Celui Qui Est En Vous
1 Merci. Que le Seigneur te bénisse. Restons debout
un instant, alors que nous prions. Inclinons maintenant nos têtes et
que tous ceux qui aimeraient qu’on se souvienne d’eux dans cette prière
lèvent la main et disent: «Ô Dieu, pense à moi.»
2 Oh, Dieu très saint et miséricordieux, nous
apportons ces personnes devant Toi, avec leurs requêtes. Elles ont
demandé qu’on se souvienne d’elles; Seigneur, ma main est aussi levée.
Je Te prie d’être miséricordieux envers nous. Tu connais nos besoins et
nous dirons, comme Tu nous as enseignés à prier, que Ton règne vienne,
que Ta volonté soit faite sur la terre comme au Ciel. Et ce soir, Père,
nous réclamons Ta miséricorde et la liberté d’esprit, pour que nous
puissions apporter aux gens la vérité de l’Évangile et ce que nous
croyons être le Message de l’heure pour Ton Église. Seigneur, nous Te
prions, afin que nous soyons une partie de cette Église qui est appelée
à sortir en ces derniers jours. Père, si nous ne sommes pas cette
partie, alors révèle-nous ce que nous devons faire pour le devenir et
donne-nous la grâce et la puissance en cette heure d’épreuve pour tous
ceux qui habitent sur la terre. Donne-nous Ton Saint-Esprit, pour nous
conduire et nous guider, afin que nous puissions à la fin venir à Toi
dans la paix, en vue de cette Vie éternelle que tous les croyants
attendent depuis que le temps existe. Aide-nous, Seigneur. Nous Te le
demandons au Nom de Jésus. Amen! Vous pouvez vous asseoir.
3 Je suis vraiment reconnaissant pour le privilège
d’être ici ce soir, et pour la grâce de Dieu qui nous a été donnée au
travers de Jésus.
4 Et au sujet du Message de ce matin [Les âmes qui
sont en prison maintenant — N.D.T.], je veux que tout le monde
comprenne parfai-tement. Je m’en remets à Dieu, espérant que ce n’est
pas le temps en question. Voyez-vous? Mais le Message est vrai. Le
Message est vrai. Un jour, cela arrivera, si ce n’est pas déjà le cas.
Et cela ressemble tellement à ce temps-là, que je me suis senti comme
Paul, qui déclara il y a longtemps: «Je vous ai annoncé tout le conseil
de Dieu, sans en rien cacher.» Voyez-vous? Tout ce qui doit être fait.
5 J’ai dit une chose ce matin que je regrette avoir
prononcée. J’ai mentionné le nom d’un frère qui, je pense, est dans
l’erreur. Je n’aurais pas dû le faire. Je ne mentionne jamais de nom de
personne. Et s’il arrivait que la bande tombe entre ses mains,
j’aimerais le voir et lui parler, parce que je pense que ce frère est
un homme grand et bon, qui a prêché ici même de cette chaire, frère
David DuPlessis. Et ce n’était pas mon intention de mentionner son nom;
j’étais inquiet au sujet du Message, etc., à savoir : «Et si c’était
maintenant?», et j’ai mentionné le nom de ce frère. Je ne fais pas cela
d’habitude. Je regrette de l’avoir fait. J’aime frère David DuPlessis.
Il est notre frère et je pense vraiment qu’un homme intelligent comme
lui devrait être plus instruit dans l’Écriture.
6 Je vais vous dire ce qui en est. C’est…
l’entretien que David et moi avons eu. À un moment donné, il a parlé
pour moi dans les réunions. Il a prêché de cette chaire, ou dans
l’ancienne église. Et son frère Justus a été mon interprète en Afrique
du Sud, où je dois retourner. Ils sortent d’une bonne famille, d’un
foyer pentecôtiste; c’est un homme vraiment très bien. Je crois que
David a été une fois président des Assemblées pentecôtistes mondiales
et de la Conférence pentecôtiste mondiale. Il a été l’un des
présidents. Plus tard, il est venu aux États-Unis et s’est établi au
Texas avec frère Gordon Lindsay; puis il a commencé à prêcher dans
différents endroits.
7 Mais la raison pour laquelle je pense que notre
cher frère a commis une erreur, ce qui peut m’arriver, ou à n’importe
qui, c’est qu’il a commencé à fréquenter les gens de la haute société.
Il parlait continuellement de l’Université de Princeton et des endroits
qui l’invitaient, pensant qu’il faisait ce qui était juste et qu’il
mettait de la nourriture dans la machine. Voyez-vous? Et avec quel
zèle! Et non seulement cela, mais il s’est mis à collaborer avec les
hommes d’affaires du Plein Évangile, qui cautionnent mes réunions dans
le monde entier. Voyez-vous? J’aime ces hommes, mais je ne suis
certainement pas d’accord avec leurs principes. Ils ont quitté leurs
principes du début, et maintenant ils deviennent comme n’importe quelle
autre organisation. Voyez-vous? Pourquoi? C’est qu’ils ne veulent pas
rester simplement pentecôtistes, mais croient pouvoir mélanger la
Pentecôte au reste.
8 Et il me semble que frère DuPlessis, un homme
merveilleux comme lui, devrait connaître suffisamment l’Écriture pour
savoir que lorsqu’il voit la vierge endormie essayer d’acheter de
l’huile, le temps est passé. Voyez-vous? Souvenez-vous: Quand elle vint
pour acheter de l’huile, il n’y en avait plus. C’est l’Écriture. Et
elle dit à l’Église: «Donnez-nous de votre huile», mais elle n’en reçut
point. Elle peut faire des sauts, parler en langues, et quoi encore,
mais selon la propre Parole de Dieu, elle n’en reçut point. Voyez-vous?
Elle se trouva dehors dans les ténèbres où il y eut des pleurs et des
grincements de dents, tandis que l’Épouse élue était déjà entrée. Les
vierges sages avaient de l’huile dans leurs lampes.
9 Je connais un autre homme… quelque chose qui est
arrivé l’autre jour. Ce qu’il y a, c’est que ces braves gens arrivent à
avoir une certaine, vous savez ce que je veux dire, une certaine
emprise sur les gens. Et ils ont l’impression que c’est Dieu qui fait
cela, alors que souvent c’est le diable. Voyez-vous?
10 Jésus eut l’occasion de venir devant Hérode. Il
eut l’occasion d’être devant beaucoup de monde et ils voulurent
L’utiliser comme curiosité. Voyez-vous? C’est tout ce qu’ils essaient
de faire de la Pentecôte. La Pentecôte est sortie de ces choses pour
être différente. Mais, «comme une truie retourne à son bourbier et un
chien à ce qu’il a vomi», elle est retournée à cela et se trouve
maintenant dans le Conseil œcuménique. Voyez-vous? C’est malheureux.
C’est dommage.
11 Ô Dieu, garde-moi petit et humble, afin que Tu
puisses révéler Ta vérité. Voyez-vous, je ne veux jamais faire cela.
Pas de lumière éclatante, pas d’éclat vif et de tape-à-l’œil venant du
monde. Laissez-moi prendre le chemin avec le petit nombre des méprisés
du Seigneur. Laissez-moi rester avec la Parole.
12 Maintenant, parlons du Conseil œcuménique qui
fusionne avec le Vatican. Croyez-vous qu’ils pourraient fusionner avec
la Parole? Peut-être avec l’organisation, mais ils ne peuvent pas le
faire avec la Parole. C’est vrai. Ainsi, il ne faut pas établir de
compromis. Voyez-vous? Une organisation, c’est pareil; tout est pareil.
C’est parfaitement dans la ligne: mère et fille. Mais quand il s’agit
de cette Parole, je suis aussi fermement opposé aux baptistes,
méthodistes, presbytériens qu’au catholicisme, parce que c’est la mère
et la fille, d’après cette Parole. C’est à cette Parole que je suis
fidèle. Voyez-vous? À ceci, à chaque Parole qu’elle contient.
13 Maintenant, ce cher frère… lui et sa femme sont
de bons amis. Beaucoup parmi vous ont vu le magazine. Or, comment ce
cher frère, envoyé par Dieu, a-t-il pu laisser sa femme…
Quelqu’un lui a dit qu’elle ressemblait à Jacqueline Kennedy et elle
s’est fait une de ces volumineuses coupes de cheveux, et ensuite…
Qu’est-ce? Elle s’est mêlée tout le temps à ce genre de personnes, et
finalement… Si un homme bon prend une mauvaise femme, soit elle
deviendra une femme bonne… je veux dire, si un homme bon prend une
femme mauvaise, soit elle deviendra une femme bonne, soit lui deviendra
un homme mauvais. Montrez-moi qui vous fréquentez, et je vous dirai qui
vous êtes. Voyez-vous? Qui se ressemble s’assemble. Restez éloignés de
ce qui brille!
14 L’autre jour, je suis descendu dans une mine
située au sommet des montagnes frontalières, entre l’Arizona et le
Mexique. Frère Sothmann, qui est ici, et moi étions ensemble. Je suis
entré là-dedans et j’ai déterré un morceau de ce … cela ressemble tout
à fait à de l’or. Mais ce qui vous permet de reconnaître que ce n’est
pas de l’or, c’est que ça brille plus que de l’or. Ça brille, tandis
que l’or ne brille pas, il rayonne. Voyez-vous? Et cette matière
s’appelle «l’or du fou». Ça ne vaut pas même autant que la pierre dans
laquelle il se trouve. C’est du sulfure de fer. Je pense que le… Les
hommes de science prétendent que l’eau et les acides qui ont suintés
n’ont pas été suffisants pour le durcir et pour que cela devienne de
l’or. Ainsi ça brille plus, mais ça ne contient pas les éléments
chimiques nécessaires. Et c’est à ceci que ressemble beaucoup de ce
soi-disant christianisme, voyez-vous. Cela brille comme Hollywood; mais
l’Église rayonne de l’Évangile. Voyez-vous?
15 Maintenant, une sœur ici, Billy vient de me le
montrer, a eu la gentillesse d’aller chercher ce magazine Life, de
faire agrandir la photographie représentant les sept anges, et de me
l’envoyer. C’est la photographie. Et si vous remarquez ici, alors que
cela s’en allait et remontait, après que les anges eurent apporté leur
Message, c’était en forme de pyramide, exactement comme je vous l’avais
annoncé trois mois avant que cela n’arrive. Est-ce vrai? Et l’ange le
plus important, avec ses ailes de côté… Vous vous souvenez de lui,
j’avais dit à son sujet qu’il avait la tête… venant pour me parler. Ne
voyez-vous pas les ailes, là? Et voici l’ange. Exactement tel que cela
avait été annoncé.
16 Dieu seul peut faire cela. On a aussi ici la
photographie d’une femme qui a déclaré… Souvent les gens disent…
17 Dans le discernement, je dis parfois: «Cette
personne est couverte de l’ombre de la mort, une ombre noire.»
18 Certains disent ensuite: «Eh bien, c’est
simplement lui qui l’a dit.» Vous voyez que les gens qui ne vont pas
jusqu’au bout ne peuvent pas voir cela. Ils peuvent pousser des cris
avec vous, ils peuvent parler avec vous, mais quand il s’agit de
vraiment croire le tout, corps et âme, ils ne peuvent pas le faire.
Mais, voyez-vous, si Dieu est dans cela et que c’est la vérité, c’est
pour la dernière fois de l’histoire. C’est la dernière fois dans
l’histoire du monde. On arrive à la fin. Un jour, il n’y aura plus de
temps. Dieu confirme tout, à la fois spirituellement et
scientifiquement.
19 Dans mes jeunes années, j’ai dit: «C’est une
colonne de Lumière qui ressemble à une étoile.»
20 Combien se souviennent que dans le passé, ils
appelèrent cela une «étoile». Quand elle apparut, ici sur la rivière,
et qu’Il dit: «De même que Jean-Baptiste fut envoyé…»
21 Finalement, elle est descendue, et une
photographie en a été prise. D’habitude, nous en avions une ici quelque
part. Oui, ils disent que c’est dans le coin, mais je ne peux pas la
voir… C’est prouvé scientifiquement que c’est la vérité.
22 Et maintenant, quand il est dit que les gens
étaient «couverts d’une ombre». Il y a là une femme, une photographe.
Cette photographie est tout à fait semblable à n’importe quelle autre.
J’ai dit… (une personne se posait des questions à ce sujet)… et j’ai
dit à la femme: «Vous êtes couverte de l’ombre de la mort. C’est un
cancer. Il y a une ombre noire.» Et l’autre se tourna et prit la
photographie. Cette dame est venue pour témoigner, et elle est
peut-être ici, ce soir, voyez-vous. Maintenant, voici la femme au
capuchon noir. Très bien. Voici la preuve scientifique que c’est la
vérité. Et immédiatement après que la femme eut été déclarée guérie,
ils prirent une photographie, et ce n’était plus là. Alors qu’est-ce
qui frappa l’objectif? Et quelle chose disparut quand il fut déclaré
qu’elle était guérie? Voyez-vous.
23 Je me suis tenu là et je vous ai dit que les
anges viendraient. Frère Fred étant un… J’ai vu frère Fred il y a
quelques instants. Je pensais qu’il était ici, mais je l’ai perdu de
vue quelque part… Oh, là-bas, au fond. Oui, c’est juste. Il était à
trois kilomètres ou deux, ou peut-être trois kilomètres de l’endroit où
j’étais. Il entendit l’explosion et vit les rochers et tout le reste,
quand le coup partit. Est-ce vrai, frère Fred? Et il y avait l’ange qui
me renvoya avec le Message. Et ils étaient placés en forme de pyramide,
comme je l’avais annoncé avant que je parte, vous disant de quelle
manière ils apparaîtraient. À travers le pays, plusieurs photographes
le photographièrent, jusqu’au Mexique; il avait 48 kilomètres de haut
et 43 kilomètres de large. Il était si haut que même l’humidité de
pouvait pas… L’humidité ne va pas plus haut que treize à quatorze
kilomètres et demi. Alors, c’était un endroit où il n’y avait rien pour
produire de l’humidité. Voyez-vous. Et c’était, soit haut de 43
kilomètres et large de 48, ou l’inverse, 48 kilomètres de haut et 43
kilomètres de large, l’un ou l’autre. Le magazine Life en a parlé, ou
le Look. Lequel était-ce? Look ou Life? Life. Le magazine Life. Je
crois que c’était dans le numéro du 17 mai. C’est cela.
24 Maintenant, voilà, il est prouvé scientifiquement
que c’est la vérité. C’est pourquoi nous ne nous inquiétons pas de
savoir si c’est la vérité. À la fois scientifiquement et
spirituellement, ce qui avait été annoncé est arrivé. Ainsi, le Message
des sept sceaux, une fois apporté, représente le Message de la Bible
entière. Les sept sceaux terminent le Nouveau Testament et le scellent.
C’est vrai. Maintenant, nous savons cela à la fois par déclaration
prophétique, par témoignage scientifique, et par la Parole. Trois ont
rendu témoignage que c’est la vérité.
25 C’est pourquoi nous savons que nous sommes à la
fin des temps; nous y sommes. Je ne connais pas la distance qui nous en
sépare. Il ne nous le dira jamais, car Sa venue sera semblable à celle
d’un voleur dans la nuit, mais, mon ami, mon frère, ma sœur, soyons
néanmoins prêts. Éprouvons-nous nous-mêmes, voyez-vous, parce que le
monde continuera comme avant. Ils ne sauront même pas que c’est arrivé.
Quand les portes de la miséricorde seront fermées, les prédicateurs
continueront à prêcher le salut, à inciter les gens à se repentir, et
ils continueront ainsi, comme ça toujours été le cas. Ce fut ainsi dans
d’autres âges et ce sera pareil dans cet âge. Et l’Enlèvement sera si
soudain et si rapide que le monde ne se rendra même pas compte qu’ils
sont partis. C’est vrai. Ils n’en sauront rien. Il viendra et
s’éclipsera avec elle. Elle sera partie, qu’ils n’en sauront rien.
Ainsi, soyez en prière. Priez pour moi. Je prie pour vous. Nous ne
savons pas quand cette heure arrivera, mais nous croyons que ce sera
bientôt. Tenez-vous éloignés de ce qui brille. Restez avec l’Évangile,
voyez-vous. Restez maintenant à cet endroit même et priez.
26 Maintenant, Billy m’a écrit une lettre, ou plutôt
une note que j’ai ici, me disant: «Quelqu’un aimerait consacrer un
bébé.» Si c’est juste… est-ce le cas? Levez la main si… Oui, deux
bébés. Très bien. Amenez-les par ici. Et frère Neville… Je me demande
si notre sœur pourrait venir un moment au piano pour la consécration
des bébés. Nous ne voulons pas en laisser aucun de côté.
27 Maintenant, souvenez-vous, à cette heure-ci
demain soir, Dieu voulant, je serai à New York City. Nous allons là-bas
sur le champ de bataille, pour combattre le bon combat de la foi.
28 Par ici, sœurs, s’il vous plaît. Juste ici
devant. Je les prendrai… Merci. Et maintenant, nous sommes…
29 Combien veulent prier pour moi? Maintenant, si
Dieu le veut, ce que j’espère, dimanche dans une semaine, si c’est en
ordre avec frère Neville, dimanche dans une semaine, je repasserai ici
avant d’aller en Louisiane, et je m’arrêterai pour une réunion à
l’église.
