Le Chef-d’œuvre
1 Courbons la tête, maintenant, pour prier. Pendant
que nous avons la tête et le cœur inclinés devant Dieu, je–je me
demande combien de personnes ici auraient une requête dont ils
aimeraient que Dieu se souvienne, en levant simplement la main?
Maintenant, gardez votre requête dans votre cœur, là, pendant que nous
prions.
2 Seigneur Jésus, Toi qui es la–la Source, la Source
inépuisable de la Vie, coule en nous aujourd’hui, Seigneur, et
purifie-nous de toute incrédulité et de tout péché, pour que nous
puissions nous tenir dans Ta Présence maintenant, en sachant qu’il y a
des besoins parmi nous; en effet, nous savons que nous sommes des
pécheurs et que nous ne–ne sommes dignes d’aucune bénédiction, mais,
quand nous pensons à Celui qui est venu et qui a pris nos péchés!
Alors, quand Son Sang est là, ce n’est pas–ce n’est pas nous qui sommes
dans la Présence de Dieu, c’est Lui. C’est seulement notre voix à
travers Son Sang. C’est Son Sang qui parle. Ô Dieu, alors purifie nos
cœurs du péché et de l’incrédulité.
3 Donne-nous ce que notre cœur désire, car vraiment,
ce que nous désirons, c’est Te servir. Dans cet état de faiblesse et
d’affliction, et alors que, parfois, les choses de ce monde nous sont
infligées, pour nous perfectionner; c’est ce qu’il nous a été dit.
Alors, Il a dit: “Ne soyez pas surpris que ces épreuves arrivent.”
Elles ne font que concourir à notre bien et servir à nous
perfectionner, et à nous amener à ce point-là. Ces grands déserts de
l’expérience, où des hommes justes sont façonnés pour devenir des
saints, nous–nous Te remercions pour ces expériences-là, Seigneur. Nous
ne voudrions absolument pas, en aucun cas, faire quoi que ce soit qui
soit contraire à Ta volonté. Mais nous prions, Père, que ces choses
servent à nous rapprocher de Toi.
4 Et quand les fardeaux sont tellement lourds que
nous ne pouvons plus avancer, alors nous levons les mains et nous
élevons des cris vers notre Père. Alors exauce-nous du Ciel, Père.
Guéris-nous, donne-nous une bonne santé, dans
l’intérêt du Royaume de Dieu.
Bénis Ta Parole ce matin, Seigneur. Ta Parole est la
Vérité.
5 Maintenant nous nous sommes assemblés ici, à
l’église. Nous prions pour Frère Neville, et pour Frère Capps, et Frère
Collins, et tous les autres prédicateurs, et les–et les
administrateurs, les diacres, et tous les laïques, et les nouveaux
venus parmi nous. Que ce jour en soit un dont nous nous souviendrons
longtemps, à cause de Ta Présence.
6 Nous nous attendons à de grandes choses ici ce
matin, Seigneur. Nous avons annoncé à la dernière minute qu’il y aurait
réunion. Nous avons le sentiment qu’il y a un but à accomplir. Que Ton
but soit atteint, Seigneur. Car nous le demandons au Nom de Jésus,
alors que nous nous soumettons à Toi. Amen.
7 C’est formidable d’être ici et d’être réuni avec
cette église pleine de gens. Je m’attendais à ce qu’il n’y ait
pratiquement personne ici ce matin, vu que c’est tout juste si je le
savais moi-même, que je serais ici.
8 Nous arrivons de Philadelphie. Et alors, je suis
rentré avec l’idée qu’il me faudrait repartir tout de suite pour
l’Arizona, pour procéder aux funérailles d’un ami à moi, le capitaine
Jim Moseley, un très cher garçon rempli de piété, que j’ai conduit à
Christ il n’y a pas longtemps, les trois frères Moseley. L’un d’eux
s’est écrasé en avion l’autre jour, et il a été tué sur le coup. Il est
resté dix heures dans les flammes, avant qu’on puisse arriver jusqu’à
lui. Donc, Lee a vingt-huit ans, son épouse en a vingt-six, et–et il
laisse trois jeunes enfants; le plus âgé a sept ans. Très attristant.
Et ils... Quand ils l’ont ramené, alors ils ont été obligés de
l’enterrer le lendemain. Donc, j’ai juste... Je n’ai pas pu y aller.
J’ai juste noté par écrit, ou envoyé par télégramme, ce que je me
proposais de dire, ou ce que j’aurais dit aux funérailles de Frère
Moseley. Il y a de ces choses que nous n’arrivons pas à comprendre,
mais Il fait quand même tout concourir pour le bien.
9 Nous sommes ici, au service du Seigneur ce matin,
en sachant que–que–que nous croyons Dieu, que nous croyons qu’Il
arrangera les choses pour le mieux. Peu importe de quoi il peut s’agir,
et de la tournure que prennent les choses, nous savons qu’elles doivent
“concourir au bien”. Il l’a promis. Ça ne peut pas être autrement.
Parfois, nous n’arrivons pas à le comprendre, il y a des moments où les
choses se compliquent pas mal, mais pourtant, nous savons que c’est la
Vérité, parce que la Bible dit que c’est la Vérité. Et la Bible, pour
nous, c’est Dieu sous forme écrite.
10 Or, nous devons trouver un endroit où faire
reposer notre foi. Et si–si moi ou n’importe lequel d’entre nous, dans
la vie, nous cherchions à réussir dans la vie, et que nous devenions
bien des fois multimillionnaires, mais qu’est-ce que nous allons faire
avec ça? Il nous faudra arriver au bout du chemin, et à quoi–à quoi
est-ce que ça va nous servir à ce moment-là? Voyez? Et l’argent, c’est
un titre provisoire, c’est un moyen d’échange, mais on ne peut pas
l’échanger contre la Vie. Dieu seul possède la Vie.
11 Il Alors, nous–nous sommes conscients que nous
sommes ici sous forme de négatif. Et du moment qu’il y a un négatif, il
faut qu’il y ait un positif. Il ne peut pas y avoir de négatif sans
qu’il y ait un positif, voyez-vous, parce que c’est le positif qui
produit le négatif. Disons que vous ayez un négatif d’un objet. Il faut
qu’il y ait un objet quelque part, ou, pour frapper, pour que la
lumière frappe l’objectif, sinon il n’y aurait pas de–de négatif. Donc,
quand nous voyons que notre vie d’ici est sous forme de négatif, et que
nous savons que nous sommes à l’image d’une vie qui existe quelque
part, alors nous savons qu’il y a un positif quelque part que la
lumière a frappé, ce qui a produit le reflet qu’il y a ici sur la
terre. Et nous ne sommes que ce reflet-là. L’objet véritable est
quelque part. Si ce n’est pas le cas, je suis l’homme le plus séduit du
monde; j’ai consacré ma vie à une cause vaine. Mais je sais, sans
l’ombre d’un doute, que c’est là. Voyez? Voilà pourquoi nous sommes
ici. Voyez?
12 De vous voir venir de l’autre bout du pays, alors
que vous avez été prévenus à la dernière minute, et parfois en
présumant, alors je me sens vraiment petit, quand je me présente à une
réunion comme celle-ci; de penser qu’il y a des gens ici dont je sais
qu’ils ont fait des centaines de milles de route, rien que pour être
ici pendant quelques minutes de réunion, rien que pour s’asseoir ici.
13 Dernièrement, une femme a fait une remarque, elle
est venue l’autre jour et elle a dit: “Montrez-moi où cet homme a
marché, je marcherai derrière lui, sur le sol,” elle a dit, “et je
serai guérie.” Alors, avec les gens qui ont ce genre de foi là en vous,
et vous êtes un représentant de Christ, alors qu’est-ce que nous
devrions faire? Nous devrions faire très attention, parce que ce n’est
pas seulement vous que vous détruisez par l’erreur, vous détruisez les
autres qui vous suivent.
14 Donc, je ne connais aucune dénomination ni rien
vers quoi vous diriger. Il n’y a qu’une chose dans laquelle je mets ma
foi. Si vous me croyez, suivez ce que je vous dis, parce que je crois
la Bible, c’est la Parole de Dieu. Les autres choses faillissent. Je
suis seulement... Il est la Vie. Il est la Parole.
15 Bon, je sais que vous... Quand je suis ici, je
vous retiens longtemps. J’ai prié Dieu, quand j’ai eu à cœur de venir
aujourd’hui. J’ai eu tellement d’entretiens et d’appels, et tout! Il a
fallu que je m’occupe de quelques-uns d’entre eux ce matin. Et je me
suis dit: “Eh bien, sans doute que Frère Neville va me demander de
prêcher.” Ça, c’était vendredi. Je me suis dit: “Frère Neville va
probablement me demander de prêcher. Et à ce moment-là, alors je prie
Dieu...” Il fait tellement chaud, il a fait tellement chaud. Et Il a
été bon, Il nous a envoyé de la pluie pour atténuer cette chaleur
vraiment extrême, et Il nous a donné une belle matinée ce matin. Je
prie que Sa bonté descende comme une pluie sur chacun de vous, que vous
vous souveniez toujours de votre présence ici ce matin. Que Sa grâce et
Ses bénédictions soient sur vous!
16 Hier soir, je suis allé voir un ami malade, Frère
Bill Dauch. Je ne le vois pas ici ce matin. Pour une raison ou pour une
autre, je ne le vois pas. Oh, le voici. Il... Oui. Je me disais: “Un
vieillard de quatre-vingt-onze ans, et il se déplace encore comme un
ouragan, partout dans le–le pays, par les déserts, et les montagnes
enneigées, et sur les routes glissantes. Il n’est pas obligé de faire
ça. Dieu a été bon pour lui; il n’est pas obligé de faire ça. Il
pourrait rester assis chez lui avec des serviteurs pour l’éventer, s’il
le voulait.” Mais il est arrivé quelque chose à Bill Dauch, il est né
de nouveau. Et à ce moment-là, quelque chose est entré dans son cœur
qui fait que sa seule raison de vivre, c’est d’assister à ces réunions.
Alors, si je dois être la bouche de Dieu, est-ce que je tromperais un
ami? J’aimerais mieux mourir. Alors, que je lui dise l’exacte Vérité
qui sort de cette Bible. Alors, c’est la Parole de Dieu. Je ne fais que
répéter ce qu’Il a dit.
Maintenant, je voudrais lire dans la Bible.
17 Avant que nous lisions, j’aimerais–j’aimerais
dire que ce soir, je crois, c’est le soir de la communion. Alors ceux
d’entre vous qui sont d’ici... Naturellement, les autres gens vont
probablement retourner chacun chez soi, parce qu’ils doivent aller
travailler. Ceux d’entre vous qui sont d’ici, de l’assemblée,
souvenez-vous, les frères vont servir la communion ce soir.
18 Maintenant, j’attends le dernier appel pour
partir en Afrique. Ils ne voulaient, ne veulent pas me laisser entrer
comme missionnaire. Alors, le seul moyen pour moi d’entrer, là-bas...
Je vais au Kenya, en Ouganda, et–et au Tanganyika. Et le seul moyen
pour moi d’entrer... D’abord, les églises ne veulent pas nous laisser
entrer, parce qu’elles veulent que je prêche quelque chose pour appuyer
ceci, et pour appuyer cela, là-bas en Afrique. Et je ne veux pas y
aller dans ces conditions-là. Je ne serais pas assez hypocrite pour
faire une chose pareille. Alors, ou bien je leur dis: “Non, monsieur,
je prêcherai seulement ce que Dieu me mettra à cœur, un point, c’est
tout.” Voyez? Et je suis sûr que ce ne sera pas l’enseignement qu’eux
veulent que je donne. Donc, les baptêmes trinitaires, et ainsi de
suite, comme ça, et d’argumenter avec eux. Non.
19 Mais j’ai reçu de Frère Boze une invitation à une
grande convention. Il est sur le point de voir clair sur ce que nous
croyons. Et alors, j’ai demandé à entrer comme si j’y allais pour un
voyage de chasse. S’ils me laissent entrer, comme si j’y allais à la
chasse... Si je peux trouver quelqu’un qui dise qu’il m’emmènera à la
chasse, à ce moment-là, quand j’arriverai là-bas, le médecin–le médecin
qui est à l’ambassade est un ami personnel à moi, de Chicago. Et dès
que j’arriverai là-bas, il dira: “Eh bien, voici Frère Branham, il est
ici. Faisons une réunion.” Alors, une fois que je suis là, l’ambassade
ne peut pas me refuser. S’ils... Alors, ils sont en train d’essayer
d’arranger ça. Alors, j’ai confiance que ça... Si c’est la volonté de
Dieu, ça va fonctionner comme ça. Voyez? C’est–c’est simplement entre
Ses mains. Sinon, alors je vous le ferai savoir. Je ne...
20 Si c’est la volonté de Dieu, alors, je voudrais
prêcher sur les Sept Trompettes. Et ce sera une série de réunions
d’environ huit jours, et on ne se réunira pas ici au Tabernacle,
peut-être. On va essayer d’avoir une salle, ici.
21 Maintenant, je n’y avais jamais pensé, cette
nouvelle salle qu’ils viennent de construire ici se trouve à l’endroit
précis où j’ai vu Jésus pour la première fois en vision. Maintenant
elle est construite, la salle a été construite exactement au même
endroit; je suis allé là-bas l’autre jour pour voir ça. Quand j’ai
regardé et que je L’ai vu qui regardait en direction de l’est, vous
vous souvenez m’avoir entendu raconter ça, c’est quand j’étais là en
train de prier pour mon père; un–un jeune homme, tout jeune
prédicateur. C’est là que je L’ai vu. Un pas, je Le regardais; Il était
de profil par rapport à moi. Je marchais tout autour, je
m’éclaircissais la voix, dans un champ de genêts. J’observais sans
arrêt, et Il ne s’est jamais retourné. Alors, j’ai appelé Son Nom:
“Jésus.” Et Il s’est retourné, Il a étendu Ses bras, et c’est tout ce
dont je me souviens, jusqu’au lever du jour. Alors je suis revenu du
champ, vers le lever du jour.
Alors, peut-être que le Seigneur me permettra de
prêcher les Trompettes là-bas. Où que ce soit, que la volonté de Dieu
soit faite.
22 Maintenant prenez dans vos Bibles, Ésaïe, le
cinquant-... le chapitre 53 d’Ésaïe.
Maintenant, nous avons confiance que Dieu bénira ces
faibles efforts que nous avons faits, de nous rassembler ce matin. Nous
venons d’arriver de Philadelphie, où j’étais à la convention des Hommes
d’Affaires du Plein Évangile, et où j’ai écouté leurs divers
témoignages et tout, là-bas.
23 Ensuite je… sur le chemin du retour,
j’étais... Billy Paul et moi, et Rebekah et la petite fille des
Collins, la petite Betty Collins. Billy est un très bon dormeur, et
Becky est encore meilleure, et alors je... Betty et moi, nous avons
causé. Elle était assise à l’arrière avec Becky, sur la banquette
arrière. Et j’ai vu quelque chose se produire sur la route; et, à ce
moment-là, quelque chose m’a frappé. Et Betty, si elle est ici, elle a
remarqué que j’ai arrêté de parler et que je me suis mis à noter
quelque chose par écrit. C’est là que j’ai trouvé le sujet de ce matin.
24 Maintenant levons-nous. Si nous... Maintenant,
nous nous tenons debout en l’honneur de la Parole de Dieu, pendant que
je lis Ésaïe, chapitre 53.
Qui a cru à ce que nous avons annoncé? À qui le bras
clé l’Éternel s’est-il révélé? (Remarquez, ça commence par une
question.)
Il s’est élevé devant lui comme une faible plante,
comme un rejeton qui sort de terre desséchée; il n’avait ni beauté, ni
éclat pour attirer nos regards, et son aspect n’avait rien pour nous
plaire.
Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur...
habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage,
nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas.
Cependant, il a porté notre souffrance, il s’est
chargé de nos douleurs; et nous l’avons considéré comme puni, frappé de
Dieu, et humilié.
Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos
iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et
c’est par ses meurtrissures que nous avons été guéris.
Nous étions tous errants comme des brebis, chacun
suivait sa propre voie; et l’Éternel l’a frappé pour l’iniquité de nous
tous.
Il a été maltraité et opprimé, et il n’a point
ouvert la bouche, semblable à un agneau qu’on mène à la boucherie, à
une brebis muette devant ceux qui la tondent; il n’a point ouvert la
bouche.
Il a été enlevé par l’angoisse et le châtiment; et
parmi ceux de sa génération, qui a cru qu’il était retranché de la
terre des vivants et frappé pour les péchés de mon peuple?
