Invasion des Etats-Unis
1 ...la volonté du Seigneur pour l'accomplissement de
certaines choses en leur temps. Tout récemment, nous étions allés à
Denver et nous sommes revenus. Je crois qu'ils veulent un rapport sur
la réunion. C'était l'une des meilleures réunions que j'ai eues depuis
des années. Nous avions un très bon moment. Environ un petit peu
au-delà de deux mille donnèrent leurs coeurs à Christ, sans considérer
ceux qui reçurent le baptême du Saint-Esprit et les grands signes, les
prodiges que notre cher Seigneur accomplit à Denver, au milieu de ces
gens-là. Ils avaient un merveilleux déversement et un grand
rassemblement des gens. Au départ, nous avions commencé avec environ
cinq mille. Et nous avions les Jardins Mammoth. Et le troisième soir,
il n'y avait même plus de place pour garder les gens. Nous avons eu un
moment merveilleux toutes les cinq soirées.
2 Nous sommes partis de là pour le Canada, mon fils
et moi. Et nous étions là-haut dans les montagnes et il y avait une
tempête de neige. Je pense que vous en avez entendu parler à la radio.
Et près de cent quatre-vingt-huit personnes environ ont péri dedans. Et
nous étions bloqués dans un amoncellement des neiges pour--pour
plusieurs jours, là-haut dans les montagnes. Et notre réunion n'eut pas
lieu et maintenant nous sommes rentrés à la maison avant de repartir à
nouveau. Ainsi, nous croyons que tout cela était peut-être la volonté
de Dieu, et qu'il y avait une meilleure réunion ou quelque chose
d'autre. Il nous a préparé quelque chose que nous ne connaissons pas.
3 Nous marchons comme dans un monde sombre mais non
pas dans les ténèbres. Tandis que la lumière se déplace, nous la
suivons simplement; nous suivons ainsi la lumière.
4 Et peut-être que notre Père Céleste avait quelque
chose dont nous ne savons rien. Il se pourrait qu'il y ait eu,
là-devant, un danger. Ou encore, il se pourrait qu'Il eut été en oeuvre
pour quelqu'un à amener. Vous voyez, Dieu peut simplement s'occuper
ainsi d'une personne, Il change toute une nation pour cette seule
personne, pour les faire entrer. Ainsi donc, nous savons que c'était
entièrement pour la gloire de Dieu. Et nous le, remercions pour ça et
pour nous avoir protégés. Et il y avait beaucoup que nous...
5 Billy et moi les avions aidés pour les tirer le
long de la route et ainsi de suite, ces gens qui étaient entrés en
collision et toutes ces choses. Mais nous, nous étions passés sans
difficulté. Nous étions sortis de la route en une fois mais, c'était
juste pour quelque temps. Et un homme qui était là-haut dans un ranch
descendit et nous tira avec un tracteur. C'était très glissant, tout
glissant.
6 Et c'était une chose qu'ils n'avaient pas connu
depuis... Ils ne pouvaient pas, les gens de jadis ne pouvaient pas se
souvenir avoir auparavant connu une telle tempête dans ce pays, en
cette période-là de l'année, à Roundup, en Montana. Et nous étions,
nous savons que dans quelque chose d'aussi singulier comme cela, notre
Seigneur avait là Sa main dedans. C'était pour un but, pour--pour notre
bien. C'était pour notre bien que c'était.
7 Ainsi dès mon retour, j'ai appelé Frère Neville
après mon retour et je dis: «Je serai à la maison le Dimanche. Et, et
si tu voudrais que je vienne et peut-être tenir l'école du Dimanche,
pourquoi pas, c'est très bien.» Et je dis: «Alors je serai, et je serai
très heureux d'y venir.»
8 Il dit: «Oh! certainement, frère Bill.» Il dit:
«Nous sommes toujours heureux que tu viennes» avec un grand coeur
ouvert et étant ainsi le bienvenu. Et il le mit dans son programme
radiodiffusé, hier. Donc, nous sommes donc reconnaissants pour toutes
ces choses.
9 Et maintenant, ce matin étant la fête des mères,
beaucoup de gens, vous entendrez partout des sermons sur la fête des
mères et ils parlent de la mère, ce qui est merveilleux je pense.
Abandonnons cela pour le reste du service.
10 J'avais annoncé pour ce matin L'invasion des
Etats-Unis, le, un, un sujet sur lequel j'aimerais parler. Probablement
que vous aviez suivi votre émission-radio et vous en avez écouté
beaucoup aujourd'hui. Et peut-être dans les services de ce soir, il y
aura un sermon sur «la fête des mères». Et ainsi je pensais, pour ce
matin, j'annoncerai «l'invasion».
11 J'en ai parlé à Denver, pas exactement dans la
même approche que je compte le faire ce matin, Dieu voulant. Et avec
ça, c'était un moment merveilleux. le Seigneur nous avait bénis d'une
façon merveilleuse. Quelquefois ça nous donne comme un...
12 Quelquefois vous devez être secoué, juste un peu,
pour réaliser tout ce que ça représente, n'est-ce pas? Et nous prions
que Dieu le fasse.
13 Et chemin faisant quand nous sommes passés
là-haut... les hommes d'affaires de Denver étaient ceux qui avaient
patronné la réunion, et c'était un tout petit peu différent de ce que
j'ai eu auparavant comme imprésario.
14 Et lorsque ce sont les prédicateurs qui patronnent
la réunion d'habitude ils disent... l'aviez-vous annoncée?
«Oui, à l'église.»
C'est tout ce qu'il faut. Ce sont des bergers et ils
désirent que leurs troupeaux en sachent quelque chose. C'est juste
un... ça c'est leur affaire.
15 Mais les hommes d'affaires étaient un peu
différents. Ils voulaient le faire connaître à tout le monde. Donc ils
avaient dépensé une valeur d'environ trois ou quatre mille dollars pour
la publicité sur les tramways, les taxis, les pare-chocs des voitures
et partout. Nous avons eu un moment merveilleux.
16 Après le service, ils m'appelèrent à côté et
dirent: «Frère Branham, maintenant que pouvons-nous faire pour vous?
Qu'est-ce que nous vous devons?»
17 Je dis: «Pourquoi? bien sûr que rien.» Je dis:
«Vous ne me devez rien.» Je dis: «Si vous le désirez, vous pouvez payer
ma note pour l'hôtel.»
18 «Oh! nous voulons faire quelque chose pour vous.»
Et ils ne... Je ne voulais rien recevoir d'eux.
19 Ainsi le directeur les rassembla et dit: «Je crois
qu'il aime chasser et pêcher, n'est-ce pas?»
Ils dirent: «Oui.»
20 Et comme l'un des hommes d'affaires avait un ranch
là, il dit: «Je vais lui en faire cadeau.»
21 Bien! monsieur Moore monta pour le voir, et il
devait rentrer à cheval à une distance d'à peu près 55 kilomètres. Je
dis... Monsieur Moore dit: «Je voudrais voir la soeur Branham en
rentrant, assise sur un cheval.» Donc il, ils, et...
22 Mais après cela, quoique, ils étaient partis
là-bas à un endroit à une ferme à Silver Plumb, au Colorado. Ceci est
censé se trouver de ce côté-ci maintenant. Et là ils achetèrent un
petit ranch et dressèrent une maison à cinq chambres pour moi aussi, à
Silver Plumb au Colorado, qui est juste au coeur des montagnes. Ainsi
vous, les pêcheurs de poissons, je pense que c'est un temps agréable,
c'est un bon endroit pour se relaxer après les réunions, et ces choses,
si Dieu le permet. C'est pour lui, vous voyez.
23 Je veux maintenant attirer notre attention sur la
Parole. Et j'aime simplement la Parole, la Parole vivante de Dieu. Elle
est, dans cette Parole se trouve la Vie. Maintenant, la Parole... la
lettre tue mais l'Esprit vivifie. Et la Vie est dans la Parole parce
que c'est la Parole de Dieu. La Vie est dans Sa Parole.
Comme je vous disais: «Je vous donne...»
24 Vous dites: «Frère Branham, j'ai faim ce matin.
Voudriez-vous me donner cinq dollars?»
25 Je dirais: «Je le veux.» Maintenant il y a autant
de vie en cela qu'il y en a dans ma promesse.
26 C'est de la même manière avec Dieu. Lorsque Dieu
promet quelque chose, alors ce qui est Dieu, Sa... Il doit être dans Sa
Parole. Voyez? Cette Parole ne vaut pas moins que Dieu. Cette Parole
est exactement ce qu'est Dieu. Elle est Dieu.
27 Vous êtes, ce qu'est votre Parole. C'est votre
engagement, comme nous avions l'habitude de l'appeler. Votre engagement
c'est votre parole. Si nous ne pouvons pas prendre votre parole, alors
je n'aurai pas confiance. Mais si je peux prendre votre parole, alors
pour quelque chose, vous êtes alors un homme d'honneur.
28 Et la Bible dit: «Au commencement était la Parole,
et la Parole était Dieu, et la Parole était Dieu.» Voyez? «Et la Parole
fut faite chair et habita parmi nous.»
29 Si nous voudrions y penser; cette terre même sur
laquelle nous vivons ce matin est la Parole de Dieu. Cet arbre-là est
la Parole de Dieu. Dieu l'appela à l'existence comme ça, en le tirant
du néant qui n'avait rien.
30 Avez-vous jamais remarqué la vie humaine, d'où
elle provenait? Une petite cellule, trop petite pour être visible à
l'oeil humain; seulement à l'aide d'un grand verre grossissant. Et de
la petite cellule est sorti un homme de 75 ou 100 Kilos. D'où
était-elle venue? Voyez? Dieu parla simplement et elle commença à
croître naturellement et là, elle s'est manifestée exactement. Il
appela chaque arbre, chaque chose à l'existence. Et c'est si
merveilleux, une chose merveilleuse ce matin de considérer la Parole de
Dieu.
31 Maintenant ce matin dans l'Ancien Testament,
prenez les Chroniques. J'ai été un petit peu embrouillé... Alors que
vous prenez maintenant dans les Chroniques, le 18ème chapitre.
Juste un peu fatigué. Mais si le Seigneur le veut...
32 Je ne suis pas certain, nous en saurons davantage
ce Mercredi soir. Si le Seigneur le veut et si l'église se sent
conduite de cette manière-là, j'aimerais avoir ici un réveil, le
mercredi, le jeudi, le vendredi, le samedi et le Dimanche, juste un
réveil pour enseigner, simplement la Parole; pas les services de
guérison, mais l'enseignement. Peut-être que le Seigneur nous conduira
de cette manière-là et alors nous... J'aime simplement être avec vous
et avoir la communion autour de la Parole avec vous. Merci beaucoup
pour ce bon et merveilleux «Amen.»
33 Maintenant au 18ème chapitre des Chroniques
et en commençant au douzième verset, nous voulons fixer nos pensées
pour quelque moment seulement sur ce sujet vital du jour.
1 Chroniques... ou 2 Chroniques, je m'excuse.
2 Chroniques 18:12, et nous en lirons une portion ici et voir ce
que notre Seigneur veut nous faire connaître.
Le messager qui était allé appeler Michée lui parla
ainsi: Voici, les prophètes d'un commun accord prophétisent du bien au
roi; que ta parole soit donc comme la parole de chacun d'eux! annonce
du bien!
Michée répondit: L'Éternel est vivant! j'annoncerai
ce que dira mon Dieu.
Lorsqu'il fut arrivé auprès du roi, le roi lui dit:
Michée, irons-nous attaquer Ramoth en Galaad, ou dois-je y renoncer? Il
répondit: Montez! vous aurez du succès, et ils seront livrés entre vos
mains.
34 Maintenant, avant de fixer nos pensées pendant
quelques moments, adressons lui juste un mot encore.
35 Notre Père Céleste, nous nous approchons de Toi
maintenant avec des coeurs reconnaissants, au nom des âmes perdues,
ceux qui sont nécessiteux et de l'église. A... Puisse le Saint-Esprit
entrer rapidement dans la Parole maintenant, c'est notre prière. Place
la directement dans chaque coeur ici qui a un besoin. Et alors qu'il
proclame Son message de la puissance de la Parole dans le coeur que
nous puissions tous prospérer par Elle ce matin; repartir, quitter le
tabernacle en nous réjouissant et en louant Dieu, louant Dieu en
disant: «Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous à cause de
Sa présence.» Car nous le demandons en Son Nom. Amen!
36 Ce matin, nous avons une scène tragique. Et pour
moi l'Ancien Testament a toujours été une ombre ou une--ou une
prédiction du Nouveau Testament. Plusieurs fois on m'a dit: «Frère
Branham, pourquoi est-ce que tu prends toujours l'Ancien Testament?
Presque toujours, en prenant un texte, tu dois revenir dans l'Ancien
Testament.»
Je le fais parce que j'aime les types. J'aime...
37 J'ai une instruction très limitée comme vous le
savez. Et ma seule façon de savoir que je suis près de la Vérité
quelque part, c'est de voir ce qu'était le modèle, de considérer le
plan et voir ce que c'était. Alors je sais que ce qui était sera
quelque chose de similaire à ce qui est ici, parce que c'est simplement
une ombre de cela. Et j'ai toujours regardé en arrière dans l'Ancien
Testament, pour voir ce qu'ont fait les enfants d'Israël pour voir ce
qu'était la punition du péché, pour voir ce qu'était la justice des
prophètes, voir ce qu'étaient toutes ces autres choses et alors,
j'aurai une idée de ce qu'est ici... Ce qui a été le type de ce qui se
passera à la fin, au moment du dénouement général à la fin.
38 Pendant ce temps il y avait eu quelque chose de
grand qui était arrivé en Israël. C'était pendant l'obscurité dans sa
pleine mesure.
39 Si le Seigneur le veut, peut-être dans les
services qui suivront, je voudrais montrer, dans l'Ancien Testament,
comment les sept âges de l'Église étaient typifiés dans l'Ancien
Testament. Comment ils commencèrent tout à fait juste comme au--au
début des Âges de l'Église, de l'Église des Nations, comment ils
passèrent directement par un âge sombre semblable et arrivèrent dans un
temps glorieux de la Pentecôte, au moment où le Saint-Esprit tomba dans
l'Église primitive... dans la dispensation juive. Puis passer, par une
autre période sombre de l'Église des Nations, par un âge sombre, et
ainsi rentrer au Millénium, à la fin.
40 Bien, comment là en arrière dans le Moyen-Âge,
arriva au pouvoir ce grand roi Achab. Et il jouissait en quelque sorte
de la réputation des autres rois d'Israël qui étaient... Achab lui-même
était une sorte de--de croyant frontalier. Je me suis souvent référé à
lui de cette manière, parce qu'il était toujours 'entre deux chaises'.
41 Vous ne connaîtrez jamais la position d'un homme
aussi instable que cela. Ou quelqu'un qui professe être un Chrétien et
qui est instable, vous ne saurez que faire avec la personne.
Aujourd'hui dans l'église, ils se réjouissent, chantent et louent Dieu,
et demain ils sortent pour boire, pour faire la débauche, pour courir
autour. Ainsi, c'est pénible de faire quelque chose avec ce genre de
personne.
42 Je me souviens lorsque j'étais enfant, nous avions
une fois un--un vieux cheval qui avant l'habitude de sauter les
barrières tout le temps. Et je pense que beaucoup d'entre vous, les
hommes de mon âge se souviennent de ces jours des charrettes, des jours
des chevaux. Je suis descendu plusieurs fois cette rue ici monté sur un
cheval moi-même. J'ai quarante-cinq ans. Donc ils se souviennent...
Nous mettions un joug au cou de ce vieux cheval, comme vous le feriez
pour un boeuf afin de l'empêcher de sauter la clôture. Mais il sautait
malgré tout. Et il accrochait ce joug et tournoyait autour et ainsi de
suite, il passait par-dessus la clôture. Et un jour, ce qu'il...
43 Et je me demandais ce qui attirait ce vieil ami.
Et il y avait là en bas un grand trou, un évier. Maintenant, il se
tenait sur la luzerne, mais il voulait... Il y avait quelques brins
d'herbe du verger dans un trou d'ordures. Et il sauta la clôture et
entra dans ce trou où il y avait de fils de fer et des verres. Eh bien!
il était dans notre--dans notre dépotoir et y entrait-là pour avoir
quelques bouchées de cette herbe du verger. Et nous devions avoir
beaucoup plus de chevaux et le tirer de ce trou. Quand il y entrait, il
était suspendu. Et quand on le détachait là, il frissonnait et
saignait, et--et comme il devenait! Juste pour avoir une ou deux
bouchées de cette herbe du verger alors qu'il était sur la luzerne,
presque jusqu'aux genoux.
44 J'ai souvent pensé à cette image: «La voie du
pécheur est pénible.» Il ne voudrait simplement pas se tenir tranquille
là où il mangeait et avait un temps merveilleux, mais... il devait
sauter la clôture et être entièrement meurtri et blessé comme cela,
seulement pour avoir un bouchée de--d'herbe d'une espèce quelconque.
Maintenant c'est à peu près la manière d'agir des gens, qui sautent la
clôture du pâturage de Dieu. Ne croyez-vous pas cela? [L'Assemblée dit:
«Amen.» Ndt.] Ils sortent, aujourd'hui ils rentrent. Il est dans
l'église, en train d'avoir un temps merveilleux, puis demain, il se
vend pour quelque chose comme cela. Cela le rend très pénible.
45 Achab était plus ou moins ce genre de personne.
Partout où soufflait le vent, Achab y mettait son voile, que ce soit de
ce côté-ci ou de ce côté-là. Son mariage avec une petite princesse,
Jézabel, une fille de roi le rendit complètement embrouillé. Elle était
belle d'apparence, une très jolie femme, mais méchante dans son coeur.
Elle était une idolâtre et elle entraîna tout Israël...
46 Maintenant, je voudrais me limiter là pour
quelques minutes et entrer dans le vif de ce qui se passe maintenant,
cette maternité, voyez. Et lorsqu'un homme désire se marier, le genre
de fille ou femme qu'il... C'est plus que de ne regarder qu'à la
beauté. Vous devriez trouver quelqu'un avec qui vous unir, et l'âme et
le corps; quelqu'un qui sera vraiment votre amie et votre copine, qui
s'unira entièrement et intimement avec vous, dans les bons comme dans
les mauvais jours.
47 Mais Achab, maintenant je suppose qu'il tomba
amoureux d'elle seulement parce qu'elle était jolie et l'épousa. Il ne
pouvait y avoir rien d'autre à propos d'elle, parce qu'elle était aussi
méchante que cela. Et elle vint là-bas. Bien sûr qu'il fut épris d'elle
de cette manière-là et l'aima. Oh! il entraîna tout Israël à pécher et
à se détourner de Dieu, à renverser les autels de Dieu et à dresser des
autels pour Baal. Et Baal était adoré en ce temps dans tout Israël.
48 Maintenant lui et sa femme maltraitèrent le juste
Naboth. Beaucoup parmi vous l'ont lu, comment il lui arracha son jardin
par une tromperie et jura, un mensonge, et il avait eu un faux témoin
contre lui. Parce qu'elle désirait faire quelque chose pour son mari,
elle tua le juste homme dans le but d'avoir un jardin qui était contigu
au palais.
49 Dieu voyait tout ceci. Alors le prophète Élie qui
était un grand et puissant serviteur du Seigneur prophétisa et dit à
Jézabel ce qui lui arriverait. Et il dit à Achab que les chiens
lécheraient son propre sang. Maintenant lorsque Dieu a dit quelque
chose... bien sûr qu'en leurs jours, la Parole directe du Seigneur
venait par le prophète.
50 «Dieu dans la temps anciens et de diverses
manières a parlé aux pères par les prophètes et dans les derniers jours
par Son Fils, Jésus-Christ.»
51 Ceci est donc la Parole. Et s'il y a quelque chose
de contraire à Cela, mettez-le de côté. Voyez? Maintenant, secondement,
Il parle aujourd'hui par le prophète, le voyant, et ainsi de suite.
Mais premièrement c'est ceci, la Parole.
52 Et Achab avait commis cette méchanceté et il
continua. Dieu bénit le peuple pendant plusieurs années. Puis
finalement, vint Josaphat qui était roi sur Juda alors qu'Achab était
roi sur Israël.
53 Et Josaphat était un homme juste, il était le fils
d'Asa. Asa était un--un homme juste, il renversa tous les autels des
idoles, rétablit les autels de Jéhovah. Et ils avaient un réveil comme
il se doit, là-bas en Judée. Puis après quelque temps Josaphat ou...
54 Ou plutôt Achab envoya une expédition et découvrit
un autre lopin de terre en Syrie qui, selon ce qu'il pensait, lui
appartenait et il pensait qu'il devrait aller le récupérer. Donc il
demanda à ce Josaphat s'il voudrait bien venir et de faire front commun
avec lui.
55 Et, bien sûr, qu'il y a un grand danger
maintenant, voyez, lorsqu'on voit ce grand roi Achab, là-bas et
lorsqu'on voit ce grand-là ici, Josaphat. L'un d'eux un tiède, l'autre
un homme rempli de l'Esprit. Voyez comment vous faites, comment vous
vous liez d'un joug avec les incroyants. Gardez-vous purs et surtout en
ces jours dans lesquels nous vivons.
