Jéhovah-Jiré III
1 …comme nous nous en remettons à Toi, dans la
communion de Ta Parole, car Tu es la Parole. Nous demandons que Tu
parles à nos cœurs, dans le Nom de Jésus. Amen.
2 Nous avons laissé Abraham hier soir, là où… nous
avions commencé avec lui et l’avions laissé au 22e chapitre de la
Genèse, où il offrait son fils unique, un type de Dieu donnant Son
Fils. Nous avions d’abord repris les chapitres précédents, pour revoir
son cheminement, et nous n’avions pas encore fini de le parcourir. Nous
l’avons laissé, hier soir, aux abords du 16e ou du 17e chapitre. Je
crois plutôt que c’est au 15e chapitre que nous l’avons laissé. Et nous
essaierons de terminer ce soir, parce que j’ai un message de guérison
divine, le Seigneur voulant, demain après-midi.
3 Et tout pasteur est invité. Emmenez votre
congrégation. Venez vous joindre à eux dans la prière.
4 Maintenant, nous réalisons que parfois, quand
Jésus accomplissait des choses, et parfois Il fait les choses… Vous
dites: «Pourquoi alors permettrait-Il ces choses, frère Branham,
pourquoi permettrait-Il que ces choses arrivent?» — C’est parfois dans
le but d’éprouver votre foi, c’est souvent ça. Il fait les choses de
façon étrange. Pourquoi ne vient-Il pas simplement dire: «Je suis ceci,
et Je suis cela.» — Il n’a jamais agi comme ça, voyez. Il le fait pour
éprouver votre foi.
5 Regardez, les sacrificateurs pensaient que tout
compte fait Il viendrait discuter avec Caïphe, le souverain
sacrificateur. Mais, dites-moi, comment était-Il né? — Dans une étable.
Et Il fut totalement rejeté par les Siens et les dénominations de ce
temps.
6 Un jour, lors d’un sermon que Jésus prêcha…
J’aimerais seulement considérer une petite citation. Jésus était
entouré d’une foule nombreuse, et il Lui avait semblé qu’il y en avait
trop. Aussi, voyez ce qu’il a dit: «Si vous ne mangez la chair du Fils
de l’homme et ne buvez Son sang, vous n’avez pas la Vie.» Là, que
pensez-vous qu’un médecin ou qu’un intellectuel aurait pensé, après
avoir entendu les propos d’un homme qui avait la réputation d’être un
enfant illégitime, et ressemblant plus à un renégat aux yeux des gens
de ce temps, en l’entendant faire une déclaration comme celle-là: «Si
vous ne mangez Ma chair et ne buvez Mon sang»?
7 Eh bien, ils auraient dit: «Cet homme est un
vampire humain. Oh! c’est terrible, boire le sang d’un homme et manger
sa chair! Vous, mon peuple, tenez-vous loin d’un fou pareil.»
8 Il ne l’a jamais expliqué. Il ne l’a jamais
expliqué. Il n’avait pas à l’expliquer. C’est exact. Il a simplement
voulu voir la sorte de foi qui était en eux.
9 Voyez, si vous croyez, vous croyez, peu importe ce
que disent les autres. Si je priais pour cinq mille personnes ce soir,
et que ces cinq mille personnes mouraient ce soir, demain je prierais
quand même pour les malades. Vous voyez? C’est ce que Dieu dit qui
compte. Ce n’est pas ce que la personne fait. Vous voyez?
10 «Si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme et
ne buvez Son sang, vous n’avez point la Vie en vous.»
11 Oh, eh bien, ces gens, ce groupe intellectuel,
pensez donc, ont dit: «Tenez-vous loin de lui, c’est un malade, un
sauvage. Un vampire, ma foi! manger le corps de cet homme-là!» — Ça Il
ne l’a jamais expliqué.
12 Il avait en ce temps-là avec Lui soixante-dix
prédicateurs ordonnés. La foule qui l’entourait était un peu trop
nombreuse selon Lui, et c’est par ce moyen qu’elle s’est retirée de
Lui. Aussi avait-Il les ministres ordonnés, les soixante-dix, qu’il
envoya prêcher. Il dit: «Que direz-vous quand vous verrez le Fils de
l’homme monter au Ciel d’où est venu?» — Ça non plus Il ne l’a jamais
expliqué.
13 Et ces mêmes prédicateurs ont dit: «Cet homme
monterait au Ciel d’où il est venu! Oh, mais on le connaît. On connaît
sa mère. On est allé à l’étable où il est né. On a vu le berceau qui
l’a bercé. On a pêché ensemble. On était sur les rives avec lui. Et ce
fils de l’homme monterait d’où il est venu? Il est de Bethléhem. C’est
quoi ça, cette histoire de monter! Non, non.» Et là-dessus, ils l’ont
quitté. Il ne l’a jamais expliqué, jamais.
14 Il n’avait pas à expliquer quoi que ce
soit. Dieu n’a pas à s’expliquer. Il est Dieu. Il fait les choses parce
qu’il les a promises. Il ne les explique pas.
15 Puis seuls les douze sont restés. Il s’est tourné
vers eux, et leur a dit: «Je vous ai choisis, les douze, et l’un de
vous est un démon.» Il a dit: «Voulez-vous aussi partir?»
16 C’est alors que Pierre a prononcé ces paroles
remarquables: «À qui irions-nous, Seigneur? Car nous sommes certains
que Tu détiens la Parole de Vie.» Ils L’avaient vu si manifestement
confirmé. Et ce que les sacrificateurs ou les autres pouvaient dire ne
leur importait pas. Ils surent dès ce moment qu’Il avait la Parole de
Vie. Il Lui a dit: «Tu as la Parole de Vie.»
17 Et malgré la décision des autres de Le quitter,
ici nous voyons que ces disciples-là étaient prédestinés, qu’ils
étaient ordonnés à la Vie éternelle. Non, ils ne pouvaient pas
l’expliquer, ils ne pouvaient pas l’expliquer plus que ceux qui étaient
partis. Mais il y avait quelque chose en eux, cette représentation au
Ciel. Une pensée que Dieu avait eu d’eux avant la fondation du monde se
manifestait ici, et ils étaient connectés avec Dieu et étaient certains
que c’était la promesse de Dieu qui se confirmait. Et rien n’allait
leur faire changer d’idée. C’est là un christianisme réel et
authentique.
18 Les gens d’aujourd’hui ressemblent beaucoup à ce
qu’ils étaient en ces jours où les disciples ont été pris sur la mer.
Un soir, alors qu’une tempête s’était levée, ils se sont vus sans aucun
espoir de s’en sortir. Puis ils L’ont vu venir marchant sur la mer. À
ce moment-là leur barque était ballottée par les flots, les voiles
étaient renversées, les rames cassées. Ils se tenaient les uns les
autres et criaient. Et puis ils L’ont vu venir, marchant sur la mer, et
ils s’en sont affolés. C’était leur unique espoir, et ils étaient
effrayés par l’unique chose qui pouvait les secourir. Si ce n’est pas
une vraie image d’aujourd’hui, à nouveau! Ça leur faisait froid dans le
dos. Vous savez, l’histoire relate qu’ils crièrent d’effroi, pensant
que c’était un fantôme! C’était trop spirituel. C’est la même chose
aujourd’hui.
19 Mais si seulement vous vous mettez à crier comme
eux l’ont fait… ils ont entendu une voix leur répondre: «Ne craignez
point, c’est Moi. Ne craignez pas. Reprenez courage.»
20 Et si seulement vous surveillez la Parole promise
pour ce jour, vous entendrez cette même voix parlant à travers la
Parole: «C’est Moi. J’ai promis de faire ces choses dans les derniers
jours. Ne craignez point. N’ayez pas peur. Ayez confiance en Moi, le
Fils de Dieu.» Croyez en ce qu’Il est.
21 Nous avons laissé Abraham dans la présence
d’Élohim, hier soir, où nous l’avions suivi à travers les promesses. Et
maintenant, la dernière promesse avant la venue du fils, nous voyons
ici qu’un Homme s’est présenté, habillé comme un homme, mangeant comme
un homme, parlant comme un homme. Et Abraham s’est tourné vers Lui et
il L’a appelé Élohim. Élohim. Deux d’entre eux étaient partis en
direction de Sodome, pour y prêcher. Et nous comparions ce contexte à
aujourd’hui. Vous vous souvenez tous du contexte dans lequel nous
l’avions laissé. Exactement la même chose que Jésus a prédite, quand Il
dit: «Comme il en était aux jours de Sodome…», la même chose se
présente de la même façon ce soir.
22 J’ai songé à tout cela aujourd’hui, je me suis
arrêté à penser à tout cela. Ils ont ressenti un autre tremblement de
terre, là-bas, et ils ont dit: «Les campagnes ont de nouveau été
secouées.» Et j’ai pensé, qu’est-ce que cela signifie? Vous savez,
c’est arrivé un Vendredi saint. Vous savez, il y a mille neuf cents
ans, un Vendredi saint, l’église a rejeté Jésus-Christ, et un
tremblement de terre avait alors secoué le monde entier. Et ils L’ont
de nouveau rejeté, dans l’âge de Laodicée, comme la Bible a dit qu’ils
feraient, Le laissant dehors.
23 Et ce mouvement œcuménique du Concile des Églises
est exactement ce qu’ils font. Ils sont en train de forfaire à tous
leurs enseignements évangéliques, et tout. «Comment deux peuvent-ils
marcher ensemble à moins d’être d’accord?» — Eh bien non, c’est
impossible.
24 Cela ne marchera pas avec de réels et
authentiques chrétiens. Ils n’accepteront jamais ça. Non monsieur. Un
chrétien né de nouveau ne tombera jamais dans un piège comme celui-là.
Ça a le même effet que de mettre un canard en cage. Ils savent qu’il
est destiné à l’abattoir. Vous ne l’emmènerez jamais dans ça. Un vrai
chrétien né de nouveau restera à l’écart de ces choses.
25 Ici Abraham parlait à un Homme qui avait le dos
tourné à la tente où se trouvait Sara. Un jour ou deux précédant ces
événements, le nom d’Abraham était Abram, et Sara était Saraï. Ici Il
s’est adressé à Abraham dans son nom de père, de prêtre. «Abraham, où
est Sara (princesse), ta femme?»
Il lui répondit: «Elle est dans la tente, derrière
Toi.»
26 Il reprit: «Je reviendrai vers toi quand son
terme sera là, selon la promesse.» En d’autres mots: «Un autre mois, et
Je reviendrai selon ce que J’ai promis.»
27 Il attendait ce fils promis depuis maintenant
vingt-cinq ans, ne chancelant pas à la Parole de Dieu par incrédulité,
mais se fortifiant, donnant gloire à Dieu. Surveillez ceci maintenant.
