui monsieur.
122 Cet homme a dit: «Je sais où se trouve Élisée.»
Il a dit: «Il versait l’eau sur les mains d’Élie, le Thischbite.
L’esprit d’Élie repose sur Élisée. Je sais qu’il a le même esprit. Par
conséquent... «Puis, dès que cet homme de Dieu eût appris que l’esprit
d’Élie reposait sur un autre homme et que celui-ci faisait la même
chose qu’Élie, il sut qu’il s’agissait d’un vrai prophète. Il savait
également que si le véritable esprit d’Élie était sur un autre, il
ferait la même chose qu’Élie.
123 Laissez-moi vous le dire, mes frères,
permettez-moi de vous le dire, mes amis, lorsque l’Esprit de
Jésus-Christ viendra sur l’église, elle fera les mêmes choses que
Jésus-Christ a faites. «Vous ferez aussi les œuvres que Je fais.» Et Il
l’a prouvé. Il a dit qu’ils feraient de même. Si ce n’est pas le cas,
eh bien, alors il y a quelque chose qui cloche quelque part. Ils font
tout simplement mentir Dieu, s’ils disent être croyants et que ces
choses n’arrivent pas. Il a d’ailleurs dit que toute parole d’homme
serait mensonge, mais que la Sienne serait vraie.
124 Ainsi, nous voyons qu’il a dit, cet homme a dit:
«L’esprit de ce vrai et authentique prophète repose sur lui.»
125 Puis, aussitôt que cet élu, représentant
l’Église élue d’aujourd’hui, l’élu de Dieu pour ce dernier jour... Il a
dit: «En ce cas, nous irons l’écouter, car l’Esprit de Dieu est sur
lui. (Oh! j’aime cela.) Aussi longtemps que nous verrons sur cet homme
les choses qu’Élie a faites, nous irons l’entendre.»
126 Ce bon frère a dit: «Eh bien, je suis allé
l’écouter plusieurs soirs, j’ai entendu ce qu’il a dit, et je sais que
c’est la vérité. Ainsi, nous allons simplement faire un saut là-bas et
passer le voir.»
127 Ainsi, quand ils se sont présentés devant le
prophète, oh là là, le savon qu’ils se sont fait passer. Il se peut que
sa sanctification en ait souffert un peu, comme on dirait, mais la
moutarde lui a monté au nez. Il a dit à Joram, il a dit: «Pourquoi ne
vas-tu pas vers tes prophètes à toi? (Oh là là!) Pourquoi ne pas aller
voir les prophètes de ta maman? Pourquoi ne pas aller voir les
prophètes de ton papa? Va vers les tiens, là, ces formalistes, va les
retrouver si t’en as envie. T’as des ennuis, pourquoi ne vas-tu pas les
voir?
128 «Oh, non, non, il a dit, mais le Seigneur nous a
fait venir ici.» Il a dit: «On va mourir. On va se faire tuer,
là-dedans.»
129 Non seulement vous allez mourir; ils sont déjà
morts. Les fruits sont tout secs, et l’Esprit s’est complètement retiré
de l’église. Déjà ce n’est plus qu’une organisation religieuse. C’est
exact. Il y a quelque chose qui ne va pas. Si quelque part nous
n’arrivons pas à ramener Dieu dans l’église, qu’allons-nous pouvoir
faire? Il ne nous restera plus qu’à mourir..
130 Lorsque ce prophète... Après l’avoir vivement
réprimandé, il a dit: «Si je n’avais égard à Josaphat, cet élu, je ne
te regarderais même pas.»
131 Je pense que c’est ce que Dieu dirait ce soir.
Si ce n’était... Vous les gens qui êtes liés par ces différentes
organisations et qui vous disputez entre vous, si Dieu n’avait égard
aux gens qui ont cru en Lui, jamais un Oral Roberts, ou qui que ce
soit, n’aurait été envoyé dans le pays. Il n’y aurait même pas eu de
signes, ni de prodiges. Il ne nous regarderait même pas, si ce
n’était... Nous sommes tous coupables. Si ce n’était par égard pour les
élus, si ce n’était par égard pour l’Église – ceux qui croient vraiment
Dieu –, Il ne nous regarderait même pas. C’est juste. Mais, vu qu’il y
a un peuple qui veut croire, Dieu a un messager pour eux. Amen. Le
Saint-Esprit avait été attristé et était parti depuis longtemps.
132 Ce vieux prophète fut avec raison fort indigné,
et il les réprimanda sévèrement. Il leur parla de ce qu’il en était de
leurs alliances et de leurs organisations. Il leur a dit: «Malgré tout,
amenez-moi un joueur de harpe.» Oh, il lui fallait calmer un peu sa
colère, vous savez. Il s’était mis dans tous ses états, et ainsi il
avait dit: «Amenez-moi un joueur de harpe.»
133 Et vous, alors, certains de vous, prétendue
église de Christ, qui ne croyez pas à la musique dans l’église?
134 Après s’être tout excité, il lui fallut un peu
de musique pour ramener sur lui l’Esprit. C’est vrai. Oui monsieur. Ne
l’oubliez pas, Dieu ne change pas. Si de la bonne musique a ramené
l’Esprit sur le prophète, alors ça fera la même chose aujourd’hui
(c’est tout à fait exact), car Dieu aime cela. Assurément. Il a dit:
«Amenez-moi un joueur de harpe.»
135 Bon, direz-vous: «Oui, le prophète, ce n’est pas
moi.» Mais vous pourriez peut-être vous joindre au joueur de harpe,
vous savez. Vous pourriez faire quelque chose en ce sens, c’est tout.
Vous avez bien un témoignage ou quelque chose que vous pourriez faire.
136 Je les vois qui amènent le joueur de harpe, et
il joue Crois seulement, tout est possible, et cela ramène l’Esprit et
il recommence. Crois seulement, tout est possible. Il a fallu qu’il
joue un petit moment avant que l’Esprit ne vienne sur le prophète.
137 Puis, lorsque l’Esprit est venu sur le prophète,
il eut une vision. C’est ainsi que... Voyez, il ne pouvait le faire...
Cette bande de très hauts placés de l’élite intellectuelle, ceux du
côté intellectuel, du côté de l’éducation, des rois et des potentats,
ne pouvaient pas percevoir la vision. C’est vrai. Ils étaient aveugles.
C’est pour cela que, ce soir, ils veulent traiter la vision de Dieu de
condition mentale, de télépathie, d’esprit du diable, ou de quelque
chose du genre. Et c’est parce qu’ils sont intellectuels à ce point
qu’ils ne connaissent rien de Dieu. C’est exact.
138 Ce qui a déclaré la vérité, c’est la vision.
C’était là le programme de Dieu. C’était là la méthode de Dieu, car
l’Esprit du Seigneur était sur le prophète, et la Parole du Seigneur
vient au prophète. Oui monsieur. Et c’est venu comment? Par une
vision. Oui monsieur. C’est venu par le moyen d’une vision, et non par
ce qui est intellectuel. Cela avait échoué, tout comme c’est maintenant
le cas.
139 Puis, il a regardé et il a eu une vision. Il a
pensé: «C’est ici cela.» L’Esprit du message... Qu’a-t-il vu?
140 A-t-il simplement dit: «Oh, Joram, il te faut
encore un diplôme. Et laisse-moi te dire, Josaphat, tu t’es attiré des
petits ennuis. Tu devrais te retirer et aller étudier encore un peu,
parce que, c’est moi qui te le dis, tu ne sais tout simplement pas
comment t’y prendre en ces choses. Tu ne sais pas conduire une armée,
ou ce qui ressemble à ça.»
141 Non, ça n’a pas été ça. Ce n’est pas ce qu’il a
fait. Il a dit: «Je vais te dire ce que tu devrais faire. Tu devrais
améliorer l’apparence de tes hommes. Ils ne portent pas les bons
uniformes. Voilà de quoi il s’agit. Ceux de ton clergé, tu devrais tous
leur faire porter leurs cols de devant derrière, pour que chacun
ressemble à un ecclésiastique, vois-tu.»
142 Oh, on verra ça dans le pentecôtisme avant
longtemps. Oui, sous peu, on y retrouvera ça là. L’église catholique a
été la première église pentecôtiste, ne l’oubliez pas. C’est tout à
fait exact. Seulement, certains historiens le nient.
143 Accordez encore cent cinquante ans à ceux de la
Pentecôte, et au train où vont actuellement les choses, elle sera plus
éloignée que l’église catholique. C’est vrai. Oh oui, l’église
catholique a commencé à la Pentecôte. Ils l’ont organisée, et ils y ont
fait entrer les grosses sociétés, qui ont voulu faire ceci et cela, le
nicolaïsme qui a conquis les laïcs et leur a enlevé la puissance,
là-bas. Ensuite, le Saint-Esprit ne peut plus aller ailleurs. Il faut
que tout se passe dans leur église. Ce qui compte, c’est ce que dit ce
seul individu, un point c’est tout.
144 Le Saint-Esprit habite dans tout le Corps de
Christ... le Saint-Esprit dirige l’église, eh bien, ils se sont
retrouvés avec des fruits secs, et vous voyez où c’est rendu
maintenant. Et les pentecôtistes se sont engagés sur le même sentier,
ils ont pris la même direction. C’en est là.
145 Nous voyons maintenant que lorsque l’Esprit est
venu... Quelle était la vision que l’Esprit a donné au prophète?
