Paradoxe
1 Bonjour, mes amis. C'est un privilège d'être ici à
nouveau ce matin. Et maintenant, ils m'ont dit qu'ils avaient eu une
réunion spéciale, et en avaient fait un compte rendu. Ils désiraient
que je vienne entendre ce compte rendu, si j'avais quelque chose à dire
pour ou contre cela, ils ont dit qu'il y avait quelque chose au sujet
des entrevues, ils avaient eu des difficultés. Je pense que c'est bien,
comme cela. J'accepte cela. Cela me donne une chance alors, de pouvoir
le faire.
2 Il y en a tant! Je pense qu'il y en a environ six
cents sur des listes d'attente, en ce moment, voyez-vous, pour des
entrevues spéciales. Et je suis moralement lié à ma parole, de rester
avec chacun jusqu'à ce que nous entendions Dieu nous parler pour cette
personne, voyez-vous? Et alors, si vous faites cela, vous pouvez avoir
quelqu'un sur la liste d'attente ici, et peut-être avec cette seule
personne, attendre deux ou trois semaines pour cette seule personne,
jusqu'à ce que nous entendions Dieu parler; venir ensemble, prier, s'en
retourner, se séparer, se réunir à nouveau, prier ensemble jusqu'à ce
que nous ayons le AINSI DIT LE SEIGNEUR pour cette personne. Et pendant
ce temps, voyez-vous, il y a d'autres choses.
3 Maintenant, de cette façon, comme je le comprends,
que chacun écrive ses requêtes, quelles qu'elles soient, et me les
transmette. Alors laissez-moi les avoir et prier au sujet de ces
requêtes, ensuite je peux appeler ces personnes... Était-ce, était-ce
ainsi? [Frère Neville dit: «Amen.» – N.D.É.] Maintenant cela, c'est
très bien. Voyez-vous, et alors, pendant que j'attends pour cette
personne, je pourrais avoir cent ou deux cents personnes dans celui-ci,
dans ce groupe-ci, là où j'attends pour une seule. Parce que, ainsi,
cela me donnera une chance de voir plus de gens. J'aime vraiment cela.
Celui qui a eu cette idée, eh bien! je pense que c'est vraiment bien.
C'est très bien.
4 Et ainsi, maintenant, cela a été une grande
semaine pour moi, ces quelques dernières semaines. J'ai été à
l'extérieur devant notre Seigneur, comme vous savez.
5 Mais, je pense, avant que nous commencions le
service, je pense... Et il y en a un que je connais ici, j'ai un petit
fils quelque part dans le bâtiment, et peut-être... Si c'est un
Branham, il est turbulent, courant par ici autour, peut-être; il est
celui qui doit prendre ces instructions; ainsi il est quelque part ici.
Je pense qu'il y a un service de consécration, et pour d'autres mamans
qui ont leurs petits. Eh bien! si Frère Teddy, je pense que c'est lui,
veut venir au piano, nous allons chanter notre vieux chant pour le
service de consécration des enfants, celui que tout le monde connaît:
«Amenez-les».
6 Maintenant, beaucoup de personnes, dans de
nombreuses églises, aspergent les bébés. Nous essayons simplement de
suivre les directives de la Bible, juste au plus près de ma
connaissance. Maintenant, il n'y a pas d'endroit dans la Bible où ils
ont aspergé un adulte, encore moins un bébé. Et nulle part, l'aspersion
n'a jamais été ordonnée par Dieu, pour un bébé ou un adulte.
7 Mais il y a dans la Bible un endroit où ils ont
apporté les petits enfants à Jésus, et Il a élevé Ses mains et les a
posées sur les petits, et les a bénis et dit: «Laissez venir à moi les
petits enfants.» Maintenant, c'est notre--notre façon de le faire ici.
Et maintenant, en tant que serviteurs, nous les amenons simplement
devant--devant Dieu, en prière; et si quelqu'un a son petit bébé qui
n'a pas été consacré...
8 Nous ne croyons pas au fait de baptiser, sous
quelque forme que ce soit, ces petits bébés. Parce qu'ils n'ont pas de
péché. «Ils sont nés dans le péché, formés dans l'iniquité, venus au
monde en disant des mensonges», mais ils n'ont rien à se repentir. Et
le baptême est pour la repentance et la rémission des péchés. Ainsi,
leur bébé n'a rien dont il puisse se repentir; et lorsque Jésus est
mort sur la Croix, Il purifia tout péché. Et maintenant, quand nous
sommes assez âgés pour savoir que nous devons nous repentir pour ce que
nous avons fait, alors nous le sommes et reconnaissons que Christ est
mort pour nous.
Ce petit bébé ne peut reconnaître cela, que Christ
est mort pour lui; mais quand nous sommes assez âgés pour reconnaître
que Christ est mort pour nous, alors, nous sommes baptisés en Sa mort
et ressuscités dans Sa résurrection. Le Seigneur voulant, Dimanche
prochain, je parlerai, le Seigneur... Dieu voulant.
9 Maintenant donc, nous les amenons et les
consacrons. S'il y a des mamans, peu importe de quelle église, de quel
credo, ou de quelle couleur, ou de quoi que ce soit d'autre, nous
consacrons tous les petits enfants au Seigneur Jésus-Christ.
10 Maintenant, Frère Teddy, si vous nous faisiez
chanter ceci, «Amenez-les», si vous voulez. Très bien, allons-y
ensemble maintenant.
Amenez-les, Amenez-les,
Amenez-les des endroits du péché;
Amenez-les, Amenez-les,
Amenez ceux qui errent à Jésus.
11 Dans la vision que j'ai eue, juste après le départ
de ma mère, c'est ce que je conduisais, le chant «Amenez-les», quand
les petits enfants l'apportaient. Voulez-vous venir, Frère Neville.
12 Je connais ce garçon. Billy dit: «Ne le laisse pas
tomber. Ne le laisse pas tomber.»
Oui, c'est William Branham, il y en a trois qui se
trouvent ici ensemble, des William Branham, trois générations et trois
noms. Il me regarde ce matin. Il y a juste quelque chose à leur sujet,
ils ont le regard innocent, vous savez. Et il est William Paul, junior.
Et ainsi, nous sommes reconnaissants, je le suis, ce matin, de donner
au Seigneur Jésus, des bras de son père (mon fils), le petit-fils, pour
une vie de service; les bénédictions sur le père et la mère. Inclinons
la tête.
13 Notre Gracieux Père Céleste, je sais que je suis
bien avancé sur la route, alors que je tiens mon petit-fils dans les
bras.
14 Mais je pense à Jacob, quand il apporta ses petits
enfants entre ses genoux, quand il était un vieil homme, Éphraïm et
Manassé; lorsqu'il bénit ces enfants et leur donna des bénédictions
spirituelles qui durent encore jusqu'à ce jour. Comment il croisa ses
mains de l'un sur l'autre, prenant la bénédiction des Juifs pour les
Nations, à la Croix. Puisse le Dieu du ciel s'approcher maintenant.
15 Ce petit-fils que Tu m'as donné Seigneur, par mon
fils et ma belle-fille! Je pense lorsqu'elle était stérile, n'ayant pas
d'enfant et arrivant ce jour-là de Yakima, Washington, alors qu'elle
pleurait, et disait: «Si je pouvais avoir un bébé!»
16 Ton Esprit est venu dans la voiture, et là j'ai
dit: «Tu l'auras.» Et aujourd'hui je tiens ce beau petit garçon dans
mes mains, Ta Parole parlée, Ta promesse.
17 Maintenant, Seigneur, dans la simplicité de nos
actions, nous plaçons ce bébé, par la foi, dans les Mains du Seigneur
Jésus, afin que Lui, étant ici sous la forme du Saint-Esprit, puisse
prendre le bébé dans Ses bras et en prendre soin, et le guider dans la
vie. Donne-lui la santé et la force, une longue vie, si Tu tardes. Et
puisse ce bébé être utilisé pour Ta gloire. Puisse la Puissance du Dieu
vivant demeurer sur cet enfant. S'il vit pour être un homme, et si
Jésus tarde, puisse-t-il prêcher l'Évangile. Que la Puissance de Dieu
qui l'a donné à sa mère et à son père, puisse-t-Elle ne jamais le
quitter.
18 Bénis son papa et sa maman. Puisse-t-il être élevé
et puissent-ils élever ce bébé dans l'atmosphère Chrétienne. Que toute
la formation humaine possible puisse être donnée à ce bébé.
19 Maintenant, petit Billy Paul Branham junior, je te
donne au Dieu Tout-Puissant, en consécration, au Nom de Jésus-Christ.
Amen.
20 Il y a quelque chose au sujet des petits bébés,
qui est, je pense, qui est si doux!
21 Je me souviens de Loyce, elle pleurait et se
tordait les mains. Elle est vraiment nerveuse. Loyce est sortie de
grandes tribulations, une petite fille du Kentucky qui a eu une vie
plutôt dure. Et elle... une nuit, Jésus lui est apparu, dans le froid.
Et elle est venue, en courant à la maison, vers minuit, elle et Billy,
après leur mariage. Et ils... à côté d'eux, j'ai mis mon bras autour
d'elle et je l'ai conduite au Seigneur Jésus.
22 Elle désirait tellement avoir des bébés. Ils
étaient mariés depuis plusieurs années. Et en venant de Yakima, un
jour, elle pleurait. Cela avait été... le Saint-Esprit est venu et lui
a dit quel trouble féminin elle avait eu, lui a dit la raison pour
laquelle elle ne pouvait avoir de bébé. Alors le Saint-Esprit est
revenu à nouveau, a maudit ce trouble féminin et lui a donné la
bénédiction. Je viens de le consacrer maintenant. Il y a...
23 J'ai quelques petites choses écrites ici que je
veux dire premièrement, avant que nous lisions ce texte. D'abord, pour
les réunions futures, je l'ai écrit. C'est Dimanche prochain, le
Seigneur voulant. Je sais qu'il commence à faire glissant et mauvais
sur les routes.
24 Et nous avons des gens ici qui viennent de
Georgie, et d'Alabama, et de Floride, et de l'Ohio, et de l'Illinois.
Et--et ce petit groupe de personnes vient de partout.
25 Certaines personnes me disent: «Je suis passé par
ton église là-bas, Billy, certains matins. Il y a des immatriculations
de partout dans le pays.»
Je dis: «Oui.»
26 Un ici et un là, c'est ainsi, je pense, que sera
l'Épouse. «Deux dans un champ; et Je prendrai l'un et laisserai
l'autre» et ainsi de suite. Et je--je ne veux pas que les gens roulent
sur ces routes verglacées.
27 Et je sais aussi que juste après Noël, je--je
partirai en mission, le Seigneur voulant. J'ai environ quinze réunions
différentes maintenant, qui sont organisées.
28 Et je veux annoncer, Dimanche prochain, le
Seigneur voulant, je désire enseigner un Message exceptionnel, selon
moi. J'ai étudié, cette semaine et la semaine avant, l'histoire de la
Bible. Et je veux parler sur le sujet de «La Chrétienté contre le
Paganisme» ainsi, ou «L'idolâtrie», Dimanche prochain.
29 Et alors, le Dimanche suivant est la veille de
Noël, Dimanche prochain; et Dimanche, dans quinze jours, je veux dire,
pardonnez-moi. Dimanche, dans une semaine, est la veille de Noël.
Maintenant je donnerai un Message, et ceux-là, quelques-uns de mes
chers amis viennent d'Alabama et du Mississippi et de Georgie, et des
environs, les petits enfants seront certainement déçus la nuit de Noël.
Et si le Seigneur met sur mon coeur d'apporter le Message de Noël à
l'église, je le ferai alors, Dieu voulant; je le promets à tous ceux
qui viennent de l'extérieur de la ville, voyez-vous, je vous enverrai
la bande moi-même, voyez-vous. Ainsi vous ne devrez pas abandonner vos
petits la nuit de Noël, le soir de la veillée de Noël. Et alors, je
vous enverrai la bande, avec mes compliments de la réunion.
Souvenez-vous simplement de cela.
30 Autre chose, vous savez, vous--vous ne pouvez pas
vous attendre à ce que tout le monde croie tout ce que vous dites. Cela
ne--cela ne va simplement pas comme cela.
31 J'ai oublié ce matin, en me dépêchant pour venir
ici... J'ai regardé... Frère Wood a conduit ma femme avec eux. Je
regardais et c'était pratiquement l'heure de commencer le service ici,
et pour moi l'heure d'entrer. Et ils m'ont dit, Billy m'a appelé la
nuit dernière, et m'a dit qu'ils désiraient que je sois ici ce matin,
pour écouter ce compte rendu de la dernière réunion.
32 J'allais raconter l'histoire, juste pour essayer
de renforcer quelque chose que j'avais dit. Peu importe combien vous
essayez de le rendre clair, il y a toujours quelqu'un qui ne le saisit
pas. C'est à propos des autels dans les églises. Voyez-vous? Quelqu'un
a dit: «Frère Branham ne croit pas à un autel dans une église.»
Je crois au fait d'avoir un autel à l'église.
Voyez-vous? Mais les autels ne sont pas l'endroit où les gens viennent
prier. Il n'y a jamais eu un appel à l'autel à un moment quelconque
dans la Bible. Il n'y a pas une telle chose.
