Messieurs, Nous Voudrions Voir Jésus
Messieurs, Nous Voudrions Voir Jésus - Shp
1 Père Céleste, nous ne faisons que racheter le
temps, maintenant, jusqu'à ce que Tu viennes. Le glorieux réveil que
nous avons tant apprécié, qui s'est répandu à travers tout le pays, et
tout autour du monde, au point que les feux du réveil ont brûlé dans
chaque nation sous le ciel. Tout autour du monde, en ce moment, de
glorieuses réunions de guérison se déroulent, vingt-quatre heures sur
vingt-quatre, et tout autour du monde, cela a commencé il y a quelques
années. Des gens tout simples sont sortis, en croyant, et c'est ce qui
a amené le réveil. Père Céleste, maintenant nous glanons dans nos
villes et dans tout notre pays. Y en a-t-il, Seigneur, qui ne sont pas
encore entrés? Si c'est le cas, notre Dieu, nous Te prions de les
envoyer. S'il y a des âmes à Dallas, qui peuvent être rachetées,
accorde, Seigneur, que par un moyen quelconque, d'une façon quelconque,
Tu les fasses entrer au cours de cette série de réunions.
2 Nous ne sommes pas trop bien considérés dans le
monde, et nous nous attendons à cela. Mais quand notre Seigneur est
venu sur terre, Lui non plus n'était pas très bien considéré. Mais il y
en avait des millions dans le monde à ce moment-là, et il n'y en a que
quelques-uns qui L'ont écouté. Mais tous ceux qui avaient été destinés
à la Vie L'ont écouté. Ô Dieu, je Te prie sincèrement de donner, ce
soir et tout le long de la série de réunions, à tous ceux de Dallas qui
n'ont pas encore le Sceau de Dieu sur leur front, accorde-leur
d'entrer, d'être glorieusement remplis du Saint-Esprit.
3 Je Te prie de guérir tous ceux qui sont malades et
affligés dans toute la région, ici, qui ont la foi.
4 Bénis notre brave et distingué Frère Grant. Oh, de
le voir tellement plus fort! Ce brave homme qui s'était vraiment ruiné
la santé, à se tenir dans les lignes de prière avec la plus profonde
sincérité, et je suis de tout cœur avec lui. Je suis tellement heureux
de voir, Seigneur, que Tu l'as béni de façon tellement merveilleuse.
Que Ta main miséricordieuse soit sur lui, et sur tous ceux qui
T'aiment, dans ce pays, et qui attendent Ta Venue.
5 Bénis Ta Parole. Et, Père, nous prions que Jésus
Lui-même vienne à nous, sous une forme tellement–tellement réelle,
d'une façon tellement réelle qu'aucun de nous ne manque de Le voir, et
que tous ceux que Tu as destinés à la Vie Le reçoivent. Que ceux qui
sont malades Le reçoivent, et qu'ils soient guéris pour la gloire du
Royaume de Dieu. C'est au nom de Jésus-Christ que nous le demandons.
Amen.
6 Maintenant, nous essaierons de terminer les
réunions entre neuf heures et neuf heures et demie, à cause du–du
nombre de personnes, et pour que vous puissiez revenir demain soir.
Juste pour formuler quelques mots, ce soir, je veux prendre un passage
de l'Écriture que j'ai lu bien des fois. Et est-ce que...
7 Y a-t-il ici des gens qui n'ont jamais été dans
une des réunions? Levez la main, pour voir. Oh! la la! Il y a
pratiquement quatre-vingt ou quatre-vingt-dix pour cent de la–de la
salle, ou des gens qui sont dans la salle, qui n'ont jamais assisté à
une réunion. Nous sommes heureux que vous soyez avec nous pour cette
première fois.
8 Or, chacun sait qu'aucun homme n'en guérit un
autre. Pas même un médecin ne peut vous guérir. La guérison vient de
Dieu. «Je suis l'Éternel qui guérit toutes tes maladies.» Aucun médecin
ne vous dira qu'il a les médicaments qui vont vous guérir. S'il le
fait, il vous donne une fausse information.
9 En effet, les Frères Mayo, lors d'un entretien,
récemment... Quand le petit Donny Morton a été guéri au Canada, celui
que les Mayo avaient refusé, c'était arrivé sur la Côte Ouest. Vous
avez vu ça dans le Reader's Digest. Ils m'ont fait venir pour un
entretien, et ils disaient: «Nous ne prétendons pas être des
guérisseurs, Frère Branham, nous prétendons seulement aider la nature.»
10 II y a un seul Guérisseur, c'est Dieu. Dieu est
le Seul qui puisse former des cellules, produire la vie; par
conséquent, l'homme n'a pas le pouvoir de faire ça. Un médecin peut
replacer un os; ou vous donner un médicament pour empoisonner les
microbes, il en met une certaine dose, et un antidote pour que ça ne
vous tue pas, mais que ça tue le microbe, et ainsi de suite. Il peut
faire ça. Mais les tissus qui ont été déchirés, ou l'os qui a été
fracturé, l'appendicite qui a été enlevée, l'appendice, il ne peut pas
guérir ça. Il faut que ce soit Dieu. C'est Dieu qui guérit. L'homme
peut ôter quelque chose qui le provoque, s'il est possible de déplacer
cet organe, il peut le retrancher, couper les vaisseaux sanguins et
enlever cela, ou ce tissu qui est d'une cellule en prolifération, comme
une tumeur, un cancer, ou quelque chose. S'il peut le cerner, il pourra
l'enlever. Mais guérir, ça, il ne le peut pas, et il vous le dira.
11 Or, la guérison vient de Dieu seul. Dieu seul a
acquis pour nous notre guérison. C'est à nous qu'il revient de faire
tout ce que nous pouvons, dans notre vie, et par tous les moyens que
Dieu nous a donnés, pour notre guérison, mais c'est Dieu qui guérit. Si
Dieu vous appelle à retourner à la Maison ce soir, il n'y a pas assez
de médicaments au monde pour vous retenir ici. Rien ne vous retiendra
ici. Et s'Il décide que vous devez rester sur terre, peu importe
combien de médecins disent que vous allez partir ce soir, vous ne
partirez pas. Donc, c'est vraiment Dieu qui décide de tout ça.
12 Dieu est la Vie, la Vie Éternelle. «Au
commencement était Dieu.» Il n'était pas Dieu, à ce moment-là, parce
que dieu, le mot anglais «god» [dieu – N.D.T.] veut dire «objet
d'adoration», et il n'y avait rien d'autre que Lui. Il était l'Éternel,
Celui qui est Éternel, c'est tout. Il n'y avait pas de lune, pas
d'étoiles, pas d'Anges, rien. Mais dans cet Être, que nous appelons
Dieu notre Père, il y avait des attributs. En Lui, il y avait
l'attribut de Père; en Lui, il y avait l'attribut de Dieu; en Lui, il y
avait l'attribut de Fils; en Lui, il y avait l'attribut de Sauveur; en
Lui, il y avait l'attribut de guérisseur; et toutes ces choses que nous
voyons maintenant ne font que manifester Ses attributs.
13 Or, si vous étiez dans Ses pensées, au
commencement, si vous avez la Vie Éternelle, il n'y a qu'une forme de
Vie Éternelle; la Vie Éternelle n'a pas eu de commencement, et elle n'a
pas de fin. Donc, si vous avez la Vie Éternelle, vous étiez un attribut
des pensées de Dieu avant qu'il y ait quoi que ce soit d'autre que Lui.
14 Votre forme, votre silhouette et ce dans quoi
vous êtes maintenant, ce n'est qu'un négatif, quand vous arrivez aux
alentours de vingt, vingt-deux ans. Vous étiez un négatif, et la mort
développe la photo pour donner le positif, «que quand cette tente sur
la terre sera détruite, nous en avons déjà une qui nous attend». Voyez?
15 Ceci, la manifestation, là, ça montre ce qui est
en train de se faire. Comme Dieu est devenu Dieu quand Il a créé des
Anges. Il est devenu Fils quand Il a créé Christ, Jésus. Il est devenu
Sauveur quand Jésus est mort. Il devient guérisseur quand «Il était
blessé pour nos péchés, par Ses meurtrissures nous sommes guéris».
Voyez?
16 Toutes ces choses sont des attributs de Dieu, de
sorte qu'à la–la fin, la Bible a dit, Jésus a dit: «Vous connaîtrez que
Je suis dans le Père, le Père en Moi; Moi en vous, et vous en Moi.
C'est Dieu qui devient tangible. Votre propre femme, vous et votre
mari, c'est seulement une ombre, un négatif de Dieu et de Son Épouse à
Lui, l'Église. Vous voyez, c'est seulement l'attribut de Dieu qui est
montré par des ombres et des types, comme l'Ancien Testament en était
un du Nouveau. Voyez? Alors, à la fin, tout ça se rejoint, Dieu
tangible. Dieu en Christ, tangible, fait chair, qui a habité parmi
nous. Et dans ce glorieux Millénium à venir, Dieu sous la forme de
Christ est assis sur le Trône de David; et l'Église, Son Épouse, le
Mari et la Femme ensemble.
17 Oh, c'est ce qu'il y a de plus, c'est assez pour
enflammer le cœur d'un croyant; dans ces glorieuses heures que nous
vivons, alors que tous les espoirs et les nations, et tout le reste,
s'écroulent sur nous, en dessous de nous, nous avons un Royaume. Nous
sommes baptisés dans ce Royaume.
18 Maintenant, nous allons prendre les quelques mots
de ce petit Message de ce soir, pour vous présenter ce que je voudrais
que vous voyiez pendant la série de réunions. Nous lisons dans,
excusez-moi, dans l'Évangile de Jean au chapitre 12 et au verset 20. Et
notre–notre thème, toujours, depuis le commencement, c'est le même que
ce soir, et celui qu'on retrouve sur toute notre documentation, et
tout, Hébreux 13:8, «Jésus-Christ, le même hier, aujourd'hui et pour
toujours».
