Je Suis La Résurrection Et La Vie
1 Jean chapitre 11... Et la lecture de la Parole, Dieu manifestera les résultats par la lecture de la Parole. Ne le croyez-vous pas? J'ai déjà prêché là-dessus quelque part; peut-être non loin d'ici, quelque part ici, quelque part dans cette contrée. Si c'est le cas, je vais essayer d'approcher cela différemment, pour ceux...
Et maintenant, c'est frère Baxter qui prêche. Moi, je n'interviens que ce soir; ça fera plutôt que je me détende un peu cet après-midi, en vue de la soirée donc.
2 Saint Jean chapitre 11, commençons au verset 18 ou 19, disons au verset 18, et lisons un petit passage ici dans les Écritures.
Et, comme Béthanie était près de Jérusalem, à quinze stades environ,
beaucoup de Juifs étaient venus vers Marthe et Marie, pour les consoler de la mort de leur frère.
Lorsque Marthe apprit que Jésus arrivait, elle alla au-devant de lui, tandis que Marie se tenait assise à la maison.
Marthe dit à Jésus : Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort.
Mais, maintenant même, Je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l'accordera.
Jésus lui dit : Ton frère ressuscitera.
Je sais, lui répondit Marthe, qu 'il ressuscitera à la résurrection, au dernier Jour.
Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort;
... quiconque vit et croit en moi ne mourra Jamais. Crois-tu cela ?
Elle lui dit : Oui, Seigneur, Je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, qui est venu dans le monde.
3 Maintenant, inclinons la tête juste un instant pour parler à l'Auteur de ce Livre.¶Seigneur Jésus, Maître de la Vie, Donateur de tout don parfait, nous savons que nous sommes sauvés par Ta grâce, non pas à cause de notre mérite, mais parce que la grâce de Dieu a été répandue dans nos cœurs par le Saint- Esprit. Et nous étions autrefois des étrangers, éloignés de Dieu, des Gentils adorant des idoles muettes. Mais au temps convenable, Christ est mort, Lui l'Innocent pour les coupables, pour nous amener au Père. Et maintenant, nous sommes des fils et des filles de Dieu. Ce que nous serons n'a pas encore été manifesté, mais nous savons que nous aurons un corps comme le Sien, car nous Le verrons tel qu'il est.
O Seigneur, combien nous soupirons dans ces corps-ci, d'être revêtus d'immortalité, d'être revêtus de Son Esprit, afin qu'un jour...
4 Nous savons ceci que, dans l'Ancien Testament, le sang des taureaux et des boucs ne pouvait pas ôter le péché. Il le couvrait tout simplement. Et ils vivaient et attendaient simplement au paradis le jour où le péché devrait être ôté. Et lorsque Jésus est venu, le Fils de Dieu, le Messie, Il a ôté le péché. Il a créé une séparation d'avec le péché, Il ne l'a point couvert, Il l'a ôté. Ainsi donc, dès lors, si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous en avons une qui nous attend dans la Gloire; nous allons droit dans la Présence du Père pour y être revêtus d'immortalité. Oh! si cette tente où nous habitons sur la terre devrait être anéantie cet après-midi... Nous sommes nés dans le péché, conçus dans l'iniquité, nous sommes venus dans le monde en proférant des mensonges, nous sommes des pécheurs par nature, puis Dieu qui nous a racheté, et qui a racheté nos âmes, Il a pour nous un corps béni en attente, un corps qui ne tombera jamais malade, qui sera même au-dessus de la tentation, un corps semblable à Son propre Corps glorieux, alors nous Le verrons tel qu'il est...
5 Maintenant, ô Père, nous nous approchons de Ta Parole. Aucun homme n'était capable d'ouvrir le Livre ou d'En rompre les Sceaux. Mais l'Agneau qui avait été immolé depuis la fondation du monde, Lui était digne. Et II est venu et a pris le Livre de la main droite du Père, et II a ouvert le Livre et a rompu les Sceaux. Et à présent, que le Saint-Esprit vienne, qu'il prenne toutes ces Paroles que nous venons de lire, et qu'il parle aujourd'hui, qu'il aille droit dans cet auditoire-ci, et que le Saint-Esprit donne à l'Église juste ce dont nous avons besoin : la foi. Prépare un service pour ce soir, Seigneur. Que le service de ce soir soit le plus merveilleux, non pas parce que nous sommes ici, mais parce que Toi, Tu es ici. Que ceci soit le plus grand service que cette église de Philadelphie ait connu depuis son établissement. Qu'une secousse se produise ce soir, qui fera que le Saint Dieu du Ciel nous place là dans un grand stade, dans un auditoire quelque part, ce qui secouera Chicago pendant trois ou quatre mois. Accorde-le, Père. Accomplis aujourd'hui des choses infiniment grandes.
