Le Chef-d’œuvre
1 Courbons la tête, maintenant, pour prier. Pendant
que nous avons la tête et le cœur inclinés devant Dieu, je–je me
demande combien de personnes ici auraient une requête dont ils
aimeraient que Dieu se souvienne, en levant simplement la main?
Maintenant, gardez votre requête dans votre cœur, là, pendant que nous
prions.
2 Seigneur Jésus, Toi qui es la–la Source, la Source
inépuisable de la Vie, coule en nous aujourd’hui, Seigneur, et
purifie-nous de toute incrédulité et de tout péché, pour que nous
puissions nous tenir dans Ta Présence maintenant, en sachant qu’il y a
des besoins parmi nous; en effet, nous savons que nous sommes des
pécheurs et que nous ne–ne sommes dignes d’aucune bénédiction, mais,
quand nous pensons à Celui qui est venu et qui a pris nos péchés!
Alors, quand Son Sang est là, ce n’est pas–ce n’est pas nous qui sommes
dans la Présence de Dieu, c’est Lui. C’est seulement notre voix à
travers Son Sang. C’est Son Sang qui parle. Ô Dieu, alors purifie nos
cœurs du péché et de l’incrédulité.
3 Donne-nous ce que notre cœur désire, car vraiment,
ce que nous désirons, c’est Te servir. Dans cet état de faiblesse et
d’affliction, et alors que, parfois, les choses de ce monde nous sont
infligées, pour nous perfectionner; c’est ce qu’il nous a été dit.
Alors, Il a dit: “Ne soyez pas surpris que ces épreuves arrivent.”
Elles ne font que concourir à notre bien et servir à nous
perfectionner, et à nous amener à ce point-là. Ces grands déserts de
l’expérience, où des hommes justes sont façonnés pour devenir des
saints, nous–nous Te remercions pour ces expériences-là, Seigneur. Nous
ne voudrions absolument pas, en aucun cas, faire quoi que ce soit qui
soit contraire à Ta volonté. Mais nous prions, Père, que ces choses
servent à nous rapprocher de Toi.
4 Et quand les fardeaux sont tellement lourds que
nous ne pouvons plus avancer, alors nous levons les mains et nous
élevons des cris vers notre Père. Alors exauce-nous du Ciel, Père.
Guéris-nous, donne-nous une bonne santé, dans
l’intérêt du Royaume de Dieu.
Bénis Ta Parole ce matin, Seigneur. Ta Parole est la
Vérité.
5 Maintenant nous nous sommes assemblés ici, à
l’église. Nous prions pour Frère Neville, et pour Frère Capps, et Frère
Collins, et tous les autres prédicateurs, et les–et les
administrateurs, les diacres, et tous les laïques, et les nouveaux
venus parmi nous. Que ce jour en soit un dont nous nous souviendrons
longtemps, à cause de Ta Présence.
6 Nous nous attendons à de grandes choses ici ce
matin, Seigneur. Nous avons annoncé à la dernière minute qu’il y aurait
réunion. Nous avons le sentiment qu’il y a un but à accomplir. Que Ton
but soit atteint, Seigneur. Car nous le demandons au Nom de Jésus,
alors que nous nous soumettons à Toi. Amen.
7 C’est formidable d’être ici et d’être réuni avec
cette église pleine de gens. Je m’attendais à ce qu’il n’y ait
pratiquement personne ici ce matin, vu que c’est tout juste si je le
savais moi-même, que je serais ici.
8 Nous arrivons de Philadelphie. Et alors, je suis
rentré avec l’idée qu’il me faudrait repartir tout de suite pour
l’Arizona, pour procéder aux funérailles d’un ami à moi, le capitaine
Jim Moseley, un très cher garçon rempli de piété, que j’ai conduit à
Christ il n’y a pas longtemps, les trois frères Moseley. L’un d’eux
s’est écrasé en avion l’autre jour, et il a été tué sur le coup. Il est
resté dix heures dans les flammes, avant qu’on puisse arriver jusqu’à
lui. Donc, Lee a vingt-huit ans, son épouse en a vingt-six, et–et il
laisse trois jeunes enfants; le plus âgé a sept ans. Très attristant.
Et ils... Quand ils l’ont ramené, alors ils ont été obligés de
l’enterrer le lendemain. Donc, j’ai juste... Je n’ai pas pu y aller.
J’ai juste noté par écrit, ou envoyé par télégramme, ce que je me
proposais de dire, ou ce que j’aurais dit aux funérailles de Frère
Moseley. Il y a de ces choses que nous n’arrivons pas à comprendre,
mais Il fait quand même tout concourir pour le bien.
9 Nous sommes ici, au service du Seigneur ce matin,
en sachant que–que–que nous croyons Dieu, que nous croyons qu’Il
arrangera les choses pour le mieux. Peu importe de quoi il peut s’agir,
et de la tournure que prennent les choses, nous savons qu’elles doivent
“concourir au bien”. Il l’a promis. Ça ne peut pas être autrement.
Parfois, nous n’arrivons pas à le comprendre, il y a des moments où les
choses se compliquent pas mal, mais pourtant, nous savons que c’est la
Vérité, parce que la Bible dit que c’est la Vérité. Et la Bible, pour
nous, c’est Dieu sous forme écrite.
10 Or, nous devons trouver un endroit où faire
reposer notre foi. Et si–si moi ou n’importe lequel d’entre nous, dans
la vie, nous cherchions à réussir dans la vie, et que nous devenions
bien des fois multimillionnaires, mais qu’est-ce que nous allons faire
avec ça? Il nous faudra arriver au bout du chemin, et à quoi–à quoi
est-ce que ça va nous servir à ce moment-là? Voyez? Et l’argent, c’est
un titre provisoire, c’est un moyen d’échange, mais on ne peut pas
l’échanger contre la Vie. Dieu seul possède la Vie.
11 Il Alors, nous–nous sommes conscients que nous
sommes ici sous forme de négatif. Et du moment qu’il y a un négatif, il
faut qu’il y ait un positif. Il ne peut pas y avoir de négatif sans
qu’il y ait un positif, voyez-vous, parce que c’est le positif qui
produit le négatif. Disons que vous ayez un négatif d’un objet. Il faut
qu’il y ait un objet quelque part, ou, pour frapper, pour que la
lumière frappe l’objectif, sinon il n’y aurait pas de–de négatif. Donc,
quand nous voyons que notre vie d’ici est sous forme de négatif, et que
nous savons que nous sommes à l’image d’une vie qui existe quelque
part, alors nous savons qu’il y a un positif quelque part que la
lumière a frappé, ce qui a produit le reflet qu’il y a ici sur la
terre. Et nous ne sommes que ce reflet-là. L’objet véritable est
quelque part. Si ce n’est pas le cas, je suis l’homme le plus séduit du
monde; j’ai consacré ma vie à une cause vaine. Mais je sais, sans
l’ombre d’un doute, que c’est là. Voyez? Voilà pourquoi nous sommes
ici. Voyez?
12 De vous voir venir de l’autre bout du pays, alors
que vous avez été prévenus à la dernière minute, et parfois en
présumant, alors je me sens vraiment petit, quand je me présente à une
réunion comme celle-ci; de penser qu’il y a des gens ici dont je sais
qu’ils ont fait des centaines de milles de route, rien que pour être
ici pendant quelques minutes de réunion, rien que pour s’asseoir ici.
13 Dernièrement, une femme a fait une remarque, elle
est venue l’autre jour et elle a dit: “Montrez-moi où cet homme a
marché, je marcherai derrière lui, sur le sol,” elle a dit, “et je
serai guérie.” Alors, avec les gens qui ont ce genre de foi là en vous,
et vous êtes un représentant de Christ, alors qu’est-ce que nous
devrions faire? Nous devrions faire très attention, parce que ce n’est
pas seulement vous que vous détruisez par l’erreur, vous détruisez les
autres qui vous suivent.
14 Donc, je ne connais aucune dénomination ni rien
vers quoi vous diriger. Il n’y a qu’une chose dans laquelle je mets ma
foi. Si vous me croyez, suivez ce que je vous dis, parce que je crois
la Bible, c’est la Parole de Dieu. Les autres choses faillissent. Je
suis seulement... Il est la Vie. Il est la Parole.
15 Bon, je sais que vous... Quand je suis ici, je
vous retiens longtemps. J’ai prié Dieu, quand j’ai eu à cœur de venir
aujourd’hui. J’ai eu tellement d’entretiens et d’appels, et tout! Il a
fallu que je m’occupe de quelques-uns d’entre eux ce matin. Et je me
suis dit: “Eh bien, sans doute que Frère Neville va me demander de
prêcher.” Ça, c’était vendredi. Je me suis dit: “Frère Neville va
probablement me demander de prêcher. Et à ce moment-là, alors je prie
Dieu...” Il fait tellement chaud, il a fait tellement chaud. Et Il a
été bon, Il nous a envoyé de la pluie pour atténuer cette chaleur
vraiment extrême, et Il nous a donné une belle matinée ce matin. Je
prie que Sa bonté descende comme une pluie sur chacun de vous, que vous
vous souveniez toujours de votre présence ici ce matin. Que Sa grâce et
Ses bénédictions soient sur vous!
16 Hier soir, je suis allé voir un ami malade, Frère
Bill Dauch. Je ne le vois pas ici ce matin. Pour une raison ou pour une
autre, je ne le vois pas. Oh, le voici. Il... Oui. Je me disais: “Un
vieillard de quatre-vingt-onze ans, et il se déplace encore comme un
ouragan, partout dans le–le pays, par les déserts, et les montagnes
enneigées, et sur les routes glissantes. Il n’est pas obligé de faire
ça. Dieu a été bon pour lui; il n’est pas obligé de faire ça. Il
pourrait rester assis chez lui avec des serviteurs pour l’éventer, s’il
le voulait.” Mais il est arrivé quelque chose à Bill Dauch, il est né
de nouveau. Et à ce moment-là, quelque chose est entré dans son cœur
qui fait que sa seule raison de vivre, c’est d’assister à ces réunions.
Alors, si je dois être la bouche de Dieu, est-ce que je tromperais un
ami? J’aimerais mieux mourir. Alors, que je lui dise l’exacte Vérité
qui sort de cette Bible. Alors, c’est la Parole de Dieu. Je ne fais que
répéter ce qu’Il a dit.
Maintenant, je voudrais lire dans la Bible.
17 Avant que nous lisions, j’aimerais–j’aimerais
dire que ce soir, je crois, c’est le soir de la communion. Alors ceux
d’entre vous qui sont d’ici... Naturellement, les autres gens vont
probablement retourner chacun chez soi, parce qu’ils doivent aller
travailler. Ceux d’entre vous qui sont d’ici, de l’assemblée,
souvenez-vous, les frères vont servir la communion ce soir.
18 Maintenant, j’attends le dernier appel pour
partir en Afrique. Ils ne voulaient, ne veulent pas me laisser entrer
comme missionnaire. Alors, le seul moyen pour moi d’entrer, là-bas...
Je vais au Kenya, en Ouganda, et–et au Tanganyika. Et le seul moyen
pour moi d’entrer... D’abord, les églises ne veulent pas nous laisser
entrer, parce qu’elles veulent que je prêche quelque chose pour appuyer
ceci, et pour appuyer cela, là-bas en Afrique. Et je ne veux pas y
aller dans ces conditions-là. Je ne serais pas assez hypocrite pour
faire une chose pareille. Alors, ou bien je leur dis: “Non, monsieur,
je prêcherai seulement ce que Dieu me mettra à cœur, un point, c’est
tout.” Voyez? Et je suis sûr que ce ne sera pas l’enseignement qu’eux
veulent que je donne. Donc, les baptêmes trinitaires, et ainsi de
suite, comme ça, et d’argumenter avec eux. Non.
19 Mais j’ai reçu de Frère Boze une invitation à une
grande convention. Il est sur le point de voir clair sur ce que nous
croyons. Et alors, j’ai demandé à entrer comme si j’y allais pour un
voyage de chasse. S’ils me laissent entrer, comme si j’y allais à la
chasse... Si je peux trouver quelqu’un qui dise qu’il m’emmènera à la
chasse, à ce moment-là, quand j’arriverai là-bas, le médecin–le médecin
qui est à l’ambassade est un ami personnel à moi, de Chicago. Et dès
que j’arriverai là-bas, il dira: “Eh bien, voici Frère Branham, il est
ici. Faisons une réunion.” Alors, une fois que je suis là, l’ambassade
ne peut pas me refuser. S’ils... Alors, ils sont en train d’essayer
d’arranger ça. Alors, j’ai confiance que ça... Si c’est la volonté de
Dieu, ça va fonctionner comme ça. Voyez? C’est–c’est simplement entre
Ses mains. Sinon, alors je vous le ferai savoir. Je ne...
20 Si c’est la volonté de Dieu, alors, je voudrais
prêcher sur les Sept Trompettes. Et ce sera une série de réunions
d’environ huit jours, et on ne se réunira pas ici au Tabernacle,
peut-être. On va essayer d’avoir une salle, ici.
21 Maintenant, je n’y avais jamais pensé, cette
nouvelle salle qu’ils viennent de construire ici se trouve à l’endroit
précis où j’ai vu Jésus pour la première fois en vision. Maintenant
elle est construite, la salle a été construite exactement au même
endroit; je suis allé là-bas l’autre jour pour voir ça. Quand j’ai
regardé et que je L’ai vu qui regardait en direction de l’est, vous
vous souvenez m’avoir entendu raconter ça, c’est quand j’étais là en
train de prier pour mon père; un–un jeune homme, tout jeune
prédicateur. C’est là que je L’ai vu. Un pas, je Le regardais; Il était
de profil par rapport à moi. Je marchais tout autour, je
m’éclaircissais la voix, dans un champ de genêts. J’observais sans
arrêt, et Il ne s’est jamais retourné. Alors, j’ai appelé Son Nom:
“Jésus.” Et Il s’est retourné, Il a étendu Ses bras, et c’est tout ce
dont je me souviens, jusqu’au lever du jour. Alors je suis revenu du
champ, vers le lever du jour.
Alors, peut-être que le Seigneur me permettra de
prêcher les Trompettes là-bas. Où que ce soit, que la volonté de Dieu
soit faite.
22 Maintenant prenez dans vos Bibles, Ésaïe, le
cinquant-... le chapitre 53 d’Ésaïe.
Maintenant, nous avons confiance que Dieu bénira ces
faibles efforts que nous avons faits, de nous rassembler ce matin. Nous
venons d’arriver de Philadelphie, où j’étais à la convention des Hommes
d’Affaires du Plein Évangile, et où j’ai écouté leurs divers
témoignages et tout, là-bas.
23 Ensuite je… sur le chemin du retour,
j’étais... Billy Paul et moi, et Rebekah et la petite fille des
Collins, la petite Betty Collins. Billy est un très bon dormeur, et
Becky est encore meilleure, et alors je... Betty et moi, nous avons
causé. Elle était assise à l’arrière avec Becky, sur la banquette
arrière. Et j’ai vu quelque chose se produire sur la route; et, à ce
moment-là, quelque chose m’a frappé. Et Betty, si elle est ici, elle a
remarqué que j’ai arrêté de parler et que je me suis mis à noter
quelque chose par écrit. C’est là que j’ai trouvé le sujet de ce matin.
24 Maintenant levons-nous. Si nous... Maintenant,
nous nous tenons debout en l’honneur de la Parole de Dieu, pendant que
je lis Ésaïe, chapitre 53.
Qui a cru à ce que nous avons annoncé? À qui le bras
clé l’Éternel s’est-il révélé? (Remarquez, ça commence par une
question.)
Il s’est élevé devant lui comme une faible plante,
comme un rejeton qui sort de terre desséchée; il n’avait ni beauté, ni
éclat pour attirer nos regards, et son aspect n’avait rien pour nous
plaire.
Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur...
habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage,
nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas.
Cependant, il a porté notre souffrance, il s’est
chargé de nos douleurs; et nous l’avons considéré comme puni, frappé de
Dieu, et humilié.
Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos
iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et
c’est par ses meurtrissures que nous avons été guéris.
Nous étions tous errants comme des brebis, chacun
suivait sa propre voie; et l’Éternel l’a frappé pour l’iniquité de nous
tous.
Il a été maltraité et opprimé, et il n’a point
ouvert la bouche, semblable à un agneau qu’on mène à la boucherie, à
une brebis muette devant ceux qui la tondent; il n’a point ouvert la
bouche.
Il a été enlevé par l’angoisse et le châtiment; et
parmi ceux de sa génération, qui a cru qu’il était retranché de la
terre des vivants et frappé pour les péchés de mon peuple?
On a mis son sépulcre parmi les méchants, son
tombeau parmi les riches, quoiqu’il n’ait point commis de violence et
qu’il n’y eût point eu de fraude dans sa bouche.
Il a plu à l’Éternel de le briser par la
souffrance... Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, il
verra une postérité et prolongera ses jours; et l’œuvre de l’Éternel
prospérera entre ses mains.
Et délivré des tourments de son âme, il rassasiera
ses regards; par sa sagesse beaucoup de serviteurs justes seront
justifiés... beaucoup d’hommes, et il se chargera de leur iniquité.
C’est pourquoi je lui donnerai sa part avec les
grands; ...partagera les butins avec les puissants, parce qu’il s’est
livré lui-même à la mort, et qu’il a été
mis au nombre des malfaiteurs, parce qu’il a porté
les péchés de beaucoup d’hommes, et qu’il a intercédé pour les
coupables.
25 Dieu notre Père, Ta Parole est une Lampe, la
Lumière qui éclaire le sentier de chaque croyant, pour le faire entrer
dans la Présence de Dieu, alors qu’Elle nous fait avancer, comme une
lanterne que nous tenons à la main. Tu n’as pas fourni assez de lumière
pour que nous puissions voir la fin dès le commencement, et… mais je
marche par la foi. Mais, comme un homme qui traverserait une forêt
obscure la nuit, – et c’est là que nous sommes, – la lumière qu’il a à
la main ne lui fournit que ce qu’il faut pour avancer pas à pas. Le
sentier conduit en haut, mais tout ce qu’il faut, c’est de marcher avec
la Lumière. Alors, que la Lumière brille aujourd’hui sur la Parole,
pour nous faire avancer d’un pas de plus vers le Royaume de Dieu. Car
nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Vous pouvez vous asseoir.
26 Le sujet dont j’ai à cœur de parler à l’assemblée
aujourd’hui, c’est: le Chef-d’œuvre.
Ça peut paraître assez bizarre de choisir une–une
lecture Biblique comme celle-ci, sur–sur l’un des tableaux les plus
éprouvants et les plus cruels de la Bible, où la Bible parle de “ce
Serviteur parfait qui a été maltraité, et brisé, et déchiré”, et malgré
tout tirer de là ce sujet d’un Chef-d’œuvre. Très bizarre. Mais je...
27 Je retourne en pensée, ce matin, alors que nous
faisons un retour en arrière, que j’en fais un, de quelques années.
J’avais été invité à Forest Lawn, en–en Californie, au nord de Los
Angeles. Mon but premier, quand j’y suis allé, c’était d’aller voir
le–le tombeau de–d’Aimee Semple McPherson, la fondatrice du mouvement
de l’Évangile des Quatre Coins. Alors je me suis rendu à sa–sa tombe.
Et, bien que je sois en désaccord avec cette femme, comme ministre de
l’Évangile, mais, quand même, dans mon cœur, j’ai de l’admiration et du
respect pour–pour ce qu’elle a défendu, à–à l’heure, et avec la
persécution et les choses qu’elle a dû endurer, et, au moment où elle
était ici sur terre. Et pour son–son fils bien-aimé, qui est un de mes
amis intimes, Rolf McPherson.
28 Avec un groupe de ministres, nous sommes allés
là-bas. Et ils... nous n’avons pas eu le temps d’aller dans le–le...
dans le–le lieu où ils font l’incinération, et où ils mettent les–les
corps dans une–une petite boite le long du mur.
29 Et il y a des choses remarquables là-bas, par
exemple, la Sainte Cène. Elle est illuminée par la lumière même du
soleil. Et ils–ils se servent d’un volet qui leur donne... Quand les
gens entrent, il fait clair; et ensuite, quand–quand ils se mettent à
parler, ça s’assombrit progressivement. Au bout d’un moment, tout
devient sombre, et alors les gens ressortent. Et là, il y a la Cène en
entier.
30 La femme qui détenait le secret de ce procédé, de
travailler le verre pour arriver à faire ça, eh bien, pour faire ces
tableaux-là, eh bien, ça–ça s’était transmis dans la famille, depuis
bien des années en arrière. Et cet art avait été passé aux enfants, et
le dernier d’entre eux était une femme. Ils étaient en train d’agencer
ce tableau; et quand ils ont taillé et chauffé le–le verre, qu’ils ont
cuit la pièce qui représentait Judas Iscariot, elle a éclaté. Alors,
ils ont ressayé, et elle a éclaté de nouveau. Elle a dit: “Peut-être
que notre Seigneur ne veut pas que Son ennemi soit représenté à Ses
côtés.” Elle a dit: “Si elle éclate encore, nous ne terminerons pas le
tableau. Mais cette fois-là, elle a tenu le coup. Alors, évidemment,
c’était assez saisissant, et de voir que des choses pareilles puissent
se produire.
31 Mais, aussi, un des points principaux d’intérêt
pour moi à Forest Lawn, c’était la grande sculpture de Michel-Ange,
le–le monument de Moïse. Naturellement, là-bas, c’est une–une
reproduction, ce n’est pas l’original. Mais c’était vraiment un–un
chef-d’œuvre remarquable. Et, comme je me tenais là à le regarder,
je–j’ai aimé ça, quelque chose qui semble représenter, avoir de la
substance.
32 J’aime l’art, beaucoup. Je crois que Dieu est
dans l’art. Je crois que Dieu est dans la musique. Je crois que Dieu
est dans la nature. Dieu est partout. Et tout ce qui est contraire à
l’original, c’est une perversion. Dieu est dans la danse; pas le genre
de danse qu’on fait ici. Mais quand les fils et les filles de Dieu sont
dans l’Esprit de Dieu, voyez-vous, c’est ça, danser. Par contre, celle
qu’on a été obligés d’endurer jusqu’à deux heures du matin, là-bas dans
la rue, ça, c’en est une perversion.
33 Mais ceci, et ce chef-d’œuvre que Michel-Ange a–a
produit, il–il lui a coûté quelque chose de faire cela–cela. C’était un
grand homme, et cela lui a coûté une grande partie de sa vie, parce
qu’il a passé bien, bien des années à le sculpter. Prendre un bloc, et,
de–de marbre, simplement, et le sculpter continuellement. Et,
voyez-vous, il n’y a que l’homme, que le sculpteur lui-même, qui a en
tête ce qu’il essaie de produire. Il–il est le seul. Vous pourriez vous
avancer vers lui et lui dire: “Qu’est-ce que tu as à picoter cette
pierre-là?” Pour le profane, qui ne sait pas ce qu’il a dans son cœur,
c’est insensé. Mais pour l’homme, le sculpteur lui-même, lui, il–il a
une–une vision dans son esprit, ce qu’il essaie de réaliser, et il
cherche à reproduire ce qu’il a à l’esprit, sous la forme d’un–d’un
monument. C’est pour ça qu’il le taille dans ces pierres.
34 Et ceci, pour y arriver, vous devez commencer
comme il faut, au départ, et vous devez suivre le modèle. Voyez? Vous
ne pouvez pas prendre un petit bloc, pour commencer: “On va faire ça
comme ceci; non, je crois...” Non, il faut qu’il ait un modèle bien
précis. Et il a ce modèle-là dans son esprit. Il ne peut pas dévier de
ce modèle. Maintenant, pour pouvoir arriver à ça, il a fallu qu’il se
le représente dans son esprit, parce que nous n’avons pas de vrai
portrait de Moïse; mais il a fallu qu’il s’en fasse une image mentale,
dans son esprit, de ce que Moïse était, de façon précise.
35 Or, un sculpteur véritable est inspiré, comme un
poète véritable, ou tout chanteur véritable, ou musicien, ou quoi que
ce soit. Tout ce qui correspond à une réalité doit venir par
inspiration. Michel-Ange a dû recevoir l’inspiration de ce à quoi
ressemblait véritablement Moïse. Et il l’a saisi dans son esprit, ce
que Moïse devait être. Alors il s’est attaqué à ce grand bloc de
marbre, il s’est mis à le tailler selon le modèle, et à façonner, et à
rectifier, jusqu’à ce qu’il en arrive à l’image véritable qui devait
correspondre à ce qu’il avait dans son esprit.
36 Et alors, quand il est arrivé au point où tout
était parfait, tous les angles arrondis, et tout bien poncé partout, et
les yeux exactement comme il faut, et chaque cheveu, et la barbe, et
que tout soit juste tel quel, il s’est reculé et il l’a regardé. Je–je
pense à–à bien, bien des dures années de labeur, et comme il lui a
fallu garder tout le temps dans son esprit cette même vision-là, de ce
qu’il allait faire. Et pensez un peu, cette vision-là à l’esprit
pendant tant d’années, pour arriver à produire quelque chose qui y
correspondrait parfaitement! Il a d’abord saisi la vision, et combien
il a dû travailler, selon cette vision, à ciseler et à façonner de plus
en plus! Et quand il l’a eu amenée à la perfection, que la chose était
vraiment parfaite; il s’est tenu là à la regarder, quand il l’a eu
terminée ce matin-là, avec son marteau à la main…
Et il a été tellement inspiré quand il l’a regardée,
parce que la vision qu’il avait à l’esprit se tenait devant lui, dans
la réalité. Ce qu’il avait vu, et la... sa conception de ce que Moïse
était, elle était là représentée devant lui, ce qu’il avait eu dans son
cœur pendant toutes ces années. Le labeur, et les heures de douleur et
de détresse, et les critiques, et tout le reste, mais malgré tout ça,
il était resté attaché à la vision, jusqu’à ce que ce soit terminé.
37 Et alors, quand le monument a été terminé, il
s’est reculé avec le marteau, ou, le marteau de sculpteur à la main, et
il l’a regardé. Et l’inspiration, de la vision qu’il avait eue, qui lui
avait donné la marche à suivre, cela l’a tellement inspiré qu’il... Il
a été saisi par l’inspiration, au point qu’il ne se possédait plus, et
il l’a frappé au genou, en disant: “Parle! “
38 Maintenant cette grande statue a un défaut au
genou, au genou droit. Juste au-dessus du genou, à environ six pouces
[quinze centimètres – N.D.T.], il y a un endroit (j’ai mis ma main
dessus) à peu près profond comme ça.