Or, quelques Grecs, du nombre de ceux qui étaient
montés pour adorer pendant la fête,
S'adressèrent à Philippe, de Bethsaïda… et lui
dirent avec instance: Messieurs, nous voudrions voir Jésus.
19 Maintenant, voici la question que nous posons ce
soir. S'Il est le même hier, aujourd'hui et pour toujours, et que ces
Grecs, des gens des nations, ont demandé à Le voir, et qu'il leur a été
permis de le faire par un de Ses serviteurs, alors, s'Il reste toujours
le même, hier, aujourd'hui et pour toujours, pourquoi ne pourrions-nous
pas Le voir ce soir? Voyez? Messieurs, nous voudrions voir Jésus.
20 Or, je suis sûr que pour tout croyant, ça
remplirait vraiment son cœur d'enthousiasme, ce serait une confirmation
de sa foi, s'il pouvait littéralement voir et savoir qu'il se tient
dans la Présence de Jésus-Christ. Je pense que ce serait la chose la
plus stupéfiante que–qu'une personne, qu'un croyant pourrait envisager;
de savoir, et de savoir de façon certaine qu'il se tient en plein dans
la Présence du–du Seigneur Jésus-Christ, son Juge solennel, son
Rédempteur, qui sera son Juge au Jugement.
21 Bon, cette question a été posée. Ces Grecs
étaient montés pour l'adoration, et c'étaient peut-être des prosélytes
de la religion juive. Et ils étaient à la fête, donc ce devaient être
des prosélytes. Et ils avaient entendu parler de Jésus. «La foi vient
de ce qu'on entend, et de ce qu'on entend la Parole de Dieu.»
22 Or, quelque part dans l'Écriture, nul doute
qu'ils avaient entendu ou lu comment allait être le Messie. Donc ils
savaient que s'ils pouvaient... Cet Homme qui prétendait être le
Messie, Il aurait nécessairement les attributs que devait posséder le
Messie.
23 Or, il y avait eu beaucoup, il y avait eu
beaucoup de faux messies qui s'étaient élevés, nous savons qu'il y en
avait même eu un qui s'appelait Jésus qui, s'était élevé juste avant le
Oint. Le Messie, c'était le Oint, ce qui veut dire «le Christ», le...
un–un Homme oint du Saint-Esprit, la plénitude de Dieu, c'était le
Messie, Dieu dans un Homme. L'Homme et Dieu sont devenus un, quand Dieu
est entré dans un Homme.
24 Or, ces Grecs étaient très curieux. Ils avaient
entendu des choses formidables au sujet de cet Homme qui faisait ces
déclarations, et je les admire parce qu'ils ont eu assez de sincérité
pour examiner ça de plus près. Je pense que, si seulement nous
agissions tous plus de la sorte, que nous examinions de plus près ce
que nous entendons dire, et que nous le jugions selon la Parole.
25 Or, Dieu ne change jamais Sa manière de faire les
choses. Il reste toujours pareil. Maintenant, Il ne peut pas changer,
parce que la décision première de Dieu est la Sienne; Il doit toujours
s'en tenir à cette décision, quand Il est appelé à entrer en scène,
comme aujourd'hui.
26 Dieu a été appelé à entrer en scène la première
fois que le péché a été commis dans le jardin d'Éden, et Il a dû
prendre une décision quant à la façon dont Il allait racheter l'homme.
Et Il a pris Sa décision en le rachetant par le Sang versé d'un
Innocent, et Il n'a jamais changé ça. Nous avons essayé de les
instruire, nous avons construit des tours et des villes, et des
théologies et de l'instruction, et–et des dénominations d'église, et on
les a fait entrer par la dénomination; et ça n'a jamais marché, et ça
ne marchera jamais. Dieu sauve l'homme par le Sang versé de l'Innocent.
Il ne change jamais ça, peu importe quelle meilleure manière nous
pensons avoir. C'est... ça, c'est la décision de Dieu.
27 Et Il ne peut décider une chose aujourd'hui et
autre chose demain. Quand Il prend une décision, Il est parfait. Il n'a
jamais à revenir dessus. Quand Dieu dit quelque chose, c'est
Éternellement juste, parce qu'Il est Éternel et Ses Paroles sont
Éternelles.
28 Dieu, qui connaissait la fin depuis le
commencement, Il a donc donné à Son–Son monde une certaine partie de
Parole pour chaque génération, au fur et à mesure qu'elles sont venues.
Il a envoyé des prophètes dans l'Ancien Testament; il nous est enseigné
dans Hébreux 1 qu'«après avoir, à plusieurs reprises et de plusieurs
manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu l'a fait en ce
dernier jour par le Fils, Jésus-Christ». Maintenant, si nous examinions
vraiment bien ce passage de l'Écriture!
29 Quand Jésus était sur terre et qu'Il a dit qu'Il
était le Fils de Dieu, ils L'ont condamné. Il a dit: «Pourquoi Me
condamneriez-vous quand Je dis que Je suis le Fils de Dieu, alors que
vous appelez ceux à qui la Parole est venue des ‘dieux’?» Abraham était
considéré comme un dieu, Élie était un dieu, Ésaïe était un dieu, parce
que la Parole de Dieu leur est venue. Et ils étaient, partiellement,
des dieux. Jésus a dit qu'ils l'étaient. Il a dit: «Vous les appelez
‘des dieux’.»
30 Maintenant, vous voyez, quand l'homme était oint,
comme Joseph, il représentait Christ; quand Moïse était oint, il
représentait Christ; quand David était oint, il représentait Christ.
Tous menaient à Christ, et Lui était la plénitude de la Parole. La
Parole a été manifestée en Lui. Il était le Oint en entier. Eux, ils
L'avaient en partie; nous, nous L'avons en partie. Lui, Il était le
Oint. Le plan de Dieu tout entier reposait en Lui. Le plan de Dieu,
avant la fondation du monde, de racheter un monde perdu, était en Lui.
Il était la Parole, et Il est encore la Parole, «le même hier,
aujourd'hui et pour toujours». Rappelez-vous, Il est venu aux pères à
travers les prophètes, Il S'est fait connaître à travers les prophètes;
et puis, dans ce dernier jour, à travers Son Fils, Jésus-Christ. Il
était Dieu manifesté.
31 Remarquez, la Parole vient toujours au prophète.
Dieu n'a jamais agi à travers un groupe de gens. C'est à travers un
individu qu'Il agit. À l'époque de Noé, Il a agi à travers Noé. À
l'époque de Moïse, Il a agi à travers Moïse. À l'époque d'Élie, Il a
agi à travers Élie, à travers Élisée et Élie. À travers Ésaïe et ces
prophètes, au fur et à mesure qu'ils se sont succédés au cours de l'âge.
32 Et puis quand Il était ici, Il a été pleinement
manifesté; pas dans des pharisiens, des sadducéens, mais en
Jésus-Christ. Il était la Parole. Voilà pourquoi Il pouvait dire ce
qu'Il a dit. Voilà les déclarations qu'Il pouvait faire. Or, ces Grecs
savaient cela, vous voyez.
33 Dans chaque âge, Dieu a donné une certaine
quantité de Parole, et les églises embrouillent tout, alors Il envoie
un prophète parmi eux et Il confirme cette Parole. C'est toujours
pareil, chaque fois, comme aujourd'hui nous parlons et nous disons que
les méthodistes...
34 Les luthériens ont dit: «Quand vous croyez, c'est
tout ce que vous avez à faire; vous êtes justifiés par la foi, croyez.»
Beaucoup ont dit qu'ils croyaient, et ils ne L'avaient pas. Nous savons
cela.
35 Wesley est arrivé avec ce qui était appelé «la
seconde oeuvre de la grâce», la sanctification: «Tous ceux qui crient,
et qui sont sanctifiés, L'ont.» Beaucoup ont crié et ne L'avaient pas.
36 La pentecôte est arrivée, ils ont dit: «Tous ceux
qui parlent en langues L'ont.» Beaucoup ont parlé en langues et ne
L'avaient pas.
37 Ceux de la science chrétienne sont arrivés, et
ils ont dit: «C'est l'amour, le fruit de l'Esprit.» Beaucoup d'entre
eux produisent du fruit de l'Esprit et ne L'ont pas.
38 Ces pharisiens pouvaient produire dix fois plus
de fruits que Jésus. Saviez-vous cela? Or, si je prenais, disons... Et
que Dieu me pardonne, mais je vais prendre l'autre côté, je vais dire:
«Il y a un Homme ici à Dallas, un jeune homme, là, sorti de par ici, de
nulle part, dans les... un quartier pauvre, ici, qui Se dit Prophète,
en Galilée. Il va un peu partout. Je vous ai rassemblés pour vous
montrer ce qui ne va pas. Cet Homme prétend être Prophète.»
39 «Or, je veux vous demander quelque chose. Qui a
étudié depuis son enfance, sinon votre bon vieux sacrificateur, ce
saint homme? Qui s'est tenu avec votre père et votre mère, quand vous
êtes né, sinon votre bon vieux sacrificateur, ce saint homme? Qui vous
a pris dans ses bras, et vous a circoncis et consacré au Seigneur, le
huitième jour, sinon votre bon vieux sacrificateur, ce saint homme? Qui
va vous voir quand vous êtes malade et dans le besoin, sinon votre bon
vieux sacrificateur, ce saint homme? Qui a étudié et consenti des
sacrifices, pendant toute sa jeunesse, pour apprendre les lois et tout,
sinon votre bon vieux sacrificateur, ce saint homme? D'où ce jeune
Homme est-Il venu, ce Jésus de Nazareth? À quelle école est-Il allé? À
quelle organisation appartient-Il? Quelle carte d'association
porte-t-Il? Aucune. D'ailleurs, tout ce qu'Il fait, c'est de condamner
ceux qui en ont une. Qui est cet Homme, d'abord?»
