Invasion des Etats-Unis

Date: 54-0509 | La durée est de: 1 heure 23 minutes | La traduction: MS
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1    ...la volonté du Seigneur pour l'accomplissement de certaines choses en leur temps. Tout récemment, nous étions allés à Denver et nous sommes revenus. Je crois qu'ils veulent un rapport sur la réunion. C'était l'une des meilleures réunions que j'ai eues depuis des années. Nous avions un très bon moment. Environ un petit peu au-delà de deux mille donnèrent leurs coeurs à Christ, sans considérer ceux qui reçurent le baptême du Saint-Esprit et les grands signes, les prodiges que notre cher Seigneur accomplit à Denver, au milieu de ces gens-là. Ils avaient un merveilleux déversement et un grand rassemblement des gens. Au départ, nous avions commencé avec environ cinq mille. Et nous avions les Jardins Mammoth. Et le troisième soir, il n'y avait même plus de place pour garder les gens. Nous avons eu un moment merveilleux toutes les cinq soirées.

2    Nous sommes partis de là pour le Canada, mon fils et moi. Et nous étions là-haut dans les montagnes et il y avait une tempête de neige. Je pense que vous en avez entendu parler à la radio. Et près de cent quatre-vingt-huit personnes environ ont péri dedans. Et nous étions bloqués dans un amoncellement des neiges pour--pour plusieurs jours, là-haut dans les montagnes. Et notre réunion n'eut pas lieu et maintenant nous sommes rentrés à la maison avant de repartir à nouveau. Ainsi, nous croyons que tout cela était peut-être la volonté de Dieu, et qu'il y avait une meilleure réunion ou quelque chose d'autre. Il nous a préparé quelque chose que nous ne connaissons pas.

3    Nous marchons comme dans un monde sombre mais non pas dans les ténèbres. Tandis que la lumière se déplace, nous la suivons simplement; nous suivons ainsi la lumière.

4    Et peut-être que notre Père Céleste avait quelque chose dont nous ne savons rien. Il se pourrait qu'il y ait eu, là-devant, un danger. Ou encore, il se pourrait qu'Il eut été en oeuvre pour quelqu'un à amener. Vous voyez, Dieu peut simplement s'occuper ainsi d'une personne, Il change toute une nation pour cette seule personne, pour les faire entrer. Ainsi donc, nous savons que c'était entièrement pour la gloire de Dieu. Et nous le, remercions pour ça et pour nous avoir protégés. Et il y avait beaucoup que nous...

5    Billy et moi les avions aidés pour les tirer le long de la route et ainsi de suite, ces gens qui étaient entrés en collision et toutes ces choses. Mais nous, nous étions passés sans difficulté. Nous étions sortis de la route en une fois mais, c'était juste pour quelque temps. Et un homme qui était là-haut dans un ranch descendit et nous tira avec un tracteur. C'était très glissant, tout glissant.

6    Et c'était une chose qu'ils n'avaient pas connu depuis... Ils ne pouvaient pas, les gens de jadis ne pouvaient pas se souvenir avoir auparavant connu une telle tempête dans ce pays, en cette période-là de l'année, à Roundup, en Montana. Et nous étions, nous savons que dans quelque chose d'aussi singulier comme cela, notre Seigneur avait là Sa main dedans. C'était pour un but, pour--pour notre bien. C'était pour notre bien que c'était.

7    Ainsi dès mon retour, j'ai appelé Frère Neville après mon retour et je dis: «Je serai à la maison le Dimanche. Et, et si tu voudrais que je vienne et peut-être tenir l'école du Dimanche, pourquoi pas, c'est très bien.» Et je dis: «Alors je serai, et je serai très heureux d'y venir.»

8    Il dit: «Oh! certainement, frère Bill.» Il dit: «Nous sommes toujours heureux que tu viennes» avec un grand coeur ouvert et étant ainsi le bienvenu. Et il le mit dans son programme radiodiffusé, hier. Donc, nous sommes donc reconnaissants pour toutes ces choses.

9    Et maintenant, ce matin étant la fête des mères, beaucoup de gens, vous entendrez partout des sermons sur la fête des mères et ils parlent de la mère, ce qui est merveilleux je pense. Abandonnons cela pour le reste du service.

10    J'avais annoncé pour ce matin L'invasion des Etats-Unis, le, un, un sujet sur lequel j'aimerais parler. Probablement que vous aviez suivi votre émission-radio et vous en avez écouté beaucoup aujourd'hui. Et peut-être dans les services de ce soir, il y aura un sermon sur «la fête des mères». Et ainsi je pensais, pour ce matin, j'annoncerai «l'invasion».

11    J'en ai parlé à Denver, pas exactement dans la même approche que je compte le faire ce matin, Dieu voulant. Et avec ça, c'était un moment merveilleux. le Seigneur nous avait bénis d'une façon merveilleuse. Quelquefois ça nous donne comme un...

12    Quelquefois vous devez être secoué, juste un peu, pour réaliser tout ce que ça représente, n'est-ce pas? Et nous prions que Dieu le fasse.

13    Et chemin faisant quand nous sommes passés là-haut... les hommes d'affaires de Denver étaient ceux qui avaient patronné la réunion, et c'était un tout petit peu différent de ce que j'ai eu auparavant comme imprésario.

14    Et lorsque ce sont les prédicateurs qui patronnent la réunion d'habitude ils disent... l'aviez-vous annoncée?
    «Oui, à l'église.»
    C'est tout ce qu'il faut. Ce sont des bergers et ils désirent que leurs troupeaux en sachent quelque chose. C'est juste un... ça c'est leur affaire.

15    Mais les hommes d'affaires étaient un peu différents. Ils voulaient le faire connaître à tout le monde. Donc ils avaient dépensé une valeur d'environ trois ou quatre mille dollars pour la publicité sur les tramways, les taxis, les pare-chocs des voitures et partout. Nous avons eu un moment merveilleux.

16    Après le service, ils m'appelèrent à côté et dirent: «Frère Branham, maintenant que pouvons-nous faire pour vous? Qu'est-ce que nous vous devons?»

17    Je dis: «Pourquoi? bien sûr que rien.» Je dis: «Vous ne me devez rien.» Je dis: «Si vous le désirez, vous pouvez payer ma note pour l'hôtel.»

18    «Oh! nous voulons faire quelque chose pour vous.» Et ils ne... Je ne voulais rien recevoir d'eux.

19    Ainsi le directeur les rassembla et dit: «Je crois qu'il aime chasser et pêcher, n'est-ce pas?»
    Ils dirent: «Oui.»

20    Et comme l'un des hommes d'affaires avait un ranch là, il dit: «Je vais lui en faire cadeau.»

21    Bien! monsieur Moore monta pour le voir, et il devait rentrer à cheval à une distance d'à peu près 55 kilomètres. Je dis... Monsieur Moore dit: «Je voudrais voir la soeur Branham en rentrant, assise sur un cheval.» Donc il, ils, et...

22    Mais après cela, quoique, ils étaient partis là-bas à un endroit à une ferme à Silver Plumb, au Colorado. Ceci est censé se trouver de ce côté-ci maintenant. Et là ils achetèrent un petit ranch et dressèrent une maison à cinq chambres pour moi aussi, à Silver Plumb au Colorado, qui est juste au coeur des montagnes. Ainsi vous, les pêcheurs de poissons, je pense que c'est un temps agréable, c'est un bon endroit pour se relaxer après les réunions, et ces choses, si Dieu le permet. C'est pour lui, vous voyez.

23    Je veux maintenant attirer notre attention sur la Parole. Et j'aime simplement la Parole, la Parole vivante de Dieu. Elle est, dans cette Parole se trouve la Vie. Maintenant, la Parole... la lettre tue mais l'Esprit vivifie. Et la Vie est dans la Parole parce que c'est la Parole de Dieu. La Vie est dans Sa Parole.
    Comme je vous disais: «Je vous donne...»

24    Vous dites: «Frère Branham, j'ai faim ce matin. Voudriez-vous me donner cinq dollars?»

25    Je dirais: «Je le veux.» Maintenant il y a autant de vie en cela qu'il y en a dans ma promesse.

26    C'est de la même manière avec Dieu. Lorsque Dieu promet quelque chose, alors ce qui est Dieu, Sa... Il doit être dans Sa Parole. Voyez? Cette Parole ne vaut pas moins que Dieu. Cette Parole est exactement ce qu'est Dieu. Elle est Dieu.

27    Vous êtes, ce qu'est votre Parole. C'est votre engagement, comme nous avions l'habitude de l'appeler. Votre engagement c'est votre parole. Si nous ne pouvons pas prendre votre parole, alors je n'aurai pas confiance. Mais si je peux prendre votre parole, alors pour quelque chose, vous êtes alors un homme d'honneur.

28    Et la Bible dit: «Au commencement était la Parole, et la Parole était Dieu, et la Parole était Dieu.» Voyez? «Et la Parole fut faite chair et habita parmi nous.»

29    Si nous voudrions y penser; cette terre même sur laquelle nous vivons ce matin est la Parole de Dieu. Cet arbre-là est la Parole de Dieu. Dieu l'appela à l'existence comme ça, en le tirant du néant qui n'avait rien.

30    Avez-vous jamais remarqué la vie humaine, d'où elle provenait? Une petite cellule, trop petite pour être visible à l'oeil humain; seulement à l'aide d'un grand verre grossissant. Et de la petite cellule est sorti un homme de 75 ou 100 Kilos. D'où était-elle venue? Voyez? Dieu parla simplement et elle commença à croître naturellement et là, elle s'est manifestée exactement. Il appela chaque arbre, chaque chose à l'existence. Et c'est si merveilleux, une chose merveilleuse ce matin de considérer la Parole de Dieu.

31    Maintenant ce matin dans l'Ancien Testament, prenez les Chroniques. J'ai été un petit peu embrouillé... Alors que vous prenez maintenant dans les Chroniques, le 18ème chapitre. Juste un peu fatigué. Mais si le Seigneur le veut...

32    Je ne suis pas certain, nous en saurons davantage ce Mercredi soir. Si le Seigneur le veut et si l'église se sent conduite de cette manière-là, j'aimerais avoir ici un réveil, le mercredi, le jeudi, le vendredi, le samedi et le Dimanche, juste un réveil pour enseigner, simplement la Parole; pas les services de guérison, mais l'enseignement. Peut-être que le Seigneur nous conduira de cette manière-là et alors nous... J'aime simplement être avec vous et avoir la communion autour de la Parole avec vous. Merci beaucoup pour ce bon et merveilleux «Amen.»

33    Maintenant au 18ème chapitre des Chroniques et en commençant au douzième verset, nous voulons fixer nos pensées pour quelque moment seulement sur ce sujet vital du jour. 1 Chroniques... ou 2 Chroniques, je m'excuse. 2 Chroniques 18:12, et nous en lirons une portion ici et voir ce que notre Seigneur veut nous faire connaître.
    Le messager qui était allé appeler Michée lui parla ainsi: Voici, les prophètes d'un commun accord prophétisent du bien au roi; que ta parole soit donc comme la parole de chacun d'eux! annonce du bien!
    Michée répondit: L'Éternel est vivant! j'annoncerai ce que dira mon Dieu.
    Lorsqu'il fut arrivé auprès du roi, le roi lui dit: Michée, irons-nous attaquer Ramoth en Galaad, ou dois-je y renoncer? Il répondit: Montez! vous aurez du succès, et ils seront livrés entre vos mains.

34    Maintenant, avant de fixer nos pensées pendant quelques moments, adressons lui juste un mot encore.

35    Notre Père Céleste, nous nous approchons de Toi maintenant avec des coeurs reconnaissants, au nom des âmes perdues, ceux qui sont nécessiteux et de l'église. A... Puisse le Saint-Esprit entrer rapidement dans la Parole maintenant, c'est notre prière. Place la directement dans chaque coeur ici qui a un besoin. Et alors qu'il proclame Son message de la puissance de la Parole dans le coeur que nous puissions tous prospérer par Elle ce matin; repartir, quitter le tabernacle en nous réjouissant et en louant Dieu, louant Dieu en disant: «Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous à cause de Sa présence.» Car nous le demandons en Son Nom. Amen!

36    Ce matin, nous avons une scène tragique. Et pour moi l'Ancien Testament a toujours été une ombre ou une--ou une prédiction du Nouveau Testament. Plusieurs fois on m'a dit: «Frère Branham, pourquoi est-ce que tu prends toujours l'Ancien Testament? Presque toujours, en prenant un texte, tu dois revenir dans l'Ancien Testament.»
    Je le fais parce que j'aime les types. J'aime...

37    J'ai une instruction très limitée comme vous le savez. Et ma seule façon de savoir que je suis près de la Vérité quelque part, c'est de voir ce qu'était le modèle, de considérer le plan et voir ce que c'était. Alors je sais que ce qui était sera quelque chose de similaire à ce qui est ici, parce que c'est simplement une ombre de cela. Et j'ai toujours regardé en arrière dans l'Ancien Testament, pour voir ce qu'ont fait les enfants d'Israël pour voir ce qu'était la punition du péché, pour voir ce qu'était la justice des prophètes, voir ce qu'étaient toutes ces autres choses et alors, j'aurai une idée de ce qu'est ici... Ce qui a été le type de ce qui se passera à la fin, au moment du dénouement général à la fin.

38    Pendant ce temps il y avait eu quelque chose de grand qui était arrivé en Israël. C'était pendant l'obscurité dans sa pleine mesure.

39    Si le Seigneur le veut, peut-être dans les services qui suivront, je voudrais montrer, dans l'Ancien Testament, comment les sept âges de l'Église étaient typifiés dans l'Ancien Testament. Comment ils commencèrent tout à fait juste comme au--au début des Âges de l'Église, de l'Église des Nations, comment ils passèrent directement par un âge sombre semblable et arrivèrent dans un temps glorieux de la Pentecôte, au moment où le Saint-Esprit tomba dans l'Église primitive... dans la dispensation juive. Puis passer, par une autre période sombre de l'Église des Nations, par un âge sombre, et ainsi rentrer au Millénium, à la fin.

40    Bien, comment là en arrière dans le Moyen-Âge, arriva au pouvoir ce grand roi Achab. Et il jouissait en quelque sorte de la réputation des autres rois d'Israël qui étaient... Achab lui-même était une sorte de--de croyant frontalier. Je me suis souvent référé à lui de cette manière, parce qu'il était toujours 'entre deux chaises'.

41    Vous ne connaîtrez jamais la position d'un homme aussi instable que cela. Ou quelqu'un qui professe être un Chrétien et qui est instable, vous ne saurez que faire avec la personne. Aujourd'hui dans l'église, ils se réjouissent, chantent et louent Dieu, et demain ils sortent pour boire, pour faire la débauche, pour courir autour. Ainsi, c'est pénible de faire quelque chose avec ce genre de personne.

42    Je me souviens lorsque j'étais enfant, nous avions une fois un--un vieux cheval qui avant l'habitude de sauter les barrières tout le temps. Et je pense que beaucoup d'entre vous, les hommes de mon âge se souviennent de ces jours des charrettes, des jours des chevaux. Je suis descendu plusieurs fois cette rue ici monté sur un cheval moi-même. J'ai quarante-cinq ans. Donc ils se souviennent... Nous mettions un joug au cou de ce vieux cheval, comme vous le feriez pour un boeuf afin de l'empêcher de sauter la clôture. Mais il sautait malgré tout. Et il accrochait ce joug et tournoyait autour et ainsi de suite, il passait par-dessus la clôture. Et un jour, ce qu'il...

43    Et je me demandais ce qui attirait ce vieil ami. Et il y avait là en bas un grand trou, un évier. Maintenant, il se tenait sur la luzerne, mais il voulait... Il y avait quelques brins d'herbe du verger dans un trou d'ordures. Et il sauta la clôture et entra dans ce trou où il y avait de fils de fer et des verres. Eh bien! il était dans notre--dans notre dépotoir et y entrait-là pour avoir quelques bouchées de cette herbe du verger. Et nous devions avoir beaucoup plus de chevaux et le tirer de ce trou. Quand il y entrait, il était suspendu. Et quand on le détachait là, il frissonnait et saignait, et--et comme il devenait! Juste pour avoir une ou deux bouchées de cette herbe du verger alors qu'il était sur la luzerne, presque jusqu'aux genoux.

44    J'ai souvent pensé à cette image: «La voie du pécheur est pénible.» Il ne voudrait simplement pas se tenir tranquille là où il mangeait et avait un temps merveilleux, mais... il devait sauter la clôture et être entièrement meurtri et blessé comme cela, seulement pour avoir un bouchée de--d'herbe d'une espèce quelconque. Maintenant c'est à peu près la manière d'agir des gens, qui sautent la clôture du pâturage de Dieu. Ne croyez-vous pas cela? [L'Assemblée dit: «Amen.» Ndt.] Ils sortent, aujourd'hui ils rentrent. Il est dans l'église, en train d'avoir un temps merveilleux, puis demain, il se vend pour quelque chose comme cela. Cela le rend très pénible.

45    Achab était plus ou moins ce genre de personne. Partout où soufflait le vent, Achab y mettait son voile, que ce soit de ce côté-ci ou de ce côté-là. Son mariage avec une petite princesse, Jézabel, une fille de roi le rendit complètement embrouillé. Elle était belle d'apparence, une très jolie femme, mais méchante dans son coeur. Elle était une idolâtre et elle entraîna tout Israël...

46    Maintenant, je voudrais me limiter là pour quelques minutes et entrer dans le vif de ce qui se passe maintenant, cette maternité, voyez. Et lorsqu'un homme désire se marier, le genre de fille ou femme qu'il... C'est plus que de ne regarder qu'à la beauté. Vous devriez trouver quelqu'un avec qui vous unir, et l'âme et le corps; quelqu'un qui sera vraiment votre amie et votre copine, qui s'unira entièrement et intimement avec vous, dans les bons comme dans les mauvais jours.

47    Mais Achab, maintenant je suppose qu'il tomba amoureux d'elle seulement parce qu'elle était jolie et l'épousa. Il ne pouvait y avoir rien d'autre à propos d'elle, parce qu'elle était aussi méchante que cela. Et elle vint là-bas. Bien sûr qu'il fut épris d'elle de cette manière-là et l'aima. Oh! il entraîna tout Israël à pécher et à se détourner de Dieu, à renverser les autels de Dieu et à dresser des autels pour Baal. Et Baal était adoré en ce temps dans tout Israël.

48    Maintenant lui et sa femme maltraitèrent le juste Naboth. Beaucoup parmi vous l'ont lu, comment il lui arracha son jardin par une tromperie et jura, un mensonge, et il avait eu un faux témoin contre lui. Parce qu'elle désirait faire quelque chose pour son mari, elle tua le juste homme dans le but d'avoir un jardin qui était contigu au palais.

49    Dieu voyait tout ceci. Alors le prophète Élie qui était un grand et puissant serviteur du Seigneur prophétisa et dit à Jézabel ce qui lui arriverait. Et il dit à Achab que les chiens lécheraient son propre sang. Maintenant lorsque Dieu a dit quelque chose... bien sûr qu'en leurs jours, la Parole directe du Seigneur venait par le prophète.

50    «Dieu dans la temps anciens et de diverses manières a parlé aux pères par les prophètes et dans les derniers jours par Son Fils, Jésus-Christ.»

51    Ceci est donc la Parole. Et s'il y a quelque chose de contraire à Cela, mettez-le de côté. Voyez? Maintenant, secondement, Il parle aujourd'hui par le prophète, le voyant, et ainsi de suite. Mais premièrement c'est ceci, la Parole.

52    Et Achab avait commis cette méchanceté et il continua. Dieu bénit le peuple pendant plusieurs années. Puis finalement, vint Josaphat qui était roi sur Juda alors qu'Achab était roi sur Israël.

53    Et Josaphat était un homme juste, il était le fils d'Asa. Asa était un--un homme juste, il renversa tous les autels des idoles, rétablit les autels de Jéhovah. Et ils avaient un réveil comme il se doit, là-bas en Judée. Puis après quelque temps Josaphat ou...

54    Ou plutôt Achab envoya une expédition et découvrit un autre lopin de terre en Syrie qui, selon ce qu'il pensait, lui appartenait et il pensait qu'il devrait aller le récupérer. Donc il demanda à ce Josaphat s'il voudrait bien venir et de faire front commun avec lui.