28 Et Sara, dans la tente, si on employait un
langage courant, a pour ainsi dire ri sous cape, disant: «Moi, une
vieille femme de quatre-vingt-dix ans, j’aurais des désirs avec mon
seigneur, mon mari, lui qui a cent ans?» Ils n’avaient plus de rapports
ensemble depuis de nombreuses années.
29 Et l’Homme, le dos tourné à la tente, a dit:
«Pourquoi Sara a-t-elle douté, se disant ces choses en elle-même?»
Voyez? Et de cette façon Abraham a reconnu quel était celui qui lui
parlait. C’était bel et bien Élohim. Son signe prouvait Sa déclaration.
Il dit: «Je reviendrai vers toi.» Pourquoi a-t-Il dit «Je»? Pourquoi
l’a-t-Il appelé Abraham, quand Il était Celui-là même qui lui avait
donné le nom? — C’était dans un symbole, non pas dans la présence d’un
homme; montrant exactement ce qui allait arriver. Il lui a confirmé Son
autorité et la Parole promise, que cet Homme qui lui parlait était bien
Dieu, Élohim.
30 Ici nous voyons, dans Hébreux, chapitre 4, verset
12, comme je l’ai cité deux fois déjà ces derniers soirs, la Bible dit
ici: «La Parole de Dieu discerne les pensées qui sont dans le cœur, les
secrets du cœur.»
31 Et quand Jésus regardait la congrégation et
discernait leurs pensées, quand Il a dit à la femme combien de maris
elle avait, et à Nathanaël où il se trouvait, c’était là la
confirmation qu’Il était ce Messie, Dieu, Emmanuel, parce qu’Il était
la Parole.
32 C’est ainsi qu’étaient les prophètes. On
considérait les prophètes comme des dieux. Vous comprenez bien cela.
Jésus Lui-même a aussi dit: «Comment pouvez-vous Me condamner? Ceux à
qui vient la Parole de Dieu, vous les appelez des dieux. Et comment
pouvez-vous Me condamner, parce que Je dis que Je suis le Fils de Dieu?
Et si Je ne fais pas les œuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas.
33 Il était la Parole confirmée de Dieu pour cet
âge. Maintenant, s’Il était venu avec le signe de Moïse, cela n’aurait
pas fonctionné. Si Moïse était venu avec le signe de Noé, ce n’était
pas ce qui était prophétisé pour son jour.
34 Et tous ces clergés, et cette théologie, et ces
collèges, et ces écoles, et ces ministres instruits, c’est tout bien,
on n’y voit rien contre, mais ce n’est pas ça le Message de l’heure.
C’était pour ce jour d’obscurité.
35 «Au temps du soir, la lumière paraîtra.» Il a
promis ces choses. Je l’ai lu et relu de la Parole. Il a dit que ce qui
s’était passé autrefois se répéterait. Je pourrais relier cela avec
chaque Écriture de la Bible et vous montrer que c’est la vérité.
36 Maintenant, Ses déclarations furent confirmées
quand Il nomma Sara par son nom et ce qu’elle avait fait derrière Lui.
Maintenant remarquez, Il a promis que dans le prochain mois elle
concevrait, quand son terme serait là.
37 Remarquez maintenant. Le sentier suivi par
Abraham était un type de la Semence royale. Si vous remarquez, la
promesse était pour Abraham et ses enfants après lui. Et ses enfants
étaient tout d’abord la semence naturelle, et puis la Semence royale,
qui était Christ. La première semence, venue par le sexe, était Isaac;
mais sans le sexe est venu Jésus, la Semence royale.
38 Maintenant, le Sang, voyez, nous sommes sauvés
par le Sang. «Et sans effusion de sang, il n’y a pas de pardon.»
39 Remarquez, Jésus n’était pas Juif, Jésus n’était
pas des nations. Jésus était Dieu. Il n’était ni ne pouvait être Juif
ou Gentil. Voyez, le sexe mâle procure l’hémoglobine, qui est le
globule sanguin. Le germe est dans le globule sanguin.
40 J’ai entendu les gens d’ici, beaucoup d’entre
vous… je faisais une ronde l’autre jour, sur les fermes, et de ceux qui
élèvent des poulets. Là, une poule peut couver son œuf, une vieille
mère poule peut couver son œuf, mais si elle n’est pas d’abord allée
avec le mâle, il n’éclora pas. Mais elle peut toutefois couver son œuf,
parce que l’œuf vient de la femelle. Mais, le sang… la vie est dans le
sang.
41 Donc, Sa vie était une vie créée, non pas
engendrée d’un homme.
42 Et puis l’ovule n’était pas de Marie, car si
l’ovule avait été de Marie, comme la plupart des protestants le
croient, et les catholiques aussi, que l’ovule était de Marie, cela
aurait fait de Lui un humain. Non, si le globule était de Dieu, l’ovule
l’était aussi, parce que Marie n’aurait pas pu procurer cet ovule… Vous
savez de quoi je suis en train de parler. Elle n’aurait pas pu l’avoir
sans sensation. Et puis s’il eût été cela, qu’auriez-vous donc fait
faire à Dieu? — Du sexe à nouveau. Vous voyez?
43 Donc l’ovule et le globule étaient de Dieu. Amen.
Croyez en cela, et vous aurez la foi pour avancer. Nous ne sommes pas
sauvés par un sang juif ou par un sang des nations. Nous sommes sauvés
par le Sang du Dieu-même, des globules créés.
44 Comme je le disais, prenez ces vieilles mères
oiseaux. Le printemps est de retour, et je remarquais qu’elles allaient
se chercher des brindilles, pour faire leurs nids. Elle peut se faire
un nid et y couver un tas d’œufs; elle peut s’asseoir dessus et les
garder bien au chaud, et être loyale à ces œufs au point d’en devenir
si faible, qu’elle ne pourrait plus quitter son nid pour se trouver
quelque chose à manger. Toutefois, si elle n’est pas allée avec le
mâle, ils n’écloront jamais. Ils ne sont pas fertiles. Vous savez ça.
Ils resteront au fond du nid et pourriront là.
45 Et c’est à la manière de certaines de nos
églises. Nous n’avons qu’un nid plein d’œufs pourris. Ils n’ont pas la
foi d’Abraham. Il est grand temps de nettoyer le nid et de recommencer,
d’entrer en contact; non pas avec une organisation quelconque, un
séminaire théologique quelconque, mais d’entrer en contact avec le
mâle, Jésus-Christ, qui apporte la fertilité à l’Esprit de Vie qui est
en vous. Il est Celui qui vous emmène à y croire. Nettoyez le nid et
recommencez. Vous leur tapotez l’épaule, les faites entrer et les
nommez diacres, étant mariés quatre ou cinq fois, et tout. Dans quel
monde vivons-nous, de toute façon! On les envoie au séminaire et leur
injectons de ces fluides d’embaumeurs, et les retournons.
46 Et ici, l’autre jour, une estimation démontrait
que quatre-vingt-dix-neuf pour cent des prédicateurs protestants de la
nation ne croient pas dans la seconde venue de Christ.
Quatre-vingt-sept pour cent nient la naissance virginale. Pensez à ça.
Qu’est-ce que nos enfants vont devoir envisager plus tard?
47 Mon Dieu, ramène-nous de nouveau à la foi qui a
été transmise aux saints une fois pour toutes.
48 Abraham… surveillez sa façon d’agir au fur et à
mesure qu’il avance, comme l’église en est le type. Tout ce qu’Abraham
a fait… Nous avons considéré le cheminement de l’église. Si nous avions
une semaine ou deux, je pourrais vous le démontrer, pas à pas. L’église
a suivi le même sentier. Le dernier signe était Dieu, la Parole promise
qui lui parlait, dans une chair humaine, la dernière promesse avant la
destruction des Gentils, qui étaient alors Sodome et Gomorrhe.
Maintenant, pensez bien qu’Abraham, avant… Dieu lui était apparu dans
différents symboles, et lumières, et formes, et signes, mais Dieu
n’était jamais venu vers lui en tant qu’être humain, pour lui parler
d’une voix audible, comme le fait un être humain, de la bouche d’un
être humain. Et rappelez-vous, la promesse est désormais en attente
d’accomplissement, Sodome va être brûlée, le dernier message est en
cours.
49 Et voici l’église nominale. Voici un Billy Graham
moderne au milieu d’elle, pour les secouer.
50 Voici l’Église élue, qui n’est pas à Sodome,
appelée, séparée. Ils ont un messager. Remarquez, le groupe d’Abraham a
eu le Message. Et quel était-il? — Dieu, qui lui avait parlé tout le
long, en symboles et en formes et tout, est monté vers lui. Et
maintenant Il se manifeste dans la chair humaine et discerne la pensée
qui est dans le cœur de Sara, derrière Lui. Et Abraham a dit: «C’est
Élohim, Celui qui se suffit à Lui-même.» Rappelez-vous, immédiatement
après cela, Sodome a été brulée. Réfléchissez à cela.
51 L’église est peut-être en train de recevoir son
dernier signe. Vous avez crié de joie, vous avez eu la justification
par Luther, la sanctification par Wesley, un temps béni, de cris et de
joie, de parler en langues, d’interprétation des langues, de guérison
divine. Mais où en sommes-nous maintenant? Dieu parle au milieu de
nous, à travers nous, d’une voix audible, comme Il l’a fait là-bas. Et
Il a promis de le faire. C’est la chose. Ce n’est pas quelque chose que
l’on peut fabriquer. C’est la Bible qui le dit. Jésus a dit qu’Il le
ferait, se ferait connaître à nouveau. Remarquez qu’immédiatement après
cela…
52 Abraham a plaidé pour Lot. Et Il a dit que s’Il
trouvait dix personnes, qu’Il l’épargnerait. Mais les messagers qui s’y
trouvaient n’ont pas pu même en trouver autant. Ils ont rejeté les
messagers.
53 Comme ce qu’a dit Billy Graham lors d’un
déjeuner, ici, dans notre ville, à Louisville, Kentucky. J’étais à ce
déjeuner, et il a dit: «Je vais dans une ville…» Il a tenu sa Bible
dans les airs… c’est un fervent de la Bible, et il a dit: «Je vais dans
une ville y tenir une campagne, et j’obtiens trente mille conversions,
ou décisions.» Il a dit: «Si dans six mois j’y retourne, je ne peux
plus en trouver trente.» Et il a dit: «Paul allait dans une ville, et
là, une personne se convertissait. Quand il revenait l’année suivante,
ce converti avait fait des convertis, au point que ce converti en avait
converti des centaines.» Il a dit: «Qu’est-ce qui se passe de nos
jours?» Il a dit: «Vous, bande de prédicateurs paresseux.» Il a dit:
«Vous êtes bien assis, les pieds sur vos pupitres, et vous ne sortiriez
pas les visiter.»