40 «Et vous, les hommes d'affaires! Jéhovah a
demandé un agneau comme sacrifice, du sang. Et votre bon vieux
sacrificateur, ce saint homme, il a installé des petits enclos, là-bas.
Vous, vous êtes commerçants, et vous vendez de la soie et tout, alors
il a fait un endroit là-bas pour que vous, les commerçants, vous
puissiez en acheter un avec votre argent, un agneau, pour l'offrir pour
vos péchés. Qu'est-ce que ce jeune Homme a fait? Il est arrivé là-bas
et Il a renversé ces choses; Il les a regardés d'un regard furieux, Il
les a chassés à coups de fouet, Il a renversé les tables des changeurs.
Appelleriez-vous cela le fruit de l'Esprit? Non, il faut dire que non,
Il essayait même de vous empêcher d'être sauvés; votre sang, le sang
que Jéhovah a demandé. Ça ne pourrait pas venir de Jéhovah!» Vous voyez
combien C'était invraisemblable?
41 Ces sacrificateurs de ce jour-là, ou ces
prophètes, n'ont-ils pas, quand Josaphat et Achab étaient assis
ensemble, et que quatre cents sacrificateurs, qui avaient reçu une
solide formation à l'école, sont montés là, et ont dit à Achab et aux
autres: «Ce pays vous appartient. Ce n'est pas juste que les–les
Philistins se remplissent le ventre du blé qui appartient à Israël. Le
Dieu Tout-Puissant nous a donné ceci. Et AINSI DIT LE SEIGNEUR, monte!»
42 Mais vous savez, Josaphat était un homme
spirituel, il y avait un petit quelque chose qui clochait. Il a dit:
«N'en as-tu pas encore un que tu puisses consulter?»
43 Il a dit: «J'en ai un, mais je le hais.» Oui.
C'est sûr. Il a dit: «Il prophétise toujours du mal. Il condamne notre
peuple, dans tout ce qu'il fait. Il n'est pas d'accord avec les autres.»
Il a dit: «Que le roi ne parle pas ainsi, mais qu'il
le fasse venir.»
44 Et quand le petit Michée fils de Jimla est venu,
il a eu une vision. Il a comparé sa vision avec la Parole. Et quand il
a vu que sa vision et la Parole concordaient, il a dit: «Monte, mais je
vois Israël dispersé, comme des brebis qui n'ont pas de berger.» Vous
voyez qui avait raison? C'est vrai qu'ils avaient quelque chose, et que
ce pays leur appartenait, mais il leur appartenait sous certaines
conditions.
45 Et de même, les Bénédictions de ce dernier jour
appartiennent à cette église, mais c'est sous conditions. Vous devez
remplir ces conditions. Sinon, vous pouvez faire toutes sortes de
réunions de guérison, de réunions où l'on crie, de réunions de louange,
de réunions pour les fruits, de réunions pour parler en langues, et ça
ne vous servira absolument à rien. Vous devez remplir la condition de
Dieu.
46 C'est pourquoi ces Grecs désiraient voir cet
Homme. Ils savaient d'après la Parole ce que devait être ce Messie, et
ils voulaient Le voir. Ils étaient des Gentils. Ils avaient entendu
parler de Lui, et ils voulaient Le voir.
47 Maintenant, s'ils voulaient Le voir, et que ce
privilège leur a été accordé, ne pensez-vous pas qu'ici à Dallas, ce
soir, s'Il a dit dans l'Écriture qu’«Il est le même hier, aujourd'hui
et pour toujours», et que nous désirons Le voir, ne pensez-vous pas
qu'Il nous l'accorderait aussi? Rappelez-vous, s'Il ne le fait pas,
alors Ce n'est pas le même hier, aujourd'hui et pour toujours. Je crois
qu'Il est le même. Dieu, dans ce dernier jour, a fait des choses
merveilleuses pour les gens!
48 Ça me rappelle beaucoup une femme, ici, il n'y a
pas longtemps, à Louisville, au Kentucky. Elle avait un petit garçon
d'environ, oh, deux ou trois ans. Et le petit gars avait un... il
devait souffrir d'un–un dérangement mental. Et elle l'avait amené chez
le médecin, et le médecin l'avait soigné pendant un moment. Et il lui
semblait, à elle, que son état empirait. Mais le médecin, lui, il
disait: «Je crois qu'il va mieux.»
49 Alors elle l'a testé, pour voir. Elle l'a amené
dans un petit magasin à rayons, et elle a ramassé quelque chose qui
aurait dû attirer l'attention de ce petit garçon, et il–il ne le
regardait pas. Et elle est allée vers un autre rayon, et elle a ramassé
quelque chose qui aurait dû attirer son attention, un petit pistolet
d'enfant ou quelque chose, et–et ça n'attirait toujours pas son
attention. Et elle faisait tout ce qu'elle pouvait, et les gens la
regardaient, qui devenait hystérique. Alors elle est allée à un endroit
où il y avait une–une petite clochette, et elle l'a ramassé et elle l'a
agitée, hystériquement, devant ses yeux, et elle disait: «Chéri,
regarde!» Et le petit gars ne faisait que regarder dans le vide. Et
elle a laissé tomber cette petite chose par terre, et elle s'est mise à
hurler. Elle criait: «Oh, non! Non!»
50 Et certaines personnes qui étaient dans le
magasin sont allées lui porter secours, et voir ce qui n'allait pas.
Elle a dit: «Mon petit garçon, le docteur dit qu'il va mieux, mais il
ne va pas mieux. Tout ce qui devrait attirer son attention, celle d'un
petit garçon comme lui, ça ne l'attire pas. Il ne fait que regarder
dans le vide.»
51 Je pense que c'est là l'état auquel notre église
est en train d'aboutir. Dieu a agité chaque don qu'Il a promis dans la
Bible, devant nous, et nous continuons à regarder dans le vide et nous
cherchons quelque chose ailleurs. Il semble que c'est un état spirituel
de l'église, qu'ils manquent de voir l'heure dans laquelle ils vivent.
Ils cherchent une sensation ou quelque chose qui... quelque chose bien
loin dans l'avenir. L'homme fait toujours ça; il bénit toujours Dieu
pour ce qu'Il a fait, il s'attend à ce qu'Il va faire, et il ne tient
aucun compte de ce qu'Il est en train de faire. Vous manquez de voir
l'heure où nous vivons!
52 Voilà ce que ces Grecs voulaient savoir, quelle
était l'heure et ce que le Messie devait être. La portion de l'Écriture
qui était révélée pour ce jour-là, si ce Messie l'accomplissait, voilà
la preuve! C'est la Parole de l'heure, confirmée, qui est la preuve; ce
n'est pas qu'Il devait avoir les fruits de l'Esprit, qu'Il devait être
un–un homme de loi auprès des tribunaux de–de justice, pour Son
organisation, ou l'une de celles des pharisiens ou des sadducéens. Il
était la manifestation de la Parole de Dieu promise pour cette heure-là.
53 Vous voulez voir ce qu'est le fruit de l'Esprit?
Observez ce que la Bible promet pour une heure donnée, et cherchez-en
la confirmation. Voilà la preuve. Jésus a dit: «Vous sondez les
Écritures, parce que vous pensez avoir en Elles la Vie Éternelle: ce
sont Elles qui rendent témoignage de Moi. Voilà ce qui prouve Qui Je
suis.»
54 Nous regardons maintenant un passage de
l'Écriture, avant de passer à autre chose. Jésus a dit, quand Il était
ici sur terre, dans le Livre de Luc, que «ce qui arriva aux jours de
Sodome arrivera de même à la venue du Fils de l'homme», remarquez, là,
«et ce qui arriva aux jours de Noé, avant le déluge». Or, Jésus lisait
la même Bible que vous et moi, nous lisons. Et toutes ces choses
étaient des ombres. Maintenant, si vous voulez voir ce qui est arrivé
avant le jour de Noé, reprenez et lisez dans la Genèse. Il a seulement
dit: «Ils mangeaient, buvaient, se mariaient, mariaient leurs enfants.»
55 Mais, si vous remarquez, reprenez Genèse 6 et
lisez-le, et là, voyez ce qui est arrivé; nous voyons, là-bas que
«quand les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient
belles, ils en ont pris pour femmes», des tribunaux de divorce. Des
fils de Dieu! «Des hommes de renom», des hommes célèbres.
56 Regardez aujourd'hui, nos–nos gens haut placés,
de grands hommes dans le monde, comme ce noble lord en Angleterre, tout
récemment, le magazine Life avait fait un article là-dessus, qu'on a
trouvé avec des strip-teaseuses, et tout. Regardez notre gouverneur de
New York, et tous les autres pays alentour, l'immoralité. Regardez les
divorces. L'Amérique est à la tête des nations, pour les divorces, du
reste du monde. Regardez les femmes, comment elles s'habillent pour
sortir dans la rue; et comment les hommes, la première chose à laquelle
ils pensent, presque, aujourd'hui, c'est quelque chose d'immoral.
Toutes les distractions, sur les cigarettes, le whisky, n'importe quoi,
ou un spectacle quelconque, ou un... il faut toujours qu'il y ait une
femme immorale là-dedans. «Ce qui arriva aux jours de Noé!»