55    Et, bien sûr, qu'il y a un grand danger maintenant, voyez, lorsqu'on voit ce grand roi Achab, là-bas et lorsqu'on voit ce grand-là ici, Josaphat. L'un d'eux un tiède, l'autre un homme rempli de l'Esprit. Voyez comment vous faites, comment vous vous liez d'un joug avec les incroyants. Gardez-vous purs et surtout en ces jours dans lesquels nous vivons.

56    Je crois, église, sans l'ombre d'un doute que ceci brûle dans mon coeur. C'est la raison pour laquelle je cherche à avoir ces cinq soirées pour bientôt; pour donner à cette église, une fois de plus, avant cela n'arrive, un plein balayage par la Bible.

57    Nous vivons à l'ombre du temps et cela pourrait arriver à n'importe quel moment. Quand nous voyons approcher le temps pour que les choses s'accomplissent, on voit alors la méchanceté et les forces mêmes de l'ennemi. Nous voyons toutes ces tempêtes de neige, toutes ces choses, toutes ces plaies et toutes ces différents choses arriver. Tout cela est causé par toutes ces interruptions, par ces bombes mises à feu et ces choses. Ces choses sont mélangées ici et elles sont en train d'être préparées dans le grand laboratoire de Dieu pour accomplir Sa Parole. Ça va se produire.

58    Ainsi s'éleva avec sa puissance de séduction «l'homme du péché.» Oh! J'avais entendu, ce matin, un ministre, un homme rempli de l'Esprit, prendre la marque de la bête et dire que la Russie serait l'anti-Christ. Quelle erreur! Oh! oui! La Russie n'a rien à avoir avec cela. Non monsieur. C'est scripturaire. Mais remarquez maintenant, un avertissement, dans le temps glorieux où nous vivons.

59    Maintenant, ce Josaphat se sentait honoré parce que le grand roi d'Israël avait dit: «Viens me rendre visite.» Et il alla là-bas. Et ils prirent des veaux et des brebis et ainsi de suite pour les donner en sacrifice. Pendant tout ce temps, au fond de son coeur, Achab était un hypocrite parce qu'il n'adorait pas ou n'offrait pas ces brebis et ces choses avec un coeur sincère. Car après tout il se penchait plus vers la religion de sa femme.

60    Et remarquez, quand Achab se maria avec Jézabel au moment de ce grand âge sombre d'Israël, il amena l'idolâtrie en Israël, un véritable type d'aujourd'hui. Juste comme dans cet Âge sombre quand nous passons par les premiers apôtres, puis le deuxième, la troisième, jusqu'à l'âge sombre, le quinzième siècle. Tout comme Achab se maria avec Jézabel et amena l'idolâtrie en Israël; ainsi le fit l'église du Saint-Esprit qui s'est mariée avec des 'ismes' et a ramené l'idolâtrie et aujourd'hui c'est une forme du christianisme. Voyez? Voyez, tout aussi sombre! Et maintenant cela a avancé chaque jour; chaque âge de l'Église s'est enfoncé vers la même chose, vers ce point culminant. Et on arrive à la condition tiède, l'Âge tiède de l'Église de Laodicée. Oh! quel temps horrible nous vivons!

61    Écoutez. Je veux confesser juste ici avant que je n'aille plus loin. Je suis un prédicateur à l'ancienne mode qui désire ardemment revoir ces vieux jours. J'ai tellement vu d'imitation, comme Hollywood enjolivant l'Évangile au point que j'en ai ras-le-bol. Oui, monsieur. Je désire voir ces vieux temps. J'ai peur que nous ayons trop embelli le christianisme pour les gens. La zone dangereuse.

62    Maintenant, Josaphat descendait en pensant: «Oh! eh bien! ce grand roi d'Israël, je vais juste... Oh! nous aurons... Ce sera merveilleux.» Et juste au milieu de toute cette effervescence que fit-il? Il conclut une alliance pour monter et combattre l'ennemi sur une base commune parce qu'ils se disaient: «Nous sommes tous les deux un même peuple.» Mais ils ne l'étaient pas. L'un était un groupe rempli du Saint-Esprit alors que l'autre était un groupe tiède. Ils n'étaient pas un même peuple. Non monsieur.

63    Les ténèbres ne peuvent s'associer avec la lumière. La--la nuit ne peut résister en présence du soleil. Et l'heure la plus trompeuse, c'est quand les temps chevauchent. Quand le soleil se couche ou se lève, c'est l'heure la plus trompeuse qu'il y ait. Il n'y a pas assez de lumière pour voir clairement; vos phares d'automobiles ne vont pas bien éclairer. Il serait mieux d'éteindre que d'allumer. Jésus dit: «Sois bouillant ou froid, non pas tiède.» Ça c'est la zone dangereuse.

64    Et lorsque Josaphat vint, cette grande alliance fut conclue, ce qui ne plaisait pas à Dieu. Et maintenant remarquez, juste au moment de toute cette excitation: «J'ai la faveur de ce roi. Eh, oh! j'ai--j'ai--j'ai la communion avec ce voisin. J'ai... «

65    Voyez, faites attention à cela, Église! Voyez? C'est cela qui cause tous ces troubles ici au tabernacle, et partout ailleurs. Voyez? Prenez garde aux choses avec lesquelles vous vous mêlez. Voyez? Sortez-en. Soit vous êtes pour Christ, soit vous êtes contre Lui. Voyez?

66    Maintenant, cet homme conclut l'alliance et il pensait avoir fait quelque chose de grand. Pourtant lorsqu'il dit: «N'y a-t-il pas ici, avant que nous allions, ne devrions-nous pas consulter le Seigneur à ce sujet?»
    Maintenant Josaphat, avait en lui assez de religion qui restait. Il commit l'erreur de descendre là vers ce 'ricky' mais il avait en lui assez de religion qui restait pour penser: «Eh bien! nous devrions au moins consulter le Seigneur.»

67    Achab se dirigeait directement sans dire un mot, si ce n'est sa propre manière charnelle machinale, et humaine de faire les choses.

68    Je me demande juste ici, église, si cela n'a pas été le cas à plusieurs reprises que nous avons commit des erreurs. Nous spéculons là-dessus en disant: «Eh bien! ça devrait être comme ceci» et nous le laissons comme cela.

69    Je pense que c'est là où beaucoup d'évangélistes américains en sont aujourd'hui; nous l'avons chargé en une forme de--une forme de, je dirais une évangélisation Hollywoodienne où il y a plein de fascination. On remarque l'évangéliste venir sur l'estrade aujourd'hui, oh! il est tout gonflé et raconte quantité de plaisanteries avant de commencer la prédication et ces choses comme cela. Il s'habille et se comporte comme un clown à la chaire. Lorsque vient le moment de faire un appel à l'autel, les gens ne voient même pas de sincérité pour faire un appel à l'autel. C'est vrai. C'est la raison pour laquelle le monde connaît aujourd'hui cet état tiède dans laquelle il se trouve.

70    Je me demande aujourd'hui, c'est comme aujourd'hui dans l'église. Nous avons essayé d'envoyer nos enfants à l'école pour apprendre la psychologie et ainsi de suite, pour savoir comment monter un programme, comment se tenir à la chaire et d'arranger notre... Le message est si séduisant qu'il captive les gens, et captive leur attention. Et beaucoup de grands psychologues deviennent comme cela des enseignants et adaptent leurs gestes comme sur la scène et ils mettent tout un tas de choses. Et je me demande, quand ils... Nous essayons toujours de leur raconter la beauté et l'attraction de l'église, mais nous manquons de leur dire que «celui qui veut Me suivre, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa Croix et Me suive.» Je me demande si nous n'avons pas rendu l'église trop belle pour l'homme qui y vient.

71    Par exemple, l'église Baptiste a aujourd'hui un slogan: «Un million de plus qu'en 44.» Ils ont des milliers des membres, des inconvertis, juste des gens qui vont se joindre à l'église. Et l'Église de Jésus-Christ est redevable pour avoir pris en Elle de tels membres. Ils boivent toujours. Ils fument toujours. Ils continuent à jouer à l'argent. Ils continuent à mentir.

72    Ils viennent à l'église s'attendant à être divertis par une bande d'évangélistes Hollywoodiens qui montent, viennent avec toute sorte de séductions et tout un tas de grands instruments placés de long en large de l'estrade.

73    Alors qu'ils devraient avoir un appel comme à l'ancienne mode d'abord Dieu, pleurer, avoir là un appel à l'autel où des hommes et des femmes ne viennent pas à une excitation, on accoure pas pour agir comme un clown, mais pour descendre à l'autel et réaliser la mort de Jésus-Christ, qui mourut pour eux, afin qu'ils retournent sincères avec Dieu.

74    Je me demande si nous ne vivons pas en ce jour, ce jour où nous prenons de grands évangélistes, comme ceux qui parcourent aujourd'hui le pays, des évangélistes de grand renom, qui ont étudié la psychologie et attirent les gens à l'église. Mais une fois que vous les avez dans l'église, qu'allez-vous alors faire avec eux? Qu'arrivera-t-il, une fois qu'ils sont dans l'église? Ils adhèrent simplement à l'église et retournent avec le même péché et avec les mêmes désirs qu'ils avaient lorsqu'ils y sont entrés. Ils rentrent dans la même attitude. Et c'est cela la raison pour laquelle aujourd'hui, le monde regarde et dit: «Eh bien! si cet homme-là était religieux, si cette personne-ci avait de la religion...»

75    Je crains que nous l'ayons rendu trop facile. C'est, j'aime... la joie, je pense que, certainement que je crois que toutes les joies sont en Jésus-Christ. C'est juste. Je crois que c'est joyeux et heureux. Mais rappelez-vous, frères, c'est le chemin de l'agonie, de souffrance et de la Croix. Vous devriez aussi réaliser cela. C'est vrai. Je me demande si nous n'avons pas dépeint cela un peu trop... avec une apparence un peu molle.

76    J'étais en train de regarder ma femme qui mettait... Elle se mettait en route et elle mit une rose ce matin sur mon veston. Elle dit: «Tu devrais la porter. Ta mère est en vie.»
    Et je dis: «Oh! chérie, je ne sais pas.»

77    La fête des mères est merveilleuse, mais c'est comme le monde. Ils ont commercialisé la chose tout simplement pour vendre des fleurs et ces choses semblables. Oh! c'est un discrédit pour la maman. Oh! Ma maman est ma mère tous les jours de l'année, oui monsieur, pas pour un jour. Je dirais: «Aimes-tu ta mère?»

78    «Je lui ai envoyé un bouquet de fleurs à la dernière Fête des Mères.»
    Bien, frère elle devrait être mère tous les jours. Mais c'est un commerce.

79    Cette fleur est jolie. J'aime une jolie fleur. J'y pense juste comme je fais... Comme cette fleur est jolie! Elle fleurit et elle est parfumée. Et les gens qui passent à côté la sentent. L'animal s'approche et la sent. Mais voyez maintenant, c'est joli. Comme l'Église de Jésus-Christ le Seigneur. C'est la chose la plus glorieuse avec les guérisons Divines, les puissances et les prodiges, les signes et les miracles et la délivrance du péché. C'est un bel endroit. Mais voyez, si cette rose... Nous devons venir à l'église comme c'est dans toute la nature.

80    Parce que cette rose est belle, chaque vache du pays voudrait la lécher, si elle le pouvait. Mais la nature l'a pourvue de petites baïonnettes, des petites lances qui sont attachées là et qui sont appelées «épines», et elles s'enfuiront. C'est ce qui la protège. C'est exactement cela.

81    Et je pense aujourd'hui que si nous n'avions pas la Parole de Dieu, plus tranchante qu'une épée à deux tranchants, autour de la beauté de la puissance de la sainteté de Dieu, nous laisserions chaque vache du pays la lécher et la cueillir. Elle va l'abîmer et l'église en serait redevable.

82    Je pense que ce dont nous avons besoin aujourd'hui, ce sont des prédicateurs appelés de lier, humbles, à l'ancienne mode, n'ayant peut-être pas beaucoup d'instruction, mais qui amèneront les gens à l'autel, pour y agoniser. Non pas avec la joie, en riant, et en mâchant du chewing-gum et en mettant leurs noms dans un livre, mais frère, des pleurs et une affliction comme autrefois, jusqu'à ce que les hommes et les femmes se repentent complètement de leurs péchés et se rapprochent de Dieu. Amen!

83    Nous avons, je vous le dis: «Ceux qui veulent accepter Christ qu'ils lèvent la main.»
    Et tout est comme cela. Ça c'est très bien, frère, mais cela ne--ne chasse pas le péché.

84    Vous devez vous repentir d'abord, vous mettre en ordre, descendre là et pleurer réellement. Je peux me souvenir les temps où les gens à l'ancienne mode marchaient dans les allées et de long en large des rues criant et parlant à leurs voisins. Ça c'était le Chrétien de ce jour-là, qui parle des choses du Seigneur.

85    Mais aujourd'hui, nous mettons notre nom dans le livre de l'église, nous sortons et restons à la maison et ne dirons plus jamais un mot à propos de cela. Pas concerné!
    «Tout aussi longtemps que nous appartenons à l'église, tout est bien.»
    Je suis sûr que là nous avons tort, nous les gens. Examinez-vous! Car cela ne subsistera pas au Jugement. Non monsieur. Ça ne subsistera pas.

86    Rien de moins que: «Celui qui veut Me suivre, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa Croix et qu'il meure chaque jour.» Mourez là, à la Croix. C'est vrai. Agonisez! La voie c'est «je prendrai cette voie avec les quelques méprisés du Seigneur.»
    Vous chantez.

87    Je pense aujourd'hui: «Quel temps vivons-nous!» Cette évangélisation, ils la mettent sur des grands panneaux lumineux et ils essaient... Quand vous voyez arriver l'évangéliste, vous vous posez des questions. Mes réunions à moi ont été coupables de la même chose. C'est juste. Je me demande quelques fois qui arrive dans la ville, est-ce l'évangéliste ou Jésus-Christ? C'est que, ils ont...

88    J'étais allé à un endroit ici, il n'y a pas très longtemps où un certain évangéliste était censé venir. Et le Nom de Jésus... Oh! Ils avaient le portrait de l'évangéliste, «l'homme du moment.» L'homme avec ceci et l'homme avec cela.

89    Quelquefois, je pense à mon ministère en voyant les gens venir. Et j'entrerais dans une chambre d'hôtel dire: «Ô Dieu, que--que viennent voir ces gens, moi ou Toi? Voyez? S'ils viennent pour me voir alors ils sont perdus, ils sont encore perdus. Mais, ô Dieu, abaisse-moi et mets-moi de côté. Je désire Te représenter. Celui devant qui je me tiendrai un jour, les mains tremblantes et le corps tremblant et faible, regardant à Toi. Sachant que le sort de mon âme dépend de Ta décision.»
    Exaltons Jésus.

90    Aujourd'hui vous dites: «Eh bien! j'appartiens aux Baptistes. Je suis Méthodiste. J'appartiens au Tabernacle et je fais ceci.»
    Oh! cela n'a rien à faire avec cela, rien à faire. Quelquefois je me demande.

91    Il n'y a pas longtemps, je vis ici une publicité là où une certaine campagne allait se tenir dans la ville. Et le nom de l'homme était porté en gros caractères comme cela par tout le chemin autour. Et à la fin, dans un petit coin on dit: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui et pour toujours» en bas au petit coin. Voyez?

92    Ils ont retiré tout le sacré de Jésus pour le placer dans un homme ou dans une église ou dans une organisation. Frère, je vous le dis, vous pouvez vous rapprocher avec une excitation des pitreries Hollywoodiennes. Mais, dans la Présence de Jésus Christ, c'est Lui qui doit être glorifié. C'est vrai. Maintenant ça c'est la vérité, chers frères et soeurs.

93    Ne vous fâchez pas contre moi. Rappelez-vous simplement que je vous prêche. Je veux prêcher comme si celui-ci était le dernier sermon que j'aurais jamais à prêcher dans ma vie. Chaque sermon que je prêche, je désire prêcher comme un mortel qui prêche aux mortels. Et ma lumière s'éteint chaque jour, la vôtre aussi. Et nous sommes des êtres mortels mourants. Et nous devons faire face au Dieu vivant un de ces jours, et nous ferions mieux d'être sincères à fond.

94    Et juste dans cette excitation. On avance pour se joindre à l'église, et on va ici et là-bas, on se comporte de cette manière ou de cette autre manière.

95    Nous ferions mieux d'avoir des réunions de prière à l'ancienne mode dans nos maisons, criant à Dieu, jour et nuit. Le jour s'approche, «le temps de détresse, le temps de trouble», un «jour sombre» a dit la Bible. Et nous vivons dans ce jour.

96    Voyez comment sous cette excitation, ce grand homme descendit là-bas se joindre lui-même avec des tièdes, avec des frontaliers, et il pensait qu'il était en train d'accomplir quelque chose de grandiose. Il pensait que Dieu le bénissait. Et il ne réalisait pas qu'il entraînait là-dedans tout le groupe derrière lui. «Quoi? Notre petit groupe de Juda ici, descendre là et nous joindre avec ce grand peuple d'Israël. Quel peuple puissant nous serons!»

97    Vous y voilà. Et tout aussi certain que je me tiens ici, c'est la même manière de tromperie que le diable use juste maintenant pour introduire l'anti-Christ. «Nous allons unir nos efforts.»
    Nous ne pouvons faire cela. «Comment deux peuvent-ils marcher ensemble sans qu'ils ne s'accordent?»

98    Les États-Unis ont fait de même, la même expérience et la même erreur quand ils s'étaient associés là-bas avec la Russie. Au moment même où ils étaient presque prêts pour avoir une guerre, nous nous sommes unis avec la Russie. Et vous voyez maintenant où nous en sommes, n'est-ce pas? Ils ont nos avions et tous nos secrets, et toutes nos bombes atomiques et tout se trouve là-bas, pour les renvoyer contre nous. La même chose se passe dans le spirituel.

99    Puis, nous découvrons qu'après que Josaphat ait conclu cette alliance, ils consultèrent. Maintenant voyez, observez le monde extérieur, il dit: «Certainement, nous avons beaucoup de prophètes ici. Nous en avons plein le séminaire.»

100    Ils allèrent prendre les hommes qui avaient été entraînés, qui connaissaient la psychologie et qui en connaissaient tout. Il dit: «Nous vous demandons de monter, nous voulons consulter le Seigneur.»

101    Ils sont venus tous, bien sûr selon leur pensée charnelle enflée et dirent: «Maintenant voyez, vous... vous montez car le Seigneur est avec vous et le Seigneur va vous donner ce lopin de terre-là. C'est--c'est pour vous. Vous repousserez en arrière les Syriens. Vous le ferez.»
    L'un d'entre eux se fit même une paire de grandes cornes de fer et commença à courir autour comme ceci disant: «Vous savez quoi! Vous allez repousser les Syriens.»

102    Mais Josaphat était juste un peu plus spirituel qu'il ne pouvait supporter cette espèce de farce. C'est vrai.

103    Ô Dieu, envoie-nous plus de Josaphat, qui en ont assez de cette farce Hollywoodienne. C'est juste. Ils simulent ou prétendent être quelque chose qu'ils ne sont pas, qui agissent et se comportent comme sur une scène. Et puis, lorsqu'ils viennent, que faites-vous quand il entre?
    C'est comme demander à un homme d'aller nager et cela dans un désert. Rien de plus qu'un bain de sable sur votre tête pour vous causer des ennuis après.

104    Maintenant, remarquez, que pouvez-vous amener là-dedans?
    L'autre jour, une certaine dame me dit: «Un homme avait dit: - je voudrais aller à l'église, mais qu'est-ce que j'aurai après que j'y sois allé? Il dit: - Tout ce qu'ils font, c'est d'organiser un souper à l'occasion de ceci ou à l'occasion de cela.»
    Et la dame dit: «Je restais là ne sachant que dire car je ne savais pas où l'envoyer.»
    Vous y voilà. Il disait: «Je souhaiterais trouver une vieille église où ils chantent vraiment les hymnes comme à l'ancienne mode et qui vivent pieusement.»

105    Lorsque les enfants ont faim, ils mangeront dans une poubelle. Il appartient à l'Église du Dieu vivant de les nourrir de la véritable Parole vivante de--de Dieu.

106    Là, dans toute cette excitation et ces choses, Josaphat dit: «N'y a-t-il pas là un de plus?»

107    «Un de plus» dit Achab. «Ça alors! que veux-tu de ce 'un de plus'? Nous en avons quatre cents des meilleurs. Ils ont été sélectionnés instruits, bien nourris et mieux habillés que quiconque dans le pays et ils se tiennent ici. Chacun d'eux, d'un commun accord, d'un seul coeur et d'une même voix a dit: - Allez-y! Dieu est avec vous.»