39 Après qu’il a eu passé tout ce temps-là, pendant
des années et des années, à produire ceci; ensuite, sous cette–cette
influence, de voir l’accomplissement de ce qu’il avait vu dans son cœur
et dans sa vision, et de ce qu’il avait désiré voir, que c’était
terminé. Et une fois terminé, il a été tellement inspiré par cela,
qu’il s’est dit que son propre chef-d’œuvre devrait lui parler. Il l’a
frappé à la jambe, en criant: “Parle! “ Et il a eu un défaut à cause de
cela. La statue a eu un défaut à cause de cela.
40 À mon avis, c’est ce défaut qui en a fait un
chef-d’œuvre. Bon, peut-être que pour le–l’esprit qui voit la chose
différemment, vous pensez qu’il a été gâché à cause de cela. Non, à mon
avis, c’est–c’est ce qui en a fait ce qu’il était Il–il... En effet,
après tant d’années de travail soigné et de labeur, et d’inspiration et
tout, à produire cette oeuvre son labeur n’avait pas été en vain, la
preuve était là. Elle était parfaite, et c’est pour ça qu’il s’est
écrié: “Parle!” En effet, il avait vu devant lui qu’il (était) avait
été capable d’exécuter, de réaliser la vision qu’il avait dans son
esprit. C’est pourquoi, sous l’inspiration, il a fait quelque chose qui
était contraire au bon sens, qui sortait de l’ordinaire. Il l’a
frappée, en criant: “Parle!” Voyez-vous, il n’aurait pas fait ça s’il
avait réfléchi. Mais il n’a pas réfléchi. C’était l’inspiration de voir
ce qu’il avait dans son esprit se retrouver parfaitement devant lui.
41 Son labeur, ses tracas, et les longues nuits, et
cloîtré pendant des jours. Peut-être qu’il mangeait un sandwich, et–et
il ponçait, il s’y remettait, et: “Non, ce n’était pas du tout comme
ça. Maintenant il faut en venir à ceci”, et il ponçait. Ensuite, quand
il l’a vue dans toute sa perfection, alors il en a vu la réalité. Le
négatif, ce qu’il avait dans son esprit, était devenu réel, il était
devenu positif, c’est pourquoi il a été saisi. Et c’était tellement
réel qu’il n’a pas pu s’empêcher de s’écrier: “Parle! “
42 À mon avis, c’était un reflet. C’était–c’était
une éloge à son oeuvre, sa propre oeuvre l’a tellement inspiré, au
point qu’il ne se possédait plus, il l’a frappée et il a dit: “Parle!”
43 Je me suis tenu là à regarder ce monument. J’ai
pensé aux heures que cet homme avait dû y consacrer. Ils ont dit
combien d’années il avait mis à le produire. Mais pour lui ça–ça
reflétait, parce que c’était un apport à son–à son grand art, à sa
grande oeuvre, ce qu’il produisait. Et quand, finalement, il est
parvenu à sa réalisation, elle était vraiment remarquable.
44 Maintenant tournons la page sur Michel-Ange,
fermons le livre.
Et ouvrons un autre Livre, lisons l’histoire du
grand Sculpteur, le Tout-Puissant. Celui qui, avant qu’il y ait un
monde, et avant que les fondements en soient posés, avait dans Son
esprit ce qu’Il voulait, Il voulait faire l’homme à Son image à Lui. Il
voulait produire la–la réalité de ce qui était pour Lui une vision, ce
qu’Il avait dans Sa pensée.
45 Or, pour Michel-Ange, cette chose-là a été un
attribut de sa pensée.
De même, Dieu voulait faire un homme selon Son
image, le grand Sculpteur, et Il s’est mis à l’œuvre, pour le produire.
Et nous remarquons, alors qu’Il faisait apparaître des choses, à partir
des matériaux. En premier, peut-être qu’il y a eu les poissons, et
ensuite les oiseaux, et–et ensuite les animaux rampant sur la terre,
et–et bien des choses qu’Il a produites. Mais, finalement, en couvant
la terre, comme Il était le Créateur, Il avait... Il n’était pas comme
un homme, là, un sculpteur qui doit utiliser quelque chose qui a déjà
été créé pour y tailler une statue. Il était le Sculpteur des choses
Éternelles. Il était le Sculpteur qui pouvait créer et amener à
l’existence ce qu’Il a dans l’idée de faire. Ou, autrement dit, Il peut
matérialiser ce que Ses attributs désiraient.
46 Et alors qu’Il s’est mis à l’œuvre, sur les
animaux rampants, comme les–les–les petits animaux qu’il y a sur la
terre. Ensuite, Il est passé de cela à quelque chose d’autre, une forme
plus évoluée. Puis, finalement, Il est passé aux plus gros animaux,
tels que le lion, le tigre, l’ours. Ensuite, Il est peut-être passé à
la–la–la vie des–des singes et des primates, et tout. Or, il ne s’agit
pas d’une évolution, comme on pense que quelqu’un serait venu de... Il
s’agissait d’une création complète; Dieu qui oeuvrait selon un modèle.
47 Mais, finalement, quelque chose de parfait a
surgi sur la terre, c’était l’homme. Et alors, Il pouvait voir en le
regardant, que cet homme Lui ressemblait. Alors, quand Il l’a regardé,
là, celui-ci était le reflet de ce qu’était son Créateur. Dieu était
maintenant arrivé à réaliser ce qu’Il voulait, un homme à Sa propre
image.
48 Je pourrais ajouter ici, que, quand Il a eu fait
cet homme, on aurait dit qu’il y avait quelque chose qui clochait un
peu chez lui, c’est parce qu’il–qu’il était seul. Et c’est comme ça que
Dieu avait été, seul; Il était l’Éternel. Et voilà que cet homme, qui
était à l’image de Dieu, lui aussi, il était seul, sur la terre. Alors,
Il a dû lui donner un petit coup au côté gauche, et c’est à partir du
morceau qui s’est détaché de lui, qu’Il lui a fait une compagne, une
épouse, après quoi il n’a plus été seul. Il était–il était, il avait
quelqu’un avec lui. Voilà Sa grande oeuvre.
49 Et Lui, comme tout grand sculpteur prendrait
son–son–son chef-d’œuvre...
Bon, d’abord, Il avait un chef-d’œuvre qui Lui
correspondait, à Lui. Mais maintenant, en voyant ce chef-d’œuvre qui
était solitaire, comme Lui, alors Il a divisé ce chef-d’œuvre en le
frappant au côté, et Il a produit une compagne.
50 Et maintenant, pour que les deux soient un, Il
les a placés, comme le ferait tout grand sculpteur, dans un lieu
qui–qui était magnifique.
Un–un sculpteur ne produirait pas un grand
chef-d’œuvre, pour ensuite le prendre et l’installer quelque part dans
une ruelle, ou le cacher derrière des bâtiments. Comme notre Seigneur
nous l’a dit: “On n’allume pas une lampe pour la mettre sous le
boisseau.” Quand nous devenons les chefs-d’œuvre de Dieu, nous ne nous
tenons pas cachés quelque part dans une ruelle. Nous–nous devons
répandre de la Lumière.
51 Donc, nous voyons que–qu’Il, après qu’Il a eu
produit ce chef-d’œuvre, Il l’a placé ici sur la terre, et Il l’a
installé dans le lieu le plus magnifique qui soit, dans le jardin
d’Éden. Il a placé Son chef-d’œuvre, les deux qui faisaient un, dans le
jardin d’Éden. Comme Il a dû être content de voir que ce chef-d’œuvre
se portait bien. Il, après ça, nous voyons qu’Il s’est reposé; Il était
tellement content de Son oeuvre.
52 Or, souvenez-vous qu’à mon avis, le chef-d’œuvre,
c’est ce coup qui a déparé le chef-d’œuvre de Saint-Ange, le monument
de Moïse.
Et c’est le coup qui a ouvert le côté de Son
chef-d’œuvre qui a fait sortir l’épouse. Et maintenant nous voyons
qu’ils sont une famille, un chef-d’œuvre, dans le jardin d’Éden. Comme
c’était beau! Et Il en a été tellement content, alors, qu’Il–qu’Il a
pris du repos. Il a dit: “ Je–Je vais me reposer.”
53 Mais, pendant qu’Il se reposait et qu’Il se fiait
à Son chef-d’œuvre, Son ennemi est arrivé et il a trouvé ce grand
chef-d’œuvre. Et il, par tromperie, il–il s’est glissé sous les–les
murs du jardin, et là il–il a déparé ce beau chef-d’œuvre. Il–il l’a
déparé, ce qui a entraîné sa–sa chute.
54 Bon, j’essaie de garder l’œil sur l’horloge.
J’avais demandé à Mike, mon neveu, de faire sonner la cloche au bout de
trente minutes, mais je... il ne l’a pas fait, et j’ai déjà pris mes
trente minutes. Mais c’est… On va continuer un peu. Voyez? Bon, je ne
veux pas–pas enfreindre ces règlements. C’est–c’est moi qui ai établi
ces règlements, voyez-vous, et je–je... voilà ce que c’est
qu’enfreindre son propre règlement.
55 Maintenant remarquez, donc, ce chef-d’œuvre.
Quand Satan s’en est emparé, le trompeur, il a fait une brèche dans les
murs et–et il a déparé ce chef-d’œuvre. En effet, la manière dont il
s’y est pris, qu’est-ce que...Comment s’y est-il pris? Je vais
détailler un peu plus. La manière dont il s’y est pris, c’est que... Ce
chef-d’œuvre était entouré des murs de la Parole, de la Parole de Dieu.
Et le chef-d’œuvre lui-même, cette famille, elle était à l’abri
derrière les fortifications de cette Parole. Mais le morceau qui avait
été détaché, qui avait été détaché de l’original, il est allé de
l’autre côté de ce mur, ce qui a donné à Satan l’occasion de le
déparer. Et maintenant, comme vous savez déjà ce que je crois
là-dessus, alors, je n’aurai pas besoin de le dire. Mais le
chef-d’œuvre a été brisé.
56 Seulement le grand Sculpteur, quand Il a vu la
chute de Sa famille, du chef-d’œuvre, Il ne voulait pas le laisser là,
la face contre terre et détruit. Tout de suite Il s’est mis à l’œuvre,
pour le reconstruire. Il ne voulait pas qu’il périsse, qu’il reste là,
comme ça, tout le temps. En effet, Il est Dieu, et alors, Il ne subira
aucun échec. Donc, tout de suite Il s’est mis à l’œuvre, et Il a
recommencé à construire un homme à Sa propre image.
57 Alors, nous voyons qu’il y a eu le monde
antédiluvien, où tout a été détruit, parce que les alliances qui
avaient été faites avaient été faites sous condition: “Si tu ne fais
pas ceci, ou si tu fais cela.” Dieu, le grand Sculpteur, a vu que
l’homme ne pouvait pas–ne pouvait pas garder une alliance. Il ne le
peut tout simplement pas. Il n’y a absolument pas moyen.
Au cours de l’entretien que j’ai eu il y a quelques
instants, je parlais à une personne dans la pièce, elle est ici en ce
moment. Elle disait: “Mais, Frère Branham, il y a tellement de choses
en moi, des travers dont je–je suis consciente”, et une–une petite
femme remplie de piété.
58 J’ai dit: “Mais–mais, écoutez, sœur, ne regardez
pas à vous-même. Ce qui compte c’est votre désir et ce que vous essayez
de faire. Et si vous aimez vraiment le Seigneur, vous essayez de Le
servir de tout votre cœur, et alors toutes vos erreurs sont cachées
dans le Sang du Seigneur Jésus.” Voyez? Voyez-vous, Il a pourvu d’un
moyen.
59 Donc, Il a commencé, là, à dégager l’homme des
alliances qu’Il avait faites avec lui, où–où Il disait: “Si tu fais
ceci, Je ferai cela.” Il a commencé, avec cet homme appelé Abraham, Il
a donné à Abraham une alliance sans condition. Chaque fois qu’Il
commençait un chef-d’œuvre, Satan s’en emparait, parce que la Parole...
Mais quand Il a commencé avec Abraham, Il a dit: “Je l’ai déjà
accompli. Maintenant, ceci, c’est sans condition, non pas... que–que:
‘Si tu fais ceci, Je ferai cela’, mais Je l’ai déjà accompli.”
Maintenant Il, le–le Sculpteur est bien décidé à avoir ce chef-d’œuvre.
60 Ensuite, à partir d’Abraham, il y a eu les
patriarches. Et vraiment, les patriarches... Qu’est-ce que Dieu est en
train de faire, là? Il est en train de reconstruire ce chef-d’œuvre qui
était tombé. Donc, au nombre des patriarches, le premier, nous voyons
que c’est Abraham.
61 Maintenant regardez bien, un chef-d’œuvre est
toujours placé sur un fondement, une sculpture. Le monument de
Michel-Ange, Moïse, est sur une plaque de marbre de trois à quatre
pieds [0,9 à 1,2 mètre – N.D.T.]. Il a un fondement. Donc, Dieu, quand
Il a préparé ce chef-d’œuvre, Il l’a posé sur le fondement des
patriarches. Et le fondement des patriarches, d’abord, c’était Abraham,
ensuite Isaac, ensuite Jacob, ensuite Joseph, les quatre coins.
62 Or, Abraham, là, c’était le fondement de la foi.
Disons qu’il avait quatre fondements. Le fondement de la foi, c’était
Abraham. Le fondement de l’amour, c’était Isaac. Le fondement de la
grâce, c’était Jacob, la grâce de Dieu envers Jacob; tout le monde sait
ça. Mais en Joseph se trouvait la perfection. C’est là-dessus qu’il a
pu poser le monument; pas sur le premier fondement, le deuxième
fondement, le troisième fondement, mais sur le quatrième fondement.
63 Abraham représentait Christ, bien sûr. Isaac
aussi, par l’amour. Abraham, par la foi. Isaac, par l’amour. Jacob, par
Sa grâce. En effet, Jacob, ça veut dire “trompeur”, et c’est bien ce
qu’il était, seulement la grâce de Dieu a été avec lui. Mais quant à
Joseph, il n’y a rien contre lui, juste une petite égratignure, car le
fondement doit, lui aussi, être un chef-d’œuvre. Quand il a dit à son
père, le prophète: “Dis à Pharaon que les gens de ta famille sont–sont
des éleveurs de bétail, et non des bergers, parce les bergers sont en
abomination aux Égyptiens.”
64 Mais quand le vieux prophète s’est présenté
devant Pharaon, il a dit: “Tes serviteurs sont bergers.” Alors, il y a
eu une égratignure à cause de ça, voyez-vous, c’est ce qui en fait
encore le chef-d’œuvre.
65 Donc, les fondements ont été posés, par la foi,
l’amour, la grâce, et jusqu’à la perfection, par les patriarches.
66 Maintenant, le corps, la partie de l’ouvrage qui
s’est ajoutée à ce grand chef-d’œuvre, c’était les prophètes,
c’est-à-dire la Parole. J’espère que vous comprenez. Voyez? Les
prophètes; pas les lois! Les prophètes, parce que les prophètes étaient
la Parole confirmée, qui forme le corps; pas les patriarches. Les
prophètes; ils étaient la Parole.
67 Finalement, alors qu’Il avait commencé bien
longtemps en arrière, à l’époque de Moïse, et qu’Il avait enchaîné avec
les prophètes, chacun d’eux. Finalement, et Il construisait le corps,
Il s’en rapprochait toujours plus. Et le plus grand d’entre eux,
c’était Jean. La Bible le dit. Jésus l’a dit. “Jamais un homme né d’une
femme n’a été aussi grand que Jean-Baptiste”, c’est parce qu’il a été
celui qui a pu présenter la Parole.
68 Et puis, finalement, la grande Tête est arrivée,
la Tête de tout le reste. Le reste du corps ne faisait que L’annoncer.
Le fondement a été posé par le patriarche, mais le corps a été
construit par la Parole, c’est-à-dire les prophètes. Et voici qu’arrive
la Tête de tout cela, Jésus est venu. Là, quand ce morceau-là, la Tête,
a été posée dessus, nous voyons qu’en Lui se trouve l’œuvre complète de
Dieu. Nous voyons qu’en Lui se trouve le reflet parfait de la Parole,
car Il était la Parole, la plénitude de la Parole. Voilà que de
nouveau, Dieu a le Chef-d’œuvre parfait, de nouveau.
Comme l’a dit Ésaïe: “Voici Mon Serviteur, Mon
Chef-d’œuvre, Celui que J’ai représenté dans tous les âges, cet Être
parfait qui allait venir. Et Le voici devant Moi, Il est parfait!” Il
était là, à Son image, Il reflétait Dieu! En effet, Il a dit, dans Jean
14: “Quand tu Me vois, tu vois le Père.”
69 Et aussi: “Au commencement était la Parole, et la
Parole était avec Dieu”, et la Parole a été taillée et a reflété ce que
la Parole était au commencement. Lui, la Parole, Il s’est reflété dans
le Chef-d’œuvre, qui était à Sa ressemblance même, Dieu qui était de
nouveau là, à Sa ressemblance, la forme Parole qui se reflétait, à
l’image d’un homme, le Chef-d’œuvre.
70 Tous les prophètes avaient des défauts; ceux-là
étaient tous une portion. Mais ici, enfin, de tout cela est finalement
sorti le Chef-d’œuvre, l’Être parfait, absolument rien à Lui reprocher,
Il était un reflet tellement parfait du Constructeur Lui-même, Sa
propre image s’était reflétée dans Son oeuvre. “Dieu et Christ étaient
Un”, au point qu’Il a placé Son propre Esprit en Lui, et à ce moment-là
l’image même et le Constructeur sont devenus Un. Dieu et Son oeuvre
sculptée, Son Chef-d’œuvre! Alors que le Moïse–Moïse, l’œuvre de
Saint-Ange, était une... ou plutôt, de Michel-Ange, était une–une
oeuvre sculptée qui était morte, parce qu’elle avait été faite en
pierre. Mais ici, le Grand Constructeur, quand Il a eu amené Son oeuvre
à la perfection, Il est entré dedans.
71 Il L’a amené à une telle perfection, ce
Rédempteur de l’homme, tellement parfait, tellement saint; et pourtant,
Son aspect n’avait rien pour nous plaire. Quand ce Fils du Dieu vivant,
né d’une vierge, est devenu tellement parfait, tellement humble,
tellement à l’image de Dieu, au point que le grand Maître, qui avait
transmis Sa Vie, par les prophètes... Et Il était l’accomplissement de
tous les prophètes. Il était tellement parfait que Dieu, en voyant ça,
Il L’a frappé, et Il s’est écrié: “Parle!”, comme Michel-Ange l’avait
fait. “Parle!”
Vous dites: “C’est vrai, ça?”
72 Dans Marc 9.7, nous voyons, sur la montagne de la
Transfiguration, au moment où Moïse était là, la loi, où Élie était là,
les prophètes. À partir du commencement, des patriarches; les pères, la
loi, les prophètes, ils étaient tous là. Nous entendons une Voix
descendre de la nuée, Elle a dit: “Celui-ci est Mon Fils bien-aimé:
écoutez-Le!” Et s’ils doivent écouter, c’est parce qu’Il va parler. Ça,
c’était seulement quelques jours avant qu’Il soit frappé. “Celui-ci est
Mon Fils, en Qui Je me plais à demeurer. Je L’ai façonné. Il M’a fallu
quatre mille ans pour L’amener à ceci. Et maintenant, Il est tellement
parfait que Je dois Le frapper, pour qu’Il puisse parler. Écoutez-Le!
Il est Celui qui a été rendu parfait. Il–Il est le Chef-d’œuvre.”
73 Souvenez-vous, Il a été représenté à toutes les
époques, tout au long de l’Ancien Testament.
Nous voyons qu’Il était le Rocher qui a été frappé,
dans le désert, le Rocher dans le désert. “Je suis ce Rocher qui était
dans le désert.” Mais il s’agissait là d’une pierre qui n’était pas
encore parvenue à la perfection. Mais, sous forme de type, Il suivait
l’église, pour qu’Il puisse ainsi attirer ceux qu’Il pouvait attirer à
Lui, donner la Vie à ceux à qui Il pouvait donner la Vie. Mais, donc,
Il était ce Rocher dans le désert. Il n’avait pas encore été fait
homme. Il était seulement sous forme de type.
74 Moïse L’a vu, debout sur ce Rocher. Il L’a vu
passer, et il a dit: “C’est le dos d’un homme.” Vous voyez, le
Sculpteur présentait à Moïse, qui était une image potentielle de
Christ, ce à quoi ressemblerait le grand Chef-d’œuvre après avoir été
rendu parfait. Il a passé Son... Il a injecté, ou–ou projeté devant
Moïse la vision de ce à quoi ressemblerait le Chef-d’œuvre. C’était le
dos d’un homme, quand Il est passé près de lui dans le désert.
75 Souvenez-nous, Michel-Ange, tout ce qu’il a pu
faire, c’est de s’écrier, de frapper la statue, et dire: “Parle!”
Mais avec Dieu, ça a été une tout autre histoire, le
grand Sculpteur. Quand Il a eu fait un homme à Son image, tellement
parfait qu’Il Le reflétait, Dieu a parlé dans cette image de l’homme,
pour montrer ce qu’Il allait réaliser. Il avait parlé par les
prophètes, qui formaient une image potentielle, alors qu’Il amenait
tout cela vers la Tête. Mais quand Il est arrivé à la Tête, Il était
l’image complète de Dieu; Il Se représentait Lui-même. Ensuite frappé
pour nous, et maintenant Il est pour nous le Chef-d’œuvre, le Don de
Dieu, Jésus-Christ, la Vie Éternelle. J’espère que nous ne l’oublierons
jamais.
76 Alors que nous voyons les jours qui
s’assombrissent, alors que nous voyons les ombres qui tombent! Alors
que, je le prédis: “Encore seulement quelques révolutions du soleil.
Cette nation est fichue.” Savez-vous...
Hier, c’était le 4 juillet. Thomas Jefferson avait
signé la Déclaration d’indépendance, lui et les autres membres du
comité avec lui, et la Cloche de la liberté a sonné. nous avons été
proclamés une nation indépendante. Selon l’histoire, il n’y a jamais
eu, à aucun moment, une démocratie qui existe plus de deux cents ans.
Et ça, ça s’est passé en 1776, le 4 juillet. Alors il ne nous reste
plus qu’onze ans. Y arrivera-t-elle? Non, elle ne le peut pas,
voyez-vous. Onze ans. Et, si elle y arrive, ce sera contraire à toute
l’histoire.
77 Nous voyons l’état de l’époque. Nous voyons
l’état des gens. Nous voyons l’état de la politique. Nous voyons l’état
du monde. Il ne peut pas subsister. Il doit sombrer, comme le Titanic.
Il doit couler, car ces choses doivent céder la place. Une nation cède
la place à l’autre, alors qu’elle s’effondre. Et ce royaume-ci doit
s’effondrer, de même que tous les autres royaumes, pour céder la place
à ce Royaume qui vient, qui ne peut pas s’effondrer. “Nous recevons un
Royaume inébranlable”, grâce à cette image parfaite de Dieu, le
Chef-d’œuvre.
78 Dieu, quand Il L’a regardé, Il a été tellement
inspiré! Il a été tellement... de voir Son aspect, et de voir la–la
forme qu’Il avait, Il a été tellement inspiré, sachant que ce serait là
le Chef-d’œuvre parfait, d’un Rédempteur, Jésus le Rédempteur. Alors,
Dieu, pour pouvoir être frappé Lui-même, parce que, pour expier
Lui-même Sa peine, Dieu et Christ sont devenus Un, pour que Dieu, dans
cette Image, puisse être frappé, qu’Il puisse être meurtri. Voilà
pourquoi Ésaïe a dit: “Nous L’avons considéré comme frappé et affligé
par Dieu. Mais Il était blessé pour nos péchés, brisé pour notre
iniquité; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et
c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.”
79 L’Image parfaite, l’Homme-Dieu! Dieu, en morphe,
Il était passé du Surnaturel à la vision, et la vision avait été
projetée dans l’Image. Et l’Image a été frappée, pour que le Surnaturel
puisse goûter la mort, le Chef-d’œuvre parfait de Dieu.
Il n’a pas pu le faire en Moïse. Il n’a pas pu le
faire dans les prophètes. Ésaïe qui a été scié avec des scies, au point
qu’on l’a scié en morceaux. Il n’a pas pu le faire dans les prophètes
qui ont été lapidés. Il n’a pas pu le faire, parce qu’Il n’aurait pas
pu le ressentir; il n’y avait là qu’une partie de Lui.
Mais dans ce Chef-d’œuvre parfait, Il était la
plénitude de la Divinité corporellement. Non seulement pouvait-Il
projeter Moïse, mais Il pouvait projeter tout Son Être dans cette
Personne-là, et goûter la mort pour toute l’espèce humaine. Le
Chef-d’œuvre parfait de Dieu! Dieu a été tellement inspiré en Le
voyant, Celui-ci est devenu le Rédempteur de tous les âges; pour
répondre de ceux des époques passées, de ceux d’avant, et de maintenant.
80 Toutes les promesses se sont réalisées en Lui. Il
était la Perfection de la perfection. Tous les types se sont accomplis
en Lui. Notre Parent Rédempteur, en Ruth et Boaz. Notre Législateur, du
mont Sinaï. Notre Prophète, qui est sorti du désert. Alors qu’Il est
descendu de la montagne, qu’Il est sorti du désert, qu’Il est venu de
l’Éternité, et Il est devenu homme, l’Image parfaite!
81 Dieu, tout au long des âges, qui taillait
constamment; par les patriarches, Il a construit Sa plate-forme, et Il
les a fait passer par les différentes choses sur lesquelles Il allait
poser le fondement en question. Là-dessus, Il s’est mis à ériger Sa
Parole, les prophètes. Et finalement, Il en est arrivé au Prophète
parfait, le Fondement parfait, la vision parfaite que Dieu avait.
82 Et maintenant, pour qu’elle puisse parler; Il est
la Parole, et pour que la Parole puisse parler, Il doit entrer dans
cette Image. Et puis, pour que l’Image puisse parler, elle doit être
frappée. Il entre dans l’Image, donc, pour pouvoir parler, le
Rédempteur parfait.
83 Tous les types de l’Ancien Testament se sont
réalisés en Lui. Comme je le disais l’autre jour, le Jéhovah de
l’Ancien Testament est le Jésus du Nouveau. Oui.