30 Je veux tous vous remercier de votre gentillesse,
en particulier la dame qui m’a envoyé ce chocolat là-bas; j’apprécie
cela. Je ne sais pas qui est cette dame, mais quelqu’un m’a envoyé une
boîte de chocolats et quelques petites friandises. C’était vraiment,
vraiment délicieux. J’en ai encore l’estomac bien garni et je vous en
remercie. Et vous pensez que ces petites choses ne veulent pas dire
beaucoup? Au contraire.
Ce sont de petites marques d’affection. Et
différentes personnes ont donné des petits cadeaux à Billy Paul pour
qu’il me les transmette. Je les ai reçus et vous ne savez pas combien
j’apprécie cela. Que Dieu vous bénisse. Je m’en souviendrai, et
combien, à plus forte raison, Lui s’en souvient, voyez-vous? «Toutes
les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de mes
frères, c’est à Moi que vous les avez faites.» Voyez-vous? On fera
miséricorde à qui aura fait miséricorde.
31 Maintenant, nous avons ici de gentils petits
enfants. Voulez-vous… Je désire que vous restiez là et que vous
chantiez ensuite. Faites-les entrer. Très bien. Vous, frères, venez ici
une minute. Eh bien, voici le premier. Une paire de petits yeux bruns
qui me regardent avec un beau grand sourire. Une petite fille? [Sharon
Rose.] C’est un grand nom pour moi, en souvenir de ma petite fille qui
est partie… Vous lui avez donné un nom avant sa naissance; si c’était
une petite fille, vous alliez l’appeler Sharon Rose… Cela devait en
être une… Vous savez quoi? Je ne sais pas si vous le savez ou non, mais
si ma femme était ici, probablement elle s’évanouirait presque, car
c’est le même genre de robe que ma petite fille portait à sa
consécration, la petite Sharon Rose. Celle-là sera peut-être… Puisse
celle-ci vivre là où Dieu a repris la mienne. Quel est votre nom de
famille, madame? Êtes-vous de la ville, ici? [Chicago.] Frère et sœur
Goodman! Que Dieu vous bénisse. Et vous savez, ma petite Sharon lui
ressemblait. Je ne pense pas qu’il y ait ici quelqu’un qui se souvienne
d’elle, comment elle était. Elle avait aussi de petits yeux bruns,
comme sa maman. C’était vraiment une gentille petite fille, avec des
cheveux foncés. Elle avait environ… Quel âge a le bébé? [Cinq mois.]
Elle avait huit mois quand Dieu l’a reprise. Je l’ai revue peu de temps
après. Vous connaissez l’histoire. Oui, vous l’avez à la maison sur
bande. Sharon Rose vient du mot… j’ai inversé le mot, la rose de Saron.
Et Il avait besoin d’une petite sur Son autel, c’est pourquoi Il l’a
reprise. Mais je serai de nouveau avec elle. Puisse votre petite Sharon
vivre pour accomplir la vie qu’elle aurait vécue ici sur la terre. Et
puisse-t-elle être avec vous dans la gloire, de même que je crois que
ma petite Sharon sera avec moi.
Bonjour! Vous parlez d’une petite fille sympathique,
regardez ça. Tu ne fais que sourire. Inclinons nos têtes.
Dieu bien-aimé, alors que je tiens ce petit trésor,
une petite Sharon Rose, Tu sais Seigneur à quoi je pense dans mon cœur,
c’est pourquoi je n’ai pas besoin de l’exprimer. Béni soit le Seigneur
qui donne ces petits joyaux dans nos cœurs. Bénis cette famille
Goodman. Puissent les parents être honorés, ce qu’ils sont, pour avoir
un tel joyau dans leur foyer. Puisse-t-elle rester dans leur foyer,
Seigneur. Et s’il y a un lendemain, fais-en une femme honorable pour
demain. Et maintenant, Seigneur Dieu, en obéissance à la mission
que Tu nous as donnée par Ton exemple, Tu as pris les petits enfants
dans Tes bras et Tu les as bénis. Tu as dit: «Laissez venir à moi les
petits enfants.» Et ils apportent vers moi le bébé, me reconnaissant
pour Ton serviteur, étant donné que Tu as envoyé Tes serviteurs pour
continuer Ton œuvre. Et il y a là Tes serviteurs frère Neville, frère
Capps, et moi. Et maintenant, Seigneur Dieu, des bras du père et de la
mère, nous Te donnons la petite Sharon Rose Goodman, que nous
consacrons pour une vie de service, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que
Dieu vous bénisse. Cinq enfants à part elle, comme c’est charmant. Que
Dieu vous bénisse, frère Goodman. Que Dieu vous bénisse, sœur Goodman.
Et puisse le Seigneur bénir la petite Sharon.
Bonjour, frère. Voyons… [Arneff.] Arneff, c’est
juste… Vraiment, ah! [William.] William Arneff. [James William Arneff.]
C’est un gentil garçon. Vous savez, il y a des choses que lui et moi
avons déjà en commun: le prénom et la façon dont nous séparons nos
cheveux. C’est un bon garçon. Jimmy, je pense que c’est ainsi que vous
l’appelez? [James.] James. Bon, je me demande si je pourrai le tenir;
je ne sais pas si je… Nous sommes de vrais copains, tu le sais,
n’est-ce pas? Très bien. Inclinons nos têtes.
Seigneur Dieu, Tu as béni ce foyer, la famille
Arneff, avec ce gentil petit garçon. Et je Te prie de bénir son père,
sa mère et ses bien-aimés. Ils sont chrétiens. Et Tu sais avec quelle
force son père a combattu ses cigarettes et différentes choses; mais un
jour, c’est venu au travers du AINSI DIT LE SEIGNEUR. Il était pareil à
la femme qui persistait pour arriver là-bas. Bien que son commerce ne
marchât pas et que tout semblât aller mal, il a néanmoins pris une
partie de son argent et a attendu, d’une entrevue à une autre, jusqu’à
ce qu’un matin, cela arrive. Il croyait que cela arriverait.
Maintenant, il apporte son petit garçon dont la venue a été une
bénédiction pour lui. Oh, Dieu, le fruit de leur union. Je bénis ce
petit James William Arneff, au Nom de Jésus-Christ. Donne-lui une
longue vie. Fais-en un homme digne de Ton Évangile pour demain, s’il y
a un lendemain. Et finalement, dans le Royaume qui doit venir,
puissions-nous y être ensemble. En tant que Tes serviteurs, nous lui
imposons les mains et le consacrons à Jésus-Christ pour une vie de
service. Amen.
Vous en avez encore deux? Oh, ce sont les mêmes.
Très bien. Je crois que tu pourrais presque… Maintenant, voici Alvin
et… Al et Martha. Laissons l’assemblée… j’aime qu’ils voient les
enfants. Je pense que lorsqu’ils sont petits et jeunes, ils sont
charmants. Maintenant, imposons-leur les mains.
De même, Dieu tout-puissant, nous, tes serviteurs,
posons nos mains sur ces enfants qui sont le petit frère et la petite
sœur de ce petit garçon qui vient d’être consacré. Nous leur imposons
les mains pour leur consécration, venant du père et de la mère, pour
les placer dans les bras de Jésus-Christ, pour une vie de service, au
Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse. Que le Seigneur soit
avec vous.
Ce jeune homme, oh, c’est un grand garçon. Je
pouvais coiffer mes cheveux comme cela dans le passé… Comment
s’appelle-t-il? [Harold Keith Walker.] Quel brave garçon. Je me
demande… je ne sais pas, il me regarde un peu comme s’il allait…
Vraiment, c’est un gentil garçon. C’est un petit amour. Harold… Harold…
Harold Keith Walker.
Dieu tout-puissant, des bras des parents aux bras de
Jésus-Christ, nous T’apportons le petit Harold Keith Walker. Nous lui
imposons les mains pour sa consécration au Dieu tout-puissant. Comme le
père et la mère désirent que leur enfant soit élevé dans la crainte de
Dieu s’il y a un lendemain, fais de lui un serviteur digne de cette
consécration. Car nous, Tes serviteurs, posons nos mains sur cet enfant
et le consacrons au Seigneur Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse,
frère. Est-ce sœur Walker? C’est très bien. Vous avez un gentil garçon,
et puisse Dieu vous bénir.
Bien, monsieur… Cette petite fille… C’est frère
Grimsley… ah, Gramby. Je mélange les noms. Je connais un frère Grimsley
et je continue à penser que c’est lui. Frère Gramby apporte cette
petite fille, et quand elle est venue au monde, elle avait une grosse
nodosité au visage. J’ai prié pour elle et la nodosité a disparu. Et
maintenant ils veulent que nous prions parce que… Les parents sont-ils
chrétiens? [Ils ne sont pas chrétiens et ils ont peur qu’un mauvais
esprit soit en train de prendre possession de leur enfant. Et ils
veulent qu’il s’en aille.]
Prions. Seigneur Jésus, Tu as manifesté Ta grâce sur
cette enfant penchée là sur l’autel, en faisant disparaître cette
tumeur, cette nodosité de sa bouche. Maintenant, un mauvais esprit
essaie de prendre la vie de cette enfant. Il n’y a pas de doute que Tu
pourrais utiliser cette fille et que Tu projettes de le faire, mais
Satan essaie de contrecarrer Ton plan. C’est pourquoi, nous ordonnons à
Satan, au Nom de Jésus-Christ, de retirer ses mains et de s’éloigner de
cette enfant. Et nous la donnons au Seigneur Jésus-Christ pour la
gloire de Dieu. Amen. Croyez, frère Gramby. L’enfant paraît bien un peu
petite pour avoir la foi, mais ce sera ainsi.
32 Je L’aime, pas vous? Il est merveilleux. J’ai
promis, ce soir, que je sortirais vers 8 heures 30, ainsi
cela me donne une demi-heure. Maintenant, je ne sais pas, mais ce sera
peut-être un petit peu plus tard que cela. Mais maintenant…
33 Je suis content de voir frère Dauch ici, ce
matin. Je ne sais pas où est allé l’autre homme, mais ce matin, s’il a
un sosie… il y avait là un homme assis au fond qui lui ressemblait
comme deux gouttes d’eau. Je me suis dit: «Lequel est frère Dauch?»
J’ai regardé de long en large et j’allais lui donner un nom, mais
j’étais si pris par le Message… Vous savez, frère Dauch, vous êtes
toujours le même. Je suis si content de le voir dans cette condition.
34 Récemment, j’ai reçu un téléphone de Tucson afin
qu’on prie de nouveau pour lui, car quelque chose d’autre lui était
arrivé. Frère Dauch a, je pense, quatre-vingt-dix ou quatre-vingt-onze
ans. À cet âge, votre corps commence à tomber en douves. «Le malheur
atteint souvent le juste, mais l’Éternel l’en délivre toujours.» Et
parfois, quand le corps en arrive au point où rien ne tient ensemble,
je sais qu’il tient une Main. Bien qu’il ne soit qu’une poignée de
poussière, Dieu a promis de le ressusciter au dernier jour. Et je suis
si reconnaissant.
35 Je me souviens de frère Dauch quand il est entré
dans l’eau, ici, pour être baptisé au Nom de Jésus-Christ; il n’avait
même pas d’habits de baptême, mais il voulait le faire quand même. Et
Dieu a été bon pour cet homme. Pensez, il a dépassé de vingt ans le
temps que Dieu lui avait fixé. Voyez-vous? Si ce n’est pas la grâce! Et
l’autre jour, il était encore étendu dans une extrême faiblesse, secoué
en plus par une crise cardiaque. Si Dieu n’a pas guéri cet homme et ne
l’a pas relevé! Et je crois que depuis lors, son médecin est décédé.
Est-ce vrai? Oui, même le médecin, un médecin juif qui le
soignait et qui m’a parlé de lui dans le hall déjà n’est plus.
Voyez-vous? Oh! combien Son amour est profond! Combien Ton amour est
grand, Seigneur!
36 Nous avons ici quelques mouchoirs sur lesquels
nous allons prier dans quelques instants, mais je vais vous parler un
peu de la foi. Et ensuite, nous verrons comment le Seigneur conduit et
ce que nous allons faire après. Laissons cela simplement entre Ses
mains; c’est ce qu’il y a de mieux à faire.
37 Oh, être assis ensemble dans les lieux célestes!
J’ai parlé à des amis aujourd’hui, après être sorti du Blue Boar, et
j’ai dit: «Allez-vous rester pour le service?
— Oui.»
38 J’ai dit: «Vous devrez probablement conduire
jusqu’à minuit ou une heure.» Il prévoit d’arriver chez eux vers six
heures du matin; cela fait un long trajet. Souvenez-vous que ce sont
des humains et qu’il leur arrive d’être fatigués comme moi. Ils vont
jusque tout au sud du Tennessee. Que le Seigneur les bénisse!
39 Je pourrais dire autant de choses que cela
prendrait tout le temps, mais je ne vous vois pas si souvent et j’aime
pouvoir vous parler d’une façon ou d’une autre. Mais si je n’arrive pas
à vous dire combien je pense à vous, ici… Voyez-vous, je veux le dire à
ces frères dont certains ont fermé leur église.
40 Frère Jackson a donné ce matin cette belle
interprétation d’une langue inconnue dans laquelle un frère avait
parlé, confirmant et appuyant que c’était Dieu. Avez-vous remarqué? Il
n’a jamais dit que ce n’était pas juste. Il n’a jamais dit que ce
n’était pas ainsi. Il a simplement donné un avertissement selon lequel
il fallait écouter. Voyez-vous? Ainsi, frère Junior était ici ce matin
et a renvoyé sa réunion. Et je crois savoir que d’autres frères des
églises près de Sellersburg…
41 Et frère Ruddell, il était ici ce matin. Je ne
sais pas s’ils sont là ce soir ou pas… Oui, ils sont de nouveau là ce
soir. Eh bien, que le Seigneur vous bénisse, frère Ruddell. Et vous… je
n’arrive pas à exprimer ce que je pense, mais peut-être… mais quand
nous serons de l’autre côté, je veux m’asseoir avec chacun de vous dix
mille ans, vous voyez. Ainsi, nous pourrons en rediscuter.
42 Ainsi, pendant que la moisson est mûre et que les
ouvriers sont peu nombreux, mettons-nous à creuser, là, au cas où il y
aurait un pécheur à côté. Il y a peut-être quelqu’un pour qui ce soir
apportera un changement dans le cours de sa vie. Et si ce n’est pas
arrivé ce matin, ce soir verra peut-être le Livre se fermer.
Souvenez-vous que pas un seul de plus n’entrera, quand ces noms auront
été rachetés! Avant…
43 Maintenant, que chacun écoute attentivement avant
que je lise l’Écriture. Tous ceux qui devaient être une fois rachetés,
Dieu mit leurs noms dans le Livre de Vie de l’Agneau, avant même que le
monde fut créé. Combien le savent? C’est l’Écriture. Et l’antichrist,
dans les derniers jours, ressemblera tellement à la chose véritable, à
la véritable Église, comme le fut Judas, qu’il séduirait même les élus,
s’il était possible. Est-ce vrai? Mais nul ne peut venir à Jésus si
Dieu ne l’y envoie, et tout ce que Dieu Lui a donné viendra à Lui. Et
quand Il prend ce Livre, le dernier nom…
44 Voyez-vous, tous dans l’âge de Luther, Il les a
fait sortir. Tous dans l’âge de Wesley, Il les a fait sortir. Tous dans
les différents âges, l’âge pentecôtiste, Il les a fait sortir. Ils sont
de ce côté et ils ne seront pas jugés avec eux; ils seront enlevés. Et
quand apparaît ce dernier nom qui avait été placé dans le Livre de Vie
de l’Agneau qui fut immolé avant la fondation du monde, quand ce
dernier nom a été racheté, Son œuvre est terminée. Il s’avance pour
réclamer ceux qu’Il a rachetés.
45 Cela fait saigner notre cœur. Mais si cela
continuait encore mille ans, il n’y aurait pas un seul racheté de plus.
Nul ne peut être racheté à moins d’avoir été placé dans le Livre de Vie
de l’Agneau avant la fondation du monde. Qui sont-ils? — Je ne sais
pas. Personne ne le sait, voyez-vous. Dieu seul. J’espère fermement que
le nom de chacun d’entre nous est dans ce Livre. Si le mien y était, je
suis sûr d’y être. S’il n’y était pas, je n’y serai pas, c’est tout.
Voyez-vous, cela dépend de Dieu. «Cela ne dépend ni de celui qui veut,
ni de celui qui court, mais de Dieu qui fait miséricorde.» Voyez-vous?
46 Maintenant, approchons-nous de la Parole avec
tout le respect et la sincérité possible. Je pense que c’est une chose
que nous devons faire, voyez-vous. Arrêtons autant de non-sens! Soyez
respectueux, sincère! Je prête attention parfois à ces confessions,
quand ils… à la télévision, quand ils eurent cette réunion de Billy
Graham. Je n’ai rien contre Billy Graham, mais là-bas, en Californie,
l’homme prêcha un merveilleux message ce dernier soir; il prêcha
exactement la même chose que moi ici, il n’y a pas longtemps, sur
Daniel: «Tu as été pesé dans la balance et tu as été trouvé léger.»
Combien l’ont vu? Beaucoup parmi vous, je pense.