On a mis son sépulcre parmi les méchants, son
tombeau parmi les riches, quoiqu’il n’ait point commis de violence et
qu’il n’y eût point eu de fraude dans sa bouche.
Il a plu à l’Éternel de le briser par la
souffrance... Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, il
verra une postérité et prolongera ses jours; et l’œuvre de l’Éternel
prospérera entre ses mains.
Et délivré des tourments de son âme, il rassasiera
ses regards; par sa sagesse beaucoup de serviteurs justes seront
justifiés... beaucoup d’hommes, et il se chargera de leur iniquité.
C’est pourquoi je lui donnerai sa part avec les
grands; ...partagera les butins avec les puissants, parce qu’il s’est
livré lui-même à la mort, et qu’il a été
mis au nombre des malfaiteurs, parce qu’il a porté
les péchés de beaucoup d’hommes, et qu’il a intercédé pour les
coupables.
25 Dieu notre Père, Ta Parole est une Lampe, la
Lumière qui éclaire le sentier de chaque croyant, pour le faire entrer
dans la Présence de Dieu, alors qu’Elle nous fait avancer, comme une
lanterne que nous tenons à la main. Tu n’as pas fourni assez de lumière
pour que nous puissions voir la fin dès le commencement, et… mais je
marche par la foi. Mais, comme un homme qui traverserait une forêt
obscure la nuit, – et c’est là que nous sommes, – la lumière qu’il a à
la main ne lui fournit que ce qu’il faut pour avancer pas à pas. Le
sentier conduit en haut, mais tout ce qu’il faut, c’est de marcher avec
la Lumière. Alors, que la Lumière brille aujourd’hui sur la Parole,
pour nous faire avancer d’un pas de plus vers le Royaume de Dieu. Car
nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Vous pouvez vous asseoir.
26 Le sujet dont j’ai à cœur de parler à l’assemblée
aujourd’hui, c’est: le Chef-d’œuvre.
Ça peut paraître assez bizarre de choisir une–une
lecture Biblique comme celle-ci, sur–sur l’un des tableaux les plus
éprouvants et les plus cruels de la Bible, où la Bible parle de “ce
Serviteur parfait qui a été maltraité, et brisé, et déchiré”, et malgré
tout tirer de là ce sujet d’un Chef-d’œuvre. Très bizarre. Mais je...
27 Je retourne en pensée, ce matin, alors que nous
faisons un retour en arrière, que j’en fais un, de quelques années.
J’avais été invité à Forest Lawn, en–en Californie, au nord de Los
Angeles. Mon but premier, quand j’y suis allé, c’était d’aller voir
le–le tombeau de–d’Aimee Semple McPherson, la fondatrice du mouvement
de l’Évangile des Quatre Coins. Alors je me suis rendu à sa–sa tombe.
Et, bien que je sois en désaccord avec cette femme, comme ministre de
l’Évangile, mais, quand même, dans mon cœur, j’ai de l’admiration et du
respect pour–pour ce qu’elle a défendu, à–à l’heure, et avec la
persécution et les choses qu’elle a dû endurer, et, au moment où elle
était ici sur terre. Et pour son–son fils bien-aimé, qui est un de mes
amis intimes, Rolf McPherson.
28 Avec un groupe de ministres, nous sommes allés
là-bas. Et ils... nous n’avons pas eu le temps d’aller dans le–le...
dans le–le lieu où ils font l’incinération, et où ils mettent les–les
corps dans une–une petite boite le long du mur.
29 Et il y a des choses remarquables là-bas, par
exemple, la Sainte Cène. Elle est illuminée par la lumière même du
soleil. Et ils–ils se servent d’un volet qui leur donne... Quand les
gens entrent, il fait clair; et ensuite, quand–quand ils se mettent à
parler, ça s’assombrit progressivement. Au bout d’un moment, tout
devient sombre, et alors les gens ressortent. Et là, il y a la Cène en
entier.
30 La femme qui détenait le secret de ce procédé, de
travailler le verre pour arriver à faire ça, eh bien, pour faire ces
tableaux-là, eh bien, ça–ça s’était transmis dans la famille, depuis
bien des années en arrière. Et cet art avait été passé aux enfants, et
le dernier d’entre eux était une femme. Ils étaient en train d’agencer
ce tableau; et quand ils ont taillé et chauffé le–le verre, qu’ils ont
cuit la pièce qui représentait Judas Iscariot, elle a éclaté. Alors,
ils ont ressayé, et elle a éclaté de nouveau. Elle a dit: “Peut-être
que notre Seigneur ne veut pas que Son ennemi soit représenté à Ses
côtés.” Elle a dit: “Si elle éclate encore, nous ne terminerons pas le
tableau. Mais cette fois-là, elle a tenu le coup. Alors, évidemment,
c’était assez saisissant, et de voir que des choses pareilles puissent
se produire.
31 Mais, aussi, un des points principaux d’intérêt
pour moi à Forest Lawn, c’était la grande sculpture de Michel-Ange,
le–le monument de Moïse. Naturellement, là-bas, c’est une–une
reproduction, ce n’est pas l’original. Mais c’était vraiment un–un
chef-d’œuvre remarquable. Et, comme je me tenais là à le regarder,
je–j’ai aimé ça, quelque chose qui semble représenter, avoir de la
substance.
32 J’aime l’art, beaucoup. Je crois que Dieu est
dans l’art. Je crois que Dieu est dans la musique. Je crois que Dieu
est dans la nature. Dieu est partout. Et tout ce qui est contraire à
l’original, c’est une perversion. Dieu est dans la danse; pas le genre
de danse qu’on fait ici. Mais quand les fils et les filles de Dieu sont
dans l’Esprit de Dieu, voyez-vous, c’est ça, danser. Par contre, celle
qu’on a été obligés d’endurer jusqu’à deux heures du matin, là-bas dans
la rue, ça, c’en est une perversion.
33 Mais ceci, et ce chef-d’œuvre que Michel-Ange a–a
produit, il–il lui a coûté quelque chose de faire cela–cela. C’était un
grand homme, et cela lui a coûté une grande partie de sa vie, parce
qu’il a passé bien, bien des années à le sculpter. Prendre un bloc, et,
de–de marbre, simplement, et le sculpter continuellement. Et,
voyez-vous, il n’y a que l’homme, que le sculpteur lui-même, qui a en
tête ce qu’il essaie de produire. Il–il est le seul. Vous pourriez vous
avancer vers lui et lui dire: “Qu’est-ce que tu as à picoter cette
pierre-là?” Pour le profane, qui ne sait pas ce qu’il a dans son cœur,
c’est insensé. Mais pour l’homme, le sculpteur lui-même, lui, il–il a
une–une vision dans son esprit, ce qu’il essaie de réaliser, et il
cherche à reproduire ce qu’il a à l’esprit, sous la forme d’un–d’un
monument. C’est pour ça qu’il le taille dans ces pierres.
34 Et ceci, pour y arriver, vous devez commencer
comme il faut, au départ, et vous devez suivre le modèle. Voyez? Vous
ne pouvez pas prendre un petit bloc, pour commencer: “On va faire ça
comme ceci; non, je crois...” Non, il faut qu’il ait un modèle bien
précis. Et il a ce modèle-là dans son esprit. Il ne peut pas dévier de
ce modèle. Maintenant, pour pouvoir arriver à ça, il a fallu qu’il se
le représente dans son esprit, parce que nous n’avons pas de vrai
portrait de Moïse; mais il a fallu qu’il s’en fasse une image mentale,
dans son esprit, de ce que Moïse était, de façon précise.
35 Or, un sculpteur véritable est inspiré, comme un
poète véritable, ou tout chanteur véritable, ou musicien, ou quoi que
ce soit. Tout ce qui correspond à une réalité doit venir par
inspiration. Michel-Ange a dû recevoir l’inspiration de ce à quoi
ressemblait véritablement Moïse. Et il l’a saisi dans son esprit, ce
que Moïse devait être. Alors il s’est attaqué à ce grand bloc de
marbre, il s’est mis à le tailler selon le modèle, et à façonner, et à
rectifier, jusqu’à ce qu’il en arrive à l’image véritable qui devait
correspondre à ce qu’il avait dans son esprit.
36 Et alors, quand il est arrivé au point où tout
était parfait, tous les angles arrondis, et tout bien poncé partout, et
les yeux exactement comme il faut, et chaque cheveu, et la barbe, et
que tout soit juste tel quel, il s’est reculé et il l’a regardé. Je–je
pense à–à bien, bien des dures années de labeur, et comme il lui a
fallu garder tout le temps dans son esprit cette même vision-là, de ce
qu’il allait faire. Et pensez un peu, cette vision-là à l’esprit
pendant tant d’années, pour arriver à produire quelque chose qui y
correspondrait parfaitement! Il a d’abord saisi la vision, et combien
il a dû travailler, selon cette vision, à ciseler et à façonner de plus
en plus! Et quand il l’a eu amenée à la perfection, que la chose était
vraiment parfaite; il s’est tenu là à la regarder, quand il l’a eu
terminée ce matin-là, avec son marteau à la main…
Et il a été tellement inspiré quand il l’a regardée,
parce que la vision qu’il avait à l’esprit se tenait devant lui, dans
la réalité. Ce qu’il avait vu, et la... sa conception de ce que Moïse
était, elle était là représentée devant lui, ce qu’il avait eu dans son
cœur pendant toutes ces années. Le labeur, et les heures de douleur et
de détresse, et les critiques, et tout le reste, mais malgré tout ça,
il était resté attaché à la vision, jusqu’à ce que ce soit terminé.
37 Et alors, quand le monument a été terminé, il
s’est reculé avec le marteau, ou, le marteau de sculpteur à la main, et
il l’a regardé. Et l’inspiration, de la vision qu’il avait eue, qui lui
avait donné la marche à suivre, cela l’a tellement inspiré qu’il... Il
a été saisi par l’inspiration, au point qu’il ne se possédait plus, et
il l’a frappé au genou, en disant: “Parle! “
38 Maintenant cette grande statue a un défaut au
genou, au genou droit. Juste au-dessus du genou, à environ six pouces
[quinze centimètres – N.D.T.], il y a un endroit (j’ai mis ma main
dessus) à peu près profond comme ça.
39 Après qu’il a eu passé tout ce temps-là, pendant
des années et des années, à produire ceci; ensuite, sous cette–cette
influence, de voir l’accomplissement de ce qu’il avait vu dans son cœur
et dans sa vision, et de ce qu’il avait désiré voir, que c’était
terminé. Et une fois terminé, il a été tellement inspiré par cela,
qu’il s’est dit que son propre chef-d’œuvre devrait lui parler. Il l’a
frappé à la jambe, en criant: “Parle! “ Et il a eu un défaut à cause de
cela. La statue a eu un défaut à cause de cela.
40 À mon avis, c’est ce défaut qui en a fait un
chef-d’œuvre. Bon, peut-être que pour le–l’esprit qui voit la chose
différemment, vous pensez qu’il a été gâché à cause de cela. Non, à mon
avis, c’est–c’est ce qui en a fait ce qu’il était Il–il... En effet,
après tant d’années de travail soigné et de labeur, et d’inspiration et
tout, à produire cette oeuvre son labeur n’avait pas été en vain, la
preuve était là. Elle était parfaite, et c’est pour ça qu’il s’est
écrié: “Parle!” En effet, il avait vu devant lui qu’il (était) avait
été capable d’exécuter, de réaliser la vision qu’il avait dans son
esprit. C’est pourquoi, sous l’inspiration, il a fait quelque chose qui
était contraire au bon sens, qui sortait de l’ordinaire. Il l’a
frappée, en criant: “Parle!” Voyez-vous, il n’aurait pas fait ça s’il
avait réfléchi. Mais il n’a pas réfléchi. C’était l’inspiration de voir
ce qu’il avait dans son esprit se retrouver parfaitement devant lui.
41 Son labeur, ses tracas, et les longues nuits, et
cloîtré pendant des jours. Peut-être qu’il mangeait un sandwich, et–et
il ponçait, il s’y remettait, et: “Non, ce n’était pas du tout comme
ça. Maintenant il faut en venir à ceci”, et il ponçait. Ensuite, quand
il l’a vue dans toute sa perfection, alors il en a vu la réalité. Le
négatif, ce qu’il avait dans son esprit, était devenu réel, il était
devenu positif, c’est pourquoi il a été saisi. Et c’était tellement
réel qu’il n’a pas pu s’empêcher de s’écrier: “Parle! “
42 À mon avis, c’était un reflet. C’était–c’était
une éloge à son oeuvre, sa propre oeuvre l’a tellement inspiré, au
point qu’il ne se possédait plus, il l’a frappée et il a dit: “Parle!”
43 Je me suis tenu là à regarder ce monument. J’ai
pensé aux heures que cet homme avait dû y consacrer. Ils ont dit
combien d’années il avait mis à le produire. Mais pour lui ça–ça
reflétait, parce que c’était un apport à son–à son grand art, à sa
grande oeuvre, ce qu’il produisait. Et quand, finalement, il est
parvenu à sa réalisation, elle était vraiment remarquable.
44 Maintenant tournons la page sur Michel-Ange,
fermons le livre.
Et ouvrons un autre Livre, lisons l’histoire du
grand Sculpteur, le Tout-Puissant. Celui qui, avant qu’il y ait un
monde, et avant que les fondements en soient posés, avait dans Son
esprit ce qu’Il voulait, Il voulait faire l’homme à Son image à Lui. Il
voulait produire la–la réalité de ce qui était pour Lui une vision, ce
qu’Il avait dans Sa pensée.
45 Or, pour Michel-Ange, cette chose-là a été un
attribut de sa pensée.
De même, Dieu voulait faire un homme selon Son
image, le grand Sculpteur, et Il s’est mis à l’œuvre, pour le produire.
Et nous remarquons, alors qu’Il faisait apparaître des choses, à partir
des matériaux. En premier, peut-être qu’il y a eu les poissons, et
ensuite les oiseaux, et–et ensuite les animaux rampant sur la terre,
et–et bien des choses qu’Il a produites. Mais, finalement, en couvant
la terre, comme Il était le Créateur, Il avait... Il n’était pas comme
un homme, là, un sculpteur qui doit utiliser quelque chose qui a déjà
été créé pour y tailler une statue. Il était le Sculpteur des choses
Éternelles. Il était le Sculpteur qui pouvait créer et amener à
l’existence ce qu’Il a dans l’idée de faire. Ou, autrement dit, Il peut
matérialiser ce que Ses attributs désiraient.
46 Et alors qu’Il s’est mis à l’œuvre, sur les
animaux rampants, comme les–les–les petits animaux qu’il y a sur la
terre. Ensuite, Il est passé de cela à quelque chose d’autre, une forme
plus évoluée. Puis, finalement, Il est passé aux plus gros animaux,
tels que le lion, le tigre, l’ours. Ensuite, Il est peut-être passé à
la–la–la vie des–des singes et des primates, et tout. Or, il ne s’agit
pas d’une évolution, comme on pense que quelqu’un serait venu de... Il
s’agissait d’une création complète; Dieu qui oeuvrait selon un modèle.
47 Mais, finalement, quelque chose de parfait a
surgi sur la terre, c’était l’homme. Et alors, Il pouvait voir en le
regardant, que cet homme Lui ressemblait. Alors, quand Il l’a regardé,
là, celui-ci était le reflet de ce qu’était son Créateur. Dieu était
maintenant arrivé à réaliser ce qu’Il voulait, un homme à Sa propre
image.
48 Je pourrais ajouter ici, que, quand Il a eu fait
cet homme, on aurait dit qu’il y avait quelque chose qui clochait un
peu chez lui, c’est parce qu’il–qu’il était seul. Et c’est comme ça que
Dieu avait été, seul; Il était l’Éternel. Et voilà que cet homme, qui
était à l’image de Dieu, lui aussi, il était seul, sur la terre. Alors,
Il a dû lui donner un petit coup au côté gauche, et c’est à partir du
morceau qui s’est détaché de lui, qu’Il lui a fait une compagne, une
épouse, après quoi il n’a plus été seul. Il était–il était, il avait
quelqu’un avec lui. Voilà Sa grande oeuvre.
49 Et Lui, comme tout grand sculpteur prendrait
son–son–son chef-d’œuvre...
Bon, d’abord, Il avait un chef-d’œuvre qui Lui
correspondait, à Lui. Mais maintenant, en voyant ce chef-d’œuvre qui
était solitaire, comme Lui, alors Il a divisé ce chef-d’œuvre en le
frappant au côté, et Il a produit une compagne.