57 Jésus a dit: «Et ce qui arriva aux jours de
Sodome!» Rappelez-vous, Il a laissé ça tranquille. Esquissons le
tableau de Sodome. Il y a eu trois catégories de gens dans le monde,
toujours; ce sont les croyants, les soi-disant croyants et les
incroyants. Ils sont là dans chaque groupe. Nous en parlerons peut-être
un soir, au cours de la semaine. Mais à cette époque-là, il y avait les
incroyants, les Sodomites; il y avait les soi-disant croyants, qui
étaient Lot et son groupe; et il y avait les appelés à sortir et élus,
c'était Abraham, qui n'était pas dans Sodome.
58 Trois Anges sont descendus juste avant que le
fils promis arrive. Ainsi, Abraham avait séjourné, et il avait attendu
un fils promis; et Lot avait entièrement oublié la promesse, et il
était parti à Sodome; et les Sodomites ne le croyaient pas, au départ.
Mais remarquez, là, par une chaude matinée, trois Êtres sont descendus
du Ciel. Et comme ils se sont avancés vers Abraham, l'Un d'eux est
resté avec lui. Et deux d'entre eux sont descendus à Sodome, pour
appeler à sortir ceux qui restaient à Sodome, Lot et ceux qui étaient
allés avec lui, et il n'en a eu que trois; huit à l'époque de Noé.
59 Ça, c'est une déclaration plutôt forte pour ce
jour qui vient, «ce qui arriva», trois et huit.
Remarquez, il y en avait Un, cependant, qui était
venu à Abraham.
60 Or, celui qui était descendu à Sodome, il... ils
ont prêché là-bas, les deux qui étaient allés là-bas, ils ont prêché et
leur ont dit que l'heure approchait où le monde des nations allait être
entièrement brûlé. Maintenant, comparez le tableau de Sodome à celui
d'aujourd'hui; pas Noé, l'eau; mais cette fois-ci le feu, pour détruire
le monde des nations.
61 Et les vrais croyants des nations cherchent un
Fils promis, le Fils de Dieu, et nous avons attendu. Ils ne sont pas
dans Sodome. Ils sont appelés à sortir.
62 Celui de Sodome, c'était ce membre d'église
tiède. Et un genre de Billy Graham contemporain est descendu à Sodome,
parmi les dénominations, un Oral Roberts. Et ils sont là-dedans, ils
cognent dur, par l'Évangile, ça les a aveuglés. Regardez bien le signe
qu'il a accompli là-bas, pour ceux-là.
63 Maintenant, regardez Abraham, l'élu, dans son
groupe à lui, il y en a Un qui est resté là-bas et qui a accompli un
signe pour eux.
64 Vous savez, dans toute l'histoire du monde, toute
l'histoire de l'église, jamais une seule fois il n'y a eu un
réformateur, ou un homme qui ait jamais eu un–un grand ministère pour
ceux des nations, dont le nom se soit terminé en h-a-m, comme
A-b-r-a-h-a-m, jusqu'à maintenant. C'est G-r-a-h-a-m, six lettres.
Abraham, c'est sept lettres. Six lettres, G-r-a-h-a-m. Billy Graham, un
grand revivaliste qui est là-bas à Sodome, parmi ces églises des
dénominations, pour appeler ceux qu'il peut, à sortir. Nous avons eu
Billy Sunday, Finney, Sankey, Moody, Knox, Calvin, ainsi de suite, mais
jamais un G-r-a-h-a-m ou qui que ce soit se terminant en h-a-m, jamais
auparavant. Il y en a un là-bas, pour l'église formaliste, à Sodome,
qui se termine en h-a-m, ce qui veut dire «père des nations».
65 Et puis il y en avait Un qui est resté là-haut
avec Abraham, qui était assis, la tente... le dos tourné à la tente, et
Il a dit: «Abraham», pas Abram, ce qu'il était quelques jours
auparavant. «Abraham, où est ta femme, Sara?» S-a-r... r-a, pas
S-a-r-a-ï, vous voyez. «Où est ta femme, Sara?»
Il a dit: «Elle est dans la tente, derrière Toi.»
66 Il a dit: «Je vais te visiter. Je», Je, un pronom
personnel, «vais te visiter selon la promesse que Je t'ai donnée.»
67 Et Sara, qui était âgée de cent ans, dans la
tente, a ri en elle-même, en disant dans son cœur: «Comment puis-je,
moi qui suis vieille, avoir à nouveau du plaisir avec mon seigneur, et
que lui est vieux, Abraham, comme des jeunes, ou des gens avec–avec une
vie sexuelle qui est terminée depuis des années?» Elle avait quatre
vingt-dix ans, et Abraham en avait cent. Elle a dit: «Avoir du plaisir
avec mon seigneur, alors que lui aussi est vieux.»
68 Et l'Ange, le messager qui était pour l'église
spirituelle, a discerné ce qu'elle avait, ce qu'elle disait dans son
cœur. Et Il a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle douté de ceci, tu vois, en
disant dans son cœur: ‘Cela ne se peut pas’?»
69 Et Sara a essayé de le nier. Mais comme elle
faisait partie d'Abraham... Son incrédulité l'aurait condamnée, mais
Dieu ne pouvait pas la reprendre, parce qu'elle faisait partie
d'Abraham. L'Église aurait été condamnée depuis longtemps, mais elle
fait partie de Christ.
70 Remarquez le signe qu'Il a accompli, en disant ce
qu'elle faisait, alors qu'Il lui tournait le dos. Jésus a dit que ça se
reproduirait «aux jours de la venue du Fils de l'homme». Nous voyons le
Billy Graham, nous voyons le feu prêt à tomber, l'église qui attend un
Fils promis. Et voilà, tout est là, comme il faut, nous attendons cette
heure-là, le Fils promis.
71 Et rappelez-vous le dernier signe qu'Abraham a
vu… Et nous qui sommes nés de l'Esprit de Christ, nous sommes la
Semence royale d'Abraham. Jésus a promis que la Semence royale
d'Abraham verrait le même signe que leur père Abraham avait vu, avant
que le Fils promis arrive. Il n'y a pas eu un seul autre signe.
Abraham; tout de suite, Sara est devenue mère, et Isaac est arrivé. Le
dernier signe, c'était Dieu manifesté dans la chair d'un homme.
72 Là, quelqu'un m'a dit, il a dit: «Frère Branham,
vous ne croyez pas que c'était Dieu!»
73 Eh bien, Abraham a dit qu'Il l'était. Il L'a
appelé «Élohim». Et regardez voir si ça ne s'écrit pas avec un L
majuscule. Voyez si au début, à l'origine, ce n'est pas là la même
chose que c'était: «Au commencement, Dieu créa...» Élohim, «Celui qui
est entièrement suffisant».
74 Dieu qui Se manifeste dans Son Église, au milieu
de Son peuple. Jésus a dit... Ici, Dieu était manifesté dans un Homme,
Jésus-Christ, «le même hier, aujourd'hui et pour toujours». L'Église
est passée par toutes sortes de signes. Eh bien, ensuite, quand Dieu
agite le dernier signe devant eux, ils restent là à regarder dans le
vide. Que Dieu aie pitié de nous! Combien nous reste-t-il encore de
temps de grâce? Il est peut-être plus tard que nous ne le pensons.
Rappelez-vous ma première citation; les gens continueront, en pensant
être sauvés, comme à Sodome.
75 Qu'est-ce qu'Il était? Qu'est-ce que ces Grecs
ont vu en Lui? Qu'est-ce qu'Il était? Ce qu'Ils voyaient en Lui, à
l'époque, ce qu'ils cherchaient, ils devaient l'avoir vu.
76 Maintenant regardez dans Deutéronome, chapitre
18, versets 15 à 20, Moïse. Dieu a dit à Moïse, et Moïse l'a dit au
peuple «L'Éternel, ton Dieu, suscitera un Prophète semblable à Moi. Il
arrivera que celui qui ne L'écoutera pas sera retranché du milieu du
peuple.» Dieu ne change jamais Son plan.
77 Donc, ces Grecs attendaient un Prophète. Or, ça
faisait quatre cents ans qu'ils n'avaient pas eu de prophète, depuis
Malachie. Mais ces Grecs savaient que cette Parole qui était promise
pour ce jour-là devait être un Prophète: «L'Éternel ton Dieu suscitera
un Prophète comme Moi.»
78 En effet, la Parole ne vient qu'au prophète, à
rien d'autre qu'au... Combien comprennent ça? [L'assemblée dit: «Amen.»
– N.D.É.] Voyez? Regardez, c'est tellement parfait que, quand Jean, qui
était le prophète, se tenait dans les eaux, en train de baptiser, alors
Jésus est venu à lui dans l'eau, la Parole est venue au prophète. Il
était la Parole, et Il est venu à Jean dans l'eau. Dieu ne change
jamais Son système, Il ne change jamais Sa façon de faire. Il est le
Dieu immuable. Maintenant, les églises n'ont pas cru ça, pas du tout,
mais ça n'a pas arrêté le programme de Dieu. Celui-ci a continué quand
même.
79 Or, Pierre, son père était pharisien. Sans doute,
qu'André, qui était un disciple de Jean, a entendu quand Il a été
présenté.
80 Il a dit: «Voici le Messie, je vois une Lumière
au-dessus de Lui, comme une colombe qui descend sur Lui», il a rendu
témoignage. Il a dit: «Celui qui m'a dit dans le désert: ‘Va baptiser
d'eau’, a dit: ‘Celui sur Qui tu verras l'Esprit, cette Lumière,
descendre comme une colombe’.» C'était peut-être la même Colonne de Feu
qui a suivi les enfants d'Israël dans le désert, qui est venue sur Lui,
parce que c'était le Oint, le Logos. Elle est venue sur Lui, et il a
dit: «J'en rends témoignage, voici le Messie!»