Qu’a-t-Il déclaré? Il n’a pas dit: «Bon, prends tes hommes et va
parfaire leur éducation pour que, quand ils arriveront là-haut, ils
sachent mieux se débrouiller. Enseigne-leur davantage de théologie. Ils
devraient travailler cela un peu. Ils devraient porter des couteaux à
la lame plus longue, ou quelque chose comme ça. Ils devraient porter un
autre uniforme.» Non. Ce n’est pas ce qu’il a dit.
146 Il a dit: «mettez-vous à creuser. Venez ici,
dans ce désert. Votre peuple l’a traversé une fois, ce désert, et ils
ont voulu une théologie, sur le mont Sinaï.» Dieu la leur a donnée,
après que la grâce leur eût donné un prophète, une Colonne de Feu, et
tout. Mais ils voulaient s’affairer à quelque chose. Donc Il leur
permit de rester dans le désert, jusqu’à ce que les vieux combattants
soient tous morts. Il leur dit: «Ils ont déjà été à périr tout comme
vous. Bon, il y a des canaux là-bas. Dans le désert, là-bas, à
l’endroit où se trouve toujours ce rocher, il y a tout pleins de
canaux. Mais, a-t-il dit, vous devrez faire sortir beaucoup de choses.»
147 C’est ça la vision ce soir, frère. Ce n’est pas:
«Lancez une nouvelle organisation», c’est: «Sortez ce qui s’y trouve.»
C’est vrai. Tout d’abord, l’organisation, ce vieux morceau de bois
pourri, ôtez ça du canal. Les canaux de la bénédiction de Dieu sont
tous bouchés, ce soir, les morceaux de bois de l’organisation s’y
trouvent.
148 Il y a encore un autre morceau de bois, là,
appelé: «Le Saint-Esprit, ça n’existe pas.» En creusant, si vous tombez
sur ce morceau de bois, ôtez-le de là. «Le baptême du Saint-Esprit, ça
n’existe pas. C’est seulement pour les disciples.» Creusez et sortez
cela. «Le Saint-Esprit n’a été donné qu’aux apôtres.»
149 Le jour de la Pentecôte, le docteur Simon Pierre
a dit: «C’est pour vous et pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont
au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu en appellera.»
150 Il n’y a pas longtemps, un grand et brave frère
pentecôtiste m’a dit: «On n’a plus besoin de la guérison divine. Je ne
permettrais même pas que ça se pratique dans mon église.» Il a dit:
«Nous avons maintenant d’excellents médecins qui peuvent remplacer
cela.» Hum, hum, hum! Voyez-vous quelle espèce de vieux bout de bois
s’y trouve?
151 Ça fait quoi ça? Ça bloque l’écoulement de
l’eau. C’est ce que la vision a montré à Élisée, là-bas, dans ce
désert, juste là où les fruits avaient séché. Ne lancez pas une autre
organisation, une autre pluie ou quelque chose de ce genre. Nettoyez
tout simplement les canaux, pour que la première pluie puisse couler.
L’eau est là. Christ est le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Ce
rocher frappé était dans le désert, et, Dieu merci, Il est encore là ce
soir. Jésus a de nouveau nettoyé cela à fond pour eux au Calvaire. Mais
ils reviennent et y jettent à nouveau du bois, obstruant tous les...
152 Vous savez ce qui arrive lorsqu’on jette un
morceau de bois dans un canal, ce que ça fait! Eh bien, toutes sortes
de saletés vont s’amasser contre ce morceau de bois et s’accumuler. La
première chose que l’on saura, c’est que l’eau aura refluée, et à la
manière des castors, ils feront un barrage, et plus rien ne passera.
C’est vrai. Aujourd’hui, on a trop de prédicateurs castors qui tentent
de construire des barrages pour contenir toute l’eau, et ils disent:
«Ceci est à nous. Il n’y a que nous ici. Ça nous appartient.» Que se
passe t-il ensuite? Cela devient stagnant.
153 C’est la même chose pour plusieurs de nos
organisations, où l’on tente de contenir l’eau pour son organisation
seulement. Elle est devenue stagnante. Vous savez bien que dans l’eau
stagnante on retrouve ces vermisseaux qui se tortillent. Voilà ce
qu’elle a, l’église, aujourd’hui: un petit tortillement ici, un petit
tortillement là-bas, toutes sortes de choses. Les jours des miracles
sont passés, la guérison divine ça n’existe pas, incapables de rester
tranquilles cinq minutes dans une réunion. Oh, bonté divine! De l’eau
stagnante, un barrage de castor. Faites sauter ça! Amen.
Il y a une fontaine remplie de Sang
Tiré des veines d’Emmanuel,
Où les pécheurs, plongeant sous ce flot,
Perdent toutes taches de culpabilité.
154 Le prophète a dit: «Descendez là-bas et sortez
tous les morceaux de bois.
155 – Bon alors, dites-nous prophète, devrions-nous
revenir et avoir un autre vent impétueux?
156 – Non.
157 – Devrions-nous lancer une autre pluie de
l’arrière saison?
158 – Non, mais non. Nettoyez bien le canal, c’est
tout.» C’est tout ce que vous devez faire. Les gens, nous les avons,
nettoyez tout simplement le canal. Les gens sont très bien. Nettoyez
bien les canaux, pour que le Saint-Esprit puisse entrer. Tout votre
fanatisme, et les ismes, et tout ce qu’il y a d’autres dans l’église,
faites le nettoyage. Le rocher a déjà été frappé, les eaux coulent,
elles sont fraîches. Cependant, notre système ecclésiastique a
construit un barrage pour contenir les flots.
159 Il a dit: «Faites le nettoyage. Vous n’aurez pas
besoin d’un autre vent impétueux. Vous n’entendrez pas de vent et vous
ne verrez pas de pluie non plus. Toutefois, il y aura là de l’eau.» Oh,
frère, non pas un nouveau système. Ce n’est pas un nouveau système
qu’il nous faut; ce dont nous avons besoin, c’est de nettoyer à fond le
système que nous avons.
160 Il ne s’agit pas de faire une autre Assemblée de
Dieu, un autre groupe d’unitaires; mais simplement de nettoyer les
unitaires et les Assemblées que nous avons. Sortez de là tous les
morceaux de bois, toutes les différences, ôtez du milieu d’eux toutes
ces simagrées et les histoires qui se font, et les choses semblables,
et les eaux vont se remettre à circuler. Il y aura l’amour, la joie –
la joie, semblable à un fleuve qui se répand sur chacun, simplement en
amour les uns avec les autres. «Nous ne sommes pas séparés, nous
formons un seul corps, un dans l’espérance et la doctrine, un dans
l’amour.» C’est cela, voyez. C’est comme cela que nous devons faire.
L’idée, c’est ça. Voilà la vision d’aujourd’hui.
161 C’était la vision de ce prophète-là. Un vrai
prophète aurait aujourd’hui la même vision. Pas une nouvelle
organisation, lancer quelque chose et former un autre groupe. Vous vous
affairez à l’organiser, puis vous devenez tout simplement comme les
autres. Vous y lancerez des morceaux de bois, vous aussi.
162 Au début de mon ministère, plusieurs d’entre eux
sont venus me voir et ils m’ont dit: «Bien, frère Branham, vous devriez
lancer une petite organisation.»
163 J’ai dit: «Une organisation? Je suis justement
contre cela.» J’ai dit: «Ce n’est pas d’une organisation dont nous
avons besoin, mais plutôt de nettoyer ce que nous avons déjà.» C’est
exact. Nettoyer tout ça.
164 Nous avons besoin d’un réveil, voilà ce qu’il
nous faut, passer un moment à creuser. Creusez, creusez, plus vous
creuserez, et plus vous aurez d’eau. Si vous creusez et dites: «Bon, je
vais seulement sortir de l’organisation», voyez tout ce que vous avez
encore à l’intérieur. De la malice, un esprit de dispute, tout le
reste. Nettoyez la fosse à fond, jusqu’à ce vous touchiez le roc
solide. C’est juste. Allez où l’eau pourra réellement jaillir à flots
des veines d’Emmanuel. Attendez d’avoir touché cet endroit. L’eau en
jaillira, se déversant comme des fontaines. Faites des fosses.
165 Descendez dans ces vallées. Vous qui avez essayé
de vivre continuelle-ment au sommet, là, en haut de la montagne, à
pousser des cris, à sautiller, en train de geler, puis en train de
frire, et tout le reste, ne faites plus ça. Descendez ici, faites des
fosses bien creuses et prenez de l’eau fraîche. C’est ce dont nous
avons besoin. Venez ici et prenez l’eau. Ce qu’il nous faut, ce soir,
c’est l’eau de Dieu.
166 La vision interprétait totalement la volonté de
Dieu à ce peuple qui périssait. La vision du Seigneur, ce soir, est de
tout nettoyer et de recommencer. Faites le nettoyage. Ne lancez pas une
nouvelle organisation; lancez plutôt un réveil dans l’organisation.
Commencez une nouvelle réunion. Laissez entrer Dieu. Sortez toutes vos
critiques, vos médisances, vos cous raides, et toutes ces
superstitions, de même que l’incrédulité. Extirpez la chose.
167 «Mais, frère Branham, cela voudrait dire que...»
168 Ça m’est égal ce que cela veut dire. Vous allez
ou creuser ou mourir. Tous les méthodistes de Chicago, commencez à
creuser. Les baptistes de Chicago, mettez-vous à creuser, ou périssez.
Les pentecôtistes de Chicago, mettez-vous à creuser, ou périssez.
Sortez la chose. Jetez ça dehors.