56 Je crois, église, sans l'ombre d'un doute que ceci
brûle dans mon coeur. C'est la raison pour laquelle je cherche à avoir
ces cinq soirées pour bientôt; pour donner à cette église, une fois de
plus, avant cela n'arrive, un plein balayage par la Bible.
57 Nous vivons à l'ombre du temps et cela pourrait
arriver à n'importe quel moment. Quand nous voyons approcher le temps
pour que les choses s'accomplissent, on voit alors la méchanceté et les
forces mêmes de l'ennemi. Nous voyons toutes ces tempêtes de neige,
toutes ces choses, toutes ces plaies et toutes ces différents choses
arriver. Tout cela est causé par toutes ces interruptions, par ces
bombes mises à feu et ces choses. Ces choses sont mélangées ici et
elles sont en train d'être préparées dans le grand laboratoire de Dieu
pour accomplir Sa Parole. Ça va se produire.
58 Ainsi s'éleva avec sa puissance de séduction
«l'homme du péché.» Oh! J'avais entendu, ce matin, un ministre, un
homme rempli de l'Esprit, prendre la marque de la bête et dire que la
Russie serait l'anti-Christ. Quelle erreur! Oh! oui! La Russie n'a rien
à avoir avec cela. Non monsieur. C'est scripturaire. Mais remarquez
maintenant, un avertissement, dans le temps glorieux où nous vivons.
59 Maintenant, ce Josaphat se sentait honoré parce
que le grand roi d'Israël avait dit: «Viens me rendre visite.» Et il
alla là-bas. Et ils prirent des veaux et des brebis et ainsi de suite
pour les donner en sacrifice. Pendant tout ce temps, au fond de son
coeur, Achab était un hypocrite parce qu'il n'adorait pas ou n'offrait
pas ces brebis et ces choses avec un coeur sincère. Car après tout il
se penchait plus vers la religion de sa femme.
60 Et remarquez, quand Achab se maria avec Jézabel au
moment de ce grand âge sombre d'Israël, il amena l'idolâtrie en Israël,
un véritable type d'aujourd'hui. Juste comme dans cet Âge sombre quand
nous passons par les premiers apôtres, puis le deuxième, la troisième,
jusqu'à l'âge sombre, le quinzième siècle. Tout comme Achab se maria
avec Jézabel et amena l'idolâtrie en Israël; ainsi le fit l'église du
Saint-Esprit qui s'est mariée avec des 'ismes' et a ramené l'idolâtrie
et aujourd'hui c'est une forme du christianisme. Voyez? Voyez, tout
aussi sombre! Et maintenant cela a avancé chaque jour; chaque âge de
l'Église s'est enfoncé vers la même chose, vers ce point culminant. Et
on arrive à la condition tiède, l'Âge tiède de l'Église de Laodicée.
Oh! quel temps horrible nous vivons!
61 Écoutez. Je veux confesser juste ici avant que je
n'aille plus loin. Je suis un prédicateur à l'ancienne mode qui désire
ardemment revoir ces vieux jours. J'ai tellement vu d'imitation, comme
Hollywood enjolivant l'Évangile au point que j'en ai ras-le-bol. Oui,
monsieur. Je désire voir ces vieux temps. J'ai peur que nous ayons trop
embelli le christianisme pour les gens. La zone dangereuse.
62 Maintenant, Josaphat descendait en pensant: «Oh!
eh bien! ce grand roi d'Israël, je vais juste... Oh! nous aurons... Ce
sera merveilleux.» Et juste au milieu de toute cette effervescence que
fit-il? Il conclut une alliance pour monter et combattre l'ennemi sur
une base commune parce qu'ils se disaient: «Nous sommes tous les deux
un même peuple.» Mais ils ne l'étaient pas. L'un était un groupe rempli
du Saint-Esprit alors que l'autre était un groupe tiède. Ils n'étaient
pas un même peuple. Non monsieur.
63 Les ténèbres ne peuvent s'associer avec la
lumière. La--la nuit ne peut résister en présence du soleil. Et l'heure
la plus trompeuse, c'est quand les temps chevauchent. Quand le soleil
se couche ou se lève, c'est l'heure la plus trompeuse qu'il y ait. Il
n'y a pas assez de lumière pour voir clairement; vos phares
d'automobiles ne vont pas bien éclairer. Il serait mieux d'éteindre que
d'allumer. Jésus dit: «Sois bouillant ou froid, non pas tiède.» Ça
c'est la zone dangereuse.
64 Et lorsque Josaphat vint, cette grande alliance
fut conclue, ce qui ne plaisait pas à Dieu. Et maintenant remarquez,
juste au moment de toute cette excitation: «J'ai la faveur de ce roi.
Eh, oh! j'ai--j'ai--j'ai la communion avec ce voisin. J'ai... «
65 Voyez, faites attention à cela, Église! Voyez?
C'est cela qui cause tous ces troubles ici au tabernacle, et partout
ailleurs. Voyez? Prenez garde aux choses avec lesquelles vous vous
mêlez. Voyez? Sortez-en. Soit vous êtes pour Christ, soit vous êtes
contre Lui. Voyez?
66 Maintenant, cet homme conclut l'alliance et il
pensait avoir fait quelque chose de grand. Pourtant lorsqu'il dit: «N'y
a-t-il pas ici, avant que nous allions, ne devrions-nous pas consulter
le Seigneur à ce sujet?»
Maintenant Josaphat, avait en lui assez de religion
qui restait. Il commit l'erreur de descendre là vers ce 'ricky' mais il
avait en lui assez de religion qui restait pour penser: «Eh bien! nous
devrions au moins consulter le Seigneur.»
67 Achab se dirigeait directement sans dire un mot,
si ce n'est sa propre manière charnelle machinale, et humaine de faire
les choses.
68 Je me demande juste ici, église, si cela n'a pas
été le cas à plusieurs reprises que nous avons commit des erreurs. Nous
spéculons là-dessus en disant: «Eh bien! ça devrait être comme ceci» et
nous le laissons comme cela.
69 Je pense que c'est là où beaucoup d'évangélistes
américains en sont aujourd'hui; nous l'avons chargé en une forme
de--une forme de, je dirais une évangélisation Hollywoodienne où il y a
plein de fascination. On remarque l'évangéliste venir sur l'estrade
aujourd'hui, oh! il est tout gonflé et raconte quantité de
plaisanteries avant de commencer la prédication et ces choses comme
cela. Il s'habille et se comporte comme un clown à la chaire. Lorsque
vient le moment de faire un appel à l'autel, les gens ne voient même
pas de sincérité pour faire un appel à l'autel. C'est vrai. C'est la
raison pour laquelle le monde connaît aujourd'hui cet état tiède dans
laquelle il se trouve.
70 Je me demande aujourd'hui, c'est comme aujourd'hui
dans l'église. Nous avons essayé d'envoyer nos enfants à l'école pour
apprendre la psychologie et ainsi de suite, pour savoir comment monter
un programme, comment se tenir à la chaire et d'arranger notre... Le
message est si séduisant qu'il captive les gens, et captive leur
attention. Et beaucoup de grands psychologues deviennent comme cela des
enseignants et adaptent leurs gestes comme sur la scène et ils mettent
tout un tas de choses. Et je me demande, quand ils... Nous essayons
toujours de leur raconter la beauté et l'attraction de l'église, mais
nous manquons de leur dire que «celui qui veut Me suivre, qu'il renonce
à lui-même, qu'il se charge de sa Croix et Me suive.» Je me demande si
nous n'avons pas rendu l'église trop belle pour l'homme qui y vient.
71 Par exemple, l'église Baptiste a aujourd'hui un
slogan: «Un million de plus qu'en 44.» Ils ont des milliers des
membres, des inconvertis, juste des gens qui vont se joindre à
l'église. Et l'Église de Jésus-Christ est redevable pour avoir pris en
Elle de tels membres. Ils boivent toujours. Ils fument toujours. Ils
continuent à jouer à l'argent. Ils continuent à mentir.
72 Ils viennent à l'église s'attendant à être
divertis par une bande d'évangélistes Hollywoodiens qui montent,
viennent avec toute sorte de séductions et tout un tas de grands
instruments placés de long en large de l'estrade.
73 Alors qu'ils devraient avoir un appel comme à
l'ancienne mode d'abord Dieu, pleurer, avoir là un appel à l'autel où
des hommes et des femmes ne viennent pas à une excitation, on accoure
pas pour agir comme un clown, mais pour descendre à l'autel et réaliser
la mort de Jésus-Christ, qui mourut pour eux, afin qu'ils retournent
sincères avec Dieu.
74 Je me demande si nous ne vivons pas en ce jour, ce
jour où nous prenons de grands évangélistes, comme ceux qui parcourent
aujourd'hui le pays, des évangélistes de grand renom, qui ont étudié la
psychologie et attirent les gens à l'église. Mais une fois que vous les
avez dans l'église, qu'allez-vous alors faire avec eux?
Qu'arrivera-t-il, une fois qu'ils sont dans l'église? Ils adhèrent
simplement à l'église et retournent avec le même péché et avec les
mêmes désirs qu'ils avaient lorsqu'ils y sont entrés. Ils rentrent dans
la même attitude. Et c'est cela la raison pour laquelle aujourd'hui, le
monde regarde et dit: «Eh bien! si cet homme-là était religieux, si
cette personne-ci avait de la religion...»
75 Je crains que nous l'ayons rendu trop facile.
C'est, j'aime... la joie, je pense que, certainement que je crois que
toutes les joies sont en Jésus-Christ. C'est juste. Je crois que c'est
joyeux et heureux. Mais rappelez-vous, frères, c'est le chemin de
l'agonie, de souffrance et de la Croix. Vous devriez aussi réaliser
cela. C'est vrai. Je me demande si nous n'avons pas dépeint cela un peu
trop... avec une apparence un peu molle.
76 J'étais en train de regarder ma femme qui
mettait... Elle se mettait en route et elle mit une rose ce matin sur
mon veston. Elle dit: «Tu devrais la porter. Ta mère est en vie.»
Et je dis: «Oh! chérie, je ne sais pas.»
77 La fête des mères est merveilleuse, mais c'est
comme le monde. Ils ont commercialisé la chose tout simplement pour
vendre des fleurs et ces choses semblables. Oh! c'est un discrédit pour
la maman. Oh! Ma maman est ma mère tous les jours de l'année, oui
monsieur, pas pour un jour. Je dirais: «Aimes-tu ta mère?»
78 «Je lui ai envoyé un bouquet de fleurs à la
dernière Fête des Mères.»
Bien, frère elle devrait être mère tous les jours.
Mais c'est un commerce.
79 Cette fleur est jolie. J'aime une jolie fleur. J'y
pense juste comme je fais... Comme cette fleur est jolie! Elle fleurit
et elle est parfumée. Et les gens qui passent à côté la sentent.
L'animal s'approche et la sent. Mais voyez maintenant, c'est joli.
Comme l'Église de Jésus-Christ le Seigneur. C'est la chose la plus
glorieuse avec les guérisons Divines, les puissances et les prodiges,
les signes et les miracles et la délivrance du péché. C'est un bel
endroit. Mais voyez, si cette rose... Nous devons venir à l'église
comme c'est dans toute la nature.
80 Parce que cette rose est belle, chaque vache du
pays voudrait la lécher, si elle le pouvait. Mais la nature l'a pourvue
de petites baïonnettes, des petites lances qui sont attachées là et qui
sont appelées «épines», et elles s'enfuiront. C'est ce qui la protège.
C'est exactement cela.
81 Et je pense aujourd'hui que si nous n'avions pas
la Parole de Dieu, plus tranchante qu'une épée à deux tranchants,
autour de la beauté de la puissance de la sainteté de Dieu, nous
laisserions chaque vache du pays la lécher et la cueillir. Elle va
l'abîmer et l'église en serait redevable.
82 Je pense que ce dont nous avons besoin
aujourd'hui, ce sont des prédicateurs appelés de lier, humbles, à
l'ancienne mode, n'ayant peut-être pas beaucoup d'instruction, mais qui
amèneront les gens à l'autel, pour y agoniser. Non pas avec la joie, en
riant, et en mâchant du chewing-gum et en mettant leurs noms dans un
livre, mais frère, des pleurs et une affliction comme autrefois,
jusqu'à ce que les hommes et les femmes se repentent complètement de
leurs péchés et se rapprochent de Dieu. Amen!
83 Nous avons, je vous le dis: «Ceux qui veulent
accepter Christ qu'ils lèvent la main.»
Et tout est comme cela. Ça c'est très bien, frère,
mais cela ne--ne chasse pas le péché.
84 Vous devez vous repentir d'abord, vous mettre en
ordre, descendre là et pleurer réellement. Je peux me souvenir les
temps où les gens à l'ancienne mode marchaient dans les allées et de
long en large des rues criant et parlant à leurs voisins. Ça c'était le
Chrétien de ce jour-là, qui parle des choses du Seigneur.
85 Mais aujourd'hui, nous mettons notre nom dans le
livre de l'église, nous sortons et restons à la maison et ne dirons
plus jamais un mot à propos de cela. Pas concerné!
«Tout aussi longtemps que nous appartenons à
l'église, tout est bien.»
Je suis sûr que là nous avons tort, nous les gens.
Examinez-vous! Car cela ne subsistera pas au Jugement. Non monsieur. Ça
ne subsistera pas.
86 Rien de moins que: «Celui qui veut Me suivre,
qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa Croix et qu'il meure
chaque jour.» Mourez là, à la Croix. C'est vrai. Agonisez! La voie
c'est «je prendrai cette voie avec les quelques méprisés du Seigneur.»
Vous chantez.
87 Je pense aujourd'hui: «Quel temps vivons-nous!»
Cette évangélisation, ils la mettent sur des grands panneaux lumineux
et ils essaient... Quand vous voyez arriver l'évangéliste, vous vous
posez des questions. Mes réunions à moi ont été coupables de la même
chose. C'est juste. Je me demande quelques fois qui arrive dans la
ville, est-ce l'évangéliste ou Jésus-Christ? C'est que, ils ont...
88 J'étais allé à un endroit ici, il n'y a pas très
longtemps où un certain évangéliste était censé venir. Et le Nom de
Jésus... Oh! Ils avaient le portrait de l'évangéliste, «l'homme du
moment.» L'homme avec ceci et l'homme avec cela.
89 Quelquefois, je pense à mon ministère en voyant
les gens venir. Et j'entrerais dans une chambre d'hôtel dire: «Ô Dieu,
que--que viennent voir ces gens, moi ou Toi? Voyez? S'ils viennent pour
me voir alors ils sont perdus, ils sont encore perdus. Mais, ô Dieu,
abaisse-moi et mets-moi de côté. Je désire Te représenter. Celui devant
qui je me tiendrai un jour, les mains tremblantes et le corps tremblant
et faible, regardant à Toi. Sachant que le sort de mon âme dépend de Ta
décision.»
Exaltons Jésus.
90 Aujourd'hui vous dites: «Eh bien! j'appartiens aux
Baptistes. Je suis Méthodiste. J'appartiens au Tabernacle et je fais
ceci.»
Oh! cela n'a rien à faire avec cela, rien à faire.
Quelquefois je me demande.
91 Il n'y a pas longtemps, je vis ici une publicité
là où une certaine campagne allait se tenir dans la ville. Et le nom de
l'homme était porté en gros caractères comme cela par tout le chemin
autour. Et à la fin, dans un petit coin on dit: «Jésus-Christ est le
même hier, aujourd'hui et pour toujours» en bas au petit coin. Voyez?
92 Ils ont retiré tout le sacré de Jésus pour le
placer dans un homme ou dans une église ou dans une organisation.
Frère, je vous le dis, vous pouvez vous rapprocher avec une excitation
des pitreries Hollywoodiennes. Mais, dans la Présence de Jésus Christ,
c'est Lui qui doit être glorifié. C'est vrai. Maintenant ça c'est la
vérité, chers frères et soeurs.
93 Ne vous fâchez pas contre moi. Rappelez-vous
simplement que je vous prêche. Je veux prêcher comme si celui-ci était
le dernier sermon que j'aurais jamais à prêcher dans ma vie. Chaque
sermon que je prêche, je désire prêcher comme un mortel qui prêche aux
mortels. Et ma lumière s'éteint chaque jour, la vôtre aussi. Et nous
sommes des êtres mortels mourants. Et nous devons faire face au Dieu
vivant un de ces jours, et nous ferions mieux d'être sincères à fond.
94 Et juste dans cette excitation. On avance pour se
joindre à l'église, et on va ici et là-bas, on se comporte de cette
manière ou de cette autre manière.
95 Nous ferions mieux d'avoir des réunions de prière
à l'ancienne mode dans nos maisons, criant à Dieu, jour et nuit. Le
jour s'approche, «le temps de détresse, le temps de trouble», un «jour
sombre» a dit la Bible. Et nous vivons dans ce jour.
96 Voyez comment sous cette excitation, ce grand
homme descendit là-bas se joindre lui-même avec des tièdes, avec des
frontaliers, et il pensait qu'il était en train d'accomplir quelque
chose de grandiose. Il pensait que Dieu le bénissait. Et il ne
réalisait pas qu'il entraînait là-dedans tout le groupe derrière lui.
«Quoi? Notre petit groupe de Juda ici, descendre là et nous joindre
avec ce grand peuple d'Israël. Quel peuple puissant nous serons!»
97 Vous y voilà. Et tout aussi certain que je me
tiens ici, c'est la même manière de tromperie que le diable use juste
maintenant pour introduire l'anti-Christ. «Nous allons unir nos
efforts.»
Nous ne pouvons faire cela. «Comment deux
peuvent-ils marcher ensemble sans qu'ils ne s'accordent?»
98 Les États-Unis ont fait de même, la même
expérience et la même erreur quand ils s'étaient associés là-bas avec
la Russie. Au moment même où ils étaient presque prêts pour avoir une
guerre, nous nous sommes unis avec la Russie. Et vous voyez maintenant
où nous en sommes, n'est-ce pas? Ils ont nos avions et tous nos
secrets, et toutes nos bombes atomiques et tout se trouve là-bas, pour
les renvoyer contre nous. La même chose se passe dans le spirituel.
99 Puis, nous découvrons qu'après que Josaphat ait
conclu cette alliance, ils consultèrent. Maintenant voyez, observez le
monde extérieur, il dit: «Certainement, nous avons beaucoup de
prophètes ici. Nous en avons plein le séminaire.»
100 Ils allèrent prendre les hommes qui avaient été
entraînés, qui connaissaient la psychologie et qui en connaissaient
tout. Il dit: «Nous vous demandons de monter, nous voulons consulter le
Seigneur.»
101 Ils sont venus tous, bien sûr selon leur pensée
charnelle enflée et dirent: «Maintenant voyez, vous... vous montez car
le Seigneur est avec vous et le Seigneur va vous donner ce lopin de
terre-là. C'est--c'est pour vous. Vous repousserez en arrière les
Syriens. Vous le ferez.»
L'un d'entre eux se fit même une paire de grandes
cornes de fer et commença à courir autour comme ceci disant: «Vous
savez quoi! Vous allez repousser les Syriens.»
102 Mais Josaphat était juste un peu plus spirituel
qu'il ne pouvait supporter cette espèce de farce. C'est vrai.
103 Ô Dieu, envoie-nous plus de Josaphat, qui en ont
assez de cette farce Hollywoodienne. C'est juste. Ils simulent ou
prétendent être quelque chose qu'ils ne sont pas, qui agissent et se
comportent comme sur une scène. Et puis, lorsqu'ils viennent, que
faites-vous quand il entre?
C'est comme demander à un homme d'aller nager et
cela dans un désert. Rien de plus qu'un bain de sable sur votre tête
pour vous causer des ennuis après.
104 Maintenant, remarquez, que pouvez-vous amener
là-dedans?
L'autre jour, une certaine dame me dit: «Un homme
avait dit: - je voudrais aller à l'église, mais qu'est-ce que
j'aurai après que j'y sois allé? Il dit: - Tout ce qu'ils font,
c'est d'organiser un souper à l'occasion de ceci ou à l'occasion de
cela.»
Et la dame dit: «Je restais là ne sachant que dire
car je ne savais pas où l'envoyer.»
Vous y voilà. Il disait: «Je souhaiterais trouver
une vieille église où ils chantent vraiment les hymnes comme à
l'ancienne mode et qui vivent pieusement.»
105 Lorsque les enfants ont faim, ils mangeront dans
une poubelle. Il appartient à l'Église du Dieu vivant de les nourrir de
la véritable Parole vivante de--de Dieu.
106 Là, dans toute cette excitation et ces choses,
Josaphat dit: «N'y a-t-il pas là un de plus?»
107 «Un de plus» dit Achab. «Ça alors! que veux-tu de
ce 'un de plus'? Nous en avons quatre cents des meilleurs. Ils ont été
sélectionnés instruits, bien nourris et mieux habillés que quiconque
dans le pays et ils se tiennent ici. Chacun d'eux, d'un commun accord,
d'un seul coeur et d'une même voix a dit: - Allez-y! Dieu est avec
vous.»
