La Plus Grande Bataille Jamais Livrée
La Plus Grande Bataille Jamais Livrée - Shp
1 Merci, Frère Orman. Que le Seigneur te bénisse.
2 Bonjour, mes amis. Je suis heureux d’être de
retour ici ce matin, et c’est un peu imprévu, je pense, pour moi, et je
suis sûr que ça l’est pour l’assemblée. Et, j’étais simplement en train
de lire, et… Merci, sœur. Et il semble que le Seigneur m’a mis à cœur
un petit quelque chose, à apporter à l’Église, et j’ai pensé que
c’était le moment de le faire. Et maintenant, ce…
3 Quand je suis arrivé, et alors, sans savoir que
nous serions ici ce dimanche-ci, j’avais annoncé que j’ai un—un Message
pour l’Église. Et je voudrais, si Dieu le veut, apporter ce Message
dimanche prochain. Et il sera d’une durée assez longue, alors,
probablement qu’on ne sortira pas avant peut-être midi et demi ou une
heure, si à cette heure-là. Je l’ai à cœur depuis longtemps, et je
pense que je me dois de donner une réponse au public, pourquoi je n’ai
pas été actif sur le champ de travail. J’ai prêché tout autour, mais je
suis sûr que ça n’a encore jamais été exprimé tout à fait comme ça
devrait. Alors, je pense, si le Seigneur le veut, dimanche prochain, je
voudrais vraiment prendre mon temps, et présenter clairement la raison
et le pourquoi, et vous faire voir, selon les Écritures, ce qui est en
train d’arriver, voyez-vous, vraiment le pourquoi de tout ceci. En
effet, je vais probablement partir outre-mer ou quelque part, très
bientôt. J’attends maintenant de voir de quel côté Il va m’appeler à
aller. La…
4 Il y a peut-être trois nuits, ou deux nuits, j’ai
reçu un coup de téléphone, il était près de minuit; et c’était pour
prier pour une femme qui était à l’hôpital. Et ils m’ont téléphoné, et
disaient: «Priez.» Je ne me souviens plus du nom qu’ils m’ont donné,
que… Ils disaient que c’était une amie de Mme James Bell, notre sœur
ici, de l’église, une sœur de couleur, une femme très loyale, une femme
très bien. Je crois que le nom, c’était Shepherd, celui qu’on m’a
donné. Alors, je suis sorti du lit et je me suis agenouillé, et—et j’en
ai parlé à ma femme. La sonnerie du téléphone l’avait réveillée. Et
j’ai dit: «Nous devons prier pour Mme Shepherd, une sœur qui a
téléphoné, c’est une amie de Mme James Bell.» Alors, nous avons prié
pour elle, et nous nous sommes remis au lit.
5 Et puis, vers dix ou onze heures, le lendemain,
j’ai reçu un autre appel. C’était Billy. Et il disait que ce n’était
pas Mme Shepherd, il disait que c’était Mme Bell elle-même, et non
l’amie de Mme Bell. «C’était Mme Bell, et elle est à l’hôpital, c’est
très grave.» Et je suis allé à toute vitesse à l’hôpital, mais elle
était partie. Le Seigneur avait appelé Mme Bell à rentrer à la Maison.
6 Mme Bell a été fidèle à se rassembler avec nous,
ici à l’église, depuis des années. Son mari, James, et moi, nous
travaillions ensemble, avec mon père, il y a bien des années, à
rentrer… nous rentrions les wagons de la compagnie de chemins de fer
Pennsylvania dans les entrepôts de Colgate, ici, il y a bien des
années, une trentaine d’années, je pense, ou plus. Et nous aimons Sœur
Bell. C’était une personne formidable.
7 Et d’après ce que j’ai compris, elle a eu une
crise aiguë d’un problème de vésicule biliaire, et ils… Son médecin,
qui connaissait très bien le cas, n’était pas en ville à ce moment-là.
Un nouveau médecin est venu l’examiner et—et il a suggéré qu’elle soit
opérée d’urgence, et elle n’y a pas survécu. Et—et elle était… Je pense
que son… Ce que j’en ai compris, c’est que son médecin traitant
n’aurait pas prescrit la—l’opération, vu qu’elle était corpulente et
que sa vésicule biliaire était en mauvais état. Et, elle avait des
calculs, je pense, ou quelque chose dedans, et—et le Seigneur avait été
miséricordieux. Elle avait eu de ces crises-là auparavant, et le
Seigneur s’en était occupé, bien des fois. Mais il s’est simplement
trouvé que… Enfin, tout bien pesé, nous dirons ceci: Dieu avait appelé
Sœur Bell, et c’est comme ça qu’il fallait le prendre, vous voyez.
8 Et comme il l’avait mal exprimé, la façon dont il
m’a transmis ça, j’ai pensé qu’il s’agissait de Mme… d’une Mlle
Shepherd. Je ne connaissais pas Mlle Shepherd. La dame est peut-être
ici ce matin, et peut-être que je la reconnaîtrais si je voyais son
visage. Mais on disait que c’était une Mme Shepherd. Et si toute la
chose s’est passée comme ça, c’est parce que si… Si j’avais su que
c’était Mme Bell qui était dans cet état-là, je serais probablement
allé là-bas et j’aurais tout de suite intercédé pour elle. Et alors,
voyez-vous, ça, Dieu ne voulait pas que nous fassions ça, peut-être.
Alors, «nous savons que toutes ces choses concourent au bien de ceux
qui aiment Dieu».
9 Et je suis sûr que Sœur Bell aimait notre
Seigneur. Elle était une brave femme. Or, elle est l’une d’entre nous.
Ici, nous n’avons pas de lignes de démarcation raciales. La famille de
Dieu ne trace pas de lignes de démarcation raciales. Que nous soyons
rouges, bruns, noirs ou jaunes, peu importe, blancs, quoi que ce soit,
nous sommes frères et sœurs en Christ. Et alors, nous—nous l’aimons. Et
elle nous manquera, à nous du tabernacle. Combien ils vont me manquer,
ces gros «amen» vigoureux de Sœur Bell, là-bas au coin. Et quand on la
ramenait à la maison, elle parlait du Seigneur Jésus.
10 Et si j’ai bien compris, je ne l’ai su qu’il y a
quelques instants, mais je pense que son service funèbre doit se faire
ici même à l’église. [Frère Neville dit: «C’est exact.» —N.D.É.] Mardi
qui vient, à [«Une heure.»] une heure. Et je pense que c’est toi et moi
qui devons officier [«C’est exact.»] à ce service funèbre.
11 Mais, seulement à titre d’assemblée, comme nous
sommes affaiblis, avec une personne en moins, ce matin. Par respect
pour notre Sœur Bell, levons-nous donc un petit instant, alors que nous
courbons la tête.
12 Dieu de la vie, qui donnes et qui ôtes la vie;
comme Job l’a dit autrefois: «L’Éternel donne, et l’Éternel ôte; que le
Nom de l’Éternel soit béni.» Il y a quelques années, Tu as envoyé Sœur
Bell parmi nous, pour qu’elle soit concitoyenne avec nous du grand
commonwealth de Dieu. Et nous Te remercions pour chaque inspiration
qu’elle a été pour nous: comme elle aimait chanter et témoigner, et
elle était tellement remplie de l’Esprit qu’elle se mettait à pousser
des cris et à jubiler. Et elle n’avait pas honte de l’Évangile de
Jésus-Christ, car c’était la Puissance de Dieu pour son salut. Voyant
ses années s’accumuler, et le moment vient où nous devons tous répondre
à l’appel. Aussi Tu l’as ôtée du milieu de nous, ce matin, pour qu’elle
soit dans Ta Présence, car, assurément, quand nous partons d’ici, nous
sommes dans la Présence de Dieu.
13 Ô Dieu, nous Te remercions pour tous. Nous Te
prions de bénir son mari, mon ami, James; son fils, ses filles, tous
ceux-là. D’après ce que nous avons compris, son garçon rentre de
l’Allemagne en avion, des forces armées, il revient à la maison pour
rendre les derniers hommages qu’il peut rendre sur terre à sa défunte
mère. Comme le cœur de ce jeune homme doit palpiter, ce matin. Je prie
pour lui, Seigneur. Ô Dieu, bénis-le. Bénis Jimmy, et comme il… de le
voir travailler là-bas, pendant des heures fatigantes, pour pourvoir
aux besoins de sa famille. Je prie que cette grande famille ne soit pas
séparée, mais que la roue familiale reste intacte dans ce Pays, de
l’autre côté.
14 Puissions-nous, Seigneur, resserrer maintenant
l’armure et la ceinture, un peu plus serré, et partir au combat
maintenant, livrer bataille avec une personne de moins que ce que nous
avions il y a une semaine. Nous Te prions de nous soutenir et de nous
fortifier, et de nous aider alors que nous continuons à avancer, et, un
jour, puissions-nous tous nous rassembler de nouveau de l’autre côté.
Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
15 Maintenant, que l’âme de notre défunte sœur
repose en paix. J’aimerais dire que son—son service funèbre sera prêché
ici dimanche, ou, mardi, et nous… Tous ceux qui voudront venir seront
les bienvenus. Je pense que Frère Neville ici doit avoir les détails de
ce qu’ils ont convenu. [Frère Neville répond par l’affirmative.
—N.D.É.] Et, tu les as eus. Maintenant, aujourd’hui, simplement, je…
16 Voyez-vous, il n’y a pas trop de monde. S’il y a
un siège quelque part qu’on pourrait apporter pour Frère et Sœur
Slaughter, au fond. J’ai eu votre appel, Sœur Slaughter, et je me suis
mis en prière pour votre… l’autre Sœur Slaughter, Sœur Jean Slaughter,
qui souffre de cette maladie fébrile, la tularémie. Elle est vraiment
très atteinte, mais nous mettons notre confiance en Dieu que tout ira
bien pour elle.
17 Maintenant nous voulons lire dans l’Écriture. Et
je veux simplement enseigner ce matin, en prenant mon temps, parce que,
depuis mon retour de l’Arizona, eh bien, j’ai la gorge un petit peu
irritée.
18 Et, maintenant, dimanche prochain, n’oubliez pas,
et je pense que Billy a déjà posté les—les annonces. Et ce sera une
réunion qui sera passablement longue, nous croyons, alors venez aussi
tôt que vous pourrez. Nous voulons commencer tout de suite, vers les
neuf heures et demie, ou, je veux dire, dix heures. Et peut-être,
souvenez-vous, vers une heure ou une… peut-être, ou midi et demi, une
heure, quelque chose comme ça, c’est trois ou quatre heures, ou plus,
que j’aimerais prendre, et simplement prendre les Écritures. Apportez
votre crayon et du papier, et mettez ça par écrit. S’il y a une
question, posez—posez-la, vous voyez, et peut-être que nous pourrons
donner l’explication, aider du mieux que nous pourrons.
19 Maintenant, lisons d’abord quelques passages de
l’Écriture, maintenant. Il y a trois passages de la Bible que
j’aimerais lire. Le premier, si vous voulez le noter, et, si vous avez
un crayon. Je voudrais me référer, ce matin, à plusieurs textes
auxquels je… ou plutôt, plusieurs passages de l’Écriture auxquels
j’aimerais me référer. Le premier sera I Pierre 5.8-10, Éphésiens
6.10-17, et Daniel 12.1-14. Maintenant, en lisant, nous prendrons notre
temps.
20 Presque tout le monde est assis. Alors, il reste
encore quelques personnes debout, à l’arrière et sur le côté. Mais nous
allons essayer de faire aussi vite que possible, pour que vous puissiez
partir, ensuite nous allons prier pour les malades.
21 Il y a une petite demoiselle étendue ici, ce
matin, qui est très malade. D’après ce que j’ai compris, elle était
très malade hier. Et je—je tenais à ce qu’elle entende, d’abord, ce
matin ‘ avant que je prie pour elle. Et je connais l’état de la petite
demoiselle. Elle est très malade, mais nous avons un très grand Père
Céleste qui a été plus que vainqueur sur toute maladie. Et j’ai un—un
petit…
22 J’avais demandé à Mme Woods de le lire, mais
elle—elle était un peu réticente à—à le faire. Un article, qui raconte
qu’un médecin a eu toute une surprise. Alors qu’il était de ceux qui
critiquaient la guérison Divine, et qu’il ne permettait même pas à qui
que ce soit d’en parler dans son cabinet; son infirmière aussi. Alors,
il s’est trouvé qu’il a eu une patiente qui était un cas de cancer, un
gros cancer. Il ne voulait rien avoir à faire avec ça, alors il l’a
envoyée à une autre clinique. Là-bas non plus ils ne voulaient rien
avoir à faire avec ça, alors ils l’ont renvoyée. Alors ils… Oh, c’était
sur le sein, et c’était dans un état terrible. Et toute la peau avait
été rongée. Et le cancer, il était descendu dans le sein, dans les
côtes. Je pense que vous comprenez ce que je veux dire.
23 On a notre ami, le petit médecin de la Norvège,
qui est assis avec nous ce matin.
24 Il a préparé tout son matériel, car il disait
qu’il savait que—qu’elle voulait qu’il l’opère pour enlever le sein. Et
c’était un travail qui allait être très sanglant. Et—et il avait toutes
ses compresses, et tout. L’infirmière a préparé la dame et l’a emmenée
dans la salle d’opération, et elle est retournée chercher les
instruments, aussi, qui devaient être utilisés par le médecin et son
assistant, pour enlever le sein. Et alors, ils avaient posé les
serviettes et tout sur elle. Et alors, ils allaient…
25 Comme il allait se mettre en train, le mari de la
dame a demandé s’il pouvait s’asseoir au fond de la salle pour prier.
Il était un prédicateur de la sainteté. Il s’est assis là près du pied
du lit, et il priait. Évidemment, le médecin n’était pas tout à fait
content de ça, vous savez, qu’il soit là. Mais pourvu qu’il ne regarde
pas, et que ça n’allait pas le déranger, eh bien: «Je pense que ça
pourrait aller; il ne va pas—ne va pas s’évanouir.»
26 Alors, pendant qu’il était assis, à prier, il y a
eu un frémissement dans la salle. Le médecin se tourne pour aller, là,
avec son instrument, commencer à enlever le sein. Il a ôté une
compresse après l’autre, il n’y avait pas même une marque sur le sein;
pas même une marque. Il a dit: «Est-ce que—est-ce que ça… Est-ce que ça
se déplace?» Et il s’est mis à… Et l’infirmière a donné son témoignage.
Tous les deux, ils s’en sont allés, ils sont devenus pentecôtistes,
remplis du Saint-Esprit, ils servent le Seigneur. Pas même une marque!
27 Le docteur Holbrook en a témoigné lui-même, il a
dit: «Une minute plus tôt, la—la femme était étendue là, et
l’infirmière, et cet énorme cancer qui dépassait de partout sur son
sein. Et une minute plus tard, il n’y avait pas même une marque à
l’endroit où il avait été ôté.» Il s’agit de l’un de nos excellents
médecins ici en Amérique. Il a dit qu’il a été convaincu aussitôt. Et
il, pourtant, il était diacre dans une église. Voyez?
28 Voyez-vous, les gens pensent que l’église, c’est
seulement quelque chose, on y va, simplement, et c’est: «Oh, on va là
pour apprendre à être bon, ou quelque chose comme ça.» Ce n’est pas ça,
mon ami. Non. Dieu est Dieu. Il est tout aussi grand aujourd’hui qu’Il
l’a été, toujours été. Et Il sera toujours le même. Et Il est un… Nous
L’aimons, tout simplement.
29 Maintenant, nous voulons lire, maintenant, dans I
Pierre, au chapitre 5, les versets 8 et 10, pour commencer.
Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable,
rôde… un lion rugissant, cherchant qui il dévorera.
Résistez-lui fermement avec… foi, sachant que les
mêmes souffrances sont imposées à vos frères dans le monde.
Le Dieu de toute grâce, qui vous a appelés en
Jésus-Christ à sa gloire éternelle, après que vous aurez souffert un
peu de temps, vous perfectionnera lui-même, vous affermira, de la
force, et vous rendra inébranlables.
30 Oh, que Dieu en soit loué! Maintenant dans
l’Épître aux Éphésiens. Nous aimerions prendre ici l’Épître aux
Éphésiens, au chapitre 6, et nous aimerions lire les versets 10 à 17,
que j’ai notés.
Au reste, mes frères, fortifiez-vous dans le
Seigneur et dans la puissance de sa force;
Revêtez-vous de l’armure complète de Dieu, afin que
vous puissiez tenir ferme contre les artifices du diable:
Car notre lutte n’est pas contre le sang et la
chair, mais contre les principautés, contre les autorités, contre les
dominateurs des ténèbres du siècle—de ce siècle, contre la puissance
spirituelle de méchanceté qui est dans les lieux célestes.
C’est pourquoi, prenez l’armure complète de Dieu,
afin que, au mauvais jour, vous puissiez résister,… après avoir tout
surmonté, tenir ferme.
Tenez donc ferme, ayant ceint vos reins de la
vérité… ayant revêtu la cuirasse de la justice,
Et ayant chaussé vos pieds de la préparation de
l’Évangile de paix;
Par-dessus toutes choses… le bouclier de la foi, par
lequel vous pourrez éteindre tous les dards enflammés du méchant.
Prenez aussi le casque du salut, et l’épée de
l’Esprit, qui est la parole de Dieu. [version Darby—N.D.T.]
31 Maintenant, dans le Livre de Daniel, j’aimerais
encore lire. Maintenant, Daniel, au chapitre 12. Je veux commencer au
verset 1, et en lire un—un assez long bout, quatorze versets.
Et en ce temps-là se lèvera Micaël, le grand chef,
qui tient pour les fils de ton peuple; et ce sera… temps de détresse
tel qu’il n’y en a pas eu depuis qu’il existe une nation jusqu’à ce
temps-là. Et en ce temps-là ton peuple sera délivré: quiconque sera
trouvé écrit dans le livre.
Et plusieurs qui dorment dans la poussière de la
terre se réveilleront, et les uns pour la vie éternelle… les autres
pour l’opprobre, pour être un objet d’horreur éternelle.
Et les sages brilleront comme la splendeur de
l’étendue, et ceux qui ont enseigné—enseigné la justice à la multitude,
comme les étoiles, à toujours et à perpétuité.
Et toi, Daniel, cache le—cache le… livre jusqu’au
temps de la fin. Plusieurs courront çà et là; et la connaissance sera
augmentée.
Et moi, Daniel, je regardai; et voici deux autres
personnages qui se tenaient, l’un deçà, sur le bord du fleuve, et l’un
sur… delà, sur le bord du fleuve.
Et il dit à l’homme vêtu de lin qui était au-dessus
des eaux du fleuve: Jusques à quand la fin de ces… merveilles?
Et j’entendis l’homme vêtu de lin qui était
au-dessus des eaux du fleuve; et il leva sa main droite et sa main
gauche vers les cieux, et jura par celui qui vit éternellement que ce
serait pour un temps déterminé, un temps, et une moitié de temps; et
lorsqu’il aura achevé de briser la force du peuple saint,… ces choses
seront achevées. [version Darby—N.D.T.]
32 Je crois que je vais m’arrêter juste là. Je veux
prendre là un sujet, si on peut appeler ça un sujet, tiré de là, pour
en arriver à cette conclusion-ci: La plus grande bataille jamais
livrée. C’est ce que je veux prendre comme sujet.
33 Maintenant, ce qui m’a amené à ceci, comme sujet
pour ce matin. Nous venons de rentrer; quelques administrateurs de
l’église ici, et moi-même, nous étions en Arizona. Et nous y sommes
allés, en fait, pour faire une réunion à Phoenix, avec Frère Sharrit, à
son tabernacle. Mais quand j’ai vu qu’un—un frère était en ville, qu’il
faisait des réunions sous la tente, eh bien, alors je—j’étais un peu
réticent à faire une réunion. J’envisageais de la faire peut-être le
dimanche après-midi, pour que ça ne nuise à personne, les églises. Mais
j’ai vu qu’il faisait aussi des réunions le dimanche après-midi. Et je
n’étais pas—pas tout à fait tranquille à l’idée de faire une réunion.
34 Alors, nous les frères, au lieu de continuer
pendant la journée, vu que nous étions à la chasse, là nous sommes
allés en ville et nous nous sommes préparés, et nous sommes allés aux
réunions de Frère Allen. Frère A. A. Allen faisait des réunions. Alors
nous sommes allés aux réunions, et Frère Allen a prêché un sermon
puissant. Nous avons passé des—des moments, des bons moments, à écouter
prêcher Frère Allen, à écouter les—les chanteurs, et tout, les gens
chantaient et poussaient des cris, et ç’a été une réunion formidable.
35 Et puis nous avons vu, tout le long du chemin, la
main du Seigneur. Partout où nous allions, le Seigneur Jésus était là
avec nous. Et c’est quelque chose de spécial, d’être là, tout seul,
là-bas dans les régions sauvages. C’est quelque chose de spécial, si
jamais vous vous retrouvez seul comme ça, il y a quelque chose qui vous
attire. Ça, je pense, c’est l’une des raisons pour lesquelles j’aime
les endroits reculés. On s’éloigne de la puissance de l’ennemi, ce
qu’on a tant ici.
36 Un démon est presque inoffensif, à moins qu’il
ait quelque chose dans quoi agir, il le faut. Vous vous souvenez de ces
démons qui ont été chassés de Légion, ce qu’ils avaient? Ils voulaient
encore faire des mauvais coups, alors ils voulaient entrer dans les
pourceaux. Donc, les démons doivent avoir quelque chose dans quoi agir,
quelqu’un à travers qui agir.
37 Et c’est ce que Dieu fait, Lui aussi. Il doit
nous avoir, nous. Il compte sur nous, pour agir à travers nous.
38 Et, pendant ce voyage-là, beaucoup sont venus,
avec des songes. Et le Seigneur Jésus n’a jamais manqué de donner
l’interprétation, très exactement, et c’était précisément ça, tout à
fait comme ça.
39 Et puis, Il a été bon envers nous, Il nous menait
vers le gibier et nous disait où il se trouvait. Et, vous savez, rien
que d’être là, comme ça, c’est tout simplement merveilleux. De
s’asseoir, le soir, autour d’un feu de camp, loin de tout le monde, à
des milles et des milles et des milles, et de regarder le feu de camp
danser tout autour, au bord des rochers. Et, oh, c’était extraordinaire!
40 Il y avait un frère, là, sa femme lui donnait du
fil à retordre, elle avait… Il y a plusieurs années, elle avait levé la
tête, à une réunion où je faisais un service. J’avais demandé aux gens
de garder la tête baissée: il y avait un mauvais esprit qui ne voulait
pas sortir de—d’une femme, sur l’estrade. Et la dame, tout simplement
irrespectueuse, a quand même levé la tête. Et l’esprit est sorti de la
femme sur l’estrade, et il est allé à elle. Il y a environ quatorze ans
de ça, et depuis, la dame est dans un état grave; à un point tel, même
mentalement, qu’elle fait tout simplement des choses qui ne sont même
pas convenables. Par exemple, elle a quitté son mari à elle, et elle
est allé se marier avec un autre homme, alors qu’elle vivait avec son
mari; elle a affirmé qu’elle l’avait fait sans le savoir. Et, alors,
on—on a voulu l’examiner pour ça — quel est le nom qu’on donne à ça,
quand on… Amnésie? Ça… Oh, quel que soit le nom. Je pense que c’est
bien ça, docteur. Mais il ne s’agissait pas de ça. C’était un esprit.
Et son… Et la dame était une bonne amie à moi. Mais à partir de ce
soir-là, elle a fait exprès de me détester. Évidemment, vous pouvez
voir pourquoi.
41 Mais alors, quand son mari est venu, et que nous
nous sommes agenouillés dans la pièce pour prier, alors le Saint-Esprit
est descendu. Avec ça, c’était classé. Ensuite Il est apparu à son
mari, cette nuit-là, dans un songe. Il est revenu avec son songe, il le
trouvait cocasse. Et il s’est trouvé que c’était la réponse, exactement
ce qu’il fallait pour la guérison de sa femme. Oh, comme le
Saint-Esprit a agi!
42 Nous avons continué jusqu’à Tucson, avec Frère
Norman et les autres, et là aussi le Seigneur s’est mis à I’œuvre, à
faire de grandes choses, des choses puissantes, et à révéler des choses.
43 Un soir, et c’est ce qui m’a amené à cette
conclusion-ci, j’étais avec Frère Wood et Frère Sothmann. Et nous
étions… C’était vers dix heures du soir, j’avais les yeux levés vers le
ciel, et j’ai été saisi d’un grand émerveillement. Et j’ai dit:
«Regardez donc! Toute cette grande armée céleste! «Et j’ai dit: «Tout
est dans une harmonie parfaite.»
44 Et Frère Wood a dit: «En regardant deux petites
étoiles, elles étaient si rapprochées que ça avait l’air d’une lumière.»
45 J’ai dit: «Mais, tu sais, Frère Wood, d’après la
science, dans cette Ourse, la Petite Ourse, la Grande Ourse, à les voir
on dirait que ces étoiles ne sont pas éloignées de plus de deux pouces
[5 cm—N.D.T.], alors qu’elles sont plus loin l’une de l’autre que nous
sommes loin d’elles. Et si elles partaient en direction de la terre, ça
prendrait, à des milliers de milles à l’heure, ça prendrait des
centaines et des centaines d’années avant qu’elles atteignent la
terre.» Et j’ai dit: «Dans tout ce grand, ce vaste système, ici, et
pourtant on nous dit qu’ils regardent dans des longues-vues et qu’ils
peuvent voir à cent vingt millions d’années de temps-lumière, très loin
là-dedans; et il y a encore des lunes et des étoiles. Et—et pourtant,
Dieu a fait chacun de ces astres. Et Il est assis au milieu d’eux.»