84 Comme beaucoup d’entre vous, les hommes, les
femmes, de mon âge; autrefois, nous avions dans le pays beaucoup de
blanchisseries chinoises. Quand les Chinois ont commencé à s’installer
ici, ils sont arrivés sur la Côte Ouest et ils se sont déplacés vers
l’est, ils arrivaient de l’Orient et ils se sont déplacés dans cette
direction-ci. Et, à ce moment-là, c’était un peuple qui ne connaissait
pas notre langue et nos coutumes, mais c’étaient d’excellents
blanchisseurs. Ils ne pouvaient pas écrire sur le ticket, pour que vous
puissiez récupérer votre linge à vous.
Mais le Chinois, il s’est procuré un paquet de
petites cartes avec rien du tout dessus. Alors, quand vous veniez faire
faire votre blanchissage, il prenait cette carte et il la déchirait
d’une certaine manière; il vous en remettait un morceau, et il gardait
l’autre morceau. Et, bon, c’est un système un peu meilleur que celui
que nous avons maintenant, parce que, quand vous retourniez chercher
vos choses, ces deux morceaux devaient s’ajuster parfaitement. Vous
n’auriez pas pu imiter ça, même s’il l’avait fallu. Il n’y a aucun
moyen de le faire. Vous pouvez copier des lettres, mais vous ne pouvez
pas imiter cette déchirure-là. Elle doit s’adapter très exactement à
l’autre morceau. Par conséquent, vos vêtements sales que vous aviez
apportés là-bas, vous pouviez les reprendre avec ce ticket-là, parce
que le ticket correspondait à celui qui avait été remis.
85 De même, alors que Dieu, par les prophètes, et en
vertu de la loi, nous condamnait au péché; et dans la loi, il n’y a
aucune grâce, elle ne fait que vous indiquer que vous êtes pécheur.
Mais quand Jésus est venu, Il était l’accomplissement, Il était
le–l’accomplissement de tout ce que Dieu avait promis. Il était l’image
identique, parfaite, de la promesse. Par conséquent, toutes les
promesses de l’Ancien Testament se sont réalisées en Jésus-Christ.
Elles n’auraient pas pu se réaliser en Moïse, elles n’auraient pas pu
se réaliser dans aucun des prophètes, mais elles se sont réalisées dans
le Chef-d’œuvre. Il correspondait à tout ce qui avait été annoncé qu’Il
serait.
De même l’Église aussi devra correspondre à tout ce
que Dieu a promis. Elle doit être ce morceau qui En a été détaché.
Alors, si l’original est la Parole, les sujets qui En ont été tirés
seront aussi la Parole, pour correspondre à Son côté.
86 Par conséquent, le Chinois, vous pouviez
réclamer... Alors que la loi vous condamne, elle disait que vous étiez
sale et que vous étiez coupable, et elle pouvait vous mettre en prison.
Mais, quand Il est venu, Il était le Morceau qui correspondait, qui
pouvait vous en faire sortir, et vous ramener pour–pour former le
ticket complet, la rédemption que Dieu avait promise, là-bas dans le
jardin d’Éden. “Ta Postérité écrasera la tête du serpent. Mais, Son
talon le blessera–blessera à la tête.”
87 Maintenant nous voyons ce Chef-d’œuvre parfait
que Dieu avait achevé. Or, nous remarquons qu’Il était tout ce qui
avait été promis à Son sujet. Il est toutes les promesses, toutes les
prophéties, tout ce que Dieu avait promis. “Ta Postérité écrasera la
tête du serpent.” Or, Il ne pouvait pas l’écraser par la loi, Il ne
pouvait pas l’écraser par les prophètes, mais Il l’a bel et bien
écrasée quand la Postérité de la femme est devenue le Chef-d’œuvre,
Christ. Il était la Pierre que Daniel a vue, détachée de la montagne.
Il était Celui qui pouvait frapper. Il était Celui qui pouvait écraser,
écraser la tête du serpent.
88 Sa vie a correspondu exactement à la vie de
Moïse. Sa vie a correspondu à David. Voyons si c’est bien le cas, s’Il
est le Morceau qui correspond.
89 Remarquez, David, un roi rejeté, qui gouvernait
son propre peuple. Il a été... Un jour, pendant qu’il... Son propre
fils s’est soulevé, s’est mutiné contre lui, et il a séparé et divisé
les armées d’Israël. Et il a été, David a été chassé, chassé de son
trône par les siens.
Et quand il est parti, il y avait un homme qui le
haïssait, et il marchait, là, il crachait sur David. Le garde a dégainé
son épée, il a dit: “Ne lui couperai–je pas la tête, à ce chien qui a
craché sur mon roi?”
David a dit: “Laisse-le. C’est Dieu qui lui a dit de
faire ça.”
90 Ne voyez-vous pas? “Homme de douleur, habitué à
la souffrance. Il se tient là, semblable à une Brebis muette devant
ceux qui la tondent. Ils... C’est ce qu’il a dit. Peut-être que David
ne savait pas ce qu’il disait.
Mais environ cinq ou six cents ans plus tard, ou un
peu plus, le Fils de David passait dans ces mêmes rues, et on Lui a
craché dessus. Mais remarquez ce qui s’est produit quand David est
revenu de son–revenu de son... quand, il avait été en fuite, et il est
revenu de son exil, quand il–quand il est revenu, cet homme-là a
demandé la paix et a imploré sa miséricorde. Même ceux qui L’ont frappé
Le verront un jour, quand Il reviendra.
91 Et nous voyons, donc, en Joseph, que Joseph était
un garçon d’une naissance étrange, la dernière partie, la partie du
haut du fondement, sur lequel le chef-d’œuvre devait être construit.
C’est passé de la foi, à l’amour, à la grâce, et de là à la perfection.
Et ça a été la même chose, c’est passé des pieds, au commencement, pour
en arriver à la perfection, en Christ. Remarquez comme Il a été
représenté en Joseph, le haut du fondement, le plus parfait de tous.
92 Nous voyons que Joseph est né de sa famille. Il
est né de la femme légitime, en fait, qui était l’épouse de Jacob.
Remarquez aussi, qu’à sa naissance, son père l’a aimé; ses frères, eux,
l’ont haï sans cause. Pourquoi le haïssaient-ils? Parce qu’il était la
Parole.
Voyez-vous le fondement même? Voyez-vous comment la
tête du fondement est venue? Alors, regardez venir la Tête du Corps.
Maintenant regardez bien venir la Tête de l’Épouse. Il était la Parole.
Ils le haïssaient, parce qu’il était voyant. Il
voyait des choses d’avance, et il les annonçait. Elles arrivaient. Peu
importe le délai, elles arrivaient quand même. Et, parce qu’il était
spirituel, il a été excommunié par ses frères. Ils auraient dû l’aimer.
Mais ils le haïssaient, parce qu’il était prophète et qu’il était
spirituel. Alors ils le haïssaient.
93 Remarquez, il a été vendu pour presque trente
pièces d’argent; on l’a jeté dans une fosse, et on le pensait mort,
mais il a été sorti de la fosse. Et à l’heure de sa tentation, en
prison; l’échanson et le–le panetier, nous savons que l’échanson a été
sauvé et que le panetier a été perdu. Et dans la prison de Christ, sur
la croix, une personne a été sauvée et l’autre a été perdue; deux
voleurs, deux malfaiteurs.
94 Et nous remarquons qu’il a été sorti de la prison
où il était, pour aller à la droite de Pharaon; là personne ne pouvait
parler à Pharaon sans passer par Joseph. Et quand Joseph quittait le
trône de Pharaon, la trompette sonnait dans toute l’Égypte, la sonnerie
retentissait, ils disaient: “Fléchissez le genou, tout le monde, Joseph
arrive!”
95 Ce sera la même chose pour Jésus. Il a été aimé
du Père, et haï de ces frères dénominationnels, sans cause. Il a été
vendu pour trente pièces d’argent, pour ainsi dire, et mis dans la
fosse, on Le pensait mort. Sur la croix: une personne a été perdue et
l’autre a été sauvée. Il a été élevé de la croix, et Il est assis à la
droite de Dieu, dans la Majesté, le grand Esprit qui s’était reflété en
Lui. Et personne ne peut parler à Dieu, sans passer par Jésus-Christ.
Pensez-y! Et quand Il quittera ce Trône, qu’Il s’avancera: “La
trompette sonnera, tout genou fléchira et toute langue confessera.”
96 Souvenez-vous, il était le fils de la prospérité.
Tout ce qu’il faisait réussissait. Que ce soit en prison, ou n’importe
où, les choses prenaient une bonne tournure.
Et n’a-t-Il pas promis que, pour Ses enfants, Il
ferait concourir toutes choses à leur bien. Que ce soit la maladie, la
prison, la mort, les peines, quoi que ce soit, ces choses concourraient
au bien de ceux qui L’aiment. Il l’a promis, et il doit en être ainsi.
Cela doit être. Cela nous a été annoncé, au figuré, en Lui. Il était
l’Image parfaite de Dieu. Maintenant nous voyons ici, aussi, que, quand
Il reviendra...
97 Souvenez-vous, Joseph, par révélation, il a sauvé
le monde, grâce à sa grande prophétie. Sans Joseph, le monde serait
mort.
De même, sans Jésus, le monde aurait–aurait été
mort. “Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique,
afin que quiconque croit en Lui ne périsse point.” Dieu tient la Vie en
réserve.
98 On pourrait continuer pendant longtemps! En
effet, Il a correspondu tout à fait à David. Il a correspondu à Moïse.
Il a correspondu à Élie. Il a correspondu à Joseph. Tout ce qui a été
représenté ou prédit par Lui, dans l’Ancien Testament, a correspondu
parfaitement (qu’est-ce?), pour montrer un Rédempteur parfait. Pour que
nous puissions remettre nos vieux vêtements sales à la blanchisserie,
et retourner les réclamer. Ils ont été lavés dans le Sang de l’Agneau.
Nous pouvons réclamer ce qui est à nous. Et tout ce pour quoi Il est
mort, nous pouvons le réclamer. Donc, Il était la Parole parfaite,
représentée.
99 Il a plu à Dieu, le grand Sculpteur, de Le
frapper, et de le faire de cette manière-là. Nous Le voyons, dans
Ésaïe, ici, comme je l’ai lu: “Nous L’avons tous considéré, nous avons
détourné notre visage de Lui. Son aspect n’avait rien pour nous
plaire”, tout le monde parlait de Lui, se moquait de Lui. C’est de Lui
maintenant, en ce jour-ci, que je parle; tout le monde se moque de Lui.
Voyez? “Nous L’avons considéré, nous L’avons vu.” Considérer, ça veut
dire “regarder”. “Nous L’avons considéré comme frappé et affligé par
Dieu.” Mais Il, pourquoi a-t-Il fait ça? “Il était blessé pour nos
transgressions; Il était brisé pour notre iniquité.”
100 Maintenant, on pourrait continuer pendant
longtemps là-dessus, mais je crois que vous avez une vue d’ensemble de
ce que je veux dire, là, Dieu qui reconstruit Son chef-d’œuvre.
101 Mais n’oublions pas qu’au commencement, quand Il
a frappé le côté d’Adam, Il a retiré quelque chose de son côté.
Or, si Christ a été frappé, c’est dans un but, pour
qu’Il puisse retirer de Lui quelqu’un, pour former une famille,
l’Épouse; qu’Il puisse prendre de Lui une Épouse. Alors, quand Son
Chef-d’œuvre a été amené à la perfection, c’est à ce moment-là qu’il
Lui a fallu Le frapper, pour retirer de Lui, non pas un autre morceau,
non pas une autre création, mais une partie de la même création.
102 Mon frère, ne le prenez pas mal, mais pensez-y
un instant. Si c’est de Lui, la création originelle, qu’Il a retiré un
morceau pour former Son Épouse, Il n’a jamais procédé à une autre
création, Il a pris une partie de la création originelle. Dans ce cas,
s’Il était la Parole, qu’est-ce que l’Épouse doit être? Elle doit être
la Parole originelle, le Dieu vivant dans la Parole.
103 À Kimberley, en Afrique du Sud, une fois, je
regardais des diamants, la manière dont on les extrayait du sol. Et je
les voyais par terre. C’est que, eh bien, le directeur de l’usine, ou
de la mine, était un de ceux qui s’occupaient de l’ordre dans mes
lignes de prière. J’ai remarqué que les diamants, qui étaient évalués à
des dizaines de milliers de dollars, étaient là empilés, mais ils ne
scintillaient pas, même à la lumière. Alors j’ai dit au directeur des
mines, j’ai dit: “Pourquoi est-ce qu’ils ne scintillent pas?”
104 Il a dit: “Monsieur, ils n’ont pas encore été
taillés. Il faut qu’ils soient taillés. Ensuite, une fois taillés,
c’est là qu’ils reflètent la lumière.” Et voilà.
105 Le Chef-d’œuvre doit être taillé. Remarquez,
taillé pour quoi? Est-ce que le morceau est retranché? Non, non. Le
morceau qui est retranché, on en fait une aiguille de phonographe, et
l’aiguille de phonographe est posée sur un–un–un disque, une musique
invisible aux yeux du monde. Mais c’est l’aiguille qui la fait
ressortir, qui fait ressortir l’interprétation véritable de la Parole.
106 Sa vie a correspondu à tous les peuples. Il a
plu à Dieu de Le frapper. Et, alors, pourquoi L’a-t-Il frappé? Pour la
même raison qu’il Lui a fallu frapper Adam.
107 Maintenant nous Le voyons puni, frappé de Dieu,
et affligé, l’Agneau parfait, immolé pour le pécheur, les pécheurs: un
Chef-d’œuvre parfait.
108 Maintenant, depuis près de deux mille ans, Dieu,
de nouveau a été occupé à Lui faire un Chef-d’œuvre. En effet, Il a
frappé Adam pour détacher un ch-… un morceau de lui, une partie de lui,
une côte, pour lui faire une épouse. Et maintenant, ce Chef-d’œuvre
parfait qu’il a frappé au Calvaire, Il En a détaché un morceau. C’est
simplement le Nouveau Testament, c’est tout. Il a accompli l’Ancien
Testament; maintenant c’est le Nouveau Testament, un autre morceau qui
doit s’accomplir. Voyez-vous, le Nouveau et l’Ancien sont mari et
femme. Voyez? Et il a fallu le Nouveau pour pré-… l’Ancien pour
présager le Nouveau; Christ est venu, le Chef-d’œuvre, pour accomplir
cela. Maintenant Son Épouse va accomplir tout ce qui se trouve dans le
Nouveau Testament. Un autre Chef-d’œuvre est en train de se faire.
109 De même qu’il Lui a fallu quatre mille ans pour
faire ce Chef-d’œuvre, voilà que, depuis près de deux mille ans, Il a
été occupé à faire un autre Chef-d’œuvre, une Épouse pour Christ, un
autre Chef-d’œuvre. Et pour le faire, Il le fait en utilisant Sa
méthode qui ne change jamais, le même moyen qu’Il avait pris pour faire
le Chef-d’œuvre: Sa Parole. C’est ce moyen-là qu’Il prend pour faire
Ses Chefs-d’œuvre, parce que c’est seulement par la Parole parfaite que
Ce peut être un Chef-d’œuvre parfait.
Toute boue, tous déchets, tout élément injecté, et
il se brisera. “Mais les cieux et la terre passeront, mais cette Parole
ne se brisera jamais.” Rappelez-vous, quand on taille un diamant, il
faut avoir un outil parfait pour le faire, n’importe quelle pièce ne
fera pas l’affaire. J’en ai vu passer avec fracas dans des grands
broyeurs de plusieurs tonnes, pousser ces poids de plusieurs tonnes, ce
diamant, il passe à travers tout ça. Non, ça ne brisera pas le diamant.
Il faut qu’il soit taillé.
110 Maintenant Il fait la même chose, par Sa méthode
qui ne change jamais. Nous voyons, dans Malachie 3, qu’Il a dit: “Je
suis Dieu, Je ne change pas.” Il ne peut pas changer de méthode.
111 Donc, Il a commencé avec Abraham. Après la chute
du premier chef-d’œuvre, Il a commencé avec Abraham, à poser un
fondement, pour construire un autre chef-d’œuvre.
Au Jour de la Pentecôte, qui descend, Il a commencé
à construire un autre Chef-d’œuvre, la Parole-Semence originelle. Il a
commencé dans la première Église. Qu’est-ce que c’était? La
Parole-Semence, la Parole manifestée, la promesse qui avait été faite.
Joël avait dit: “Dans les derniers jours, dit Dieu, Je répandrai Mon
Esprit sur toute chair; vos fils et vos filles prophétiseront, vos
vieillards auront des songes, vos jeunes gens auront des visions.” Ce
qu’Il ferait dans les derniers jours, les deux, les derniers deux mille
ans.
112 Remarquez, et au commencement, c’était
l’original. Comme Jésus l’a dit: “La Parole de Dieu est une Semence
qu’un semeur a semée.” Et Il était le Semeur. La Semence, c’était la
Parole. Et, remarquez, toute semence qui reste seule ne produira jamais
rien. Elle doit tomber en terre pour donner de nouveau sa production.
Et cette Semence, cette Église parfaite, elle est tombée en terre à
Nicée, Rome, quand elle est devenue une dénomination.
113 Maintenant, les historiens, souvenez-vous. Et
vous qui allez écouter cette bande, vérifiez-le et vous verrez si c’est
bien juste. L’église est morte à Nicée, Rome, quand elle a adopté des
dogmes et des credo, au lieu de la Parole originelle. Qu’est-ce que
c’était? Dieu avait démontré, par cette première Église, qu’Il était
Dieu. Il avait une Église parfaite; mais l’Église, comme toutes les
autres semences, elle doit tomber en terre et mourir. Donc, elle est
tombée en terre, elle est morte, elle a perdu sa force.
114 Vous savez, j’ai lu un livre, là, dernièrement.
Quelqu’un avait écrit un–un livre, il parlait du Dieu silencieux. Vous
l’avez peut-être lu. J’ai oublié, je–je pense que c’est Brumback...
Non, je ne, je ne suis pas sûr du nom de l’auteur. Mais, je n’arrive
pas à me rappeler. Je l’ai dans mon bureau. Le Dieu silencieux. Il
disait: “Dieu, pendant les mille ans de l’âge des ténèbres, est resté
là sans même bouger la main, et Il a regardé de fidèles martyrs aller
dans la fosse aux lions, et être brûlés par les Romains; des
assassinats de tous genres; on déshabillait les femmes complètement, on
mettait le feu à leurs cheveux longs, avec du goudron, et on les
brûlait.” Souvenez-vous, les cheveux courts, c’est à Rome que ça a
commencé, au début. Les femmes chrétiennes avaient les cheveux longs,
alors on–on trempait ceux-ci dans du goudron et on y mettait le feu, et
on les brûlait, alors qu’elles étaient nues; on les livrait aux lions.
Et cet auteur ajoutait: “Où est ce Dieu?”
Oh, combien l’homme peut être aveugle parfois! Ne
savez-vous pas que cette Semence devait mourir? Il n’a jamais cherché à
les délivrer. Ils sont descendus en terre victorieux. Ils sont
descendus en terre, ensanglantés et à l’agonie, en donnant leur vie.
Pourquoi? C’était une Semence. Elle devait tomber en terre, comme il
nous est dit dans I Jean 12. “Le grain de blé doit tomber en terre et y
mourir; et pas seulement mourir, mais pourrir.” Mais cette dénomination
était loin de se douter que la Vie était encore là. Bien que l’église
elle-même...
115 Au concile de Nicée, ces quinze jours de débats
politiques avides de sang, au moment où les aristocrates sont arrivés,
qu’ils voulaient injecter ces grands dignitaires dans l’église. Et des
prophètes sont venus du désert, là; ils se nourrissaient d’herbes
sauvages et se couvraient de peaux d’animaux, des vrais prophètes, et
on les a expulsés. Pourquoi? La Semence doit tomber en terre. Elle doit
mourir.
116 Elle est morte à l’âge des ténèbres, enfouie
sous la boue noire. On pensait que c’était sa fin. Vous savez, dans
Jean 12.24, Jésus a dit: “Si le grain de blé ne tombe en terre, il
reste seul.” Et la première Église, c’était cette reproduction, cette
Épouse, cette Semence, cette Parole manifestée, qui est tombée en terre
à Nicée, Rome. [Frère Branham donne plusieurs coups sur la chaire. –
N.D.É.]
117 Écoutez, Église, vous qui entendrez ceci, dans
toutes les nations. La voilà votre boue, ce sont les dénominations.
C’est là que la Parole a été crucifiée, et qu’ils ont accepté des
dogmes. Et pendant les centaines et les centaines d’années qu’a duré
l’âge des ténèbres, la Puissance et la manifestation de la Parole
étaient cachées au monde. Le catholicisme était seul à régner. Ça, nous
le savons tous pour avoir étudié l’histoire. Le catholicisme était seul
à régner.
118 Mais on–on ne peut pas cacher une Semence
fécondée, Elle doit percer (pourquoi?), parce que le grand Sculpteur
est à l’œuvre. Il va construire de nouveau. Alors Il...
La Semence est tombée, la Parole.
119 Quand nous voyons saint Paul, Pierre, Jacques,
Jean, tous ceux qui ont écrit la Parole. Ils ont écrit, et la Parole
qu’ils ont écrite a pris vie, a vécu, Elle a vécu. Et nous voyons,
quand Elle est arrivée à maturité, Jean s’est mis à écrire les épîtres,
là, il a été expulsé sur l’île de Patmos, après avoir été brûlé dans de
l’huile pendant vingt-quatre heures. Mais la Parole doit sortir. Elle
doit être écrite. Ils n’ont pas réussi à faire sortir le Saint-Esprit
de Jean en faisant bouillir celui-ci dans l’huile, alors Jean en est
ressorti. Son travail n’était pas terminé. Il est mort de mort
naturelle.
120 Polycarpe, qui était un disciple de Jean, a
continué à porter la Parole. Après Polycarpe, il y a eu Irénée. Irénée,
le grand homme de Dieu qui croyait exactement le même Évangile que nous
croyons: “La Parole est juste.” Et l’église faisait pression pour S’en
débarrasser.
121 Finalement on en est venu à Nicée, Rome, et
c’est là qu’elle est tombée en terre, après saint Martin, et elle a été
assassinée. Saint Martin croyait la même chose que nous croyons. Il a
défendu la même chose: le baptême du Saint-Esprit, le baptême d’eau au
Nom de Jésus. Il a défendu exactement la même chose que nous. Il était
un prophète, et il croyait la Parole entière de Dieu. Finalement, ils
ont été crucifiés et enfoncés dans la terre, et ils sont restés là
pendant des centaines d’années, jusqu’à ce que l’enveloppe de la
Semence pourrisse. Les vieux cadavres sont tombés en pourriture. Je
suis allé aux catacombes de Saint-Ange, et j’ai vu où ils sont morts,
leurs os en morceaux et tout. Ils ont fini par tomber en pourriture, si
bien que leurs os étaient défaits, mais la Vie était toujours là.
122 Le grain de blé qui est tombé en terre le... au
concile de Nicée, il a recommencé à germer, en Martin Luther. C’est la
même chose pour n’importe quel grain qui pousse, ou pour le blé; après
que les semences ont pourri, la vie jaillit. Et il a commencé à
produire en Martin Luther. Qu’est-ce que celui-ci a fait, pour
commencer? Il a rejeté la dénomination du catholicisme, il a protesté
en déclarant qu’elle était dans l’erreur. En effet, il a dit: “Le juste
vivra par la foi.” Qu’est-ce que c’était? Une petite Vie, toute faible,
qui produisait quelques petites pousses. Ça, c’était ceux de Luther. Ça
ne ressemble vraiment pas au grain qui est allé en terre, mais là, la
Vie est en train de sortir.
123 Ensuite, c’est devenu une tige. Alors, qu’est-ce
qui s’est passé? John Wesley, à son époque, lui, qu’est-ce qu’il a
fait, quand il a introduit la sanctification? Il s’est tenu à la
Parole. Et qu’est-ce que cela a produit? Les luthériens s’étaient
organisés, ils avaient formé une organisation, alors il était temps que
quelque chose se produise. Le chef-d’œuvre est en train de se
construire, là. Qu’est-ce qu’il a fait? Qu’est-ce qu’il a fait? Il a
protesté contre l’église anglicane, il s’est manifesté, dans la
réforme, comme l’aigrette. Qu’est-ce que c’est? La semence prend Vie,
maintenant, elle pousse.
124 Or, la tige ne ressemble pas à la semence, et
l’aigrette non plus.
125 Maintenant, mes frères pentecôtistes de toutes
les nations, je veux que vous écoutiez, mon frère. Si ce devait être le
dernier Message que je prêche, Ceci, c’est mon chef-d’œuvre. Est-ce que
vous remarquez, au moment où le blé... le grain de blé qui tombe en
terre, au moment où il recommence à former le–le grain de nouveau?
126 Observez la nature. La nature, c’est Dieu,
précisément. Dieu oeuvre dans la nature, c’est Son seul moyen. Mais
après le réveil pentecôtiste, qui, selon eux, était la Semence; ça ne
l’était pas. Maintenant regardez bien. Pourtant, quelque chose est
apparu, qui était tout à fait semblable à la Semence. Regardez bien ce
que Jésus a dit, là, dans Matthieu 24.24, que “dans les derniers jours,
les deux esprits seraient tellement proches, au point de séduire les
Élus, si c’était possible”.
127 Or, la tige ne ressemble en rien au grain; et
l’aigrette non plus ne ressemble pas au grain. Mais maintenant,
remarquez, pas au jour de Luther, mais au dernier jour.
128 La première chose, – il y a des producteurs de
blé assis ici, – la première chose qui sort pour produire la semence de
blé, on croirait presque que c’est la semence, mais (qu’est-ce que
c’est?) c’est la balle. Une espèce de petite enveloppe se forme, pour
contenir la semence. La balle se forme. Mais la balle n’est pas la
semence, pas plus que l’aigrette ou la tige ne l’étaient. Elle n’est
qu’un porteur de la vie, du grain de blé dans ce cas-là. Jean 12, vous
voyez, Jésus qui parle.
129 Le blé, après l’aigrette (après Wesley), il
produit la balle, ce qui ressemble le plus au grain, plus que tout le
reste. La balle ressemble plus au grain. Ça se rapproche constamment du
grain, de ce qui est allé en terre. Et quand la tige sort, il y a la
Vie dedans, mais ce n’est certainement pas le grain. L’aigrette sort,
le pollen, encore là ce n’est pas le grain. Et ensuite la balle sort,
et celle-ci a la même forme que le blé, tout à fait semblable au grain
de blé, mais pourtant, ce n’est pas le blé. Exactement la même forme,
parfaitement.