108 Je me demande si les États-Unis n'ont pas connu
la même chose. Je me demande si l'église de Dieu n'a pas connu la même
chose. Je me demande.
«Eh bien! dit-on, voyez, ils ont du succès. Ils ont
de très grandes réunions. Ils amènent des millions en une fois.»
Mais je me demande s'il n'y en a pas un de plus! Je
me demande s'il n'y a pas quelque chose de différent!
109 Nous remarquons que nous avons trente mille
convertis en six semaines et six semaines plus tard, nous n'avions plus
même un seul. Il y a quelque chose quelque part qui ne va pas. C'est
vrai. Et tout n'est qu'excitation et simulacre. Le monde par la
télévision, par la radio, par les expositions d'images et toutes ces
publications-là, a corrompu cette nation avec cette pourriture de
Hollywood. C'est juste. Toute chose veut paraître dans une grande
excitation. N'est-ce pas vrai? [L'Assemblée dit: «Amen.» Ndt.] Vous
savez que c'est la vérité. Il ne nous reste plus de cette religion à
l'ancienne mode que nous avions il y a des années. C'est parce qu'elle
a été séduite. Nous y arriverons juste dans un moment, et vous le
verrez.
110 Oh! Quelle belle image ou quelle image émouvante,
voudrais-je dire. Et voici que vient ce Josaphat qui dit: «Oui, je les
vois tous. Ils ont tous, chacun d'eux, ils ont leurs diplômes et tout
ce qui pouvait être. Ils sont aussi prophètes, ils sont des grands
prédicateurs. Ils sortent de grandes universités et ils sont tout ceci.
Ils sortent de la grande école des prophètes et toutes ces choses. Ils
sont tous d'un commun accord. C'est juste. C'est vrai. Mais n'y a-t-il
pas juste un de plus?»
111 «Ça alors, que désires-tu faire avec ce 'un de
plus' alors que quatre cents ont donné leur consentement au même
moment?»
112 Mais cet homme là au fond de son coeur, il avait
Dieu. Et il savait qu'il y avait quelque chose qui clochait à propos de
cela. Oui, monsieur. Il savait qu'il y avait là une pourriture.
Pourquoi? Laissez-moi vous dire... Les Écritures n'en parlent pas mais
voici ce que j'ai. Je sais que--que ce Josaphat-là savait que cet
hypocrite, Achab, n'était pas en ordre avec Dieu. Et Élie avait
prophétisé sur lui la Parole de Dieu. Et comment Dieu peut-Il bénir ce
qu'Il a maudit? Amen!
113 Je dis la même chose aujourd'hui mes amis. Et
l'Église du Dieu vivant qui reste fidèle à Dieu dira la même chose.
Vous ne pouvez mélanger ensemble de l'huile et de l'eau et appeler cela
'Salut'. Vous ne le pouvez pas. Vous devez vous séparer vous-mêmes,
frères. Quelque chose doit se produire. S'il y a quelque espoir qui
reste nous devons faire quelque chose et le faire promptement car
l'heure... l'Enlèvement est proche.
114 Ces choses s'entassent et ces choses et l'église
s'est tellement éloignée! Ils lisent toutes sortes de magazines, de
livres, des romans et toutes ces choses. Je pourrais aujourd'hui à
un... Je peux aller dans une église et dire: «Oh! combien
connaissent...» Ils connaissent chaque hymne après l'un de ces grands
réveils. Maintenant, sur quelle page se trouve telle ou telle hymne,
ils le savent. Ils savent ce que c'est. Ils connaissent qui veut être
Président et qui veut être ceci et combien de stars de cinéma se sont
mariées, ils connaissent celle-ci et celle-là, ou une autre. Mais la
Parole de Dieu, ils n'en savent rien. Vous y voilà. Nous donnons
ainsi... Pourtant ils professent qu'ils sont des Chrétiens.
115 Et les gens n'en sont pas responsables. C'est du
haut de la chaire que ça provient. Exactement. C'est du haut de la
chaire. Ils leur enseignent toutes sortes de rythmes et toutes sortes
de ceci ou cela, et d'organisations, comment prêcher et toutes choses
comme cela. Je me demande si c'est récompensé? Je n'ai rien contre
cela, mais je me demande si cela rencontre les exigences de Dieu.
116 Alors que Jésus dit: «À moins qu'un homme ne soit
né d'eau et d'Esprit, il ne peut d'aucune manière entrer dans le
Royaume de Dieu. Celui qui veut--veut Me suivre, qu'il se charge de sa
Croix et Me suive.» La Croix est le symbole de la mort, de l'agonie.
«Celui qui veut être Chrétien, qu'il se dépouille des ses propres
idées, qu'il se dépouille de ses propres oeuvres, qu'il se dépouille de
toute chose, se reniant lui-même; et qu'il prenne cette Croix consacrée
et Me suive chaque jour. Que celui qui veut Me suivre fasse cela.»
C'est ce qu'a dit Jésus.
117 Mais aujourd'hui nous disons: «Que tout le monde
ait un moment grandiose. Que tout le monde tape des mains. Que tout le
monde crie 'Alléluia!'. Que tout le monde fasse ceci.» Oh! comme nous
avons tout un tas d'histoires! Nous sortons ces nouveaux chants et nous
les chantons tellement vite qu'il semblerait que nous allons courir à
travers les murs avec, ou quelque chose comme cela.
Amen. Ô Dieu.
118 Quand je pense que, si nous chantions «Plus près
de Toi, Mon Dieu», ce serait beaucoup mieux pour l'Église. Ces
cantiques à l'ancienne mode.
119 On a beaucoup de danses, des gens qui jouent dans
un orchestre. Un jeune homme qui, hier soir, dansait en jouant dans un
orchestre, ce soir il joue dans l'Église du Dieu vivant? C'est une
abomination dans la présence de Dieu. Que cet homme soit d'abord
éprouvé et qu'il produise des fruits dignes de la repentance pour
montrer qu'il est ordre avec Dieu.
120 On a amené le monde du jazz juste à l'estrade.
Ils apportent cette manière fascinante de prêcher à l'Hollywoodienne
juste sur l'estrade.
121 N'étais-je pas dans votre belle ville il y a
quelques semaines, à Louisville en Kentucky? Cela m'a fendu le coeur!
Alors qu'ils étaient tous assis là, désirant voir les miracles de Dieu;
et dès que vous prêchez l'Evangile, ils en ont vite assez, en une
seconde, et ils vous tournent le dos et sortent du bâtiment.
Certainement. Ils n'En veulent pas. Leurs coeurs sont endurcis. Ils
sortent; et beaucoup d'entre eux, des Protestants, également, qui vont
aux églises Protestantes. Mais ils avaient été... ils ont été tellement
rempli de choses clinquantes et tout comme cela, de bêtises et de
façons ecclésiastiques, qu'ils ne connaissent rien de l'Esprit du Dieu
vivant. «Ils ont une forme de piété, et en renient la Puissance.»
Dans quel jour vivons-nous! Observez où cela
s'entasse.
122 Josaphat dit: «Je le sais, Achab. Voilà tes
quatre cents prédicateurs. Ce sont des gens très bien en apparence,
chacun d'eux est habillé de manière distinguée et leurs cheveux bien
peignés et toutes ces choses, où quoi que ce soit d'autre. Ils peuvent
avoir leurs doctorats en théologie. Ils peuvent avoir toutes leurs
sortes de diplômes. Ils peuvent avoir la connaissance des Écritures de
A à Z. Mais n'avez-vous pas quelque part, un de plus? N'y a-t-il pas
juste un de plus?»
123 Il dit: «Oui, il y en a un de plus mais je le
déteste.»
Vous y voilà. Vous y voilà! «Je le déteste.»
Rappelez-vous qu'Achab et tous ces enseignants
étaient des hommes religieux, mais ils haïssaient cet homme qui avait
la Vérité. Il dit: «Je le hais;» Il dit: «Il profère toujours quelque
chose contre moi.» Comment pouvait-il s'empêcher de le faire, lorsque
la Parole de Dieu l'avait condamné?
124 Comment pouvez-vous encore vous retenir, vous qui
êtes un homme ou une femme de Dieu, ayant la connaissance, voyant le
péché et ces choses s'entasser et abonder et toutes ces choses comme
cela, voir des millions d'âmes humaines aller en enfer chaque jour, et
rester encore tranquilles? Vous ne le pouvez pas. Quelqu'un me disant
ici: «Penses-tu pouvoir l'arrêter?»
125 Je dis: «Non, je ne le peux pas parce que Dieu
l'a dit. Mais un jour à la Barre de Jugement, on va placer ce grand
écran, projeter cela à partir de la caméra et cette bande cassette sera
jouée. Et je me tiendrai là pour l'écouter et je voudrais entendre ma
voix lançant un avertissement contre cela. Dieu me jugera lorsque ma
voix viendra contre cela.» Oui, monsieur. Quand nous verrons cette vie,
cette génération réapparaître encore sur la scène là au Jugement.
Certainement. Nous vivons dans un temps terrible. Et le voilà.
Et nous le voyons qui dit: «N'y a-t-il pas un de
plus?»
126 Il dit: «Oui, mais je le déteste car il
prophétise toujours du mal contre moi.»
127 Comment peut-il s'empêcher de prêcher ces choses
dures quand il voit les choses continuer? Voir Achab vivre et agir
comme il était et amener les gens dans cet état-là!
128 Comment un homme ou une femme de Dieu, peut-il,
se retenir de crier et de réprimander le péché de tous côtés? Quand ils
voient ces prédicateurs tièdes et ces fascinateurs, ces éducateurs et
ainsi de suite, laissant les gens aller en enfer par millions sous la
tromperie... beaucoup d'eux et même parmi les gens de la Sainteté. Je
ne parle pas beaucoup de Méthodistes, des Baptistes et ces choses comme
cela; ils les ont aussi. Mais c'est juste là parmi eux. Oh!
129 Ils viennent à l'autel comme n'importe quoi
d'autre sauf comme des Chrétiens. Ils vivent de n'importe quelle
manière dans tout le pays et appeler cela la religion? C'est une
religion mais elle est loin du Salut du Seigneur. C'est juste. Ils
entassent des gens au point que c'est juste une grande troupe
d'excités. Puis aussitôt que cette petite excitation se termine, la
première chose vous savez, vous ne pouvez pas retrouver l'un d'eux,
l'église reste vide. Mais si un homme aime Dieu, il remplira chaque
fois son siège dans l'église. Il remplira chaque fois son siège dans
l'église. Il ne peut pas s'en tenir éloigné. C'est juste.
130 Remarquez maintenant, juste pour quelques
minutes. Je vais essayer de me dépêcher et me rapprocher du sujet
maintenant, car mon temps s'épuise. Remarquez, alors il dit: «N'y
a-t-il pas là juste un de plus?
131 Il dit: «Oui, mais je le déteste. Il prophétise
toujours contre moi. Il dit toujours du mal à mon égard.»
«Très bien, dit-il, Allez le prendre.»
Il dit: «Il s'appelle Michée.»
132 Mais cet homme-ci avait assez de religion pour
discerner que ces hommes-là n'étaient pas en ordre.
133 Et tout homme qui ait jamais été touché, juste un
peu, par l'Esprit de Dieu sait que ces choses qu'on appelle aujourd'hui
christianisme n'en sont pas. «Vous ne pouvez pas aimer le monde et les
choses du monde; si vous les faites, l'Amour de Dieu n'est pas en
vous.» La Bible le dit ainsi. Maintenant voyez. Il dit: «Allez le
prendre.» Et ils allèrent.
134 Et puis il envoya un espèce de petit messager,
peut-être le diacre de l'église et quelqu'un d'autre. Il descendit
là-bas et dit: «Maintenant écoute, Michée, nous allons t'emmener là
devant Achab et Josaphat, ils sont tous deux assis là et ce sont de
grands hommes. Ils sont des docteurs et des érudits. Ils ont leurs
diplômes et ainsi de suite. Et chacun de nos séminaires et de nos
églises, tous sont d'un parfait accord que ceci est la volonté du
Seigneur. Maintenant toi, tu diras la même chose qu'eux et je t'assure,
tu seras vêtu de manière distinguée et tu vas rouler à bord d'une
Cadillac. Je t'assure, tu seras un grand monsieur si tu fais cela. Oui
monsieur. Tu auras la prospérité.»
135 Michée dit: «Le Seigneur Dieu est vivant, je
dirai seulement ce que Dieu dira.» Amen! Oui. Oh! voilà un homme selon
mon coeur. «Je pourrais manger du pain et boire de l'eau», ce qu'il a
dû faire. «En faisant cela.» On peut vous frapper sur une joue ou sur
une autre et quoi d'autre encore, mais il dit la vérité et il s'est
tenu avec elle. Dieu a confirmé que c'était la vérité. Il n'était pas
très populaire, mais il connaissait Dieu.
136 Le vieux petit Michée fut emmené là et il dit:
«Très bien, Michée, que dis-tu à ce sujet?»
137 Il dit: «Montez-y, montez-y.» Il dit: «Montez-y
en paix. Allez de l'avant et ayez du succès, c'est ça ce que je veux
que vous fassiez. Quant à moi, je vis Israël dispersé sur une colline
comme un troupeau qui n'a pas de berger. C'est cela.» dit-il.
138 Et quand il fit cela, Achab se retourna vers
Josaphat et dit: «Qu'est-ce que je te disais? Cet exalté.» ou d'autre,
(excusez-moi) ou quoi d'autre qu'il était ce gars dit cela! «Qu'est-ce
que je te disais? Cet homme ne prophétiserait que du mal contre moi.
Qu'est-ce que je te disais? Il voudrait toujours condamner notre
église, condamner nos prédicateurs et condamner notre religion.
Qu'est-ce que je te disais? Il dirait ça. Je le connais. Je connaissais
son père avant lui.»
Amen! [Frère Branham claque ses mains une fois.
Ndt.] «Je connaissais son père avant lui.» Oui, monsieur, un véritable
homme de Dieu. Il dit: «Je savais qu'il dirait cela.»
139 Et il dit alors: «Oui, dit-il, je vis Israël
dispersé sur la colline comme un troupeau sans berger.» Il dit donc:
«Je...»
140 Et puis, l'un de ces hommes, celui qui avait de
grandes cornes qui étaient censées repousser. Un prédicateur s'approcha
et saisit le petit Michée autour et lui assena une gifle sur la bouche
aussi fort qu'il pouvait et dit: «Par quel chemin l'Esprit de Dieu
est-Il sorti de moi? Si tu le sais?»
141 Il dit: «Attends jusqu'à ce que tu sois enfermé
là en prison et tu sauras par quel chemin c'est sorti.» C'est vrai.
142 Attendez jusqu'à ce que la Russie attaque ici et
envahisse les nations et ces choses comme cela et ce pays à cause de
son état et vous verrez si c'est vrai ou c'est faux. C'est vrai. Vous
verrez si votre religion tiède vous délivrera ou pas.
143 Que cette nation vienne avec des larmes, non pas
avec du rire et des scènes. Que cette nation tombe sur ses genoux dans
la repentance. C'est ce dont nous avons besoin. Il ne s'agit pas d'un
réveil pour rassembler beaucoup de gens dans l'église. Nous devons
mettre fin à toute cette contrebande d'alcool, arrêter toutes ces
fumées de cigarettes et démanteler toutes ces usines. De commencer une
véritable campagne à l'ancienne mode du Saint-Esprit; où les hommes et
les femmes, jour et nuit, ont le visage contre terre, en pleurant. Je
vous le dis, ce sera le meilleur abri que cette nation ait jamais eu.
C'est vrai.
144 Que le Branham-Tabernacle abandonne sa folie.
Qu'il rentre ici à l'autel pour se mettre en ordre avec Dieu.
Réconciliez-vous avec vos voisins, mettez-vous en ordre avec Dieu et
ainsi de suite. Vous n'aurez plus des disputes et toutes ces choses. Ça
sera alors un poteau d'attraction pour le monde. C'est juste.
Maintenant, ça c'est la vérité.
145 Puis il dit: «Par quel chemin, l'Esprit de Dieu
est-Il sorti de moi pour te parler?»
146 Et Michée dit: «Je vis l'Éternel et toutes ses
armées, son conseil se tenant dans la Gloire.»
147 Vous savez, Dieu a un conseil là-haut de temps en
temps. Il--Il rassemble Ses--Ses créatures Angéliques et tient un
conseil là-haut dans le Ciel, de temps en temps.
148 Et il dit: «Je Le vis assis sur Son trône et
toute Son armée des cieux se tenant à Sa droite et à Sa gauche.» Et il
dit: «Ils étaient en train de discuter.»
«Qui peut descendre et séduire Achab, afin qu'il
monte et que la prophétie d'Élie s'accomplisse? Dieu avait déjà dit
ainsi, que va-t-il arriver? Nous verrons donc qui pourra descendre.»
149 «Et un esprit de mensonge est monté d'en-bas
(bien sûr, de l'enfer), est monté devant Dieu et a dit: Je descendrai
et j'entrerai dans ces prédicateurs et ferai en sorte qu'ils
prophétisent tous un mensonge.»
Oh! cela les a fait sauter au plafond! Cela leur a
donné un drôle de sentiment, quand il a dit: «Je descendrai et je ferai
en sorte que ces prédicateurs, tous sans exception, prophétise un
mensonge.»
Et il est descendu et est entré dans ces
prédicateurs, et ils se sont mis à prophétiser un mensonge.
150 Frère, le même Dieu règne sur le même Trône
aujourd'hui. Et ce même esprit de mensonge a fait la même chose
aujourd'hui, prophétisant des mensonges.
151 Ils continuent à dire: «Paix, paix, paix», après
la Première Guerre mondiale.
152 Laissez-moi vous montrer d'où cela vient. Pendant
la Première Guerre mondiale, lorsque, là-bas en France, ils
s'éloignèrent de Dieu dans leur homosexualité des «90» et commencèrent
à...
153 Maintenant, je vais parler un peu sur la
moralité, ainsi tenez-vous vraiment tranquilles pendant quelques
minutes.
154 Revenez en arrière au commencement, là-bas en
France, c'est de là qu'ont commencé toutes ces souillures et ces modes
pour la première fois. S'il y a jamais eu un trou à rats dans le monde
c'est Paris, en France. Et j'ai voyagé presque un peu partout et c'est
le pire endroit que j'aie jamais vu. Et Londres en Angleterre ne fait
pas exception. Et les États-Unis arrivent à leur emboîter le pas. C'est
vrai. Ils en sont là.
155 Chaque fois que vous brisez la moralité des
femmes, vous brisez la colonne vertébrale de la nation.
156 Allez plus loin ici dans leurs pays et dites-leur
que vous êtes un missionnaire; Ils n'en veulent pas. Ils diront:
«Qu'allez-vous nous dire de faire? Nous raconter comment chanter des
obscénités au sujet de nos femmes et de nos filles? Allez-vous nous
dire comment divorcer de nos femmes? Enseignez-nous comment boire du
whisky et comment agir comme nous le faisons? C'est cela ce que nous
sommes.»
157 Nous nous appelons la nation religieuse, la
nation Chrétienne. Eh bien! ces païens là-bas en Afrique, pourraient
nous apprendre comment vivre dans la moralité. Aux États-Unis ou plutôt
dans le monde, le plus vil endroit, ou presque, est cette nation,
l'état dans lequel elle est. Certainement que je suis américain. Mais
frère, je n'y peux rien... avant qu'Achab et Josaphat... Et je dois
dire ce que Dieu a déclaré comme la Vérité! C'est ce que l'Église doit
défendre aujourd'hui. Qui de Dieu ou de cette nation, c'est toujours
Dieu. Oui monsieur.
158 Remarquez! En France. Ils commencèrent toutes
leurs pourritures et se lancèrent dans la manière dont ils vivaient
là-bas. Alors Dieu envoya contre eux l'Allemagne pour les frapper un
petit peu. Puis nous sommes allés à leur secours là-bas. Et aussitôt
que nous avons fait cela, que nous avons remporté la victoire et
repoussé les Allemands, et conclu la paix avec la France, se
tournèrent-ils vers Dieu? Non monsieur. Les femmes, le vin, la
débauche, le péché et la souillure ont progressé jusqu'à la moelle!
159 Que firent-ils alors? Qu'arriva-t-il? C'est ici
que nous avions commencé. Le diable plaça son quartier général là.
C'est juste là, c'est de là qu'il commença à faire disparaître la
décence dans le monde, à partir de Paris en France.
160 Et si vous le remarquez, il ne pouvait pas entrer
ici par le ministère. Aussi la chose qu'il a faite c'était de passer
par Hollywood. Il établit ses Holl... Il établit là dans le Hollywood
son quartier général. Il y a quelques années, quinze ou vingt ans
passés, le diable atterrit avec sa grande armée et alla envahir
Hollywood en Californie. Et il a envahi les États-Unis avec ses
puissances démoniaques. C'est juste! Toutes nos modes proviennent de
Paris. Elles entrent dans Hollywood par les écrans. Les petits garçons
et ces petites filles sortent pour les voir passer sur les écrans et
ces choses.