50 Et maintenant, pour que les deux soient un, Il
les a placés, comme le ferait tout grand sculpteur, dans un lieu
qui–qui était magnifique.
Un–un sculpteur ne produirait pas un grand
chef-d’œuvre, pour ensuite le prendre et l’installer quelque part dans
une ruelle, ou le cacher derrière des bâtiments. Comme notre Seigneur
nous l’a dit: “On n’allume pas une lampe pour la mettre sous le
boisseau.” Quand nous devenons les chefs-d’œuvre de Dieu, nous ne nous
tenons pas cachés quelque part dans une ruelle. Nous–nous devons
répandre de la Lumière.
51 Donc, nous voyons que–qu’Il, après qu’Il a eu
produit ce chef-d’œuvre, Il l’a placé ici sur la terre, et Il l’a
installé dans le lieu le plus magnifique qui soit, dans le jardin
d’Éden. Il a placé Son chef-d’œuvre, les deux qui faisaient un, dans le
jardin d’Éden. Comme Il a dû être content de voir que ce chef-d’œuvre
se portait bien. Il, après ça, nous voyons qu’Il s’est reposé; Il était
tellement content de Son oeuvre.
52 Or, souvenez-vous qu’à mon avis, le chef-d’œuvre,
c’est ce coup qui a déparé le chef-d’œuvre de Saint-Ange, le monument
de Moïse.
Et c’est le coup qui a ouvert le côté de Son
chef-d’œuvre qui a fait sortir l’épouse. Et maintenant nous voyons
qu’ils sont une famille, un chef-d’œuvre, dans le jardin d’Éden. Comme
c’était beau! Et Il en a été tellement content, alors, qu’Il–qu’Il a
pris du repos. Il a dit: “ Je–Je vais me reposer.”
53 Mais, pendant qu’Il se reposait et qu’Il se fiait
à Son chef-d’œuvre, Son ennemi est arrivé et il a trouvé ce grand
chef-d’œuvre. Et il, par tromperie, il–il s’est glissé sous les–les
murs du jardin, et là il–il a déparé ce beau chef-d’œuvre. Il–il l’a
déparé, ce qui a entraîné sa–sa chute.
54 Bon, j’essaie de garder l’œil sur l’horloge.
J’avais demandé à Mike, mon neveu, de faire sonner la cloche au bout de
trente minutes, mais je... il ne l’a pas fait, et j’ai déjà pris mes
trente minutes. Mais c’est… On va continuer un peu. Voyez? Bon, je ne
veux pas–pas enfreindre ces règlements. C’est–c’est moi qui ai établi
ces règlements, voyez-vous, et je–je... voilà ce que c’est
qu’enfreindre son propre règlement.
55 Maintenant remarquez, donc, ce chef-d’œuvre.
Quand Satan s’en est emparé, le trompeur, il a fait une brèche dans les
murs et–et il a déparé ce chef-d’œuvre. En effet, la manière dont il
s’y est pris, qu’est-ce que...Comment s’y est-il pris? Je vais
détailler un peu plus. La manière dont il s’y est pris, c’est que... Ce
chef-d’œuvre était entouré des murs de la Parole, de la Parole de Dieu.
Et le chef-d’œuvre lui-même, cette famille, elle était à l’abri
derrière les fortifications de cette Parole. Mais le morceau qui avait
été détaché, qui avait été détaché de l’original, il est allé de
l’autre côté de ce mur, ce qui a donné à Satan l’occasion de le
déparer. Et maintenant, comme vous savez déjà ce que je crois
là-dessus, alors, je n’aurai pas besoin de le dire. Mais le
chef-d’œuvre a été brisé.
56 Seulement le grand Sculpteur, quand Il a vu la
chute de Sa famille, du chef-d’œuvre, Il ne voulait pas le laisser là,
la face contre terre et détruit. Tout de suite Il s’est mis à l’œuvre,
pour le reconstruire. Il ne voulait pas qu’il périsse, qu’il reste là,
comme ça, tout le temps. En effet, Il est Dieu, et alors, Il ne subira
aucun échec. Donc, tout de suite Il s’est mis à l’œuvre, et Il a
recommencé à construire un homme à Sa propre image.
57 Alors, nous voyons qu’il y a eu le monde
antédiluvien, où tout a été détruit, parce que les alliances qui
avaient été faites avaient été faites sous condition: “Si tu ne fais
pas ceci, ou si tu fais cela.” Dieu, le grand Sculpteur, a vu que
l’homme ne pouvait pas–ne pouvait pas garder une alliance. Il ne le
peut tout simplement pas. Il n’y a absolument pas moyen.
Au cours de l’entretien que j’ai eu il y a quelques
instants, je parlais à une personne dans la pièce, elle est ici en ce
moment. Elle disait: “Mais, Frère Branham, il y a tellement de choses
en moi, des travers dont je–je suis consciente”, et une–une petite
femme remplie de piété.
58 J’ai dit: “Mais–mais, écoutez, sœur, ne regardez
pas à vous-même. Ce qui compte c’est votre désir et ce que vous essayez
de faire. Et si vous aimez vraiment le Seigneur, vous essayez de Le
servir de tout votre cœur, et alors toutes vos erreurs sont cachées
dans le Sang du Seigneur Jésus.” Voyez? Voyez-vous, Il a pourvu d’un
moyen.
59 Donc, Il a commencé, là, à dégager l’homme des
alliances qu’Il avait faites avec lui, où–où Il disait: “Si tu fais
ceci, Je ferai cela.” Il a commencé, avec cet homme appelé Abraham, Il
a donné à Abraham une alliance sans condition. Chaque fois qu’Il
commençait un chef-d’œuvre, Satan s’en emparait, parce que la Parole...
Mais quand Il a commencé avec Abraham, Il a dit: “Je l’ai déjà
accompli. Maintenant, ceci, c’est sans condition, non pas... que–que:
‘Si tu fais ceci, Je ferai cela’, mais Je l’ai déjà accompli.”
Maintenant Il, le–le Sculpteur est bien décidé à avoir ce chef-d’œuvre.
60 Ensuite, à partir d’Abraham, il y a eu les
patriarches. Et vraiment, les patriarches... Qu’est-ce que Dieu est en
train de faire, là? Il est en train de reconstruire ce chef-d’œuvre qui
était tombé. Donc, au nombre des patriarches, le premier, nous voyons
que c’est Abraham.
61 Maintenant regardez bien, un chef-d’œuvre est
toujours placé sur un fondement, une sculpture. Le monument de
Michel-Ange, Moïse, est sur une plaque de marbre de trois à quatre
pieds [0,9 à 1,2 mètre – N.D.T.]. Il a un fondement. Donc, Dieu, quand
Il a préparé ce chef-d’œuvre, Il l’a posé sur le fondement des
patriarches. Et le fondement des patriarches, d’abord, c’était Abraham,
ensuite Isaac, ensuite Jacob, ensuite Joseph, les quatre coins.
62 Or, Abraham, là, c’était le fondement de la foi.
Disons qu’il avait quatre fondements. Le fondement de la foi, c’était
Abraham. Le fondement de l’amour, c’était Isaac. Le fondement de la
grâce, c’était Jacob, la grâce de Dieu envers Jacob; tout le monde sait
ça. Mais en Joseph se trouvait la perfection. C’est là-dessus qu’il a
pu poser le monument; pas sur le premier fondement, le deuxième
fondement, le troisième fondement, mais sur le quatrième fondement.
63 Abraham représentait Christ, bien sûr. Isaac
aussi, par l’amour. Abraham, par la foi. Isaac, par l’amour. Jacob, par
Sa grâce. En effet, Jacob, ça veut dire “trompeur”, et c’est bien ce
qu’il était, seulement la grâce de Dieu a été avec lui. Mais quant à
Joseph, il n’y a rien contre lui, juste une petite égratignure, car le
fondement doit, lui aussi, être un chef-d’œuvre. Quand il a dit à son
père, le prophète: “Dis à Pharaon que les gens de ta famille sont–sont
des éleveurs de bétail, et non des bergers, parce les bergers sont en
abomination aux Égyptiens.”
64 Mais quand le vieux prophète s’est présenté
devant Pharaon, il a dit: “Tes serviteurs sont bergers.” Alors, il y a
eu une égratignure à cause de ça, voyez-vous, c’est ce qui en fait
encore le chef-d’œuvre.
65 Donc, les fondements ont été posés, par la foi,
l’amour, la grâce, et jusqu’à la perfection, par les patriarches.
66 Maintenant, le corps, la partie de l’ouvrage qui
s’est ajoutée à ce grand chef-d’œuvre, c’était les prophètes,
c’est-à-dire la Parole. J’espère que vous comprenez. Voyez? Les
prophètes; pas les lois! Les prophètes, parce que les prophètes étaient
la Parole confirmée, qui forme le corps; pas les patriarches. Les
prophètes; ils étaient la Parole.
67 Finalement, alors qu’Il avait commencé bien
longtemps en arrière, à l’époque de Moïse, et qu’Il avait enchaîné avec
les prophètes, chacun d’eux. Finalement, et Il construisait le corps,
Il s’en rapprochait toujours plus. Et le plus grand d’entre eux,
c’était Jean. La Bible le dit. Jésus l’a dit. “Jamais un homme né d’une
femme n’a été aussi grand que Jean-Baptiste”, c’est parce qu’il a été
celui qui a pu présenter la Parole.
68 Et puis, finalement, la grande Tête est arrivée,
la Tête de tout le reste. Le reste du corps ne faisait que L’annoncer.
Le fondement a été posé par le patriarche, mais le corps a été
construit par la Parole, c’est-à-dire les prophètes. Et voici qu’arrive
la Tête de tout cela, Jésus est venu. Là, quand ce morceau-là, la Tête,
a été posée dessus, nous voyons qu’en Lui se trouve l’œuvre complète de
Dieu. Nous voyons qu’en Lui se trouve le reflet parfait de la Parole,
car Il était la Parole, la plénitude de la Parole. Voilà que de
nouveau, Dieu a le Chef-d’œuvre parfait, de nouveau.
Comme l’a dit Ésaïe: “Voici Mon Serviteur, Mon
Chef-d’œuvre, Celui que J’ai représenté dans tous les âges, cet Être
parfait qui allait venir. Et Le voici devant Moi, Il est parfait!” Il
était là, à Son image, Il reflétait Dieu! En effet, Il a dit, dans Jean
14: “Quand tu Me vois, tu vois le Père.”
69 Et aussi: “Au commencement était la Parole, et la
Parole était avec Dieu”, et la Parole a été taillée et a reflété ce que
la Parole était au commencement. Lui, la Parole, Il s’est reflété dans
le Chef-d’œuvre, qui était à Sa ressemblance même, Dieu qui était de
nouveau là, à Sa ressemblance, la forme Parole qui se reflétait, à
l’image d’un homme, le Chef-d’œuvre.
70 Tous les prophètes avaient des défauts; ceux-là
étaient tous une portion. Mais ici, enfin, de tout cela est finalement
sorti le Chef-d’œuvre, l’Être parfait, absolument rien à Lui reprocher,
Il était un reflet tellement parfait du Constructeur Lui-même, Sa
propre image s’était reflétée dans Son oeuvre. “Dieu et Christ étaient
Un”, au point qu’Il a placé Son propre Esprit en Lui, et à ce moment-là
l’image même et le Constructeur sont devenus Un. Dieu et Son oeuvre
sculptée, Son Chef-d’œuvre! Alors que le Moïse–Moïse, l’œuvre de
Saint-Ange, était une... ou plutôt, de Michel-Ange, était une–une
oeuvre sculptée qui était morte, parce qu’elle avait été faite en
pierre. Mais ici, le Grand Constructeur, quand Il a eu amené Son oeuvre
à la perfection, Il est entré dedans.
71 Il L’a amené à une telle perfection, ce
Rédempteur de l’homme, tellement parfait, tellement saint; et pourtant,
Son aspect n’avait rien pour nous plaire. Quand ce Fils du Dieu vivant,
né d’une vierge, est devenu tellement parfait, tellement humble,
tellement à l’image de Dieu, au point que le grand Maître, qui avait
transmis Sa Vie, par les prophètes... Et Il était l’accomplissement de
tous les prophètes. Il était tellement parfait que Dieu, en voyant ça,
Il L’a frappé, et Il s’est écrié: “Parle!”, comme Michel-Ange l’avait
fait. “Parle!”
Vous dites: “C’est vrai, ça?”
72 Dans Marc 9.7, nous voyons, sur la montagne de la
Transfiguration, au moment où Moïse était là, la loi, où Élie était là,
les prophètes. À partir du commencement, des patriarches; les pères, la
loi, les prophètes, ils étaient tous là. Nous entendons une Voix
descendre de la nuée, Elle a dit: “Celui-ci est Mon Fils bien-aimé:
écoutez-Le!” Et s’ils doivent écouter, c’est parce qu’Il va parler. Ça,
c’était seulement quelques jours avant qu’Il soit frappé. “Celui-ci est
Mon Fils, en Qui Je me plais à demeurer. Je L’ai façonné. Il M’a fallu
quatre mille ans pour L’amener à ceci. Et maintenant, Il est tellement
parfait que Je dois Le frapper, pour qu’Il puisse parler. Écoutez-Le!
Il est Celui qui a été rendu parfait. Il–Il est le Chef-d’œuvre.”
73 Souvenez-vous, Il a été représenté à toutes les
époques, tout au long de l’Ancien Testament.
Nous voyons qu’Il était le Rocher qui a été frappé,
dans le désert, le Rocher dans le désert. “Je suis ce Rocher qui était
dans le désert.” Mais il s’agissait là d’une pierre qui n’était pas
encore parvenue à la perfection. Mais, sous forme de type, Il suivait
l’église, pour qu’Il puisse ainsi attirer ceux qu’Il pouvait attirer à
Lui, donner la Vie à ceux à qui Il pouvait donner la Vie. Mais, donc,
Il était ce Rocher dans le désert. Il n’avait pas encore été fait
homme. Il était seulement sous forme de type.
74 Moïse L’a vu, debout sur ce Rocher. Il L’a vu
passer, et il a dit: “C’est le dos d’un homme.” Vous voyez, le
Sculpteur présentait à Moïse, qui était une image potentielle de
Christ, ce à quoi ressemblerait le grand Chef-d’œuvre après avoir été
rendu parfait. Il a passé Son... Il a injecté, ou–ou projeté devant
Moïse la vision de ce à quoi ressemblerait le Chef-d’œuvre. C’était le
dos d’un homme, quand Il est passé près de lui dans le désert.
75 Souvenez-nous, Michel-Ange, tout ce qu’il a pu
faire, c’est de s’écrier, de frapper la statue, et dire: “Parle!”
Mais avec Dieu, ça a été une tout autre histoire, le
grand Sculpteur. Quand Il a eu fait un homme à Son image, tellement
parfait qu’Il Le reflétait, Dieu a parlé dans cette image de l’homme,
pour montrer ce qu’Il allait réaliser. Il avait parlé par les
prophètes, qui formaient une image potentielle, alors qu’Il amenait
tout cela vers la Tête. Mais quand Il est arrivé à la Tête, Il était
l’image complète de Dieu; Il Se représentait Lui-même. Ensuite frappé
pour nous, et maintenant Il est pour nous le Chef-d’œuvre, le Don de
Dieu, Jésus-Christ, la Vie Éternelle. J’espère que nous ne l’oublierons
jamais.
76 Alors que nous voyons les jours qui
s’assombrissent, alors que nous voyons les ombres qui tombent! Alors
que, je le prédis: “Encore seulement quelques révolutions du soleil.
Cette nation est fichue.” Savez-vous...
Hier, c’était le 4 juillet. Thomas Jefferson avait
signé la Déclaration d’indépendance, lui et les autres membres du
comité avec lui, et la Cloche de la liberté a sonné. nous avons été
proclamés une nation indépendante. Selon l’histoire, il n’y a jamais
eu, à aucun moment, une démocratie qui existe plus de deux cents ans.
Et ça, ça s’est passé en 1776, le 4 juillet. Alors il ne nous reste
plus qu’onze ans. Y arrivera-t-elle? Non, elle ne le peut pas,
voyez-vous. Onze ans. Et, si elle y arrive, ce sera contraire à toute
l’histoire.
77 Nous voyons l’état de l’époque. Nous voyons
l’état des gens. Nous voyons l’état de la politique. Nous voyons l’état
du monde. Il ne peut pas subsister. Il doit sombrer, comme le Titanic.