33 Et je veux vous en parler, je le ferai Dimanche
prochain, dans l'histoire de l'église primitive, la raison pour
laquelle il n'y avait pas d'autels dans l'église. Parce que, se
prosterner à un autel est une forme païenne d'adoration, et n'est pas
une idée chrétienne du tout. Maintenant, je parlerai de cela,
également, Dimanche prochain. Mais il n'y avait pas d'autels dans
l'église primitive, pour faire des appels à l'autel. Il n'y avait rien
d'autre qu'une pièce vide. C'est tout. Pas de crucifix, rien, rien dans
la pièce qu'un sol plat. Les gens étaient l'Église pentecôtiste des
premiers jours, comme je vous en parlerai, selon de nombreux historiens
différents, Dimanche prochain, Dieu voulant.
Et je veux vous l'apporter de «Les Premiers Pèlerins
de l'Église» [«Early Pilgrim Church» – N.D.T.] de chez Ironside, et de
«Les Deux Babylones» de chez Hislop, des «Pères pré-Nicéens», du
«Concile de Nicée», oh! beaucoup d'entre eux, les écrits de Hazeltine
de l'église primitive, et d'autres, voyez-vous. Pour vous montrer que
nulle part...
34 Même en Irlande où j'ai visité l'église, là où les
catholiques invoquent un saint catholique, Saint Patrick, mais il n'y a
nulle part dans l'histoire la moindre trace qui nous parle de cela. Ce
Saint Patrick n'était rien d'autre que quelqu'un qui protestait contre
l'église romaine. Il n'y a aucune trace. Personne ne peut produire
aucune histoire qui montre qu'il était catholique. Lui et toutes ses
écoles étaient en Irlande du Nord. Alors, quand cet empereur catholique
est venu en Angleterre, il a mis à mort dix mille des gens de saint
Patrick. L'église se trouve toujours là aujourd'hui, ses écoles, en
Angleterre du Nord.
35 Et quand vous les entendez dire: «Saint Patrick a
fait sortir tous les serpents d'Irlande.»
Savez-vous ce qu'étaient les faits historiques? Il
croyait à la Pentecôte, qu'ils avaient la Puissance pour prendre des
serpents. C'est la raison pour laquelle cela est dit, cela a démarré.
36 Et la crucifixion de Pierre, la tête en bas, à
Rome, ce n'est pas dans le martyrologe. J'ai cherché partout et lu les
historiens, tout ce que je sais, c'est qu'il n'y a aucune Écriture qui
dit que Paul ou Pierre a été tué à Rome. Ce sont des dogmes. Cela a
commencé avec la première église romaine et ce n'est pas la Vérité. Il
y a beaucoup de choses ainsi. J'aborderai ce sujet Dimanche prochain.
37 Autre chose, ensuite, dont j'ai beaucoup entendu
parler. Quelqu'un m'a dit, un prédicateur remarquable: «Frère Branham,
pourquoi ne laissez-vous pas les femmes tranquilles?» Il disait: «Vous
savez, les gens vous considèrent comme un prophète. Pourquoi ne leur
enseignez-vous pas des choses spirituelles élevées?»
Cet homme est peut-être assis ici. S'il est là, je
veux que vous sachiez ceci, Frère. «Pourquoi ne leur enseignez-vous pas
des choses spirituelles élevées, là où vous grimpez, et, ne les
faites-vous pas grimper là, au lieu de leur dire de ne pas se couper
les cheveux, et le genre de robes qu'elles doivent porter?»
38 Si vous êtes ici, ou si vous écoutez la bande,
frère... Si je ne peux les sortir du jardin d'enfants, comment vais-je
leur apprendre l'algèbre? Elles n'ont pas la décence et la moralité en
ce qui les concerne, pour laisser pousser leurs cheveux et porter des
robes comme des dames, comment allez-vous leur enseigner des choses
spirituelles? Voyez-vous? C'est exact. Elles ne connaissent pas les
rudiments, elles ne connaissent pas l'ABC. Et essayer de leur enseigner
quelque chose d'élevé, leur donner une instruction universitaire quand
elles ne connaissent pas l'ABC? Laissez-les apprendre l'ABC d'abord, et
alors nous--nous irons vers cela.
39 Maintenant, la semaine dernière, un grand homme a
pris ma place ici à la chaire. C'était Frère William Booth-Clibborn,
qui est connu parmi tous les prédicateurs pour être le prince des
prédicateurs; un grand homme, grand, grand prédicateur. Honnêtement,
c'est l'un des meilleurs qu'il y ait dans le pays, n'importe où. Cet
homme peut prêcher l'Évangile dans sept langues différentes, ainsi vous
pouvez imaginer ce qu'il est. Et il est un prédicateur du plein
Évangile.
40 Il était celui qui était resté avec moi dans ce
débat, avec ces sept prédicateurs de l'Église de Christ, cette fois-là.
Et si jamais j'ai été attristé pour quelqu'un, c'était bien pour eux,
après qu'il ait parlé avec eux. Je n'ai jamais rien entendu de tel dans
ma vie. Ils se sont même levés et ont commencé à partir. Il les
rencontra à la porte et leur dit: «Je pensais que vous vouliez parler
de la guérison divine?»
41 Et il est si plat, rude, si terriblement plat. Il
les a appelés de tout ce qu'il pouvait, d'ignares et tout, vous savez.
Ainsi, il est réellement plat, et c'est la seule chose à son sujet.
S'il assaisonnait cette connaissance avec un peu d'amour, cela serait
différent, vous voyez. Et il est peut-être ici. Oui, mais je pense ce
que je dis, vous savez, comme cela, s'il voulait être réellement doux à
ce sujet. Mais, oh! c'est un Anglais, et il ne peut simplement pas être
remué comme cela.
42 Mais il les a rencontrés à la porte et les a
pointés du doigt et a dit: «Si vous vous attaquez encore à lui»,
(c'était moi), il dit: «Je vous exposerai en public et je ferai de vous
une bande d'ânes.» dit-il.
Et je n'ai plus jamais entendu parler d'eux, voyez.
Oui, je ne les blâme pas. Je resterais à l'écart, également. Hein-hein.
Oui, parce que vous ne pourrez jamais dire un mot de travers, avec
Frère Booth.
43 Un merveilleux prédicateur, un homme bien, un bon
Chrétien, propre, un homme moral, pour autant que je sache, l'ayant
connu pendant des années. J'ai entendu sa bande, ce qu'il a prêché ici,
au sujet du Dieu saint et élevé, et comment nous étions nés dans le
péché; et ce qu'un homme pourrait faire pour se comporter avec Dieu.
Voyez-vous? Et c'était vraiment merveilleux.
44 Maintenant, la raison pour laquelle j'étais absent
à ce moment-là, c'est que j'avais eu une semaine de jeûne et de prière,
qui m'avait conduit à prendre une décision.
45 Et j'ai un petit interrupteur ici, il doit être
quelque part ici, pour censurer, censurer ce que je ne désirais pas.
Nous y voici. C'est ceci. Ce que je veux sur la bande, et ce que vous
ne voulez pas sur la bande. Ainsi, Frères, si votre bande est un peu
gâchée, eh bien ne... Vous pouvez enlever cette partie. Maintenant,
mais là, de cette façon, quand beaucoup enregistraient, quand Frère
Mercier et les autres étaient les seuls qui pouvaient enregistrer, je
devais censurer avant qu'ils ne diffusent les bandes. Mais maintenant,
n'importe qui peut enregistrer, maintenant quiconque veut, peut le
faire. Et ainsi, je dois censurer moi-même, avec ce petit interrupteur
ici, ce que je ne veux pas dire, ce que je ne veux pas laisser aller
sur les bandes.
46 Car, il y a des choses que je peux vous dire à
tous ici, que je ne voudrais certainement pas voir sortir à
l'extérieur. Ainsi, laissez-les tranquilles. Si l'aveugle conduit
l'aveugle, ils tomberont tous deux dans le fossé, de toute façon,
voyez-vous? Ainsi, ne les offensez pas. Comme Jésus a dit: «N'offensez
pas les Pharisiens.» Il dit: «S'ils désirent quelque chose, s'ils
désirent un tribut, descendez et jetez l'hameçon à la mer, prenez le
premier poisson et prenez la pièce de sa bouche, et payez-les.» Il a
dit: «Ne les offensez pas, laissez-les simplement tranquilles.»
47 Mais, de toute ma vie, depuis que je suis un petit
garçon, j'ai... Le Seigneur m'a toujours donné des visions, qui se
rapportaient avec l'église ici, et j'en suis sûr avec les pays où ces
bandes voyageront, des visions. Et avec cette Bible ouverte devant moi,
et devant Dieu, devant Qui je me tiens, je n'en ai jamais vu une
faillir. Elles ont toujours été parfaites.
48 Et j'ai eu une vision il y a quelques semaines, il
y aura trois semaines mardi prochain, qui m'a amené sur les genoux, et
dehors dans le désert, pour jeûner et prier. Et j'avais mis (étant
donné qu'il fait froid) des sous-vêtements bien isolants, ceux que
j'utilise dans mes voyages de chasse, afin que je ne gèle pas, là dans
ma caverne et dans les bois. Et je suis parti...
49 Quelqu'un m'a dit: «Frère Branham, êtes-vous monté
pour chercher? Vous auriez dû monter pour chercher une vision du
Seigneur.»
50 J'ai dit: «Non, vous n'allez pas... On ne peut pas
le faire de cette manière. Vous ne pouvez rien tirer de Dieu.»
51 Voyez-vous, c'est la raison pour laquelle les gens
continuent à dire, aux entrevues: «Demandez au Seigneur. Restez avec
cela! Restez simplement avec cela!»
52 J'avais un mot du Seigneur à apporter au Frère
Neville, au sujet de prophétiser sur tous ceux qui viennent à l'autel
ici. Dieu lui a parlé, l'a réellement appelé à ce sujet, voyez. Ne
faites pas cela, cela va devenir charnel et alors vous aurez un faux
prophète. Voyez? Laissez-le simplement faire comme l'Esprit le conduit.
Voyez?
53 Ne faites pas, n'essayez pas de tirer quoi que ce
soit de Dieu, parce que vous ne pouvez pas le faire. Il parlera
seulement... comme Balaam, le prophète mercenaire, disait: «Je ne puis
dire que ce que Dieu met dans ma bouche. Autrement, je ne puis le dire.»
54 Et c'est la même chose, j'aime ce système qu'ils
ont maintenant, afin que je puisse découvrir exactement ce que le
Seigneur aurait fait. C'est très bien.
55 Mais Jésus est allé au désert, pour jeûner, après
que le Saint-Esprit soit venu sur Lui. Jean en a rendu le témoignage,
il a vu l'Esprit de Dieu venir sur Lui. Et Il fut rempli de la
Puissance de Dieu, Dieu en Lui. Et ensuite Il est allé dans le désert
pour jeûner, après cela; pas avant afin que le Saint-Esprit descende
sur Lui, mais Il est allé jeûner après que le Saint-Esprit soit
descendu sur Lui. Voyez?
56 Et maintenant, dans la vision, je pourrais dire
ceci. Je l'ai mentionné une fois. J'allais l'effacer de la bande, mais
je pense que je vais simplement le laisser. Je...
57 Il était environ trois heures du matin, je pense.
Je m'étais levé et je regardais devant moi, et j'arrivais au Jourdain.
C'est comme si je me trouvais sur la carte de Palestine, et j'arrivais
au Jourdain. Et il semblait que je pouvais entendre le chant «Je
descends au Jourdain», quelqu'un était en train de le chanter. Et comme
je m'approchais de la rivière, je me suis retourné et j'ai vu par quel
chemin j'étais venu, et j'étais aux deux tiers de la route, vers le
Jourdain. Je regardais au-delà du Jourdain, et je dis: «Oh! gloire à
Dieu, juste de l'autre côté, là se trouvent toutes les promesses!
Chaque promesse se trouve dans le Pays promis.»
58 Alors je suis revenu à moi, et j'ai pensé:
«Puis-je vraiment avoir... se pourrait-il que j'ai rêvé, car c'est la
nuit?» Voyez-vous, une vision est quelque chose que vous voyez avec les
yeux ouverts, juste comme un rêve, vous regardez directement cela. Et
vous êtes conscient que vous vous trouvez sur une estrade, et vous vous
trouvez là et cependant, c'est comme si vous étiez dans un rêve. Vous
ne pouvez expliquer cela, il n'y a aucune façon de le faire.
Voyez-vous, ce sont les oeuvres de Dieu. Et les voies de Dieu sont
inexplicables, elles doivent être acceptées par la foi.
59 Et alors, comme j'étais assis là, sur le bord de
cette chaise, alors, tout à coup, la voici qui revient. Alors, je
savais que c'était une vision. Alors, comme j'entrais à nouveau dans la
vision, il semblait que j'étais élevé de terre, me trouvant sur une
route principale, une route principale étroite, avec un frère... un
frère. Je n'ai jamais su qui était ce frère. Je regardais autour de moi
et j'ai dit: «Maintenant, je suis sûr et je sais que ceci est une
vision, le Seigneur Dieu est ici.» Et il semblait que tout le monde
était effrayé. J'ai dit: «De quoi tout le monde a-t-il tellement peur?»
60 Une voix est venue et a dit: «Il y a un tel danger
en ces jours. C'est une grande chose hideuse que la mort, quand elle
vous frappe.»
61 Et j'entendais les herbes bouger et je regardais,
et voici un énorme monstre de serpent qui rampait dans l'herbe. Je
pensais: «Maintenant, sachant que ceci est une vision, alors je vais
voir ce qu'est cet animal ou cette bête.» Et il rampait sur la route
principale. Et dès que je l'ai vu, j'ai su que c'était un mamba.
Maintenant, le mamba est un serpent africain, dont la morsure est la
plus mortelle de toutes. Il n'y a pas pire poison que celui d'un mamba.