169 Je vous le dirai: Ainsi dit le Seigneur, à moins
que vous ne fassiez sortir la corruption qui s’y trouve, vous périrez.
Vos fruits et votre église vont sécher et mourir! Sortez cela! Vous
n’entendrez pas le bruit d’une autre pluie ou de quoi que ce soit; mais
il y aura de l’eau, et la paix, comme un fleuve, coulera dans chaque
cœur. Oui monsieur. Vous verrez des signes, des prodiges, des miracles,
et les puissances de Dieu revenir dans l’église à nouveau, dans un
véritable courant de Pentecôte qui descendra limpidement. Oui monsieur.
170 Le message de l’Esprit était: «mettez-vous à
creuser ou commencez à périr.» Ils étaient déjà en train de périr. Ils
durent donc creuser à fond. Creusez, nettoyez à fond. Plus vous
creuserez, mieux vous serez. Les systèmes ecclésiastiques ont obstrué
les moindres canaux.
171 Retirez tous ces vieux morceaux de bois. «Les
jours des miracles sont passés. Nous n’avons plus besoin de guérison
divine.» Eh bien, on en a besoin plus que jamais.
172 Vous dites: «On a les meilleurs médecins.» –
D’accord. «On a les meilleurs médicaments.» – D’accord. «On a les
meilleurs hôpitaux.» – D’accord. On a plus de maladies, d’accord, parce
qu’on a plus d’incrédulité. C’est vrai. C’est précisément cela.
173 Bon, le lendemain matin, qu’est-ce qu’ils ont
fait? Je m’imagine ces Hébreux là-bas qui disaient: «J’ai entendu ce
qu’est la vision du Seigneur. Le prophète a dit la vérité. Je vais
sortir cette chose.»
174 Tombant sur un vieux bout de bois, là: «C’est
quoi ça? Dix pour cent de mon salaire?»
175 «Bon, on fait des soupers pour payer le
prédicateur.»
176 Sortez ce bout de bois de là. Sortez-le de là.
Vous devez un dixième à Dieu. Creusez et sortez ça. Jetez-moi ça sur le
côté.
177 Tombant immédiatement sur un autre morceau de
bois: «C’est quoi, ça?» «Bon, maintenant, ne sombre pas dans les
profondeurs.»
178 Retirez cette chose de là et jetez-la. C’est ce
qui vous a amené à ce manque de profondeur. Oui monsieur. Jetez cette
chose. Plus vous creuserez, plus vous trouverez d’eau. Continuez tout
simplement à creuser dans l’entrepôt de Dieu; jetez les choses dehors
jusqu’à ce que vous touchiez l’endroit où vous remplirez cela des
véritables eaux de la Vie.
179 Puis, vers le matin, ils ont remarqué que l’eau
montait. Et ils ignoraient d’où elle venait. Elle avait toujours été
là. C’est simplement qu’ils l’avaient bloquée.
180 De la puissance, il y en a dans l’église. Je
peux vous l’affirmer. Et je le dirai à tout prédicateur, je peux vous
montrer l’endroit où Dieu a donné à l’église la puissance de guérir les
malades, de chasser les démons, et de faire toutes ces choses. Et venez
me montrer le verset de la Bible où Jésus a dit: «Je retire maintenant
ces choses de l’église.» Que s’est-il donc passé? Qu’y a-t-il donc?
C’est que vous l’avez bloqué. C’est votre propre façon à vous de voir
la chose qui l’a bloqué.
181 Je peux vous dire où Jésus l’a promis en ce
dernier jour, et vous montrer que ces signes que l’on voit s’accomplir,
que l’Esprit de Dieu viendrait dans l’église, montrerait des visions,
et ainsi de suite, comme Il le fait. Essayez donc de réfuter cela une
fois, et voyez où vous en êtes. La raison de cela, c’est que vous êtes
complètement bloqués de l’intérieur par trop de systèmes
ecclésiastiques. C’est tout bloqué. Faites sortir cela, et jetez ça au
loin. Et laissez couler les eaux.
182 Vers le point du jour, oh frère, les eaux
coulaient librement, venant de ce rocher frappé qui est toujours là-bas
dans le désert. Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Tout
ce que vous devez faire, c’est d’enlever tous les vieux morceaux de
bois du chemin. Ôtez du chemin toute la vieille incrédulité. Ramassez
cette incrédulité, et jetez-la. Dites: «Bon, écoutez, Jésus l’a promis.
Ça m’est égal ce que quelqu’un peut dire. moi je le crois.» Voilà.
Prenez le morceau de bois et jetez-le.
183 Dites: «Dieu l’a promis. Je le vois juste ici
devant moi. Je m’en suis toujours moqué. Je pensais que c’était faux.
Mais maintenant, je vais le croire, ainsi je vais jeter ce vieux
morceau de bois.» Dès que vous aurez enlevé du chemin ce vieux morceau
de bois, les douces eaux de la paix de Dieu se mettont à couler comme
un fleuve, elles couleront en vous.
184 Vous dites: «Eh bien, je me suis toujours
demandé si la guérison...» C’est là que je trouve que les gens... la
guérison. Quand Dieu vient ici et démontre qu’Il est ici même parmi
vous, savez-vous ce qu’il y a? Vous vous avancez, vous essayez
d’appliquer la foi à l’aide d’une orchidée. La foi était appliquée avec
de l’herbe, de l’hysope.
185 L’hysope est juste une plante tout à fait
ordinaire. Vous essayez de vous fabriquer une foi. Ce n’est pas une
chose que vous pouvez faire. La foi c’est quelque chose de tout à fait
ordinaire. C’est la même foi avec laquelle vous allez vous chercher un
verre d’eau, la même foi avec laquelle vous conduisez votre auto. C’est
tout aussi commun. L’hysope, tiens, cela pousse, et on la retrouve par
terre, sortant des fissures d’un édifice, n’importe où. Or, en
appliquant le sang avec de l’hysope, ils appliquaient la foi. C’est
avec une foi tout à fait ordinaire, comme cette herbe, que l’on
applique le sang.
186 Cependant, vous essayez de regarder partout
alentour, et vous dites: «Si seulement je pouvais trouver une orchidée
pour appliquer ma... ce que je crois en Jésus. Si seulement je pouvais
arriver à m’emparer d’une orchidée.» Vous n’avez pas besoin d’orchidée.
Prenez l’herbe qui est juste à côté de vous. Prenez la foi avec
laquelle vous allez à la maison, prenez la foi qui vous a amené ici.
Appliquez la même foi ce soir, et observez ce qui se passera. Oh frère!
Il n’y aura jamais de doute dans votre esprit. Si le Sang est vraiment
appliqué avec une foi comme celle-là, c’est réglé. Dites: «Jésus-Christ
est le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Ici même, en ce moment,
je retire de mon système tous les vieux morceaux de bois de la doctrine
ecclésiastique, et tout le reste. Et, Seigneur Dieu, par une foi tout à
fait ordinaire avec laquelle je crois que Tu es mon Sauveur, je crois
aussi que Tu es mon guérisseur.» Amen, amen.
187 Croyez-le comme ça, et sentez simplement une
paix comme un fleuve, les grands bouillonnements de cette Fontaine qui
ne tarissent jamais. Lorsque vous aurez ôté tous les vieux morceaux de
bois, cette fontaine coulera à flots.
188 Continuez de creuser jusqu’à ce que vous
frappiez quelque chose qui vous fait... Si vous avez fait quelque chose
de mal, dites: «Je dois un peu d’argent à un tel.» Bon, allez le
rembourser. Vous dites: «Eh bien, il m’est impossible de rembourser.»
En ce cas, allez lui dire ce qui en est. C’est juste. Ne tournez pas
autour du pot à ce sujet. Allez le lui dire. Dites lui, dites: «Je vais
régler cela, frère. Accorde-moi juste un peu de temps. Je m’apprête à
régler cela, comme il se doit.»
189 «Bon, tiens. Je me suis moqué de ces gens
appelés pentecôtistes.» Levez-vous et dites: «Je regrette l’avoir
fait.» C’est vrai, dites: «Seigneur, Tu connais mon cœur. Vous, les
gens, pardonnez-moi.» Vous sentirez décoller ce vieux morceau de bois.
Il y aura encore plus d’eau qui se déversera. Oh là là! Ça se mettra à
déferler. Avant longtemps...
190 Vous dites: «J’avais toujours pensé que ces
visions étaient du diable, mais je vois maintenant qu’elles viennent de
Dieu.» Très bien, en ce cas, ce vieux morceau de bois va disparaître.
Ensuite, les eaux vont commencer à se déverser de nouveau. C’est exact.
Enlevez simplement tout ce qu’il y a dans la fosse. L’eau est là. Le
croyez-vous?
191 La Bible dit que Jésus-Christ est le même hier,
aujourd’hui et pour toujours. Ainsi, Il est toujours ce Rocher frappé.
Il a toujours la vie, Il a toujours l’eau. Il a la puissance qui
guérit.
192 Vous dites: «Frère Branham, est-ce que Jésus va
me guérir?»
193 Il l’a déjà fait. Enlevez seulement les morceaux
de bois du chemin. Sortez toutes les ordures, les vieux seaux et les
citernes... Enlevez tout ça du chemin. Les vieux chevaux morts et les
choses ecclésiastiques qui sont en travers de votre chemin, jetez ces
choses. Dieu n’entrera pas quand c’est là. Ça contaminerait l’eau.
L’eau, elle, ne va pas être contaminée.