81 Alors, Pierre est venu avec André, à la réunion.
82 Voyons ce qu'Il était. Et si nous voyons ce qu'Il
était, alors nous saurons ce qu'Il est maintenant. Et la façon dont ils
l'ont reconnu à l'époque, ce devrait être la même façon dont on le
reconnaît aujourd'hui, puisqu'Il est le même hier, aujourd'hui et pour
toujours. Maintenant, dans le contexte de Sa promesse, voici ce qu'Il
ferait. Remarquez.
83 Là, nous voyons que, quand Pierre s'est avancé
dans l'auditoire, là où Jésus était; Jésus, qui ne l'avait jamais vu
auparavant, Il s'est retourné, Il l'a regardé et Il a dit: «Ton nom est
Simon, tu es le fils de Jonas.» Non seulement Il le connaissait, mais
Il connaissait son brave vieux père qui l'avait formé. Et Pierre, qui
n'avait pas assez d'instruction pour signer son nom, qui était connu
pour être un homme ignorant et sans instruction, il a plu à Dieu de
l'établir comme évêque à Jérusalem, et Jésus lui a donné les clés du
Royaume et a fait de lui le chef de l'église. Cet homme, sur cette
révélation révélée, comme il savait ce que le Messie devait être, il a
dit, il L'a reconnu comme étant le Messie, et il est tombé à Ses pieds,
parce qu'Il avait fait cela.
84 II y en avait un qui se tenait là, du nom de
Philippe. Lui n'a pas eu besoin qu'on lui fasse cela. Mais il avait un
enseignant de la Bible qu'il connaissait très bien, du nom de
Nathanaël. Si vous remarquez, à partir de l'endroit où Jésus se
trouvait à ce moment-là, c'était à quinze milles de l'autre côté de la
montagne, à environ deux jours. Et Philippe s'en va et il trouve
Nathanaël sous un arbre, en train de prier, et il le ramène. Sans
doute, si nous pouvions surprendre la conversation qu'ils avaient, en
chemin, ils disaient: «Regarde, viens voir Qui nous avons trouvé; Jésus
de Nazareth, fils de Joseph.»
85 Il a dit: «Mais, peut-il sortir quelque chose de
bon de Nazareth?
86 – Regarde, tu te souviens, nous avons lu dans
l'Écriture que le Messie doit être un prophète.
87 – Oh, bien sûr, la Bible l'a dit; Moïse. Nous
sommes ses disciples. Il a dit que le Seigneur susciterait un Prophète
comme lui.
88 – Très bien, alors, ce Prophète, c'est Jésus de
Nazareth. Tu te souviens de ce brave pêcheur, Simon, là-bas? – Oui. –
C'est, c'était le fils de Jonas. – Oui. –Tu lui as acheté du poisson
une fois, et il n'a même pas su signer le reçu. –Oui.
89 – Il s'est avancé vers Lui, et Il a dit: ‘Ton nom
est Simon. Tu es le fils de Jonas.’ Ça ne me surprendrait pas qu'Il
sache tout sur toi quand tu arriveras.»
90 Ah, il fallait que Nathanaël voie ça, alors il y
est allé avec Philippe. Je ne pense pas qu'il soit passé dans la ligne
de prière. Il est peut-être resté assis dans l'auditoire, ou debout
dans l'auditoire, quoi que ç'ait été. Jésus priait pour les malades.
91 Et dès que Jésus a posé le regard sur lui, Il a
dit: «Voici un Israélite en qui il n'y a point de fraude.» Or, Il ne
l'a pas reconnu à sa façon de s'habiller. Tous les gens de l'Orient
s'habillent pareil, avec des turbans et des sandales, et–et des
vêtements amples, ils portaient la barbe. Il a dit: «Voici un Israélite
en qui il n'y a point de fraude.» Maintenant, il aurait pu être
musulman, il aurait pu être... il aurait pu être Turc, il aurait pu
être n'importe quoi d'autre, mais comment savait-Il qu'il était un
Israélite et qu'il n'y avait pas de fraude en lui? Et ça l'a vraiment
démonté.
Et il a dit: «Rabbi, d'où me connais-Tu?»
92 Il a dit: «Avant que Philippe t'appelle, quand tu
étais sous l'arbre, Je t'ai vu.» C'était réglé. Ça suffisait.
93 Voilà. C'était là le Messie. Il a dit: «Tu es le
Christ, le Roi d'Israël.» Peut-être que son pasteur se tenait là, mais
ça ne l'a pas dérangé.
94 Il y en avait qui se tenaient là, qui disaient:
«Cet Homme est Béelzébul.» Ils devaient répondre devant leur assemblée,
vous savez. Ils disaient: «Cet Homme fait ça par la puissance du
diable. C'est un diseur de bonne aventure ou quelque chose.»
95 Jésus a dit: «Vous Me traitez de ça, d'un mauvais
nom; les œuvres de Dieu, d'un mauvais nom?» Il a dit: «Vous dites ça du
Fils de l'homme, Je vous pardonne. Mais quand le Saint-Esprit viendra»,
en cet âge-ci, «pour faire la même chose, une seule parole contre Lui
ne sera jamais pardonnée dans ce monde-ci, ni dans le monde à venir.»
C'est ce qu'Il a dit. Je crois que ce qu'Il dit est juste.
96 Philippe a reconnu, par là. Pourquoi? C'était là,
après de longues années sans prophète, et voici que cet Homme le
connaissait, et savait ce qui n'allait pas, et ce qu'il avait fait.
97 Jésus. Rapidement, là, avant de terminer. Un
jour, Il descendait à Jéricho, qui était au bas de la colline. Mais il
Lui fallait passer par la Samarie, et Il est passé par une ville du nom
de Sychar.
98 Or, il y a trois races de gens. Croyez ce que
vous voulez, mais c'est ce qu'il y a. Il y a le peuple de Cham, de Sem
et de Japhet. Maintenant, remarquez, quand, les Juifs, ils attendaient
un Messie. Et les Samaritains étaient à moitié Juifs et à moitié des
nations, ils attendaient aussi un–un Messie. Mais ceux des nations,
nous, les Anglo-Saxons, nous étions des païens, les Philistins et quoi
encore, vous voyez.
99 Mais remarquez, Il ne vient qu'à ceux qui
L'attendent. Il ne guérira, ce soir, que ceux qui s'attendent à ce
qu'Il guérisse. Il ne sauvera que ceux qui s'attendent à être sauvés.
100 Et remarquez-Le, maintenant, alors qu'Il envoie
les disciples dans la petite ville de Sychar, pour aller chercher
des–des provisions. Pendant qu'ils étaient partis, une jolie jeune
femme est arrivée, et elle était une femme de mauvaise réputation. On
l'appellerait, aujourd'hui, peut-être, une fille de trottoir. Peut-être
que ses parents l'avaient jetée à la rue quand elle était petite fille,
et que c'est comme ça qu'elle gagnait sa vie, mais il y avait quelque
chose dans le cœur de cette petite dame. Elle était venue vers onze
heures, parce qu'elle ne pouvait pas venir avec les autres jeunes
filles. Si quelqu'un ici est déjà allé en Inde et dans les pays de
l'Orient, comme les coutumes ne changent jamais, ils ne peuvent pas se
côtoyer, les gens bien et les gens pas bien. Alors ils...
101 Elle est arrivée, et Jésus était assis là. Au
milieu d'un paysage qui ressemblait un peu à celui-ci, là, des treilles
disposées au-dessus d'un puits. Et le puits public de la ville était
là, et les gens venaient chercher de l'eau. Et elle est venue presque
vers midi, pour aller chercher son eau. Alors que les jeunes filles
viennent chercher de l'eau tôt le matin, et elles, là-bas, elles font
leur lessive et des choses comme ça. Son gagne-pain à elle était
différent. Alors elle venait vers midi, chercher la sienne, quand les
jeunes filles n'étaient pas là, parce qu'on l'aurait chassée du puits.
102 Et alors, elle, sans avoir remarqué qu'il y
avait quelqu'un assis là, elle a attaché les petits crochets à la
cruche et elle l'a fait descendre avec le treuil, dans le puits, et
elle s'est mise à la remonter. Elle a entendu une voix qui disait:
«Femme, donne-Moi à boire.» Et elle a regardé de ce côté-là, et il y
avait là un Homme assis, Il était Juif.
103 Il devait paraître un peu plus âgé qu'Il ne
l'était vraiment, parce qu'Il n'avait que trente ans, environ
trente-trois, et la Bible dit qu’«Il en paraissait cinquante». Vous
savez, les Juifs ont dit: «Tu es un Homme qui n'a pas plus de cinquante
ans, et Tu dis que Tu as ‘vu Abraham’?»
Il a dit: «Avant qu'Abraham fût, JE SUIS.» Voyez?
104 Alors Il devait avoir la barbe grisonnante, ou
quelque chose comme ça, quand elle L'a regardé. Et elle L'a regardé.
L’œuvre qu'Il accomplissait devait avoir terriblement marqué Sa vie
physique. Et elle a dit...
Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»
105 Et elle a dit: «Vous n'avez pas coutume, vous
les Samarit-... ou vous les Juifs, de nous poser une telle question à
nous, les Samaritaines.»
106 Et Il a dit: «Mais si tu savais à Qui tu parles,
c'est toi qui Me demanderais à boire.»
107 Alors, elle a dit: «Le puits est profond.»
Qu'est-ce qu'Il était en train de faire? Il était en train de contacter
son esprit, vous voyez. Le Père...
108 Il a dit, dans Jean 5:19: «En vérité, en vérité,
Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que
ce qu'Il voit faire au Père.» Souvenez-vous de ça, là. Notez ça dans
vos livres, vous voyez. Jésus ne faisait jamais rien avant d'avoir vu
en vision quoi faire. C'est vrai. Pas entends, mais «ce que Je vois».