Et le serpent, bien entendu, représente le péché, la mort. Voyez? Et
voici le... nous avons dans ce pays le serpent à sonnettes, et le
mocassin [copperhead, litt. tête cuivrée. – N.D.T.] et le mocassin
«cottonmouth» [litt. bouche de coton.] beaucoup de ces serpents, qui,
si vous êtes en mauvaise santé et si l'un venait à vous mordre, cela
vous tuerait peut-être, à moins de recevoir directement de l'aide.
62 Et alors, nous allons en Afrique et en Inde, et
nous trouvons le cobra. Il y a le cobra noir; c'est un serpent
dangereux, une morsure mortelle également. Et il y a le cobra jaune,
qui est encore bien au-delà. Et avec le cobra jaune, la victime meurt
d'une telle mort horrible, il meurt par suffocation. Cela paralyse le
système respiratoire. Et ils, ils ne peuvent respirer, ils ouvrent
simplement la bouche et aspirent, ils essaient de le faire, et ils
meurent comme cela. Et c'était ce type de serpent qui a été à un «coup
de langue» d'attraper Billy Paul, quand nous avons attrapé le serpent,
en Afrique.
63 Et ensuite vient le mamba, il est la mort. Juste
quand il... il est si rapide que vous ne pouvez le voir. Il avance sur
le sommet des herbes et se propulse avec l'arrière de la queue.
Juste... et il est parti! Il vous frappe dans la figure,
habituellement. Il se tient haut et frappe fort. Et quand il vous
frappe, il vous reste quelques respirations, jusqu'à ce que vous soyez
fini. Il ne vous paralyse pas seulement, cela va dans le sang, les
nerfs, tout, vous mourez en quelques secondes. Ces garçons indigènes et
les garçons de piste, vous dites: «Mamba», et ils se frappent la tête
en criant, car c'est la mort en quelques secondes, voyez-vous, quand
l'un vous frappe.
64 Et il était ici, sur la route principale. Je
pensais: «Eh bien! le voici.» Ainsi, je le regardais. Et il me
regardait méchamment; il passait la langue et le voici. Mais quand il
est arrivé tout près de moi... il courait vite et alors, il
s'approchait de plus en plus lentement, et puis il a tremblé et s'est
arrêté. Quelque chose le retenait. Il ne pouvait me mordre. Il a fait
le tour de l'autre côté et a essayé de s'approcher de ce côté-là. Il a
reculé et a pris un départ à nouveau, et il a foncé sur moi, il a
ralenti de plus en plus et s'est arrêté et ensuite il tremblait comme
cela et reculait. Il ne pouvait me frapper.
65 Alors il s'est tourné et a regardé mon ami, et en
avant il a poursuivi mon ami. Et le serpent a vu mon ami sauter en
l'air, essayant de lui échapper, et cette chose essayait de le frapper.
Je pensais: «Oh! si jamais cela le touche, ce sera la mort instantanée.
Pas étonnant que tout le monde soit si effrayé, car quand cette chose
vous frappe, c'est la mort instantanée.» Et il essayait de le frapper
comme cela, et je lançais mes mains en l'air et je disais: «Ô Dieu, aie
pitié de mon frère!» J'ai dit: «Si ce serpent le frappe, cela le tuera.»
66 Et juste alors, le serpent s'est tourné vers moi,
quand j'ai dit cela, et m'a regardé à nouveau. Et une Voix est
descendue d'en haut et a dit: «Il t'a été donné le pouvoir de le lier,
le pire, ou quoi que ce soit.»
Et j'ai dit: «Eh bien! Dieu, que dois-je faire?»
67 Il a dit: «Il y a une chose que tu dois faire, tu
dois être plus sincère.» Voyez, «Tu dois être plus sincère.»
68 J'ai dit: «Eh bien! Dieu, pardonne-moi pour mon
manque de sincérité, et laisse-moi avoir de la sincérité.» Et quand
j'ai levé à nouveau mes mains vers Lui, quelque Chose de grand est venu
sur moi, m'a élevé, il semblait que mon corps entier était chargé de
quelque Chose.
69 Et j'ai regardé le serpent. Et alors il s'est
dirigé vers moi, mais il ne pouvait pas s'avancer. Et j'ai dit: «Satan,
dans le Nom du Seigneur Jésus-Christ, je te lie.» Et du serpent, une
fumée bleue s'est échappée du serpent, et il s'est enroulé et a fait ce
signe comme un S, un S majuscule fait à l'envers, un signe 'et'. 'Et'
signifie «lie celui-ci ou quoi que ce soit en dessous de lui» car il
était le pire. De la fumée bleue s'est échappée de lui et sa queue l'a
étranglé lui-même à la tête, quand il a fait ce S à l'envers, ce signe
«et» comme une conjonction, vous voyez, il s'est étranglé à mort. Et le
Frère était libre.
70 Et je suis allé dessus et je l'ai écrasé. J'ai
dit: «Maintenant, je dois trouver ce qu'il y a à ce sujet, parce que
c'est une vision.» Et j'ai frappé la--la chose, et elle s'est
transformée ainsi, cela ressemblait à l'anse, l'anse de verre sur une
cruche, et cela s'est transformé en cristal solide. Et j'ai dit:
«Pensez à cela, avec quelle vitesse! Cette fumée bleue était la vie. Et
tout l'avait quitté, tous les éléments, et cela s'est transformé en
verre.»
71 Et alors une Voix est venue à nouveau et a dit:
«Tu peux le délier également.»
72 Ainsi, j'ai dit: «Alors, Satan, afin que je puisse
savoir, je te délie.» Et quand cela est arrivé, il a commencé à revenir
à la vie en se tortillant. Et j'ai dit: «Je te lie à nouveau, dans le
Nom de Jésus-Christ.» Et quand cela est arrivé, la fumée s'est échappée
à nouveau de lui, et il s'est étouffé lui-même à nouveau et s'est
transformé en cristal.
73 Et quand il a fait cela, cette Voix a dit:
«Maintenant, tu dois être plus sincère que tu ne l'es pour faire cela.»
Alors, cela m'a quitté et je me suis retrouvé dans la pièce.
74 Quelques instants après, j'ai entendu un réveil
sonner, et ma femme avait... s'était levée. Les enfants, vous savez
comment ça va, je suppose, à la maison, l'un dit: «Que vais-je mettre
aujourd'hui, maman? Où, où sont mes livres? Qu'est-ce que j'en ai
fait?» Vous savez. Vous, juste comme dans n'importe quelle maison, vous
pouvez à peine entendre vos pensées, car ils essaient tous de se
préparer au dernier moment.
75 Et je me suis glissé dans le cabinet de travail,
je me suis mis à genoux et j'ai dit: «Seigneur Jésus, je ne sais pas ce
que ces choses veulent dire. Que dois-je faire? Et les enfants vont
m'appeler pour les conduire à l'école dans quelques minutes. Que dois
je faire?» Et je regardais aux alentours et ma Bible se trouvait là, et
j'ai dit: «Seigneur, si Tu veux me pardonner...» Je ne crois pas au
fait d'ouvrir simplement les Écritures et prendre quelque chose de la
Bible et dire cela, mais parfois Dieu peut vous réconforter par une
telle chose. Et j'ai dit: «Seigneur, dans ce cas d'urgence, maintenant
même, avant que Ton Esprit ne me quitte. Et je, je ne sais que faire.
Il faudra une heure avant que les enfants ne soient partis. Veux-Tu
simplement me montrer? Si c'était quelque chose que Tu essayais de me
dire, Père Céleste, alors fais-le moi savoir.»
76 Et j'ai pris cette Bible et l'ai ouverte comme
cela, et mon pouce se trouvait sur 1 Corinthiens, le cinquième
chapitre, le huitième verset, où cela commence comme ceci: «Quand tu
viens...» J'avais l'intention de démarrer un jeûne, pour le Seigneur.
Je Lui dis que j'allais sortir et jeûner. Cela disait: «Quand tu viens
à cette fête...» Car un jeûne pour le corps est une fête avec le
Seigneur. Nous savons cela. «Ainsi, quand tu viens à cette fête, ne
viens pas avec le vieux levain ou le levain de malice, et ainsi de
suite; mais viens avec le pain sans levain de sincérité et de vérité,»
exactement ce qu'Il m'avait dit dans la vision. «Viens...» Dieu est mon
Juge solennel. «Viens avec le pain sans levain de sincérité et de
Vérité.» C'est la Parole. Alors, j'ai vu ce qu'Il voulait dire.
77 Il y a des années, quand j'ai vu la Bible
descendre, je l'ai écrit ici, descendre; et une main est venue du Ciel
et a montré Josué, et a lu les neuf premiers versets et s'est arrêtée
là. C'est Josué, venu au désert, mais il n'a jamais... Il était prêt
à... Quand il s'est approché du Jourdain, Dieu l'a appelé à l'extérieur
et a dit: «Aujourd'hui, je commencerai à te magnifier devant le
peuple.» Et alors, il a fait passer les enfants d'Israël à travers le
Jourdain, le pays où... Il le leur a donné, l'a divisé, le pays promis.
78 Et je suis allé dans les bois, et j'ai prié, prié
et jeûné. Eh bien! je suis retourné à cet arbre où j'avais rencontré,
où étaient ces écureuils, ceux dont vous avez entendu parler dans
d'autres messages, voyez-vous, où ces écureuils étaient. Et, je me
trouvais là, vers trois ou quatre heures du matin, après m'être frayé
un chemin à travers la broussaille avec le peu de lumière que j'avais
pour voir, pour arriver à l'arbre. J'étais venu tôt, car j'avais été
conduit là. Et alors je L'ai rencontré! Que Dieu m'aide à vivre
toujours fidèle!
79 Je vais lire mon texte maintenant. J'ai pris comme
texte ce matin, je l'ai écrit ici quelque part, (oh! le voici), Josué,
dans le livre de Josué, le dixième chapitre (pour vous qui allez lire
après moi) le dixième chapitre et le verset 12. Et j'ai juste une
heure.
80 Et alors, je pense, je ne suis pas sûr, mais je
crois que Billy a dit qu'il avait donné des cartes de prière ce matin,
il a dit: «Il n'y en avait pas beaucoup, mais quelques personnes
désiraient que l'on prie pour elles.» Et, quiconque a des cartes de
prière, levez votre main maintenant. Bien. Eh bien! O.K.! c'est bien.
Très bien. Maintenant, le douzième verset du dixième chapitre de Josué.
81 Et maintenant, souvenez-vous, dans l'avenir,
Dimanche prochain, je désire parler sur «La Chrétienté contre
l'idolâtrie». Et alors, je vous dirai, en partant de là, à savoir si le
Seigneur me conduit pour le message de Noël, ou pas. Il semble que j'ai
un message sur mon coeur pour les gens, à Noël. Et alors je vous le
dirai, à partir de là.
82 Maintenant, commençons à lire le douzième verset
du dixième chapitre de Josué:
Alors Josué parla à l'Éternel, le jour où l'Éternel
livra les Amoréens aux Israélites, et il dit en présence d'Israël:
«Soleil, tiens-toi immobile sur Gabaon, et toi, lune sur la vallée
d'Ajalon.»
Et le soleil se tint immobile, et la lune s'arrêta.
Jusqu'à ce que la nation eût tiré vengeance de ses ennemis.
Cela n'est-il pas écrit dans le livre de Josué? Le
soleil s'arrêta au milieu du ciel et ne se hâta point de se coucher
presque tout un jour. (Écoutez maintenant.)
Il n'y a pas eu un jour comme celui-là, ni avant ni
après, où l'Éternel ait écouté la voix d'un homme; car l'Éternel
combattait pour Israël. Et Josué et tout Israël avec lui, retourna au
camp à Guilgal.
83 Puisse Dieu ajouter Ses bénédictions à Sa Parole.
Maintenant, je souhaiterais, si c'est la volonté du Seigneur, que vous
vous attardiez quelques minutes avec moi. Je désire prendre un sujet
étrange, bizarre, ayant lu une telle Écriture. Je désire votre
attention, et votre prière pendant ce temps. Je désire prendre le
sujet, en un seul mot: «Paradoxe».
84 Et premièrement, j'aimerais expliquer peut-être ce
qu'est un paradoxe. Dans le dictionnaire Webster, il est dit qu'un
'paradoxe' signifie «quelque chose qui est incroyable mais vrai.» C'est
un paradoxe. Quelque chose qui est pratiquement hors de la raison, qui
ne pourrait pas être, mais qui est néanmoins, c'est un paradoxe.
Maintenant, je désire rester quelques minutes sur ces mots: un paradoxe.
85 Maintenant, il y a beaucoup de choses auxquelles
nous pourrions nous référer comme étant des paradoxes. Une chose à
laquelle j'aimerais me référer, c'est ce monde lui-même, qui est un
paradoxe. Le fait qu'il se tienne comme cela est un paradoxe.
86 Hier soir, je parlais à ma fille Rebekah qui est à
l'école secondaire. Et j'étudiais ici dans l'Écriture, et je lui disais
de lire ici, de cette façon. Et elle a dit: «Papa, Josué a en fait
arrêté le monde, n'est-ce pas?»
Je dis: «Je ne sais pas ce qu'il a arrêté. Il a
arrêté le soleil.»
87 Elle a dit: «Il n'a pas pu arrêter le soleil,
parce que le soleil ne voyage pas.»
88 J'ai dit: «Son éclat voyage à travers la terre
cependant, et il a arrêté cela.»
Elle a dit: «Eh bien! alors Dieu a arrêté le monde.»
89 J'ai dit: «Alors, pour un agnostique, que se
passerait-il si le monde arrivait à s'arrêter et perdre sa gravitation?
Cela filerait à travers l'espace comme une, une étoile, et des
projectiles en tomberaient pendant des millions d'années dans l'espace.»