194 Ainsi, enlevez votre propre contamination,
d’incrédulité, et Dieu y déversera Son eau. C’est déjà là. Tout ce que
vous avez à faire, c’est de déplacer la cause. Le remède est déjà
préparé. Dieu vous a déjà guéri. Vous n’avez plus qu’à enlever votre
incrédulité du chemin. C’est ça la vision.
195 Je dis cela au Nom du Seigneur, comme Élisée l’a
dit ce jour-là: Ainsi dit le Seigneur: Enlevez votre incrédulité du
chemin et observez ce qui va se passer. Enlevez vos systèmes du chemin.
Regardez bien quel réveil va frapper Chicago. Regardez quel réveil va
frapper le monde, si nous enlevons nos systèmes du chemin, si nous
enlevons nos propres idées du chemin et que nous laissons agir
l’Esprit. Tout est prêt. Le Rocher est déjà frappé. Tout ce que nous
avons à faire, c’est d’enlever les choses du chemin et de laisser
couler l’eau.
196 Vous voulez voir les gens être guéris? Vous
désirez aussi être guéris? Enlevez tout simplement tous les doutes du
chemin, et ensuite voyez ce qui va se passer. Cela va couler comme un
fleuve.
197 Puis, le lendemain matin, l’ennemi a levé les
yeux et a regardé devant lui, là-bas. C’était de l’eau. Mais le soleil
miroitait si bien là-dessus que l’ennemi pris cela pour du sang; et ça
l’a effrayé. Il lui est venu une petite idée stupide, qui l’a fait
tomber en plein dans le piège.
198 Que leur a dit le prophète? Il leur a dit:
«C’est peu de chose pour l’Éternel. Vous tous, si seulement vous
enlevez tous les morceaux de bois du chemin, Je m’occuperai du reste.»
Si vous enlevez du chemin toute l’incrédulité, Dieu se chargera du
reste.
199 Vous savez ce qui est arrivé? Il a dit: «Que
chaque homme se prenne une pierre. Et Je vais vous donner le pays, Je
vais vous le livrer.» Chacun a donc pris une pierre.
200 Lorsqu’il est arrivé où se trouvaient ces vieux
puits du formalisme, il a donné un bon témoignage «à la pierre». Amen.
«Que Dieu soit loué! Dieu m’a donné le Saint-Esprit. Je suis comme
Pierre. Je suis Pierre, là, une petite pierre.» Amen. Chacun prend donc
sa propre pierre – un authentique témoignage, un témoignage réel, plein
de feu.
201 Quand Jésus est venu devant Pierre, Il lui a
dit: «Ton nom est Simon; désormais on t’appellera Pierre.» Ce qui veut
dire ‘petite pierre’. Frère, il l’a saisi. Il savait que c’était le
messie. Il s’en alla. Puis il a bouché des puits de formalisme avec
cela.
202 Or, ce qu’il nous faut, ce soir, c’est avoir un
témoignage semblable, où Jésus-Christ vit, et où Il... Cela bouchera
tous ces vieux témoignages formalistes où l’on dit: «Les jours des
miracles sont passés. Cela n’existe pas.» Ces vieilles citernes
crevassées, de toute façon, il y a des vermisseaux dedans, ça va les
boucher.
203 Lancez la pierre de votre témoignage à votre
entourage: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et pour
toujours.» Entrez dans l’Esprit! Vous devez entrer dans l’Esprit. Allez
à une soirée dansante, et commencez à danser. Ils se mettent à battre
des mains, à exécuter toutes ces danses. Si vous restez à l’écart en
disant: «Bof...» quel danseur vous feriez, hein? Bien sûr. Ça ne fait
pas de doute que vous êtes dans l’esprit de la chose. Oh, ils vont
faire la fête, danser, pousser des cris et être bruyants.
204 C’est ainsi que l’on a un réveil. Lorsqu’on
entre vraiment dans l’Esprit de réveil. Il ne s’agit pas d’amener cela
en faisant la fête, mais plutôt de faire descendre cela par la prière,
jusqu’à ce que votre cœur soit touché par un réveil; jusqu’à ce que
soient sortis tous les morceaux de bois de ce qui est ecclésiastique,
tous les morceaux de bois du fanatisme, tous les morceaux de bois des
systèmes, et tous les morceaux de bois de l’incrédulité. Ensuite, les
eaux de Dieu se déversent sur vous. Vous y êtes. Là, vous êtes un
témoignage.
205 Vous ne serez pas là à fumer des cigarettes
derrière la maison, et venir ensuite à l’église, sautiller et dire que
vous avez le Saint-Esprit. Vous seriez comme un airain qui résonne ou
une cymbale qui retentit. Les gens savent cela. Lorsque vous sortez,
menant une vie comme celle-là, et que les femmes se coupent les
cheveux, se mettent du rouge à lèvres, et disent: «Je suis
pentecôtiste», oh, pauvres malheureuses!...
206 Certains de vous, prédicateurs, qui avez dans
votre église des diacres ayant quatre ou cinq femmes, et des choses
semblables. «Je suis pentecôtiste», dites-vous. Le monde a un meilleur
jugement que celui-là. Ils sont plus intelligents que cela. Oh oui! oh
là là! Sortir là et gager aux courses, et tout le reste, et ensuite
dire... Et il y en a beaucoup parmi vous qui préféreraient rester à la
maison à écouter la télévision que d’aller à une réunion de prières. Et
vous dites: «Je suis pentecôtiste.» Vous en portez le nom, c’est tout.
Vous n’avez pas reçu l’expérience de la Pentecôte.
207 L’église est ce qu’il y a de plus important dans
votre cœur, frère. Voilà tout ce qu’il y a, c’est Dieu, Dieu. Tout ce
que vous voyez et connaissez, c’est Dieu.
208 C’est le groupe de prétendus pentecôtistes qui
dit: «Bof, bon, c’est de l’absurdité, cette affaire. N’allez surtout
pas croire cela», voyez. Mais la vision du Seigneur vient de la Parole
du Seigneur. Creusez et sortez tout cela. Creusez et faites sortir
cette incrédulité, ainsi les eaux de la Vie couleront librement, et ça
mettra fin à tout ce bla bla, où l’on dit que les jours des miracles
sont passés. Puisse l’église vraiment revenir.
209 On dit: «Les pentecôtistes ne sont qu’un groupe
avec un sembant de foi.» Allez sur place et creusez jusqu’à ce que vous
touchiez un fond rocheux. Passez par une expérience de Pentecôte, et
voyez ce qui va arriver, frère. Personne ne pourra pointer un doigt
accusateur sur votre vie. Oui monsieur. Vous êtes droit comme un...
canon de fusil. Droit, et vous êtes un vrai gentleman. Vous êtes un
vrai homme de Dieu. Vous êtes une vraie femme de Dieu.
210 Lorsque vous êtes scellé du Saint-Esprit, le
sceau paraît des deux côtés du papier. Ils vous voient aller et ils
vous voient venir. Lorsque vous serez scellé du Saint-Esprit, ils
sauront que vous ressemblez à un chrétien, que vous agissez comme lui,
parlez comme lui, vous vous associez comme lui, et que vous êtes un
chrétien. Dieu est prêt à le faire, pourvu que nous soyons prêts à le
Lui laisser faire. Croyez-vous cela?
211 Bon, qu’est-ce qu’on fait ensuite? «Ensuite,
prédicateur, est-ce que tu dois venir m’imposer les mains?» Cela n’a
rien à voir avec ça. Cela vous poussera peut-être vers un petit quelque
chose, mais il ne s’agit pas de cela. Ce qu’il faut faire, frère, c’est
accepter la Parole de Dieu, et dire: «C’est la vérité, et je la crois.
J’ai ces vieux morceaux là-dedans dont je me débarrasse tout de suite;
mon incrédulité. Je règle la chose avec Dieu. Je vais croire.» Croyez
pour votre salut.
212 Pour ce qui est de votre salut, là, je ne
saurais vous dire. Vous devez travailler à cela vous-même. Mais Christ
vit et règne toujours. Il est ici ce soir. Le croyez-vous? Qu’avez-vous
à faire? Entrez dans l’Esprit. Puis, lorsque vous entrez dans l’Esprit,
là, vous saisissez la vision.
213 Mais aussi longtemps que vous direz: «Dieu soit
béni, je suis méthodiste. Je ne suis pas obligé d’endurer ça.
214 – Je suis baptiste.
215 – Je suis des Assemblées.
216 – Je suis unitaire.»
217 Très bien, allez-y. Vous ne comprendrez jamais
la vision.
218 Mais mettez donc cela de côté et entrez dans la
vision. Et voyez que Jésus revient et que l’église est en train de
périr, et entrez dans la vision, et creusez. Je vous le dis, frère, il
se produira quelque chose en vous. Vous entrerez dans l’Esprit du
réveil. Le croyez-vous? En ce cas, entrons tous dans l’Esprit et
croyons-le. Baissons la tête pendant que nous Lui demandons de nous
donner la vision.
219 Père Céleste, nous sommes dans un pays en train
de périr, dans une nation en train de périr, dans un monde en train de
périr, et nous prêchons à un peuple en train de périr. Je ne suis qu’un
homme, et ces autres prédicateurs ne sont que des hommes. Toutefois, Tu
es un Dieu qui ne peut périr.
220 Seigneur, je Te prie, ce soir, et comme ces six
mois à voyager m’ont rendu nerveux et tendu, il se peut que je n’aie
pas donné ce message tout à fait comme il le faut, Seigneur, mais si
tel est le cas, laisse le Saint-Esprit l’aplanir. Fais disparaître tous
les plis, oh Dieu, tout comme Tu l’as fait pour Abraham. Et Tu as
dit... Nous savons qu’il a eu ses frustrations et qu’il a chancelé.
