Démonologie - Domaine religieux

Date: 53-0609 | La durée est de: 1 heure 36 minutes | La traduction: MS
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1    Je me demande combien connaissent ce petit chant, comme je vous salue très chaleureusement dans cette communion fraternelle chrétienne et avec l’amour de Christ, aujourd’hui, combien connaissent ce petit chant, Il prend soin de toi? Vous le connaissez? Très bien, voyons si on y arrive. Vous le connaissez, sœur? Vous connaissez? Bon
Il prend soin de toi,
Il prend soin de toi;
Dans la joie ou le chagrin,
Il prend soin de toi.
    Oh, c’est très bien. Maintenant faisons un autre essai.
Il prend soin de toi,
Il prend soin de toi;
Dans la joie ou le chagrin,
II prend soin de toi.

2    Notre Père Céleste, [espace non enregistré sur la bande-N.D.É.] …croyons que Tu prends bien soin de nous, et Tu as manifesté Ton amour envers nous, en ce que Tu as envoyé Ton propre Fils bien-aimé, pour… le Fils de Dieu innocent, pour prendre la place des pécheurs coupables. Combien nous Te remercions, d’avoir pris soin de nous et de t’être soucié de nous, au point de faire ceci! Et nous en sommes tellement reconnaissants, Seigneur. Nous sommes heureux de nous rassembler ici cet après-midi sous la voûte des cieux, et nous demandons Tes bénédictions sur ce service. Accorde, Seigneur, à chaque homme, femme, garçon ou fille qui sont ici, de faire une étude approfondie, maintenant, des Écritures. Nous sommes confrontés à un monde qui est sous la domination de Satan. Et, Père, alors que nous étudions la puissance des démons et ce qu’ils font aux gens, nous Te prions de nous donner une grande foi, et puissent beaucoup de grands signes et prodiges se faire. Car nous le demandons au Nom de Christ et pour la gloire de Dieu. Amen.

3     Nous abordons sans tarder l’étude de cet après-midi, je pense, une quinzaine de minutes plus tôt que prévu. Le sujet en est toujours la Démonologie.

4     Et maintenant, je viens de recevoir un message, tout à l’heure, Frère Beeler, de mes amis. Et je débute en tournée en Afrique, au milieu de juillet. Alors c’est réglé, tout est arrangé maintenant. Frère Baxter ne pourra pas y aller à cette période-là, alors je devrai me rendre en Afrique tout seul. Alors, je pars là-bas avec… puisse le… Vous devrez prier pour moi, maintenant, que le Seigneur m’aide, parce que j’en aurai vraiment besoin, maintenant, là-bas parmi… Je m’attends à ce qu’il y ait au moins deux cent mille personnes à cette réunion.

5     Et il y a une vision que j’ai notée ici. Je veux que vous ici, vous en bénéficiiez. Elle s’est produite en décembre. J’étais dans la chambre, un matin, et là l’Ange du Seigneur est entré. Je… Vous voyez, quand j’étais là-bas, j’ai désobéi à Dieu, et j’ai attrapé des amibes. Tout le monde sait-sait ce que c’est que les amibes, un parasite qui… on en meurt presque. Et c’est parce que j’avais fait quelque chose que Dieu m’avait dit de ne pas faire. Combien ont entendu raconter ça? Je pense qu’il y en a certains d’entre vous ici. Je sais que ceux du tabernacle ont entendu raconter ce qui s’était passé. Dieu m’avait dit d’aller à un endroit, de me tenir loin de tel endroit, d’aller à un autre endroit. Et j’ai laissé les prédicateurs me convaincre de faire le contraire. Bon, les prédicateurs, ce sont des gens formidables, et ce sont mes frères, mais écoutez ce que Dieu vous dit. C’est exact. Voyez? Vous avez une seule mission.

6     Combien s’en souviennent, à un moment donné il y avait deux prophètes, dans la Bible? Et l’un deux, le Seigneur lui avait dit, Il avait dit: «Va à tel endroit. Et ne-ne reviens pas par… À ton retour, prends un autre chemin», et ainsi de suite. Et-et Il avait dit: «Ne mange pas et ne bois pas pendant que tu seras là-bas.»

7     Et un autre vrai prophète est allé le voir, et il a dit: «Le Seigneur m’est apparu après qu’Il t’est apparu.» Et il a dit «Viens avec moi à la maison.» Et le prophète a écouté ce que l’autre avait dit, et il a perdu sa vie à cause de ça. Voyez-vous, faites ce que Dieu vous dit de faire, peu importe ce que n’importe qui d’autre peut dire.

8     Maintenant, nous… Dans cette vision, Il… C’est ce qui m’a réveillé, le treize septem-… ou, décembre. Et-et assis au bord de mon lit, je me demandais quel serait mon avenir. Quand je suis rentré de là-bas, ils allaient m’envoyer au lazaret, les parasites étaient sur le point de m’emporter. Ils m’ont fait subir un examen quand j’ai posé le pied dans le pays. Et, par la grâce de Dieu, simplement, ils m’ont permis de retourner chez moi, parce que c’était très disséminé. J’avais prié, et j’étais allé voir ces ministres, je disais: «Le Seigneur m’a dit de ne pas prendre cette direction-là.»
    Ils ont dit: «Oh, Dieu peut parler à quelqu’un d’autre qu’à toi.»

9     J’ai dit: «Koré avait cette idée-là, à un moment donné.» Alors, mais je suis allé chercher des feuilles, je les ai déposées sur leurs pieds, et j’ai dit: «Souvenez-vous, au Nom du Seigneur, si nous faisons ce voyage, là-bas, ce sera un échec, et nous allons tous le payer cher.» Et pour sûr que nous l’avons payé cher! Oh! la la! Nous avons tous failli mourir. Alors, là, au retour…

10     On est aux prises avec tant de choses là-bas dans les pays étrangers. Par exemple, il y a une petite puce, si elle vous mord, vous attrapez la fièvre de la tique. Et cette petite chose-là, quand ça vous mord, même si vous avez des démangeaisons, vous ne pouvez pas vous gratter. Vous regardez, si c’est une petite bestiole noire, ne l’arrachez pas. Elle a une petite tête, avec laquelle elle se creuse un chemin dans la peau, elle vrille, comme ceci, et elle se fixe là. Si vous l’arrachiez, en l’arrachant, la tête qui est à l’intérieur resterait là. Il y a un virus dedans, qui vous paralyserait. Alors, ne vous grattez pas, ou ne l’arrachez pas. Vous n’avez qu’à prendre du suif. Elle respire par le dos. Laissez tomber du suif dessus, et elle va se détacher.

11     Ensuite, il y a un petit moustique. Il ne fait pas de bruit du tout. Il arrive en fendant l’air, [Frère Branham donne une petite tape sur sa main.-N.D.É.] il n’a qu’à vous toucher, c’est tout, et vous avez la malaria.

12     Et-et puis, il y a ce qu’ils appellent le serpent mamba. S’il vous pique, vous ne vivez qu’à peu près deux minutes, après qu’il vous a piqué.

13     Et il y a le cobra jaune. Vous vivez une quinzaine de minutes après sa morsure à lui. Et l’un d’eux était assez près de mon fils, qu’il aurait pu poser sa main sur sa tête. Il était déjà levé, prêt à piquer, avant que nous tirions dessus, comme ça.

14     Et il y a le cobra noir. Oh, il y a vraiment de tout! Et puis, il y a les dangers de la brousse, les animaux, évidemment, les lions, le tigre, ou les léopards, et tous les autres avec lesquels on est aux prises, dans la jungle. Et puis les maladies, il y a vraiment toutes sortes de maladies là-bas.

15     Et vous devez affronter tout ça quand vous y allez. Et en plus, il y a le sorcier guérisseur qui est là pour vous défier, de tous les côtés, voyez-vous, et toutes leurs superstitions et tout. Mais, combien, que c’est merveilleux de voir notre Seigneur écarter tout ça d’un geste, d’un côté à l’autre, comme ça, ensuite on continue.
    Ce jour-là, je me suis tenu là, je m’en souviens vraiment bien, de ce qui s’est passé, je vous en parlerai un de ces jours, à une autre réunion, parce que, cet après-midi, je voudrais aborder mon sujet, de la Démonologie.

16     Mais, là, j’étais en réflexion là-dessus, assis là, à me demander: comment est-ce que ça va finir? Et en traversant la mer, au retour, - je sais que nous avons eu environ cent mille conversions, pendant que nous étions là-bas, - et le vieux Frère Bosworth est venu à moi. Il a dit, j’ai dit: «Eh bien, Frère Bosworth?»

17     Il a dit: «Je suis vraiment fier de toi, Frère Branham!» Il a dit: «Pour toi-pour toi la vie ne fait que commencer», et, il a dit.

18     Je disais: «Eh bien, ça doit être fini, je suppose.» Je disais «J’ai quarante ans passés. Je suppose que j’ai combattu le bon combat, et que j’ai achevé la course.»

19     Il a dit: «‘Quarante ans passés’?» Il a dit: «Je ne me suis pas converti avant cet âge-là.» Il a dit: «Je suis encore bien actif.» Il avait tout près de quatre-vingts ans. Et simplement…
    Je me suis dit: «Eh bien, peut-être que c’est assez juste, ça.»

20     Donc, il disait: «Non, tu es simplement un Branham tout neuf maintenant. Tu sais mieux comment prendre tes réunions en main, et tout.» Il disait: «Simplement, si tu t’attaques à l’Amérique comme il le faudrait, avec une réunion organisée comme il faut, où tu pourrais rester au même endroit pendant six ou huit semaines, et que ce soit bien organisé, et annoncé un peu partout,» il disait, «tu accomplirais quelque chose, mais… et… pour notre Seigneur.» Alors, on a continué comme ça, à parler, simplement, alors, ça a été très-très agréable.

21     Alors, quelque temps après, j’ai eu une vision, quand j’étais en Amérique, elle m’est venue, et elle m’a renvoyé en Afrique, et elle me montrait cette même réunion, installé là, devant Durban. Et la première réunion est disparue peu à peu, elle est passée à l’histoire, partie en direction de l’ouest. La deuxième réunion est apparue, et à ce moment-là, elle était encore plus grande que la première. Et Il… J’ai entendu un cri, et un Ange venait du Ciel; Il tenait une lampe puissante.

22     Et l’Ange du Seigneur, qui se tient près de nous ici, se tenait, Il se tient toujours à ma droite, de ce côté-ci. Et Il se tenait là, et Il-Il se déplaçait en formant un cercle. Et j’ai vu cet Homme au-dessous de Lui. Il-Il n’est pas… Or, quand vous Le voyez, Lui, ce n’est pas une vision. C’est tout aussi réel que de me regarder, moi. Eh bien, vous pouvez L’entendre marcher et vous parler. Et quand Il… N’importe quoi… c’est tout aussi réel. Et ce n’est pas une vision; cet Homme se tient là, exactement comme vous. Et Sa voix, c’est exactement comme si c’était la mienne ou comme si c’était la vôtre. Mais une vision, c’est quelque chose qui se présente devant vous et vous le voyez, comme ça. Mais cet Homme-là, Il s’approche simplement et Il se tient là.

23     Alors, Il m’a dit ce qui allait arriver. Et Il a dit que… Cet Ange est descendu, et Il m’a dit de me retourner et de regarder dans cette direction-ci. Et ça semblait être en direction de l’Inde, là. Je ne dis pas que c’est en Inde, mais c’est près de là. Mais c’étaient des Indiens.

24     En effet, les Africains, eux, ce sont de grands costauds, de forte corpulence. Certains d’entre eux mesurent presque sept pieds [2,10 m-N.D.T.], et pèsent, oh, deux cent quatre-vingts, trois cents livres, costauds. Les Zoulous, bon, et il y a les Songhaïs, et les Sothos, et, oh, il y a beaucoup de tribus différentes. Il y avait quinze tribus différentes assises là, ce jour-là, auxquelles je parlais.

25     Je disais une parole, comme: «Jésus-Christ, le Fils de Dieu.» J’allais boire un peu d’eau, en attendant que ce soit transmis par tous les interprètes. L’un d’eux disait… Et toutes sortes de bruits!
    Dans le temps, je me disais, quand j’entendais les pentecôtistes parler en langues, alors que, peut-être, l’un parlait en émettant certains sons et que l’autre parlait en émettant d’autres sons, voyons, comment était-ce possible? Mais je crois que la Bible a raison, et je sais qu’Elle a raison, quand Elle dit: «Il n’est aucun son qui soit sans signification.»
    Certains disaient, l’un d’eux faisait: «Blrr blrr blrr blrr», ce qui voulait dire: «Jésus-Christ, le Fils de Dieu.» L’autre faisait «Cloue cloue cloue cloue», ça, c’était: «Jésus-Christ, le Fils de Dieu», dans sa langue à lui. Donc, quel que soit le son qui est produit, il a un sens quelque part. C’est exact. Quel que soit le bruit qui est produit, il a un sens pour quelqu’un quelque part. Et, quand Il… Ils transmettaient ça.

26     Et j’ai remarqué qu’à ma gauche, quand cet Ange était descendu et que j’ai vu comme un essaim, là, et c’étaient des hommes avec… ils avaient comme une espèce de-de drap autour de leur corps, comme ceci, et ça les enveloppait et c’était attaché, comme pour un petit bébé, la couche. Et c’était… Et tout ce que je pouvais voir, à perte de vue, c’était des gens. Ensuite, cet Ange a allumé une lampe puissante, qui oscillait, et elle s’est mise à faire un mouvement de va-et-vient, comme ça. Et jamais de ma vie je n’ai vu autant de gens!

27     Ensuite, cet autre Ange est venu très près de moi, et Il a dit «Il y en a trois cent mille à cette réunion.» Et je l’ai noté ici. Vous aussi, inscrivez-le sur un bout de papier, comme quand j’avais raconté que ce petit garçon ressusciterait, en Finlande. Notez-le sur la page de garde de votre Bible ou quelque part, qu’à cette réunion, - il va y avoir une réunion, et vous en entendrez parler par quelque moyen de diffusion, - il y aura trois cent mille personnes qui assisteront à cette réunion. Maintenant, voyez si ce n’est pas vrai. Elle sera donc trois fois plus grande que l’autre. Voyez? Trois cent mille personnes qui assisteront à la réunion. Et je suis tellement heureux de pouvoir y aller, je ne sais pas quoi faire, parce que j’aime gagner des âmes pour notre Seigneur.

28     Et là-bas, à une occasion, d’avoir vu-d’avoir vu trente mille païens primitifs, venir à Jésus-Christ à la suite d’un seul appel à l’autel, trente mille païens primitifs.

29     Maintenant abordons notre sujet sans tarder. Hier nous avons étudié la technique qu’utilisent les démons. Je réfléchissais aujourd’hui, alors que Dieu traitait avec moi. Vous ne savez pas ce que ça représente, d’avoir la liberté d’aller de l’avant. Or, je ne suis pas un enseignant. Je suis loin d’être un-un commentateur de la Bible. Et je suis… Mon instruction se limite à une septième année. Alors c’est… Et, avec ça, je suis sorti de l’école il y a environ vingt-cinq ans, alors il y a longtemps que je n’y suis plus. Je n’ai pas beaucoup d’instruction, mais tout ce que je sais, c’est ce que je reçois par inspiration. Et si cette inspiration ne concorde pas avec la Bible, alors elle est fausse. Voyez? Il faut que ce soit la Bible. Quelle que soit l’inspiration, il faut que ça vienne… Voici le fondement de Dieu. Aucun autre fondement n’a été posé que Ceci. Et ce qui correspond à Ceci; si ce que je disais était contraire à Ceci, alors que mes paroles soient un mensonge, parce que la Vérité, c’est Ceci. Voyez?     Voyez? Et si un ange vous disait quelque chose qui soit différent de Ceci, Paul a dit: «Qu’il soit pour vous anathème», même un ange de Lumière. Or, il y a beaucoup de grandes choses. J’ai seulement… les seuls… j’ai choisi deux jours, parce que, pour pouvoir apporter ce sujet aux gens, c’est-à-dire hier et aujourd’hui, les réunions en après-midi.