90 Mais la Bible dit: «Le soleil s'arrêta, et garda
sa place pendant un jour entier.» Je le crois. Je le crois. Ce n'est
pas raisonnable et c'est incroyable, mais c'est la Vérité.
91 Je t'en prie, dis-moi alors, quel est le sommet du
monde, le pôle nord ou le pôle sud? Comment sais-tu si tu es dans
l'espace? Tu dis: «Le pôle sud est en dessous de nous.»
Ils pensent que le pôle nord est en dessous d'eux.
Voyez?
92 Cela se trouve dans l'espace, dans un petit cercle
d'air, et cela tourne à quelque mille kilomètres heure, ou quelque
chose comme cela. Car elle fait vingt-quatre ou vingt-cinq mille
kilomètres de circonférence, et elle tourne en vingt-quatre heures,
ainsi cela fait mille kilomètres à l'heure pour faire le tour. Et cela
ne manque jamais, en coïncidant exactement. Là où, là où est
l'équateur, tout autour, il ne manque jamais une minute; réglée
parfaitement, se trouvant en l'air. Si ce n'est pas un paradoxe, je ne
sais pas ce qui en est un. Comment les systèmes célestes sont si
parfaitement réglés, de façon telle que dans les années à venir, dans
vingt ou trente ans, la science peut voir à l'avance une éclipse du
soleil et de la lune. Et ils peuvent vous dire le moment où cela
arrivera, et quand l'éclipse commencera.
93 Peu importe la montre formidable que nous avons,
avec une précision... J'en ai une ici qui m'a été donnée en Suisse,
comme cadeau, quand j'étais là-bas. La valeur est d'environ trois cents
dollars, en monnaie américaine. Cela m'a été donné. Il ne se passe pas
une semaine sans qu'il faille la remettre à l'heure; toutes les
horloges, rien de ce que l'homme fait ne peut être aussi parfait. Elle
sera... dans quelques années, elle sera usée et finie. Et comme elle
vieillit, cela empire tout le temps. Les rubis vont s'user. La
précision va la quitter. Il n'y a rien qui puisse être fondé ou établi
par l'homme, ou affiné par l'homme, qui puisse rester parfait.
94 Mais ce monde reste parfait! Qu'est-ce qui le
contrôle? «Bien,» vous direz, «je ne sais pas ce qui le contrôle, ce
qui le tient en place.»
C'est véritablement un paradoxe. C'est, vous ne
pouvez décrire comment Dieu le fait, mais Il le fait. Ainsi, c'est la
chose essentielle, qu'Il le fasse. Et nous savons que c'est ainsi.
95 C'est incroyable, vous pourriez faire tournoyer
une balle en l'air, mais elle ne fera pas une complète révolution à la
même place.
96 Je pensais, ici il y a quelque temps, quand
j'étais dans le désert. Et l'un de ces cactus sauteurs, dont les acides
vous attaquent directement le sang, l'un de ceux-là a sauté sur moi. Et
vous ne pouvez l'enlever avec les doigts, vous devez prendre quelque
chose et le racler. Cela a de petites barbes. Peu importe combien vous
pourriez aiguiser une aiguille, elle sera émoussée au bout; la pointe
d'une aiguille, aussi parfaite que possible, sera émoussée sur l'un de
ces cactus sauteurs. Et cependant c'est une feuille, elle-même roulée
serrée. Comment cela se peut-il que la nature roule une feuille de
façon plus serrée et plus aiguisée, avec la pointe telle qu'aucune
machine excellente ne pourrait en affûter? Et cependant, au bout de
cette pointe, il y a des barbes, comme des petits crochets de pêche,
comme cela, de petites barbes pour la tenir et s'accrocher quand cela
entre. Oh! un paradoxe, pour la science. C'est incroyable, mais c'est
vrai.
97 J'aimerais que quelqu'un puisse m'expliquer ceci.
Je ne pourrais pas vous dire combien de kilomètres exactement, ou de
combien de kilomètres la science dit que la lune est éloignée de la
terre. Mais comment se fait-il que cette lune, je dirais, se trouvant à
des millions de kilomètres de la terre, puisse cependant contrôler les
marées de la mer. Qui fait cela? Comment cela peut-il se faire? C'est
un paradoxe, mais cependant nous voyons que cela se fait. Cela arrive.
La lune contrôle les marées. Quand la lune s'éloigne comme ceci de la
terre, la marée va avec elle. Et Dieu a mis la lune au-dessus des
marées et a fixé les limites. Et elles ne peuvent dépasser ces limites
que Dieu a fixées d'une ligne en disant: «Vous pouvez venir jusqu'ici,
mais vous ne pouvez prendre le reste de cela, car J'ai posé ma garde
sur vous.»
98 Cette lune, à des millions de kilomètres de la
terre, commande à la mer, et elle établit ses limites et la contrôle.
Incroyable! Qu'y a-t-il sur cette lune? Eh bien! à peine à quelques
kilomètres de la terre, toute gravitation, tout air, toute autre chose,
quittent, vont dans l'espace où il n'y a même pas d'air pendant des
millions et des millions multiplié par des millions de kilomètres. Et
cependant, la contrôle! Elle dit: «Vous pouvez aller à telle distance,
mais vous ne pouvez aller plus loin, car je suis la garde de Dieu. Je
suis le chien de garde qui est assis ici, et vous ne pouvez passer
cette limite.» Expliquez cela. C'est un paradoxe, comment Dieu fait
cela, mais cependant, Il le fait. Cela ne peut être expliqué.
99 Nous avons l'hiver, la neige sur le sol, le froid,
le sol est gelé. Une petite semence, et dans cette petite semence un
germe de vie, et cette petite semence va geler et éclater, et la pulpe
va s'écouler. Et ce germe de vie sera dans la poussière, et gelé par
une couche de glace qui tuerait toute vie. Comment est-il préservé, et
sort à nouveau au printemps? Nous ne pourrions expliquer cela, n'est-ce
pas? C'est un paradoxe.
100 Nous prenons le Livre des Hébreux, le onzième
chapitre, et le troisième verset, nous comprenons là que la Bible dit,
Paul disant que «Le monde a été formé et assemblé par la Parole de
Dieu», un paradoxe qu'une Parole soit prononcée et que de cette Parole
soient formées des choses matérielles. «De telle façon que les choses
qui se voient proviennent de choses qui ne sont pas visibles.» Les
choses que nous voyons étaient la Parole prononcée par Dieu. La terre
est la Parole de Dieu. Les arbres sont une Parole de Dieu. Pourquoi
aurions-nous peur de nous confier en Celui Qui a prononcé une telle
Parole, avec une telle Puissance et une telle autorité? Pourquoi
aurions-nous peur de prendre cette Parole pour nous-mêmes et
L'appliquer à nous-mêmes?
Cela montre où nous sommes tombés, dans
l'incrédulité. La Parole, la Parole de Dieu, un paradoxe! Vraiment un
paradoxe, la Parole de Dieu.
101 Également, j'aimerais montrer un paradoxe,
rapidement, et c'est lorsque Dieu a appelé Abraham et lui a parlé,
quand il avait cent ans; et Saraï en avait quatre-vingt-dix, quarante
ans après le temps de sa ménopause. Et Abraham, un homme éteint; et
Saraï, qui était stérile dès le départ, et son sein était tout aussi
mort. Et cependant Dieu leur dit qu'Il apporterait, à travers eux, un
enfant. C'est un paradoxe. Demandez au docteur si une femme de cent
ans, peut concevoir un enfant, avoir un enfant. C'est impossible, c'est
incroyable, mais elle l'a fait, parce que Dieu avait dit qu'elle le
ferait.
102 C'est une chose incroyable de penser qu'un homme
puisse s'asseoir le dos tourné à la tente, un étranger avec de la
poussière sur Ses vêtements, et dire à une femme, qui est là derrière,
dans la tente, ce qu'elle pense. Un paradoxe, incroyable, mais
cependant c'est vrai.
103 C'était incroyable lorsqu'Abraham a pris Isaac au
sommet de la montagne, son fils unique, et l'a emmené au sommet de la
montagne pour l'offrir en sacrifice. Et quand il est arrivé au sommet
de la montagne et a mis Isaac sur le bois, il était prêt à lui ôter la
vie. Et lorsqu'il a baissé la main, Quelque chose saisit sa main! Et il
y avait là un bélier pris par les cornes, dans le désert, au sommet de
la montagne. Un paradoxe! D'où venait le bélier? Comment pouvait-il se
trouver à cent cinquante kilomètres de la civilisation, sans être tué
par les lions et les chacals, et les chiens, et les bêtes et autres
choses? D'où venait-il? Comment est-il arrivé là, et au sommet de la
montagne où il n'y avait pas d'eau? Pourquoi n'y était-il pas quand il
a pris les roches? Il L'a appelé «Jéhovah-Jireh»: «Le Seigneur S'est
pourvu Lui-même un sacrifice.» Incroyable et cependant tellement vrai,
car Il est Jéhovah-Jireh. Des choses incroyables pour notre entendement
et notre science, mais cependant c'est vrai! Un grand paradoxe!
104 C'était un paradoxe et le sera quand Jésus, dans
Marc 11:22 et 23, quand Il disait:
Si vous dites à cette montagne: Déplace-toi de là et
si vous ne doutez pas dans votre coeur, mais si vous croyez que ce que
vous avez dit arrivera, vous pouvez avoir ce que vous avez dit.
C'est incroyable, mais c'est vrai. C'est là un
paradoxe.
105 Puis-je m'arrêter ici, pour dire que là-bas, dans
les bois, étant assis au bord de cet arbre, ce matin là, pas
d'écureuils dans les bois; mais lorsqu'une Voix parla et dit: «Dis où
ils seront!»
106 Et là, aidez-moi, si je meurs avant que j'aie
terminé ce message; pointant mon doigt vers un noyer au tronc nu, j'ai
dit: «Il sera assis juste là!», et il s'est trouvé là! Incroyable mais
vrai!
Il dit: «Où sera le suivant?»
107 J'ai dit: «Là bas, dans ce bouquet d'arbres.» Et
je n'ai jamais baissé mon doigt jusqu'à ce qu'il y soit! «Où sera le
suivant?»
108 «Sur cette souche, dans ce champ.» Et il s'est
trouvé là! C'est incroyable.
109 Je demandais à ma femme, l'autre matin. Je
disais: «Chérie, ai-je perdu mes sens? Suis-je en train de devenir fou?
Que se passe-t-il avec moi? Pourquoi est-ce que je dis les choses comme
je le fais? Pourquoi est-ce que je fais ces choses que je fais?
Qu'est-ce qui fait cela en moi?»
J'aime les gens, et cependant je les déchire. Et je
jeûne et je prie pour être quitte de cela; et plus je jeûne et je prie,
et plus cela empire. Incroyable, mais c'est vrai! C'est vrai.
110 J'ai vu une femme lever la main, juste alors, à
ce moment-là, à l'arrière du bâtiment, louant le Seigneur. C'était
Hattie Wright, assise là-bas. Elle avait deux garçons, s'ils veulent
m'excuser de dire ceci, deux renégats, des garçons du monde. Cette
petite dame était assise-là ce jour-là, une veuve. Et j'ai dit:
«Hattie, le Seigneur Dieu... tu as dit la chose juste. Il a pourvu pour
ces écureuils. Il est Jéhovah-Jireh.»
111 Elle a dit: «Ce n'est rien que la vérité de
Dieu!» Oh! elle a dit la chose juste! Cela semble incroyable qu'un être
humain puisse prononcer une parole...
112 Comme Frère Booth vous a dit. Sales et dégoûtants
comme nous sommes, Qui est-Il, se trouvant là, derrière la lune et les
étoiles et tout l'espace du temps et de l'Éternité? Comme Frère Booth
l'a dit, et j'ai lu la même chose l'autre jour, lisant Irénée, que même
les anges sont sales en Sa présence. Qui sommes-nous?
113 Mais une femme a dit la chose juste, qui a
interpellé le coeur de Jéhovah! Il m'a dit: «Demande-lui ce qu'elle
désire et ensuite donne-le lui.» Amen. Incroyable, mais vrai! Ici
maintenant et en notre présence nous avons la preuve visible, elle a
demandé pour l'âme de ses garçons, qu'ils deviennent Chrétiens. Dieu
lui a accordé selon son désir. Incroyable! C'était un miracle plus
grand que de guérir une personne malade. C'est changer la vie d'un
homme, son âme, corps et tout ce qu'il est. Cela a changé sa façon
d'être. Incroyable mais vrai! C'était un paradoxe. Nous le voyons
partout.
114 Un paradoxe au temps de Noé. Lorsque Noé, un
homme juste, un homme ordinaire, il est devenu un prophète, ou était un
prophète du Seigneur, peut-être un fermier. Dieu lui dit: «Prépare-toi
à ce qu'une pluie vienne du Ciel.» Alors qu'il n'y avait pas de pluie.
Il n'y avait jamais eu de pluie. Il n'y a pas moyen d'avoir de la pluie
là-haut. Il n'avait jamais plu sur Terre. Il n'y avait pas de mers, il
n'y avait pas d'eau, mais cependant Dieu lui avait dit de faire une
arche pour le Salut de sa maison. Et Dieu amena la pluie! C'était un
paradoxe. Non scientifique, mais quoi, c'était un paradoxe de toute
façon. Oui.
115 C'était un paradoxe quand les enfants Hébreux
avaient décidé de rester avec la Parole de Dieu, sans égard à ce qui
arrivait, que le roi avait fait chauffer la fournaise sept fois plus
fort qu'elle ne l'avait jamais été et jeta ces hommes là-dedans.