Toutefois, lorsque le commentaire divin de sa vie a été écrit, eh bien,
cela dit qu’il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse
de Dieu; mais il fut fortifié, rendant gloire à Dieu.
221 Ainsi, Seigneur Dieu, là où j’ai chancelé un
peu, et fait des fautes d’orthographe, des fautes de prononciation, et
ainsi de suite, que le Saint-Esprit aplanisse cela, et place dans
chaque cœur un authentique commentaire divin du message de ce soir, de
ce que nous vivons.
222 Il y a encore un serviteur de Dieu, il y a
encore un peuple qui aime Dieu, et il y a un Dieu qui s’intéresse à
eux. Il y a un Sauveur qui, il y a deux mille ans, a été frappé, a été
blessé pour nos péchés, brisé pour notre iniquité, le châtiment qui
nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures
que nous avons été guéris. Ce même Sauveur a dit: «Vous ferez aussi les
œuvres que Je fais.»
223 Ô Dieu, que chaque morceau soit enlevé et que
chaque vieux seau rouillé et ces choses soient enlevés du chemin, ce
soir, et puissent les eaux de la Vie circuler librement.
224 Mon Dieu, retourne-moi comme on le fait d’un
vêtement, et lave-moi, rends-moi propre, Seigneur. Remplis-moi de Ton
Esprit en ce moment même, et remplis de foi les gens, afin que, s’il y
en avait un ici qui ne croit pas, il puisse voir et croire, car nous le
demandons au Nom de Jésus. Alors, que chacun entre dans l’Esprit et que
nous soyons tous remplis de l’Esprit, et tous guéris et sauvés, ce
soir, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Il y a une fontaine remplie de Sang
Tiré des veines d’Emmanuel,
Les pécheurs, plongés sous ce flot
Perdent toutes taches de culpabilité.
Perdent toutes taches de culpabilité,
(Levons les mains pendant que...)
...toutes taches de culpabilité;
Les pécheurs plongés sous ce flot,
Perdent toutes taches de culpabilité.
225 Inclinons la tête. Dieu notre Père, nous sommes
présentement en train de mourir à toute notre incrédulité. Crée en nous
maintenant un désir de creuser. Nous sommes en train de creuser, Père.
Sonde-moi et éprouve-moi. Vois s’il ne se trouve pas de l’incrédulité
en moi, Seigneur. Si c’est le cas, aide-moi à l’enlever du chemin tout
de suite. Aide-moi à débloquer le canal, pour que la puissance de Dieu
puisse circuler.
226 Seigneur, viens maintenant en aide à cet
auditoire. Je prie pour eux. Je Te prie de faire en sorte que chaque
canal soit nettoyé. Chaque église représentée ici, nettoie-les,
Seigneur, chacune d’elles. Nettoie à fond toute l’incrédulité, d’une
organisation à l’autre, Seigneur. Fais disparaître d’elles tous les
systèmes du monde. Que la douce communion du Saint-Esprit entre dans
les canaux de Dieu, circulant ici, ce soir, apportant une fraîche
révélation; que la Parole de Vie aille pénétrer dans chaque âme ici ce
soir. Je sais bien que Tu es ici, Seigneur.
227 Ils me considèrent comme Ton voyant, comme celui
qui croit en Toi, comme quelqu’un servant d’exemple. Père Divin, je Te
prie de me venir en aide, afin que le Saint-Esprit ait librement accès
à mon âme et à mon cœur, à ma vie, mes yeux, mon être. Non seulement
pour moi, mais pour chaque personne ici, pour que ceux qui ne croient
pas puissent voir l’Esprit travailler à travers les croyants, et dire:
«Si l’eau de ce Rocher frappé peut couler à travers eux, elle peut
couler à travers moi également.» Accorde-le, Père. Je le demande au Nom
de Jésus. Amen.
228 Père, je Te prie de bénir mes frères qui sont
ici derrière moi, ces hommes précieux. Il y en a parmi eux qui
prêchaient l’Évangile alors que je n’étais qu’un jeune homme pécheur.
Dieu, accorde-le ce soir. Certains de ces hommes sont dans le champ de
travail depuis longtemps déjà. Ce sont des guerriers. Ils portent des
cicatrices. Souvent, il arrive que les systèmes conduisent les hommes
à... mais tout au fond de leur cœur, Seigneur, ils veulent voir ce que
Dieu fait. Ensuite, nous voyons que le diable fera une chose ou
l’autre. Puis il fera un gâchis ou un bourbier, et cela les fera comme
se retirer un petit peu. Père, que chaque cœur soit ouvert à la vraie
Fontaine, ce soir.
229 Maintenant, oh Dieu, je parle. Je ne suis qu’un
homme. Je pourrais faire toute sorte de déclarations, je pourrais faire
que cela sonne juste; cependant ça ne serait toujours pas Toi.
Seulement un mot venant de Toi prouvera cela, Seigneur.
230 Tu as dit: «S’il y a parmi vous un prophète ou
quelqu’un de spirituel, c’est dans des visions que moi, l’Éternel, Je
me révélerai à lui, c’est dans des songes que Je lui parlerai. Si ce
qu’il dit arrive, alors écoutez-le. Toutefois, si cela n’arrive pas, ne
craignez pas cet homme, parce que Je ne suis pas avec lui. Mais si cela
arrive, alors, écoutez-le.»
231 Maintenant, Père Divin, soir après soir, j’ai
démontré par les Écritures que Tu es le Christ, Tu es le Fils de Dieu.
Et Tu as été frappé pour enlever nos péchés et l’incrédulité, afin que
Ta propre Vie puisse couler en nous. Je déclare aux gens que Tu es
assis à la droite de Dieu, ce soir, dans les lieux célestes, là-bas sur
le trône, un Souverain Sacrificateur qui peut compatir à nos
faiblesses. Seigneur, puisque l’incrédulité est en train de sortir,
fais en sorte que beaucoup de pertes de sang s’arrêtent ce soir, car
nous le demandons dans le Nom de Christ. Amen.
232 Je crois que nous n’avons pas eu une carte de
prière depuis dimanche après-midi dernier. Autant que je me souvienne,
nous n’avons pas appelé les gens à venir dans une ligne de prière. Mais
à chaque soir le Saint-Esprit est allé directement parmi les gens.
Combien savent que c’est vrai? Dix, quinze, ainsi de suite, par soir,
de partout, des gens qui n’avaient pas de cartes de prière. Je me sens
comme coupable de ne pas avoir pris de ces cartes. Je sais bien que je
suis un peu en retard, mais hier soir, (j’étais aussi en retard), j’ai
dit: «Demain soir nous allons essayer de distribuer des cartes de
prière.» Puis, ce soir, j’avais envoyé Billy, je lui avais dit de
distribuer des cartes de prière. Il m’a dit avoir distribué les B, de 1
à 50... de 1 à 100. B, 1 à 100. C’est ça. On avait commencé à peu près
là.
233 Où avions-nous commencé l’autre fois? Nous
avions commencé avec le 1, n’est-ce pas, l’autre fois? Oh, c’est vrai,
il y a deux soirs où nous l’avons fait. Je suis désolé. La fois
suivante nous avions commencé à B, nous avions commencé avec le 1,
jusqu’à 25. Ensuite nous avions commencé avec le 85, jusqu’à 100. Bon,
ce soir commençons donc au milieu. Disons que nous débuterons avec le
25, jusqu’à 50. Qu’en dites-vous? Qui a le B25? Levez la main. Là, une
femme? Venez juste ici, madame. 25, 26. Très bien. Venez jusqu’ici,
madame. Ils sont un peu partout dans l’édifice.
234 Bon, lorsque le frère vient donner ces cartes de
prière, il s’avance et les brasse devant vous. Ainsi il vous remet tout
simplement une carte, peu importe où. Puis nous les appelons à partir
d’un tel numéro. Voyez-vous, personne ne sait à quel numéro cela va
commencer. L’appel se fait tout simplement à partir d’un numéro, puis
d’un autre. Bon, le 25, n’est-ce pas? 26, 25,26. Qui a le 26? Très
bien, juste ici, le 26. Le 27, qui a la carte de prière numéro 27? B,
comme dans Boston, le 27. Très bien. Le 28, qui a le 28? Je ne vois pas
la main. S’il vous plaît. Le 29, 30, 31. Qui a le 31?
235 Je voudrais que vous attendiez simplement que
j’appelle votre numéro, parce que... Si une personne est sourde ou
quelque chose, vous dites (ici on m’a écrit un mot sur une carte):
«Frère Branham, on a appelé mon numéro, mais j’étais sourd et personne
ne me l’a dit, et vous avez pensé... Ils ont dit que vous aviez pensé
que j’étais sorti.» Ou bien: «J’étais infirme, je ne pouvais même pas
lever la main, et personne ne m’a fait avancer; on n’a même pas
prié pour moi.» Voyez.
236 On a bel et bien prié pour vous, cher enfant. À
tous les soirs, on prie pour vous. En ce moment même, Jésus est en
train d’intercéder pour vous à la droite de la Majesté. Tout ce qu’Il
veut, c’est que vous Le croyiez.
237 Très bien, où est-ce que j’étais rendu? Le 26?
21, 2...? J’étais rendu où, frère? Le 31. 32, 32. C’est ça. 33, 34, 34.