54 Maintenant, qui suis-je, moi un illettré, pour
contester le grand évangéliste? Mais j’aurais aimé lui dire quelque
chose. Je lui aurais dit: «Billy, quel prédicateur a pris le converti
de Paul?» Voyez?
55 C’est parce que Paul l’a emmené suffisamment loin
pour que Christ vienne en lui, et il est devenu un feu vivant, jusque
dans la Présence vivante. Non pas un mouvement intellectuel, ou un club
social, ou une signature, ou une insistance à venir à l’église.
Emmenez-les au baptême du Saint-Esprit, et ensuite il sera plein de
feu, il mettra au monde des enfants. Comment pouvez-vous le faire s’il
est stérile? Il ne pourra pas avoir d’enfants avant d’avoir lui-même la
Vie. Et c’est de la seule façon que toute chose peut se re-proclamer,
c’est par le germe. Et le germe qui est le Saint-Esprit qui était en
Christ est dans le croyant.
56 Maintenant nous remarquons que le dernier signe
offert à Abraham était littéralement Dieu, la Parole. Rappelez-vous,
Dieu, la Parole promise qui lui avait été promise dès le commencement,
lui a parlé dans une chair humaine. Un Homme se trouvait là, lui
parlait, discernait les pensées qui étaient dans le cœur de Sara, elle
qui était dans la tente, derrière Lui. Cela a été le dernier signe.
Maintenant, Il était, avant de lui apparaître sous différents symboles,
et ainsi de suite, comme la lumière, le feu, etc., Il lui était apparu,
mais remarquez, immédiatement…
57 Je voudrais vous faire remarquer ce qui est
arrivé au vieux couple. Là j’espère que vous ne me considérez pas comme
étant quelqu’un qui veut bouleverser l’ordre existant. Et si vous ne le
croyez pas, eh bien, voyez, laissez ça tranquille. Mais je voudrais
simplement vous parler de ce que je crois être arrivé.
58 Avez-vous remarqué ceci: comment Sara va-t-elle
avoir cet enfant? Elle a maintenant cent ans. On a dit: «Eh bien,
c’était différent dans ce temps-là?» — La Bible dit que l’état de son
sein était mort, et la Bible dit qu’ils étaient tous les deux avancés
en âge.
59 Mais Il fait à Sara et à Abraham, de ce même
point de vue, ce qu’Il a promis de faire à leur Semence. Et Il l’a
fait! Je peux le prouver, les étapes mêmes qu’Abraham a suivies. Là
regardez l’endroit où il se trouve ici, quand Dieu vient lui parler,
dans une chair humaine, quand Il se fait connaître Lui-même à lui.
60 Comment Sara va-t-elle avoir cet enfant?
Maintenant, Abraham avait vécu avec elle, et peut-être était-il… Il est
dit: «Son corps était usé…» La Bible le dit. «Son corps, déjà amorti,
l’état du sein de Sara, mort, mais il ne chancela pas. Il crut.»
Maintenant voyez, si Sara…
61 Vous êtes un auditoire mixte, et vous me
pardonnerez, mes sœurs. Vous écouterez votre docteur; moi je ne suis
qu’un frère. Mais remarquez bien ceci: Sara, âgée de quatre-vingt-dix
ans, est trop âgée pour supporter un accouchement. Son cœur ne le
supporterait pas. Vous savez cela. Autre chose aussi, ses glandes
mammaires étaient taries. On n’avait pas de centre médico-social ni de
biberons stérilisés en ces jours-là. Voyez, il fallait que ce soit un
sein maternel. Remarquez. Donc, comment va-t-Il s’y prendre? Comment
va-t-elle avoir cet enfant? Son sein est mort. Elle est amortie dans
son corps, et Abraham l’est aussi.
62 Savez-vous ce qu’Il a fait? — Il les a changés.
Il les a changés en de jeunes gens. Je peux vous le prouver. Il a fait
d’eux un jeune homme et une jeune femme, les a ramenés à l’état de leur
jeunesse. Oh! quelle belle promesse!
Vous dites: «Oh! frère Branham!»
63 Là, attendez une minute pour voir. Patientez.
Ceci pourrait vous blesser quelque peu, blesser les légalistes, mais je
voudrais que vous voyiez ceci pendant un petit moment. Nous enseignons
ceci simplement comme une leçon d’école du dimanche. Il les a ramenés à
leur état de jeune homme et de jeune femme, d’environ vingt ans.
64 Abraham, remarquez, est âgé. Sa barbe est très
longue. Son corps est usé. Ses bras sont amaigris. Sara, une petite
grand-mère clopinant sur sa canne, un petit châle sur ses épaules, un
petit bonnet sur sa tête.
65 Le lendemain, eh bien, Abraham, le dos voûté, les
cheveux blancs, et Sara de lui dire: «Abraham chéri, qu’est-ce, ta
barbe a repris du noir.» «Sara, tes jolis yeux ont repris de leur
éclat. Tes joues sont rosées.» Avant que le soleil ne se couche ce même
soir, elle était redevenue une jeune femme, et lui un jeune homme.
Vous dites: «Quel non-sens, frère Branham!»
66 Oh, oui, ce l’était, assurément. Voyez maintenant
venir immédiatement une merveilleuse promesse et un type pour la
Semence royale d’Abraham. Rappelez-vous, est-ce une promesse? — Oui,
nous serons changés. Ils ont été changés à l’état d’un jeune homme et
d’une jeune femme, montrant exactement ce qui attend l’Église, la
Semence royale.
Vous dites: «Est-ce une promesse?»
67 I Thessaloniciens 4.17: «La trompette de Dieu
sonnera, et nous serons changés en un instant, en un clin d’œil, pour
être ensemble enlevés.» Pourquoi? — Son corps, leurs corps ont dû être
changés pour recevoir le fils. Et nos corps mortels devront être
changés pour recevoir le Fils, parce que nous serons ravis. Nous
devrons être d’un corps différent de celui-ci, car nous serons enlevés
dans les airs, pour Le rencontrer. Amen. C’est tout à fait avec les
Écritures, vous voyez. Ils ont été changés. Si jamais nous allons
rencontrer le Seigneur dans les airs, nous ne pourrons Le rencontrer
dans ces corps-ci, car ils sont liés à la terre. Mais nous allons en
recevoir un, alléluia! qui montera dans l’Enlèvement.
68 Et ce qu’il y a de merveilleux en cela, c’est que
nous sommes tout près de cet événement. Tous les éléments sont en
place. Il ne reste plus beaucoup de temps maintenant, et un de ces
matins il y aura un changement. Vous voyez?
69 Mais, rappelez-vous, c’est seulement à cette
Semence royale que cela viendra. La venue de Jésus sera si secrète que
le reste du monde n’en saura rien. Savez-vous, ils ne seront
probablement pas trop nombreux. «Comme aux jours de Noé, où huit âmes
ont été sauvées par l’eau, il en sera de même à la venue du Fils de
l’homme.» «Étroite est la porte et resserré le chemin, et peu les
trouveront.» Vous dites qu’il y en aura des millions? — Oui, les
rachetés de tous les âges, bien sûr. Mais de ce lieu de ravissement, où
nous nous tenons maintenant!
70 Que se produira-t-il un de ces jours? — Ils vont
commencer à dire: «Là, vous savez, c’est ici la période de
tribulations. Je pensais que l’église allait être enlevée avant ça.» —
C’est pourtant vrai; non pas l’église mais l’Épouse. L’église passe par
la période de tribulations, mais pas l’Épouse. Non monsieur. Elle est
rachetée. Elle n’a plus rien à purifier. Elle est déjà pure. Le
Saint-Esprit est venu en elle et l’a purifiée; Il a enlevé tout de la
souillure du monde, et elle croit cette Parole et en est participante.
C’est exact. Sans le Saint-Esprit, rien ne se fait. C’est l’Épouse qui
sort de l’église. Et ce qui est appelé «le reste de la semence de la
femme» est laissé et devra passer par la période de tribulations.
71 Vous savez, une fois, après que toutes les
Écritures (Ésaïe, Malachie 3 et Ésaïe 40) eurent prophétisé la venue de
Jean le baptiseur, Jean a rempli exactement ce que leurs écrits avaient
prédit de lui. Et même les disciples sont venus à Jésus et Lui ont
demandé: «Pourquoi les scribes (les Écritures) disent-ils qu’Élie doit
venir premièrement?»
72 Il a répondu: «Il est déjà venu, et vous ne
l’avez pas reconnu. Il est venu, et ils lui ont fait exactement ce qui
était supposé lui être fait, et vous ne l’avez pas reconnu.»
73 Maintenant, c’est un de ces jours où vous
pourriez dire: «Qu’en est-il de l’Enlèvement?»
74 «Il est déjà venu, et vous ne l’avez pas
reconnu.» «Deux personnes seront dans un lit, l’une sera prise, l’autre
laissée.» Vous savez, il y a de toute façon plusieurs centaines de
personnes qui disparaissent de ce monde chaque jour. Ils ne peuvent pas
s’arrêter à ça.
75 Et pensez seulement que les gens continueront à
prêcher et croiront qu’ils obtiennent leur salut. Comme c’est triste.
76 Et Noé entra dans l’arche, et la porte se referma
derrière lui, par la main de Dieu. Le soleil se leva et se coucha
durant sept jours avant que quoi que ce soit n’arrive. Et les gens ont
continué à prêcher, à se moquer, et tout le reste, ne reconnaissant pas
que leur seul salut se refermait sur eux.
77 Pensez, des ministres seront toujours en train de
former des prédicateurs et de les envoyer prêcher, et des œuvres comme
celles-là, l’église sera simplement en mouvement; mais ils seront
complètement privés de miséricorde, de tout, totalement retranchés.
L’Enlèvement a eu lieu. «Que celui qui est souillé se souille encore»,
dit l’Écriture. «Il est déjà venu, et vous ne l’avez pas reconnu.»
Pensez à cela ce soir, les amis, et prêtez attention à ce qui se passe.
78 Il n’y a rien en ce monde qui puisse maintenant
vous réconforter si ce n’est la Parole de Dieu. Vous voyez? Il n’y a
pas d’autre espoir en dehors de ça; votre nation, nulle part ailleurs.
79 Nous sommes rongés jusqu’au cœur. Vous savez ça.
Le communisme a rongé la chose. Comme c’était prédit. Vous n’allez pas
pouvoir arrêter ça. La Bible l’avait prédit ainsi, c’est pourquoi vous
n’allez rien pouvoir arrêter. C’est tout.
80 Soyez prêts pour l’Enlèvement. C’est la seule
chose à faire.
81 I Thessaloniciens 4.17 dit que «nous serons
changés», comme Abraham l’a été, «et enlevés», un corps différent.