«Le Fils ne peut rien faire, Il ne fait que ce qu'Il voit faire au
Père, alors Il le fait pareillement.» Il l'exécutait comme un rôle.
Aucun homme ne peut faire quoi que ce soit, en fait, à part ce que Dieu
lui dit de faire. Remarquez, là, et le Père Lui avait peut-être dit de
monter en Samarie.
109 Et puis cette femme Lui a parlé, et Il a dit, Il
a conversé avec elle, pour contacter son esprit. Et puis, après avoir
parlé d’«adorer ici à Jérusalem», voilà qu'Il a trouvé quel était son
problème. Nous savons tous ce que c'était. Elle avait trop de maris. Et
alors Il a dit: «Va chercher ton mari et viens ici.»
Et elle a dit: «Je–je n'ai pas de mari.»
110 Il a dit: «Tu as bien dit, car tu en as eu cinq,
et celui avec qui tu vis maintenant n'est pas le tien.»
111 Et regardez bien cette femme, remarquez, elle
qui était dans cet état-là. (Est-ce que je m'attarde trop, je m'attarde
trop?) Elle qui était dans cet état-là, elle en savait plus long sur la
vraie Bible qu'un tas de prédicateurs n'en savent aujourd'hui. Oui. Et
dès qu'Il voit... Elle a peut-être pensé que c'était simplement un–un
homme qui voyait son état, et–et elle voulait... qui voulait faire le
malin avec elle, ou quelque chose, et elle a dit: «Je n'ai pas de mari!»
112 Il a dit: «Tu as bien dit. Tu en as cinq, et
celui avec qui tu vis maintenant n'est pas ton mari.»
113 Sans tarder, cette semence prédestinée qui
reposait dans son cœur s'est enflammée. Elle s'est retournée, elle a
dit: «Monsieur, je vois que Vous êtes prophète. Nous n'en avons pas eu
depuis quatre cents ans, Vous savez. Nous savons.» Oh, Dallas, ne
manquez pas ceci! «Nous savons. Nous attendons un Messie, qu'on appelle
le Christ. Et quand Il sera venu, c'est ce qu'Il fera. Ce sera là Son
signe.»
Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»
114 Là-dessus, elle lâche la cruche, et s'en va dans
la ville, dire: «Venez voir un Homme qui m'a dit ce que j'ai fait.
N'est-ce point le Messie Lui-même?» Et la Bible dit qu'ils ont cru
Jésus à cause de ce que la femme avait dit.
115 Or, c'est comme ça qu'Il S'est identifié comme
Messie; pas à cause de la façon dont Il était habillé, par Son
instruction, par une carte de membre, par l'honneur qu'on Lui rendait
parmi les hommes. Dieu était en Lui, alors qu'Il manifestait la Parole
qu'Il avait promise. Il a dit dans Jean 5:39: «Sondez les Écritures,
car en elles vous pensez avoir la Vie Éternelle. Ce sont elles qui
témoignent, ou qui vous disent Qui Je suis.»
116 «Le même hier, aujourd'hui et pour toujours.»
Mon frère, ma sœur, vous êtes un auditoire charmant, on pourrait parler
toute la nuit. Vous voyez ce qu'était Jésus, là? Il était manifesté,
c'était Dieu manifesté dans un Homme appelé Jésus-Christ, qui est le
Fils de Dieu, qui a promis: «Ce qui arriva aux jours de Noé», tout le
reste de la scène concorde exactement, «arrivera de même à la venue du
Fils de l'homme.» «Il est le même hier, aujourd'hui et pour toujours.»
Oh, église, ne regardez pas dans le vide, mais croyez au Seigneur
Jésus-Christ! Messieurs, nous voudrions voir Jésus. S'Il est le même
hier, aujourd'hui et pour toujours, est-ce que vous aimeriez Le voir?
«Messieurs, nous...» Comment pourriez-vous Le reconnaître? S'Il est le
même hier, aujourd'hui et pour toujours, Il fera la même chose.
117 Maintenant, un homme pourrait s'avancer ici avec
des marques de clous dans ses mains, du sang et de la fumée, et de
l'huile qui sort de lui. Ce ne serait pas ça pour autant. N'importe
quel hypocrite peut faire ça. Certainement.
118 Mais ce que c'est, c'est la manifestation de
cette Parole promise. Il était le Prophète oint de Dieu. Il était–Il
était le prophète-Dieu. Il était tout ce que les prophètes étaient,
c'était en Lui, plus le reste de ce que Dieu était. Dieu était en
Christ, Se réconciliant avec le monde. Il était Dieu, Emmanuel, la
plénitude de Dieu révélée à nous, dans la Personne de Son Fils
Jésus-Christ, le second attribut de Dieu.
119 Remarquez, là, Il est vivant aujourd'hui. Il
n'est pas mort. Il est vivant. Il a dit: «Un peu de temps, et le
monde,» kosmos, «l'ordre du monde ne Me verra...» verra; v-e-deux r-a,
«ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez, car Je», Je, c'est un
pronom personnel, de nouveau, «Je serai avec vous, et même en vous,
jusqu'à la fin du monde, ou à la fin du monde, quand ces Écritures
doivent s'accomplir.» Tout au long c'était Dieu, en qui nous avons cru
dans l'âge de Luther, Dieu qui a crié dans–dans l'âge de Wesley, Dieu
qui a parlé en langues dans l'âge de la pentecôte. C'est Lui qui
arrive, avant la venue du Fils promis, pour prouver Son Écriture. Il
faut que toutes les Écritures s'accomplissent. Messieurs, nous
voudrions voir Jésus.
Courbons la tête.
120 Père Céleste, nous voudrions voir Jésus. Qu'Il
vienne ce soir, Seigneur Jésus. Viens dans la puissance de Ta
résurrection. J'ai parlé longuement, mais rien qu'un mot ou deux de Toi
représentera plus que tout ce que n'importe qui pourrait dire, alors,
que l'Église ne dorme pas. Que... La dernière manifestation de Dieu,
comme Il l'a promis: «Ce qui arriva aux jours de Sodome, avant que le
feu tombe sur ceux des nations, arrivera de même à la venue du Fils de
l'homme.» L'ombre, le négatif et le positif qui se rapprochent
tellement, au point qu'après un moment, il y aura un temps de l'union.
121 Nous voyons que les nations s'unissent, ce qu'on
appelle l'ONU. Les églises s'unissent, le concile oecuménique s'unit
avec le Vatican. Toutes les églises s'unissent ensemble, les croyants
et les incroyants. Les travailleurs s'unissent dans des syndicats.
122 Seigneur, que l'Église se réveille et qu'elle
voie que c'est le temps de l'union, que Jésus s'unit à Son Église, Mari
et Femme. Bientôt, la cérémonie va avoir lieu et ils deviendront Un.
Alors qu'Il agite le dernier signe devant nous, ou qu'Il nous montre Sa
promesse, puissions-nous voir Jésus et Le glorifier, car c'est en Son
Nom que nous prions. Amen.
123 Maintenant je vais, peut-être, il me reste dix
minutes pour terminer à temps, si chacun répond bien. Bon, tous ceux
qui ont des cartes de prière, je n'aurai pas le temps de m'occuper de
tous ce soir. Mais on va s'en occuper un peu plus tard.
124 Maintenant, Billy est ici quelque part, j'en
suis certain. Parfois, ils ne distribuent même pas de cartes, mais je
crois qu'il m'a dit qu'il... Vous avez des cartes de prières, n'est-ce
pas? Levez la main. Oui, c'est ça... [Passage non enregistré. Quelqu'un
dit: «L, un.» – N.D.É.]
125 L, L, très bien. Est-ce là cet homme malade,
très malade, là-bas? Très bien. L, numéro un, venez vous placer ici. L,
numéro deux, où êtes-vous? Numéro deux, où est le numéro deux?
Voulez-vous lever la main? Très bien, avancez-vous ici. C'est une dame.
126 Mon garçon vient. Voici comment ça se passe. Il
vient, et, devant l'auditoire, il prend ces cartes pour toutes les
mélanger, et puis il vous donne la carte que vous voulez. Tout le monde
peut avoir une carte, et puis on les appelle par le numéro. Ça montre
que le garçon ne sait pas où elles vont être appelées. Il nous est
arrivé une fois, beaucoup d'entre vous ici s'en souviennent peut-être,
il nous est arrivé qu'un homme vendait des cartes de prière aux
réunions, et il garantissait que la personne irait sur l'estrade. Et en
plus, il m'arrive de commencer par la un, il m'arrive de commencer par
la cinquante, il m'arrive de commencer par la quatorze, la vingt, la
seize, et puis je peux les prendre en descendant, et en prendre
quelques-unes, ici. Combien ont assisté à des réunions et ont vu faire
ça? Mais oui. Voyez? La carte de prière n'a rien à voir avec ça. Et il
y en a beaucoup qui sont guéris dans l'auditoire sans même avoir de
carte de prière.
127 Numéro un, deux, trois. Qui a la trois? La carte
de prière numéro trois, levez la main. Là-bas, au fond, la dame. Venez
ici, madame. Numéro quatre. Si vous ne pouvez pas vous lever
maintenant, nous allons vous porter. Numéro quatre. S'il y a... Je vois
qu'il y a une civière ici, et quelques fauteuils roulants, par là
autour. Si vous ne pouvez pas venir, nous vous porterons. Numéro
quatre. Numéro cinq, la carte de prière numéro cinq. Numéro six, sept,
huit, neuf, dix. Que ceux-là s'avancent, maintenant, par numéro, s'ils
le peuvent. Voyons voir. Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept,
huit, neuf. Est-ce qu'ils y sont tous? Ils y sont. Arrêtons-nous là un
instant. Nous manquons un peu de temps. Je n'aime pas terminer après
neuf heures et demie.