Il doit couler, car ces choses doivent céder la place. Une nation cède
la place à l’autre, alors qu’elle s’effondre. Et ce royaume-ci doit
s’effondrer, de même que tous les autres royaumes, pour céder la place
à ce Royaume qui vient, qui ne peut pas s’effondrer. “Nous recevons un
Royaume inébranlable”, grâce à cette image parfaite de Dieu, le
Chef-d’œuvre.
78 Dieu, quand Il L’a regardé, Il a été tellement
inspiré! Il a été tellement... de voir Son aspect, et de voir la–la
forme qu’Il avait, Il a été tellement inspiré, sachant que ce serait là
le Chef-d’œuvre parfait, d’un Rédempteur, Jésus le Rédempteur. Alors,
Dieu, pour pouvoir être frappé Lui-même, parce que, pour expier
Lui-même Sa peine, Dieu et Christ sont devenus Un, pour que Dieu, dans
cette Image, puisse être frappé, qu’Il puisse être meurtri. Voilà
pourquoi Ésaïe a dit: “Nous L’avons considéré comme frappé et affligé
par Dieu. Mais Il était blessé pour nos péchés, brisé pour notre
iniquité; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et
c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.”
79 L’Image parfaite, l’Homme-Dieu! Dieu, en morphe,
Il était passé du Surnaturel à la vision, et la vision avait été
projetée dans l’Image. Et l’Image a été frappée, pour que le Surnaturel
puisse goûter la mort, le Chef-d’œuvre parfait de Dieu.
Il n’a pas pu le faire en Moïse. Il n’a pas pu le
faire dans les prophètes. Ésaïe qui a été scié avec des scies, au point
qu’on l’a scié en morceaux. Il n’a pas pu le faire dans les prophètes
qui ont été lapidés. Il n’a pas pu le faire, parce qu’Il n’aurait pas
pu le ressentir; il n’y avait là qu’une partie de Lui.
Mais dans ce Chef-d’œuvre parfait, Il était la
plénitude de la Divinité corporellement. Non seulement pouvait-Il
projeter Moïse, mais Il pouvait projeter tout Son Être dans cette
Personne-là, et goûter la mort pour toute l’espèce humaine. Le
Chef-d’œuvre parfait de Dieu! Dieu a été tellement inspiré en Le
voyant, Celui-ci est devenu le Rédempteur de tous les âges; pour
répondre de ceux des époques passées, de ceux d’avant, et de maintenant.
80 Toutes les promesses se sont réalisées en Lui. Il
était la Perfection de la perfection. Tous les types se sont accomplis
en Lui. Notre Parent Rédempteur, en Ruth et Boaz. Notre Législateur, du
mont Sinaï. Notre Prophète, qui est sorti du désert. Alors qu’Il est
descendu de la montagne, qu’Il est sorti du désert, qu’Il est venu de
l’Éternité, et Il est devenu homme, l’Image parfaite!
81 Dieu, tout au long des âges, qui taillait
constamment; par les patriarches, Il a construit Sa plate-forme, et Il
les a fait passer par les différentes choses sur lesquelles Il allait
poser le fondement en question. Là-dessus, Il s’est mis à ériger Sa
Parole, les prophètes. Et finalement, Il en est arrivé au Prophète
parfait, le Fondement parfait, la vision parfaite que Dieu avait.
82 Et maintenant, pour qu’elle puisse parler; Il est
la Parole, et pour que la Parole puisse parler, Il doit entrer dans
cette Image. Et puis, pour que l’Image puisse parler, elle doit être
frappée. Il entre dans l’Image, donc, pour pouvoir parler, le
Rédempteur parfait.
83 Tous les types de l’Ancien Testament se sont
réalisés en Lui. Comme je le disais l’autre jour, le Jéhovah de
l’Ancien Testament est le Jésus du Nouveau. Oui.
84 Comme beaucoup d’entre vous, les hommes, les
femmes, de mon âge; autrefois, nous avions dans le pays beaucoup de
blanchisseries chinoises. Quand les Chinois ont commencé à s’installer
ici, ils sont arrivés sur la Côte Ouest et ils se sont déplacés vers
l’est, ils arrivaient de l’Orient et ils se sont déplacés dans cette
direction-ci. Et, à ce moment-là, c’était un peuple qui ne connaissait
pas notre langue et nos coutumes, mais c’étaient d’excellents
blanchisseurs. Ils ne pouvaient pas écrire sur le ticket, pour que vous
puissiez récupérer votre linge à vous.
Mais le Chinois, il s’est procuré un paquet de
petites cartes avec rien du tout dessus. Alors, quand vous veniez faire
faire votre blanchissage, il prenait cette carte et il la déchirait
d’une certaine manière; il vous en remettait un morceau, et il gardait
l’autre morceau. Et, bon, c’est un système un peu meilleur que celui
que nous avons maintenant, parce que, quand vous retourniez chercher
vos choses, ces deux morceaux devaient s’ajuster parfaitement. Vous
n’auriez pas pu imiter ça, même s’il l’avait fallu. Il n’y a aucun
moyen de le faire. Vous pouvez copier des lettres, mais vous ne pouvez
pas imiter cette déchirure-là. Elle doit s’adapter très exactement à
l’autre morceau. Par conséquent, vos vêtements sales que vous aviez
apportés là-bas, vous pouviez les reprendre avec ce ticket-là, parce
que le ticket correspondait à celui qui avait été remis.
85 De même, alors que Dieu, par les prophètes, et en
vertu de la loi, nous condamnait au péché; et dans la loi, il n’y a
aucune grâce, elle ne fait que vous indiquer que vous êtes pécheur.
Mais quand Jésus est venu, Il était l’accomplissement, Il était
le–l’accomplissement de tout ce que Dieu avait promis. Il était l’image
identique, parfaite, de la promesse. Par conséquent, toutes les
promesses de l’Ancien Testament se sont réalisées en Jésus-Christ.
Elles n’auraient pas pu se réaliser en Moïse, elles n’auraient pas pu
se réaliser dans aucun des prophètes, mais elles se sont réalisées dans
le Chef-d’œuvre. Il correspondait à tout ce qui avait été annoncé qu’Il
serait.
De même l’Église aussi devra correspondre à tout ce
que Dieu a promis. Elle doit être ce morceau qui En a été détaché.
Alors, si l’original est la Parole, les sujets qui En ont été tirés
seront aussi la Parole, pour correspondre à Son côté.
86 Par conséquent, le Chinois, vous pouviez
réclamer... Alors que la loi vous condamne, elle disait que vous étiez
sale et que vous étiez coupable, et elle pouvait vous mettre en prison.
Mais, quand Il est venu, Il était le Morceau qui correspondait, qui
pouvait vous en faire sortir, et vous ramener pour–pour former le
ticket complet, la rédemption que Dieu avait promise, là-bas dans le
jardin d’Éden. “Ta Postérité écrasera la tête du serpent. Mais, Son
talon le blessera–blessera à la tête.”
87 Maintenant nous voyons ce Chef-d’œuvre parfait
que Dieu avait achevé. Or, nous remarquons qu’Il était tout ce qui
avait été promis à Son sujet. Il est toutes les promesses, toutes les
prophéties, tout ce que Dieu avait promis. “Ta Postérité écrasera la
tête du serpent.” Or, Il ne pouvait pas l’écraser par la loi, Il ne
pouvait pas l’écraser par les prophètes, mais Il l’a bel et bien
écrasée quand la Postérité de la femme est devenue le Chef-d’œuvre,
Christ. Il était la Pierre que Daniel a vue, détachée de la montagne.
Il était Celui qui pouvait frapper. Il était Celui qui pouvait écraser,
écraser la tête du serpent.
88 Sa vie a correspondu exactement à la vie de
Moïse. Sa vie a correspondu à David. Voyons si c’est bien le cas, s’Il
est le Morceau qui correspond.
89 Remarquez, David, un roi rejeté, qui gouvernait
son propre peuple. Il a été... Un jour, pendant qu’il... Son propre
fils s’est soulevé, s’est mutiné contre lui, et il a séparé et divisé
les armées d’Israël. Et il a été, David a été chassé, chassé de son
trône par les siens.
Et quand il est parti, il y avait un homme qui le
haïssait, et il marchait, là, il crachait sur David. Le garde a dégainé
son épée, il a dit: “Ne lui couperai–je pas la tête, à ce chien qui a
craché sur mon roi?”
David a dit: “Laisse-le. C’est Dieu qui lui a dit de
faire ça.”
90 Ne voyez-vous pas? “Homme de douleur, habitué à
la souffrance. Il se tient là, semblable à une Brebis muette devant
ceux qui la tondent. Ils... C’est ce qu’il a dit. Peut-être que David
ne savait pas ce qu’il disait.
Mais environ cinq ou six cents ans plus tard, ou un
peu plus, le Fils de David passait dans ces mêmes rues, et on Lui a
craché dessus. Mais remarquez ce qui s’est produit quand David est
revenu de son–revenu de son... quand, il avait été en fuite, et il est
revenu de son exil, quand il–quand il est revenu, cet homme-là a
demandé la paix et a imploré sa miséricorde. Même ceux qui L’ont frappé
Le verront un jour, quand Il reviendra.
91 Et nous voyons, donc, en Joseph, que Joseph était
un garçon d’une naissance étrange, la dernière partie, la partie du
haut du fondement, sur lequel le chef-d’œuvre devait être construit.
C’est passé de la foi, à l’amour, à la grâce, et de là à la perfection.
Et ça a été la même chose, c’est passé des pieds, au commencement, pour
en arriver à la perfection, en Christ. Remarquez comme Il a été
représenté en Joseph, le haut du fondement, le plus parfait de tous.
92 Nous voyons que Joseph est né de sa famille. Il
est né de la femme légitime, en fait, qui était l’épouse de Jacob.
Remarquez aussi, qu’à sa naissance, son père l’a aimé; ses frères, eux,
l’ont haï sans cause. Pourquoi le haïssaient-ils? Parce qu’il était la
Parole.
Voyez-vous le fondement même? Voyez-vous comment la
tête du fondement est venue? Alors, regardez venir la Tête du Corps.
Maintenant regardez bien venir la Tête de l’Épouse. Il était la Parole.
Ils le haïssaient, parce qu’il était voyant. Il
voyait des choses d’avance, et il les annonçait. Elles arrivaient. Peu
importe le délai, elles arrivaient quand même. Et, parce qu’il était
spirituel, il a été excommunié par ses frères. Ils auraient dû l’aimer.
Mais ils le haïssaient, parce qu’il était prophète et qu’il était
spirituel. Alors ils le haïssaient.
93 Remarquez, il a été vendu pour presque trente
pièces d’argent; on l’a jeté dans une fosse, et on le pensait mort,
mais il a été sorti de la fosse. Et à l’heure de sa tentation, en
prison; l’échanson et le–le panetier, nous savons que l’échanson a été
sauvé et que le panetier a été perdu. Et dans la prison de Christ, sur
la croix, une personne a été sauvée et l’autre a été perdue; deux
voleurs, deux malfaiteurs.
94 Et nous remarquons qu’il a été sorti de la prison
où il était, pour aller à la droite de Pharaon; là personne ne pouvait
parler à Pharaon sans passer par Joseph. Et quand Joseph quittait le
trône de Pharaon, la trompette sonnait dans toute l’Égypte, la sonnerie
retentissait, ils disaient: “Fléchissez le genou, tout le monde, Joseph
arrive!”
95 Ce sera la même chose pour Jésus. Il a été aimé
du Père, et haï de ces frères dénominationnels, sans cause. Il a été
vendu pour trente pièces d’argent, pour ainsi dire, et mis dans la
fosse, on Le pensait mort. Sur la croix: une personne a été perdue et
l’autre a été sauvée. Il a été élevé de la croix, et Il est assis à la
droite de Dieu, dans la Majesté, le grand Esprit qui s’était reflété en
Lui. Et personne ne peut parler à Dieu, sans passer par Jésus-Christ.
Pensez-y! Et quand Il quittera ce Trône, qu’Il s’avancera: “La
trompette sonnera, tout genou fléchira et toute langue confessera.”
96 Souvenez-vous, il était le fils de la prospérité.
Tout ce qu’il faisait réussissait. Que ce soit en prison, ou n’importe
où, les choses prenaient une bonne tournure.
Et n’a-t-Il pas promis que, pour Ses enfants, Il
ferait concourir toutes choses à leur bien. Que ce soit la maladie, la
prison, la mort, les peines, quoi que ce soit, ces choses concourraient
au bien de ceux qui L’aiment. Il l’a promis, et il doit en être ainsi.
Cela doit être. Cela nous a été annoncé, au figuré, en Lui. Il était
l’Image parfaite de Dieu. Maintenant nous voyons ici, aussi, que, quand
Il reviendra...
97 Souvenez-vous, Joseph, par révélation, il a sauvé
le monde, grâce à sa grande prophétie. Sans Joseph, le monde serait
mort.
De même, sans Jésus, le monde aurait–aurait été
mort. “Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique,
afin que quiconque croit en Lui ne périsse point.” Dieu tient la Vie en
réserve.
98 On pourrait continuer pendant longtemps! En
effet, Il a correspondu tout à fait à David. Il a correspondu à Moïse.
Il a correspondu à Élie. Il a correspondu à Joseph. Tout ce qui a été
représenté ou prédit par Lui, dans l’Ancien Testament, a correspondu
parfaitement (qu’est-ce?), pour montrer un Rédempteur parfait. Pour que
nous puissions remettre nos vieux vêtements sales à la blanchisserie,
et retourner les réclamer. Ils ont été lavés dans le Sang de l’Agneau.
Nous pouvons réclamer ce qui est à nous. Et tout ce pour quoi Il est
mort, nous pouvons le réclamer. Donc, Il était la Parole parfaite,
représentée.
99 Il a plu à Dieu, le grand Sculpteur, de Le
frapper, et de le faire de cette manière-là. Nous Le voyons, dans
Ésaïe, ici, comme je l’ai lu: “Nous L’avons tous considéré, nous avons
détourné notre visage de Lui. Son aspect n’avait rien pour nous
plaire”, tout le monde parlait de Lui, se moquait de Lui. C’est de Lui
maintenant, en ce jour-ci, que je parle; tout le monde se moque de Lui.
Voyez? “Nous L’avons considéré, nous L’avons vu.” Considérer, ça veut
dire “regarder”. “Nous L’avons considéré comme frappé et affligé par
Dieu.” Mais Il, pourquoi a-t-Il fait ça? “Il était blessé pour nos
transgressions; Il était brisé pour notre iniquité.”
100 Maintenant, on pourrait continuer pendant
longtemps là-dessus, mais je crois que vous avez une vue d’ensemble de
ce que je veux dire, là, Dieu qui reconstruit Son chef-d’œuvre.
101 Mais n’oublions pas qu’au commencement, quand Il
a frappé le côté d’Adam, Il a retiré quelque chose de son côté.
Or, si Christ a été frappé, c’est dans un but, pour
qu’Il puisse retirer de Lui quelqu’un, pour former une famille,
l’Épouse; qu’Il puisse prendre de Lui une Épouse. Alors, quand Son
Chef-d’œuvre a été amené à la perfection, c’est à ce moment-là qu’il
Lui a fallu Le frapper, pour retirer de Lui, non pas un autre morceau,
non pas une autre création, mais une partie de la même création.
102 Mon frère, ne le prenez pas mal, mais pensez-y
un instant. Si c’est de Lui, la création originelle, qu’Il a retiré un
morceau pour former Son Épouse, Il n’a jamais procédé à une autre
création, Il a pris une partie de la création originelle. Dans ce cas,
s’Il était la Parole, qu’est-ce que l’Épouse doit être? Elle doit être
la Parole originelle, le Dieu vivant dans la Parole.
103 À Kimberley, en Afrique du Sud, une fois, je
regardais des diamants, la manière dont on les extrayait du sol. Et je
les voyais par terre. C’est que, eh bien, le directeur de l’usine, ou
de la mine, était un de ceux qui s’occupaient de l’ordre dans mes
lignes de prière. J’ai remarqué que les diamants, qui étaient évalués à
des dizaines de milliers de dollars, étaient là empilés, mais ils ne
scintillaient pas, même à la lumière. Alors j’ai dit au directeur des
mines, j’ai dit: “Pourquoi est-ce qu’ils ne scintillent pas?”
104 Il a dit: “Monsieur, ils n’ont pas encore été
taillés. Il faut qu’ils soient taillés. Ensuite, une fois taillés,
c’est là qu’ils reflètent la lumière.” Et voilà.
105 Le Chef-d’œuvre doit être taillé. Remarquez,
taillé pour quoi? Est-ce que le morceau est retranché? Non, non. Le
morceau qui est retranché, on en fait une aiguille de phonographe, et
l’aiguille de phonographe est posée sur un–un–un disque, une musique
invisible aux yeux du monde. Mais c’est l’aiguille qui la fait
ressortir, qui fait ressortir l’interprétation véritable de la Parole.