Maintenant, Abraham, leurs vieux corps devaient être changés. De même
les nôtres devront être changés, pour répondre à la promesse. Nous
devrons être changés. Là vous dites: «Ces vieux corps?»
82 Je prêchais à un groupe Kiwanis, ici, il n’y a
pas longtemps. Par après, un docteur est venu et m’a dit: «M. Branham,
j’apprécie votre discours, mais, vous savez, je ne peux rien croire de
tout cela avant que ça ne soit prouvé scientifiquement. Vous savez, la
naissance virginale et ces choses-là, et qu’Il était Dieu!»
83 Je lui ai répondu: «Vous ne Le croirez jamais,
parce qu’on ne peut pas prouver Dieu scientifiquement. C’est par la foi
que vous devez Le croire, par la foi.»
84 Il a dit: «Eh bien, je ne crois rien de ce qui
n’est pas scientifique.»
J’ai dit: «Êtes-vous marié?»
Il a répondu: «Oui, monsieur.»
J’ai dit: «Aimez-vous votre femme?»
Il a répondu: «Certainement que je l’aime.»
85 J’ai dit: «Alors montrez-moi de manière
scientifique ce qu’est l’amour. J’aimerais en acheter, si vous voulez
bien m’indiquer quel drugstore en vend. J’en ai réellement besoin.»
Vous voyez, une chose simple.
86 J’ai dit: «Je vous ferai une question. Êtes-vous
fait de la poussière de la terre?»
Il a répondu: «Oui, monsieur.»
87 J’ai dit: «Nous recevons cette poussière en
mangeant les aliments de la terre, c’est-à-dire la flore, et ainsi de
suite.»
88 Vous voyez, c’est seulement par une substance
morte que vous vivez. Voyez? Si vous êtes en vie, quelque chose doit
mourir, pour que votre corps conserve sa force vitale. Si vous mangez
des pommes de terre, c’est une substance morte. Si vous mangez du
bifteck, c’est qu’une vache est morte. Si vous mangez du porc, un
cochon est mort. Si vous mangez des légumes, ils sont morts. C’est une
forme de vie. Et vous conservez seulement la vie, au point de vue
naturel, que par la substance d’une chose morte. Une substance morte!
Cela ne vous emmène-t-il pas à penser, mon ami, que vous ne pouvez
éternellement vivre que par la substance d’une chose qui est morte pour
vous? Christ est mort, il est vrai, et ressuscité, pour confirmer Sa
divinité. Remarquez maintenant.
89 J’ai dit: «Docteur, si je me nourris d’aliments,
alors chaque fois que j’en mange, cela va dans mon corps et fabrique
des globules.»
Il a dit: «C’est exact.»
«Donc chaque fois que je mange, je renouvelle ma
force vitale.»
Il a dit: «C’est exact, ce sont de nouveaux
globules.»
90 J’ai dit: «Dans ce cas, j’aimerais vous faire
cette question. Quand j’avais seize ans, je mangeais du maïs, des
fèves, des pommes de terre et de la viande, tout comme je le fais
aujourd’hui. Et chaque fois que j’en mangeais, je prenais du poids et
de la force. Et puis quand j’ai eu près de vingt-deux ans… Tout être
humain, peu importe la quantité ou la qualité de son alimentation, son
corps vieillit et s’affaiblit. Maintenant, si je verse l’eau de ce
verre dans cet autre verre, et que je le remplisse à moitié, et que je
continue à verser, après l’avoir déjà rempli de moitié, plutôt que de
se remplir, il se vide. Prouvez-moi scientifiquement comment cela se
fait. Voyez? Comment se fait-il que je mange les mêmes aliments,
renouvelant ma force vitale chaque jour selon… Des preuves, des preuves
scientifiques ont démontré que je renouvelle ma force vitale quand je
reconstitue de nouveaux globules, les mêmes que lorsque j’avais seize
ans. Mais pourquoi est-ce que, depuis mes vingt ans et quelques, ça ne
dépend plus de la quantité de nourriture que je prends? car je diminue,
vieillis sans arrêt, et m’affaiblis tout le temps? Au lieu de me
renouveler, comme cela le faisait autrefois, maintenant cela
m’affaiblit.» — C’est un rendez-vous. C’est ce que c’est.
91 Mais Dieu a pris une photo de quand vous aviez à
peu près vingt ans, si rien n’a interféré, comme pour ce jeune garçon
infirme qui est ici. C’est comme une tige de maïs qui s’est mise à
pousser et sur laquelle une chose est venue se déposer et qui l’a fait
pousser croche; si vous pouvez déplacer cette méchante chose qui la
fait pousser croche, la tige va se redresser. Elle le devra, c’est
tout. Remarquez, si rien ne l’interfère, voilà, de belles jeunes dames,
de beaux jeunes hommes. Vous et votre mari ensemble, de modernes Adam
et Ève, comme au commencement. Dieu a dit: «Les voilà. Toi, la mort, tu
les poursuis, tu peux même commencer à les avoir, mais tu ne peux pas
entièrement les avoir avant que Je les rappelle.» C’est quoi
maintenant? — C’est le négatif. Oh là là! Voyez?
92 C’est exactement ce qu’Il a fait à Sara et à
Abraham. Il a effacé leur vieillesse. La vieillesse représente la mort.
Et il n’y aura pas de représentations de la mort dans le Ciel. Voyez,
tout souvenir de la mort sera effacé, et la vieillesse n’existera pas.
Nous serons tous jeunes. C’est une photo de votre jeunesse que Dieu a
prise de vous. Et là Dieu a ramené Abraham et Sara de nouveau à cet âge
favorable de leur jeunesse. Voilà où nous nous trouvons.
93 Une autre preuve que j’aimerais vous montrer
maintenant. Je sais, je sens que ça ne passe pas trop bien. Vous ne le
croyez pas. Eh bien, permettez-moi de vous poser cette question.
Laissez-moi vous apporter quelque chose. Laissez-moi vous montrer que
cela leur est bien arrivé. Surveillez ça.
94 Regardez sur la carte, à l’endroit où ils se
trouvaient quand Dieu leur est apparu, à proximité de Sodome. Tout de
suite après, ils ont entrepris de se rendre à Guérar, situé à près de
cinq cents kilomètres de là. C’est tout un voyage pour des gens âgés.
Voici ce vieil homme à longue barbe, appuyé sur son bâton. Voici la
petite grand-mère, vous savez, avec son petit bonnet, avançant en
traînant les pieds derrière lui, des petits pas de dix douze
centimètres.
95 Et puis le problème s’est trouvé à leur entrée à
Guérar, où se trouvait Abimélec, un roi en quête d’une bien-aimée. De
toutes les belles femmes qu’il avait là-bas, les filles des Philistins,
quand il vit Sara, il tomba amoureux d’elle et voulut la marier.
N’est-ce pas? — [Amen.] Ha-ha! Oh!
96 Oh, frère, la Bible est comme une lettre d’amour.
Vous devez lire entre les lignes pour en saisir le sens. Dieu a dit:
«Il l’a caché aux yeux des sages et des intelligents, et l’a révélé aux
petits enfants.»
97 Quand je suis au dehors, en mission, ma femme
m’écrit. Je l’aime et elle m’aime. Elle dira: «Cher Bill, je viens de
coucher les enfants. J’ai travaillé aujourd’hui.» Je comprends ce
qu’elle écrit. Mais, voyez, je l’aime tant, que je peux lire entre les
lignes. Je sais de quoi elle parle. Elle n’a pas à me l’expliquer. Je
sais, parce que je peux lire entre les lignes.
98 C’est ainsi avec Dieu, quand on n’essaie pas de
comprendre d’un point de vue journalistique ou théologique. Mais tombez
en amour avec Lui, agenouillez-vous et prenez-Le vraiment dans votre
cœur. «L’amour de Dieu étant déversé dans leur cœur par le
Saint-Esprit.» Ensuite allez lire la Bible et vous Le verrez d’entre
les lignes. Voyez, vous comprenez ce qu’Il dit. Ce n’est pas décrit
tout droit dans la Parole. Jésus a remercié le Père parce qu’Il avait
caché ces choses aux yeux des sages et des intelligents. Maintenant,
personne d’autre ne pourrait lire les lettres de ma femme comme moi,
parce que je l’aime de cette façon, et c’est de cette façon qu’elle
m’écrit. C’est de cette façon que Dieu vous écrit. C’est entre les
lignes que vous Le lisez.
99 La voici ici maintenant, la Sara, parmi les
autres. Pourriez-vous imaginer la petite mémé, vous savez, au milieu de
toutes ces jolies filles de la place, en compagnie de Philistins, à
Guérar. Et là, Abimélec, un beau jeune roi, se veut une bien-aimée;
aussi use-t-il de vigilance. Elles sont jolies, et tout. Mais il voit
venir mémé, vous savez, tremblotante, nerveuse, et il dit: «C’est celle
que j’attendais. C’est elle! Oh!»
100 Et Abraham lui avait dit: «Voudrais-tu me faire
cette grâce, Sara. Tu es belle de visage, tu sais. Quand tu seras là,
dis que je suis ton frère; moi je dirai que tu es ma sœur. Sans quoi
ils me tueront et te prendront.»
101 Elle n’aurait pu avoir deux maris en même temps,
vous savez. Un de ces jours, je vais prêcher là-dessus. Et puis, vous
dites que La semence du serpent a soulevé quelque chose, alors attendez
que ceci sorte.
102 Ensuite nous voyons que lorsqu’il vit venir la
petite mémé, Abimélec tomba en amour avec elle et voulut la prendre
pour épouse.
103 Pensez à cela. Voyez-vous vers quel âge ça les
avait ramenés? C’est sûr, Il le devait.
104 Cette Bible, cette lettre d’amour, est quelque
chose que Dieu nous écrit. Il l’a caché aux yeux des sages et des
intelligents, et Il la révélera aux enfants.
105 Il a caché Sa venue. Il a caché Jésus aux
pharisiens, ces étudiants des Écritures. On n’a personne comme eux de
nos jours. Leur haute scolarité ne leur a pas permis de Le reconnaître.
Il était caché. La Bible dit qu’Il l’était.
106 Et, vous savez, la Bible dit que le clergé de ce
jour-ci ne verrait rien non plus. «Emportés, enflés d’orgueil, aimant
le plaisir plus que Dieu, déloyaux, calomniateurs, intempérants et
ennemis des gens de bien.»
Vous direz: «Ce sont les communistes.» Non, non.
107 «Ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce
qui en fait la force. Éloigne-toi de ces hommes-là.» Voyez? C’est
exact. «Car d’entre eux sont ceux qui s’introduisent dans les maisons,
et qui captivent des femmes d’un esprit faible et borné, chargées de
péchés, agitées par des passions de toute espèce», et ainsi de suite.