46 J’ai dit: «Quelque part là-dedans, on m’a montré,
une fois, dans un observatoire, le zodiaque: ça commence par la Vierge,
et ça passe par l’âge du Cancer, et ainsi de suite jusqu’au dernier,
qui était le Lion, le signe du Lion. La première venue de Christ, par
la vierge; la seconde venue, par le Lion de la tribu de Juda.» Et j’ai
dit: «J’ai essayé du mieux que j’ai pu, de voir le zodiaque, et je
n’arrive pas à le voir. Et pourtant il est là. Ceux qui ont reçu une
formation, ils savent qu’il est là. Job l’a vu. Autrefois, des hommes
l’observaient. À une époque, c’était une Bible. Mais dans toute cette
énorme masse de millions et de milliards de—d’années-lumière, Dieu est
assis au milieu de tout cela, et Il regarde d’en haut. Paul est là. Ma
mère est là, quelque part, elle regarde d’en haut.»
47 Et je pensais à l’ordre de cette armée céleste:
pas un seul de ces astres n’est en dehors de sa place. Chacun d’eux est
parfaitement bien réglé. La grande armée de Dieu! Je pensais aux
soldats; si jamais il arrivait que la lune sorte de sa place, la terre
serait de nouveau couverte d’eau, au bout de seulement quelques
minutes. La terre serait exactement comme elle était quand Dieu a
décidé de l’utiliser, pour nous mettre ici. «Elle était informe et
vide, et les ténèbres, et l’eau couvrait l’étendue de la terre.» Et si
jamais cette lune se déplaçait, il se passerait la même chose de
nouveau. Quand la lune, dans son déplacement, s’éloigne un peu de la
terre, les marées montent. Quand elle descend, ça suit simplement les
marées. C’est la grande armée de Dieu. Quand j’ai pensé à… que c’était
là la grande armée de Dieu.
48 Alors, nous sommes allés nous coucher. Et je me
suis mis à penser que pas un seul d’entre eux ne quitte sa place. Ils
restent tous en place. Et s’il y a un déplacement, quelque part, parmi
eux, c’est dans un but, et cela affectera cette terre. Nous en voyons
les résultats en ce moment, du déplacement de quelques-uns d’entre eux
pour aller dans leurs autres zones. Cela a un effet. Cela affecte tout.
49 Et alors, j’ai pensé: si cette grande armée
céleste, comme ça, doit rester à sa place pour que tout soit en ordre,
qu’en est-il du désordre de l’armée terrestre? Quand l’un n’est pas en
ordre, comme toute la chose se retrouve de travers! Le programme entier
de Dieu est bouleversé quand un seul membre n’est pas en ordre. Nous
devrions nous efforcer constamment de maintenir l’ordre de l’Esprit.
50 Si Dieu pouvait permettre, ce matin, que ceci
nous amène à avoir un vrai service de guérison, que nous puissions
garder cette partie… ce groupe de gens que nous avons ici, rassemblés
sous ce toit, ce matin, dans une telle harmonie, que le Saint-Esprit
place chaque membre du Corps, présent ce matin, dans une harmonie telle
qu’il y aurait une guérison vraiment spontanée de l’âme et du corps —
si seulement nous restons à notre position.
51 Maintenant, comme je le disais au début, cette
dame qui avait ce cancer que le docteur Holbrook enlève… allait
enlever. Maintenant, le Dieu qui a fait entrer ce bruit de frémissement
dans cette clinique, et qui a ôté ce cancer sans même laisser une
marque, ne savez-vous pas que ce même Dieu est ici? [L’assemblée dit:
«Amen.» —N.D.É.] Et la seule chose qu’Il attend, c’est que Son—Son
armée prenne sa position, comme les astres, prenne sa position.
52 Maintenant, savez-vous, nous avons eu des guerres
et des guerres, et des bruits de guerre? Et si la terre subsiste, des
guerres, nous en aurons encore beaucoup. Mais est-ce que vous vous
rendez compte qu’en fait il n’y a que deux puissances dans tout
l’univers? De toutes nos divergences, celles qu’il y a entre les
nations, et les divergences entre nous, et tout, au bout du compte il y
a seulement deux puissances. Il n’y a que deux puissances, et il n’y a
que deux royaumes: deux puissances et deux royaumes. Toutes les autres
choses, les petites choses mineures, se rattachent à l’une ou l’autre
de ces puissances. Et ces puissances, ce sont la puissance de Dieu et
la puissance de Satan. C’est ce que… Toutes les guerres, tous les
désordres, tout ce qui arrive, c’est contrôlé soit par la puissance de
Dieu soit par la puissance de Satan, parce que ce sont les deux seules
puissances qui existent. Et ce sont la puissance de la vie et la
puissance de la mort. Alors, ce sont les deux seules puissances.
53 Et Satan peut seulement… Sa puissance, qu’il a,
c’est la puissance de Dieu pervertie. Ce n’est pas une vraie puissance.
C’est une perversion de la puissance de Dieu — tout ce que Satan a. La
mort, c’est seulement une vie pervertie. Un mensonge, c’est seulement
la vérité racontée de travers. Voyez? L’adultère, c’est un—un acte mal
utilisé, un acte juste, qui est mal utilisé. Voyez? Tout ce que Satan
possède, c’est quelque chose qui a été perverti, mais c’est une
puissance.
54 Et, aujourd’hui, nous sommes assis ici, et l’une
ou l’autre puissance va nous contrôler. Alors, chassons le méchant.
Prenons notre position, comme les astres des cieux.
55 Comme le dit la Bible: «Des astres errants», dans
le Livre de Jude, «rejetant l’écume de leurs impuretés.» Nous ne
voulons pas être des astres errants, nous demander si ceci est juste,
nous demander si cela est juste, nous demander si la chose va arriver,
nous demander comment la chose pourrait se faire. Ne soyez pas errants.
Restez là comme ces astres du ciel, comme un vrai soldat à son poste.
Tenez-vous là, avec foi! La vie et la mort.
56 Maintenant, une armée, en réalité, quand une
armée, qu’une nation se prépare à attaquer une autre nation, elle
devrait d’abord s’asseoir et considérer ce qui convient et ce qui ne
convient pas, et s’ils sont capables ou pas d’attaquer l’autre nation.
Jésus l’a enseigné. Et si les gens faisaient ça, si les nations
se—s’asseyaient, qu’elles s’arrêtaient à réfléchir à ces choses, des
deux côtés, nous n’aurions plus de guerre.
57 Maintenant, nous voyons que, si un homme ne fait
pas ça, si les chefs militaires de la nation ne s’assoient pas d’abord
pour considérer et s’assurer qu’ils ont raison, et que leurs motifs et
leurs objectifs sont bons, examiner s’ils ont assez d’effectifs et de
forces pour vaincre l’autre armée, alors la défaite est assurée pour
eux.
58 C’est là que le général Custer a commis son
erreur fatale. Le général Custer, d’après ce que j’ai compris, avait
reçu des ordres du gouvernement, de ne pas pénétrer dans le territoire
des Sioux, parce que c’était une période religieuse pour eux, c’était
une période d’adoration. Ils célébraient une fête. Mais Custer s’est
enivré, et il s’est dit qu’il allait tout simplement le faire quand
même. Il allait traverser, que ce soit les ordres ou pas les ordres. Et
alors ils sont allés jusqu’à tirer des hommes innocents, tirer sur eux;
je pense qu’ils en ont atteint quelques-uns. C’étaient des éclaireurs,
qui étaient allés chercher de la nourriture pour nourrir leur—leur
peuple pendant qu’il adorait. Et Custer, en traversant, il les a vus,
et il a cru qu’ils voulaient s’en prendre à leur camp, alors ils ont
tiré sur ces éclaireurs. Et ces éclaireurs ont pris la fuite, et sont
rentrés. Qu’est-ce qu’ils ont fait? Ils se sont armés, et les voilà qui
reviennent. Et ç’a été la fin du général Custer, parce qu’il ne s’est
pas assis d’abord pour réfléchir.
59 Il n’était pas à sa place là-bas. Il n’avait pas
le droit d’être là. De toute façon, il avait déjà repoussé les Indiens,
depuis la Côte Ouest jusqu’à l’autre bout, dans l’Ouest. Et ils avaient
conclu un traité, mais il a violé le traité. Et une fois qu’il a eu
violé le traité, c’est là qu’il a perdu la bataille.
60 Donc, une armée, premièrement, en se préparant au
combat, premièrement, il faut faire une sélection, des soldats. Ils
doivent être vêtus pour le combat. Ils doivent être entraînés pour le
combat.
61 Et je crois que la plus grande bataille qui a
jamais été livrée, est maintenant prête à s’engager. Je crois que Dieu
a sélectionné Ses soldats. Je crois qu’Il les a vêtus, qu’Il les a
entraînés. Et le front de bataille est maintenant en place, on se
prépare à commencer.
62 Cette grande bataille, la première qui a jamais
été livrée, a commencé dans le Ciel, quand Michel et Ses Anges ont
livré bataille à Lucifer et ses anges. Elle a d’abord commencé, la
première bataille a eu lieu dans le Ciel. Donc, le péché n’a pas eu son
origine sur terre, il a eu son origine dans le Ciel.
63 Ensuite il a été précipité du Ciel, chassé du
Ciel, pour venir sur la terre, et il s’est jeté sur les êtres humains.
Alors, la bataille, qui en avait été une d’anges, est devenue une
bataille d’êtres humains. Et Satan est venu pour détruire la création
de Dieu, ce que Dieu avait créé pour Lui-même. Il, Satan, est venu pour
détruire ça. C’était là son but, c’était de détruire ça. Alors la
bataille s’est engagée ici sur terre, elle s’est engagée en nous, et
elle fait rage depuis lors.
64 Maintenant, avant de pouvoir se ranger en ordre
de bataille, d’abord il faut toujours choisir un terrain de rencontre,
ou un lieu où se livrera la bataille, un lieu déterminé.
65 Pendant la Première Guerre mondiale, il y a eu un
tel emplacement, un no man’s land et des lieux où ils livraient
bataille. Il faut qu’il y ait un lieu qu’ils aient déterminé.
66 Par exemple, quand Israël est allé faire la
guerre aux Philistins, il y avait une—une—une colline de chaque côté du
lieu où ils se rassemblaient. Et c’est là que Goliath est sorti et a
lancé un appel aux armées d’Israël. C’est là que David a marché à sa
rencontre, dans la vallée, quand il a franchi le petit ruisseau qui
coulait entre les deux collines, il y a ramassé ses cailloux.
67 Il faut qu’il y ait un lieu qui ait été
déterminé. Et là, il y a un—un terrain commun, un no man’s land, et ils
livrent bataille ici, dans ce lieu. Ils ne vont pas simplement, l’un
qui livre bataille ici, et l’autre là, et l’autre se précipite là-bas.
Il y a un front de bataille, où ils se rencontrent et mettent leurs
puissances à l’essai, où chaque armée met sa force à l’essai contre
l’autre armée, un lieu commun de rencontre. Maintenant ne (saisissez)
manquez pas ceci.
68 Quand cette grande bataille s’est engagée sur
terre, il a fallu qu’il y ait un lieu commun de rencontre. Il a fallu
déterminer un lieu où la bataille allait s’engager, et où la bataille
allait faire rage. Et ce champ de bataille a commencé dans la pensée
humaine. C’est là que la bataille s’engage. La pensée humaine a été
choisie comme lieu de la bataille, où elle allait s’engager, et c’est
parce que les décisions se prennent dans la pensée, dans la tête.
Maintenant, ils n’ont jamais pris une organisation comme point de
départ. Ils n’ont jamais pris une mécanique quelconque comme point de
départ. Ce n’est pas du tout sur ce champ-là que ça a commencé. Ainsi
donc, une organisation ne pourra jamais, jamais, faire l’œuvre de Dieu.
parce que le champ de bataille, là où vous devez affronter votre
ennemi, c’est dans la pensée. Vous devez faire votre choix. Vous v êtes
confrontés.
69 Je veux que cette petite fille, ici, qui est très
malade, ne manque pas d’écouter ceci, maintenant, très attentivement.
70 Les décisions se prennent dans la pensée, dans la
tête. C’est là que Satan vous affronte, et que se font les décisions,
parce que Dieu a fait l’homme ainsi.
71 Maintenant, j’ai (si vous regardiez ce que j’ai
noté ici) tracé un petit croquis. Je l’avais ici, il n’y a pas
longtemps, sur… on s’en est servi au tableau. L’être humain est fait
exactement comme un grain de blé. C’est une semence. Et l’être humain
est une semence. Physiquement, vous êtes la semence de votre père et de
votre mère; la vie vient du père, la partie charnue vient de la mère.
Alors, les deux, ensemble, l’ovule et le—le sang, s’unissent. Et dans
la cellule sanguine, il y a la vie; le développement s’amorce en elle,
pour produire le—l’enfant. Or, toute semence a une enveloppe
extérieure; à l’intérieur, il y a une partie charnue; et à l’intérieur
de la partie charnue, il y a le germe de la vie. Eh bien, c’est comme
ça que nous sommes faits. Nous sommes corps, âme et esprit.
L’extérieur, le corps: l’enveloppe; à l’intérieur de ça, la conscience
et ainsi de suite, c’est l’âme; et à l’intérieur de l’âme, c’est
l’esprit. Et c’est l’esprit qui gouverne tout le reste.
72 Maintenant, si vous vous asseyez, en rentrant
chez vous, et que vous dessinez trois petits ronds. Vous verrez que
l’extérieur, le corps, a cinq sens par lesquels il peut être contacté,
et ce sont la vue, le goût, le toucher, l’odorat, l’ouïe. Ce sont les
cinq sens qui contrôlent le corps humain.
73 À l’intérieur du corps, il y a une âme, et l’âme,
elle, est contrôlée par les imaginations, la conscience, la mémoire,
les raisonnements, et les affections. C’est ce qui contrôle l’âme.
74 Mais l’esprit, lui, il n’a qu’un seul sens.
L’esprit… Oh, saisissons-le bien. L’esprit a un seul sens, et ce sens,
c’est, ce qui le domine, c’est soit la foi ou bien le doute. C’est tout
à fait exact. Et il n’a qu’une voie d’accès, c’est le libre arbitre.
Vous pouvez accepter le doute ou vous pouvez accepter la foi, l’un ou
l’autre, selon ce que vous voulez faire agir. Par conséquent, Satan a
commencé au point principal, à inciter l’esprit de l’homme à douter de
la Parole de Dieu. Dieu a commencé au point principal, à établir Sa
Parole dans cet esprit. Voilà. C’est ça qui agit.
75 Si cette église, maintenant même, pouvait être
unie et liée si étroitement que toutes les personnes soient d’un commun
accord, qu’il n’y ait pas l’ombre d’un doute nulle part, d’ici cinq
minutes il n’y aurait plus une seule personne faible au milieu de nous.
Il n’y aurait personne ici qui désire le Saint-Esprit, qui ne Le
recevrait, si seulement vous pouviez régler cette chose-là. Donc, c’est
là que la bataille s’engage, en plein là, dans votre pensée, à savoir
si vous voudrez.
76 Maintenant, souvenez-vous, il ne s’agit pas de la
Science Chrétienne, là, de la victoire de la pensée sur la matière. Ça
n’a… La pensée accepte la Vie, c’est-à-dire la Parole de Dieu, et C’est
de là que vient la Vie. Ce n’est pas seulement votre pensée qui le
fait, mais la Parole de Dieu, amenée dans le canal de votre pensée.
Voyez? Ce n’est pas la pensée, comme le dit la Science Chrétienne, la
victoire de la pensée sur la matière. Non. Ce n’est pas ça.
77 Mais votre pensée L’accepte. Elle La saisit.
Qu’est-ce qui contrôle votre pensée? Votre esprit. Et votre esprit
saisit la Parole de Dieu, et c’est en Elle que se trouve la Vie. Elle
fait entrer la Vie en vous. Oh, frère! Quand cette chose-là arrive,
quand la Vie descend en vous par ce canal, la Parole de Dieu est
manifestée en vous. «Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles
demeurent en vous, alors demandez ce que vous voudrez, et cela vous
sera accordé.»
78 Alors quel effet est-ce que cela produit? À
partir du centre du cœur, c’est-à-dire de l’âme, à partir de là, il y
aura une alimentation de tous les canaux. Le problème, c’est que nous
nous tenons ici, à l’intérieur, avec beaucoup de doutes, et nous
essayons d’accepter ce qui est là, à l’extérieur. Vous devez arrêter
ça, et descendre par ce canal avec la vraie Parole de Dieu, et ensuite,
ça sortira tout seul, automatiquement. C’est ce qui est à l’intérieur,
c’est ça qui compte, c’est l’intérieur.
Satan, sa façon de s’y prendre, c’est de l’intérieur.
79 Bon, vous dites: «Je ne vole pas. Je ne bois pas.
Je ne fais pas ces choses-là.» Ça n’a rien à y voir.
80 Voyez-vous, c’est l’intérieur. Quelles que soient
votre bonté, votre haute moralité, votre franchise, ces choses-là sont
respectables, mais Jésus a dit: «Si un homme ne naît de nouveau.»
Voyez? Il faut qu’il se passe quelque chose à l’intérieur. Sinon, c’est
quelque chose d’artificiel, de fabriqué, puisqu’au fond de votre cœur,
vous avez quand même le désir de le faire. Ça ne doit pas être
artificiel. Il faut que ce soit réel.
81 Et il n’y a qu’une seule voie d’accès, pour que
ça descende, c’est par le moyen du libre arbitre, que ça pénètre dans
l’âme, par vos pensées. «Un homme est tel que sont les pensées dans son
cœur.» «Si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là’, et si vous ne
doutez pas en votre cœur, mais croyez que ce que vous avez dit
arrivera, ce que vous aurez dit vous sera accordé.» Vous saisissez?
[L’assemblée dit: «Amen.» —N.D.É.] Voilà. Voyez? C’est là le champ de
bataille. Si seulement vous commenciez par là, d’abord.
82 Nous sommes si désireux de voir les choses se
faire. Nous sommes si désireux de faire quelque chose pour Dieu. Cette
petite demoiselle n’est… désireuse, sans doute désireuse de vivre. Elle
veut être en bonne santé. D’autres sont ici, ils veulent être en bonne
santé. Et quand nous entendons parler de ce cas, comme ce médecin, de
la résurrection de morts, de grandes choses puissantes que notre Dieu a
accomplies, alors nous sommes désireux. Mais ce qu’il y a, c’est que
nous essayons d’atteindre, par le moyen de ces sens, de nous emparer de
quelque chose ici; par exemple, la conscience.
83 Tant de gens, bien des fois, ont mal interprété
la Parole. Et j’ai été mal compris en ceci, pour ce qui est de faire
des appels à l’autel. J’ai dit que «je n’étais pas tellement en faveur
des appels à l’autel», ce qui ne voulait pas dire que vous ne devriez
pas faire d’appel à l’autel.
84 Mais quelqu’un qui prend quelqu’un par le bras,
en disant: «Oh, Frère Jean, sais-tu quoi? Moi et toi, nous sommes
voisins depuis tout ce temps. Avance-toi, ici à l’autel,
agenouille-toi.» Qu’est-ce qu’il est en train de faire? J’aurais aimé
avoir un tableau noir ici, j’aurais pu vous montrer ce qu’il est en
train de faire. Il essaie d’agir dans son âme, par les affections. Ça
ne marchera pas. Ce n’est pas ça la voie d’accès. Certainement pas.
85 Peut-être qu’il agit sur (quoi?) un souvenir, par
ce sens-là de son âme. «Oh, Frère Jean, tu as eu une mère formidable.
Elle est morte il y a longtemps.» Un souvenir! Voyez? Vous ne pouvez
pas faire ça.
86 Il faut que ça vienne par cette voie du libre
arbitre. Vous devez, vous-même, laisser la Parole de Dieu… Vous ne
venez pas parce que votre mère était une brave femme. Vous ne venez pas
parce que vous êtes un bon voisin. Vous venez parce que Dieu vous
appelle à venir, et vous L’acceptez en vous basant sur Sa Parole. Cette
Parole, c’est tout ce qui compte. Cette Parole! Si vous pouvez tout
ôter du chemin, toute conscience, tous les sens, et laisser simplement
la Parole entrer, cette Parole produira exactement ce qu’il faut.
87 Ici, voyez-vous ce qui La recouvre? Vous dites:
«Eh bien, alors,» vous dites, «eh bien, ces choses, la conscience et
les sens, et tout, ça n’aurait rien à y voir, Frère Branham?»
Certainement que ça a quelque chose à y voir. Mais si vous laissez la
Parole entrer, et que vous La recouvrez par la conscience, alors Elle
ne pourra pas se développer; ce sera une parole difforme.
88 Avez-vous déjà vu un bon grain de maïs planté
dans la terre et qu’un bout de bois tombe par-dessus? Il va pousser de
travers N’importe quelle plante grimpante, pour tout ce qui pousse, ce
sera pareil, parce que quelque chose l’a entravé.
89 Eh bien, c’est ce qui se passe avec notre Foi
pentecôtiste, aujourd’hui. Nous avons laissé trop de choses L’entraver,
la Foi qui nous a été enseignée, le Saint-Esprit qui a vécu en nous.
Nous avons laissé trop de choses: de regarder quelqu’un d’autre.
90 Et le diable cherche toujours à vous montrer
l’échec de quelqu’un, mais il va chercher à vous tenir éloigné du vrai
témoignage, celui qui est authentique. Il va vous montrer un hypocrite,
parfois, qui s’est promené en faisant une imitation de quelque chose.
Il ne l’a pas fait, parce que c’était une imitation qu’il faisait. Mais
si cela provient de la source véritable, de la Parole de Dieu: «Les
cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne peut pas passer», Elle
doit demeurer.
Tu le vois, petite sœur?
91 Elle doit être acceptée dans la pensée, ensuite
Elle est crue du cœur. Alors la Parole de Dieu devient une réalité,
alors tous les sens de l’âme et du corps sont complètement nettoyés par
le Saint-Esprit. Alors votre sens de Dieu, votre conscience de Dieu,
tout ce qui est de Dieu coule en vous. Il n’y a pas un doute, nulle
part. Il n’y a rien qui puisse remonter.
92 Il n’y a rien qui puisse remonter à la mémoire,
pour dire: «Eh bien, je me souviens que Mlle Jones a essayé de mettre
sa confiance en Dieu, et Mlle Une telle. Mlle Doe a essayé de mettre sa
confiance en Dieu pour sa guérison, à un moment donné, et elle a
échoué.» Voyez?
93 Mais si ce canal a été dégagé, qu’il a été
nettoyé, et qu’il a été rempli, à l’intérieur, du Saint-Esprit, ça ne
remonte même pas à la mémoire, Mlle Jones et ce qu’elle a fait, ça n’a
aucune importance. [Frère Branham tape une fois dans ses mains.—N.D.É.]
C’est vous et Dieu, ensemble, et personne d’autre que vous deux. Voilà.
Voilà votre bataille. Tuez-le au départ. Arrêtez-le net. Il ne s’agit
pas de faire durer la guerre aussi longtemps que vous pouvez; il s’agit
de l’arrêter tout de suite!
94 Si vous venez, et que vous gardez ces souvenirs,
et cette conscience, et tout, de penser: «Eh bien, il se pourrait que
j’échoue. Il se pourrait que ce ne soit pas vrai.» Ne faites pas ça, du
tout.
95 Débarrassez-vous de tout, dégagez le canal, et
dites: «Ô Dieu, Ta Parole est Éternellement vraie, et Elle est pour
moi. Si toute l’église échoue, si le monde entier échoue, malgré tout
ça, moi je ne peux pas échouer, parce que je prends Ta Parole.» [Frère
Branham donne deux coups sur la chaire.—N.D.É.] Voilà la bataille.
C’est ça qu’il y a.
96 Pourquoi est-ce que le Dieu Tout-Puissant
enlèverait un cancer du sein d’une femme, sans aucune marque, et
laisserait une enfant mourir là? Non monsieur. [Frère Branham donne
quatre coups sur la chaire.—N.D.É.]
97 Une petite fille est venue, il n’y a pas
longtemps, de l’école secondaire. Sa mère m’avait téléphoné, elle
disait: «Frère Branham, ma fille est atteinte de la maladie de
Hodgkin.» C’est un cancer qui prend la forme de bosses. Les médecins
ont fait un prélèvement d’une lésion qu’elle avait à la gorge, ils
l’ont envoyé, et c’était exactement ça, la maladie de Hodgkin.
98 Alors il a dit: «La prochaine lésion, ce pourrait
être une lésion au cœur. À ce moment-là, elle est fichue.» Il a dit:
«Elle n’a… À voir l’évolution des lésions, elle en aurait peut-être
pour trois mois à vivre, à peu près ça.»
99 La mère disait: «Qu’est-ce que je vais faire? La
renvoyer à l’école?»
100 Il a dit: «Laissez-la y aller, parce qu’elle va
probablement partir tout d’un coup.» Et il a dit: «Laissez-la y aller,
simplement, et qu’elle mène une vie normale, autant qu’elle le peut. Ne
lui en dites rien.»