130 Les pentecôtistes sont sortis, exactement de la
même manière que le blé. Chacun sort du précédent, sort du précédent,
mais ce ne sont que des porteurs. Ils deviennent une dénomination. Et
c’est ce que la pentecôte a fait, elle est devenue une dénomination. Et
qu’est-ce que le pentecôtisme a fait, quand il est sorti, tout à fait
semblable au grain? Tout de suite il est retourné, comme dans
Apocalypse 17, former une des sœurs dénominationnelles. C’est
exactement ça. C’est ce que Jésus a dit.
131 Maintenant observez. L’Évangile va sortir, en
passant par Luther, par Wesley, dans la pentecôte, et, aux derniers
jours, ça séduirait même les Élus, si c’était possible. Les Élus! Oh,
mes frères pentecôtistes, ne voyez-vous pas?
132 Le blé, à son premier stade, il est tout à fait
semblable à la semence, quand il commence à prendre la forme de la
semence, mais c’est la balle. Elle a formé une dénomination, elle a
fait exactement la même chose que ce qu’ils avaient fait, ici, avec
Luther. Apocalypse 17 démontre la même chose, au sujet des églises.
133 Or, le grain de Semence, l’original, est tombé à
Nicée, parce que c’est là qu’il y a eu la première dénomination.
134 Remarquez, là, la Vie qui se trouvait dans la
tige, dans l’aigrette, tout cela aboutit dans la Semence. La Vie qui
est sortie de la Semence originelle s’est transmise par différents
processus (trois processus différents), pour revenir ensuite à Son état
originel. Alléluia! Oh! la la! Je suis la personne la plus heureuse du
monde, que Dieu m’ait donné de voir Ceci. Observez avec quelle
perfection la Parole et ces choses (la nature) oeuvrent ensemble.
135 De la même façon, nous démontrons la
résurrection: le lever du soleil, le coucher du soleil, le lever de
nouveau.
La feuille qui tombe de l’arbre, qui descend, la
sève qui descend dans la racine, puis qui remonte, et–et la feuille qui
revient en même temps. Elle tombe sur le sol; tout de suite la vie de
l’arbre va l’absorber, en absorber le calcium et la potasse, ce qui va
faire réapparaître une nouvelle feuille.
Voyez-vous, la nature tout entière, tout oeuvre en
harmonie avec–avec la Parole de Dieu. Et voici la même chose,
exactement, parfaitement, dans les Âges de l’Église. C’est pour cette
raison que le Saint-Esprit est descendu et a dessiné ces choses, et
nous les a présentées comme Il l’a fait. C’est tout à fait ça.
136 Remarquez, ici, la Vie qui était dans la balle;
dans la tige, dans l’aigrette, dans la balle, tout ça se rassemble dans
la Semence. Et la Vie qui était dans la tige a servi, l’une a servi à
former l’autre. La justification a ouvert la voie à la sanctification.
La sanctification a ouvert la voie au baptême du Saint-Esprit. Le
baptême du Saint-Esprit a ouvert la voie au Saint-Esprit Lui-même, pour
qu’Il descende dans Sa perfection, en ramenant la Parole de nouveau,
pour pouvoir Se manifester.
137 Par contre, tout ce qui a formé une dénomination
est mort. Par exemple, la Vie qui était en Luther a servi à former
Wesley. Et–et, de Wesley, Elle est passée dans la pentecôte. Et, à
partir de la pentecôte, Elle a servi à former la Semence originelle.
Elle sort du groupe de Wesley, où Elle reste jusqu’au moment de passer
dans la pentecôte. La raison pour laquelle la pentecôte est sortie de
Wesley, c’est parce qu’elle n’était pas une dénomination, la pentecôte
n’en était pas une. Ensuite la pentecôte a formé une dénomination, et
(qu’est-ce qu’elle a fait?) elle est devenue la balle. On aurait dit, à
la regarder, que c’était la Chose véritable.
138 N’importe qui, combien ont déjà vu une–une
semence de blé qui commence à pousser? La première petite chose, c’est
quoi? C’est tout à fait semblable à la semence, mais c’est la balle.
Vous voyez les trois étapes? La tige, l’aigrette ou
le pollen, ensuite la balle. Et alors, de la balle sort la Semence
originelle. Voyez? Ce n’était pas une Semence; c’était la Vie de la
Semence qui se développait à travers ces étapes, pour arriver à former
la Semence. Amen, amen! Le voyez-vous? Qu’est-ce que c’est? Une
résurrection, pour former de nouveau un Chef-d’œuvre, pareil à Celui
qui est tombé en terre.
139 La pentecôte est sortie de Wesley, parce que
Wesley était alors une organisation. La pentecôte, qui n’était pas une
organisation, est sortie, et après, elle en est devenue une. Il le
fallait, pour qu’elle forme la balle. La véritable Parole de Vie qui
était sur elle, maintenant Elle allait former le Grain originel, par
ces étapes. Elle est passée de la tige, alors, dans le pollen; du
pollen, dans la balle; et Elle est sortie de la balle pour produire la
Semence.
140 Non, la tige, l’aigrette, la balle, quand ils
étaient en vie, ils ont produit (au début de leur réveil) un porteur
d’une certaine partie de la Vie de la Semence, mais, quand ils ont
formé une organisation, la Vie en est sortie. Nous avons la preuve de
ça tout au long de l’histoire. Aucune organisation n’a jamais produit
quoi que ce se soit après s’être organisée. Elle était morte. C’est
exact.
141 Regardez bien, la Vie continue son trajet, là.
Elle continue à avancer.
142 Remarquez, ce qu’elles ont fait, ce que
celles-là ont fait, toutes, l’histoire nous le prouve que c’est
exactement comme ça que ça s’est passé pour les églises, elles
n’allaient plus jamais Lui être utiles. L’organisation a été mise au
rancart. Tout au long de l’histoire, il n’y jamais eu une église qui ne
soit morte après s’être organisée. L’organisation est morte, et elle ne
s’est plus jamais relevée. Ne le voyez-vous pas? Hommes aveugles,
ouvrez les yeux! La nature et la Parole sont là qui oeuvrent en
coordination, et le prouvent, ici même, que Ceci, c’est la Vérité, que
c’est la Vérité. La Vie sort de la tige pour former l’aigrette; à
partir de l’aigrette, Elle forme la balle; et Elle sort de la balle
pour prendre forme de nouveau dans le Grain originel. Remarquez, elles
n’allaient jamais plus Lui être utiles.
143 C’est quelque chose de vraiment remarquable,
cette vie, son trajet dans le grain de blé, il est bien différent de
son trajet dans l’arbre. Dieu a dit de Son peuple qu’il était semblable
à un arbre; voyez-vous, la vie descend dans l’arbre, et elle remonte;
elle descend et elle remonte; voyez-vous, elle descend et elle remonte.
Mais, dans le grain de blé, elle monte, à partir de la tige
originelle... elle passe dans la tige, l’aigrette, la balle; et ce
qu’elle a traversé meurt, alors elle ne peut plus y retourner.
Qu’est-ce qu’il y a? Ce n’est plus d’aucune utilité. Elle poursuit son
chemin pour atteindre sa perfection.
Amen! Ne voyez-vous pas pourquoi Il n’a jamais
utilisé une organisation? Il ne peut plus y retourner. Elle est morte.
Mais la Vie continue à se transmettre, de l’un dans l’autre.
Voyez-vous, ils introduisent des credo, et ils injectent. “Quiconque
ajoutera une seule parole, ou retranchera une seule Parole”,
voyez-vous, il n’Y a plus accès. C’est la Semence de Vie qui doit
continuer son trajet.
144 J’utilise ceci pour vous montrer en parabole,
là, l’Épouse, le Chef-d’œuvre qui est en train de percer. Comme le
Chef-d’œuvre qui est tombé, il y a un Chef-d’œuvre qui est en train de
se lever. Le Chef-d’œuvre est tombé à la Pente-… à Nicée, Rome, à
Nicée. Après Nicée, Rome, Elle a suivi un processus, mais voilà qu’Elle
est en train de redevenir ce Chef-d’œuvre, amené à la perfection, parce
qu’Elle est une partie de cette Parole qui a été prononcée par Lui. Il
aura “une Église sans tache ni ride”. Elle ne sera reliée en aucune
façon à quelque organisation ou à quelque dénomination que ce soit, à
cette chose maudite. Elle est passée par ces choses-là, mais celles-ci
ne seront jamais là.
145 Remarquez, la semence monte, cette Vie monte,
elle ne retourne pas en arrière. Il n’y aura plus de résurrection après
ceci. La Vie monte, pour atteindre sa perfection, une résurrection.
Remarquez, la balle a produit le–le... Remarquez, la
balle expulse la Semence originelle. C’est ce que nous voyons dans
Apocalypse, chapitre 3.
146 Maintenant, souvenez-vous, Il n’a été expulsé
d’aucune autre église, dans la Bible, au long des Sept Âges de
l’Église. Combien s’en souviennent? Il a traversé chaque Âge de
l’Église, pour continuer, produire autre chose. Mais, avec ceci, ça Y
est. Il n’y a plus rien d’autre. Mais, le–le Sculpteur est arrivé à la
perfection de nouveau, la Parole. Voyez? Ne retournez pas en arrière.
C’est Quelque Chose de tellement différent. Oui. Oh!
147 Et remarquez, alors, la balle, quand elle
apparaît, son aspect est tout à fait semblable à celui du Grain. Mais
quand la Vie du Grain commence à sortir de la balle, pour aller former
le Grain (l’Épouse), la balle s’ouvre et elle excommunie le Grain. Pas
vrai? La nature, et c’est exactement ce qu’elle a fait.
148 Dans–dans Apocalypse 3, nous voyons que l’Âge de
l’Église de Laodicée L’a mis à la porte. Or, voyez-vous, ce n’était pas
arrivé dans les autres âges, parce qu’il y avait quelque chose d’autre
qui devait encore être produit. Elle n’a fait que passer de l’un à
l’autre, continuer son trajet. Je vous le dis, depuis le début, il n’y
a plus d’autre dénomination à venir. Nous sommes à la fin. Et ils L’ont
mis à la porte (pourquoi?), parce qu’Il–Il–Il est la Parole, de
nouveau. Il est comme Celui qui est tombé, là. Il est la même Doctrine
qui était apparue au commencement.
149 Et quand la Parole-Semence commence à se
développer, la balle La repousse. La Vie quitte tous les autres, pour
qu’ils La suivent. Voilà les vrais croyants, ils suivent la Vie,
partout où va la Vie.
150 C’est comme Israël, un type parfait, si nous
avions le temps; il ne me reste que quelques minutes. Mais un type
parfait, au commencement, partout où allait cette Colonne de Feu, il y
avait la Vie. Dieu était cette Lumière. Même s’il était minuit, ou
qu’ils étaient dans un bel endroit de choix, peu importe, quand la
Colonne de Feu se déplaçait, la trompette sonnait et Israël se
déplaçait avec Elle.
Alléluia! Et quand la trompette a sonné, Martin
Luther a pris le départ avec Elle. Et il s’est organisé, ce qui a
tué... pas lui personnellement; l’homme après lui. Alors, Dieu a ôté la
Vie de là, Il Lui a fait continuer son trajet, Il les a fait descendre
dans la tombe.
151 Alors Wesley est sorti. Il a vu cette grande
organisation, alors il a sonné la trompette de la sanctification: une
plus grande portion de la Parole. Voyez? À ce moment-là, ils ont pris
le départ, ils sont sortis directement–sortis directement de Luther
pour entrer dans le méthodisme.
152 Et quand la pentecôte L’a vu, ils ont sonné de
la–de la trompette, c’était l’heure du retour des dons. Vous voyez ce
qu’ils ont fait? Ils ont sonné de la trompette, et voilà, ils sont
sortis. Ensuite ils se sont organisés.
Mais, souvenez-vous, après la balle, – ce sont les
trois étapes que nous connaissons, – il ne reste plus que le Grain. Ô
Dieu! Et ensuite, le Grain est expulsé de tout le reste. Amen et amen!
Les Paroles de la Semence commencent à, prendre forme, la Vie sort
de... Maintenant remarquez, si l’Époux, le commencement, le premier,
l’Époux... Ici, c’est l’Épouse qui est en train de se manifester.
153 Souvenez-vous, l’Église a commencé à la
Pentecôte, et Elle est tombée à Nicée. Elle a germé, pas dans la
ressemblance du vrai Grain, non; il y avait là une partie de la Vie,
mais elle a germé pour produire une organisation. Et Il s’est retiré de
cette organisation. Et ensuite, qu’est-ce que la Vie a fait? Ensuite, à
partir de cette organisation-là, Elle est passée dans une autre
organisation, Elle est passée dans une autre étape de la Parole: la
justification, la sanctification, le baptême du Saint-Esprit. Voyez?
Et, comme Elle passait dans la tige et qu’Elle suivait le processus,
Elle se développait de plus en plus.
154 Souvenez-vous, le petit pollen ressemble plus,
l’aigrette ressemble plus à la Semence que la tige. Et la balle
ressemble plus à la Semence que l’aigrette. Mais la Semence Elle-même,
c’est plus que ça. Voyez? Elle s’en est seulement servie comme moyen de
transport, pour Se rendre au bout.
155 Remarquez, l’Épouse. Si l’Épouse, au
commencement, était la Parole, ou, l’Époux, alors, si l’Épouse est
tirée de l’Époux, Elle doit, Elle aussi, être la Parole. Remarquez,
c’est ce que l’Épouse doit être.
156 Pourquoi, pourquoi l’Époux doit-Il être la
Parole manifestée, exposée clairement? C’est parce que l’Épouse et
l’Époux sont Un. Elle est simplement un morceau qui s’est détaché de
Lui quand Il a été frappé. Voilà le Chef-d’œuvre. Il a été frappé.
Dire...
157 Michel-Ange ne pouvait pas le reproduire de
nouveau. Il ne pouvait pas le remettre en place.
Mais Dieu, Lui, Il va le faire. Il va ramener la
petite Épouse, qui a été frappée, tout droit aux côtés de la Parole
originelle. Et Le voilà, voilà le Chef-d’œuvre, la famille de retour
dans le jardin d’Eden de nouveau.
158 Comment cette Épouse va-t-Elle y arriver?
Comment ce Blé va-t-il y arriver? Malachie 4 a annoncé que, dans les
derniers jours, ces choses seraient rétablies (quoi?), rétablies, comme
elles étaient au commencement; qu’Il les ramènerait! “Je rétablirai”,
dit l’Éternel, “toutes les années qu’ont dévorées le gazam, et le
jélek, et toutes ces autres choses. Je les restituerai de nouveau.”
Malachie 4 dit: “Il ramènera le cœur des gens, et la Foi des gens, aux
premiers pères de nouveau.” Voyez? C’est ce que nous voyons en plein
devant nous, Église. Où en sommes-nous?
159 Maintenant, je vais terminer dans quelques
minutes. Je voudrais que vous soyez très attentifs, quelque chose qui
est arrivé dernièrement.
Malachie 4 doit ramener, ramener à l’original.
160 Elle est retranchée de l’église, du corps de
l’église; Elle est retranchée avec Son Maître, pour la même raison.
Elle est la Parole. Tout comme Joseph a été retranché de ses frères
parce qu’il était la Parole. Et Jésus a été retranché de Ses frères
parce qu’Il était la Parole. L’église est retranchée... L’Épouse est
retranchée de l’église parce qu’Elle est la Parole. Voilà encore vos
étapes: un, deux, trois, voyez-vous, très précisément.
161 La Parole, vivante et en action, l’Épouse de la
Bible, et non une épouse faite de main d’homme; l’Épouse de la Bible,
frappée et affligée par Dieu. “Son aspect n’avait rien pour nous
plaire; mais nous L’avons considérée comme frappée et affligée par
Dieu.” C’est exact. Elle reste seule. Elle est retranchée de toutes les
dénominations, conformément à Apocalypse 3. Elle est retranchée de
l’Âge de l’Église de Laodicée, où Elle avait pris naissance. Voyez?
Cette Église a pris naissance dans l’Âge de l’Église de Laodicée, qui
est la balle. Mais si les autres ont...
162 Ne le voyez-vous pas, vous les hommes, les
pentecôtistes? Si l’autre, c’était la balle, et qu’elle est morte; si
l’autre (la tige) a dû mourir, si l’aigrette a dû mourir, la balle
aussi, il faudra qu’elle meure; les trois étapes des organisations.
163 Et, souvenez-vous, vous dites: “Bon, eh bien, il
y a eu beaucoup d’aigrettes qui sont restées là. Il y a beaucoup de
ceci.” Oui. Il y a eu les méthodistes, les baptistes, les
presbytériens, les luthériens, l’église du Christ, toutes ces autres
petites choses qui s’y sont ajoutées. les feuilles et tout le reste,
elles sont restées là, mais l’original, c’était les réformes. là,
voyez-vous.
164 Elle reste seule, comme l’Époux, “rejetée par
les hommes, méprisée et rejetée par les églises”. L’Épouse est dans cet
état-là. Qu’est-ce que c’est? C’est Son Chef-d’œuvre. voyez-vous, c’est
la Parole, à travers laquelle Il peut agir, qu’Il peut manifester. Le
rejet!
165 Donc, la tige, l’aigrette et la balle ne sont
jamais devenues la Semence, non, mais elles ressemblent de plus en plus
à la Semence.
166 Maintenant, au temps de la moisson, la Semence
retrouve sa Vie originelle, c’est un retour à la Bible. Malachie 4 nous
a dit qu’elle en arriverait là. Oh! oh! la la! Elle doit avoir tout!
Pour être cela, Elle doit avoir toute la Parole. Pas vrai? [L’assemblée
dit: “Amen.” – N.D.É.]
167 Maintenant qu’est-ce qu’Il a annoncé, dans
Apocalypse 10? Quel a été le but de ce voyage à Tucson? Pour ouvrir à
l’Église: “Aux jours du messager, du septième ange, du Message du
septième ange, toute la Parole de Dieu serait manifestée. Le Sceau,
tout ce que la tige avait laissé en suspens, le pourquoi et tout ce
qu’il En était, serait manifesté en cette heure.”
Est-ce bien ce que la Parole dit? [L’assemblée dit:
“Amen.” – N.D.É.] Alors, nous le voyons. Dans ce cas, où en
sommes-nous, voyez, où en sommes-nous? Il n’y a qu’une chose: c’est le
moment de la moisson. Elle est parfaitement mûre. Maintenant Elle est
prête pour la Venue. Remarquez.
168 Non, elles ne seront jamais Cela. Au temps de la
moisson, la Semence est revenue à son état originel, et elle doit avoir
toute la Parole, pour pouvoir être la Semence. Or, vous ne pouvez pas
avoir une moitié de Semence; ça ne pousserait pas. Voyez? Il faut que
ce soit la Semence entière. Elle doit manifester, non pas... Vous
dites: “Je crois au baptême du Saint-Esprit. Alléluia! Je crois au
parler en langues.” Ça, ce n’est qu’une partie de la Semence, oui, mais
maintenant il y a plus que ça. Alléluia! Voyez? La Vie, pas les dons;
la Vie des dons. Voyez? Vous voyez ce que je veux dire? Nous sommes au
temps de la fin, frères.
169 La tige, l’aigrette, la balle, elles sont mortes
et elles sont sèches maintenant. Il n’y a qu’une chose qui doit leur
arriver, c’est qu’elles vont être rassemblées dans le Conseil mondial
des Églises pour être brûlées.
170 La Parole est devenue chair, tout comme Il
l’avait promis dans Luc 17, Malachie 4, et tout, voyez-vous, c’est
exact, Apocalypse.
171 Toute la Vie véritable, qui était dans la tige,
l’aigrette et la balle, est maintenant en train de se rassembler dans
la Semence, prête pour la résurrection, prête pour la moisson. L’Alpha
est devenu l’Oméga. Amen. Le premier est devenu le dernier, et le
dernier est le premier. La Semence, qui était allée en terre, a suivi
un processus et est redevenue la Semence.
La semence qui est tombée dans le jardin d’Eden, et
qui y est morte, est revenue. De cette semence imparfaite, qui est
morte là-bas, on en est revenus à la Semence parfaite, le Deuxième Adam.
172 La première Ève, qui est tombée, elle a été
utilisée dans la deuxième réforme... la deuxième venue, comme pour
produire un enfant, elle est maintenant redevenue la véritable Épouse,
la Semence, revenue tout droit à la Parole originelle.
L’Alpha et l’Oméga, c’est le même. Il a dit: “Je
suis l’Alpha et l’Oméga”, Il n’a jamais dit être quelque chose entre
les deux. Oui. “Je suis l’Alpha et l’Oméga, le Premier et le Dernier.”
Oui monsieur.
173 Le premier ministère et le dernier ministère,
c’est le même. Le premier Message et le (deuxième) dernier Message,
c’est la même chose. “Je suis, J’étais dans l’Alpha; Je suis dans
l’Oméga. “ “Il y aura un jour qui ne sera ni jour ni nuit, mais au
temps du soir il y aura de la Lumière.” Voyez-vous, l’Alpha et l’Oméga,
on y est maintenant, le premier et le dernier. Oh! la la! frères, on
pourrait passer des heures là-dessus.
174 Le grand chef-d’œuvre, cette famille, le
Deuxième Adam et la Deuxième Ève, sont maintenant prêts pour le jardin,
le Millénium, amen, à revenir sur terre. Alléluia! Le grand Sculpteur
ne les a pas laissés là. Il a mis du temps, comme Il avait mis des
millions d’années à façonner le premier couple parfait; et ils sont
tombés. Maintenant Il a mis des milliers d’années à façonner de
nouveau, et maintenant les voilà prêts.
175 Le Chef-d’œuvre est venu et Il a été abattu; de
Son côté est sortie Sa compagne.
Et Elle est modelée, par le même processus.
Maintenant La voici revenue; alors que toute la nature, la Bible, et
tout le reste, montrent que nous en sommes là.
Les nations se disloquent, Israël se réveille,
Les signes que la Bible a prédits;
Les jours des nations sont comptés (regardez toute cette racaille que
nous avons), ils sont remplis d’effroi,
Retournez, ô dispersés, vers les vôtres.
C’est exact. Vous faites mieux de vous dépêcher
d’entrer, si vous comptez partir.
Je vais bientôt terminer, peut-être dans les cinq
prochaines minutes, ou dix.
176 Remarquez le grand chef-d’œuvre, la famille. Le
mari et la femme ne peuvent pas vraiment former une famille s’ils ne
sont pas un. Il faut qu’ils soient un. Sinon, ils ne sont pas une bonne
famille; la femme tire d’un côté, le mari tire de l’autre. Ce serait
une famille terrible, ça. Mais quand il y a un accord, avec de l’amour
l’un pour l’autre, ça, c’est une famille. Et maintenant, – le
chef-d’œuvre de Dieu, c’était ça, – et maintenant, toute la famille
véritable, ici, représente celle-là. Voyez?
Et maintenant la famille, qui est le Chef-d’œuvre,
est revenue, Christ et Son Épouse sont prêts à venir. Le Deuxième Adam,
la Deuxième Ève, maintenant prêts à revenir à leur Demeure. Et le
tableau tout entier, c’était la rédemption. La ramener de là où elle se
trouvait, voyez-vous, exactement, la ramener de nouveau. Après...
177 L’autre jour, quand je me suis tenu devant les
Hommes d’Affaires Chrétiens. Beaucoup d’entre vous, je pense, étaient
là. Quand j’ai entendu ce prêtre luthérien, ou prédicateur, enfin c’est
ce qu’il prétendait être, se tenir là et faire cette déclaration
ridicule, et se moquer de ce que nous croyons. Que les Hommes
d’Affaires du Plein Évangile aient invité cet homme-là, et qu’il dise
ça. Il portait son col tourné vers l’arrière. Beaucoup d’entre eux le
font maintenant. Et il a dit: “Bon, les gens me demandent pourquoi je
porte mon col tourné vers l’arrière, ils me disent: ‘Comment va-t-on
vous distinguer d’un prêtre catholique?”‘ Il a dit: “Il n’y a aucune
différence, et il ne devrait pas y en avoir.” Il a dit: “Nous sommes
tous les enfants de Dieu.” Il a dit: “Je connais un prêtre catholique
qui est omniprésent, voyez-vous, qui peut être présent partout.”
178 Or, on ne peut pas être omniprésent sans être
omniscient. Dieu n’est même pas omniprésent; Dieu est omniscient. En
étant omniscient, Il est omniprésent, du fait qu’Il connaît toutes
choses. Mais pour pouvoir être un Être, Il doit se trouver dans un seul
Être. Parce qu’Il est omniscient–omniscient, Il peut être omniprésent.
En effet, Il connaît toutes choses, Il les connaissait avant la... Il
savait, avant que le monde soit fondé, combien il y aurait de puces, de
poux, combien d’insectes, et combien de fois ils cligneraient des yeux,
et tout à leur sujet, voyez-vous, parce qu’Il est omniprésent. On ne
peut pas être omniscient–omniscient sans être infini. Et il n’y a
qu’une chose qui soit infini: Dieu. Amen! Et alors, nous...
179 Qu’est-ce que c’est? C’est le diable, qui les
mène tout droit à ce massacre. Ils y entrent tous, exactement ce que la
Bible a dit. Et nous y voilà, voyez, il s’introduit en plein chez les
pentecôtistes, et il les attire tout droit, exactement comme... Quelle
heure!
180 Oh, après ce témoignage, quelqu’un m’a dit...
Je–je... Heureusement que je n’ai pas dit grand-chose, parce qu’ils
m’auraient probablement fait mettre en prison, là-bas. Mais j’ai
simplement pensé: “Nous y voilà.”
Les–les gens avertis, ils savent. Il est dit dans
Daniel: “Ce jour-là, les sages connaîtront leur Dieu.” Oui monsieur.
Voyez-vous: “Les sages connaîtront leur Dieu.” Ils guettent ces choses.
181 Mais, quand j’ai vu cette chose-là arriver, et
les pentecôtistes qui se tenaient là, à l’appuyer! Même Oral Roberts
m’a regardé comme ça. J’ai dit: “Oh! la la!” Ah! Mais il était là, avec
son instruction, ses manières raffinées, vous savez, et tout.
182 Ce n’est pas de cette manière-là que Dieu
raffine les Siens. Il ne les raffine pas avec une instruction. Il les
raffine par l’humilité, par–par la puissance de Sa Parole manifestée,
pour montrer la forme du Grain, d’où Il a été tiré.
183 Alors, quelqu’un m’a dit, il a dit: “Frère
Branham,” il a dit, “il y a une chose que je n’arrive pas à comprendre
à votre sujet.”
J’ai dit: “Quoi donc?”