108    Je me demande si les États-Unis n'ont pas connu la même chose. Je me demande si l'église de Dieu n'a pas connu la même chose. Je me demande.
    «Eh bien! dit-on, voyez, ils ont du succès. Ils ont de très grandes réunions. Ils amènent des millions en une fois.»
    Mais je me demande s'il n'y en a pas un de plus! Je me demande s'il n'y a pas quelque chose de différent!

109    Nous remarquons que nous avons trente mille convertis en six semaines et six semaines plus tard, nous n'avions plus même un seul. Il y a quelque chose quelque part qui ne va pas. C'est vrai. Et tout n'est qu'excitation et simulacre. Le monde par la télévision, par la radio, par les expositions d'images et toutes ces publications-là, a corrompu cette nation avec cette pourriture de Hollywood. C'est juste. Toute chose veut paraître dans une grande excitation. N'est-ce pas vrai? [L'Assemblée dit: «Amen.» Ndt.] Vous savez que c'est la vérité. Il ne nous reste plus de cette religion à l'ancienne mode que nous avions il y a des années. C'est parce qu'elle a été séduite. Nous y arriverons juste dans un moment, et vous le verrez.

110    Oh! Quelle belle image ou quelle image émouvante, voudrais-je dire. Et voici que vient ce Josaphat qui dit: «Oui, je les vois tous. Ils ont tous, chacun d'eux, ils ont leurs diplômes et tout ce qui pouvait être. Ils sont aussi prophètes, ils sont des grands prédicateurs. Ils sortent de grandes universités et ils sont tout ceci. Ils sortent de la grande école des prophètes et toutes ces choses. Ils sont tous d'un commun accord. C'est juste. C'est vrai. Mais n'y a-t-il pas juste un de plus?»

111    «Ça alors, que désires-tu faire avec ce 'un de plus' alors que quatre cents ont donné leur consentement au même moment?»

112    Mais cet homme là au fond de son coeur, il avait Dieu. Et il savait qu'il y avait quelque chose qui clochait à propos de cela. Oui, monsieur. Il savait qu'il y avait là une pourriture. Pourquoi? Laissez-moi vous dire... Les Écritures n'en parlent pas mais voici ce que j'ai. Je sais que--que ce Josaphat-là savait que cet hypocrite, Achab, n'était pas en ordre avec Dieu. Et Élie avait prophétisé sur lui la Parole de Dieu. Et comment Dieu peut-Il bénir ce qu'Il a maudit? Amen!

113    Je dis la même chose aujourd'hui mes amis. Et l'Église du Dieu vivant qui reste fidèle à Dieu dira la même chose. Vous ne pouvez mélanger ensemble de l'huile et de l'eau et appeler cela 'Salut'. Vous ne le pouvez pas. Vous devez vous séparer vous-mêmes, frères. Quelque chose doit se produire. S'il y a quelque espoir qui reste nous devons faire quelque chose et le faire promptement car l'heure... l'Enlèvement est proche.

114    Ces choses s'entassent et ces choses et l'église s'est tellement éloignée! Ils lisent toutes sortes de magazines, de livres, des romans et toutes ces choses. Je pourrais aujourd'hui à un... Je peux aller dans une église et dire: «Oh! combien connaissent...» Ils connaissent chaque hymne après l'un de ces grands réveils. Maintenant, sur quelle page se trouve telle ou telle hymne, ils le savent. Ils savent ce que c'est. Ils connaissent qui veut être Président et qui veut être ceci et combien de stars de cinéma se sont mariées, ils connaissent celle-ci et celle-là, ou une autre. Mais la Parole de Dieu, ils n'en savent rien. Vous y voilà. Nous donnons ainsi... Pourtant ils professent qu'ils sont des Chrétiens.

115    Et les gens n'en sont pas responsables. C'est du haut de la chaire que ça provient. Exactement. C'est du haut de la chaire. Ils leur enseignent toutes sortes de rythmes et toutes sortes de ceci ou cela, et d'organisations, comment prêcher et toutes choses comme cela. Je me demande si c'est récompensé? Je n'ai rien contre cela, mais je me demande si cela rencontre les exigences de Dieu.

116    Alors que Jésus dit: «À moins qu'un homme ne soit né d'eau et d'Esprit, il ne peut d'aucune manière entrer dans le Royaume de Dieu. Celui qui veut--veut Me suivre, qu'il se charge de sa Croix et Me suive.» La Croix est le symbole de la mort, de l'agonie. «Celui qui veut être Chrétien, qu'il se dépouille des ses propres idées, qu'il se dépouille de ses propres oeuvres, qu'il se dépouille de toute chose, se reniant lui-même; et qu'il prenne cette Croix consacrée et Me suive chaque jour. Que celui qui veut Me suivre fasse cela.» C'est ce qu'a dit Jésus.

117    Mais aujourd'hui nous disons: «Que tout le monde ait un moment grandiose. Que tout le monde tape des mains. Que tout le monde crie 'Alléluia!'. Que tout le monde fasse ceci.» Oh! comme nous avons tout un tas d'histoires! Nous sortons ces nouveaux chants et nous les chantons tellement vite qu'il semblerait que nous allons courir à travers les murs avec, ou quelque chose comme cela.
    Amen. Ô Dieu.

118    Quand je pense que, si nous chantions «Plus près de Toi, Mon Dieu», ce serait beaucoup mieux pour l'Église. Ces cantiques à l'ancienne mode.

119    On a beaucoup de danses, des gens qui jouent dans un orchestre. Un jeune homme qui, hier soir, dansait en jouant dans un orchestre, ce soir il joue dans l'Église du Dieu vivant? C'est une abomination dans la présence de Dieu. Que cet homme soit d'abord éprouvé et qu'il produise des fruits dignes de la repentance pour montrer qu'il est ordre avec Dieu.

120    On a amené le monde du jazz juste à l'estrade. Ils apportent cette manière fascinante de prêcher à l'Hollywoodienne juste sur l'estrade.

121    N'étais-je pas dans votre belle ville il y a quelques semaines, à Louisville en Kentucky? Cela m'a fendu le coeur! Alors qu'ils étaient tous assis là, désirant voir les miracles de Dieu; et dès que vous prêchez l'Evangile, ils en ont vite assez, en une seconde, et ils vous tournent le dos et sortent du bâtiment. Certainement. Ils n'En veulent pas. Leurs coeurs sont endurcis. Ils sortent; et beaucoup d'entre eux, des Protestants, également, qui vont aux églises Protestantes. Mais ils avaient été... ils ont été tellement rempli de choses clinquantes et tout comme cela, de bêtises et de façons ecclésiastiques, qu'ils ne connaissent rien de l'Esprit du Dieu vivant. «Ils ont une forme de piété, et en renient la Puissance.»
    Dans quel jour vivons-nous! Observez où cela s'entasse.

122    Josaphat dit: «Je le sais, Achab. Voilà tes quatre cents prédicateurs. Ce sont des gens très bien en apparence, chacun d'eux est habillé de manière distinguée et leurs cheveux bien peignés et toutes ces choses, où quoi que ce soit d'autre. Ils peuvent avoir leurs doctorats en théologie. Ils peuvent avoir toutes leurs sortes de diplômes. Ils peuvent avoir la connaissance des Écritures de A à Z. Mais n'avez-vous pas quelque part, un de plus? N'y a-t-il pas juste un de plus?»

123    Il dit: «Oui, il y en a un de plus mais je le déteste.»
    Vous y voilà. Vous y voilà! «Je le déteste.»
    Rappelez-vous qu'Achab et tous ces enseignants étaient des hommes religieux, mais ils haïssaient cet homme qui avait la Vérité. Il dit: «Je le hais;» Il dit: «Il profère toujours quelque chose contre moi.» Comment pouvait-il s'empêcher de le faire, lorsque la Parole de Dieu l'avait condamné?

124    Comment pouvez-vous encore vous retenir, vous qui êtes un homme ou une femme de Dieu, ayant la connaissance, voyant le péché et ces choses s'entasser et abonder et toutes ces choses comme cela, voir des millions d'âmes humaines aller en enfer chaque jour, et rester encore tranquilles? Vous ne le pouvez pas. Quelqu'un me disant ici: «Penses-tu pouvoir l'arrêter?»

125    Je dis: «Non, je ne le peux pas parce que Dieu l'a dit. Mais un jour à la Barre de Jugement, on va placer ce grand écran, projeter cela à partir de la caméra et cette bande cassette sera jouée. Et je me tiendrai là pour l'écouter et je voudrais entendre ma voix lançant un avertissement contre cela. Dieu me jugera lorsque ma voix viendra contre cela.» Oui, monsieur. Quand nous verrons cette vie, cette génération réapparaître encore sur la scène là au Jugement. Certainement. Nous vivons dans un temps terrible. Et le voilà.
    Et nous le voyons qui dit: «N'y a-t-il pas un de plus?»

126    Il dit: «Oui, mais je le déteste car il prophétise toujours du mal contre moi.»

127    Comment peut-il s'empêcher de prêcher ces choses dures quand il voit les choses continuer? Voir Achab vivre et agir comme il était et amener les gens dans cet état-là!

128    Comment un homme ou une femme de Dieu, peut-il, se retenir de crier et de réprimander le péché de tous côtés? Quand ils voient ces prédicateurs tièdes et ces fascinateurs, ces éducateurs et ainsi de suite, laissant les gens aller en enfer par millions sous la tromperie... beaucoup d'eux et même parmi les gens de la Sainteté. Je ne parle pas beaucoup de Méthodistes, des Baptistes et ces choses comme cela; ils les ont aussi. Mais c'est juste là parmi eux. Oh!

129    Ils viennent à l'autel comme n'importe quoi d'autre sauf comme des Chrétiens. Ils vivent de n'importe quelle manière dans tout le pays et appeler cela la religion? C'est une religion mais elle est loin du Salut du Seigneur. C'est juste. Ils entassent des gens au point que c'est juste une grande troupe d'excités. Puis aussitôt que cette petite excitation se termine, la première chose vous savez, vous ne pouvez pas retrouver l'un d'eux, l'église reste vide. Mais si un homme aime Dieu, il remplira chaque fois son siège dans l'église. Il remplira chaque fois son siège dans l'église. Il ne peut pas s'en tenir éloigné. C'est juste.

130    Remarquez maintenant, juste pour quelques minutes. Je vais essayer de me dépêcher et me rapprocher du sujet maintenant, car mon temps s'épuise. Remarquez, alors il dit: «N'y a-t-il pas là juste un de plus?

131    Il dit: «Oui, mais je le déteste. Il prophétise toujours contre moi. Il dit toujours du mal à mon égard.»
    «Très bien, dit-il, Allez le prendre.»
    Il dit: «Il s'appelle Michée.»

132    Mais cet homme-ci avait assez de religion pour discerner que ces hommes-là n'étaient pas en ordre.

133    Et tout homme qui ait jamais été touché, juste un peu, par l'Esprit de Dieu sait que ces choses qu'on appelle aujourd'hui christianisme n'en sont pas. «Vous ne pouvez pas aimer le monde et les choses du monde; si vous les faites, l'Amour de Dieu n'est pas en vous.» La Bible le dit ainsi. Maintenant voyez. Il dit: «Allez le prendre.» Et ils allèrent.

134    Et puis il envoya un espèce de petit messager, peut-être le diacre de l'église et quelqu'un d'autre. Il descendit là-bas et dit: «Maintenant écoute, Michée, nous allons t'emmener là devant Achab et Josaphat, ils sont tous deux assis là et ce sont de grands hommes. Ils sont des docteurs et des érudits. Ils ont leurs diplômes et ainsi de suite. Et chacun de nos séminaires et de nos églises, tous sont d'un parfait accord que ceci est la volonté du Seigneur. Maintenant toi, tu diras la même chose qu'eux et je t'assure, tu seras vêtu de manière distinguée et tu vas rouler à bord d'une Cadillac. Je t'assure, tu seras un grand monsieur si tu fais cela. Oui monsieur. Tu auras la prospérité.»

135    Michée dit: «Le Seigneur Dieu est vivant, je dirai seulement ce que Dieu dira.» Amen! Oui. Oh! voilà un homme selon mon coeur. «Je pourrais manger du pain et boire de l'eau», ce qu'il a dû faire. «En faisant cela.» On peut vous frapper sur une joue ou sur une autre et quoi d'autre encore, mais il dit la vérité et il s'est tenu avec elle. Dieu a confirmé que c'était la vérité. Il n'était pas très populaire, mais il connaissait Dieu.

136    Le vieux petit Michée fut emmené là et il dit: «Très bien, Michée, que dis-tu à ce sujet?»

137    Il dit: «Montez-y, montez-y.» Il dit: «Montez-y en paix. Allez de l'avant et ayez du succès, c'est ça ce que je veux que vous fassiez. Quant à moi, je vis Israël dispersé sur une colline comme un troupeau qui n'a pas de berger. C'est cela.» dit-il.

138    Et quand il fit cela, Achab se retourna vers Josaphat et dit: «Qu'est-ce que je te disais? Cet exalté.» ou d'autre, (excusez-moi) ou quoi d'autre qu'il était ce gars dit cela! «Qu'est-ce que je te disais? Cet homme ne prophétiserait que du mal contre moi. Qu'est-ce que je te disais? Il voudrait toujours condamner notre église, condamner nos prédicateurs et condamner notre religion. Qu'est-ce que je te disais? Il dirait ça. Je le connais. Je connaissais son père avant lui.»
    Amen! [Frère Branham claque ses mains une fois. Ndt.] «Je connaissais son père avant lui.» Oui, monsieur, un véritable homme de Dieu. Il dit: «Je savais qu'il dirait cela.»

139    Et il dit alors: «Oui, dit-il, je vis Israël dispersé sur la colline comme un troupeau sans berger.» Il dit donc: «Je...»

140    Et puis, l'un de ces hommes, celui qui avait de grandes cornes qui étaient censées repousser. Un prédicateur s'approcha et saisit le petit Michée autour et lui assena une gifle sur la bouche aussi fort qu'il pouvait et dit: «Par quel chemin l'Esprit de Dieu est-Il sorti de moi? Si tu le sais?»

141    Il dit: «Attends jusqu'à ce que tu sois enfermé là en prison et tu sauras par quel chemin c'est sorti.» C'est vrai.

142    Attendez jusqu'à ce que la Russie attaque ici et envahisse les nations et ces choses comme cela et ce pays à cause de son état et vous verrez si c'est vrai ou c'est faux. C'est vrai. Vous verrez si votre religion tiède vous délivrera ou pas.

143    Que cette nation vienne avec des larmes, non pas avec du rire et des scènes. Que cette nation tombe sur ses genoux dans la repentance. C'est ce dont nous avons besoin. Il ne s'agit pas d'un réveil pour rassembler beaucoup de gens dans l'église. Nous devons mettre fin à toute cette contrebande d'alcool, arrêter toutes ces fumées de cigarettes et démanteler toutes ces usines. De commencer une véritable campagne à l'ancienne mode du Saint-Esprit; où les hommes et les femmes, jour et nuit, ont le visage contre terre, en pleurant. Je vous le dis, ce sera le meilleur abri que cette nation ait jamais eu. C'est vrai.

144    Que le Branham-Tabernacle abandonne sa folie. Qu'il rentre ici à l'autel pour se mettre en ordre avec Dieu. Réconciliez-vous avec vos voisins, mettez-vous en ordre avec Dieu et ainsi de suite. Vous n'aurez plus des disputes et toutes ces choses. Ça sera alors un poteau d'attraction pour le monde. C'est juste. Maintenant, ça c'est la vérité.

145    Puis il dit: «Par quel chemin, l'Esprit de Dieu est-Il sorti de moi pour te parler?»

146    Et Michée dit: «Je vis l'Éternel et toutes ses armées, son conseil se tenant dans la Gloire.»

147    Vous savez, Dieu a un conseil là-haut de temps en temps. Il--Il rassemble Ses--Ses créatures Angéliques et tient un conseil là-haut dans le Ciel, de temps en temps.

148    Et il dit: «Je Le vis assis sur Son trône et toute Son armée des cieux se tenant à Sa droite et à Sa gauche.» Et il dit: «Ils étaient en train de discuter.»
    «Qui peut descendre et séduire Achab, afin qu'il monte et que la prophétie d'Élie s'accomplisse? Dieu avait déjà dit ainsi, que va-t-il arriver? Nous verrons donc qui pourra descendre.»

149    «Et un esprit de mensonge est monté d'en-bas (bien sûr, de l'enfer), est monté devant Dieu et a dit: Je descendrai et j'entrerai dans ces prédicateurs et ferai en sorte qu'ils prophétisent tous un mensonge.»
    Oh! cela les a fait sauter au plafond! Cela leur a donné un drôle de sentiment, quand il a dit: «Je descendrai et je ferai en sorte que ces prédicateurs, tous sans exception, prophétise un mensonge.»
    Et il est descendu et est entré dans ces prédicateurs, et ils se sont mis à prophétiser un mensonge.

150    Frère, le même Dieu règne sur le même Trône aujourd'hui. Et ce même esprit de mensonge a fait la même chose aujourd'hui, prophétisant des mensonges.

151    Ils continuent à dire: «Paix, paix, paix», après la Première Guerre mondiale.

152    Laissez-moi vous montrer d'où cela vient. Pendant la Première Guerre mondiale, lorsque, là-bas en France, ils s'éloignèrent de Dieu dans leur homosexualité des «90» et commencèrent à...

153    Maintenant, je vais parler un peu sur la moralité, ainsi tenez-vous vraiment tranquilles pendant quelques minutes.

154    Revenez en arrière au commencement, là-bas en France, c'est de là qu'ont commencé toutes ces souillures et ces modes pour la première fois. S'il y a jamais eu un trou à rats dans le monde c'est Paris, en France. Et j'ai voyagé presque un peu partout et c'est le pire endroit que j'aie jamais vu. Et Londres en Angleterre ne fait pas exception. Et les États-Unis arrivent à leur emboîter le pas. C'est vrai. Ils en sont là.

155    Chaque fois que vous brisez la moralité des femmes, vous brisez la colonne vertébrale de la nation.

156    Allez plus loin ici dans leurs pays et dites-leur que vous êtes un missionnaire; Ils n'en veulent pas. Ils diront: «Qu'allez-vous nous dire de faire? Nous raconter comment chanter des obscénités au sujet de nos femmes et de nos filles? Allez-vous nous dire comment divorcer de nos femmes? Enseignez-nous comment boire du whisky et comment agir comme nous le faisons? C'est cela ce que nous sommes.»

157    Nous nous appelons la nation religieuse, la nation Chrétienne. Eh bien! ces païens là-bas en Afrique, pourraient nous apprendre comment vivre dans la moralité. Aux États-Unis ou plutôt dans le monde, le plus vil endroit, ou presque, est cette nation, l'état dans lequel elle est. Certainement que je suis américain. Mais frère, je n'y peux rien... avant qu'Achab et Josaphat... Et je dois dire ce que Dieu a déclaré comme la Vérité! C'est ce que l'Église doit défendre aujourd'hui. Qui de Dieu ou de cette nation, c'est toujours Dieu. Oui monsieur.

158    Remarquez! En France. Ils commencèrent toutes leurs pourritures et se lancèrent dans la manière dont ils vivaient là-bas. Alors Dieu envoya contre eux l'Allemagne pour les frapper un petit peu. Puis nous sommes allés à leur secours là-bas. Et aussitôt que nous avons fait cela, que nous avons remporté la victoire et repoussé les Allemands, et conclu la paix avec la France, se tournèrent-ils vers Dieu? Non monsieur. Les femmes, le vin, la débauche, le péché et la souillure ont progressé jusqu'à la moelle!

159    Que firent-ils alors? Qu'arriva-t-il? C'est ici que nous avions commencé. Le diable plaça son quartier général là. C'est juste là, c'est de là qu'il commença à faire disparaître la décence dans le monde, à partir de Paris en France.

160    Et si vous le remarquez, il ne pouvait pas entrer ici par le ministère. Aussi la chose qu'il a faite c'était de passer par Hollywood. Il établit ses Holl... Il établit là dans le Hollywood son quartier général. Il y a quelques années, quinze ou vingt ans passés, le diable atterrit avec sa grande armée et alla envahir Hollywood en Californie. Et il a envahi les États-Unis avec ses puissances démoniaques. C'est juste! Toutes nos modes proviennent de Paris. Elles entrent dans Hollywood par les écrans. Les petits garçons et ces petites filles sortent pour les voir passer sur les écrans et ces choses.