Alors la dame m’a dit: «Qu’est-ce que je dois faire?»
101 T’ai dit: «Amenez-la et faites-la passer dans la
ligne de prière.» Et j’ai dit: «Vous aussi, venez avec elle.» Je
ressentais comme une drôle d’impression.
102 Et quand la petite fille est passée, ce
matin-là, avec les lèvres toutes bleues à cause du maquillage, et comme
ça se passe dans les écoles. Et—et la petite est passée. Je ne savais
pas qui elle serait, qui allait me téléphoner. Je lui ai pris la main.
J’ai dit: «Bonjour, sœur.» Elle était là. C’était elle. Au bout de
seulement quelques instants, j’ai regardé vers sa mère, et j’ai vu
qu’elles étaient toutes les deux sans Dieu, sans Christ. J’ai dit:
«Comment pouvez-vous vous attendre à une guérison sur cette base-là?
Allez-vous accepter Jésus-Christ comme votre Sauveur personnel?» J’ai
dit: «Allez-vous venir au baptistère, ici, et être baptisées dans le
Nom de Jésus-Christ pour la rémission de vos péchés?»
Elles ont dit: «Nous le ferons.»
103 Oh, vous savez ce qui est arrivé. Cette femme
est peut-être assise ici ce matin. Beaucoup d’entre vous connaissent le
cas. Frère Mike Egan, l’un des administrateurs, ici, a suivi le cas. Il
y a environ quatre ou cinq ans de ça. La petite fille a été ramenée
chez le médecin, et on n’a même pas trouvé la moindre trace de la
maladie de Hodgkin en elle.
104 Qu’est-ce qu’il y avait? Il fallait ouvrir le
canal, d’abord. Il faut placer le Soldat, le Saint-Esprit, au front de
bataille, qui s’avance avec la Parole de Dieu. Il est la Parole. Et Il
se tient là, alors il n’y a rien qui va L’arrêter. Il n’y a rien. Tous
les autres canaux sont dégagés. C’est comme une vieille chaudière dont
les conduits sont obstrués; si vous mettez le feu dedans, vous aurez
une explosion. C’est là le problème de tant de chrétiens qui ont fait
explosion, c’est parce qu’ils ne nettoient pas les canaux à fond, ils
ne vont pas jusqu’à l’intérieur. Vous devez nettoyer ça, la conscience,
la mémoire, les pensées, mettre tout de côté, et que ça vienne du
dedans vers le dehors, par cette Parole de Dieu sans mélange, qui est
la Vérité.
105 Peu importe que dix mille personnes confiantes
meurent de ce côté-ci aujourd’hui; que dix mille personnes confiantes
meurent de ce côté-là demain; ça n’a rien à voir avec moi. C’est moi
l’individu. C’est moi qui suis confiant. [Frère Branham donne trois
coups sur la chaire.—N.D.É.] C’est moi qui le crois. Et nous verrons,
là-bas, si nous voulons dégager nos canaux, alors, si possible, pour le
voir: nous constaterons qu’il v a celui-ci et celui-là, et celui-ci et
celui-là, il y en a des milliers, qui en témoignent.
106 Mais le diable va chercher à revenir à la
charge. Voyez-vous, s’il peut seulement réussir à s’infiltrer, à
l’instant même il aura mis votre armée en déroute.
107 Si vous avez vos sens, la vue, le goût, le
toucher, l’odorat et l’ouïe, ils sont très bien, mais ne mettez pas
votre confiance en eux à moins qu’ils ne s’accordent avec la Parole.
Ils sont très bien, mais s’ils sont en désaccord avec la Parole, ne les
écoutez surtout pas. Maintenant, les imaginations, la conscience, les
souvenirs, les raisonnements et les affections, ils sont très bien,
s’ils s’accordent avec la Parole. Mais si votre affection ne s’accorde
pas avec la Parole, débarrassez-vous-en. Vous feriez tout de suite
sauter un conduit. Voyez? Si votre raisonnement ne s’accorde pas avec
la Parole, écartez-le. C’est exact. La machine… Si votre mémoire, si
vos imaginations, si votre conscience, n’importe quoi, ne s’accordent
pas avec Ce qu’il y a à l’intérieur, débarrassez-vous-en.
108 À ce moment-là, qu’est-ce que vous avez? Vous
avez un système solaire. Alléluia! C’est, Dieu a mis les astres en
place, et Il a dit: «Restez suspendus là, jusqu’à ce que Je vous
appelle!» Ils restent là. Rien ne les fera bouger. Quand Dieu arrive à
avoir un homme dans Ses mains, jusqu’à ce que ses sens, que sa
conscience, que tout ait été nettoyé à fond, si bien que ce soit Dieu
qui soit là-derrière, dans l’esprit: il n’y a pas un démon au monde qui
pourra enfoncer un doute là-dedans. C’est exact.
Il se présente en disant: «Tu ne te sens pas mieux.»
109 Vous n’avez même plus conscience de ça. Le
conduit est tellement dégagé, il crie: «Alléluia!» L’échappement émet
un sifflement: «Gloire à Dieu!» Il resplendit, certainement, clair et
net au possible, pour que la Parole de Dieu puisse agir à travers lui,
la Puissance de Dieu. Voyez? Voilà l’essentiel.
110 C’est là qu’est votre champ de bataille. Votre
champ de bataille, il est ici. au départ, ici, dans l’âme, dans notre
pensée., qui s’ouvre. La—la pensée est la porte de l’âme, la porte de
l’esprit, plutôt. Votre pensée s’ouvre et accepte l’esprit, ou bien
elle rejette l’esprit. Vous pouvez avoir des petites consciences. et
des petits sentiments, et des petites sensations, toutes ces choses. Ça
n’a rien à y voir. Ce ne sont que des petites sensations, et tout. Mais
pour ce qui est de la réalité, c’est votre pensée qui s’ouvre à cela.
Votre pensée l’accepte ou bien elle le rejette. C’est ça, mes amis.
Ô Dieu, que personne d’entre eux ne manque de le
voir.
111 Voyez-vous, c’est votre pensée qui ouvre la
porte; ou qui ferme la porte, et écoute votre conscience, écoute votre
mémoire, écoute vos affections. Mais quand votre pensée se ferme à ces
choses, et qu’elle laisse Dieu, l’Esprit de Sa Parole, entrer, Il
pousse tout le reste dehors. Tous les doutes ont disparu. Toutes les
peurs ont disparu. Toute sensation de doute a disparu. Tout sentiment a
disparu. Il n’y a plus que la Parole de Dieu qui est là, et Satan ne
peut pas combattre contre Cela. [Frère Branham donne trois coups sur la
chaire. —N.D.É.] Non monsieur. Il ne peut pas combattre contre Elle. Or
ça, nous savons que c’est vrai.
112 Ces batailles ont fait rage depuis le jour du
jardin d’Éden, la bataille dans la pensée humaine. C’est Satan qui l’a
déclenchée. Qu’est-ce qu’il a fait, quand il a rencontré Ève? Il n’a
pas nié la Parole de Dieu, mais il L’a badigeonnée en blanc. Il a
obstrué quelques petits canaux ici, quelque part. Il a dit: «Mais
certainement que Dieu…» Genèse 3. 1. Voyez? «Certainement que Dieu,
toutes ces choses qu’Il—qu’Il—qu’Il a promises…» Il savait que la
Parole était vraie. Mais, il savait qu’il ne pouvait pas simplement se
présenter là, et L’attaquer carrément, comme ça, mais il—il—il L’a
enrobée de sucre.
113 C’est comme maman, autrefois, qui nous faisait
prendre du médicament, et elle essayait de mettre du jus d’orange dans
l’huile de ricin. Oh, autant prendre l’huile de ricin sans le jus
d’orange! Tout ce qui est hypocrite! Voyez? Elle… Il fallait qu’on se
lève la nuit, et elle nous donnait du kérosène, pour soigner le croup.
Et elle mettait du kérosène, et elle mettait du sucre par-dessus;
voyez-vous, un peu hypocrite. Mais ça vous mettait presque les
amygdales en feu, quand ça descendait, une fois le sucre parti.
114 Eh bien, c’est comme ça, mon ami. Satan essaie
de—de faire l’hypocrite à ce sujet. Il essaie de vous montrer quelque
chose de mieux, un moyen plus facile, un plan plus rationnel. Mais il
n’y a pas de plan plus rationnel que celui que Dieu a établi au
commencement, Sa Parole. [Frère Branham donne trois coups sur la
chaire. —N.D.É.] Tenez-vous à cette Parole. Saisissez-vous d’Elle.
Laissez-La se saisir de vous. Restez là, avec Elle. C’est ça—c’est ça
qu’il faut.
115 La bataille a fait rage, quand Ève a ouvert sa
pensée, pour écouter son raisonnement. C’est par ce conduit-là qu’il
est entré. C’est par ce—ce canal-là qu’il est descendu, son
raisonnement. Elle a, dans son âme, elle a raisonné.
116 Ses yeux, c’était la vue. Elle a vu le serpent.
Il était magnifique, beau, bien mieux que son mari à elle. Il était le
plus rusé de tous les animaux des champs, et il était probablement plus
bel homme que son mari. Il avait l’air d’une grande bête virile, debout
là. Qu’il était imposant! Et il essayait de lui exprimer combien cette
chose-là, c’était extraordinaire.
117 Et la première chose qu’elle a faite, elle a
ouvert sa pensée. Et à ce moment-là, les raisonnements humains ont
saisi ça. «Mais, ce serait vraiment excitant, ça, hein?»
118 C’est bien ce qu’il fait à la femme aujourd’hui.
Une femme qui a un gentil petit mari repère un grand homme, très viril.
Cet homme va essayer de créer une ouverture par les raisonnements.
Souvenez-vous, c’est Satan, ça. C’est le diable. Ou vice versa, l’homme
à l’égard de la femme, la femme à l’égard de l’homme, l’un ou l’autre.
Qu’est-ce qu’il fait? Il exploite le pouvoir du raisonnement, par la
conscience, ou quelque chose, il commence à agir par ce moyen-là.
119 Mais donnez à la Parole de Dieu la première
place. Un homme ne peut même pas venir à… Il ne peut pas pécher…
Alléluia! Voilà, c’est ça. Ça vient de me venir, c’est tout frais. Un
homme ne peut pas pécher, tant qu’il n’a pas d’abord mis de côté la
Parole de Dieu. Il ne peut même pas pécher, c’est-à-dire être
incrédule. Tant qu’il ne s’est pas d’abord débarrassé de la Parole de
Dieu, de la Présence de Dieu, il ne peut pas pécher.
120 Ève ne pouvait pas pécher, tant qu’elle n’a pas
mis de côté la Parole de Dieu, en ouvrant son canal de raisonnements,
par son âme, et qu’elle commence à raisonner. «Mais, c’est certain. Mon
mari ne m’a jamais dit ces choses, mais je crois que tu… Il m’a dit que
je ne dois pas faire ça, mais, tu sais, comme tu présentes ça, c’est
tellement réel et tellement clair. Je—je crois que ce serait
formidable, parce que, comme tu me présentes ça, c’est tellement
clair.» Voyez-vous, c’est là qu’il y a eu la première bataille. Et
c’est cette bataille-là qui a été la cause de toutes les autres
guerres, et de toutes les effusions de sang qu’il y a jamais eues, la
cause s’est trouvée en plein là, en Éden. Elle a été incrédule à
l’égard de la Parole de Dieu.
121 Et si d’être incrédule à l’égard d’un seul petit
iota de la Parole de Dieu, c’est ce qui a causé tous ces ennuis,
comment allons-nous faire pour revenir, en étant incrédules à l’égard
de la Parole? On ne peut pas. Il faut fermer l’accès à toutes ces
autres choses, la conscience, les souvenirs, et dire… les raisonnements
et toutes ces autres choses. «Nous renversons les raisonnements.» Nous
ne raisonnons pas du tout à ce sujet, rien du tout.
122 Nous acceptons tout simplement la Parole, en
nous basant sur: «Dieu l’a dit», et alors il y a un courant qui passe
entre vous et Dieu. Tous les canaux s’ouvrent, entre vous et Dieu,
alors.
123 Voilà la bataille, la toute première, le front.
Ne nous servons pas d’une carabine de calibre vingt-deux; prenons
une—une bombe atomique. Faisons le travail comme il faut. Prenons la
bombe atomique de Dieu. «Qu’est-ce que c’est, Frère Branham?» La f-o-i
[en anglais: f-a-i-t-h—N.D.T.] en Sa Parole. Voilà la bombe atomique de
Dieu. Elle fait sauter la maladie et les démons de tous côtés.
Elle—elle les anéantit. Elle distingue… Oh, elle… Elle détruit, tout
simplement. Elle désintègre tout ce qui n’est pas de Dieu. Quand cette
bombe de la foi tombe là-dedans, avec la Parole de Dieu derrière elle,
elle fait sauter tous les démons, toutes les maladies, toutes les
infirmités.
124 Vous dites: «C’est vrai, ça, Frère Branham?
Alors pourquoi a-t-elle cet effet sur certains, et pas sur d’autres?»
125 C’est à cause du canal. Vous pouvez regarder à
l’extérieur et le voir. Mais vous devez l’avoir ici, à l’intérieur,
regarder dans cette direction-ci. Pas là, de l’extérieur, regarder à
l’intérieur; vous devez, de l’intérieur, regarder à l’extérieur. Voyez?
Vous ne pouvez pas venir par le raisonnement. Vous ne pouvez pas venir
par ces autres choses. Vous devez y venir par le canal de Dieu,
directement dans l’âme. Et comment faire? Quel est le dernier canal?
126 Il va rais-… jusque-là. Vous dites, les sens:
«Oh, je—je peux le ressentir. Oui, c’est là. Oui—oui. Oh, peut-être que
je—je le sens, ou quelque chose. Ces choses sont bien là. Oui.» Après,
vous raisonnez: «Eh bien, il me semble qu’il devrait savoir de quoi il
parle. Le médecin dit que je ne pourrai pas me rétablir. Ça doit être
ça.» Vous voyez, c’est en plein là que vous—vous êtes dans l’erreur.
C’est le diable qui est là. C’est le diable qui enfonce ces choses en
vous. N’allez pas croire ça.
127 «Alléluia! La Parole de Dieu dit que je…
‘Par-dessus toutes choses, je souhaite que tu prospères côté santé.’
C’est exact.» Comment pouvez-vous être un vrai soldat, là-bas?
Voyez-vous: «‘Je veux que tu prospères côté santé.’»
128 C’est en plein ça, voilà, ces canaux. Vous devez
arriver à les dégager. Il ne faut pas vous contenter de les contourner.
129 Alors, si Satan peut s’infiltrer par là, passer
par la conscience et toutes ces autres choses, ensuite il va descendre
jusqu’au fond de l’âme, dans la pensée. Or, s’il peut seulement vous
amener… Jamais vous ne—jamais vous ne regarderez à aucune de ces
choses, il faudra d’abord que vous le laissiez entrer ici. Il faudra
que vous le laissiez entrer. Ensuite, une fois entré, il prend le
contrôle. Alors qu’est-ce qu’il fait? Il se met à utiliser la
conscience. Il se met à utiliser ceci, il se met à utiliser
l’échappement, ici. Qu’est-ce que c’est? La vue, le goût, le toucher,
l’odorat, l’ouïe; les imaginations, la conscience, la mémoire, les
raisonnements, les affections. Il se met à utiliser tous les différents
petits canaux qu’il y a là, du moment qu’il a réussi à entrer, —
au-dessus de celui-ci, ici. Il doit d’abord entrer dans votre pensée,
et vous devez l’accepter. Il peut… Écoutez. Ça peut s’acharner contre
vous, mais ça ne peut pas vous atteindre, tant que vous ne l’aurez pas
accepté.
130 Quand Satan s’est approché d’Ève, et qu’il a
dit: «Tu sais, le fruit est agréable.» Elle s’est arrêtée un instant.
Oh, c’est là qu’elle a fait une erreur, quand elle s’est arrêtée un
instant.
131 Ne vous arrêtez pas, pour quoi que ce soit. Vous
avez le Message. Jésus vit. Dieu est un guérisseur. C’est ça le
Message. Ne vous arrêtez pas, pour quoi que ce soit, aucun
raisonnement, ni rien d’autre.
132 Mais elle s’est arrêtée un instant. C’est là que
Satan est entré d’un coup, dans sa pensée. Elle a dit: «Eh bien, ça
semble raisonnable.» Oh, ne faites pas ça. Prenez seulement ce que Dieu
a dit.
133 Abraham, qu’est-ce qui se serait passé s’il
s’était arrêté pour raisonner, quand Il lui a dit qu’il allait avoir un
bébé de Sara, alors qu’elle avait soixante-cinq ans, et lui
soixante-quinze? Et quand il a eu cent ans, et qu’elle—et qu’elle en
avait quatre-vingt-dix, il, encore là, il—il—il confessait que la
Parole de Dieu était vraie. Et il appelait les choses qui n’étaient pas
comme si elles étaient. Voyez? Il… Même l’espérance, est-ce qu’il y
avait de l’espérance? Il n’a même pas utilisé l’espérance.
134 «Eh bien,» vous dites, «j’espère que je pourrai
me rétablir. J’espère que je serai en bonne santé. J’espère que je
recevrai le Saint-Esprit. J’espère que je suis un chrétien. J’espère
que je vais faire ceci.» Vous ne voulez pas de ça.
135 Abraham n’a même pas considéré ça. Amen. «Contre
toute espérance, il a quand même cru la Parole de Dieu.» La foi va
au-delà de l’espérance. La foi vient d’ici, au fond, à l’intérieur. La
foi vient d’ici.
136 Comment entre-t-il? Par la pensée, par
cette—cette porte, c’est là qu’est le front de bataille.
137 Maintenant, quand on se range en ordre de
bataille! Maintenant, le diable est installé près de chaque cœur, ce
matin. Il est installé, le cœur de cette petite fille. Il est installé
près de votre cœur. Il est installé tout autour, là. Il dit: «Oh, je
t’ai déjà vu essayer auparavant. J’ai déjà entendu ça auparavant.»
138 Chassez-le. C’est tout. Chassez-le. Qu’est-ce
que la Bible a dit, ici, notre texte? «Le chasser.» C’est exact. «Le
chasser.» Nous avons été entraînés.
139 Je me dis: «Qu’est-ce qui se passe avec nous,
les prédicateurs?» Je me demande quel genre d’entraînement nous avons
reçu.
140 Dieu donne un entraînement pour cette grande
bataille. Il est dit là, dans Matthieu 24, et aussi dans Daniel 12, il
est dit qu’«il y aurait une époque de détresse, telle qu’il n’y en a
jamais eu auparavant sur la terre». Et nous vivons à cette époque-là,
alors que la culture, et l’instruction, et tout, ont étouffé la Parole
de Dieu, et se sont retrouvés dans les raisonnements et tout le reste.
La bataille, c’est maintenant. Qui va tenir ferme? Alléluia! La
bataille est prête à s’engager. On est en ordre de bataille maintenant.
Regardez quel grand adversaire nous avons, là-bas.
141 Qui sera comme David? Il a dit: «Vous restez là
et laissez ce Philistin incirconcis défier les armées du Dieu vivant?
Moi, j’irai le combattre.» Amen. [Frère Branham donne trois coups sur
la chaire.—N.D.É.] Dieu veut des hommes et des femmes, ce matin, qui
pourront se lever et dire: «Je prendrai le Seigneur à Sa Parole.» Amen.
Peu importe quel échec il y a eu, où il y a eu ceci et cela, et ce que
celui-là a fait. Ça n’a rien à y voir. Vous, les Saül, et tout, si vous
avez peur de lui, retournez donc à votre place. Mais l’armée de Dieu va
de l’avant, amen; des hommes vaillants, des hommes de—de—de foi, des
hommes puissants, des hommes de sens. Ils n’ont pas besoin d’être
intelligents. Ils n’ont pas besoin d’être instruits. Ils ont besoin
d’être des canaux. Dieu s’empare de ces petits canaux.
142 Elle s’est arrêtée un instant, pour raisonner,
en disant: «Eh bien, maintenant, voyons voir.» Eh bien, c’est comme, si…
143 Cette petite demoiselle, ce matin, sans doute
que le médecin lui a dit qu’elle est presque arrivée au bout du chemin:
«Il n’y a rien à faire.» Bon, eh bien, ça, c’est ce médecin-là. Je ne
le condamne pas. Cet homme est un scientifique. Il voit que la maladie
a vaincu le corps de l’enfant. C’est complètement hors de sa portée. Il
n’a aucun médicament pour enrayer ça.
144 Ce cancer aussi, il aurait vaincu cette femme;
certainement, la mort avait vaincu ce bébé; mais notre Capitaine en
chef, alléluia, de cette grande armée, Il est la résurrection et la
Vie. Rien ne peut Le vaincre. Alléluia!
145 Le cerveau d’une armée réside dans ses
capitaines, l’intelligence. Rommel, en Allemagne, était le cerveau de
l’Allemagne; pas Hitler. Rommel! C’est exact. Eisenhower! Des hommes
militaires! Patton! Ces hommes qui étaient au front, tout dépendait de
ce qu’eux avaient donné comme ordres. Suivez votre capitaine, s’il est
le général qu’il faut. S’il est celui qu’il faut, s’il est un général à
quatre étoiles, s’il a fait ses preuves, s’il a été prouvé qu’il avait
raison, suivez-le. Bien que ça puisse vous sembler incorrect,
avancez-vous au front. Faites ce qu’il vous a dit.
146 Alléluia! [Frère Branham tape trois fois dans
ses mains.—N.D.É.] Nous avons un Général à cinq étoiles, ça s’écrit
J-é-s-u-s, Il pose cinq étoiles sur nous, la f-o-i [en anglais:
f-a-i-t-h —N.D.T.] Il n’a jamais perdu une bataille. Alléluia! [Frère
Branham donne un coup sur la chaire.] Il a vaincu la mort, le séjour
des morts et la tombe. Ôtez les démons du chemin. Il est le grand
Capitaine en chef. Alors, le diable ne compte même pas.
147 La plus grande bataille qui ait jamais fait rage
est maintenant bien en place. Certainement que oui. Oh! Alléluia!
148 Quand j’y pense! Alors que je me suis tenu là à
Le regarder faire des choses, à Le voir révéler des choses, dévoiler
des choses, dire: «Ce sera comme ceci, et comme cela», et voilà, c’est
ça! Oh, de regarder ici, et dire: «Qui est ce grand Capitaine?» Oh, je
ne regarde pas pour voir s’il s’agit du docteur Untel. Je vois ce que
le Capitaine a dit. «Il est le Capitaine de notre salut.» Alléluia! Le
salut, qu’est-ce que c’est? La délivrance! Gloire! «Il est le Capitaine
de notre délivrance.»
149 La grande heure de l’assaut est proche.
Alléluia! Soldat, avec votre armure qui reluit, vos couleurs qui
flottent au vent! La foi et le doute sont rangés en ordre de bataille,
dans ce tabernacle, ce matin; le doute d’un côté, la foi de l’autre.
Soldats, tenez-vous à votre poste. Alléluia! Notre Capitaine, l’Étoile
du Matin, marche en tête. Il ne recule jamais. Jamais il ne, il ne
connaît pas le mot retraite. Il n’a pas à battre en retraite. Amen.
Certainement.
150 La plus grande bataille jamais livrée. Elle se
déroule ici même en ce moment, oui monsieur, entre la vie et la mort,
entre la maladie et la santé, entre la foi et le doute, oh! la la!
entre la liberté et l’esclavage. La bataille se poursuit! Faites
briller vos lances, soldats. Astiquez l’armure. Dieu est en train de
préparer Ses soldats. Amen. Dieu oint Son armée.
151 L’Amérique habille ses soldats avec ce qu’ils
peuvent leur fournir de mieux comme habillement, des casques en acier,
et des armures, et tout ce qu’ils ont, des chars d’assaut blindés, et
ce dans quoi ils se déplacent.
152 Dieu habille Son armée. Alléluia! [Frère Branham
donne un coup sur la chaire.—N.D.É.] Quel genre d’équipement
utilisons-nous? L’Esprit de l’Épée, la Parole de Dieu! Amen! «La Parole
de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants,» Hébreux 4,
«pénétrante jusqu’à disjoindre l’os, jusqu’à la—la moelle de l’os, Elle
discerne même ce qu’il v a dans la pensée.» La Parole de Dieu! De
croire Sa Parole, et c’est de cette armure-là que Dieu revêt.
153 C’est ce qu’Il avait donné à Ève, pour qu’elle
s’en arme. Et elle a démoli son armure. Comment l’a-t-elle fait? En
ouvrant sa pensée au raisonnement. On ne raisonne pas la Parole de
Dieu. Il n’y a rien à raisonner en Elle. Vous… C’est la Parole de Dieu,
tout simplement. Il n’y a—il n’y a aucun doute à Son sujet. Il n’y a
aucun raisonnement à Y avoir. C’est la Parole de Dieu. C’est réglé.
Avec ça, on y est. C’est réglé pour toujours.
154 Tu vois ce que je veux dire, ma petite? [La sœur
malade dit: «Amen.» —N.D.É.] C’est la Parole de Dieu. Dieu l’a promis.
Dieu l’a dit.