Prépare les cœurs maintenant même. Ameublis le terrain, déracines toutes les ronces vertes, les piquants, les épines et les racines d'amertume, et fais
descendre le Saint-Esprit afin que ce soir cet Ange de Dieu puisse envahir ce bâtiment par une grande réunion, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Merci, Frère.
6 Maintenant pour l'approche de la Parole, pendant juste quelques instants... Je vais ôter ma montre. Je ne sais pas où se trouve l'horloge. C'est un... Et j'essayerai de ne pas rester plus de ...?... afin que vous ayez largement le temps de vous préparer.
Il y ajuste quelques instants, mon fils m'a demandé d'annoncer aux gens qui veulent des cartes de prière pour ce soir qu'il faudra être ici ce soir à 18 heures, si possible, pour recevoir les cartes de prière. Ceux qui sont affligés et qui sont dans le besoin, qu'ils soient ici ce soir à 18 heures pour recevoir les cartes de prière.
Maintenant, notre Écriture nous a ramenés jusqu'à avant le... Ou plutôt c'était au temps du ministère de notre Seigneur. Il était devenu très populaire, parce que Dieu était avec Lui. C'était un Homme dont l'aspect n'avait rien pour nous plaire. Il avait-Il n'avait rien pour attirer nos regards, il était probablement un petit Homme frêle. Et la Bible dit qu'il n'était pas beau, comme un grand homme de 1,80 m ou 2 m, comme Saul. Il était plutôt un petit Homme.
7 La Bible dit : «Semblable à celui dont on détourne le visage, [...] et nous L'avons considéré comme frappé, puni-puni, humilié de Dieu.» Mais comme les œuvres que Dieu accomplissait en Lui étaient remarquables, les gens savaient qu'il venait de Dieu. En effet, même Nicodème, le grand docteur qui est venu Le voir la nuit, a dit ...?... «Nous savons que Tu es un Docteur venu de Dieu, car personne ne peut faire ces choses que Tu fais, si Dieu n'est pas avec lui.» Ils le savaient sans l'ombre d'un doute.
Or, les prédicateurs de ce temps-là disaient donc : «C'est un psychiatre. C'est un-c'est un liseur de pensées. Il lit votre pensée. C'est de cette manière- là qu'il sait ce que les gens ont comme problèmes. Il lit votre pensée.» C'est ce qu'il faisait. Jésus était un liseur de pensées. Cela vous a choqués, n'est-ce pas? Pourtant, Il l'était. Il connaissait leurs pensées. Est-ce juste? Eh bien, c'est la lecture des pensées. Voyez-vous?
Il ne s'agit pas de l'une de ces personnes assises là dehors, l'une de ces petites femmes assises au coin, qui prend la paume de votre main. Ça, c'est un substitut du diable, quelque chose pour imiter cela. C'est un faux dollar par rapport au vrai dollar. Voyez-vous?
8 Pour tout ce que Dieu a fait, le diable a fait un substitut, une contrefaçon. Voyez-vous? Et c'est pour cette raison que, dans les derniers jours, les deux esprits apparaissent; les gens sont tellement formalistes et fondamentalistes qu'ils passent tout à fait à côté de l'Esprit, voyez-vous, comme cela. Et certains d'entre eux, les radicaux, tombent en plein dans des ismes avec cela, mais la vraie Église de Dieu marche juste au milieu de la route, elle se tient là, remplie de la puissance de Dieu. C'est là qu'elle se trouve.
Eh bien, certainement, tout ce que Dieu a, le diable a quelque chose pour imiter cela. Vous voyez, il fait quelque chose à partir de cela. Et Jésus connaissait effectivement leurs pensées, c'est pourquoi les grands orthodoxes de ces jours-là disaient : «Ce Gars est le meilleur diseur de bonne aventure du pays. Il est Belzébul, le prince des démons.» Est-ce juste? Eh bien, ça, c'est ce que disaient les prédicateurs. Et les grands enseignants de la Bible de ce temps-là disaient : «Il est Belzébul.»
9 Maintenant, voyons ce que disait le diable. Le diable disait : «Il est le Fils de Dieu. Nous savons qui Tu es, le Saint de Dieu.» Est-ce juste? Dans ce cas, les démons en savaient plus sur Dieu que les ministres. Est-ce juste? Quand Paul et Silas étaient là, accomplissant certaines grandes œuvres pour Dieu, une vieille petite diseuse de bonne aventure parcourait la rue chaque jour en criant derrière Paul. Elle disait : «Voilà l'homme qui nous montre le chemin de la vie. C'est l'homme de Dieu.»