161 Je n'ai rien contre eux, contre ces gentils
gamins et ces bons gosses. Que Dieu bénisse leurs petits coeurs! Mon
coeur se brise pour eux.
162 Et juste ici dans la ville, je parlais à mon... à
l'un de... L'autre jour, mon garçon dit: «Papa, y a-t-il juste quelques
garçons là autour, en ville, qui aient le Saint-Esprit, et ainsi de
suite?»
Vous vous demandez pourquoi je quittais pour Denver
au Colorado ou quelque part comme cela? C'est pour emmener mes enfants
quelque part où il y a de gens qui soupirent après Dieu! C'est ce dont
nous avons besoin, frère.
163 Ce pays, cette nation, cette ville, cet
endroit-ci est devenu tellement immoral au point que c'est pitoyable.
Si je pouvais seulement exprimer juste ce que je sais maintenant ce que
je devrais, ce que je connais comme absolument la vérité, ici, même, ça
ne serait même pas présentable devant un auditoire mixte. Or juste ici
dans cette ville-ci même, non pas seulement ici mais partout, dans
d'autres endroits, ça commence à en arriver simplement à...
164 Ma foi! Les gens... Voyez, mes amis, c'est
tellement rusé. C'est venu avec une telle facilité que cela vous
amollit simplement. Le diable a coutume d'être dans les modes. Il ne
pourrait pas avoir quitté les modes. Mais il n'a pas non plus quitté
les affaires, je vous le dis. Il est toujours dans les affaires.
165 Voyez aujourd'hui. Considérons comme je le
disais, il y a quelques moments, une petite dame, une chère petite
fille avec une rose, par exemple, la rose est jolie. Elle est là pour
être admirée, c'est vrai. Et c'est comme l'église, elle est là pour
être admirée. C'est juste. Mais si elle... elle est belle, ça c'est
pour son mari, elle--elle est très bien. Mais si elle n'a pas l'épée de
la moralité par devers elle pour la protéger, elle deviendra un fardeau
pour la société et pour l'humanité, elle tombera si bas et sera
scandaleuse et corrompue au point que les chiens ne voudront pas la
regarder. C'est vrai.
166 Et c'est pareil pour l'église du Dieu vivant! Ils
vont là et ils essaient de produire de l'excitation et faire des
arrangements et agissent comme... Ils déshabillent les femmes ici... et
les gens ne se rendent pas compte que ce sont des démons qui
envahissent vos maisons.
167 L'autre jour, juste dans mon voisinage, une jeune
dame que je considère comme une femme très bien... Elle est mariée et a
un enfant. Et la jeune femme sortit là-bas. Le mari descendit sur la
route pour faire un travail et cette jeune dame sortit là avec leurs
espèces de petits vêtements sur elle. C'était horrible.
168 Ceci est un discours terrible pour la fête des
mères. Mais mon frère, laisse-moi te dire quelque chose. Mères, revenez
à votre maternité!
169 Et même un petit garçon qui, était en visite dans
notre voisinage, vint nous en parler, en disant: «Voyez là-bas!»
Je dis: «Eh bien! ça ce n'est rien.»
170 La femme est une gentille femme. Je ne dis pas
qu'elle est immorale. Mais le problème, c'est qu'il y a sur elle un
esprit impur malsain de la mode qui la fait agir de cette façon-là et
elle ne le sait pas.
171 Que désirerait une maman au monde, en mettant ces
espèces de vêtements obscènes et s'exhiber devant des hommes? Vous êtes
jolie, ma Soeur. Vous êtes jolie, maman. Je remercie Dieu pour vous.
Mais bien que jolie, vous n'avez pas là le Saint-Esprit pour protéger
cette moralité. Mieux valait être laide, personne ne vous regarderait,
et aller au Ciel. C'est juste! C'est vrai! Voyez ce que vous faites de
cette moralité.
172 Maintenant ce qu'il y a, c'est que le diable est
entré et a appris aux gens ces choses. Il est entré dans les
prédicateurs, ils suivent le modèle d'Hollywood. Les filles et les
jeunes dames, elles suivent le modèle d'Hollywood. Les meilleures
choses qu'ils ont dans le pays, les choses les plus immorales, on en
parle à la radio.
173 Une vieille femme comme Miss Katy Starr; je n'ai
rien contre elle. Mais à voir une vieille femme de cinquante ans et
tout, avec ses vêtements, toute serrée, comme si elle se déversait dans
un sac de farine. Je ne dis pas cela pour plaisanter, car je parle
contre ces choses. Mais une femme qui agit de cette manière-là;
s'élever et être un exemple pour une jeune femme américaine, notre
nation en est redevable. [Frère Branham frappe sur la chaire cinq fois.
Ndt.] C'est le diable.
174 Des personnes comme Arthur Godfrey et ceux qui
courent ici autour et qui agissent comme ils le font, être l'homme le
plus considéré dans le pays comme cela? Et pourquoi? C'est une disgrâce.
175 Alléluia! Je le dis parce que je sens la présence
de Saint-Esprit ici. L'invasion a lieu. Elle balaye de maison en
maison, d'un endroit à un autre, d'une église à une autre, d'un homme à
un autre.
176 Enfants, au Nom de Jésus-Christ, levez-vous et
prenez position pour la moralité, pour le réveil et pour le Seigneur
Jésus-Christ et dites: «Je prendrai le chemin avec le petit nombre des
méprisés du Seigneur.» Oui, monsieur.
«Je serai une véritable maman.»
«Je serai un véritable papa.»
Pendant que le monde entier, et tous les alentours,
Tout autour de mon âme cède,
Il est alors toute mon espérance et mon appui.
Car sur Christ, le Rocher Solide, je me tiens.
Tout autre terrain n'est que sable mouvant,
Tous les autres terrains.
177 Qu'est-ce qui a causé toute cette histoire?
Qu'est-ce qui a entraîné les prédicateurs à se comporter comme cela?
Qu'est-ce qui fit que les prédicateurs prophétisent ce mensonge aux
gens?
178 Qu'est-ce qui fit que vous les Méthodistes, il y
a de cela des années... lorsque le vieux John Smith saisit sa chaire
pour prêcher l'Évangile et il prêcha un court sermon de quatre heures.
Et il dit: «Le trouble c'est que mon coeur se déchire.» Il dit: «Les
filles Méthodistes portent même des bagues à leurs doigts.»
179 Et aujourd'hui elles portent des shorts et des
espèces de petits vêtements obscènes. Et si rien ne se fait, dans une
autre cinquantaine d'années, elles seront complètement nues. [Frère
Branham frappe sur la chaire trois fois. Ndt.] Que vous est-il arrivé,
vous prédicateurs Méthodistes, vous Campbellistes, vous Baptistes? Oui,
monsieur. C'est le diable. Il a déployé ses forces et il a envoyé ses
diablotins.
180 Et vous ne vous en rendez même pas compte vous,
femmes; vous fumez des cigarettes et agissez comme vous le faites, vous
buvez et vous vous comportez de cette manière-là. Vous ne réalisez pas
que vous empoisonnez votre organisme et vous ruinez toute la génération
qui vous suit, s'il y en aura. En fumant des cigarettes, vous avez 85%
de chances d'attraper le cancer et vous vous y plongez délibérément. Et
les églises approuvent cela.
181 Dans une grande église Baptiste ici récemment. Je
frappe les Baptistes. J'ai le droit de le faire; Ils penchent en
quelque sorte du côté d'où je suis sorti. Quand ils devaient s'accorder
sur la pause entre le service de l'école du Dimanche et le service de
la prédication pour que le pasteur et tous puissent sortir aller fumer,
et la rue était remplie d'hommes et de femmes fumant des cigarettes. Le
diable a fait cela. C'est juste.
182 Et ici notre propre ville, l'un des ministres les
plus célèbres, là-bas en New Albany sur cette cour de récréation, où
l'un de nos ministres célèbres de la ville dirige ce programme de
quadrille, pour entraîner les hommes et les femmes sur l'estrade.
183 Ne vous souciez pas de ce que le monde dit. Peu
m'importe comment vous essayez de l'amadouer par des paroles. Il
n'existe pas d'homme avec ses sens qui étreigne la femme d'un autre
homme et ne ressente rien. Vous savez que c'est la vérité.
184 Ils ont pris nos femmes et les ont déshabillées,
là-bas dans les bureaux et conduisant des taxis partout dans les rues.
Alors qu'elles devraient être à la maison, dans la cuisine derrière le
réchaud en train de préparer le repas et apprêter la table.
185 Qu'est-ce? C'est le diable, l'invasion a lieu. Je
ne dis rien contre cette personne-ci ou cette personne-là. Je dis que
ce sont des esprits impurs qui possèdent ces gens, les conduisant dans
cela. L'invasion des États-Unis!
186 La chute de l'église! L'église est ruinée par le
diable. Là-bas...
187 Ils élèvent un garçon. Quand il arrive au
séminaire, la première chose qu'il doit apprendre, c'est d'avoir ses
diplômes, il doit étudier la psychologie, il doit étudier la théologie.
On doit l'enseigner et l'endoctriner avec toutes sortes de choses. S'il
n'a pas une bonne instruction, s'il n'est pas aussi intelligent et
brillant, comme il se doit, alors ils le chassent, il est disqualifié.
Qu'a-t-il fait? Il sort donc là pour présenter une petite causerie
politique comme il faut, une causerie politique de l'église à un groupe
de gens, à un groupe d'hommes et de femmes mourants.
188 Ô Dieu, envoie-nous des hommes à l'ancienne mode,
qui ne savent pas distinguer A et B, mais qui connaissent la Puissance
de la résurrection du Seigneur Jésus-Christ, qui prêcheront la
repentance et amèneront les hommes et les femmes à l'autel, pour aimer
le Seigneur Jésus. [Passage blanc sur la bande. Ndt.]
189 C'est une culpabilité. Il a envahi nos séminaires
et nos églises. Il a déshabillé nos femmes. Il a amené les hommes à un
point tel que vous ne pouvez rien leur dire. Et les hommes et les
femmes, je pense...
190 Vous dites: «Eh bien! il s'agit des femmes!»
Oui, et vous hommes qui laissez vos femmes faire
cela, ça montre de quoi vous êtes faits. C'est exactement cela.
Certainement. C'est une disgrâce. C'est pitoyable.
191 Et puis ça atteint le prédicateur. Le prédicateur
se tient sur l'estrade devant une chaire moderniste. Il se tient là, en
face de lui il y a des gens et prêche au sujet de chaque espèce de
petite chose du monde, en dehors du péché, de la repentance et de la
Croix rugueuse de Christ. Oui.
192 Quand vous laissez ces choses de côté, alors les
gens viendront vous écouter dans le service d'évangélisation. Essayez
de toucher ces choses et prêcher l'Évangile en amenant les gens à la
repentance et en les tirant, ils vont exploser et sortiront. Ils ne
veulent pas L'entendre. Non, ils ne vont pas L'entendre. Mais frère,
ils doivent se repentir ou bien périr.
193 Les démons! Allez dans les écoles, elles ont été
envahies. Voyez tout autour dans le pays aujourd'hui. Voyez ici, vous
les gens, vous les Protestants. Tenez, il y a quatre grandes écoles
catholiques et des choses qui sont construites aujourd'hui. Pourquoi?
Vous laissez tomber les barrières.
194 Je n'ai rien contre le Catholicisme quoique je
n'y crois pas. Je suis strictement Protestant. C'est tout à fait juste
et je peux prouver qu'ils n'ont... Vous ne pouvez pas discuter avec
eux. Ils disent: «Peu importe ce que dit la Bible, nous, nous savons ce
que dit l'église.»
195 Dieu est dans Sa Parole. [Frère Branham frappe
sur la chaire cinq fois. Ndt.] C'est là que se trouve Dieu.
196 Mais certains des Catholiques, qui sont attachés
à leur église, vous feraient avoir honte de vous-mêmes, vous
Protestants. Si seulement vous vous attachiez à la Bible comme eux
s'attachent à l'église. C'est juste. Mais ils sont en erreur. Je peux
le dire sous l'autorité du Dieu Tout-Puissant qu'ils sont en erreur.
Absolument.
197 Et vous êtes aussi en erreur, vous les
Protestants, de la manière dont vous agissez, parce que vous en savez
vraiment mieux, mais vous le faites de toute façon. Cela fait de vous
un hypocrite. Certainement, que c'est une invasion; les églises
démissionnent. Et maintenant au lieu de...
198 L'église essaie de faire de l'église, de rendre
l'église belle en construisant une plus grande église, en mettant sur
elle de grands clochers et des grandes orgues à tuyau et en faisant
toutes choses pour imiter le modèle de l'église Catholique. [Frère
Branham frappe plusieurs fois sur la chaire, Ndt.] Vous n'avez pas
besoin de suivre le modèle de l'église Catholique si elle est vouée à
la destruction. Car AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle est vouée à la
destruction. Et si vous suivez son modèle, vous irez avec elle.
199 Mais ce dont nous avons besoin aujourd'hui, ce
n'est pas d'une grande église, ni d'un grand clocher, mais des autels à
l'ancienne mode où les péchés sont brûlés avec des prières consacrées
des hommes et des femmes qui aiment le Seigneur Jésus-Christ. Vous
savez cela. C'est ce dont nous avons besoin. Écoutez-moi mes amis.
Écoutez-moi. C'est l'Amour.
200 Mon temps est épuisé. Je voudrais juste
m'attarder sur cela. Un peu plus tard je reprendrai cette invasion, là
où elle a progressé.Mon temps est fini. J'aimerais rester un peu sur
cela, où... Cela a envahi, cela a envahi nos nations. Cela a envahi les
États-Unis.
201 Maintenant, souvenez-vous que je n'ai jamais
participé à un vote dans ma vie, voyez, il n'y a rien à se vanter. Ce
sont mes droits acquis en naissant en tant qu'américain, si je voulais
les exercer. Mais je pense beaucoup à mes amis qui entrent dedans.
Voyez, je les ai vus y entrer étant des hommes honnêtes, mais en sortir
des crapules. Et je ne veux pas de cela.
202 J'ai une chose: je suis ici en train de
construire une estrade pour quelqu'un qui en est le candidat et c'est
Jésus-Christ et Lui seul. Je consacre mon temps pour Lui, c'est juste.
Si je peux redresser l'église, le reste du monde prendra soin de
lui-même. C'est juste.
203 Mais laissez-moi vous dire. Lorsque monsieur
Roosevelt... Il est mort. Qu'il se repose; je crois qu'il se repose. Il
vint et brigua trois ou quatre mandats et il prit le pouvoir, c'était
juste une dictature préliminaire. Je peux vous montrer dans les
Écritures où Elles ont dit que cela se produirait. C'est juste. Nous
n'avons plus de constitution. Elle est taillée en morceaux. Tout est
tombé par terre. Les Républicains sont aussi mauvais. C'est six d'un
côté et une demi-douzaine de l'autre.
204 Car chaque royaume sera brisé mais le Royaume de
Jésus-Christ subsistera et régnera à jamais. C'est juste. Sur... Daniel
avait vu la Pierre se détacher de la montagne et frapper le système
politique, le mettant en moule, comme la balle qui s'échappe dans une
aire, en été. Mais la Pierre devint une grande montagne qui remplit le
ciel... remplit tout le ciel et toute la terre. C'est cela.
205 Le système politique est à sa fin. Notre nation
est brisée. Vous souvenez-vous ce ça, que Frère Branham a dit cela
comme «AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Notre nation est tombée, elle ne se
relèvera jamais. C'en est fini d'elle comme le reste de toutes les
nations. C'est la plus grande nation dans le monde qui se tient
aujourd'hui mais la semence même du diable a été plantée dans les
coeurs des gens. Comme elle est venue à Hollywood, comme elle s'est
répandue dans les gens et commence avec ceci. Et vous ne pouvez rien
leur dire.
206 Trouvez là un président qui essayera d'interdire
le whisky et instituera la prohibition et voyez ce qui arriverait. Il
sera fusillé deux heures après qu'il soit là. Certainement qu'il ne le
pourra pas, car tout le monde sera contre lui. Oui, monsieur. Vous ne
pourriez pas le faire.
207 Elle est finie. Elle a été envahie et l'esprit du
communisme a pris le dessus.
208 Allez dans nos écoles aujourd'hui et observez vos
écoliers et nos petits enfants qui vont à l'école. Vous devriez
connaître ce qui se passe avec nos petites filles là dans les écoles et
ces choses comme cela; celles qui ont atteint l'âge de quatorze ou
quinze ans. Leurs mamans les envoient à l'école, elles sont moralement
et mentalement ruinées. Elles se droguent, elles s'intoxiquent, fumant
des cigarettes et faisant toutes ces autres choses comme cela. Et les
petits enfants deviennent ainsi à un jeune âge comme cela. Il serait
aussi pénible de trouver parmi quelques-unes d'entre elles une vierge
comme il serait difficile de trouver une aiguille dans une meule de
foin, là où elles se fréquentent et se donnent des rendez-vous avec des
garçons et vont s'étendre sur ces plages et partout ailleurs.
209 Et je peux vous le prouver, mes amis. [Frère
Branham frappe sur la chaire trois fois. Ndt.] Je ne l'aurais pas dit
du haut de la chaire si je ne savais pas de quoi je parle sur ces
écoles qui sont ici dans nos États, juste ici dans nos États, à propos
de l'habillement de ces petites dames-là, ne sachant... qui disent à
leurs mamans qu'elles vont à différents endroits, pour se rencontrer
avec des garçons et même se prostituer dans les rues de Louisville,
qu'est-ce? Et elles chantent dans la chorale.
210 C'est parce qu'elles ont un vieil Évangile social
qui est là et où les prédicateurs se tiennent pour raconter de petites
histoires et de petites histoires de la Bible ou quelque chose de
semblable au lieu de prêcher la repentance et d'amener les hommes et
les femmes à l'autel.
211 Son père se promène la nuit, allume un cigare,
prend un verre de bière et s'assied pour boire. La maman sort le jour
en compagnie d'un groupe de femmes à l'occasion d'une réception d'une
certaine référence sociale comme cela. Comment pouvez-vous espérer que
l'enfant soit quelque chose d'autre?
212 Voyez, l'environnement dans lequel vous vivez,
c'est ce que vous êtes.
213 Prenez une petite fille, un jeune garçon et
laissez-les sortir et vivre avec quelqu'un. Prenez un homme, je peux
prendre mon garçon et le laisser sortir un jour avec quelqu'un. Quand
je rentre, je peux toujours vous dire avec qui il a été. Certainement.
Observez cet environnement, cet esprit le saisit.
214 Allez dans une église où tout le monde... Allez
dans les églises du Saint-Esprit ou dans les églises Pentecôtistes,
comme on les appelle. Que tout le monde... Oh! le pasteur court et
secoue sa tête en avant et en arrière. Voyez toute l'église qui
commence à faire de même. Que cet homme continue dans quelque chose de
drôle ou quelque chose d'autre, voyez toute l'église qui suit cela.
Allez à un endroit où le pasteur est vraiment empesé et froid, voyez
tout le groupe agir de même. Vous êtes entrés dans cet environnement.
215 Prenez un homme qui est moralement un brave homme
et qu'il se marie avec une espèce de petite femme ne valant pas plus
dix cents. Ça ne sera pas long pour que l'homme aussi ne vaille plus
que dix cents. Et c'est ce qui arriva à Achab. Et vice versa. Prenez de
même une gentille petite femme qui se marie à un homme qui ne vaut pas
dix cents. La première chose, vous savez, elle fera la même chose que
lui.
216 Comme je pourrais ce matin désigner de mes mains
des foyers brisés et ces choses, où des petites mamans aimables sont
allées avec des papas ivrognes et des choses semblables; elles
pensaient qu'elles pourraient faire quelque chose avec eux, mais
maintenant, et la maman et chacun d'eux boivent et ainsi de suite.
C'est l'environnement.
217 Qu'est-ce? C'est le diable. C'est le diable,
c'est l'invasion. Il a balayé cette nation comme un lion rugissant. Il
s'est établi au meilleur endroit qu'ils aient à Hollywood. Il se dit:
«Je peux m'emparer des films jusqu'à ce qu'arrive la télévision, alors
je les aurai.» Et il est assis là.
218 Et les gens qui vont aux églises au lieu
d'arrêter ces spectacles, ne laissant pas leurs enfants y aller, ils
leur donnent dix Cents le Dimanche après-midi et les y envoient, ainsi
ils pourront avoir une petite réception sociale, ils pourront eux-mêmes
sortir et se promener autour. Oh! quelle disgrâce! Maintenant ils
ouvrent la télévision et regardent toute cette saleté, cette sale
pourriture qu'il y a sur elle et qui vient du monde. C'est juste.
219 Je n'ai rien contre les films. Je n'ai rien
contre la télévision. C'est contre cette chose pourrie qu'il y a sur
elle. C'est de cela. Si vous aviez voulu la garder morale, elle aurait
dû demeurer morale.