30     Maintenant, la raison pour laquelle j’ai fait ceci, c’est pour faire un petit essai, moi-même, pour voir si Dieu allait m’aider. J’ai quelque chose à cœur. Et c’est ceci, qu’après ce grand Message, et après que Dieu Lui-même a confirmé que ce que j’ai dit est bien la Vérité, de Sa Parole: par Sa Parole, d’abord, et ensuite par les signes et les prodiges. Maintenant, je pense que, muni de la Vérité de l’Évangile pour l’Église, j’ai une obligation envers Dieu, d’apporter ceci à l’Église. C’est exact. Elles sont tellement divisées, en tant d’organisations différentes et de branches sectaires de chacune que, c’est mal, ça. Nous sommes tous enfants de Dieu, quand nous sommes nés de nouveau. Ça, voyez-vous. Et la vérité, c’est que Dieu veut que nous le sachions, que nous sommes Ses enfants.

31     Maintenant, souvenez-vous, le temple de Salomon, il a été taillé partout dans le monde. Et une pierre est arrivée incurvée comme ceci, et une pierre incurvée comme cela, et une taillée comme ceci, et une taillée comme cela, mais à l’assemblage, il n’y a pas eu le moindre grincement de scie, pas le moindre coup de marteau, chaque chose s’est ajustée parfaitement, à sa place. Dieu est Celui qui a donné les directives pour ça.

32     Dieu a une église qui s’appelle les Assemblées, et une l’église de Dieu, et une la ceci, et l’autre la cela. Mais quand elles s’assembleront toutes, elles formeront un seul grand groupe, d’amour fraternel, et Dieu mettra, rassemblera cette Église et L’emportera là-haut dans le ciel.

33     Tout tableau célèbre, avant de pouvoir un jour être exposé dans une galerie d’art, il doit être exposé, passer d’abord par la galerie des critiques. L’homme qui a peint, a gusto, ou, excusez-moi, son nom m’échappe; enfin, celui qui a peint la Sainte Cène, cela lui a demandé toute une vie. Il a peint ce tableau. Il s’est passé environ vingt ans, ou dix ans, je crois, entre le moment où il a peint Christ et celui où il a peint Judas. Et, vous êtes-vous rendu compte, dans ce tableau célèbre, c’est le même homme qui a posé pour représenter Christ, qui, dix ans plus tard, a posé pour représenter Judas? C’est exact. Effectivement. Dix ans de péché, il avait été un grand chanteur d’opéra, ensuite il a représenté Christ, et il a fini par représenter Judas. Ça ne vous prendra pas forcément dix ans. Ça prendra dix minutes pour produire le même effet sur vous. Ça changera votre caractère, par le péché. Mais toujours est-il que ce tableau est passé par tous les critiques.

34     Et c’est ce que je pense de l’Église de Dieu, ce groupe qu’on appelle, eh bien, je ne dis pas ceci pour faire une remarque désobligeante. J’ai navigué sur toutes les mers, et j’en suis à mon troisième voyage autour du monde, et les gens disent «Exalté! Exalté!» Et j’ai cherché partout dans le monde, et je n’ai encore jamais trouvé un exalté. C’est un nom que le diable a collé aux gens, c’est tout. Un exalté, ça n’existe pas. J’ai les statistiques, de toutes les six cent soixante-huit églises différentes qui existent, et, organisées dans le monde, et il n’y en a pas une seule qui s’appelle les Exaltés. Et ça, ça provient du gouvernement. Je ne connais pas une seule église Exaltée. Alors, ça, c’est seulement un nom que le diable a donné. Mais, maintenant, malgré tout ceci, toutes ces choses, Dieu a peint un tableau. Et, à un moment donné, ces petites églises, qu’il y avait là-bas autrefois, certains d’entre vous…

35     Je regarde ces hommes aux cheveux gris. Mon garçon, hier; j’étais dans mon bureau, j’étudiais, et un ministre est entré en passant, il a dit: «J’aimerais serrer la main à ton papa.» Évidemment, mon garçon a été à l’école de Frère Baxter et des autres, eux c’est carrément «non», un point c’est tout, tout de suite. Je n’aime pas ça. Voyez? Peu importe si je… Évidemment, je ne peux pas être à la fois serviteur des hommes et serviteur de Dieu. Mais moi ce que je trouve, j’aime serrer la main de mes frères. J’aime faire ça. Il y a quelque chose là-dedans, j’aime serrer la main d’un-d’un ministre. Et non seulement celle d’un ministre, mais de tout enfant de Dieu, j’aime le faire. Je n’en ai rien su, jusqu’au moment où ma femme m’en a parlé, un peu plus tard. Eh bien, s’il avait dit à ce ministre: «Un petit instant, il s’est retiré pour prier, et-et je vais voir ce qu’il en dira.» Eh bien, ça, ç’aurait été mieux. Alors, je l’ai repris un peu là-dessus, il ne doit pas faire ça. Voyez?

36     Alors, et c’est vrai, on ne peut pas venir tout de suite, chaque fois, comme le frère le disait tout à l’heure. Si on le fait, alors le soir je-je suis épuisé, vous voyez. Les gens se mettent à parler, et peut-être que chacun a une maladie, et quand ils se mettent à en parler, tout de suite, voilà l’Ange du Seigneur qui est là pour dire ce qu’il en est.

37     Il y a quelqu’un qui est assis, qui regarde droit vers moi en ce moment, qui sait que c’est bien vrai, car c’est arrivé il y a seulement quelques minutes, ou environ une heure et demie. C’est une dame qui est assise ici, elle ne savait pas ce qu’il en était, l’Ange du Seigneur lui avait parlé l’autre soir et lui avait dit quelque chose, et elle ne comprenait pas ce qu’il en était. Mais aujourd’hui c’est arrivé, alors maintenant elle connaît le sens de Ses paroles, quand Il lui a parlé. Comme j’étais là à lui parler, l’Ange du Seigneur est venu directement lui dire quel était son problème, et tout ce qu’il en était, et-et ce qu’elle pensait, l’un de ses bien-aimés, et comment Dieu avait parlé et avait dit qu’Il avait confirmé la chose, et ce qui allait arriver. Alors voilà précisément comment ça va se passer. Voyez? Dieu l’a dit.

38     Eh bien, maintenant, et si, à quelques reprises, ça… Alors, et avec chaque vision vous vous affaiblissez toujours plus, voyez-vous. Et, tout à coup, vous arrivez à l’église, le soir, vous êtes complètement épuisé, si bien que vous ne savez plus trop quoi faire. Et priez pour moi, là, voyez-vous, parce que je passe d’une réunion à une autre, puis à une autre. Si cette réunion-ci était la seule, ce ne serait pas la même chose, si j’allais rentrer chez moi maintenant, et rester sans rien faire pendant quelques mois, aller chercher ma canne à pêche et partir à la pêche. Mais il faut que je passe directement d’une réunion à une autre, directement d’une à une autre, vous voyez. C’est à cause de ça.

39     Et, vous tous, priez, vous les gens, ici dans l’auditoire. Ils m’ont dit hier soir que… [espace non enregistré sur la bande-N.D.É.] …pas réagi à l’appel. Or ça, c’est assez dangereux, vous voyez. Quand, ils disaient que… Eh bien, parfois, ces lumières ne vont pas éclairer, il y a un coin où c’est sombre, entre les deux.

40     Et j’observe l’Ange du Seigneur, quand Il se tient ici, je peux le sentir. Ensuite, je vais sentir qu’Il s’éloigne, et je vais observer, Il va partir et aller quelque part, se tenir là un petit moment, et je peux Le voir. Et Ça va se mettre à briller, et une vision va venir. Alors je vais avoir la vision. Je vais observer l’aspect de la personne qui est là, dans ce coin-là. Je trouve la personne, ensuite je parle. Voilà ce qui se produit. Voilà ce qui arrive. On n’est pas obligé de le dire à tout le monde, mais voilà-voilà ce qui se produit, vous voyez. Tout ça, c’est dans le domaine spirituel.

41     Alors, si cette personne ne réagit pas, ce serait comme de lire la Bible, ici, et de dire: «Ça ne vaut rien», et de S’en détourner. Voyez? Alors, ce serait assez moche, ça. Alors, soyez sur le qui-vive, soyez à l’écoute, soyez vigilants. Quand Il parle, répondez. Voyez-vous, soyez simplement prêts à répondre, à tout moment.

42     Et alors, ma femme, et Frère Beeler, et beaucoup de personnes, ce matin, m’en parlaient, disant qu’un homme avait été appelé, au sujet de son frère, quelque part, il y avait quelque chose qui n’allait pas chez lui, et tout. Et cet homme n’a pas réagi à l’appel, alors, là, il n’y a rien à faire. C’est entre Dieu et cet homme. La vision m’a quitté. Ensuite, je ne l’ai plus retrouvée, parce qu’il n’a pas répondu. Alors, soyez vigilants, soyez sur le qui-vive.

43     Maintenant, nous allons prendre ce sujet, de la Démonologie, et parler des démons. Or, les gens, quand on dit «démon», tout de suite ils se mettent à penser: «Oh, du fanatisme, ou quelque chose! «Mais les démons sont tout aussi réels que les Anges. Ils sont tout aussi réels.

44     Et le diable est tout aussi réel, comme démon, que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Il est un démon! Le Ciel est tout aussi réel. Si l’enfer n’existe pas, le Ciel n’existe pas non plus. Et s’il n’y a pas de bénédiction Éternelle, ou plutôt, de châtiment Éternel, il n’y a pas de bénédiction Éternelle. S’il n’y a pas de jour, il n’y a pas de nuit. Voyez? Mais aussi sûr qu’il y a le jour, il y a la nuit. Aussi-aussi sûr qu’il y a-sûr qu’il y a un chrétien, il va forcément y avoir un hypocrite. Aussi sûr qu’il y a quelqu’un qui est véritablement de Dieu, il y a quelqu’un qui va imiter ça. Voyez? C’est tout à fait ça, le pour et le contre, le noir et le blanc, et ainsi de suite comme ça, en toutes choses, dans la vie, le vrai et le faux partout. Et il y a un faux évangile, il y a un vrai Évangile. Il y a un vrai Baptême, il y a un faux baptême. Il y a un faux-semblant, et il y a un vrai. Il y a un vrai dollar américain, et il y a un faux dollar américain. Il y a un chrétien véritable, il y a un hypocrite véritable, voyez-vous, qui ne fait qu’imiter. Alors, c’est ce qu’on trouve, alors, toutes ces choses, elles vont ensemble. Or, nous ne pouvons pas les séparer. Dieu laisse tomber la pluie.

45     Qu’Il me permette de parler un peu de quelque chose, ici. Combien y a-t-il de prédicateurs ici, levez la main. Partout, les prédicateurs, levez la main. Eh bien, que Dieu vous bénisse, frères. Maintenant, maintenant, ne prenez pas ceci comme une doctrine, maintenant, mais, juste avant d’aborder ce sujet vital, je vais vous raconter. Combien y a-t-il de pentecôtistes ici? Levez la main, tout autour, partout. Eh bien, vous êtes tous pentecôtistes. Très bien. Je vais vous raconter ce qui m’est arrivé, la première fois que je me suis retrouvé dans votre sphère, dans vos rangs.
    J’étais ici, dans l’Indiana, à un endroit qui s’appelle Mishawaka. C’était le premier groupe de pentecôtistes que je voyais, ils s’appelaient les-les Assemblées pentecôtistes de Jésus-Christ, je crois, ou quelque chose comme ça, un groupe de gens formidables. Maintenant ils ont formé ensemble une organisation et ils s’appellent les pentecôtistes unis. Ils se sont dissociés des autres, à cause d’un désaccord sur le baptême d’eau. Ça ne fait pas d’eux des hypocrites. Il y a de nombreux chrétiens véritables, des vrais chrétiens, véritables, nés de nouveau du Saint-Esprit, parmi eux. Et Dieu leur a donné le Saint-Esprit, à eux qui ont été baptisés dans le «Nom de Jésus», et Il a donné le Saint-Esprit aux autres, qui ont été baptisés dans le «Père, Fils, Saint-Esprit». Alors, «Dieu donne le Saint-Esprit à ceux qui Lui obéissent», alors, qui-qui a reçu, qui Lui a obéi? Voilà.

46     Si vous pouviez seulement oublier ça, et ceux qui veulent être de telle manière, laissez-les faire, et vous, allez-y, soyez des frères. C’est tout. Ne… Ce qui a causé ça, c’est qu’ils se sont divisés, qu’ils se sont séparés. Voyez? Quoi? De briser, de démolir, de rompre la fraternité, de vous mettre à part et de vous séparer. Non monsieur, nous ne sommes pas séparés, nous sommes un. C’est exact.

47     Mais quand j’étais là-bas, j’observais ces gens-là. Or, moi qui sortais d’une petite église baptiste du sud, bien ordinaire, eh bien, je voyais ces gens, je suis entré là et ils tapaient des mains, ils s’égosillaient: «L’un d’entre eux, l’un d’entre eux, heureux de dire que je suis l’un d’entre eux!»

48     J’ai pensé: «Oh! Fiou!» Tout à coup, quelqu’un est passé en dansant, en y mettant toute son énergie. «Ttt! ttt! ttt! ttt! ttt!», j’ai pensé, «quelle façon de se conduire à l’église! Je n’ai jamais rien entendu de pareil.» Je ne les lâchais pas des yeux, partout. Je me demandais: «Eh bien, mais qu’est-ce qui se passe avec ces gens?»

49     Or, vous m’avez entendu raconter l’histoire de ma vie, quand je m’étais retrouvé à cette réunion, là-bas. Mais voici une chose que je n’ai jamais racontée, que je n’ai encore jamais racontée, en public. Alors, ils… Maintenant, si vous voulez l’effacer de votre enregistrement, eh bien, c’est libre à vous. Très bien. Alors, là, j’observais, et, bon, je me disais: «Eh bien, ces gens, ce sont les gens les plus heureux que j’ai vus de ma vie.» Ils n’avaient pas honte de leur religion. Nous, les baptistes, il nous arrive d’avoir un peu honte, de temps à autre, vous savez. Voyez? Et quand ils vont prier, vous savez, ils vont se mettre derrière l’éventail, vous savez. Et-et, mais nous… Mais ces gens-là, ce n’était pas leur cas, frère, ils-ils avaient de la religion partout, en dedans, en dehors, et partout sur eux.

50     Eh bien, je me souviens, ce soir-là, quand je suis monté sur l’estrade. Ils avaient dit: «Tous les prédicateurs: sur l’estrade.» C’était une convention. Ils étaient obligés de la faire ici au nord, à cause-à cause du problème de ségrégation raciale, la loi de Jim Crow, du sud. Alors, ils s’étaient tous rassemblés là, de partout. Alors, j’étais assis sur l’estrade. Et il a dit… Eh bien, maintenant, il y… J’ai écouté tous les prédicateurs, toute la journée et ce soir-là. Ils ont annoncé un vieux prédicateur, c’est un vieil homme de couleur qui est arrivé, juste une petite couronne de cheveux sur la tête, comme ça, et il portait une longue redingote de prédicateur, vous savez, à col de velours, et il faisait chaud. Le pauvre vieux est arrivé comme ceci. Il a dit: «Mes chers enfants,» il a dit, «je voudrais vous raconter», il s’est mis à témoigner. Je devais être le plus jeune de ceux qui étaient assis sur l’estrade. Et, donc, il disait: «Je vous le dis!» Il a pris son texte dans Job: «Où étais-tu quand Je fondais le monde? Dis-Moi sur quoi ses bases sont appuyées.»

51     Tous ces autres prédicateurs avaient prêché au sujet de Christ, quelque chose comme on avait l’habitude d’entendre. Je les avais écoutés, j’y avais pris plaisir. Mais pas ce vieux-là! Il est retourné en arrière, environ dix mille ans avant le commencement du monde. Il est allé jusque dans les Cieux et il est redescendu en traversant le ciel, ce qui se passait là. Eux, ce sur quoi ils avaient prêché, tout le long, pendant la journée; lui, il a prêché sur ce qui se passait dans le Ciel. Il a ramené Christ sur l’arc-en-ciel horizontal, tout là-bas quelque part dans l’Éternité. Mais, il n’avait même pas prêché pendant cinq minutes, ce vieux-là, et Quelque Chose s’est emparé de lui. Il a sauté en l’air, il a claqué des talons, et il s’est écrié: «Youppi!» Il avait à peu près autant de place que j’en ai ici. Il a dit: «Je n’ai pas assez de place pour prêcher», et il s’en est allé comme ça.

52     Eh bien, je me suis dit: «Si cette chose-là produit cet effet sur un homme qui a peut-être quatre-vingts ans, qu’est-ce qu’elle fera sur moi? Voilà ce que je veux. Voilà ce que je veux.»