Lorsque la chaleur intense de la--de la fournaise tua les hommes qui
marchaient sur la passerelle avec eux, jusqu'à la bouche de la
fournaise, ils en sont morts. Mais cependant ces Hébreux ont marché
dans la fournaise pendant peut-être trois heures. Il n'aurait même pas
dû rester de la poussière de leurs corps, car la vie humaine qui était
en eux aurait péri. Si cela avait fait périr une vie humaine, en
s'approchant d'elle, qu'est-ce que cela ferait à une autre vie humaine?
Mais ils les jetèrent dedans, pendant, disons trois heures, cela a pu
être cinq.
116 Et ensuite, il a pu aller dîner et revenir, pour
dire: «Ouvrez la porte de la fournaise. Il ne restera même plus de la
poussière de ces gars!» Mais quand il a ouvert la porte, ils se
trouvaient là, sans mal, se promenant dans le feu. Incroyable mais
vrai! Pourquoi? Il dit: «Combien en avez-vous mis dedans?»
Ils ont dit: «Nous en avons mis trois.»
117 Il dit: «J'en vois quatre.» C'est ce qui faisait
le paradoxe. «Et Celui-là ressemble au fils des dieux.» Il n'était pas
un fils des dieux; Il était le Fils de Dieu! Ils étaient des païens.
Oh! Dieu, dans Sa grande Parole!
118 Il fut un temps où l'armée de Dieu était devenue
lâche et avait peur d'un homme, et elle se trouvait sur le côté de la
colline. Quand ils ont laissé cet homme, qui avait trois fois la taille
de l'un d'eux, se tenir sur le côté de la colline et dire: «Maintenant
vous dites que vous avez confiance en un Dieu réel, dites-vous. Que
l'un d'entre vous sorte et me combatte, ainsi il n'y aura pas de sang
répandu.»
L'ennemi de Dieu avait refoulé l'église de Dieu
contre la colline et ils l'acceptaient! Ils avaient peur. Ils étaient
des lâches.
119 Et un petit gars arrive dans le camp, drapé d'une
peau de mouton, un vêtement de berger; le plus petit homme de toute
l'armée, et pas même soldat. Mais c'était un paradoxe, quand Dieu a
pris cet homme, ce petit gars qui n'était pas concerné. La Bible dit
qu'il était rouge de santé. Ce petit homme a mis toute l'armée,
l'ennemi en fuite! C'était un paradoxe. C'est comme si Dieu avait donné
à toute cette grande armée en marche, assez de courage pour se battre.
Ils étaient serviteurs de Dieu, pourquoi ne pas combattre la bataille
de Dieu? C'est l'ennemi de Dieu, prenez-le! Il semblerait qu'Il leur
aurait donné du courage. Mais Dieu a pris un petit individu.
120 Et souvenez-vous, un autre paradoxe, il n'a
jamais pris d'épée. Saül a essayé de lui mettre son armure, a essayé de
lui mettre une épée dans la main. Le pauvre petit gars ne pouvait pas
la tenir droite. Et il a pris une fronde, un petit caoutchouc ou un
petit cuir attaché avec deux morceaux de cordes. Et il a vaincu toute
l'armée de l'ennemi, et les a mit en déroute. C'était un paradoxe qu'un
petit garçon puisse mettre une armée en fuite.
121 C'est un paradoxe. Certainement. Dieu le fait. Il
en est rempli. Certainement Il l'est. C'est ce qu'Il fait. C'est Sa
façon de le faire. Oui, monsieur. C'était un paradoxe.
122 Quand l'Égypte avait cette grande armée, le monde
entier était conquis. Ils tenaient chaque nation entre leurs mains. Et
quand Dieu a décidé de détruire cette nation, on aurait pu croire qu'Il
allait lever une armée Amoréenne, ou quelque grande armée quelque part,
et qu'Il allait les envoyer là-bas avec le meilleur équipement ou
réunir toutes les dénominations, pour descendre et aller se battre,
ensemble, ainsi Il aurait eu une entière coopération.
Mais Dieu utilisa un paradoxe! Il prit un vieil
homme, de quatre-vingts ans, et Il ne mit jamais d'épée dans sa main,
mais un vieux bâton tordu, qui coula l'Égypte au fond de la Mer Morte.
Incroyable, ce que Dieu peut faire, mais c'est ainsi qu'Il le fait. Il
utilise un paradoxe pour cela. Voyez? Il l'amène à un paradoxe, le
bâton tordu d'un berger au lieu d'une armée en marche, pour abattre
une--une nation qui gouvernait le monde.
123 Oh! c'est la seule chose que Dieu attende
maintenant, je crois. La Russie ne signifie rien pour Dieu. Il veut
trouver un homme. Il n'a pas besoin d'avoir de grandes organisations.
Il n'a pas besoin d'avoir de grandes dénominations. Il désire un homme
qu'Il puisse envelopper de Son Esprit! Cela dira tout, il y aura un
autre paradoxe, jusqu'à ce qu'Il puisse avoir quelqu'un de complètement
abandonné, qui fera cela. C'est la façon dont Dieu fait Son travail: Il
utilise des paradoxes.
124 C'était un paradoxe quand un grand soldat de--de
Dieu, du nom de Josaphat, se trouvait aux portes, avec un homme
rétrograde du nom d'Achab, et dit: «Avant que nous allions à cette
bataille, n'est-ce pas une bonne chose que nous consultions le
Seigneur?»
Maintenant, si le coeur de cet homme a faim, de
connaître la volonté de Dieu, il doit y avoir la volonté de Dieu
quelque part.
125 La sécurité n'est pas toujours dans la multitude
des conseillers. Achab dit: «J'ai tous mes ministres. Ils sont tous
prophètes. Je vais les appeler. Et tu sais que si je fais venir quatre
cents prophètes, nous trouverons la Parole du Seigneur.»
Pas toujours, pas toujours.
126 Si ce n'est pas avec la Parole, alors restez-en
éloigné. Peu m'importe combien il y en a. Restez avec la Parole! Dieu
ne peut pas retirer cette Parole.
127 «Maintenant, nous les avons tous amenés ici, et
ils ont tous prophétisé d'un même accord que le Seigneur était avec
eux. Allez-y!»
128 Mais cependant, quelque chose n'était pas juste.
Et cet homme de Dieu savait que ce n'était pas juste. Il dit: «N'en
avez-vous pas un de plus? Juste un autre, quelque part?»
«Oh! dit-il, nous en avons un, mais je le hais.»
Il dit: «Que le roi ne parle pas ainsi.»
129 Dieu a choisi un garçon illettré, un petit
renégat au vu de la nation, un homme méprisé, rejeté, pour apporter Son
message aux affamés de coeur. Et au lieu d'avoir toutes les
dénominations parlant d'un même accord en union, Dieu a amené une
personne. Un paradoxe, mais cet homme avait la Vérité. Et il fut prouvé
que c'était la Vérité, car il était avec la Parole. C'était un
paradoxe, exactement.
130 Maintenant, vous dites: «Voulez-vous dire que
vous n'êtes pas d'accord avec tout ceci et cela, et encore cela?»
Si ce n'est pas avec la Parole, je ne suis pas
d'accord avec cela. C'est exact. La Parole de Dieu ne faillira jamais.
131 J'ai parlé avec un prêtre, il n'y a pas
longtemps, il disait: «Monsieur Branham, vous essayez de discuter sur
un point de la Bible.» Il dit: «Nous croyons en l'église, rien qu'en
cela. Nous croyons en l'église, ce que l'église dit. Dieu est dans Son
église.»
132 J'ai dit: «Dieu est dans Sa Parole. Et Il est la
Parole.» C'est vrai, la Parole!
133 C'est la raison pour laquelle Michée prit la
Parole. Et Dieu utilisa un paradoxe pour faire honte à chaque
dénomination, et fit s'accomplir la Parole du serviteur de Dieu; un
homme méprisé, rejeté, haï. Quoi? Haï par son propre peuple.
Maintenant, il n'était pas un communiste, ou il n'était pas quelque
chose d'autre. Disons qu'il était pentecôtiste, et les groupes
pentecôtistes le haïssaient. Ils ne l'aimaient pas. Ils n'avaient rien
à faire avec lui. Mais il avait la Parole de Dieu. Dieu en a fait un
paradoxe.
134 «Pourquoi ne l'aurait-Il pas fait, si tous ces
autres gars sont prophètes et prédicateurs, et ainsi de suite, pourquoi
ne peut-on pas, dans ce grand groupe, décider quelque chose de mieux
qu'une seule personne? Cela semble déraisonnable que Dieu atteste
simplement la Parole d'un homme, plutôt que celle du reste d'entre eux.»
135 Parce que la parole de cet homme était la Parole
de Dieu. C'est la raison pour laquelle Dieu a fait que la chose arrive,
parce que cet homme se tenait avec la Parole de Dieu. Les autres
prophétisaient un mensonge. Oui, c'était un paradoxe quand Dieu a pris
la Parole d'un petit gars et l'a rendue vraie, car c'était Sa Parole.
Dieu doit se trouver près de Sa Parole, pas la parole du concile. Mais
la Parole de Dieu, c'est là qu'Il se tient.
136 Il prit Michée au lieu d'une école bien entraînée
de prédicateurs, des hommes renommés. Rien contre eux, ils étaient de
grands hommes. Ils étaient des hommes qui ne croyaient pas dans un
autre Dieu, ils croyaient dans le même Dieu que Michée. Mais ils
agissaient comme s'ils croyaient en Lui, mais ils ne voulaient pas
accepter Sa Parole. Parce qu'ils voulaient être populaires. Ils
désiraient avoir la faveur du roi. Et leur aveuglement passa au-dessus
de la vraie Parole de Dieu. Comment Dieu pouvait-Il bénir ce qu'Il
avait maudit?
137 Vous, hommes et femmes, tous deux, ne pensez pas
que je fais cela pour être méchant. Je le fais pour être honnête. C'est
la raison. Comment puis-je dire cela: «Les femmes devraient avoir...
très bien, laissez-les se couper les cheveux, et des choses de ce
genre, porter ces vêtements: ceci n'a rien à voir avec Cela.»
La Parole de Dieu dit que si! Elle est dans la honte
et porte l'opprobre aussi longtemps qu'elle le fait, et Dieu ne
traitera jamais avec elle. Peu importe combien elle parle en langues,
saute ou crie, elle n'est encore nulle part avec Dieu. C'est la Parole
du Seigneur.
138 Vous, les hommes qui ne savez pas diriger votre
propre maison, et essayez ensuite d'être prédicateurs et diacres?
Comment seriez-vous apte à être un prédicateur à la chaire, pour
conduire l'Église du Dieu vivant et leur donner leur héritage en
partage, quand vous pensez davantage à votre ticket de repas et à
l'offrande qui rentre qu'à la Parole de Dieu, et êtes honteux de le
dire devant les femmes, ayant peur de ne plus être populaires? Que Dieu
ait pitié de votre âme pécheresse!
139 Parlez la Parole de Dieu en Vérité! Jean a dit:
«La hache est mise à la racine de l'arbre.» Et la hache est la Parole
de Dieu. «Tout arbre qui ne produit pas du bon fruit, coupez-le et
jetez-le au feu.» Dieu, donne-nous un autre paradoxe!
140 Pourquoi Dieu a-t-il pris Jean Baptiste, dont je
viens juste de parler, au lieu des prêtres bien entraînés de ce jour?
Il prit un homme qui n'était jamais allé à l'école de sa vie. Ainsi,
nous comprenons que Jean est allé au désert, à l'âge de neuf ans et
qu'il était seul avec Dieu.
141 Il y a quelques jours, en lisant le concile de
Nicée. C'était longtemps après la mort du dernier apôtre, Saint Jean.
Quand ces hommes montèrent là, à ce concile de Nicée, quelques vieux
frères embarrassèrent le reste d'entre eux. Ils sont venus là vêtus de
peaux de brebis; là où se trouvaient les empereurs en robe, comme
Constantin et les évêques de Rome. De vieilles peaux de mouton, drapées
autour d'eux, et ils vivaient dans le désert, mangeant des herbes, mais
ils étaient prophètes du Seigneur. La petite église du côté grec alla
de l'avant; du côté romain ils allèrent en arrière. Mais cela montre
que lorsque vous faites des compromis, vous ne pouvez être serviteur de
Christ.
142 Jean... En ce jour, l'église était très
orthodoxe, ils avaient leurs prêtres, des hommes bien entraînés. Mais
Dieu a choisi l'homme qui n'avait pas d'instruction du tout et sorti du
désert, avec une peau de brebis autour de lui, les cheveux pendant sur
la nuque. Pas de chaire de laquelle il puisse prêcher. Pas d'église
pour l'inviter. Mais il se trouvait probablement dans la boue, enfoncé
jusqu'aux mollets, et il prêchait: «Le royaume de Dieu s'est approché!»
Dieu a choisi cet homme.
143 Quand Jésus a dit: «Qui êtes-vous allé voir, un
homme qui peut parler dans toutes les écoles, un homme qui est bien
habillé, et ainsi de suite?» Il a dit: «Ils sont dans les palais des
rois.» Il a dit: «Qu'êtes-vous allé voir? Un prophète?» Il a dit: «Plus
qu'un prophète.» C'est celui dont le prophète a parlé: «J'envoie Mon
messager devant Ma face.» Il était l'ange de l'alliance. Il était le
grand précurseur.
144 Mais c'était un paradoxe, la façon dont cela
s'est produit. Pourquoi n'est-il pas descendu vers ces grandes écoles à
Jérusalem? Pourquoi n'est-il pas venu vers Caïphe le grand prêtre?