Remarquez.
108 Maintenant, nous retrouvons ici Abraham. Et
Abimélec s’est présenté, et a dit: «C’est la femme que j’attendais
depuis toujours.» Il fit appel aux filles qui allèrent la chercher, et,
oh, peut-être lui faire une toilette, pour qu’elle ressemble à une
reine de quelque sorte.
109 Je veux que vous remarquiez ici la grâce de Dieu
envers Son prophète. Ceci pourrait peut-être vous faire ravaler un peu,
mais c’est la vérité. Peu importe à quoi ça ressemble, comparez avec ce
que dit la Bible.
110 Là je peux voir Abimélec, il pense: «Demain, je
marierai cette jolie fille hébraïque. Elle est là dans les chambres, et
mes servantes sont en train de la parfumer, de la coiffer, de lui faire
une toilette.» Maintenant, pourriez-vous vous imaginer un vieille femme
de quatre-vingt-dix ans se faire faire une toilette dans le but de
marier un jeune roi? Aussi découvrons-nous qu’il fit préparer cette
belle fille hébraïque. Il prit son bain, s’étendit, se dénoua les
jambes, après avoir fait ses prières; il s’étendit et pensa: «Oh là là!»
111 Maintenant, pouvez-vous imaginer Abraham lui
jouer un tour comme celui-là, un homme qui aurait dit une pareille
chose de sa femme? Parlez-moi d’un froussard! Abraham a fait ça. Et là,
il est dehors, après avoir dit une pareille chose.
112 Et, cette nuit-là, Dieu est apparu à Abimélec en
songe, et lui a dit: «Tu es un homme mort. Elle est une femme mariée.»
113 Il a dit: «Seigneur, tu connais l’intégrité de
mon cœur. Elle a dit qu’il était son frère, et lui-même m’a dit qu’elle
était sa sœur.»
114 Il a dit: «Je connais l’intégrité de ton cœur,
c’est pourquoi Je t’ai gardé de pécher contre Moi. (Voyez?) Mais son
mari est Mon prophète.» Regardez la grâce pour Son prophète, même s’il
était dans l’erreur. Voyez? Il a dit: «Il est Mon prophète. Je
n’entendrai pas tes prières. Rends-lui sa femme, et qu’il prie pour
toi. Si tu ne le fais pas, ta nation entière périra.» (Chaque femme
était devenue stérile.) Pensez à cela. C’est exactement ce qu’Il a dit.
Et Abimélec était un homme de bien et craignait Dieu. Oui monsieur.
115 Mais vous voyez ce que la grâce de Dieu fait? Là
se tenait Son prophète, qui avait donné sa femme en mariage à un autre,
attendant même la promesse de l’enfant et ces choses-là, et la grâce de
Dieu est demeurée avec cette Parole sans regarder au reste. C’est exact.
116 «Son mari est Mon prophète. Et Je n’entendrai
pas ta prière. Même dans ta justice, et ta bonté, et ton intelligence,
si lui ne prie pas pour toi, tu es mort.» Il prit donc Sara et la
rendit. Oh là là!
117 Puis Isaac naquit. Maintenant, pour terminer,
rapidement je veux vous apporter quelque chose. Isaac naquit et la
promesse fut accomplie.
118 Après la naissance d’Isaac, le jeune garçon
avait environ douze ans quand Dieu fit passer une double épreuve à
Abraham. Après l’avoir déjà éprouvé durant vingt-cinq ans, Il lui fit
ensuite passer une double épreuve. Maintenant Il dit: «Abraham, Je veux
que maintenant tu prennes ce fils, ton fils unique, et que tu l’emmènes
sur une montagne que Je te montrerai dans une vision, et que tu l’y
emmènes et l’offres en holocauste.»
119 Et il est dit qu’il ne refusa pas de le faire.
Il se leva le lendemain matin, suivant la direction du Seigneur, sella
ses ânes, prit du bois, le fendit, et partit avec les ânes. Il voyagea
durant trois jours, et puis il vit le lieu de loin, levant les yeux,
après avoir voyagé trois jours. Abraham se trouvait à trois jours de
chez lui. Les hommes alors ne voyageaient pas dans des véhicules
motorisés, comme aujourd’hui, et un homme normal peut marcher quarante
kilomètres par jour. Voyez? Où s’est-il rendu? — Dans le désert.
120 Et il a dit: «Vous, attendez ici.» J’aime ceci
en Abraham. Il a dit aux serviteurs: «Vous garderez les ânes ici, et
moi et mon fils nous irons jusque-là pour adorer, puis nous reviendrons
auprès de vous.»
121 Comment va-t-il faire cela, puisqu’il montait
jusque-là pour le tuer? Dieu lui a dit: «Monte jusque-là et prends sa
vie.»
122 Mais qu’a dit la Bible, en Romains 4? «Abraham
savait qu’il l’avait reçu comme provenant des morts, et était
pleinement persuadé que Dieu était capable de le ressusciter d’entre
les morts, d’où il l’avait reçu en tant que figure.» Voyez?
Il leur a dit: «Vous, vous attendrez ici.»
123 Comment cela va se faire, je ne peux vous le
dire. Pouvez-vous réfléchir à cela, sœur, vous qui avez un enfant dans
les bras, et cette maman assise dans une chaise roulante, là un petit
garçon, et ici un papa? Je ne sais pas comment Il va le faire. Je ne
sais tout simplement pas comment Il va le faire. Mais Il va le faire
parce qu’Il a promis de le faire, sur la base de votre foi. Il le fait
aux autres. Voyez?
124 «Le jeune et moi, nous reviendrons. (Voyez?)
Attendez ici, tandis que nous irons adorer.»
125 Et il chargea le bois sur son petit Isaac, un
type de Christ portant Sa croix, et marchèrent jusqu’au sommet de la
montagne. Puis le petit Isaac s’interrogea, et il demanda: «Mon père!»
Il répondit: «Me voici, mon fils!
126 Il reprit: «Eh bien, voici l’autel, voici le
feu, voici le bois, mais où est l’ageau pour l’holocauste?»
127 Écoutez maintenant ce que répond Abraham: «Mon
fils, Dieu se pourvoira Lui-même de l’agneau pour l’holocauste.» Ce qui
signifie, «le sacrifice pourvu par Dieu», Jéhovah-Jiré. L’agneau pourvu
de l’Éternel.
128 Et quand il lui lia les mains et le mit sur
l’autel, imaginez quel temps il a pu passer. Après l’avoir attendu
pendant vingt-cinq ans, Dieu lui demandait de détruire la seule
évidence dont il avait témoigné durant toutes ces années. Il était la
honte parmi les gens, on se moquait de lui. Et ici Dieu lui dit:
«Détruis la chose même qui te donne la seule espérance que tu peux
avoir, de voir Ma Parole être accomplie en toi. Je te donne le garçon.
Il a douze ans. Tous l’ont reconnu, je vais quand même faire de toi un
père des nations, mais va tuer ton fils.» Pourriez-vous vous imaginer
cela?
129 Dieu nous montrant simplement que quoi que les
autres disent, ou si c’est contraire à cette Parole, refusez d’y
regarder. Une réelle Semence d’Abraham croit cela.
«Tue ce fils.»
130 Et Abraham le mit sur l’autel. Vous
imaginez-vous, relevant ses petits cheveux ondulés de son visage, et
ses petits yeux bruns qui le regardaient comme cela, et ses petites
lèvres qui tremblaient. Et ce long couteau que son père sortait
maintenant de… Parlez-moi d’un père! Il releva son menton pour pouvoir
lui enfoncer le couteau dans la gorge, oh! en obéissance à Dieu! Au
mépris de l’apparence, il dit: «Je l’ai reçu comme provenant des morts.
Dieu est capable de le ressusciter.» Il leva son couteau et commença…
131 Et le Saint-Esprit saisit sa main, et dit:
«Abraham, Abraham!»
Il dit: «Me voici.»
132 Il reprit: «N’avance pas ta main. Je sais que tu
M’aimes et que tu Me fais confiance, et que tu ne M’aurais pas refusé
ton fils, ton unique.»
133 Et à ce moment, il y eut là un bélier, qui était
retenu par les cornes, dans le désert, derrière lui.
134 Je voudrais vous poser une question, frère,
sœur. D’où venait ce bélier? Regardez ça, vous êtes à trois jours de
toute civilisation, dans le désert, où rôdent les fauves, les chacals,
les chiens et les bêtes sauvages de toutes espèces, qui auraient eu
vite fait de le dévorer. Et, de plus, il est au sommet de la montagne
où il n’y a pas d’eau. Il avait ramassé tout autour de là des pierres
pour bâtir l’autel, et le bélier n’y était pas. Mais quand Dieu en eut
besoin, il se trouva là. Et ce n’était pas une vision. Il le tua de son
couteau et le sang coula de l’animal. Il expira. Dieu venait tout juste
de l’appeler à l’existence, et Abraham lui reprit la vie la minute qui
a suivi. Vous voyez? Jéhovah-Jiré, «l’Éternel se pourvoira Lui-même
d’un agneau».
135 L’impossibilité du bélier de s’y être trouvé. Si
quelqu’un est au courant de la vie des moutons dans une jungle, dans un
désert comme celui-là, où se trouvent toutes les bêtes sauvages, ils
auraient eu vite fait de le dévorer. Il n’aurait pas pu survivre en cet
endroit. Et ici, au sommet de la montagne où on ne trouve pas d’eau,
pas d’herbe ou rien d’autre, et quelques minutes auparavant il ne se
trouvait pas là, et à l’instant où Dieu eut besoin de ce bélier, il se
trouva là. Il l’appela à l’existence.
136 Tout comme Il lui était apparu là-bas. Élohim
eut besoin d’un corps, Il eut besoin d’un corps dans lequel habiter, et
Il lui fallut seulement de rassembler la lumière cosmique et le
pétrole, et ainsi de suite, et d’entrer dans ce corps. Vous voyez? Il
est Dieu.
137 C’est ce qu’Il fera avec vous, quand vous ne
serez pas plus qu’une cuillerée de cendres dans la poussière. Il
parlera encore, et vous serez là. Il appellera votre nom, et vous
répondrez. La Semence d’Abraham, … cette promesse accomplie.
138 Remarquez, c’était un bélier. Si vous m’accordez
un moment de plus, j’aimerais expliquer ceci. Vous savez, l’autre soir
j’ai mis cela de côté. Je ne l’ai même jamais expliqué à mon église.