53     Mais ce qui m’a intrigué, c’est ceci. Maintenant, nous parlons de démons, là. Ce qui m’a intrigué, j’observais deux hommes. L’un était assis d’un côté, et l’autre de l’autre. Et quand l’Esprit descendait, ces hommes se levaient, ils parlaient en langues, ils poussaient des cris, ils avaient l’écume aux lèvres. Et je me disais: «Oh! la la! si seulement je pouvais avoir ça!» Voyez? «Comme c’est merveilleux! Oh, c’est… j’aime vraiment ça!» Eh bien, je suis allé dans le champ de maïs. Et je vous ai raconté l’histoire de ma vie. Vous l’avez lue dans le livre. J’y ai dormi toute la nuit. Le lendemain matin, j’y suis retourné, alors je me suis dit que j’allais faire un test. J’ai une façon de faire les choses, dont personne n’est au courant, seulement Dieu et moi. Alors, là, je prononce un oracle, et je vais voir quel esprit est dans un homme. Vous le voyez, ici même sur l’estrade. Voyez? Et, donc, je me suis mis à parler à l’un de ces hommes. Je les avais vus, ils étaient assis l’un près de l’autre, et ils se prenaient par la main, et ils dansaient, et ils poussaient des cris. Je me disais: «Oh! la la! Moi je trouve que ça a l’air de quelque chose de réel!»

54     Et j’ai pris l’une de ses mains. J’ai dit: «Bonjour, monsieur!»

55     Il a dit: «Bonjour.» Un homme très bien, du type gentleman. Il a dit…
    J’ai dit: «Êtes-vous un ministre?»
    Il a dit: «Non monsieur. Je ne suis qu’un laïque.»

56     Alors j’ai engagé une petite conversation avec lui pour capter son esprit. Voyez? Il ne le savait pas. Personne ne le savait. Je n’en ai jamais parlé. Il s’est passé des années avant que j’en parle. Alors, ils… Mais, quand j’ai vu ce qu’il en était, ça sonnait juste, parfaitement, c’était un chrétien! Cet homme était un saint de Dieu, absolument. J’ai pensé: «Frère, c’est très bien.»

57     Mais ce qui est bizarre, quand j’ai trouvé l’autre homme, c’était le contraire. Il vivait même avec une femme qui n’était pas sa femme. C’est exact. Et j’ai vu ça s’approcher de lui, une vision. Je me suis dit: «Oh! la la! ce n’est pas possible.» Et cet homme… Je me suis dit: «Bon, alors, cet esprit qui est parmi ces gens, il est mauvais. Un point, c’est tout.»

58     Alors, ce soir-là, quand les… je suis allé à la réunion, et les bénédictions descendaient, je priais Dieu, et le Saint-Esprit, l’Ange du Seigneur attestait qu’il s’agissait bien du Saint-Esprit. Et le même Esprit qui descendait sur cet homme-ci descendait sur cet homme-là. Et quand le Saint-Esprit descendait, ils se levaient tous les deux, et tous les deux ils poussaient des cris, ils hurlaient et ils louaient le Seigneur, ils parlaient en langues, ils dansaient. Je disais: «Je-je-je ne saisis vraiment pas, Seigneur. La… Je ne vois pas ça dans la Bible, que ça pourrait être juste.» Là, j’ai dit: «Peut-être que c’est moi qui suis séduit.» Voyez? J’ai dit… Maintenant, voici, je-je ne… Je suis-je suis strictement fondamentaliste pour ce qui est de la Bible. Il faut que ce soit Ceci. Voyez? J’ai dit: «Seigneur, Tu sais comment je suis, il faut que je-je le voie dans Ta Parole. Et je-je ne comprends pas. Voilà que le Saint-Esprit descend sur cet homme-ci, que le Saint-Esprit descend sur cet homme-là, et l’un d’eux est un saint, et l’autre est un hypocrite. Et je le sais.» Je le sais. Sans… J’aurais pu prendre cet homme à part et le lui prouver, ou le lui signaler sur les lieux, lui dire ce qu’il en était.

59     Comme j’aurais pu le faire à cet homme qui était assis ici, hier soir, qui n’était rien d’autre qu’un-qu’un imposteur, s’il y en a jamais eu un, assis là. Et j’aurais dû dénoncer la chose, mais il se serait levé et se serait mis à faire des histoires. Alors, j’ai simplement laissé tomber, parce que c’était la réunion, mais je savais qui c’était. Oui monsieur.
    Il y en avait un, deux, qui étaient assis au fond, l’autre soir, ils font partie d’une certaine église de la ville, ici. Des vrais critiqueurs! Je les ai vus. Mais, si on fait ça, c’est là que les ennuis commencent. Je l’ai fait bien des fois. Je les laisse faire, c’est tout. Ça ne fait rien. Dieu est au courant, c’est Lui le Juge. Qu’eux m’interpellent, une fois, et là vous verrez quelque chose se produire, vous voyez, que lui le fasse.
    Comme le démon, ce n’est pas moi qui ai appelé le démon à sortir. Il est simplement venu à moi et il m’a défié. C’est là que Dieu est entré en action, voyez-vous, c’est exact, et vous avez vu ce qui s’est passé. Très bien. Mais j’ai simplement laissé tomber. À la réunion, ça n’a pas été facile à cause de ça, parce que cet esprit était là, qui cherchait continuellement à m’attaquer, voyez-vous. Et, alors, j’ai simplement continué.

60     Mais, bon, ces hommes, je ne comprenais pas ça. Et c’est deux ans plus tard, ou trois, alors que j’étais à Green’s Mill, Indiana, ici, à la réserve scoute. Je m’étais retiré dans une vieille caverne, là où je vais pour prier. Et là, je disais «Seigneur, je ne comprends pas ce qui est arrivé à ce groupe de gens. Les gens les plus gentils que j’ai jamais rencontrés, de toute ma vie, et je-je ne comprends pas comment il pourrait s’agir là d’un mauvais esprit. Quand c’est… si, alors… Tu connais l’intégrité de mon cœur. Tu sais combien je T’aime, et comme je T’ai servi. Et ce même Esprit, qui est ici avec moi, était sur ces gens. Et Il était sur ce gars-là, même chose.» Alors, je ne comprenais pas.

61     Et le Seigneur est descendu, dans Sa miséricorde, et Il m’a montré. Voici ce qu’il en était. Il faut que ce soit Scripturaire, première chose. Il a dit: «Prends ta Bible.» Et j’ai pris ma Bible. J’ai dû tenir cette Bible pendant dix minutes, sans que personne… qu’aucune autre Parole ne vienne. J’ai simplement attendu quelques instants. Je L’ai entendu dire, de nouveau «Prends Hébreux 6, et commence à lire.» C’est ce que j’ai fait. Et arrivé au passage où il est dit: «La pluie tombe souvent sur la terre, pour l’abreuver et la préparer, l’apprêter pour ce qui… mais les épines et les chardons, qui sont près d’être rejetés, on finit par y mettre le feu.» Et c’est là que j’ai saisi.
    Je me suis dit: «Voilà ce que c’est. Grâces soient rendues à Dieu! Voilà ce que c’est.» Voyez?

62     Maintenant, Jésus a dit: «Un semeur est sorti semer des semences», n’est-ce pas? Bon, tous, vous êtes chrétiens, ici, - tout le monde a levé la main, en tout cas, - des pentecôtistes, des chrétiens nés de nouveau. Très bien. Ils… Et Il a dit: «Un semeur est sorti semer des semences. Et, pendant qu’il dormait…» Son repos, la mort, dans l’intervalle. Voyez? «Et, pendant qu’il dormait, un ennemi est venu semer de l’ivraie dans ce champ.» De l’ivraie, qu’est-ce que c’est? Des mauvaises herbes, des ronces, et tout. Bon. «Et quand le laboureur (le prédicateur) a vu pousser cette ivraie, il a dit: ‘Je vais aller l’arracher.’ Il a dit: ‘Non, non. Tu arracherais aussi le blé. Laissez-les croître tous deux ensemble.’»

63     Il y a un champ de blé ici. Il contient des plantes rampantes, des orties, de l’herbe aux sorciers, et tout le reste. Pas vrai? Par contre, là, il contient du blé. Maintenant, la pluie tombe souvent sur la terre, pour l’abreuver. Or, la pluie, c’est pour quoi? Pas pour arroser l’ortie. Maintenant regardez bien, et soyez attentifs. Pas pour arroser la plante rampante. La pluie est envoyée pour le blé, mais l’ortie et la mauvaise herbe sont tout aussi assoiffées que le blé. Et la même pluie qui tombe sur le blé tombe sur la mauvaise herbe. Et cette petite mauvaise herbe va se redresser, comme ça, tout heureuse et dans l’allégresse, tout autant que le petit blé va se redresser, lui-même se redresser.

64     «Mais c’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.» Voilà. Voyez? Or, le même Saint-Esprit peut bénir un hypocrite. Ça, c’en a sonné quelques-uns d’entre vous, les arminiens, mais c’est la Vérité. C’est la Vérité. On vous a enseigné la sainteté, et moi aussi j’y crois, à la sainteté. Mais le même Esprit, la pluie tombe sur les justes et sur les injustes, mais c’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.

65     Si je regarde, ici, et que je vais chercher du blé, je rapporte du blé, mais les mauvaises herbes, c’est tout attaché ensemble. Et elles vivent de la même pluie qui est tombée pour le blé. Et la pluie n’a pas été envoyée pour les mauvaises herbes, elle a été envoyée pour le Blé. Mais comme la pluie est dans le champ, que le blé est… que les mauvaises herbes sont dans le champ de blé, elles ont profité tout autant de la pluie que les autres. Et la même pluie qui a fait vivre le blé a fait vivre la mauvaise herbe.

66     Toutes les choses qui sont dans le naturel sont un type du spirituel, c’est ce que nous enseignons. Voilà ce qu’il en est, la démonologie, des démons qui imitent le christianisme, et qui reçoivent quand même la bénédiction. Ce n’est pas du lait écrémé, ça, les frères, si vous pouvez le recevoir. Voyez? Voyez? Maintenant, c’est-c’est la Vérité.

67     Alors, je ne suis pas sauvé, aujourd’hui, parce que je peux pousser des cris. Je suis sauvé, non pas parce que je me sens sauvé. Je suis sauvé parce que j’ai rempli les conditions que Dieu a posées dans cette Bible. Jésus a dit: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Je le crois. C’est exact. Et selon ces conditions, je suis sauvé, parce que Dieu l’a dit.

68     S’il me disait qu’on est sauvé parce que quelqu’un a dit «Un vent impétueux m’a cinglé le visage», c’est formidable, ça, mais je veux savoir d’où il est venu, ce vent impétueux, avant qu’il me cingle le visage, voyez-vous. Maintenant, quel genre de vie allez-vous mener, après que ce vent impétueux vous aura cinglé? Voyez? Voyez-vous, c’est à votre fruit qu’on vous reconnaît. Donc, les démons peuvent œuvrer au beau milieu des chrétiens. Le croyez-vous? Regardez Paul, Paul a dit…

69     Bon, c’est ici que la Pluie du Dernier Jour… S’il y en a ici, pardonnez-moi si je dis quoi que ce soit contre vous. Je ne dirais rien contre vous, pas plus que j’en dirais contre les Assemblées, ou n’importe qui, les baptistes, ou n’importe qui d’autre. C’est la Vérité qui est la Vérité. Où vous avez dévié, c’est ici: vous faites des prophètes de ces hommes, et de ceux qui ne sont pas prophètes. On n’est pas prophète parce qu’on nous a «imposé les mains» et envoyé. On naît prophète. Voyez? Dans la Bible, il y a un don de prophétie. C’est là que vous avez fait erreur, la différence entre le don de prophétie et un prophète. Le don…

70     Dieu, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, a parlé à nos pères à travers les prophètes, dans ces derniers jours à travers Son Fils, Jésus-Christ.» Et il y a neuf dons spirituels en action dans le Corps de Christ. Ça pourrait être sur cette femme-ci, ce soir, la prophétie, et il se pourrait que ce ne le soit plus jamais, de toute sa vie. Il se pourrait que ce soit sur cette femme-ci le lendemain soir. Il se pourrait que ce soit sur cet homme-ci la fois d’après. Il se pourrait que ce soit sur celui-là, là-bas, la fois d’après. Ça ne fait pas d’elle un prophète, ça ne fait de personne un prophète. C’est un don de prophétie en vous.

71     Et avant que cet homme ou, que cette prophétie puisse être donnée à l’église, elle doit être jugée en présence de deux ou trois juges spirituels. Pas vrai? Selon… Or, Paul a dit: «Vous pouvez tous prophétiser successivement.» Si celui-ci a une révélation, que celui-là se taise. Eh bien, dans ce cas, ils seraient tous prophètes, selon l’enseignement d’aujourd’hui Non, église pentecôtiste, on a tout mélangé. Et c’est pour cette raison que Dieu ne peut pas entrer, tant que nous n’aurons pas redressé et aligné la chose sur la Bible. C’est exact. Il faut trouver le bon sentier. Comment peut-on bâtir une maison sans regarder le plan? Voyez? Il faut prendre un bon départ.

72     Maintenant, là, un prophète, on n’a jamais vu personne se tenir devant Ésaïe, devant Moïse. Il y en a un qui s’est tenta devant lui, un jour, Koré et a cherché à contester avec lui, el Dieu a dit: «Séparez-vous, je vais ouvrir la terre.» On naît prophète. «Les dons et les appels… sans repentance.» C’est la prédestination de Dieu, dès le plus jeune âge. Tout était parfais constamment, exactement ce qu’il disait, c’était la vérité confirmée et mise en évidence. C’est la Parole de Dieu, qui vient au prophète. Mais un don de prophétie, c’est dans l’église.

73     Bon, vous dites: «Eh bien, les prophètes, c’est l’Ancien Testament.» Oh non! Il y a eu des prophètes dans le Nouveau Testament.

74     Agabus était un-était un prophète du Nouveau Testament. Regardez l’Esprit de prophétie qui est descendu là-bas, et qui a dit à Paul ce qu’il en était. Et puis, Agabus est arrivé de Jérusalem, il est allé trouver Paul, et il a attaché sa ceinture autour de lui, il s’est retourné et il a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, l’homme qui portait ceci sera lié de chaînes quand il arrivera à Jérusalem.» Agabus, qui s’est levé et qui a dit, prédit ce qui allait arriver, il était un prophète, et non un homme avec le don de prophétie.

75     Et le don de guérison et tous ces dons, mon ami pentecôtiste, vous avez tout mélangé. Les dons sont dans l’église, toute personne dans l’église y a accès, toute personne qui a été baptisée dans le Corps. «D’un seul Esprit nous Y sommes tous baptisés.» Et la Bible dit…
    «Eh bien, j’ai le don de guérison.»

76     Eh bien, la Bible dit: «Confessez votre faute l’un à l’autre, et priez l’un pour l’autre.» Que toutes les personnes prient les unes pour les autres. Nous ne sommes pas un groupe divisé; nous sommes un groupe collectif, réuni. Voyez?
    Bon, et c’est comme ça que parfois les démons vont s’y prendre pour agir.

77     Maintenant observez ce que Paul a dit: «Si quelqu’un parle en langues et que quelqu’un d’autre interprète, que ce qu’il a dit soit jugé avant-avant que l’église puisse le recevoir.»

78     Maintenant, ce ne sera pas une citation de l’Écriture, ou quelque chose comme ça. Dieu ne se répète pas. Mais ce sera un avertissement adressé à l’église. Alors, si de bons juges disent: «Recevons cela. Très bien, c’était du Seigneur.» Le deuxième dit: «Recevons-le.» Que par la bouche de deux ou de trois témoins, toute parole soit établie. Alors, l’église le reçoit, et on se prépare en conséquence. Si ce qui a été dit n’arrive pas, alors, vous avez un mauvais esprit parmi vous. C’est exact. Et si la chose arrive, alors remerciez Dieu, l’Esprit de Dieu est parmi vous. Voyez? Alors, c’est là qu’il faut bien surveiller et être prudent. Donc, ne cherchez pas à forcer les choses. Il n’y a rien que je puisse faire pour avoir les yeux bruns si j’en ai des bleus, voyez-vous, il faut que je me contente de mes yeux bleus. Maintenant, c’est là que les démons agissent dans la sphère des gens spirituels.