Mais les prédicateurs étaient là, disant : «Ce sont des imposteurs. Ils bouleversent le monde. Ils ne valent rien.» Et les... Les ministres étaient là, disant : «Ce sont des imposteurs.» Mais le diable disait : «Ce sont des hommes de Dieu.» Qui avait raison? Vous voyez, c'était le diable qui avait raison. Est- ce juste? Certainement qu'il avait raison. Vous voyez donc, même ces gens...
Vous pouvez en savoir beaucoup sur la Parole. Vous dites : «Oh! la Parole, la Parole.» C'est juste. Mais l'Évangile n'est pas venu en paroles seulement, mais avec la puissance et la démonstration du Saint-Esprit, au point que la Parole est vivifiée. Vous voyez?
Le blé est très bien dans votre main, mais il ne vous donnera jamais une moisson. Vous devez l'ensevelir et le laisser recevoir une nouvelle vie. Est-ce juste?
Eh bien, la Parole, c'est très bien; c'est la voie de Dieu, certes, mais rien que la Parole. «La lettre tue, mais l'Esprit vivifie». Voyez-vous ce que je veux dire?¶Maintenant, l'ennemi devait donc témoigner de Dieu. Lors de Son ministère ici, Il est apparu et des choses ont commencé à se produire. Et alors les portes de l'église Lui étaient complètement fermées, et on disait : «Eh bien, si quelqu'un va là-bas L'écouter, nous allons tout simplement prendre son... renvoyer vos papiers. Vous devrez vous en aller. Vous ne serez plus du nombre.»
Mais il y avait des gens appelés Marthe, Marie et Lazare, qui étaient frère et sœurs. Et ils avaient entendu Jésus et avaient vu Ses miracles, il leur importait donc peu s'il était... ce que les orthodoxes, l'église ou quoi d'autre disaient à ce sujet. Ils croyaient en Lui et ils L'accompagnaient. Et ils croyaient en Lui parce qu'ils savaient qu'il était un Homme de Dieu. Il est donc venu habiter chez eux, à-à Béthanie.
11 Et alors, pendant qu'il vivait là avec-avec eux, Son ministère devint si grand qu'un jour II dut quitter la maison. La foule se pressait autour de Lui, il y avait trop, trop de gens à la maison. Et les gens venaient à Lui par milliers, mais II s'éclipsait et se retirait quelque part ailleurs, voyez-vous, pour être seul avec le Père et prier. Les villes Le réclamaient, mais II allait dans la montagne, seul, Il allait seul à la montagne pour voir dans quelle direction le Père Le conduirait. Il était venu pour accomplir l'œuvre du Père. C'est de cela que nous devrions nous occuper aujourd'hui, des affaires de notre Père, c'est juste, pas être tellement dans les classes sociales et-et le reste, mais dans les affaires du Père.
12 A présent, prenons ce Merveilleux Jésus juste une minute, et considérons Sa Venue, juste avant qu'il ne vînt. Il y avait un... D'abord, avant Sa Venue, il y eut une annonce. L'église avait complètement rétrogradé et était complètement dans la confusion, juste à peu près comme c'est le cas aujourd'hui. Et on avait ceci, les pharisiens, les sadducéens, les publicains, tout un tas, oh! toutes sortes d'ismes là. Et cela au point qu'un homme apparut, même, prétendant être un grand homme, et il conduisit des centaines de gens dans le désert, mais ils périrent. Vous connaissez l'histoire. Et tout comme cela...
Mais finalement, le moment vint, plutôt le besoin, de venir ...?... L'attendaient. Et un jour... Observons.
Je vois un vieil homme et une vieille femme, qui ont largement dépassé l'âge d'avoir des enfants, la femme donc. Et elle a dit... Ils avaient prié toutes ces années que Dieu ôte l'opprobre de la femme, et qu'elle puisse avoir des enfants, car c'était un honneur pour toute femme juive d'avoir un enfant.
13 Combien les gens ont changé cela aujourd'hui. C'est pratiquement un déshonneur que d'avoir un enfant. Eh bien, n'est-ce pas juste? Vous pouvez ne pas dire amen, mais c'est la vérité. Une femme préférerait dépenser cent dollars pour un pauvre petit chien au nez écrasé, et lui vouer l'amour maternel, là, plutôt que perdre son temps avec un bébé. Eh bien, vous savez que c'est la vérité. Elle le promène dans la rue, l'ayant revêtu d'un petit tricot. Et j'ai vu l'une des plus grandes cliniques que j'ai jamais vues, pratiquement, par ici; c'est une clinique pour chiens. Je n'arrive pas à comprendre cela. Je ne conçois pas cela. Bien. De toute façon, c'est entre vous et Dieu.