220 Aujourd'hui en ville, vous ne pourriez plus
vendre des chaussures avec des boutons comme dans le temps. Les femmes
n'en veulent pas. Elles veulent que leurs orteils soient découverts. Le
reste de femmes le fait. C'est juste.
221 Quand vous allez à l'église, vous ne pouvez pas
leur vendre la religion à l'ancienne mode parce que cette autre femme
ne veut rien à faire avec cela. Non, monsieur. «Et je n'ai pas besoin
d'aller là-bas. Je crois simplement, c'est tout ce qu'il y a à faire.»
Oh! frère, le diable croit aussi. C'est juste.
Repentez-vous sinon vous périrez.
222 Maintenant regretter, non je ne regrette pas.
Non, je ne le fais pas. Non, je reviens sur cela. J'aime les gens. Et
je--je vous aime trop pour vous voir vous plonger la tête en avant
comme cela. Dieu voulant, je reprendrai cela; un peu plus tard au
courant de la semaine.
223 Maintenant, à vous mères qui l'êtes. Juste un mot
avant de s'en aller. Que Dieu vous bénisse. Élevez vos enfants dans la
droiture.
224 Nous reprendrons cette invasion. Nous devons
encore allez avec elle dans des foyers, à beaucoup d'endroits, aux
écoles et à divers autres droits. Nous la reprendrons.
225 Mais l'invasion des États-Unis, le diable les a
envahis. N'ayez pas peur de la Russie. La Russie n'a rien à faire. Nous
le faisons nous-mêmes par notre propre corruption juste parmi nous.
C'est juste.
226 Vous savez, les États-Unis connaissent plus de
cas de divorces que tout le reste du monde; plus de cas de divorces!
Pensez-y! C'est horrible! La maternité a été brisée. Les mamans ne
restent plus à la maison avec leurs enfants comme elles en avaient
l'habitude. Elles doivent chercher un emploi.
227 L'autre jour ici, un certain épicier dans la
ville parlait à ce propos, à propos de ces femmes qui travaillent dans
ces usines publiques, de ces jeunes femmes avec une kyrielle de petits
enfants. Elles ont des nounous qui s'occupent de leurs bébés. Elles
travaillent dans ces usines publiques. Il dit: «Il y en avait deux qui
se tenaient là... qui étaient licenciées de leurs services publics, qui
dirent: - Ne vous en faites pas. Nous travaillerons de toute
façon.»
228 Oh! le temps de prostitution est en cours.
Sûrement. Le diable leur dit qu'elles sont le chef de la maison. Elles
en font à leur guise. Elles feront ce qu'elles veulent. Et essayez de
le faire sortir d'elles si vous le pouvez.
229 Il n'y a qu'une seule chose qui puisse le faire
sortir d'elles; c'est l'autel à l'ancienne mode devant Jésus-Christ;
une religion qui fait couler des larmes, qui saisit les coeurs et les
taille en pièces et qui fait d'elles ce qu'elles devraient être. C'est
juste.
230 Elles peuvent penser que je ne suis qu'un vieux
fanatique. Mais le jour où vous mourrez, mon frère, ma soeur, vous
réaliserez que je vous dis la Vérité. C'est juste.
231 L'invasion a lieu, l'heure est là. Maintenant,
oui, c'est une heure de décision aussi, une heure de décision. Non pas
celle de venir à l'église; mais une heure de décision si vous allez
servir Christ ou si vous allez rester tiède dans votre église. Et ça
c'est juste.
232 Il y a beaucoup de membres d'église. Si tous les
membres... ou les américains qui professent être Chrétiens voudraient
être de véritables Chrétiens, des Chrétiens nés de nouveau, frère, nous
serions en sécurité presque comme au Ciel. Les troubles mortels, les
maladies et toute autre chose quitteraient le pays. Oui, monsieur.
233 Ne serait-il pas agréable de descendre la rue et
de voir s'approcher une dame, ou un homme disant: «Enchanté, Soeur.
Bonjour frère.» De descendre alors qu'il n'y a plus... vous n'avez plus
des soucis du monde. Tout est aussi agréable et magnifique. Et le
monsieur qui arrive au coin de la rue, au lieu d'essayer de vous
dépasser, s'arrêterait. «Très bien, frère. Très bien, vous pouvez...
Oh! passez avant moi.» Vous voyez, il préférerait seulement... Ne
serait-ce pas merveilleux? [L'Assemblée dit: «Amen.» Ndt.] Nous aurons
cela mais c'est dans le Millénium, frère, le jour s'approche. C'est
juste. Ainsi, nous ne sommes pas maintenant...
234 Je me tenais l'autre jour ici dans notre
voisinage. Je n'ai rien contre nos voisins mais je peux observer nos
petits enfants. Ma femme pleurait. Et un certain médecin de cette
ville-ci dont la fille fréquentait ma petite fille. Et elles s'aimaient
l'une l'autre jusqu'au moment où ils découvrirent que son nom était
Branham et qu'elle était la fille du Révérend Branham. Cela a tout
réglé. La petite fille ne pouvait plus sortir avec ma petite
fille. Oh! la la! Je pensais: «Eh bien! très bien.»
235 L'un de nos petits voisins là-bas dit: «Eh
bien...» Tout allait bien jusqu'à ce qu'ils aillent auprès de leur
pasteur. Ils ne me l'ont pas dit. Vous savez j'ai--j'ai une façon de
connaître beaucoup de choses, vous voyez? Donc ils--ils allèrent à leur
pasteur et dirent: «Vous savez, il y a un homme qui vit dans notre
voisinage, il est si gentil envers nos enfants.» Ils dirent. «C'est le
Révérend Branham, il les prend et les met dans sa vieille camionnette
et va les promener...»
236 Il dit: «Eh bien! [Frère Branham racle sa gorge.
Ndt.], nous n'avons rien contre le Révérend Branham. Il est très bien
mais vous voyez, il est juste différent des gens de notre classe, quoi.
Je ne voudrais pas... Parlez avec eux et soyez gentils mais laissez
simplement cela se terminer.»
237 Oh! frère! Ma femme se tenait là et pleurait. Je
dis: «Chérie, c'est la ligne de séparation, car moi et ma maison, nous
servirons le Seigneur.»
238 Même si tout le monde disparaît, moi je
m'attacherai toujours à Jésus-Christ! Si je dois être appelé fanatique,
si ma famille et les miens et autres me délaissent, je choisis toujours
Jésus-Christ. Tiens l'immuable main de Dieu. Quand tes amis sur terre
t'abandonnent, reste attaché toujours plus près de Lui. Tiens-Le.
239 Ô Dieu, laisse-moi prêcher comme je n'ai jamais
prêché avant. Que je prêche aux mortels comme étant moi-même un mortel.
Laisse-moi prêcher aux gens comme si je n'aurai plus jamais à prêcher
un sermon de ma vie. Laisse-moi les persuader de venir à l'autel avec
des visages défaits avec des larmes et rentrer à la maison pour vivre
comme des Chrétiens, pour vivre dans leurs voisinages. Arrêtez de
gambader ici et de courir autour; de sauter et ainsi de suite. Arrêtez
d'agir comme ceci de crier comme ceci et d'agir comme cela. Oh! ne
faites pas cela. Ça c'est le diable. Ce sont des démons qui s'emparent
des Chrétiens.
240 Rappelez-vous que ces serviteurs-là étaient des
prophètes. Ils étaient des prophètes. Ils étaient des hommes religieux
qui offraient des sacrifices. Ils étaient tout aussi religieux que les
enseignants de ce jour-ci, mais frère, ils étaient très loin de
connaître la Vérité.
241 Ne voyez-vous pas combien le diable est
religieux? Le diable n'est pas un anti... pas une grande chose,
entièrement opposée au christianisme comme l'est le communisme. Ce
n'est pas ça. Ça c'est aussi le diable. Certainement, mais ce n'est pas
l'anti-Christ. L'anti-Christ est très religieux, très religieux. Ce fut
un esprit religieux qui crucifia Jésus. Ça a toujours été un monde
religieux, un peuple religieux qui crucifie. Ce fut le peuple religieux
qui s'était opposé au véritable Christ. Ce furent des prophètes
religieux qui s'opposèrent à Michée. Ce sont les gens religieux de ce
jour qui s'opposent au Message de Dieu.
242 Souvenez-vous que je vous ai avertis. Je vous
l'ai dit. Je ne parle pas beaucoup des Catholiques, des Baptistes et
des Méthodistes. Je suis en train de parler seulement des gens qui sont
les gens de la sainteté; c'est juste là parmi eux. Pensez-y aujourd'hui
où ils en sont arrivés aux mises en scènes. Oh! la la! Quelquefois,
j'entrais, mon coeur se brisait au-dedans de moi.
243 Quelqu'un se tiendra là avec un vieux banjo et
pinçant un vieux violon comme cela: «Est-ce celui-ci le cow-boy du
Texas Tel et Tel?»
Je n'ai rien contre l'homme, mais ça c'est pour les
gens du monde qui est dehors. C'est juste. Je voudrais plutôt? frère,
me tenir là n'ayant rien, et rien du tout mais me tenir juste debout et
élever mes mains pour dire «Jésus, garde-moi près de la Croix.» Oui,
monsieur.
Je porterai cette Croix consacrée
Jusqu'à ce que la mort me libère
Puis aller à la Maison porter une couronne
Car il y a là pour moi une couronne.
244 Maintenant à vous petites mamans ici ce matin,
celles qui sont vraiment des mamans. Et je sais qu'il y en a beaucoup
parmi vous; je pense, que chacune d'entre vous. Laissez-moi vous dire
quelque chose. Que Dieu vous bénisse. Vous êtes le cinquième Évangile,
je pense. Laissez-moi vous dire quelque chose à propos de vos enfants,
juste un petit quelque chose. Parce que Frère Neville va probablement
prêcher sur la maman, ce soir; ou n'importe qui d'autre, l'un de nous
qui prêchons. Très bien, c'est au sujet des mamans. Mais écoutez,
laissez-moi vous demander quelque chose.
245 Rappelez-vous que lorsque Moïse était un petit
enfant, ce fut sa mère qui lui donna son instruction. C'était une maman
pieuse qui prenait Moïse sur ses genoux et disait: «Moïse...» et elle
lui apprenait tout. Il était son enseignant ou...; plutôt elle était
son enseignant sous Pharaon et elle lui disait toutes ces choses. Elle
dit: «Moïse, un jour tu vas délivrer les enfants d'Israël. Tu es un
enfant appelé. Garde-toi pur et garde-toi des souillures du monde car
tu es celui qui est appelé.»
246 À ce que nous savons, il n'était jamais à un
séminaire ou à un autre endroit d'où il reçut son instruction. Il resta
juste dans le palais du Pharaon, qui était un païen, mais sa mère lui
enseignait. [Frère Branham frappe sur la chaire trois fois. Ndt.] Ça
c'est une véritable mère. Elle lui enseigna les préceptes du Seigneur.
Elle lui apprit comment il devait se garder dans la sainteté. Elle lui
apprit comment il devait vivre, qu'est-ce qu'il devait faire, et ce que
Dieu devrait faire ou allait faire de lui. Et Moïse fut marqué de cela
tous les jours de sa vie.
247 Et toute véritable maman, bonne et loyale,
prendra ses enfants, au lieu de les laisser regarder des films et des
danses, et toutes ces choses, elle les mettra sur ses genoux et leur
enseignera au sujet du Seigneur Jésus-Christ!
248 L'autre jour ici, je parlais au téléphone à une
maman. Et la maman dit: «Oh! frère Bill dit-elle, mon pauvre garçon a
des problèmes.» Elle dit: «Oh! quel trouble il a!»
249 Je dis: «Oui, chère soeur, j'en sais quelque
chose.»
Elle dit: «Il se pourrait qu'il soit mauvais, je ne
sais pas.» Elle dit: «L'un dit ceci et l'autre dit cela, je ne sais
pas.» Mais elle dit: «Peu importe ce qu'il est, bon ou mauvais, je
l'aime.»
Vous y voilà. «Je l'aime.»
250 Il parla à sa mère disant: «J'ai été tellement
séduit par ceci et par cela.» Il dit: «Maman, je crois que tu es
presque la seule chérie que j'ai vraiment; une femme qui m'est fidèle
et qui s'attache à moi.»
Ça c'est l'amour maternel. Ça c'est une véritable
maman qui mettra ses bras autour de son bébé. Peu importe qu'il soit
bon ou mauvais; elle ira vers lui. Et si Dieu... Si une mère peut
penser cela de son bébé, à combien plus forte raison Dieu pensera-t-Il
des Siens? Vous voyez? Restez juste avec Lui. Allez de l'avant.
251 Et maintenant, laissez-moi vous parler très
rapidement d'une autre maman avant que nous terminions. Il y avait une
maman qui s'appelait Hérodias. Elle apprit à sa fille la danse à
claquettes. Elle voulait qu'elle soit populaire. Et elle dansa devant
le roi et réclama la tête de Jean le Baptiste. Nous avons le témoignage
de soixante-dix de ses filles [«offsprings» Ndt.], ces danseuses qui
dansèrent devant... Les filles d'Hérodias dansèrent devant Hérode,
soixante-dix d'entre elles, elles sont mortes soit comme des
prostituées, soit comme gibiers de potence.
252 Une maman apprit à sa fille les choses du monde,
l'autre apprit à son fils les choses de Dieu. L'un devint un grand
conducteur et un conquérant, immortel parmi les hommes aujourd'hui
alors que l'autre est rafistolée et se trouve en enfer, ayant emporté
avec elle des milliers. Voyez ce que je veux dire? «Élevez l'enfant
dans la voie qu'il doit suivre.»
253 Certainement que je sympathise avec vous, pauvres
mamans qui êtes ici portant vos blanches roses. Il y a aujourd'hui un
ciel où est allée une maman, une bonne mère à l'ancienne mode qui vécut
pour Dieu. Probablement, elle est passée de l'autre côté du voile. Elle
attend que vous veniez. C'est juste.
254 Je vous respecte et je vous honore, vous qui
portez là vos roses rouges. Si vous désirez faire quelque chose pour
elle, pour votre maman, faites-le les trois cent soixante-cinq jours de
l'année. Allez dans sa maison et offrez des prières et vivez pour Dieu.
C'est la chose à faire. Et élevez vos enfants. Et quand vos enfants
auront grandi, ils vous diront «bienheureuse», après que vous ayez
passé de l'autre côté. Ça c'est le véritable esprit de la maternité et
le véritable esprit de la fête des mères. La fête des mères, ce sont
les trois cent soixante-cinq jours de l'année.
255 Ceci est le jour où ils vendent des fleurs et
s'échangent des cadeaux. Le monde le fait. S'il passe, si le monde
subsisterait dans vingt ans, ils auraient la journée des fils, la
journée des filles, la journée des cousins, la journée des oncles et
toutes des choses comme cela, juste assez pour emballer le monde dans
un commerce éclatant. C'est là que ça aboutira directement en enfer, à
la destruction, tout aussi pénible que ça puisse être. Mais pour vous,
que Dieu vous bénisse. C'est ma prière. Prions.
1 The will of the Lord for such certain things to happen at times... We went to Denver just recently and returned. I believe they wanted to report the meeting. It was one of the best meetings I've had in years. We had a marvelous time. Somewhat a little over two thousand gave their hearts to Christ, besides those who received the baptism of the Holy Spirit, besides great signs and wonders that our dear Lord Jesus did in the midst of the people there in Denver. They had a marvelous outpouring, and a great coming together of the people. We started off with around five thousand to begin with. And we had the Mammoth Gardens. And on the third night, there wasn't even any room for people to stand in the place. Had such a wonderful time, of the five nights...
2 We left there to go to
Canada, boy and I. And we got up into the mountains, and come a
snowstorm. I guess you've heard of it, over your radio. And some
hundred and eighty-eight people perished in it. And we was stuck in a
snowdrift for--for several days, up there in the mountains. And our
meeting passed by, and we had to come back home now before we leave
again. So we believe all that was maybe for the will of God, that it'll
be a better meeting and something else... He had something lined up for
us that we don't know.
We walk kindy in a dark world, but not in darkness. We just follow as
the Light goes, then we follow the Light.
And our heavenly Father perhaps had something that we know nothing
about. There might've been some danger laying up there. Or, again, He
might be working on somebody to bring... You see, God can just work on
one person like that; He change a whole nation just for that one
person, to get them in. And so we know it was all for God's good glory.
And we thank Him for it, and for protecting us. And there was many we...
5 Billy and I helped pick them up along the road and things like that, of people that were crashed and everything. But we come through without any trouble. We got off the road once, but that was just for a few moments. And some man up there on a ranch come down and pulled us out with a tractor. Just sliding, it was very slick.
6 And it was one of the things that they hadn't had for... Couldn't, the old-timers couldn't remember of ever having a storm like that in that country, at that time of year, Roundup, Montana. And we was... We know that anything real outstanding like that, our Lord had His hand in there somewhere. It was for some purpose, for--for our good. For our good, that's what it was.
7 And so I called Brother
Neville after I got back, and I said, "I'm going to be home Sunday.
And--and if you'd like for me to come down and maybe have Sunday
school, why, all right." And I said, "Then I'll--and I'll be very happy
to get to..."
He said, "Why, sure, Brother Bill." Said, "We're always so happy for
you to come," with a great big open heart and welcome, like that, and
put it on his radio program, yesterday. So we're thankful for all these
things.
9 And this morning, now, being Mother's Day. Most people, you'll hear Mother-Day sermons everywhere, and people speaking of mother, which I think is wonderful. Leave that for the rest of the service.
10 This morning I'd announced,
that, a--a subject of: "The Invasion Of The United States," that I
wanted to speak on. Which, you probably heard your radio broadcast, and
you'll hear plenty of them today. And there'll be a Mother's Day
sermon, perhaps, tonight in the services. And so I thought this morning
I would announce, "the--the invasion."
I spoke on it in Denver, here not exactly from the approach I aim to
give it this morning, if God willing. And it, had a wonderful time with
it. And the Lord just did bless in a wonderful way. It kind of
sometimes gives us a...
You have to be shook just a little bit to realize what it's all about,
don't we, sometimes? And we pray that God will do it.
13 And by the way, up there
when we got through... The Business Men of Denver was the ones
sponsored the meeting, and it was a little different sponsor than I'd
ever had before.
And usually, ministers, when they sponsor the meeting, they'll say,
"Did you announce it?" "Yep, to the church." That's just about it.
That's shepherds; they want their flock to know about it. That's just
about... That's their business.
But the Business Men were a little different. They wanted the world to
know about it, so they just flung out about three or four thousand
dollars worth of advertisement on all streetcars, taxicabs, on bumpers
of the cars, and everywhere. We had a wonderful time.
16 After the service was over,
they called me to one side, said, "Brother Branham, what can we do for
you now? What we owe you?"
I said, "Why, of course, nothing." I said, "You don't owe me nothing."
I said, "You can pay my hotel bill, down here, if you wish to."
"Oh, we want to do something for you." And they wouldn't... I wouldn't
take nothing from them.
So the manager called them around. He said, "I believe he kind of likes
to hunt and fish, doesn't he?"
Said, "Yes."
So one of the business men had a ranch up there, and he said, "I'll
just make him a present of that."
Well, Mr. Moore went up to see it, and he had to go back about
thirty-five miles by horseback. I said... Mr. Moore said, "I'd like to
see Sister Branham setting on a horse, going back to that." So he,
they, and but...
22 After that, though, they went over there to a homestead place at Silver Plumbe, Colorado. This is supposed to be on this side now. And they bought a little ranch over there, and putting up a five-room home over there for me now, to... at the Silver Plumbe, Colorado, which is right in the heart of the mountains. So you fishermen, I guess it's a good time, so it be a good place to relax, and when after the meetings and things, if God permits. That's up to Him. You see?
23 I wish now to call our
attention to the Word. And I just love the Word, the living Word of
God. It's... Inside the Word is the Life. Now, the Word, letter
killeth, but the Spirit giveth Life. And Life is in the Word, because
it's the Word of God. Life lays in Its Word.
Like if I told you, "I give you..."
You say, "I'm hungry, this morning, Brother Branham. Would you give me
five dollars?"
I'd say, "I will." Now, there's just as much life in that as there is
in my promise.
That's the same way it is by God. When God promises anything, then what
God is, His... He's got to be in His Word. See? This Word is worth
no... This Word is just the same as God. It is God.
Your word is what you are. It's your bond; we used to call it. Your
bond is your word. If we can't take your word, then I--I can't have
confidence. But if I can take your word for anything, then it's a man
of honor.
And the Bible said, "In the beginning was the Word, and the Word was
with God, and the Word was God." See? See? "And the Word was made flesh
and dwelled among us."
29 If we would think, this is
the very earth that we're living on, this morning, is the Word of God.
That tree is the Word of God. And you, your body, is the Word of God.
God spoke it into existence like that, made it from nothing, which had
nothing...