47 Regardez. Avez-vous remarqué ces gens qui
venaient des couloirs en mâchant du chewing-gum, en se taquinant et
riant? Ce n’est pas marcher entre la vie et la mort, ce n’est pas avoir
du regret pour ses péchés et se repentir, voyez-vous? C’est simplement
ce que Billy a dit: «Prendre une décision.» Et une décision froide,
l’œil sec, n’est rien, voyez-vous; ce n’est rien. Vous devez avoir du
regret pour vos péchés et vous en séparer. Billy lui-même a dit, pour
prouver cela: «De ces trente mille, vous ne pouvez pas en trouver
trente une année plus tard.» L’autre jour, j’ai dit: «Qu’y a-t-il avec
New York? J’ai eu là cette grande réunion, et qu’est-il arrivé?
Maintenant, le péché est pire que jamais.» Et ça continuera à empirer!
48 Il n’y aura pas de repentance nationale. La
nation est finie. Seulement vous en tant qu’individus. Mais bientôt ce
sera terminé, si ce n’est pas déjà le cas. Maintenant, inscrivez
simplement cela, vous jeunes gens. Voyez jusqu’à quel point frère
Branham… ce n’est pas frère Branham, voyez si ce que j’ai dit est juste
ou faux. Le péché deviendra toujours pire, jusqu’à ce qu’un jour, les
cieux s’enflamment. Elle tombera sur la terre et la terre brûlera avec
une grande chaleur. Mais les rachetés ne seront pas ici à ce moment-là,
ils seront partis.
49 Maintenant, dans le livre de Saint Marc, au
chapitre 11; I Jean 4.4, et Matthieu 28.20, j’aimerais lire…
50 Maintenant, premièrement j’aimerais lire dans
Saint Marc, au chapitre 11, et les versets 12 à 24. Écoutez maintenant
très attentivement ce passage de l’Écriture. Ceci servira de base à un
petit témoignage et à quelques paroles d’exhortation. Et ensuite nous
verrons ce que le Seigneur veut que nous fassions. Que chacun reste
assis, et soyez en prière maintenant, pendant que nous lisons.
51 Marc 11.12:
Le lendemain, après qu'ils furent sortis de
Béthanie, Jésus eut faim.
Apercevant de loin un figuier qui avait des
feuilles, Il alla voir s'Il y trouverait quelque chose; et, s'en étant
approché, Il ne trouva que des feuilles, car ce n'était pas la saison
des figues.
Prenant alors la parole, Il lui dit: Que jamais
personne ne mange de ton fruit! Et Ses disciples L'entendirent.
Ils arrivèrent à Jérusalem, et Jésus entra dans le
temple. Il se mit à chasser ceux qui vendaient et qui achetaient dans
le temple; Il renversa les tables des changeurs, et les sièges des
vendeurs de pigeons;
et Il ne laissait personne transporter aucun objet à
travers le temple.
Et Il enseignait et disait: N'est-il pas écrit: Ma
maison sera appelée une maison de prière pour toutes les nations? Mais
vous, vous en avez fait une caverne de voleurs.
Les principaux sacrificateurs et les scribes,
L'ayant entendu, cherchèrent les moyens de Le faire périr; car ils Le
craignaient, parce que toute la foule était frappée de Sa doctrine.
Quand le soir fut venu, Jésus sortit de la ville.
Le matin… (maintenant, c'est un autre jour) …en
passant, les disciples virent le figuier séché jusqu'aux racines.
En vingt-quatre heures, le miracle était arrivé,
après qu'Il lui eut dit: «Que personne ne mange…» À ce moment-là, rien
ne semblait être arrivé; mais d'ici le jour suivant, il avait séché.
Pierre, se rappelant ce qui s'était passé, dit à
Jésus: Rabbi, regarde, le figuier que Tu as maudit a séché.
Jésus prit la parole, et leur dit: Ayez foi en Dieu.
Je vous le dis en vérité, si quelqu'un dit à cette
montagne: Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer, et s'il ne doute
point en son cœur, mais croit que ce qu'il dit arrive, il le verra
s'accomplir.
C'est pourquoi Je vous dis: Tout ce que vous
demanderez en priant, croyez que vous l'avez reçu, et vous le verrez
s'accomplir.
Et, lorsque vous êtes debout faisant votre prière,
si vous avez quelque chose contre quelqu'un, pardonnez, afin que votre
Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos offenses.
Mais si vous ne pardonnez pas, votre Père qui est
dans les cieux ne vous pardonnera pas non plus vos offenses.
Il y a une condition.
52 Maintenant, j’aimerais lire I Jean 4.4:
Vous, petit enfants, vous êtes de Dieu, et vous les
avez vaincus, parce que… (écoutez attentivement!) …Celui qui est en
vous est plus grand que celui qui est dans le monde.
53 Puis-je le lire de nouveau:
Vous, petits enfants, vous êtes de Dieu, et vous les
avez vaincus… (parlant de l’antichrist) …parce que Celui qui est en
vous est plus grand que celui qui est dans le monde.
Deux pronoms, voyez-vous. Celui, un pronom
démonstratif.
Celui qui est dans le monde et Celui qui est en
vous. Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le
monde.
54 Maintenant, le chapitre 28 de Saint Matthieu, et
le verset 20:
Enseignez-leur à observer tout ce que Je vous ai
prescrit. Et voici, Je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du
monde.
55 Ce soir, j’aimerais prendre le texte suivant:
Celui qui est en vous. Et sur ce thème j’aimerais construire votre foi,
en vue bien sûr d’un service de prière. Et pour commencer, aussi vite
que…
56 Maintenant, c’est comme je vous l’ai dit, j’aime
vous mettre au courant des événements qui sont arrivés, et,
généralement, j’attends de venir ici à l’église pour en parler.
Ensuite, si d’autres veulent l’entendre, ils peuvent écouter les
bandes; mais j’attends d’être ici. À propos de l’événement dont je vais
vous parler maintenant, il y a ici plusieurs témoins, des frères
chrétiens. Frère Banks Wood était présent. Il y avait aussi frère David
Wood. Et encore frère Evans et son fils Ronald, qui sont également ici.
Il y avait aussi notre fidèle diacre, frère Wheeler. Comme autre
personne présente, il y avait frère Mann. Frère Mann est-il ici? … de
New Albany? Un prédicateur méthodiste que j’ai baptisé récemment au Nom
de Jésus-Christ. Il y était aussi quand c’est arrivé.
57 Cela faisait un certain temps, voire plusieurs
années, que j’avais un lourd fardeau sur ma poitrine, ou plutôt dans
mon cœur. C’était comme si j’avais fait quelque chose de faux. Et à
plusieurs reprises, j’ai regardé dans ma vie ce qui pouvait être faux.
«Seigneur, si j’ai fait quelque chose de faux, alors révèle-le-moi et
j’irai le rectifier.» Mais rien ne m’était révélé. Je disais: «Ai-je
blessé quelqu’un? Ai-je laissé quelque chose d’inachevé? Ai-je… Est-ce
que je lis assez? Est-ce que je prie assez?» Et je lisais et je priais,
et je pensais: «Révèle-le-moi, ai-je blessé quelqu’un? Si c’est le cas,
j’irai le rectifier. Montre-le-moi simplement, je ne veux pas ce
fardeau.» Et durant ces cinq dernières années, depuis que j’ai quitté
le champ missionnaire, j’ai eu un fardeau dans mon cœur.
58 Je suis allé dans la montagne, je suis allé au
bord de la mer, j’ai été partout, et j’ai prié, j’ai prié et j’ai prié,
et cela ne voulait pas diminuer. J’ai pensé à toutes sortes de choses,
me demandant si j’avais fait quelque chose. Mais ça ne voulait toujours
pas diminuer. J’étais comme en esclavage. C’est très étrange que cela
se soit dissipé au moment où ce Message a été apporté ce matin. Est-ce
Dieu qui le retenait en vue de ceci? Je ne sais pas. Voyez-vous, je…
ces choses sont toutes dans mon esprit. Vous pouvez vous imaginer ce
qu’il y a dans le cœur d’un homme quand vous devez supporter cela.
Voyez-vous? Savoir ce qui arrive et devoir le dire aux gens, conscient
que certains l’interpréteront mal, et que les uns partiront dans cette
direction, et les autres dans cette autre direction. Vous savez comment
c’est; certains le croiront, d’autres ne le croiront pas, et… Mais
c’est ce que vous devez endurer.
59 Comment pouvez-vous le dire sans blesser? Comment
devez-vous le dire pour obtenir le résultat désiré? Comment devez-vous
le dire, afin de montrer aux gens que vous ne cherchez pas à les
accuser, mais que vous les aimez? Comment pouvez-vous être strict et
ferme, et pourtant être plein d’amour et… Comment allez-vous le
présenter? Mais malheur à moi si je ne l’annonce pas! Voyez-vous? Vous
y êtes. Voyez-vous? Ce n’est pas étonnant que cela vous rende nerveux
et travaillé.
60 J’étais venu d’Arizona pour rencontrer ici un
groupe de frères qui vont chaque année chasser avec moi dans le
Colorado. Maintenant, certaines personnes m’ont demandé: «Pourquoi
allez-vous chasser? Qu’est-ce qui vous pousse à le faire?» Voyez-vous?
Ici vous vous rechargez, et moi je me vide. Là-bas, je me recharge,
pour que je puisse me vider ensuite. Voyez-vous. Je n’y vais pas
simplement pour tirer du gibier. N’importe qui, ici, qui part avec moi,
sait que j’ai passé à côté de centaines de bêtes sans jamais les tirer.
Je ne fais pas cela.
61 Ici, il n’y a pas longtemps, j’ai commencé à
tirer du gibier pour les hommes d’affaires chrétiens. «Quand tu
partiras, me disait-on, Billy, attrape-moi un mâle. — Attrape-moi une
femelle. — Attrape un élan. — Attrape-moi ceci ou cela.» Je partais et
je tirais du gibier à gauche et à droite. Le Seigneur m’a aidé à voir
et à trouver le gibier et, étant un assez bon tireur, à les toucher.
Eux restaient simplement assis à parler de leurs affaires.
62 Puis le Seigneur me dit de ne plus faire cela.
J’en ai eu du regret; c’est pourquoi je Lui ai promis que je ne le
ferais plus, vous savez. J’ai dit: «Si c’est une urgence et que
quelqu’un en a besoin, je le ferai. Mais s’ils n’en ont pas besoin, je
ne le ferai pas.» Car ces hommes ont suffisamment d’argent pour
s’acheter du bœuf ou autre. Ainsi, pourquoi devrais-je le faire?
Laissez l’animal vivre, si vous n’avez pas l’intention de l’utiliser.
63 Ainsi, je pars simplement pour être seul. Et
n’importe quel homme qui va chasser avec moi sait que je ne chasse avec
personne. Je pars de mon côté pour être seul. Je vais avec eux pour
pouvoir fraterniser le soir et nous tenir debout en cercle pour prier,
etc. Mais cette année, il y avait là, en haut de la montagne, beaucoup
d’autres prédicateurs, entre autres notre frère Palmer. Je crois
l’avoir vu il y a quelques instants. Le voilà qui est assis là, frère
Palmer. Et un certain frère Bob Lambert; il était ici ce matin. J’ai
reconnu sa voix quelque part. Je pense qu’il est toujours ici. Il y
avait aussi frère… les deux frères Martin. Je pense qu’ils sont ici.
Sont-ils ici, les frères Martin? Frère Martin. Vous m’avez téléphoné
l’autre jour, c’était bien. Cet homme a été guéri, ce frère prédicateur.
64 Êtes-vous ici, pour lequel j’ai prié au téléphone
l’autre jour? J’ai oublié son nom. Il vient de l’Arkansas. Sa femme m’a
téléphoné; l’homme était tout enflé de côté, avec une forte fièvre, et
il se mourait. Le même homme qui a été désigné à Little Rock… ou à la
réunion de Hot Springs. Il a bonne façon. S’il est ici, je pense qu’il
ne va pas se lever, maintenant. Mais j’ai oublié son nom. Je ne peux
pas me rappeler son nom. Blair! Frère Blair. Il se trouvait à la
réunion de Little Rock. Combien étaient à… je veux dire, à Hot Springs?
Combien étaient à la réunion? Et le Saint-Esprit appela cet homme et
lui dit que le diable essayait de l’amener à me renier, disant que
j’étais un faux prophète. Et l’homme attesta que c’était la vérité.
Voyez-vous ce que le diable était en train de faire? Cet homme ne va
pas chez le médecin, parce qu’il ne croit pas que ce soit juste. Mais
Satan savait que cette maladie allait le frapper et qu’il pourrait le
faire mourir à ce moment-là. Voyez-vous? Ainsi, il essayait de faire en
sorte qu’il me renie. Et le Saint-Esprit, dans Sa grâce, le désigna et
lui dit de ne pas faire cela. Cet homme m’était inconnu. Il lui dit de
ne pas faire cela.
65 Et l’autre soir, sa femme m’appela, en disant:
«Frère Branham, je crois qu’il est en train de mourir.» Elle ajouta:
«Il est tout enflé, et la fièvre… il est presque hors de lui-même. La
dernière chose qu’il a dite, c’était: `Appelle frère Branham.’»
J’ai dit: «Avez-vous quelque chose, un mouchoir dans
votre sac?
— Non.» J’étais à Tucson, elle était en Arkansas.
Et je dis: «Avez-vous autre chose?»
Elle répondit: «Je crois… son foulard.»
Je dis: «Bon, posez votre main sur le foulard. Et
maintenant, tenez le récepteur dans l’autre main.» Et j’ai prié en
demandant à Dieu d’être miséricordieux et de faire partir cet ennemi.
66 Et elle alla poser le foulard sur cet homme. Et
le matin suivant, c’est lui qui m’appela. Voyez-vous? En vingt-quatre
heures environ, ou même moins.
67 Notre cher frère, je ne l’ai pas encore vu ce
soir, frère Roy Roberson. Vous savez, frère Roy était militaire. S’il
est ici, j’espère qu’il comprendra, parce que je ne condamne pas cela.
Là, tout est strict; il était sergent à l’armée, vous savez, et habitué
à commander des hommes. Il dit: «Eh bien, toutes ces choses
spirituelles sont pour les autres.» Voyez-vous, pas pour lui! Mais le
Seigneur l’épargna. Il devrait être mort. On l’a considéré comme mort
pendant longtemps, mais le Seigneur l’a guéri. Il L’a suivi depuis ce
moment-là. Mais de toutes les choses spirituelles, il n’en savait rien,
des visions non plus.
68 Et ici, il n’y a pas longtemps, beaucoup
connaissent la vision qu’eut frère Roy. Avant même que j’aille là-bas,
me voyant debout sur la montagne, avec cette Lumière et une Voix qui
venait de là, cela enleva tout doute dans le cœur de frère Roy.
69 Et l’autre soir, il fut frappé à tel point qu’il
tomba très malade et que sa température monta beaucoup. Le médecin lui
avait donné des médicaments, mais ils ne lui faisaient aucun bien et il
en était même arrivé au point où il ne pouvait plus bouger. Ses jambes
et son corps étaient comme paralysés.
70 Le pauvre frère avait été touché par des éclats
d’obus d’un 88 allemand, et cela le… je crois que tout son détachement
fut tué à l’exception de lui, qui était là, grièvement blessé.
71 Et savez-vous ce qui est arrivé? J’ai dit à sa
femme, sœur Roberson, de… je lui dis: «Avez-vous quelque chose là-bas?»
72 Et elle répondit: «J’ai un mouchoir sur lequel il
désire que l’on prie.
73 — Allez le chercher.» J’étais donc à Tucson. Elle
a posé sa main là-dessus, j’ai prié, chassé cela, et dit: «Sœur
Roberson, ça va disparaître.»
74 Quelque chose venait de me dire: «Ça va
disparaître, dis-le!» Et en une demi-heure, la fièvre avait disparu et
il était à la cuisine cherchant quelque chose à manger. Voyez-vous?
75 Ce que j’essaie de dire, c’est, ne perdez jamais
confiance. Ne laissez pas Satan vous dire du mal de moi, parce
qu’il y en a beaucoup. Mais gardez cette confiance, parce que si vous
ne le faites pas, cela n’arrivera pas. Ne regardez pas à moi en tant
qu’homme. Je suis un homme, je suis plein de fautes. Mais regardez à ce
que je dis à Son sujet. C’est Lui, c’est de Lui qu’il s’agit.
76 Alors que nous étions là-haut dans le Colorado…
Nous y étions retournés et il avait fait très sec; le gibier était
rare. Le Seigneur avait béni frère Wheeler et lui avait donné un beau
trophée. Nous en étions si heureux, car c’était la première fois qu’il
était allé chasser dans les bois, et le Seigneur l’avait béni. Ensuite,
j’ai tiré un beau trophée que je recherchais depuis vingt ans, frère
Banks et moi l’avions longtemps pourchassé. Et quand je tirai avec mon
fusil… J’avais amené mon fusil d’une région chaude et le changement de
température avait fait gonfler le fût, si bien qu’il tira plusieurs
centimètres à côté. L’animal, debout entre les arbres, fut touché au
mauvais endroit. S’il avait été touché plus bas, il eut été tué avec
humanité en une seconde. Mais il fut touché si haut, qu’il sauta et
tomba comme cela.
77 Billy était avec moi, et il dit: «Il a été
touché.» Je le croyais aussi; mais quand nous sommes arrivés sur place,
ce n’était pas le cas. Ainsi, il dit: «Tu as touché un arbre.» J’ai
regardé de haut en bas, mais il n’y avait pas de marque à aucun arbre.