Maintenant, écoutez. Zacharie était donc un homme juste, un sacrificateur. Et il est venu à la maison de Dieu; là, son-son office consistait à brûler l'encens là à l'intérieur pendant que le peuple était en prière. Et alors, un jour, pendant qu'il brûlait l'encens, le temps de la promesse approchait. Et Dieu a envoyé un Ange à l'autel. Croyez-vous dans les anges? [L'assemblée dit : «Amen.»-N.D.E.] Absolument.
14 II n'y a pas longtemps, quelqu'un disait : «Frère Branham, vous vous êtes trompé au sujet de cet Homme qui vous parle.» Il a dit : «C'était le Seigneur.» J'ai dit : «C'était un Ange. Il a dit : 'Je suis envoyé de la Présence de Dieu.' Ce n'était pas le Seigneur. C'était un Ange.»
«Oh! a-t-il dit, c'était tout à fait une erreur.» Il a dit : «Frère Branham, autrefois, dans la Bible, Dieu parlait, a-t-il dit; il y eut Daniel et tous les autres. Oui, ils étaient... Il avait des Anges et ainsi de suite, comme cela, mais ce n'est pas la doctrine du Nouveau Testament.»
Et cet homme était un homme, il a dit : «Nous parlons là où la Bible parle et nous nous taisons là où la Bible se tait.»
Je me suis dit : «Combien il était silencieux sur quelque chose dont la Bible parle!» J'ai dit : «Voulez-vous me dire que vous ne croyez pas que les Anges de Dieu...»
L'homme a dit : «Absolument pas. C'est le Saint-Esprit qui conduit l'Église.»
J'ai dit : «C'est correct. Mais il y a des esprits en service envoyés de la Présence de Dieu.»
Il a dit : « Pas dans le Nouveau Testament, frère.»
J'ai dit : «Oh ! Si. Dans le Nouveau Testament.»
Il a dit : «Le Saint-Esprit, pas les Anges, le Saint-Esprit.»
J'ai dit : «Écoutez, je voudrais vous poser une question.» J'ai dit : «C'est l'Ange de Dieu qui a rencontré Marie ?»
15 Il a dit : «Oui, mais ça, c'était avant la Pentecôte. Après la Pentecôte, a-t-il dit, c'était désormais le Saint-Esprit.»¶J'ai dit : «Certainement, le Saint-Esprit conduit l'Église; c'est vrai. Mais écoutez, ai-je dit, croyez-vous que Philippe avait le baptême du Saint-Esprit?»
Croyez-vous cela, vous tous? Certainement qu'il L'avait. Eh bien, quand il était là en Samarie, tenant un réveil, qui lui a parlé, disant : «Va dans le désert à Gaza»? Était-ce le Saint-Esprit? Pas du tout. C'est un Ange du Seigneur qui lui a parlé. Est-ce juste? «Va dans le désert, à Gaza, et parle.»
Écoutez, combien croient que-que Pierre avait le Saint-Esprit? Voyons. Vous croyez qu'il avait le baptême du Saint-Esprit? Cette nuit-là, quand il était en prison et que chez Jean-Marc se tenait une réunion de prière pour lui, qui était celui qui, sous forme d'une Lumière qui brillait à la fenêtre, lui ouvrit les portes? Était-ce le Saint-Esprit? L'Ange du Seigneur.
16 Combien croient que Paul avait le Saint-Esprit? Eh bien, quand il était là dans le bateau quatorze jours et quatorze nuits, sans lune, ni étoiles, tout espoir parti, il est descendu dans la galerie pour prier, puis il est remonté. Il a dit : «Ayez bon courage, car l'Ange de Dieu dont je suis le serviteur m'est apparu cette nuit, et a dit : 'Ne crains point, Paul.'» Est-ce juste? L'Ange du Seigneur...
Tout le livre de l'Apocalypse fut écrit à partir du témoignage d'un Ange. « Moi, Jésus, j'ai envoyé Mon Ange pour vous attester ces choses à écrire à l'Église.» Est-ce juste?
Jean est tombé à terre pour adorer l'Ange. Mais l'Ange dit : «Ne le fais pas.» Eh bien, il ne s'agit pas de Joseph Smith. Et il a dit... Un véritable Ange n'acceptera pas d'être adoré. Vous savez cela. Absolument pas. Il a dit : «Adore Dieu.»
17 Et Dieu a toujours des Anges. Et s'ils visitent les gens... Il ne s'agit pas de l'adoration des Anges. Mais les êtres angéliques, lesquels sont des attributs de Dieu, sont envoyés pour servir l'Église, au travers des gens. Oh! la la! Aujourd'hui, combien nous sommes loin d'être la véritable Église apostolique. Nous qui prétendons être là, qui prétendons avoir embrassé les bénédictions des rebords de la coupe des bénédictions, combien nous en sommes privés. Combien nous exécutons la danse des éventails sur la mousse sans savoir ce qu'il y a au fond. C'est vrai.