Pourquoi n'est-il pas venu vers ces grands hommes, bien formés, qui
avaient été formés depuis leur enfance, et leurs pères avaient été
formés avant eux, et leurs pères avant eux, car de génération en
génération ils étaient entraînés et instruits, des gens de bien, de
haute culture, instruits? Et alors Il prit un vieil homme du désert,
qui n'avait jamais eu un jour d'école de sa vie, et le mit là, au
Jourdain et dit: «C'est lui.» Un paradoxe, exactement. Incroyable, mais
cependant c'était vrai. Dieu l'a fait.
145 La naissance virginale de notre Seigneur,
incroyable pour une femme de mettre un enfant au monde sans connaître
un homme. Dieu l'a fait. Dieu l'a fait. Voyez-vous, c'est un paradoxe.
Il prit une petite femme, une petite jeune fille, fiancée à un homme de
quarante-cinq ans, elle en avait seize ou dix-huit, et fiancée à cet
homme qui était veuf avec quatre enfants. Et alors Il prit cette femme
et la couvrit de Son ombre par le Saint-Esprit, et conçu en son sein le
corps dans lequel tabernaclait le Dieu Tout-Puissant. Un paradoxe!
146 Les Cieux ne peuvent Le contenir! La terre est
Son marchepied, le Ciel est Son trône et cependant Il a pu apporter la
plénitude de la Divinité, corporellement, et L'incarner dans un Homme.
Oh! Quand on peut mesurer des centaines de millions de kilomètres dans
des éons de temps et jamais mesurer Dieu; et cependant un petit bébé,
couché dans une mangeoire, contenait corporellement la plénitude de Sa
Divinité. Jéhovah! Un paradoxe! Ce grand Dieu, Qui est assis là-bas,
pour contrôler cent millions de soleils qui brillent sur des planètes,
Qui n'a jamais commencé et jamais ne finira, et qui s'incarne Lui-même,
dans une étable pleine de fumier!
147 Et ensuite, nous sortons pour danser et boire, et
nous faisons la fête! Ce n'est pas une célébration; c'est une
adoration. Nous célébrons Noël. Comment Dieu a fait cela, afin de
pouvoir mourir pour prendre la place d'un pécheur.
148 C'était un paradoxe quand un petit garçon aux
cheveux bouclés, les épaules tombantes, il ne faisait probablement pas
un mètre cinquante; il avait sept boucles pendant autour de sa tête, un
peu efféminé. Et il était sur la route, un jour, pour aller voir sa
petite amie, et un lion rugit contre lui.
149 Quelqu'un a-t-il déjà entendu rugir un lion? Vous
en avez probablement dans des cages, pas loin d'ici. Mais je veux vous
dire, ce n'est qu'un miaulement alors. Vous devriez en entendre un
sauvage réellement rugir. Cela ferait tomber les pierres de la colline
à cinq cents mètres; les cailloux roulent en bas de la colline, cela
fait tellement vibrer le sol. D'où vient ce rugissement, je ne le sais
pas.
150 Oh! j'en ai vu un, une fois, il avait la tête
baissée, un vieux lion à la crinière jaune rugissait contre un noir,
parce que, un à la crinière noire, parce qu'il avait pris un morceau de
viande. Il le laissa là et dit à peu près ceci: «Maintenant, tu laisses
cela tranquille, je descends pour aller boire de l'eau.» Il descendit
pour laper de l'eau. Quand il est revenu, celui à la crinière noire
était allé lécher dessus. Le vieux papy s'arrêta, baissa la tête et
laissa sortir un rugissement, et on aurait dit que les rochers
dévalaient de la colline. Oh! la la! Il secouerait la cité, s'il
rugissait comme cela ici. Un rugissement de lion, oh! il est féroce!
151 Et ce rugissement sortit contre ce petit
gringalet aux cheveux bouclés, comme nous l'appellerions, et alors
quelque chose arriva. Ce petit gringalet s'avance et l'attrape par la
gueule et met une main comme ceci et l'autre comme cela, pas
nerveusement, et il le déchire de part en part et le laisse ainsi.
C'est un paradoxe. Qu'est-ce qui a causé cela? Si vous remarquez la
lecture juste avant cela: «Et (la conjonction) l'Esprit du Seigneur est
venu sur lui.» C'est ce qui a fait la différence. Et il a abattu le
lion.
152 Alors, un jour, quelques Philistins l'avaient
poursuivi. Il était sans armes. Il y en avait un millier. Ils avaient
de longues lances et de grands boucliers, et c'est comme une porte
devant vous, comme cela, les boucliers. Pensez à ces grands boucliers
d'airain, maintenant, tout le long devant vous, avec des casques
d'airain, de grosses cuirasses d'airain, et partout sur les tibias et
tout, avec de l'airain; de grandes et longues lances, aussi longues
qu'eux, peut-être de cinq ou six mètres. Avec de grosses têtes de
lances, en airain, effilées comme un rasoir. Et ils trouvèrent ce petit
gringalet aux cheveux bouclés, venant de Palestine, pour rendre visite
à une certaine petite amie là-bas. Donc ils ont dit: «Voici ce petit
gars. Prenons-le!»
Un seul homme aurait pu le prendre au bout de sa
lance, le soulever et le secouer un peu, et il serait retombé
directement dans sa main, à la poignée de la lance. Pourquoi, parce
qu'il n'était simplement qu'un petit bonhomme.
153 Certaines personnes, des artistes, ont essayé de
peindre Samson avec, avec des épaules telles qu'il n'aurait pu se
promener dans ce tabernacle. Eh bien! cela ne serait pas un mystère, un
homme de cette carrure. Samson n'était vraiment qu'un petit gars, mais
l'Esprit du Seigneur est ce qui était grand. Voyez? Il prend le... ce,
ce, c'est déshonorer les Écritures, de dire qu'il était un homme de
cette carrure.
154 Dieu prend toujours des choses folles et
ignorantes comme celles-là pour faire Son oeuvre, voyez-vous. Il prend
quelque chose qui n'est rien.
155 Ainsi ce petit gars se trouvait là-bas, et tout à
coup voici les Philistins qui arrivent et l'entourent pour le tuer. Et
il prit la mâchoire d'une mule sauvage, qui se trouvait là, un petit
âne, il prit la mâchoire de cette mule. Et... l'Esprit du Seigneur est
venu sur lui. Et voilà le paradoxe, comment il a les a abattus avec la
mâchoire d'une mule, en traversant les casques d'un centimètre
d'épaisseur, au sommet de la tête, avec la mâchoire d'une mule!
Assurément, au premier coup sur l'un de ces casques ou de ces grands
boucliers, cette vieille mâchoire aurait dû éclater en mille morceaux.
Mais alors que mille hommes se sont élancés contre lui, il les a tous
massacrés. Un paradoxe! C'est lorsque l'Esprit du Seigneur est venu sur
lui.
156 Oh! si nous pouvions être simplement des
mâchoires dans la main de Dieu... il y aurait un autre paradoxe. Oui,
c'en était un.
157 C'était un paradoxe quand Jésus notre Seigneur
prit cinq biscuits et deux petits poissons, les brisa, et nourrit cinq
mille personnes. Et on ramassa des paniers pleins de restes, des
morceaux que certains d'entre eux ne mangèrent pas. Ils mirent quatre
ou cinq poissons sur cette table ici avec quatre ou cinq pains, et
ensuite ils sont allés par là et ont déposé quatre ou cinq pains. Et
certains ne purent même pas tout manger, ils en laissèrent simplement
là. Donc ils les ramassèrent, des paniers pleins. Oh! Voyez? Comment
fit-Il? C'est incroyable qu'un homme puisse prendre cinq biscuits et
deux petits poissons pour nourrir cinq mille personnes et puisse
ramasser sept paniers remplis de restes. C'est incroyable, mais Il l'a
fait. Pourquoi? C'était Dieu. C'était un paradoxe. C'est incroyable,
mais Il l'a fait.
158 C'était incroyable, et jamais avant ou après, sur
une mer démontée, avec des vagues si hautes que la bateau allait
couler, un Homme n'est venu se promenant sur ces vagues! Je peux
presque voir les--les grandes vagues qui écument, elles L'environnent,
éclatent et retombent vers le fond, et Il se promène dessus, comme s'Il
était sur du béton. Marcher sur la mer, par un temps de tempête!
Laissez la science imaginer cela.
Qu'est-ce qui Le tenait là? Qu'est-ce qui Le tenait
sur cette mer alors qu'il y a 700 mètres de profondeur là? Quand ces
grandes vagues plusieurs fois plus grandes que ce Tabernacle,
déferlaient, le bateau se remplissait et s'alourdissait. Il était
complètement sous eau et il allait sombrer; les mâts s'étaient brisés
et les rames étaient parties, tout espoir d'être sauvé était perdu. Et
voici Quelqu'Un marchant sur l'eau! Un paradoxe, sûrement! Incroyable,
cela ne peut être expliqué, mais Il l'a fait. Oh! oui, Il l'a fait, Il
est venu se promenant sur l'eau. C'est incroyable que ce même... Ô
Dieu, j'espère que ceci touche au but!
159 Incroyable, un réel paradoxe, que l'Église même,
Jésus de Nazareth, choisisse un tas de pêcheurs de poissons ignorants
pour Son Église, au lieu des prêtres bien formés et des dénominations
de ce jour-là. Comment cela se peut-il d'un Dieu qui avait toute la
sagesse, qui pouvait marcher sur les eaux, qui pouvait transformer
l'eau en vin, qui pouvait prendre cinq biscuits et nourrir cinq mille
personnes et ramasser sept paniers de restes! Comment Celui-là même, le
Dieu qui se trouve là dans l'éternité, si resplendissant que les
soleils se cachent la face devant Lui; la fontaine même de la sagesse
et de la pureté, de la compréhension et de la connaissance, le Suprême
des suprêmes!
Et venant en un endroit où une grande organisation
d'églises avait réuni et formé tous leurs hommes, Il est descendu et a
pris un tas de sales pêcheurs de poissons puants qui ne pouvaient même
pas écrire leur propre nom, et a choisi ce type d'homme pour mettre
l'Église en ordre pour Son Épouse. Chose étrange, n'est-ce pas? On
aurait pensé qu'Il aurait, au moins, pris quelqu'un d'entraîné.
160 Il est l'Entraîneur, Il est Celui qui le fait. Il
est étrange qu'Il l'ait fait. Au lieu de prendre des hommes d'église,
Il prit des pêcheurs de poissons pour le faire. Très étrange, mais
c'est la manière qu'Il utilise. C'est vrai. C'est un vrai paradoxe.
161 Quand Dieu prit un tas d'ignares, comme nous les
appellerions aujourd'hui, des «saints comédiens», pauvres des biens de
ce monde, et qu'Il déversa le Saint-Esprit sur eux, dans une chambre
haute au lieu de Le déverser sur le Conseil du Sanhédrin, où tous les
théologiens étaient réunis, où se trouvaient tous les grands hommes, où
se trouvait la tête de toutes les églises, ceux qui avaient étudié les
Écritures, qui avaient été longtemps à l'école, bien entraînés, et qui
attendaient la venue du Messie, et sachant qu'ils seraient ceux qui
sortiraient et Le rencontreraient et diraient:
«Messie, Tu es descendu, comme sur les ailes d'un
avion, Tu t'es posé sur les marches du temple, nous avons vu que Tu es
descendu du Ciel, des corridors en or du Ciel. Maintenant, nous sommes
tous bien entraînés et prêts à aller travailler. Nous avons notre
diplôme, nous avons nos titres de 'Licenciés ès lettres', nous avons
nos licences, nos doctorats en philosophie, et tout ceci. Nous sommes
tous entraînés. Nous voici, forts de dix mille. Nous sommes prêts pour
Toi. Allons-y! Nous attendons Ton appel 'Venez!'»
162 Mais au lieu de cela, Il descend et prend un
groupe de personnes qui reconnaissaient à peine leur main gauche de
leur droite. C'est exact. Et Il les mit dans la chambre haute et
déversa Son Esprit, Ô Dieu, sur un groupe de gens comme celui-là. Au
lieu de prendre le Conseil du Sanhédrin, Il a pris des pêcheurs de
poissons. N'est-il pas étrange qu'Il n'ait pas utilisé leur
instruction? C'était le bon plaisir de Dieu.
163 Il semble que cela plaise à Dieu de faire de Sa
propre Église un paradoxe. Il fait la même chose maintenant, faisant un
paradoxe de Son Église, contournant les grands dignitaires et tout ce
fatras qui est appelée l'église. Et Il... toute personne qu'Il peut
mettre dans Sa main, qui ouvrira ses yeux et verra ce qu'est la Vérité,
et la testera avec la Parole de Dieu au temps où nous vivons, Il les
placera dans le Corps. Un paradoxe! Dieu choisit ceux-là. Il fait de
Son Église un paradoxe; des gens étranges, bizarres.
164 Tous ceux-là, dans la chambre haute, sont sortis
en parlant un autre langage, titubant comme des gens ivres, avançant en
titubant avec une drôle façon de se conduire. Des femmes, Sa propre,
propre mère et tous ceux de la chambre haute, sont sortis en
bredouillant des choses que d'abord personne ne pouvait comprendre...
Ils avaient des langues de feu partagées, réparties sur eux. Personne
ne comprenait ce qu'ils faisaient. Ils bredouillaient et se
comportaient comme s'ils étaient ivres.