128 Maintenant, combien dans l'auditoire n'ont pas
de carte de prière, et vous voulez que Jésus vous guérisse, et vous
savez qu'Il peut vous guérir? Levez la main. Peu m'importe si vous êtes
dans le balcon, peu importe où vous êtes. Maintenant, regardez, si vous
ne...
129 Cette femme qui a touché le vêtement... Pendant
qu'ils les mettent en ligne. Cette femme qui a touché Son vêtement,
elle n'avait pas de carte de prière, peut-être, mais elle a dit...
Maintenant écoutez bien, là. Elle a dit dans son cœur: «Je crois cet
Homme. Si je peux toucher Son vêtement, je serai guérie.» Elle avait
une perte de sang. Combien se rappellent l'histoire? [L'assemblée:
«Amen.» – N.D.É.] Elle s'est glissée à travers la foule, peut-être
qu'elle s'est frayé avec peine un chemin entre les gens, une petite
femme pâle, maladive, et elle a touché Son vêtement.
130 Et le vêtement palestinien est ample. Il
n'aurait jamais senti ça. Moi, je ne sentirais pas si vous touchiez ma
poche, et mon veston est ajusté. Mais ces vêtements palestiniens, et
ils portent un vêtement de dessous. Et elle a touché Son vêtement.
131 Et Il s'est arrêté et Il a dit: «Qui M'a
touché?» Elle est retournée dans l'auditoire. Il a dit...
132 «Voyons,» Pierre a dit, «Seigneur, ça ne va pas,
ça. Tout le monde Te touche.»
133 Il a dit: «Mais Je sens que Je me suis affaibli.
De la vertu, de la force, est sortie de Moi.» Combien s'en souviennent?
[L'assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.]
134 Et Il a promené le regard dans tout l'auditoire
jusqu'à ce qu'Il la trouve. Pas vrai? [L'assemblée dit: «Amen.» –
N.D.É.] Et Il a dit: «Ta foi t'a sauvée.» Pas vrai? [«Amen.»]
135 Maintenant, regardez, prédicateurs, la Bible
dit-elle que «Jésus-Christ», Hébreux 3, «est un Souverain
Sacrificateur, maintenant même, qui peut compatir à nos infirmités?
[Les prédicateurs et l'assemblée disent: «Amen.» – N.D.É.] Combien
savent que la Bible dit ça? [«Amen.»] Eh bien, s'Il est le même hier,
aujourd'hui et pour toujours, comment est-ce qu'Il agirait aujourd'hui?
Tout comme Il l'a fait hier. Certainement.
136 Maintenant, vous, voyez-vous, ça ne vous
servirait à rien de me toucher. Je serais comme votre frère, votre
mari, votre père, quoi que ce soit. Il n'y aurait pas de vertu en moi.
Mais si vous, votre foi, peut Le toucher, Lui, alors regardez-Le agir.
Essayez seulement. Ne l'essayez pas; il y a trop de ça aujourd'hui, de
se contenter d'essayer. Faites-le!
137 Maintenant, soyez vraiment respectueux, soyez
tranquilles. Juste quelques instants, là, et on saura. Ces choses que
j'ai dites, ça avait l'air beau; mais, vous voyez, est-ce qu'elles sont
vraies ou non? C'est ça qu'il faut voir, après. Est-ce que tout ça...
138 J'entends parler les musulmans, les sikhs, les
djaïns, Bouddha, oh! la la! les musulmans, mais ils ne peuvent pas...
Ils peuvent parler de quelque chose qui a été, mais qu'en est-il de
maintenant? Voyez? S'Il n'est pas...
139 S'Il est le Dieu de l'histoire, Il ne nous sert
à rien aujourd'hui, s'Il est seulement le Dieu de l'histoire. S'Il
n'est pas le même hier, aujourd'hui et pour toujours, alors la Bible a
dit quelque chose de faux.
140 Maintenant, s'Il peut me soumettre à Sa volonté,
qu'Il peut vous faire entrer dans Sa volonté, alors, en agissant entre
nous, vous voyez, c'est là que la Puissance de Dieu vient.
141 Maintenant, si cet homme est malade, je veux
qu'il reste assis là où il est. Et pouvez-vous le voir depuis
l'auditoire, là? Il est assis juste ici.
142 Apportez sa chaise ici, si vous voulez. Mais,
vous sentez-vous à même de marcher jusqu'ici, monsieur? À ma droite,
venez vous asseoir ici. Apportez la chaise ici, Frère Grant, s'il vous
plait, pour que cet homme puisse rester assis un instant, ici. Très
bien, maintenant asseyez-vous ici, monsieur.
143 J'ai remarqué cet homme depuis quelques minutes,
sur le point de s'évanouir. Il doit être gravement malade. Je ne sais
pas. Et si je le savais et que je pouvais l'aider, et que je ne le
fasse pas, alors je ne serais pas digne de me tenir derrière cette
estrade ici et de vous parler, à vous autres, vous, les chrétiens.
144 Mais cet homme n'est probablement pas aussi âgé
que moi. Et c'est notre... Nous sommes probablement des inconnus l'un
pour l'autre. Vous ne me connaissez pas, je suppose. [Le frère dit:
«Oui, je vous connais.» – N.D.É.] Mais moi, je ne vous connais pas.
[«J'étais à une réunion à Jonesboro.»] Oh, vous m'avez vu à Jonesboro,
il y a environ quinze ans, quand j'étais là-bas, à des réunions. C'est
ça. [«C'est bien ça.»] Eh bien, ça a été glorieux, là-bas. Je crois que
c'était avec Frère Richard Reed. [«Oui, monsieur.»] Oui.
145 Maintenant, si cet homme qui est assis ici,
souffrant, si je pouvais le guérir et que je ne le fasse pas, quel
genre de personne est-ce que je serais? Mais je ne peux pas le guérir.
Mais maintenant, si nous voyions Jésus, et que Jésus se tienne ici, et
qu'Il porte ce costume qu'Il m'a donné, là, est-ce que Jésus dirait:
«Venez ici et Je vais vous guérir»? Faites attention, là, si vous
connaissez votre Bible, vous voyez. Non monsieur. Il l'a déjà fait; Il
ne pourrait pas le faire aujourd'hui. Il l'a déjà fait, «Il a été
blessé pour nos péchés,» c'est par Ses meurtrissures que nous avons été
sauvés, «c'est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris»,
plutôt. Très bien. Bon, mais Jésus pourrait Se déclarer, pour faire
savoir à cet homme quel est son problème, ou quelque chose qui ne va
pas, ou quelque chose qu'il a fait. Pas vrai? [L'assemblée dit: «Amen.»
– N.D.É.] Et comme ça, il saurait que Christ est ici.
146 Parce que moi, je ne le connais pas. Je lève les
mains, là, je... il a dit qu'il était aux réunions de Jonesboro. Il y a
quinze ans de ça. Je–je n'ai jamais vu cet homme de ma vie, pour autant
que je sache. Il était peut-être assis au fond; demain... Eh bien, je
ne connais personne ici.
147 Je crois savoir que c'est M. Way qui est assis
ici. Un Anglais qui est assis ici même, que je connais, qui était tombé
mort dans mon église, l'autre jour, à Jeffersonville, en Indiana; il
était tombé mort. Son épouse est là, quelque part par ici, elle est
infirmière. Pendant que je parlais, cet homme est tombé mort, il est
tombé mort, d'un coup. Je suis descendu lui imposer les mains, il est
ici. Voyez? Voyez?
148 Si seulement je peux tenir l'assemblée
tranquille pendant assez longtemps, jusqu'à ce que le Saint-Esprit
puisse descendre. Ne vous agitez pas. Restez simplement assis,
tranquilles, vous voyez.
149 Maintenant, monsieur, je voudrais que vous
regardiez par ici, un petit instant. J'ai parlé, et je–je suis ici pour
vous aider maintenant. Et si je peux vous aider, je ferai tout ce que
je peux.
150 Maintenant, ce que j'ai dit ici dans l'Écriture,
Dieu est tenu, parce que je crois que c'est maintenant les derniers
jours; Dieu est tenu de–d'accomplir cette Parole, et c'est ce qu'Il a
promis de faire. Et si Lui pouvait me dire quelque chose que vous avez
fait, ou quelque chose qui ne va pas chez vous, ou pourquoi vous êtes
ici, ou quoi que ce soit, vous sauriez si c'est vrai ou non.
Vous–vous–vous en seriez témoin.
151 Mais maintenant, si je m'avance ici et que je
vous impose les mains, que je dis: «Gloire à Dieu, vous êtes guéri!
Gloire à Dieu.» Ce serait bien, ce serait parfaitement bien, si vous le
croyiez.
152 Mais s'Il vous dit ce que vous avez fait, ou une
cause, la raison pour laquelle vous êtes malade, ou quelque chose comme
ça? Alors vous sauriez, s'Il pouvait vous dire ce qui est arrivé,
sûrement qu'Il saurait ce qui–ce qui va arriver, ce serait vrai. Oui.
153 Est-ce que mon auditoire croit ça? [L'assemblée
dit: «Amen.» – N.D.É.] Maintenant, qu'est-ce que je suis en train de
faire à cet homme? J'essaie de contacter son esprit, tout comme notre
Seigneur l'a fait au puits, avec cette femme. Je ne le connais pas. Je
ne l'ai jamais vu. Maintenant, il y en a beaucoup ici, des malades,
beaucoup qui prient.