Ensuite, je suis parti à sa recherche. C’est alors que vint un signe
d’avertissement. Il y avait une centaine d’hommes, juste au-dessus de
nous. Frère Palmer et les autres en sont témoins. Frère Evans aussi,
c’est juste, il y était. Frère Welch Evans et son garçon Ronnie (je
crois que je l’ai nommé il y a quelques instants). De nombreux hommes
étaient partis au-dessus de nous vers ce qu’on appelle le camp des
vaches, le point d’attache du cow-boy, où il monte à cheval et garde
les vaches séparées. Dans le temps, j’ai aussi été dans ce camp
surveiller le bétail et le garder séparé.
78 Ainsi, il y avait là environ cent hommes. Tout le
monde sait que dans cette contrée, lorsqu’un blizzard est annoncé, la
meilleure chose à faire, c’est de partir immédiatement. Ainsi, frère
Palmer et les autres partirent tôt, parce qu’ils n’avaient qu’une
transmission à trois vitesses à leur voiture et qu’ils devaient partir
de là, parce que le temps… Si vous êtes là, il se peut que vous ayez à
y rester des semaines. Ainsi, ils dirent: «Il y a un blizzard qui
vient. Les prévisions du temps, les journaux, la radio l’ont annoncé.»
Chargement après chargement, pratiquement tout ce qu’il y avait là-bas
partit. Ils partirent immédiatement, parce qu’ils savaient que c’était
la chose à faire.
79 Mais mes frères avaient deux permis pour chasser
le cerf et ils ne voulaient pas partir. Je dis alors: «Eh bien,
restons.» Mais, j’avais une réunion environ six jours plus tard, et je
devais retourner à Tucson.
80 En outre, ma petite femme… Nous avons été mariés
vingt-deux ans. Et pendant vingt ans, le jour de notre anniversaire, je
m’étais trouvé chaque fois là-bas. Ça s’est trouvé que cela tombait sur
cette date. Alors, j’ai trouvé un petit coin où j’allais toujours
prier. Il ressemblait à l’endroit où je l’avais emmenée, un jour.
81 Vous savez, j’ai fait un petit quelque chose.
Comme je n’avais pas assez d’argent pour faire à la fois une tournée de
chasse et ma lune de miel, j’ai pris en quelque sorte ma femme dans une
tournée de chasse, en guise de lune de miel. Ainsi nous étions à New
York, et je me souviens l’avoir aidée à passer par-dessus les troncs
pour arriver à un certain endroit. Et j’ai là-bas un petit coin où je
pense toujours à elle, quand j’y vais au moment de notre anniversaire.
Le 23 octobre tombe pendant la période de chasse, et pendant vingt ans
je n’ai pas été à la maison; j’étais toujours là-bas.
82 Ainsi, ce jour-là, c’était notre anniversaire. Et
frère Mann… Je dis: «Maintenant, si vous, frères…» Je dis, autour du
feu ce matin-là, ou plutôt ce soir-là: «Si vous voulez tous rester,
souvenez-vous que nous serons peut-être ici un mois.» J’ai vu tomber
six mètres et demi de neige en une nuit. Vous alliez là-bas et c’était
parfaitement sec et beau. Mais le matin suivant, il y avait comme ça de
neige, peut-être plus haut que votre tente. Alors, vous restiez là
jusqu’à ce que ça fonde. Ainsi, vous êtes à vingt-cinq ou trente
kilomètres à l’intérieur d’un lieu sauvage, c’est pourquoi j’ai dit… Et
s’il y a une urgence, bien sûr, on envoie des hélicoptères et on vous
en fait sortir, mais si… Généralement, si personne n’est en danger de
mort, il faut attendre là.
83 Ainsi, tout le monde fila dès qu’ils entendirent
les prévisions du temps. Quant à nous, nous étions là-bas, et je dis:
«Maintenant, décidez-vous! Si vous voulez rester, je suis ici pour
chasser avec vous. Je téléphonerai à mon épouse pour lui dire: Heureux
anniversaire! Puis, nous irons faire des emplettes, parce que
nous devrons peut-être rester ici.» Nous n’avions plus de pain. Et je
ne veux plus voir ces grandes crêpes pendant longtemps! Ah, ces crêpes!
J’en avais mangé au Canada pendant vingt et un jours et j’en avais
sûrement ma ration. Ainsi, je voulais acheter du pain.
84 Ils dirent qu’ils voulaient rester. Ainsi, il n’y
avait rien d’autre à faire que de rester. Frère Mann et moi, nous
sommes partis acheter des provisions. Je voulus téléphoner à mon
épouse, mais personne ne répondait. Personne ne répondait. J’attendis
environ une heure, jusqu’à ce que nous ayons fait nos emplettes. Je
retournai téléphoner, mais elle ne répondait toujours pas. Je dus alors
téléphoner à sœur Evans, — je crois que sœur Evans est ici, je lui ai
dit… Oui, frère et sœur Evans sont ici.
85 Je téléphonai donc à sœur Evans de la part de son
mari et lui dis ce qui en était. Elle dit: «Eh bien, je téléphonerai à
sœur Branham et lui souhaiterai un heureux anniversaire.» Mais à ce
moment-là elle était partie faire des emplettes pour les enfants.
86 Puis nous sommes rentrés. Le lendemain, le ciel
était couvert de nuages. Il n’avait pas plu là-bas pendant tout
l’automne et c’était vraiment sec. Ils durent prolonger la saison de la
chasse de quelques jours à cause de la sécheresse. Ce matin-là, je dis
aux frères: «Maintenant, à la première goutte de pluie, au premier
flocon de neige, ou premier grésil ou autre, revenez au camp aussi vite
que possible, car dans les quinze minutes qui suivront, vous ne pourrez
plus voir votre main devant vous. Voyez-vous? Ça va commencer à
souffler en rafales, et, quelle que soit votre connaissance de la
région, vous serez bloqués où vous serez et vous périrez. Car il arrive
que vous ne pouvez même pas respirer à cause du grésil qui souffle si
fort, et vous mourez sur place.» Et j’ajoutai: «Dès que ce grésil
commencera à tomber, revenez au camp aussi vite que possible, peu
importe où vous serez.»
87 Puis je dis: «Montez là-haut et mettez-vous dans
ces ravins. Moi, je monterai très haut et ferai rouler des pierres pour
faire peur aux cerfs; cela les fera descendre et vous attraperez ce que
vous voudrez.»
88 Je commençai à grimper très haut et comme
j’arrivais à un endroit que nous appelons la selle… J’ai l’habitude de
passer par là pour aller au lieu dit Quaker Knob, qui se trouve juste
sur la ligne de partage des eaux continentales, là-bas, tout en haut.
Et comme j’arrivais presque à cette petite selle, les nuages devinrent
toujours plus noirs. Il ne restait plus une voiture, il n’y avait que
nous là-haut et le cow-boy au camp. Le temps continua à se gâter et au
bout de quelques minutes, il commença à pleuvoir… Je pris mon fusil et
le mis sous ma veste pour éviter que la lunette se couvre de buée et
que le fût soit mouillé. Il se pouvait que je rencontre un ours ou
quelque chose d’autre en revenant, c’est pourquoi je tins la lunette
comme cela. Je m’assis quelques minutes sous un arbre. J’étais assis là
et je priais. Je dis: «Seigneur Dieu, Tu es le grand Jéhovah et je
T’aime.»
89 Que d’expériences j’ai vécues! J’ai montré aux
frères, à frère Palmer et aux autres, les endroits où l’aigle… Vous
savez, je l’ai vu s’élever ce jour-là comme… C’est là que toutes ces
choses sont arrivées. C’est quelque chose de sentimental pour moi. J’ai
vécu tellement d’expériences merveilleuses avec mon Seigneur là-bas
dans ces montagnes. Vous ne pouvez pas aller là-bas sans Le voir; Il
est partout.
90 Alors que j’étais assis là, le grésil commença à
tomber et le vent à souffler. Je dis: «Je connais le chemin pour
descendre, mais je ferais mieux de partir d’ici immédiatement.»
91 Je regardai vers le bas; je ne pouvais même plus
voir ce qu’il y avait en contre-bas, avec ces nuages qui
tourbillonnaient et ce grésil qui soufflait. Et voilà! c’était le
blizzard. On avait annoncé depuis plusieurs jours qu’un grand blizzard
viendrait.
92 Frère Tom est ici. Frère Tom Simpson, alors qu’il
venait du Canada, entendit les prévisions du temps et on lui
déconseilla de traverser cette partie du pays, parce que les prévisions
du temps disaient: «Il va y avoir un blizzard.» Où êtes-vous frère Tom?
Je pense que… oui, le voilà. Le blizzard arrivait. Tout le monde avait
pris ses dispositions en vue de cela.
93 Je remis mon fusil sous ma chemise comme ceci, ma
chemise rouge, et je me mis à redescendre de la montagne. Je marchais
et j’étais maintenant à environ huit cents mètres de la selle. Oh là
là! avec ces flocons de neige gros comme ça et le vent qui
tourbillonnait et soufflait sur cette montagne, je ne pouvais plus en
voir le pied. Je pouvais voir à environ six mètres devant moi ou
peut-être neuf mètres, et je savais que je devais descendre ce qu’on
appelle le dos d’âne, une petite crête, et que je devais ensuite
arriver au ruisseau; je savais que je devais le suivre. Je savais aussi
où aller si ça se gâtait vraiment.
94 Ainsi, je me mis à descendre, et à mi-chemin
environ, quelque chose me dit aussi clairement que vous pouvez
m’entendre: «Arrête-toi et fais demi-tour!»
95 Oh, je pensai: «Qu’est-ce qui me prend? Peut-être
que ce n’est que mon imagination.» Mais, je ne pus pas faire un pas de
plus en avant.
96 David m’avait préparé un sandwich ce matin-là, et
je pense qu’il essayait de me rendre la pareille pour en avoir préparé
un une fois pour son papa, avec des oignons et du miel. C’est tout ce
que nous avions. Ainsi, il m’en prépara un avec de la charcuterie, et
oh! je ne sais pas du tout ce qu’il y avait là-dedans! Je l’avais dans
ma chemise; il avait été mouillé à travers ma chemise, et je pensai:
«Je vais m’arrêter et manger ça, et peut-être qu’ensuite tout ira
bien.» Je sortis le sandwich; il était environ dix heures, et je
commençai à manger. Alors que je mangeais le sandwich, je pensai:
«Maintenant, ça va bien aller pour moi», et je me remis en marche. Mais
quelque chose me dit: «Retourne d’où tu viens!»
97 Retourner dans cette tempête! Huit cents mètres
ou plus en haut de la montagne, dans ce bois sombre où vous pouviez à
peine voir plus loin que d’ici à cet orgue, mais, je deviens vieux!
Voilà trente-trois ans que je suis chrétien, et je sais que peu importe
combien cela peut paraître ridicule, obéissez toujours au Seigneur.
Faites ce que le Seigneur dit.
98 Je fis demi-tour et repartis vers la selle, en
cherchant mon chemin. Oh, le grésil devenait toujours plus fort et il
faisait toujours plus sombre. Je m’assis là et je mis ma veste comme
ceci, ou plutôt ma chemise sur la lunette. Je m’assis. Je pensai: «Que
suis-je en train de faire ici? Pourquoi revenir ici?»
99 J’attendis quelques minutes. Puis je me levai et
aussi clairement que j’eus souhaité l’entendre, une voix me dit: «Je
suis le Créateur des cieux et de la terre! J’ai créé le vent et la
pluie.» J’enlevai mon chapeau.
100 Je dis: «Grand Jéhovah, est-ce Toi?»
101 Il dit: «Je suis celui qui a fait cesser les
vents sur la mer. Je suis celui qui a apaisé les vagues. J’ai créé les
cieux et la terre. Ne suis-Je pas celui qui t’a dit de parler et
qu’ainsi des écureuils ont été créés. Je suis Dieu.»
102 Maintenant, quand une voix vous parle, observez
l’Écriture. Si ce n’est pas scripturaire, laissez cela. Peu importe
combien cela paraît clair, restez-en éloigné.
103 Je dis: «Oui, Seigneur.»
104 Il dit: Parle au vent dans cette tempête et il
s’en ira.» Maintenant, cette Bible se trouve devant moi, ma vie est
là-dedans.
105 Je me levai et dis: «Je ne doute pas de Ta voix,
Seigneur!» Et j’ajoutai: «Nuages, neige, pluie, grésil, votre présence
me déplaît. Au Nom de Jésus-Christ, retournez d’où vous êtes venus! Et
maintenant, j’ordonne au soleil d’apparaître immédiatement et de
briller pendant quatre jours, jusqu’à ce que notre tournée de chasse
soit terminée et que je parte avec mes frères.»
106 Ça jaillissait comme ça: WHOOOOSSSSH. Ça
commença à faire WHOOOSH; et ensuite, cela fit WHEW WHEW WHEW WHE, et
ça s’arrêta!
107 Je restai tranquille. Mes frères là-haut se
demandaient ce qui arrivait. Le grésil et la pluie s’arrêtèrent. Un
vent se mit à tournoyer sur la montagne et à soulever les nuages; l’un
partit de ce côté, en direction de l’est; l’autre, au nord, puis à
l’ouest et au sud. Et dans les quelques minutes qui suivirent, le
soleil se mit à briller et à faire sentir sa chaleur. C’est la vérité!
Dieu sait que c’est la vérité. Et j’étais là, mon chapeau à la main,
regardant tout autour de moi.
108 Vous pensez, je devins comme paralysé.
109 Je pensai: «Le Dieu même de la création… tout
est dans Sa main! Qu’est-Il en train de me montrer?»
110 Je ramassai mon fusil, essuyai la lunette et me
mis à redescendre la colline. Et quelque chose me dit: «Pourquoi ne
viens-tu pas te promener avec Moi dans ce lieu sauvage et marcher un
peu avec Moi?»
111 «Oui, Seigneur, de tout mon cœur, ce serait
l’une des choses les plus merveilleuses que de marcher avec Toi.» Mon
fusil à l’épaule, je me mis donc à marcher entre ces arbres vierges, où
jamais une hache n’avait été utilisée.
112 Alors que je marchais sur ces pistes de gibier,
je pensai: «Je crois que je vais monter à l’endroit où… C’était hier
notre anniversaire et je vais rester là-bas quelques minutes. Ceci afin
de rendre un petit salut à Meda, à l’endroit où il y a plusieurs
trembles sur un petit mamelon.» Et je dis: «Je crois que je vais
marcher jusque là pour marquer notre anniversaire. Puis je redescendrai
de l’autre côté de ces bois sombres. Je me dirigerai vers les pics
Corral et je reviendrai par là.» J’étais réjoui tout en marchant.
113 Je disais: «Père, je sais que Tu marches avec
moi. Quel privilège! Je ne pourrais marcher avec personne de plus
grand, car c’est Dieu Lui-même!» Et ce soleil chaud, même quand je
quittai les montagnes…
114 Je me suis arrêté à des stations d’essence, et
j’ai dit: «Quel beau jour!» C’était trois jours plus tard; il ne plut
pas dans cette partie du pays jusqu’à la fin des quatre jours. Le
soleil brilla chaque jour. Est-ce vrai, frères? Voyez-vous. Et pas un
nuage dans le ciel.
115 En arrivant à la station d’essence, je dis:
«C’est vraiment une belle journée.
— Oui, en effet.»
Je dis: «Il a fait terriblement sec.»
116 Il a dit: «C’est étrange! …(ce service-man dit)…
vous savez, on nous a dit que nous allions avoir un gros blizzard, mais
tout à coup, il s’est arrêté!»
117 Continuant ma route, j’arrivai à la frontière du
Nouveau Mexique. Mon fils Billy et moi, nous entrâmes là-bas dans un
petit magasin pour acheter… le matin de notre départ, et je dis: «C’est
vraiment une belle journée.
— Oui, en effet.»
Je dis: «On dirait que ça été assez sec.
— Oui, c’est vrai.»
Je dis: «Êtes-vous d’ici?»
118 Il répondit: «Non, je viens du Wisconsin, de par
là-bas.» Il ajouta: «J’habite ici depuis vingt ans environ; ainsi, je
pense que je peux me considérer chez moi.»
119 Je dis: «Vous êtes alors un indigène, je pense.»
«Oui, monsieur», me répondit-il. Je dis: «On dirait que ça été très
poussiéreux?»
120 Il dit: «Vous savez, la chose la plus étrange
est arrivée. On nous a annoncé que nous aurions du blizzard et beaucoup
de neige. Cela a effectivement commencé, puis ça s’est arrêté!»
121 Je dis: «Vraiment?»
122 Puis, j’arrivai à la maison. Frère Tom déclara
qu’il avait été averti de ne pas aller dans cette direction, un
blizzard étant attendu. Et il avait traversé la région sans même une
goutte de pluie ou quoi que ce soit d’autre. Il est toujours Dieu,
voyez-vous, Il ne change pas.
123 Voyez-vous, alors que je marchais là-bas, je
suivais… J’espère que ma femme ne recevra pas cette bande, voyez-vous.
Je vais vous dire quelque chose. Et je ne vous dis… Je vous dis
simplement la vérité, voyez-vous, et c’est la seule façon d’agir. Je me
suis souvent demandé pourquoi elle ne se plaignait pas de ce que
j’allais faire ces tournées un jour d’anniversaire. Savez-vous ce que
j’avais conçu dans mon esprit? Je dis: «Il y a tellement de gens autour
de la maison, et je suis toujours…» Vous savez combien je suis nerveux.