155 Ils ont dit à Abraham: «Comment sais-tu que tu
vas avoir ce bébé?
— Dieu l’a dit.» C’était réglé.
«Eh bien, pourquoi est-ce que tu ne l’as pas?
156 — Je ne sais pas quand je vais l’avoir, mais je
vais l’avoir. Dieu l’a dit. Ça ne m’arrêtera pas du tout.» Il app-…
157 «Pourquoi ne rentres-tu pas chez toi, là d’où tu
viens?
158 — Il faut que je sois pèlerin et étranger dans
ce pays.» Amen!…?… «Dieu a donné la promesse. Dieu donnera le bébé ici
même, dans ce pays où Il m’a envoyé.» Alléluia!
159 Dieu vous guérira ici même, dans cette
atmosphère du Saint-Esprit, où Il vous a envoyés. Amen. Dieu vous le
donnera. Croyez-le seulement. [Frère Branham donne trois coups sur la
chaire.—N.D.É.] Amen. Dégagez ces conduits de l’âme et du corps, les
sens, et la conscience, et laissez simplement les Paroles de Dieu
pénétrer, d’abord, prendre possession de la pensée. C’est là le champ
de bataille.
160 Non pas de dire: «Eh bien, si je pouvais le
sentir, si je sentais la gloire de Dieu descendre! Oh!» Ça n’a rien à y
voir; rien du tout.
161 Dégagez votre pensée. C’est ça le champ de
bataille. C’est là qu’on se range en ordre de bataille, c’est ici même,
au front, votre pensée. Dégagez-la, et dites: «Je… Tous les doutes, je
doute de mes doutes.» Amen. «Maintenant je doute de mes doutes. Je mets
ma foi dans la Parole de Dieu. Me voici, Satan.» Quelque chose va se
produire. C’est sûr que oui. Oui monsieur.
162 Il oint Ses serviteurs de Son Esprit. Il leur
envoie des anges. Les gens se moquent de ça, parfois, des «anges». Je
vais—je vais prendre quelque chose avec vous un petit instant. Prenons
dans Hébreux, ici, un petit instant. Hébreux, au chapitre 4, chapitre
4, et on va… je veux dire, le chapitre 1 de Hébreux, et prenons le
verset 14.
Ne sont-ce pas tous des esprits au service de Dieu,
envoyés de… envoyés pour exercer un ministère en faveur de ceux qui
doivent hériter du salut?
…auquel des anges a-t-il… dit: Assieds-toi à ma
droite…?
…tous les anges de Dieu…
163 Maintenant, voici que la Bible revient nous
dire, ici, que Dieu envoie des anges. Gloire! Que sont-ils? «Des
esprits qui exercent un ministère». Gloire! [Frère Branham tape trois
fois dans ses mains.—N.D.É.] Des esprits qui exercent un ministère,
envoyés (d’où) de la Présence de Dieu. Pour faire quoi? Apporter Sa
Parole. Amen! Ils ne doivent pas apporter une théologie quelconque d’un
groupe dénominationnel quelconque, mais apporter Sa Parole. C’est ça.
«Des esprits qui exercent un ministère, envoyés.»
164 Comment savoir s’ils en sont? La Bible dit que
«la Parole du Seigneur est venue aux prophètes». Pas vrai? Ces anges
apportent Sa Parole, par Son Esprit; ils apportent la Parole, par le
Saint-Esprit. Et l’Esprit et la Parole sont venus aux prophètes, et les
prophètes avaient la Parole de Dieu. C’est pour cette raison qu’ils ont
pu faire les miracles qu’ils ont faits. Ce n’était pas l’homme, c’était
l’Esprit de Dieu dans l’homme. L’Esprit de Christ dans l’homme, en vue
de la Parole de Dieu. Qu’est-ce qu’il avait fait? Il avait nettoyé à
fond tous les canaux. Dieu l’avait choisi, et il était oint du
Saint-Esprit. Et ce n’était pas lui. Il ne faisait jamais rien, tant
qu’il ne l’avait pas vu en vision. Élie a dit, sur la montagne du
Carmel: «Tout ceci, je l’ai fait sur Ton ordre. Maintenant, Seigneur,
que l’on sache que Tu es Dieu.» Oh, gloire à Dieu!
165 Je l’ai vu tant de fois: quand on voit l’Esprit
de Dieu descendre dans un lieu, et que ce lieu est sous l’onction! Si
seulement ce petit groupe qui est ici ce matin pouvait vraiment prendre
cette pensée, ici, ôter tous les doutes du chemin! Comment pouvez-vous
encore douter, quand vous voyez les morts—les morts qui sont
ressuscités, les boiteux qui marchent, les aveugles qui voient, les
sourds qui entendent?
166 L’Ange du Seigneur, même que Sa photo est
accrochée ici sur le mur, alors, partout, la science ne sait plus quoi
répondre. Qu’est-ce qu’Il fait? Il s’en tient strictement à la Parole.
Amen! Elle tranche tous les démons. [Frère Branham tape deux fois dans
ses mains.—N.D.É.] Oui, effectivement. Qu’est-ce que C’est? «Les
esprits qui exercent un ministère, envoyés de la Présence de Dieu»,
pour oindre ceux qui prêchent la Parole, qui s’en tiennent à la Parole.
Et Il confirme la Parole, par les signes qui L’accompagnent. produisant
Jésus, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Le voilà
167 Comment pourrions-nous douter, alors que. aussi
bien scientifiquement. que matériellement, que spirituellement. par
toutes les sortes de preuves qui peuvent être fournies, Il l’a prouvé
ici? [Frère Branham donne quatre coups sur la chaire.—N.D.É.]
168 Qu’est-ce qu’il y a? C’est dans notre pensée.
Nous laissons entrer la chose dans notre pensée, en disant: «Eh bien,
là, je ne sais pas si ça se peut ou non. Peut-être, si je me sens mieux
demain.» Oh, ça n’a absolument rien à y voir.
169 Comme je l’ai souvent dit, peut-être qu’Abraham
a dit à Sara… Elle avait passé l’âge de—d’être femme. Vous savez ce que
je veux dire: c’est l’époque de la vie, ses vingt-huit jours.
Voyez-vous, elle avait soixante-cinq ans. Elle avait probablement passé
l’âge, depuis quinze, vingt ans. Et il lui a dit, peut-être quelques
jours plus tard, il a dit: «Sens-tu un changement en toi, chérie?
— Pas le moindre changement.
170 — Ça n’a absolument rien à y voir. Nous
continuons de toute façon. Bon, eh bien, si tu redeviens une—une jeune
femme, on sait, par ce sang de la vie, eh bien, alors, on va voir, là,
que ça va protéger le bébé contre les chocs, et tout ira bien.
Maintenant, sens-tu un changement en toi aujourd’hui? Ça fait un mois
qu’Il m’a fait la promesse. Sens-tu un changement en toi, chérie?
171 — Pas du tout, Abraham. Il n’y a aucun signe, de
rien. Je—je suis toujours exactement comme je—je l’ai été depuis les
quelques dernières années. Il n’y a pas le moindre changement.
— Gloire à Dieu! Nous allons l’avoir de toute façon.
172 — Est-ce que tu veux dire, Abraham, sur…
Regarde, s’Il te l’a promis, certainement qu’Il nous donnerait un signe
comme ceci. Certainement qu’Il nous donnerait un signe.» Hum! Alléluia!
173 «Une génération faible et adultère demande des
signes.» C’est exact. Il avait eu un signe. Qu’est-ce que c’était? La
Parole de Dieu. C’était ça le signe.
174 Comment Dieu pourrait-Il guérir cette enfant? La
Parole de Dieu l’a dit; que j’aie une sensation, ou pas de sensation.
Que je… Quoi qu’il arrive, Dieu l’a dit. C’est réglé. [Frère Branham
donne deux coups sur la chaire.—N.D.É.]
175 Abraham a dit: «Ramasse tes bonnets et tout,
nous partons pour ce pays.
— Où vas-tu?
176 — Je ne sais pas.» Amen. [Frère Branham tape une
fois dans ses mains.—N.D.É.] «Mais nous partons de toute façon. C’est
parti!» Les bagages sont faits, et les voilà partis. Alléluia! Voilà la
vraie Parole de Dieu. Qu’y avait-il devant lui, qui le tenait? La
promesse de Dieu, la Parole de Dieu. «Nous allons l’avoir.»
177 «Sépare-toi de ton peuple, Abraham. Ils sont, ce
qu’il y a, c’est que ce sont des douteurs et des incroyants. Ils vont
t’entraîner dans le même pétrin qu’eux. Sors de là. Sépare-toi, et vis
pour Moi.» Qu’est-ce? «Laisse toute ta conscience, et tes sens,
derrière toi, comme ça. Dégage ta pensée, et rappelle-toi, c’est Moi.
Viens vivre avec Moi.» Amen.
178 Dieu appelle chaque Semence d’Abraham, ce matin,
à ce même genre de vie là. [Frère Branham donne quatre coups sur la
chaire.—N.D.É.] La grande bataille se poursuit, maintenant, partout
dans le monde. Dieu veut que Ses enfants se séparent de quoi? La vue,
le goût, le toucher, l’odorat, l’ouïe; les imaginations, la conscience,
les souvenirs, le raisonnement, les affections; tout. Qu’ils dégagent
leur pensée et laissent la Parole entrer, et qu’ils marchent au pas de
la Parole. Voilà un vrai soldat.
179 Voilà la position que prennent les astres. Le
système solaire n’a pas changé; le zodiaque. L’étoile du matin se lève,
elle est à son poste, tous les matins, exactement comme elle l’a fait
quand la terre a été créée. L’étoile du soir prend sa place à elle;
tous les astres. La Petite Ourse, juste à la période de la saison, elle
est exactement là où elle doit être. L’étoile Polaire reste là
constamment, sans jamais bouger. Alléluia! [Frère Branham tape une fois
dans ses mains.—N.D.É.] Tout gravite autour de l’étoile Polaire, toutes
les autres étoiles, parce qu’elle est centrée par rapport à la terre.
180 Ça, c’est Christ. Amen. Il se tient là, à
commander Son armée, comme un grand Capitaine.
181 C’est comme Moïse, sur la montagne, les mains
levées; Israël livrait bataille, en se taillant un passage, et il est
resté là, les mains levées. Il est resté là, les mains levées, jusqu’au
coucher du soleil. Il a fallu qu’ils tiennent ses mains pour qu’elles
restent levées. Ça, c’était Moïse.
182 Il était un type de Christ. Pour s’assurer que
Ses mains restent levées, Ses mains levées ont été clouées à la croix.
Alléluia! Et Il a escaladé les remparts de la Gloire; aujourd’hui, avec
Ses vêtements Sanglants, devant Dieu, à la droite de Sa Majesté,
Là-bas. Et la bataille, chaque soldat, il se taillera un passage. Peu
m’importe ce qui peut arriver; par la Parole de Dieu, il se taillera un
chemin jusqu’à la liberté. Amen.
183 C’est comme un poussin dans un œuf, qu’est-ce
qui se passerait s’il avait peur de regarder à l’extérieur? Qu’est-ce
qui se passerait s’il avait peur de donner des coups sur l’œuf?
Qu’est-ce qui se passerait si le petit poussin à l’intérieur de l’œuf,
le petit oiseau, il avait peur de taper sur la coquille de l’œuf?
Qu’est-ce qui se passerait s’il avait entendu un son, à l’extérieur,
qui disait: «Ne tape pas sur cette coquille, tu pourrais te blesser»?
Mais la nature même, dans cet oiseau, lui dit: «Donne des coups de bec!
Fais un trou dedans.»
184 Que toutes les vieilles organisations disent:
«Les jours des miracles sont passés. Tu vas te blesser. Tu tombes dans
le fanatisme.»
185 Donnez des coups de bec sur la coquille, de
toutes vos forces. Alléluia! «Satan, retire-toi! Je sors d’ici.» C’est
ça. «Je ne reste plus couché ici. Je ne reste plus assis ici. Je ne
suis plus sur ce vieux terrain du diable. Je donne des coups pour
sortir d’ici, ce matin. Amen. Je suis un aigle.» Amen! [Frère Branham
tape deux fois dans ses mains.—N.D.É.] Alléluia!
186 Mais, ce brave petit aigle, le cou comme un
marteau à bascule, là, il donne des coups de bec sur cette coquille.
Peu importe combien dure était la coquille, il a donné des coups de bec
jusqu’à ce qu’il passe à travers. Bientôt, alors, il a pu battre un peu
des ailes. Tout allait bien pour lui.
187 Donnez des coups de bec pour vous en sortir.
C’est exact. Comment faire? Attaquez à coups D’«AINSI DIT LE SEIGNEUR.
AINSI DIT LE SEIGNEUR. AINSI DIT LE SEIGNEUR». Finalement, vous
commencez à sentir de l’air frais. «AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Votre tête
est sortie de la coquille. «AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Poussez bien fort,
là, vous sortez! [Frère Branham tape une fois dans ses mains.—N.D.É.]
188 Il ne retourne plus jamais dans la coquille.
Amen. Il est libre. Oh! la la! Une fois que cette Parole s’installe,
qu’Elle a traversé tous ces sens et les consciences et tout, pour
s’installer ici, au fond, et que la pensée se dégage pour La laisser
entrer. Ô Dieu, aie pitié! Plus jamais rien ne l’asservira. Vous êtes
libre. Celui que le Fils a mis en liberté est sorti de la coquille.
Votre dénomination ne pourra jamais vous y faire revenir. Le diable ne
pourra plus rien vous faire. Il aura beau siffler et hurler, à ce
moment-là.
189 Mais vous êtes sur le Chemin, vous courez, à
grande vitesse, oh! la la! vous montez le Chemin du Roi en courant, un
soldat de la croix oint. Et c’est pour vous, tous les aigles: proclamez
avec foi Jésus, la Lumière du monde, montez le Chemin du Roi en
courant. Certainement. Oui monsieur!
190 Ce sont des «esprits qui exercent un ministère»,
envoyés de la Présence de Dieu, pour être des ministres, pour apporter
(quoi?) Sa Parole; non pas une théologie quelconque, mais la Parole de
Dieu. Ce sont des esprits qui exercent un ministère, envoyés par Dieu,
pour exercer un ministère. Des esprits qui exercent un ministère! Oh!
Et, souvenez-vous, s’il apporte autre chose que la Parole, il n’est pas
venu de Dieu. En effet: «Ta Parole est toujours confirmée dans les
Cieux.» Toujours, dans les Cieux, la Parole, Dieu veille sur Elle. Et
jamais Il n’enverra un esprit pour qu’il apporte autre chose que la
Parole.
191 Jamais Il n’enverra un esprit, muni d’un grand
D.D.D., d’un doctorat en philosophie, avec son col tourné vers
l’arrière, et tout, comme ça, qui dira: «Eh bien, évidemment, les jours
des miracles sont passés. Ça, nous le savons tous.» Non, non. Ce n’est
pas venu de Dieu, ça. C’est contraire à la Parole. Amen.
192 Il envoie ceux qui apportent l’Esprit de la
Parole. Amen.
193 Oh, j’avais à peu près quatre ou cinq choses
encore, mais je vais m’en tenir là, pour le moment, j’y reviendrai
dimanche prochain. Bien.
Satan et ses démons sont oints.
194 Si ces esprits angélique sont oints pour vous
apporter la Parole, pour vous amener à croire la Parole, alors,
pouvez-vous concevoir qu’on puisse jamais entendre un prophète, un vrai
prophète de Dieu, nier la Parole de Dieu? [L’assemblée dit: «Non.»
—N.D.É.] Non monsieur. Qu’est-ce qui se passait quand les organisations
de leur époque s’élevaient et disaient: «Voyons, il a tort»? Il se
tenait là tout seul, il restait seul. Il disait: «C’est la vérité.»
195 Regardez Michée, là-bas, ce jour-là, le petit
exalté, voyez-vous, le fils de Jimla. Il y en avait quatre cents qui
étaient oints, c’est ce qu’ils prétendaient être, des prophètes oints
qui se tenaient là-haut, tous bien nourris, et bien arrangés, et avec
de grands diplômes, et des érudits avec beaucoup d’instruction et de
raffinement. Ils ont dit: «Monte, notre noble roi. Que l’Éternel soit
avec toi. Cela nous appartient. Josué nous l’a donné Alors, monte t’en
emparer. C’est tout à fait exact. Monte t’en emparer. Que… «Il a dit:
«Eh bien, Josu-…»
196 Vous savez, Josaphat a dit: «N’y en aurait-il
pas encore un, quelque part?» Eh bien, ils en avaient quatre cents.
Pourquoi ne pas croire les quatre cents? Il a dit: «Mais tu dois
sûrement en avoir encore un, quelque part.»
197 Il a dit: «Je—je… Eh bien, nous en avons un. Il
y en a encore un, mais, oh, je le hais.» Hm! Voyez?
198 «Voilà—voilà, c’est lui le gars que j’aimerais
écouter, tu vois.» Il a dit: «Fais-le venir. Voyons ce qu’il va dire.»
199 Alors ils sont allés lui dire, ils ont dit:
«Bon, écoute. Prépare bien ta prédication, ce matin, parce que tu vas
prêcher au roi. Tu vas prêcher à la… à toute la—l’association pastorale
de tel et tel, tu vois, de la Palestine. L’association pastorale tout
entière, maintenant, souviens-toi, voici ce qu’ils ont dit. Dis donc la
même chose. Crois donc la même chose.» Ce petit…
200 Il—il n’avait pas le bon bonhomme, là. Cet
homme-là s’était déjà débarrassé de ce vieux raisonnement. Il avait
déjà nettoyé les conduits à fond, voyez-vous, sa conscience.
201 «Eh bien, mais, sais-tu ce qu’ils vont faire? Si
tu dis la même chose, j’imagine qu’ils te nommeront surveillant
régional. Probablement que oui. Ils—ils te nommeront surveillant
général de la région, ici, tu—tu n’as qu’à être du même avis qu’eux.»
Ça, ce n’était pas un vrai homme de Dieu.
202 Mais, ses conduits à lui avaient été nettoyés à
fond, toute sa conscience et tout, c’était dégagé. Sa pensée s’était
ouverte à la Parole de Dieu. Et c’est la Parole de Dieu, et Elle seule,
qu’il allait croire. Des esprits qui exercent un ministère, c’est ça.
Un esprit qui exerce un ministère, c’est ça.
203 Il a dit: «Je ne sais pas quoi dire, en ce
moment. Mais je vous dirai une chose: je ne dirai que ce que Dieu me
dira de dire.»
Alors ils ont attendu, cette nuit-là. Il a eu une
vision.
204 Le lendemain matin, je peux imaginer Michée qui
parcourt les Écritures, en disant: «Maintenant, voyons voir, là. Est-ce
que cette vision… Bon, tous ces hommes, il y a quelque chose qui cloche
quelque part, parce que C’est contraire à ce qu’eux, ils ont dit. Eh
bien, qu’est-ce qui Y est dit? Voyons ce qu’Élie a dit, ici, le
prophète, parce que nous savons qu’il était prophète. Voyons ce que… La
Parole de l’Éternel est venue à Élie. Oui. Et qu’est-ce qui Y est dit?
‘Et les chiens lécheront ton sang. Jézabel, les chiens la mangeront. Et
c’est à cause du juste Achab… d’un juste, Naboth.’» Alors il a dit…
Quand il a vu ça, alors, il a vu que sa vision concordait parfaitement
avec la Parole de Dieu, que le vieux Achab ne perdait rien pour
attendre.
205 Il s’est avancé là sans hésitation, il a dit:
«Vas-y, monte, mais j’ai vu Israël…» Voyez-vous, il n’avait pas honte
de prononcer sa vision, alors, parce que c’était la Parole du Seigneur.
Il savait qu’il pouvait apporter cette chose-là, parfaitement. Qu’en
était-il? Il avait ouvert son cœur, sa pensée, à la Parole de Dieu, et
alors la Parole de Dieu lui avait été révélée, donc il savait que
c’était la Parole de Dieu, parfaitement.
206 Maintenant, vous dites: «Oh, si je pouvais
seulement être un Michée!» Vous pouvez en être un. Vous en êtes un. Toi
aussi, ma petite. [Frère Branham s’adresse de nouveau à la sœur
malade.—N.D.É.] Vous êtes un Michée, le prophète. Qu’est-ce que vous
pouvez faire? Ouvrir votre pensée. Qu’est-ce que j’essaie de vous dire,
ce matin? La Parole du Seigneur. Voyez? Ouvrez votre pensée, dites:
«Maintenant, sais-tu, je crois vraiment que je peux être guéri.» Eh
bien, alors, qu’est-ce que C’est? Est-Ce la Parole du Seigneur? Bien
sûr que C’est la Parole du Seigneur.
207 Et il y a ce gars ici, qui dit: «Les jours des
miracles sont passés. Vous ne pouvez pas faire ceci. Et vous. Oubliez
ça. Faites passer Dieu en premier.
208 Voici venir la Parole du Seigneur, et il L’a
prononcée, et il En a été ainsi.
209 Or, qu’est-ce que Satan avait fait? Satan avait
oint les autres. Or, Satan oint ses serviteurs. Oh, certainement.
Oui-oui. Certainement. Il oint ses serviteurs. De quoi les oint-il?
D’incrédulité. Satan et ses démons oignent l’humanité pour qu’elle soit
incrédule à l’égard de la Parole de Dieu.
210 Maintenant, si vous voulez en avoir la
confirmation, prenez Genèse 3.4. Allons donc prendre ça, et on va
écouter ça, un petit instant, voir si c’est bien sa première tactique.
C’est la première chose qu’il a faite. Il n’abandonne jamais ses mêmes
tactiques. C’est ce qu’il fait, tout le temps. Maintenant, voyez si
ce—si c’est bien ça. Or, il n’a pas été en désaccord avec la Parole. Il
a simplement incité cette femme à La mésinterpréter un peu, vous savez,
Lui faire dire un peu ce qu’il voulait qu’il Y soit dit, ne pas prendre
la totalité de la Parole. Maintenant, Genèse, ce que j’ai ici, Genèse
3.4. Voyons si c’est ce qui est dit, là. Bien.
Et le serpent dit à la femme: Vous ne mourrez point
certainement; [version Darby—N.D.T.]
211 «Ne mourrez point certainement.» Vous voyez
comment il a contourné ça, en le citant? «Oh, nous croyons que les
jours des miracles sont passés. Nous ne croyons pas que des gens
puissent recevoir le Saint-Esprit, comme ils l’avaient fait à la
Pentecôte. Oh, qu’on se fasse baptiser d’une manière ou de l’autre, il
n’y a pas de différence.» Vous voyez le diable? Vous voyez ses
tactiques? «Eh bien, si le médecin t’a dit que tu ne pouvais pas te
rétablir, ça règle la question.»
212 Bon, ce n’est pas que je mette en doute, que je
ne croie pas le médecin. Le médecin travaille sur le plan de la
science. Et le médecin a fait tout ce qu’il pouvait pour sauver la vie
de cette personne. Et elle ne peut pas être sauvée, parce qu’il ne sait
plus quoi faire. Il est au bout de son rouleau. Cet homme est honnête.
Mais, maintenant, l’arbre de la connaissance, c’est bien, mais quand
vous arrivez au bout, alors, passez de celui-là à l’Arbre de Vie, et
continuez simplement à avancer. Amen. C’est ça. Il fera l’affaire
jusque-là, pas plus loin. Oui.
213 Maintenant, quelle est la tactique de Satan, là?
Qu’est-ce qu’il a dit, ici? Maintenant regardez le premier et le—le
deuxième versets. Maintenant je vais—vais lire le premier verset ici,
jusqu’à 3.
Or le serpent était le plus rusé que tous, qu’aucun
animal des champs que l’Éternel Dieu avait fait; et il dit à la femme:
Quoi, Dieu a dit: Vous ne mangerez pas… tout arbre du jardin?
214 Écoutez-le, maintenant, comme il devient
vraiment désagréable, et comme il—comme il La badigeonne en blanc,
cette Parole. Voyez? Il… Qu’est-ce qu’il essaie de faire? D’entrer dans
sa pensée. Voyez? Il lui parle, après que la Parole avait déjà été
fortifiée là.
215 Maintenant, ne laissez surtout pas Satan
fortifier quoi que ce soit. Voyez? Gardez la Parole de Dieu fortifiée
dans votre cœur. Voyez? Faites pareil, — maintenant regardez bien,
vous, les Michée .
…la femme dit au serpent: Nous mangeons du fruit des
arbres du jardin; mais de…
Mais du fruit de l’arbre qui est au milieu (le
milieu, vous voyez) du jardin, Dieu a dit: Vous n’en mangerez point, et
vous n’y toucherez point, de peur que vous ne mouriez.
216 Voyez-vous, maintenant, ça, c’est la Parole.
Elle La lui cite. Maintenant regardez bien.
Et le serpent dit à la femme: Vous ne mourrez point
certainement; [version Darby—N.D.T.]
217 Vous voyez sa tactique? Voyez? Qu’est-ce qu’il
essaie de faire? Ce premier être humain, il essaie d’oindre cette
précieuse femme, là, la fille de Dieu, d’incrédulité à l’égard de la
Parole de Dieu. Voilà précisément ce qu’il essaie de l’amener à faire.
218 Voilà ce qu’il essaie de t’amener à faire, ma
petite. [Frère Branham s’adresse de nouveau à la sœur malade.—N.D.É.]