Vous souvenez-vous quand Il a confirmé ce sacrifice, confirmé cette
alliance avec lui, en prenant une brebis, une génisse (un veau
femelle), et en les divisant, puis en prenant un bélier… Maintenant,
rappelez-vous, lorsque la Semence royale de Sa foi… vous vous souvenez,
ce n’était pas une femelle, c’était un mâle. C’est par le mâle que la
promesse est accomplie. Remarquez, un bélier, un mâle. Un mâle, afin de
satisfaire à la Parole. Il est la Parole, ce Bélier, non pas une
femelle. Les femelles ont premièrement été offertes, vous vous
rappelez, en Genèse 15; elles ont été les premières à être déposées; il
a ensuite pris un bélier. Le bélier est venu en dernier. Le Mâle, le
Bélier, la Parole pourvue. Non pas la brebis, l’organisation, l’église,
vous voyez; non pas la femelle, l’église, mais le Mâle, le Bélier.
Amen. C’est pourquoi Il est né en avril.
139 Non pas en décembre, comme l’église romaine le
prétend, la fête du dieu-soleil, un 25 décembre, au temps du solstice,
et l’associant à la Sienne, si vous avez étudié l’histoire de l’église.
Et vous comprendrez qu’ils ont mis ça là… C’était la fête du
dieu-soleil, l’astre solaire, quand il ne bouge presque plus. Durant
cinq jours rien ne change, du 20 au 25 décembre. Ils ont fait de la
naissance du Fils de Dieu et de la fête du dieu-soleil une même fête,
compromettant le christianisme avec le paganisme. Il n’aurait pu naître
un 25 décembre, quand les montagnes de Judée sont recouvertes de neige.
140 Il est né comme tous les agneaux naissent. Il
est né au printemps. Et il devait naître sous le signe du Bélier, parce
qu’Il était un Bélier, et le signe du Bélier est en avril. Exactement.
Il naquit sous ce signe du Bélier. C’est ce qu’Il était. Il était le
Bélier de Dieu. C’est Lui sur la montagne qui prit la place d’Isaac.
Amen. Ne le voyez-vous pas?
141 Voici, démontré ici clairement, l’Épouse-Semence
royale ne sera pas appelée par la femelle église, par le sacrifice de
la dénomination brebis. Non, mais par Lui, la Parole manifestée du
Bélier, car Il est la Parole et le Bélier. Non pas appelée par son nom
à elle, mais appelée par Son nom à Lui, a-t-Il dit. Il se «choisirait
un peuple des nations», pas pour son nom à elle, mais «pour Son Nom à
Lui»; elle porterait Son Nom. Oh là là! De quoi avez-vous peur, alors?
Un peuple des nations porterait Son Nom, le Bélier; non pas son nom,
l’église, non pas elle, mais Lui. Alléluia!
142 La Semence royale verrait cela. Ne pouvez-vous
pas voir Malachie 4 en train de se réaliser? «Afin de ramener la foi
originale, la Parole de Dieu!» Je suis sûr que vous pouvez le voir.
Nous n’aurons pas à le rendre plus clair. Laissons partir cette
dénomination. Revenons à cette Parole. Et la voix du dernier jour, et
le signe du dernier jour, est pour ramener les gens à la foi originale,
comme Malachie 4 nous le dit, les ramener à la Parole.
143 Et Il était la Parole, non pas elle, Lui, amen,
le Nom du Seigneur Jésus, la Parole confirmée maintenant par la
promesse, la Parole qui est promise.
144 Saint Jean 14.12: «Les œuvres que Je fais, vous
les ferez aussi.» Malachie 4 dit la même chose. Aussi, Luc 17 nous dit
que dans les derniers jours, l’état du monde se présentera exactement
dans l’ordre, «comme il en était du temps de Sodome», et Dieu
descendrait, manifesté dans une chair humaine, et connaîtrait les
secrets des cœurs …?… Jésus a mentionné cette chose, qu’elle aurait
lieu «dans les jours où le Fils de l’homme serait révélé», à la fin du
monde.
Vous voyez, ce n’est pas l’église: «Joignez ceci,
joignez cela.»
145 C’est, venez à Lui! C’est ce que la semence
d’Abraham a obtenu là, le sacrifice offert. Plutôt que de sa semence
littérale, parlons de sa Semence spirituelle, amen, de Sa Semence
royale, la Semence-Reine? Amen. Oh, si vous pouviez seulement voir ça!
Rappelez-vous, qu’est-ce que c’est? — C’est la chair et l’Esprit
s’unifiant, devenant un.
146 Allez voir en Matthieu, chapitre 3. Ici était la
chair, le Fils de Dieu né d’une vierge, sortant de la ville pour aller
vers Jean le baptiseur.
147 Il le trouva là, debout dans l’eau. La Bible
dit: «La Parole du Seigneur vient toujours au prophète.» N’est-ce pas
vrai? Et Jean était un prophète. Ils n’avaient pas eu de prophète
depuis des centaines d’années.
148 Mais voici qu’il était là, un prophète, et il
prophétisait que Jésus allait venir. Il était allé dans le désert, et
disait avoir vu un signe. Dieu lui a dit que ce signe allait suivre ce
Messie, quand Il viendrait.» Il a dit: «Il se tient quelque part au
milieu de vous maintenant. Il en est un parmi vous, duquel je ne suis
pas digne de délier les souliers. Il sera manifesté l’un de ces jours.
Et quand cela se fera, alors il faudra que je diminue et qu’Il croisse.»
149 Il arriva qu’en levant les yeux il vit ce signe.
Il dit: «Le voici qui vient. Voici l’Agneau de Dieu qui prend le péché
du monde.»
150 Le vieux prédicateur baptiste, docteur Davis,
qui m’a baptisé dans la fraternité de l’église baptiste, a discuté de
cela avec moi une fois. Il a dit: «Tu sais ce qui est arrivé là, Billy?»
Et j’ai répondu: «Non, je ne sais pas, docteur.»
151 Il a dit: «Voici ce qui est arrivé. Jean n’avait
jamais été baptisé. Jean a baptisé Jésus, et ensuite Jésus a baptisé
Jean.»
J’ai dit: «J’en sais rien.»
152 Aussi j’ai continué à prier à ce sujet. Un soir,
dans une vision, voici ce qu’il en était. Voyez, Il n’a jamais, jamais,
Jésus n’a jamais baptisé Jean. Eh bien, quoi?
153 Il a dit: «C’est moi qui ai besoin d’être
baptisé par Toi. Pourquoi viens-Tu à moi?»
Jésus a dit: «Laisse faire maintenant.»
154 Surveillez leurs regards, de ces deux grands
hommes sur la terre; là se trouvait Dieu, ici se trouvait Son prophète,
et la Parole est venu au prophète. Si la Parole est dans une chair,
elle ira au prophète. Peu importe l’endroit, elle ira au prophète. Elle
se doit de le faire. C’est ce que dit la Bible. Il était la Parole. «Au
commencement était la Parole. Et la Parole a été faite chair et elle a
habité parmi nous.» Et ici est venue la Parole au prophète, au milieu
du fleuve, pour accomplir et confirmer sa prophétie. Amen. Voici qu’Il
était là, et leurs regards se sont rencontré. L’un le prophète, l’autre
la Parole.
155 Et lui, Jean, s’est humilié devant Lui. Il a
dit: «C’est moi qui ai besoin d’être baptisé par Toi, et Tu viens à
moi?»
156 Il a dit: «Laisse faire maintenant, car il est
convenable que nous accomplissions tout ce qui est juste.»
157 Jean, étant prophète et connaissant cette Parole
(car la Parole est venue à lui), savait que c’était le Sacrifice. Et
selon la loi, le sacrifice devait être lavé avant d’être présenté.
C’est exact. Il baptisa Jésus parce qu’Il était le Sacrifice attendu.
Avant de passer à Sa vie publique, Il devait être baptisé, parce que le
Sacrifice doit être lavé avant d’être présenté. Amen. Il Le baptisa.
158 Et dès qu’il L’eût baptisé, Il sortit de l’eau.
Il regarda et vit l’Esprit de Dieu, comme une colombe, et une voix en
fit entendre ces paroles: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, en qui J’ai
mis toute Mon affection.» Dieu et l’homme devenus un.
159 Adam et Ève étaient un, au commencement. Et
quand ils les ont séparés, elle tomba, en rapport à la Parole. Elle
manqua à la Parole. Elle tomba.
160 Chaque âge de l’église est tombé de la même
manière, pour avoir mal interprété la Parole. Laissant l’interprète, ce
Satan qui l’avait interprétée à Ève, «Oh, cela ne pourrait certainement
pas être vrai. Ceci, certainement, celles-ci, certainement, ne peuvent
être vraies. Ceci ne peut… Oh oui! je sais, certainement…»
161 Mais si Dieu l’a dit, ça ne peut être que vrai.
Il n’y a pas de «certainement» à cela. Vous devez naître de nouveau.
Vous devez recevoir le Saint-Esprit. C’est cela ou vous périrez!
162 Et ici Il est descendu, Jésus et Dieu sont
devenus un. Ils se sont unis.
163 Comme en Éden, où Adam et Ève étaient au
commencement le même esprit. Leurs noms étaient Adam. Voyez? Il était à
la fois Adam et Ève, ensemble. Et une fois séparés, pour être éprouvés,
qu’est-il arrivé? Ève tomba, quant à la Parole. C’était la Parole. Adam
l’a suivie, afin de la racheter, mais il ne le pouvait pas. Il n’en
était pas digne.
164 Ensuite est venu le second Adam, pour racheter
l’Église, qui représentait l’ombre et le type.
165 Maintenant, aussi certain qu’Adam et Ève
devaient être le même esprit, Christ et l’Église doivent être le même
Esprit, le même ministère. «Les choses que Je fais, vous les ferez
aussi.» Vous voyez ce que je veux dire? Ils doivent s’unir ensemble. La
chair et le sang et Dieu devaient s’unir ensemble et être un seul
Esprit. Et Jésus-Christ et Son Église sont un seul Esprit. Comment
l’église peut-elle nier la création, comment l’église peut-elle nier
cette chose que Christ leur a demandé de faire, comment pouvons-nous
renier cela et aller ensuite dire que nous sommes de Christ? «Si vous
demeurez en Moi, et Mes Paroles en vous, demandez ce que vous voudrez
et cette chose vous sera accordée. Je suis le Cep, vous êtes les
sarments, et la Vie qui est dans la vigne va dans le sarment pour
porter le fruit.» Des porteurs de fruits!