154 Et maintenant, Père Céleste, nous prenons tout
esprit ici sous notre contrôle, pour la gloire de Dieu, afin que Tes
Écritures s'accomplissent. La Bible dit que c'est pour ça que Jésus
guérissait, «afin que les Écritures s'accomplissent». Et c'est la
raison pour laquelle Tu fais preuve de miséricorde en ces derniers
jours, «afin que les Écritures s'accomplissent». Nous venons de parler
d'Elles, ce soir. Accorde-le, Seigneur, au Nom de Jésus. Amen.
155 Maintenant, regardez-moi, un petit instant, pour
voir si le Seigneur va me révéler quel est votre problème. Et s'Il le
fait, allez-vous... s'Il me dit quel est votre problème. Vous semblez
être très malade. S'Il me dit ce qui ne va pas chez vous, ou quelque
chose, alors vous croirez, vous saurez que ça ne peut être que Lui.
156 Combien dans l'auditoire croiront? [L'assemblée
dit «Amen.» – N.D.É.]
157 Une chose qui vous fait terriblement souffrir,
c'est une hernie. Cette hernie vous rend malade. C'est vrai. Voyez?
Voyez? Maintenant, est-ce que c'est vrai? Levez la main, si c'est vrai.
158 C'est ça qui le rend malade, vous voyez,
affaibli. Est-ce que vous croyez? [L'assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.]
159 Autre chose, là. Vous avez un bouton sur le côté
droit de votre visage. Ça vous cause du souci. Je vais vous dire autre
chose. Croyez-vous que je suis Son prophète? [Le frère dit: «Oui,
frère.» – N.D.É.] Vous avez un bouton à la hanche droite, aussi, sous
vos vêtements. Si c'est vrai, levez la main. [«C'est vrai.»] Voyez?
Voyez? Croyez-vous maintenant? [«Je crois.»] Allez et soyez guéri.
Jésus-Christ vous guérit, allez et croyez-le. Venez simplement par ici,
avancez-vous ici, frère. Allez simplement, en croyant, maintenant, et
tout ira bien pour vous.
160 Est-ce que vous croyez maintenant? [L'assemblée
dit: «Amen.» – N.D.É.] Ayez simplement la foi. Très bien. Ça, vous
savez, je ne le savais pas.
161 Ici, venez, sœur. Je ne vous connais pas. Nous
sommes des inconnus l'un pour l'autre, je suppose. Si c'est vrai, pour
que l'auditoire puisse voir que nous ne nous connaissons pas,
voyez-vous. Si... C'est exactement comme quand notre Seigneur a
rencontré une femme, un jour. Et voilà que nous nous rencontrons de
nouveau, nous nous rencontrons deux mille ans plus tard, sur Sa
promesse, et voici un homme et une femme qui se rencontrent de la même
manière. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Je pense que nous sommes
complètement inconnus l'un à l'autre, mais Dieu nous connaît tous les
deux.
162 Maintenant, si le Saint-Esprit, Christ, en moi
et en vous, révèle pourquoi vous êtes ici, ou quelque chose à votre
sujet, serez-vous enthousiasmée comme cette femme l'a été ce jour-là?
[La sœur dit: «Amen.» – N.D.É.] Maintenant, ce pourquoi vous êtes ici,
c'est pour qu'on prie, et qu'on prie pour une maladie que vous avez au
sein. C'est ça. Si c'est vrai, levez la main. Maintenant, croyez-vous
que Dieu peut me dire de quel sein il s'agit? C'est le sein droit.
C'est ça.
163 II y a des gens qui n'arrêtent pas de dire,
là-bas, quelqu'un est entré, en disant: «Ça, il le devine.» Je ne le
devine pas. Ne pensez pas ça. Ça entrave, vous voyez. Maintenant,
souvenez-vous, vous ne pouvez pas cacher vos pensées, là. Oui. C'est
vrai. Oui. C'est ça.
164 Tenez, vous devriez croire, vous êtes
prédicateur, une femme prédicateur. C'est vrai, n'est-ce pas? Très
bien. Allez, croyez maintenant, et vous irez bien. Que Dieu vous
bénisse. Croyez seulement.
Est-ce que vous croyez? [L'assemblée dit: «Amen.» –
N.D.É.]
165 Bonjour. Nous sommes des inconnus l'un pour
l'autre. [La sœur dit: «Oui.» – N.D.É.] Je ne vous connais pas. [«Non,
monsieur.»] Dieu, Lui, vous connaît. Si c'est vrai, levez la main, pour
que... Vous êtes beaucoup plus jeune que moi. Peut-être que la femme
qui a rencontré notre Seigneur l'était, beaucoup plus jeune.
166 Maintenant, une autre femme se tenait ici. Il y
a quelqu'un là, dans l'auditoire, qui croit. La voilà, elle est assise
là. Elle a des troubles respiratoires. Pas vrai? De Qui avez-vous
touché le vêtement? Le Sien. C'est fini maintenant. Jésus-Christ vous
guérit.
167 Il est le même hier, aujourd'hui et pour
toujours. Maintenant, cette femme est à vingt pieds de moi, mais ce
n'est pas moi qu'elle a touché. C'est le Souverain Sacrificateur
qu'elle a touché. Ne voyez-vous pas, je lui tournais le dos, ça montre
qu'Il est le même qui a fait la promesse, exactement le même
aujourd'hui.
168 Vous souffrez d'une maladie nerveuse, vous êtes
très nerveuse, surtout tard le soir, vous êtes... quand vous êtes
fatiguée et épuisée, vous êtes très nerveuse. Et puis vous avez un
empoisonnement dans votre corps, c'est un empoisonnement dans le sang.
Mais, c'est juste. Et puis, vous avez vraiment un fardeau pour que
quelqu'un soit sauvé, n'est-ce pas? [La sœur dit: «Oui, monsieur.» –
N.D.É.] Eh oui, c'est vrai. Croyez-vous maintenant? [«Oui.»] Très bien,
allez. Comme vous l'avez cru, qu'il vous soit fait ainsi. Ayez la foi.
Ne doutez pas. Ayez foi en Dieu. Croyez simplement.
169 Bonjour, madame. Je vous suis inconnu, je
suppose. Si c'est vrai, alors, levons les mains, pour qu'ils voient. Je
ne l'ai jamais vue de ma vie.
170 «Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui et
pour toujours.» Croyez-vous cela? [L'assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.]
Si le Seigneur Jésus dit à cette femme, ici même, maintenant, quelque
chose à son sujet, dont je ne sais rien! Eh bien, nous ne nous
connaissons pas, nous... elle se tient là, c'est tout, vous voyez. Très
bien, est-ce que vous croiriez? [«Amen.»]
171 Vous avez un problème d'estomac, qui vous fait
souffrir, vous qui êtes assis là, avec un manteau noir. Il vous fait
souffrir maintenant même. Si c'est vrai, levez la main. Voyez? Vous
savez pourquoi? Cette femme aussi, c'est l'estomac. Voyez? C'est vrai.
172 Vous voyez ce trait noir qui va de l'un à
l'autre, là? C'est un démon. Voyez? Il essaie de se défiler, vous
voyez. Il ne peut pas. Il ne peut pas se cacher devant Dieu. Ça, c'est
certain. Nous sommes dans la Présence de Jésus-Christ. Vous devez
croire. Ayez la foi.
173 Qu'est-ce qu'il a touché? Ce n'est pas moi qu'il
a touché. Je ne connais pas cet homme. Il m'est inconnu. Est-ce que
nous sommes des inconnus l'un pour l'autre, monsieur, je ne vous
connais pas? Levez la main si c'est vrai. Voyez? Qu'est-ce qu'il a
touché? Jésus-Christ. Ne manquez pas de voir quelque chose.
174 Maintenant, cette femme, ici. Oui. Oh, cette
femme est sous une ombre. C'est la mort sur elle. Elle souffre du
cancer, et le cancer se trouve à l'estomac, et aussi au côlon. Elle...
Ils viennent de la condamner. Elle se meurt, du cancer. C'est vrai,
n'est-ce pas, madame? C'est ce qu'on vous a dit. Maintenant, regardez
ici. Vous... Il n'y a qu'un seul espoir pour vous, c'est Christ.
175 Croyez-vous que je suis Son serviteur? Il faut
qu'il y ait quelque chose qui me dise ça, n'est-ce pas? Il faut qu'il y
ait quelque chose qui le fasse. Je–je ne, moi-même, je ne le saurais
pas. Si je vous dis qui vous êtes, croirez-vous que je suis Son
prophète? Est-ce que ça vous aiderait? Ça vous aiderait? Mme Crosley.
[La sœur dit: «Oh!» – N.D.É.] Alors rentrez chez vous.
176 Est-ce que vous croyez? Combien d'entre vous
croyez maintenant de tout votre cœur? Alors levez-vous et acceptez-le.
Levez-vous simplement et dites: «Je crois.» Levez les mains, partout.
177 Père Céleste, au Nom de Jésus-Christ, que le
diable et toutes ses puissances soient réprimés. Puisse le Seigneur
Jésus-Christ, qui a promis ceci pour le dernier jour, Il est ici
maintenant; qu'il arrive, Seigneur, en cette heure, que les gens ne le
manquent pas. Qu'ils voient ce que Dieu agite devant eux, juste avant
que le feu tombe. Que ce groupe d'Abraham, cette Semence royale
d'Abraham comprenne l'heure dans laquelle nous vivons! Ô Jésus, Fils de
Dieu, touche chaque malade ici. Guéris-les, Seigneur. Que leur foi
comprenne qu'ils se tiennent dans la Présence du Dieu qui les a sauvés
et qui les jugera ce Jour-là. Que Sa Puissance descende sur eux
maintenant, et qu'elle guérisse tous ceux, ici, qui sont dans la
Présence Divine.