Voilà ce qu’il essaie de vous amener à faire, chacun de vous, là-bas;
vous oindre. Et tout ce que vous avez à faire, là… Vous avez votre
libre arbitre. Maintenant, vous pouvez l’accepter si vous voulez. Mais
mettez ça à la porte! Si Ève ne s’était pas arrêtée pendant cet
instant-là, pour écouter! Ne vous arrêtez pas, pour quoi que ce soit.
Ne vous arrêtez pas.
219 Quand—quand Élie a dit à Guéhazi, il a dit:
«Prends mon bâton, va le mettre sur le bébé mort. Et même si quelqu’un
te parle, ne lui réponds pas. Si quelqu’un essaie de t’arrêter,
continue simplement à avancer.»
220 Regardez cette femme, quand elle a appelé son
serviteur. Elle a dit: «Selle une ânesse et pars, et ne t’arrête même
pas, tant que je ne te l’aurai pas dit.» C’est ça. [Frère Branham tape
deux fois dans ses mains.—N.D.É.]
221 Une fois que vous avez le Message. continuez à
avancer. Amen. Dites: «Je n’arrive plus à marcher. Non. je
m’affaiblis.» Continuez simplement à avancer. Ne vous arrêtez pas.
Mettez tout de côté, continuez simplement à vous tailler un passage.
Frère, vous avez l’Épée à la main, continuez simplement à trancher.
222 Je suis allé dans un stade de football, une
fois, j’allais y prêcher. Et je me suis arrêté à la porte, j’ai levé
les yeux, là-haut, ça disait: «Ce qui compte, ce n’est pas la taille du
chien dans le combat, c’est la taille du combat dans le chien.» Alors,
voilà ce qui gagne la bataille. Voyez?
223 Vous dites: «Eh bien, regardez. Regardez toutes
les grandes églises qui sont contre Ceci.»
224 Peu m’importe de quelle taille elles sont. C’est
la combativité qu’il y a dans le chien, c’est ça qui compte. C’est la
foi qu’il y a dans l’individu. Si vous êtes un lâche, retournez vous
blottir dans votre trou. Mais, frère, si vous êtes un soldat,
tenez-vous là, debout. Il y a une bataille qui se poursuit. Il y a un
combat entre le bien et le mal. Livrons bataille.
225 C’est comme Peter Cartwright, il est allé dans
une ville, il disait: «Le Seigneur m’a dit de—de venir faire des
réunions de réveil.» Il a loué un vieil entrepôt, il est entré et il
s’est mis à faire le ménage.
226 Et la grande brute de la ville, avec son
pistolet accroché sur le côté, il est arrivé. Aux portes… Quelques-uns
disaient: «Qu’est-ce qu’il fait là, ce gars-là?»
227 Ils disaient: «C’est un prédicateur. Il va faire
des réunions, à ce qu’il dit.»
228 «Eh bien,» il a dit, «je pense qu’il va falloir
que j’aille là-bas et que je le jette à la rue, que je le chasse d’ici.
C’est tout. On ne veut pas de réunions chez nous.»
229 Alors il y va, il martèle la porte. Et Peter
Cartwright avait son manteau sur le dos, vous savez, et il lavait les
vitres et les murs, simplement. Un petit bout d’homme, vous savez.
230 Le vieux prédicateur s’était moqué de lui, vous
savez, parce qu’il mangeait du poulet avec ses mains; et aujourd’hui,
c’est l’étiquette, ça, vous savez.
231 Donc, il lavait les vitres, simplement, et il
arrangeait ça. La grande brute s’est approchée, il a ouvert son
manteau, il avait son pistolet accroché sur le côté. il a dit:
«Qu’est-ce que tu fais?»
232 «Oh,» il a dit, «je lave les vitres.» Et il a
simplement continué à laver la vitre, vous savez. Il avait un seul but.
Dieu lui avait dit de faire des réunions de réveil. Il continuait à
laver les vitres.
Il a dit: «On ne permet pas les réunions de réveil
par ici.»
233 Il a dit: «Oh, mais c’est le Seigneur qui m’a
dit de—de faire ces réunions de réveil.» Voyez? Il continuait
simplement, il faisait sa besogne. Voyez? Voyez?
234 «Eh bien,» il a dit, «il va falloir que tu—tu
comprennes une chose.» Il a dit: «C’est moi qui dirige ici, dans cette
ville.»
235 Il a dit «Ah oui?» Et il continuait à laver les
vitres, vous savez.
236 Il a dit «Avant de faire des réunions de réveil,
il faudra d’abord que tu me flanques une raclée.»
Il a dit: «Ah oui? Eh bien, c’est la prochaine chose
que je vais faire, alors.»
237 Il a simplement enlevé son manteau. Il s’est
avancé, il l’a pris par le collet, il l’a jeté par terre, et il a sauté
sur lui. Il a dit: «Je dois combattre, si je dois régner. Augmente mon
courage, Seigneur.» Il lui a administré toute une raclée.
Il a dit «Tu en as eu assez?»
238 Il a dit «Oui.» Il s’est relevé et lui a serré
la main. Il a été sauvé, ce soir-là, à l’église.
239 Voilà. [Frère Branham tape deux fois dans ses
mains.—N.D.É.] Voyez? C’est, prenez la Parole de Dieu, et taillez-vous
un chemin à travers tous les doutes. Vous le voyez? Certainement, c’est
ça. C’est le prochain travail à faire, alors faisons-le. Exact. La
prochaine chose à faire, c’est de me débarrasser de mes doutes:
abattez-les. C’est le prochain travail que j’ai à faire, de me
débarrasser de toutes mes contrariétés. Si mes sens me disent: «Eh
bien, tu te sens mal», la prochaine chose à faire, c’est de retrancher
cette chose-là. C’est exact.
240 Vous dites: «Eh bien, vous… Ils me disent que…
Vous savez, ma conscience me dit, Frère Branham, que je… «Eh bien,
autant retrancher cette chose-là. Vous n’irez pas plus loin que ça.
Faites simplement le prochain travail que vous avez à faire. Enlevez
votre manteau, dégainez et allez-y rondement. Continuez simplement à
avancer. Un seul objectif: «Je vais gagner.» Amen. «Je ne peux pas
perdre. Je vais gagner.» Amen.
241 Satan oint. Voyez? Quelle est sa première
tactique? Quel est le premier endroit qu’il a réussi à obtenir? La
pensée. Elle s’est arrêtée un instant, pour écouter ce qu’il disait.
«Sans blague, c’est vrai, ça?»
242 C’est là que bien des jeunes femmes ont commis
leur erreur, et que bien des jeunes hommes ont commis leur erreur;
exact, ils se sont arrêtés un instant, se sont juste arrêtés un
instant. Combien de fois j’ai vu des cas de divorce et tout, à cause de
ça.
243 «Eh bien, je vous le dis, Frère Branham, il a
sifflé comme ça ‘huîîît! huiîîou!’, vous savez, et je me suis arrêtée,
et, vrai, je—je ne voulais pas faire ça.» Ah-ha. Voilà.
244 «Oh, elle, j’étais assis en face d’elle, de
l’autre côté de la table. Elle—elle avait de si beaux yeux!» Voyez?
Ah-ha. Vous le voyez? C’est ça.
245 Le diable fait la même chose. «Oh, le médecin
m’a dit que je ne pouvais pas me rétablir, alors, je…» Voilà, même
chose, voyez-vous, la plus grande bataille qui ait jamais été livrée.
246 «Eh bien, ils me disent. J’ai vu un tel
prétendre qu’il avait le Saint-Esprit.» Oui, vous avez regardé une
espèce d’hypocrite. Mais qu’en est-il de ceux qui L’avaient réellement?
Ah-ha. Oui. Le diable va vous indiquer une espèce d’appât à corneille,
mais il ne vous montrera pas la vraie colombe. Ah-ha. C’est exact. Ça,
il ne vous le montrera pas, il vous aveuglera là-dessus.
247 Oh, lui aussi, c’est un guerrier,
souvenez-vous-en. Mais grand est notre… «Celui qui est en vous est plus
grand que celui qui est dans le monde.» Mais tenez-vous à la Parole de
Dieu; croyez-La, vous, les capitaines de l’armée, ici. Défendez votre
forteresse, frère. C’est exact, restez à votre poste.
248 Ainsi, il y avait une jeune fille ici, à un
moment donné. La dame est peut-être assise ici, en ce moment. Elle
s’appelait Nellie Sanders. L’une des premières fois que j’ai vu un
démon être chassé. Nous habitions, bon, si je peux seulement vous
expliquer où; c’était à peu près trois rues plus loin, ici, après le
cimetière. Et j’en étais à mes débuts comme prédicateur, et je prêchais
ici même, au coin, à une réunion sous la tente.
249 Et cette jeune fille était l’une des meilleures
danseuses. Elle allait à l’école secondaire, ici, et elle et Lee Horn,
beaucoup d’entre vous, de la ville, ici, vous connaissez Lee Horn, ici,
il tient la salle de billard, — alors, ils, elle et Lee Horn, c’étaient
les meilleurs danseurs de la région. Lui, il est catholique.
Évidemment, la religion, pour eux, ça ne comptait pas, et, donc… pour
Nellie et les autres. Donc, elle était très bonne danseuse, et lui
aussi. Et il y avait cette danse qu’ils appelaient le «black bottom»,
et le «jitterbug», là, et toutes ces choses. Et elle était la… Ces
deux-là étaient les meilleurs de la région.
250 Un jour, elle est entrée d’un pas mal assuré,
ici, un soir, à la réunion. Là, elle est tombée à genoux, à l’autel, la
petite Nellie. Qu’elle soit bénie. Elle est restée là, à l’autel. Elle
a levé la main. Elle pleurait, et les larmes coulaient sur ses joues.
Elle a dit: «Billy…» Elle me connaissait. Elle a dit: «Je voudrais tant
être sauvée.»
251 J’ai dit: «Nellie, tu peux être sauvée. Jésus
t’a déjà sauvée, fille. Il faut que tu l’acceptes maintenant, en te
fondant sur Sa Parole.»
252 Elle est restée là. Et elle a pleuré, et elle a
prié, et elle a dit à Dieu qu’elle n’écouterait plus jamais les choses
du monde. Tout d’un coup, une belle paix, toute douce, a envahi son
âme. Elle s’est relevée, en poussant des cris et en louant Dieu, en
glorifiant Dieu.
253 Et environ six ou huit mois plus tard, elle
descendait la rue Spring, un soir.
254 Bon, elle était toute jeune, elle n’était qu’une
adolescente, d’environ dix-huit ans. Elle était venue me voir, et elle
disait: «Hope… «Ça, c’était ma femme, celle qui est décédée. Elle
disait: «Comme j’aimerais ressembler à Hope et à Irène.» Elle disait:
«Tu sais, elles, elles n’ont jamais été dans le monde.» Elle disait:
«Le monde laisse son empreinte sur vous.» Elle disait: «J’ai un air
dur. «Elle disait: «Bon, j’ai arrêté de porter du maquillage et tout,
mais j’ai un air tellement dur. Même mes traits, de mon visage,» elle
disait, «j’ai un air dur.» Elle disait: «Elles, elles ont un air
tellement innocent et tendre.» Elle disait: «Comme j’aimerais n’avoir
jamais fait ça.»
255 J’ai dit: «Nellie, le Sang de Jésus-Christ
purifie de tout péché, ma petite. Va ton chemin, crois-le.»
256 Wayne Bledsoe, beaucoup d’entre vous le
connaissent, ici, un de mes amis intimes, pendant des années et des
années. C’était un buveur. Et il venait, ici, avec mon frère Edward. Et
il s’était enivré, là-bas, dans la rue, alors je l’ai ramassé, parce
que les agents de police allaient lui mettre la main dessus. Je l’ai
emmené ici. J’étais prédicateur, et j’habitais chez maman et papa, ici,
c’était bien avant que je me marie. Et je l’ai pris, je l’ai mis au
lit, là. Je dors, je dormais sur un canapé. Il y avait tout un tas de
Branham, vous savez, nous étions dix. Et alors, nous avions peut-être
quatre pièces, et il fallait un peu partager les pièces entre nous.
Alors, moi, il y avait un vieux canapé sur lequel je couchais. Je l’ai
ouvert en tirant, comme ceci, et—et j’ai mis Wayne au lit avec moi. Il
était ivre, j’avais été obligé de le porter pour l’emmener dans la
maison et le coucher.
257 Et j’étais étendu là. J’ai dit: «Wayne, tu n’as
pas honte de toi, comme ça?»
258 Et il a dit: «Ah, Billy, ne me parle pas comme
ça.» Et alors j’ai imposé ma main. J’ai dit: «Je vais prier pour toi,
Wayne. Que Dieu te bénisse.» Il y avait à peu près, oh, je pense, à peu
près, peut-être un an, que j’avais été sauvé.
259 Et, alors, tout à coup, un—un taxi, la portière
a claqué, dehors, et quelqu’un a cogné à la porte, très fort. «Frère
Bill! Frère Bill!» [Frère Branham donne quinze coups sur la
chaire.—N.D.É.]
260 Je me suis dit: «Bonté! quelqu’un doit être
mourant.» J’ai bondi vers la porte; j’ai attrapé mon vieux truc, là,
j’ai mis ça autour de mon pyjama, comme ceci; j’ai couvert Wayne. Je
suis allé à la porte en vitesse.
261 On aurait dit la voix d’une femme. J’ai ouvert
la porte, et cette jeune fille était là à la porte. Elle a dit: «Oh,
est-ce que je peux entrer?»
J’ai dit: «Entre.» Et, j’allume les lumières.
262 Et là, elle était en larmes, comme ça, et elle
disait: «Oh, Frère Billy, je suis—je suis—je suis fichue! Je suis
fichue!»
263 J’ai dit: «Qu’est-ce qu’il y a, Nellie? Tu as
été prise d’une—prise d’une crise cardiaque?»
264 Elle a dit: «Non.» Elle a dit: «Frère Bill, je
descendais la rue Spring.» Elle a dit: «Vrai, Frère Bill! Vrai, Frère
Bill, je ne voulais pas faire de mal. Je ne voulais pas faire de mal.»
265 J’ai dit: «Qu’est-ce qu’il y a?» Je me disais:
«Qu’est-ce que je vais faire avec elle, maintenant?» Je ne savais pas
quoi faire. Je n’étais qu’un jeune homme. Et je…
266 Elle disait: «Oh, Frère Bill,» elle disait, «je
ne sais—je ne sais—je ne sais vraiment plus où j’en suis.»
J’ai dit: «Bon, calme-toi, petite sœur. Raconte-moi
tout ça.»
267 Et elle a dit: «Eh bien,» elle a dit, «je
descendais la rue, et à la salle Redman…» Autrefois, il y avait des
soirées dansantes là-bas, le samedi soir. Et elle a dit: «J’avais des
choses, et je rentrais à la maison pour aller me faire une robe.» Et
elle a dit: «J’ai entendu cette musique.» Et elle a dit: «Tu sais,»
elle a dit, «je me suis arrêtée juste une minute.» Et elle a dit: «Ça
sonnait de mieux en mieux. Alors je me suis dit: ‘Tu sais, il n’y a pas
de mal à ce que je reste ici.’»
268 C’est là qu’elle a commis son erreur, elle s’est
arrêtée un instant. Elle a simplement écouté.
269 Elle disait: «Eh bien, je vais penser.» Elle
disait: «Ô Seigneur, Tu sais que je T’aime, pourtant.» Elle disait: «Tu
sais que je T’aime, Seigneur. Mais je m’en souviens très bien, de
l’époque où Lee et moi, on gagnait toutes les—les coupes, et tout.»
Elle disait: «Oh, je me souviens que cette espèce de musique là, avant,
elle m’attirait. Plus maintenant.»
270 Oh-ho, oh-ho! Tu t’imagines que non. Elle te
tient, déjà là. C’est ce qu’il veut, c’est assez bon, déjà là. Voyez?
271 Combien ont déjà connu Nellie Sanders? Eh bien,
un bon nombre d’entre vous, je pense. Oui. C’est sûr. Alors, ils—ils
étaient—ils étaient…
272 Elle a dit, elle a dit: «Eh bien, sais-tu quoi?»
Elle a dit: «Peut-être que si je monte les marches, là-bas,» elle a
dit, «peut-être que je pourrai témoigner à quelques-uns d’entre eux.»
273 Oh! Voyez-vous, vous êtes en plein sur le
terrain du diable. Restez hors de là. «Fuyez l’apparence même du mal.»
274 Mais elle est montée, jusqu’en haut des marches,
et elle est restée là quelques minutes. Et tout à coup elle s’est
retrouvée dans les bras d’un garçon, sur la piste.
275 Alors elle a repris ses sens. Et elle était là,
en larmes et tout, elle disait: «Oh, je suis perdue, maintenant, pour
de bon.»
276 Je me suis dit: «Eh bien, je n’en sais pas très
long sur la Bible, mais je crois que Jésus a dit ceci: ‘En Mon Nom, ils
chasseront les démons.’» Je…
277 Et Wayne s’était dégrisé un peu, et il était
assis là, il observait. Voyez? Alors j’ai dit: «Maintenant, démon, je
ne sais pas qui tu es, mais je te le dis maintenant, ça, c’est ma sœur,
et tu n’as pas le droit de la retenir. Elle ne voulait pas faire ça.
Elle s’est juste arrêtée un instant.» Mais c’est quand même là qu’elle
a commis son erreur. J’ai dit: «Mais tu vas être obligé de sortir
d’elle. Tu m’entends?»
278 Je le certifie, ô Dieu, au Tribunal du Jugement,
ce sera connu. Cette porte grillagée s’est mise à s’ouvrir et à se
fermer toute seule. «Boum-badoum! boum-badoum!» là, à la porte. «Doum!
badoum! badoum!»J’ai pensé.
Et elle a dit: «Bill, regarde, là. Regarde, là.»
Et j’ai dit «Ouais. Qu’est-ce que c’est que ça?»
Elle a dit «Je ne sais pas.»
J’ai dit: «Moi non plus.»
279 Et la porte faisait «boum-badoum! badoum!», en
se fermant, comme ça. Je me suis dit: «Qu’est-ce qui se passe, ici?
Qu’est-ce qui se passe?»
280 Et j’ai regardé de nouveau, comme ça. Et j’ai
dit: «Laisse-la, Satan! Au Nom de Jésus, sors d’elle!»
281 Quand j’ai dit ça, quelque chose qui ressemblait
à une énorme chauve-souris, longue comme ceci, est sorti de derrière
elle, avec de longs cheveux qui pendaient de ses ailes, et de ses
pattes, comme ça. Ça faisait: «Oooooh.» Ça s’est dirigé vers moi, à
toute vitesse.
282 J’ai dit: «Ô Seigneur Dieu, que le Sang de
Jésus-Christ me protège de ça.»
283 Et Wayne a fait un bond, dans le lit, il a
regardé. Et c’était là, comme une grande ombre, ça décrivait des
cercles, et c’est allé là-bas, c’est descendu derrière le lit. Wayne
sort du lit, et s’enfuit dans l’autre pièce. à toutes jambes. Alors,
nous…
284 J’ai emmené Nellie, je l’ai ramenée chez elle.
Je suis revenu, et je ne pouvais pas…
285 Maman y est allée, elle a secoué les draps et
tout. Il n’y avait rien dans ce lit. Qu’est-ce que c’était? Un démon
était sorti d’elle. Qu’est-ce qui était arrivé? Elle s’était arrêtée un
instant. [Frère Branham donne deux coups sur la chaire.—N.D.É.] C’est
tout.
286 Ne vous arrêtez pas du tout. Quand Dieu fait
pénétrer Sa Parole dans votre cœur, prenez simplement cette Épée et
commencez à trancher, et à découper. Alléluia!
287 «Je n’ai pas le temps d’attendre quoi que ce
soit d’autre. Je viens de traverser, je n’ai pas le temps même de
m’installer.»
288 Il a dit: «Et, bon, prends mon bâton et mets-le
sur le bébé. Et si quelqu’un te parle, ne lui parle même pas.»
289 Si le diable dit: «Hé! tu sais comment tu te
sens, là?» Ne lui parlez même pas. Continuez simplement à avancer.
290 Le diable, vous savez, le diable dit: «Mais,
sais-tu quoi.? Tu sais, un tel, quand il a reçu le Saint-Esprit, tu te
souviens, il—il a presque perdu la tête.» Ne lui parlez même pas.
Continuez simplement à avancer. Vous ne savez pas ce qu’il en est d’un
tel.
291 Il s’agit de vous et Dieu. C’est exact. Gardez
Dieu. Il oint Ses serviteurs. Il faut que je me dépêche. Dieu oint Ses
serviteurs. Voyez?
292 Maintenant, il faut que je laisse de côté
quelques notes, ici, mais j’aimerais dire ceci. Maintenant écoutez,
ici, attentivement.
293 Petite demoiselle, écoute attentivement,
maintenant. [Frère Branham s’adresse de nouveau à la sœur
malade.—N.D.É.]
294 Ici, nous voyons les tactiques du diable. Nous
faisons comment? Maintenant, j’ai beaucoup de passages de l’Écriture,
ici, où il est question des prophètes et tout, alors qu’il était venu à
eux, et à différentes personnes, partout dans la Bible, et qu’il avait
fait la même chose. C’est toujours sa tactique, d’essayer d’amener les
gens à être incrédules à l’égard de la Parole de Dieu. Écoutez, vous,
les soldats de la croix. Quand vous êtes incrédules à l’égard d’une
seule Parole de la Bible écrite de Dieu, vous êtes désarmés.
295 Tu crois ça, ma petite? [Frère Branham s’adresse
de nouveau à la sœur malade.—N.D.É.]
296 Vous êtes désarmés. Vous capitulez, espèces de
méduses. Revêtez-vous de l’armure complète de Dieu. Amen. Nous sommes…
en bataille. Ce que Dieu a dit est vrai. «Toute parole d’homme est un
mensonge.» Voyez? Mais dès que vous… qu’il vous amène à écouter une
seule chose, c’est sa tactique, vous êtes désarmés.
297 Combien de choses est-ce qu’il a fallu qu’Ève
écoute? Une seule. Déjà là elle était désarmée. Qu’est-ce que le diable
a fait? Tout de suite il est entré, par sa pensée, dans son esprit, et
c’est là qu’elle a été pervertie. Pas vrai? Elle a été pervertie dès
l’instant qu’elle a été désarmée, quand elle a été incrédule à l’égard
de la Parole de Dieu. Bien. Ici nous voyons ses tactiques.
298 Les soldats de Dieu ont reçu l’ordre de «se
revêtir de l’armure complète de Dieu». Pas vrai? [L’assemblée dit:
«Amen.» —N.D.É.] Maintenant, si vous voulez noter ce passage de
l’Écriture, il se trouve dans Éphésiens 6.10 et 13. Voyez? Nous l’avons
lu tout à l’heure. C’est notre texte. Bien. Remarquez. «Revêtez-vous de
l’armure complète de Dieu.» Nous allons… Avez-vous quelques minutes?
[«Amen.»] Nous allons y revenir, un petit instant. Voyons voir ce
qu’est l’armure complète de Dieu. Bien. Commençons au verset 10.
Maintenant écoutez attentivement, là. Allons voir l’armure complète de
Dieu. «Au reste, mes frères…» Maintenant, je sais que je vais… je…
299 En ce moment, il est midi moins vingt, presque.
Je—je ne… Je ne voulais pas vous donner un enseignement trop long
aujourd’hui, mais il se pourrait que je—que je n’aie peut-être qu’un
seul Message encore, avant de partir pour quelques-uns de mes voyages
de l’été, vous voyez.
300 Et, savez-vous quoi? Savez-vous pourquoi je fais
ceci? Je vais vous le dire. L’autre jour, j’ai eu un songe. Je n’avais
pas l’intention de le raconter, mais il me revient à l’esprit; autant
le faire, une fois que le Seigneur m’en a donné les interprétations.
301 J’ai rêvé que je m’apprêtais à traverser un
grand fleuve, en vue d’une œuvre missionnaire. Bon, au départ, j’étais
là avec ma femme…
302 Et combien ont déjà connu George Smith,
six-second Smith, ici, en ville? George Smith, son fils est policier,
ici. Il, le pauvre George, maintenant il est alcoolique. Mais c’était
l’un des meilleurs boxeurs. C’est lui qui m’a donné mon entraînement,
avant même d’aller au Y.M.C.A. et partout. C’est lui qui nous
entraînait, à l’époque. Et il était rapide, très rapide. Il était
seulement un poids mi-moyen, à cent quarante-cinq livres. Et il
m’entraînait. À l’époque, il se tenait là, et avec son poing, comme ça,
il pouvait me frapper en plein estomac, il me soulevait, j’étais appuyé
contre le mur, voyez-vous, mais, et ça ne me dérangeait pas. Il m’avait
tellement entraîné, c’était un entraînement, tout simplement.
303 Et donc, je—j’ai rêvé, l’autre nuit, que j’ai vu
six-second Smith. Or, ce n’était pas une vision. C’était un songe. Et
j’ai vu six-second Smith, des jeunes gens l’affrontaient, à la lutte.
Et il, ce vieil homme. d’environ, oh, je pense… J’ai cinquante-deux
ans. Il a environ cinquante-huit, soixante ans. Aucun de ces jeunes-là
n’arrivait à le toucher, d’aucune manière. Il les immobilisait, mais
alors complètement, comme ça, il les terrassait et il les retenait là
avec sa main.