Did you ever notice the human life, where it come from? One little cell
so small that a human eye couldn't see it, only through a great,
powerful glass. And out of there come a hundred-and-fifty,
two-hundred-pound man. Where did it come from? See? God just spoke it,
and it just started by nature, growing, and there it produced just
exactly. He spoke every tree, everything into existence. And it's such
a wonderful, wonderful thing this morning to view the Word of God.
31 Now, this, this morning in
the Old Testament, turning over to Chronicles. I have been just a
little bit upset... While you're turning now to Chronicles the 18th
chapter. Just a little tired...
But if the Lord willing... I'm not sure; we'll know more Wednesday
night. If the Lord willing, and the church feels led that way, I'd like
to have Wednesday, Thursday, Friday, Saturday, and Sunday, as a revival
here, just a teaching revival from the Word. [Congregation,
"Amen."--Ed.]...?... Wednesday, Thursday, Friday, Saturday, and
Sunday, just teaching on the Word; not healing services, but teaching.
Maybe the Lord will lead us that way. And then we... I just love to be
with you and have the fellowship around the Word with you. And thank
you very much for that fine, wonderful "amen."
33 Now, in the 18th chapter of
Chronicles, and beginning with the 12th verse, we wish to base our
thoughts, just for a little while on this vital subject of the day. I
Chronic... Or, II Chronicles, I beg your pardon. II Chronicles 18:12,
and we'll read a portion of it here, and see what our Lord will have us
to know.
And the messenger
that went to call Micaiah spake to him, saying, Behold, the words of
the prophets declare good unto the king with one assent; let thy word
therefore, I pray thee, be like one of theirs, and speak thou good.
And Micaiah said, As
the LORD liveth, even what my God saith, that will I speak.
And when he was come
to the king, the king said unto him, Micaiah, shall we go up to
Ramoth-gilead to battle, or shall we forbear? And he said, Go ye up,
and prosper, and they shall be delivered unto your hand.
34 Now, to base our thought
for a few moments, just one word to Him again, on this.
Our heavenly Father, with grateful hearts we approach Thee just now, in
behalf of lost souls, behalf of those who are needy, in behalf of the
church, that--may the Holy Spirit get into the Word quickly now, we
pray. Take It right straight to every heart here that has need. And
when He delivers His Message of the power of the Word into the heart,
may we all prosper by It this morning, going, leaving the tabernacle,
rejoicing and praising God, saying, "Our hearts burns within us because
of His Presence." For we ask it in His Name. Amen.
36 Our scene bases this
morning on a tragic. And the Old Testament to me, is always a shadow or
a--or a forecasting of the New Testament. Many times someone has said,
"Brother Branham, why is it you always take the Old Testament? Nearly
always, taking a text, you'll go back to the Old Testament." I do it
because I like typology. I like...
My education is very limited, as all know. And the only way that I know
to be somewhere near right, is to see what the pattern was, to look off
the blueprint and see what it was. And then I know what that was will
be something similar to what this is here, because it's just the shadow
of it. And I always look back to the Old Testament to see what the
children of Israel did, see what the punishment of sin was, see what
the justice of the prophets was, see what all those things were; and
then I'll have an idea what this is here, which has foreshadowed what
will be in the general wind up at the end.
38 During this time, there had been a great thing happen to Israel. It was in the darkness of its midnight.
39 In the Old Testament, if the Lord willing, maybe in the coming services, I'd like to show how that the Seven Church Ages typed out in the Old Testament. How that they began just exactly like at the--the beginning of the Church Ages of the Gentile church, and went right down through a similar dark age, and come out into the glorious time of Pentecost, at the falling of the Holy Spirit in the early church of the--in the Jewish dispensation. Then going through another period of the Gentile church, through a dark age, and then coming out again into the Millennium at the end...
40 Now, how that back in the
middle centuries there, this great king Ahab came up in power. And he
was kinda riding on the reputation of the other Israelite kings, which
was a... Ahab, himself, was kind of a--a borderline believer. I've
often referred to him that way, because he was part of the time on this
side of the fence, part of the time on that side of the fence.
You'd never know where to stand, a man that's unstable like that. Or a
person that professes to be a Christian, and that unstable, you don't
know what to do about the person. Today they're a Christian; tomorrow
you don't know where they're at. In church today they're rejoicing and
singing and praising God, and tomorrow, out drinking, carousing,
running around. Then that type of a person is hard to do anything with.
42 I remember, as a boy, once
we had a--an old horse, that he used to jump the fences all the time.
And I guess many of you men at my age, would know back in the horse
days, buggy days. I've come a many a time right down this street here,
driving a horse and buggy myself. I'm forty-five. So they... Remember
this old horse, we'd put a yoke on his neck, like you would a cow, to
keep him from jumping the fence. And he'd jump anyhow. And he would
hang that yoke and turn him around, and so forth. He'd get over the
fence. And one day, what he...
I wondered what was attracting that old fellow. And there was a big
sink hole down there. Now, he was standing in alfalfa, oh, high, but he
wanted... There was some blades of orchard grass in a sink hole. And he
jumped that fence and got in that sink hole where all these wire and
glass, where we... the... our--our dump, and get in there to get a few
mouthfuls of that orchard grass. And we had to get some more horses and
pull him out of that sink hole. When he got in there, he got hung up.
And when he stood out there, he was quivering and bleeding, and--and
how he was, just to get a mouthful or two of that orchard grass, when
he was standing in alfalfa, almost to his knees.
44 I've often thought of that picture. "A way of a transgressor is hard." He just wouldn't stay still where he was eating and having a wonderful time, but the--he had to jump the fence and go get all bruised and cut up like that, just to get a mouthful of--of grass of some other different kind. Now, that's just about the way people does that jumps the fence of God's pasture. Don't you believe that? Gets out, go out today; come in; in church having a wonderful time; then tomorrow sell out for something like that. It makes it very hard.
45 Ahab was more or less that type of a person. Every way the wind blowed, Ahab had his sail set, if it was on this side or that side. His marriage got him all messed up, with a little woman which was a little princess, a king's daughter, a Jezebel. Very pretty to look at, very beautiful woman, but in her heart she was wicked. And she was an idolater, and she caused all Israel...
46 Now, how I would like to border there just for a few minutes, as it was, and getting into the core of this on motherhood (See?), there. And when a man starts to get married, the type of a girl, woman that he... It's more than just look at beauty. You've got to get somebody, both soul and body joined together, somebody that's really going to be your friend and pal, that'll stick with you through thick and thin.
47 Now, but Ahab, he just fell for her because she was pretty, I suppose, and marry. It couldn't be nothing else about her, because as wicked as she was. And she come over there. And then, 'course, being wrapped up with her like that, and loved her, why, he caused all Israel to sin and to go against God, and to tear down the altars of God, built the altars of Baalam. And they had Baal worship all through Israel at the time.
48 Now, his wife had caused righteous Naboth... Many of you has read of him. How he took his garden, by deceit, swore a lie, and had false witnesses against him, because she wanted to do something for her husband; and killed a righteous man, in order to get a garden that joined close to the palace land.
49 All this, God was looking
down. So the prophet Elijah, which was a great mighty servant of the
Lord, prophesied and told Jezebel what would happen to her. And he told
Ahab that the dogs would lick his own blood. Now, when God has said
anything... 'Course, them days the direct Word of the Lord came through
the prophet.
"God, in sundry times and divers manners spoke to the fathers through
the prophets, in this last day through His Son, Christ Jesus." So This
is the Word. And if anything's contrary to That, leave it alone. See?
Now, secondarily, He speaks today through the prophet, the seer, and so
forth. But first is This, the Word, now.
52 And Ahab had done this
wickedness. And he went on, God blessing the people for many years. And
finally, Jehoshaphat was king over Judah, while Ahab was king over
Israel.
And then Jehoshaphat was a righteous man. He was the son of Asa. Asa
was a--a righteous man, and he tore down all the altars of--of idols,
built up the altars of Jehovah. And they having a--a revival, as it
was, up in Judah.
54 And then after while Jehoshaphat or... Ahab, rather, sent up, and he found out another piece of land in Syria, that he thought belonged to him, that he thought he'd go get. So he asked this Jehoshaphat if he would come and make an alliance with him.
55 And 'course, there is a
great danger now (See?), when they seen this great king Ahab down
there, and they seen this great one up here, Jehoshaphat: one of them,
a lukewarm; the other, a Spirit-filled man. Watch how you make your
alliance. Watch what you're doing, how you yoke yourself up with
unbelievers. Keep yourself clean, especially in the day that we're
living.
I believe, church, without a shadow of doubt, this is burning on my
heart. That's the reason I'm looking for these five nights, soon, to
once more, before it happens, give this church a thorough combing
through the Bible.
57 We're living in the shadows
of the time. It could happen any time. When we see the times come for
things to take place, the very wickedness of the enemy, the very
powers... We look at these snowstorms and everything a happening, all
these pestilences, all different things, that's all caused by these
interruptions of firing these bombs and things. They're getting things
all mixed up here. And they're messing around in God's big laboratory
to fulfill His Word. It's going to happen.
So "the man of sin" rising up, power, so deceitful... My. I heard a
minister this morning, a Spirit-filled man, taking the mark of the
beast and saying that the antichrist was Russia. What an error. Huh.
Russia has nothing to do with it. No, sir. That's Scripturally. Now,
but notice in this great time that we're living, a warning.
59 Now, this Jehoshaphat, feeling kind of good because the great king of Israel said, "Come, visit me." and he went down there. And they took ox and sheep, and so forth, done sacrifice. All the time, in Ahab's heart down there, he was a deceiver, 'cause he was not worshipping that, or offering those sheep and things with a true heart, because after all, he leaned more to his wife's religion.
60 And notice, just as Ahab married Jezebel during the time of that great dark age of Israel, he brought idolatry into Israel, a very type of today. Just in the dark age... When we come out through the early apostles, second round, third round, over into the dark age, the fifteen hundred years... Just as Ahab married Jezebel and brought idolatry into Israel, so did the Holy Ghost church marry into isms, and brought idolatry back; and today it's a form of Christianity (See, see?), just very dark. And now it's moved on down, each day; each church age moves down to that same thing to the great climax, till the lukewarm condition comes, lukewarm Laodicean Church Age. Oh, what a horrible hour that we're living in.
61 Listen. I want to confess right here, before I go any farther. I'm an old fashion preacher that's longing to see the old days again. I've seen so much of this impersonation, Hollywood glamor-izing the Gospel, till I'm so sick and tired of it. Yes, sir. I want to see the old fashion... I'm afraid we're making Christianity too pretty for people: danger line.
62 Now, Jehoshaphat comes
down, thinks, "Oh, well, this great king of Israel, I'll just... Oh,
we'll... It'll be all right." And right in the midst of all this big
glamour, what did he do? He made an alliance to go up and to fight the
enemy on common grounds, because they said, "We are both the same
people." But they wasn't. One was a Spirit-filled group; the other one
was a lukewarm group. They're not the same people. No, sir. You can't
have...
Darkness can't have fellowship with light. The--the night cannot exist
in the presence of the sunlight. And the most treacherous time there
is, is between the times. Just when the sun is a going down or rising
up, is the most treacherous time there is. There's not enough vision to
see clearly; your lights on your automobile won't show good and clear.
It's better to either be dark or light. Jesus said, "Be hot or cold, no
lukewarm." Just that's the danger line.
64 And there Jehoshaphat, when
he come down... And then this great alliance was made, which did not
please God. And notice, just in the time of his, all the excitement
now, "I have got favor with this king. And oh, I--I--I have fellowship
with this neighbor. I have..."
See, be careful that, church. See? That's what causes all the trouble
around this tabernacle here, and around others. See? Be careful about
what you're mixing up with. See? Come right out, and either be for
Christ or be against Him. See?
66 Now, this fellow made the alliance, and he thought he'd done something great. Yet, when he said, "Isn't there now, before we can go up, we should consult the Lord about this?" Now, Jehoshaphat had enough religion left in him, in his mistake, that he had went down there to this king, but he had enough religion left in him to think, "Well, we ought to at least consult the Lord."
67 Now, Ahab was going right
on out without saying a word, just his own mechanical, physical, human
way of doing things. I just wonder right here, church, if that hasn't
been, a lot of times, we've made mistakes. Figuring it out, and say,
"Well, it ought to be this a way," and we set it like that.
I think that's where a whole lot of the American evangelism is today,
that we have set it in a form of--of, I'd say, Hollywood evangelism,
whole lot about glamour. We notice the evangelist comes to the platform
today, and my, he's all puffed out, and tells a whole lot of jokes
before he starts to preaching, and things like that, and carries on and
acts like a clown in the pulpit. When it comes time to make an altar
call, the people don't even see any sincerity to make an altar call by.
That's right. That's the reason the world's got in a lukewarm condition
today, that it's in.
70 I wonder today. It's just, today, I... The church, we've tried to send our boys to school to learn psychology, and so forth like that, to know how to put over a program, to get in the pulpit and to arrange our... The message is so enticing, that it'll catch the people and catch their attention. And many a great psychologists go out as teachers like that, and dramatize, and put on a whole lot of something. And I just wonder, when they... We're always telling of the beauty and the attraction of the church. But we fail to tell them, "He that will follow Me, let him deny himself, take up his cross and follow Me." I wonder if we haven't made the beauty of the church too pretty for the fellow that comes in.
71 For instance, the Baptist
church today has got a slogan, "A million more in '44," taking in
members by the thousands, and the tens of thousands, unconverted, just
people who walk in and join the church. And it's an indebtiment to the
Church of Jesus Christ, to take such members in. They still drink. They
still smoke. They still gamble. They still lie.
They come to the church, expecting to be entertained by a bunch of
Hollywood evangelists that gets up, put on a lot of glamour, and a lot
of big instruments setting up-and-down on the platform, when, they
ought to have an old fashion, God-first, crying out, altar call down
there; where men and women don't come to glamortize, or to run up and
act a clown, but to get down to the altar and realize that the death of
Jesus Christ there, that died for them, that they're getting back
sincere with God again.
74 I wonder if we're not
living in that kind of a time, when we take great evangelists, like
many that's crossing the lands today, of great, known evangelists who
has studied psychology and attract the people to the church. But after
you once get them into the church, then what you going to do to them?
What--what are they going to happen after they get into the church?
Just join the church, and go back with the same sin and the same desire
that they come into the church with. They go back the same way. And
that's the reason today the world looks on, said, "Well, if that man
got religion, if this person got religion..."
I'm afraid we've made it too easy. It's... I love--I think, joy,
certainly, I believe that all joys lays in Jesus Christ. That's right.
I believe it's joyful and happy. But remember, brother, it's the way of
agony and suffering and the cross. You must realize that too. That's
right. I wonder if we haven't painted a little too--a little too smooth
like.
76 I was looking, and my wife
put... Started out, and she put a rose on my coat this morning. She
said, "You ought to wear it. Your mother's a living."
And I said, "Oh, honey, I don't know."
Mother's Day is wonderful, but that's like the world, they've
commercialized the thing, just merely to sell flowers and things like
that. Why, it's a discredit to mother. Why, my mother is my mother
every day of the year, yes, sir, not just one day.
I will say, "You love your mother?"
"I sent her a bouquet of flowers last Mother's Day." Well, brother, she
ought to be mother every day. But it's commercial.
79 That flower is pretty. I
love a pretty flower. I think of that just like I do... How pretty the
flower is. It blooms. And it's got fragrance. And the passer-by smells
it. The animal comes by, smells it. But now look, it's pretty. Like the
Church of the Lord Jesus Christ, It's the most glorious thing: Divine
healings, and powers, and wonders, and signs, and miracles, and freedom
from sin. It's a beautiful place. But look, if that rose... We'll have
to come, the Church, like all nature.
That rose, being pretty, every cow in the country would lick on it if
she could. But nature provided little bayonets, a little spears
sticking out there, called a thorns, and they leave them away. That
protects it. That's exactly.
81 And I think, today if we
haven't got the Word of God, sharper than a two-edged sword, around the
beauty of the power of the holiness of God, we're going to let every
cow in the country lick on It and cull It. It'll gaum It. It'll be an
indebtiment to the Church. That's right.
I think, today what we need is more old fashion, God-called ministers,
raw, maybe not with much education, but'll bring the people down to an
altar, and there agonize, not with a joy and laughing, and popping
chewing gum, and put their name on a paper; but, brother, an old crying
out and dying out, until men and women thoroughly repent from their
sins and come close to God. Amen.
83 I tell you, we got, "Raise
up your hands, who wants to accept Christ," all like that. That's all
right, brother, but that don't--that don't expel sin.
You've got to repent first, get right, get down there and really cry
out. I can remember the times when the old fashion people would walk
down through the aisles, and up-and-down the roads, a crying, and
talking to their neighbors. That was Christians of that day, telling
about the things of the Lord.
And today we put our name on the church book, and go out and stay home,
and never say a word about it: Unconcerned. "Just as long as we belong
to the church, it's all right." I'm sure we're wrong there, people.
Check up. For that won't stand in the judgment. No, sir. It won't.
Nothing less, "He that will follow Me, let him deny himself, take up
his cross, and die daily." Stay dead there on the cross. That's right.
Agony... "The way, I'll take the way," you sing, "with the Lord's
despised few."
87 I think today what a time
that we're living in. That evangelism, they put it out in great big
bright lights and they try... When you see the evangelist coming to
town, you wonder. I, my meetings has been guilty of the same. That's
right. I wonder who's coming to town sometimes, the evangelist or Jesus
Christ? Why, they got...
I went into a place here, not long ago, where a certain evangelist was
supposed to come. And Jesus' Name... Why, they had the picture of the
evangelist, "the man of the hour," the man's with this, and the man
with that.
89 I, sometimes I think of my ministry, and see people come. And I'd get in a hotel room, say, "God, who--who's the people coming to see, me or You?" See? "If they're coming to see me, they're lost yet; but, O God, tear me down and take me away. I want to represent You, the One Who'll stand before someday with trembling hands and trembling, feeble body, looking at me, knowing that my soul hangs by Your decision." Let us exalt Christ.
90 Today they say, "Well, I
belong to the Baptist. I'm a Methodist. I'm belong to the Tabernacle. I
do this." Oh, that has nothing to do with it, not a thing. I wonder
sometime.
Here not long ago, I seen a--an advertisement up, where a certain
campaign was coming to the city. And the word of the man, the man's
name were in great big letters all the way around, like that. And on
the bottom, in a little corner, said, "Jesus Christ the same yesterday,
today, and forever," way down in the corner. See?
They took all the sacredness from Christ and put it onto some man, or
some church, or some organization. Brother, I'm telling you; you can
get by with glamour, Hollywood clowning like that, and it's by the
church. But in the Presence of Jesus Christ, He's the One to be
glorified. That's right. Now, that's the truth, my dear brother and
sister.
93 Don't feel angry at me. You just remember that I'm preaching to you. I want to preach as if this was the last sermon I'd ever preach in my life. I want to preach every sermon I preach, as if I was a dying man preaching to dying men. And I am; my light's burning down, every day; yours is too. And we're dying mortals. And we got to face the living God some of these days, and we better be in deep sincerity about this.
94 And just in a glamour, and carrying on, and join the church, and go here and there, act this way and that way. We better be having old fashion prayer meetings in our homes and crying out to God day and night. The day is at hand, a time of distress, a time of trouble." The Bible said, "a dark day." And we're living in it.
96 How that this great man went down there under the excitement. He joined himself with the lukewarms, with a border line, and thought he was doing something great, thought that God was a blessing him. And not realizing that right then he was bringing in all this group with him. What? "Our little group of Judah--of Judah up here would come down and join ourself with the great bands of Israel. What a mighty people we'll be."
97 There you are. And that's
the very line of deceit the Devil's using right now to bring in the
antichrist, just as certain as I'm standing into this. "We'll unite our
efforts together." We can't do that. How can two walk together except
they be agreed?
This United States making the same, selfsame experience and the same
mistake, when it united with Russia back yonder, at the time they was
about ready to have war, and bound ourselves together with Russia. And
now you see what we got, don't you? They got our airplanes and all of
our secrets, and our atomic bombs and everything laying over there to
blow it back at us. Same thing goes by spiritual.
99 Then we find out, after
Jehoshaphat had made this alliance, and they consulted... Now, watch,
watch the outside world. He said, "Sure, we've got plenty of prophets
down here. We got a seminary full of them."
They go down and get the fellows there that had been trained, who
knowed psychology, who knowed all about it, said, "Come up now, and
we're asking and consult the Lord."
All of them, of course, in their fleshly puffed up mind, come up there
and said, "Now, look, we... You go on up. The Lord is with you, and the
Lord's going to give you that piece of land up there, that it's going
to be yours. You're going to push the Syrians all the way back. You're
going to do it." One of them even made hisself a big pair of iron horns
and begin to run around like this, saying, "This is what. You're going
to push the Syrians away."
102 But, Jehoshaphat, just a
little more spiritual to put up with that tommyrot of clowning...
That's right.
God, give us some more Jehoshaphats, sick and tired of this here
Hollywood clowning (That's right.), putting on, pretending to be
something that they're not; making out, dramatizing, drawing in. And
then when they come in, what's you got when he got in? Like asking a
man, "come swim," and in a desert. Nothing but bay sand upon your head
to cause sorrows afterwards...