Eh bien, les amis, en me tenant ici derrière, je suis responsable non pas vis-à-vis de l'auditoire, mais de Dieu. C'est juste. Et mes paroles doivent être... Je sais que plusieurs millions de gens m'écoutent et veillent à chaque parole que je prononce. Je dois donc, de tout mon cœur, être tout aussi fidèle à Dieu que possible. Et aujourd'hui, je dis que nous n'avons jamais effleuré la surface. C'est juste. L'Église devrait aller en profondeur. Oh! la la! Nous lisions... C'est comme la lecture, l'écriture et l'arithmétique.
Remarquez. Maintenant, cet Ange est venu, c'était Gabriel. Or, Dieu envoie des Anges mineurs, c'est juste, peut-être comme celui qui vient ici. Et certaines personnes, en fait, se bourrent la tête avec des histoires et des anges qu'ils pensent avoir vus, et des choses comme cela. C'est juste de la contrefaçon.
18 Si un homme a vu un Ange de Dieu et a rencontré Dieu qui lui a donné Sa commission, ou plutôt cet Ange lui a donné une commission de la part de Dieu, et que cela vienne de Dieu, cela témoignera sur toute la ligne que c'est la vérité. Croyez-vous cela? Mais si ce n'est pas le cas, ce n'est pas la vérité. Voilà une chose à laquelle vous pouvez vous fier : «C'est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.» C'est la vérité.
19 Maintenant, remarquez ceci, cet Ange, c'était Gabriel. Or, ces Anges mineurs viennent; mais quand vous voyez ou vous entendez parler de la venue de Gabriel, attendez un événement majeur. Ce fut Gabriel qui annonça la première Venue de Jésus-Christ. Est-ce juste? Et la Bible nous enseigne que c'est Gabriel qui annoncera la seconde Venue. Il sonnera la trompette de Dieu, est-ce juste? La Venue du Seigneur, l'Ange de Dieu, Gabriel qui se tient à la-à la droite de Dieu.
Eh bien, ce grand Gabriel est descendu là pendant que le sacrificateur agitait là son encensoir, faisant brûler l'encens, tandis que le peuple était dehors en prière. Il se tenait à l'autel. Et il a jeté un coup d'œil du-du côté de l'autel, et voilà que le grand Archange se tenait là. Cela a effrayé le sacrificateur. Et il lui a dit tout concernant sa vie et tout, et ce qu'il allait faire. Il a dit : «Après que tu auras achevé tes jours de service ici, rentre chez toi vers Élisabeth, ta femme. Et elle va avoir un enfant et tu lui donneras le nom de Jean.»
Eh bien maintenant, suivez. Alors, ce sacrificateur a dit : «Comment cela peut-il se faire? Elle est avancée en âge.» Vous voyez?
II y a des justes qui marchent dans toute la Lumière du Seigneur; c'est là le genre de foyer où Dieu peut entrer. Eh bien, si vous offrez toutes sortes de-de réceptions, et la bière et tout dans votre maison, Dieu ne vous y visitera jamais. C'est juste. Mais si vous avez un foyer qui est nettoyé et qui vit pour Dieu, dans la prière, la Bible ouverte et tâchée de quelques larmes, Dieu peut vous visiter. C'est juste. En effet, vous aurez ouvert un canal afin qu'il puisse y venir.¶Et voilà un endroit où il en était ainsi. Eh bien, quand Dieu a exaucé la prière de Zacharie et d'Elisabeth, on dirait que cela l'a effrayé à mort, bien sûr. Il ne pensait pas que cela pouvait arriver. Et il a dit : «Je suis Gabriel et je me tiens dans la Présence de Dieu, et mes paroles s'accompliront en leur temps.» Et alors, Zacharie est ressorti et le peuple... Il fut frappé de mutisme. Et il allait rester muet jusqu'au jour de la naissance de l'enfant.
Et ainsi Zacharie est sorti et le peuple... Il faisait des signes au peuple. Ils comprirent qu'il avait eu une vision ou quelque chose du genre. Il est donc rentré chez lui, et Elisabeth a conçu et s'est cachée pendant six mois. Et elle était enceinte.
21 Et puis remarquez, juste là à Nazareth, la ville la plus méchante de la contrée, probablement pire que Chicago, donc un endroit presque aussi mauvais que Jeffersonville d'où je viens. Alors, eh bien, un jour, il y avait là une petite vierge, fiancée à un homme d'environ quarante-cinq ans, un veuf qui avait environ quatre enfants.