Je ne le vois pas. 34, la carte de prière numéro 34. Si vous avez cette
carte... Regardez autour de vous, quelqu’un. Il peut y avoir quelqu’un
de sourd, de muet, ou qui ne peut se lever. 34. Je ne veux pas le
manquer. Ils sont peut-être sortis. 34, 35, le B35. Très bien. 34.
Alors, est-ce que le 34 y est? 34, B34? Le 35 y était, 36.
238 N’ayez pas peur. Si vous avez péché et que vous
l’avez confessé, quand vous viendrez ici, cela sera couvert par le
Sang. Si vous avez du péché non confessé, vous savez ce qui va se
passer quand vous arriverez ici, n’est-ce pas? Bien, en ce cas, ne
prenez pas la carte. D’abord, préparez-vous par la prière; ensuite,
prenez la carte.
239 Très bien, commençons donc la ligne de prière.
Très bien. Je ne sais pas combien ils sont ici. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8.
Trois servent de témoignage. Cela suffira. Ça va.
240 Et vous, là-bas, qui n’avez pas de cartes de
prière, que l’on vous voie lever la main. Vous êtes malades et vous
voulez que Dieu vous guérisse. N’importe où dans l’édifice, peu
m’importe où vous êtes.
241 Que dites-vous? 36, 37, 38, 39, 40. En voici
deux de parmi ceux-là. De 40 à 50. Trois. Encore un autre. Je m’y
prends peut-être mal. Je devrais peut-être tout simplement prêcher,
puis faire un appel à l’autel. Très bien.
242 O.K. Commençons maintenant la ligne de prière,
si vous le voulez bien. Que chacun soit vraiment respectueux. Que
chacun soit maintenant tout aussi respectueux que possible. Baissons la
tête juste un instant. Crois seulement, s’il te plaît, frère. Le
message a été pas mal difficile ce soir. Nous voulons que l’Esprit
vienne en ce moment.
243 Or, pendant qu’ils s’avancent, j’aimerais
demander ceci. Si Christ démontre qu’Il est ici, combien parmi vous
croiront en Lui, de tout leur cœur? Allez-vous rejeter chaque morceau?
Y a-t-il quelqu’un qui n’ait encore jamais assisté à l’une de mes
réunions? Levez la main. Vous n’avez encore jamais assisté à l’une de
mes réunions. [Frère Branham s’adresse au groupe derrière lui. –
N.D.É.] mes frères... je leur demandais tout simplement, à ce groupe
derrière moi... Il y a ce groupe en train de prier, derrière moi. Cela
ne peut manquer, quelque chose va se passer. De vrais hommes de Dieu,
authentiques.
244 Bon, ayez la foi, c’est tout. Bien, j’imagine
que la scène débuterait... Tout d’abord, je veux dire aux gens qu’à
chaque soir il y a tellement eu... Je crois qu’à chaque soir sans
exception on a eu au moins huit, dix, ou quinze cas précis, partout
dans l’édifice. Vous qui étiez ici, n’est-ce pas vrai? Voyez?
245 Bon, pour vous, les nouveaux venus, je ne
déclare pas être un guérisseur divin. Je ne crois pas qu’il existe une
telle personne sur la terre. Je crois que le guérisseur, c’est
Jésus-Christ. D’ailleurs, Il a déjà fait tout ce qu’Il pouvait pour
vous, car lorsqu’Il a été frappé, là-bas... Il était ce Rocher. Le
croyez-vous? Il était la Colonne de Feu, le Je Suis. Tout ce que nous
avons à faire, c’est d’enlever du chemin ce qui entrave. Le
croyez-vous? Bon, en ce cas, Il a déjà guéri chaque personne malade
ici. Chaque personne est déjà guérie, chaque pécheur est déjà sauvé.
Mais, frère, il faut que tu l’acceptes.
246 Pour votre guérison, regardez simplement ici.
L’autre soir, on a eu ici une femme qui a donné un témoignage. Ils
l’avaient amenée au Tabernacle, il n’y a pas longtemps, et cette femme
était toute enflée, comme ceci. Elle n’arrivait même pas à marcher, à
cause d’une tumeur. Des hommes avaient dû la transporter et la faire
asseoir sur les marches. Ce soir là je ne priais pas pour les malades.
Comme je sortais, elle m’a saisi par la jambe de pantalon, si je me
rappelle bien, et par l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, la situation a été
renversée. Cette femme était ici l’autre soir, sans tumeur, et toute
aussi normale que possible.
247 Oh là là! Je ne fais pas de grand tapage
publicitaire et des choses comme ça, car souvent... Jésus a dit... Je
crois que ce qu’il y a aujourd’hui avec la guérison divine, c’est qu’on
en fait quelque chose qui a un peu trop d’éclat. Ce n’est pas de
l’éclat. Voilà pourquoi je vous ai dit, je le crois d’ailleurs de tout
mon cœur, que Chicago voit ceci pour la dernière fois, voyez. Je le
crois vraiment. Je crois que c’est pareil pour le reste de la nation.
Je m’en vais, voyez. N’oubliez pas ce qu’Il a dit. Ce que je vous ai
déclaré, c’est ce qu’Il m’a dit. Je ne vous ai jamais dit quelque chose
au Nom du Seigneur qui ne soit arrivé exactement comme cela avait été
dit. C’est ce que je vous demande en ce moment, voyez. Bon, croyez-moi
alors.
248 Christ vous a déjà guéris. Vous devez
l’accepter. Mais, et s’Il se tenait ici, avec ce complet qu’Il m’a
donné, portant ce complet ... Or, si vous veniez à Lui en disant:
«Seigneur, veux-Tu me guérir?» Il dirait: «Enlève les morceaux de bois
du chemin. J’essaie de me frayer un chemin jusqu’à toi. Mais ce qui
t’arrête, c’est ton incrédulité.»
249 Bon, voilà pour les nouveaux venus. Voici une
scène de la Bible. Au quatrième chapitre de Jean, Jésus est venu au
puits, à une femme qui était Samaritaine. Cette histoire nous est
familière à tous. Or, de quelle manière s’est-Il fait connaître à elle
comme messie? Qu’a-t-Il fait? La femme Lui a dit... Il a dit à la
femme: «Apporte-Moi à boire.» Il était en train de contacter son esprit.
250 Elle dit: «Le puits est profond, et tu n’as rien
pour puiser.» Alors ils se sont mis à parler de religion. Elle voulait
parler de religion. Elle a dit: «Nous adorons sur cette montagne. Toi
tu dis à Jérusalem, parce que...» Elle a dit: «Il ne devrait pas y
avoir de relations entre nous, parce que tu es Juif et je suis
Samaritaine.»
251 Il dit alors: «Femme, appelle ton mari, et viens
ici.»
252 Elle dit: «Je n’ai point de mari.»
253 Il dit: «Tu dis vrai. Tu en as eu cinq, et celui
avec lequel tu vis n’est pas ton mari.»
254 Or, comment le ministère de l’époque a-t-il
interprété cela? Bon, en disant ministère, je ne fais pas allusion à
des prédicateurs comme ceux-ci. Ce sont des frères qui sont corps et
âme avec moi. Je veux dire le ministère qui se moque de ceci et qui dit
que c’est sans intérêt; non pas les organisations qui m’appuient.
Celles-là, il y a le système de Dieu à l’intérieur. Ce dont je parle
toutefois, c’est de celles qui nient cette chose, voyez, ceux qui la
conteste. L’une dit que c’est sans intérêt, que c’est du diable. Ils
ont agi de la même manière à cette époque-là.
255 Cette petite prostituée toutefois a dit:
«Seigneur, je vois que tu es un prophète. Or, on nous a enseigné, nous
savons que lorsque le messie viendra, Il nous annoncera ces choses.»
Combien savent que c’est vrai? C’est juste.
256 Il a dit: «Je le suis, moi qui te parle.»
257 Puis elle courut à la ville et alla dire aux
hommes, elle dit: «Venez voir un homme qui m’a dit les choses que j’ai
faites. Ne serait-Il pas le messie?» La Bible dit que toute la ville
crut en Jésus. Puis Il ne l’a plus refait. Seulement cette fois-là.
Parce que la femme, une prostituée, leur a déclaré ce que Jésus lui
avait dit, que l’homme avec lequel elle vivait n’était pas celui avec
lequel elle était censée vivre. Puis la ville entière crut qu’Il était
le messie, parce que c’était cela le signe du messie.
258 Bon, si vous pensez que la théologie est le
signe du messie et que c’est un signe plus grand que ceci... Jésus a
dit: «Vous ferez aussi les œuvres que Je fais.» Et vous dites que
prêcher l’Évangile est une plus grande œuvre. Très bien. Alors montez
ici et faites les œuvres moindres. Voici l’estrade. Servez-vous. Venez
et parcourez cette ligne de prière, et laissez le Saint-Esprit se
déplacer dans l’auditoire, au-dessus de vous. Laissez-moi vous voir
faire ces œuvres, et ensuite allez prêcher l’Évangile. À ce moment-là,
vous faites vraiment des œuvres plus grandes.
259 Jésus ne pouvait pas prêcher le baptême du
Saint-Esprit, parce qu’Il n’était pas encore venu. Ça, c’est une œuvre
plus grande. Sûrement que ça l’est. L’église va prêcher le baptême du
Saint-Esprit. Jésus a dit que le Saint-Esprit allait venir, mais
l’église le possède, elle dit: «Nous L’avons, et c’est pour vous.»