161    Je n'ai rien contre eux, contre ces gentils gamins et ces bons gosses. Que Dieu bénisse leurs petits coeurs! Mon coeur se brise pour eux.

162    Et juste ici dans la ville, je parlais à mon... à l'un de... L'autre jour, mon garçon dit: «Papa, y a-t-il juste quelques garçons là autour, en ville, qui aient le Saint-Esprit, et ainsi de suite?»
    Vous vous demandez pourquoi je quittais pour Denver au Colorado ou quelque part comme cela? C'est pour emmener mes enfants quelque part où il y a de gens qui soupirent après Dieu! C'est ce dont nous avons besoin, frère.

163    Ce pays, cette nation, cette ville, cet endroit-ci est devenu tellement immoral au point que c'est pitoyable. Si je pouvais seulement exprimer juste ce que je sais maintenant ce que je devrais, ce que je connais comme absolument la vérité, ici, même, ça ne serait même pas présentable devant un auditoire mixte. Or juste ici dans cette ville-ci même, non pas seulement ici mais partout, dans d'autres endroits, ça commence à en arriver simplement à...

164    Ma foi! Les gens... Voyez, mes amis, c'est tellement rusé. C'est venu avec une telle facilité que cela vous amollit simplement. Le diable a coutume d'être dans les modes. Il ne pourrait pas avoir quitté les modes. Mais il n'a pas non plus quitté les affaires, je vous le dis. Il est toujours dans les affaires.

165    Voyez aujourd'hui. Considérons comme je le disais, il y a quelques moments, une petite dame, une chère petite fille avec une rose, par exemple, la rose est jolie. Elle est là pour être admirée, c'est vrai. Et c'est comme l'église, elle est là pour être admirée. C'est juste. Mais si elle... elle est belle, ça c'est pour son mari, elle--elle est très bien. Mais si elle n'a pas l'épée de la moralité par devers elle pour la protéger, elle deviendra un fardeau pour la société et pour l'humanité, elle tombera si bas et sera scandaleuse et corrompue au point que les chiens ne voudront pas la regarder. C'est vrai.

166    Et c'est pareil pour l'église du Dieu vivant! Ils vont là et ils essaient de produire de l'excitation et faire des arrangements et agissent comme... Ils déshabillent les femmes ici... et les gens ne se rendent pas compte que ce sont des démons qui envahissent vos maisons.

167    L'autre jour, juste dans mon voisinage, une jeune dame que je considère comme une femme très bien... Elle est mariée et a un enfant. Et la jeune femme sortit là-bas. Le mari descendit sur la route pour faire un travail et cette jeune dame sortit là avec leurs espèces de petits vêtements sur elle. C'était horrible.

168    Ceci est un discours terrible pour la fête des mères. Mais mon frère, laisse-moi te dire quelque chose. Mères, revenez à votre maternité!

169    Et même un petit garçon qui, était en visite dans notre voisinage, vint nous en parler, en disant: «Voyez là-bas!»
    Je dis: «Eh bien! ça ce n'est rien.»

170    La femme est une gentille femme. Je ne dis pas qu'elle est immorale. Mais le problème, c'est qu'il y a sur elle un esprit impur malsain de la mode qui la fait agir de cette façon-là et elle ne le sait pas.

171    Que désirerait une maman au monde, en mettant ces espèces de vêtements obscènes et s'exhiber devant des hommes? Vous êtes jolie, ma Soeur. Vous êtes jolie, maman. Je remercie Dieu pour vous. Mais bien que jolie, vous n'avez pas là le Saint-Esprit pour protéger cette moralité. Mieux valait être laide, personne ne vous regarderait, et aller au Ciel. C'est juste! C'est vrai! Voyez ce que vous faites de cette moralité.

172    Maintenant ce qu'il y a, c'est que le diable est entré et a appris aux gens ces choses. Il est entré dans les prédicateurs, ils suivent le modèle d'Hollywood. Les filles et les jeunes dames, elles suivent le modèle d'Hollywood. Les meilleures choses qu'ils ont dans le pays, les choses les plus immorales, on en parle à la radio.

173    Une vieille femme comme Miss Katy Starr; je n'ai rien contre elle. Mais à voir une vieille femme de cinquante ans et tout, avec ses vêtements, toute serrée, comme si elle se déversait dans un sac de farine. Je ne dis pas cela pour plaisanter, car je parle contre ces choses. Mais une femme qui agit de cette manière-là; s'élever et être un exemple pour une jeune femme américaine, notre nation en est redevable. [Frère Branham frappe sur la chaire cinq fois. Ndt.] C'est le diable.

174    Des personnes comme Arthur Godfrey et ceux qui courent ici autour et qui agissent comme ils le font, être l'homme le plus considéré dans le pays comme cela? Et pourquoi? C'est une disgrâce.

175    Alléluia! Je le dis parce que je sens la présence de Saint-Esprit ici. L'invasion a lieu. Elle balaye de maison en maison, d'un endroit à un autre, d'une église à une autre, d'un homme à un autre.

176    Enfants, au Nom de Jésus-Christ, levez-vous et prenez position pour la moralité, pour le réveil et pour le Seigneur Jésus-Christ et dites: «Je prendrai le chemin avec le petit nombre des méprisés du Seigneur.» Oui, monsieur.
    «Je serai une véritable maman.»
    «Je serai un véritable papa.»
Pendant que le monde entier, et tous les alentours,
Tout autour de mon âme cède,
Il est alors toute mon espérance et mon appui.
Car sur Christ, le Rocher Solide, je me tiens.
Tout autre terrain n'est que sable mouvant,
Tous les autres terrains.

177    Qu'est-ce qui a causé toute cette histoire? Qu'est-ce qui a entraîné les prédicateurs à se comporter comme cela? Qu'est-ce qui fit que les prédicateurs prophétisent ce mensonge aux gens?

178    Qu'est-ce qui fit que vous les Méthodistes, il y a de cela des années... lorsque le vieux John Smith saisit sa chaire pour prêcher l'Évangile et il prêcha un court sermon de quatre heures. Et il dit: «Le trouble c'est que mon coeur se déchire.» Il dit: «Les filles Méthodistes portent même des bagues à leurs doigts.»

179    Et aujourd'hui elles portent des shorts et des espèces de petits vêtements obscènes. Et si rien ne se fait, dans une autre cinquantaine d'années, elles seront complètement nues. [Frère Branham frappe sur la chaire trois fois. Ndt.] Que vous est-il arrivé, vous prédicateurs Méthodistes, vous Campbellistes, vous Baptistes? Oui, monsieur. C'est le diable. Il a déployé ses forces et il a envoyé ses diablotins.

180    Et vous ne vous en rendez même pas compte vous, femmes; vous fumez des cigarettes et agissez comme vous le faites, vous buvez et vous vous comportez de cette manière-là. Vous ne réalisez pas que vous empoisonnez votre organisme et vous ruinez toute la génération qui vous suit, s'il y en aura. En fumant des cigarettes, vous avez 85% de chances d'attraper le cancer et vous vous y plongez délibérément. Et les églises approuvent cela.

181    Dans une grande église Baptiste ici récemment. Je frappe les Baptistes. J'ai le droit de le faire; Ils penchent en quelque sorte du côté d'où je suis sorti. Quand ils devaient s'accorder sur la pause entre le service de l'école du Dimanche et le service de la prédication pour que le pasteur et tous puissent sortir aller fumer, et la rue était remplie d'hommes et de femmes fumant des cigarettes. Le diable a fait cela. C'est juste.

182    Et ici notre propre ville, l'un des ministres les plus célèbres, là-bas en New Albany sur cette cour de récréation, où l'un de nos ministres célèbres de la ville dirige ce programme de quadrille, pour entraîner les hommes et les femmes sur l'estrade.

183    Ne vous souciez pas de ce que le monde dit. Peu m'importe comment vous essayez de l'amadouer par des paroles. Il n'existe pas d'homme avec ses sens qui étreigne la femme d'un autre homme et ne ressente rien. Vous savez que c'est la vérité.

184    Ils ont pris nos femmes et les ont déshabillées, là-bas dans les bureaux et conduisant des taxis partout dans les rues. Alors qu'elles devraient être à la maison, dans la cuisine derrière le réchaud en train de préparer le repas et apprêter la table.

185    Qu'est-ce? C'est le diable, l'invasion a lieu. Je ne dis rien contre cette personne-ci ou cette personne-là. Je dis que ce sont des esprits impurs qui possèdent ces gens, les conduisant dans cela. L'invasion des États-Unis!

186    La chute de l'église! L'église est ruinée par le diable. Là-bas...

187    Ils élèvent un garçon. Quand il arrive au séminaire, la première chose qu'il doit apprendre, c'est d'avoir ses diplômes, il doit étudier la psychologie, il doit étudier la théologie. On doit l'enseigner et l'endoctriner avec toutes sortes de choses. S'il n'a pas une bonne instruction, s'il n'est pas aussi intelligent et brillant, comme il se doit, alors ils le chassent, il est disqualifié. Qu'a-t-il fait? Il sort donc là pour présenter une petite causerie politique comme il faut, une causerie politique de l'église à un groupe de gens, à un groupe d'hommes et de femmes mourants.

188    Ô Dieu, envoie-nous des hommes à l'ancienne mode, qui ne savent pas distinguer A et B, mais qui connaissent la Puissance de la résurrection du Seigneur Jésus-Christ, qui prêcheront la repentance et amèneront les hommes et les femmes à l'autel, pour aimer le Seigneur Jésus. [Passage blanc sur la bande. Ndt.]

189    C'est une culpabilité. Il a envahi nos séminaires et nos églises. Il a déshabillé nos femmes. Il a amené les hommes à un point tel que vous ne pouvez rien leur dire. Et les hommes et les femmes, je pense...

190    Vous dites: «Eh bien! il s'agit des femmes!»
    Oui, et vous hommes qui laissez vos femmes faire cela, ça montre de quoi vous êtes faits. C'est exactement cela. Certainement. C'est une disgrâce. C'est pitoyable.

191    Et puis ça atteint le prédicateur. Le prédicateur se tient sur l'estrade devant une chaire moderniste. Il se tient là, en face de lui il y a des gens et prêche au sujet de chaque espèce de petite chose du monde, en dehors du péché, de la repentance et de la Croix rugueuse de Christ. Oui.

192    Quand vous laissez ces choses de côté, alors les gens viendront vous écouter dans le service d'évangélisation. Essayez de toucher ces choses et prêcher l'Évangile en amenant les gens à la repentance et en les tirant, ils vont exploser et sortiront. Ils ne veulent pas L'entendre. Non, ils ne vont pas L'entendre. Mais frère, ils doivent se repentir ou bien périr.

193    Les démons! Allez dans les écoles, elles ont été envahies. Voyez tout autour dans le pays aujourd'hui. Voyez ici, vous les gens, vous les Protestants. Tenez, il y a quatre grandes écoles catholiques et des choses qui sont construites aujourd'hui. Pourquoi? Vous laissez tomber les barrières.

194    Je n'ai rien contre le Catholicisme quoique je n'y crois pas. Je suis strictement Protestant. C'est tout à fait juste et je peux prouver qu'ils n'ont... Vous ne pouvez pas discuter avec eux. Ils disent: «Peu importe ce que dit la Bible, nous, nous savons ce que dit l'église.»

195    Dieu est dans Sa Parole. [Frère Branham frappe sur la chaire cinq fois. Ndt.] C'est là que se trouve Dieu.

196    Mais certains des Catholiques, qui sont attachés à leur église, vous feraient avoir honte de vous-mêmes, vous Protestants. Si seulement vous vous attachiez à la Bible comme eux s'attachent à l'église. C'est juste. Mais ils sont en erreur. Je peux le dire sous l'autorité du Dieu Tout-Puissant qu'ils sont en erreur. Absolument.

197    Et vous êtes aussi en erreur, vous les Protestants, de la manière dont vous agissez, parce que vous en savez vraiment mieux, mais vous le faites de toute façon. Cela fait de vous un hypocrite. Certainement, que c'est une invasion; les églises démissionnent. Et maintenant au lieu de...

198    L'église essaie de faire de l'église, de rendre l'église belle en construisant une plus grande église, en mettant sur elle de grands clochers et des grandes orgues à tuyau et en faisant toutes choses pour imiter le modèle de l'église Catholique. [Frère Branham frappe plusieurs fois sur la chaire, Ndt.] Vous n'avez pas besoin de suivre le modèle de l'église Catholique si elle est vouée à la destruction. Car AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle est vouée à la destruction. Et si vous suivez son modèle, vous irez avec elle.

199    Mais ce dont nous avons besoin aujourd'hui, ce n'est pas d'une grande église, ni d'un grand clocher, mais des autels à l'ancienne mode où les péchés sont brûlés avec des prières consacrées des hommes et des femmes qui aiment le Seigneur Jésus-Christ. Vous savez cela. C'est ce dont nous avons besoin. Écoutez-moi mes amis. Écoutez-moi. C'est l'Amour.

200    Mon temps est épuisé. Je voudrais juste m'attarder sur cela. Un peu plus tard je reprendrai cette invasion, là où elle a progressé.Mon temps est fini. J'aimerais rester un peu sur cela, où... Cela a envahi, cela a envahi nos nations. Cela a envahi les États-Unis.

201    Maintenant, souvenez-vous que je n'ai jamais participé à un vote dans ma vie, voyez, il n'y a rien à se vanter. Ce sont mes droits acquis en naissant en tant qu'américain, si je voulais les exercer. Mais je pense beaucoup à mes amis qui entrent dedans. Voyez, je les ai vus y entrer étant des hommes honnêtes, mais en sortir des crapules. Et je ne veux pas de cela.

202    J'ai une chose: je suis ici en train de construire une estrade pour quelqu'un qui en est le candidat et c'est Jésus-Christ et Lui seul. Je consacre mon temps pour Lui, c'est juste. Si je peux redresser l'église, le reste du monde prendra soin de lui-même. C'est juste.

203    Mais laissez-moi vous dire. Lorsque monsieur Roosevelt... Il est mort. Qu'il se repose; je crois qu'il se repose. Il vint et brigua trois ou quatre mandats et il prit le pouvoir, c'était juste une dictature préliminaire. Je peux vous montrer dans les Écritures où Elles ont dit que cela se produirait. C'est juste. Nous n'avons plus de constitution. Elle est taillée en morceaux. Tout est tombé par terre. Les Républicains sont aussi mauvais. C'est six d'un côté et une demi-douzaine de l'autre.

204    Car chaque royaume sera brisé mais le Royaume de Jésus-Christ subsistera et régnera à jamais. C'est juste. Sur... Daniel avait vu la Pierre se détacher de la montagne et frapper le système politique, le mettant en moule, comme la balle qui s'échappe dans une aire, en été. Mais la Pierre devint une grande montagne qui remplit le ciel... remplit tout le ciel et toute la terre. C'est cela.

205    Le système politique est à sa fin. Notre nation est brisée. Vous souvenez-vous ce ça, que Frère Branham a dit cela comme «AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Notre nation est tombée, elle ne se relèvera jamais. C'en est fini d'elle comme le reste de toutes les nations. C'est la plus grande nation dans le monde qui se tient aujourd'hui mais la semence même du diable a été plantée dans les coeurs des gens. Comme elle est venue à Hollywood, comme elle s'est répandue dans les gens et commence avec ceci. Et vous ne pouvez rien leur dire.

206    Trouvez là un président qui essayera d'interdire le whisky et instituera la prohibition et voyez ce qui arriverait. Il sera fusillé deux heures après qu'il soit là. Certainement qu'il ne le pourra pas, car tout le monde sera contre lui. Oui, monsieur. Vous ne pourriez pas le faire.

207    Elle est finie. Elle a été envahie et l'esprit du communisme a pris le dessus.

208    Allez dans nos écoles aujourd'hui et observez vos écoliers et nos petits enfants qui vont à l'école. Vous devriez connaître ce qui se passe avec nos petites filles là dans les écoles et ces choses comme cela; celles qui ont atteint l'âge de quatorze ou quinze ans. Leurs mamans les envoient à l'école, elles sont moralement et mentalement ruinées. Elles se droguent, elles s'intoxiquent, fumant des cigarettes et faisant toutes ces autres choses comme cela. Et les petits enfants deviennent ainsi à un jeune âge comme cela. Il serait aussi pénible de trouver parmi quelques-unes d'entre elles une vierge comme il serait difficile de trouver une aiguille dans une meule de foin, là où elles se fréquentent et se donnent des rendez-vous avec des garçons et vont s'étendre sur ces plages et partout ailleurs.

209    Et je peux vous le prouver, mes amis. [Frère Branham frappe sur la chaire trois fois. Ndt.] Je ne l'aurais pas dit du haut de la chaire si je ne savais pas de quoi je parle sur ces écoles qui sont ici dans nos États, juste ici dans nos États, à propos de l'habillement de ces petites dames-là, ne sachant... qui disent à leurs mamans qu'elles vont à différents endroits, pour se rencontrer avec des garçons et même se prostituer dans les rues de Louisville, qu'est-ce? Et elles chantent dans la chorale.

210    C'est parce qu'elles ont un vieil Évangile social qui est là et où les prédicateurs se tiennent pour raconter de petites histoires et de petites histoires de la Bible ou quelque chose de semblable au lieu de prêcher la repentance et d'amener les hommes et les femmes à l'autel.

211    Son père se promène la nuit, allume un cigare, prend un verre de bière et s'assied pour boire. La maman sort le jour en compagnie d'un groupe de femmes à l'occasion d'une réception d'une certaine référence sociale comme cela. Comment pouvez-vous espérer que l'enfant soit quelque chose d'autre?

212    Voyez, l'environnement dans lequel vous vivez, c'est ce que vous êtes.

213    Prenez une petite fille, un jeune garçon et laissez-les sortir et vivre avec quelqu'un. Prenez un homme, je peux prendre mon garçon et le laisser sortir un jour avec quelqu'un. Quand je rentre, je peux toujours vous dire avec qui il a été. Certainement. Observez cet environnement, cet esprit le saisit.

214    Allez dans une église où tout le monde... Allez dans les églises du Saint-Esprit ou dans les églises Pentecôtistes, comme on les appelle. Que tout le monde... Oh! le pasteur court et secoue sa tête en avant et en arrière. Voyez toute l'église qui commence à faire de même. Que cet homme continue dans quelque chose de drôle ou quelque chose d'autre, voyez toute l'église qui suit cela. Allez à un endroit où le pasteur est vraiment empesé et froid, voyez tout le groupe agir de même. Vous êtes entrés dans cet environnement.

215    Prenez un homme qui est moralement un brave homme et qu'il se marie avec une espèce de petite femme ne valant pas plus dix cents. Ça ne sera pas long pour que l'homme aussi ne vaille plus que dix cents. Et c'est ce qui arriva à Achab. Et vice versa. Prenez de même une gentille petite femme qui se marie à un homme qui ne vaut pas dix cents. La première chose, vous savez, elle fera la même chose que lui.

216    Comme je pourrais ce matin désigner de mes mains des foyers brisés et ces choses, où des petites mamans aimables sont allées avec des papas ivrognes et des choses semblables; elles pensaient qu'elles pourraient faire quelque chose avec eux, mais maintenant, et la maman et chacun d'eux boivent et ainsi de suite. C'est l'environnement.

217    Qu'est-ce? C'est le diable. C'est le diable, c'est l'invasion. Il a balayé cette nation comme un lion rugissant. Il s'est établi au meilleur endroit qu'ils aient à Hollywood. Il se dit: «Je peux m'emparer des films jusqu'à ce qu'arrive la télévision, alors je les aurai.» Et il est assis là.

218    Et les gens qui vont aux églises au lieu d'arrêter ces spectacles, ne laissant pas leurs enfants y aller, ils leur donnent dix Cents le Dimanche après-midi et les y envoient, ainsi ils pourront avoir une petite réception sociale, ils pourront eux-mêmes sortir et se promener autour. Oh! quelle disgrâce! Maintenant ils ouvrent la télévision et regardent toute cette saleté, cette sale pourriture qu'il y a sur elle et qui vient du monde. C'est juste.

219    Je n'ai rien contre les films. Je n'ai rien contre la télévision. C'est contre cette chose pourrie qu'il y a sur elle. C'est de cela. Si vous aviez voulu la garder morale, elle aurait dû demeurer morale.