79     Maintenant nous entrons dans quelque chose de profond, ici, et j’espère que ce n’est pas trop profond. Maintenant, dans I Samuel 28, je veux maintenant lire un passage de l’Écriture, ici. Je voudrais que vous écoutiez attentivement. Et je veux traiter de «démons», vous montrer comment ils agissent au sein même de l’église, et que Satan a une contrefaçon de toutes les choses véritables qui existent. Or, vous pouvez voir, selon la Bible, que les démons viennent parmi les chrétiens et ils font des imitations.

80     Et souvent, nous avons affirmé que des gens étaient chrétiens quand ils disaient: «Je crois en Jésus-Christ.» Voyons, les démons croient la même chose, et ils tremblent. Ce n’est pas du tout signe que vous êtes sauvé. Un de ces soirs, je voudrais aborder l’élection, et là vous constaterez le vrai sens du salut. Voyez? Vous n’avez rien eu à y voir, ni au début, ni à la fin, ni rien que vous puissiez y faire du tout. Dieu sauve un homme, sans condition. Oh, ça, ça a frappé en profondeur, n’est-ce pas? Maintenant, autant sortir ça de votre système, pendant qu’on y est. Très bien.

81     Abraham a été le commencement de notre foi. Pas vrai? Oh, Abraham a reçu la promesse. Et Dieu a appelé Abraham, parce qu’il était un grand homme, je suppose? Non monsieur. Il est sorti de Babylone, du-du pays de la Chaldée, de la ville d’Ur, et Dieu l’a appelé et a fait Son alliance avec lui, sans condition. «Je vais te sauver. Et pas seulement toi, Abraham, mais ta Postérité», sans condition.

82     Dieu a fait une alliance avec l’homme, et l’homme rompt son alliance chaque fois. L’homme n’a jamais gardé son alliance avec Dieu. La loi n’a jamais été gardée. Ils n’arrivaient pas à garder la loi. Christ est venu et Lui-même a transgressé la loi. En effet, la grâce avait déjà fourni un Sauveur. Moïse avait fourni un moyen d’échapper, et ensuite, le moyen d’échapper, plutôt, et ensuite les gens, après, ils voulaient encore avoir quelque chose à y faire. L’homme cherche toujours à faire quelque chose pour se sauver lui-même, alors qu’on ne peut pas. C’est sa nature. Dès qu’il a constaté qu’il était nu, dans le jardin d’Éden, il a fait des ceintures avec des feuilles de figuier. Pas vrai? Mais il a constaté qu’elles ne feraient pas l’affaire. Il n’y a rien qu’un homme puisse faire pour se sauver lui-même. Dieu vous sauve, sans condition, tout au long de l’âge. Et alors, quand vous êtes sauvé, vous êtes sauvé.

83     Regardez Abraham. Cet homme était là, il était allé là-bas, et Dieu lui avait donné le pays de la Palestine et lui avait dit de ne pas le quitter. Tout Juif qui quittait la Palestine était rétrograde. Dieu lui avait dit de rester là. Si Dieu vous dit de faire quoi que ce soit, et que vous ne le faites pas, alors vous êtes rétrograde. Pas vrai? Bien, alors il y a eu une sécheresse, pour éprouver la foi d’Abraham. Et Abraham, au lieu de rester là, non, il n’a pas pu rester là, il a pris la fuite, il a pris Sara avec lui et il a fait environ trois cents milles [483 Km-N.D.T.], - j’aurais aimé avoir le temps de parler de ça, - jusque dans un autre pays.

84     Et quand il est arrivé là-bas, alors il y avait ce grand roi, là-bas, Abimélec. C’était un jeune homme, et il voulait avoir une petite amie, alors il a trouvé la femme d’Abraham, Sara, et il est tombé amoureux d’elle. Et Abraham a dit: «Maintenant, dis-lui que tu es ma sœur, et que je suis ton frère.»

85     Alors, Abimélec a été content de ça, alors il a dit: «Très bien, nous allons simplement l’emmener au château.» Et les femmes ont dû la préparer, il allait l’épouser le lendemain.

86     Abimélec était un brave homme, un homme juste. Et cette nuit-là, pendant qu’il dormait, le Seigneur lui est apparu et Il a dit: «Considère-toi comme un homme mort.» Il a dit: «Cet homme… La femme que tu te proposes d’épouser, là-bas, c’est la femme d’un autre homme.» Maintenant regardez bien. «La femme d’un autre homme.»

87     Mais, il a dit: «Seigneur, Tu connais l’intégrité de mon cœur», un homme juste, saint. «Tu connais l’intégrité de mon cœur. Cet homme m’a dit que c’était sa ‘sœur’. Ne m’a-t-elle pas dit elle-même, que c’était ‘mon frère’?»

88     Il a dit, Dieu a dit: «Je connaissais l’intégrité de ton cœur, et c’est pour cette raison que Je ne t’ai pas laissé pécher contre Moi. Mais c’est Mon prophète!» Alléluia!

89     Qu’est-ce qu’il était? Rétrograde, et un petit filou qui mentait. Pas vrai? Oh non, des petits mensonges pieux, ça n’existe pas. Ou bien ce sont des mensonges tout noirs, ou bien ce ne sont pas des mensonges du tout. Cet homme qui était là, il a carrément dit un mensonge, en disant que c’était sa «sœur», alors que c’était sa femme, il tournait autour du pot, et il était rétrograde.

90     Et ici, il y avait un homme juste, qui s’est tenu devant Dieu, et qui a dit: «Seigneur, Tu connais mon cœur.»

91     Mais Je n’écouterai pas ta prière, Abimélec, mais ramène-le… ramène-la-lui, et qu’il prie pour toi. Il est Mon prophète; lui, Je l’écouterai.» Oui, un rétrograde, un menteur, mais «C’est Mon prophète.» N’est-ce pas la Vérité? C’est la Bible.

92     Maintenant, n’allez pas trop loin avec ça, du côté calviniste «Une fois sous la grâce, toujours sous la grâce», parce que vous vous retrouverez dans la disgrâce. Voyez? Un petit instant, là, nous aurons le temps cette semaine de revenir là-dessus pour vous montrer que c’est bien tout à fait exact. Mais n’allez pas croire que juste parce que vous avez fait quelque chose de mal, que vous êtes fichu à tout jamais. Vous êtes un enfant de Dieu, vous êtes né de l’Esprit de Dieu, vous êtes des fils et des filles de Dieu, et les fruits en rendront témoignage eux-mêmes. Voilà.

93     Maintenant, nous voici installés dans le pays. Maintenant, je voudrais lire, ici, le verset 6.  
    Et Saül interrogea l’Éternel, et l’Éternel ne lui répondit pas, ni par songe, ni par l’urim, ni par un prophète.  
    Et Saül dit à ses serviteurs: Cherchez-moi une femme qui évoque les esprits, et j’irai vers elle, et je la consulterai.
    Je pourrais vraiment taper sur quelque chose ici, pendant seulement… «Cherchez-moi une femme qui évoque les esprits.»  
    …Et son serviteur lui dit: Voici, il y a à En-Dor une femme qui évoque les esprits.  
    Et Saül se déguisa et revêtit des vêtements, d’autres vêtements, et il s’en alla, deux… lui et deux hommes avec lui, et ils vinrent de nuit chez la femme. Et ils dirent: …-vine pour moi, je te prie, par un esprit, et fais-moi monter celui que je te dirai.  
    Et la femme lui dit: Voici, tu sais que Saül a fait, tu sais, il a retranché du pays tous les évocateurs d’esprits et… diseurs de bonne aventure; c’est pourquoi… dresses-tu un piège à mon âme pour me faire mourir?
    Et Saül répondit, lui jura par l’Éternel, disant L’Éternel est vivant, s’il t’arrive aucun mal…  
    Et la femme dit: Qui te ferai-je monter? Et il dit Fais-moi monter Samuel.  
    Et la femme vit Samuel, et elle poussa un grand cri; et la femme parla à Saül, disant: Pourquoi m’as-tu trompée? et tu es Saül!  
    Et le roi lui dit: Ne crains point, mais que vois-tu? Et la femme dit: Je… à Saül: Je vois des dieux qui montent de la terre.  
    Et il lui dit: Quelle était sa forme? Et elle dit: C’est un vieillard qui monte, et il est enveloppé d’un manteau. Et Sam-… (Évidemment, c’est ce manteau de prophète. Voyez?) …connut que c’était Samuel; et il se tint… et le visage contre terre et se prosterna.  
    Et Samuel dit à Saül: Pourquoi as-tu troublé mon repos et m’as-tu fait monter? Et Saül répondit, et dit Je suis dans une grande détresse; parce que les Philistins me font la guerre, et Dieu s’est retiré de moi, et ne me répond pas, ni par prophète, ni par songe; et je t’ai appelé pour me faire savoir ce que je dois faire.  
    Et Samuel dit: …pourquoi m’interroges-tu, quand l’Éternel s’est retiré de toi et-et qu’il est devenu ton ennemi?  
    Et l’Éternel a fait pour lui-même comme il me l’a dit, et l’Éternel a déchiré son royaume d’entre tes mains et l’a même donné à… David,

94     Maintenant, beaucoup d’entre vous, vous connaissez bien ceci. Maintenant nous voulons nous y mettre sans tarder, et que Dieu nous aide maintenant, pendant quelques instants, à nous pencher là-dessus. Maintenant observez. Il y avait un homme, Saül, qui était considéré, à un moment donné, comme un prophète, car il prophétisait avec les prophètes. Pas vrai, les enseignants? Maintenant, ici, l’homme était rétrograde. Pas vrai? Mais rappelez-vous où Samuel a dit qu’il serait: avec lui, le lendemain. Parti prématurément, voyez-vous. Très bien, si vous ne voulez pas écouter Dieu, Dieu vous ôtera de la terre.

95     Regardez, dans l’épître aux Corinthiens, là, comment Paul à mis ces gens en ordre. Il a dit: «D’abord, je rends grâce à Dieu à votre sujet, de ce qu’il n’y ait pas de telles choses parmi vous, et tout, et de-de ce qu’il ne vous manque aucun don spirituel.» Il leur disait ce qu’ils étaient, côté position, en Christ. Ensuite il est passé à l’attaque, les a corrigés, il leur a parlé de leurs femmes prédicateurs, et de ce qu’ils faisaient, et qu’ils mangeaient à la table du Seigneur.
    Et il y avait même un homme qui vivait avec sa belle-mère, et il a dit, quant à cet homme en Christ: «Livrez-le au diable pour la destruction de la chair, afin que l’âme soit sauvée.» Voyez-vous, c’est ça, livrez-le. La Bible dit: «C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre dorment», partis prématurément à cause du péché. Dieu vous a retiré du chemin; un bon signe que vous étiez un chrétien, si vous avez été retiré.

96     Alors, maintenant remarquez, ici, Saül était considéré comme l’un des prophètes, ou comme faisant partie des prophètes, parce qu’il prophétisait. Et là, il était rétrograde, parce qu’il avait désobéi à Dieu, et son royaume lui avait été arraché d’entre les mains, et avait été placé entre les mains de David, que Dieu avait oint par Samuel, avec la cruche d’huile.

97     Remarquez, à l’époque, il y avait trois moyens par lesquels ils pouvaient découvrir des choses de la part de Dieu; le premier était-était le prophète, le deuxième était un songe, et le troisième était l’Urim Thummim. Et aucun d’eux ne voulait répondre. Bon, vous savez ce qu’est un prophète, vous savez ce qu’est un songe spirituel, et vous savez ce qu’était l’Urim Thummim. Vous savez, l’autre jour, j’ai demandé à un-un homme quelque chose au sujet de l’Urim, et cet homme n’a pas pu me dire ce que c’était, l’Urim Thummim. Évidemment, c’était Dieu qui répondait par ces choses. Voyez?

98     Et le diable produit une contrefaçon de chacun: le devin, le faux prophète et le cristallomancien. Voyez?
    Or, l’Urim Thummim était accroché à la poitrine d’Aaron, ici, l’Urim Thummim la couvrait, des pierres. Et on l’accrochait dans le temple. Et quand ils n’étaient pas certains, ils allaient devant Dieu, pour la réponse, et une lumière brillait sur cet Urim Thummim, là, pour faire savoir si c’était la volonté de Dieu ou pas. Or, quand l’Urim Thummim ne répondait pas… Or, ça, c’était la réponse directe de Dieu.
    Maintenant, l’Urim Thummim d’aujourd’hui… le diseur de bonne aventure a pris une boule de cristal, pour imiter Cela; une fausseté. Dieu est dans une trinité; les pouvoirs de Dieu sont dans une trinité. Et le diable est dans une trinité, et ses pouvoirs sont dans une trinité. Et je peux le prouver par la Bible. Et cet Urim Thummim; c’est tout simplement la boule de cristal que le diable utilise aujourd’hui. Et le faux prophète, d’ici, d’aujourd’hui, celui que nous avons maintenant, c’était… Ou, la magicienne, ou le diseur de bonne aventure, là-bas, c’est ce qui a remplacé le prophète, du côté du diable. Vous voyez ce que je veux dire?

99     Bon, et puis, l’Urim Thummim, aujourd’hui, c’est cette Bible. Si quelqu’un a donné une prophétie ou un songe, et que ça ne concorde pas ou ne se reflète pas dans la Bible de Dieu, c’est faux. Ne le croyez pas.

100    Dernièrement, un homme est venu me voir, il vient de l’Inde, où je dois aller prochainement, un brave petit prédicateur. Il disait: «Frère Branham, je suis venu ici.» Il disait: «Une femme avait le Saint-Esprit, et», il disait: «c’était une femme tellement charmante, tellement gentille.» Il disait: «Et elle s’était mariée quatre fois, et elle vivait avec son quatrième mari. Et j’ai dit: ‘Eh bien, comment est-ce possible, Seigneur?’» Et il disait: «Je suis allé Le consulter, et j’ai dit ‘Oh, gloire à Dieu!’ J’ai dit: ‘Alléluia! Loué soit l’Éternel’!» Tout simplement ce genre de gars-là, vous savez. «J’ai dit: ‘Alléluia! Loué soit l’Éternel’!»Il a dit: «Le Seigneur m’a dit: ‘Voici, Je vais te donner un songe.’» Et il a dit: «J’ai rêvé que ma femme, je l’ai vue qui vivait en adultère. Et elle est revenue vers moi, et elle a dit: ‘Oh, veux-tu me pardonner, Victor? Veux-tu me pardonner? Je ne…’ ‘Voyons,’ j’ai dit: ‘bien sûr que je vais te pardonner et te reprendre.’» Il a dit: «Alors, c’est ce que j’ai fait.» Il a dit: «Voyez-vous, je pardonne.»

101     J’ai dit: «Victor, votre songe était bien beau, mais c’est le diable qui vous l’a donné.»
    Il a dit: «Comment ça?»

102     J’ai dit: «Il ne concorde pas avec la Parole de Dieu. Elle vit dans l’adultère. Absolument. Elle ne peut pas vivre avec quatre hommes. Exact. Si elle quitte celui-là et retourne à son premier, elle se retrouve dans une situation pire qu’au départ. Elle doit vivre seule jusqu’à la fin de sa vie.» J’ai dit: «Vous savez que ça ne concorde pas avec la Parole de Dieu. Alors son… Votre songe était faux.» J’ai dit: «Il ne concorde pas du tout avec Ceci.»

103     Et quand un prophète avait donné une prophétie, qu’ils l’avaient prononcée, et qu’on voulait voir si cette prophétie était vraie, ils la présentaient devant l’Urim Thummim. Et si la Voix de Dieu faisait briller les lumières sur l’Urim Thummim, alors c’était la Vérité absolue. Et si un homme donne une interprétation, donne un songe, donne quelque chose par rapport à la Bible, et, ou quoi que ce soit, et que ça ne concorde pas avec la Bible de Dieu, c’est faux. C’est ça l’Urim Thummim d’aujourd’hui. La Parole de Dieu parle, et c’est la Voix directe de Dieu, comme l’Urim Thummim l’était avant que la Bible ait été écrite. Amen! Alléluia! Je me sens pas mal religieux en ce moment. Ne me prenez pas pour un fanatique, si c’est ce que vous faites. Je sais, je sais où j’en suis. Je ne suis pas agité. C’est exact.

104     Voici la Vérité: la Parole de Dieu! Peu m’importe le genre de songe que vous avez eu, ou le genre de prophétie que vous avez donnée, si ce n’est pas la Parole de Dieu, c’est faux, si ça ne concorde pas avec cette Parole. C’est ça le problème aujourd’hui. L’un a un songe, l’autre a une vision, l’autre a une langue, l’autre a une révélation; c’est pour ça que c’est tout mélangé, et tout, si bien qu’on se retrouve avec des dénominations et de la division partout. Vous devriez ramener cela à un fondement final, et c’est la Parole de Dieu. C’est vrai.