165 Et là se trouvait un groupe de personnes
entraînées, des érudits de la Bible, des théologiens, mais Dieu a
choisi, Dieu, de les laisser dans leur ignorance, avec leur haute
intelligence et leur instruction et Il est venu ici prendre ce groupe
de gens qui ne connaissaient pas leur ABC et Il a déversé Son Esprit
sur eux, pour faire d'eux un paradoxe. Oui, Dieu fait cela, Il fait
cela selon Son propre dessein. Il fait de Son Église un paradoxe. Je
crois en eux. Je le crois!
166 Ainsi aide-moi, Dieu, je crois la Parole! «Que
chaque parole d'homme soit un mensonge, et que Ceci soit la Vérité.» Ce
que cette Parole dit de faire, faisons-le de la façon que cette Parole
dit de le faire; peu importe combien cela semble drôle, et combien vous
devenez bizarre, ou quoi que ce soit. Restez avec la Parole. Vous êtes
appelés 'vieux jeu', vous êtes appelés ceci, cela ou autre chose, que
vous importe de toute façon? Restez avec cette Parole! Elle est Cela,
la Vérité. N'acceptez pas ce qu'un autre dit. Acceptez ce que dit la
Parole.
167 Ici, il y a quelque temps, un ami dans le
ministère... j'ai simplement entendu cela et je le crois. Par un
après-midi chaud, en Georgie, il rendait visite à un pharmacien. Le
vieux pharmacien était un vieux Frère Chrétien, rempli de l'Esprit de
Dieu. Et il dit: «Venez vous asseoir, et prenons un coca.» Ils étaient
assis là, buvant leur coca. Il dit: «Je désire vous dire quelque chose,
et vous ne le croirez peut-être pas.»
«Eh bien! écoutons-le d'abord.» dit le prédicateur.
168 Il dit: «J'ai toujours essayé de faire de mon
mieux pour Dieu.» Il était un diacre dans une église. Il dit: «J'ai
toujours essayé de vivre selon mon appel, et faire ce qui était juste.»
Il dit: «Je n'ai jamais trompé personne. J'ai toujours témoigné pour
mon Seigneur, partout où je pouvais.» Et il dit: «J'ai... dit-il, mes
médicaments ici, dit-il, j'ai essayé d'avoir la meilleure qualité qui
pouvait être achetée. Je n'ai jamais fait payer personne plus que ce
qui est juste. J'ai essayé de faire ce qui était juste, selon ma
connaissance, pour servir le Seigneur.» Il dit: «Je vais vous dire ce
qui est arrivé.»
169 Il dit: «Mon fils, qui étudie pour être
pharmacien également, pour me succéder, il était devant le bâtiment, un
jour.» Et il dit: «C'était au temps de la Depression.» Il dit: «Une
petite dame a passé la porte, et on pouvait voir quel était son
problème. Elle allait être mère. Et son mari, tous deux, étaient
pauvrement vêtus. Ils donnèrent l'ordonnance à mon fils et demandèrent
de l'exécuter, car la femme avait besoin d'une certaine chose que le
médecin lui avait prescrite. Et il dit:
- Cela fera tant et tant.
Quand le futur père demanda: - Combien cela
fera-t-il?
- Tant et tant.
Il dit: - Monsieur, je ne peux pas faire
exécuter cette ordonnance, dit-il, car je n'ai pas d'argent.»
170 «Mon fils lui dit: - Allez là dans la rue,
juste un pâté de maisons plus loin et tournez à gauche, et vous verrez
l'endroit où ils font la charité. Allez là au comptoir et ils vous
donneront peut-être l'argent pour la commande, ils paieront pour
l'ordonnance, parce que la dame doit avoir ce médicament immédiatement.
Et, dit-il, il s'en alla.»
171 Et alors qu'il écoutait son fils, Quelque chose
lui dit: «Oh! non, ne fais pas cela. Cette femme a besoin de cela.»
Il pensa: «Cette longue file d'attente là-bas! C'est
déjà dur pour un homme en bonne santé de rester dans la file, combien
plus pour une future mère dans cet état.»
172 Il dit: «J'ai dit à mon fils:
- Va, appelle-les, dis-leur de revenir.»
Il dit: «Et je me suis précipité à la porte et j'ai
dit:
- Revenez! Revenez!»
Ils sont revenus. Et j'ai dit à mon fils: «Exécute
l'ordonnance. Il n'y a rien à payer.»
173 Et il dit: «Mon fils m'a donné l'ordonnance, je
l'ai exécutée et l'ai faite du mieux que je pouvais. Je l'ai apportée à
la dame et j'ai dit: «Il n'y a rien à payer.»
C'était en ordre, car elle en avait un besoin
urgent. Je pouvais me passer de cet argent.»
174 Ainsi j'allais mettre le médicament dans sa main.
Et à ce moment, j'ai regardé la main et elle avait une cicatrice.» Il a
dit: «J'ai levé les yeux, et j'étais en train de le mettre dans la main
de Jésus.» Il dit: «J'ai appris alors ce que veulent dire les
Écritures: - Ce que vous avez fait au plus petit d'entre les
Miens, Mes petits.»
175 Il dit: «Croyez-vous cela?»
Eh bien! certainement, je le crois. C'était un
paradoxe, incroyable, mais c'est vrai.
176 Et à propos du grand Saint Martin, de Tours, en
France. Lorsque étant soldat, il est passé par une nuit froide dans une
rue obscure, et il y avait un... Dans cette rue froide et obscure, il y
avait un vieux gars, couché dans la rue, en train de geler. Son sang
était en train de geler dans ses veines. Et Martin... il n'était
cependant pas un Chrétien. Et quiconque a lu l'histoire de la Bible
connaît Saint Martin. L'historien l'autre jour, qui essayait d'avoir sa
carte, celle que j'ai pris pour le troisième âge de l'Église, Saint
Martin, parce que les signes le suivaient. Et Saint Martin regarda...
il était un soldat, et là se trouvait ce vieil homme, couché dans la
rue, en train de geler. Il regarda, et lui avait un manteau; sans
manteau il aurait gelé. Il prit son couteau et coupa son manteau en
deux et enveloppa le gars avec ça. Il mit l'autre moitié sur lui et
continua son chemin.
177 Cette nuit, quand il fut dans sa chambre et
s'était assis, il entendit Quelqu'un venir dans sa chambre. Il regarda,
et c'était Jésus, enveloppé dans cette partie du manteau. C'était son
appel au ministère.
178 Il est devenu un saint. Il a parlé en langues.
Son école était entraînée. Il forma ses gens avec la Parole de Dieu. Il
ne se souciait pas de ce que disait la Première église de Rome ou
aucune autre. Il est resté directement avec la Parole de Dieu. Il les a
enseignés; ils parlaient en langues, et imposaient les mains aux
malades. Ils ont ressuscité les morts. Ils ont chassé des démons. Un
homme, son ami, avait été tué, il s'est couché sur son corps (il avait
demandé pour le voir quelques minutes), et lui et son ami sont sortis
en marchant ensemble. Pourquoi? C'était un paradoxe. Certainement, Dieu
l'a fait.
179 Je crois dans les paradoxes. Oui, monsieur. Je
crois, j'y crois de tout mon coeur.
180 C'était un paradoxe, quand parmi tous les hommes
intelligents qui étaient dans le monde, Dieu mit les clés du Royaume
dans les mains de celui qui était considéré comme ignorant et sans
instruction. C'est exact. L'un des hommes les plus intelligents dans le
monde, ce jour-là, était Caïphe, le grand prêtre; d'autres étaient les
empereurs et les rois, et les grands de la terre, comme les présidents
et ainsi de suite... tous les grands hommes.
181 Quelle est la chose la plus importante au monde?
C'est l'Église de Dieu! Dieu a fait la terre, Il l'a faite dans un but:
pour en faire sortir une Église, une Épouse. Et c'est le travail le
plus important au monde.
182 Et les hommes les plus distingués qui soient,
étaient les empereurs et des rois, des potentats et des monarques, des
grands prêtres et des hommes d'église. Il aurait pu prendre n'importe
lequel d'entre eux. Mais c'était un paradoxe quand Il appela un homme
qui ne pouvait même pas signer son propre nom, et dit: «Je te donnerai
les clés du Royaume. Ce que tu lieras sur Terre, Je le lierai dans les
Cieux. Ce que tu délieras sur Terre, Je le délierai dans les Cieux.»
183 J'ai pensé à cela au sujet de cette vision: «Ce
que vous déliez ou liez.»
184 «Ce que vous liez sur Terre, Je le lierai dans
les Cieux. Ce que vous déliez sur Terre, Je le délierai dans les
Cieux.» Oui, Il n'a pas donné cela à un grand prêtre bien instruit,
Caïphe, mais à un pêcheur ignorant. Vraiment un paradoxe!
185 Nous voyons Paul, un petit Juif au nez crochu,
sur son chemin, arrogant, s'en allant lier ces gens qui faisaient ce
bruit, criaient et tout le reste; pour les jeter en prison, faisant des
ravages dans l'Église. Il a lapidé Étienne, en donnant le témoignage
qu'il avait tenu son manteau. Il... c'était une terreur. Comment Dieu
pourrait-Il jamais choisir un homme comme cela?
186 Et, regardez, les évêques, tous les Apôtres, ils
ont dit: «Nous allons choisir quelqu'un pour prendre la place de Judas.»
Et qui choisirent-ils? Ils choisirent Matthias.
Matthias, je crois que c'est cela. Matthias, oui. Matthias, ils le
choisirent en tirant au sort, et il n'a jamais rien fait. Il semblait
être un homme juste. Et Dieu a choisi celui qui avait le plus de
tempérament, le gars le plus misérable du pays, pour prendre sa place.
Un paradoxe! C'est ce que Dieu fait. Un paradoxe!
187 C'était un paradoxe, quand ce Juif, impie,
hautain, prétentieux, misérable, méprisable, était en chemin, un jour,
vers une ville, pour lier les Chrétiens et les mettre en prison, et
tout à coup il fut jeté à terre. Et quand il leva les yeux, là se
trouvait la Colonne de Feu, et Une Voix est venue, disant: «Saul, Saul,
pourquoi Me persécutes-tu?» C'était un paradoxe quand il put Le voir,
et que les autres ne le purent pas. Voyez?
188 Quelqu'un dit: «Oh! je n'ai jamais vu Cela. Une
telle chose n'existe pas; oui, c'est faux.»
À ce sujet aujourd'hui, ils disent: «Je ne crois pas
une telle chose. Non. Certainement pas. Certainement pas.»
Mais c'est là, il y en a qui Le voient.
Certainement, si vous ne pouvez pas Le voir, vous êtes aveugles, vous
ne pouvez pas Le voir.
189 C'est comme quelqu'un m'a dit, il y a quelque
temps, il y a quelques années, il m'a dit: «Maintenant, si je vous suis
bien... disait-il, Paul a frappé un homme d'aveuglement.» Il a dit: «Si
je suis du diable, frappez-moi d'aveuglement!»
190 J'ai dit: «Ce n'est pas nécessaire. Vous êtes
déjà aveugle. Voyez-vous? Vous êtes déjà aveugle. C'est le pire des
aveuglements voyez-vous?» J'ai dit: «Anne, dans le temple, pouvait voir
plus loin que vous ne le pouvez. Et elle était aveugle, physiquement.»
Il était aveugle, spirituellement. Certainement. C'était un paradoxe.
191 C'était un paradoxe quand Dieu fit une soi-disant
hérésie... Tout ce bruit, et ces cris, cette louange à Dieu, et ces
parler en langues, par des gens méprisés et rejetés, appelés idiots et
hérétiques; c'est un paradoxe quand Dieu, le grand, le Père de tous, le
Père de notre Seigneur Jésus-Christ, a choisi un «groupe d'hérétiques»
pour apporter le Salut à Son Église, au lieu du système ecclésiastique
et théologique bien entraîné. C'est un paradoxe.
192 Il n'y a pas longtemps, j'étais dans une ville, à
Washington, ou, non, je crois que c'était l'Oregon. Là est venu un
journaliste, deux petits journalistes, ils avaient des cigarettes à la
main. Ils entrèrent. Ils allaient faire un article sur moi,
certainement très bien, vous savez. Ils disaient ceci et cela. Et il
dit: «Et, êtes-vous un saint-comédien?»
193 J'ai dit: «Non, je n'ai jamais roulé. Mais,
dis-je, je, je pense que s'Il me demandait de rouler, je le ferais.»
194 Et on continuait à parler ainsi, vous savez. Et
elle dit, en poursuivant: «Oh!»
J'ai dit: «Laissez-moi vous dire quelque chose,
petite dame, vous écrivez ce que vous voulez. Vous êtes catholique.»
195 Elle dit: «C'est exact, comment savez-vous que je
suis catholique?»
196 «Eh bien! de la même façon dont je sais les
autres choses sur l'estrade. Voyez-vous?» J'ai dit: «Vous êtes
catholique. Et vous allez faire un article, mais je vous avertis
maintenant; dans trente jours, si vous l'écrivez, vous serez étendue le
long d'une route, la gorge tranchée par un morceau de verre de votre
propre voiture, criant pour la miséricorde, et vous penserez à moi de
nombreuses fois.»
Elle dit: «N'êtes-vous pas Irlandais?»
- Oui.
- Votre famille était-elle catholique?
J'ai dit: «Peut-être avant moi.»
197 Elle dit: «Que penserait votre mère de votre
façon d'agir...»
198 J'ai dit: «Je l'ai baptisée dans le Nom de
Jésus-Christ. Et elle a reçu le Saint-Esprit. Oui.»
199 Et j'ai dit: «Maintenant, si vous voulez
continuer de cette façon, alors je prendrai votre nom et vous prenez le
mien. Alors, si ce n'est pas ainsi, dans trente jours, vous pourrez
écrire dans le journal que je suis un faux prophète. Maintenant, allez
de l'avant et écrivez-le.»