Et tout ce dont je veux parler, c’est de Dieu, de la Bible ou autre. «…
Peut-être qu’elle pense simplement que c’est un peu de repos pour elle.
Elle se débarrassait de moi pendant quelques jours en m’envoyant à la
chasse.» Et je pensais à moitié à cela tout en marchant là-bas.
124 Mais, je lui demanderai pardon, et j’ai demandé
à Dieu de me pardonner d’avoir de telles pensées, parce que cela
circulait. Je pensai: «Eh bien, elle pense…» Eh bien, miséricorde!
C’est une travailleuse, vous savez, et tout le temps, quand elle est à
la cuisine ou quelque part dans…
125 Et n’importe qui parmi vous la connaît; cette
machine à laver marche tout le temps. Ainsi, je sortais, la prenais par
le bras en disant: «Ne lave pas comme ça! Parle-moi. Je t’aime. Je veux
que tu me dises quelque chose. Dis-moi que tu m’aimes aussi.»
126 Elle répondait: «Mais tu sais que je t’aime»,
puis elle se remettait à laver aussi fort qu’elle pouvait.
127 «Je ne veux pas que tu fasses cela. Je veux que
tu entres et que tu t’assoies près de moi.
128 — Oh, Bill, j’ai tellement de travail
maintenant!»
129 Et je pensai: «Eh bien, vois-tu, continue à
monter ici, ça lui laissera le temps de faire son travail.» Je marchais
là en pensant à cela. Maintenant, souvenez-vous, j’ai posé cette Bible
ici, afin que vous voyez que je suis devant la Parole.
130 Alors que je continuais à marcher, quelque chose
m’est arrivé. Premièrement, je pensai à la fois où je l’avais emmenée
là-bas pour notre lune de miel. C’était une jolie fille aux cheveux
noirs, petite, aux yeux bruns, et je la soulevais par-dessus ces
troncs, vous savez, et j’essayais d’arriver avec elle à l’endroit où
j’avais tué un ours. Et je voulais montrer à ma femme où j’avais
attrapé cet ours. Elle avait mes bottes de cow-boy aux pieds. Et cela
fait environ vingt-deux ans ou vingt et un ans de cela; je crois que
cela fait vingt-deux ans. Nous nous sommes mariés en 1941. Et je la
soulevais, vous savez, par-dessus ces troncs.
131 Et je pensai: «Maintenant, ce pauvre petit être
qui a dû me supporter est grisonnant.» Et je pensai: Eh bien, je…
je fis: «[Frère Branham se racle la gorge. — N.D.É.]» Je ne m’étais pas
rasé depuis quelques jours et je découvris que j’étais moi aussi
grisonnant. Et je vis ma barbe qui poussait toute grise, et je pensai:
«Mon vieil ami, tu es presque fini maintenant. Si tu veux faire quelque
chose, tu ferais mieux de te dépêcher. Tu te fais aussi vieux.»
Voyez-vous.
132 Et ainsi, alors que je me promenais, quelque
chose arriva. Tout à coup, je me revis un jeune homme. Mon comportement
et mes pensées étaient ceux d’un jeune homme. J’avais la tête inclinée,
et comme je levais les yeux, je la vis, aussi distinctement que jamais,
debout devant moi, les bras tendus. Je m’arrêtai, frottai mon visage et
regardai. Je dis: «Meda, est-ce toi, chérie?»
133 Je regardai ici et je pensai: «Maintenant,
qu’est-il arrivé?» Et je pensai: «Oui, je suis en train de marcher avec
Lui.» Et cela changea alors, j’étais de nouveau un vieil homme et la
vision avait disparu devant moi.
134 Je m’arrêtai, j’enlevai de nouveau mon chapeau,
je le mis sur mon cœur et je dis: «Jésus, mon cœur a été si chargé
pendant des années. Je n’ai pas besoin de Te dire que je suis chargé.
Je me suis repenti, je me suis repenti, j’ai fait tout ce que je
savais, mais pourquoi ce fardeau ne me quitte-t-il pas?»
135 Et je me remis en marche. Et alors que je
gravissais ce petit mamelon qui se trouvait à trente ou quarante mètres
devant moi, je commençai à me sentir très faible. Et il y avait là un
petit tremble d’environ vingt-cinq centimètres de diamètre qui se
dressait et formait comme une flèche pour s’élever à nouveau. Et quand
j’arrivai là, je me sentis si faible que je titubais. J’avais remis mon
chapeau, et j’appuyai ma tête contre ceci; c’était juste ce qu’il
fallait pour que je puisse appuyer ma tête contre ce petit tremble,
comme ceci. C’était plutôt un peuplier, ça ressemblait à un bouleau,
vous voyez. Et j’étais appuyé là-contre. J’étais simplement debout, là,
la tête inclinée, les rayons du soleil me chauffant le dos, et je
pensai: «Le Dieu même, qui a fait partir cette pluie et ce vent…»
136 Et j’entendis quelque chose qui
faisait «pat pat pat».
137 Je pensai: «Qu’est-ce donc? L’eau s’est tout
évaporée, le soleil brille. Qu’est-ce qui fait ce bruit?» Je regardai
par terre, et c’était l’eau venant de mes propres yeux qui coulait sur
ma barbe grisonnante et tombait goutte à goutte devant moi sur les
feuilles que Dieu avait séchées. Et je me tenais comme ceci, appuyé
contre l’arbre. Et mes mains… cette main en bas, ma tête appuyée contre
l’arbre, ma main sur la bretelle du fusil comme ceci, j’étais là qui
pleurais.
138 Je dis: «Ô Dieu, je ne suis pas digne d’être Ton
serviteur. Je regrette, j’ai fait beaucoup de fautes. Ce n’était pas
mon intention de faire des fautes, Seigneur. Tu as été bon pour moi.»
139 J’avais les yeux fermés, et j’entendis quelque
chose qui faisait: «Stomp, stomp; stomp, stomp.»
140 Je levai les yeux, et juste devant moi se
trouvaient trois cerfs. Et je pensai: «Il y a celui de frère Evans,
celui de frère Wood…; voilà les trois cerfs.» Voyez-vous. C’était juste
ce que je cherchais et je me ressaisis immédiatement. Je tendis le bras
pour saisir mon fusil et je dis: «Je ne peux pas faire cela. J’ai
promis à Dieu que je ne le ferais pas.» Voyez-vous. Je Lui ai promis
que je ne le ferais pas.
141 Et quelque chose me dit: «Mais voilà justement…»
142 Et je pensai: «Oui, une fois, il y avait un
homme qui dit à David: `Dieu l’a livré entre tes mains!’« Vous savez,
le roi Saül.
143 Et Joab lui dit: «Tue-le! Il est couché là!»
144 Il dit: «Que Dieu me garde de toucher à Son
oint.»
145 Et ces cerfs étaient là en train de me regarder.
Je pensai: «Ils ne peuvent pas se sauver. C’est impossible pour eux de
se sauver. Ils ne sont pas à trente mètres de moi et j’ai ce fusil. Je
suis ici et voilà trois cerfs. Non, je ne peux pas le faire. Je ne peux
simplement pas le faire.» C’était une daine et deux grands faons.
Ainsi, je ne pouvais simplement pas prendre mon fusil. Je dis: «Je ne
peux pas le faire.» Je n’ai pas bougé. Je suis resté simplement là.
J’ai dit: «Je ne peux pas le faire, parce que j’ai promis à Dieu que je
ne le ferais pas, car, en fait, ces frères n’ont pas besoin de ces
cerfs.» Voyez-vous. «Je ne peux pas faire ceci. Je ne peux simplement
pas le faire.»
146 Et cette daine s’approcha… Maintenant, écoutez.
Il y avait eu une centaine d’hommes qui avaient cherché à leur tirer
dessus pendant quatre ou cinq jours. Sont-ils craintifs? À la première
tache de rouge (et j’avais une chemise rouge et une casquette rouge) au
premier signe, ils s’éclipsent. Mais ils étaient là tous les trois qui
me regardaient en face.
147 Je dis: «Mère, prends tes deux bébés et pars
dans les bois. Tu es entre mes mains. Ta vie est entre mes mains, mais
je ne vais pas te faire de mal. J’ai promis à Dieu que je ne le ferais
pas.» Voyez-vous. Et elle s’approcha encore. Elle me regarda. Tous les
trois s’approchèrent, jusqu’à ce qu’ils soient arrivés si près qu’ils
auraient pu presque manger dans mes mains. Et le vent soufflait
directement sur eux. Alors, elle fit demi-tour, recula un peu… tous les
trois.
148 Et la voilà qui revint de nouveau et s’avança
jusqu’à devant moi. Je n’ai pas bougé, je suis simplement resté là.
J’ai dit: «Va, pars dans les bois, je les aime aussi. Vis.» Voyez-vous.
«Ta vie est entre mes mains, mais je t’épargnerai. Tu ne pourrais pas
t’échapper et tu le sais.» J’aurais pu les tuer tous les trois en une
seconde environ, ou en tout cas, en trois secondes, juste le temps de
faire feu, et ils n’auraient pu s’échapper, étant donné qu’ils étaient
juste devant moi, voyez-vous. Et je dis: «Je vous épargnerai. Allez et
vivez.» Je suis resté là. Et ils sont repartis dans les bois.
149 Je m’essuyai le visage comme cela, et à ce
moment-là quelque chose arriva. Une Voix parla très clairement de ce
ciel bleu sans nuage. Tout cela était arrivé en peu de temps. La Voix
parla et dit: «Tu t’es souvenu de ta promesse, n’est-ce pas?»
150 Je dis: «Oui, Seigneur.»
151 Il dit: «Je me souviendrai aussi de la mienne.
Je ne te délaisserai point et Je ne t’abandonnerai point.» Le fardeau
quitta mon cœur. Il ne s’y est plus trouvé depuis lors. Puisse-t-il ne
jamais revenir.
152 Ensuite, j’arrivai à Tucson. C’était étrange,
mais il ne m’est jamais arrivé autant de choses depuis que je suis
revenu là. Je crois que c’est Dieu qui le gardait pour cette heure. Je
crois que le temps est proche maintenant où quelque chose doit arriver.
153 Si nous pouvions seulement recevoir cette
vérité. Maintenant, un instant. Si nous pouvions seulement réaliser la
signification de ce passage de l’Écriture : «Celui qui est en vous est
plus grand que celui qui est dans le monde.» Nous ne pouvons pas
comprendre cela, pourtant, nous disons que nous le croyons. Et nous
savons que c’est la vérité, mais nous ne le comprenons pas
effectivement. — Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est
dans le monde. Qui a-t-il en vous de plus grand? C’est Christ, le Oint!
Dieu qui était en Christ est en vous. «Celui qui est en vous est plus
grand que celui qui est dans le monde.»
154 Alors, s’Il est en vous, ce n’est plus vous qui
vivez, c’est Lui qui vit en vous. Voyez-vous? Ce n’est pas votre pensée
et ce que vous pensez de ceci, c’est ce qu’Il dit à ce sujet.
Voyez-vous? Alors, s’Il est en vous, Il ne niera absolument pas ce
qu’Il a dit. Il ne pourrait pas le faire. Mais Il garde ce qu’Il a dit
et Il essaie de trouver la personne au travers de laquelle Il puisse se
manifester.
155 Maintenant, cela ne veut pas dire qu’Il doive le
faire pour chacun. Au temps où Moïse conduisait les enfants d’Israël,
il y en avait un, c’était Moïse. Les autres suivaient simplement le
Message. Voyez-vous? Certains d’entre eux essayèrent de s’élever pour
imiter cela. Et Dieu dit: «Sépare-toi!» Et Il les engloutit. Voyez-vous?
156 Maintenant… MaisCelui qui est en vous est plus
grand que celui qui est dans le monde… Dieu en vous, comme Il était en
Jésus-Christ. Parce que tout ce que Dieu était, Il le déversa en
Christ; et tout ce que Christ était, Il le déversa dans l’Église.
Voyez-vous? C’est Dieu en vous, Celui qui est en vous.
157 Ce n’est pas étonnant que les vents et les
vagues Lui aient obéi, qu’ils aient obéi à Sa Parole! Ils obéirent à Sa
Parole, parce que c’était la Parole de Dieu au travers de Lui. Il était
un homme, mais Il était la Parole faite chair. Voyez-vous? Et quand Il
parla, c’était Dieu qui parlait par une bouche humaine. Voyez-vous? Ce
n’est pas étonnant que les vents et les vagues… Le Créateur même, qui
avait créé les vents et les vagues, était en Lui. Maintenant, pensez-y!
Pensez profondément maintenant, avant que ce soit le moment pour
terminer. Ce n’est pas étonnant que les démons aient été paralysés en
entendant Sa Parole! C’était Dieu en Lui. C’était Dieu en Christ. Les
démons étaient paralysés. Ce n’est pas étonnant que les morts, qui
étaient en train de retourner à la poussière, n’aient pas pu rester là
en entendant Sa Parole! Car Il était la Parole. Il dit à Lazare, alors
qu’il était mort depuis quatre jours et qu’il sentait déjà mauvais, son
visage, son nez s’étaient affaissés pendant ce temps-là: «Lazare,
sors!» Et un mort se leva. Pourquoi? C’était Dieu. Celui qui était en
Christ, c’était Dieu. Les morts ne pouvaient pas tenir en Sa présence!
C’était Dieu en Christ.
158 Le vent… Maintenant, souvenez-vous que Dieu créa
le vent; c’est de l’air. Dieu créa les vagues; c’est de l’eau. Mais
quand le diable entra là-dedans, il bouleversa tout pour apporter la
destruction. Dieu créa les hommes pour être des fils de Dieu, mais
quand le diable entre en eux, voyez-vous, il y a des ennuis. C’était
donc le diable qui entra dans les vents, qui amenèrent cette tempête.
Le Créateur qui a créé le vent ne pouvait-Il pas dire: «Retournez où Je
vous ai créés»? N’est-ce pas le même Créateur qui se tenait au sommet
de cette colline, l’autre jour? Voyez-vous? N’est-ce pas Celui qui a pu
prendre un morceau de poisson, le briser et faire en sorte qu’un autre
morceau recroisse? En fait, Il n’avait pas besoin de faire cela. Il
aurait pu le dire. N’est-ce pas ce même Créateur qui a créé des
écureuils? Alors, Celui qui était en Christ est en nous! Voyez-vous?
Car cela produit les mêmes œuvres que Lui. C’est pareil. Les morts ne
pouvaient pas se tenir en Sa présence en entendant Sa Parole.
159 Regardez, nous avons cinq déclarations
véridiques de personnes qui étaient mortes, pour qui le Seigneur a
donné une vision, et qui ressuscitèrent après que j’eus été vers elles.
Il y a justement ici une des personnes qui est morte à l’endroit même
où elle est assise, et le voilà vivant, après être tombé d’une crise
cardiaque. Voilà sa femme, qui est infirmière. Nous nous étions
approchés de lui, tout était fini; ses yeux étaient immobiles et il
n’était plus. Et le voici vivant. Voyez-vous? Car Celui qui est ici, en
nous, est plus grand que celui qui est dans le monde. Voyez-vous?
160 Il est plus grand! C’est Dieu, le Créateur! Les
vents et les vagues durent Lui obéir. Les démons devinrent paralysés.
Toute la nature Lui obéit, parce qu’Il était le Créateur de la nature.
Oh, quand nous y pensons, cela retire l’aiguillon. Alors nous
comprenons ces choses, vous voyez? Qu’est-ce? Ce n’est pas l’homme.
L’homme ne peut pas faire cela, l’homme est une partie de la création.
Voyez-vous. Mais ce sont les vents et les vagues qui ont obéi au
Créateur. Voyez-vous? Et il faut que ce soit le Créateur qui le fasse:
«Car Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le
monde.» Celui qui peut produire le trouble, c’est celui qui est dans le
monde. Celui qui est en vous, c’est le Créateur qui a fait le vent. Il
peut chasser le démon des vents, et le calme est là. Il peut chasser le
démon de la tempête, et il n’y a plus de tempête. Il est le Créateur.
Et Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.
161 Voyez-vous, le diable est du monde. Le monde lui
appartient. Il lui a toujours appartenu. «Pourquoi es-tu tombé, ô
Lucifer, fils de l’aurore?» Voyez-vous, ce monde lui appartenait. C’est
quand il fut jeté hors du ciel et qu’il y revint. Voyez-vous?
162 C’est lui qui dit à Christ: «Ces royaumes
m’appartiennent. Je fais avec eux comme je veux.» Ils lui appartiennent
et «il est celui qui est dans le monde».
163 Jean venait de dire aux disciples: «Vous avez
appris la venue de l’antichrist qui est déjà en train d’agir dans les
fils de la rébellion. Mais, petits enfants, vous n’êtes pas de ce
monde, vous êtes de Dieu. Et Celui qui est en vous est plus grand que
celui qui est dans le monde.» C’est Christ en vous!
164 Celui qui a créé les cieux et la terre fut
manifesté dans la personne de Jésus-Christ; Dieu en Christ,
réconciliant le monde avec Lui-même. Allons voir! Vous dites: «Oh,
frère Branham, c’était le Fils de Dieu.» Très bien. Regardons si oui ou
non Il est le Dieu éternel.