304 J’ai pensé: «C’est étrange.» J’ai pensé que ma
femme était avec moi, et j’ai dit: «C’est étrange.» J’ai dit: «Sais-tu
quoi, Meda? Autrefois, c’était mon entraîneurs»
Elle a dit: «Je—je me souviens de ça, que tu m’en
aies parlé.»
305 J’ai dit: «Oui monsieur. Grâce à son bon
entraînement, j’ai gagné quinze combats professionnels, ensuite je me
suis retiré du—du métier; pour prêcher l’Évangile.»
306 Au même instant, ça s’est transformé, et je me
mettais en route pour traverser une—une étendue d’eau. Mais, comme j’y
allais, j’y allais dans une embarcation à moteur. J’ai jeté un coup
d’oeil, et il y avait deux de mes frères, assis là, dans un canot, ils
se préparaient à partir avec moi. J’ai dit: «Vous ne pouvez pas faire
ça, les frères. Non-non. Je dois y aller seul.»
307 Et le batÉlier est arrivé, il a dit: «Voici une
embarcation pour toi», un canot en plastique très blanc.
J’ai dit: «Non. Non-non. Pas ça.»
308 Il a dit: «Eh bien, avec celui-là, tu pourras
faire du cinquante milles à l’heure [80 Km/h—N.D.T.] en montant dans
cette direction-ci.»
J’ai dit: «Mais il faut que je traverse dans cette
direction-là.» Voyez?
«Eh bien,» il a dit, «vas-y avec ces gars-là.»
309 J’ai dit: «Ce ne sont pas des batÉliers. Ils ne
s’y connaissent pas assez. Ils sont emballés. Ils ne peuvent pas
traverser ça. Ils vont se noyer là-bas, tous les deux. Ils ne peuvent
pas, vraiment pas.»
Et il a dit: «Es-tu… peux-tu te fier…?»
310 J’ai dit: «Écoute, je—je m’y connais plus qu’eux
en bateaux, et moi, je n’essaierais pas de traverser avec ça, rien
qu’avec ce genre de matériel là.» J’ai dit: «Il faut absolument une
embarcation à moteur pour traverser ça.» J’ai dit: «Il faudra quelque
chose de plus puissant que ça.»
311 Et je l’ai vu tourner le regard vers l’un des
frères, il a dit «Es-tu batÉlier?»
Les frères ont dit: «Oui.» Voyez?
J’ai dit: «C’est faux.»
312 Et le batÉlier est revenu. Il a dit: «Je vais te
dire quoi faire.» Il a dit: «Ils t’aiment. Ils croient en toi. Mais,»
il a dit, «si tu essaies de traverser dans l’embarcation à moteur, ils
essaieront de te suivre dans ce canot. Ils mourront tous les deux, tu
vois.» Il a dit: «Ils ne peuvent pas te suivre.»
Et j’ai dit: «Eh bien, que dois-je faire?»
313 Et ce batÉlier, au quai. il a dit: «Retourne
là-bas.» Il a dit: «Il n’y a qu’un seul petit magasin dans tout ce
pays, un seul petit magasin. Et tu n’as qu’à y emmagasiner des
provisions en abondance,» il a dit, «et ils resteront ici. Ils—ils
resteront ici, pendant que tu seras—pendant que tu seras parti. Mais»,
il a dit, «il faudra que tu emmagasines des provisions.»
314 Et là j’en commandais de toutes sortes, des
choux, et des navets, et des radis, et tout, et je les entassais
là-dedans, comme ça. Alors je me suis réveillé.
315 Je ne savais pas de quoi il s’agissait, mais
maintenant je le sais. Voyez-vous, nous emmagasinons les provisions,
frères. Cette vie en est une où vous devez marcher seul.
316 Leo, tu te rappelles le songe que tu as eu,
quand tu es venu ici, la première fois? [Frère Leo Mercier dit:
«Amen.»] Au sujet de la pyramide, et tu pensais pouvoir monter
jusque-là. J’ai dit: «Leo, aucun homme ne monte jusqu’ici. C’est Dieu
qui doit placer un homme ici. Tu as atteint toutes les hauteurs qu’on
peut atteindre physiquement.» J’ai dit: «Tu ne peux pas venir ici, Leo.
Tu vois? Retourne en bas. Contente-toi de dire aux gens que cela vient
de Dieu.» Voyez? Voyez?
317 C’est quelque chose sur lequel vous—vous ne
pouvez pas compter, si bons que soient les frères et les sœurs, et mon
église et tout, et si bonnes que soient les autres églises, et les
frères, partout.
318 Or, je ne peux pas me tenir loin de l’église du
dehors. Quelqu’un dira: «Eh bien, pourquoi est-ce que vous allez
là-bas, avec ces gens, les trinitaires, et tous les ceci, cela et autre
chose, et les unitaires, et ceux du Nom de Jésus, et tout ce qu’il y a
d’autre là-bas? Pourquoi vous impliquez-vous avec eux, pour commencer?»
Ils sont à moi. Quoi qu’ils aient fait, ils sont a moi. Ma chaire,
c’est eux.
319 Quand Israël avait fait le mal, à un point tel
que Dieu avait même dit à Moïse, Il avait dit: «Sépare-toi. Je vais
former une nouvelle—nouvelle tribu avec toi.»
320 Moïse s’est jeté en travers du chemin, il a dit:
«Avant de les prendre, eux, prends-moi.»
321 Quoi qu’ils aient pu faire, c’est à eux que j’ai
été envoyé. Il envoie une Lumière, pas pour qu’Elle brille où il y a de
la Lumière. Où il y a des ténèbres, c’est là que la Lumière est à Sa
place. Et vous devez aller vers les gens. Vous devez prendre position à
côté d’eux quand même, vous devez le faire, malgré leur erreur.
322 Israël était dans l’erreur, dans l’erreur au
possible. Ils étaient tellement dans l’erreur que Dieu a abandonné leur
cas. Mais Moïse, je me suis toujours demandé comment cette chose-là
avait pu arriver, mais c’était l’Esprit de Christ en Moïse. Voyez?
323 Voyez-vous, nous sommes tous dans l’erreur. Il a
pris position pour nous tous, quand nous, nous étions dans l’erreur.
324 Peu importe combien ils sont dans l’erreur, ne
coupons pas la communion, et ne nous dissocions pas de quoi que ce
soit. Tant que nous pouvons gagner une âme, allons-y, comme ceci,
«prudent comme le serpent, simple comme la colombe», voyez-vous, et
essayons de gagner toutes les âmes que nous pourrons.
325 Alors, c’est ce que je dis, ce matin, il s’agit
d’emmagasiner de la Nourriture. D’emmagasiner de la Nourriture, pour
que vous ayez de quoi manger, pour que vous ayez de quoi festoyer.
Allez La chercher sur vos bandes. Asseyez-vous à la fraîche, dans la
chambre. Peut-être qu’après que je serai parti depuis longtemps, vous
vous souviendrez encore que ces choses sont vraies. Asseyez-vous dans
votre chambre, et écoutez. Voyez? Ceci, c’est la Nourriture,
l’emmagasinage, dans le magasin. Je ne sais pas où mène le voyage. Mais
où que ce soit, c’est Lui qui conduit, Il sait où; moi pas. Je ne fais
que suivre.
326 Maintenant, qu’est-ce qu’il a dit, ici,
maintenant? Écoutez attentivement.
Au reste, mes frères, fortifiez-vous dans le
Seigneur et dans la puissance de sa force;
…fortifiez-vous… dans la puissance de sa force;
Revêtez-vous de l’armure complète de Dieu, afin que
vous puissiez tenir ferme contre les artifices du diable:
Car notre lutte n’est pas contre le sang et la chair…
De tirer des coups de feu et de se donner des coups
de couteau, voyez-vous, ce n’est pas ça.
…mais contre les principautés, contre les autorités,
contre les dominateurs des ténèbres de ce siècle…
327 «Les dominateurs des ténèbres.» Qui domine le
monde? Le diable. Certainement. Toutes ces choses qui ont cours, toutes
ces chose impies qui ont cours, un peu partout ici, et ces
gouvernements, et tout le reste, de qui s’agit-il? Tout ça, c’est du
diable. La Bible l’a dit. Le diable contrôle les États-Unis. Le diable
a contrôlé l’Allemagne. Le diable contrôle toutes les nations du monde.
Je vais y venir, dans quelques minutes, là, et nous allons voir s’il
contrôle, oui ou non. Alors, tous les royaumes qui ont jamais existé,
et qui existeront jamais, jusqu’à ce que Dieu établisse Son royaume à
Lui, ils sont contrôlés par le diable.
328 Bon, je ne veux pas dire par là que tous ceux
qui en font partie sont du diable. Il y a des hommes saints qui
occupent des—des fonctions au gouvernement.
329 Il va y en avoir un, ici, dans quelques soirs,
juste ici, pour projeter un film ici, avec Frère Arganbright, à la
salle, ici. Il a été diplomate pour environ cinq Présidents, Frère
Rowe. Et il est… Il sera ici, je pense que c’est vers la deuxième
semaine d’avril. Frère Neville va l’annoncer. Et c’est un homme
formidable.
330 Il disait parler huit langues différentes, je
crois. Mais quand il a reçu le Saint-Esprit, il n’avait pas la langue
qui lui permettrait de parler au Seigneur, alors le Seigneur lui en a
simplement donné une, disait-il, pour qu’il Lui parle dans cette
langue-là. Il lui en a donné une nouvelle, qu’il n’avait encore jamais
employée. Bien.
…la puissance spirituelle de méchanceté qui est dans
les lieux célestes.
C’est pourquoi…
331 Maintenant écoutez, vous, tous les soldats, là,
juste avant que nous commencions la ligne de prière.
…prenez votre… prenez l’armure (c-o-m-p-1-è-t-e)
complète (pas juste une partie)… l’armure complète de Dieu, afin que,
au mauvais jour, vous puissiez résister…
Ça, c’est le jour où nous vivons.
…et, après avoir tout surmonté, tenir ferme.
Tenez donc ferme…
332 Amen. Vous saisissez ça? Tu vois, ma petite?
[Frère Branham s’adresse de nouveau à la sœur malade.—N.D.É.] Quand
vous avez fait tout ce que vous pouviez pour tenir ferme, alors tenez
ferme. Ne bougez pas.
Tenez donc ferme, ayant ceint vos reins…
333 Écoutez ceci. Écoutez. Vous savez ce que c’est,
ça. «Vos reins.» C’est la partie de la ceinture, ici, voyez-vous.
…ceint vos reins de la vérité…
334 La Vérité, qu’est-ce que c’est? La Parole de
Dieu. C’est exact. «Ta Parole est la Vérité.» Bien.
…et ayant revêtu la cuirasse de la justice,
335 C’est-à-dire, de «faire ce qui est juste». Vous
avez la Parole de Dieu en vous, vous faites ce qui est juste. «La
cuirasse de la justice.»
Et ayant chaussé vos pieds de la préparation de
l’Évangile de paix;
336 Que vous alliez n’importe où, à n’importe quel
endroit, à n’importe quel moment, vos pieds sont chaussés de
l’Évangile. Voyez? Et regardez:
Par-dessus tout, par-dessus tout cela, prenez le
bouclier de la foi…
337 Ça, c’est celui qui fait tomber les dards,
voyez-vous, «le bouclier de la foi.»
…par lequel vous pourrez éteindre tous les dards
enflammés du méchant.
Prenez aussi le casque du salut…
338 Ça, c’est l’âme… la pensée—la pensée, ici, la
tête, ça couvre la tête.
…et la—et l’épée de l’Esprit, qui est la parole de
Dieu. [version Darby—N.D.T.]
339 Ce casque va vous permettre de faire quoi,
qu’est-ce qu’il fait? C’est une protection. Un casque, c’est fait de
quoi? D’airain. L’airain, on ne peut même pas le tremper; dur, plus dur
que le fer. Un casque d’airain, (le quoi?) le salut, la connaissance,
de savoir ceci: «Ma guérison vient de Dieu. Mon salut vient de Dieu.
Mon expérience est conforme à Sa Parole, et non à la conception qu’en
ont les églises; à la Parole!» Amen. Voilà. Recouvert, d’une
protection, le casque du salut, de la délivrance. Prenez ça, et ensuite
allez de l’avant. Oh, maintenant, maintenant, c’est ce que nous sommes
censés faire. L’armée de Satan…
340 Maintenant regardez bien, maintenant, nous… Il
faut vraiment que je me dépêche, mais il faut que je—j’inclue ceci.
341 L’armée de Satan apporte des maladies. C’est ce
que Satan est, il est un destructeur. Satan, le royaume entier de
Satan, c’est la maladie, la mort, et le chagrin, et les contrariétés,
et l’inquiétude, tout ça vient de Satan.
Dieu, c’est la Vie, la foi, la joie, la paix, de ce
côté-ci. Voyez?
342 Or, ce sont ces deux grandes forces-là qui
s’affrontent maintenant même. Elles se battent. Elles se battent ici
même, dans ce bâtiment, maintenant même. Elles se battent, jour après
jour, avec vous, chacune de ces forces.
343 Satan, qui vous suit partout, cet imposant
Goliath, à l’allure très royale, très sacerdotale, qui cherche à vous
flanquer la trouille. Il est dans son droit, mais Dieu…
344 Vous êtes fortifiés, amen, avec l’Évangile, avec
la Parole de la Vérité qui entoure vos reins. Gloire! Prédicateur,
voilà ce que c’est. Le casque du salut; le bouclier de la foi; et
l’Épée à la main, vous La brandissez! «Satan, je marche à ta rencontre.
Tu marches contre moi au nom de la science. Tu marches contre moi au
nom de—de la culture. Tu marches contre moi au nom de l’organisation.
Tu marches contre moi au nom de ceci, cela ou autre chose. Moi, je
marche contre toi au Nom de l’Éternel, le Dieu d’Israël. Je viens
t’affronter. Retire-toi!» La mort elle-même ne peut même pas rester là.
Découpez un trou dedans. C’est exact.
345 L’armée de Satan apporte des maladies, et
l’armée de Dieu a reçu la commission de les chasser. Amen. Voilà.
Chaque fois que Satan en lance, en lance sur vous, l’armée de Dieu doit
le chasser. Amen. Chasser!
346 Ça, c’est la technique même que Dieu a employée.
Satan a employé l’armée de la destruction, pour être incrédule à
l’égard de la Parole de Dieu, et établir pour lui-même un royaume qui
soit meilleur que celui de Michel, et Dieu l’a chassé.
347 La méthode de Dieu, c’est de chasser le méchant.
De renverser le raisonnement. De renverser la superstition. De
renverser l’inquiétude. De renverser les maladies. De renverser le
péché. Amen. Vous êtes au-dessus de cela, ressuscités en Jésus-Christ,
assis dans les lieux Célestes, avec tous les démons sous votre pied.
S’il cherche à se mettre le nez là-dedans, qu’est-ce…
348 Vous savez, vous êtes morts. Votre vie est
cachée. Mort, qu’est-ce que c’est? Vous êtes morts à vos sens. Vous
êtes morts à votre conscience. Votre propre volonté humaine qui dirait:
«Eh bien, je pense que je…» Morts à votre raisonnement. Morts à toutes
ces choses. Et vous êtes ensevelis au Nom de Jésus-Christ, et
ressuscités avec Lui. Et partout où Il est, vous y êtes aussi.
349 Qu’est-ce qui s’est passé quand ceux-là, un de
ces douteurs-là est arrivé dans le Ciel? Dieu l’a chassé. Et qu’est-ce
qu’Il a dit aux soldats qui sont ressuscités en Christ? «Quand un démon
se présente, mettez-le à la porte. Chassez-le.» [Frère Branham tape
deux fois dans ses mains.—N.D.É.] Quand Jésus a entraîné Son armée, et
qu’Il leur a donné la commission, jusqu’aux extrémités du monde: «Allez
par tout le monde, prêchez l’Évangile à toute la création. Celui qui
croira et qui sera baptisé sera sauvé; celui qui ne croira pas sera
condamné. Voici les signes qui accompagneront les croyants, Mes
soldats. En Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de
nouvelles langues; s’ils saisissent des serpents ou boivent des
breuvages mortels, cela ne leur fera pas de mal; s’ils imposent les
mains aux malades, les malades seront guéris.»
En avant, soldats chrétiens!
Marchons au combat,
C’est la croix de Jésus
Qui ouvre la marche.
350 «J’ai été crucifié avec Lui; et si je vis, ce
n’est plus moi qui vis, c’est Lui qui vit en moi.» La Parole qui ouvre
la marche, Dieu qui retranche, avec Son Épée aiguë, à deux tranchants.
351 Ce n’est pas étonnant, là, quand Grant s’est
emparé de Richmond, et que cette petite femme du Sud a vu Grant faire
son entrée, elle a été saisie par l’inspiration. Et elle a dit:
Mes yeux ont vu la gloire de la venue du Seigneur;
Il foule la vendange, là où les raisons de la colère sont gardés;
Il a délié l’éclair fatidique de Son épée terrible et rapide;
Ses troupes continuent à aller de l’avant.
352 Amen. Comment Grant s’est-il emparé de Richmond?
Aussitôt qu’il est arrivé là. Amen. C’est comme ça qu’il s’est emparé
de Richmond.
353 C’est comme ça que les soldats de Dieu
s’emparent du péché, de la maladie: aussitôt qu’ils arrivent là. Amen.
C’est de cette manière qu’ils vainquent leurs doutes, et leurs peurs,
et tout. Quand l’un d’eux s’élève, ils l’abattent. «Écarte-toi du
chemin!» Oh! la la! C’est ça. Dieu les chasse, comme Il l’a fait dans
le Ciel. Notre grand Capitaine en chef nous a montré comment faire.
Amen. [Frère Branham tape une fois dans ses mains.—N.D.É.]
354 Roy Roberson et Frère Funk, beaucoup d’entre
vous, les vieux vétérans, ici, vous savez ce qu’est un vrai capitaine.
355 Une fois, je… ce petit service des pompiers de
Jeffersonville d’ici. Le feu avait pris chez Pfau. Et là le service des
pompiers de Jeffersonville était là-bas, et le capitaine allait et
venait, il disait: «Envoyez un peu d’eau ici, en haut.»
«Pss-pss-pss-pss!» , comme un petit tuyau d’arrosage, là. Voilà ceux de
Clarksville qui arrivent: «Envoyez un peu d’eau par ici.»
«Pss-pss-pss!» Toute la bâtisse de Pfau a brûlé.
356 Ils ont fait venir Louisville. Voilà des hommes
solidement entraînés qui arrivent. Oh, comme ces sirènes
retentissaient, là!
357 Et les capitaines en chef qui étaient là, de ces
services de pompiers, ils disaient: «Envoyez un peu d’eau ici, en haut.
Envoyez un peu d’eau par ici.» Des hommes inexpérimentés.
358 Frère, aussitôt que la voiture s’est
immobilisée, qui était en haut de l’échelle? Le capitaine. Quand on a
hissé l’échelle, il est monté avec. Quand il est arrivé à la fenêtre;
il n’était même pas encore arrivé à la fenêtre, qu’il a pris sa hache
et l’a lancée pour défoncer la fenêtre, et il a dit: «Venez, les gars!»
Et le feu s’est éteint en quelques minutes. Un capitaine!
359 Ce n’est pas un capitaine qui dit: «Envoyez un
peu d’eau par ici. Essayez un peu par ici.»
360 Mais: «Venez, les gars!» Amen. Il a ouvert le
chemin. Il nous a montré comment faire.
361 Je me suis dit: «Ce service des pompiers là, eux
sont solidement entraînés, ils ont éteint ce feu en quelques minutes.»
Pourquoi? Il v avait là un capitaine qui savait ce qu’il faisait.
[Frère Branham tape une fois dans ses mains.—N.D.É.]
362 Frère, parlez de votre théologie, autant que
vous voudrez. Vos dénominations faites de main d’homme, vos
organisations, amusez-vous avec ça.
Moi, j’ai un Capitaine en chef qui m’a dit comment
faire.
Vous dites: «Eh bien, si je peux en sentir l’odeur,
ressentir quelque chose.» Oh, quel non-sens!
363 Voici la manière dont le Capitaine en chef a dit
de procéder, dans Luc, au chapitre 4. Je n’ai pas le temps de le lire.
Lisez-le vous-mêmes. Bien. Luc, au chapitre 4, à partir du verset 1.
364 Il n’a jamais dit: «Bon, Je vais vous dire. Vous
allez par ici, et vous formez une grande organisation. Vous choisissez
des surveillants, et des diacres, et, ou vous choisissez des cardinaux,
et des évêques, et vous allez chercher ceci.» Il n’a jamais dit ça.
365 Quand Satan L’a affronté, il a dit: «Maintenant
Tu as faim. Change ces pierres en pain.»
Il a dit «Il est écrit…»
366 Il a dit «Ici, nous allons Te transporter ici,
en haut, et Te montrer quelque chose.
— Mais il est écrit…
— Je ferai ceci, si Tu le fais.
— Il est écrit…»
367 Voilà comment le Capitaine en chef a dit qu’il
fallait procéder. Comment procéder, sœur? «Il est écrit: ‘S’ils
imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.’» «Il est
écrit: ‘En Mon Nom, ils chasseront les démons.’» Amen. Qu’est-ce? «Il
est écrit!» Voilà les ordres du Capitaine. «Il est écrit: ‘Celui qui
écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie
Éternelle.’ Il est écrit! Il est écrit! Il est écrit!» Voilà les—voilà
les ordres. Voilà le soldat. Voilà la manière. Voilà l’artillerie que
nous mettons en avant.
368 Qu’est-ce qu’il a fait? Il s’est avancé tout
droit vers un Goliath. Il a montré… Comment David a-t-il montré à une
armée la manière de procéder? Comment un David a-t-il montré à Israël
la manière de procéder? David, ça veut dire «bien-aimé, sauveur».
Voyez? Comment David a-t-il procédé? Il a dit: «Voici la manière de
procéder. Faites confiance à la Parole du Seigneur.»
369 Et Goliath s’est présenté là, en disant:
«Sais-tu quoi? Je vais te piquer au bout de cette lance, et je vais te
donner en pâture aux oiseaux.»
370 Il a dit: «Tu marches contre moi en
organisation. Tu marches contre moi en savant moderne. Tu marches
contre moi avec ton énorme épée de quatorze pieds [4.25 m—N.D.T.]. Tu
marches contre moi avec un casque d’airain, et avec un bouclier, une
pièce que je ne pourrais même pas soulever de terre. Tu marches contre
moi en guerrier entraîné. Tu marches contre moi avec doctorat en
philosophie, et doctorat en droit, et encore doctorat en droit. Tu
marches contre moi avec toutes ces choses. Mais moi, je viens au Nom de
l’Éternel, le Dieu d’Israël, et aujourd’hui je vais te couper la tête
de sur les épaules.» Amen. Cette espèce de petit poireau qui est allé
attaquer ce géant, mais il savait à quoi s’en tenir.
Israël, ils étaient tout tremblants, là: «Oh, le
pauvre petit.»
Goliath a dit: «Je vais te montrer ce que je vais
faire.» Et il s’est avancé là.
371 Il avait la f-o-i [en anglais: f-a-i-t-h
—N.D.T.], voyez-vous, e-n J-é-s-u-s, cinq cailloux, cinq pierres. Une
petite pierre, là, pour commencer. Il l’a fait tournoyer, comme ça, le
Saint-Esprit s’est saisi de ce caillou, et voilà, il est parti. Goliath
a été terrassé. Voilà la manière de procéder.
372 Voilà la manière, ce dont Jésus a parlé, ce
qu’Il a dit. «Maintenant, si vous, les frères, qui allez partir sur le
champ de travail, si vous voulez savoir comment vaincre ces démons, je
vais vous montrer comment procéder.»
373 Satan a dit: «Je vais marcher contre toi,» —
Goliath, — «je vais Te montrer ce que je peux faire. Tu as faim. Si Tu
es le Fils de Dieu, je Te mets au défi. Tu dis que Tu es le Fils de
Dieu. Je Te mets au défi. Si Tu es le Fils de Dieu, change ces pierres
en pain. Mange; Tu as faim. Et si Tu es le Fils de Dieu, Tu as le
pouvoir de le faire.»
374 Il a dit: «Mais il est écrit, là: ‘L’homme ne
vivra pas de pain seulement.’» Oh, voilà comment le Capitaine en chef a
procédé.
Il L’a placé sur le haut du temple. Il a dit: «Si Tu
Te jettes en bas,» il a dit, «Tu sais qu’il est aussi écrit…»
375 Il a dit: «Oui.» Il a dit: «Et il est aussi
écrit: ‘Tu ne tenteras pas le Seigneur, ton Dieu.’» Voyez-vous le nom
qu’Il S’est donné? «Le Seigneur, ton Dieu.» Oui. «‘Tu ne tenteras pas
le Seigneur, ton Dieu’, ça aussi, c’est écrit, comme ça.» Voyez? Oh! la
la!
376 Qu’est-ce qu’il a fait? Il l’a vaincu, par la
Parole de Dieu. La tactique du diable. c’est de vous amener à être
incrédules à l’égard de la Parole de Dieu. Et le Capitaine en chef dit:
«Prenez la Parole de Dieu. et passez à l’action. En Mon Nom, ils
chasseront les démons.»