184 Debout, là-bas, dans un couloir... Je pense,
Sœur Dauch et les autres, après que j’ai eu serré la main à Bill,
j’étais là; et ils ont tous tourné le coin, il y avait tout ce
monde-là. Un ministre s’est frayé un passage jusqu’à moi, avec son col
tourné vers l’arrière, il m’a dit: “Pourquoi est-ce que vous êtes
toujours en train de réprimander les gens?” Il a dit: “Ces gens-là
croient que vous êtes un serviteur de Dieu, et que vous devriez être
doux et gentil avec eux, et tout.” Il a dit: “Chaque fois que je vous
entends, quand vous vous levez, vous engueulez les femmes, au sujet des
cheveux courts, et du port des shorts, et du maquillage, et de toutes
ces autres choses; et vous engueulez les gens, vous leur dites qu’ils
sont froids et formalistes et indifférents.” Il a dit: “Pourquoi est-ce
que vous faites ça?” Il a dit: “Ces gens-là vous aiment. Comment
pouvez-vous être un fils de Dieu rempli d’amour, et faire une chose
pareille?”
J’ai pensé: “Seigneur, permets-moi de répondre à cet
homme intelligent. Tu vois? Permets-moi donc de lui répondre, quelque
part, pour qu’il se pende avec sa propre corde.” Oui.
J’ai dit: “Eh bien,” j’ai dit, “monsieur, avez-vous
déjà lu l’histoire du grand producteur de musique appelé... du grand
compositeur appelé Beethoven?”
Il a dit: “Oh, bien sûr, j’ai lu l’histoire de
Beethoven.
185 J’ai dit: “Il a probablement déchiré beaucoup de
brouillons, des corbeilles pleines, mais il a donné au monde des
chefs-d’œuvre.” Il n’a plus ouvert la bouche, il n’a pas ajouté un seul
mot. J’ai dit: “Quand il était assis dans son bureau sous
l’inspiration, il écrivait quelque chose. Il allait dans son bureau
pour prier. Ça ne correspondait pas, il le mettait au rebut, il le
jetait dans la corbeille à papier. Mais quand il avait terminé, que
tout était donné par inspiration, le monde avait un chef-d’œuvre.
Oh, combien la Parole tranche, mais Elle produit des
chefs-d’œuvre; oui, Elle enlève toute la balle et toute l’aigrette.
Elle produit un Chef-d’œuvre.
186 J’ai sept minutes pour vous raconter quelque
chose qui est arrivé avant-hier; si on veut sortir à l’heure. Le 3
juillet, j’étais ici, dans le... au centre ici, au centre commercial,
tout près d’où nous sommes, ici. J’ai été à Pigalle, à Rome... en
France, j’ai été à New York, à Los Angeles. Mais le groupe de femmes
les plus dégoûtantes que j’ai vues de toute ma vie, c’est à
Jeffersonville, dans l’Indiana. Je n’ai jamais vu autant de
barbouillage et de souillure de ma vie, comme j’en vois chez ces
gens-là. J’étais là, ça me fendait le cœur, à ce point-là, alors le
Seigneur m’a donné une vision.
Maintenant je vais vous raconter la vision. Je ne
sais pas si je peux l’interpréter, mais je–je vais raconter la vision
pour la première fois.
187 Je suis entré en transe. Et, à ce moment-là, il
y avait quelqu’un avec moi. Je n’ai pas vu la personne. C’était
seulement une Voix. Et je–j’ai regardé. Et, comme je–je regardais dans
cette direction-ci, Il a dit: “L’Épouse va apparaître pour une vision
préalable.”
J’ai regardé, et j’ai vu, qui venait vers moi, le
plus–le plus beau groupe de femmes, proprement vêtues et les plus
jolies que j’avais jamais vues de ma vie. Mais chacune d’elles avait un
habillement différent, semble-t-il. Elles avaient toutes les cheveux
longs. Et elles avaient des manches et des jupes plus longues, et tout.
Des jeunes femmes, elles avaient l’air d’avoir, disons, peut-être une
vingtaine d’années.
188 Maintenant, ma Bible est ouverte ici devant moi.
Voyez? Je peux seulement dire ce que j’ai vu.
Si vous dites: “Qu’est-ce que vous regardez?” Je
regarde une horloge. “Qu’est-ce que vous cherchez?” Je cherche des
gens, je regarde des gens. “Qu’est-ce que vous regardez?” Je regarde la
Bible. C’est ça. Je dis la Vérité. C’est ce que je vois. Et je peux
seulement dire ce que j’ai vu. Je ne–je ne sais pas ce que... tout ce
qu’il en est. Il faut que je vous le raconte, c’est tout.
189 Mais, quand, cette Épouse, Elle avait les
regards fixés sur... Celui qui me parlait, et moi, nous étions là
ensemble. Elle avait les yeux, C’étaient les personnes les plus propres
et les plus charmantes à voir que j’avais jamais vues de ma vie. Il
devait y en avoir une douzaine ou plus, peut-être, juste... je ne sais
pas combien il y en avait de front, mais il y en avait un groupe,
simplement. Et Elle a défilé, doucement, sur un air. Et Elle levait les
yeux, Elle regardait, en défilant. Oh, Elle était ravissante! Je L’ai
regardée, et, alors qu’Elle défilait. Il a dit: “Maintenant nous allons
passer en revue...” Il a dit: “Ça, c’est l’Épouse.”
“Maintenant nous allons passer les églises en
revue.” Et elles sont arrivées. Je les ai vues qui approchaient. Et
quand elles sont arrivées, chacune, semble-t-il, était pire que la
précédente. Je n’avais jamais vu une bande de femmes aussi dégoûtantes
de ma vie.
Et quand Il a dit: “Ensuite,” j’ai entendu du bruit.
Et Il a dit “Ensuite,” Il a dit, “voici le groupe américain.”
190 Maintenant, je suis moi-même Américain, mais
ça–ça m’a soulevé le cœur. Je ne peux pas m’exprimer en termes assez
éloquents pour, dans un auditoire mixte, pour dire ce qui se passait.
Je–je–je... Vous devrez lire entre les lignes. Mais, quand ces femmes
se sont avancées, celle qui était à la tête, c’était une sorcière. Elle
avait un nez très long et une très grande bouche. Et elles étaient
toutes vêtues d’une espèce de vêtement qui couvrait la partie du bas,
ici; mais le haut, c’était seulement une bande, qui, juste une petite
bande d’à peu près un demi pouce [1,25 centimètre – N.D.T.] qui montait
et faisait le tour comme ceci. Et chaque femme avait une espèce de...
191 Beaucoup d’entre vous, il y a des années,
autrefois on, vous vous souvenez, quand on coupait du papier, là, vous
savez, du papier journal, pour faire un chasse-mouches avec ça? Combien
s’en souviennent? Vous savez. Tiens, je pense qu’ils s’en servent dans
les carnavals, vous savez. Suspendu, comme ça, du papier dont on a
découpé les bords, de la dentelle de papier.
Elles avaient quelque chose qu’elles tenaient pour
couvrir le bas, comme ceci, qu’elles tenaient pour couvrir la partie du
bas. Toute cette partie-ci était découverte.
Et chacune avait les cheveux coupés très court, et
comme des petites frisettes partout, comme ça, les cheveux coupés
vraiment très court; et toute maquillée. Elles ne ressemblaient à rien
moins que des prostituées.
Et elles marchaient avec ce morceau de papier, et
quelle vulgarité! Bon, ce qu’elles avaient devant elles, c’était ce
morceau de papier. Mais quand elles ont eu défilé devant la tribune,
leur dos... Et de voir la manière dont elles se comportaient, de devant
et de dos, cette façon de se conduire!
J’ai dit: “Est-ce que c’est ça, l’Église?”
192 Et elle a continué son chemin. Et elles
chantaient ces chansons de twist-and-roll, là, vous savez, ou le nom
que vous donnez à ça, elles allaient, elles chantaient ça et elles
passaient.
J’ai dit: “Est-ce que c’est ça, l’Église?” J’étais
là, et dans mon cœur, je pleurais.
Et la sorcière, là, d’après moi, elle n’est
absolument rien d’autre que... Elle est ce Conseil mondial des Églises,
qui les conduisait tout droit sur le chemin où elle allait. Elles ont
tourné à gauche, et elles sont disparues dans le chaos; elles
continuaient cette musique, et à faire des bruits vraiment bizarres, et
à secouer leur corps, d’un côté, puis de l’autre, puis, comme ça, elles
se démenaient comme ça, en marchant.
193 Et, comme j’allais courber la tête, Il a dit:
“Attends, l’Épouse doit revenir.”
J’ai regardé, et les voilà qui sont revenues. Et
elles ont défilé, des petites dames charmantes à voir. Elles avaient
toutes les regards fixés sur moi, quand elles défilaient. Et j’ai
remarqué que chacune portait un habillement différent. L’une d’elles,
qui était en arrière, avait comme les cheveux longs qui descendaient
dans le dos, et elle les avait enroulés comme ceci; peut-être une
Allemande, ou quelque chose comme ça. Et je les observais.
Comme elles repartaient, deux ou trois d’entre
elles, en arrière, ont un peu perdu le pas, et j’allais leur crier.
Elles essayaient de reprendre le pas. Et je les voyais, la vision est
disparue peu à peu, et ça s’est transformé devant moi.
194 Maintenant, en voici l’interprétation. La
raison... Bon, souvenez-vous, je venais juste de finir d’écrire... je
n’avais pas fini, je n’avais pas encore écrit ces notes. Mais en
prêchant, ce matin, j’ai compris ce que c’était, en pleine prédication.
Avez-vous remarqué, l’église est seulement apparue...
Or, c’est la Vérité, mes amis. Le Père Céleste, qui
écrit la Parole, sait que je dis la Vérité. Voyez? Je sais que je dis
seulement la Vérité.
Et je ne l’ai su, semble-t-il, qu’il y a quelques
minutes, ou tout dernièrement, voyez-vous. Avez-vous remarqué? L’Épouse
est apparue deux fois: la première Semence et la deuxième Semence, et
les deux, c’était exactement la même Semence. Et la raison pour
laquelle elles étaient ...?... portaient des vêtements de différents
coins: Elle viendra de toutes les nations, pour former l’Épouse. Elles
avaient toutes les cheveux longs, pas de maquillage, et de très jolies
jeunes filles. Et elles me regardaient. Cela représentait l’Épouse qui
sortira de toutes les nations. Voyez? Elle, chacune représentait une
nation, alors qu’elles marchaient, parfaitement alignées sur la Parole.
Voyez?
195 Et, alors, il faut que je L’aie à l’œil. Elle
sortira du pas de la Parole, si je n’ouvre pas l’œil, pendant qu’Elle
défile, si Elle passe comme ça. Peut-être que ce sera au moment où moi,
j’aurai terminé, voyez-vous, quand j’aurai fini, ou quelque chose.
196 Qu’en est-il? Elles revenaient. Elles faisaient
tout leur possible, elles revenaient, elles cherchaient à se mettre en
ligne; c’est qu’elles–elles avaient les yeux ailleurs, elles
regardaient cette église qui venait de s’en aller dans le chaos. Mais
deux... Celles d’en avant, jamais. Celles d’en arrière, seulement deux
ou trois d’entre elles, étaient un peu sorties des rangs, vers la
droite, et elles avaient l’air de chercher à se remettre en ligne,
pendant qu’elles défilaient. Elles venaient juste de passer devant moi,
oh, elles étaient peut-être à la distance d’ici au mur, de moi. Et je
me tenais là. Et alors, j’ai vu tout cela s’éloigner, s’en aller.
Mais, si vous remarquez, l’église n’est apparue
qu’une fois, chaque nation, l’église. Mais l’Épouse est apparue deux
fois. Voyez? Vous voyez ce que c’était? Or, je ne le savais pas, mais
comparez cela à mon Message de ce matin. Je ne le savais pas. Voyez?
[Frère Branham donne plusieurs coups sur la chaire. – N.D.É.]
197 La Semence est tombée en terre à Nicée.
Celle-là, c’était la Semence originelle. Et Elle a été formée, Elle a
émergé de ces différentes dénominations, qui elles, ne sont produites
qu’une fois. Mais l’Épouse revient de nouveau dans les derniers jours.
“Je restituerai.” Voyez-vous, le Chef-d’œuvre a été modelé. Voilà la
raison pour laquelle Elle est apparue, a été passée en revue, la
deuxième fois. Elle a été passée en revue la première fois, ensuite,
elle a été passée en revue la deuxième fois. Et la deuxième fois, Elle
était parfaitement identique à la première fois. Ô Dieu, aie
miséricorde! Dépêche-toi, dépêche-toi, dépêche-toi, Vie, entre dans le
Grain, en vitesse! Oui.
198 Toutes les autres ne sont plus jamais
réapparues. Elles sont reparties, pour ne plus jamais revenir.
Mais l’Épouse est revenue, parce qu’Elle était
l’Alpha et l’Oméga. Dieu, le grand Sculpteur, S’est formé un
Chef-d’œuvre, parce qu’Elle est un morceau de Son premier Chef-d’œuvre.
Comme Il en avait fait un dans le jardin d’Éden, et Il en avait pris un
morceau et avait fait un autre morceau avec, lequel a été gâché et est
tombé, voilà qu’Il a mis tout ce temps à le reconstruire. Et Il a
produit ce Chef-d’œuvre, qui a été frappé, pour... Cette partie-là, qui
a été frappée, c’était pour ramener de nouveau ce Chef-d’œuvre, de
nouveau.
199 Alors, le Chef-d’œuvre et le Fils de Dieu, le
Chef-d’œuvre et l’Épouse, C’est un morceau de Lui, qui doit être
l’accomplissement de la Parole. La Parole s’est accomplie, et nous
sommes prêts pour la Venue du Seigneur.
200 Ô Église du Dieu vivant, courbez vos cœurs et
vos–vos êtres devant Dieu. Ces choses sont vraies. Je sais qu’on serait
porté à croire qu’une chose aussi glorieuse que celle-là serait
vraiment répandue dans toutes les nations. Ça ne l’a jamais été. Il ne
change pas Sa manière de faire. Soyez seulement reconnaissants, Église,
soyez reconnaissants d’être où vous êtes aujourd’hui, si vous êtes en
Christ. En effet, vous voyez, là, et quand cette...
201 Souvenez-vous, cette Vie sera toute rassemblée
dans le Grain, pour la résurrection, mais la tige doit être brûlée.
Tout le reste, la balle, et tout, doit être détruit, et le sera. Ne
vous confiez pas à votre, à ces dénominations. Restez dans la Parole,
la Vie, Dieu et Son Chef-d’œuvre.
202 Alors, dans le Millénium, qu’est-ce que c’est?
Christ et Son Épouse, de retour dans le jardin du Millénium. Amen!
Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.
203 C’est là qu’Il a été frappé. “Nous L’avons
considéré comme puni, frappé de Dieu, et affligé. Mais Il était blessé
pour nos transgressions, brisé pour notre iniquité.”
204 Est-ce qu’il y a quelqu’un ici, ce matin, qui
n’est pas dans ce Grain ce matin? La Vie est en train de détacher son
dernier morceau de la balle, car la balle est en train de sécher.
Combien savent que l’église pentecôtiste est en train de sécher?
[L’assemblée dit: “Amen.” – N.D.É.] Qu’est-ce que c’est? La Vie la
quitte. Franchement, elle n’est plus là. Et si nous avons déjà eu la
vision préalable de l’Épouse, dans ce cas je me demande si l’Épouse
n’est pas déjà complète. [Frère Branham commence à fredonner Je L’aime.]
...L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.
205 Avec la tête inclinée maintenant. Y a-t-il des
gens ici qui aimeraient qu’on pense à eux? Si vous avez le sentiment
que vous n’êtes pas...
Mes amis, c’est trop clair. Jamais de ma vie je n’ai
eu une vision sans que quelque chose arrive après. Je dis la Vérité.
Toutes les autres fois, si j’ai dit la Vérité, que Dieu l’a démontré,
alors, je dis la Vérité cette fois-ci.
206 Je ne sais pas en quel jour nous vivons, mais je
sais qu’il ne reste plus rien à venir. Aucun politicien ne pourrait
venir redresser la chose. La politique, la nation est fichue. Ô Dieu!
Pouvez-vous, pouvez-vous aller assez en profondeur pour–pour–pour le
ressentir. La nation est fichue; pas la nation, mais les nations.
Celle-ci est la meilleure de toutes, et elle est fichue. Alors, si les
nations sont fichues, le monde est fichu. Et les églises, à mon avis,
la pentecôte, c’est la meilleure qu’il y a eu, mais elle est fichue.
Ô Dieu, sois miséricordieux envers nous!
207 Si vous ne Le connaissez pas, je vous en prie,
dépêchez-vous, dépêchez-vous. Si vous pouvez ressentir la Vie, sortez
du... sortez de votre péché, sortez d’où vous êtes. Allez dans le
Grain, en vitesse. Dans la tige, ou dans la balle, vous mourrez.
Priez, pendant que nous chantons, maintenant. “Je
L’aime.”
Il n’en tient qu’à vous maintenant. Nous n’avons
aucune dénomination, rien du tout. Tout ce que nous avons, c’est
Christ. Nous vous invitons à adorer avec Lui, avec nous, jusqu’à ce
qu’Il vienne. Nous ne pouvons pas mettre votre nom dans un livre; nous
n’avons pas de livres. Nous voulons voir votre nom dans le Livre de
Vie. C’est seulement par une Naissance que vous pourrez arriver à ça.
Ne voulez-vous pas le faire tout de suite? Demandez à Christ une Vie
nouvelle, de vous faire entrer, de mettre votre nom dans Son Livre,
s’il n’y est pas. Alors, vous pourrez fraterniser avec nous, nous
aimerions beaucoup vous avoir avec nous. “Je...”
208 Dieu bien-aimé, maintenant aide-nous chacun à
faire un inventaire, pour voir si nous sommes en Lui. Tu nous as aimés.
Tu as été frappé pour nous, et nous T’avons considéré comme frappé et
affligé par Dieu. Je Te prie, ô Dieu, d’appeler chacun. Seigneur, parle
à mes enfants, à mes bien-aimés, à mes amis. Accorde-le, Seigneur, à
l’instant, par le Nom de Jésus-Christ.
209 Que personne n’attende trop longtemps, Seigneur.
On dirait que c’est terriblement proche. La moisson est vraiment mûre.
La grande moissonneuse de Dieu parcourra le pays un de ces jours, les
brins de paille vont voler de tous côtés, mais le Blé sera rassemblé au
grenier, enlevé, parce qu’en Lui se trouve la Vie. Accorde-nous,
Seigneur, que chaque demande soit exaucée, que chaque prière soit
manifestée devant Toi.
210 Je prie pour eux, Seigneur. Je Te prie de ne pas
laisser une seule personne ici être perdue, Seigneur. Ils–ils–ils sont
restés assis dans des conditions difficiles; ils–ils–ils font des
centaines de milles en voiture. Alors, ce dont nous avons besoin,
donne-le-nous, Seigneur, ce qui est bon pour nous, Seigneur; non pas ce
qui est bon à nos yeux, mais ce qui est bon à Tes yeux. Nous voulons
être une vierge pure, qui a été châtiée, réprimandée par Dieu, pour que
nous puissions être purifiés de nos péchés. C’est ma prière, que
j’adresse pour eux, Seigneur.
211 Je–je–je ne sais pas comment prier. Nous–nous
parlons au Dieu Puissant. Et quel être humain, quel être mortel
pourrait faire la prière qu’il faut, devant le Dieu vivant? Mais,
Seigneur, mes mots mal prononcés, et mes–et mes noms et mes pronoms
là–là où il ne faut pas; si Tu as pu prendre les lettres de l’alphabet,
un jour, et–et en former une phrase pour un petit garçon, Tu–Tu peux
fermer les yeux sur mes noms et mes pronoms, et simplement regarder à
ce que je crois, Seigneur.
Je crois en Toi. Je crois cette Parole. Et j’ai la
foi pour chaque personne qui est ici. Et je–je les amène à cet Autel,
Seigneur, par la foi, là où entre nous et le Grand Jéhovah, il y a le
Sang de Son Fils, Jésus. Et le Sang parlera pour nous. Quand Tu L’as
frappé au Calvaire, Tu as dit: “Parle!” “Écoutez-Le!” “Et le Sang”, la
Bible dit, “parle mieux que le sang de l’agneau de l’Ancien Testament,
car le Sang de Christ parle plus que le sang d’Abel; de plus grandes
choses.” Parle, Seigneur, de rédemption pour nous, alors que nous
faisons appel à Toi à travers le Sang.
212 Glorieux Père de la Vie, inclus-nous, Seigneur.
Si nous–si nous avons péché, ôte ça de nous. Nous–nous ne voulons pas
être comme ça, Seigneur. Ce n’est pas notre intention.
Nous nous rendons compte que nous vivons sur un
chemin vraiment horrible, sombre. Comme nous le disions au
commencement, nous marchons en gravissant une montagne, nous passons
dans des endroits raboteux. Sombre est le sentier, mais nous portons la
Lumière. Puissions-nous voir le sentier pas à pas, alors que nous
avançons maintenant; jusqu’à ce que nous nous retrouvions, comme dans
le Voyage du pèlerin, jusqu’à ce que nous finissions par arriver au
haut de la Colline. Guide-nous, ô Berger. Grand Jéhovah, conduis-nous
par Ton Esprit.
213 Nous savons que nous sommes loin d’être un
chef-d’œuvre; mais nous considérons d’où nous avons été taillés, le
vrai Chef-d’œuvre, et c’est en Lui que nous nous confions. Amène-nous
simplement à Lui, Seigneur. Accorde-le, Seigneur.
214 Guéris tous les malades qui sont ici, Seigneur.
“Nous L’avons considéré comme frappé et affligé. Mais Il était blessé
pour nos transgressions.” Le Chef-d’œuvre de Dieu a été frappé. “Et Il
était blessé pour nos transgressions; c’est par Ses meurtrissures que
nous avons été guéris.” Guéris les malades, Seigneur, qui sont dans Ta
Présence Divine en ce moment, car nous savons que Tu es ici.
215 Purifie nos âmes, nos cœurs, de tout ce qui est
mauvais, de toutes mauvaises pensées, de toutes paroles mauvaises, de
tout ce qui est mal. Purifie-nous. Et nous Te prions, Père, de guérir
notre maladie, et que nous repartions d’ici avec le sentiment que nous
sommes Tes enfants sanctifiés. Et couverts par le Sang, nous parlons à
travers le Sang, la Parole. Accorde-le, Seigneur. Nous le demandons au
Nom de Jésus-Christ. Amen.
216 Dieu notre Père, sur ces mouchoirs, oins-les de
Ta Présence, Seigneur. Que Ta Présence soit avec eux, où qu’ils
aillent. Là où ils seront posés, que tout corps malade soit guéri. Et
peu importe de quoi il peut s’agir, s’il y a un foyer désuni quelque
part, réconcilie-le, Seigneur, le grand Sculpteur. Accorde-le, Seigneur.
217 Façonne-nous, et fais de nous des fils et des
filles de Dieu. Nous croyons que l’Épouse est en train de recevoir son
dernier polissage. Elle sera retranchée de l’organisation entière,
complètement, et alors ce sera la grande moisson. Jusque-là, Seigneur,
donne-leur la santé et qu’ils soient heureux de Te servir. Au Nom de
Jésus. Amen.
Je L’aime, je... (L’aimez-vous vraiment?)
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur...
218 Maintenant est-ce que vous comprenez pourquoi je
vous gronde? Ce n’est pas parce que je vous aime... pas parce que je ne
vous aime pas. Je vous aime, vraiment. Je veux un Chef-d’œuvre pour le
Maître. Il se peut que je doive en arracher quelques-uns comme ça, mais
j’aurai un Chef-d’œuvre un de ces jours, si je le tiens fermement
attaché à cette Parole. Exact.
219 Or, Jésus a dit: “À ceci tous connaîtront que
vous êtes Mes disciples, quand vous aurez de l’amour les uns pour les
autres.” Nous devrions être tellement amoureux les uns des autres!
Béni soit le lien
Qui nous unit en Christ,
Le saint amour, l’amour Divin
Que verse en nous l’Esprit.
Prenons-nous par la main.
Si nous devons bientôt
Quitter ces lieux bénis,
Nous nous retrouverons là-haut,
Pour toujours réunis.
Revêts-toi du Nom de Jésus,
Ô toi, enfant de tristesse;
Il va te procurer la joie,
Prends-le partout où tu vas.
Précieux Nom, Nom si doux!
Espoir de la terre, joie du Ciel;
Précieux Nom, Nom si doux!
Espoir de la terre, joie du Ciel.
Maintenant, souvenez-vous, pendant votre voyage:
Revêts-toi du Nom de Jésus,
Comme d’un puissant bouclier;
Quand les tentations sur-... (Qu’est-ce que vous faites, alors?)...
-viennent,
Murmure simplement ce saint Nom en priant.
Ô Précieux Nom, Nom si doux!
Espoir de la terre, joie du Ciel;
Précieux Nom, Nom si doux!
Espoir de la terre, joie du Ciel.
Jusqu’à ce que nous nous rencontrions!
Courbons la tête. Oh, j’aime chanter!
Jusqu’à ce que nous nous rencontrions aux pieds de Jésus;
Jusqu’à ce que nous nous rencontrions!
Jusqu’à ce que nous nous rencontrions!
Que Dieu soit avec vous!
1 Let's bow our heads now for prayer. While our heads and hearts are bowed before God, I--I wonder how many in here has a request that they'd like God to remember by just lifting up your hands? That's...?... Now, hold your request in your heart now as we pray.
2 Lord Jesus, Thou the--the
Fountain, inexhaustible Fountain of Life, flow through us today, Lord,
and cleanse us from all unbelief and all sin, that we might stand in
Thy Presence now, knowing that there is need among us, that... We know
that we are sinners and not--not worthy of any blessing. But then when
we think of Him Who came and took our sins, then when His Blood's
there, it's not--it's not us in the Presence of God, it's Him--just our
voice through His Blood; His Blood's speaking. Oh, God, then cleanse
our hearts from sin and unbelief.
Give to us the desires of our heart, for we truly have these desires to
serve You. And in these weakening conditions and afflictions and things
of the world that's put upon us sometime to perfect us... We've been
told that, that He said, "Think it not strange that these trials come."
They're only working out for our good and to perfect us and bring us
into that place. These great deserts of experience, where righteous men
are molded into saints, we--we thank Thee for these experiences, Lord.
We would no mean--no wise want to do anything contrary to Your will;
but we pray, Father, that in this we'll be brought closer to You.