165 Celui qui était en Josué était plus grand que le
soleil. Et Josué était un homme né dans le péché comme vous et moi. Et
Celui qui était en Josué était plus grand que le soleil qui marchait
par le commandement de Dieu. Dieu commanda au soleil de briller et de
se tourner, étant gouverné et contrôlé par les lois de Dieu. Mais Celui
qui était en Josué était plus grand que les lois de Dieu, parce que le
Créateur Lui-même était en Josué quand celui-ci leva les yeux vers le
soleil et dit: «Reste là où tu es, jusqu’à ce que j’aie fini cette
bataille.» Et le soleil et la lune lui obéirent. Car Celui qui était en
Josué était plus grand que le soleil et que la lune — Celui qui était
en Josué.
166 Celui qui était en Moïse était plus grand que
l’Égypte. L’Égypte avait les armées puissantes du monde; ils avaient
conquis le monde en ce temps-là. Mais Celui qui était en Moïse était
plus grand que l’Égypte, parce que Moïse vainquit l’Égypte. Celui qui
était en Moïse était plus grand que la nature elle-même. Avez-vous déjà
pensé que Dieu prit Sa Parole et la donna à Moïse, en disant: «Va
là-bas et commande au soleil de ne plus briller»? Et le soleil devint
noir comme de l’encre. Est-ce vrai? Il peut faire en sorte que le
soleil brille et que les nuages se dissipent, ou bien que le soleil
devienne noir. Il est Dieu. Il peut faire tout ce qu’Il veut, et Il est
dans l’enfant qui croit. Amen. C’est cela.
167 Il n’y avait pas de mouche en vue. C’était
peut-être l’hiver et il n’y a pas de mouches, mais Dieu dit à Moïse:
«Va, prononce Ma Parole. Je mettrai dans ton esprit ce qu’il faut dire.
Va là-bas, ramasse de la poussière et jette-la en l’air.»
168 Et il dit: «Qu’il y ait des mouches!» Et en
quelques heures, il y eut probablement une épaisseur de plusieurs
centimètres qui couvrait le sol. Est-ce vrai? Le Créateur!
169 Il n’y avait pas de grenouilles. Il étendit donc
sa verge et dit: «Qu’il y ait des grenouilles!» Et elles s’amoncelèrent
partout, si bien que le pays entier fut empesté. Est-ce vrai?
170 Quand il arriva à la mer Rouge et que celle-ci
se trouva en travers de son chemin, Dieu dit: «Parle à la mer.» Et
Moïse parla à la mer. Celui qui était en Moïse était plus grand que la
mer elle-même. Est-ce vrai? Oh là là! Maintenant, vous voyez, Celui qui
était en Moïse était plus grand que celui qui était dans le monde.
Celui qui était en Moïse était plus grand que toute la nature du monde.
Il commanda à la nature… Tout ce que Dieu lui disait de dire, il le
disait et c’était ainsi.
171 Ce même Dieu est avec nous ce soir! Pas
seulement avec nous, mais en nous! Il a prouvé qu’Il était en nous.
«Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.»
Pourquoi avons-nous peur du monde?
172 On a découvert l’autre jour une espèce de dent
de dinosaures, ici autour de… Je pense que vous en avez tous entendu
parler, ici aux chutes de Niagara. On a déclaré qu’elle pesait environ
deux mille sept cents kilos. Je pensais qu’ils allaient dire qu’elle
venait d’un homme, mais je crois qu’ils ont finalement estimé qu’elle
venait d’une sorte d’animal préhistorique. Ces animaux ont probablement
vécu une fois sur la terre. Où sont-ils maintenant? Savez-vous que le
Dieu tout-puissant pourrait ordonner à des dinosaures de venir sur
cette terre et que, dans l’heure qui suit, il y en aurait sur une
épaisseur de soixante-quatre kilomètres. Savez-vous que Dieu pourrait
détruire ce monde par des mouches? Il pourrait faire appel à des
mouches. Où vont-elles quand elles meurent? Qu’arrive-t-il à la mouche
domestique? Qu’arrive-t-il à la sauterelle? L’hiver arrive, il fait
quarante sous zéro; vous ressortez le printemps suivant et il y a des
sauterelles partout. D’où viennent-elles? Il est le Créateur qui
appelle cela à l’existence. Il est Dieu! La nature obéit à Sa Parole.
173 C’est là que beaucoup de nos frères s’emballent.
Ils ont l’impression que Dieu a dit de faire une certaine chose et ils
affirment que c’est le AINSI DIT LE SEIGNEUR, alors que ce n’est pas le
cas. C’est la raison pour laquelle cela n’arrive pas. Mais quand c’est
vraiment Dieu qui vous le dit, cela doit arriver, cela doit être ainsi.
Quand Dieu le prononce, cela doit arriver.
174 Celui qui était en Moïse était plus grand que
celui qui était en Égypte. Celui qui était en Moïse était plus grand
que tout ce que Pharaon pouvait faire, tout son enchantement. Celui qui
était en Moïse était plus grand que celui qui était dans les magiciens.
Voyez-vous? Celui qui était en Moïse était plus grand que toute la
nature.
175 Celui qui était en Daniel était plus grand que
les lions. Il put arrêter ces lions affamés. Ainsi, tout ce que vous
pouvez arrêter… Il est plus grand que ce qu’il arrêta. Les lions
affamés sortirent précipitamment pour manger Daniel; mais Celui qui
était en Daniel était plus grand que celui qui était dans les lions.
176 Au début, quand le lion fut créé, il était un
ami de l’homme. C’est le diable qui lui fait faire cela. C’est vrai.
Dans le Millénium, le loup et l’agneau paîtront ensemble, et le lion,
comme le bœuf, mangera de la paille et il se couchera avec lui. Il ne
se fera ni tort ni dommage, dans le Millénium. Le diable ne sera plus
là. C’est le diable qui fait que les animaux sauvages déchirent,
éventrent et mangent comme ils le font. C’est Satan qui fait faire
cela. Mais Celui qui était en Daniel est plus grand que celui qui était
dans les lions. Voyez-vous? Celui qui était en ce prophète était plus
grand que celui qui était dans ces lions.
177 Celui qui était dans les enfants hébreux était
plus grand. Celui qui était en eux était plus grand que celui qui était
dans le feu. Car ils furent jetés dans le feu, et Celui qui était en
eux était avec eux, et Il empêcha le feu de les brûler, bien que la
fournaise eût été chauffée sept fois plus qu’auparavant. Est-ce vrai?
Celui qui était avec les enfants hébreux était plus grand que celui qui
était dans le monde.
178 Il y avait là Nebucadnetsar… ou Belschatsar… Je
crois que c’est Nebucadnetsar qui fit chauffer la fournaise sept fois
plus qu’auparavant. Il était inspiré par le diable lorsqu’il prit ces
gens, parce que ceux-ci prenaient position pour la Parole de Dieu. Il
les jeta dans cette fournaise, qui avait été chauffée sept fois plus
que d’habitude, et elle ne put même pas les brûler. Car Celui qui était
avec Schadrac, Méschac et Abed-Nego était plus grand que celui qui
était dans le monde. Absolument. Oh là là!
179 Celui qui était en Élie était plus grand que les
cieux d’airain, parce qu’Il put faire sortir de la pluie d’un ciel
d’airain, bien qu’il n’eût pas plu depuis trois ans et six mois. Celui
qui était en Élie était plus grand que la mort, car, quand ce fut le
moment pour lui de mourir… Dieu vit ce vieux prophète fatigué, qui
avait réprimandé Jézabel et tout son fard, et ces choses modernes. Il
était si fatigué, qu’Il ne le laissa même pas venir à pied comme Il le
fit pour Énoch, mais Il envoya un char pour le prendre et Il l’emmena à
la Maison. Celui qui était en Élie était plus grand que celui qui était
dans Jérusalem, dans la Judée et dans les montagnes. Celui qui était en
Élie était plus grand que la mort elle-même. Celui qui était en Élie
était plus grand que la tombe, parce qu’il échappa à la tombe, il
échappa à la mort et il monta simplement à la Maison dans un char.
Voyez-vous? Il était plus grand, et Il était en Élie.
180 Vous dites: «Oh, mais c’était un grand homme.»
181 Attendez une minute! La Bible dit que c’était un
homme avec les mêmes passions que vous et moi. C’est vrai. Mais quand
il pria, il crut qu’il avait reçu ce qu’il avait demandé. C’est ce que
Jésus nous a dit: «Quand vous priez, croyez que vous avez reçu ce que
vous avez demandé, et vous le verrez s’accomplir.» Il pria instamment
pour qu’il ne plût point et il ne tomba pas de pluie pendant trois ans
et six mois. Voyez-vous? Celui qui était en Élie était plus grand que
la nature.
182 Alors, qu’en est-il de la guérison des malades,
voyez-vous? Celui qui est en vous est plus grand que la maladie.
Voyez-vous? Parce que c’est une interruption; la maladie interrompt les
lois mêmes de Dieu. Car Celui qui est en vous, Celui qui guérit, est le
Créateur et Il est plus grand que le diable qui a interrompu le
programme même de votre vie. «Celui qui est en vous est plus grand que
celui qui est dans le monde.» Voyez-vous? Celui qui était en Élie était
plus grand. Celui qui était en Ésaïe était plus grand que le temps, ou
n’importe lequel de ces prophètes, parce qu’ils virent plus loin que le
temps. Voyez-vous?
183 Job vit la venue du Seigneur et il dit: «Mon
Rédempteur est vivant, et Il se lèvera le dernier sur la terre. Quand
ma peau sera détruite, et de ma chair je verrai Dieu.» Voyez-vous?
Celui qui était en Job était plus grand que la mort. Plus grand, parce
que la mort essaya de le prendre, mais elle ne le put. Elle ne put pas
le faire, parce qu’il déclara: «Je ressusciterai»; et il le fit. Il le
fit.
184 Écoutez. Je souhaiterais que nous ayons le temps
de continuer. Mais j’aimerais vous poser une question, car j’ai entendu
quelqu’un faire une remarque, l’autre jour, concernant «Christ en
vous». Maintenant, n’allez pas vous reposer sur quelque chose que vous
avez fait, en disant: «J’ai senti un petit frisson. — J’ai parlé en
langues. — J’ai dansé dans l’Esprit.» Je n’ai rien là contre, c’est en
ordre, mais ne vous reposez pas là-dessus. Voyez-vous? Votre vie doit
être ceci. C’est ceci. Vous et ceci devez devenir un. Voyez-vous? Et
ensuite ceci se manifeste. Voyez-vous?
185 Maintenant, qu’arriverait-il si, ce soir, vous
pouviez dire de tout votre cœur que l’esprit de Shakespeare vit en
vous, que Shakespeare vit en vous? Savez-vous ce que vous feriez? Vous
feriez les œuvres de Shakespeare. Vous composeriez des poèmes et des
pièces, parce que Shakespeare était ce genre d’artiste, un grand
écrivain, un écrivain de poèmes. Ainsi, si Shakespeare vivait en vous,
vous feriez les œuvres de Shakespeare. Est-ce vrai?
186 Et si Beethoven vivait en vous? Qu’arriverait-il
si Beethoven vivait en vous? Savez-vous ce que vous feriez? Vous
écririez des hymnes comme Beethoven, le grand compositeur. Vous
écririez des hymnes comme Beethoven, parce que Beethoven serait votre
vie. Vous seriez un Beethoven réincarné. Si Beethoven vivait en vous,
vous feriez les œuvres de Beethoven, parce que Beethoven vivrait en
vous. Vrai?
187 Mais Celui qui est en vous, c’est Christ! Et si
Christ est en vous, vous ferez les œuvres de Christ, si Christ vit en
vous. Il l’a dit: Jean 14.12: «Celui qui croit en Moi fera aussi les
œuvres que Je fais.» Si vous étiez en Christ… ou si Christ vivait en
vous. Alors, Christ est la Parole. Est-ce vrai? Et la Parole vient à
Ses prophètes. Voyez-vous? Et si Christ vivait en vous, les œuvres de
Christ seraient accomplies au travers de vous. Les œuvres qu’Il a
accomplies, la vie qu’Il a vécue, et tout le reste, seraient manifestés
en vous; comme si Shakespeare, Beethoven ou n’importe qui d’autre
vivait en vous.
188 Si Sa vie… Mais si vous vivez toujours votre
propre vie, alors vous ferez vos propres œuvres. Voyez-vous. Par
contre, si vous vivez la vie de Christ, si Christ est en vous, «Celui
qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde». Si
vous avez en vous des doutes et de la déception au sujet de la promesse
de Dieu, alors Christ n’est pas là. Vous voyez? Vous vous êtes
seulement monté la tête. Mais si la vie… si Christ vit en vous, Il
reconnaîtra Sa Parole et Il accomplira Sa promesse. Voyez-vous? Il le
fera.
189 «Quand tu pries, crois que tu recevras ce que tu
as demandé et tu le verras s’accomplir. Et si tu dis à cette montagne:
Ôte-toi de là, et si tu ne doutes pas en ton cœur, mais crois que ce
que tu dis arrive, tu le verras s’accomplir. Mon Père a agi jusqu’à
présent; Moi aussi J’agis. En vérité, en vérité, Je vous le dis, le
Fils ne peut rien faire de Lui-même; mais ce qu’Il voit faire au Père,
le Fils le fait aussi pareille-ment.» Voyez-vous? Et quand le Père Lui
avait montré ce qu’il fallait faire, Il y allait sans doute aucun, et
disait: «Que cela soit», et cela arrivait! Et ce même Christ vit en
vous! Il vit en nous. Alors nous ferons Ses œuvres, parce que Christ
est la Parole. Et une promesse de la Parole vous apporte la guérison.
Le croyez-vous? Assurément!
190 Il dit: «Je ne vous laisserai pas orphelins,
ainsi que J’ai prié… l’ai demandé il y a quelques instants.» Là, dans
Matthieu 24, Matthieu 28.20, voyez-vous, Il dit: «Je viendrai à vous,
Je serai en vous. Je (la personne, Christ, dans la forme du
Saint-Esprit) viendrai et Je vivrai en vous. Alors ce n’est plus vous
qui vivrez. Je serai en vous et Celui qui est en vous est plus grand
que celui qui est dans le monde.» Voyez-vous? Hébreux 13.8 dit: «Il est
le même hier, aujourd’hui et éternellement.»
191 Celui qui était en Noé était plus grand que le
jugement de l’eau. Et Celui qui est en vous est plus grand que les
jugements du feu. Voyez-vous? Celui qui est en vous est plus grand,
parce qu’Il a payé le jugement et vaincu pour vous. Voyez-vous? Il n’y
a pas de crainte à ce sujet, vous voyez, vous êtes là-dedans. Oui!
Celui qui était en Noé était plus grand que celui qui était dans les
jugements de l’eau qui détruisit le monde. Ce dernier ne crut pas,
alors que Noé crut. Et Celui qui était en lui et qui lui parla était
plus grand que celui qui était dans le monde. C’est ainsi que Noé
échappa au jugement, parce que la Parole de Dieu était plus grande que
cela et il fut élevé au-dessus du jugement. Plus grand! Nous pourrions
nous arrêter là-dessus un instant, voyez-vous.
192 Celui qui était en David était plus grand que
l’ours qui vola sa brebis. Celui qui était en David était plus grand
que le lion qui vint prendre un de ses agneaux. Celui qui était en
David était plus grand que l’ennemi Goliath, le grand Philistin, qui se
tenait là avec ses trois mètres soixante ou quatre mètres vingt, des
doigts de trente-cinq centimètres de long, avec une lance comme une
aiguille de tisserand; et il était recouvert de cinq ou sept
centimètres et demi d’épaisseur d’acier ou d’airain. Mais ce qui était
en David était plus grand que ce qui était en lui. Cet homme avait la
puissance, les muscles. C’était un guerrier. Il a dit qu’il ramasserait
David et le soulèverait par le bout de sa lance, le suspendrait quelque
part, et laisserait les oiseaux le dévorer.
193 Et David dit: «Tu me rencontres en tant que
Philistin, au nom d’un Philistin. Tu me maudis au nom du dieu des
Philistins. Tu t’es vanté de ce que tu allais faire. Tu viens à ma
rencontre avec une armure et une lance, mais je te rencontre au Nom du
Seigneur Dieu, et aujourd’hui, j’enlèverai ta tête de tes épaules.» Et
il le fit, parce que Celui qui inspirait David et lui donnait ce
courage était plus grand.
194 Celui qui est en vous est plus grand que cette
chaise roulante. Celui qui est en vous est plus grand que ce brancard.
Celui qui est en vous est plus grand que ce cancer. Celui qui est en
vous est plus grand que cette affliction. Il est plus grand que tout ce
que le diable pourrait mettre sur vous. «Celui qui est en vous est plus
grand que celui qui est dans le monde.» Il est plus grand! Oui!
195 David était plus grand… ce qui était en David,
Dieu en David. Il est en nous, c’est-à-dire, le Christ. Il fut le
vainqueur pour nous de tous les ennemis. Quand Il était ici sur la
terre, Il vainquit le péché, Il vainquit la maladie, Il vainquit la
mort, Il vainquit l’enfer, Il vainquit la tombe; et maintenant, Il vit
en nous en Vainqueur. Il a vaincu la maladie, l’enfer, la mort, la
tombe et Il est venu vers nous pour nous libérer de toutes ces choses.
