Dernière visite à l'Afrique du sud
1 C'est un des moments les plus intenses de ma vie.
J'ai attendu quinze années pour ce temps-ci. Mon coeur a langui de vous
voir de nouveau, depuis que je vous avais quittés. J'ai beaucoup prié
pour obtenir de pouvoir revenir. Et il y a quelques semaines, j'étais
dans une grande attente, croyant que j'obtiendrais de pouvoir venir et
d'avoir une réunion. Mais quand j'ai eu le visa, [avec la mention]
'limité', j'ai presque eu une crise cardiaque. Ah! Je voulais tellement
venir. Mais je crois qu'au travers de Dieu je prêcherai de nouveau dans
le Nom du Seigneur Jésus parmi les Africains [Frère Branham ravale un
sanglot – N.D.É.] Dieu a promis de nous donner le désir de nos coeurs.
Et c'est l'un des désirs de mon coeur.
Je peux me rappeler les grandes réunions ici dans
Johannesburg. Je me rappelle le garçon avec la jambe courte redevenant
longue à nouveau encore, normale.
Et la dame que--la petite fille avait été guérie
d'un mauvais état et la mère s'était évanouie et était tombée en
arrière dans le--le landau. (Votre femme? Oh! la la!)
2 Il y a donc beaucoup de grandes choses. Aucun
doute, il y a beaucoup de ces gens qui ont assisté à ces réunions qui
sont avec le Seigneur maintenant. J'ai vieilli moi aussi depuis. Ce ne
sera pas très long jusqu'à mon temps de monter. Alors nous serons
ensemble pour toujours. Pas de visas. Ah ah.
Je—je sentirais presque que je vais apporter le
Message. Ah ah. Mais il est écrit dans les Écritures, «Rendez à César
les choses qui sont à César, et à Dieu, les choses qui sont à Dieu.» Je
m'attends à faire votre connaissance ici dans quelques moments, serrer
votre main, et avoir de la communion encore ensemble. J'apprécie tous
ces hommes merveilleux. J'aurais souhaité avoir tous mes Frères
d'Afrique ici aujourd'hui de toutes les dénominations. Si nous pouvions
juste nous mettre ensemble et parler toute la soirée. Et j'aimerais
entendre ce qui le Seigneur a fait par ici pour vous. Et j'aimerais
vous dire ce qu'il fait pour nous de l'autre côté de la mer. Peut-être
qu'Il permettra cela un certain jour. Jusqu'à ce jour, je prierai pour
vous. Est-ce que vous prierez pour moi? Dieu vous bénisse.