377 Oh. Satan, leur capitaine en chef à eux, oh,
oui, vous savez, il y a de ces dénominations qui essaient de vous faire
croire qu’il a le sabot fourchu, et la queue fendue, et toutes ces
choses. N’allez pas croire ça. Il n’est pas comme ça. Non monsieur,
frère. C’est un fin renard. N’allez pas croire qu’il a ça. Ils font ça
rien que pour vous épouvanter. Le diable, ce n’est pas ça. Le diable
n’a pas de sabot, pour commencer; j’ai de gros doutes là-dessus. Il est
un esprit, tout simplement. Le diable est un esprit. Il n’a pas de
sabots fourchus et tout, comme on essaie de le dépeindre. Non, non.
378 Mais il est sage. Frère, c’est un homme très
sage, instruit on ne peut plus, il l’a toujours été, dans la sagesse du
monde. Oh, oui. Il est beau. Il a organisé son armée avec la sagesse du
monde, au point que, frère, ne va pas essayer de—essayer de tenir tes
propos. Tu as intérêt à savoir de quoi tu parles, quand tu affrontes un
de ces gars-là, qui disent: «Les jours des miracles sont passés.» Non,
il n’a pas—il n’a pas de sabot fendu. Il est, oh, il est—il est—il est
frais sorti du séminaire. Il a des manières raffinées, frère. Je vous
assure qu’il est intelligent: doctorat en philosophie, doctorat en
droit, Q.U.S.T, et tout le reste. Voyez? Il a tout ça, il est
intelligent au possible. Sage, bien sûr, c’est un serpent, le plus
sournois de tous. Les cheveux bien lissés, frère, et, je vous assure,
habillé, pas un faux pli dans son veston. Intelligent, sage et rusé au
possible. C’est exact.
379 Ne vous aventurez pas sur son terrain, à moins
de savoir de quoi vous parlez. C’est exact. Oh, mais nous connaissons
ses vieilles—ses vieilles tactiques. Nous savons ce qu’il essaie de
faire: nous amener à être incrédules à l’égard de la Parole de Dieu.
380 Il n’a pas de sabots fourchus. Non, non, non.
Bon, nous voyons que, s’il n’a pas de sabots fourchus, alors, il doit
être autrement. C’est un fin renard. Lui, c’est la sagesse, il est
instruit, organisé. Frère, il a formé son armée comme ça.
381 Regardez, une fois, là-bas en Suisse. Je
n’arrive plus à m’arrêter, nulle part, les amis. Il y a une—une… Là-bas
en Suisse, il y a eu cette armée allemande qui est arrivée, mar-… avec
ces étrangers qui entraient. Mais, on aurait dit un mur de briques;
tous les hommes bien entraînés, toutes les lances pointées, comme ceci,
huit ou dix pieds [2,4 ou 3 m—N.D.T.] en avant. Et ils marchaient sur
les pauvres petits Suisses, là-bas; eux, qu’est-ce qu’ils avaient? Ils
s’étaient armés des—des lames de leur faucilles, de bâtons et de
pierres, et ils se tenaient là. Ils les avaient refoulés. De l’autre
côté de la colline, il y avait leurs maisons. Et là l’armée suisse
marchait à leur rencontre. Ils ne leur avaient rien fait. Ils sont tout
simplement entrés et se sont emparés de leur pays.
382 Cette enfant, qu’a-t-elle donc fait, elle n’est
qu’une gamine? C’est Satan, voilà qui c’est, il lui enlèverait la vie
s’il le pouvait. Certainement. C’est lui, ça; prématurément. Voyez?
383 Les Suisses n’avaient rien fait. C’étaient de
braves gens. Ils essayaient de défendre leurs maisons, ils se tenaient
seulement là pour se défendre. À un moment donné, quelqu’un du nom
d’Arnold de Winkelried. Il y avait cette armée qui approchait. Ils
étaient entourés de toutes parts. Ils disaient: «Qu’est-ce que nous
pouvons faire?»
384 Partout, des masses d’hommes, solidement
entraînés. Voilà comment Satan procède. Solidement entraîné, sa lance
pointée bien en avant, chaque homme marchant au pas; un, deux; un,
deux; ils marchaient sur cette petite armée. Ils n’avaient qu’à—qu’à
continuer à marcher, c’est tout ce qu’ils avaient à faire, et ils les
embrocheraient tous, avec les épées, les lances, les transperceraient
ainsi d’un bout à l’autre. Ç’aurait été la fin de l’armée suisse. Ça se
serait arrêté là. Juste de l’autre côté de la colline, il y avait leurs
maisons et leurs bien-aimés. Leurs femmes, ils auraient abusé d’elles,
les auraient violées, et leurs jeunes filles, et ils auraient tué leurs
enfants, incendié les maisons, et tout, pris la nourriture, le bétail
et tout; ils seraient repartis. Ils en étaient là.
385 Qu’est-ce qui s’est passé? Quelqu’un du nom
d’Arnold de Winkelried a été saisi par l’inspiration. Il a dit: «Hommes
de la Suisse, aujourd’hui je meurs pour la Suisse.» Amen. «Aujourd’hui
je meurs pour la Suisse.»
Ils ont dit: «Qu’est-ce que tu vas faire?»
386 Il a dit: «Vous n’avez qu’à me suivre et à
combattre avec tout ce que vous avez. «Il s’est tenu là; il a laissé
tomber sa lance, un petit bâton qu’il avait à la main, comme ça. Et il
s’est écrié, les mains en l’air, comme ça, et il a couru dans leur
direction, en criant à tue-tête: «Place à la liberté!» Il a couru à
toute vitesse, tout droit vers l’armée. Et, alors, il a attrapé toutes
les lances qu’il a pu, et il les a enfoncées dans sa poitrine, comme
ça, et il est mort.
387 Il leur avait dit, avant de partir. Il avait
dit: «Il y a une petite maison là-bas, une épouse et des petits, que je
laisse derrière moi, une petite maison que je viens d’acheter.» Et il
disait: «Je—je les aime, mais aujourd’hui je meurs pour la Suisse. Il
donne ma…» Il disait: «Je donne ma vie pour sauver le pays.» C’était un
héros. Ils n’ont pas eu une seule guerre depuis. Avec ça, ç’a été la
fin.
388 L’armée a été mise en déroute, devant un tel
déploiement d’héroïsme, si bien qu’il n’y… L’armée—l’armée était dans
une telle confusion. Les Suisses ont fait rouler des pierres sur eux,
et les ont chassés du pays; et ils n’y sont jamais retournés, depuis.
Il y a des centaines d’années de ça. Voyez? Pourquoi? Ç’a été un haut
fait.
389 Mais, oh, frère, un jour, alors que l’ignorance,
la superstition, le doute, les contrariétés et les peurs, avaient
coincé le peuple de Dieu, il y a eu Quelqu’un du Nom de Jésus-Christ:
«Aujourd’hui Je meurs pour le peuple.» C’est exact.
390 Qu’est-ce qu’il avait dit à son armée?
«Suivez-moi, et combattez avec tout ce que vous avez. Si vous avez une
massue. combattez avec une massue. N’ayez pas peur. Vous avez un bâton,
combattez avec un bâton. Vous avez une pierre, combattez avec une
pierre, quoi que vous ayez.»
391 Voilà ce que dit notre Capitaine en chef
aujourd’hui. [Frère Branham tape deux fois dans ses mains.—N.D.É.]
«J’ai pris la Parole de Dieu, et J’ai vaincu le diable et sa
puissance.» Il l’a déchiqueté, amen, avec cette Parole. Maintenant,
quoi que vous ayez, si vous n’avez qu’une seule Parole: «L’Éternel, ton
Dieu, qui te guérit», coupez-le. Suivez. Amen. Suivez notre Capitaine.
Oui monsieur. Il l’a coupé en morceaux.
392 Satan, avec ses beaux grands royaumes, et plus
de beauté, et tout, très à la page. Ça n’a rien à voir avec nous. C’est
exact. Il est toujours le plus rusé de tous les animaux des champs. Oui
monsieur. Jésus a dit que les enfants de ce siècle étaient plus sages
que les enfants du Royaume de Dieu.
393 Alors, ces deux grands conflits. Nous allons… je
dois… il faut terminer. Ces deux grands conflits s’affrontent
maintenant même. Maintenant même, c’est l’heure où la maladie et tout,
ont frappé le monde, à un point tel que la médecine ne sait plus quoi
faire, que personne ne sait plus quoi faire. Il n’y a rien, et—et
simplement, nous… Et l’armée, la petite armée de Dieu, a été coincée,
et tout. Frère, il est temps qu’on ait un autre Arnold de Winkelried.
Il est temps, temps, qu’un autre homme de Dieu s’avance. Il est temps
qu’un Élie paraisse. Il est temps qu’il se passe quelque chose.
394 L’armée de Dieu, fermez votre pensée. Ne vous
arrêtez pas un seul instant, pour penser à ce que le diable peut bien
avoir à vous offrir par le moyen de vos sens. Mais, souvenez-vous, la
Parole de Dieu ne peut jamais faillir.
395 Ces deux grandes armées! Quand l’ennemi viendra
comme un fleuve, comme il vient aujourd’hui, qu’est-ce que Dieu a dit
qu’Il ferait? «L’Esprit de Dieu lèverait un étendard contre lui.»
Êtes-vous l’un d’entre eux? Oui monsieur.
396 Il nous est enseigné, dans Jacques 4.7, — je
n’ai pas le temps de le lire, Jacques 4.7, — de «résister au diable,
et» il ne fera pas seulement s’éloigner, mais «il fuira». «Résister au
diable.» Comment résister au diable? De la même manière que notre
Capitaine en chef nous a dit de le faire. Prenez la Parole de Dieu.
Voilà comment vous résistez au diable, c’est par la Parole de Dieu. Le
Capitaine en chef nous a dit exactement comment il fallait procéder.
Bien.
397 Maintenant, pour conclure, je voudrais dire
ceci. Ce vieux diable, là, vous pensez s’il a du culot. Pensez-vous
qu’il s’attaquera à un enfant? Il s’attaquera à n’importe quoi. Il
s’est attaqué à Jésus-Christ. Il a foncé sur Lui, trois attaques
sauvages. Saviez-vous ça? Satan n’a pas attaqué juste une seule fois.
Il vous attaquera avec une maladie, ensuite il reviendra vous attaquer,
en vous disant: «Les jours des miracles sont passés. Tu n’as pas été
guéri. Tout Ça, ce n’est que du vent. Savez-vous que c’est vrai, ça?
398 Il a attaqué Jésus trois fois. Trois attaques
sauvages, il s’est rué sur Jésus avec ça, avec son incrédulité à
l’égard de la Parole de Dieu. Jésus était la Parole. Bien sûr, il ne
croyait pas ça. «Si Tu es… Si Tu es…» Le voilà qui s’amène, des
attaques sauvages, comme il le fait parfois, l’ennemi, aujourd’hui. Les
voilà qui s’amènent, en disant: «Si Tu es le Fils de Dieu, fais-moi
voir un miracle. Que je voie la chose se faire.» Frère, trois attaques
sauvages, il a foncé: «Si Tu… Si Tu es…»
399 Maintenant, Jésus, qu’a-t-Il fait? Jésus était
la Parole de Dieu. Il était la Parole. Il avait attaqué la Parole.
Gloire! [Frère Branham tape une fois dans ses mains.—N.D.É.] Je—je
commence vraiment à… je me sens vraiment bien pour prêcher maintenant,
je vous le dis, c’est vrai. [Frère Branham donne deux coups sur la
chaire.] C’est exact. Jésus est la Parole. «Au commencement était la
Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la
Parole a habité, a été faite chair, et a habité…» Jésus était la
Parole. Qu’a-t-Il fait? Il l’a déchiqueté. Oh! la la! [Frère Branham
tape deux fois dans ses mains.] Je vais m’arrêter. Qu’est-ce que Jésus
a fait? Il était la Parole. Alors, avec la Parole, Il a découpé Satan
quand il s’est attaqué sauvagement à Lui. Il avait foncé, là-bas, comme
une bande de parachutistes, membres d’une troupe d’assaut, ou quelque
chose comme ça, il a foncé sur Jésus, la Parole, comme ça. Et Jésus a
pris cette Parole, et Il l’a taillé en pièces. Alléluia! Certainement,
Il l’a taillé en pièces, Il l’a vaincu par la Parole.
400 Vous voyez son attaque? Regardez bien, écoutez
attentivement, je termine avec ceci. Son attaque, qu’est-ce que c’est?
D’être incrédule à l’égard de la Parole de Dieu, c’est ça son attaque.
Là, pouvez-vous voir la plus grande bataille qui ait jamais été livrée?
Il n’y a que deux forces: Satan et Dieu. Et quelle est l’arme de Satan,
contre vous? C’est d’essayer de vous amener à être incrédules à l’égard
de votre Arme à vous. Il vous désarme. Écoutons—écoutons bien
tranquillement, maintenant. Écoutez. S’il peut vous amener à être
incrédules à l’égard de votre Arme, ceci équivaut, s’il vous amène à
croire que votre Arme n’est pas assez puissante, il vous aura désarmés.
401 Oh, Frère Neville, j’espère que nous ne perdrons
jamais ça de vue. [Frère Neville dit: «J’espère et je prie que non.»
—N.D.É.]
402 Regardez. Il vous aura désarmés, quand il vous
aura amenés à être incrédules à l’égard de cette Arme. Quand vous La
déposez, votre combat s’arrête là. Vous êtes fichus. Tenez cette Arme.
Ne La déposez pas. Nous voyons son incrédulité. Que…
Il y a encore une chose que je veux dire,
maintenant, dans un instant.
403 La Russie. Je veux dire ceci expressément pour
les vétérans, et tout, ici, et pour vous qui étudiez la Bible. Pourquoi
faites-vous tant d’histoires et vous époumonez-vous à parler de la
Russie? Hum! Vous ne m’entendez pas vous parler de construire un abri
antiaérien, n’est-ce pas? Pourquoi faites-vous tant d’histoires au
sujet de la Russie? La Russie, ce n’est rien. Ils ne vont gagner aucune
guerre. Ils ne vont pas conquérir le monde, pas du tout. Le communisme
ne va pas conquérir le monde, pas du tout. Qu’est-ce qui se passe avec
les gens? La Parole de Dieu peut-Elle faillir?
404 Écoutez, ceci est enregistré, là. Je parle au
monde, ou partout où ces bandes pourront aller. Et à vous qui êtes ici,
quoi qu’il puisse m’arriver, vous, croyez ceci.
405 La Russie, le communisme, ne va pas conquérir
quoi que ce soit. La Parole de Dieu ne peut pas faillir. C’est le
romanisme qui va conquérir le monde.
406 Prenons la vision de Daniel. C’est la Parole de
Dieu. «Toi, Daniel,…» «C’est toi, ô roi Nebucadnetsar, qui es la tête
d’or», Babylone. «Un autre royaume te succédera, qui sera d’argent»,
voyez-vous, c’est-à-dire les Mèdes et les Perses. Un autre était celui
de la Grèce, Alexandre le Grand. Ensuite, il y a eu Rome. Et rien n’a
été dit au sujet du communisme. C’est Rome qui a conquis le monde.
407 Jésus-Christ est né dans le royaume romain, et
Il a été persécuté, la première fois qu’Il est venu, par le royaume
romain. Et lors de son second Avènement, Sa Venue maintenant [Frère
Branham donne trois coups sur la chaire.—N.D.É.], Son Message est
persécuté par les dénominations de Rome, qui est la mère de toutes. Et
à Son retour, Il reviendra pour anéantir ce royaume romain, et c’est ce
que les Juifs ont toujours attendu, qu’Il vienne anéantir le royaume
romain.
408 La hiérarchie catholique, avec toutes les
dénominations du monde, elles se rassemblent maintenant même pour
former une organisation, la confédération des églises, elles se
réunissent pour s’organiser. Ce n’est pas la Russie. C’est Rome. AINSI
DIT LE SEIGNEUR. Oui. Montrez-moi un passage de l’Écriture où il soit
dit que le communisme, ou n’importe quoi d’autre que Rome, gouvernera.
409 Est-ce que les Mèdes et les Perses ont succédé à
Nebucadnetsar? Bien sûr. Est-ce que la Grèce leur a succédé? Oui.
Est-ce que Rome a pris le pouvoir, après eux, à partir de là? Est-ce
que ça s’est séparé en dix puissances ottomanes, exactement comme ce
qu’on a maintenant? Est-ce que…
410 Eisenhower, qui veut dire «fer». Khrouchtchev,
ça veut dire «argile». Est-ce qu’ils ont eu leur rencontre, ici? Et
Khrouchtchev a enlevé son soulier. [Frère Branham donne trois coups sur
la chaire.—N.D.É.] Pour que ce soit bien clair, quelque chose de
visible, il a frappé sur la table, comme ça, pour montrer aux gens.
[Frère Branham donne de nouveau trois coups sur la chaire.]
411 Mais, qu’est-ce qui se passe avec les gens,
aujourd’hui? Où en est la foi? Voyons, ne croyez-vous pas que la Parole
de Dieu est la Vérité? [L’assemblée dit: «Amen.» —N.D.É.] Et cette
chose-là ne se trouve pas Ici. Qu’est-ce qui se passe avec les
prédicateurs, aujourd’hui? «Le communisme!» Tous les prédicateurs sont
là, à essayer de combattre le communisme. Le communisme, pas du tout!
412 La chose, le diable est en train de
l’introduire, sous votre nez, et vous ne le savez pas: c’est le
romanisme, le système des dénominations. Et Rome est la mère des
dénominations. La Bible dit qu’«elle était une prostituée, et que ses
filles étaient des prostituées», contre Dieu, contre Sa Parole.
413 Soldats, empoignez la Parole. Anges de
miséricorde, tenez-vous-en à cette Parole. Un jour, je périrai, mais
cette Parole ne peut pas périr. Et vous, les plus jeunes, si ça
n’arrive pas dans ma génération, vous verrez. C’est ça la chose.
414 Avez-vous entendu les nouvelles, ce matin? Mme
Kennedy qui est allée voir le pape, et ce que le pape a dit.
Voyez-vous, toutes les religions du monde! Oh! Eh bien, peut-être que
nous en parlerons un peu plus, dimanche prochain.
415 Voyez-vous, ne vous faites pas de souci au sujet
de la Russie. La Russie, ce n’est qu’un petit caillou sur la plage. Ne
vous faites surtout pas de souci au sujet du communisme. Surveillez le
romanisme, alors qu’il s’unit aux églises. Il n’y a rien d’écrit dans
l’Écriture. comme quoi le communisme gouvernerait le monde.
416 Et moi, je me fonde sur la Parole, quoi qu’il en
soit de tout le reste. Moi, c’est la Parole que je crois. C’est le
romanisme qui prend le contrôle du monde. Et le romanisme est la mère
de l’organisation. Il n’y avait jamais eu aucune organisation avant
Rome, et elles sont toutes sorties d’elle. Et la Bible l’a dit, «elle
était la mère des prostituées». Je pourrais encore passer une
demi-journée là-dessus, mais je ferais aussi bien de continuer, je
pense.
417 Quand l’ennemi nous attaque, alors: «Oh, je te
le dis, tu devrais venir te joindre à notre…» Qu’est-ce que vous allez
faire, reculer, faire des concessions? Pas un vrai soldat, non. Non
monsieur.
418 Qu’est-ce que nous faisons, alors? La pensée:
«Que la pensée qui était en Christ…» Est-ce bien ce que la Bible dit?
[L’assemblée dit: «Amen.» —N.D.É.] «La pensée qui était en Christ soit
avec vous.» Quel genre de pensée avait-Il? De s’en tenir à la Parole.
C’est exact. De s’en tenir à la Parole, la Parole du Père, et Il a
vaincu l’ennemi chaque fois. Maintenant, quand l’ennemi attaque, et
qu’il essaie de dire que vous devez faire ceci et faire cela, qu’est-ce
que vous allez faire? Vous en tenir à la Parole. C’est exact.
419 Qu’est-ce que vous devez faire, alors? Prendre
la Parole. La Parole, qu’est-ce que c’est? La Bible l’a dit, ici. Nous
venons de le lire. En effet, l’Esprit, et, de Dieu, est la Parole.
Voyez? Regardez bien, ici. «Prenez aussi le casque du salut, et l’Épée,
l’Épée de l’Esprit.» L’Épée de l’Esprit! Qu’est-ce? L’Esprit qui entre
par votre pensée, et qui entre en vous, et l’Épée de cet Esprit, c’est
la Parole de Dieu.
420 De quoi cet Esprit se sert-Il pour combattre? De
quoi le Saint-Esprit se sert-Il pour combattre: une sensation, un
sentiment? [L’assemblée dit: «La Parole.» —N.D.É.] La Parole; au cœur!
Fiou! Gloire! De quoi se sert-Il pour combattre: un sentiment? La
Parole! La Parole! Disons-le: «La Parole!» [ «La Parole!»] La Parole! [
«La Parole!»] C’est de la Parole de Dieu que l’Esprit se sert pour
combattre.
421 L’Esprit de Dieu s’avance directement vers le
diable, et dit: «Il est écrit!» Amen! «Il est écrit!» Et le diable se
retire.
422 Qu’est-ce que nous faisons? Nous prenons l’Épée,
qui est la Parole de Dieu, nous La dégainons avec (quoi?) une main de
foi, une main forte, de foi, l’Épée à deux tranchants. La Bible dit,
dans Hébreux 4: «Elle—Elle est une Épée à deux tranchants», Elle coupe
dans les deux sens, à l’aller et au retour.
423 Frère, qu’est-ce qu’il fait? Prenez la Parole.
Prenez l’Esprit, laissez entrer l’Esprit dans votre cœur. Ouvrez votre
pensée, dites: «Ta Parole est vraie.» Maintenant, fais ceci, sœur.
[Frère Branham s’adresse de nouveau à la sœur malade.—N.D.É.] «Ta
Parole est vraie.»
424 «Seigneur, je ne prêterai aucune attention à ce
que je ressens, à ce que qui que ce soit, à ce que le moi peut dire. Je
bloque tout, j’évacue toutes mes voies d’accès, toutes les
contrariétés, tous les doutes et toutes les incrédulités que j’ai
jamais eus. Tout sentiment que j’ai jamais eu, toute maladie que j’ai
jamais eue, et tout ce que j’ai jamais eu, j’évacue tout ça. Je fais
abstraction de tout ça. Je viens directement à mon esprit. Ô Seigneur,
descends. Tu as dit que Tu m’avais donné le libre arbitre.
— Tu l’as, Mon fils.
425 — Très bien, j’ouvre mon cœur et ma pensée.
Entre, Seigneur Jésus.»
426 Et saisissez la Foi, cette Épée de l’Esprit,
AINSI DIT LE SEIGNEUR. Criez: «Alléluia!» Amen. Ensuite abattez tous
les ennemis devant vous. Amen. Voilà. Tranchez tous les ennemis. S’il y
a une—une espèce d’esprit fantomatique, qui fait que vous vous sentez
tout… Retranchez-moi ça, avec la Parole du Seigneur.
Mais, notre force, c’est: «La joie de l’Éternel est
ma force.»
427 «Éloigne-toi de moi.» Vlan! Tranchez-le avec la
Parole. Que ce soit un démon, que ce soit un ennemi, que ce soit une
maladie, que ce soit une infirmité, quoi que ce soit, prenez cette
Parole et dégainez-La, par l’Épée. Et si, la première fois que vous
donnez un grand coup, ça n’a pas l’air de bouger, donnez encore un
grand coup, et donnez encore un grand coup, et donnez encore un grand
coup. Et donnez de grands coups, jusqu’à ce que vous fassiez un trou
dedans, comme un petit poussin qui sort de là; ou, un aigle, dans votre
cas, c’est ça. Continuez à sortir de cette vieille coquille de la
maladie. Taillez vous un chemin pour sortir, et dites: «Alléluia! Où
est le suivant?» Amen. Voilà la bataille. Voilà un soldat. Voilà le
soldat de la croix. Oui monsieur. Éliminez tous les ennemis.
428 Pourquoi? Pourquoi? Nous, une Semence royale
d’Abraham, prédestinée. [Frère Branham tape une fois dans ses
mains.—N.D.É.] Alors qu’Abraham niait tout ce qui était contraire à la
Parole de Dieu, qu’il se taillait un chemin à travers tous les
obstacles qui se présentaient devant lui. Ils disaient: «Ta femme est
trop âgée.» Il a simplement ôté cette chose-là du chemin, à coups
d’épée. Le diable disait: «Tu ne peux pas faire ceci. Tu ne peux pas
faire cela.» Abraham a ôté ça du chemin, à coups d’épée. Il a donné un
grand coup, et encore un grand coup, jusqu’à ce qu’il se taille un
chemin à travers.
«Ensuite, Seigneur, on va où?
429 — Monte installer ta tente ici.» Il est monté et
il Lui a bâti un autel là-haut.
430 Il est monté là, et Satan est venu, en disant:
«Bon, je vais te dire, ce n’est pas l’endroit qui convient.
— Je vais rester ici même. Ôte-toi de sur mon
terrain.» Il a dit: «Alléluia!»
431 Lot a dit: «Tu ferais mieux de descendre ici.
Nous nous amusons bien ici. Nous avons toute notre organisation ici.
Mais, ma femme est directrice de la société littéraire, et tout, en
ville. Je te le dis, tu devrais descendre ici.»
Sara a dit: «Abraham…
432 — Tais-toi, Sara.» Alléluia! «Reste ici même.