Et Celui qui est en vous est plus grand que celui qui exerce une
séduction sur vous. Oui! «Celui qui est en vous est plus grand que
celui qui est dans le monde.»
196 C’est ainsi que ces miracles arrivent. C’est
ainsi que ce vent cessa l’autre jour. Un être humain pourrait-il le
faire? Non monsieur! c’est impossible. Quand j’étais là en train de
pleurer et que ces vents se déchaînaient… Combien y a-t-il de personnes
qui se trouvaient là-bas? Levez la main. Levez la main, tous ceux qui
étaient là-bas dans le Colorado, cette fois-là. Très bien. Frère Fred
est, je pense, le seul à avoir été présent. Je pensais peut-être que
frère Mann était ici, mais il… Frère Evans, c’était bien frère Mann,
n’est-ce pas? Frère Evans y était cette fois-là, oui. Très bien. Oui.
197 Remarquez. N’est-ce pas la vérité? N’est-ce pas
arrivé ainsi? La pluie ne s’est-elle pas arrêtée de tomber et les vents
n’ont-ils pas cessé de souffler? Qu’est-ce? Ma parole? Non! Parce que
c’est Lui qui m’a dit de le faire. Et Celui qui est en nous est plus
grand que toute la nature. N’est-ce pas le même Dieu qui a pu apaiser
les vagues sur la mer et faire que les vents retournent d’où ils
venaient? N’est-Il pas le même qui a pu assombrir le soleil et faire
briller le soleil? «Car Celui qui est en vous est plus grand que celui
qui est dans le monde.» Voyez-vous? Très bien.
198 Or, voilà pourquoi ces véritables miracles
peuvent être accomplis, parce que c’est une promesse de Dieu: «Vous
ferez aussi les œuvres que Je fais.» — Jean 14.12. Lui, Christ, qui a
apaisé les vents et les vagues, en est le Créateur. Il est toujours
autant Créateur qu’Il l’était alors; Il est le même hier, aujourd’hui
et éternellement. Il a guéri les malades, détruit le péché, tout changé
pour vous, et Il est venu vers vous afin de pouvoir habiter en vous. Il
a vaincu toutes ces choses, afin de venir vivre en vous. Il est ce
vainqueur qui a déjà vaincu ces choses et que les Écritures ont
confirmé. Il est revenu, Il a tout vaincu et vous a prouvé qu’Il est le
même Dieu mille neuf cents ans plus tard. Le voici faisant toujours
parmi nous la même chose qu’alors. Il a vaincu la mort, l’enfer, la
maladie et la tombe.
199 Ce Christ, c’est Celui qui est en vous! C’est
Christ. Comme Jean l’a dit: «Celui qui est en vous est plus grand que
celui qui est dans le monde.» C’était Christ! Il est plus grand que le
monde entier, parce qu’Il a conquis le monde. Il est plus grand que
toutes ces choses, parce qu’Il les a vaincues pour nous. Nous sommes
plus que vainqueurs par Celui qui nous a aimés et qui s’est donné pour
nous, afin qu’Il puisse revenir et accomplir Ses œuvres au travers de
nous et nous prouver ainsi qu’Il est le même hier, aujourd’hui et
éternellement. Quand Il était ici sur la terre, parmi les gens, Il a
prouvé qu’Il était le Messie. Il put discerner les pensées qui étaient
dans leur cœurs. Et la Bible dit… Moïse a dit qu’Il serait un prophète.
Est-ce vrai? Il connaissait les secrets du cœur. Il savait qui étaient
ces gens. Il savait ce qui n’allait pas chez eux. L’avez-vous vu se
manifester? Fois après fois!
200 Nous savons que ces personnes ont été
ressuscitées des morts. Certaines étaient mortes depuis un jour et
demi. Ou étant mort le matin, ils prirent l’enfant avec eux ce soir-là,
voyagèrent toute la nuit et le jour suivant, vers midi, ou juste après
midi, ils arrivèrent à l’emplacement de la tente. Un petit bébé, mort
et froid, couché dans les bras de sa mère. Le Seigneur Dieu prononça la
Parole de vie et ce bébé se réchauffa, commença à crier et fut rendu à
sa mère.
201 Madame Stadklev était là à son arrivée. C’est la
raison pour laquelle elle pleura tellement pour son bébé et voulut que
je m’envole pour l’Allemagne. Mais le Seigneur dit: «C’est Ma main,
n’interviens pas dans cela.» Voyez-vous. Vous savez mieux faire que
cela. Quand Il dit à Moïse: «Parle au rocher! ne le frappe pas.» Cela
voulait dire parler et non frapper. Vous voyez, vous devez obéir à ce
qu’Il vous a dit de faire. Mais nul ne peut faire quelque chose par
lui-même. Il doit l’entendre premièrement de Dieu.
202 La Parole de Dieu a déclaré qu’Il vit, et parce
qu’Il vit, vous vivez. Il a laissé cette promesse: «Les œuvres que Je
fais, vous les ferez aussi, les mêmes choses; vous en ferez même
davantage, parce que Je m’en vais au Père.» Il vainquit toutes choses.
Il est celui qui arrêta… Il est celui qui créa ces écureuils. C’est
arrivé deux fois. C’est arrivé une fois, là-bas où tu habites, Charlie,
et c’est arrivé ici en haut, quand frère Fred, frère Banks et les
autres étaient avec nous.
203 C’est arrivé en Allemagne, quand cette quinzaine
de sorciers-guérisseurs qui se trouvaient de chaque côté de moi dirent…
Parce que Billy et frère Arganbright ne voulaient pas les laisser me
voir, l’un d’eux dit alors: «Eh bien, nous ferons en sorte que cette
tente s’envole.» Et ils s’assirent là avec leurs enchantements et ils
invoquèrent leur dieu (le diable) qui vint avec un orage. Il y avait là
trente à quarante mille Allemands, et cette tente levait et
redescendait comme ceci. Puis ils prirent des ciseaux, coupèrent des
plumes et les taillèrent en pointe comme cela. Ils étaient assis là,
pratiquant tous leurs enchantements et prononçant les trois mots
saints. Ils disaient: «Le Père, le Fils, le Saint-Esprit;
wo-oo-oo-oo-oo-oo. Le Père, le Fils, le Saint-Esprit, ahhhh.»
204 Ils faisaient ainsi et l’orage vint
effectivement. Assurément, il est le prince de la puissance de l’air;
Satan. Et ils firent venir l’orage et comme… Même cette énorme tente,
qui était comme cela… oh, elle couvrirait tout le quartier, presque; et
elle avait une armature de bois sur laquelle la toile était fixée. Le
vent s’engouffra là-dessous et la souleva. Ce vent soufflait et les
éclairs brillaient, mais je continuai néanmoins à prêcher.
205 Et, oh, ils continuaient à pratiquer leurs
enchantements et à prononcer ces trois petits mots saints. Ils disaient
les trois mots saints: «Père, Fils et Saint-Esprit», des deux côtés,
comme cela. Puis je vis l’un d’eux s’incliner et être entouré de
démons, mais sans être lié.
206 Et je dis à frère Lowster: «Ne traduisez pas
ceci.»
207 Je dis: «Frère Arganbright, prie simplement.»
208 Je dis: «Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de
la terre, c’est Toi qui m’as envoyé ici, et j’ai posé mon pied sur ce
sol allemand au Nom de Jésus-Christ, parce que c’est Toi qui m’as
envoyé ici. Et ce nuage n’a aucune puissance sur moi. Il n’en a aucune,
parce que je suis oint et envoyé ici pour le salut de ces gens. Je
t’ordonne au Nom de Jésus de partir d’ici.»
209 Et le tonnerre faisait: «BANG! BANG! BANG!» Puis
il fit: «GRRRRRRRRR», et s’en alla. Et juste au-dessus de la tente, le
vent souffla en sens contraire et le soleil se mit à briller.
210 Et dans les dix minutes qui suivirent, il y
avait environ dix mille personnes autour de l’autel, invoquant la
miséricorde, après avoir vu la puissance de Dieu. Pourquoi? «Celui qui
est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» Voyez-vous?
211 «Celui qui est en vous est plus grand que celui
qui est dans le monde.» Vous voyez les afflictions et… Oh, frères,
sœurs, nous n’avons aucune inquiétude. Celui qui est grand, c’est Dieu,
et Il est en vous. Le croyez-vous?
212 Maintenant, j’ai largement dépassé mon temps.
C’est environ neuf heures quinze, et je sais que ces gens ont une
longue route devant eux. Inclinons nos têtes un instant.
213 Oh, Père divin, Tu sais ce qui s’est passé dans
le Colorado. Tu sais que ces choses sont vraies. Je le dis pour Ta
gloire, afin que ces gens puissent reconnaître, suite à toutes les
preuves scientifiques venant des photographies et des œuvres du
Saint-Esprit. Seigneur, Tu sais que j’ai déclaré clairement aux gens,
chose que je fais toujours, que c’est parce que Tu l’avais promis. Et
Tu es ici, cherchant quelqu’un à travers lequel Tu puisses Te
confirmer, afin de permettre à d’autres de voir que Tu vis et que Tu es
le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Je Te prie, Seigneur,
d’être miséricordieux, de nous guider et de nous diriger dans nos
pensées.
214 Il y en a ici qui sont malades et affligés. Il y
en a qui mourront peut-être, s’ils ne reçoivent pas l’aide de Ta part.
Peut-être que beaucoup d’entre eux sont arrivés au bout de la route, où
les médecins ne peuvent plus les aider. Mais Tu es Dieu, Tu es le même
hier, aujourd’hui et éternellement, et Tu es présent au milieu de nous.
215 Seigneur, nous ne savons pas ce que sera ce
Troisième Pull auquel nous nous sommes référés. Nous ne le savons pas.
Mais nous savons une chose, c’est que le Premier Pull était la
perfection. Le Deuxième Pull, étant les «cinq», représentait la grâce.
Et, ô Dieu, je Te prie, ce soir, de Te révéler à nous, après avoir
entendu qu’il est dit: «Celui qui est en vous…» Tu as dit: «Vous ferez
aussi les œuvres que Je fais», et Tu as ajouté que Tu ne faisais rien
avant que cela ne Te soit montré du Père.
216 Nous avons vu ce que Tu as fait, quand Tu as pu
dire à l’apôtre Pierre qui il était et quel était le nom de son père.
Tu as dit à Nathanaël quelle était sa mission, de quelle manière il
était venu là, où il était auparavant, ce qu’il avait fait. Tu as dit à
la femme au puits quels étaient ses péchés et qu’elle avait vécu dans
l’adultère avec ces six hommes ; qu’elle en avait eu cinq et que celui
avec lequel elle vivait maintenant n’était pas son mari. Tu es toujours
le même Dieu.
217 Tu as dit… C’était la condition dans laquelle se
trouvait Bartimée, l’aveugle, alors qu’il se tenait là. Mais pourtant,
dans son cœur, il avait une vue qui lui permettait de voir que si
c’était Jéhovah qui s’était manifesté en tant que Fils, en
Jésus-Christ, Il pourrait reconnaître son cri. Et il s’écria: «Toi,
Fils de David, aie pitié de moi!» Et cela T’arrêta, Tu te retournas et
le guéris, ô Père, en lui disant que sa foi l’avait sauvé.
218 Cette femme atteinte d’anémie, qui perdait son
sang et qui passait par la ménopause… Depuis de nombreuses années, cela
ne pouvait s’arrêter. Elle avait dépensé tout son argent entre les
mains des médecins, et aucun ne pouvait l’aider. Elle vint à l’une de
Tes réunions, alors que Tu parlais à un homme, là en Galilée, pendant
que Tu te rendais chez Jaïrus. Cette femme avait pensé dans son cœur,
sans l’appui d’aucune Écriture: «Si je peux seulement toucher Son
vêtement, je crois que je serai guérie.» Et elle reçut ce qu’elle
désirait, quand elle toucha Ton vêtement. Tu lui dis que sa foi avait
fait ceci; Tu as décrit son besoin et elle fut guérie.
219 La Parole nous déclare que Tu es notre souverain
sacrificateur, assis dans les lieux très hauts, toujours prêt à
intercéder; et aussi que Toi, en tant que souverain sacrificateur, en
ce moment, Tu peux compatir à nos souffrances. Seigneur Dieu, accorde à
chaque personne ici, ce soir, le privilège de Te toucher, Toi, le grand
souverain sacrificateur, et d’être ainsi guérie. Je te le demande pour
la gloire de Dieu, au Nom de Jésus. Amen.
220 Y a-t-il des cartes de prière? J’ai dit à Billy
de ne pas… Quelqu’un a-t-il une carte de prière? Très bien. C’est
juste, je lui ai dit de ne pas en distribuer. Je pensais que je serais
peut-être un petit peu long, comme je… oh, je parle tellement. Mais,
regardez, voyez-vous, quand j’ai dit: «J’essaierai de sortir à huit
heures trente», vous avez ri, et je savais que vous saviez de quoi vous
parliez. Ainsi… mais, je vous aime, voyez-vous.
221 Ce que j’essaie de faire, mes amis… Je me suis
toujours efforcé qu’on ne puisse jamais dire: «Frère Branham a fait
ceci.» Frère Branham ne peut rien faire, voyez-vous. C’est
Jésus-Christ. Et Celui qui est en moi est en vous. Vous n’avez
qu’à simplement le croire. Est-ce vrai? Voyez-vous? Celui qui est en
vous est plus grand que votre maladie.
222 Maintenant, combien y a-t-il de personnes ici
qui sont malades dans leur corps, qui ne me connaissent pas, mais qui
croient, qui ont suffisamment de foi pour toucher le Souverain
Sacrificateur? Levez la main et dites: «Je crois.» Très bien. Oh, il y
en a pratiquement partout. Très bien. Combien y a-t-il de personnes ici
qui me connaissent et qui savent que je ne sais rien au sujet du besoin
qu’elles ont et qui désirent que Dieu les touche? Levez la main.
Voyez-vous? Voyez-vous? Très bien.
223 Franchement, je ne connais personne ici qui soit
malade à part ce garçon-là. J’ai souvent prié pour lui. Je ne peux pas
me rappeler son nom, mais il vient du Kentucky. Il m’écrit sans arrêt.
C’est un ami personnel de frère et sœur Wood, et c’est là qu’il va.
Cela fait très longtemps qu’il suit les réunions. C’est la seule
personne que je connaisse.
224 Maintenant, frère Dauch, pour autant que je
sache, va bien, sinon il ne serait pas ici. Il était très malade
l’autre jour et le Seigneur l’a guéri.
225 Je ne connais pas cette personne. Je ne sais pas
à qui appartiennent ces béquilles. Peut-être à la personne qui est ici,
je ne sais pas. Je connais beaucoup d’entre vous, mais Dieu, dans le
ciel sait qu’en ce moment je ne sais pas ce que vous voulez. Je n’ai
aucune idée.
226 C’est assez difficile ici au tabernacle, parce
que, voyez-vous, je connais beaucoup de gens. Maintenant, voici ce qui
en est. Quand vous venez à un endroit… Parfois, je viens ici et je dis:
«Très bien, nous allons donner une carte de prière à chacun et les
aligner. Venez sur la plate-forme.» Quelqu’un partira… Maintenant, vous
ne pouvez pas… Mes amis, je vais ouvrir mon cœur, maintenant, et vous
dire quelque chose. Vous ne pouvez pas cacher cela. Je sais exactement
ce que vous pensez. C’est vrai. Je sais ce que vous pensez. Voyez-vous?
227 Et quelquefois vous dites: «Frère Branham, je
crois.» Oui, vous croyez, mais jusqu’à un certain point, voyez-vous. Je
sais. Et vous êtes ici-même, quand je… Eh bien, maintenant, l’onction
descend sur moi, vous voyez, et je peux sentir cette sorte de
vibration. Voyez-vous? Une palpitation venant de différents endroits.
Mais maintenant, ne soyez plus incrédules. Croyez tout le Message.
Croyez qu’Il… si ce n’est pas écrit dans la Bible, alors ne le croyez
pas. Mais si cela se trouve dans la Bible, alors le Saint-Esprit qui
vit en nous est dans l’obligation d’accomplir cela, si nous Le croyons.
Est-ce vrai? Je sais que c’est difficile. Voyez-vous. Rien ne vient
facilement.
228 C’était difficile pour Lui de mourir, afin que
ceci puisse être présenté. C’était difficile pour Lui d’aller au
Calvaire. Il voulait rester, à tel point qu’Il cria: «Pas Ma volonté,
mais que Ta volonté soit faite.» Voyez-vous? Il ne voulait pas y aller.
C’était un jeune homme et Il avait Ses frères. Il les aimait comme je
vous aime. Mais il n’était pas possible qu’Il vive et eux aussi. C’est
pourquoi Il mourut, afin que nous puissions vivre. Ce n’était pas
facile. Il dut le faire. Regardez quelle sorte de mort se trouvait
devant Lui! «Père, l’heure est venue… Prierai-Je que Tu éloignes cette
coupe de Moi?» Non, Il ne voulait pas faire cela, Il voulait que la
volonté de Dieu soit faite.
229 Mais regardez. Si vous croyez la même chose…
Maintenant, n’assombrissez pas tout cela. Croyez-le simplement,
croyez-le totalement. Ne doutez pas de cela, croyez-le!
230 Si je fais venir les gens dans la ligne de
prière et que je dise: «Très bien, maintenant cette personne… vous
savez que je ne vous connais pas.»
231 «Non, c’est vrai, frère Branham.»