And when the burdens are so heavy we can't go no farther, then we raise
our hands and scream for our Father. Then hear from heaven, Lord. Heal
us. Make us well for the Kingdom of God's sake.
5 Bless Thy Word this
morning, Lord. Thy Word is the Truth.
And we assemble here now in the church. We pray for Brother Neville,
and for Brother Capps, and Brother Collins, and all the rest of the
ministers, and the--and the trustees, deacons, and all the laity, and
the strangers in our gates. May this be a day that we'll long remember
because of Your Presence.
We're here under great expectation this morning, Lord. Just momentarily
notice, called together... We feel that it's for a purpose. May Your
purpose be achieved, Lord. For we ask it in Jesus' Name, as we submit
ourselves. Amen.
7 It's grand to be here and
to be assembled with this church full of people. I wasn't expecting to
be--hardly anyone here this morning, because I didn't hardly know
myself I was going to be here.
We just got in from Philadelphia. And so I come in thinking I was going
to have to go to Arizona right quick for--have a funeral service for a
friend of mine, Captain Jim Mosley, a very precious, godly boy I led to
Christ not long ago, the three Mosley brothers... And one of them fell
and was--in the plane the other day and was killed instantly, laid in
the fire for ten hours 'fore they got to him. So leave... Twenty-eight
years old, his wife twenty-six, and--and leave three little children,
the oldest seven: very sad. And they... When they got him in, then they
had to bury him the next day. So I just--I didn't get to go. And I just
wrote out--or sent by telegram what I was going to say, or what I
would've said at Brother Mosley's funeral. And some of these things we
can't understand, but yet He makes everything work just right.
9 We're here in service of
the Lord this morning, knowing that--that--that we believe God, that we
believe that He'll make everything just exactly right. Regardless of
what it is and how it works out, we know it's got to work for good. He
promised that. It's just got to be that way. Sometimes we can't
understand that, gets very complicated at times, but yet we know that
it's the truth, 'cause the Bible says it's the truth. And the Bible to
us is God in letter form.
Now, we got to place our faith somewhere. And if--if I--any of us in
life tried to make a success in life and become many times a
multimillionaire... But what are we going to do with that? We got to
come down at the end of the road and what--what good is it to us then?
See? And money is a--a scrip; it's an exchange; but you can't exchange
it for Life. Only God has Life.
11 So we--we realize that we're here in a negative form. And as long as there is a negative, there has to be a positive. There cannot be a negative without a positive (See?), because it's because of the positive that makes the negative. Like you had a negative picture of some object. There has to be an object somewhere or it--to strike--the light strike that lens or there wouldn't be any--any negative. So when we see that our life here is in the negative and knowing that we're in the image of some life somewhere, then we know that there is a positive somewhere that the light has struck, and it's reflected something here on earth. And we are only that reflection. The genuine object is somewhere. If that isn't, I'm the worst deceived man in the world; I've spent my life in vain. But I know beyond a shadow of doubt that it's there. That's why we're here.
12 When I see you people come
across the country on a few moments notice, and sometime presuming,
then it makes me feel real little when I come into a meeting like this,
to think that I know people here has traveled for hundreds of miles
just to be here for a few minutes of service, just to set here.
Some woman just made a remark, come in the other day and said, "Show me
where the man has walked, and let me walk behind him upon the ground,"
said, "I'll get well." Now, the people believes you like that, and
you're a representative of Christ, then what should we do? We should be
very careful, because you're not only destroying yourself with wrong,
you're destroying others who are following you.
So I know no denomination or other to take you to. There's only one
thing I have my faith in (if you believe me, follow what I tell you,
because I believe the Bible), that's the Word of God. Other things
fail. I'm... He is Life. He is the Word.
15 Now, I know that you... When I come here I keep you long. I pray to God when I felt like I wanted to come here today... I've had so many interviews, and calls, and so forth; I had to meet some of them this morning. And I said, "Well, Brother Neville will no doubt ask me to speak." That was Friday. And I said, "Brother Neville will probably ask me to speak. And when I do, then I pray, God... It's so hot, been so hot. And He was good to send us a rain and break the real extreme heat and give us a good morning this morning. I pray that His goodness will shower each one of you all that you'll ever remember being here this morning. May His grace and blessings be upon you.
16 Last night I visited a friend that's sick, Brother Bill Dauch. I don't see him here this morning. Somehow I... Oh, here he is. Yeah. And I was thinking, "An old man of ninety-one years old and still storming across the--the country, through the deserts, and over the snowy mountains, and the slick roads. He don't have to do that. God has been good to him; he don't have to do that. He could set home and have servants a-fanning him if he wanted to." But something happened to Bill Dauch. He was born again. And when it was, something come into his heart, that all he lives for is to attend these services. And then, if I'm to be the mouthpiece of God, would I deceive a friend? I'd rather die. Then let me tell him exactly what's the Truth out of this Bible. Then that's God's Word. I'm just repeating what He said.
17 Now, I want to read some out of the Bible. And before we read, I'd like to--to say that I believe tonight is the Communion night. And you who are--are here locally ('course the other people probably will be going back to their homes, 'cause they have to go to work)--you who are locally here in the assembly, remember, the brethren will be giving Communion tonight.
18 Now, I'm waiting for a--a the final call for Africa. They wouldn't--won't let me in as a missionary. So the only way I can go in, down... I'm going to Kenya, Uganda, and--and Tanganyika. And the only way I can go in... First, the churches won't let you in, 'cause they want me to preach something on this side and that side down in Africa. And I won't go in like that. I wouldn't be hypocrite enough to do that. So I either tell them, "No sir, I'll just preach just what God puts on my heart and that's all." See? And I'm sure it won't be what they're trying to get me to teach. So--triune baptisms, and so forth like that, and fussing with them. No.
19 But I've been asked to a big convention by Brother Boze. He's just on the verge of coming to seeing some daylight of what we believe. And so I've asked to come in like I was going on a hunting trip. If they'll let me in, like going in hunting... If I can get somebody to say they'd take me hunting, then when I get in there (the doctor--the doctor's there at the embassy is a personal friend of mine out of Chicago)--and as soon as I get in there, he'll say, "Well, here's Brother Branham over here. Let's have a meeting." So after I'm there the embassy can't turn me down. If they... So they're trying to work it through now. So I trust that... If it's God's will it'll work out that way. See? It--it's just committed to Him. If not, then I'll notify you.
20 I want... If it be the will
of God then, I want to speak on the Seven Trumpets. And that'll be
about a eight day service. And we won't be here at the Tabernacle;
perhaps we'll try to get an auditorium here.
Now, I never thought of this new auditorium just being built up here.
It's exactly where I saw Jesus the first time in vision (Now, it's--the
auditorium built right over the same spot. I went right there the other
day to look.), when I looked and seen Him looking towards the east (You
remember hearing me tell it.), when I was out there praying for my
father, a--a little boy, just a boy preacher. That's where I saw Him,
set looking at Him. He's had His head turned sideways from me. I kept
walking around, clearing my throat, in a broom sage field. And I kept
watching, and He never did turn around. I called His Name, "Jesus," and
He turned around, held His arms out. And that's all I remembered until
daylight. And so I come back out of the field along towards daylight.
So maybe the Lord will let me preach those Trumpets there. Wherever it
is, God's will be done.
22 Turn in your Bibles now to
Isaiah the 50--53rd chapter of Isaiah. Now, we trust that God will
bless our feeble efforts of coming together this morning. We just come
down from Philadelphia, where I was at the Full Gospel Business Men's
convention. And listening to their different testimonies and so forth
up there...
Then I--on the road down I was... Billy Paul, and I, and Rebekah, and
little Collins' girl, little Betty Collins... And Billy's a very good
sleeper, and Becky's better. And so I--Betty and I talked. And she was
setting back with Becky in the back seat. And I seen something on the
road happen. And when I did, something struck me. And Betty (if she's
here), she noticed I quit talking and started writing something down.
That's where I got this text for this morning.
24 Now, let us stand to our
feet if we... Now, we stand in honor of God's Word, as I read Isaiah
the 53rd chapter:
Who has believed our
report? and to whom is the arm of the Lord revealed? (Notice, it's a
question to begin with.)
For he shall grow up
before him as a tender plant, and as a root out of... dry ground: he
has no form nor comeliness; and when we shall see him, there's no
beauty that we should desire him.
He is despised and
rejected of men; a man of sorrow,... acquainted with grief: and we hid
as it were our faces from him; he was despised, and we esteemed him not.
Surely he hath borne
our grief, and has carried our sorrows: yet we did esteem him stricken,
smitten of God, and afflicted.
But he was wounded
for our transgressions, he was bruised for our iniquities: the
chastisement of our peace was upon him; and with his stripes we were
healed.
All we like sheep
have gone astray; we've turned every one to his own way; and the Lord
has laid upon him the iniquity of us all.
He was oppressed,
and... was afflicted, yet he opened not his mouth: he was brought as a
lamb to the slaughter, and as a sheep before her shearers... dumb, so
he opened not his mouth.
He was taken from
prison and from judgment: and who shall declare his generation? for he
was cut off out of the land of the living: for the transgressions of my
people he was stricken.
And he made his
grave with the wicked, and with the rich in his death; because he has
done no violence, neither was there deceit in his mouth.
Yet it pleased the
Lord to bruise him; he... put him to grief: when thou shall make his
soul an offering for sin, he shall see his seed, and he shall prolong
his days, and the pleasure of the Lord shall prosper in his hand.
And he shall see of
the travail of his soul, and shall be satisfied: by his knowledge shall
many righteous servants be justified... many; for he shall bear their
iniquity.
Therefore I will
divide him a portion with the great, and... shall divide the spoils
with the strong; because he has poured out his soul unto death: and...
was numbered with the transgressors; and he bare the sins of many, and
made intercession for the transgressors.
25 Father God, Thy Word is a Lamp, the Light that lights the path of every believer into the Presence of God, as It carries us like a lantern in our hand. You've not provided enough that we should see the end from the beginning, and--by I walk with faith. But as a man would travel through a dark forest at night (And that's where we are.), the light that he holds only provides step by step. But the path, though leading upward, just walk with the Light. And may the Light shine today upon the Word to lead us one step farther to the Kingdom of God. For we ask it in Jesus' Name. Amen. (Be seated.)
26 The subject that I feel to
speak to the congregation today is "The Masterpiece." It may seem
rather strange to take a--a Scripture reading like this of a--of one of
the most bruised and murderous pictures of the Bible, that when the
Bible says that this perfect Servant that was afflicted, and bruised,
and torn, and yet take a text from that as Masterpiece: very strange.
But I--my mind is thinking this morning as we journey back (I do) for a
few years. I was invited up to Forest Lawn in--in California, up above
Los Angeles. My first purpose for going up there was to visit the--the
grave of--of Aimee Semple McPherson, the founder of the Foursquare
movement. And I went to her--her tomb. And I... Although I--I different
with the woman as a minister, but yet I--in my heart I give admiration
and a respect for--for what she stood for in the--the hour and the
persecution and things she had to go through with in--in time of her
being here on the earth. And then, for her--her beloved son, which is a
bosom friend of mine, Rolf McPherson...
28 And a group of ministers,
we went up there. And they--we didn't have time to go into
the--the--into the--the place where they have the cremation and put
the--the bodies in a--a little box on the side of the wall.
And in there they have some outstanding things such as the Last Supper.
And it's lighted by the actual light of the sun. And they--they have a
shutter that it gives them... When they go in, it's light; and then as
they begin to speak it darkens up. And after while it all becomes dark.
And then the people go out.
30 And they have all the Supper... And the woman that held the secret of how to beat this glass into this place, why, make these pictures, why, it--it come through a family from many years back. And the art was just given to the children, and the last one was a woman. And they was fixing this picture. And when they went to mold and burn the--the glass, bake it, of Judas Iscariot, it busted. So then, they tried it again. And it busted again. And she said, "Maybe our Lord doesn't want His enemy picture by His side." And said, "If it bursts again, we'll not complete the picture." But it held that time. Then... 'Course that was a striking thing, and how that such things would happen.
31 But then, one of the main
things that interests me in Forest Lawn was Michelangelo's, the great
sculpture, the--the monument of Moses. It's a--a reproduction there, of
course. It isn't the original. But it was such a--a great masterpiece.
And as I stood and looked at it, I--I liked that, something that looks
like it--represents, got something to it.
I like art real well. I believe God is in art. I believe God is in
music. I believe God is in nature. He... God's everywhere. And anything
that's contrary to the original is a perversion. God is in dancing, not
the kind of dancing you do here, but when the sons and daughters of God
are in the Spirit of God (See?), that's dancing. But like I had to
contend with till 2 o'clock this morning up there in the lane, that's
the perversion of it.
33 But this masterpiece that Michelangelo had--had made, it--it cost him something to do that. That... He was a great man. And it cost a big part of his life, because he was many, many years in carving out... Just take a rock and--of--of marble and keep carving it. And to see... Only the man, the sculptor himself has in his mind what he's trying to do; he--he's the one. You might walk up and say to him, "What are you pecking on that rock for?" To the outsider who doesn't know what's in his heart, oh, it's nonsense. But to the man, the sculptor himself, he--he's got a--a vision in his mind, what he's trying to make, and he's trying to reproduce what he has on his mind in the form of a--of a monument. And that's the reason he's picking it out of the rocks.
34 And this to do, you have to start off right at the beginning, and you have to follow the pattern. See? You can't get a little piece to start off: "We'll make it this way. No, I believe..." No, he's got to have a exact pattern. And in his mind he's got that pattern. And he cannot vary from that pattern. Now, in order to do this he had to draw in his mind. Because we have no real pictures of Moses, but he had to get a mental picture in his mind of exactly what Moses was.
35 Now, a genuine sculptor is inspired, like a genuine poet or any genuine singer, musician, whatever it might be. All real has to come by inspiration. Michelangelo must've had the inspiration of what Moses really looked like, and he caught it in his mind what Moses must've been. So he set forth on this great piece of marble to cutting to the pattern, and bringing down, and honing down, until he got to the real picture of what it must have been in his mind.
36 And then when he got all so perfect, every corner off, and every place rubbed, and the eyes just right, and every hair and beard, all just the way it was, he stood off and looked at it. I--I think of--of many, many hard years of labor, and how he had to hold that same vision all the time in his mind of what he was going to do. And just think, that vision on his mind for so many years, to make it look just exactly to what it was--he caught the vision first--and how he had to work to that vision, cutting off and making down... And when he got it to where he perfected it, till it really got perfect, he stood and looked at it when he finished up that morning, with a hammer in his hand. And he was so inspired when he looked at it, because the vision of his mind was standing before him in reality. What he had seen and the--his conception of what Moses was, there it was figured before him, what he'd had in his heart all these years of toils, and hours of sorrow, and distress, and critics, and everything else, but yet he stayed right with the vision until it was completed.
37 And then when it was
completed, he stood back with the hammer (the sculptor's hammer) in his
hand, and he looked at that monument. And the inspiration of the
vision, that he'd seen of how to do it, inspired him so much, till
he... The inspiration struck him till he got beside hisself and struck
it across the knee and said, "Speak!"
And now there's a flaw on that great image, on the knee, on the right
knee. Just above the knee about six inches is the place. I put my hand
on it, about that deep.
39 After he had spent all that
time, for years and years to make this, then under the--the influence
of seeing fulfilled what he had seen in his heart and in his vision,
and desired to see, it was completed. And when it was completed, he was
so inspired by it till he thought his own masterpiece should speak back
to him. And he struck it across the leg and hollered, "Speak!" And it
made a flaw on it. It put a flaw on the image.
To me, the flaw was what made it the masterpiece. Now, maybe to
the--the mind that might think different, you'd think that spoiled it.
No, to me it--it made it what it was. It--it... Because of after so
many years of careful work, and toils, and inspiration, and so forth of
making it, his toil had proved not in vain; it was perfect, and that's
why he cried out, "Speak!" Because he'd seen before him that he
was--had been able to achieve, to bring to pass the vision that was in
his mind; and therefore, under inspiration he done something out of
reason, out of the ordinary; he struck it and hollered, "Speak!" See,
he wouldn't have done that if he'd have thought. But he didn't think.
It was inspiration of seeing what he had in his mind setting there
perfectly before him.
41 His toils, and wearies, and
long nights, and housed away from the world for days... And maybe eat a
sandwich, and--and rub on it, and get back and, "No, that's just not
the way it was. Now, it's got to come down to this," and rubbing it...
Then when he saw it just perfect, then he saw in reality. The negative
of the--what was in his mind had become real; it become positive;
therefore, it sprung into him. And it was so real that he must cry out,
"Speak!"
To me it was a reflection, it was--it was a compliment to his work,
that his own work so inspired him that he would become beside himself
to smite it and to say, "Speak!"
43 I stood there and looked at the monument. I thought of the hours that the man must have put in making that. And they said how many years it was. But it--it was a reflection to him, because it was a contribution to his--to his great art, his great work of what he was doing. And when he finally was able to achieve it, it was so great.
44 Now, let us turn the page of Michelangelo and close the book. And let's open another Book and read of the Great Sculptor, the Almighty, Who before there was a world and before the foundations was laid, He had in His mind what He wanted. And He wanted to make man in His own image. He wanted to make something in--in reality of what was a vision to Him, what was in His thinking.
45 Now, to Michelangelo that was an attribute of his thought. And God wanted to make a man after His image, (the Great Sculptor), and He went to work on him. And we notice as He brought up from the materials, the first perhaps was fishes, and then the birds, and--and then the creeping things upon the earth, and the many things that He brought. But finally as He brood, being Creator, He had... He wasn't like a man now, a sculptor that'd have to take something that's been created to hew an image. He was the Sculptor of eternal things. He was a Sculptor that could create and bring into existence that which He has in His mind to do; or otherwise, He can make material what His attributes desired.
46 And as He begin to work
upon creeping things, like upon the--the--the little animals upon the
earth... And then He began to bring it from that into something else
higher. Then finally He brought it into the larger animals such as the
lion, tiger, bear. Then He brought it into the--the--the life of maybe
of--of monkeys, and apes, and so forth. Now, not an evolution, as we
think that one came from a any... That was a complete creation, God
working in a pattern.
But finally there came forth upon the earth a perfection, and that was
a man. And then He could see in that man, that it looked like Him. So
now, when He looked upon him, he was a reflection of what his Creator
was. God had now been able to achieve the thing that He wanted: a man
in His own image.
48 And then I might say to this: that when He made this man there was something about him yet that didn't look just right, because that he--he was by himself. And that's how God had been--by Himself. He was the Eternal. And the man now in the image of God also existed on the earth by himself. So He must've struck a little blow over on his left side, and from there He took the piece that struck off of it and made him a helpmate, a wife. Then he wasn't by himself; he was--he was--he had somebody with him. And that's His great work.
49 And He, as any great
sculptor would take his--his--his masterpiece... Now, first, He had a
masterpiece of Himself. But now, He seen that the masterpiece was
lonesome like He was, so He divided the masterpiece by striking it in
the side and brought forth a helpmate.
And now, to make the two one, He put them, like any great sculptor, in
a place that--that's beautiful. A--a sculptor wouldn't make a great
masterpiece and then take it and set it in a alley somewhere or hide it
behind buildings. As our Lord told us, "A man doesn't light a candle
and put it under a bushel." When we become God's masterpieces, we're
not hid in a alley somewhere; we--we must give light.
51 So we see that--that He--after He made this masterpiece. He placed it up here on the earth and put it in the most beautiful place there was, in the garden of Eden. He placed His masterpiece (the two being one) in the garden of Eden. How it must've pleased Him, that He saw this masterpiece was well. He... After that we find out that He rested; He was so well pleased with His work.
52 Now remember, that my
opinion the masterpiece is the stroke that marred San Angelo's Moses
masterpiece in the monument. And it was a stroke that cut the side of
His masterpiece that brought out the bride. And now, we see them as a
masterpiece family in the garden of Eden. How beautiful it was. And it
so pleased Him, till He--He took rest then; He said, "I--I'll rest."
But while He was resting and trusting to His masterpiece, His enemy
come in and found this great masterpiece; and he--by deceit he--he
crawls under the--the garden walls, and then he--he marred this
beautiful masterpiece. He--he marred it so that it--it fell.
54 Now, I'm trying to watch that clock. And I asked Mike, my nephew, to ring that bell in thirty minutes, but I--he's not doing it, and I've already been thirty minutes, but it's... We'll continue on a little bit. See? Now, I don't want to--to break these rules; I--I made these rules. See? And I--I... And here's breaking your own rule.
55 Now, notice. Then this
masterpiece, when Satan got ahold of (the deceiver)--broke through the
walls, and--and he marred this masterpiece. Because that the way He did
it... What--how did he do it? I'll go more detail of it, how he done
it, when this masterpiece was walled by the Word, God's Word. And the
masterpiece itself, of the family, was fortified by this Word; but the
broken part that was broke off of the original went out beyond that
Wall and give Satan a chance to mar it. (And now, as you know what I
believe on those things, so I won't have to say that.) But the
masterpiece was broke.
But the Great Sculptor, when He seen the fall of His family, the
masterpiece, He wasn't willing just to leave it lay there face down and
ruin; He went to work immediately to build it up again. He wasn't
willing that it should perish, lay there like that all the time,
because He's God and He will not be defeated. So He went to work
immediately and begin to build again unto His own image, a man.
57 Now, we find that the
antediluvian world come along and destroyed the whole thing, because
the covenants that was made, was made conditionally: "If you will not
do this or if you will do that..." God, the Great Sculptor, seen that
man could not--could not keep a covenant. He just can't do it. There's
just no way at all.
On the interview a few moments ago I was speaking to a person in the
room that's present now, who said, "But Brother Branham, I have so many
things that I--I know that's wrong." (And a--a godly little woman.)
I said, "But--but look, sister, you--you don't look at yourself;
it--it's just what your desire is and what you try to do. And if you
really love the Lord, you try to serve Him with all your heart. And
then all your mistakes is hid in the Blood of the Lord Jesus. (See,
see?) He made a way."
59 So He begin now, taking man
from His covenants of--of saying that, "If you will, I will." And He
begin with a man called Abraham and give to Abraham a covenant
unconditionally. Every time He'd start a masterpiece, Satan would get
it, because the Word. But when He started with Abraham, He said, "I
have already done it." Now, this is unconditionally, not,
what--that--that, "If you will, I will," but, "I've already done it."
Now, He... The--the Sculptor is determined to have this masterpiece.
Then from Abraham come the patriarchs. And the patriarchs really...
Now, what's God doing? He's rebuilding this masterpiece that had
fallen. So in the patriarchs, the first we find was Abraham.
61 Now, watch. Every
masterpiece is put on a foundation of sculpture. Angelo's monument of
Moses is on three or four foot piece of marble. It's got a foundation.
So God in preparing this masterpiece, He put it on a foundation of the
patriarchs. And the patriarch foundation, first was Abraham, then
Isaac, then Jacob, then Joseph: the four corners.
And now, Abraham was the foundation of faith. Let's say it had four
foundations. The foundation of faith was Abraham. The foundation of
love was Isaac. The foundation of grace was Jacob (God's grace to
Jacob. Anyone knows that). But in Joseph was perfection. There's where
He could set the monument, upon, not the first foundation, the second
foundation, the third foundation, but on the fourth foundation.
63 Abraham portrayed Christ,
of course; so did Isaac in love: Abraham did in faith. Isaac did in
love. Jacob did by his grace, because "Jacob" means "deceiver"; and
that's what he was. But God's grace was with him. But when it come to
Joseph, there's nothing against him, just one little scratch (for the
foundation must also be a masterpiece), when he told his father, the
prophet, "Say to Pharaoh that your people are--are cattle raisers and
not shepherds, because a shepherd is an abomination to the Egyptian."
But when the old prophet got before Pharaoh, he said, "Your servants
are herdsmen." So it--it scratched it. See? That's why it still makes
it the masterpiece.
65 Now, the foundations was
laid through faith, love, grace, and to perfection through the
patriarchs. Now, the body work that come on to this great masterpiece
was the prophets, which was the Word (I hope you can read it.
See?)--the prophets, not the laws, the prophets. For the prophets was
the vindicated Word which makes the body, not the patriarchs, the
prophets. They were the Word.
Finally, as He started way back in the days of Moses and come down
through the prophets, to each one, it finally--building up the body,
coming closer all the time... And the greatest of all of them was John.
The Bible said so. Jesus said it: "There's not a man ever born of a
woman as great as John the Baptist," for he was the one that could
introduce the Word. And then come finally the great Head, the Head of
all of it. The rest of the body just spoke of It.
68 The foundation was laid by the patriarch, but the body was built by the Word, which was the prophets. And here comes the Head of all of it; Jesus came on the scene. There when this Headpiece was put upon it, we find in Him the entire handiwork of God. We find in Him the perfect reflection of the Word, for He was the Word, the fullness of the Word. Now, again God has the perfect Masterpiece again, as Isaiah said, "Behold My Servant, My Masterpiece that I have portrayed through all the ages of this perfect One coming. And here He stands right before Me, a perfect..." There in His own image reflecting God, for He said in St. John 14, "When you see Me, you see the Father."...
69 And then, in the beginning
was the Word, and the Word was with God; and the Word was hewed out and
reflected what the Word was at the beginning: Him, the Word, reflected
in the Masterpiece in His own likeness, God back again in His own
likeness, the Word form being reflected in the image of a man: the
Masterpiece.
All the prophets had flaws. All the ones was a portion. But here at
last coming up through that finally comes the Masterpiece, the perfect
One, no fault in Him at all, so perfect, reflected of the Builder
Himself. His own image was reflected in His Work. God and Christ were
One, insomuch until He put His own Spirit into Him; and then even the
Image and the Builder became One: God and His sculpture Work, His
Masterpiece... Where Moses--Moses was in the work of San Angelo was
a--or Michelangelo, rather, was a--a sculpture work that was dead,
because it'd been made out of stone. But here the Master Builder, when
He got His Handiwork perfected, He stepped into It.
71 So perfected a Redeemer of
man, so perfect, so godly (Yet there was no beauty we should desire
Him.), when this virgin-born Son of the living God become so perfect,
and humble, and in the image of God, until the great Master Who had
brought His life up through the prophets (and He was the fulfilling of
all the prophets)... He was so perfect, until God seeing this, He smote
Him and has cried out, "Speak!" as Michelangelo did, "Speak!"
You say, "Is that so?" St. Mark 9:7, we find upon the Mount
Transfiguration, when there stood Moses, the law, there stood Elijah,
the prophets. All the way back from the patriarchs, the fathers, the
law, the prophets, and all of them standing there, we hear a Voice
coming down from the cloud and said, "This is My beloved Son, hear ye
Him." And if they're going to hear, He's got to speak. It was just a
few days before He was smitten. "This is My Son, Who I'm pleased to
dwell in. I have molded Him. I've been four thousand years bringing Him
to this. And now He is so perfect I've got to smite Him so He can
speak. "Hear ye Him." He's the perfected One. He--He is the
Masterpiece."