106 Sa vie a correspondu à tous les peuples. Il a
plu à Dieu de Le frapper. Et, alors, pourquoi L’a-t-Il frappé? Pour la
même raison qu’il Lui a fallu frapper Adam.
107 Maintenant nous Le voyons puni, frappé de Dieu,
et affligé, l’Agneau parfait, immolé pour le pécheur, les pécheurs: un
Chef-d’œuvre parfait.
108 Maintenant, depuis près de deux mille ans, Dieu,
de nouveau a été occupé à Lui faire un Chef-d’œuvre. En effet, Il a
frappé Adam pour détacher un ch-… un morceau de lui, une partie de lui,
une côte, pour lui faire une épouse. Et maintenant, ce Chef-d’œuvre
parfait qu’il a frappé au Calvaire, Il En a détaché un morceau. C’est
simplement le Nouveau Testament, c’est tout. Il a accompli l’Ancien
Testament; maintenant c’est le Nouveau Testament, un autre morceau qui
doit s’accomplir. Voyez-vous, le Nouveau et l’Ancien sont mari et
femme. Voyez? Et il a fallu le Nouveau pour pré-… l’Ancien pour
présager le Nouveau; Christ est venu, le Chef-d’œuvre, pour accomplir
cela. Maintenant Son Épouse va accomplir tout ce qui se trouve dans le
Nouveau Testament. Un autre Chef-d’œuvre est en train de se faire.
109 De même qu’il Lui a fallu quatre mille ans pour
faire ce Chef-d’œuvre, voilà que, depuis près de deux mille ans, Il a
été occupé à faire un autre Chef-d’œuvre, une Épouse pour Christ, un
autre Chef-d’œuvre. Et pour le faire, Il le fait en utilisant Sa
méthode qui ne change jamais, le même moyen qu’Il avait pris pour faire
le Chef-d’œuvre: Sa Parole. C’est ce moyen-là qu’Il prend pour faire
Ses Chefs-d’œuvre, parce que c’est seulement par la Parole parfaite que
Ce peut être un Chef-d’œuvre parfait.
Toute boue, tous déchets, tout élément injecté, et
il se brisera. “Mais les cieux et la terre passeront, mais cette Parole
ne se brisera jamais.” Rappelez-vous, quand on taille un diamant, il
faut avoir un outil parfait pour le faire, n’importe quelle pièce ne
fera pas l’affaire. J’en ai vu passer avec fracas dans des grands
broyeurs de plusieurs tonnes, pousser ces poids de plusieurs tonnes, ce
diamant, il passe à travers tout ça. Non, ça ne brisera pas le diamant.
Il faut qu’il soit taillé.
110 Maintenant Il fait la même chose, par Sa méthode
qui ne change jamais. Nous voyons, dans Malachie 3, qu’Il a dit: “Je
suis Dieu, Je ne change pas.” Il ne peut pas changer de méthode.
111 Donc, Il a commencé avec Abraham. Après la chute
du premier chef-d’œuvre, Il a commencé avec Abraham, à poser un
fondement, pour construire un autre chef-d’œuvre.
Au Jour de la Pentecôte, qui descend, Il a commencé
à construire un autre Chef-d’œuvre, la Parole-Semence originelle. Il a
commencé dans la première Église. Qu’est-ce que c’était? La
Parole-Semence, la Parole manifestée, la promesse qui avait été faite.
Joël avait dit: “Dans les derniers jours, dit Dieu, Je répandrai Mon
Esprit sur toute chair; vos fils et vos filles prophétiseront, vos
vieillards auront des songes, vos jeunes gens auront des visions.” Ce
qu’Il ferait dans les derniers jours, les deux, les derniers deux mille
ans.
112 Remarquez, et au commencement, c’était
l’original. Comme Jésus l’a dit: “La Parole de Dieu est une Semence
qu’un semeur a semée.” Et Il était le Semeur. La Semence, c’était la
Parole. Et, remarquez, toute semence qui reste seule ne produira jamais
rien. Elle doit tomber en terre pour donner de nouveau sa production.
Et cette Semence, cette Église parfaite, elle est tombée en terre à
Nicée, Rome, quand elle est devenue une dénomination.
113 Maintenant, les historiens, souvenez-vous. Et
vous qui allez écouter cette bande, vérifiez-le et vous verrez si c’est
bien juste. L’église est morte à Nicée, Rome, quand elle a adopté des
dogmes et des credo, au lieu de la Parole originelle. Qu’est-ce que
c’était? Dieu avait démontré, par cette première Église, qu’Il était
Dieu. Il avait une Église parfaite; mais l’Église, comme toutes les
autres semences, elle doit tomber en terre et mourir. Donc, elle est
tombée en terre, elle est morte, elle a perdu sa force.
114 Vous savez, j’ai lu un livre, là, dernièrement.
Quelqu’un avait écrit un–un livre, il parlait du Dieu silencieux. Vous
l’avez peut-être lu. J’ai oublié, je–je pense que c’est Brumback...
Non, je ne, je ne suis pas sûr du nom de l’auteur. Mais, je n’arrive
pas à me rappeler. Je l’ai dans mon bureau. Le Dieu silencieux. Il
disait: “Dieu, pendant les mille ans de l’âge des ténèbres, est resté
là sans même bouger la main, et Il a regardé de fidèles martyrs aller
dans la fosse aux lions, et être brûlés par les Romains; des
assassinats de tous genres; on déshabillait les femmes complètement, on
mettait le feu à leurs cheveux longs, avec du goudron, et on les
brûlait.” Souvenez-vous, les cheveux courts, c’est à Rome que ça a
commencé, au début. Les femmes chrétiennes avaient les cheveux longs,
alors on–on trempait ceux-ci dans du goudron et on y mettait le feu, et
on les brûlait, alors qu’elles étaient nues; on les livrait aux lions.
Et cet auteur ajoutait: “Où est ce Dieu?”
Oh, combien l’homme peut être aveugle parfois! Ne
savez-vous pas que cette Semence devait mourir? Il n’a jamais cherché à
les délivrer. Ils sont descendus en terre victorieux. Ils sont
descendus en terre, ensanglantés et à l’agonie, en donnant leur vie.
Pourquoi? C’était une Semence. Elle devait tomber en terre, comme il
nous est dit dans I Jean 12. “Le grain de blé doit tomber en terre et y
mourir; et pas seulement mourir, mais pourrir.” Mais cette dénomination
était loin de se douter que la Vie était encore là. Bien que l’église
elle-même...
115 Au concile de Nicée, ces quinze jours de débats
politiques avides de sang, au moment où les aristocrates sont arrivés,
qu’ils voulaient injecter ces grands dignitaires dans l’église. Et des
prophètes sont venus du désert, là; ils se nourrissaient d’herbes
sauvages et se couvraient de peaux d’animaux, des vrais prophètes, et
on les a expulsés. Pourquoi? La Semence doit tomber en terre. Elle doit
mourir.
116 Elle est morte à l’âge des ténèbres, enfouie
sous la boue noire. On pensait que c’était sa fin. Vous savez, dans
Jean 12.24, Jésus a dit: “Si le grain de blé ne tombe en terre, il
reste seul.” Et la première Église, c’était cette reproduction, cette
Épouse, cette Semence, cette Parole manifestée, qui est tombée en terre
à Nicée, Rome. [Frère Branham donne plusieurs coups sur la chaire. –
N.D.É.]
117 Écoutez, Église, vous qui entendrez ceci, dans
toutes les nations. La voilà votre boue, ce sont les dénominations.
C’est là que la Parole a été crucifiée, et qu’ils ont accepté des
dogmes. Et pendant les centaines et les centaines d’années qu’a duré
l’âge des ténèbres, la Puissance et la manifestation de la Parole
étaient cachées au monde. Le catholicisme était seul à régner. Ça, nous
le savons tous pour avoir étudié l’histoire. Le catholicisme était seul
à régner.
118 Mais on–on ne peut pas cacher une Semence
fécondée, Elle doit percer (pourquoi?), parce que le grand Sculpteur
est à l’œuvre. Il va construire de nouveau. Alors Il...
La Semence est tombée, la Parole.
119 Quand nous voyons saint Paul, Pierre, Jacques,
Jean, tous ceux qui ont écrit la Parole. Ils ont écrit, et la Parole
qu’ils ont écrite a pris vie, a vécu, Elle a vécu. Et nous voyons,
quand Elle est arrivée à maturité, Jean s’est mis à écrire les épîtres,
là, il a été expulsé sur l’île de Patmos, après avoir été brûlé dans de
l’huile pendant vingt-quatre heures. Mais la Parole doit sortir. Elle
doit être écrite. Ils n’ont pas réussi à faire sortir le Saint-Esprit
de Jean en faisant bouillir celui-ci dans l’huile, alors Jean en est
ressorti. Son travail n’était pas terminé. Il est mort de mort
naturelle.
120 Polycarpe, qui était un disciple de Jean, a
continué à porter la Parole. Après Polycarpe, il y a eu Irénée. Irénée,
le grand homme de Dieu qui croyait exactement le même Évangile que nous
croyons: “La Parole est juste.” Et l’église faisait pression pour S’en
débarrasser.
121 Finalement on en est venu à Nicée, Rome, et
c’est là qu’elle est tombée en terre, après saint Martin, et elle a été
assassinée. Saint Martin croyait la même chose que nous croyons. Il a
défendu la même chose: le baptême du Saint-Esprit, le baptême d’eau au
Nom de Jésus. Il a défendu exactement la même chose que nous. Il était
un prophète, et il croyait la Parole entière de Dieu. Finalement, ils
ont été crucifiés et enfoncés dans la terre, et ils sont restés là
pendant des centaines d’années, jusqu’à ce que l’enveloppe de la
Semence pourrisse. Les vieux cadavres sont tombés en pourriture. Je
suis allé aux catacombes de Saint-Ange, et j’ai vu où ils sont morts,
leurs os en morceaux et tout. Ils ont fini par tomber en pourriture, si
bien que leurs os étaient défaits, mais la Vie était toujours là.
122 Le grain de blé qui est tombé en terre le... au
concile de Nicée, il a recommencé à germer, en Martin Luther. C’est la
même chose pour n’importe quel grain qui pousse, ou pour le blé; après
que les semences ont pourri, la vie jaillit. Et il a commencé à
produire en Martin Luther. Qu’est-ce que celui-ci a fait, pour
commencer? Il a rejeté la dénomination du catholicisme, il a protesté
en déclarant qu’elle était dans l’erreur. En effet, il a dit: “Le juste
vivra par la foi.” Qu’est-ce que c’était? Une petite Vie, toute faible,
qui produisait quelques petites pousses. Ça, c’était ceux de Luther. Ça
ne ressemble vraiment pas au grain qui est allé en terre, mais là, la
Vie est en train de sortir.
123 Ensuite, c’est devenu une tige. Alors, qu’est-ce
qui s’est passé? John Wesley, à son époque, lui, qu’est-ce qu’il a
fait, quand il a introduit la sanctification? Il s’est tenu à la
Parole. Et qu’est-ce que cela a produit? Les luthériens s’étaient
organisés, ils avaient formé une organisation, alors il était temps que
quelque chose se produise. Le chef-d’œuvre est en train de se
construire, là. Qu’est-ce qu’il a fait? Qu’est-ce qu’il a fait? Il a
protesté contre l’église anglicane, il s’est manifesté, dans la
réforme, comme l’aigrette. Qu’est-ce que c’est? La semence prend Vie,
maintenant, elle pousse.
124 Or, la tige ne ressemble pas à la semence, et
l’aigrette non plus.
125 Maintenant, mes frères pentecôtistes de toutes
les nations, je veux que vous écoutiez, mon frère. Si ce devait être le
dernier Message que je prêche, Ceci, c’est mon chef-d’œuvre. Est-ce que
vous remarquez, au moment où le blé... le grain de blé qui tombe en
terre, au moment où il recommence à former le–le grain de nouveau?
126 Observez la nature. La nature, c’est Dieu,
précisément. Dieu oeuvre dans la nature, c’est Son seul moyen. Mais
après le réveil pentecôtiste, qui, selon eux, était la Semence; ça ne
l’était pas. Maintenant regardez bien. Pourtant, quelque chose est
apparu, qui était tout à fait semblable à la Semence. Regardez bien ce
que Jésus a dit, là, dans Matthieu 24.24, que “dans les derniers jours,
les deux esprits seraient tellement proches, au point de séduire les
Élus, si c’était possible”.
127 Or, la tige ne ressemble en rien au grain; et
l’aigrette non plus ne ressemble pas au grain. Mais maintenant,
remarquez, pas au jour de Luther, mais au dernier jour.
128 La première chose, – il y a des producteurs de
blé assis ici, – la première chose qui sort pour produire la semence de
blé, on croirait presque que c’est la semence, mais (qu’est-ce que
c’est?) c’est la balle. Une espèce de petite enveloppe se forme, pour
contenir la semence. La balle se forme. Mais la balle n’est pas la
semence, pas plus que l’aigrette ou la tige ne l’étaient. Elle n’est
qu’un porteur de la vie, du grain de blé dans ce cas-là. Jean 12, vous
voyez, Jésus qui parle.
129 Le blé, après l’aigrette (après Wesley), il
produit la balle, ce qui ressemble le plus au grain, plus que tout le
reste. La balle ressemble plus au grain. Ça se rapproche constamment du
grain, de ce qui est allé en terre. Et quand la tige sort, il y a la
Vie dedans, mais ce n’est certainement pas le grain. L’aigrette sort,
le pollen, encore là ce n’est pas le grain. Et ensuite la balle sort,
et celle-ci a la même forme que le blé, tout à fait semblable au grain
de blé, mais pourtant, ce n’est pas le blé. Exactement la même forme,
parfaitement.
130 Les pentecôtistes sont sortis, exactement de la
même manière que le blé. Chacun sort du précédent, sort du précédent,
mais ce ne sont que des porteurs. Ils deviennent une dénomination. Et
c’est ce que la pentecôte a fait, elle est devenue une dénomination. Et
qu’est-ce que le pentecôtisme a fait, quand il est sorti, tout à fait
semblable au grain? Tout de suite il est retourné, comme dans
Apocalypse 17, former une des sœurs dénominationnelles. C’est
exactement ça. C’est ce que Jésus a dit.
131 Maintenant observez. L’Évangile va sortir, en
passant par Luther, par Wesley, dans la pentecôte, et, aux derniers
jours, ça séduirait même les Élus, si c’était possible. Les Élus! Oh,
mes frères pentecôtistes, ne voyez-vous pas?
132 Le blé, à son premier stade, il est tout à fait
semblable à la semence, quand il commence à prendre la forme de la
semence, mais c’est la balle. Elle a formé une dénomination, elle a
fait exactement la même chose que ce qu’ils avaient fait, ici, avec
Luther. Apocalypse 17 démontre la même chose, au sujet des églises.
133 Or, le grain de Semence, l’original, est tombé à
Nicée, parce que c’est là qu’il y a eu la première dénomination.
134 Remarquez, là, la Vie qui se trouvait dans la
tige, dans l’aigrette, tout cela aboutit dans la Semence. La Vie qui
est sortie de la Semence originelle s’est transmise par différents
processus (trois processus différents), pour revenir ensuite à Son état
originel. Alléluia! Oh! la la! Je suis la personne la plus heureuse du
monde, que Dieu m’ait donné de voir Ceci. Observez avec quelle
perfection la Parole et ces choses (la nature) oeuvrent ensemble.
135 De la même façon, nous démontrons la
résurrection: le lever du soleil, le coucher du soleil, le lever de
nouveau.
La feuille qui tombe de l’arbre, qui descend, la
sève qui descend dans la racine, puis qui remonte, et–et la feuille qui
revient en même temps. Elle tombe sur le sol; tout de suite la vie de
l’arbre va l’absorber, en absorber le calcium et la potasse, ce qui va
faire réapparaître une nouvelle feuille.
Voyez-vous, la nature tout entière, tout oeuvre en
harmonie avec–avec la Parole de Dieu. Et voici la même chose,
exactement, parfaitement, dans les Âges de l’Église. C’est pour cette
raison que le Saint-Esprit est descendu et a dessiné ces choses, et
nous les a présentées comme Il l’a fait. C’est tout à fait ça.
136 Remarquez, ici, la Vie qui était dans la balle;
dans la tige, dans l’aigrette, dans la balle, tout ça se rassemble dans
la Semence. Et la Vie qui était dans la tige a servi, l’une a servi à
former l’autre. La justification a ouvert la voie à la sanctification.