220    Aujourd'hui en ville, vous ne pourriez plus vendre des chaussures avec des boutons comme dans le temps. Les femmes n'en veulent pas. Elles veulent que leurs orteils soient découverts. Le reste de femmes le fait. C'est juste.

221    Quand vous allez à l'église, vous ne pouvez pas leur vendre la religion à l'ancienne mode parce que cette autre femme ne veut rien à faire avec cela. Non, monsieur. «Et je n'ai pas besoin d'aller là-bas. Je crois simplement, c'est tout ce qu'il y a à faire.»
    Oh! frère, le diable croit aussi. C'est juste. Repentez-vous sinon vous périrez.

222    Maintenant regretter, non je ne regrette pas. Non, je ne le fais pas. Non, je reviens sur cela. J'aime les gens. Et je--je vous aime trop pour vous voir vous plonger la tête en avant comme cela. Dieu voulant, je reprendrai cela; un peu plus tard au courant de la semaine.

223    Maintenant, à vous mères qui l'êtes. Juste un mot avant de s'en aller. Que Dieu vous bénisse. Élevez vos enfants dans la droiture.

224    Nous reprendrons cette invasion. Nous devons encore allez avec elle dans des foyers, à beaucoup d'endroits, aux écoles et à divers autres droits. Nous la reprendrons.

225    Mais l'invasion des États-Unis, le diable les a envahis. N'ayez pas peur de la Russie. La Russie n'a rien à faire. Nous le faisons nous-mêmes par notre propre corruption juste parmi nous. C'est juste.

226    Vous savez, les États-Unis connaissent plus de cas de divorces que tout le reste du monde; plus de cas de divorces! Pensez-y! C'est horrible! La maternité a été brisée. Les mamans ne restent plus à la maison avec leurs enfants comme elles en avaient l'habitude. Elles doivent chercher un emploi.

227    L'autre jour ici, un certain épicier dans la ville parlait à ce propos, à propos de ces femmes qui travaillent dans ces usines publiques, de ces jeunes femmes avec une kyrielle de petits enfants. Elles ont des nounous qui s'occupent de leurs bébés. Elles travaillent dans ces usines publiques. Il dit: «Il y en avait deux qui se tenaient là... qui étaient licenciées de leurs services publics, qui dirent: - Ne vous en faites pas. Nous travaillerons de toute façon.»

228    Oh! le temps de prostitution est en cours. Sûrement. Le diable leur dit qu'elles sont le chef de la maison. Elles en font à leur guise. Elles feront ce qu'elles veulent. Et essayez de le faire sortir d'elles si vous le pouvez.

229    Il n'y a qu'une seule chose qui puisse le faire sortir d'elles; c'est l'autel à l'ancienne mode devant Jésus-Christ; une religion qui fait couler des larmes, qui saisit les coeurs et les taille en pièces et qui fait d'elles ce qu'elles devraient être. C'est juste.

230    Elles peuvent penser que je ne suis qu'un vieux fanatique. Mais le jour où vous mourrez, mon frère, ma soeur, vous réaliserez que je vous dis la Vérité. C'est juste.

231    L'invasion a lieu, l'heure est là. Maintenant, oui, c'est une heure de décision aussi, une heure de décision. Non pas celle de venir à l'église; mais une heure de décision si vous allez servir Christ ou si vous allez rester tiède dans votre église. Et ça c'est juste.

232    Il y a beaucoup de membres d'église. Si tous les membres... ou les américains qui professent être Chrétiens voudraient être de véritables Chrétiens, des Chrétiens nés de nouveau, frère, nous serions en sécurité presque comme au Ciel. Les troubles mortels, les maladies et toute autre chose quitteraient le pays. Oui, monsieur.

233    Ne serait-il pas agréable de descendre la rue et de voir s'approcher une dame, ou un homme disant: «Enchanté, Soeur. Bonjour frère.» De descendre alors qu'il n'y a plus... vous n'avez plus des soucis du monde. Tout est aussi agréable et magnifique. Et le monsieur qui arrive au coin de la rue, au lieu d'essayer de vous dépasser, s'arrêterait. «Très bien, frère. Très bien, vous pouvez... Oh! passez avant moi.» Vous voyez, il préférerait seulement... Ne serait-ce pas merveilleux? [L'Assemblée dit: «Amen.» Ndt.] Nous aurons cela mais c'est dans le Millénium, frère, le jour s'approche. C'est juste. Ainsi, nous ne sommes pas maintenant...

234    Je me tenais l'autre jour ici dans notre voisinage. Je n'ai rien contre nos voisins mais je peux observer nos petits enfants. Ma femme pleurait. Et un certain médecin de cette ville-ci dont la fille fréquentait ma petite fille. Et elles s'aimaient l'une l'autre jusqu'au moment où ils découvrirent que son nom était Branham et qu'elle était la fille du Révérend Branham. Cela a tout réglé. La petite fille ne pouvait plus sortir avec ma petite fille. Oh! la la! Je pensais: «Eh bien! très bien.»

235    L'un de nos petits voisins là-bas dit: «Eh bien...» Tout allait bien jusqu'à ce qu'ils aillent auprès de leur pasteur. Ils ne me l'ont pas dit. Vous savez j'ai--j'ai une façon de connaître beaucoup de choses, vous voyez? Donc ils--ils allèrent à leur pasteur et dirent: «Vous savez, il y a un homme qui vit dans notre voisinage, il est si gentil envers nos enfants.» Ils dirent. «C'est le Révérend Branham, il les prend et les met dans sa vieille camionnette et va les promener...»

236    Il dit: «Eh bien! [Frère Branham racle sa gorge. Ndt.], nous n'avons rien contre le Révérend Branham. Il est très bien mais vous voyez, il est juste différent des gens de notre classe, quoi. Je ne voudrais pas... Parlez avec eux et soyez gentils mais laissez simplement cela se terminer.»

237    Oh! frère! Ma femme se tenait là et pleurait. Je dis: «Chérie, c'est la ligne de séparation, car moi et ma maison, nous servirons le Seigneur.»

238    Même si tout le monde disparaît, moi je m'attacherai toujours à Jésus-Christ! Si je dois être appelé fanatique, si ma famille et les miens et autres me délaissent, je choisis toujours Jésus-Christ. Tiens l'immuable main de Dieu. Quand tes amis sur terre t'abandonnent, reste attaché toujours plus près de Lui. Tiens-Le.

239    Ô Dieu, laisse-moi prêcher comme je n'ai jamais prêché avant. Que je prêche aux mortels comme étant moi-même un mortel. Laisse-moi prêcher aux gens comme si je n'aurai plus jamais à prêcher un sermon de ma vie. Laisse-moi les persuader de venir à l'autel avec des visages défaits avec des larmes et rentrer à la maison pour vivre comme des Chrétiens, pour vivre dans leurs voisinages. Arrêtez de gambader ici et de courir autour; de sauter et ainsi de suite. Arrêtez d'agir comme ceci de crier comme ceci et d'agir comme cela. Oh! ne faites pas cela. Ça c'est le diable. Ce sont des démons qui s'emparent des Chrétiens.

240    Rappelez-vous que ces serviteurs-là étaient des prophètes. Ils étaient des prophètes. Ils étaient des hommes religieux qui offraient des sacrifices. Ils étaient tout aussi religieux que les enseignants de ce jour-ci, mais frère, ils étaient très loin de connaître la Vérité.

241    Ne voyez-vous pas combien le diable est religieux? Le diable n'est pas un anti... pas une grande chose, entièrement opposée au christianisme comme l'est le communisme. Ce n'est pas ça. Ça c'est aussi le diable. Certainement, mais ce n'est pas l'anti-Christ. L'anti-Christ est très religieux, très religieux. Ce fut un esprit religieux qui crucifia Jésus. Ça a toujours été un monde religieux, un peuple religieux qui crucifie. Ce fut le peuple religieux qui s'était opposé au véritable Christ. Ce furent des prophètes religieux qui s'opposèrent à Michée. Ce sont les gens religieux de ce jour qui s'opposent au Message de Dieu.

242    Souvenez-vous que je vous ai avertis. Je vous l'ai dit. Je ne parle pas beaucoup des Catholiques, des Baptistes et des Méthodistes. Je suis en train de parler seulement des gens qui sont les gens de la sainteté; c'est juste là parmi eux. Pensez-y aujourd'hui où ils en sont arrivés aux mises en scènes. Oh! la la! Quelquefois, j'entrais, mon coeur se brisait au-dedans de moi.

243    Quelqu'un se tiendra là avec un vieux banjo et pinçant un vieux violon comme cela: «Est-ce celui-ci le cow-boy du Texas Tel et Tel?»
    Je n'ai rien contre l'homme, mais ça c'est pour les gens du monde qui est dehors. C'est juste. Je voudrais plutôt? frère, me tenir là n'ayant rien, et rien du tout mais me tenir juste debout et élever mes mains pour dire «Jésus, garde-moi près de la Croix.» Oui, monsieur.
Je porterai cette Croix consacrée
Jusqu'à ce que la mort me libère
Puis aller à la Maison porter une couronne
Car il y a là pour moi une couronne.

244    Maintenant à vous petites mamans ici ce matin, celles qui sont vraiment des mamans. Et je sais qu'il y en a beaucoup parmi vous; je pense, que chacune d'entre vous. Laissez-moi vous dire quelque chose. Que Dieu vous bénisse. Vous êtes le cinquième Évangile, je pense. Laissez-moi vous dire quelque chose à propos de vos enfants, juste un petit quelque chose. Parce que Frère Neville va probablement prêcher sur la maman, ce soir; ou n'importe qui d'autre, l'un de nous qui prêchons. Très bien, c'est au sujet des mamans. Mais écoutez, laissez-moi vous demander quelque chose.

245    Rappelez-vous que lorsque Moïse était un petit enfant, ce fut sa mère qui lui donna son instruction. C'était une maman pieuse qui prenait Moïse sur ses genoux et disait: «Moïse...» et elle lui apprenait tout. Il était son enseignant ou...; plutôt elle était son enseignant sous Pharaon et elle lui disait toutes ces choses. Elle dit: «Moïse, un jour tu vas délivrer les enfants d'Israël. Tu es un enfant appelé. Garde-toi pur et garde-toi des souillures du monde car tu es celui qui est appelé.»

246    À ce que nous savons, il n'était jamais à un séminaire ou à un autre endroit d'où il reçut son instruction. Il resta juste dans le palais du Pharaon, qui était un païen, mais sa mère lui enseignait. [Frère Branham frappe sur la chaire trois fois. Ndt.] Ça c'est une véritable mère. Elle lui enseigna les préceptes du Seigneur. Elle lui apprit comment il devait se garder dans la sainteté. Elle lui apprit comment il devait vivre, qu'est-ce qu'il devait faire, et ce que Dieu devrait faire ou allait faire de lui. Et Moïse fut marqué de cela tous les jours de sa vie.

247    Et toute véritable maman, bonne et loyale, prendra ses enfants, au lieu de les laisser regarder des films et des danses, et toutes ces choses, elle les mettra sur ses genoux et leur enseignera au sujet du Seigneur Jésus-Christ!

248    L'autre jour ici, je parlais au téléphone à une maman. Et la maman dit: «Oh! frère Bill dit-elle, mon pauvre garçon a des problèmes.» Elle dit: «Oh! quel trouble il a!»

249    Je dis: «Oui, chère soeur, j'en sais quelque chose.»
    Elle dit: «Il se pourrait qu'il soit mauvais, je ne sais pas.» Elle dit: «L'un dit ceci et l'autre dit cela, je ne sais pas.» Mais elle dit: «Peu importe ce qu'il est, bon ou mauvais, je l'aime.»
    Vous y voilà. «Je l'aime.»

250    Il parla à sa mère disant: «J'ai été tellement séduit par ceci et par cela.» Il dit: «Maman, je crois que tu es presque la seule chérie que j'ai vraiment; une femme qui m'est fidèle et qui s'attache à moi.»
    Ça c'est l'amour maternel. Ça c'est une véritable maman qui mettra ses bras autour de son bébé. Peu importe qu'il soit bon ou mauvais; elle ira vers lui. Et si Dieu... Si une mère peut penser cela de son bébé, à combien plus forte raison Dieu pensera-t-Il des Siens? Vous voyez? Restez juste avec Lui. Allez de l'avant.

251    Et maintenant, laissez-moi vous parler très rapidement d'une autre maman avant que nous terminions. Il y avait une maman qui s'appelait Hérodias. Elle apprit à sa fille la danse à claquettes. Elle voulait qu'elle soit populaire. Et elle dansa devant le roi et réclama la tête de Jean le Baptiste. Nous avons le témoignage de soixante-dix de ses filles [«offsprings» Ndt.], ces danseuses qui dansèrent devant... Les filles d'Hérodias dansèrent devant Hérode, soixante-dix d'entre elles, elles sont mortes soit comme des prostituées, soit comme gibiers de potence.

252    Une maman apprit à sa fille les choses du monde, l'autre apprit à son fils les choses de Dieu. L'un devint un grand conducteur et un conquérant, immortel parmi les hommes aujourd'hui alors que l'autre est rafistolée et se trouve en enfer, ayant emporté avec elle des milliers. Voyez ce que je veux dire? «Élevez l'enfant dans la voie qu'il doit suivre.»

253    Certainement que je sympathise avec vous, pauvres mamans qui êtes ici portant vos blanches roses. Il y a aujourd'hui un ciel où est allée une maman, une bonne mère à l'ancienne mode qui vécut pour Dieu. Probablement, elle est passée de l'autre côté du voile. Elle attend que vous veniez. C'est juste.

254    Je vous respecte et je vous honore, vous qui portez là vos roses rouges. Si vous désirez faire quelque chose pour elle, pour votre maman, faites-le les trois cent soixante-cinq jours de l'année. Allez dans sa maison et offrez des prières et vivez pour Dieu. C'est la chose à faire. Et élevez vos enfants. Et quand vos enfants auront grandi, ils vous diront «bienheureuse», après que vous ayez passé de l'autre côté. Ça c'est le véritable esprit de la maternité et le véritable esprit de la fête des mères. La fête des mères, ce sont les trois cent soixante-cinq jours de l'année.

255    Ceci est le jour où ils vendent des fleurs et s'échangent des cadeaux. Le monde le fait. S'il passe, si le monde subsisterait dans vingt ans, ils auraient la journée des fils, la journée des filles, la journée des cousins, la journée des oncles et toutes des choses comme cela, juste assez pour emballer le monde dans un commerce éclatant. C'est là que ça aboutira directement en enfer, à la destruction, tout aussi pénible que ça puisse être. Mais pour vous, que Dieu vous bénisse. C'est ma prière. Prions.

1 The will of the Lord for such certain things to happen at times... We went to Denver just recently and returned. I believe they wanted to report the meeting. It was one of the best meetings I've had in years. We had a marvelous time. Somewhat a little over two thousand gave their hearts to Christ, besides those who received the baptism of the Holy Spirit, besides great signs and wonders that our dear Lord Jesus did in the midst of the people there in Denver. They had a marvelous outpouring, and a great coming together of the people. We started off with around five thousand to begin with. And we had the Mammoth Gardens. And on the third night, there wasn't even any room for people to stand in the place. Had such a wonderful time, of the five nights...

2 We left there to go to Canada, boy and I. And we got up into the mountains, and come a snowstorm. I guess you've heard of it, over your radio. And some hundred and eighty-eight people perished in it. And we was stuck in a snowdrift for--for several days, up there in the mountains. And our meeting passed by, and we had to come back home now before we leave again. So we believe all that was maybe for the will of God, that it'll be a better meeting and something else... He had something lined up for us that we don't know.
We walk kindy in a dark world, but not in darkness. We just follow as the Light goes, then we follow the Light.
And our heavenly Father perhaps had something that we know nothing about. There might've been some danger laying up there. Or, again, He might be working on somebody to bring... You see, God can just work on one person like that; He change a whole nation just for that one person, to get them in. And so we know it was all for God's good glory. And we thank Him for it, and for protecting us. And there was many we...

5 Billy and I helped pick them up along the road and things like that, of people that were crashed and everything. But we come through without any trouble. We got off the road once, but that was just for a few moments. And some man up there on a ranch come down and pulled us out with a tractor. Just sliding, it was very slick.

6 And it was one of the things that they hadn't had for... Couldn't, the old-timers couldn't remember of ever having a storm like that in that country, at that time of year, Roundup, Montana. And we was... We know that anything real outstanding like that, our Lord had His hand in there somewhere. It was for some purpose, for--for our good. For our good, that's what it was.

7 And so I called Brother Neville after I got back, and I said, "I'm going to be home Sunday. And--and if you'd like for me to come down and maybe have Sunday school, why, all right." And I said, "Then I'll--and I'll be very happy to get to..."
He said, "Why, sure, Brother Bill." Said, "We're always so happy for you to come," with a great big open heart and welcome, like that, and put it on his radio program, yesterday. So we're thankful for all these things.

9 And this morning, now, being Mother's Day. Most people, you'll hear Mother-Day sermons everywhere, and people speaking of mother, which I think is wonderful. Leave that for the rest of the service.

10 This morning I'd announced, that, a--a subject of: "The Invasion Of The United States," that I wanted to speak on. Which, you probably heard your radio broadcast, and you'll hear plenty of them today. And there'll be a Mother's Day sermon, perhaps, tonight in the services. And so I thought this morning I would announce, "the--the invasion."
I spoke on it in Denver, here not exactly from the approach I aim to give it this morning, if God willing. And it, had a wonderful time with it. And the Lord just did bless in a wonderful way. It kind of sometimes gives us a...
You have to be shook just a little bit to realize what it's all about, don't we, sometimes? And we pray that God will do it.

13 And by the way, up there when we got through... The Business Men of Denver was the ones sponsored the meeting, and it was a little different sponsor than I'd ever had before.
And usually, ministers, when they sponsor the meeting, they'll say, "Did you announce it?" "Yep, to the church." That's just about it. That's shepherds; they want their flock to know about it. That's just about... That's their business.
But the Business Men were a little different. They wanted the world to know about it, so they just flung out about three or four thousand dollars worth of advertisement on all streetcars, taxicabs, on bumpers of the cars, and everywhere. We had a wonderful time.

16 After the service was over, they called me to one side, said, "Brother Branham, what can we do for you now? What we owe you?"
I said, "Why, of course, nothing." I said, "You don't owe me nothing." I said, "You can pay my hotel bill, down here, if you wish to."
"Oh, we want to do something for you." And they wouldn't... I wouldn't take nothing from them.
So the manager called them around. He said, "I believe he kind of likes to hunt and fish, doesn't he?"
Said, "Yes."
So one of the business men had a ranch up there, and he said, "I'll just make him a present of that."
Well, Mr. Moore went up to see it, and he had to go back about thirty-five miles by horseback. I said... Mr. Moore said, "I'd like to see Sister Branham setting on a horse, going back to that." So he, they, and but...

22 After that, though, they went over there to a homestead place at Silver Plumbe, Colorado. This is supposed to be on this side now. And they bought a little ranch over there, and putting up a five-room home over there for me now, to... at the Silver Plumbe, Colorado, which is right in the heart of the mountains. So you fishermen, I guess it's a good time, so it be a good place to relax, and when after the meetings and things, if God permits. That's up to Him. You see?

23 I wish now to call our attention to the Word. And I just love the Word, the living Word of God. It's... Inside the Word is the Life. Now, the Word, letter killeth, but the Spirit giveth Life. And Life is in the Word, because it's the Word of God. Life lays in Its Word.
Like if I told you, "I give you..."
You say, "I'm hungry, this morning, Brother Branham. Would you give me five dollars?"
I'd say, "I will." Now, there's just as much life in that as there is in my promise.
That's the same way it is by God. When God promises anything, then what God is, His... He's got to be in His Word. See? This Word is worth no... This Word is just the same as God. It is God.
Your word is what you are. It's your bond; we used to call it. Your bond is your word. If we can't take your word, then I--I can't have confidence. But if I can take your word for anything, then it's a man of honor.
And the Bible said, "In the beginning was the Word, and the Word was with God, and the Word was God." See? See? "And the Word was made flesh and dwelled among us."

29 If we would think, this is the very earth that we're living on, this morning, is the Word of God. That tree is the Word of God. And you, your body, is the Word of God. God spoke it into existence like that, made it from nothing, which had nothing...
Did you ever notice the human life, where it come from? One little cell so small that a human eye couldn't see it, only through a great, powerful glass. And out of there come a hundred-and-fifty, two-hundred-pound man. Where did it come from? See? God just spoke it, and it just started by nature, growing, and there it produced just exactly. He spoke every tree, everything into existence. And it's such a wonderful, wonderful thing this morning to view the Word of God.