Eh bien, elle rentrait à la maison, comme cela se passe en Orient. C'était peut-être un lundi. Elle transportait son eau de lavage sur la tête, peut-être dans une jarre, comme ils le font, elle marchait. Et tout à coup, une grande Lumière a brillé devant elle. Elle... Cela effraya la petite vierge. Elle regarda. Et là se tenait Gabriel à côté d'elle. Il dit : «Je te salue, Marie !» En d'autres termes : « Arrête-toi !» Il dit : «Tu es bénie entre les femmes.» Il lui dit... lui parla de sa cousine Elisabeth qui avait conçu dans sa vieillesse et qui allait avoir un enfant. Et il lui dit qu'elle allait avoir un Enfant, sans connaître d'homme.
Eh bien, considérez la différence avec Zacharie, ce ministre qui avait étudié à maintes et maintes, et maintes et maintes, et maintes et maintes reprises les Écritures, et qui avait beaucoup d'exemples : il y avait Sara, Anne, et les autres, là dans l'Ancien Testament, beaucoup d'exemples. Il—il doutait qu'il en soit ainsi. Mais cette jeune fille ne douta point. Elle a dit : « Voici la servante du Seigneur; qu'il me soit fait selon ta Parole.» Quelle différence!
22 Eh bien, des fois vous pouvez vous endurcir. En lisant la Bible juste comme vous lisez un journal, si vous avez le même genre de foi que vous avez dans un journal, alors vous vous endurcissez. Quand vous lisez la Parole de Dieu, croyez-La telle qu'Elle déclare la chose là, et prenez Dieu au mot.
Alors, aussitôt qu'elle a lu cela ou plutôt qu'elle a vu cela devant elle, l'Ange du Seigneur a dit : «Tu vas avoir un Enfant.» Considérez la chose qu'elle devait croire. Eh bien, elle devait croire quelque chose qui n'était jamais arrivé. Zacharie ne devait pas... Cela était arrivé plusieurs fois dans les Écritures. Il avait beaucoup d'exemples. Mais Marie devait croire quelque chose qui était totalement impossible et qui n'était jamais arrivé auparavant. Et pourtant, elle n'a pas douté de cela, elle a simplement dit : «Voici la servante du Seigneur. Qu'il me soit fait ainsi.» Elle a pris Dieu au mot.
Et aujourd'hui, juste ici maintenant, tandis que des centaines de personnes à travers le monde ont été guéries dans les grandes campagnes de ce dernier réveil qui balaie le monde, aujourd'hui même, juste à cette minute, beaucoup, beaucoup de gens dans des réunions ici aux États-Unis sont guéris à l'instant même par la puissance de Dieu; tant d'exemples, chaque jour, chaque soir. Et cependant, nous nous asseyons et nous nous inquiétons, disant : «O Dieu, pourquoi ne fais-Tu pas ceci, et pourquoi ne fais-Tu pas cela?» Prenez Dieu au mot.
23 Marie a dit : «Voici la servante du Seigneur.» Elle s'est mise à se réjouir. Elle était heureuse. Dieu l'avait promis; elle savait qu'elle allait avoir cet Enfant. Je crois avoir dit quelque chose à ce sujet hier soir. Elle n'a pas attendu qu'elle sente la vie. Elle n'a pas attendu d'être certaine. Elle n'a pas attendu un signe visible. Elle a simplement cru que ce que l'Ange avait dit était la vérité. Vous y êtes!
Le problème, c'est que nous doutons de Dieu. Et si nous doutons de Dieu, nous ne pouvons pas croire en Dieu. La foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration des choses qu'on ne voit pas, qu'on ne goûte pas, qu'on ne touche pas, qu'on ne sent pas, ou qu'on n'entend pas. Amen.
Je commence à me sentir un peu religieux en cet instant même. Je... Très bien. Oh! Prenez Dieu au mot. Elle s'est mise à se réjouir et à louer Dieu aussitôt qu'elle a entendu cela. « La foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend de la Parole de Dieu.» Est-ce juste? [L'assemblée dit : «Amen.»- N.D.E.] «La foi vient de ce qu'on entend.»
24 Aussitôt que vous entendez la Parole de Dieu déclarer que vous pouvez être libéré, croyez-le. Réjouissez-vous-en. Dieu manifestera la chose après que vous l'aurez acceptée. Mais d'abord acceptez cela. Christ est mort pour les pécheurs. Je le crois. Je l'accepte. Je me mets à me réjouir. Dieu accomplit la justice par cela.
Je crois qu'il a été dévêtu pour ma guérison. Je le crois. Je l'accepte. La Parole de Dieu est la guérison pour moi. Vous voyez, aussitôt que je le crois. Il ne peut me venir en aide que si je crois. Je dois croire et confesser cela d'abord, et alors Dieu est lié par Sa Parole. Et s'il est le Dieu Tout-Puissant, Il peut tout.
Et s'il ne peut pas tout, Il n'est pas le Dieu Tout-Puissant. Voilà! Très bien.¶Remarquez. Quel genre de garçon ce devrait être? Quel genre de personne ? Puisque Dieu tient Sa Parole, si Dieu a promis de faire quoi que ce soit, Il le fera.