104 Now, notice, what can you
bring them into? A certain lady said to me the other day, "A man said,
'I'd go to church, but what--what would I get when I went to church?'"
Said, "'All they do is organize some supper, and they--about this,
that, and the other.'"
And the lady said, "I stood speechless, for I didn't know where to send
him." There you are. Said, "I wish I could find an old church where
they really sing the old fashion hymns and live godly."
Children that are hungry, they'll eat from a garbage can. It's up to
the Church of the living God to feed them the true living Word of
the--of God.
106 There in all that glamour
and stuff, Jehoshaphat said, "Isn't there one more?"
"One more?" said Ahab. "Well, what do you need with any one more? We've
got four hundred of the best, selected, educated, top-fed, dressed men
there is in the country, standing here, every one of them with one
accord, and one heart, and one voice, saying, 'Go. God is with you.'"
108 I wonder if United States hasn't met the same thing. I wonder if the Church of God hasn't met the same thing. I wonder. "Well," say, "look, they're having success. They're having great, big meetings. They're carrying thousands at a time." But I wonder if there isn't just one more. I wonder if there isn't something different.
109 We find out, we have thirty thousand converts in six weeks, and six weeks later we haven't got a one. There's something wrong somewhere. That's right. And it's all glamour, putting on. The world, through television, through radio, through picture shows, and those outlets there, has corrupted this nation with the tommyrot of Hollywood. Right. Everything wants to be in big glamour. Isn't that the truth? You know that's the truth. We don't have any more of the old fashion religion that we used to have years ago. It's because it's been let down. We'll get to it, just in a moment, you'll see.
110 Watch. What a beautiful
picture, or a stirring picture, I should say. And here come this
Jehoshaphat, said, "Yes, I see them all. They're every one got their
degrees," and whatever it was. "They're also be prophets. They're great
ministers. They're out of great colleges. And they're all this. They're
out of the big school of the prophet, and everything. They're all with
one accord. That's true. But isn't there just one more?"
"Well, what will you need with one more, when four hundred is giving
consent at one time?"
But that man, way down in his heart, had God. And he knew that there
was something wrong about that. Yes, sir. He knowed there was something
rotten. Why? Let me give you... The Scripture doesn't quote it, but
here's what I get. I know that--that Jehoshaphat knew that that
hypocrite down there, Ahab, that he wasn't right with God. And Elijah
had prophesied the Word of God to him. And how could God bless what He
had cursed? Amen.
113 I say the same thing today, friend. And the Church of the living God, who's standing true to God, will say the same thing. You can't mix oil and water together and call it salvation. You can't. Got to separate yourself, brother. Something's got to happen. If there's any hope left, we got to do something, and do it quickly; for the hour of the rapture is at hand.
114 Things are heaping up, everything, and the church is so far away. They read all kinds of magazines, books, stories, and everything. I could go today to a... I can go to a church, and I can say, "Oh, how many know..." They know every hymn, after one of these big revivals. "Now, what--what page is certain-certain hymn on?" They know it. They know who it is. They know who's running for President, and who's running for this, and how many movie stars married, and this and that, the other. But the Word of God they know nothing of. There you are. So we're giving their... And yet, they profess to be Christians.
115 And the people is not at
blame. It's from behind the platform, where it come from. Exactly. It's
from behind the platform. They teach them all kinds of rhythms, and all
kinds of this and that, and organizations, how to make you preach, and
everything like that. I wonder if it's paid? Nothing against it, but
I'm wondering if that's God's requirement.
When Jesus said, "Except a man be born of water and Spirit, he will in
no wise enter into the Kingdom. He that will for... will follow after
Me, let him deny hisself and his own worldly pleasure, take up His
cross and follow after Me." Cross is a symbol of death, agony. "He that
will be a Christian, let him strip himself of his own thoughts. Let him
strip hisself of his own works. Let him strip hisself of everything,
denying himself, and take up that consecrated cross, and follow Me
daily. He that will come after Me, let him do that." That's what Jesus
said.
117 But today we say,
"Everybody have a big time. Everybody clap their hands. Everybody
holler, 'Hallelujah.' Everybody do this." Oh, how we got a bunch of
fuss. Amen. God... We get these new songs out and sing them so fast,
that it looks like we're going to run through the wall with them, or
something like that.
When, I think if we'd be singing "Nearer, My God, To Thee," would be a
whole lot better for the Church: the old fashion hymns.
Get a lot of dance orchestra people, some boy in a dance orchestra over
here playing, last night, and tonight over here playing in the church
of the living God? It's an abomination in the sight of God. Let that
man be proved first, and let him bring forth fruits meet for repentance
to show that he's right with God.
They bring the jazz world right into the platform. They bring the
Hollywood, glamortizing preaching, right into the platform.
121 Why didn't I set in your fair city a few weeks ago, in Louisville, Kentucky? My heart break, when they was all setting there, willing to see the miracles of God; and as soon as you preach the Gospel, they'd fill up, in a second, and turn their backs and walk out of the building. Certainly. They don't want it. Their hearts are hardened. Step out; and many of them, Protestants too, who go to Protestant churches... But they'd been fells--filled so full of glamour and everything like that, of tommyrot and churchism, until they know nothing about the Spirit of the living God: "Having a form of godliness, and denying the power thereof." What a day that we're living. Watch where it heaps up.
122 Jehoshaphat said, "I know,
Ahab. There's your four hundred preachers. They're all fine-looking
fellows, every one dressed and their hair combed neatly, and
everything, whatevermore they may be. They may have their D.D.'s. They
may have their all kinds of degrees. They may know the Scriptures from
A to Z. But haven't you got one more somewhere? Hasn't there just one
more somewhere?"
He said, "Yes, there's one more, but I hate him." There you are. There
you are. "I hate him." Remember, Ahab was a religious man, and these
were religious teachers, but they hated this man who had the truth.
Said, "I hate him." Said, "He's always bellowing out something against
me." How could he keep from doing it when the Word of God had condemned
him?
124 How can you hold still if
you're a man of God, or a woman of God, and know and see sin and things
heaped and weighted, and everything like that; and see human souls
going to hell, millions a day, and stand still? You can't do it.
Someone said to me the other day, "You think you can stop it?"
I said, "No. I can't stop it, 'cause God said. But one day at the
judgment bar, they're going to pull out the big screen, flash on the
camera yonder, and that tape recording's going to be played. And I'm
going to stand and listen at it; I want to hear my voice warning
against it. God will judge me when my voice comes against it." Yes,
sir. When we see this life, this generation, re-enacted again yonder at
the judgment... Certainly. We're living in a terrible time. And there
it is.
And we see him; he said, "Isn't there one more?"
He said, "Yes, but I hate him, for he's always prophesying evil against
me."
127 How can he keep from preaching those hard things, when he sees it going on, see Ahab living like he was and doing like he was, and bringing the people like they are? How can a man of God or a woman of God keep from hollering out and rebuking sin from every side when, they see these lukewarm preachers, and glamortizers, and educators, and so forth like that, out letting the people go to hell by the millions, under deceit? A lot of... Even in the holiness people... I'm not talking so much about Methodists and Baptists and things like that; they have it too. But it's right down in their own ranks.
129 My, coming to the platform, like everything else but Christians, living like everything else across the countries and things, then they call it religion. It's a religion, but it's a long ways from the salvation of the Lord. That's right. They just got the people till it's just a big bunch of worked-up. Then as soon as the little work-up goes over, then, the first thing you know, you can't find a one of them; the church is setting empty. But if a man loves God, he will fill his seat of the church every time. He can't stay away from it. That's right.
130 Now, notice just a few
minutes. I'll try to hurry, get straight to the point now, 'cause my
time's getting away.
Notice, then he said, "Isn't there but one more?"
He said, "Yes, but I hate him. He's always prophesying against me. He's
saying evil things against me."
"All right, said, "go get him."
He said, "His name is Micaiah."
But this man had enough religion to know that these fellows wasn't
right.
133 And any man that's ever
been touched, the least bit, by the Spirit of God, knows that these
things, what's called Christianity today, is not right. "You can't love
the world or the things of the world; if you do, the love of the God is
not in you." The Bible said so.
Now, look. He said, "Go, get him." And they went over.
And then he sent a little old messenger along, the deacon of the
church, perhaps, or somebody, went over there and said, "Now, look,
Micaiah, we're going to bring you over here before Ahab and
Jehoshaphat. Now, they're both setting out there. And they're great men
now. They're teachers and they're scholars. And they got their degree
and so forth. And every one of our seminary, every one of our churches
here, is a perfect at agreement that this is the will of the Lord. Now,
you say the same thing they say, and I'll tell, you'll dress better and
ride in a Cadillac car. I'll tell you; you'll just be a great fellow if
you'll do that. Yes, sir. You'll prosper."
Micaiah said, "As the Lord God lives, I'll only say what God says."
Amen. Yeah. Oh, there's a man after my heart. "I may have to eat bread
and water," which he did, "for doing it." You may be smote on one cheek
and the other, whatevermore, but he told the truth and stood by it. God
confirmed it to be the truth. He wasn't so popular, but he knowed God.
136 Brought little old Micaiah
over there. He said, "All right, Micaiah, what do you say about it?"
He said, "Go on up. Go on up." Said, "Go up in peace. Go ahead,
prosper, that's what I want you to do. But I seen Israel like sheep
without a shepherd on a hill, scattered. That's it," he said.
And when he did like that; and Ahab turned around, and Jehoshaphat.
Said, "What'd I tell you? That holy-roller..." or what, excuse me, or
whatever he was, that guy said that. "What'd I tell you? That fellow
would only prophesy evil against me. What'd I tell you? He'd only
condemn our church, and condemn our ministers, and condemn our way of
religion. What'd I tell you? He'd say it. I know him. I knowed his
daddy before him." Amen. "I knowed his daddy before him." Um, yes, sir,
a real man of God. Said, "I knowed he'd say that."
And so then he said, "Yes," said, "I saw Israel like sheep scattered
without a shepherd on a hill." And so then he said, "I..."
140 And then one of those
fellows that had the big horns, was going to push off, a preacher
walked over and pulled little Micaiah around, and smacked him in the
mouth as hard as he could, said, "Which way did the Spirit of God go
when It went out of me? If you knowed."
Said, he said, "Wait till you're setting in prison over here, and
you'll know which a way it went." That's right.
142 Wait till Russia is setting out here taking over the nations and things like that, and this country, because of its backsliding, and you'll see what was right and wrong. That's right. You'd see whether your lukewarm religion will pay off, or not.
143 Let this nation come to tears, not come to laughter and drama. Let this nation come to its knees in repentance. That's what we need, not a revival to get a whole lot of people in a church. We need to close every bootleg joint, stop all cigarette smoking, tear down the factories, start up a real, old fashion, Holy Ghost campaign, where men and women, day and night, laying on their face, crying. I'll tell you, it'll be the greatest shelter that this nation's ever had. That's true.
144 Let the Branham Tabernacle quit its foolishness. Let it get back here at the altar and get right with God. Make up with the neighbors, and so forth like that, and get right with God. You won't have any fusses and going on; it'll be the drawing spot of the world. That's right. Now, that's the truth.
145 Then he said, "Which way
did the Spirit of God go out of me?"
And Micaiah said, "I saw God and His host, His council, setting in
glory."
You know, God has a council up there, once in a while. He--He brings up
His--His Angelic Beings and holds a--a council once in a while up in
heaven.
And he said, "I saw Him setting upon a throne, and all the people were
standing on the right and left hand of Him." And said, "They were
discussing, 'Who can we get to go down and deceive Ahab to get him out
here and to fulfill Elijah's prophecy? God's done said so, what was
going to happen, so we'll just see who can go down.'"
149 "And a lying spirit come up from beneath," of course, out of hell, "come up before God and said, 'I'll go down, and I'll get in those preachers and cause them all to prophesy a lie.'" Oh, did that blow them up? Did that make them feel funny, when, "They said, 'I'll go down and cause those preachers, every one of them, to prophesy a lie.'" And he got down and got in those preachers, and they begin to prophesy a lie.
150 And brother, the same God
rules on the same throne today. And that same lying spirit has done the
same thing today, prophesying lies.
They kept saying, "Peace, peace, peace," after the First World War.
Let me show you where it come from. In the First World War, when France
over there turned away from God in their gay '90's, and begin...
Now, I'm going to get a little on morals, so you all just set real
quiet for a few minutes.
Look, on back there in the beginning, over in France, there's where
orneriness and filth first begin. If there ever was a rat hole in the
world, it's Paris, France. I've pretty near traveled most of it, and
that's the worst place I ever seen. And London, England, is not much of
an exception. And the United States is coming right in line with it.
That's right. There they are.
155 Every time that you break
the morals of womanhood, you break the backbone of the nation.
Here you go over in their own countries, and say you're a missionary,
they don't like... Say, "What are you going to tell us to do, how to
sing dirty songs about our wives, or about our girls? You going to tell
us how to divorce our wives? Teach us how to drink whiskey and go the
way we do?" That's what we are.
We call ourself the religious nation, the Christian nation. Well, them
"heathens" in Africa could teach us morals, how to live. The rottenest
place in the United States, or the world, nearly, is this nation, how
it's got. I'm an American, certainly. But, brother, I can't help... But
from before Ahab or Jehoshaphat, and I got to tell what God says is the
truth. That's what the church needs to stand for today. If it comes
between nation and God, it's God, always. Yes, sir.
158 Notice, in France they
started all their rottenness and going on the way they lived over
there. And then God sent Germany in to them to beat off a little bit.
Then we went over there to save their hide. And as soon as we done
that, and won the war, sent the Germans back, had peace with France,
did they turn to God? No, sir. Women, wine, debauchery, sin and filth
to the gills...
Then what did they do? What happened? Here's where we started. The
Devil set up his headquarters there. There's where he started, right
there, to demoralize the world from Paris, France.
160 Then, if you notice, he couldn't get in here through the ministry, so the thing he done was come in to Hollywood out here. He set up his Holl... He set up his headquarters over here in Hollywood. The Devil landed back here a few years ago, fifteen or twenty years ago, with his great army, and went, hit in Hollywood, California, and he's invaded the United States with his demon powers. Right. All of our fashions come from Paris. They get into Hollywood, onto the screens. These little girls and little boys, and things, get out here, they watch them screen plays. Nice little kiddies, fine little fellows, nothing against them, God bless their little hearts. My heart bleeds for them.
162 And right here in the city I was talking to my--one of--my boy, the other day, he said "Daddy, if there's just some boys around there in town, that had the Holy Ghost, and so forth." You wonder why I was getting away to Denver, Colorado, or somewhere like that? Get my children somewhere where there's a bunch of people who cry out to God. What we need, brother...
163 This country, this nation,
this city, this place, is become so demoralized till it's pitiful. If I
could only express right now what I absolutely know to be the truth
right here, it wouldn't even be presentable before a mixed audience.
Or, right here in this own city right here... not only here, but other
places, everywhere, it's begin to come a simply...
Because why? The people... Look, friends, it's got so cunning. It's
come in so easy, till it just smothers you down. The Devil used to be
in fashions. He might not have went out of fashions, but he didn't go
out of business; I'll tell you that. He's still in business.
165 Look, today. We take, like
I said awhile ago, about the little lady, a little old girl with a
rose. For instance, the rose, it's pretty; it's there to be looked at.
That's true. And that's just like the church; it's there to be looked
at. Like a pretty little woman, she's there to be looked at. That's
right. But if she... She's fine, that... She's to her husband, she--she
is all right. But if she hasn't got the moral sword sticking out there
to protect her, she becomes a indebtiment to society and human being:
get so low and scandalous and rotten till the dogs wouldn't look at
her. That's right.
And the same thing to the church of the living God. They get out here
and try to glamortize and fix themselves up, and act like... They strip
their women. Here, right... And people don't realize that these devils
are invading your homes.
167 Right in my neighborhood
the other day, a young lady which I think is a nice woman... And she's
a married woman, got a child. And the little woman come out there. Men
come down the road to do some work, and this little lady got out there
with them little bitty old clothes on, was horrible.
This is an awful Mother Day speech. But, my brother, let me tell you
something. Mother, get back to be mother again.
Even to a little bitty boy was visiting our neighborhood, come in and
told us about it, "Look out there."
I said, "Well, that's nothing."
The woman's a nice woman. I don't say she is demoralized. But the thing
of it is, there's an ornery, filthy spirit on her, making her do that,
and she don't know it.
171 What in the world would a mother want, or anybody, put on those little old dirty clothes, and stretch themself out before men? You're pretty, sister. You're pretty, mother. I thank God for you. But you're pretty, but you haven't got the Holy Spirit there to protect those morals. You'd have been better if you was so ugly nobody would have looked at you, and went to heaven. That's right. That's true. Watch what you're doing: those moral.
172 Now, what it is, the Devil
has come in, and he's told the people these things. He's got into the
preachers; He's patterning after Hollywood. The girls and the
young--young ladies, they pattern after Hollywood. The best of things
that they have in the country today, the most moralist you can hear, is
talk about on the radio talk.
Some old woman like Mrs. Kay Starr, nothing against her; but to see an
old woman fifty years old, and all, with her clothes all pushed out on
her like she was poured in a meal sack... I ain't saying that for a
joke, 'cause I'm talking against those things. But a woman act like
that, and stand up and be an example to a young American women, it's an
indebtiment to our nation. It's the Devil.
Guys like Arthur Godfrey and them running around here, doing the things
that they do, and the most noted man in the country like that, and,
why, it's a disgrace.
175 Hallelujah. I say that because I feel the Holy Spirit is here. The invasion's on, just sweeping from house to house, from place to place, from church to church, from man to man.
176 Children, in the Name of
Jesus Christ, rise with the moral stands of the revival and the Lord
Jesus Christ, and say, "I'll take the way with the Lord's despised
few." Yes, sir. "I'll be a real mother." "I'll be a real dad."
When
the whole world, and all around, all around my soul gives way,
Then
He is all my hope and stay.
For on
Christ, the solid Rock, I stand;
All
other grounds is sinking sand,
All
other grounds...
177 What's caused all this
stuff? What's caused ministers to act like this? What made preachers
prophesy this lie to the people? Why did it, years ago, that you
Methodist people... When old John Smith was packed to his pulpit to
preach the Gospel, and he preached a short sermon of four hours, and he
said, "The trouble of it is, that my heart is breaking." He said, "The
Methodist daughters are even wearing rings on their fingers."
And today they're dressed in shorts and little old dirty clothes. And
they'll be perfectly nude in another five years, if something ain't
done. What's happened to you Methodist preachers, you Campbellites, you
Baptists? Yes, sir. It's the Devil has throwed down his powers, and
he's got his imps out here.
And you don't realize it, you smoking cigarettes, you women, and doing
the way you're doing out there, and drinking and carrying on the way
you're doing, you don't realize that you're poisoning your system and
ruining the whole generations that'll follow you, if there is such a
thing. Eighty-five percent more chance to take cancer by smoking
cigarettes, and you deliberately move right into them. And the churches
endorse it.
181 In our great Baptist
churches here recently... I'm hitting the Baptists. I got a right to
that; they kind of lean on the side that I come from. But when they had
to give intermission between the Sunday school service and the
preaching service so that the pastor and all could go out and have a
smoke, and the street was lined with men and women smoking cigarettes.
The Devil has done that. That's right.
Then here in our own city, one of our most outstanding ministers, right
down here in New Albany, at this playground, that one of our
outstanding ministers of the city is directing a square-dance program
to bring men and women on the platform.
183 Don't care what the world
says, I don't care how you try to coax around it; brother, there is no
red-blooded man pulling up to another man's wife, and feel the same.
You know that's the truth.
They've took our women and stripped them, out yonder in the offices,
and the driving taxicabs, and up-and-down the street. where they ought
to be at home behind the stove cooking, and fixing the dinners.
185 What is it? It's the Devil.
The invasion's on. I ain't saying nothing about this individual or that
individual. I'm saying it's unclean spirits that are possessing the
people, driving them right into it.
The invasion of the United States, the overthrow of the church... The
church is overthrowed by the Devil. Back yonder...
187 They take a boy up now when he comes to a seminary, the first thing he has to learn is to get his degree. He has to take psychology. He has to take theology. He has to teach, get all kinds of stuff indoctrinated in him. If he hasn't got a real fine education, if he isn't as smart and bright as he can be, then they'll turn him out; he can't qualify. What's he to do? To go out here and present a little political talk, as it was, a church politic talk to a group of people, to a bunch of dying men and women.
188 O God, send us some old fashion, sassafras men who doesn't know A from B, that knows the power of the resurrection of the Lord Jesus Christ, who'll preach repentance, and send men and women to the altar, to love the Lord Jesus. [Blank.spot.on.tape--Ed.]
189 It's an indebtiment. He's
invaded the seminaries. He's invaded the churches. He's done stripped
our women. He's got our men into a place that you can't tell them
nothing. And men and woman, I think...
You say, "Well, the women." Yes, and you men that'll permit your wives
to do that, that shows what you're made out of. That's just exactly.
Certainly. It's a disgrace. It's a pity.