105     Les églises se fondent sur l’un qui dit: «Oh, Jésus revient sur un cheval blanc. Je le sais. Je L’ai vu en vision.» Ils font une église de ce genre-là. «Oh, alléluia! Il revient sur une nuée.» Ils en font une de cette sorte. Ils se divisent, et se séparent, et se traitent mutuellement de «perchoir de buses», et de «repaire de poux», et de tout le reste. Voyons, frère, ça prouve, dès le départ, que votre cœur n’est pas droit devant Dieu, quand vous faites ça. C’est exact. Nous sommes frères. Nous devons nous soutenir les uns les autres. Nous avons besoin les uns des autres.

106     Maintenant regardez. Saül était rétrograde, et il est allé là-bas. Il… Dieu avait détourné de lui Sa face. Il est allé consulter les prophètes. Les prophètes sont allés, ils ont essayé de prophétiser, et Dieu a coupé, Il a refusé de donner une vision. Le prophète est ressorti, il a dit: «Je n’y peux rien. Non. Il ne m’a absolument rien dit à ton sujet.»

107     Eh bien, alors, il a dit: «Seigneur, donne-moi un songe.» Nuit après nuit, aucun songe n’est venu.

108     Ensuite il est allé devant l’Urim Thummim, et il a dit: «Ô Dieu! J’ai essayé par les prophètes, j’ai essayé par les songes, maintenant, aide-moi. Veux-Tu?» Il a coupé, aucune Lumière du tout n’a brillé.

109     Ensuite il a eu recours à une magicienne, vile, dégradée. Il est allé la voir, il s’est faufilé jusque là, il s’était déguisé. Et cette magicienne se présente là et fait monter l’esprit de Samuel.

110     Bon, je sais ce que vous pensez. Beaucoup ont dit: «Ce n’était pas Samuel.» Mais la Bible dit que c’était Samuel, et c’était Samuel. C’est bizarre comme on peut capter ça, n’est-ce pas? Mais c’était bien Samuel. La Bible le dit.

111     Et cette magicienne pouvait le faire monter, et elle a fait monter Samuel. Et Samuel était quelque part ailleurs, mais il était conscient de ce qui se passait, et il avait encore son manteau de prophète sur lui. Alors, frère, quand vous mourez, vous n’êtes pas mort, vous vivez quelque part, quelque part ailleurs.

112     Laissez-moi m’arrêter un petit instant, pour bien faire ressortir ce qu’il en est de la démonologie. Elle était un démon, mais elle était en contact étroit avec le monde des esprits. Maintenant, aujourd’hui, il y a beaucoup de spirites qui, en réalité, en savent plus sur le monde spirituel que les gens qui font profession d’être chrétiens, et pourtant elle est un démon. À l’époque de la Bible, c’était pareil.

113     Quand Jésus était ici sur terre, il y avait ces professeurs, ces érudits et ces docteurs, parmi les meilleurs, sortis des meilleurs séminaires, meilleurs que ce que nous pourrions produire aujourd’hui. Et c’étaient des hommes saints, des hommes de renom, forcément. Si quelqu’un était un Lévite, il devait être irréprochable, juste, sous tous les rapports. Et pourtant, cet homme-là ne connaissait pas plus Dieu qu’un lapin ne saurait ce que c’est que des raquettes à neige. Quand Jésus est venu, il ne L’a pas reconnu, et il a traité Jésus de «démon». Il a dit: «C’est Béelzébul, le prince du Démon.» Pas vrai?

114     Et un démon de la plus basse catégorie est arrivé, qui avait lié un homme, il demeurait dans les sépulcres, et tout, et ils se sont écriés. Le démon lui-même a dit: «Nous savons Qui Tu es. Tu es le Fils de Dieu, le Saint.» Pas vrai? Les magiciennes et les devins, les démons, ont reconnu qu’Il était le Fils de Dieu; alors que les prédicateurs instruits, des séminaires de théologie, ont reconnu en Lui Béelzébul. Lequel avait raison, le démon ou le prédicateur? Le démon. Et, frère, ça n’a pas beaucoup changé aujourd’hui. Ils ne reconnaissent pas la puissance de Dieu.

115     Peu importe combien d’enseignements vous avez reçus, vous aurez beau vous enfoncer ça dans le crâne. Dieu ne se trouve pas dans les grands mots. Dieu se trouve dans un cœur honnête. Vous aurez beau vous tenir ici, prononcer des grands mots comme je ne sais pas quoi, ce n’est pas ça qui vous rapproche de Dieu. Vous aurez beau vous tenir là, vous exercer à réciter votre sermon et à dire ces choses, ce n’est pas ça qui vous rapproche de Dieu. Vous aurez beau étudier les dictionnaires, au point d’en avoir un avec vous pour dormir, et encore là ce n’est pas ça qui vous rapprochera de Dieu. Un cœur humble, soumis, dans la simplicité voilà ce qui vous amène à Dieu. Et c’est vrai. Amen! Un cœur humble, voilà ce que Dieu aime. Or, peu importe que vous ne sachiez pas votre alphabet, ça n’y change rien, ça. Seulement un cœur humble! Dieu habite dans un cœur humble; pas dans l’instruction, pas dans les écoles, pas dans la théologie, les séminaires, pas dans tous ces autres lieux; pas dans les grands mots, ni dans ces lieux de la haute société. Dieu habite dans le cœur humain. Et plus vous pourrez vous abaisser, devenir simple, plus grand vous deviendrez aux yeux de Dieu.

116     Je vais vous apporter quelque chose. Je vois que vos champs sont pleins de blé, ici. Un épi de blé bien rempli se courbe toujours. Un petit brin se dresse, il s’agite dans tous les sens comme s’il savait tout, il n’a rien dans la tête. C’est pareil pour beaucoup de ces gars qui pensent qu’ils en ont beaucoup dans la tête, alors qu’ils n’ont rien dans le cœur. Ou, une tête sainte va se courber devant la Puissance, reconnaître que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, et croire à Ses œuvres.

117     «Et Il est le même hier.» Oh, ils Le reconnaissent, bien sûr, du point de vue historique. Mais il ne s’agit pas de quelque chose d’historique. Les gens se lèvent et disent: «Oh, je crois à la Pentecôte, quand ils ont eu cette grande effusion et ces choses-là», et ils vous peignent un feu. Un homme gelé ne peut pas se réchauffer à un feu peint. Un feu peint ne réchauffe pas. Ça, c’est ce qu’ils ont été. Qu’en est-il aujourd’hui, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement? Ça, c’est un feu peint. Un homme qui meurt de froid, et qui dit: «Regardez ce grand feu qu’ils ont eu.» Voyons, ça ne va pas vous réchauffer, ça.

118     Ce qu’ils ont fait à la Pentecôte, ce qu’ils avaient au début du Testament, nous l’avons aujourd’hui! Et dès que Dieu aura remis tout ça d’aplomb, et que l’Église aura été rassemblée dans l’unité, l’Enlèvement aura lieu. Mais nous n’arrivons même pas à avoir la foi pour la guérison Divine, encore moins pour l’Enlèvement, parce que nous sommes tous dans la confusion, un comme ceci, l’autre comme cela. «Le docteur Untel a dit que C’était ceci. Eh bien, mon prédicateur a dit qu’Il était Ceci.»

119     Il y a quelque temps, une femme disait: «Il n’est qu’un imposteur.» Elle disait: «Mon prêtre me l’a dit.» J’aimerais bien que son prêtre se présente ici une fois, on verrait qui est l’imposteur. Oui. On verra qui est l’imposteur. Venez donc essayer.

120     Il n’y a pas longtemps, ici, à Harlingen, au Texas, nous faisions une réunion là-bas. Et ils avaient placé des grandes affiches un peu partout sur les voitures ce soir-là, quand je suis arrivé là, ils disaient que le FBI était là pour me dénoncer, montrer que j’étais un imposteur. Alors, une jeune fille avait été guérie quelque part au Texas, là-bas. Elle, c’était complètement au nord, et, je-je pense, à environ mille milles [1600 km-N.D.T.], complètement au nord, près de Panhandle. Et ici, on était complètement au sud, à Harlingen, à la frontière. Frère Baxter est venu me dire: «Frère Branham,» il a dit, «vous n’avez jamais vu un micmac pareil, là-bas, il y a environ quatre ou cinq mille personnes.» Et il a dit: «Et puis, tout autour, il y a le FBI qui a l’intention de vous prendre en défaut, sur l’estrade ce soir, et de vous dénoncer.»
    J’ai dit: «Eh bien, je suis vraiment content de ça.»

121     Il a dit: «Vous vous souvenez de la jeune fille qui a été guérie l’autre soir?»

122     Je rentrais de… je retournais à ma chambre. J’ai entendu quelqu’un qui pleurait, et j’ai regardé autour de moi. J’ai pensé que c’était peut-être quelqu’un qui avait été attaqué. C’était une jeune fille. J’ai regardé derrière moi. J’ai dit… Je suis revenu sur mes pas, j’ai dit: «Qu’est-ce qu’il y a, madame?» Et c’étaient deux jeunes filles, qui avaient toutes les deux environ dix-sept, dix-huit ans, elles étaient là, dans les bras l’une de l’autre, elles pleuraient.

123     Elle a dit: «Frère Branham!» C’est là que j’ai vu qu’elles me connaissaient. Elle a dit: «Nous… je lui ai fait faire tout le voyage jusqu’ici.» Elle a dit: «Elle doit aller à l’hôpital psychiatrique.» La jeune fille avait été à ma réunion là-bas, à Lubbock, au Texas. Et elle a dit: «Je savais que si j’arrivais à l’emmener jusqu’ici, et que vous priiez pour elle, je crois que Dieu la guérirait.»

124     Eh bien, j’ai pensé: «Quelle foi!» Et j’ai dit: «Bon, eh bien, sœur, est-ce que vous pouvez…» Et au même moment, j’ai dit «Vous êtes venue jusqu’ici dans un roadster jaune, n’est-ce pas?»
    Elle a dit: «Oui!»
    Et j’ai dit: «Votre mère est invalide.» Elle a dit: «C’est exact.»
    J’ai dit: «Vous êtes membre de l’église méthodiste.» Elle a dit: «C’est exactement la vérité.»

125     Et j’ai dit: «Quand vous étiez en route pour venir, votre voiture a presque capoté. Vous et cette jeune fille, vous riiez au moment où vous êtes passées quelque part où c’était moitié en béton et moitié en asphalte, et vous preniez un virage.»
    Elle a dit: «Frère Branham, c’est la vérité!»
    J’ai dit: «Et, AINSI DIT LE SEIGNEUR, la jeune fille est guérie.»

126     Le lendemain, elle était en feu, elle le disait à tout le monde en ville, elle en parlait partout. Évidemment, là-bas ils ne la connaissaient pas, ils ne savaient pas si elle avait déjà été dans cet état-là ou pas. Et alors, ce jour-là, je… Frère Baxter m’a dit: «Frère Branham,» il a dit, «ces jeunes filles sont là-bas, en train de faire leurs bagages.» Et il y a une chose qu’il ne savait pas, que moi je savais. Notre situation financière était au plus bas. Je ne permettais jamais qu’il en parle. Mais une de ces jeunes filles avait mis neuf cents dollars dans la-dans l’offrande le soir d’avant, ce qui avait rétabli notre situation financière. Or, il ne le savait pas, jusqu’à aujourd’hui, il ne le sait pas, mais moi je le savais. Voyez? Que je… Dieu m’avait dit que tout irait bien.

127     Et Frère Baxter disait: «Frère Branham,» il disait, «vous devriez me laisser faire un peu de sollicitation.» Il disait: «Ils ont eu de ces guérisseurs Divins ici, qui ont vraiment sollicité ces gens.»

128     J’ai dit: «Rien à faire. Non monsieur. Vous ne ferez pas ça. Frère Baxter, le jour où vous solliciterez les gens pour obtenir de l’argent comme ça, ce sera le moment où vous et moi, nous nous serrerons la main comme frères, je ferai cavalier seul. Voyez?» J’ai dit: «Vous ne ferez pas ça.» J’ai dit: «Dieu possède le bétail de mille collines, et tout Lui appartient. Je Lui appartiens. Il va prendre soin de moi.»
    Il a dit: «Très bien.»

129     Et le même soir, il a dit: «Frère Branham, regardez ici. Quelqu’un… Regardez ici! Il y a une enveloppe ici, il n’y a pas de nom dessus, elle contient neuf billets de cent dollars. Exactement le montant qu’il nous faut pour nous remettre à flot.»
    J’ai dit: «Frère Baxter.»
    Il a dit: «Pardonnez-moi.»

130     Et, donc, moi je savais que c’était cette jeune fille. Et, donc-donc, le lendemain, Frère Baxter a dit: «Frère Branham, elles sont là-bas, en train de faire leurs bagages, elles pleurent.»
    J’ai dit: «Qu’est-ce qu’il y a?»
    J’ai dit: «Vous feriez mieux d’aller les voir.»

131     Je me suis rendu jusqu’à la chambre où elles étaient. J’ai dit: «Elles sont dans quelle chambre?» J’y suis allé et j’ai frappé à la porte. Je les entendais qui pleuraient. J’ai frappé à la porte, et la jeune fille est venue à la porte, elle a dit: «Oh, Frère Branham, je suis vraiment désolée.» Elle a dit: «C’est à cause de moi que vous avez tous ces ennuis.»
    J’ai dit: «Ennuis? Qu’est-ce qu’il y a, sœur?»
    Elle a dit: «Oh, c’est à cause de moi que le FBI est à vos trousses.»
    Et j’ai dit: «Oh, vraiment?»

132     Elle a dit: «Oui.» Elle a dit: «J’ai dû témoigner trop fort, en ville aujourd’hui, et tout.»
    J’ai dit: «Non.»

133     Et elle a dit: «Frère Branham, le FBI est là-bas, il est là, ils ont l’intention de vous dénoncer ce soir.»

134     J’ai dit: «Eh bien, si je-si je fais quelque chose de mal, il faut qu’on me dénonce. Voyez?» «J’ai dit: «Bien sûr. S’il faut dénoncer la prédication de l’Évangile, eh bien, faisons-le. Voyez?» J’ai dit: «Je-je-je vis selon cette Bible, et ce que cette Bible ne dit pas… Voici ma protection, juste ici. Voyez?» Et j’ai dit, et il…
    Elle a dit: «Eh bien,» elle a dit, «je suis vraiment désolée d’avoir fait ce que j’ai fait.»
    J’ai dit: «Vous n’avez rien fait, sœur.»
    Elle a dit: «Eh bien, vous n’avez pas peur d’aller là-bas?» Et j’ai dit: «Non.»
    Elle a dit: «Eh bien, le FBI est là.»

135     J’ai dit: «Eh bien, ils sont déjà venus à ma réunion auparavant, et ils ont été sauvés.» J’ai dit: «M. Al Ferrar…»

136     Le capitaine Al Ferrar, beaucoup d’entre vous sont au courant de sa conversion, là-bas à Tacoma, dans le Washington, il a été sauvé en plein stand de tir. Il est venu à la réunion, il a dit: «J’ai suivi cet homme pendant deux ans. J’avais entendu parler des finances, et j’y ai regardé de près, j’ai tout examiné, partout.» Et il a dit: «C’est la Vérité vous n’écoutez pas un fanatique, ce soir, vous écoutez la Vérité.» Il a dit: «Un des hommes de la police, j’ai fait examiner son enfant par un médecin et je l’ai fait passer dans la ligne de prière,» et il a dit, «il a été dit à l’enfant exactement ce qui n’allait pas chez lui, et ce qui lui était arrivé. Il a dit: ‘Dans huit jours, il retournera à l’école, un cas de polio.’» Et il a dit: «Le huitième jour, le petit est retourné à l’école.» Il a dit: «Je l’ai suivi pendant deux ans», devant dix mille personnes. C’est là, tout… Il y a une photo de ça, la réunion de Seattle, dans-dans le livre que vous avez. Il a dit: «Je veux que vous sachiez tous que vous n’écoutez pas un charlatan religieux. Vous écoutez la Vérité.» Le capitaine Al Ferrar. Et le lendemain, je l’ai conduit à Dieu, et il a reçu le baptême du Saint-Esprit, dans un stand de tir, au-dessous d’un grand édifice, là-bas.
    J’ai dit: «Peut-être que ce gars-là va faire pareil.»
    Alors, elle a dit: «Avez-vous peur d’aller là-bas?»