Quand les enfants d'Israël ont été conduits hors d'Egypte, Dieu a promis de prendre soin d'eux pendant leur voyage dans le désert. Dieu a dit qu'il prendrait soin d'eux et II l'a effectivement fait. Peu importe où conduisait le chemin et que l'ennemi se plaçait en travers du chemin de Dieu, il cédait.
Je peux les voir arriver à la mer Rouge. Dieu avait tracé Son plan, le chemin par où II allait les conduire. Ils sont allés tout droit jusqu'à la mer Rouge : il n'y avait aucun moyen de la traverser. Voilà, l'armée de Pharaon était ici, les montagnes d'un côté, l'armée de Pharaon ici, la mer Rouge devant eux. Moïse leva les mains. Le Psaume 72 dit que Dieu a regardé en bas. Il a vu ce chemin qui traversait le fond de la mer. Ses enfants étaient juste là, dans le besoin de la promesse, prenant Dieu au mot.
25 Dieu a regardé en bas au travers de cette Colonne de Feu avec des yeux courroucés. Et alors, la mer eut peur et se retira comme cela, et fit un chemin sec, et Israël traversa sur une terre sèche. Prenez Dieu au mot.
Quand ils ont traversé la mer Rouge, ces incirconcis, ces gens prétentieux comme les soi-disant croyants d'aujourd'hui, tentèrent de faire la même chose; ils périrent. Alors une grande victoire fut remportée quand ils virent le camp ennemi périr.
Myriam entra dans l'Esprit, elle prit un tambourin et elle marcha sur le rivage en dansant. Cela vous choque un peu, là. Elle dansait en battant du tambourin. Et les filles d'Israël la suivirent, battant des tambourins et dansant dans l'Esprit. Si ce n'est pas un réveil à l'ancienne mode, je ne sais rien à ce sujet : la victoire.
Là gisaient les morts, couchés sur le dos, ceux qui... toutes les choses qui les avaient dérangés...
26 Lorsque cette vieille maladie qui vous a dérangé, ce vieux mal d'estomac... Oh! la la! Quand cette vieille lance, ce vieux péché, ces vieilles choses qui vous retardaient et vous retenaient, quand vous marchez à travers le Sang de Jésus, là-bas, et que Dieu a purifié votre âme, il y aura un autre moment de danse. Les cloches de joie du Ciel retentiront dans votre cœur. Moïse, le conducteur, était là, très excité. Oui! Il jeta les mains en l'air et chanta un cantique dans l'Esprit. C'était comme à une réunion en plein air, n'est-ce pas? Absolument.
27 Eh bien, ils s'étaient éloignés de toutes leurs récoltes. Ils s'étaient éloignés de tout ce qu'ils avaient. Ils avaient amené sur la tête de petits paniers de pains pétris, c'est ce qu'ils ont mangé : il n'y avait plus de pain, rien à manger. « Dieu a promis.» Très bien.
Cette nuit-là, ils sont allés se coucher. Le lendemain matin, ils se sont réveillés, et le sol était couvert de manne : Dieu pourvoyait à tout ce dont ils avaient besoin. Le sol était tout couvert de manne. Ils sont sortis ramasser cela. Et quand ils se sont mis à manger cela, cela avait le goût du miel. Oh! la la! En avez-vous déjà mangé, de la manne? Quel beau type ! Eh bien, Il a dit : «N'en prenez pas assez pour aujourd'hui, samedi. Juste pour le samedi, pour aller jusqu'au Sabbat.» Il a dit : «Ramassez-en juste assez aujourd'hui, pour manger aujourd'hui; demain, prenez-en encore.» Aujourd'hui, le problème qu'ont les gens, c'est qu'ils cherchent à se fier à une expérience qu'ils ont faite il y a vingt ans. Savez-vous ce qui arrivait à cette manne? Après une nuit, elle était infestée d'asticots.
28 Et c'est là le problème pour bon nombre de nos expériences pentecôtistes, nous nous reposons sur quelque chose qui est arrivé jadis, infesté d'asticots et défraîchi. Qu'en est-il d'aujourd'hui? Voici le jour. Aujourd'hui, c'est le moment. Très bien.
Maintenant, c'est ce que je remarque. Merveilleux ! Il est dit : «Cela a le goût du miel sur le rocher.» David a dit cela : «Combien c'était doux !» Le miel a quelque chose que Dieu aime.
Remarquez, David était un berger, les bergers portaient-portaient une gibecière sur le côté. Et dans cette gibecière ils mettaient du miel. Et quand leurs brebis tombaient malades, ils prenaient un peu de ce miel et ils en frottaient sur un rocher. Et la brebis malade allait là et se mettait à lécher ce rocher, et en léchant le miel, elle prenait le calcaire du rocher et le calcaire guérissait cette brebis malade.