31 Now, this, this morning in the Old Testament, turning over to Chronicles. I have been just a little bit upset... While you're turning now to Chronicles the 18th chapter. Just a little tired...
But if the Lord willing... I'm not sure; we'll know more Wednesday night. If the Lord willing, and the church feels led that way, I'd like to have Wednesday, Thursday, Friday, Saturday, and Sunday, as a revival here, just a teaching revival from the Word. [Congregation, "Amen."--Ed.]...?... Wednesday, Thursday, Friday, Saturday, and Sunday, just teaching on the Word; not healing services, but teaching. Maybe the Lord will lead us that way. And then we... I just love to be with you and have the fellowship around the Word with you. And thank you very much for that fine, wonderful "amen."

33 Now, in the 18th chapter of Chronicles, and beginning with the 12th verse, we wish to base our thoughts, just for a little while on this vital subject of the day. I Chronic... Or, II Chronicles, I beg your pardon. II Chronicles 18:12, and we'll read a portion of it here, and see what our Lord will have us to know.
And the messenger that went to call Micaiah spake to him, saying, Behold, the words of the prophets declare good unto the king with one assent; let thy word therefore, I pray thee, be like one of theirs, and speak thou good.
And Micaiah said, As the LORD liveth, even what my God saith, that will I speak.
And when he was come to the king, the king said unto him, Micaiah, shall we go up to Ramoth-gilead to battle, or shall we forbear? And he said, Go ye up, and prosper, and they shall be delivered unto your hand.

34 Now, to base our thought for a few moments, just one word to Him again, on this.
Our heavenly Father, with grateful hearts we approach Thee just now, in behalf of lost souls, behalf of those who are needy, in behalf of the church, that--may the Holy Spirit get into the Word quickly now, we pray. Take It right straight to every heart here that has need. And when He delivers His Message of the power of the Word into the heart, may we all prosper by It this morning, going, leaving the tabernacle, rejoicing and praising God, saying, "Our hearts burns within us because of His Presence." For we ask it in His Name. Amen.

36 Our scene bases this morning on a tragic. And the Old Testament to me, is always a shadow or a--or a forecasting of the New Testament. Many times someone has said, "Brother Branham, why is it you always take the Old Testament? Nearly always, taking a text, you'll go back to the Old Testament." I do it because I like typology. I like...
My education is very limited, as all know. And the only way that I know to be somewhere near right, is to see what the pattern was, to look off the blueprint and see what it was. And then I know what that was will be something similar to what this is here, because it's just the shadow of it. And I always look back to the Old Testament to see what the children of Israel did, see what the punishment of sin was, see what the justice of the prophets was, see what all those things were; and then I'll have an idea what this is here, which has foreshadowed what will be in the general wind up at the end.

38 During this time, there had been a great thing happen to Israel. It was in the darkness of its midnight.

39 In the Old Testament, if the Lord willing, maybe in the coming services, I'd like to show how that the Seven Church Ages typed out in the Old Testament. How that they began just exactly like at the--the beginning of the Church Ages of the Gentile church, and went right down through a similar dark age, and come out into the glorious time of Pentecost, at the falling of the Holy Spirit in the early church of the--in the Jewish dispensation. Then going through another period of the Gentile church, through a dark age, and then coming out again into the Millennium at the end...

40 Now, how that back in the middle centuries there, this great king Ahab came up in power. And he was kinda riding on the reputation of the other Israelite kings, which was a... Ahab, himself, was kind of a--a borderline believer. I've often referred to him that way, because he was part of the time on this side of the fence, part of the time on that side of the fence.
You'd never know where to stand, a man that's unstable like that. Or a person that professes to be a Christian, and that unstable, you don't know what to do about the person. Today they're a Christian; tomorrow you don't know where they're at. In church today they're rejoicing and singing and praising God, and tomorrow, out drinking, carousing, running around. Then that type of a person is hard to do anything with.

42 I remember, as a boy, once we had a--an old horse, that he used to jump the fences all the time. And I guess many of you men at my age, would know back in the horse days, buggy days. I've come a many a time right down this street here, driving a horse and buggy myself. I'm forty-five. So they... Remember this old horse, we'd put a yoke on his neck, like you would a cow, to keep him from jumping the fence. And he'd jump anyhow. And he would hang that yoke and turn him around, and so forth. He'd get over the fence. And one day, what he...
I wondered what was attracting that old fellow. And there was a big sink hole down there. Now, he was standing in alfalfa, oh, high, but he wanted... There was some blades of orchard grass in a sink hole. And he jumped that fence and got in that sink hole where all these wire and glass, where we... the... our--our dump, and get in there to get a few mouthfuls of that orchard grass. And we had to get some more horses and pull him out of that sink hole. When he got in there, he got hung up. And when he stood out there, he was quivering and bleeding, and--and how he was, just to get a mouthful or two of that orchard grass, when he was standing in alfalfa, almost to his knees.

44 I've often thought of that picture. "A way of a transgressor is hard." He just wouldn't stay still where he was eating and having a wonderful time, but the--he had to jump the fence and go get all bruised and cut up like that, just to get a mouthful of--of grass of some other different kind. Now, that's just about the way people does that jumps the fence of God's pasture. Don't you believe that? Gets out, go out today; come in; in church having a wonderful time; then tomorrow sell out for something like that. It makes it very hard.

45 Ahab was more or less that type of a person. Every way the wind blowed, Ahab had his sail set, if it was on this side or that side. His marriage got him all messed up, with a little woman which was a little princess, a king's daughter, a Jezebel. Very pretty to look at, very beautiful woman, but in her heart she was wicked. And she was an idolater, and she caused all Israel...

46 Now, how I would like to border there just for a few minutes, as it was, and getting into the core of this on motherhood (See?), there. And when a man starts to get married, the type of a girl, woman that he... It's more than just look at beauty. You've got to get somebody, both soul and body joined together, somebody that's really going to be your friend and pal, that'll stick with you through thick and thin.

47 Now, but Ahab, he just fell for her because she was pretty, I suppose, and marry. It couldn't be nothing else about her, because as wicked as she was. And she come over there. And then, 'course, being wrapped up with her like that, and loved her, why, he caused all Israel to sin and to go against God, and to tear down the altars of God, built the altars of Baalam. And they had Baal worship all through Israel at the time.

48 Now, his wife had caused righteous Naboth... Many of you has read of him. How he took his garden, by deceit, swore a lie, and had false witnesses against him, because she wanted to do something for her husband; and killed a righteous man, in order to get a garden that joined close to the palace land.

49 All this, God was looking down. So the prophet Elijah, which was a great mighty servant of the Lord, prophesied and told Jezebel what would happen to her. And he told Ahab that the dogs would lick his own blood. Now, when God has said anything... 'Course, them days the direct Word of the Lord came through the prophet.
"God, in sundry times and divers manners spoke to the fathers through the prophets, in this last day through His Son, Christ Jesus." So This is the Word. And if anything's contrary to That, leave it alone. See? Now, secondarily, He speaks today through the prophet, the seer, and so forth. But first is This, the Word, now.

52 And Ahab had done this wickedness. And he went on, God blessing the people for many years. And finally, Jehoshaphat was king over Judah, while Ahab was king over Israel.
And then Jehoshaphat was a righteous man. He was the son of Asa. Asa was a--a righteous man, and he tore down all the altars of--of idols, built up the altars of Jehovah. And they having a--a revival, as it was, up in Judah.

54 And then after while Jehoshaphat or... Ahab, rather, sent up, and he found out another piece of land in Syria, that he thought belonged to him, that he thought he'd go get. So he asked this Jehoshaphat if he would come and make an alliance with him.

55 And 'course, there is a great danger now (See?), when they seen this great king Ahab down there, and they seen this great one up here, Jehoshaphat: one of them, a lukewarm; the other, a Spirit-filled man. Watch how you make your alliance. Watch what you're doing, how you yoke yourself up with unbelievers. Keep yourself clean, especially in the day that we're living.
I believe, church, without a shadow of doubt, this is burning on my heart. That's the reason I'm looking for these five nights, soon, to once more, before it happens, give this church a thorough combing through the Bible.

57 We're living in the shadows of the time. It could happen any time. When we see the times come for things to take place, the very wickedness of the enemy, the very powers... We look at these snowstorms and everything a happening, all these pestilences, all different things, that's all caused by these interruptions of firing these bombs and things. They're getting things all mixed up here. And they're messing around in God's big laboratory to fulfill His Word. It's going to happen.
So "the man of sin" rising up, power, so deceitful... My. I heard a minister this morning, a Spirit-filled man, taking the mark of the beast and saying that the antichrist was Russia. What an error. Huh. Russia has nothing to do with it. No, sir. That's Scripturally. Now, but notice in this great time that we're living, a warning.

59 Now, this Jehoshaphat, feeling kind of good because the great king of Israel said, "Come, visit me." and he went down there. And they took ox and sheep, and so forth, done sacrifice. All the time, in Ahab's heart down there, he was a deceiver, 'cause he was not worshipping that, or offering those sheep and things with a true heart, because after all, he leaned more to his wife's religion.

60 And notice, just as Ahab married Jezebel during the time of that great dark age of Israel, he brought idolatry into Israel, a very type of today. Just in the dark age... When we come out through the early apostles, second round, third round, over into the dark age, the fifteen hundred years... Just as Ahab married Jezebel and brought idolatry into Israel, so did the Holy Ghost church marry into isms, and brought idolatry back; and today it's a form of Christianity (See, see?), just very dark. And now it's moved on down, each day; each church age moves down to that same thing to the great climax, till the lukewarm condition comes, lukewarm Laodicean Church Age. Oh, what a horrible hour that we're living in.

61 Listen. I want to confess right here, before I go any farther. I'm an old fashion preacher that's longing to see the old days again. I've seen so much of this impersonation, Hollywood glamor-izing the Gospel, till I'm so sick and tired of it. Yes, sir. I want to see the old fashion... I'm afraid we're making Christianity too pretty for people: danger line.

62 Now, Jehoshaphat comes down, thinks, "Oh, well, this great king of Israel, I'll just... Oh, we'll... It'll be all right." And right in the midst of all this big glamour, what did he do? He made an alliance to go up and to fight the enemy on common grounds, because they said, "We are both the same people." But they wasn't. One was a Spirit-filled group; the other one was a lukewarm group. They're not the same people. No, sir. You can't have...
Darkness can't have fellowship with light. The--the night cannot exist in the presence of the sunlight. And the most treacherous time there is, is between the times. Just when the sun is a going down or rising up, is the most treacherous time there is. There's not enough vision to see clearly; your lights on your automobile won't show good and clear. It's better to either be dark or light. Jesus said, "Be hot or cold, no lukewarm." Just that's the danger line.

64 And there Jehoshaphat, when he come down... And then this great alliance was made, which did not please God. And notice, just in the time of his, all the excitement now, "I have got favor with this king. And oh, I--I--I have fellowship with this neighbor. I have..."
See, be careful that, church. See? That's what causes all the trouble around this tabernacle here, and around others. See? Be careful about what you're mixing up with. See? Come right out, and either be for Christ or be against Him. See?

66 Now, this fellow made the alliance, and he thought he'd done something great. Yet, when he said, "Isn't there now, before we can go up, we should consult the Lord about this?" Now, Jehoshaphat had enough religion left in him, in his mistake, that he had went down there to this king, but he had enough religion left in him to think, "Well, we ought to at least consult the Lord."

67 Now, Ahab was going right on out without saying a word, just his own mechanical, physical, human way of doing things. I just wonder right here, church, if that hasn't been, a lot of times, we've made mistakes. Figuring it out, and say, "Well, it ought to be this a way," and we set it like that.
I think that's where a whole lot of the American evangelism is today, that we have set it in a form of--of, I'd say, Hollywood evangelism, whole lot about glamour. We notice the evangelist comes to the platform today, and my, he's all puffed out, and tells a whole lot of jokes before he starts to preaching, and things like that, and carries on and acts like a clown in the pulpit. When it comes time to make an altar call, the people don't even see any sincerity to make an altar call by. That's right. That's the reason the world's got in a lukewarm condition today, that it's in.

70 I wonder today. It's just, today, I... The church, we've tried to send our boys to school to learn psychology, and so forth like that, to know how to put over a program, to get in the pulpit and to arrange our... The message is so enticing, that it'll catch the people and catch their attention. And many a great psychologists go out as teachers like that, and dramatize, and put on a whole lot of something. And I just wonder, when they... We're always telling of the beauty and the attraction of the church. But we fail to tell them, "He that will follow Me, let him deny himself, take up his cross and follow Me." I wonder if we haven't made the beauty of the church too pretty for the fellow that comes in.

71 For instance, the Baptist church today has got a slogan, "A million more in '44," taking in members by the thousands, and the tens of thousands, unconverted, just people who walk in and join the church. And it's an indebtiment to the Church of Jesus Christ, to take such members in. They still drink. They still smoke. They still gamble. They still lie.
They come to the church, expecting to be entertained by a bunch of Hollywood evangelists that gets up, put on a lot of glamour, and a lot of big instruments setting up-and-down on the platform, when, they ought to have an old fashion, God-first, crying out, altar call down there; where men and women don't come to glamortize, or to run up and act a clown, but to get down to the altar and realize that the death of Jesus Christ there, that died for them, that they're getting back sincere with God again.

74 I wonder if we're not living in that kind of a time, when we take great evangelists, like many that's crossing the lands today, of great, known evangelists who has studied psychology and attract the people to the church. But after you once get them into the church, then what you going to do to them? What--what are they going to happen after they get into the church? Just join the church, and go back with the same sin and the same desire that they come into the church with. They go back the same way. And that's the reason today the world looks on, said, "Well, if that man got religion, if this person got religion..."
I'm afraid we've made it too easy. It's... I love--I think, joy, certainly, I believe that all joys lays in Jesus Christ. That's right. I believe it's joyful and happy. But remember, brother, it's the way of agony and suffering and the cross. You must realize that too. That's right. I wonder if we haven't painted a little too--a little too smooth like.

76 I was looking, and my wife put... Started out, and she put a rose on my coat this morning. She said, "You ought to wear it. Your mother's a living."
And I said, "Oh, honey, I don't know."
Mother's Day is wonderful, but that's like the world, they've commercialized the thing, just merely to sell flowers and things like that. Why, it's a discredit to mother. Why, my mother is my mother every day of the year, yes, sir, not just one day.
I will say, "You love your mother?"
"I sent her a bouquet of flowers last Mother's Day." Well, brother, she ought to be mother every day. But it's commercial.

79 That flower is pretty. I love a pretty flower. I think of that just like I do... How pretty the flower is. It blooms. And it's got fragrance. And the passer-by smells it. The animal comes by, smells it. But now look, it's pretty. Like the Church of the Lord Jesus Christ, It's the most glorious thing: Divine healings, and powers, and wonders, and signs, and miracles, and freedom from sin. It's a beautiful place. But look, if that rose... We'll have to come, the Church, like all nature.
That rose, being pretty, every cow in the country would lick on it if she could. But nature provided little bayonets, a little spears sticking out there, called a thorns, and they leave them away. That protects it. That's exactly.

81 And I think, today if we haven't got the Word of God, sharper than a two-edged sword, around the beauty of the power of the holiness of God, we're going to let every cow in the country lick on It and cull It. It'll gaum It. It'll be an indebtiment to the Church. That's right.
I think, today what we need is more old fashion, God-called ministers, raw, maybe not with much education, but'll bring the people down to an altar, and there agonize, not with a joy and laughing, and popping chewing gum, and put their name on a paper; but, brother, an old crying out and dying out, until men and women thoroughly repent from their sins and come close to God. Amen.

83 I tell you, we got, "Raise up your hands, who wants to accept Christ," all like that. That's all right, brother, but that don't--that don't expel sin.
You've got to repent first, get right, get down there and really cry out. I can remember the times when the old fashion people would walk down through the aisles, and up-and-down the roads, a crying, and talking to their neighbors. That was Christians of that day, telling about the things of the Lord.
And today we put our name on the church book, and go out and stay home, and never say a word about it: Unconcerned. "Just as long as we belong to the church, it's all right." I'm sure we're wrong there, people. Check up. For that won't stand in the judgment. No, sir. It won't.
Nothing less, "He that will follow Me, let him deny himself, take up his cross, and die daily." Stay dead there on the cross. That's right. Agony... "The way, I'll take the way," you sing, "with the Lord's despised few."

87 I think today what a time that we're living in. That evangelism, they put it out in great big bright lights and they try... When you see the evangelist coming to town, you wonder. I, my meetings has been guilty of the same. That's right. I wonder who's coming to town sometimes, the evangelist or Jesus Christ? Why, they got...
I went into a place here, not long ago, where a certain evangelist was supposed to come. And Jesus' Name... Why, they had the picture of the evangelist, "the man of the hour," the man's with this, and the man with that.

89 I, sometimes I think of my ministry, and see people come. And I'd get in a hotel room, say, "God, who--who's the people coming to see, me or You?" See? "If they're coming to see me, they're lost yet; but, O God, tear me down and take me away. I want to represent You, the One Who'll stand before someday with trembling hands and trembling, feeble body, looking at me, knowing that my soul hangs by Your decision." Let us exalt Christ.

90 Today they say, "Well, I belong to the Baptist. I'm a Methodist. I'm belong to the Tabernacle. I do this." Oh, that has nothing to do with it, not a thing. I wonder sometime.
Here not long ago, I seen a--an advertisement up, where a certain campaign was coming to the city. And the word of the man, the man's name were in great big letters all the way around, like that. And on the bottom, in a little corner, said, "Jesus Christ the same yesterday, today, and forever," way down in the corner. See?
They took all the sacredness from Christ and put it onto some man, or some church, or some organization. Brother, I'm telling you; you can get by with glamour, Hollywood clowning like that, and it's by the church. But in the Presence of Jesus Christ, He's the One to be glorified. That's right. Now, that's the truth, my dear brother and sister.

93 Don't feel angry at me. You just remember that I'm preaching to you. I want to preach as if this was the last sermon I'd ever preach in my life. I want to preach every sermon I preach, as if I was a dying man preaching to dying men. And I am; my light's burning down, every day; yours is too. And we're dying mortals. And we got to face the living God some of these days, and we better be in deep sincerity about this.

94 And just in a glamour, and carrying on, and join the church, and go here and there, act this way and that way. We better be having old fashion prayer meetings in our homes and crying out to God day and night. The day is at hand, a time of distress, a time of trouble." The Bible said, "a dark day." And we're living in it.

96 How that this great man went down there under the excitement. He joined himself with the lukewarms, with a border line, and thought he was doing something great, thought that God was a blessing him. And not realizing that right then he was bringing in all this group with him. What? "Our little group of Judah--of Judah up here would come down and join ourself with the great bands of Israel. What a mighty people we'll be."

97 There you are. And that's the very line of deceit the Devil's using right now to bring in the antichrist, just as certain as I'm standing into this. "We'll unite our efforts together." We can't do that. How can two walk together except they be agreed?
This United States making the same, selfsame experience and the same mistake, when it united with Russia back yonder, at the time they was about ready to have war, and bound ourselves together with Russia. And now you see what we got, don't you? They got our airplanes and all of our secrets, and our atomic bombs and everything laying over there to blow it back at us. Same thing goes by spiritual.

99 Then we find out, after Jehoshaphat had made this alliance, and they consulted... Now, watch, watch the outside world. He said, "Sure, we've got plenty of prophets down here. We got a seminary full of them."
They go down and get the fellows there that had been trained, who knowed psychology, who knowed all about it, said, "Come up now, and we're asking and consult the Lord."
All of them, of course, in their fleshly puffed up mind, come up there and said, "Now, look, we... You go on up. The Lord is with you, and the Lord's going to give you that piece of land up there, that it's going to be yours. You're going to push the Syrians all the way back. You're going to do it." One of them even made hisself a big pair of iron horns and begin to run around like this, saying, "This is what. You're going to push the Syrians away."

102 But, Jehoshaphat, just a little more spiritual to put up with that tommyrot of clowning... That's right.
God, give us some more Jehoshaphats, sick and tired of this here Hollywood clowning (That's right.), putting on, pretending to be something that they're not; making out, dramatizing, drawing in. And then when they come in, what's you got when he got in? Like asking a man, "come swim," and in a desert. Nothing but bay sand upon your head to cause sorrows afterwards...