137     J’ai dit: «Peur? Mais certainement pas. Certainement pas. Pourquoi aurais-je peur, alors que c’est Dieu qui m’a envoyé faire ça? C’est Lui qui livre le combat, pas moi.» Alors, j’ai dit «Maintenant, je veux que vous restiez tous à l’écart.» Et alors…

138     Nous sommes allés à la réunion ce soir-là, la salle était pleine à craquer. Et le concierge, là, est venu me dire «Révérend Branham, j’ai engagé dix enfants mexicains.» Il a dit: «Regardez ça: ‘Le révérend Branham sera dénoncé ce soir par le FBI, un fanatique religieux’», ou quelque chose comme ça. Et il a dit: «C’est affiché sur toutes ces voitures. Arracher…» Il a dit: «J’ai engagé dix petits enfants mexicains, ils vont tout arracher ça et mettre ça ici.» Il a dit «Oh, j’ai envie de lui mettre la main au collet, à ce gars-là!»

139     J’ai dit: «Ne vous en faites pas, monsieur. Dieu lui mettra la main au collet, voyez-vous.» J’ai dit: «Laissez-le simplement faire.»

140     Donc, il est venu me voir. Et ce soir-là, quand nous sommes arrivés, je ne l’oublierai jamais, je suis entré dans la salle. Je… Frère Baxter a chanté Crois seulement. Il a dit «Maintenant, Frère Branham a dit que ce soir nous devions quitter le bâtiment.» Il a dit: «Je vais aller au fond, là-bas, m’asseoir.» Il a dit: «On se prépare à le dénoncer ce soir, ici sur l’estrade.» Il a dit: «Je l’ai vu au milieu de bien des rudes combats, et j’ai vu Dieu venir prendre sa place.» Il a dit «Je-je vais tout simplement aller là-bas m’asseoir.»

141     Je me suis avancé. J’ai dit: «Je viens de lire un petit article, ici, qui disait qu’on allait me dénoncer ce soir, sur l’estrade, ici.» J’ai dit: «J’aimerais que les agents du FBI s’avancent maintenant et montent me dénoncer ici sur l’estrade.» J’ai dit «Je suis ici pour défendre l’Évangile; j’aimerais que vous veniez me dénoncer.» J’ai attendu. J’ai dit: «Peut-être qu’ils ne sont pas encore arrivés.» Je savais où j’en étais. Il m’avait déjà montré, là-bas dans ma chambre, ce qui allait arriver, avant que je parte, vous voyez. Et j’ai dit, j’ai dit: «Peut-être que je vais attendre un peu. Est-ce qu’on pourrait chanter un cantique?» Et quelqu’un est monté et a chanté un solo.

142     J’ai dit: «Monsieur l’agent du FBI, êtes-vous à l’intérieur ou à l’extérieur? J’attends qu’on me dénonce. Voulez-vous vous avancer?» Personne n’est venu. Je cherchais à savoir où c’était. Le Seigneur m’avait dit ce qu’il en était. C’étaient deux prédicateurs rétrogrades, et je-j’observais. J’ai vu une ombre noire suspendue dans le coin. J’ai su où c’était. J’ai regardé dans cette direction, et elle est montée et est allée au balcon, comme ceci. Un homme avec un complet bleu, et un avec un complet gris.

143     J’ai dit: «Mes amis, il n’y a pas de FBI. Qu’est-ce que le FBI a à voir dans la prédication de la Bible?» J’ai dit «Certainement pas. Ce n’était pas deux agents du FBI venus pour me dénoncer. Mais, voici ce qu’il y a à dénoncer, ils sont assis là-haut, ces deux prédicateurs, là-bas.» Et ils se sont accroupis. J’ai dit: «Ne vous accroupissez pas, comme ça.» Et deux grands Texans voulaient monter là-haut et leur mettre la main au collet. J’ai dit: «Non, frères, la chair et le sang n’ont rien à voir dans cette affaire, restez bien tranquilles. Dieu va s’occuper de la chose.»

144     J’ai dit: «Maintenant, frères, regardez, pendant que vous êtes là-haut, regardez par ici.» J’ai dit: «Si… Vous avez dit que j’étais Simon le magicien, que je pratiquais la sorcellerie, que j’ensorcelais les gens.» J’ai dit: «Si je suis Simon le magicien, alors vous êtes l’homme de Dieu. Maintenant descendez et venez ici sur l’estrade. Et si je suis Simon le magicien, que Dieu me foudroie. Et si je suis le prophète de Dieu, venez ici, et que Dieu vous foudroie. Maintenant nous allons voir lequel est le vrai et lequel est le faux. Maintenant venez donc ici. Nous allons chanter un cantique.» Ils sont sortis du bâtiment, et on ne les a jamais revus. Voyez? J’ai dit «Venez donc. Si je suis Simon le magicien, que Dieu me foudroie. Et si je suis le prophète de Dieu, alors Dieu vous foudroiera, quand vous viendrez sur cette estrade. Si je suis dans le vrai devant Dieu, Dieu vous fera mourir sur cette estrade.» Ils s’en sont bien gardés. C’est exact. Ils s’en sont bien gardés. Ils avaient entendu parler de ce qui s’était passé à d’autres endroits. C’est exact. Alors n’allez jamais penser que Dieu n’est plus Dieu. Il répond.

145     Donc, cette magicienne d’En-Dor, elle a fait monter l’esprit de Samuel. Et Saül a parlé à Samuel. Bon, vous allez peut-être vous demander comment cela a pu se faire. Cela ne peut pas se faire aujourd’hui. Non monsieur. En effet, le sang des taureaux et des boucs, c’était seulement en attendant le moment de l’accomplissement. À cette époque-là, quand un homme mourait… Les prédicateurs, appuyez-moi si vous pensez que C’est exact. Quand un homme mourait, il mourait sous l’expiation d’un animal, et son âme allait au Paradis. Et c’est là qu’il restait, jusqu’à, jusqu’au-jusqu’au Jour de la Rédemption. Et son âme se trouvait là.

146     Je vais vous brosser un petit tableau, ici. Combien ont lu mon article, ou l’article qu’ils ont écrit à mon sujet, dans le Reader’s Digest, là, peut-être le numéro d’octobre ou de novembre? Très bien. Avez-vous remarqué comment ça s’est passé? Avez-vous remarqué, environ deux ou trois semaines avant, il y a eu ce grand médium réputé, celle qu’on met à l’épreuve depuis très, très longtemps, Mme Pepper. Est-ce que quelqu’un a lu ça, l’article sur Mme Pepper dans le Reader’s Digest? C’est bizarre, n’est-ce pas, comme ces deux esprits…

147     Il me reste combien de temps? Rien qu’un peu. Il est et vingt; il va vraiment falloir que je me dépêche. Je sais que vous avez… Regardez, excusez-moi une minute.

148     Vous savez, il y a-il y a le faux. Il y a un vrai et un faux dans tout. Si je vous donne un dollar et que je dis: «Est-ce que ce dollar est bon?» Vous le regarderiez, il faudrait qu’il ressemble pas mal à un vrai dollar, sinon vous ne le croiriez pas. Pas vrai? Alors, il faudra vraiment que ce soit une bonne imitation.

149     Et si Jésus a dit que les deux esprits dans les derniers jours seraient tellement proches que cela séduirait même les Élus si c’était possible, les gens religieux. Maintenant souvenez-vous. Or, il n’y a rien là-bas, dans ces vieilles églises froi-… for-… froides, formalistes. Au dehors, tout ce qu’ils ont c’est l’apparence de la piété, vous voyez. Mais ces deux esprits, les vrais esprits, allaient être tellement proches que cela séduirait même les Élus, comme ils œuvreraient côte à côte dans les derniers jours. Est-ce que Jésus l’a dit? Il l’a dit.

150     Maintenant regardez bien, mes amis, je vais vous brosser un petit tableau. Je voudrais que vous regardiez ici un petit instant. Et accordez-moi toute votre attention, parce que je vais vous apporter une parabole, et à ce moment-là vous verrez ce qu’il en est.

151     Maintenant, dans le Reader’s Digest, il était écrit là, j’étais là-bas, avec deux mille sept cents personnes qui attendaient qu’on prie pour elles, là-bas. Lisez l’article. Et un homme est venu du Canada, il avait un petit garçon qui était allé chez les Mayo et chez John Hopkins, à cause d’une maladie cérébrale grave, ses petites mains étaient recroquevillées comme ceci, et ses jambes recroquevillées sous lui. Et ils avaient dit: «Il n’y a même pas d’opération, ni rien qu’on puisse faire.»

152     Alors, il l’a ramené au Canada. Il a dit: «Je ne m’avoue pas encore vaincu.» Procurez-vous le numéro de novembre du Reader’s Digest, et ça s’appelle le-le-le Miracle de Donny Morton. Et-et alors, il était dit que, dans cet article, que cet-que cet homme a dit: «Je ne m’avoue pas encore vaincu, parce que je connais quelqu’un qui guérit par la foi, du nom de William Branham, grâce à qui deux de mes amis qui étaient sourds et muets parlent et entendent.»

153     Ils ont téléphoné pour essayer de voir où j’étais, si j’étais encore quelque part en-en Amérique. Et j’étais à Costa Mesa, en Californie. Et cet article-là, quand vous le lirez, préparez-vous à pleurer. Ça va vraiment vous briser le cœur. Comment il a traversé des rafales de neige, et tout le reste, avec ce petit! Il disait: «Attention, Donny.» Il disait: «Allons, nous ne sommes pas vaincus.» Et le petit garçon, c’était tout juste s’il arrivait à sourire, tellement il était affligé. Il disait: «Nous ne sommes pas vaincus, nous allons demander à Dieu. Nous allons nous adresser au prophète de Dieu et lui demander.»

154     Et, donc, ils ont affronté la neige. Et ils sont finalement arrivés là-bas, et la mère devait venir avec eux, mais comme ils n’avaient pas assez d’argent pour se rendre en avion, ils ont renvoyé la mère. Et le garçon et son papa ont été obligés de venir en autocar, et là ils ont fait tout le trajet de Winnipeg, au Canada, jusqu’à Costa Mesa, en Californie. Et ils sont arrivés là-bas, fauchés, et le père raconte comment il devait changer les couches du petit, un petit garçon d’environ sept ou huit ans, complètement impotent. Et comment il… n’arrivait pas à manger, ni rien, et il disait que son petit garçon pouvait seulement l’entendre parler. Et il pouvait voir, par son regard, qu’il-qu’il essayait de sourire, vous savez. Et il savait qu’il… Il lui décrivait différentes choses qu’il voyait, en Amérique.

155     Et quand ils sont arrivés là-bas, en Californie, ils ont raconté au service d’aide aux voyageurs ce qu’il était venu voir. Il a dit «Venu voir un Divin quoi?» Avec un gros point d’interrogation.

156     Évidemment, vous vous imaginez un peu ce que l’Amérique en a dit, vous voyez. Voyez-vous, ça, c’est nous, voyez-vous «Nous, on est tellement intelligents! On sait tout, vous savez, et on n’a pas besoin de nous dire quoi que ce soit. Pour nous, c’est déjà tout classé.» Voyez?

157     Et alors, donc: «Un Divin quoi? Vous avez fait tout le trajet depuis Winnipeg, au Canada?» Voyons, ils trouvaient ça affreux.

158     Enfin, le journal a préparé une-une voiture pour l’envoyer là-bas. Et il a dit que quand ils sont arrivés à l’endroit où se formait la ligne, il a dit que deux mille sept cents personnes attendaient qu’on prie pour elles. Mais, il a dit, quand ils ont vu ce garçon tout petit, difforme, et ce pauvre père avec son bonnet sur la tête, son manteau en lambeaux, il a dit, tout le monde s’est écarté et lui a cédé sa place. Quand il est arrivé sur l’estrade…

159     C’est contraire aux règlements de faire un transfert de carte de prière. La personne doit venir à la réunion et se procurer sa propre carte. Si jamais on découvre que vous êtes dans la ligne et qu’il y a eu transfert de carte de prière avec quelqu’un d’autre, la carte de prière est annulée. Voyez? En effet, vous devez venir entendre les directives et savoir comment recevoir cela. C’est à vous d’y voir. Vous ne pouvez pas venir la chercher pour quelqu’un d’autre. Vous devez venir la chercher vous-même, pour que vous entendiez. Quelque personnage important qui dirait: «Si… Eh bien, je ne crois pas beaucoup à ça. Mais peut-être que s’Il me guérissait, je…» Vous voyez? Et alors, avec ça on a des histoires sur l’estrade, alors ils éliminent tout simplement la chose avant d’en arriver là.

160     Alors, quand le garçon s’est avancé, ou, que le père s’est avancé pour venir sur l’estrade avant les autres, Billy lui a demandé sa carte de prière. Il n’en avait pas. Il a dit: «Dans ce cas, je suis désolé, monsieur.» Il a dit: «Vous devrez attendre.»

161     Il a dit: «Très bien.» Il a dit: «J’attendrai.» Il a dit: «Je vais simplement passer à mon tour, comme les autres, dans ce cas.» Il a dit: «Je ne savais pas que je devais faire ceci.»

162     Et alors je parlais à quelqu’un, et je me suis trouvé entendre. J’ai vu le père qui repartait, et j’ai dit: «Qu’est-ce qu’il y avait?»
    Il a dit: «Il n’avait pas de carte de prière.»
    Et Quelque Chose m’a dit: «Ramène-le.»

163     Alors, j’ai dit: «Amène-le ici.» Le père s’est avancé, les larmes coulaient sur son visage, il avait besoin d’un rasage. Et il-il s’est approché, et voici ce que le Reader’s Digest disait. Voyez? Je n’ai posé aucune question, mais j’ai regardé le petit bien en face, et j’ai dit au petit d’où il venait, qu’il était allé à la clinique Mayo, et tout ce qui n’allait pas chez lui, combien il avait été malade, et tout.

164     Et alors, le père s’est mis à pleurer, et il allait repartir. Ça disait, comme il allait descendre de l’estrade, il s’est retourné et il a dit: «C’est exact, monsieur.» Il a dit: «Mais est-ce que mon petit pourra jamais en réchapper?»

165     J’ai dit: «Ça, je ne sais pas.» J’ai dit: «Un petit instant.» Une vision est apparue devant mes yeux. J’ai dit: «Vous ne voudrez pas le croire, vu que tous les deux, Mayo et Hopkins, ils ont dit que cette opération ne pouvait pas être pratiquée au cerveau, mais je vais vous dire quoi faire. Vous, demain, repartez tout simplement avec le petit. D’ici trois jours, vous rencontrerez dans la rue une femme aux cheveux noirs, et cette femme va vous demander ce qui ne va pas chez le petit. Ensuite, elle va vous parler d’un petit médecin de campagne, ici, qui peut pratiquer cette opération, et vous ne voudrez pas le croire, vu que Mayo l’avait refusé et avait dit que ‘ce n’était pas faisable’. Mais c’est la seule possibilité qu’il y a pour votre petit: par la puissance de Dieu, la miséricorde de Dieu et cette opération. Maintenant, si vous croyez que je suis Son prophète, allez, faites ce que je vous dis.» Comme d’appliquer les figues sur Ezéchias, et ainsi de suite.
    Il a dit, il s’est retourné et il a dit: «Merci.» Il est descendu de l’estrade.

166     Deux jours ou plus avaient passé; un jour qu’il était dans la rue, une dame s’est approchée, elle a dit: «Qu’est-ce qui ne va pas chez votre petit?»

167     Il a dit: «Il a une-une maladie cérébrale.» Et il parlait comme ça, tout bonnement. Et, eh bien, ils-ils se disaient que c’était très grave, vous savez.

168     Alors, il a dit qu’au bout de quelques minutes, il s’est passé quelque chose. Elle a dit: «Monsieur, je connais quelqu’un qui peut faire cette opération.»

169     Il a dit: «Madame, écoutez, les Frères Mayo ont abandonné son cas, et ils ont dit que ce n’était pas faisable.» Il a dit: «Un homme, ici, a prié pour lui, il s’appelle Frère Branham.» Il a dit «Il a fait une prière pour le petit.» Il a dit: «Une minute! Elle a les cheveux noirs, elle porte un deux-pièces gris.» Il a dit «C’est elle.» Il a dit: «Où est ce médecin?» Et il lui a dit. Il l’a emmené là-bas et le médecin a pratiqué l’opération, le petit s’est rétabli.