And then down to the preacher... The preacher stands in the platform
today of a modern pulpit, stands in there, with his people before him,
and preach about every little old thing in the world besides repentance
and sin, and the rugged cross of Christ. Yes.
192 When you lay the facts down, the people come to hear you in evangelistic service. You're trying to get the thing and preach the Gospel, and get people repenting and get them out; they'll blow up and walk out, they, "Don't have to hear It." No, they don't. But, brethren, they're going to have to repent or perish.
193 Demons... You go to the
school; it's invaded the school. Look around over the country today.
Looky here, you people, you Protestants. Look, there's four great big
Catholic schools and things, built up today. Why is it? You're letting
down the bars.
Nothing against Catholicism, no, I don't believe in it. I'm a strictly
a Protestant. That's exactly right, and can prove they don't... You
can't argue with them. They say, "We don't care what the Bible says. We
know what the church says."
God's in His Word. This is where God is at. But some of the Catholics,
sticking to their church, would make you ashamed of yourself as a
Protestant. If you'd only stick to the Bible, as they stick to the
church... That's right. But they're wrong. I can say that under the
authority of Almighty God, that they're wrong. Absolutely.
And you Protestants are wrong the way you're doing, 'cause you really
know better, and you do it. That makes a hypocrite out of you. Sure,
it's the invasion; churches letting down.
198 And now, instead of the
church, trying to make the church beautiful, build a bigger church, put
big spires on it, great big pipe organs, and get everything trying to
pattern like the Catholic church. You don't want to pattern like the
Catholic church, if she's doomed to go to destruction. For that's THUS
SAITH THE LORD, she's doomed to go to destructions. And you're a
pattern after her, you're going with her.
But what we need today is not a big church, a big spire; is an old
fashion altars where sins are burned up under consecrated prayers of
men and women who love the Lord Jesus Christ. You know that. That's
what we need. Hear me, friends. Hear me. It's love.
200 My time's gone. I'd just like to linger on that, where... I'll pick it up a little later on, that invasion, where it's went to. It's invaded. It's invaded our nations. It invaded United States.
201 Now, remember, I never cast
a vote in my life. See? That's nothing to brag on. That's my American
birthrights if I want to do it. But I think too much of my friends to
put them in there. Look, I've seen them go in as fine men, come out as
crooks, and I don't want that.
I have one thing. I'm here building a platform for one Person Who's the
Candidate, and that's Jesus Christ, and Him alone. I give my time for
Him. That's right. If I can get the church straightened out, the rest
of the world will take care of itself. That's right.
203 But let me tell you, when
Mr. Roosevelt (The man's dead. Let him rest; I trust he is.) come in,
and run in three or four terms, and taken over, just a preliminary
dictatorship... I can prove to you, that in the Scripture, where That
said it'd take place. That's right. We haven't got no more
constitution. She's broke to pieces. Everything's all smattered. The
Republicans is just as bad. It's six of one, and half a dozen of the
other one.
For every kingdom is going to be smashed, but the Kingdom of Jesus
Christ shall stand and reign forever. That's right. Upon... Daniel saw
the Rock hewed out of the mountains, and hit the political world back
there and mashed it into a grinding powder like that, like the wheat on
a thrashing floor in the summertime. But that Rock grew into a great
mountain that spread over the--filled the whole heavens and earth.
That's it.
205 The political world's gone.
Our nation is broke. You remember that, that Brother Branham said that,
THUS SAITH THE LORD. Our nation is debolished. It'll never rise. She's
gone, like all the rest of the nations. It's the greatest nation in the
world standing today, but the very seed of the Devil has been planted
into the hearts of the people; how it come into Hollywood, how it got
out into the people, and begin to this... And you can't tell them
nothing.
Get a President up there who'll try to close whiskey, and not have
prohibition, see what would happen. He'd be shot in two hours after he
got in there. Sure, he can't stand it; the whole world's against him.
Yes, sir. You couldn't do it.
She's gone. She's invaded, and the spirit of communism has took over.
208 Go to our schools today,
look at our school children. Our little old fellows that go to school,
you just ought to know what goes on. Little girls down here in the
schools, and things like that, at the age of fourteen and fifteen,
their mammy sent them to school, wrecked morally, mentally, dope
fiends, dope addicts, cigarette pumpers, everything else like that; and
a little bitty age, the little children like that. It'd be as hard to
find a virgin among some of them as it would be to find a needle in a
haystack, where they have blanket dates with the boys, and stretch on
these river banks and everywhere else.
And I can prove it to you, my friends. I wouldn't say it in the pulpit
'less I knew what I was talking about. Of schools right here in
our--our counties, right in here in these counties, of those little
ladies dressing, don't know... telling their mothers that they're going
to different places, and meeting boys and even prostituting on the
streets of Louisville (What is it?) and sing in choirs...
Because they got a little old social Gospel standing there, where
preachers stand and talk about little petty things, and little bitty
stories of the Bible, or something like that, instead of preaching
repentance and bringing men and women to the altar.
Her daddy walk in at night and light up his cigar, take a glass of
beer, and set down and drink it. Mother's out through the daytime with
a bunch of women at some card party, some social like that. How can you
expect the child to be anything else? Look, whatever an environment you
live in, that's what you are.
213 You take a little bitty
girl, little bitty boy, put them out here, let them live with
somebody... You take a man... I can take my boy, let him be out for a
day with somebody; let me come in, I can almost tell you who he's been
with. Certainly. Watch, that environment, that spirit catches him.
You go into a church, where the people all... You go into Holy Ghost
churches, or--or Pentecostal churches, they call it. Look everybody
be... Oh, they run and jerk their head back and forth, the pastor does;
watch the whole church begin to do the same thing. Let the men, the
people, get up and--and just carry on terrible, or something another;
watch the whole thing do that. Get into a place where the pastor's real
starchy and cold; watch the whole group do it. You come into that
environment.
You take a man that's a good moral man, and let him marry a little old
woman that ain't worth a dime; it isn't long till he ain't worth a dime
either. That's what happened to Ahab. Take the same, vice versa, let a
nice little woman marry an old man that ain't worth a dime; the first
thing you know, she's doing the same thing he is.
How could I go, this morning, and point my hands on little broken up
homes and things like that, where lovely little mothers come into a
drinking dad, and things like that, and thought they could do something
with them, and now the whole mother and all of them is a drinking and
going on. It's environment.
217 What is it? It's the Devil.
It's the Devil, the invasion. He swept into this nation like a roaring
lion. He set hisself down here in the best place they had, in
Hollywood. He said, "I can get the movies here until the television
comes on, then I'll get them." And he set down there.
And the church people, instead of shutting down the shows and not
letting their children go, they give them ten cents on a Sunday
afternoon and send them down there, so they could have a little social
card party, be out to theirself and ride around. Oh, what a disgrace.
Now they just turn the television on and watch all the dirty, rotten
tommyrot there is in the world on it. That's right.
I ain't got nothing against the movie. I ain't got nothing against
television. It's the rotten stuff that's on it. That's what it is. If
you'd have kept it moral, it'd a-had to stay moral.
220 You couldn't sell old
fashion button shoes here in town today, at all. Women don't want them.
They want the toes out of them. The rest of the women's a doing it.
That's right.
When you go to church, you can't sell them old-time religion, 'cause
the other woman, she don't want nothing to do with that. No, sir. "And
no need me going down there. I just believe; that's all there is to
it." Oh, brother, the Devil believes too. That's right. You'll repent
or perish.
222 Now, sorry... No, I'm not. No, I'm not. No, I take that back. I love people. But I--I love you too well to see you go into a headlong plunge like that. If God willing, I'll pick this up a little later on in the week.
223 Now, to you mothers that's mothers, just a word to you before going. God bless you. You bring your children up right.
224 We'll pick up this
invasion; we got to go into the homes yet, and a lot of places, the
schools, and out in places with it. We'll pick it up.
But the invasion of the United States, the Devil has took her over.
Don't be afraid of Russia. Russia ain't got nothing to do. We're doing
it ourselves, our own rottenness right among us. That's right.
You know, the United States has more divorce cases than all the rest of
the world? More divorces, think of it. That horrible? The motherhood
has been broken. Mothers don't stay at home no more with their
children, like they used to. They got to have a job.
227 Here the other day, a certain grocery man in this city, was talking to me about it. These women working in this public plants, these young married women with a bunch of little kids, they got babysitters taking care of their babies to work these public places. Said, "There was two of them standing in a... When they got laid off at their public works, 'Don't worry. We'll make it anyhow.'"
228 Oh, such an hour of
prostitution at hand. Sure. The Devil's done told them that they're the
boss of the house. They'll make their own way. They'll do what they
wish to. And you get it out of them, if you can.
There's only one thing can get it out of them, that's the altar, before
Jesus Christ, an old fashion, tear-streaming religion that'll break
their hearts and tear them to pieces, and make them what they ought to
be. That's right.
230 They may think I'm just an
old fogy. But the day when you're dying, my brother, sister, you'll
realize that I told you the truth. That's right.
She's on, the invasion; the hour is here. Now, yes, an hour of decision
too, a hour of decision; not to come to church, but an hour of decision
whether you're going to serve Christ or stay lukewarm in your church.
And that's right.
232 There's plenty of church
members. If all the mem--or the people of America that profess to be
Christians, would be real Christians, borned again Christians, brother,
we'd be as safe as you'd be in heaven almost from mortal troubles. Yes,
sir, diseases would leave the land, everything else.
Wouldn't it be nice to come down the street and see where a lady come
by and men, "How do you do, sister? Good morning, brother?" Walk down,
there's not... You don't have one worry in the world. Everything is
just fine and dandy. And the fellow come to the street corner; instead
of trying to run over you, he'd stop, "All right, brother. All right,
you had... Oh, you before me." You see, just prefer... Wouldn't that be
wonderful? We're going to have it, but that's in the Millennium,
brother. The day...?... coming. That's right. So now we're not...
234 I stood in our neighborhood
here the other day; nothing against our neighborhood, but I can notice
all the little children. Wife was crying. A certain doctor of this
town, his little girl was running around with my little girl, and they
loved one another, until they found out that her name was Branham, and
she was Reverend Branham's child. That settled it. The little girl
couldn't go with my little girl anymore. "Well," I thought, "well,
okay."
Some of the little neighbors run over there, and said, "Well..." It was
all right till they went to their pastor. Don't tell me. You know, I--I
have a way of knowing a lot of things. You see? So they--they went to
their pastor, and said, "You know, there's a man lives in our
neighborhood, is so good to our children." Said, "It's Reverend
Branham. He takes them, haul them in his little old truck, and takes
them out..."
Said, "Well, [Brother
Branham clears his throat--Ed.] we have nothing against
Reverend Branham. He's all right, but, you see, he's just a different
class of people than what we are." See? "We... I--I would that you
wouldn't be... You know, I wouldn't kind of... You speak to them, and
be friendly, but just let that be the end."
Oh, brother. My wife was standing there, crying. I said, "Sweetheart,
it's a separating line. As for me and my house, we'll serve the Lord."
Though all the world gives a way, still Jesus Christ... If I have to be
called a fanatic, if I have to be shunned by my kinsman, my fellow man,
and things like that, I still choose Jesus Christ. Hold to God's
unchanging hand. When earthly friends forsake you, still more closer to
Him cling. Hold to Him.
239 God, let me preach like I've never before. Let me preach to dying men, as a dying man, myself. Let me preach to people like I'd never have another sermon to preach. Let me persuade them to come to the altar with streaming faces with tears; go back home and live like Christians, and live in their neighborhood. Stop all this here frolic and running around, and jumping and carrying on, and acting this way, and blowing up at this, and going that way. Oh, don't do that. That's the Devil. Them demon spirits come on Christians.
240 Remember, those ministers down there, that was them prophets, they were prophets. They were religious men offering a sacrifice. They were just as religious as the teachers of this day, but, brother, they was a long ways from knowing the truth.
241 Don't you see how religious the Devil is? The Devil's not no anti-, great big thing like communism, all against Christianity. That's not. That's just all of the Devil, sure, but it's not the antichrist. The antichrist is very religious, very religious. It was a religious spirit that crucified Jesus. It's always been a religious world, a religious people, that crucifies. It's the religious people that was against the true Christ. It was the religious prophets that was against Micaiah. It's the religious people of the day that's against the Message of God.
242 Remember, I have warned
you. I have told you. I ain't speaking so much about Catholicism, and
Baptists and Methodist; I'm just talking about people that's holiness
people, right down these lines here. Look at it today, how it's come
across and standing in drama. Oh, my. I'd go into it sometime, and my
heart breaks within me.
Stand up there with an old banjo, beating that old banjo, and sawing an
old fiddle like that, "Is this Texas cowboy So-and-so?" I ain't got
nothing against the man; but that belongs out there in the world out
there. That's right. I'd rather stand, brother, with not even a thing,
with no nothing at all, but just stand and raise my hands and say,
"Jesus, keep me near the cross." Yes, sir.
Consecrated
cross I'll bear,
Till
death shall set me free,
Then
go home, a crown to wear,
For
there's a crown for me.
244 To you little mothers here
this morning, that's been real mothers, and I know there's many of you;
I think, every one of you. Let me tell you something. God bless you.
You're the fifth Gospel, I think. Let me tell you what's in there for
your children, just a little thing. 'Cause, Brother Neville will
probably preach on the--about mother tonight, or whoever, one of us
that preaches, all right, about mothers. But, listen, let me ask you
something.
Remember, when Moses was a little boy, it was a mother who give him his
instruction. It was a godly mother who took little Moses on her knees,
and said, "Moses..." taught him all. He was her teacher or... She was
his teacher, rather, under Pharaoh, and said now these things. Said,
"Moses, someday you're going to deliver the children of Israel. You're
the boy that's called. Keep yourself pure and unspotted from the world,
for you're the one. You're the one."
No other place do we know where he ever went to any seminary, any
teaching at all, he ever got. He stayed right in Pharaoh's palace,
which was a heathen; but his mother taught him. That's a real mother.
She taught him the precepts of the Lord. She told him how he must be
holy. She told him how and what he must live, and how, what God must
do, would do for him. And it stuck with Moses all the days of his life.
And any good, true, loyal mother that'll take her little babies,
instead of send them to picture shows and dances, and so forth like
that, and she'll put them on her lap and teach them about the Lord
Jesus Christ...
248 Here the other day, I was
talking to a mother on the telephone. And the mother said, "Oh, Brother
Billy," she said "my poor boy's in trouble." Said, "Oh, what a trouble
he's in."
I said, "Yes, I know about it, sister, dear."
And she said, "He may be wrong. I don't know." Said, "One says this and
one says that. I don't know." But said, "no matter whether he's wrong
or right, I love him." There you are, "I love him."
He said to his mother, said, "I've been so deceived by this and that."
Said, "Mother, I believe you're about the only sweetheart I really
have, a woman that's true to me, and sticks to me." That's mother's
love. That's a real mother that'll put her arms around her baby,
regardless whether he's right or wrong, she goes right on to him. And
if God... If a mother can think that of her baby, how much more will
God think that of His. You see? You stay right with Him. Go right...
251 And now let me just tell
you another mother, right quick, in the Bible, before we close. There
was a mother called Herodia. She taught her daughter to tap dance. She
wanted her to be popular. And she danced before the king, and required
the head of John the Baptist. We have record of seventy of her
offsprings, this damsel that danced before... Herodias' daughter danced
before Herod; seventy of her offsprings, they either died prostitutes
or on gallows.
One mother taught hers the things of the world; the other mother taught
hers the things of God. One became a great leader and a conqueror,
immortal among men today; and the other is botched and in hell, and
taken thousands times thousands with her. See what I mean? "Bring up a
child in the way it should go."
253 And I certainly sympathize
with you poor mothers setting here with your white roses on. There's a
heaven that a mother's gone to, today, where a good old fashion mother
that lived for God, probably has passed beyond the veil. She's waiting
for you to come. That's right.
I respect and honor you there with your red roses on. Your mother, if
you want to do anything for her, do it three hundred and sixty-five
days a year. Go to her house and offer prayer, and live for God. That's
the thing to do. And bring up your children. And when your children
come up, they'll call you "blessed," after you have passed on beyond
the veil. That's the real spirit of motherhood, and the real spirit of
mother's day. Mother's day is three hundred and sixty-five days a year.
255 This is the day they sell
flowers and pass presents. The world does it. If it passes, if the
world should stand another twenty years, they'll have son's days, and
daughter's days, and, or cousin's days, and uncle's days, and all them
things like that, just enough to get the world in a commercial glamour.
That's just where it's going, right into hell, just as hard as it can
go to destruction.
But, you, God bless you, is my prayer.
256 Shall we pray. Our kind
heavenly Father, as we view back, this morning, with our minds, back
down yonder, some hundreds of years ago, when there stood Jehoshaphat
standing there by the side of King Ahab... And a little spirit down in
his heart still left of God, though he'd made a mistake, told him,
said, "This is wrong. This is wrong. It's not clean. It's not holy. The
prophet has said these things couldn't go on like this." And the little
fire of God woke him up.
And then You had somebody to answer that little fire, which was
Micaiah, the true prophet of God. Though he might've come up there
dressed in rags, though he might've come up there despised, and all
them looking upon him as if a bunch of wolves looking at a lamb. But he
told the truth, though he had to be smite in the face, though he had to
be throwed into prison and fed bread and water of sorrow. But, yet, the
words that he said come to pass, for You was with him.
God, grant today, and we look down in this Bible. We look at the church
books, the decalogues, and so forth, of the churches, their rituals,
and see how they do this, that, or the other... But let us look into
this true Word here, and see what It says. "Without holiness, no man
shall see the Lord. Follow peace and holiness, which, without, no man
shall see the Lord. He that loves the world, or the things of the
world, the love of God is not in him."
"In the last days perilous times shall come. Men shall be lovers of
their own selves, proud, boasters." Oh, those great things, Lord,
that's happening. "Heady, high-minded, lovers of pleasure more than
lovers of God; teaching people precepts of--of men instead of the
commandments of God; having a form of godliness, and denying the power
of the Holy Ghost" to make a man be filled with the Spirit, to make him
rejoice, to make the tears flow from his eyes, to make him go out and
pray for the sick, to make him speak with tongues and interpret, to
make him prophesy. The Spirit of the God, the living God, they just
took It off into some lodge or something like that "Having a form of
godliness, and denying the power thereof."
O God, may this little audience, on this day, wake up quickly, right
now, before the end time comes, and catches us in this condition. May
we be, renew ourselves, as the Bible said, "Rise and shake yourself,
and ask for the old way, which is the good way; and when you find it,
walk in it." God, grant that we can find the old rugged way, when we
can stand together again, as hundreds, and join our hands together and
sing.
I'll
take the way with the Lord's despised few.
I've
started in with Jesus, and I'm going through.
God, help us to live that and be that. Bless all these dear mothers
setting here, Lord, knowing that they are mothers theirself, with white
roses pinned on their coats this morning, as a memorial of a dear old
mother that's passed beyond the scene. O Master of Life, bless them,
Lord. And may they be blessed too, and may their children's memories be
as theirs is with their mother, if she's gone beyond the veil to a
glorious heaven. Grant it, Lord.
And some morning when life is shutting off from our veins, and our
breath is failing to come to us, the veil will open back; she'll come
down, perhaps, to the end of the Jordan, to help us over. Oh, to that
glorious day when we step our feet over yonder, where there'll not
be... The air will not be contaminated with cigarette smoke. There'll
never be a drunkard on the street. There'll never be a prostitute.
There'll never be sin. There'll never be nothing like that. But in the
glorious forever, will we live with peace with our Lord Jesus Christ
and our children. And oh, what a wonderful day.
O Father, while the great darkness is on, the battle, and the Devil
invading the countries, and invading the pulpits, invading the
churches, invading the peoples, invading the businesses, invading the
cities, and the schools, and the homes; O God, help us to stand, pull
the sword quickly and fight for God, as Moses and the--and the Levites
did down there when sin was in the camp. Help us, Lord.
Forgive us now, and bless us. And keep us humble, break us up, Lord. O
God, You said, "He that goes forth, sowing in tears, will doubtless
return again, rejoicing, bringing with him sheaves." O God, break us to
pieces. Mold us, anew, Lord. We're getting too much out of the way. I
am, myself, Lord, I'm getting to a place where I'm thinking about how
many will attend my meeting. O God, I want You to attend. Come, Lord. O
Christ, come, Lord. Break me up; mold me over. O Lord, don't never let
me get those things on my mind. God, keep them from me.
Help me, Lord, to preach, as I said, awhile ago, like a dying man to
dying men, knowing that we all must face eternity. We got to stand
before You, when You're not in Your pleasing manner, when You're not
with mercy, when You're standing without mercy; when You're standing
angry to bring judgment upon the nations and the people that's rejected
and spurned the love of Your Child.
God, give me mercy with Him today, that in that day I can stand
assured. May after crying out, that You'll wipe it away, to joy, at
that time, when You say, "Enter into the joys of the Lord, which has
been prepared for you from the foundation of the world." God, be with
us now, and help us, we pray in Jesus' Name. Amen.