104 Now, notice, what can you bring them into? A certain lady said to me the other day, "A man said, 'I'd go to church, but what--what would I get when I went to church?'" Said, "'All they do is organize some supper, and they--about this, that, and the other.'"
And the lady said, "I stood speechless, for I didn't know where to send him." There you are. Said, "I wish I could find an old church where they really sing the old fashion hymns and live godly."
Children that are hungry, they'll eat from a garbage can. It's up to the Church of the living God to feed them the true living Word of the--of God.

106 There in all that glamour and stuff, Jehoshaphat said, "Isn't there one more?"
"One more?" said Ahab. "Well, what do you need with any one more? We've got four hundred of the best, selected, educated, top-fed, dressed men there is in the country, standing here, every one of them with one accord, and one heart, and one voice, saying, 'Go. God is with you.'"

108 I wonder if United States hasn't met the same thing. I wonder if the Church of God hasn't met the same thing. I wonder. "Well," say, "look, they're having success. They're having great, big meetings. They're carrying thousands at a time." But I wonder if there isn't just one more. I wonder if there isn't something different.

109 We find out, we have thirty thousand converts in six weeks, and six weeks later we haven't got a one. There's something wrong somewhere. That's right. And it's all glamour, putting on. The world, through television, through radio, through picture shows, and those outlets there, has corrupted this nation with the tommyrot of Hollywood. Right. Everything wants to be in big glamour. Isn't that the truth? You know that's the truth. We don't have any more of the old fashion religion that we used to have years ago. It's because it's been let down. We'll get to it, just in a moment, you'll see.

110 Watch. What a beautiful picture, or a stirring picture, I should say. And here come this Jehoshaphat, said, "Yes, I see them all. They're every one got their degrees," and whatever it was. "They're also be prophets. They're great ministers. They're out of great colleges. And they're all this. They're out of the big school of the prophet, and everything. They're all with one accord. That's true. But isn't there just one more?"
"Well, what will you need with one more, when four hundred is giving consent at one time?"
But that man, way down in his heart, had God. And he knew that there was something wrong about that. Yes, sir. He knowed there was something rotten. Why? Let me give you... The Scripture doesn't quote it, but here's what I get. I know that--that Jehoshaphat knew that that hypocrite down there, Ahab, that he wasn't right with God. And Elijah had prophesied the Word of God to him. And how could God bless what He had cursed? Amen.

113 I say the same thing today, friend. And the Church of the living God, who's standing true to God, will say the same thing. You can't mix oil and water together and call it salvation. You can't. Got to separate yourself, brother. Something's got to happen. If there's any hope left, we got to do something, and do it quickly; for the hour of the rapture is at hand.

114 Things are heaping up, everything, and the church is so far away. They read all kinds of magazines, books, stories, and everything. I could go today to a... I can go to a church, and I can say, "Oh, how many know..." They know every hymn, after one of these big revivals. "Now, what--what page is certain-certain hymn on?" They know it. They know who it is. They know who's running for President, and who's running for this, and how many movie stars married, and this and that, the other. But the Word of God they know nothing of. There you are. So we're giving their... And yet, they profess to be Christians.

115 And the people is not at blame. It's from behind the platform, where it come from. Exactly. It's from behind the platform. They teach them all kinds of rhythms, and all kinds of this and that, and organizations, how to make you preach, and everything like that. I wonder if it's paid? Nothing against it, but I'm wondering if that's God's requirement.
When Jesus said, "Except a man be born of water and Spirit, he will in no wise enter into the Kingdom. He that will for... will follow after Me, let him deny hisself and his own worldly pleasure, take up His cross and follow after Me." Cross is a symbol of death, agony. "He that will be a Christian, let him strip himself of his own thoughts. Let him strip hisself of his own works. Let him strip hisself of everything, denying himself, and take up that consecrated cross, and follow Me daily. He that will come after Me, let him do that." That's what Jesus said.

117 But today we say, "Everybody have a big time. Everybody clap their hands. Everybody holler, 'Hallelujah.' Everybody do this." Oh, how we got a bunch of fuss. Amen. God... We get these new songs out and sing them so fast, that it looks like we're going to run through the wall with them, or something like that.
When, I think if we'd be singing "Nearer, My God, To Thee," would be a whole lot better for the Church: the old fashion hymns.
Get a lot of dance orchestra people, some boy in a dance orchestra over here playing, last night, and tonight over here playing in the church of the living God? It's an abomination in the sight of God. Let that man be proved first, and let him bring forth fruits meet for repentance to show that he's right with God.
They bring the jazz world right into the platform. They bring the Hollywood, glamortizing preaching, right into the platform.

121 Why didn't I set in your fair city a few weeks ago, in Louisville, Kentucky? My heart break, when they was all setting there, willing to see the miracles of God; and as soon as you preach the Gospel, they'd fill up, in a second, and turn their backs and walk out of the building. Certainly. They don't want it. Their hearts are hardened. Step out; and many of them, Protestants too, who go to Protestant churches... But they'd been fells--filled so full of glamour and everything like that, of tommyrot and churchism, until they know nothing about the Spirit of the living God: "Having a form of godliness, and denying the power thereof." What a day that we're living. Watch where it heaps up.

122 Jehoshaphat said, "I know, Ahab. There's your four hundred preachers. They're all fine-looking fellows, every one dressed and their hair combed neatly, and everything, whatevermore they may be. They may have their D.D.'s. They may have their all kinds of degrees. They may know the Scriptures from A to Z. But haven't you got one more somewhere? Hasn't there just one more somewhere?"
He said, "Yes, there's one more, but I hate him." There you are. There you are. "I hate him." Remember, Ahab was a religious man, and these were religious teachers, but they hated this man who had the truth. Said, "I hate him." Said, "He's always bellowing out something against me." How could he keep from doing it when the Word of God had condemned him?

124 How can you hold still if you're a man of God, or a woman of God, and know and see sin and things heaped and weighted, and everything like that; and see human souls going to hell, millions a day, and stand still? You can't do it.
Someone said to me the other day, "You think you can stop it?"
I said, "No. I can't stop it, 'cause God said. But one day at the judgment bar, they're going to pull out the big screen, flash on the camera yonder, and that tape recording's going to be played. And I'm going to stand and listen at it; I want to hear my voice warning against it. God will judge me when my voice comes against it." Yes, sir. When we see this life, this generation, re-enacted again yonder at the judgment... Certainly. We're living in a terrible time. And there it is.
And we see him; he said, "Isn't there one more?"
He said, "Yes, but I hate him, for he's always prophesying evil against me."

127 How can he keep from preaching those hard things, when he sees it going on, see Ahab living like he was and doing like he was, and bringing the people like they are? How can a man of God or a woman of God keep from hollering out and rebuking sin from every side when, they see these lukewarm preachers, and glamortizers, and educators, and so forth like that, out letting the people go to hell by the millions, under deceit? A lot of... Even in the holiness people... I'm not talking so much about Methodists and Baptists and things like that; they have it too. But it's right down in their own ranks.

129 My, coming to the platform, like everything else but Christians, living like everything else across the countries and things, then they call it religion. It's a religion, but it's a long ways from the salvation of the Lord. That's right. They just got the people till it's just a big bunch of worked-up. Then as soon as the little work-up goes over, then, the first thing you know, you can't find a one of them; the church is setting empty. But if a man loves God, he will fill his seat of the church every time. He can't stay away from it. That's right.

130 Now, notice just a few minutes. I'll try to hurry, get straight to the point now, 'cause my time's getting away.
Notice, then he said, "Isn't there but one more?"
He said, "Yes, but I hate him. He's always prophesying against me. He's saying evil things against me."
"All right, said, "go get him."
He said, "His name is Micaiah."
But this man had enough religion to know that these fellows wasn't right.

133 And any man that's ever been touched, the least bit, by the Spirit of God, knows that these things, what's called Christianity today, is not right. "You can't love the world or the things of the world; if you do, the love of the God is not in you." The Bible said so.
Now, look. He said, "Go, get him." And they went over.
And then he sent a little old messenger along, the deacon of the church, perhaps, or somebody, went over there and said, "Now, look, Micaiah, we're going to bring you over here before Ahab and Jehoshaphat. Now, they're both setting out there. And they're great men now. They're teachers and they're scholars. And they got their degree and so forth. And every one of our seminary, every one of our churches here, is a perfect at agreement that this is the will of the Lord. Now, you say the same thing they say, and I'll tell, you'll dress better and ride in a Cadillac car. I'll tell you; you'll just be a great fellow if you'll do that. Yes, sir. You'll prosper."
Micaiah said, "As the Lord God lives, I'll only say what God says." Amen. Yeah. Oh, there's a man after my heart. "I may have to eat bread and water," which he did, "for doing it." You may be smote on one cheek and the other, whatevermore, but he told the truth and stood by it. God confirmed it to be the truth. He wasn't so popular, but he knowed God.

136 Brought little old Micaiah over there. He said, "All right, Micaiah, what do you say about it?"
He said, "Go on up. Go on up." Said, "Go up in peace. Go ahead, prosper, that's what I want you to do. But I seen Israel like sheep without a shepherd on a hill, scattered. That's it," he said.
And when he did like that; and Ahab turned around, and Jehoshaphat. Said, "What'd I tell you? That holy-roller..." or what, excuse me, or whatever he was, that guy said that. "What'd I tell you? That fellow would only prophesy evil against me. What'd I tell you? He'd only condemn our church, and condemn our ministers, and condemn our way of religion. What'd I tell you? He'd say it. I know him. I knowed his daddy before him." Amen. "I knowed his daddy before him." Um, yes, sir, a real man of God. Said, "I knowed he'd say that."
And so then he said, "Yes," said, "I saw Israel like sheep scattered without a shepherd on a hill." And so then he said, "I..."

140 And then one of those fellows that had the big horns, was going to push off, a preacher walked over and pulled little Micaiah around, and smacked him in the mouth as hard as he could, said, "Which way did the Spirit of God go when It went out of me? If you knowed."
Said, he said, "Wait till you're setting in prison over here, and you'll know which a way it went." That's right.

142 Wait till Russia is setting out here taking over the nations and things like that, and this country, because of its backsliding, and you'll see what was right and wrong. That's right. You'd see whether your lukewarm religion will pay off, or not.

143 Let this nation come to tears, not come to laughter and drama. Let this nation come to its knees in repentance. That's what we need, not a revival to get a whole lot of people in a church. We need to close every bootleg joint, stop all cigarette smoking, tear down the factories, start up a real, old fashion, Holy Ghost campaign, where men and women, day and night, laying on their face, crying. I'll tell you, it'll be the greatest shelter that this nation's ever had. That's true.

144 Let the Branham Tabernacle quit its foolishness. Let it get back here at the altar and get right with God. Make up with the neighbors, and so forth like that, and get right with God. You won't have any fusses and going on; it'll be the drawing spot of the world. That's right. Now, that's the truth.

145 Then he said, "Which way did the Spirit of God go out of me?"
And Micaiah said, "I saw God and His host, His council, setting in glory."
You know, God has a council up there, once in a while. He--He brings up His--His Angelic Beings and holds a--a council once in a while up in heaven.
And he said, "I saw Him setting upon a throne, and all the people were standing on the right and left hand of Him." And said, "They were discussing, 'Who can we get to go down and deceive Ahab to get him out here and to fulfill Elijah's prophecy? God's done said so, what was going to happen, so we'll just see who can go down.'"

149 "And a lying spirit come up from beneath," of course, out of hell, "come up before God and said, 'I'll go down, and I'll get in those preachers and cause them all to prophesy a lie.'" Oh, did that blow them up? Did that make them feel funny, when, "They said, 'I'll go down and cause those preachers, every one of them, to prophesy a lie.'" And he got down and got in those preachers, and they begin to prophesy a lie.

150 And brother, the same God rules on the same throne today. And that same lying spirit has done the same thing today, prophesying lies.
They kept saying, "Peace, peace, peace," after the First World War.
Let me show you where it come from. In the First World War, when France over there turned away from God in their gay '90's, and begin...
Now, I'm going to get a little on morals, so you all just set real quiet for a few minutes.
Look, on back there in the beginning, over in France, there's where orneriness and filth first begin. If there ever was a rat hole in the world, it's Paris, France. I've pretty near traveled most of it, and that's the worst place I ever seen. And London, England, is not much of an exception. And the United States is coming right in line with it. That's right. There they are.

155 Every time that you break the morals of womanhood, you break the backbone of the nation.
Here you go over in their own countries, and say you're a missionary, they don't like... Say, "What are you going to tell us to do, how to sing dirty songs about our wives, or about our girls? You going to tell us how to divorce our wives? Teach us how to drink whiskey and go the way we do?" That's what we are.
We call ourself the religious nation, the Christian nation. Well, them "heathens" in Africa could teach us morals, how to live. The rottenest place in the United States, or the world, nearly, is this nation, how it's got. I'm an American, certainly. But, brother, I can't help... But from before Ahab or Jehoshaphat, and I got to tell what God says is the truth. That's what the church needs to stand for today. If it comes between nation and God, it's God, always. Yes, sir.

158 Notice, in France they started all their rottenness and going on the way they lived over there. And then God sent Germany in to them to beat off a little bit. Then we went over there to save their hide. And as soon as we done that, and won the war, sent the Germans back, had peace with France, did they turn to God? No, sir. Women, wine, debauchery, sin and filth to the gills...
Then what did they do? What happened? Here's where we started. The Devil set up his headquarters there. There's where he started, right there, to demoralize the world from Paris, France.

160 Then, if you notice, he couldn't get in here through the ministry, so the thing he done was come in to Hollywood out here. He set up his Holl... He set up his headquarters over here in Hollywood. The Devil landed back here a few years ago, fifteen or twenty years ago, with his great army, and went, hit in Hollywood, California, and he's invaded the United States with his demon powers. Right. All of our fashions come from Paris. They get into Hollywood, onto the screens. These little girls and little boys, and things, get out here, they watch them screen plays. Nice little kiddies, fine little fellows, nothing against them, God bless their little hearts. My heart bleeds for them.

162 And right here in the city I was talking to my--one of--my boy, the other day, he said "Daddy, if there's just some boys around there in town, that had the Holy Ghost, and so forth." You wonder why I was getting away to Denver, Colorado, or somewhere like that? Get my children somewhere where there's a bunch of people who cry out to God. What we need, brother...

163 This country, this nation, this city, this place, is become so demoralized till it's pitiful. If I could only express right now what I absolutely know to be the truth right here, it wouldn't even be presentable before a mixed audience. Or, right here in this own city right here... not only here, but other places, everywhere, it's begin to come a simply...
Because why? The people... Look, friends, it's got so cunning. It's come in so easy, till it just smothers you down. The Devil used to be in fashions. He might not have went out of fashions, but he didn't go out of business; I'll tell you that. He's still in business.

165 Look, today. We take, like I said awhile ago, about the little lady, a little old girl with a rose. For instance, the rose, it's pretty; it's there to be looked at. That's true. And that's just like the church; it's there to be looked at. Like a pretty little woman, she's there to be looked at. That's right. But if she... She's fine, that... She's to her husband, she--she is all right. But if she hasn't got the moral sword sticking out there to protect her, she becomes a indebtiment to society and human being: get so low and scandalous and rotten till the dogs wouldn't look at her. That's right.
And the same thing to the church of the living God. They get out here and try to glamortize and fix themselves up, and act like... They strip their women. Here, right... And people don't realize that these devils are invading your homes.

167 Right in my neighborhood the other day, a young lady which I think is a nice woman... And she's a married woman, got a child. And the little woman come out there. Men come down the road to do some work, and this little lady got out there with them little bitty old clothes on, was horrible.
This is an awful Mother Day speech. But, my brother, let me tell you something. Mother, get back to be mother again.
Even to a little bitty boy was visiting our neighborhood, come in and told us about it, "Look out there."
I said, "Well, that's nothing."
The woman's a nice woman. I don't say she is demoralized. But the thing of it is, there's an ornery, filthy spirit on her, making her do that, and she don't know it.

171 What in the world would a mother want, or anybody, put on those little old dirty clothes, and stretch themself out before men? You're pretty, sister. You're pretty, mother. I thank God for you. But you're pretty, but you haven't got the Holy Spirit there to protect those morals. You'd have been better if you was so ugly nobody would have looked at you, and went to heaven. That's right. That's true. Watch what you're doing: those moral.

172 Now, what it is, the Devil has come in, and he's told the people these things. He's got into the preachers; He's patterning after Hollywood. The girls and the young--young ladies, they pattern after Hollywood. The best of things that they have in the country today, the most moralist you can hear, is talk about on the radio talk.
Some old woman like Mrs. Kay Starr, nothing against her; but to see an old woman fifty years old, and all, with her clothes all pushed out on her like she was poured in a meal sack... I ain't saying that for a joke, 'cause I'm talking against those things. But a woman act like that, and stand up and be an example to a young American women, it's an indebtiment to our nation. It's the Devil.
Guys like Arthur Godfrey and them running around here, doing the things that they do, and the most noted man in the country like that, and, why, it's a disgrace.

175 Hallelujah. I say that because I feel the Holy Spirit is here. The invasion's on, just sweeping from house to house, from place to place, from church to church, from man to man.

176 Children, in the Name of Jesus Christ, rise with the moral stands of the revival and the Lord Jesus Christ, and say, "I'll take the way with the Lord's despised few." Yes, sir. "I'll be a real mother." "I'll be a real dad."
When the whole world, and all around, all around my soul gives way,
Then He is all my hope and stay.
For on Christ, the solid Rock, I stand;
All other grounds is sinking sand,
All other grounds...

177 What's caused all this stuff? What's caused ministers to act like this? What made preachers prophesy this lie to the people? Why did it, years ago, that you Methodist people... When old John Smith was packed to his pulpit to preach the Gospel, and he preached a short sermon of four hours, and he said, "The trouble of it is, that my heart is breaking." He said, "The Methodist daughters are even wearing rings on their fingers."
And today they're dressed in shorts and little old dirty clothes. And they'll be perfectly nude in another five years, if something ain't done. What's happened to you Methodist preachers, you Campbellites, you Baptists? Yes, sir. It's the Devil has throwed down his powers, and he's got his imps out here.
And you don't realize it, you smoking cigarettes, you women, and doing the way you're doing out there, and drinking and carrying on the way you're doing, you don't realize that you're poisoning your system and ruining the whole generations that'll follow you, if there is such a thing. Eighty-five percent more chance to take cancer by smoking cigarettes, and you deliberately move right into them. And the churches endorse it.

181 In our great Baptist churches here recently... I'm hitting the Baptists. I got a right to that; they kind of lean on the side that I come from. But when they had to give intermission between the Sunday school service and the preaching service so that the pastor and all could go out and have a smoke, and the street was lined with men and women smoking cigarettes. The Devil has done that. That's right.
Then here in our own city, one of our most outstanding ministers, right down here in New Albany, at this playground, that one of our outstanding ministers of the city is directing a square-dance program to bring men and women on the platform.

183 Don't care what the world says, I don't care how you try to coax around it; brother, there is no red-blooded man pulling up to another man's wife, and feel the same. You know that's the truth.
They've took our women and stripped them, out yonder in the offices, and the driving taxicabs, and up-and-down the street. where they ought to be at home behind the stove cooking, and fixing the dinners.

185 What is it? It's the Devil. The invasion's on. I ain't saying nothing about this individual or that individual. I'm saying it's unclean spirits that are possessing the people, driving them right into it.
The invasion of the United States, the overthrow of the church... The church is overthrowed by the Devil. Back yonder...

187 They take a boy up now when he comes to a seminary, the first thing he has to learn is to get his degree. He has to take psychology. He has to take theology. He has to teach, get all kinds of stuff indoctrinated in him. If he hasn't got a real fine education, if he isn't as smart and bright as he can be, then they'll turn him out; he can't qualify. What's he to do? To go out here and present a little political talk, as it was, a church politic talk to a group of people, to a bunch of dying men and women.

188 O God, send us some old fashion, sassafras men who doesn't know A from B, that knows the power of the resurrection of the Lord Jesus Christ, who'll preach repentance, and send men and women to the altar, to love the Lord Jesus. [Blank.spot.on.tape--Ed.]