170     Or, cela a été publié dans le Reader’s Digest, vous voyez. Et les Frères Mayo m’ont fait venir pour un entretien à ce sujet. Ils ont dit: «Révérend Branham, qu’est-ce que vous avez fait à ce petit?»

171     J’ai dit: «Rien. Je ne lui ai même pas touché. J’ai seulement dit ce que Dieu m’a dit de lui dire. L’homme a obéi.»

172     Or, le plus drôle, c’est que deux semaines plus tard, ou deux semaines auparavant, ou trois, dans le Reader’s Digest, peut-être un mois avant, l’article sur Mme Pepper a été publié. Or, elle, c’est une magicienne véritable, ou un médium. Or, il y en a une vraie, et il y a quelqu’un qui en fait une imitation. Cette femme, c’est depuis 1897 qu’elle est là. Elle a plus de cent ans maintenant, à New York, les deux… sourde comme un pot. Le Reader’s Digest, procurez-vous… Je pense que celui-là a été publié environ deux mois, ou un mois avant le mien; vous pourrez le trouver, au début de l’automne. M. Baxter l’avait ici, l’autre jour. Si j’y avais pensé, je lui aurais demandé… ou si j’avais su que j’allais dire ceci, je-je l’aurais apporté aussi. Je peux vous le trouver. Et c’était un article d’environ douze ou quatorze pages. Elle n’était qu’une simple ménagère. Et un jour, elle est entrée en transe pendant qu’elle était souffrante, et elle s’est mise à parler aux morts. Et cette femme, ils l’ont fait venir tout autour du monde, partout. Ils l’ont emmenée en Angleterre. Ils lui ont même fait changer de vêtements, et bien des fois, pour voir si quelque chose leur aurait échappé, ou quoi, et ils sont allés là-bas, et ils ont déguisé quelqu’un, en lui mettant un masque sur le visage, un Grec, et il faisait semblant d’être Anglais. Et elle lui a dit tout ce qu’il en était. Et il-il-il voulait faire revenir un de ses compagnons qui était mort.

173     Maintenant, la seule chose qu’elle… Tout autour du monde, et c’est ici dans le Reader’s Digest, il est dit, là, qu’il y a quelques soirs, ou quelques mois, une chose de ce genre a été dévoilée. Un homme dont on prétendait qu’il avait baisé la main spectrale de sa mère, et le lendemain il a été prouvé au tribunal de police que tout ce qu’il avait baisé, c’était un morceau de mousseline à fromage. Beaucoup de gens qui se font passer pour médiums! C’est tout simplement, ces genres de petits liseurs qui s’installent au bord de la rue, eux, en fait, ce ne sont pas des médiums du tout. Ce n’est rien d’autre que des faux, des imitateurs. Mais il existe un vrai médium.

174     Parmi nous aussi, les gens religieux, il y a beaucoup d’imitateurs, c’est des deux côtés. Maintenant restez bien tranquilles pendant quelques instants.

175     Maintenant remarquez, cette Mme Pepper, c’est un vrai médium. Et le magazine disait: «Voici une chose qu’on peut affirmer avec certitude, c’est que lorsqu’un homme meurt, il n’est pas mort. Il est vivant quelque part, puisque cette femme fait revenir son esprit, et elle parle à ces gens.»

176     «Alors, qu’est-ce qu’elle fait, Frère Branham? Y croyez-vous?» Oui monsieur. La Bible le dit, c’est pour cette raison que j’y crois. Et elle est du diable. Le spiritisme, c’est une ruse du diable. Maintenant remarquez, maintenant observez-les, tous les deux.

177     Après ça, vous auriez dû voir le tas de lettres qui me sont arrivées de partout, quand mon article a suivi le sien. C’est bizarre, n’est-ce pas, que juste avant la fin du temps, Dieu ait parlé de ces choses? Et le Reader’s Digest est publié dans toutes les langues sous le ciel. Voyez? Remarquez, c’est bizarre, n’est-ce pas, qu’ils aient paru l’un après l’autre?

178     Alors les lettres sont arrivées, ça disait: «Frère Branham, c’est la preuve que vous n’êtes qu’un médium.» Ils disaient «C’est la preuve. Regardez, vous avez dit à cette femme où elle allait retrouver… Regardez celle-ci, cette femme?»

179     J’ai dit: «Attendez un instant.» J’ai rédigé une lettre officielle (excusez-moi) que j’ai envoyée aux gens. J’ai dit «Comme vous en connaissez peu, vous les prédicateurs.» J’ai dit: «Au lieu de baptiser votre corps, c’est votre cerveau qui aurait besoin d’être baptisé.» C’est exact. «Vous ne vous arrêtez pas pour réfléchir aux choses. Vous n’essayez pas d’y regarder de près.»

180     C’est comme ça qu’ils ont fait, aux autres époques. Ils voyaient Jésus. Ils savaient qu’Il pouvait… qu’Il connaissait les secrets de leur cœur. Il savait ce qu’ils faisaient, comme ça. Et ils ont dit: «C’est le prince des démons. C’est Béelzébul, le meilleur diseur de bonne aventure du monde.» Ils ne se sont pas arrêtés pour essayer de comprendre, pour voir qu’il s’agissait là du Fils de Dieu. Ils n’étaient pas assez spirituels pour le savoir. C’est ça, ils passent par-dessus la chose quand ils lisent. Certainement, Jésus devait entrer dans Jérusalem monté sur un mulet, et tout, mais eux, ils regardaient la seconde Venue.

181     Et c’est la même chose aujourd’hui! Ils passent par-dessus la vraie chose. Alléluia! C’est exact. Je sais que Dieu est ici cet après-midi, et je sais que je prends beaucoup de votre temps, mais vous devez voir ceci, mon ami. Au cas où je ne vous reverrais plus jamais, vous devez savoir ce que sont les démons, vous devez savoir ce qui est la Vérité et ce qui est l’erreur. Et c’est tellement proche, vous devez faire la distinction.

182     Maintenant, souvenez-vous, ce ne sera pas là-bas, quelque chose de très loin, de ce côté-ci, comme les pharisiens, ou quelque chose de très loin, de ce côté-là. C’est ici tout près, à la porte, c’en est très proche. Observez bien. Or, si je prenais…

183     Prenons ces deux cas. Si je prenais et que je vous donnais ce dollar, bon, si je vous donnais un faux dollar. Nous allons utiliser une parabole, pour que vous puissiez le voir. La première chose que vous feriez, si vous étiez un homme intelligent, si vous prenez un dollar et que vous le regardez, la première chose, vous allez le tâter et voir de quoi il est fait. Pas vrai? Vous allez voir de quoi il est fait. Vous allez en considérer la valeur. Un vrai dollar n’est pas fait de papier, il est fait en partie de papier et en partie de soie, vous voyez. Et la première chose, vous devrez en considérer la valeur. Ça, c’est le premier indice.

184     Et maintenant, considérons-la, elle, de ce côté-ci; et considérons le Seigneur, de ce côté-ci, qui a à voir avec nous.

185     Maintenant regardez, la première chose que vous devez remarquer, tout… Regardez bien votre article. De ses cinquante et quelques années de pratique à dire la bonne aventure et à faire monter les esprits des morts, pas une seule fois elle n’a mentionné Dieu, Christ, la guérison Divine, la délivrance, le Jugement, ni rien. Tout ce qu’il y a là, c’est de la rigolade et de la folie.

186     Mais de ce côté-ci, c’est constamment Dieu, le Jugement, la Venue de Jésus, la guérison Divine, la puissance de Dieu, la délivrance. Considérez-en la valeur. Vous ne voyez pas les diseurs de bonne aventure et les magiciennes, là-bas, en train de prêcher l’Évangile. Qu’est-ce qui se passe avec les gens? Oh! Remarquez!

187     Et la vraie chose à faire, si vous voulez voir si c’est un vrai dollar ou pas, s’il est à ce point ressemblant, relevez-en les numéros, et envoyez-les à la Monnaie. Et si là-bas il y a des numéros qui correspondent à ça, il y a une pièce d’argent d’un dollar qui l’attend. Pas vrai?

188     Eh bien, alors, frère, considérez ce qu’elle a fait, et examinez-le par rapport à la Bible, vous verrez que c’est la magicienne d’En-Dor.

189     Et si vous considérez ce qu’il y a ici, que vous allez voir ce qu’il en est, ça se trouve dans le Livre ici, à la Monnaie, «Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement». Certainement, la même œuvre qu’Il avait faite! Il n’est pas allé s’occuper de sottises et d’absurdités avec les gens. C’était pour faire du bien, pour aider quelqu’un, pour les conduire à Dieu. Amen! Je ne me dis pas «amen» à moi-même, mais amen veut dire «qu’il en soit ainsi». Et je… j’Y crois. Je sais que C’est la Vérité.

190     Maintenant remarquez, alors, voilà. Maintenant, on va faire vite, là, parce que je ne veux pas vous retenir plus longtemps.

191     Écoutez, présentons un petit tableau, ici, un petit tableau à contempler mentalement. Ici, il y a un ruisseau qui coule ici, qui traverse tout le long de ce côté-ci, qui traverse la vie. Maintenant regardez bien. C’est un canal. Accordez-moi toute votre attention maintenant, pour ne pas manquer ceci. Tout le long comme ceci. Or, c’est dans ce petit canal, ici, que demeurent les êtres mortels, vous et moi. Maintenant, là-dedans, voyons ce que c’est. C’est rempli de folie et de tout le reste, mais de temps à autre vous y verrez une lumière. Vous voyez des ténèbres et des rues, ça c’est de l’amusement et de l’excitation, les démons qui s’emparent des gens. Oh, ils sont bien habillés, oh! et cultivés au possible, des érudits aux manières très raffinées, mais c’est quand même le diable. Mais il y a des gens qui sont nés de nouveau là-dedans.

192     Or, les gens qui sont dans ce canal reçoivent des influences de deux côtés différents. Maintenant, de ce côté-ci, en allant dans cette direction-ci, il y a une trinité. Et de ce côté-ci, en allant dans cette direction-ci, il y a une trinité.

193     Or, quand… or, premièrement, de ce côté-ci, il y a les âmes des injustes, quand un homme meurt, il va dans un lieu où il attend d’être jugé. Jésus est allé prêcher aux âmes qui étaient en prison là-bas. Ensuite, ce sont les démons. Ensuite, c’est le diable et l’enfer. En montant, premièrement - or, ceux qui sont là, ce sont des esprits, des esprits d’hommes qui sont morts sans s’être jamais repentis. Ils attendent le Jugement. Tout ce qu’ils connaissent, c’est la folie et ce qu’ils ont fait.

194     Maintenant, ici, en haut, ces chrétiens reçoivent l’influence d’en Haut. Ceci, c’est en parabole. Ici, en haut, il y a un autre Esprit, le Saint-Esprit, l’Esprit d’un Homme, Jésus-Christ. Le Saint-Esprit, le Saint-Esprit influence Son Église dans cette dimension des mortels.

195     Le diable, par ces esprits, influence les hommes. Maintenant, regardez, ensuite, il y a les Anges. Ensuite, il y a Dieu. Or, chaque être mortel ici est influencé par l’un de ces mondes. Vous voyez ce que je veux dire?

196     Or, ce que cette femme a fait, c’est qu’elle a pénétré dans cette dimension-là. Et elle parle à ces hommes possédés du démon qui ont été, au commencement, les esprits des anges déchus qui ne se sont pas repentis là-bas, au commencement, et ils les ont laissés prendre possession de leur être. Et ils attendent le Jugement.

197     Et ceux-ci, ici, ils sont influencés et nés de nouveau de l’Esprit de Dieu. Et le diable a ses prophètes, et Dieu a les Siens. Vous voyez ce que je veux dire? C’est l’influence, et nous voilà partis. Arrêtez-vous pour faire la distinction. Jésus, quand Il était ici sur terre…

198     Or, aujourd’hui, il ne peut pas pénétrer dans cette dimension-là et faire sortir un juste de cette dimension-là. Il ne pourrait pas le faire, parce que les justes ne sont plus là où ils étaient autrefois, au Paradis. Non monsieur. Le Paradis a été éliminé, quand le Sang de Jésus l’a supprimé. Écoutez. Oh!

199     Si je pouvais m’arrêter à y penser, Jésus, quand Il est mort, Il est allé prêcher aux âmes qui étaient en prison. Il est mort pécheur, n’ayant connu aucun péché, mais c’est notre péché qui était sur Lui. Et Dieu, à cause de Ses péchés, L’a envoyé au séjour des morts. La Bible dit: «Il est allé prêcher aux âmes.»

200     Des gens disent: «Frère Branham, je ne comprends pas ça.» Ils disent: «Jésus est ressuscité le troisième jour. Il est mort le vendredi après-midi et Il est ressuscité le dimanche matin, mais, Il n’est resté mort qu’un jour.»

201     Il a dit: «Dans ce délai», car Il n’avait qu’un passage de l’Écriture dans la Bible sur lequel Il pouvait s’appuyer. En effet, David, un homme qui a rétrogradé plus tard, mais il a été sauvé, mais un prophète sous l’inspiration de Dieu, il avait dit «Je n’abandonnerai pas Son âme dans le séjour des morts, et Je ne permettrai pas que Mon Saint voie la corruption.» Et il savait qu’au bout de trois jours et trois nuits, la corruption s’installerait dans ce corps. Et Dieu avait bien dit au prophète: «Il ne verra pas la corruption.» [espace non enregistré sur la bande-N.D.É.]
    Alléluia! Il s’est revêtu de la Parole de Dieu. Il a vaincu Satan, chaque fois, par Elle. Il a vaincu la mort, par la Parole de Dieu. Alléluia! Il a vaincu la mort. Et quand ils L’ont tué, et qu’Il est mort pécheur, avec mes péchés et vos péchés sur Lui, Il est descendu, je peux Le voir frapper à la porte là-bas.
    Et ces âmes perdues sont venues et ont dit: «Mais, Qui es-Tu?»

202     Il a dit: «Pourquoi n’avez-vous pas écouté Énoch? Pourquoi n’avez-vous pas écouté ces autres prophètes qui ont prêché?» Ils ont été condamnés. «Je suis le Fils de Dieu qui, une fois, était vivant. Je… Mon Sang a été versé. Je viens vous dire que J’ai accompli ce que les prophètes avaient annoncé à Mon sujet.» Il a fait Sa descente, plus loin que les démons, directement au séjour des morts, II a ôté au diable les clés de la mort et du séjour des morts, Il les a accrochées à Son côté, et Il est remonté. Alléluia!

203     Le matin commence à se lever. Alléluia! Brossons un petit tableau, ici. Tôt le matin, il y a un autre groupe qui se trouve ici, dans le Paradis. Ils n’y sont pas en ce moment.

204     Maintenant, mes amis qui êtes de grands catholiques, qui croyez à l’intercession des saints. Si vous parlez à un saint dans votre église, cet homme est un pécheur, il est dans le séjour des morts, ou-ou il attend là-bas d’être jugé. Et si c’était un saint, il est dans la gloire de Dieu et ne peut pas revenir. C’est exact. Je peux le prouver. Le sang des taureaux ne pouvait pas ôter le péché, mais le Sang de Jésus a supprimé les péchés.

205     Je peux voir Jésus monter là où, au Paradis, il y avait le vieil Abraham, Isaac, Jacob, et les autres là-bas, Samuel et tous les autres là-bas. Je peux L’entendre frapper à la porte. [Frère Branham donne six coups sur la chaire.-N.D.É.] Amen! Oh, j’aime ça. Me voilà qui devient bien… je me sens pas mal religieux en ce moment. Je peux Le voir regarder là-bas. Je peux l’entendre dire: «Qui est là? Qui est-Ce là?» Il a dit: «Je, c’est Abraham qui parle. Qui est-Ce?

206     Je suis la Postérité d’Abraham.» Amen. Je peux voir Abraham venir à la porte, ouvrir la porte. Il a dit: «Je suis la Postérité d’Abraham.»
    Daniel a dit: «Regardez là! Voilà la Pierre que j’ai vu se détacher de la montagne.»

207     Je peux entendre Ézéchiel dire: «Le voici! Je L’ai vu, comme de la poussière sous Ses pieds, les nuages qui se déplaçaient, quand les béliers… tapaient des mains, les feuilles, et que tous poussaient des cris.» Oh, je peux voir les différentes personnes qui étaient là dans le Paradis, à L’attendre.