166 «Et toute branche qui ne porte pas de bon fruit
est retranchée.» C’est ce qu’ont fait les organisations, elles l’ont
brisée, ont mélangé la Parole, et sont parties comme ça. L’une commence
de cette façon-ci, et l’autre de cette façon-là, et la première chose
que l’on sait, c’est qu’un tout petit groupe de Rickies y entrent et y
émettent leur idée, et, la première chose que vous savez, ça devient
une tour de Babel. Il les émonde tout simplement. Jamais une
organisation ne s’est relevée, elle s’est toujours écroulée. Chacune
d’entre elles est tombée, pour ne plus réapparaître. […]
167 …. Remarquez bien en ceci maintenant, ils
doivent devenir un. Jésus a dit: «La Vie qui est en Lui sera dans Son
Église.» Et ici se trouve exactement ce qu’Il a promis dans les
derniers jours, que la Vie qui était en Christ sera manifestée dans les
jours où le monde se trouvera dans une condition sodomite, comme ça
l’est aujourd’hui. Ne peux-tu pas voir, frère, sœur?
168 Quel bien cela apporte-t-il de se joindre à
l’église si Christ n’est pas dans votre vie, si Christ ne s’identifie
pas Lui-même dans votre vie? Vous voyez, c’est ça. «Ces signes
accompagneront ceux qui croient.» C’est ce qu’Il a dit. Comment
pouvez-vous le prétendre, s’ils n’y sont pas, comment pouvez-vous
déclarer être de Christ?
169 Vous dites: «Frère Branham, comment pensez-vous
être capable de faire accepter cela aux gens, en ce jour intellectuel,
quand tout est une dénomination?»
170 Je demandais à une femme il y a quelque temps:
«Êtes-vous chrétienne?» Nous étions dans un hôpital. Elle m’a répondu:
«Sachez bien que tous les soirs je fais brûler un cierge.» Comme si
cela avait rapport au christianisme.
171 Je suis allé prier pour une autre femme, et une
autre dame était couchée là, malade, elle et son fils. Je suis entré
dans la chambre. J’ai dit: «Madame, je connais votre nom. Vous êtes Mme
Oliver.»
172 Elle a dit: «Oui, frère Branham.» Elle a dit:
«Je suis très malade, frère Branham. Le docteur ignore tout de mon cas.
Prieriez-vous? C’est pour ça que je vous ai appelé.»
173 J’ai dit: «Certainement, sœur Oliver.» J’ai dit:
«Si vous voulez pencher la tête?»
Elle a dit: «Un instant, tirez ce rideau.»
174 Et j’ai repris: «Eh bien, très bien, je ne vais
que prier. Êtes-vous chrétienne?»
Elle m’a répondu: «Nous sommes méthodistes.»
175 «Eh bien, ce n’est pas ce que je vous ai
demandé. Je vous ai demandé si vous étiez chrétienne.»
Elle a dit: «Tirez ce rideau.»
176 Voyez, c’est à ce point étroit. Comment une
personne pourrait-elle jamais trouver le chemin? Ce sont l’obscurité et
la noirceur, les différences confessionnelles qui les retranchent des
bénédictions de Dieu. Cela existe dans toutes les dénominations. C’est
exact. Frère, n’allez pas chez la femelle, prenez le Mâle. Ne prenez
pas son nom à elle, prenez le Sien, voyez, prenez Son Nom.
177 Vous dites: «Frère Branham, comment allez-vous
faire comprendre cela aujourd’hui? Comment allez-vous réussir cela?»
178 Il a fait la promesse qu’Il le ferait. Il a dit:
«Ne crains point, petit troupeau, car c’est la volonté de votre Père de
vous donner le Royaume.»
«Comment va-t-Il le faire?»
179 Il est toujours ce Jéhovah-Jiré. Il est toujours
ce Jéhovah-Jiré. Dieu se pourvoira pour Lui-même une Église. «Il est
capable de ces pierres de susciter des enfants à Abraham.» Il est
certainement Jéhovah-Jiré.
Vous dites: «Est-ce que ça va marcher?» C’est
certain, Dieu l’a dit.
«Pensez-vous jamais pouvoir y arriver?»
180 Moi je ne le peux pas, mais Lui le peut. Ma
responsabilité n’est pas de le faire arriver. Ma responsabilité est de
le prêcher. C’est à Lui de le confirmer. C’est Lui. Si je prends
position pour la vérité, Il y sera. Il l’a prouvé, et Il le prouvera
encore.
Vous dites: «C’est terriblement sombre.»
181 Oui, je le sais. Et tous les ecclésiastiques
s’en vont dans cette imposante organisation, pour être égorger.
Alors, quelle sera votre position là-dedans?
182 Ça me rappelle une petite histoire. Je vais vous
la raconter avant de terminer. À Carlsbad, au Nouveau Mexique, ils ont
là des cavernes. Ils descendent jusqu’à un kilomètre et demi dans la
terre. J’ai jamais aimé ça. Ils me font toujours penser à des taupes.
On descend là-dedans et ça devient aussi sombre que la nuit dans le
fond. Et il y avait là une fillette, oh, probablement comme la petite
là-bas, et son petit frère de cet autre côté, accompagnés d’un guide
qui les y emmenait. Ils étaient donc là dans ce lieu sombre, et il y
avait de la lumière, toutes les lumières étaient allumées.
183 Le guide s’est glissé près de l’interrupteur… le
petit garçon l’accompagnait, suivait le guide. Donc le guide a saisi
l’interrupteur et a fermé les lumières. Oh là! parlez-moi d’une
obscurité! À plus d’un kilomètre dans la terre, vous savez, c’est si
sombre que vous ne pourriez pas même y voir votre main.
184 Et cette petite fille criait avec tout ce qu’il
y avait en elle. Elle s’est mise à sauter et à crier, crier aussi fort
que…
185 Et par-dessus tous ces cris, son petit frère lui
a dit: «Ohé, petite sœur! Ohé, petite sœur!»
Elle a répondu: «Qu’est-ce que tu veux, petit frère.»
186 Il a répondu: «N’aie pas peur. Il y a un homme
ici qui peut allumer les lumières.»
187 Il y a un Homme ici qui peut allumer les
lumières. Il est Jéhovah-Jiré. Voyez? Il y a un Homme ici, qui est au
milieu de nous, ce soir, le Saint-Esprit. Il peut allumer les lumières.
Il est la Parole, un Homme ici qui peut allumer les lumières. Je ne
sais pas comment Il va le faire. Ça ne me regarde pas, mais Lui sait
comment les allumer. Il en a fait la promesse. Il l’a faite quand
Abraham tenait son couteau au-dessus de la gorge de son fils. Il a
allumé la lumière. Oui. Il peut encore allumer la lumière ce soir.
188 Courbons nos têtes un instant. Que Dieu vous
vienne en aide, qu’Il lèvera le petit interrupteur dans votre cœur.
189 Mes amis, cette semaine vous avez vu le grand
Saint-Esprit parmi nous. Il n’y a aucun doute là-dessus. Mais, oh,
allumons cette petite Lumière, ce soir. Ne manquez pas ça, frère, sœur.
Je pense que ce simple petit chapitre sur Abraham a prouvé, en le
reliant de la Genèse à l’Apocalypse, a prouvé l’heure en laquelle nous
vivons. Christ est rejeté dans notre nation de nouveau; des
tremblements de terre un peu partout; Sodome et Gomorrhe; l’église dans
sa condition, formant exactement l’image de la bête. Toutes ces choses
se passent, comme la Bible le dit, et vous, vous le savez. Voyez?
Maintenant, sans cette grande expérience avec Christ, si la Vie de
Christ vient en vous…
190 Là, regardez-vous vous-même dans le miroir de
Dieu, et voyez si vous pouvez vous identifier, ce soir. Si vous aviez
vécu du temps de Noé, du temps du déluge, de quel côté auriez-vous été?
Si vous aviez vécu du temps de Moïse, de quel côté auriez-vous été? Si
vous aviez vécu du temps du Christ, quand toutes les églises étaient
contre Lui? Il a dû se tenir seul, dans les choses qu’Il a faites. La
seule chose, Dieu était avec Lui, c’est la chose essentielle. Même Ses
disciples, pour la plupart, se sont retirés de Lui. Mais de quel côté,
dans votre état actuel, où seriez-vous, de quel côté seriez-vous? De
quel côté êtes-vous à l’heure qu’il est, quand vous Le voyez de nouveau
au milieu de nous?
191 Il est maintenant ici, et Il peut allumer la
Lumière dans votre cœur, et remplir votre vie du Saint-Esprit. Combien
ici, en ce moment, avec vos têtes inclinées, et vos cœurs aussi,
prieraient avec moi un instant?
192 Maintenant, Père Céleste, nous savons que Tu ne
viens jamais pour montrer que Tu peux le faire. Tu le fais dans un but.
Et, Seigneur, cette semaine, j’ai senti la nécessité d’attendre jusqu’à
maintenant, jusqu’à cette heure, pour qu’ils voient d’abord la Parole
se confirmer. Il n’y a aucune raison d’en douter en ce moment. Et cet
unique personnage, Abraham, quand tous les personnages de la Bible y
sont rattachés, et nous voyons maintenant où nous nous trouvons dans
l’histoire.
193 Père, avec mes mots entrecoupés, mais c’est le
mieux que je peux faire, je prie maintenant que le grand Saint-Esprit
qui est ici, qui connaît le secret de chaque cœur, parlera maintenant à
ce cœur. Accorde-le, Seigneur. Parle à ceux qui n’iraient pas, si Tu
venais ce soir, si la porte se fermait ce soir, s’ils mouraient en
revenant à la maison, ou s’ils étaient happés par une voiture et tués,
ou trouvés morts dans leur lit au petit matin, ils ne seraient pas
sauvés. Ô mon Dieu, ne permets à personne de partir de cette manière.
194 S’ils ont seulement joint une église, Seigneur,
puissent-ils ne pas être honteux de sortir du rang et de demander à
Dieu de les remplir de Son Esprit, pour que Sa Vie vienne en eux. S’ils
n’ont pas été capables de comprendre ces choses, même les disciples
n’ont pas compris, mais ils s’y sont accrochés jusqu’à ce que le
Saint-Esprit se déverse; après cela ils ont compris ces choses et ont
écrit la Bible. Je prie, Père, que Tu parleras à chaque cœur et que Tu
leur feras connaître que cet Homme qui peut allumer la Lumière se tient
tout juste à la porte de leur cœur.
195 Avec nos têtes inclinées maintenant, combien ici
seraient des plus honnêtes, et diraient: «Frère Branham, je sais que je
ne suis pas en ordre avec Dieu»? Je veux que vous leviez votre main.
Gardez vos têtes baissées, chacun de vous, mais levez votre main. «Je
ne suis pas en ordre avec Dieu.» Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous
bénisse. Oui. «Je sais ne pas être en ordre avec Dieu.»
196 Voyez, ce que j’essaie de faire, c’est de
trouver grâce aux yeux de Dieu, en vue de ce grand service de guérison
de demain. Si seulement je peux obtenir Sa faveur, je crois que Dieu
guérira toute maladie, si seulement j’emmène les gens à croire.