73 Remember, He was portrayed
all times back through the Old Testament. We find Him being the Rock in
the wilderness, that was smitten Rock in the wilderness: "I am that
Rock that was in the wilderness." But that was a stone; that had not
come to its perfection yet. But in type form It followed the Church to
draw from It that that He could draw, and give Life to those who He
could give Life to. But He was that Rock in the wilderness. He had not
been made man yet; He was only in type.
Moses saw Him standing on this rock. He saw Him pass by, and he said,
"It's the back part of a man." You see, the Sculptor was presenting to
Moses which was a potential image of Christ, what the great Masterpiece
would look like when It was perfected. He passed His... He
injected--or--or projected to Moses the vision of what the Masterpiece
was going to look like. It was the back part of a man when It passed by
in the wilderness.
75 Remember, 'Angelo could only cry out and smite the image and say, "Speak!" But how different it was to God, the Great Sculptor. When He made a man in His own image, so perfect that It reflected Him, God spoke through the image of man, showing what He would do. He spoke to the prophets as they were in their potential image, as He was bringing it up to the Head. But when He come in the Head, He was all the image of God. He was portraying Himself. Then smitten for us... Now He is the Masterpiece to us, the Gift of God, Jesus Christ, Eternal Life. I hope we never forget that.
76 As we see the days darkening, as we see the shadows falling... When I predict it's just a few more turns of the sun this nation's gone. Do you know, yesterday, fourth of July, where Thomas Jefferson had signed the Declaration of Independence, him and the other board that was with him, and the Liberty Bell rang, and we was declared an independence as a nation... According to history there has never been a democracy at any time last over two hundred years. And that was 1776, July the fourth. And we're just eleven years left. Will it make it? No, can't. Eleven years, and if it does, it'll break all history.
77 And we see the condition of time. We see the condition of people. We see the condition of politics. We see the condition of the world. It can't stand. It's got to sink like the Titanic. It must go down. For there's... Give room--one nation gives room to another as it falls. And this kingdom must fall and every other kingdom to give room to that Kingdom that's coming which cannot fall. For we receive a Kingdom that cannot be moved through this perfect Image of God, the Masterpiece.
78 God, when He looked upon Him, He was so inspired, He was so... To see Him the way He looked and to see the--the form of Him, He was so inspired that it would be the perfect Masterpiece of a Redeemer: Jesus the Redeemer. So God, in order to be smitten Himself, because to pay His own penalty, God and Christ became One, so God could be smote in the image, He could be scarred. And that's why Isaiah said, "We did esteem Him smitten and afflicted of God. Yet He was wounded for our transgressions; He was bruised for our iniquity. The chastisement of our peace was upon Him; and with His stripes we were healed."
79 The perfect image of the
God-man, God En morphe had changed from Supernatural to the vision. And
the vision was projected into the Image. And the Image was smitten so
that the Supernatural could taste the feeling of death, God's perfect
Masterpiece. He could not do it in Moses. He could not do it in the
prophets. Isaiah who was sawed with saws till he was sawed to pieces...
He could not do it in the prophets that were stoned. He could not do
it, because He couldn't feel it. They was just a portion of Him. But in
this perfect Masterpiece He was the Fullness of the Godhead bodily. He
could not only project Moses, He could project His entire being into
this Person and taste death for the whole human race. God's perfect
Masterpiece, God, so inspired by seeing It, He become the Redeemer of
all ages to speak for those in the backgrounds who had been before and
now.
All promises was met in Him. He was the Perfection of the perfection.
All types was fulfilled in Him: our Kinsman Redeemer in Ruth and Boaz;
our Law-giver from Mount Sinai; our Prophet from the wilderness, as He
come from the mountain, as He come from the wilderness, as He come from
eternity and become man, the perfect Image.
81 God, down through the age,
hewing away by the patriarchs, and made His platform, and brought them
up from the different things that He'd lay this foundation upon. Upon
this He begin to build His Word (the prophets), and then finally come
out to the perfect Prophet, the perfect Foundation, the perfect vision
God had.
And now, in order for this to speak (He is the Word.)--and for the Word
to speak He must come into the Image. And then for the image to speak,
it's got to be smitten. He comes into the Image. And then in order to
speak, the perfect Redeemer... All the types of the Old Testament was
met in Him.
As I said the other day, Jehovah of the Old Testament is Jesus of the
New. Yes!
84 Like many of you men, women my age, we used to have around the country a lot of Chinese laundries. When the Chinese first started in, they come from the west coast, moving eastward, coming over from the eastern country, moving this way. And as they did, they were people who were not acquainted with our language and our ways, but they were fine laundryman. And they couldn't write the ticket so you could get your right laundry back. But the Chinaman, he got himself a bunch of little cards with nothing on it at all. So when you come for your laundry, he would take this card and tear it in a certain way and hand you one piece, and he kept the other piece. And now, it's a little better than what we have now, because when you come back to claim what was your own, those two pieces must dovetail. You couldn't impersonate it if you had to. There's no way of doing it. You could make copies of letters, but you can't impersonate that tear. It's got to fit exactly with the other piece. Therefore, your dirty clothes that you brought in, you could redeem them by this ticket, because it matched the ticket that was turned in.
85 And when God, by the prophets and under the law, condemned us to sin... And the law has no grace; it's--only tells you you are a sinner. But when Jesus came on the scene, He was the fulfillment. He was the--the fulfillment of everything God had promised. He was the perfect, identical image of the promise. Therefore, all promises of the Old Testament was met in Jesus Christ. It couldn't be met in Moses. It couldn't be met in any of the prophets, but it was met in the Masterpiece. It matched all that It said It was going to be. So will the Church have to be a match to everything God has promised. It must be that piece that's smitten off of It. So if the original is the Word, so will the subjects that's been taken from It be the Word to match Its side.
86 Therefore, the Chinaman... You could claim... Where the law condemns you and said you were dirty, and you were guilty, and could put you in the prison; but when He came, He was the Matchpiece for it that could take you out, and bring you back too, to be the complete ticket: the redemption that God had promised back in the garden of Eden: "Thy Seed shall bruise the serpent's head, but His heel shall bruise--bruise its head."
87 Now, we find this perfect
Masterpiece that God had completed. Now, we notice that He was all that
it was promised to be. He's all the promises, all of the prophecies,
everything that God had made a promise of: "Thy Seed shall bruise the
serpent's head." Now, He could not bruise it with the law. He could not
bruise it with the prophets. But He did do it when the woman's Seed
became the Masterpiece: Christ. He was the Stone that Daniel saw hewed
out of the mountain. He was the One could smite. He's the One that
could bruise, bruise the serpent's head.
His life matched exactly the life of Moses. His life matched David.
Let's see if it was, if He's the Matching-piece.
89 Notice David, a rejected
king over his own people. He was... One day while he was... His own son
rose up in mutiny against him. And he separated and divided the armies
of Israel. And he was... David was drove--or driven by his own people
from his throne. And on his road out there was a man who hated him; and
he's walking along there, spitting on David. The guard pulled his
sword, said, "I'll let that dog's head stay on him, spit on my king."
David said, "Let him alone, God told Him to do it." Don't you see? A
man of sorrow, acquainted with grief, He stands like a Sheep before
shearers, dumb. See? He said that. Perhaps David didn't know what he
was saying. But about five, six hundred years afterwards or a little
more, the Son of David was going through them same streets, and He was
spit upon. But notice what happened when David out of his--out of
his... When he became a fugitive, and out of his exile, when he--when
he came back, that man begged for peace and mercy. Even those who smote
Him will see Him one day when He returns.
91 And we find out then in
Joseph, that Joseph was a peculiar-born boy, the last, the top part of
the foundation, where the masterpiece was to be built upon. It come
from faith, and to love, and to grace; it come to perfection. And so
did it from the feet of the beginning, come forth unto perfection in
Christ.
Notice, how that he was portrayed in Joseph, the top of the foundation,
the most perfect of all of them. We find that Joseph was born to his
family; and he was by the legal woman actually, which was Jacob's wife.
And notice also, that when he was born, his father loved him; and his
brothers hated him without a cause. Why did they hate him? Because he
was the Word. See the very foundation? See how the head of the
foundation come. Now look at the head of the body comes. Now, watch the
Head of the Bride come. He was the Word. And they hated him because he
was a seer. He foresaw things and told them; they happened. No matter
how long it lingered, it happened just the same. And by being spiritual
he was excommunicated from his brethren. They ought to have loved him.
But they hated him because he was a prophet and he was spiritual. And
they hated him.
93 Notice, he was sold for
almost thirty pieces of silver, throwed into a ditch, and supposedly to
be dead, but was took up from the ditch. And in his time of temptation
in the prison, the butler and the--the baker... We know that the butler
was saved and the baker was lost. And in Christ's prison house on the
cross, one was saved and the other one was lost--two thieves, two wrong
doers.
And we notice he was taken from his prison to the right hand of
Pharaoh, that no man could speak to Pharaoh, only through Joseph. And
when Joseph left that throne of Pharaoh, the trumpet sounded throughout
Egypt, the blast went forth and said, "Bow the knee, everybody; Joseph
is coming forth."
95 So will it be with Jesus.
How He was loved of the Father and hated of them denominational
brethren without a cause. He was sold for thirty pieces of silver (as
it was), and put into the ditch supposingly to be dead. On the cross,
one lost and the other one saved, and was lifted up from the cross, and
sets at the right hand of God in the Majesty, the great Spirit, which
had been reflected in Him. And no man can speak to God, only through
Jesus Christ. Think of it. And when He leaves that throne, starts
forth, the trumpet will sound and every knee shall bow and every tongue
shall confess.
Remember, he was the son of prosperity. Everything that he did
prospered, whether it was prison or wherever it was, it come out right.
And hasn't He promised for His children that He'd make everything work
together for the good, whether it was sickness, prison house, death,
sorrows, whatever it was, that it would work for the good to them that
loved Him. He promised it, and it must be so. It's got to be there.
It's figurative spoke to us in Him. He was that perfect Image of God.
97 Now, we see here also that when He comes again... Remember, Joseph by revelation saved the world by his great prophecy. The world would've died if it hadn't have been for Joseph. And the world would--would been dead if it hadn't have been for Jesus: "For God so loved the world that He gave His only begotten Son, that whosoever believeth on Him should not perish." God is reserving Life.
98 On and on we could go. Because He was simply the match of David. He was a match of Moses. He was the match of Elijah. He was the match of Joseph. Everything that was portrayed or foretold by in the Old Testament, matched right into that. What is it? Showing a perfect Redeemer that we could put our old, dirty clothes into the laundry and go claim it again. It's been washed in the Blood of the Lamb. We can claim what's our own. And everything that He died for, we can claim it.
99 Though He was the perfect
Word portrayed, It pleased God, the great Sculptor, to smite Him, and
to do it this way. We see Him in Isaiah here as we read: "We all did
esteem Him. We turned our face from Him. There's no beauty that we
should desire Him. (Everybody talking about Him, make fun of Him. I'm
talking about Him now in this day: everybody making fun of Him. See?)
We did esteem Him--we saw Him ('esteem' means to 'look at'). We did
esteem Him smitten and afflicted of God." Yet He... What did He do this
for? "He was wounded for our transgressions. He was bruised for our
iniquity."
Now, we could go on and on with that, but I believe you have the
pictures of what I mean now--God building back His masterpiece.
101 But let us not forget that
in the beginning when He smote the side of Adam, He took something from
his side. Now, the smiting of Christ was for a cause, that He might
take from Him, one to be His family, the Bride, He might take Him a
Bride. So when His Masterpiece was perfected, then He had to smite It
to take from Him, not another piece, not another creation, but of the
same creation.
My brother, don't think bad in this, but think a minute. If He took
from Him, the original creation, to make the Bride for Him... He's
never made another creation; He took a part of the original creation.
Then if He was the Word, what must the Bride be? It's got to be the
original Word, living God in the Word.
103 Kimberly, South Africa...
Once I was looking at diamonds, how they was brought up out of the
ground. And I seen them laying there as... Well, the--the
superintendent of the plant or the mine was one of my ushers in the
prayer line. And I noticed the diamonds valued at tens of thousands of
dollars piled together; but they didn't sparkle even under the light.
And I said to the superintendent of the mines; I said, "Why don't they
sparkle?"
He said, "Sir, they haven't been cut yet. They must be cut. Then when
they are cut, then they reflect the light." There you are.
The masterpiece must be cut. And notice. Cut for what? Is the piece cut
off? No, no. The piece that's cut off is made into victrola needle. And
the victrola needle is put upon a record that's unseen music to the
world; but the needle is what brings it out, brings out the true
interpretation of the Word.
106 His life matched all the people's. It pleased God to smite Him. And now, why did He smite Him? For the same cause He had to smite Adam. Now we see Him stricken and smitten of God and afflicted, the perfect Lamb for sinners slain, a perfect Masterpiece.
108 Now, for nearly two thousand years God has been again making Him a Masterpiece, because He struck Adam to get a piece off of him (part of him), a rib to make a wife for him. And now, that perfect Masterpiece that He struck at Calvary, He got a piece off of Him. It's just the New Testament; that's all. He fulfilled the Old Testament. Now, it's the New Testament, another piece to be fulfilled. See, the New and Old is husband and wife (See?); and it taken the New to fore--the Old to foreshow the New. Christ come the Masterpiece to fulfill that. Now His Bride will fulfill everything that's in the New Testament. Another Masterpiece is in making.
109 As it taken Him four thousand years to make this Masterpiece, now He's been for nearly two thousand years making another Masterpiece: a Bride for Christ, another Masterpiece. In so doing it, He does it by His never-changing method, the same way He made the Masterpiece: His Word. That's the way He makes His masterpieces. Because it can only be a perfect masterpiece when it's the perfect Word. Any dirt, trash, injections, it'll break; but the heavens and earth will pass away, but that Word will never break. You remember, in cutting of diamonds, you have to have a perfect tool to do it with, not just any piece will do it. I've seen tons of them big grinders crash right through it and move them big tons over, and pass that diamond right on through. No, it don't break the diamond: has to be cut.
110 Now, He's doing the same
thing in His never-changing method. We find out in Malachi 3, He said,
"I'm God, and I change not." He cannot change His method.
Now, as He started in Abraham... After the fall of the first
masterpiece, He started in Abraham, on a foundation, to build another
masterpiece. He started on the day of Pentecost to build another
Masterpiece--the original seed Word, started in the first Church. What
was it? The seed Word, the Word manifested, the promise that had been
given. Joel said, "It shall come to pass in the last days, saith God,
I'll pour out My Spirit upon all flesh. Your sons and daughters shall
prophesy. Your old men shall dream dreams; your young men shall see
visions," what He would do in the last days: two, last two thousand
years.
112 Notice. And it started out
as the original. As Jesus said, "The Word of God is a Seed that a sower
sowed." And He was the Sower. The Seed was the Word. And notice. Any
seed that abides alone never does nothing. It's got to fall into the
ground to bring forth its production again. And this Seed, that perfect
Church, fell to the ground at Nicaea, Rome, when she become a
denomination.
Now historians, remember, and you who's going to hear this tape, check
it up and find out if that's not right. The church died at Nicaea,
Rome, when she took dogmas and creeds in the stead of the original
Word. What was it? God had showed by that first Church that He was God.
He had a Church perfected; but the Church, like all other seeds, must
fall into the ground and die. Now, it fell into the ground, and died,
and wasted away.
114 You know, I read a book here not long ago. Someone wrote a--a book that said: "The Silent God." You might've read it; I forget, I--I think Brumback... No, I don't--I'm not sure who it was wrote it. But... I can't remember... I got it in my study: "The Silent God." Said, "God, two thousand years of Dark Ages set still, and never moved a hand, and watched faithful martyrs go to the lions' pit and be burnt by the Romans; assassination of all kinds; women stripped of their clothes, set fire to their long hair with tar and burn them." Remember, short hair first begin in Rome. And the women of Christians had long hair. So they--they dipped it in tar, and set them afire, and burned them, and them naked, and fed them to the lions. And this writer goes to say, "Where is that God?" Oh, the blindness of men sometimes. Do you not know that that Seed had to die? He never tried to deliver a one--them. They went down in victory. They went down bleeding and dying, giving their lives. Why? It was a Seed; it had to fall into the ground. I John 12 tells us the corn of wheat has got to fall into the ground and there die, and not only die, but rot. But little did that denomination know that that Life was still in there.
115 Though the church in itself
at that Nicaea Council of fifteen days of bloody politician debate,
when them aristocrats come in and wanted to inject these big
dignitaries into the church... And prophets come out of that wilderness
there, eating herbs and wrapped in animal skins, genuine prophets, and
they throwed them out. Why? The Seed's got to fall into the ground.
It's got to die.
It died in the Dark Ages down beneath the dark dirt. They thought it
was gone. You know, St. John 12:24, Jesus said, "Except a corn of wheat
falls into the ground, it abides alone." And the first Church was that
reproduction, that Bride, that Seed, that Word made manifest that fell
into the ground at Nicaea, Rome.
117 Listen, church, throughout
the nations that'll hear this; there is your dirt; it's them
denominations. There's where the Word was crucified and they accepted
dogma. And for hundreds and hundreds of years of Dark Ages the power
and manifestation of the Word was hid from the world. Only Catholicism
ruled. We all know that, as reading history. Only Catholicism ruled.
But you--you can't hide a germitized seed. It's got to come forth.
Because why? The Great Sculptor is on the job. Going to build again, so
He--the Seed went down, the Word.
119 When we see St. Paul,
Peter, James, John, all those who wrote the Word, and the road
they--word they wrote become alive and lived. And It lived. And when we
find after it begin to get ripe, John begin to write in epistles. He
was throwed on the Isle of Patmos after being burnt in oil for
twenty-four hours. But the Word must come forth. It's got to be wrote.
They couldn't boil the Holy Ghost out of him with oil, so he come
forth. His work wasn't finished. He died a natural death.
Polycarp, which was a disciple of John, carried the Word on. And from
Polycarp came Irenaeus. And Irenaeus, the great man of God who believed
the very same Gospel that we believe, "The Word is right," the church
trying to squeeze It out.
121 Finally it come to Nicaea, Rome, and there she fell into the ground (after St. Martin), and was murdered. St. Martin believed the same thing we believe. He stood the same thing: the baptism of the Holy Ghost, the baptism in water in Jesus' Name. He stood in the very same thing that we do, as he was a prophet, believed the full Word of God. And finally they were crucified, and mashed into the ground, and laid there for hundreds of years until it rotted, that outside seed. The old bodies just rotted away. (I've been in San Angelo in the catacombs and see where they died and their broken bones and everything.) They finally rotted till their bones were gone, but the Life was still there.
122 The corn of wheat that fell
into the ground on the--at the Nicaea Council begin to sprout again in
Martin Luther, like any corn coming up or wheat. After the seeds rot,
the life springs forth. And it begin to bring forth in Martin Luther.
What did he do the first thing? Reject the denomination of Catholicism,
protested that it was wrong; for he said, "The just shall live by
faith." What was it? A little weak Life that put up a couple little
shoots. That was the Lutherans. It sure don't look like the grain that
went in the ground, but the Life is coming out now.
Then it went on to a stalk. Then what happened? In the days of John
Wesley, what did he do when he brought out sanctification? He stayed
with the Word, and what did it do? The Lutherans had organized and made
an organization; so it was time for something to happen. The
masterpiece is being built now. What did he do? What did he do? He
protested that Anglican church and came out in the reformation as a
tassel. What is it? The seed's coming to Life, growing now.
124 Now, the stalk doesn't look
like the seed, neither does the tassel.
Now, Pentecostal brethren throughout the nations, I want you to listen,
my brother, if this is the last message I'll ever preach. This is my
masterpiece. Do you notice when the wheat's, the corn of wheat that
falls into the ground, when it begins to form back to its--its grain
again...?
Watch nature. Nature exactly is God; God working in nature is all it
can. But from the Pentecostal revival, as they think, was the seed...
It wasn't. Now, watch. But something come forth just like the seed.
Now, watch what Jesus said in St. Matthew 24:24, that the two spirits
at the last days would be so close together it would deceive the
elected if possible.
127 Now, that stalk don't look
nothing like a seed; neither does the tassel look like a seed. But
notice now, not in Luther's day, but in the last day...
The first thing (There's wheat farmers setting here.)--the first thing
that comes forth on a wheat seed, you'd almost think it was a seed, but
what is it? It's the husk. It forms a little outside thing like to hold
the seed. It forms a husk. But the husk is not the seed no more than
the tassel or the stalk was; it's only a carrier of the life, the corn
of wheat then of St. John 12 (You see?), Jesus speaking.
129 The wheat, after the
tassel, after Wesley, puts forth the husk, which is the foremost like
the grain of anything else. The husk is more like the grain--is coming
more like the grain all the time, the one that went in the ground. And
when it comes forth the stalk, it's got life in it, but it sure isn't
the grain. Comes forth the tassel, the pollen, it still isn't the
grain. And then it comes forth the husk. And it's just in the shape of
the wheat, just exactly like the grain of wheat; but yet it isn't the
wheat: Just exactly the same shape, perfectly.
The Pentecostals come out just like the wheat would. Each one comes out
from the other, coming out from the other; but they're only a carrier.
They go to denomination. And that's what Pentecost did: went to
denomination. And what did Pentecostal do when it come out just like
the grain? It went right back, like in Revelations 17, to one of the
sister denominations. That's exactly what--that's what Jesus said.
131 Now, watch. The Gospel's
going to come out through Luther, through Wesley into Pentecost. And at
the last days it'll deceive the very elected if it's possible: the
elected. Oh, Pentecostal brethren, can't you see?
The wheat in its first beginning is just like the seed when it begins
to form like the seed; but it's the husk. It denominated, exactly done
the same thing they did down here in Luther. In Revelations 17 it
proves the same thing of the churches.
Now, the grain seed in the original fell at Nicaea, for it was the
first denomination. Notice. Here the life that was in the stalk,
tassel, all now ends up in the seed. The life that come out of the
original seed, come up through different processes, three different
processes, and then turns back till its original condition. Hallelujah.
Oh, my. I'm the happiest person in the world that God would let me see
this.
135 Watch how perfect the Word and these--nature works together. Just like we prove the resurrection: Rise; the sun setting and the sun rising again; the leaf going out of the tree down in--the sap into the root, and comes back up and--and the leaf comes back up with it again and falls on the ground. The life of the tree sucks it right back, the calcium and potash, and brings it right up to another leaf again. See? All nature, everything works right with--with the Word of God. And here it is exactly perfectly in these church ages. That's the reason the Holy Ghost came down and drawed those things and made them out for us the way He has. That's exactly.
136 Notice here. The life that
was in the husk, in the stalk, and in the tassel, in the husk, all
gathers in the seed. And the life that was in the stalk, went--one went
to make the other. Justification made a way for sanctification.
Sanctification made a way for the baptism of the Holy Ghost. The
baptism of the Holy Ghost made a way for the Holy Ghost Itself to come
right down in perfection, back to the Word again to manifest Itself.
But what denominated, dies. Like Life in Luther went to make Wesley.
And--and from the Wesley It went to Pentecost, and from Pentecost to
make the original seed. On to... Pentecost comes out of the Wesley
until that time. The reason that Pentecost come out of Wesley, because
it was no denomination--Pentecost was. Then Pentecost went to
denominate. And what did it do? It turned to the husk. It looked like
the real thing. And anybody...
138 How many ever seen a
seed--a seed of wheat start to grow? What's the first little thing?
It's just exactly like the seed, but it's the husk. See the three
stages? Stalk, tassel or the pollen, then the husk. And then, out of
the husk comes the original seed. Not a seed, it was the Life of the
seed growing through this to come to the seed. Amen, amen. Do you see
it? What is it? A resurrection, coming back to a Masterpiece again,
like the one that went in.
Pentecost came out of the Wesley, because Wesley was an organization.
Pentecost come out as no organization and then turned to one. It had to
to make the husk. The true Word of Life on it was on its way then to
the original grain through these stages: through the stalk, then into
the pollen; from the pollen into the husk; and from the husk it made
seed. No... Stalk, tassel, husk.
140 Living, they produced in
their early revival a holder of a certain portion of the seed Life; but
when they organized, the Life moved out of it. That's proved by all
history. Never an organization ever done a thing after it organized. It
was dead. That's right. Watch, the life's traveling on now. It's moving
on.
Notice. What they have done, all these have done, is proved by history
just exactly the way the church has come, never to be useful to Him
again. Organization is laid on the shelf. There never has been in all
the history of church after it organized, but what it died. And the
organization died and never did raise again. Can't you see it? Men who
are blind, open your eyes. Nature and the Word coordinating together
and proving it right here that this is the Truth, that it is the Truth:
That Life leaves the stalk to make the tassel; from the tassel it makes
the husk; and from the husk it goes into the original again. Notice,
never again to be useful to Him.
143 How noticeable this life is in its travel in the corn of wheat than it is in the tree. God called His people like a tree. See? The life goes down in a tree and comes back up again, goes down and comes back up. See? It goes down and comes back up. But in the corn of wheat it goes up from the original stalk through the stalk, tassel, and husk; and the thing that it passed through dies so it can't get back through it again. What is it? It's no use any more. It goes on to its perfection. Amen. Don't you see why He never used an organization? He can't get back in it again. It's dead. But the Life passes on from one to the other. See? They put creeds and inject... "Whosoever shall add one word or take one word out..." See? He's blocked off from it. It must be the Life seed traveling on.
144 I'm using this in a parable now of the Bride, the Masterpiece that's coming forth. There's a Masterpiece fell; there's a Masterpiece rising. The Masterpiece fell at--at Nicaea, Rome. After Nicaea, Rome, She's come through a process; but She's coming right back again to that Masterpiece, perfected, 'cause She's a part of that Word that was spoken by Him. He'll have a Church without spot or wrinkle. It'll not be connected any way with any kind of an organization or a denomination (the cursed thing). It's passed through those such things, but it'll never be there.
145 Notice. The seed is coming
up. That Life is coming up, not going back. There'll be no more
resurrection after this. The Life is coming up to go to its perfection,
a resurrection.
Notice, the husk put forth... The--the... Notice, the husk puts the
original seed out of itself. In Revelations the 3rd chapter we find
this.