208     Je peux L’entendre dire: «Venez! Le jour se lève, là-bas à Jérusalem. Nous devons sortir d’ici. Nous allons monter, parce que vous vous êtes fiés au sang des taureaux et des boucs, en attendant le moment de Mon Sang. Mais Mon Sang a été versé, là-bas au Calvaire. Je suis le Fils de Dieu incarné. Toutes les dettes du péché ont été payées. Nous allons sortir d’ici!» Alléluia! Gloire à Dieu!

209     Je peux voir Abraham saisir Sara par le bras, et les voilà qui sortent! Dans Matthieu 27, quand il est sorti, je peux les entendre faire un petit arrêt aux environs de Jérusalem, là-bas. Et tout à coup, je peux voir Caïphe et les autres qui étaient dans la rue, ils disaient: «Ils me racontent que ce gars-là est ressuscité. Dites donc, qui est ce gars qui passe là-bas; ce jeune homme, cette jeune fille?»

210     Plus du tout des vieillards; c’était Abraham et Sara. Et ils ont disparu. Ils ont regardé: «Quelqu’un nous observe.» Ils pouvaient disparaître, tout comme Lui avait traversé le mur, le même genre de corps. Alléluia! Exact. Voilà tous les prophètes et les autres qui se promènent à pied, qui promènent les regards sur la ville.

211     Et Jésus a ouvert le chemin pour monter dans, ou au-dessus des étoiles, de la lune, des nuages, et Il a emmené captifs les captifs, Il a fait des dons aux hommes. Jésus est assis aujourd’hui à la droite du Père, Il est monté là-haut, Il s’est assis, jusqu’à ce que tous Ses ennemis soient devenus Son marchepied.

212     Et aujourd’hui, mon cher ami chrétien, les démons sont à l’œuvre de tous côtés. Et l’Esprit de Dieu se porte en avant, de l’autre côté, pour les neutraliser chaque fois. Alléluia! Voilà. Les journaux, et les digests, et tout le reste, le déclarent. Ils observent ces choses. Ils ne peuvent pas voir ce que c’est. Qu’est-ce que c’est? C’est pour préfigurer la grande épreuve de force qui aura lieu très prochainement, entre Dieu et le diable. Rangez-vous du côté de Dieu et soyez droit dans votre cœur. Amen.

213     Ici, il n’y a pas longtemps, j’étais à Toledo, dans l’Ohio, je faisais une réunion. Je vais conclure.

214     Vous voyez ce que je veux dire, au sujet des démons? Ils sont à l’œuvre. Ils sont très religieux, tout ce qu’il y a de plus religieux! Oh, ils vont à l’église tous les dimanches, ils récitent le Credo des Apôtres, et ils chantent la Doxologie. Oh! la la! ils sont religieux au possible!
    «Frère Branham, vous parlez sérieusement, c’est la Vérité, ça?»

215     C’est cette sorte d’esprit qui a suspendu Jésus-Christ à la croix. Et Jésus a dit: «Vous avez pour père le diable.»

216     Or, certains ont dit: «Oh, la Russie est l’antichrist.» Jamais! La Russie n’est pas l’antichrist. L’antichrist sera tellement religieux qu’il séduirait même les Élus, si c’était possible.
    Souvenez-vous, Dieu retire Son homme, mais jamais Son Esprit. Le diable retire son homme, mais jamais son esprit. Maintenant, les voilà. Faites comme vous voudrez. Je ne suis responsable que de la Vérité.

217     Des démons à l’œuvre! Hier, j’ai traité des démons, dans le domaine physique. Aujourd’hui, je vous montre ce qu’il en est dans le domaine spirituel, où ils se trouvent dans le domaine religieux. Où ils se trouvent là-bas, ce qu’on appelle le cancer, et ce qu’on appelle ceci, cela et autre chose, mais je vous ai démontré, par la Bible, que ce sont des démons. Maintenant, de ce côté-ci, aujourd’hui, les revoilà, dans le domaine religieux, ils sont très religieux, très pieux.

218     Si vous vous mettiez seulement à réfléchir, frère. Caïn, celui qui a été à l’origine même de tout cela, était un homme très religieux. Ésaü était un homme très religieux. Judas était un homme très religieux. C’est la religion. Ce n’est pas le monde extérieur. C’est dans les rangs mêmes. Regardez bien ça, la démonologie! Peut-être qu’un peu plus tard, à un moment donné, je pourrai en parler un peu plus. Il commence à se faire tard.

219     Ne condamnez personne. Aimez tout le monde. Si vous ne pouvez pas aimer, du fond de votre cœur, alors Christ n’est pas avec vous.

220     À Toledo, dans l’Ohio, je suis entré dans un petit restaurant. J’avais mangé dans un établissement, un petit établissement Dunkard, un petit établissement charmant. Ils étaient si gentils. Cet après-midi-là, ils avaient fermé leurs portes pour aller à l’école du dimanche. Et alors, j’ai dû aller de l’autre côté de la rue, à une espèce de petit établissement mondain, et je suis entré là. Et je sais que jouer à des jeux d’argent est illégal dans l’Ohio. Et voici qu’il y avait là un policier de l’État, qui avait son bras autour des épaules d’une jeune fille, sa main qui retombait ici sur sa poitrine, en train de jouer à une machine à sous. La justice de nos États et de notre pays; il n’y en a plus. Déplorable!

221     Je mets ma confiance, sur Christ, le Rocher solide, je me tiens, tout autre sol est du sable mouvant. Il ne reste plus rien d’autre. C’est exact.

222     J’ai regardé au fond, et il y avait une ravissante jeune fille, probablement adolescente, de dix-neuf, dix-huit, dix-neuf ans. Et ce qu’ils faisaient, ces garçons là-bas, autour de la table, c’était affreux. Je me suis assis là. Et alors, ce qui m’a surpris, assis là, où la dame qui était venue m’avait dit: «Voulez-vous vous asseoir?»
    J’ai dit: «Merci. Je voulais un petit déjeuner.»

223     Et assise sur une chaise, ici, il y avait une dame âgée, aussi âgée que ma mère, de cinquante-cinq, cinquante-huit ans. Elle portait une paire de ces petits vêtements indécents qu’elles portent.

224     Les gens affirment que ça donne de la fraîcheur. La science dit: «Vous êtes fous.» Certainement pas. Tout ce que vous voulez, c’est montrer votre nudité. C’est honteux, déshonorant. Une dame ne mettrait pas ça. Une femme oui, mais pas une dame.

225     Et alors, et, donc, ils… là, elle était assise là. Sa pauvre chair était flasque. Elle portait cette espèce de manucure orchidée, comme, ou le nom que vous donnez à ça, sur les lèvres. Et les cheveux coupés très courts comme un homme, et tout frisottés; dont la Bible a dit que c’était honteux. Et une femme, qu’un homme…

226     La Bible affirme que si une femme se coupe les cheveux, l’homme a le droit de la répudier, de divorcer d’avec elle, parce qu’elle n’est pas loyale envers lui. Nous devrons nous y mettre et prêcher la Bible, ici, un de ces jours. Il est dit: «Si elle se coupe les cheveux, elle déshonore son mari.» Si elle est déshonorante, elle devrait être répudiée. Vous ne pouvez pas en épouser une autre, mais vous pouvez la répudier. Fiou! Ah, celle-là-celle-là ne passe pas facilement, je peux le sentir. Mais c’est la Vérité.

227     Oh, autrefois, on trouvait ça dans nos sphères du Saint-Esprit, mais on a levé les barrières. Un vieux frère disait autrefois: «On a levé les barrières, on a levé les barrières, on a fait des compromis avec le péché. On a levé les barrières, les brebis sont sorties, mais comment les boucs sont-ils entrés?» Vous avez levé les barrières. C’est ça qu’il y a. Vous avez levé les barrières, le monde et l’église se sont entremêlés. Tout comme les Moabites et tout, et Balaam, qui les a fait se marier entre eux, c’est exactement la même chose aujourd’hui. Et l’église est toute polluée, et l’âge pentecôtiste, c’est l’âge de Laodicée, qui devient tiède et est vomi de la bouche de Dieu. Et Dieu appelle Son reste à sortir de tout ce groupe-là, Il L’emporte à la Maison, c’est tout à fait exact, tout à fait, La fait passer par la résurrection.

228     Et elle était assise là, du manucure à lèvres partout sur le visage, et elle en avait partout, comme ça. Et elle avait du truc noir, là, sur les yeux, et elle était en sueur, ça coulait. Et la pauvre vieille avait peut-être des arrière-petits-enfants. Et elle était assise là, avec deux hommes âgés, et l’un d’eux avait une espèce de grande écharpe autour du cou, et on était en juin, il était assis là. Il s’est levé, il prenait un petit verre, et elle aussi, elle prenait un verre. Et elle regardait autour d’elle.

229     J’ai pensé: «Ô Dieu! Ô Dieu, pourquoi ne rayes-Tu pas tout ça de la carte? Pourquoi ne le fais-Tu pas? Est-ce que ma petite Sharon… mon petit bébé, ma petite Sarah et ma petite Rebekah, devront être élevées dans cette génération, pour en venir à être confrontées à des choses pareilles?» J’ai pensé: «Regarde, ici, dans les parcs et tout, et tout ce qui se passe.» J’ai pensé: «Ô Dieu! Oh, je suis content que Tu aies pris Sharon, si c’était Ta volonté. Est-ce que ma petite Rebekah et ma petite-petite Sarah devront être élevées sous l’influence de choses pareilles?» Et ces gens, ils les appellent… ils font partie de la chorale et tout. Et j’ai pensé: «C’est vraiment honteux, hein?» J’ai pensé: «Ô Dieu, comment Ta Sainte justice peut-elle supporter ça? Il me semble que Ton indignation de juste devrait s’élever, là, et-et faire sauter cet établissement.»

230     Et j’ai entendu l’Ange du Seigneur, Il a dit: «Viens par ici, à l’écart.» J’y suis allé. Et quand Il en a eu fini avec moi, je me sentais comme une personne différente. «Pourquoi est-ce que tu la condamnes?»
    J’ai dit: «Regarde ça, comment elle est.» Et voici ce qu’Il…

231     J’ai eu une vision. J’ai vu un monde comme ceci, rond, un autre monde. Mais ce monde-ci, il y avait un arc-en-ciel autour, et c’était le Sang de Christ qui protège de la colère de Dieu. Il ne pourrait pas regarder ça, Il-Il détruirait la chose à l’instant même, parce qu’Il a dit: «Le jour où tu en mangeras, ce jour-là tu mourras.» Donc, c’est ce qu’Il ferait.

232     Ensuite voici ce qui m’est venu à l’esprit. Je me suis vu, moi-même. Bien que je n’aie pas fait ça, mais j’étais quand même un pécheur. Et alors, le Sang de Jésus-Christ, pour nous, il agit comme un pare-chocs. Voyez? Ainsi, quand je pèche, mes péchés Le frappent et, ils heurtaient Sa tête précieuse, et je pouvais voir les larmes et le Sang qui coulaient. «Pardonne-lui, père, il ne sait pas ce qu’il fait.» Et je faisais autre chose, et ça frappait Là-dessus. «Pardonne-lui, Père.»

233     S’ils ne s’étaient pas arrêtés à Lui, j’aurais été détruit. Et si je n’acceptais jamais Sa grâce, le jour où mon âme voguera jusque de l’autre côté, je suis déjà jugé. J’ai rejeté. Il ne reste plus que le jugement. Jugé, j’ai déjà été jugé. Dieu a dit: «Le jour où tu en mangeras, ce jour-là tu mourras.» Vous êtes jugés en plein là. Le tribunal, c’est ici, cet après-midi, votre attitude à l’égard de Christ.

234     Alors, j’ai pensé: «Oui, c’est vrai.» Et je me suis vu, un jour, me traîner jusqu’à Lui. J’ai vu mon vieux livre qui était là, un pécheur, et tout y était inscrit. J’ai vu que c’était à cause de mes péchés, et j’ai dit: «Seigneur, veux-Tu me pardonner?»

235     Il amis Sa main dans Son côté, Il a pris du Sang, Il a écrit sur le dessus, Il a dit: «Pardonné.» Il l’a jeté dans la mer de l’oubli, pour ne plus jamais s’en souvenir. Il était parti pour toujours! Il a dit: «Je te pardonne, mais toi, tu la condamnes.»
    Ça a changé ma façon de penser. J’ai dit: «Seigneur, sois miséricordieux.»

236     Après être sorti de la vision, je me suis approché et je me suis assis. J’ai dit: «Bonjour, madame.»
    Elle a dit: «Oh, bonjour.»

237    Et j’ai dit: «Si vous voulez m’excuser,» j’ai dit, «je suis le révérend Branham, un ministre.»
    Elle a dit: «Oh, excusez-moi. Excusez-moi, Révérend Branham.»

238     J’ai dit: «Madame.» Je lui ai raconté l’histoire. J’ai dit «J’étais là-bas, et je vous condamnais, je pensais: ‘Comme c’est affreux!’ Peut-être que vous avez des enfants.»
    Elle a dit: «J’en ai.»

239     J’ai dit: «Comment se fait-il que ça a mal tourné?» Elle s’est mise à me raconter une histoire qui aurait déchiré n’importe quel cœur. J’ai dit: «Je-je demandais à Dieu pourquoi il ne balayait pas tout ça de la face de la terre. Ici, vous qui êtes ici avec ces deux hommes ivres, et vous êtes ivre, vous-même.» Et j’ai dit: «Un jour… Ce Sang retient la colère de Dieu de venir sur vous. Vous allez mourir un de ces jours. Et, alors, vous-vous avez votre libre arbitre maintenant, vous pouvez rejeter ou recevoir.» J’ai dit: «Mais, un jour, votre âme ira de l’autre côté, où il n’y aura plus de miséricorde. Et si vous mourez dans vos péchés, vous êtes déjà jugée, et vous irez en enfer.»

240     Savez-vous quoi? Cette femme s’est glissée de sa chaise, là-bas dans ce restaurant. Nous avons eu une réunion de prière comme vous n’en avez jamais entendu de votre vie, et elle est venue à Christ. Qu’est-ce qu’il y a eu? Ne les condamnez pas; parlez-leur de l’Évangile. Ils sont possédés du démon; ce sont des mortels dans cette dimension-ci. Ils reçoivent l’influence de ce côté, ici. Notre influence vient d’en haut. Voyons ce que nous pouvons faire de nos talents, afin d’en gagner d’autres à Christ.

241     Notre Père Céleste, je Te remercie de Ta bonté et de Ta miséricorde. Je suis désolé, Seigneur; peut-être que les gens, je les ai retenus ici tellement longtemps. Mais, comme c’est la dernière de ces réunions-ci, d’après-midi, je voulais leur en parler, «des démons», et j’en ai trop débité au même endroit, en une seule prédication, mais peut-être qu’ils pourront trier ça, ici et là, et comprendre ce que j’ai voulu dire. Tu connais les intentions de mon cœur, pourquoi j’ai apporté ça.

242     Puissent les gens repartir d’ici, cet après-midi, les hommes et les femmes se surveiller dans tous leurs faits et gestes, mais vivre heureux et libres. Puissent-ils savoir que Dieu les a sauvés. Et puissent-ils regarder à Lui, oublier tous les ismes et toutes les choses qui les entourent, et vivre paisiblement et sobrement, et dans la crainte de Dieu. Et puis, ô Dieu, quand Tu voudras les utiliser pour quoi que ce soit, Tu pourras t’adresser directement à eux et les envoyer là où Tu voudras qu’ils aillent ou leur faire faire ce que Tu voudras. Puissent les gens être humbles et trouver Christ dans leur cœur. Pardonne-nous, Seigneur, nos manquements, à chacun de nous.

243     Et nous savons que-que Satan rôde comme un lion rugissant, partout, dévorant qui il veut, sous des voiles religieux. Ô Dieu, ces pauvres petits enfants, regarde-les, partout. Ils sont vulnérables et exposés aux gens. Et je Te prie, ô Dieu, d’être miséricordieux envers eux, et de sauver tous les perdus, de guérir les malades. Et, ô Dieu, nous sommes conscients que ces vieux démons de la maladie qui viennent sur Tes enfants, que Tu as une expiation qui repose là-bas, pour se charger de ça. Et tous les démons qui les inciteraient à pécher, Tu as une expiation qui repose là-bas, qui va se charger de ça. Et je Te prie de l’accorder, au Nom de Jésus. Amen.
    Je me demande s’il…

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