232 Alors, là-bas dans l’auditoire, vous surprendrez
quelqu’un qui dira: «Hé! Hé! mais il lit ce qu’ils ont mis sur la carte
de prière! C’est de la télépathie, rien de plus!»
233 «Bon, dis-je, eh bien, dimanche, nous n’allons
pas distribuer de carte de prière. Je veux que tous ceux qui sont des
étrangers ici, qui ne sont jamais venus auparavant, se lèvent.»
Voyez-vous? Et alors le Saint-Esprit viendra et discernera tout ce qui
est en eux. Voyez-vous? Est-ce vrai? Aussi vous avez vu cela présenté
de deux façons.
234 «Eh bien, il y a quelque chose de faux
là-dedans.» Voyez-vous? Il n’y a pas moyen… Vous ne pouvez pas…
Voyez-vous, aussi longtemps que Satan pourra s’emparer de quelque
chose, il vous fera croire n’importe quoi. Et il vous montrera toutes
mes fautes, et j’en ai beaucoup. Mais, ne regardez pas à cela! Ne
regardez pas à cela, je suis un homme. Voyez-vous. Mais souvenez-vous
que cette Parole de Dieu est la vérité et que j’essaie de vivre en
accord avec elle.
235 Si je vais quelque part et que je commence à
agir mal, à faire des choses qui ne sont pas justes, à pécher, à boire
ou à fumer, venez et reprenez-moi, car ce n’est pas convenable. Je veux
alors quitter le monde, je veux partir avant que cela arrive.
Voyez-vous? Je ne veux pas faire cela.
236 Mais, aussi longtemps que j’essaie de vivre
correctement, de faire ce qui est juste, et de vivre comme un chrétien,
que je laisse Dieu m’instruire par Sa Parole et que mon désir est de
rester avec Lui, bien que cela me coûte la perte de beaucoup d’amis et
de la popularité de ce monde, et des choses comme cela, d’être haï par
beaucoup, d’être mis à la porte des dénominations, je veux néanmoins
être fidèle à cette Parole. C’est la Parole de Dieu. Et j’aime Dieu.
Ainsi, c’est la Parole de Dieu. Et je vous dis qu’Il est le même hier,
aujourd’hui, et éternellement, et qu’Il est en nous maintenant.
237 Si la vie de Shakespeare était en moi, vivante
en moi, si Shakespeare vivait en moi, ne ferais-je pas les œuvres de
Shakespeare? Si Beethoven était en moi, ne ferais-je pas les œuvres de
Beethoven? Si l’esprit de Dillinger était en moi, si John Dillinger
vivait en moi, ne serais-je pas un John Dillinger? Si Beethoven était
en moi, je serais un Beethoven, voyez-vous? Si Castro était en moi, je
serais un Castro, voyez-vous? Et si Jésus-Christ est en moi, je ferai
Ses œuvres, parce que c’est Lui. Et n’a-t-Il pas dit que la même chose
arriverait?
238 Maintenant, que ferait-Il s’Il se tenait ici et
qu’Il soit le même hier, aujourd’hui et éternellement? Il dirait: «Je
peux faire seulement ce que le Père me montre.» Est-ce vrai? Eh bien,
c’est ce qu’Il fit hier. Maintenant, n’est-Il pas le même? Qu’en est-il
de la maladie? Votre prix est déjà payé. Chacun de vous est déjà guéri
de sa maladie. Est-ce vrai? Chacun d’entre vous est pardonné, mais vous
devez l’accepter. Chacun d’entre vous est guéri, mais vous devez
l’accepter.
239 Maintenant, pour prouver qu’Il est le même hier,
aujourd’hui et éternellement… S’Il se tenait ici, Il ne pourrait pas
vous guérir avec votre incrédulité. Vous devriez croire cela, de même
que vous devez Le croire maintenant. Cela devrait être pareil,
voyez-vous, car Il ne put pas accomplir de grandes œuvres de Son temps,
à cause de leur incrédulité. Est-ce vrai? Il y a beaucoup de grandes
œuvres qu’Il ne peut pas accomplir aujourd’hui, à cause de
l’incrédulité.
240 Ainsi, qui pouvait prédire cela? — Dieu. Qui
est-ce qui a dit ceci? — Dieu. Qui est-ce qui a fait cela? — Dieu. Qui
est-ce qui a dit où l’ours, le cerf, le caribou, toutes ces autres
choses et les sept … toutes ces choses qui sont arrivées? Qui est-ce
qui a dit cela? — Celui (Christ) qui est en nous, prophétisant Lui-même
au travers de nous, révélant Lui-même qu’Il est le même hier,
aujourd’hui et éternellement. Qui arrêta les vents? Qui créa les
écureuils? — Le même qui a créé le bélier pour Abraham, quand son… Il
L’appela Jéhovah-Jiré. Ce nom composé de Rédempteur s’applique toujours
à Lui. Il est toujours Jéhovah-Jiré : l’Éternel peut pourvoir pour
Lui-même un sacrifice.
241 Maintenant, je veux que chacun de vous soit le
plus sincère possible. Si vous êtes prêts à croire vraiment de tout
votre cœur, il n’y aura plus une seule personne de faible au milieu de
nous d’ici le moment où cette pendule aura avancé de cinq minutes. Il
n’y aura pas une personne ici à ne pas être sur ses pieds, guérie, si
vous êtes prêts à Le croire. Pouvez-vous croire?
242 Maintenant, voyons s’Il va s’approcher de nous
et se révéler à nous, tandis que nous inclinons la tête.
243 Seigneur Jésus, aide-moi maintenant, et je
T’obéirai, Seigneur, le mieux possible. Pardonne mes péchés et mes
offenses. Je Te le demande au Nom de Jésus. Amen.
244 Maintenant, prenons ce côté-ci, quelqu’un dans
cette partie. Croyez, ayez foi, ne doutez pas! Quelqu’un qui ne me
connaît pas, si possible… Je ne peux pas dire où va la vision. Je dois
simplement la surveiller. Et si elle fait cela, alors vous savez si
c’est juste ou non. Croyez simplement et ne doutez point. Et s’Il le
fait, croirez-vous, après tout ce qui a été accompli aujourd’hui?
Voyez-vous? Acceptez simplement votre guérison. Dites: «Seigneur, je
touche maintenant Jésus-Christ. Je crois.» Et puisse le Dieu du ciel
l’accorder.
245 «Celui qui est en vous, Christ, est plus grand
que celui qui est dans le monde.» Dans la réunion où nous Le touchons,
Il se réfléchit. De même que la femme toucha Dieu au travers de Christ,
Celui-ci, en se réfléchissant, lui révéla son besoin.
246 Je vois maintenant quelqu’un dans le coin. Cela
ressemble à un homme. Il est très sérieusement… non, ce n’est pas cela…
c’est une femme qui prie pour un homme et l’homme n’est pas ici. Mais
c’est une femme. Et je ne vois que cette femme. C’est son père et il se
meurt du cancer. Il est atteint très sérieusement. L’homme n’est pas
ici. Il est dans un autre lieu, ce n’est même pas dans cet État, c’est…
il est en Géorgie. Continuez à prier. Croyez-vous maintenant de tout
votre cœur? Continuez à prier. Le nom de la femme qui prie, c’est
madame Jordan. Elle ne vient pas de la Géorgie, elle vient de la
Caroline du Nord. Si c’est juste, madame, levez-vous. C’est absolument
la vérité. Étiez-vous en train de prier pour cela? Bon, très bien.
Croyez-vous que Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est
dans le monde? Croyez-vous qu’Il est ce…
247 Regardez, voici quelque chose d’autre, vous avez
reçu une importante formation dans vos jeunes années, parce qu’il
semble que vous soyez impliquée dans une sorte de credo. Votre père ou
quelqu’un de votre parenté n’est-il pas prédicateur ou quelque chose
comme cela? C’est votre mari. Je peux voir quelqu’un, se tenant près de
vous, en train de prêcher l’Évangile, et vous étiez dans une église; il
vous était apparenté. Très bien. Vous y êtes.
248 Maintenant, je ne connais pas cette dame, mais
Dieu la connaît. Avez-vous quelque chose dans votre sac à main, un
petit mouchoir ou quelque chose d’autre? Très bien. Alors priez; quand
vous vous serez assise, mettez vos mains sur ce mouchoir et ne doutez
pas, car Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est en
train de tuer votre papa. Croyez de tout votre cœur, et il en sera
ainsi, alors que vous croyez.
249 Maintenant, je veux vous poser une question. Je
ne connais pas cette femme. Autant que je sache, c’est la première fois
que je la voie, je pense. Mais elle est assise là dans un état
désespéré et elle prie. Et le Dieu même, qui put retourner et dire à la
femme qu’elle avait une perte de sang, est le même Dieu qui est ici,
montrant que Celui qui est en vous a vaincu le monde. Croyez-vous? Si
vous avez simplement la foi, ne doutez pas.
250 Parlant du cancer, je vois de nouveau cette
ombre noire. Elle est au-dessus d’une femme qui est assise là. Elle a
le cancer de la gorge et elle est en mauvais état. On a prié pour elle
et elle a essayé d’accepter sa guérison. Madame Burton, vous croirez!
Je ne connais pas cette femme, mais si vous croyez de tout votre cœur…
En fait, la chose… Laissez-moi vous expliquer ceci. Ce que vous essayez
de faire… Vous en avez perdu la voix et vous essayez de prier pour que
votre voix revienne. Est-ce vrai? Agitez la main comme ceci. Or cette
femme est une étrangère pour moi. Je ne la connais pas. La voyez-vous?
Voyez-vous, c’est juste. La voilà. Voyez-vous? Celui qui est en vous, —
que la foi peut toucher, — est plus grand que celui qui est dans votre
gorge. Croyez-vous de tout votre cœur?
251 Sœur Larsen, je vous connais. C’est ma
propriétaire. Mais, sœur Larsen, vous avez été chez un médecin ou
quelque chose comme cela. Vous avez une opération en perspective. C’est
vrai. N’est-ce pas? Celui qui est en vous, sœur Larsen, est plus grand
que celui qui est dans le monde. Jésus a dit: «J’étais un étranger et
vous M’avez recueilli.» Voyez-vous? «Toutes les fois que vous avez fait
ces choses à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à Moi que
vous les avez faites.» Oh, Père Céleste, soit miséricordieux!
252 Vous, que pensez-vous? Vous êtes aussi sur le
point de subir une opération. Vous êtes une étrangère pour moi. Est-ce
vrai? Vous n’êtes pas d’ici. Vous me connaissez, mais je ne vous
connais pas. Mais Dieu vous connaît. Le croyez-vous? Vous avez une
opération en vue. Vous n’habitez pas ici. Vous êtes près de Bedford,
Springville. C’est cela. Springville. Madame Burton… non… Je vous
demande pardon, je ne voulais pas dire cela… madame Parker, c’est votre
nom, n’est-ce pas? Celui qui est en vous est plus grand que celui qui
essaie de vous faire mourir. Est-ce vrai? Croyez-vous de tout votre
cœur? Alors, si c’est le cas, vous n’aurez pas besoin de cette
opération.
253 Que pensez-vous de tout ceci, sœur? Je ne vous
connais pas. Vous êtes une étrangère pour moi. Croyez-vous que je suis
Son prophète? Vous le croyez. Merci. Dieu honorera cela. Vous êtes
madame White. Vous venez de Fortworth, au Texas. Vous avez une maladie
musculaire et un état nerveux dépressif. Vous êtes très mal en point;
il n’y a pas d’espoir pour vous au point de vue médical. Votre mari,
lui, a un besoin spirituel pour lequel il prie. Vous avez là un fils
qui souffre du dos et d’une maladie de cœur. Le petit garçon qui est
assis sur ses genoux a un problème d’élocution pour lequel vous priez.
Si c’est vrai, levez la main. «Celui qui est en vous est plus grand que
celui qui est dans le monde.» Le croyez-vous? De votre cœur tout entier?
254 Maintenant, inclinons nos têtes. Maintenant, Il
a traversé le bâtiment, Il vous a prouvé qu’Il était Dieu. «Celui qui
est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» C’est le
Seigneur Dieu. Maintenant, laissez Celui qui est en vous avoir la
prééminence. Laissez-Le avoir le dernier mot sur ce que vous… Dites en
ce moment-même dans votre cœur, si vous le croyez de tout votre cœur:
«La maladie qui était dans mon corps a disparu.» Voyez-vous? «Je ne
suis plus affligée. Je n’ai plus de maladie. Celui qui est en moi est
plus grand que celui qui est dans mon corps. Celui qui est en moi est
plus grand que celui qui est dans ma chair. Donc, Celui qui est dans
mon cœur a créé les cieux et la terre. Ma chair a été contaminée par
Satan et je suis un temple dans lequel le Saint-Esprit doit habiter.
C’est pourquoi, Satan, je t’ordonne de quitter mon corps. Au Nom de
Jésus-Christ, sors de moi.» Voyez-vous? Le croyez-vous? Maintenant,
prions tous comme nous l’entendons, chacun, pendant que je prie pour
vous.
255 Dieu tout-puissant, Créateur des cieux et de la
terre, Auteur de notre vie, Toi qui révèles les secrets des cœurs, Tu
as dit: «La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux
tranchants, et elle discerne même les pensées.»
256 C’est la raison pour laquelle, quand la Parole
fut faite chair, elle sut ce qu’ils pensaient, alors qu’Il percevait
leurs pensées. Il était la Parole, et la Parole connut les secrets de
leurs cœurs. Et cette Parole est toujours la même Parole. Et ce soir,
nous La voyons se révéler en nous, après deux mille ans, parce qu’Il
l’a écrite sur du papier, et Il est ici, confirmant et montrant que
c’est juste.
257 Il y a ici des mouchoirs. Les malades sont
partout. Je prie le glorieux Saint-Esprit qui est présent, qui montre
ces choses, qui les prédit sans jamais se tromper, celles-ci devant
toujours être reconnues exactes, ne pouvant faillir une seule fois,
parce que c’est Dieu, qu’Il oigne ces mouchoirs de Sa présence, et
guérisse chaque malade sur lesquels ils seront posés. Que le Dieu qui
est toujours vivant après deux mille ans, qui peut venir dans le cœur
des pécheurs, lesquels sont rachetés par la grâce et par la foi, et qui
peut prononcer Ses propres Paroles par la bouche des mortels et voir
cela arriver, exactement comme Il l’a promis…
258 Oh, Seigneur Dieu, je Te demande d’être
miséricordieux envers nous. Et puisse chacun, chaque homme et chaque
femme ici présent, et affligé de n’importe quelle sorte de maladie… De
même que Moïse se jeta dans la brèche pour les gens, ce soir je place
mon cœur devant Toi, Seigneur. Et avec toute la foi que Tu m’as donnée
en Toi, je la leur donne, à l’exemple de Pierre qui déclara, à la porte
appelée la Belle, «ce que j’ai, je te le donne: Au Nom de Jésus-Christ
de Nazareth, lève-toi et marche». Et l’homme resta boiteux et faible
quelques instants, mais tandis qu’ils le soutenaient, ses chevilles se
fortifièrent. Et il entra dans la maison de Dieu en sautant, en louant
et en bénissant Dieu.
259 Tu es le même hier, aujourd’hui et
éternellement. Et Ses apôtres déclarèrent: «Ce que j’ai, je te le
donne.» C’était la foi. Et je déclare: Ce que j’ai, je le donne à cet
auditoire: Au Nom de Jésus-Christ de Nazareth, abandonnez votre
maladie, parce que Celui qui est en vous est plus grand que le diable
qui essaie de retrancher votre vie. Vous êtes des enfants de Dieu. Vous
êtes les rachetés. J’ordonne que Satan quitte ces gens.
260 Puisse le Dieu qui arrêta cette tempête l’autre
jour, le Dieu qui fit cesser les vents et les vagues, puisse-t-Il
veiller à ce que chaque maladie soit extirpée de ces gens, et que la
puissance de Christ soit rendue manifeste dans leur vie en ce moment.
Puisse chaque pécheur se repentir. Puisse chaque personne qui ne s’est
pas encore approchée de Toi se mettre en ordre en ce moment. Et
puisse-t-il en être ainsi, au Nom de Jésus-Christ.
261 Moi, en tant que votre pasteur, votre frère,
avec la foi que je possède, j’ai demandé à Dieu de la placer en vous.
Je crois que je reçois ce que j’ai demandé. Maintenant, si vous
le croyez avec moi, avec la foi que j’ai, je vous l’accorde en cet
instant. Et maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu,
abandonnez votre affliction, votre maladie, et dites-lui: «Tu dois
partir!» Parce que vous avez votre foi plus ma foi, avec la puissance
de Jésus-Christ, dont l’omniprésence est ici pour confirmer cela et
prouver qu’Il est là; cela fera que vous serez aussi guéris en ce
moment.
262 Le croyez-vous, madame, vous qui êtes étendue
sur cette couchette? Bien que vos muscles soient ainsi à cause de
sclérose, vous pouvez marcher, si vous essayez. Levez-vous, au Nom de
Jésus-Christ. C’est bien. Ça y est. Croyez-vous? Vous tous, levez-vous
et abandonnez votre maladie. Ses chevilles reçurent de la force.
Maintenant, levons nos mains et louons-Le. Louez
Jéhovah-Dieu! Au Nom de Jésus-Christ, nous nous remettons à Toi pour la
guérison.