Now remember, no other church was He put out of in the Bible, of the
Seven Church Ages. How many remembers it? He passed through the church
age to go on to make something else. But this is it. There's nothing
else. But the--the Sculptor has got back to perfection again, the Word.
See? Don't go back. How different it is. Yes.
147 Oh, and notice. Then the
husk when it comes forth looks just like the grain. But when the grain
Life begins to leave the husk to go in to make the Grain (the Bride),
the husk opens up and excommunicates the Grain. Is that right in
nature? That's exactly what she did.
In--in Revelations 3 we find out the Laodicea church age put Him out.
Now, see, it didn't back in the other ages, because there was something
else yet to be made. It just passed through and went on to another. I
told you all along, there's no more denominations coming. We're at the
end. And they put Him out, because why? He--He--He's the Word again.
He's like the one that fell down there. He's the same doctrine that
come forth from the beginning.
And when the seed Word begins to grow forth, the husk puts It from
itself. The Life leaves all the others to follow it; that's the true
believers; they follow the Life, wherever the Life goes.
150 Like in Israel, a perfect
type. (If we had time... I just got a few minutes left.) But in the
perfect type in the beginning, everywhere that Pillar of Fire went was
Life; God was that Light. And I don't care if it was midnight or
whether they was in a good selected place, when that Pillar of Fire
moved, the trumpet sounded and Israel moved with It. Hallelujah. When
the trumpet sounded, Martin Luther moved out with it. And he
organized... Killed... Not he hisself, the men after him. And then God
took the Life out of that, brought It on, laid It down in the grave.
Then out come Wesley. He saw that big organization, so he sounded a
trumpet of sanctification, more of the Word. See? And when he did, out
they moved, right out of--of--right out of Luther right into Methodist.
And when Pentecost saw it, they sounded a--a trumpet. It's time for the
return of the gifts. See what they did? They sounded a trumpet, and out
they come; then they organized. But remember, after the husk (that's
three stages we know of) there's nothing else left but the Grain. Oh,
God. And then the Grain is put out of all of it. Amen and amen. Seed,
Word begins to form itself, and Life is brought forth out of...
153 Now notice. If the
Bridegroom, the beginning, the first Bridegroom... This is the Bride
coming forth. Remember, the Church begin at Pentecost, and It fell at
Nicaea. It sprouted, not like the real grain, no; it was some of the
Life in there, but it sprouted in order to make an organization. And it
pulled through that organization. And then what did it do? Then it
went, from that organization it went into another organization, went
into another stage of the Word: justification, sanctification, baptism
of the Holy Ghost. See? And as it went through this stalk and process,
it kept coming on more.
Remember, the little pollen is more--the tassel is more like the seed
than the stalk is. And the husk is more like the seed than the tassel
was. But the seed itself is beyond that. See? It just used that for
transportation to take itself through.
155 Notice. The Bride... If the
Bride in the beginning was the Word--or the Bridegroom; and then, if
the Bride is taken from the Bridegroom, It must be the Word also.
Notice. The Bride must be... Why? Why must the Bridegroom be the Word
manifested, made plain? Is because the Bride and the Bridegroom are
One; She's just a smitten piece off of Him. There's the Masterpiece. It
was smitten. See it?
Michelangelo could not reproduce that again; he could not put it back.
But God's going to do it. He's going to bring this little Bride that's
smitten right back to the side of the original Word. And there It is;
there's the Masterpiece, the family back again in garden of Eden.
158 How is this Bride going to do this? How is this Wheat going to do this? Malachi 4 said in the last days it would be restored back. What? Restored back like the beginning, take it back. "I will restore, saith the Lord, all the years the palmerworm, and cankerworm, and all these other things has eaten. I will restore again." Malachi 4 said He will restore the hearts of the people, and the faith of the people back to the original fathers again. See? We see this right before us, Church. Where are we at?
159 Now, closing in a few
minutes. I want you to notice real close of something that just
happened.
Malachi 4 is to bring back, back to the original. She is smitten from
the church, from the church body, smitten with her Master for the same
purpose (She's the Word.), the same as Joseph was smitten from his
brethren, because he was the Word. And Jesus was smitten from His
brethren, because He was the Word. The church is smitten--the Bride is
smitten from the church, because She is the Word. There's your stages
again: one, two, three. See? Just exactly.
161 The Word, living and in
action, the Bible Bride, not some manmade Bride, the Bible Bride,
smitten and afflicted of God, no beauty we should desire Her, but yet
we did esteem Her, smitten and afflicted of God. That's right. She
stands alone. She's smitten from all of the denominations according to
Revelations 3. She's smitten out of the Laodicean church age that She
was raised up in. See?
This church was raised up in the Laodicea church age. That's the husk.
But if them others went... Can't you Pentecostal men see that? If that
other was husk and died, if that other stalk had to die, if the tassel
had to die, so must the husk die; the three stages of organization.
And you remember... You said, "Well now, there's a lot of tassels
hanging on; there's a lot of this." Yeah. There been Methodist,
Baptist, Presbyterian, Lutheran, Church of Christ, all these other
little things that fell on to it, leaves and everything else was hung
on to it; but the original was the reformations. Now. See?
164 Stand alone, like the
Bridegroom, rejected of men, despised and rejected of the churches. The
Bride stands that way. What is it? It's His Masterpiece. See? It's the
Word that He can work through, make manifest--rejected.
So the stalk, the tassel, and husk never become Seed (No.), but are all
the time becoming more like the Seed. Now, at the harvest time the Seed
is back to its original Life, back to the Bible. Malachi 4 said it
would be brought that way. Oh, oh, my. Must have all... To be this way
it must have all of the Word. Is that right?
167 Now, what did He say in Revelations 10, that would take place? Why was the trip to Tucson? To open to the Church... In the days of the messenger of the seventh angel (the seventh angel Message) the whole Word of God would be made manifest. The seal that what all the stalk has left off, and why, and all about it, would be made manifest in this time. Is that what the Word said? Then we see it. Then where are we at? See? Where are we at? There's only one thing. The harvest is here. She's dead ripe. She's ready now for the coming.
168 Notice. No, it'll never be
it. The... At the harvest time the Seed is back to its original
condition, and must have all of the Word in order to be the Seed. Now,
you can't have a half of seed; it won't grow. See? It's got to be the
whole Seed. It's got to not manifest, say, "I believe in baptism of the
Holy Ghost. Hallelujah. I believe speaking in tongues." That's just
part of the Seed. Uh-huh. But now, there's added to that (Hallelujah.
See?) the Life, not the gifts, the Life of the gifts. See? See what I
mean? We're at the end time, brethren.
Stalk, tassel, husk is dead and dried now. There's only one thing that
has to happen to that, it's to be gathered in the World Council of
Churches for its burning.
170 The Word has become flesh,
exactly like He promised in Luke 17, and Malachi 4, and all. See?
That's right. Revelation...
All true Life that was in the stalk, tassel, and husk is now gathering
in the Seed, ready for the resurrection, ready for the harvest. The
Alpha has become Omega. The first become last; and the last is the
first. The Seed that went in has come through a process and become the
Seed again. The seed that fell in the garden of Eden and died there,
come back from that imperfect seed that died there, come back to the
perfect Seed--the Second Adam.
172 The first Eve that fell,
and was used in the second reformation--second coming, as bringing
forth a child, now has become true Bride again, the Seed, right back
with the original Word again. The Alpha and Omega is the same. He said,
"I am Alpha and Omega." He never say anything in between, "I'm Alpha
and Omega, the First and the Last." That's it.
The first ministry and the last ministry is the same. The first Message
and the second--last Message is the same thing. "I'm--I was in Alpha;
I'm in Omega." "There'll be a day that won't be called day nor night,
but in the evening time it shall be Light." See? Alpha and Omega; it's
become the first and the last. Oh, my, brethren, we could stay a--hours
on that.
174 The great masterpiece of a
family, the Second Adam and the Second Eve now ready for the garden,
the millennium (Amen.) back on the earth. Hallelujah. The Great
Sculptor didn't leave them lay there. He took time as He did through
the millions of years molding the first perfect couple. And they fell.
Now it's been through thousands of years; He's molded again; and now,
here they are ready.
The Masterpiece was come and struck down. From His side come forth the
helpmate. And she's brought up in the same process. Now, here she is
back again with all nature, the Bible, and everything else showing here
we are.
Nations
are breaking; Israel's awak'ning,
The
signs that the Bible foretold;
Gentile
days numbered, (Look
at this bunch of trash we got.)
With
horrors encumbered,
Return,
O dispersed, to your own. (That's
right. You better get in there quick if you're going.)
I'm fixing to close just in about five minutes or ten.
176 Notice the great masterpiece of the family. The husband and wife cannot be truly a family unless they're one. They have to be. If they're not, they're not a good family. Wife pulling one way and the husband another, that'll make an awful family. But in agreement with love one to the other, that's a family. And now, that was God's masterpiece; and all the true family here portrays that. See? And now, the masterpiece family has come again: Christ and His Bride ready to come. The Second Adam, Second Eve, ready now to return back to their home. The whole picture's been redemption, from where it was, bringing it back (See?), just exactly, bringing it back again.
177 After... The other day standing up here at the Christian Business Men... Many of you, I guess, was there. When I heard that Lutheran priest (or preacher, was supposed to be) stand up there and say that ridiculous thing, and make fun of what we believe in... And them Full Gospel Business Men having that man there, and saying that... He wore his collar turned around. Lots of them do now. He said, "Now, the people ask me why I turn my collar around." Said, "How can they tell you from a Catholic priest." He said, "There is no difference, and there shouldn't be." He said, "We're all God's children." He said, "I know a Catholic priest that's omnipresent (See?), that could be present everywhere."
178 Now, you cannot be omnipresent without being omniscient. God's not even omnipresent; God's omniscient. Omniscient which means--makes Him omnipresent (He knows all things). But in order to be a being He has to be in one being. But being omniscient He can be omnipresent, 'cause He knows all things, and knowed it before the... He knowed before the world begin how many fleas, lice, how many bugs, and how many times they'd bat their eyes, and everything about it (See?), 'cause He's omnipresent. And you can't be omniscient--omniscient without being infinite. See? There's only one thing infinite: God. Amen.
179 And then we... What is it?
It's the devil, taking them right straight to that slaughter, every one
of them going in... Exactly what the Bible said. And here it is. See,
come right in amongst the Pentecostals and just pulled them right
straight, just as... What a time.
Oh, after that testimony, someone said to me... I--I... It's a good
thing I didn't say very much, 'cause they'd probably have me in jail up
there; but I just thought, "There it is." The--the people who's taught,
knows. "The wise shall know their God in that day," it said in Daniel.
Yes, sir. See? The wise will know their God; they're watching for these
things.
But when I seen that happen, and them Pentecostals stand there with
him... Even Oral Roberts looked at me like that. I said, "Ooh, my." Umm.
But standing up there with a education, and polished, you know, and so
forth. That's not the way God polishes His. He don't polish His with
education; He polishes in humility and in power of His manifested Word,
showing the shape of the Grain that it went from.
183 Now, someone said to me,
said, "Brother Branham," said, "there's one thing I can't understand
about you."
I said, "What's that?"
Standing out there in a hall... I guess Sister Dauch and them, after I
shook hands with Bill, and standing there and all, and went around the
corner; there's a whole bunch of people. A minister pressed his way in,
collar turned around, he said, "Why is it that you're always bawling
the people out?" He said, "Them people believe you to be a servant of
God, to be gentle and sweet to them and everything." Said, "Every time
I hear you get up, you're bawling women out about having short hair,
and about wearing shorts, and wearing makeup, and all this other stuff,
and bawling the people out and telling them how cold, formal, and
indifferent they are." Said, "Why do you do that?" Said, "Them people
love you. How can you be a loving son of God and do a thing like that?"
I thought, "Lord, let me answer this smart man. (See?) You just let me
answer him somewhere that'll hang him on his own rope." I--I said,
"Well..." I said, "Sir, did you ever read of the great producer of
music called--the great composer called Beethoven."
He said, "Oh, sure, I read of Beethoven."
I said, "He probably tore up wastebasketfuls of scrap paper, but he
give the world masterpieces." He never opened his mouth and said
another word. I said, "When he was setting in his study under the
inspiration, he'd write something down. He'd go into his study and
pray. It wasn't right, he'd scrap it up and throw it in the
wastebasket. But when He got through in all inspiration, the world had
a masterpiece." Oh, how the Word cuts, but It produces masterpieces,
takes all the husk and stalk away, It brings forth Masterpiece.
186 I got seven minutes to tell you something that happened day before yesterday to get out on time. July the third, I was over here setting in the--the center over here (shopping center, right out from us here). I been in Pigalle in Rome--in France, and I've been in New York City, Los Angeles; but the filthiest bunch of women I ever seen in my life is Jeffersonville, Indiana. I never seen so much gaum and filth in my life as I see amongst them people. I set there till my heart ached, and the Lord had gave me a vision. Now, I'm going to tell the vision. I don't know that I can interpret it, but I--I'm going to tell the vision for my first time.
187 I fell into a trance. And
when I did, there was somebody with me. I didn't see the person. It was
just a voice. And I--I looked. And as I--I looked this way, he said,
"The Bride will come in view for preview." And I looked coming to me,
and I seen the most--the most prettiest bunch of clean-dressed women I
ever seen in my life. But each one of them, looked like, was dressed
different. They all had long hair, and they were... longer sleeves and
skirts and so forth, young women... They looked kind of, I'd say about,
maybe, twenty.
Now, I have the Bible open here before me. See? I can only say what I
seen. If you say, "What are you looking at?" I'm looking at a clock.
"What are you looking for?" I'm looking for people--looking at people.
"What are you looking at?" I'm looking at the Bible. That's what... I'm
telling the truth; that's what I see. And I can only say what I seen. I
don't--I don't know what it--all about it, I just have to tell you.
189 But when this Bride... She
was looking right at... (The one was talking to me, and I--standing
together.) Her eyes... She was the cleanest, sweetest looking people I
ever seen in my life. Look like it could been a dozen or more, just...
I don't know how many was abreast, but there was just a group of them.
And She passed by, sweetly with a air, and her eyes up, watching as She
passed by. Oh, She was beautiful. I looked at her.
And as She passed by, he said, "Now, we shall review..." Said, "That's
the Bride. Now, we will review the churches." And they come. I noticed
them coming up. And when they come up, each one, look like, got worse.
I never seen such a filthy bunch in my life. And when he said,
"Next..." I heard a noise. And it said, "Next," said, "here comes the
American group."
190 Now, I am an American, but
this just made me sick. I am not eloquent enough to, in a mixed
audience, to say what was taking place; I--I--I... You'll have to read
between the lines. But when the women were coming, the leader of them
was a witch. She had a great long nose and a great big mouth. And all
of them was dressed with some kind of lower clothes down here, but the
top just had a strap that just--a little, about half inch strap that
moved up and went around them like this. And each woman had something
on the order... Many of you, years ago used to... Remember, when we
used to cut that paper, you know, newspaper, and make an old fly-bush?
How many remembers it? You know. Why, I think you used it in carnivals,
you know. Hanging down like that, fringed paper, lace paper. They had
something holding below them, like this, holding below them. All of
this part was exposed. And each one had hair cut up real short, and
frizzy-looking things all over it like that, real short cut hair, and
full of makeup: absolutely nothing but looked like street prostitutes.
And they were walking with this paper. And the vulgarity... Now, the
paper was what was hold in front of them; but when they passed the
review stand, in the back of them... And to see the way they were going
on in their foremost and their back part, and how they were acting... I
thought, "Is that the church?"
192 And there she went. And they were singing this here twist-and-roll songs, you know, ever what you call, going down, singing like, going behind... I said, "Is that the church?" And I was standing there. And in my heart I was crying. And this witch... To my notion it's nothing else in the world, but she's the--she's that World Council of Churches leading them right straight down the road where she was going. They went off to the left and disappeared in chaos, still beating this music and making real funny sounds, and shaking their bodies one side and then the other side, and then like that, carrying on like that, walking.
193 And I just started to bow my head, and he said, "Wait, the Bride must come again." And I looked, and here they come again. And they passed by, sweet-looking little ladies. They was all looking right at me as they passed by. And I noticed each one was dressed different. And one in the back had kinda long hair hanging down and had it rolled around like this, might been German or something like that. And I watched them. And then, as they started leaving, two or three of them in the back...?... get out of step. And I was going to holler at them, and they was trying to get back in step again. And I seen them just--the vision just fade out and change from me.
194 Now, here is the interpretation thereof: The reason... Now, remember. I had just got through writing... I hadn't finished; I hadn't wrote these notes yet. But in preaching this morning, I caught what it was right in my sermon. Did you notice, the church only came in view... Now, that's the truth, friends. The heavenly Father, Who writes the Word, knows that I tell the truth. See? I know--I just say the truth. And not knowing it till just a few minutes ago, looked like or just recently... See? Did you notice the Bride come in view twice? The first Seed and the second Seed, both of them exactly the same one. And the reason they were dressed--dressed in different parts, she'll come from all nations; it'll make up the Bride. Each one had long hair and no makeup, and real pretty girls. And they were watching me. That represented the Bride coming out of all nations. See? She... Each one represented a nation, as they marched perfectly in line with the Word. See?
195 And then, I have to watch
Her. She'll get out of step with that Word if I don't watch, when she's
passing by, if she gets by. Maybe it'll be my time when I'm over
(See?), when I'm finished, or whatever it is.
Watch. They was getting back, trying their best. They was getting back;
they was getting in line, 'cause they was--they was looking out
somewhere else, watching about that church that just went out of--into
chaos. But two... The front ones never. The back ones--just two or
three of them, was kinda stepped out a little bit to the right-hand
side, and looked like was trying to get back in line as they went by.
They was just passing me, oh, far as here to the wall, passing me. I
was standing there. And then I just seen them all just move out and
leave.
But you notice, the church only came into view once, each nation, the
church. But the Bride come in twice. See? See what it was? Now, not
knowing it, but look at it with my message this morning, not knowing
that. See?
197 The Seed fell in the ground at Nicaea. That was the original seed. And She's come through the process of these denominations which only comes in existence once. But the Bride returns back again in the last days: "I will restore." See? The Masterpiece is brought up. That's the reason She was in view--reviewed the second time. She was reviewed the first time; then she was reviewed the second time. And She's perfectly the second time like She was the first time. Oh, God, have mercy. Hurry, hurry, hurry. Life, get in the Grain right quick.
198 All others never appeared
no more. They went out never to come back again. But the Bride came
back, 'cause She was Alpha and Omega. God, the Great Sculptor, has made
Him a Masterpiece, for It is a piece of His first Masterpiece. Like He
made in the garden of Eden and took a piece from and made another
piece, and that was marred and fell; now He's been all this time
building it up again. And He brought forth this Masterpiece, and was
smitten in order--that part that was smitten was in order to bring back
again that Masterpiece again.
So the Masterpiece and the Son of God--the Masterpiece and the Bride...
And It's a piece of Him, which must be the fulfilling of the Word. The
Word has been fulfilled, and we're ready for the coming of the Lord.
200 Oh, Church of the living
God, bow your hearts and your--yourselves before God. These things are
true. I know that it--it sounds like that as such a great a thing as
that would be, would be so spread out over the nations; it never was.
He doesn't change His way.
Just be thankful, Church, be thankful that you are where you are today
if you're in Christ. Because, you see... Now... And when that...
Remember, all that Life will be gathered right into the Grain for the
resurrection, but the stalk must be burned, the rest of it. The husk
and all must be destroyed, and it will be. Don't trust in your--them
denominations. You stay in the Word, the Life, God and His Masterpiece.
Then what is it in the millennium? Christ and His Bride, back in the
garden of the millennium. Amen.
203 I love
Him, I love Him,
Because
He first loved me,
And
purchased my salvation
On
Calvary's tree.
There's where He was smitten. We esteemed Him stricken, smitten of God
and afflicted. But He was wounded for our transgressions, He was
bruised for our iniquity.
Is there any here this morning who isn't in that grain this morning?
And as the Life is now pulling its last piece from the husk, for the
husk is drying... How many knows that Pentecostal church is drying?
What is it? Life is leaving it. Frankly, it's left. And if that Bride
is already in preview, I wonder if the Bride isn't already made up then.
I love
Him, I love Him,
Because
He first loved me,
And
purchased my salvation
On
Calvary's tree.
205 With our heads bowed now,
is there some here that would like to be remembered? If you feel that
you're not... Friends, it's too plain. I've never had a vision in my
life, 'less something happened, followed. I tell the truth. All of
these other times if I've told the truth, God has proved it, then I
tell the truth this time.
I don't know what day we're living in, but I know there's nothing left.
There couldn't be a politician rise that could straighten this thing
out: politics, the nation's gone. Oh, God. Can you--can you get down
deep enough to--to--to feel that? The nation's gone--not nation, but
nations. This is the best of the bunch, and it's gone. Then if the
nations are gone, the world's gone. And the churches? To my opinion,
Pentecost was the best they've had; but it's gone. Oh, God, be merciful
to us.
207 If you don't know Him,
please hurry, hurry. If you feel Life, get out of the--get out of your
sin, get out of the thing that you're in, get to the Grain right quick.
You'll die in the stalk or in the husk. Pray, while we sing now.
I love
Him,...
It's up to you now. We have no denomination, no nothing; we only have
Christ. You're welcome to worship with Him--with us till He comes. We
can't put your name on book; we have no books. We want your name in the
Book of Life. You can only do that through birth. Won't you do it right
now? Ask Christ for new life, bring you in, put your name on His Book
if it's not. Then you can fellowship with us. We'd love to have you.
I love
Him...
208 Dear God, help each person
now to take inventory, see if we're in Him. You loved us. You were
smitten for us. And we did esteem You smitten and afflicted of God. I
pray, God, that You'll call each one. Lord, speak to my children, my
loved ones, and my friends. Grant it, Lord, just now, through Jesus
Christ's Name.
Don't let anybody wait too long, Lord. Looks awful close. The harvest
is truly ripe. The great combine of God will sweep through the land one
of these days; straws will fly every way; but the Wheat shall be
gathered to the garner, taken up, for in It is Life. Grant, Lord, each
request to be answered, each prayer to be made manifest before You.
I pray for them, Lord. I pray that You won't let any that's here be
lost, Lord. They--they--they set under difficult... They--they--they
drive for hundreds of miles. And whatever that we have need of, give it
to us, Lord, whatever's good for us, Lord, not what's good in our
sight, but what's good in Your sight. We want to stand as a chaste
virgin that's been chastened, rebuked of God, that we might be purged
from our sins.
211 And I offer my prayer for them, Lord. I--I--I don't know how to pray. We're--we're talking to the Mighty God, and what human being is there, what mortal could make the right type of prayer before the living God? But, Lord, my mispronounced words and my--and my nouns and pronouns in--in the wrong place, if You could pick out the a-b-c's for a little boy one day and make a sentence, You--you can omit my nouns and pronouns and just look to what I believe, Lord. I believe You. I believe this Word. And I'm believing for each one here. And I--I'm bringing them to that altar, Lord, by faith, where between us and Great Jehovah is the Blood of His Son, Jesus. And the Blood shall speak for us. When You smote Him on Calvary, You said, "Speak. Hear Him." And the Blood, the Bible said, speaks greater things than the blood of the lamb in the Old Testament; for the Blood of Christ speaks greater than the blood of Abel, greater things. And speak, Lord, redemption for us as we call through the Blood.
212 Great Father of Life,
include us, Lord. If we--if we've sinned, take it away from us. We--we
don't want to be that way, Lord. It's not our intention. And we realize
we're living in such a horrible dark way. As we said at the beginning,
we're walking up a mountain, through rugged places; dim is the trail;
but we're packing the Light. May we see It step by step as we go now,
until we meet, like "Pilgrim's Progress," till we finally catch the top
of the hill. Guide us, O Shepherd. Great Jehovah, lead us by Thy Spirit.
And we know that we're far from a masterpiece, but we're looking where
we were hewed from, the real Masterpiece, and in Him we trust. Just
take us to Him, Lord. Grant it, Lord.
214 Heal all the sick people
here, Lord. We did esteem Him, smitten and afflicted. But He was
wounded for our transgressions. God's Masterpiece was smitten. And He
was wounded for our transgressions; with His stripes we were healed.
Heal the sick, Lord, in Your Divine Presence now, while we know that
You're here.
Cleanse our souls, our hearts from all evil, all bad thoughts, all evil
communications; all things that's wrong, cleanse us. And we pray,
Father, that You'll heal our sickness, and let us leave here feeling
that we are Your sanctified children. And with the Blood over us, we
speak through the Blood, the Word. Grant it, Lord. We ask in Jesus
Christ's Name. Amen.
216 Father God, upon these
handkerchiefs, anoint them with Thy Presence, Lord. May Thy Presence be
with them wherever they go. Whatever they're laid upon, on any sick
body, may they be healed. And whatever, if there's a broken home
somewhere, mend it, Lord, the Great Sculptor. Grant it, Lord.
Mold us and make us sons and daughters of God. We believe the Bride is
getting its last polishing down. It'll be smitten from the complete
organization altogether, and then the great harvest will be here. Until
then, Lord, make them healthy and happy to serve you. In Jesus' Name.
Amen.
I love
Him, I... (Do
you really love Him?)
Because
He first loved me,
And
purchased my salvation
On
Calvary's tree.
218 Now do you understand why I
scold you? It ain't because I love you or because I don't love you; I
do love you. I want a Masterpiece for the Master. I might have to tear
a few out and like this, but I'll have a Masterpiece some of these days
if I keep it right on this Word. That's right.
Now, Jesus said, "This will all men know that you're My disciples, when
you have love one for the other." We should be so in love with one
another.
Blest
be the tie that binds
Our
hearts in Christian love;
The
fellowship of kindred mind
Is
like to that above.
Let's take one another's hands.
When
we asunder part,
It
gives us inward pain;
But we
shall still be joined in heart,
And
hope to meet again.
Take
the Name of Jesus with you,
Child
of sorrow and of woe;
It
will joy and comfort give you,
Take
it everywhere you go.
Precious
Name, O how sweet!
Hope
of earth and joy of heaven;
Precious
Name, O how sweet!
Hope
of earth and joy of heaven.
Now, remember in your journey:
Take
the Name of Jesus with you,
As a
shield from every care;
When
temptations 'round you (What
do you do then?) gather,
Just
breathe that holy Name in prayer.
O
Precious Name, O how sweet!
Hope
of earth and joy of Heaven;
Precious
Name, O how sweet!
Hope
of earth and joy of Heaven.
Till
we meet, (Let's
bow our heads.)... (Oh,
I love to sing.)
Till
we meet at Jesus' feet;
Till
we meet, till we meet,
God be
with you till we meet again.