197 Sans le baptême du Saint-Esprit, et vous savez
qu’il s’agit là de l’Huile, si vous n’avez pas l’Huile dans votre
lampe, vous n’irez pas.
198 Et avez-vous déjà entendu parler d’un
temps pareil, rapporté dans les journaux, où les presbytériens, les
luthériens… Lisez le magazine des Hommes d’Affaires Chrétiens.
Luthériens, presbytériens, même catholiques, par centaines, recherchent
le baptême du Saint-Esprit. Et puis je me demande si ces Hommes
d’Affaires du Plein Évangile comprennent qu’ils ne Le recevront pas?
199 La Bible dit, quand elles sont venues:
«Donnez-nous de votre huile.» Les vierges folles ont réalisé qu’elles
avaient eu tout ce temps pour se procurer de l’huile, mais qu’elles ne
l’avaient pas fait. Aussi, quand l’Époux fut sur le point de revenir,
elles ont dit: «Donnez-nous de votre huile.» Les autres ont répondu:
«Nous en avons juste assez pour nous. Allez en acheter de ceux qui en
vendent.» Et pendant qu’elles étaient sorties, l’Époux est venu, et
l’Épouse est partie avec Lui. «Et elles ont été jetées dans les
ténèbres du dehors» pour se réveiller et réaliser que l’Enlèvement
avait eu lieu. «Et elles ont été laissées où il y aura des pleurs et
des gémissements», la période de tribulations, «et des grincements de
dents.»
200 Frère, sœur, ce soir, mon ami, si vous n’avez
pas le Saint-Esprit, ou si vous n’êtes pas suffisamment convaincu qu’il
vous faut L’avoir, lèveriez-vous la main, en disant: «Priez pour moi,
frère Branham. Je crois que nous sommes dans la présence de Dieu. Priez
pour moi. Je n’ai pas reçu le Saint-Esprit.» Que Dieu vous bénisse.
Voyez toutes ces mains, partout. Le désirez-vous, alors?
201 Maintenant je sais, je m’adresse à vous,
méthodistes, baptistes et les autres, que tout message est suivi de
beaucoup de fanatisme.
202 Vous, les luthériens, je viens tout juste de
lire l’histoire de Martin Luther, l’un des livres qu’on a écrit sur
lui, ici, il n’y a pas longtemps. Ils ont dit: «Ce n’est pas que Martin
Luther ait pu contester l’église catholique et s’en tirer à bon compte
qui est inexplicable, mais d’avoir gardé la tête au-dessus de tout le
fanatisme qui a suivi son réveil.»
203 Et il y a une multitude de gens de toute espèce
qui suit chaque réveil. Vous savez cela. Mais maintenant,
rappelez-vous, ça ne fait qu’indiquer qu’il y en a un vrai. Quand vous
voyez un faux dollar, ou quand quelqu’un agit comme s’il avait quelque
chose, rappelez-vous qu’il y en a un authentique. S’il n’est pas le
faux, il est l’original. Voyez? Donc vous savez que s’il n’est pas
l’original, il se doit d’y en avoir un.
204 Et cet original est le vrai Jésus-Christ, Celui
qui est ici, qui connaît chaque secret de votre cœur à l’instant où
l’on se parle. Et je vais vous demander quelque chose, si vous L’avez
vu et avez entendu ces témoignages de guérison de tous genres et le
secret des cœurs des gens qui ont été connus durant toute la semaine.
C’est Lui qui vous parle. C’est Lui. Je me demande si vous croyez qu’en
priant pour vous cela vous aiderait?
205 Rappelez-vous, le Saint-Esprit était donné par
imposition des mains. Pierre, après le passage de Philippe en Samarie,
et après les avoir tous baptisés dans le Nom de Jésus-Christ,
cependant, Pierre est venu leur imposer les mains, et le Saint-Esprit
est descendu sur eux. Voyez?
206 Maintenant, si vous croyez en cela, je me
demande si vous ne vous approcheriez pas, ceux qui ne sont pas sauvés,
ou qui n’ont pas le Saint-Esprit, en restant debout ici un instant, et
je prierai pour vous. Si vous descendez par les allées, peu importe où
vous êtes, tenez-vous debout ici. Venez jusqu’ici et laissez-moi prier
pour vous un moment. Que Dieu vous bénisse.
207 Chantons tous ensemble maintenant. Presque
persuadé, s’il vous plaît, sœur Downey. Bien.
208 Ne viendriez-vous pas ici, mes frères? Que Dieu
vous bénisse, mon frère. Restez tous tranquilles maintenant, dans la
prière. Ceci pourrait être le moment crucial, ceci pourrait faire la
différence entre la mort et la Vie, pour beaucoup, beaucoup de gens.
209 Étiez-vous tous ici cette semaine? Avez-vous vu
le Saint-Esprit, ce qu’Il a fait cette semaine au milieu de nous?
Presque persuadé, maintenant de croire;
Presque persuadé, de recevoir Christ;
Il sembre en ce moment qu’une âme dise:
Va, Esprit, va Ton chemin;
Un autre jour peut-être, quand j’aurai besoin.
210 Ne viendriez-vous pas, ceux qui sont sans Dieu,
sans le Saint-Esprit? Êtes-vous de ceux qui disent: «J’appartiens à
l’église, frère Branham»? Il ne s’agit pas de cela. Je veux dire,
êtes-vous rempli de l’Esprit de Dieu?
Vous ne trouverez jamais un autre jour plus
convenable qu’aujourd’hui, quand Jésus-Christ est identifié parmi nous.
211 Et si vous mourriez avant le lever du jour? Là
vous ne pourriez pas appeler. Ne viendriez-vous pas tandis qu’Il
appelle? Oui, c’est cela, continuez à vous avancer.
Presque persuadé, viens, viens maintenant;
Presque persuadé , ne t’en retourne pas;
Jésus vous invite, les anges sont tout autour;
Les prières s’élèvent du fond des cœurs;
Oh, vagabond, viens!
212 Ne viendriez-vous pas maintenant? Quelque chose
en mon cœur me dit qu’il y a quelqu’un qui résiste. Ne faites pas ça,
frère, non!
213 Écoutez, mes amis. Vous croyez que le
Saint-Esprit, cette semaine, a prouvé qu’Il parle ici? Laissez-moi voir
vos mains. Il devrait y en avoir beaucoup plus, ou plus. J’ai cette
impression. Voyez. Il y a encore quelque chose qui ne va pas. Vous
feriez mieux de venir.
214 Sachez bien que je ne peux vous forcer à venir
contre votre propre gré. Mais je crois que ce pourrait être le temps,
que tout ce que vous anticipiez est peut-être sur le point d’arriver.
Et ce pourrait être, je ne l’espère pas, mais ce pourrait être la
dernière fois qu’Il vous appelle. Souvenez-vous, Il ne contestera pas
toujours. Il appellera, puis s’en ira, pour ne plus revenir.
215 Pourquoi ne venez-vous pas tout de suite? Ne
viendrez-vous pas ici et vous présenter vous-même devant Dieu? Dites:
«Je viens prendre position. Je suivrai la voie. Je n’ai pas honte.
J’appartiens à l’église, mais je veux que tout le monde sache que je
suis prêt à recevoir Christ dans mon cœur, le Saint-Esprit. Je viens à
l’instant. Je suis prêt à me corriger, à être un vrai chrétien, une
vraie dame, un vrai homme.» Ne viendrez-vous pas? On va simplement
attendre. Venez directement ici, prendre place.
216 Ami, je peux ne plus jamais vous revoir de ce
côté-ci du temps, mais si cela arrivait, souvenez-vous, je serai
innocent, et Christ aussi. Il s’est identifié Lui-même avec vous. Vous
Le verrez faire la même chose dans quelques minutes. D’accord.
Maintenant, venez, prenez place.
217 «Frère Branham, vous me jugez.» Non, je ne vous
juge pas.
218 Je juge cette impression qui est en moi, voyez.
Il y a quelque chose ici qui dit: «Il y en a encore. Il y en a encore
beaucoup plus.» Voyez?
219 Maintenant vous dites: «Eh bien, j’ai joint
l’église, frère Branham. Je suis pentecôtiste.» C’est pas ça, mon ami,
c’est pas ce que je demande, pas du tout.
Je demande: «Avez-vous reçu la Vie de Christ?»
220 Et vous répondez: «Frère Branham, j’ai parlé en
langue.» C’est très bien, mais il ne s’agit toujours pas de cela.
221 Vous répondez: «Frère Branham, je n’ai jamais
blessé personne.» Ce n’est toujours pas ce que je demande.
La Vie de Christ est-elle en vous?
222 Ne prenez pas le risque, ami, ne le faites
surtout pas. Ce sera quand la mort vous frappera. Ce sera trop tard à
ce moment-là. Ne faites pas ça. Je vous prie, ne faites pas ça.
223 Il sont nombreux ici maintenant; je devrai faire
de la place pour quelques autres. Je vais prier pour ceux-ci, et
ensuite nous pourrons entrer, se faire là une place pour pouvoir venir
leur imposer les mains, recevoir le Saint-Esprit. Et puis nous allons
prier tout de suite pour ceux-ci.
Courbons la tête juste un moment.
224 Notre Père Céleste, voici ceux-ci, avec leurs
têtes inclinées, qui sont des hommes et des femmes, ils sont
d’éternité. Ils devront y aller, nous savons ces choses. Et nous voyons
les tremblements de terre, et le monde et sa condition. Et voyons
Christ venir à nous et faire les choses qu’Il fait, et voyons le
Message, la Parole sortir directement, et puis Le voir l’appuyer et le
confirmer comme étant la vérité, connaissant chaque secret du cœur. Et
ces gens se sont approchés pour prendre position. Ils n’auraient pas pu
le faire de leur propre gré. Ils sont venus parce qu’ils ont senti la
nécessité de venir.
225 Et, Père, j’offre pour eux ici des
supplications. Pas seulement pour leur salut, pour être sauvés, mais
pour qu’ils soient remplis du Saint-Esprit. Accorde-le, Seigneur. Que
chacun de ceux qui sont ici soient remplis de l’Esprit, et que d’ici
sorte un réveil à travers le pays, qui en secouera cette communauté et
tout le pays. Accorde-le, Seigneur.
Et que toute église, et les méthodistes, les
baptistes, les presbytériens, l’église de Christ, les luthériens, quoi
qu’ils puissent être, ait son réveil, Seigneur, de ces personnes
revenant avec le réel Saint-Esprit qui manifeste Dieu dans leurs vies.
Accorde-le, Père. Ils T’appartiennent maintenant, et je Te les offre.
Maintenant, nous allons les prendre et leur imposer les mains,
Seigneur, afin qu’ils reçoivent le Saint-Esprit. Dans le Nom de Jésus.