Voyez. Ainsi, c’était plus grand, ça c’est vrai. Cependant les mêmes
œuvres qu’Il a faites... «Celui qui croit en moi fera aussi les œuvres
que Je fais.»
260 Bon, voici une femme qui m’est inconnue. On ne
se connaît pas. C’est pour que l’auditoire comprenne. Maintenant,
observez la dame. Je ne vous connais pas. On ne se connaît pas. C’est
notre première rencontre. Levez la main si c’est bien le cas. Encore
une fois, voici un homme et une femme qui se rencontrent. Je ne sais
absolument pas qui est cette femme ou pourquoi elle est ici, je n’en
sais absolument rien. Elle m’est tout à fait inconnue.
261 Comme on le voit beaucoup, je pourrais me tenir
ici et dire de la psychologie, et déclarer: «Le Seigneur me dit que
quelqu’un a un problème de dos.» Bien sûr, ils sont plusieurs là à
avoir des problèmes de dos. «Vous avez un trouble nerveux.» C’est
évident, un bon nombre d’entre eux en sont accablés, voyez. De qui
s’agit-il? Où est-ce que cela se situe? C’est venu d’où? Qu’est-ce qui
a provoqué cela? Qu’est-ce qui va se passer avec cela? – C’est ce qui
reste à voir, voyez. Voilà la différence.
262 Si je faisais monter cette femme ici, et que je
lui dise: «Le Seigneur m’a envoyé prier pour les malades. Laissez-moi
vous imposer les mains, vous oindre d’huile. Gloire à Dieu, vous allez
être guérie.» Elle a le droit de croire cela. C’est vrai, mais elle
pourrait douter de mon expérience, à savoir si je lui dis la vérité ou
non. Elle pourrait douter de cela. Mais quand le Saint-Esprit vient et
parle par mes lèvres et lui dit ce qu’elle a été, ça enlève
immédiatement ce qui semble curieux. Voyez? Car elle sait que je ne la
connais pas. Nous avons d’ailleurs tous les deux levé nos mains vers
Dieu, signifiant que l’on ne se connaît pas. Bon, voilà l’Évangile. Si
ce n’est pas l’Évangile que Christ avait, si ce n’était pas...
263 «Eh bien, dites-vous, frère Branham, vous dites
être le messie?» Si c’est ce que vous pensez, ça montre que vous n’avez
aucun discernement sprirituel, voyez. Comment pourrais-je être un
messie? Je suis William Branham, un pécheur sauvé par grâce. Le messie,
c’est Jésus-Christ, mais Son Esprit est vivant en nous, le
Saint-Esprit. Pour certains d’entre vous qui refuseriez de le croire,
cette chose qui fait que les gens pleurent, poussent des cris, et
parlent en langues, c’est ce même Esprit...
264 Paul a dit que si quelqu’un vient parmi vous et
que vous parlez tous en langues, ils diront que vous êtes fous. Mais
qu’il y en ait un qui soit prophète et révèle les secrets du cœur,
alors ils se prosterneront en disant que Dieu est avec vous. Voyez,
c’est un don de Pentecôte, frères. C’est simplement quelque chose qui a
été ajouté à l’église. Combien les baptistes et les méthodistes vous
ont combattus sur le parler en langues, frères! Ils me font pareil pour
ceci, ainsi... Mais prenez position pour la vérité. Dieu...béni, que
l’on continue.
265 Si je ne vous connais pas et que le Seigneur me
dise pourquoi vous êtes ici, quelque chose que vous avez fait, quelque
chose que vous devriez faire, quelque chose – quelque péché dans votre
vie, ou quelque bénédiction qui soit en... ou quelque autre chose que
vous savez être la vérité ou non – vous saurez si c’est vrai ou pas.
Alors, croiriez-vous de tout votre cœur qu’il devrait s’agir d’une
quelconque puissance spirituelle, car on ne se connaît pas.
Croiriez-vous que c’était le messie? Je ne parle pas de moi, ici, mais
ce serait Son Esprit parlant par moi, comme Il L’a promis? Est-ce que
toute l’église le croira d’un commun accord? Levez la main. merci.
Maintenant, croyez.
266 La femme se tient à environ dix, douze pieds de
moi. Je la regarde simplement pour lui parler, car après avoir prêché,
et ainsi de suite, comme le prophète l’a fait là-bas en... Je ne suis
pas un prophète, mais comme le prophète a fait là-bas... Il avait
vivement repris Joram et ceux-là, ainsi il fallait simplement qu’il
joue et parle et...
267 Jésus a parlé à la femme, mais Il a d’abord dû
contacter son esprit, en attendant d’avoir sur lui l’onction. C’est
cela que j’attends maintenant, d’enlever du chemin le morceau de bois
appelé William Branham. Ce que j’ai d’intellectuel, mon esprit, ma
connaissance, tout ce qu’il y a, j’enlève tout ça du chemin pour qu’Il
puisse utiliser mes yeux, mes lèvres, afin de se glorifier devant Son
peuple. Seulement se soumettre, comme ce... Cette chose-ci ne peut pas
parler du tout. C’est muet. Pour que ça parle, ça prend quelque chose
de vivant, ici, parlant dans cela. La chose elle-même ne parle pas. Je
ne peux pas non plus vous dire quelque chose vous concernant. Pour
parler de cela, ça prend quelque chose qui a la Vie éternelle, quelque
chose qui vous connaît. C’est vrai. Vous croyez cela.
268 Il y a bien une chose qui vous pose des
problèmes (si les gens m’entendent toujours)... Je vois la femme. Elle
est nerveuse et déchirée. Elle souffre d’un état nerveux. C’est bien
vrai, tout à fait juste.
269 Je ne sais pas pourquoi, mais, comme je l’ai
toujours dit, à chaque fois que je déclare quelque chose, les gens ne
manquent pas de dire «de la devinette». Je le sens. Non, je ne le
devine pas. Vous savez que je n’ai aucun moyen de le deviner. Bon,
était-ce bien la vérité? Si ce qui a été dit était la vérité, combien
croient maintenant? merci.
270 C’est comme Philippe, quand Il lui a dit où il
était, quelque chose à son sujet, il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de
Dieu, le Roi d’Israël.»
271 Il a dit: «Parce que tu crois cela, tu verras
davantage.» Est-ce vrai? Il s’agit de la même promesse.
272 Restez où vous êtes. Je ne sais pas si ce que je
vous ai dit était faux, mais quoi qu’il en était, c’est bien cette
maladie que vous aviez. Oui. Je le vois maintenant. Oui. Nerveuse.
C’est comme ça depuis un bon bout de temps. Cela a commencé à la
période de ménopose. En plus de ça, il y a un problème féminin qui vous
trouble. C’est vrai. Encore autre chose, vous priez pour une personne
que vous avez à cœur. C’est vrai. Elle n’est pas ici. Elle a des
problèmes aux yeux. Votre mère. C’est vrai. Croyez-vous maintenant?
Envoyez-lui ce mouchoir que vous tenez, pendant que le Saint-Esprit est
sur vous, et tout ira bien. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous
bénisse, sœur.
273 Croyez-vous maintenant de tout votre cœur? Vous
devez avoir la foi. Ayez confiance en Dieu, c’est tout. Êtes-vous
maintenant convaincus que Jésus-Christ...?
274 S’il vous plaît, ne vous déplacez pas. Je sais
que l’heure est avancée. Vous ne vous en rendez pas compte. Qu’est-ce
que l’Ange de l’Éternel a dit? «Si tu amènes les gens à te croire...»
Ensuite, lorsque je vous demande de rester tranquillement assis et que
vous ne le faites pas, que pensez-vous que ça fait? Cela me retombe en
plein visage.
275 Satan dira: «Tu vois, ils ne te croient pas.»
276 Certains d’entre vous croient et d’autres pas,
cependant vous nuisez aux autres. Une fois, Jésus les a tous fait
sortir de la maison. Voyez, j’essaie d’être à la fois évangéliste et
voyant, et on ne peut pas faire cela. Ou bien je serai voyant, et
j’irai dans les bois, pour venir ensuite proclamer bien fort mon
message et m’en retourner ensuite à l’écart; ou bien je mettrai cela de
côté, et Dieu m’enlèvera cela et me laissera prêcher l’Évangile, et je
serai évangéliste.
277 Bonjour, sœur. Je ne vous connais pas. On ne se
connaît pas, c’est vrai? Nous ne nous connaissons pas. Afin que les
gens sachent que c’est bien le cas, voudriez-vous lever la main? On ne
se connaît pas. Si le Saint-Esprit me révèle pourquoi vous êtes là,
croirez-vous que je suis Son prophète? Cette femme semble avoir un bon
esprit, un esprit qui croit.
278 Oui monsieur, ça y est. Elle souffre d’un
trouble cardiaque. Elle a une maladie de cœur. Vous avez aussi de
l’arthrite. Vous avez aussi une maladie nerveuse. Vous priez pour
quelqu’un que vous avez à cœur. Si Dieu me dit de qui il s’agit ou de
quelque chose la concernant, croirez-vous que je suis Son prophète? Il
s’agit de votre enfant, une fille, et elle n’est pas ici. Elle demeure
loin d’ici. Elle est en Californie. Elle souffre d’une dépression
nerveuse. AINSI DIT LE SEIGNEUR! Croyez-vous de tout votre cœur
maintenant? Alors il faut que vous le receviez. Il vous sera fait
exactement selon ce que vous avez demandé et ce que vous avez cru.