La sanctification a ouvert la voie au baptême du Saint-Esprit. Le
baptême du Saint-Esprit a ouvert la voie au Saint-Esprit Lui-même, pour
qu’Il descende dans Sa perfection, en ramenant la Parole de nouveau,
pour pouvoir Se manifester.
137 Par contre, tout ce qui a formé une dénomination
est mort. Par exemple, la Vie qui était en Luther a servi à former
Wesley. Et–et, de Wesley, Elle est passée dans la pentecôte. Et, à
partir de la pentecôte, Elle a servi à former la Semence originelle.
Elle sort du groupe de Wesley, où Elle reste jusqu’au moment de passer
dans la pentecôte. La raison pour laquelle la pentecôte est sortie de
Wesley, c’est parce qu’elle n’était pas une dénomination, la pentecôte
n’en était pas une. Ensuite la pentecôte a formé une dénomination, et
(qu’est-ce qu’elle a fait?) elle est devenue la balle. On aurait dit, à
la regarder, que c’était la Chose véritable.
138 N’importe qui, combien ont déjà vu une–une
semence de blé qui commence à pousser? La première petite chose, c’est
quoi? C’est tout à fait semblable à la semence, mais c’est la balle.
Vous voyez les trois étapes? La tige, l’aigrette ou
le pollen, ensuite la balle. Et alors, de la balle sort la Semence
originelle. Voyez? Ce n’était pas une Semence; c’était la Vie de la
Semence qui se développait à travers ces étapes, pour arriver à former
la Semence. Amen, amen! Le voyez-vous? Qu’est-ce que c’est? Une
résurrection, pour former de nouveau un Chef-d’œuvre, pareil à Celui
qui est tombé en terre.
139 La pentecôte est sortie de Wesley, parce que
Wesley était alors une organisation. La pentecôte, qui n’était pas une
organisation, est sortie, et après, elle en est devenue une. Il le
fallait, pour qu’elle forme la balle. La véritable Parole de Vie qui
était sur elle, maintenant Elle allait former le Grain originel, par
ces étapes. Elle est passée de la tige, alors, dans le pollen; du
pollen, dans la balle; et Elle est sortie de la balle pour produire la
Semence.
140 Non, la tige, l’aigrette, la balle, quand ils
étaient en vie, ils ont produit (au début de leur réveil) un porteur
d’une certaine partie de la Vie de la Semence, mais, quand ils ont
formé une organisation, la Vie en est sortie. Nous avons la preuve de
ça tout au long de l’histoire. Aucune organisation n’a jamais produit
quoi que ce se soit après s’être organisée. Elle était morte. C’est
exact.
141 Regardez bien, la Vie continue son trajet, là.
Elle continue à avancer.
142 Remarquez, ce qu’elles ont fait, ce que
celles-là ont fait, toutes, l’histoire nous le prouve que c’est
exactement comme ça que ça s’est passé pour les églises, elles
n’allaient plus jamais Lui être utiles. L’organisation a été mise au
rancart. Tout au long de l’histoire, il n’y jamais eu une église qui ne
soit morte après s’être organisée. L’organisation est morte, et elle ne
s’est plus jamais relevée. Ne le voyez-vous pas? Hommes aveugles,
ouvrez les yeux! La nature et la Parole sont là qui oeuvrent en
coordination, et le prouvent, ici même, que Ceci, c’est la Vérité, que
c’est la Vérité. La Vie sort de la tige pour former l’aigrette; à
partir de l’aigrette, Elle forme la balle; et Elle sort de la balle
pour prendre forme de nouveau dans le Grain originel. Remarquez, elles
n’allaient jamais plus Lui être utiles.
143 C’est quelque chose de vraiment remarquable,
cette vie, son trajet dans le grain de blé, il est bien différent de
son trajet dans l’arbre. Dieu a dit de Son peuple qu’il était semblable
à un arbre; voyez-vous, la vie descend dans l’arbre, et elle remonte;
elle descend et elle remonte; voyez-vous, elle descend et elle remonte.
Mais, dans le grain de blé, elle monte, à partir de la tige
originelle... elle passe dans la tige, l’aigrette, la balle; et ce
qu’elle a traversé meurt, alors elle ne peut plus y retourner.
Qu’est-ce qu’il y a? Ce n’est plus d’aucune utilité. Elle poursuit son
chemin pour atteindre sa perfection.
Amen! Ne voyez-vous pas pourquoi Il n’a jamais
utilisé une organisation? Il ne peut plus y retourner. Elle est morte.
Mais la Vie continue à se transmettre, de l’un dans l’autre.
Voyez-vous, ils introduisent des credo, et ils injectent. “Quiconque
ajoutera une seule parole, ou retranchera une seule Parole”,
voyez-vous, il n’Y a plus accès. C’est la Semence de Vie qui doit
continuer son trajet.
144 J’utilise ceci pour vous montrer en parabole,
là, l’Épouse, le Chef-d’œuvre qui est en train de percer. Comme le
Chef-d’œuvre qui est tombé, il y a un Chef-d’œuvre qui est en train de
se lever. Le Chef-d’œuvre est tombé à la Pente-… à Nicée, Rome, à
Nicée. Après Nicée, Rome, Elle a suivi un processus, mais voilà qu’Elle
est en train de redevenir ce Chef-d’œuvre, amené à la perfection, parce
qu’Elle est une partie de cette Parole qui a été prononcée par Lui. Il
aura “une Église sans tache ni ride”. Elle ne sera reliée en aucune
façon à quelque organisation ou à quelque dénomination que ce soit, à
cette chose maudite. Elle est passée par ces choses-là, mais celles-ci
ne seront jamais là.
145 Remarquez, la semence monte, cette Vie monte,
elle ne retourne pas en arrière. Il n’y aura plus de résurrection après
ceci. La Vie monte, pour atteindre sa perfection, une résurrection.
Remarquez, la balle a produit le–le... Remarquez, la
balle expulse la Semence originelle. C’est ce que nous voyons dans
Apocalypse, chapitre 3.
146 Maintenant, souvenez-vous, Il n’a été expulsé
d’aucune autre église, dans la Bible, au long des Sept Âges de
l’Église. Combien s’en souviennent? Il a traversé chaque Âge de
l’Église, pour continuer, produire autre chose. Mais, avec ceci, ça Y
est. Il n’y a plus rien d’autre. Mais, le–le Sculpteur est arrivé à la
perfection de nouveau, la Parole. Voyez? Ne retournez pas en arrière.
C’est Quelque Chose de tellement différent. Oui. Oh!
147 Et remarquez, alors, la balle, quand elle
apparaît, son aspect est tout à fait semblable à celui du Grain. Mais
quand la Vie du Grain commence à sortir de la balle, pour aller former
le Grain (l’Épouse), la balle s’ouvre et elle excommunie le Grain. Pas
vrai? La nature, et c’est exactement ce qu’elle a fait.
148 Dans–dans Apocalypse 3, nous voyons que l’Âge de
l’Église de Laodicée L’a mis à la porte. Or, voyez-vous, ce n’était pas
arrivé dans les autres âges, parce qu’il y avait quelque chose d’autre
qui devait encore être produit. Elle n’a fait que passer de l’un à
l’autre, continuer son trajet. Je vous le dis, depuis le début, il n’y
a plus d’autre dénomination à venir. Nous sommes à la fin. Et ils L’ont
mis à la porte (pourquoi?), parce qu’Il–Il–Il est la Parole, de
nouveau. Il est comme Celui qui est tombé, là. Il est la même Doctrine
qui était apparue au commencement.
149 Et quand la Parole-Semence commence à se
développer, la balle La repousse. La Vie quitte tous les autres, pour
qu’ils La suivent. Voilà les vrais croyants, ils suivent la Vie,
partout où va la Vie.
150 C’est comme Israël, un type parfait, si nous
avions le temps; il ne me reste que quelques minutes. Mais un type
parfait, au commencement, partout où allait cette Colonne de Feu, il y
avait la Vie. Dieu était cette Lumière. Même s’il était minuit, ou
qu’ils étaient dans un bel endroit de choix, peu importe, quand la
Colonne de Feu se déplaçait, la trompette sonnait et Israël se
déplaçait avec Elle.
Alléluia! Et quand la trompette a sonné, Martin
Luther a pris le départ avec Elle. Et il s’est organisé, ce qui a
tué... pas lui personnellement; l’homme après lui. Alors, Dieu a ôté la
Vie de là, Il Lui a fait continuer son trajet, Il les a fait descendre
dans la tombe.
151 Alors Wesley est sorti. Il a vu cette grande
organisation, alors il a sonné la trompette de la sanctification: une
plus grande portion de la Parole. Voyez? À ce moment-là, ils ont pris
le départ, ils sont sortis directement–sortis directement de Luther
pour entrer dans le méthodisme.
152 Et quand la pentecôte L’a vu, ils ont sonné de
la–de la trompette, c’était l’heure du retour des dons. Vous voyez ce
qu’ils ont fait? Ils ont sonné de la trompette, et voilà, ils sont
sortis. Ensuite ils se sont organisés.
Mais, souvenez-vous, après la balle, – ce sont les
trois étapes que nous connaissons, – il ne reste plus que le Grain. Ô
Dieu! Et ensuite, le Grain est expulsé de tout le reste. Amen et amen!
Les Paroles de la Semence commencent à, prendre forme, la Vie sort
de... Maintenant remarquez, si l’Époux, le commencement, le premier,
l’Époux... Ici, c’est l’Épouse qui est en train de se manifester.
153 Souvenez-vous, l’Église a commencé à la
Pentecôte, et Elle est tombée à Nicée. Elle a germé, pas dans la
ressemblance du vrai Grain, non; il y avait là une partie de la Vie,
mais elle a germé pour produire une organisation. Et Il s’est retiré de
cette organisation. Et ensuite, qu’est-ce que la Vie a fait? Ensuite, à
partir de cette organisation-là, Elle est passée dans une autre
organisation, Elle est passée dans une autre étape de la Parole: la
justification, la sanctification, le baptême du Saint-Esprit. Voyez?
Et, comme Elle passait dans la tige et qu’Elle suivait le processus,
Elle se développait de plus en plus.
154 Souvenez-vous, le petit pollen ressemble plus,
l’aigrette ressemble plus à la Semence que la tige. Et la balle
ressemble plus à la Semence que l’aigrette. Mais la Semence Elle-même,
c’est plus que ça. Voyez? Elle s’en est seulement servie comme moyen de
transport, pour Se rendre au bout.
155 Remarquez, l’Épouse. Si l’Épouse, au
commencement, était la Parole, ou, l’Époux, alors, si l’Épouse est
tirée de l’Époux, Elle doit, Elle aussi, être la Parole. Remarquez,
c’est ce que l’Épouse doit être.
156 Pourquoi, pourquoi l’Époux doit-Il être la
Parole manifestée, exposée clairement? C’est parce que l’Épouse et
l’Époux sont Un. Elle est simplement un morceau qui s’est détaché de
Lui quand Il a été frappé. Voilà le Chef-d’œuvre. Il a été frappé.
Dire...
157 Michel-Ange ne pouvait pas le reproduire de
nouveau. Il ne pouvait pas le remettre en place.
Mais Dieu, Lui, Il va le faire. Il va ramener la
petite Épouse, qui a été frappée, tout droit aux côtés de la Parole
originelle. Et Le voilà, voilà le Chef-d’œuvre, la famille de retour
dans le jardin d’Eden de nouveau.
158 Comment cette Épouse va-t-Elle y arriver?
Comment ce Blé va-t-il y arriver? Malachie 4 a annoncé que, dans les
derniers jours, ces choses seraient rétablies (quoi?), rétablies, comme
elles étaient au commencement; qu’Il les ramènerait! “Je rétablirai”,
dit l’Éternel, “toutes les années qu’ont dévorées le gazam, et le
jélek, et toutes ces autres choses. Je les restituerai de nouveau.”
Malachie 4 dit: “Il ramènera le cœur des gens, et la Foi des gens, aux
premiers pères de nouveau.” Voyez? C’est ce que nous voyons en plein
devant nous, Église. Où en sommes-nous?
159 Maintenant, je vais terminer dans quelques
minutes. Je voudrais que vous soyez très attentifs, quelque chose qui
est arrivé dernièrement.
Malachie 4 doit ramener, ramener à l’original.
160 Elle est retranchée de l’église, du corps de
l’église; Elle est retranchée avec Son Maître, pour la même raison.
Elle est la Parole. Tout comme Joseph a été retranché de ses frères
parce qu’il était la Parole. Et Jésus a été retranché de Ses frères
parce qu’Il était la Parole. L’église est retranchée... L’Épouse est
retranchée de l’église parce qu’Elle est la Parole. Voilà encore vos
étapes: un, deux, trois, voyez-vous, très précisément.
161 La Parole, vivante et en action, l’Épouse de la
Bible, et non une épouse faite de main d’homme; l’Épouse de la Bible,
frappée et affligée par Dieu. “Son aspect n’avait rien pour nous
plaire; mais nous L’avons considérée comme frappée et affligée par
Dieu.” C’est exact. Elle reste seule. Elle est retranchée de toutes les
dénominations, conformément à Apocalypse 3. Elle est retranchée de
l’Âge de l’Église de Laodicée, où Elle avait pris naissance. Voyez?
Cette Église a pris naissance dans l’Âge de l’Église de Laodicée, qui
est la balle. Mais si les autres ont...
162 Ne le voyez-vous pas, vous les hommes, les
pentecôtistes? Si l’autre, c’était la balle, et qu’elle est morte; si
l’autre (la tige) a dû mourir, si l’aigrette a dû mourir, la balle
aussi, il faudra qu’elle meure; les trois étapes des organisations.
163 Et, souvenez-vous, vous dites: “Bon, eh bien, il
y a eu beaucoup d’aigrettes qui sont restées là. Il y a beaucoup de
ceci.” Oui. Il y a eu les méthodistes, les baptistes, les
presbytériens, les luthériens, l’église du Christ, toutes ces autres
petites choses qui s’y sont ajoutées. les feuilles et tout le reste,
elles sont restées là, mais l’original, c’était les réformes. là,
voyez-vous.
164 Elle reste seule, comme l’Époux, “rejetée par
les hommes, méprisée et rejetée par les églises”. L’Épouse est dans cet
état-là. Qu’est-ce que c’est? C’est Son Chef-d’œuvre. voyez-vous, c’est
la Parole, à travers laquelle Il peut agir, qu’Il peut manifester. Le
rejet!
165 Donc, la tige, l’aigrette et la balle ne sont
jamais devenues la Semence, non, mais elles ressemblent de plus en plus
à la Semence.
166 Maintenant, au temps de la moisson, la Semence
retrouve sa Vie originelle, c’est un retour à la Bible. Malachie 4 nous
a dit qu’elle en arriverait là. Oh! oh! la la! Elle doit avoir tout!
Pour être cela, Elle doit avoir toute la Parole. Pas vrai? [L’assemblée
dit: “Amen.” – N.D.É.]
167 Maintenant qu’est-ce qu’Il a annoncé, dans
Apocalypse 10? Quel a été le but de ce voyage à Tucson? Pour ouvrir à
l’Église: “Aux jours du messager, du septième ange, du Message du
septième ange, toute la Parole de Dieu serait manifestée. Le Sceau,
tout ce que la tige avait laissé en suspens, le pourquoi et tout ce
qu’il En était, serait manifesté en cette heure.”
Est-ce bien ce que la Parole dit? [L’assemblée dit:
“Amen.” – N.D.É.] Alors, nous le voyons. Dans ce cas, où en
sommes-nous, voyez, où en sommes-nous? Il n’y a qu’une chose: c’est le
moment de la moisson. Elle est parfaitement mûre. Maintenant Elle est
prête pour la Venue. Remarquez.
168 Non, elles ne seront jamais Cela. Au temps de la
moisson, la Semence est revenue à son état originel, et elle doit avoir
toute la Parole, pour pouvoir être la Semence. Or, vous ne pouvez pas
avoir une moitié de Semence; ça ne pousserait pas. Voyez? Il faut que
ce soit la Semence entière. Elle doit manifester, non pas... Vous
dites: “Je crois au baptême du Saint-Esprit. Alléluia! Je crois au
parler en langues.” Ça, ce n’est qu’une partie de la Semence, oui, mais
maintenant il y a plus que ça. Alléluia! Voyez? La Vie, pas les dons;
la Vie des dons. Voyez? Vous voyez ce que je veux dire? Nous sommes au
temps de la fin, frères.