200 Elle dit: «Je n'aimerais pas savoir, quand j'irai
au Ciel, qu'un groupe d'ignares, comme à cette réunion, puissent
gouverner le Ciel.»
201 J'ai dit: «Ne vous inquiétez pas pour cela.» J'ai
dit: «La seule chose est, je ne... Si vous ne changez pas d'opinion et
votre façon d'agir, vous ne serez pas là de toutes façons.» J'ai dit:
«Parce qu'ils seront là. Dieu a choisi cela.»
202 C'est un paradoxe que Dieu ait choisi les choses
folles, vous voyez, ces choses-là. Lui, Dieu a choisi d'apporter le
Salut au monde par un tel groupe, un paradoxe, totalement différent de
leurs érudits formés et bien façonnés, des théologiens et autres. Dieu
contourne simplement cela. Il prend un petit ignare, Il l'élève et met
Son Message en lui, comme Il fit avec Jean, et quelques-uns du reste
d'entre eux, Pierre et les autres, Il les envoya prêcher l'Évangile,
pour les faire entrer dans Son Église; les sauver, et les ramener sur
terre, c'est tout ce qu'il y a, voyez. Laissez simplement tomber toutes
ces choses bien raffinées. Oh! la la! C'est certainement quelque chose!
Je...
203 Dieu, alors que Dieu a choisi les ignares et sans
instruction, au lieu de l'instruction et des instruits, pour Son
Épouse! Pouvez-vous imaginer un homme, qui choisirait son épouse,
prendrait... un homme avec les pouvoirs les plus élevés, suprêmes.
204 Il y a quelque chose ici que j'aimerais dire,
mais je n'ai pas beaucoup le temps pour le dire, c'est au sujet d'une
petite parabole que j'ai vue une fois. Mais je ne pourrai pas la dire.
Je l'avais inscrite ici, mais je n'ai pas le temps pour cela.
205 Mais, Dieu a choisi Son Épouse hors d'un groupe
de personnes, comme cela. Maintenant, si quelqu'un dit que ce n'est pas
comme cela, alors vous ne croyez pas votre Bible. C'est exactement
ainsi. Lisez votre Bible, c'est exactement ainsi.
206 C'était un véritable paradoxe, quand Dieu a
choisi la folie de la prédication inspirée, au lieu de la théologie
brillante. Un homme qui ne sait pas, à peine, utiliser 'hit, hain't,
tote, fetch, carry' des mots comme cela et toutes sortes de choses de
sa grammaire, et sans grammaire, et d'autres choses comme cela. Et Dieu
choisit cela au lieu de prendre ceux qui sont bien façonnés par
l'école, qui peuvent vraiment bien prononcer les mots et le dire de la
bonne façon. Mais il a plu à Dieu de prendre la folie de la prédication
inspirée, un petit gars qui ne connaît pas son ABC, et prendre cet
homme et gagner des âmes par lui. Alors que des séducteurs, brillants,
sont en train de conduire: l'aveugle conduisant des aveugles. Un réel
paradoxe!
207 Oh! la Parole en est tellement remplie. Beaucoup
de contextes, ici, ou de textes, je dois les passer.
208 Il est vrai que les grandes églises brillent et
étincellent, avec de la théologie raffinée, alors que le Royaume
rayonne avec humilité, les pauvres et les humbles. L'Évangile ne brille
pas, Il rayonne. L'or des fous brille; l'or véritable rayonne. C'est la
différence entre ce qui brille et ce qui rayonne. Nous savons cela.
Pendant que les grandes églises étincellent et brillent avec les
érudits distingués, de beaux bancs d'église, des crucifix partout au
mur, et les bâtiments les plus élevés et les plus beaux, de hautes
tours, et tout comme cela; le petit Royaume, en bas dans une petite
allée comme ici, quelque part rayonne de la Gloire de Dieu, rempli avec
les humbles de coeur, voyez-vous, Dieu travaillant en eux, guérissant
les malades, et ressuscitant les morts, et chassant les démons, et
ainsi de suite; les laissant simplement passer à côté.
209 Il y avait un grand prédicateur. N'oubliez pas
ceci. Il y avait une grande réunion de prédicateurs, ici, il y a
quelque temps, dans une ville, où des gens d'ici étaient présents. Et
il y avait un homme qui allait... Oh! c'était un théologien, «il avait
le message pour le jour, pour les gens.»
Et il avait étudié le sujet pendant deux ou trois
semaines. C'était très bien. Et quand il est monté à la chaire, sans un
faux pli dans ses vêtements, oh! la la! avec ce qu'il y a de plus chic
sur lui, vous savez, il est allé là, bomba le torse et posa tout
son--son matériel pour son message. Et il prêcha un message d'une heure
auquel on ne pouvait rien redire, intellectuellement. Oh! comme il
bombait le torse, et prenait le titre de docteur en droit «Tel et tel»,
d'une grande école. C'était tellement distingué et érudit, qu'il amena
un tel chef-d'oeuvre aux gens, de psychologie et autres choses.
On disait: «C'était merveilleux.»
210 Mais les Chrétiens assis là, comme au Concile de
Nicée, cela attrista l'Esprit. Oh! c'était un chef-d'oeuvre,
certainement. Oui, monsieur. Cela avait tout le poli possible. Mais
pour les gens remplis du Saint-Esprit, c'était simplement «Euh?» Cela
n'a simplement pas marché... Il n'y avait pas d'Esprit là pour le
soutenir.
211 Ainsi, quand il descendit, il avait la tête
baissée, il voyait que quelque chose n'avait pas bien marché. Il était
d'une autre école; et il était avec des gens pentecôtistes. Ainsi,
quand il descendit de l'estrade, ses plumes tombèrent. Il commença à
marcher là, avec toutes ses affaires sous le bras, comme ceci, marchant
à travers l'assemblée.
212 Il y avait un vieux saint qui était sage, assis
sur le côté droit, il s'approcha d'un autre homme et dit: «S'il était
monté de la façon dont il est descendu, il serait descendu de la façon
dont il est monté.» C'est cela. S'il était monté humblement, il serait
probablement descendu rempli de la Gloire. S'il était monté de la façon
dont il est descendu, il serait descendu de la façon dont il est monté.
C'est exact. Un paradoxe!
213 Écoutez, en terminant maintenant, juste un moment
avant la ligne de prière. Je voudrais dire un mot ou deux de plus, au
sujet du paradoxe.
214 La vision des vieux prophètes est encore un
paradoxe. C'est sans pareil. Qui peut dire qu'un homme, il y a quatre
mille ans, puisse parler de chars sans chevaux, se bousculant dans de
larges chemins, l'un contre l'autre. Les prophètes de l'Ancien
Testament, comment ils pouvaient voir les choses d'avance et les
prédire, élevés par la Puissance de Dieu, ils pouvaient voir les choses
s'accomplir des années à l'avance et le prédire avec une exactitude
parfaite. Expliquez-le! C'est un paradoxe. Oh!
215 Un autre, je veux vous en donner un autre,
insignifiant. Mais ma conversion était un paradoxe. Je dis ceci avec
amour et respect. Mes parents sont décédés. Les gens de la famille de
ma mère étaient tous des pécheurs, des chasseurs et des gens de la
montagne. La famille de mon père, c'était tous des ivrognes, des
contrebandiers d'alcool, des parieurs, des bandits, se tuant les uns
les autres, la plupart sont morts les chaussures aux pieds. Il n'y
avait pas un gramme de religion, de toute façon, pour nous. Et comment
Dieu a-t-Il... quelle est cette Chose qui est venue ce matin-là, dans
cette vieille petite cabane en rondins, là-haut, que vous voyez en
image sur ce mur là-bas? Quoi? C'est totalement différent.
216 Si vous mettez un grain de blé dans le sol, cela
produira un grain de blé. Vous mettez du maïs dans le sol, cela
produira du maïs. Vous y mettez un gratteron, cela produira des
gratterons.
217 Mais ceci est un paradoxe! Chacun d'entre vous
peut dire la même chose à son sujet. Nous pouvons penser au paradoxe de
ce qui est arrivé.
218 Voici un autre paradoxe. Comment puis-je, après
avoir prêché presque trente ans, encore craindre cette pensée d'aller
Là-bas? Comment cela est-ce possible? Après avoir prêché depuis que je
suis petit garçon, et maintenant un homme de cinquante-deux ans, et
alors penser à craindre... je, je ne... je savais que j'étais sauvé.
Mais je craignais à la pensée... Mais l'Amour de Dieu, un matin,
descendit dans ma chambre, m'éleva, et m'emmena en un Lieu où étaient
les rachetés. Un paradoxe en effet!
219 Je voudrais vous demander quelque chose. Je
pourrais arrêter ici maintenant. Je désire vous demander quelque chose.
Dites-moi, dites-moi, qu'est-Ce sur cette image là? D'où Cela est-il
venu? Pourquoi Cela est-il ici? La science ne peut le nier. Qu'est-Ce
qui est dans la réunion, qui se trouve là passant les gens au peigne
fin, et leur dit: «Il n'y a pas longtemps, vous avez fait ceci. Vous
êtes ici dans ce but. Vous êtes ici pour cela.»
C'est incroyable à l'esprit scientifique.
220 Maintenant, nous connaissons la télépathie. La
télépathie, c'est dire quelque chose, comme lorsque vous dites quelque
chose et je puis dire la même chose, voyez-vous, ou je lis dans votre
pensée, cela arrive alors exactement. Mais lorsque vous voyez que Cela
vous parle des choses qui arriveront dans l'avenir, cela laisse la
télépathie de côté.
221 C'est incroyable que Dieu, dans ces derniers
jours, ait promis de faire une telle chose. Mais c'est vrai, c'est un
paradoxe! Le même Dieu qui a toujours eu des paradoxes et les a
montrés, est le même Dieu aujourd'hui, car Il garde Sa Parole. La
science ne peut Le nier, Le voici sur un appareil photo mécanique.
C'est un paradoxe. Dieu!
222 Qu'est-Ce? Dans Exode, au treizième chapitre,
nous lisons que Dieu a donné aux enfants d'Israël, ce qui était un type
de l'église aujourd'hui; alors qu'ils voyageaient naturellement, nous
voyageons dans l'Esprit. Dimanche prochain, nous prendrons cela.
Souvenez-vous, c'est entièrement sur cela. Maintenant, comme, comment
ils sont allés sur le terrain, matériellement, comme ceci, et Dieu
était avec eux; l'Église est assise avec Christ, dans les Lieux
Célestes, dans les sphères spirituelles, avec toutes les dominations
sous nos pieds. Alléluia! Oui, monsieur.
Et ils avaient une Colonne de Feu, une Lumière
qu'ils suivaient. Là où cette Lumière allait, ils suivaient cette
Lumière. Des milliers d'années ont passé, des centaines et des
centaines d'années se sont écoulées, et C'est toujours vivant. Un
paradoxe! Le même hier... accomplissant les Écritures. Il est ici en
témoignage, pas à cause de nous, mais parce que Dieu l'a promis, que
Jésus-Christ est le même, hier, aujourd'hui et pour toujours. Il est
Celui que Moïse a estimé, les richesses de Christ, ou l'opprobre de
Christ, comme de plus grandes richesses que les trésors d'Égypte. Et
quel était le Christ qui est allé devant Lui? Une Lumière, une Colonne
de Feu.
223 Il a dit: «Je viens de Dieu et Je retourne à
Dieu.» Il l'a fait. «Un peu de temps et le monde ne Me verra plus, mais
vous Me verrez; car Je serai avec vous, même en vous, jusqu'à la fin du
monde.» Juste là, à la fin du monde, Il serait là. Nous y sommes!
224 Après Sa mort, ensevelissement et résurrection,
saint Paul Le rencontra sur la route de Damas, Il était retourné dans
cette Colonne de Feu.
225 Près de deux mille ans ont passé depuis lors, et
Le voici! Pas parmi les dénominations, pas parmi les brillants érudits
du jour, mais un groupe de pauvres et d'humbles personnes. Un paradoxe!
Un paradoxe! Pour ceux qui L'aiment, Le croient, des milliers dans le
monde qui Le croient, c'est pour accomplir Sa promesse du Nouveau et de
l'Ancien Testament. Voilà ce que c'est. Mais c'est un paradoxe.
226 C'était un paradoxe quand Dieu promit de donner
le Royaume à un petit troupeau, au lieu d'une grande église organisée.
«Ne crains pas, petit troupeau, car votre Père a trouvé bon de vous
donner le Royaume.» Cela sera... C'est un paradoxe. C'est un paradoxe.
227 Cela sera un réel paradoxe, l'un de ces jours,
quand Jésus viendra; et les morts en Christ ressusciteront, et ces
corps mortels revêtiront l'immortalité, et l'Enlèvement de l'Église
viendra.
228 Dans ce temps de Noël, alors que les gens font
des achats et dansent, boivent et célèbrent quelque chose au sujet
duquel ils ne connaissent rien, comme s'ils célébraient la naissance de
Washington ou de Lincoln, sans adorer le... Ils ont encore Dieu dans
l'étable.
229 Alors que Dieu n'est pas dans une étable. Il est
ressuscité des morts, et vivant à jamais, vivant parmi nous, prouvant
qu'Il est le même Dieu que celui que les pères Nicéens ont porté, et
qui est venu à travers les âges depuis le jour de la Pentecôte. Le même
Dieu qui rencontra Paul sur la route de Damas; il était un missionnaire
pour les Nations et un messager de Dieu pour les Nations. Le Message
pour les Nations commença par une Visitation de la Colonne de Feu, et
cela se termine de la même manière.