279 Avancez, monsieur. Je ne vous connais pas. Une
fois, notre Seigneur... Je crois que les deux ou trois dernières qui
sont passées étaient des femmes. Voici un homme. J’ai mentionné ce que
Jésus a dit à la femme, lorsqu’Il a rencontré une femme. Maintenant,
laissez-moi aller quelque part dans les Écritures, là où Il a rencontré
un homme, pour que les hommes et les femmes voient qu’entre eux il n’y
a pas de différence. Quand Il a rencontré Pierre, Il a rencontré Simon
Pierre. À ce moment-là, il s’appelait Simon. Il lui a dit qui il était,
Il lui a parlé de choses en rapport à lui-même. Croyez-vous que Dieu
peut me parler de vous, et de ce qui a rapport à vous et ainsi de
suite, comme cela? Est-ce que ça vous ferait croire?
280 Juste un instant. Il y a quelque chose qui est
en train de se passer. Cette dame, assise juste là à gauche, avec une
rupture du nombril, croyez-vous que Dieu va vous rétablir, sœur? Si
vous le croyez de tout votre cœur, voyez s’accomplir ce que vous avez
demandé.
281 Il y a deux hommes qui se tiennent ici. Il y a
présentement quelqu’un qui touche le Souverain Sacrificateur. Cet
homme, là, qui a le doigt levé devant son nez, il a une hydropisie du
cœur, le cancer de la peau. Jésus vous guérit, frère. Ta foi te guérit.
Qu’a-t-il touché? Il est plus agé que cet homme-ci. Je pouvais voir
qu’il y avait une différence entre eux.
282 Si Dieu me dit quel est votre problème,
croirez-vous que je suis Son serviteur? Tout d’abord, vous avez quelque
chose au côté. C’est une espèce de rupture, une hernie, au côté. C’est
juste. Encore une chose, vous avez une maladie nerveuse qui vous donne
un problème d’estomac. C’est vrai. Maintenant, croyez-vous tous? Vous
semblez être un homme bon. Prenons un peu de temps, avec cet homme.
S’il vous plaît, soyez respectueux et tranquilles. Il a quelque chose
sur son cœur.
283 Vous voulez que Dieu dise quelque chose d’autre.
C’est vrai, parce que je peux distinguer ce désir. Oh, il s’agit d’une
femme, votre épouse. Elle a subi une opération, ça lui a causé de
l’enflure. C’est juste. Vous avez aussi une fille. Cette fille a déjà
souffert de tuberculose. Elle a été guérie par la guérison divine.
Maintenant, elle a un estomac nerveux. C’est vrai. Elles sont ici ce
soir. Je sens leur présence dans la réunion. Elles seront guéries.
Croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes? Cela vous aiderait-il?
S’Il a pu dire à Simon Pierre qui il était... Vous venez de l’Arkansas.
Votre nom est M. Blackwell. Rentrez chez vous, Jésus-Christ vous
guérit. Vos désirs sont satisfaits, frère.
284 Bonjour, madame. Vous êtes Éthiopienne; je suis
Anglo-Saxon. Ce sont deux races différentes. Je suppose que c’est notre
première rencontre. Si le Saint-Esprit me révèle ce qui ne va pas chez
vous, croirez-vous que je suis Son... un prophète du Saint-Esprit? Ayez
simplement la foi; ne doutez pas. Croyez. Vous avez un grand désir.
Vous cherchez vraiment le baptême du Saint-Esprit. C’est vrai. C’est
une grande chose à rechercher.
285 Si Dieu connaît le nom de cet homme, Il connaît
également le nom d’une femme. Ne le croyez-vous pas? Si je vous disais
qui vous êtes, par le Saint-Esprit, croiriez-vous alors que vous allez
recevoir le Saint-Esprit et que Dieu vous donnera votre...? Madame
Fitzpatrick, rentrez chez vous. Jésus-Christ va vous donner le baptême.
286 La Bible dit que dans les derniers jours...
Jésus a dit que dans les derniers jours, l’Esprit viendrait faire ces
choses, que ça serait le même Esprit qui, à l’époque d’Abraham, était
sur cette chair humaine qui se tenait le dos tourné à la tente.
C’est vrai, ça? Voici la prochaine personne, se tenant derrière moi.
C’est une femme. Vous m’entendez, madame, vous derrière moi? Très bien.
Est-ce qu’elle fait signe de la tête? Ici, je vais vous regarder. Si le
Seigneur me révèle quel est votre problème, tout en regardant de cet
autre côté, alors saurez-vous qu’Il s’agit du même Ange de Dieu, la
même puissance dont Jésus a dit qu’elle serait ici dans les derniers
jours? Allez-vous tous le croire? Vous avez une maladie féminine, un
problème de femme. Un mal de femme, un ennui féminin. Rentrez chez
vous, Jésus-Christ vous guérit. Croyez de tout votre cœur.
287 Et si je vous disais qu’Il vous a guéri, vous
qui êtes là dans la chaise, avec cette maladie de cœur, croiriez-vous?
Alors continuez comme ceci, en disant: «merci, Seigneur.» Croyez de
tout votre cœur.
288 Vous êtes maintenant prêt pour l’opération de
cette tumeur. Mais, croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Très bien.
Continuez simplement et dites: «merci, Seigneur Jésus.»
289 Aimeriez-vous prendre votre souper, ce soir, et
que ce vieux trouble d’estomac disparaisse? Vous aimeriez cela? Allez
et mangez, si vous croyez de tout votre cœur.
290 Aimeriez-vous aller au Calvaire avec moi, pour
une transfusion sanguine, vous débarrasser de votre diabète? Allez,
faites-le. Cette dame assise juste au fond, là-bas, avec le diabète,
vous pouvez faire pareil si seulement vous le croyez, sœur. Allez,
croyez de tout votre cœur.
291 Il y a quelques instants, quand j’ai dit trouble
d’estomac, il s’agissait du vôtre aussi. Ainsi, allez votre chemin,
prenez votre souper et soyez guéri. Très bien.
292 Une femme de forte constitution, ayant l’air
forte, comme ça, affligée des nerfs cependant. C’est ce qu’il y a de
plus pénible au monde. Vous êtes libre maintenant. Jésus-Christ vous
guérit. Allez, croyez de tout votre cœur.
293 Petite dame, croyez-vous que ce problème
d’asthme va vous quitter, que vous irez bien, et rentrerez à la maison
et serez guérie? Continuez simplement à avancer, en disant: «merci,
Seigneur.»
294 Combien êtes-vous qui croient de tout leur cœur?
Chacun de vous croit de tout son cœur? Et vous? Est-ce que vous croyez
de tout votre cœur? Ne vous arrêtez pas. Continuez simplement à louer
Dieu de tout votre cœur. Et vous, alors? Croyez-vous de tout votre cœur
que Christ vous guérira. Continuez à marcher, en disant: «merci,
Seigneur.» Croyez-le de tout votre cœur.
295 Croyez-vous aussi que vous allez bien? Vous
n’allez pas mourir d’une crise cardiaque. Continuez, croyez-le. Croyez
seulement de tout votre cœur, et vous serez remis. J’imagine que c’est
ce que vous vouliez que je vous dise; ainsi c’est terminé maintenant.
Allez, croyez de tout votre cœur.
296 Combien y en a-t-il qui croient de tout leur
cœur? Combien ont creusé et sorti toute l’incrédulité, et ont rejeté
tous les morceaux ecclésiastiques et qui sont prêts à recevoir Christ?
Imposez-vous les mains les uns aux autres. C’est l’heure de votre
décision. Que chacun reste tranquille. [Une femme parle en langue et un
homme interprète. – N.D.É.] Amen.
297 Voyez-vous ce que je viens de vous dire? Ce
ministère est un type de l’Élie qui a été enlevé et de l’Élisée qui a
eu une double portion. Une double portion. Jésus Lui-même, qui a envoyé
l’Esprit, a dit: «Ces signes accompagneront ceux qui croient.»
298 Je doute que cet homme et cette femme se
connaissent. C’est peu probable. Cette femme qui a parlé en langue,
connaissez-vous l’homme qui a interprété? Si vous ne le connaissez pas,
levez la main, si vous ne connaissez pas cet homme. Celui qui a
interprété, si vous ne connaissez pas la femme, levez votre main, tout
au fond, à l’arrière. Non monsieur, ils ne se connaissent pas du tout.
Et les voici, ils ont parlé exactement dans la ligne du message et
l’ont donné comme confirmation, alors que Jésus est ici, Il connaît les
secrets du cœur; Il a parlé ici, dans la congrégation, par un autre don
comme ça, un don local – par un don prophétique, par un don local, par
Sa Parole. Voilà, Il est ici. Eh bien, oh! gloire!
299 Imposez-vous les mains les uns aux autres. C’est
tout ce que vous avez à faire. Si vous êtes oints, touchez, et le
Saint-Esprit vous le donnera. Ô Dieu, dans le Nom de Jésus-Christ,
sature cet édifice de Ton Esprit. Enlève chaque morceau. Enlève chaque
morceau de bois, et puisse le Dieu du Ciel remplir cette église de
l’Esprit Saint et l’enflammer. Entrez dans l’Esprit de cette réunion,
et que chacun de vous soit guéri, au Nom de Jésus-Christ.
Alléluia! Le croyez-vous? Êtes-vous dans l’esprit
pour le recevoir? C’est ça. Enlevez tout ce qui est en travers du
chemin. Si vous le croyez de tout votre cœur, levez-vous et
acceptez-le, au Nom de Jésus-Christ. Vous y êtes, levez les mains.
Gloire, gloire. Amen.