169 La tige, l’aigrette, la balle, elles sont mortes
et elles sont sèches maintenant. Il n’y a qu’une chose qui doit leur
arriver, c’est qu’elles vont être rassemblées dans le Conseil mondial
des Églises pour être brûlées.
170 La Parole est devenue chair, tout comme Il
l’avait promis dans Luc 17, Malachie 4, et tout, voyez-vous, c’est
exact, Apocalypse.
171 Toute la Vie véritable, qui était dans la tige,
l’aigrette et la balle, est maintenant en train de se rassembler dans
la Semence, prête pour la résurrection, prête pour la moisson. L’Alpha
est devenu l’Oméga. Amen. Le premier est devenu le dernier, et le
dernier est le premier. La Semence, qui était allée en terre, a suivi
un processus et est redevenue la Semence.
La semence qui est tombée dans le jardin d’Eden, et
qui y est morte, est revenue. De cette semence imparfaite, qui est
morte là-bas, on en est revenus à la Semence parfaite, le Deuxième Adam.
172 La première Ève, qui est tombée, elle a été
utilisée dans la deuxième réforme... la deuxième venue, comme pour
produire un enfant, elle est maintenant redevenue la véritable Épouse,
la Semence, revenue tout droit à la Parole originelle.
L’Alpha et l’Oméga, c’est le même. Il a dit: “Je
suis l’Alpha et l’Oméga”, Il n’a jamais dit être quelque chose entre
les deux. Oui. “Je suis l’Alpha et l’Oméga, le Premier et le Dernier.”
Oui monsieur.
173 Le premier ministère et le dernier ministère,
c’est le même. Le premier Message et le (deuxième) dernier Message,
c’est la même chose. “Je suis, J’étais dans l’Alpha; Je suis dans
l’Oméga. “ “Il y aura un jour qui ne sera ni jour ni nuit, mais au
temps du soir il y aura de la Lumière.” Voyez-vous, l’Alpha et l’Oméga,
on y est maintenant, le premier et le dernier. Oh! la la! frères, on
pourrait passer des heures là-dessus.
174 Le grand chef-d’œuvre, cette famille, le
Deuxième Adam et la Deuxième Ève, sont maintenant prêts pour le jardin,
le Millénium, amen, à revenir sur terre. Alléluia! Le grand Sculpteur
ne les a pas laissés là. Il a mis du temps, comme Il avait mis des
millions d’années à façonner le premier couple parfait; et ils sont
tombés. Maintenant Il a mis des milliers d’années à façonner de
nouveau, et maintenant les voilà prêts.
175 Le Chef-d’œuvre est venu et Il a été abattu; de
Son côté est sortie Sa compagne.
Et Elle est modelée, par le même processus.
Maintenant La voici revenue; alors que toute la nature, la Bible, et
tout le reste, montrent que nous en sommes là.
Les nations se disloquent, Israël se réveille,
Les signes que la Bible a prédits;
Les jours des nations sont comptés (regardez toute cette racaille que
nous avons), ils sont remplis d’effroi,
Retournez, ô dispersés, vers les vôtres.
C’est exact. Vous faites mieux de vous dépêcher
d’entrer, si vous comptez partir.
Je vais bientôt terminer, peut-être dans les cinq
prochaines minutes, ou dix.
176 Remarquez le grand chef-d’œuvre, la famille. Le
mari et la femme ne peuvent pas vraiment former une famille s’ils ne
sont pas un. Il faut qu’ils soient un. Sinon, ils ne sont pas une bonne
famille; la femme tire d’un côté, le mari tire de l’autre. Ce serait
une famille terrible, ça. Mais quand il y a un accord, avec de l’amour
l’un pour l’autre, ça, c’est une famille. Et maintenant, – le
chef-d’œuvre de Dieu, c’était ça, – et maintenant, toute la famille
véritable, ici, représente celle-là. Voyez?
Et maintenant la famille, qui est le Chef-d’œuvre,
est revenue, Christ et Son Épouse sont prêts à venir. Le Deuxième Adam,
la Deuxième Ève, maintenant prêts à revenir à leur Demeure. Et le
tableau tout entier, c’était la rédemption. La ramener de là où elle se
trouvait, voyez-vous, exactement, la ramener de nouveau. Après...
177 L’autre jour, quand je me suis tenu devant les
Hommes d’Affaires Chrétiens. Beaucoup d’entre vous, je pense, étaient
là. Quand j’ai entendu ce prêtre luthérien, ou prédicateur, enfin c’est
ce qu’il prétendait être, se tenir là et faire cette déclaration
ridicule, et se moquer de ce que nous croyons. Que les Hommes
d’Affaires du Plein Évangile aient invité cet homme-là, et qu’il dise
ça. Il portait son col tourné vers l’arrière. Beaucoup d’entre eux le
font maintenant. Et il a dit: “Bon, les gens me demandent pourquoi je
porte mon col tourné vers l’arrière, ils me disent: ‘Comment va-t-on
vous distinguer d’un prêtre catholique?”‘ Il a dit: “Il n’y a aucune
différence, et il ne devrait pas y en avoir.” Il a dit: “Nous sommes
tous les enfants de Dieu.” Il a dit: “Je connais un prêtre catholique
qui est omniprésent, voyez-vous, qui peut être présent partout.”
178 Or, on ne peut pas être omniprésent sans être
omniscient. Dieu n’est même pas omniprésent; Dieu est omniscient. En
étant omniscient, Il est omniprésent, du fait qu’Il connaît toutes
choses. Mais pour pouvoir être un Être, Il doit se trouver dans un seul
Être. Parce qu’Il est omniscient–omniscient, Il peut être omniprésent.
En effet, Il connaît toutes choses, Il les connaissait avant la... Il
savait, avant que le monde soit fondé, combien il y aurait de puces, de
poux, combien d’insectes, et combien de fois ils cligneraient des yeux,
et tout à leur sujet, voyez-vous, parce qu’Il est omniprésent. On ne
peut pas être omniscient–omniscient sans être infini. Et il n’y a
qu’une chose qui soit infini: Dieu. Amen! Et alors, nous...
179 Qu’est-ce que c’est? C’est le diable, qui les
mène tout droit à ce massacre. Ils y entrent tous, exactement ce que la
Bible a dit. Et nous y voilà, voyez, il s’introduit en plein chez les
pentecôtistes, et il les attire tout droit, exactement comme... Quelle
heure!
180 Oh, après ce témoignage, quelqu’un m’a dit...
Je–je... Heureusement que je n’ai pas dit grand-chose, parce qu’ils
m’auraient probablement fait mettre en prison, là-bas. Mais j’ai
simplement pensé: “Nous y voilà.”
Les–les gens avertis, ils savent. Il est dit dans
Daniel: “Ce jour-là, les sages connaîtront leur Dieu.” Oui monsieur.
Voyez-vous: “Les sages connaîtront leur Dieu.” Ils guettent ces choses.
181 Mais, quand j’ai vu cette chose-là arriver, et
les pentecôtistes qui se tenaient là, à l’appuyer! Même Oral Roberts
m’a regardé comme ça. J’ai dit: “Oh! la la!” Ah! Mais il était là, avec
son instruction, ses manières raffinées, vous savez, et tout.
182 Ce n’est pas de cette manière-là que Dieu
raffine les Siens. Il ne les raffine pas avec une instruction. Il les
raffine par l’humilité, par–par la puissance de Sa Parole manifestée,
pour montrer la forme du Grain, d’où Il a été tiré.
183 Alors, quelqu’un m’a dit, il a dit: “Frère
Branham,” il a dit, “il y a une chose que je n’arrive pas à comprendre
à votre sujet.”
J’ai dit: “Quoi donc?”
184 Debout, là-bas, dans un couloir... Je pense,
Sœur Dauch et les autres, après que j’ai eu serré la main à Bill,
j’étais là; et ils ont tous tourné le coin, il y avait tout ce
monde-là. Un ministre s’est frayé un passage jusqu’à moi, avec son col
tourné vers l’arrière, il m’a dit: “Pourquoi est-ce que vous êtes
toujours en train de réprimander les gens?” Il a dit: “Ces gens-là
croient que vous êtes un serviteur de Dieu, et que vous devriez être
doux et gentil avec eux, et tout.” Il a dit: “Chaque fois que je vous
entends, quand vous vous levez, vous engueulez les femmes, au sujet des
cheveux courts, et du port des shorts, et du maquillage, et de toutes
ces autres choses; et vous engueulez les gens, vous leur dites qu’ils
sont froids et formalistes et indifférents.” Il a dit: “Pourquoi est-ce
que vous faites ça?” Il a dit: “Ces gens-là vous aiment. Comment
pouvez-vous être un fils de Dieu rempli d’amour, et faire une chose
pareille?”
J’ai pensé: “Seigneur, permets-moi de répondre à cet
homme intelligent. Tu vois? Permets-moi donc de lui répondre, quelque
part, pour qu’il se pende avec sa propre corde.” Oui.
J’ai dit: “Eh bien,” j’ai dit, “monsieur, avez-vous
déjà lu l’histoire du grand producteur de musique appelé... du grand
compositeur appelé Beethoven?”
Il a dit: “Oh, bien sûr, j’ai lu l’histoire de
Beethoven.
185 J’ai dit: “Il a probablement déchiré beaucoup de
brouillons, des corbeilles pleines, mais il a donné au monde des
chefs-d’œuvre.” Il n’a plus ouvert la bouche, il n’a pas ajouté un seul
mot. J’ai dit: “Quand il était assis dans son bureau sous
l’inspiration, il écrivait quelque chose. Il allait dans son bureau
pour prier. Ça ne correspondait pas, il le mettait au rebut, il le
jetait dans la corbeille à papier. Mais quand il avait terminé, que
tout était donné par inspiration, le monde avait un chef-d’œuvre.
Oh, combien la Parole tranche, mais Elle produit des
chefs-d’œuvre; oui, Elle enlève toute la balle et toute l’aigrette.
Elle produit un Chef-d’œuvre.
186 J’ai sept minutes pour vous raconter quelque
chose qui est arrivé avant-hier; si on veut sortir à l’heure. Le 3
juillet, j’étais ici, dans le... au centre ici, au centre commercial,
tout près d’où nous sommes, ici. J’ai été à Pigalle, à Rome... en
France, j’ai été à New York, à Los Angeles. Mais le groupe de femmes
les plus dégoûtantes que j’ai vues de toute ma vie, c’est à
Jeffersonville, dans l’Indiana. Je n’ai jamais vu autant de
barbouillage et de souillure de ma vie, comme j’en vois chez ces
gens-là. J’étais là, ça me fendait le cœur, à ce point-là, alors le
Seigneur m’a donné une vision.
Maintenant je vais vous raconter la vision. Je ne
sais pas si je peux l’interpréter, mais je–je vais raconter la vision
pour la première fois.
187 Je suis entré en transe. Et, à ce moment-là, il
y avait quelqu’un avec moi. Je n’ai pas vu la personne. C’était
seulement une Voix. Et je–j’ai regardé. Et, comme je–je regardais dans
cette direction-ci, Il a dit: “L’Épouse va apparaître pour une vision
préalable.”
J’ai regardé, et j’ai vu, qui venait vers moi, le
plus–le plus beau groupe de femmes, proprement vêtues et les plus
jolies que j’avais jamais vues de ma vie. Mais chacune d’elles avait un
habillement différent, semble-t-il. Elles avaient toutes les cheveux
longs. Et elles avaient des manches et des jupes plus longues, et tout.
Des jeunes femmes, elles avaient l’air d’avoir, disons, peut-être une
vingtaine d’années.
188 Maintenant, ma Bible est ouverte ici devant moi.
Voyez? Je peux seulement dire ce que j’ai vu.
Si vous dites: “Qu’est-ce que vous regardez?” Je
regarde une horloge. “Qu’est-ce que vous cherchez?” Je cherche des
gens, je regarde des gens. “Qu’est-ce que vous regardez?” Je regarde la
Bible. C’est ça. Je dis la Vérité. C’est ce que je vois. Et je peux
seulement dire ce que j’ai vu. Je ne–je ne sais pas ce que... tout ce
qu’il en est. Il faut que je vous le raconte, c’est tout.
189 Mais, quand, cette Épouse, Elle avait les
regards fixés sur... Celui qui me parlait, et moi, nous étions là
ensemble. Elle avait les yeux, C’étaient les personnes les plus propres
et les plus charmantes à voir que j’avais jamais vues de ma vie. Il
devait y en avoir une douzaine ou plus, peut-être, juste... je ne sais
pas combien il y en avait de front, mais il y en avait un groupe,
simplement. Et Elle a défilé, doucement, sur un air. Et Elle levait les
yeux, Elle regardait, en défilant. Oh, Elle était ravissante! Je L’ai
regardée, et, alors qu’Elle défilait. Il a dit: “Maintenant nous allons
passer en revue...” Il a dit: “Ça, c’est l’Épouse.”
“Maintenant nous allons passer les églises en
revue.” Et elles sont arrivées. Je les ai vues qui approchaient. Et
quand elles sont arrivées, chacune, semble-t-il, était pire que la
précédente. Je n’avais jamais vu une bande de femmes aussi dégoûtantes
de ma vie.
Et quand Il a dit: “Ensuite,” j’ai entendu du bruit.
Et Il a dit “Ensuite,” Il a dit, “voici le groupe américain.”
190 Maintenant, je suis moi-même Américain, mais
ça–ça m’a soulevé le cœur. Je ne peux pas m’exprimer en termes assez
éloquents pour, dans un auditoire mixte, pour dire ce qui se passait.
Je–je–je... Vous devrez lire entre les lignes. Mais, quand ces femmes
se sont avancées, celle qui était à la tête, c’était une sorcière. Elle
avait un nez très long et une très grande bouche. Et elles étaient
toutes vêtues d’une espèce de vêtement qui couvrait la partie du bas,
ici; mais le haut, c’était seulement une bande, qui, juste une petite
bande d’à peu près un demi pouce [1,25 centimètre – N.D.T.] qui montait
et faisait le tour comme ceci. Et chaque femme avait une espèce de...
191 Beaucoup d’entre vous, il y a des années,
autrefois on, vous vous souvenez, quand on coupait du papier, là, vous
savez, du papier journal, pour faire un chasse-mouches avec ça? Combien
s’en souviennent? Vous savez. Tiens, je pense qu’ils s’en servent dans
les carnavals, vous savez. Suspendu, comme ça, du papier dont on a
découpé les bords, de la dentelle de papier.
Elles avaient quelque chose qu’elles tenaient pour
couvrir le bas, comme ceci, qu’elles tenaient pour couvrir la partie du
bas. Toute cette partie-ci était découverte.
Et chacune avait les cheveux coupés très court, et
comme des petites frisettes partout, comme ça, les cheveux coupés
vraiment très court; et toute maquillée. Elles ne ressemblaient à rien
moins que des prostituées.
Et elles marchaient avec ce morceau de papier, et
quelle vulgarité! Bon, ce qu’elles avaient devant elles, c’était ce
morceau de papier. Mais quand elles ont eu défilé devant la tribune,
leur dos... Et de voir la manière dont elles se comportaient, de devant
et de dos, cette façon de se conduire!
J’ai dit: “Est-ce que c’est ça, l’Église?”
192 Et elle a continué son chemin. Et elles
chantaient ces chansons de twist-and-roll, là, vous savez, ou le nom
que vous donnez à ça, elles allaient, elles chantaient ça et elles
passaient.
J’ai dit: “Est-ce que c’est ça, l’Église?” J’étais
là, et dans mon cœur, je pleurais.
Et la sorcière, là, d’après moi, elle n’est
absolument rien d’autre que... Elle est ce Conseil mondial des Églises,
qui les conduisait tout droit sur le chemin où elle allait. Elles ont
tourné à gauche, et elles sont disparues dans le chaos; elles
continuaient cette musique, et à faire des bruits vraiment bizarres, et
à secouer leur corps, d’un côté, puis de l’autre, puis, comme ça, elles
se démenaient comme ça, en marchant.
193 Et, comme j’allais courber la tête, Il a dit:
“Attends, l’Épouse doit revenir.”
J’ai regardé, et les voilà qui sont revenues. Et
elles ont défilé, des petites dames charmantes à voir. Elles avaient
toutes les regards fixés sur moi, quand elles défilaient. Et j’ai
remarqué que chacune portait un habillement différent. L’une d’elles,
qui était en arrière, avait comme les cheveux longs qui descendaient
dans le dos, et elle les avait enroulés comme ceci; peut-être une
Allemande, ou quelque chose comme ça. Et je les observais.