C’est ici que Dieu m’a placé. C’est ici même que je reste.»
433 Voici où Dieu m’a placé:
Gloire au Nom puissant de Jésus!
[Frère Branham donne un coup sur la chaire.—N.D.É.]
Que les Anges se prosternent,
Apportez le diadème royal,
Couronnons-Le Seigneur de tous.
Christ est le Roc où je me tiens;
Tout le reste est sable mouvant,
Tout le reste est sable mouvant.
434 Jusqu’à la mort, même, tout le reste est sable
mouvant. Christ est le Roc où je me tiens.
435 «La Semence royale d’Abraham.» La Semence
royale! Tenez, l’armée d’élite de l’Angleterre, ce sont des membres de
la famille royale, de sang royal, et tout. Et la Semence royale de
Christ, c’est l’Église remplie du Saint-Esprit, remplie du
Saint-Esprit. Qu’est-ce? La Semence royale, par la promesse, pas par
une sensation, mais par la promesse de Dieu, ils se tiennent à la
Parole de Dieu, et ils se taillent un chemin, en criant: «Alléluia!»
Même la mort vient, et elle dit: «Il se prépare à
t’emporter.»
436 Dites: «Retire-toi, Jourdain. Je traverse.»
Continuez à vous tailler un chemin, jusqu’au Pays promis. Amen.
437 Qu’arrive-t-il, quand la bataille est terminée?
Je termine, maintenant, c’est sûr. Quand la bataille sera terminée, et
que les saints rentreront à la Maison en marchant au pas. Je voudrais
vous demander quelque chose: qu’est-il arrivé?
438 Qu’est-il arrivé, quand Hitler est entré en
France? Mais, on disait que, pendant un moment, on ne voyait même plus
le ciel, tant il y avait d’avions. Les Allemands, au pas de l’oie.
[Frère Branham fait le pas de l’oie deux fois sur l’estrade.—N.D.É.]
Voyez-vous, ils se tenaient là, ils défilaient, ils célébraient une
victoire.
439 Quand Staline est venu en Russie, sur une
distance de plusieurs milles, les chars d’assaut se suivaient tout
près, l’un derrière l’autre, et ils avaient bombardé Berlin, au point
qu’il n’en restait plus rien. C’est tout. Et quand ils y sont allés, et
ces Allemands… Ces soldats russes, ils célébraient, ils sont entrés en
faisant ça, vous savez, cette drôle de petite chose qu’ils font. J’ai
vu ça dans un film, une fois, à Londres, comment ils sont entrés,
l’événement même sur film, là, ce qui était arrivé, ils entraient, ils
célébraient. Oh! la la!
440 Quand nous avons appris que la guerre était
finie, nous avons poussé des cris, nous avons donné des coups de
sifflet. Quand les héros sont revenus, nous sommes allés à leur
rencontre là-bas. Ils poussaient des cris. Ils criaient à tue-tête. Un
de mes cousins était là, il disait, quand il est revenu, tous les
vieux… Les vétérans qui avaient été mutilés au point de ne pas pouvoir
se lever du lit, alors, quand ils sont arrivés, on les a emmenés sur le
pont du navire, en les roulant, pour qu’ils voient la Statue de la
Liberté se dresser là. Il disait: «Ces grands gaillards, qui étaient
là, ils pleuraient à chaudes larmes, et ils en tombaient à la renverse,
comme ça, quand ils ont vu la Statue de la Liberté.» Ils avaient été
absents de chez eux pendant quatre ans, à combattre, commotionnés par
la bataille, et tout le reste. Mais ils savaient que cette épouse,
cette petite amie, cette maman, ce papa, et ces enfants, et tous ceux
qu’ils aimaient se trouvaient juste là, derrière cette Statue de la
Liberté. Elle représentait ce pour quoi ils avaient combattu. Oh, les
coups de sifflet ont retenti, et tout New York s’est écrié, tout
simplement, quand leurs héros sont arrivés en marchant au pas. Ça, ce
sera bien secondaire.
441 À un moment donné, quand César, après une grande
bataille, avait dit: «Je veux que mon guerrier le plus fameux monte se
tenir à mes côtés, pendant cette grande cérémonie pour marquer notre
victoire sur l’ennemi.» Et tous les officiers ont taillé leur plumet,
et astiqué leur bouclier, et ils ont défilé, vous savez, comme ça,
comme—comme de vrais soldats, comme ça. Au bout d’un moment, une espèce
de petit vieux est passé, balafré. Oh! Il a un peu relevé la tête, et
il a continué à marcher, comme ça. César a dit: «Attends une minute.
Attends une minute. Toi,» il n’était même pas en habit de—d’officier,
il a dit, «viens ici.» Il a dit: «D’où te viennent ces marques?»
Il a dit: «Du champ de bataille.»
442 Il a dit: «Monte ici. C’est toi le gars que je
veux installé à mes côtés.» Pourquoi? Ça se voyait qu’il avait été au
combat.
443 Ô Dieu, aie pitié d’un homme qui va se couper à
la main sur une boîte de sardines et obtenir une citation. Je veux être
marqué par les combats. Comme Paul le disait: «Je porte sur mon corps
les marques de Jésus-Christ.» C’est pour ça que je veux combattre sur
le champ.
444 Un jour, quand notre grand Capitaine en chef
viendra, Celui qui nous a revêtus de l’armure, Celui qui nous a donné
l’armure de Dieu, le Saint-Esprit, qui nous a donné Sa Parole pour que
nous combattions avec Elle, que nous nous tenions là; quand notre grand
Capitaine en chef arrivera à cheval, je veux monter sur le char et
monter à la Maison avec Lui. Pas vous? [L’assemblée dit: «Amen.»
—N.D.É.] Alors, quand je prendrai ma brave petite femme par le bras,
que je regarderai autour de moi, là, et que je verrai mes frères et
leurs femmes, et leurs enfants, quand nous nous mettrons à circuler
dans ces paradis de Dieu, et que l’air s’emplira des hymnes des Anges,
là-haut, comme ça, vous parlez d’une fête!
445 Et quand la bataille sera finie, nous porterons
la couronne. Oh! la la! Oh, soldats de la croix, ce matin, sortez ce
bras de la foi, là, et saisissez cette Arme.
446 Qu’est-ce que tu en penses, sœur, es-tu prête?
[Frère Branham s’adresse de nouveau à la sœur malade.—N.D.É.] Dégaine
cette Arme, dis: «Ô Dieu, peu m’importe ce que—ce que le diable m’a
dit, tout ce que quelqu’un d’autre a bien pu dire. Ce matin, j’y
crois.» [La sœur dit: «Je crois aussi.»] «J’y crois.»
447 Comme je le disais l’autre jour, un petit… Il y
a quelques dimanches, je crois, un homme a fait un rêve. Il a rêvé que
le diable était une espèce de petit avorton, il est venu vers lui en
courant, il a dit: «Bouh!» Il a reculé brusquement, et le diable a
grandi. «Bouh!» Il a reculé brusquement, et le diable a grandi.
Finalement, le diable était aussi grand que lui, et il allait le
vaincre. Il savait qu’il lui fallait se servir de quelque chose pour le
combattre, alors il a regardé autour de lui. Il ne trouvait rien avec
quoi il pourrait le combattre. Il a simplement pris la Bible. Le diable
a dit: «Bouh!» Et il lui a tout de suite répondu: «Bouh!», et le diable
a rapetissé, et rapetissé, et rapetissé. Et, finalement, il l’a battu à
mort avec la Parole.
448 Tu es un soldat, n’est-ce pas, petite sœur?
[Frère Branham s’adresse de nouveau à la sœur malade.—N.D.É.] Prends
cette Parole, et dis: «Il est écrit.» Amen. «Je ne vais pas mourir. Je
vais vivre. Je vais m’asseoir ici même dans ce tabernacle et louer Dieu
pour Sa bonté, avec tous les autres.»
449 Vous le croyez, les saints? [L’assemblée dit
«Amen.» —N.D.É.] Amen.
Courbons la tête.
450 Ô Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la
terre, que l’on sache aujourd’hui que Tu es toujours Dieu. Peu importe
combien je pourrais prêcher, combien de choses je pourrais dire,
Seigneur, une seule Parole de Toi, et c’est réglé.
451 Ces mouchoirs qui ont été posés ici, ils
représentent des malades. Je prie, Père Céleste. que Tes bénédictions
et Ta puissance reposent sur chacun d’eux, alors que je pose mes mains
sur eux. Ô Dieu, au Nom de Jésus-Christ, je Te prie d’oindre ces
mouchoirs de Ta sainte Présence, car c’est écrit dans la Parole. Ce
n’est pas quelque chose qui va à l’encontre de la Parole. Au contraire,
il est dit dans la Parole qu’«ils prenaient des mouchoirs et des linges
qui avaient touché le corps de Paul. Les esprits impurs sortaient des
gens, et ils étaient guéris de diverses maladies». Or, nous ne sommes
pas saint Paul, mais Tu es toujours Dieu, et Tu es toujours le même
Saint-Esprit. Je pose mes mains sur ces mouchoirs, au Nom du Seigneur
Jésus, et je Te demande de bénir et de guérir chacun.
452 Et, ô Dieu, étendue ici sur un lit, elle est
restée étendue ici, rien qu’une enfant, qu’une ravissante petite fille.
Elle ne peut pas en réchapper, Seigneur. Satan lui a fait du mal. Et
les bien-aimés médecins de cette terre ont fait tout ce qu’ils
pouvaient, sans doute, pour sauver l’enfant. Ils ne le peuvent tout
simplement pas. Ils sont au bout de leur rouleau. Ils ne savent plus
quoi faire. Mais, Seigneur, je suis si content qu’il y ait un autre
chapitre qui a été écrit. Nous pouvons encore tourner la page, et sur
cette page-là nous voyons paraître le Grand Médecin. Nous Lui demandons
une consultation ce matin.
453 Maintenant, Seigneur, n’est-il pas écrit, ici
dans Ta Parole, que «ces signes accompagneront ceux qui auront cru»?
Seigneur, si je ne suis pas un croyant, fais que j’en sois un
maintenant. Si cette petite fille n’est pas une croyante, fais qu’elle
en soit une maintenant. «Voici les signes qui accompagneront ceux qui
auront cru: s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront
guéris.» Il est aussi écrit: «En Mon Nom, ils chasseront les démons.»
Seigneur, ces—ces Paroles-là sont les Tiennes. Ce sont les Tiennes.
C’est Ta Parole. Et maintenant, comme Ton serviteur…
454 Comme Tu l’as dit: «Si deux ou trois d’entre
vous sont assemblés, Je serai au milieu de vous; et si vous vous
accordez sur une chose, et que vous la demandez, vous la recevrez.»
455 Ô Dieu, cette enfant est probablement la
personne la plus malade qu’il y a dans ce bâtiment, ce matin, puisque,
sans Toi, elle ne pourra plus vivre encore très longtemps, et c’est
elle qui est la plus malade. Alors, nous tous, nous nous accordons,
tous les soldats qui sont ici. Et dans ce groupe, il y a la Semence
royale d’Abraham.
456 Nous marchons sur Satan maintenant. Autant te
préparer à partir, Satan, parce que nos armures reluisent, les couleurs
flottent au vent; les hommes et les femmes brandissent l’Épée, ils
s’avancent maintenant, ils marchent sur toi, dans l’intérêt de cette
petite fille. Sors d’elle, Satan. Laisse cette enfant. Nous qui sommes
l’armée du Dieu vivant, nous te défions. Laisse-la, au Nom de
Jésus-Christ.
457 Je vais aller lui imposer les mains. Et, Satan,
toi qui as lié cette enfant, toi qui as fait cette vilaine chose. Je
sais que tu es largement de taille à faire face à un être humain, mais
tu n’es pas de taille à faire face à mon Seigneur, alors je viens en
Son Nom. Laisse-la, toi, esprit du diable. Toi, démon de maladie, sors
de cette enfant, et qu’elle soit libre à partir d’aujourd’hui. Je
prononce ceci, au Nom de Jésus-Christ.
458 Maintenant, Seigneur Dieu, Toi qui as ressuscité
les morts et qui as prouvé que Tu étais Dieu, redonne à cette jeune
femme la santé et la force, afin qu’elle se tienne debout dans ce
bâtiment, ici. Le diable est sorti d’elle!…?… vas la rétablir.
Puisse-t-elle vivre à la gloire et à l’honneur de Dieu.
Cela—Cela a été prononcé, maintenant que ce soit
fait.
459 Y en a-t-il d’autres ici, qui veulent lever la
main pour dire: «Je voudrais qu’on prie pour moi. Je suis malade. J’ai
besoin de Dieu»? Je ne sais pas combien de temps nous avons. Nous avons
assez de temps pour faire défiler ces gens ici. Je me sens vraiment
rempli de confiance, ce matin, comme. Oui. Oui. Je voudrais que tu
viennes, Billy, et on va prendre, peut-être, cette section qui est
juste ici, de ce côté-ci, juste celle-là. Que seulement cette
section-là vienne d’abord, ensuite on va prendre la section d’en
arrière, après, seulement jusqu’à cette allée-là, là-bas. Ensuite on va
simplement les prendre comme ça, alors ils ne…
460 Et maintenant je voudrais que Frère Neville et
quelques-uns de mes frères prédicateurs viennent se placer près de moi,
juste ici, et comme ça vous pourrez faire redescendre les gens dans
l’allée. Bien. Bien. Maintenant je…
461 Combien d’entre vous ont revêtu leur armure?
[L’assemblée dit: «Amen.» —N.D.É.] [Frère Branham se détourne de la
chaire et parle à la sœur pour laquelle il vient de prier.]
462 Ça va changer maintenant. Tu vas rentrer chez
toi, tout ira bien maintenant, tu te rétabliras.
463 Amen. Oh! la la! Vous tous, soldats, dégainez
l’Épée. Dégainez l’Épée, soldats de la croix, continuez à avancer,
continuez à avancer.
Christ est le Roc où je me tiens.
[Frère Branham tape deux fois dans ses mains.—N.D.É.]
Tout le reste est sable mouvant.
464 Très bien, allez, venez, et redescendez tout de
suite par le côté, ici. Que tout le monde soit en prière, maintenant,
pendant qu’ils défileront.
Au Nom de Jésus, guéris cette femme. Amen.
Dégainez votre Épée maintenant. Restez à votre
place, en jubilant. [Frère Branham et les prédicateurs prient pour les
malades, loin du microphone, pendant quarante-cinq secondes.—N.D.É.]
465 En avant, soldats chrétiens!
Marchons au combat,
C’est la croix de Jésus
Qui ouvre la marche.
466 «Retire-toi, Satan!» Qu’est-ce que vous avez,
les soldats? Ne pensez-vous pas que nous pouvons vaincre? [L’assemblée
se réjouit et dit: «Amen.» —N.D.É.] Il est déjà vaincu. Nous sommes
plus que vainqueurs, en Jésus-Christ. Tous les démons chassés, tout le
reste. Amen.
Venez, mes frères!…?…
Je prie que tu guérisses!…?…
Guéris mon frère Doe; guéris-le, Père, au Nom de
Jésus.
Au Nom de Jésus-Christ, guéris cette dame. Venez…?…
467 Maintenant, il a pris… il a fallu que je demande
à des frères, au fond. Partout, le Seigneur…?…
468 Ô Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la
terre! Ô Dieu, Tu sais ce qu’elle a dans son cœur. Tu sais tout à ce
sujet. Je prie pour les deux, le papa et la maman. Au Nom de
Jésus-Christ, je confie…?…
Au Nom de Jésus-Christ, je…?…
Au Nom de Jésus-Christ, je…?…
469 Ô Dieu, sois avec ma sœur. Nous savons que les
années commencent à s’accumuler, et alors la mort voudrait s’emparer du
corps de cette femme. Maintenant, au Nom de Jésus…?…
470 Au Nom de Jésus-Christ, bénis cette petite
fille, Seigneur. Les combats qu’on a à l’école, là, je sais ce qu’elle
doit subir. Je Te prie de bénir. Qu’elle dégaine cette Épée, ce matin,
et qu’elle avance!…?… Voici le Livre pour ça, Seigneur. En invoquant
Ton Nom, ce matin, je Te prie d’aller avec…?…
471 Ô Dieu, bénis mon frère, en lui accordant sa
requête. Au Nom de notre Seigneur Jésus, je l’ai prononcé!…?…
Au Nom de Jésus-Christ, nous adressons cette prière.
Au Nom de Jésus-Christ, nous adressons cette prière.
Au Nom de Jésus-Christ, nous adressons cette prière.
Au Nom de Jésus-Christ, nous…?…
Au Nom de Jésus-Christ, nous adressons cette prière.
Au Nom de Jésus-Christ…?…
Au Nom de Jésus-Christ…?…
Au Nom de Jésus-Christ, guéris mon frère.
Au Nom de Jésus-Christ…?…
Au Nom de Jésus-Christ!
Au Nom de Jésus-Christ!
Au Nom de Jésus-Christ!
Au Nom de Jésus-Christ! Au Nom de Jésus-Christ!
[Quelqu’un dit: «Mon père est mort.» —N.D.É.]
472 Ô Dieu, aide-la, au Nom de Jésus.
Ô Dieu, au Nom de Jésus-Christ, nous…?…
Ô Dieu, au Nom de Jésus!
Au Nom de Jésus-Christ…?…
Au Nom de Jésus-Christ, guéris mon frère.
Au Nom de Jésus…?…
Vous comprenez maintenant?
Ô Dieu, que ceci s’en aille de…?...
473 Au Nom de Jésus-Christ, nous prions!…?… Accorde
à cette sœur…?…
474 Ô Dieu, sachant que cette précieuse petite mère
traverse tous ces ennuis, je Te prie, ô Dieu, de…?… sur elle.
Dégaine cette Épée, Ed, et avance, au Nom de Jésus.
475 Ô Dieu, guéris cette femme. Accorde-lui sa
requête. Puisse-t-il brandir cette Épée devant lui, dans les temps
difficiles.
Ô Dieu…?… ce matin. Je Te prie de…?…
476 Dieu, notre Père, Je Te prie de guérir notre
frère et de le rétablir. Et au Nom de Jésus-Christ…?…
477 Ô Dieu, je Te prie de bien vouloir guérir notre
sœur, la rétablir, au Nom de Jésus-Christ.
478 Dieu, notre Père, je Te prie de bien
vouloir—vouloir guérir notre frère.
Guéris notre sœur, Seigneur!…?…
Père, au Nom de Jésus, guéris notre sœur, Père.
479 Père…?… nous prions au Nom de Jésus. Ô Dieu,
guéris cette femme.
Ô Dieu, je Te prie de…?
480 Ô Dieu, bénis-le, Père!…?… Combien nous aimons
ces braves vieillards, Seigneur. Et je Te prie de lui accorder sa
requête!…?…
481 Notre Père Céleste, je prie que mon frère…?… Ô
Dieu,…?… lui, ô Dieu,…?… soldat de la croix. Et il dégainera cette
Épée, ce matin, et il ira de l’avant.
Ô Dieu, nous…?… Accorde-lui, ô Seigneur, sa requête.
482 Ô Dieu, bénis ce frère…?… Je Te prie de le
guérir, Seigneur!…?… Donne-lui ce que son cœur désire, au Nom de
Jésus-Christ.
483 Ô Père Céleste, ce brave ministre de l’Évangile,
sa gorge…?… Alors qu’elle a lavé dans des marmites…?... Ô Dieu, je Te
prie de…?… Et, pendant que la grande armée de Dieu avance, maintenant,
avec leur Épée levée, donne-lui la victoire, Seigneur. Son petit mari,
ici, Seigneur, qui a été relevé de ce lit de cancéreux où il était
étendu, se mourant du cancer, et les médecins l’avaient condamné, il
s’en allait. Et le voici, ce matin, un petit soldat de la croix.
Fortifie-le, Seigneur, pour Ton service, nous prions, au Nom de Jésus.
484 Je voudrais que cette petite dame… Il y a
quelque chose au sujet de ce petit prédicateur, ici. Venez, Frère Kidd.
Cet homme a été renvoyé à la maison, de l’hôpital, dernièrement, il se
mourait, rongé par un cancer. [Sœur Kidd dit: «Il y a un an.» —N.D.É.]
Il y a un an. [«Deux.»] Il y a deux ans, la prostate. Son médecin ne
lui donnait plus que quelques jours à vivre. Et, un matin, nous sommes
allés là-bas, très tôt, nous avons prié pour lui, exactement comme nous
venons de le faire pour vous, et ils n’en trouvent plus la moindre
trace. [L’assemblée se réjouit.] Il a été guéri. Amen. Il—il… [Sœur
Kidd dit: «Il a fallu qu’ils l’admettent.»] Il pèse plus maintenant,
qu’il n’a jamais pesé. Lui et sa petite femme étaient sur le champ
d’évangélisation, peut-être avant que je naisse. Il est ici maintenant…
[Frère Kidd dit: «Cinquante-cinq ans.»] Cinquante-cinq ans. Avant même
que je vienne au monde, ils prêchaient l’Évangile. Et le voici, guéri,
à l’âge d’environ soixante-quinze ou… [«Quatre-vingt-un ans.»]
quatre-vingt-un ans. [Frère Kidd dit: «Nous avons fait une série de
réunions de réveil, de deux semaines, à prêcher tous les soirs.»] Une
série de réunions de réveil de deux semaines, il vient de faire une
série de réunions de réveil de deux semaines, et il a prêché tous les
soirs. Quatre-vingt-un ans, guéri du cancer, dans sa vieillesse.
485 Très bien, sœur, c’est à votre tour, maintenant.
Vous croyez? [L’assemblée se réjouit et dit: «Amen.» —N.D.É.] En avant,
soldats chrétiens. Très bien, sœur. Vous, chacun de vous, qu’est-ce que
nous allons faire? AINSI DIT LE SEIGNEUR. Qu’est-ce que nous faisons, à
traîner ici?
486 Satan, tu as perdu. Nous traversons maintenant.
Nous continuons à marcher jusque dans le Pays promis. Qu’est-ce?
«Quelle est cette montagne devant Zorobabel? Qui est-ce qui se tient
là? Tu seras aplanie.» Pourquoi? Avec une Épée à deux tranchants, nous
allons la débiter jusqu’au sol. C’est exact. Bien.
En avant, soldat chrétien!
Marchons au combat,
C’est la croix de Jésus
Qui ouvre la marche.
Notre Maître royal
Marche sur l’adversaire, (avec Sa Parole)
Il nous mène à la bataille,
Voyez Sa bannière!
En avant, soldats chrétiens!
Marchons au combat,
C’est la croix de Jésus
Qui ouvre la marche.
487 Alléluia! Qu’est-ce qu’ils faisaient? Ce qui
avançait en premier, dans la bataille, pour Israël, en premier, c’était
quoi? Les chanteurs avançaient en premier. Qu’est-ce qui venait
ensuite? L’Arche. Ensuite la bataille. Bien. Maintenant le croyez-vous?
[L’assemblée dit: «Amen.» —N.D.É.] Nous chantons En avant, soldats
chrétiens. Tous les doutes, nous les écartons. Nous nous levons,
maintenant, nous marchons au combat.
Levons-nous maintenant, tout le monde.
En avant, soldats chrétiens!
Marchons au combat,
C’est la croix de Jésus
Qui ouvre la marche.
Notre Maître royal,
Marche sur l’adversaire;
Comment le vainquons-nous? Par la Parole. Il nous
mène à la bataille,
Voyez Sa bannière!
En avant, soldats chrétiens!
Marchons au combat,
C’est la croix de Jésus
Qui ouvre la marche.
Nous ne sommes pas divisés,
Nous sommes un seul corps;
Nous sommes un dans la doctrine,
L’espoir et l’amour.
488 Tous ceux qui croient, maintenant, dites:
«Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.» —N.D.É.] Alléluia! Vous le croyez?
[«Amen!»] Nous sommes vainqueurs. Où sont tous les ennemis? Sous nos
pieds. Qu’est-ce que nous sommes aujourd’hui? Ressuscités en Christ!
489 Maintenant, c’est terminé, petite sœur. [Frère
Branham s’adresse de nouveau à la sœur, qui avait été malade.—N.D.É.]
Tu crois ça? Rentre chez toi maintenant. Tu te sens bien? Elle dit
qu’elle se sent bien maintenant. Tout va bien.
490 Combien dans l’auditoire se sentent bien?
[L’assemblée se réjouit vivement et dit: «Amen.» —N.D.É.] Et quand ils
ont poussé des cris, la muraille s’est écroulée, amen, et ils s’en sont
emparés. Amen. Ils se sont emparés de la ville. Amen! Amen! Vous croyez
en Lui? [«Amen.»]
491 Maintenant, n’oubliez pas la réunion de ce soir.
Frère Neville sera ici, ce soir, et nous apportera un bon message. Et
dimanche, dimanche prochain, si le Seigneur le veut, je serai là.
492 Maintenant, repartons, alors que nous sortons,
et, maintenant, du bâtiment, repartons en chantant En avant, soldats
chrétiens. Et, à partir d’aujourd’hui, ne remettez plus jamais l’Épée
dans le fourreau. Dégainez-la. Vainquons. «Ils sont partis en
vainqueurs et pour vaincre.» Très bien, reprenons le premier couplet.
En avant, soldats chrétiens!
Marchons au combat,
C’est la croix de Jésus
Qui ouvre la marche.