189 It's an indebtiment. He's invaded the seminaries. He's invaded the churches. He's done stripped our women. He's got our men into a place that you can't tell them nothing. And men and woman, I think...
You say, "Well, the women." Yes, and you men that'll permit your wives to do that, that shows what you're made out of. That's just exactly. Certainly. It's a disgrace. It's a pity.
And then down to the preacher... The preacher stands in the platform today of a modern pulpit, stands in there, with his people before him, and preach about every little old thing in the world besides repentance and sin, and the rugged cross of Christ. Yes.

192 When you lay the facts down, the people come to hear you in evangelistic service. You're trying to get the thing and preach the Gospel, and get people repenting and get them out; they'll blow up and walk out, they, "Don't have to hear It." No, they don't. But, brethren, they're going to have to repent or perish.

193 Demons... You go to the school; it's invaded the school. Look around over the country today. Looky here, you people, you Protestants. Look, there's four great big Catholic schools and things, built up today. Why is it? You're letting down the bars.
Nothing against Catholicism, no, I don't believe in it. I'm a strictly a Protestant. That's exactly right, and can prove they don't... You can't argue with them. They say, "We don't care what the Bible says. We know what the church says."
God's in His Word. This is where God is at. But some of the Catholics, sticking to their church, would make you ashamed of yourself as a Protestant. If you'd only stick to the Bible, as they stick to the church... That's right. But they're wrong. I can say that under the authority of Almighty God, that they're wrong. Absolutely.
And you Protestants are wrong the way you're doing, 'cause you really know better, and you do it. That makes a hypocrite out of you. Sure, it's the invasion; churches letting down.

198 And now, instead of the church, trying to make the church beautiful, build a bigger church, put big spires on it, great big pipe organs, and get everything trying to pattern like the Catholic church. You don't want to pattern like the Catholic church, if she's doomed to go to destruction. For that's THUS SAITH THE LORD, she's doomed to go to destructions. And you're a pattern after her, you're going with her.
But what we need today is not a big church, a big spire; is an old fashion altars where sins are burned up under consecrated prayers of men and women who love the Lord Jesus Christ. You know that. That's what we need. Hear me, friends. Hear me. It's love.

200 My time's gone. I'd just like to linger on that, where... I'll pick it up a little later on, that invasion, where it's went to. It's invaded. It's invaded our nations. It invaded United States.

201 Now, remember, I never cast a vote in my life. See? That's nothing to brag on. That's my American birthrights if I want to do it. But I think too much of my friends to put them in there. Look, I've seen them go in as fine men, come out as crooks, and I don't want that.
I have one thing. I'm here building a platform for one Person Who's the Candidate, and that's Jesus Christ, and Him alone. I give my time for Him. That's right. If I can get the church straightened out, the rest of the world will take care of itself. That's right.

203 But let me tell you, when Mr. Roosevelt (The man's dead. Let him rest; I trust he is.) come in, and run in three or four terms, and taken over, just a preliminary dictatorship... I can prove to you, that in the Scripture, where That said it'd take place. That's right. We haven't got no more constitution. She's broke to pieces. Everything's all smattered. The Republicans is just as bad. It's six of one, and half a dozen of the other one.
For every kingdom is going to be smashed, but the Kingdom of Jesus Christ shall stand and reign forever. That's right. Upon... Daniel saw the Rock hewed out of the mountains, and hit the political world back there and mashed it into a grinding powder like that, like the wheat on a thrashing floor in the summertime. But that Rock grew into a great mountain that spread over the--filled the whole heavens and earth. That's it.

205 The political world's gone. Our nation is broke. You remember that, that Brother Branham said that, THUS SAITH THE LORD. Our nation is debolished. It'll never rise. She's gone, like all the rest of the nations. It's the greatest nation in the world standing today, but the very seed of the Devil has been planted into the hearts of the people; how it come into Hollywood, how it got out into the people, and begin to this... And you can't tell them nothing.
Get a President up there who'll try to close whiskey, and not have prohibition, see what would happen. He'd be shot in two hours after he got in there. Sure, he can't stand it; the whole world's against him. Yes, sir. You couldn't do it.
She's gone. She's invaded, and the spirit of communism has took over.

208 Go to our schools today, look at our school children. Our little old fellows that go to school, you just ought to know what goes on. Little girls down here in the schools, and things like that, at the age of fourteen and fifteen, their mammy sent them to school, wrecked morally, mentally, dope fiends, dope addicts, cigarette pumpers, everything else like that; and a little bitty age, the little children like that. It'd be as hard to find a virgin among some of them as it would be to find a needle in a haystack, where they have blanket dates with the boys, and stretch on these river banks and everywhere else.
And I can prove it to you, my friends. I wouldn't say it in the pulpit 'less I knew what I was talking about. Of schools right here in our--our counties, right in here in these counties, of those little ladies dressing, don't know... telling their mothers that they're going to different places, and meeting boys and even prostituting on the streets of Louisville (What is it?) and sing in choirs...
Because they got a little old social Gospel standing there, where preachers stand and talk about little petty things, and little bitty stories of the Bible, or something like that, instead of preaching repentance and bringing men and women to the altar.
Her daddy walk in at night and light up his cigar, take a glass of beer, and set down and drink it. Mother's out through the daytime with a bunch of women at some card party, some social like that. How can you expect the child to be anything else? Look, whatever an environment you live in, that's what you are.

213 You take a little bitty girl, little bitty boy, put them out here, let them live with somebody... You take a man... I can take my boy, let him be out for a day with somebody; let me come in, I can almost tell you who he's been with. Certainly. Watch, that environment, that spirit catches him.
You go into a church, where the people all... You go into Holy Ghost churches, or--or Pentecostal churches, they call it. Look everybody be... Oh, they run and jerk their head back and forth, the pastor does; watch the whole church begin to do the same thing. Let the men, the people, get up and--and just carry on terrible, or something another; watch the whole thing do that. Get into a place where the pastor's real starchy and cold; watch the whole group do it. You come into that environment.
You take a man that's a good moral man, and let him marry a little old woman that ain't worth a dime; it isn't long till he ain't worth a dime either. That's what happened to Ahab. Take the same, vice versa, let a nice little woman marry an old man that ain't worth a dime; the first thing you know, she's doing the same thing he is.
How could I go, this morning, and point my hands on little broken up homes and things like that, where lovely little mothers come into a drinking dad, and things like that, and thought they could do something with them, and now the whole mother and all of them is a drinking and going on. It's environment.

217 What is it? It's the Devil. It's the Devil, the invasion. He swept into this nation like a roaring lion. He set hisself down here in the best place they had, in Hollywood. He said, "I can get the movies here until the television comes on, then I'll get them." And he set down there.
And the church people, instead of shutting down the shows and not letting their children go, they give them ten cents on a Sunday afternoon and send them down there, so they could have a little social card party, be out to theirself and ride around. Oh, what a disgrace. Now they just turn the television on and watch all the dirty, rotten tommyrot there is in the world on it. That's right.
I ain't got nothing against the movie. I ain't got nothing against television. It's the rotten stuff that's on it. That's what it is. If you'd have kept it moral, it'd a-had to stay moral.

220 You couldn't sell old fashion button shoes here in town today, at all. Women don't want them. They want the toes out of them. The rest of the women's a doing it. That's right.
When you go to church, you can't sell them old-time religion, 'cause the other woman, she don't want nothing to do with that. No, sir. "And no need me going down there. I just believe; that's all there is to it." Oh, brother, the Devil believes too. That's right. You'll repent or perish.

222 Now, sorry... No, I'm not. No, I'm not. No, I take that back. I love people. But I--I love you too well to see you go into a headlong plunge like that. If God willing, I'll pick this up a little later on in the week.

223 Now, to you mothers that's mothers, just a word to you before going. God bless you. You bring your children up right.

224 We'll pick up this invasion; we got to go into the homes yet, and a lot of places, the schools, and out in places with it. We'll pick it up.
But the invasion of the United States, the Devil has took her over. Don't be afraid of Russia. Russia ain't got nothing to do. We're doing it ourselves, our own rottenness right among us. That's right.
You know, the United States has more divorce cases than all the rest of the world? More divorces, think of it. That horrible? The motherhood has been broken. Mothers don't stay at home no more with their children, like they used to. They got to have a job.

227 Here the other day, a certain grocery man in this city, was talking to me about it. These women working in this public plants, these young married women with a bunch of little kids, they got babysitters taking care of their babies to work these public places. Said, "There was two of them standing in a... When they got laid off at their public works, 'Don't worry. We'll make it anyhow.'"

228 Oh, such an hour of prostitution at hand. Sure. The Devil's done told them that they're the boss of the house. They'll make their own way. They'll do what they wish to. And you get it out of them, if you can.
There's only one thing can get it out of them, that's the altar, before Jesus Christ, an old fashion, tear-streaming religion that'll break their hearts and tear them to pieces, and make them what they ought to be. That's right.

230 They may think I'm just an old fogy. But the day when you're dying, my brother, sister, you'll realize that I told you the truth. That's right.
She's on, the invasion; the hour is here. Now, yes, an hour of decision too, a hour of decision; not to come to church, but an hour of decision whether you're going to serve Christ or stay lukewarm in your church. And that's right.

232 There's plenty of church members. If all the mem--or the people of America that profess to be Christians, would be real Christians, borned again Christians, brother, we'd be as safe as you'd be in heaven almost from mortal troubles. Yes, sir, diseases would leave the land, everything else.
Wouldn't it be nice to come down the street and see where a lady come by and men, "How do you do, sister? Good morning, brother?" Walk down, there's not... You don't have one worry in the world. Everything is just fine and dandy. And the fellow come to the street corner; instead of trying to run over you, he'd stop, "All right, brother. All right, you had... Oh, you before me." You see, just prefer... Wouldn't that be wonderful? We're going to have it, but that's in the Millennium, brother. The day...?... coming. That's right. So now we're not...

234 I stood in our neighborhood here the other day; nothing against our neighborhood, but I can notice all the little children. Wife was crying. A certain doctor of this town, his little girl was running around with my little girl, and they loved one another, until they found out that her name was Branham, and she was Reverend Branham's child. That settled it. The little girl couldn't go with my little girl anymore. "Well," I thought, "well, okay."
Some of the little neighbors run over there, and said, "Well..." It was all right till they went to their pastor. Don't tell me. You know, I--I have a way of knowing a lot of things. You see? So they--they went to their pastor, and said, "You know, there's a man lives in our neighborhood, is so good to our children." Said, "It's Reverend Branham. He takes them, haul them in his little old truck, and takes them out..."
Said, "Well, [Brother Branham clears his throat--Ed.] we have nothing against Reverend Branham. He's all right, but, you see, he's just a different class of people than what we are." See? "We... I--I would that you wouldn't be... You know, I wouldn't kind of... You speak to them, and be friendly, but just let that be the end."
Oh, brother. My wife was standing there, crying. I said, "Sweetheart, it's a separating line. As for me and my house, we'll serve the Lord."
Though all the world gives a way, still Jesus Christ... If I have to be called a fanatic, if I have to be shunned by my kinsman, my fellow man, and things like that, I still choose Jesus Christ. Hold to God's unchanging hand. When earthly friends forsake you, still more closer to Him cling. Hold to Him.

239 God, let me preach like I've never before. Let me preach to dying men, as a dying man, myself. Let me preach to people like I'd never have another sermon to preach. Let me persuade them to come to the altar with streaming faces with tears; go back home and live like Christians, and live in their neighborhood. Stop all this here frolic and running around, and jumping and carrying on, and acting this way, and blowing up at this, and going that way. Oh, don't do that. That's the Devil. Them demon spirits come on Christians.

240 Remember, those ministers down there, that was them prophets, they were prophets. They were religious men offering a sacrifice. They were just as religious as the teachers of this day, but, brother, they was a long ways from knowing the truth.

241 Don't you see how religious the Devil is? The Devil's not no anti-, great big thing like communism, all against Christianity. That's not. That's just all of the Devil, sure, but it's not the antichrist. The antichrist is very religious, very religious. It was a religious spirit that crucified Jesus. It's always been a religious world, a religious people, that crucifies. It's the religious people that was against the true Christ. It was the religious prophets that was against Micaiah. It's the religious people of the day that's against the Message of God.

242 Remember, I have warned you. I have told you. I ain't speaking so much about Catholicism, and Baptists and Methodist; I'm just talking about people that's holiness people, right down these lines here. Look at it today, how it's come across and standing in drama. Oh, my. I'd go into it sometime, and my heart breaks within me.
Stand up there with an old banjo, beating that old banjo, and sawing an old fiddle like that, "Is this Texas cowboy So-and-so?" I ain't got nothing against the man; but that belongs out there in the world out there. That's right. I'd rather stand, brother, with not even a thing, with no nothing at all, but just stand and raise my hands and say, "Jesus, keep me near the cross." Yes, sir.
Consecrated cross I'll bear,
Till death shall set me free,
Then go home, a crown to wear,
For there's a crown for me.

244 To you little mothers here this morning, that's been real mothers, and I know there's many of you; I think, every one of you. Let me tell you something. God bless you. You're the fifth Gospel, I think. Let me tell you what's in there for your children, just a little thing. 'Cause, Brother Neville will probably preach on the--about mother tonight, or whoever, one of us that preaches, all right, about mothers. But, listen, let me ask you something.
Remember, when Moses was a little boy, it was a mother who give him his instruction. It was a godly mother who took little Moses on her knees, and said, "Moses..." taught him all. He was her teacher or... She was his teacher, rather, under Pharaoh, and said now these things. Said, "Moses, someday you're going to deliver the children of Israel. You're the boy that's called. Keep yourself pure and unspotted from the world, for you're the one. You're the one."
No other place do we know where he ever went to any seminary, any teaching at all, he ever got. He stayed right in Pharaoh's palace, which was a heathen; but his mother taught him. That's a real mother. She taught him the precepts of the Lord. She told him how he must be holy. She told him how and what he must live, and how, what God must do, would do for him. And it stuck with Moses all the days of his life.
And any good, true, loyal mother that'll take her little babies, instead of send them to picture shows and dances, and so forth like that, and she'll put them on her lap and teach them about the Lord Jesus Christ...

248 Here the other day, I was talking to a mother on the telephone. And the mother said, "Oh, Brother Billy," she said "my poor boy's in trouble." Said, "Oh, what a trouble he's in."
I said, "Yes, I know about it, sister, dear."
And she said, "He may be wrong. I don't know." Said, "One says this and one says that. I don't know." But said, "no matter whether he's wrong or right, I love him." There you are, "I love him."
He said to his mother, said, "I've been so deceived by this and that." Said, "Mother, I believe you're about the only sweetheart I really have, a woman that's true to me, and sticks to me." That's mother's love. That's a real mother that'll put her arms around her baby, regardless whether he's right or wrong, she goes right on to him. And if God... If a mother can think that of her baby, how much more will God think that of His. You see? You stay right with Him. Go right...

251 And now let me just tell you another mother, right quick, in the Bible, before we close. There was a mother called Herodia. She taught her daughter to tap dance. She wanted her to be popular. And she danced before the king, and required the head of John the Baptist. We have record of seventy of her offsprings, this damsel that danced before... Herodias' daughter danced before Herod; seventy of her offsprings, they either died prostitutes or on gallows.
One mother taught hers the things of the world; the other mother taught hers the things of God. One became a great leader and a conqueror, immortal among men today; and the other is botched and in hell, and taken thousands times thousands with her. See what I mean? "Bring up a child in the way it should go."

253 And I certainly sympathize with you poor mothers setting here with your white roses on. There's a heaven that a mother's gone to, today, where a good old fashion mother that lived for God, probably has passed beyond the veil. She's waiting for you to come. That's right.
I respect and honor you there with your red roses on. Your mother, if you want to do anything for her, do it three hundred and sixty-five days a year. Go to her house and offer prayer, and live for God. That's the thing to do. And bring up your children. And when your children come up, they'll call you "blessed," after you have passed on beyond the veil. That's the real spirit of motherhood, and the real spirit of mother's day. Mother's day is three hundred and sixty-five days a year.

255 This is the day they sell flowers and pass presents. The world does it. If it passes, if the world should stand another twenty years, they'll have son's days, and daughter's days, and, or cousin's days, and uncle's days, and all them things like that, just enough to get the world in a commercial glamour. That's just where it's going, right into hell, just as hard as it can go to destruction.
But, you, God bless you, is my prayer.

256 Shall we pray. Our kind heavenly Father, as we view back, this morning, with our minds, back down yonder, some hundreds of years ago, when there stood Jehoshaphat standing there by the side of King Ahab... And a little spirit down in his heart still left of God, though he'd made a mistake, told him, said, "This is wrong. This is wrong. It's not clean. It's not holy. The prophet has said these things couldn't go on like this." And the little fire of God woke him up.
And then You had somebody to answer that little fire, which was Micaiah, the true prophet of God. Though he might've come up there dressed in rags, though he might've come up there despised, and all them looking upon him as if a bunch of wolves looking at a lamb. But he told the truth, though he had to be smite in the face, though he had to be throwed into prison and fed bread and water of sorrow. But, yet, the words that he said come to pass, for You was with him.
God, grant today, and we look down in this Bible. We look at the church books, the decalogues, and so forth, of the churches, their rituals, and see how they do this, that, or the other... But let us look into this true Word here, and see what It says. "Without holiness, no man shall see the Lord. Follow peace and holiness, which, without, no man shall see the Lord. He that loves the world, or the things of the world, the love of God is not in him."
"In the last days perilous times shall come. Men shall be lovers of their own selves, proud, boasters." Oh, those great things, Lord, that's happening. "Heady, high-minded, lovers of pleasure more than lovers of God; teaching people precepts of--of men instead of the commandments of God; having a form of godliness, and denying the power of the Holy Ghost" to make a man be filled with the Spirit, to make him rejoice, to make the tears flow from his eyes, to make him go out and pray for the sick, to make him speak with tongues and interpret, to make him prophesy. The Spirit of the God, the living God, they just took It off into some lodge or something like that "Having a form of godliness, and denying the power thereof."
O God, may this little audience, on this day, wake up quickly, right now, before the end time comes, and catches us in this condition. May we be, renew ourselves, as the Bible said, "Rise and shake yourself, and ask for the old way, which is the good way; and when you find it, walk in it." God, grant that we can find the old rugged way, when we can stand together again, as hundreds, and join our hands together and sing.
I'll take the way with the Lord's despised few.
I've started in with Jesus, and I'm going through.
God, help us to live that and be that. Bless all these dear mothers setting here, Lord, knowing that they are mothers theirself, with white roses pinned on their coats this morning, as a memorial of a dear old mother that's passed beyond the scene. O Master of Life, bless them, Lord. And may they be blessed too, and may their children's memories be as theirs is with their mother, if she's gone beyond the veil to a glorious heaven. Grant it, Lord.
And some morning when life is shutting off from our veins, and our breath is failing to come to us, the veil will open back; she'll come down, perhaps, to the end of the Jordan, to help us over. Oh, to that glorious day when we step our feet over yonder, where there'll not be... The air will not be contaminated with cigarette smoke. There'll never be a drunkard on the street. There'll never be a prostitute. There'll never be sin. There'll never be nothing like that. But in the glorious forever, will we live with peace with our Lord Jesus Christ and our children. And oh, what a wonderful day.
O Father, while the great darkness is on, the battle, and the Devil invading the countries, and invading the pulpits, invading the churches, invading the peoples, invading the businesses, invading the cities, and the schools, and the homes; O God, help us to stand, pull the sword quickly and fight for God, as Moses and the--and the Levites did down there when sin was in the camp. Help us, Lord.
Forgive us now, and bless us. And keep us humble, break us up, Lord. O God, You said, "He that goes forth, sowing in tears, will doubtless return again, rejoicing, bringing with him sheaves." O God, break us to pieces. Mold us, anew, Lord. We're getting too much out of the way. I am, myself, Lord, I'm getting to a place where I'm thinking about how many will attend my meeting. O God, I want You to attend. Come, Lord. O Christ, come, Lord. Break me up; mold me over. O Lord, don't never let me get those things on my mind. God, keep them from me.
Help me, Lord, to preach, as I said, awhile ago, like a dying man to dying men, knowing that we all must face eternity. We got to stand before You, when You're not in Your pleasing manner, when You're not with mercy, when You're standing without mercy; when You're standing angry to bring judgment upon the nations and the people that's rejected and spurned the love of Your Child.
God, give me mercy with Him today, that in that day I can stand assured. May after crying out, that You'll wipe it away, to joy, at that time, when You say, "Enter into the joys of the Lord, which has been prepared for you from the foundation of the world." God, be with us now, and help us, we pray in Jesus' Name. Amen.

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