Comme elles repartaient, deux ou trois d’entre
elles, en arrière, ont un peu perdu le pas, et j’allais leur crier.
Elles essayaient de reprendre le pas. Et je les voyais, la vision est
disparue peu à peu, et ça s’est transformé devant moi.
194 Maintenant, en voici l’interprétation. La
raison... Bon, souvenez-vous, je venais juste de finir d’écrire... je
n’avais pas fini, je n’avais pas encore écrit ces notes. Mais en
prêchant, ce matin, j’ai compris ce que c’était, en pleine prédication.
Avez-vous remarqué, l’église est seulement apparue...
Or, c’est la Vérité, mes amis. Le Père Céleste, qui
écrit la Parole, sait que je dis la Vérité. Voyez? Je sais que je dis
seulement la Vérité.
Et je ne l’ai su, semble-t-il, qu’il y a quelques
minutes, ou tout dernièrement, voyez-vous. Avez-vous remarqué? L’Épouse
est apparue deux fois: la première Semence et la deuxième Semence, et
les deux, c’était exactement la même Semence. Et la raison pour
laquelle elles étaient ...?... portaient des vêtements de différents
coins: Elle viendra de toutes les nations, pour former l’Épouse. Elles
avaient toutes les cheveux longs, pas de maquillage, et de très jolies
jeunes filles. Et elles me regardaient. Cela représentait l’Épouse qui
sortira de toutes les nations. Voyez? Elle, chacune représentait une
nation, alors qu’elles marchaient, parfaitement alignées sur la Parole.
Voyez?
195 Et, alors, il faut que je L’aie à l’œil. Elle
sortira du pas de la Parole, si je n’ouvre pas l’œil, pendant qu’Elle
défile, si Elle passe comme ça. Peut-être que ce sera au moment où moi,
j’aurai terminé, voyez-vous, quand j’aurai fini, ou quelque chose.
196 Qu’en est-il? Elles revenaient. Elles faisaient
tout leur possible, elles revenaient, elles cherchaient à se mettre en
ligne; c’est qu’elles–elles avaient les yeux ailleurs, elles
regardaient cette église qui venait de s’en aller dans le chaos. Mais
deux... Celles d’en avant, jamais. Celles d’en arrière, seulement deux
ou trois d’entre elles, étaient un peu sorties des rangs, vers la
droite, et elles avaient l’air de chercher à se remettre en ligne,
pendant qu’elles défilaient. Elles venaient juste de passer devant moi,
oh, elles étaient peut-être à la distance d’ici au mur, de moi. Et je
me tenais là. Et alors, j’ai vu tout cela s’éloigner, s’en aller.
Mais, si vous remarquez, l’église n’est apparue
qu’une fois, chaque nation, l’église. Mais l’Épouse est apparue deux
fois. Voyez? Vous voyez ce que c’était? Or, je ne le savais pas, mais
comparez cela à mon Message de ce matin. Je ne le savais pas. Voyez?
[Frère Branham donne plusieurs coups sur la chaire. – N.D.É.]
197 La Semence est tombée en terre à Nicée.
Celle-là, c’était la Semence originelle. Et Elle a été formée, Elle a
émergé de ces différentes dénominations, qui elles, ne sont produites
qu’une fois. Mais l’Épouse revient de nouveau dans les derniers jours.
“Je restituerai.” Voyez-vous, le Chef-d’œuvre a été modelé. Voilà la
raison pour laquelle Elle est apparue, a été passée en revue, la
deuxième fois. Elle a été passée en revue la première fois, ensuite,
elle a été passée en revue la deuxième fois. Et la deuxième fois, Elle
était parfaitement identique à la première fois. Ô Dieu, aie
miséricorde! Dépêche-toi, dépêche-toi, dépêche-toi, Vie, entre dans le
Grain, en vitesse! Oui.
198 Toutes les autres ne sont plus jamais
réapparues. Elles sont reparties, pour ne plus jamais revenir.
Mais l’Épouse est revenue, parce qu’Elle était
l’Alpha et l’Oméga. Dieu, le grand Sculpteur, S’est formé un
Chef-d’œuvre, parce qu’Elle est un morceau de Son premier Chef-d’œuvre.
Comme Il en avait fait un dans le jardin d’Éden, et Il en avait pris un
morceau et avait fait un autre morceau avec, lequel a été gâché et est
tombé, voilà qu’Il a mis tout ce temps à le reconstruire. Et Il a
produit ce Chef-d’œuvre, qui a été frappé, pour... Cette partie-là, qui
a été frappée, c’était pour ramener de nouveau ce Chef-d’œuvre, de
nouveau.
199 Alors, le Chef-d’œuvre et le Fils de Dieu, le
Chef-d’œuvre et l’Épouse, C’est un morceau de Lui, qui doit être
l’accomplissement de la Parole. La Parole s’est accomplie, et nous
sommes prêts pour la Venue du Seigneur.
200 Ô Église du Dieu vivant, courbez vos cœurs et
vos–vos êtres devant Dieu. Ces choses sont vraies. Je sais qu’on serait
porté à croire qu’une chose aussi glorieuse que celle-là serait
vraiment répandue dans toutes les nations. Ça ne l’a jamais été. Il ne
change pas Sa manière de faire. Soyez seulement reconnaissants, Église,
soyez reconnaissants d’être où vous êtes aujourd’hui, si vous êtes en
Christ. En effet, vous voyez, là, et quand cette...
201 Souvenez-vous, cette Vie sera toute rassemblée
dans le Grain, pour la résurrection, mais la tige doit être brûlée.
Tout le reste, la balle, et tout, doit être détruit, et le sera. Ne
vous confiez pas à votre, à ces dénominations. Restez dans la Parole,
la Vie, Dieu et Son Chef-d’œuvre.
202 Alors, dans le Millénium, qu’est-ce que c’est?
Christ et Son Épouse, de retour dans le jardin du Millénium. Amen!
Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.
203 C’est là qu’Il a été frappé. “Nous L’avons
considéré comme puni, frappé de Dieu, et affligé. Mais Il était blessé
pour nos transgressions, brisé pour notre iniquité.”
204 Est-ce qu’il y a quelqu’un ici, ce matin, qui
n’est pas dans ce Grain ce matin? La Vie est en train de détacher son
dernier morceau de la balle, car la balle est en train de sécher.
Combien savent que l’église pentecôtiste est en train de sécher?
[L’assemblée dit: “Amen.” – N.D.É.] Qu’est-ce que c’est? La Vie la
quitte. Franchement, elle n’est plus là. Et si nous avons déjà eu la
vision préalable de l’Épouse, dans ce cas je me demande si l’Épouse
n’est pas déjà complète. [Frère Branham commence à fredonner Je L’aime.]
...L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.
205 Avec la tête inclinée maintenant. Y a-t-il des
gens ici qui aimeraient qu’on pense à eux? Si vous avez le sentiment
que vous n’êtes pas...
Mes amis, c’est trop clair. Jamais de ma vie je n’ai
eu une vision sans que quelque chose arrive après. Je dis la Vérité.
Toutes les autres fois, si j’ai dit la Vérité, que Dieu l’a démontré,
alors, je dis la Vérité cette fois-ci.
206 Je ne sais pas en quel jour nous vivons, mais je
sais qu’il ne reste plus rien à venir. Aucun politicien ne pourrait
venir redresser la chose. La politique, la nation est fichue. Ô Dieu!
Pouvez-vous, pouvez-vous aller assez en profondeur pour–pour–pour le
ressentir. La nation est fichue; pas la nation, mais les nations.
Celle-ci est la meilleure de toutes, et elle est fichue. Alors, si les
nations sont fichues, le monde est fichu. Et les églises, à mon avis,
la pentecôte, c’est la meilleure qu’il y a eu, mais elle est fichue.
Ô Dieu, sois miséricordieux envers nous!
207 Si vous ne Le connaissez pas, je vous en prie,
dépêchez-vous, dépêchez-vous. Si vous pouvez ressentir la Vie, sortez
du... sortez de votre péché, sortez d’où vous êtes. Allez dans le
Grain, en vitesse. Dans la tige, ou dans la balle, vous mourrez.
Priez, pendant que nous chantons, maintenant. “Je
L’aime.”
Il n’en tient qu’à vous maintenant. Nous n’avons
aucune dénomination, rien du tout. Tout ce que nous avons, c’est
Christ. Nous vous invitons à adorer avec Lui, avec nous, jusqu’à ce
qu’Il vienne. Nous ne pouvons pas mettre votre nom dans un livre; nous
n’avons pas de livres. Nous voulons voir votre nom dans le Livre de
Vie. C’est seulement par une Naissance que vous pourrez arriver à ça.
Ne voulez-vous pas le faire tout de suite? Demandez à Christ une Vie
nouvelle, de vous faire entrer, de mettre votre nom dans Son Livre,
s’il n’y est pas. Alors, vous pourrez fraterniser avec nous, nous
aimerions beaucoup vous avoir avec nous. “Je...”
208 Dieu bien-aimé, maintenant aide-nous chacun à
faire un inventaire, pour voir si nous sommes en Lui. Tu nous as aimés.
Tu as été frappé pour nous, et nous T’avons considéré comme frappé et
affligé par Dieu. Je Te prie, ô Dieu, d’appeler chacun. Seigneur, parle
à mes enfants, à mes bien-aimés, à mes amis. Accorde-le, Seigneur, à
l’instant, par le Nom de Jésus-Christ.
209 Que personne n’attende trop longtemps, Seigneur.
On dirait que c’est terriblement proche. La moisson est vraiment mûre.
La grande moissonneuse de Dieu parcourra le pays un de ces jours, les
brins de paille vont voler de tous côtés, mais le Blé sera rassemblé au
grenier, enlevé, parce qu’en Lui se trouve la Vie. Accorde-nous,
Seigneur, que chaque demande soit exaucée, que chaque prière soit
manifestée devant Toi.
210 Je prie pour eux, Seigneur. Je Te prie de ne pas
laisser une seule personne ici être perdue, Seigneur. Ils–ils–ils sont
restés assis dans des conditions difficiles; ils–ils–ils font des
centaines de milles en voiture. Alors, ce dont nous avons besoin,
donne-le-nous, Seigneur, ce qui est bon pour nous, Seigneur; non pas ce
qui est bon à nos yeux, mais ce qui est bon à Tes yeux. Nous voulons
être une vierge pure, qui a été châtiée, réprimandée par Dieu, pour que
nous puissions être purifiés de nos péchés. C’est ma prière, que
j’adresse pour eux, Seigneur.
211 Je–je–je ne sais pas comment prier. Nous–nous
parlons au Dieu Puissant. Et quel être humain, quel être mortel
pourrait faire la prière qu’il faut, devant le Dieu vivant? Mais,
Seigneur, mes mots mal prononcés, et mes–et mes noms et mes pronoms
là–là où il ne faut pas; si Tu as pu prendre les lettres de l’alphabet,
un jour, et–et en former une phrase pour un petit garçon, Tu–Tu peux
fermer les yeux sur mes noms et mes pronoms, et simplement regarder à
ce que je crois, Seigneur.
Je crois en Toi. Je crois cette Parole. Et j’ai la
foi pour chaque personne qui est ici. Et je–je les amène à cet Autel,
Seigneur, par la foi, là où entre nous et le Grand Jéhovah, il y a le
Sang de Son Fils, Jésus. Et le Sang parlera pour nous. Quand Tu L’as
frappé au Calvaire, Tu as dit: “Parle!” “Écoutez-Le!” “Et le Sang”, la
Bible dit, “parle mieux que le sang de l’agneau de l’Ancien Testament,
car le Sang de Christ parle plus que le sang d’Abel; de plus grandes
choses.” Parle, Seigneur, de rédemption pour nous, alors que nous
faisons appel à Toi à travers le Sang.
212 Glorieux Père de la Vie, inclus-nous, Seigneur.
Si nous–si nous avons péché, ôte ça de nous. Nous–nous ne voulons pas
être comme ça, Seigneur. Ce n’est pas notre intention.
Nous nous rendons compte que nous vivons sur un
chemin vraiment horrible, sombre. Comme nous le disions au
commencement, nous marchons en gravissant une montagne, nous passons
dans des endroits raboteux. Sombre est le sentier, mais nous portons la
Lumière. Puissions-nous voir le sentier pas à pas, alors que nous
avançons maintenant; jusqu’à ce que nous nous retrouvions, comme dans
le Voyage du pèlerin, jusqu’à ce que nous finissions par arriver au
haut de la Colline. Guide-nous, ô Berger. Grand Jéhovah, conduis-nous
par Ton Esprit.
213 Nous savons que nous sommes loin d’être un
chef-d’œuvre; mais nous considérons d’où nous avons été taillés, le
vrai Chef-d’œuvre, et c’est en Lui que nous nous confions. Amène-nous
simplement à Lui, Seigneur. Accorde-le, Seigneur.
214 Guéris tous les malades qui sont ici, Seigneur.
“Nous L’avons considéré comme frappé et affligé. Mais Il était blessé
pour nos transgressions.” Le Chef-d’œuvre de Dieu a été frappé. “Et Il
était blessé pour nos transgressions; c’est par Ses meurtrissures que
nous avons été guéris.” Guéris les malades, Seigneur, qui sont dans Ta
Présence Divine en ce moment, car nous savons que Tu es ici.
215 Purifie nos âmes, nos cœurs, de tout ce qui est
mauvais, de toutes mauvaises pensées, de toutes paroles mauvaises, de
tout ce qui est mal. Purifie-nous. Et nous Te prions, Père, de guérir
notre maladie, et que nous repartions d’ici avec le sentiment que nous
sommes Tes enfants sanctifiés. Et couverts par le Sang, nous parlons à
travers le Sang, la Parole. Accorde-le, Seigneur. Nous le demandons au
Nom de Jésus-Christ. Amen.
216 Dieu notre Père, sur ces mouchoirs, oins-les de
Ta Présence, Seigneur. Que Ta Présence soit avec eux, où qu’ils
aillent. Là où ils seront posés, que tout corps malade soit guéri. Et
peu importe de quoi il peut s’agir, s’il y a un foyer désuni quelque
part, réconcilie-le, Seigneur, le grand Sculpteur. Accorde-le, Seigneur.
217 Façonne-nous, et fais de nous des fils et des
filles de Dieu. Nous croyons que l’Épouse est en train de recevoir son
dernier polissage. Elle sera retranchée de l’organisation entière,
complètement, et alors ce sera la grande moisson. Jusque-là, Seigneur,
donne-leur la santé et qu’ils soient heureux de Te servir. Au Nom de
Jésus. Amen.
Je L’aime, je... (L’aimez-vous vraiment?)
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur...
218 Maintenant est-ce que vous comprenez pourquoi je
vous gronde? Ce n’est pas parce que je vous aime... pas parce que je ne
vous aime pas. Je vous aime, vraiment. Je veux un Chef-d’œuvre pour le
Maître. Il se peut que je doive en arracher quelques-uns comme ça, mais
j’aurai un Chef-d’œuvre un de ces jours, si je le tiens fermement
attaché à cette Parole. Exact.
219 Or, Jésus a dit: “À ceci tous connaîtront que
vous êtes Mes disciples, quand vous aurez de l’amour les uns pour les
autres.” Nous devrions être tellement amoureux les uns des autres!
Béni soit le lien
Qui nous unit en Christ,
Le saint amour, l’amour Divin
Que verse en nous l’Esprit.
Prenons-nous par la main.
Si nous devons bientôt
Quitter ces lieux bénis,
Nous nous retrouverons là-haut,
Pour toujours réunis.
Revêts-toi du Nom de Jésus,
Ô toi, enfant de tristesse;
Il va te procurer la joie,
Prends-le partout où tu vas.
Précieux Nom, Nom si doux!
Espoir de la terre, joie du Ciel;
Précieux Nom, Nom si doux!
Espoir de la terre, joie du Ciel.
Maintenant, souvenez-vous, pendant votre voyage:
Revêts-toi du Nom de Jésus,
Comme d’un puissant bouclier;
Quand les tentations sur-... (Qu’est-ce que vous faites, alors?)...
-viennent,
Murmure simplement ce saint Nom en priant.
Ô Précieux Nom, Nom si doux!
Espoir de la terre, joie du Ciel;
Précieux Nom, Nom si doux!
Espoir de la terre, joie du Ciel.
Jusqu’à ce que nous nous rencontrions!
Courbons la tête. Oh, j’aime chanter!
Jusqu’à ce que nous nous rencontrions aux pieds de Jésus;
Jusqu’à ce que nous nous rencontrions!
Jusqu’à ce que nous nous rencontrions!
Que Dieu soit avec vous!