29 Quel beau type de ce jour ! Écoutez, mes amis, j'ai toute une gibecière pleine de miel ici, et je vais en mettre sur le Rocher, Jésus-Christ, et vous, les brebis malades, mettez-vous à lécher maintenant, et soyez sûres de vous rétablir, aussi sûr que deux et deux font quatre. Léchez le Calvaire, pas la main d'un homme ou une superstition, mais le Calvaire, pas l'Église baptiste, l'Église méthodiste et presbytérienne, pentecôtiste, mais le calvaire, le Rocher des âges. Léchez cela. Et elles se rétablissaient. Et s'il y a jamais eu un temps où les brebis malades devraient se mettre à lécher, c'est aujourd'hui.
Remarquez, Dieu a dit : «Maintenant, je veux que vous fassiez ceci : Allez chercher un grand omer plein de cela, et mettez cela à part pour l'amener dans le lieu saint, afin que toutes les générations qui devront suivre, quand elles entreront... Tout homme qui entrait dans le sacerdoce, qui était appelé au
sacerdoce, pouvait entrer et prendre une bouchée de cette manne originelle. Celle qui était dans le lieu saint ne se détériorait pas. Elle conservait toute sa qualité. Chaque sacrificateur, après avoir été ordonné à la sacrificature, pouvait aller jusqu'au voile, alors chacun pouvait prendre une bouchée de cette manne originelle qui était tombée le premier jour où la manne était tombée. Ce fut à ce moment-là que Dieu les appela pour aller prendre tout un omer de la manne du premier jour.
30 Quel beau type du Saint-Esprit, au jour de la Pentecôte ! De même que Dieu a conduit l'Église dans le naturel à travers le désert, de même Dieu, aujourd'hui, conduit Son Église dans le spirituel. Et notre manne, notre ressource qui maintient notre vie vient par le Saint-Esprit. Et aussitôt que les apôtres ont ôté toute crainte et tout doute et qu'ils se sont rassemblés dans la chambre haute, Dieu leur a donné le baptême du Saint-Esprit. Quand Celui-ci est tombé, c'était notre Manne qui venait du Ciel d'auprès de Dieu, pareil à un vent impétueux, remplissant toute la pièce où ils se trouvaient. Des langues séparées semblables à des langues de feu se sont posées sur eux; ils sont sortis du bâtiment et sont allés dans les rues, et se sont mis à prêcher et à témoigner; Dieu accomplissait des miracles. Est-ce juste? Notre Manne...
Eh bien, Dieu en a-t-Il mis une partie là? Pierre dit dans Actes 2.30 à 38, il dit : «Repentez-vous et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus- Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»
31 Si donc aujourd'hui Dieu continue à appeler, chaque homme ou chaque femme qui vient à la Fontaine remplie de Sang tiré des veines d'Emmanuel et qui devient un sacrificateur ou plutôt un enfant, un enfant né de Dieu, dans le Royaume de Dieu, a le droit au baptême originel du Saint-Esprit, pas une bouchée, mais une âme toute remplie de la même puissance qui est tombée le jour de la Pentecôte.
Je ne suis pas excité. Je sais où je suis. Laissez-moi vous dire quelque chose, frère. Ce dont l'Église a besoin aujourd'hui, ce n'est pas d'un nouveau maire de la ville ou d'un nouveau Parti démocrate ou d'un nouveau Parti républicain. Elle a besoin d'un réveil à l'ancienne mode du Saint-Esprit envoyé de Dieu, et du retour du Saint-Esprit biblique dans l'Église. C'est de ça qu'elle a besoin. Oh ! c'est merveilleux. Absolument.
Quand ils ont eu soif, le rocher a été frappé. Ils ont bu au puits, au rocher. Quand ils étaient dans le besoin, Dieu pourvoyait au besoin. Quand Christ était sur le point de venir sur la terre, Dieu a pris des dispositions.
32 Maintenant, considérez la petite Marie. La voilà qui part dans le désert, dans les montagnes pour voir Elisabeth, sa cousine. Jésus et Jean étaient des demi-étaient des cousins germains. Marie et Elisabeth étaient des cousines germaines. Et elles sont allées dans les montagnes, elle y est allée pour jouir de la communion avec sa cousine.
C'est ce dont nous avons besoin aujourd'hui. Juste... La mer Morte est tout ce qu'il y a de plus mort au monde, elle prend tout et ne donne rien. Autrement dit, si nous venons à une réunion et que Dieu remplisse notre âme de gloire, nous devrions parler à cinquante personnes par jour, partout, chaque jour, parler à d'autres cinquante personnes, à d'autres cinquante personnes. Donnez. Cela garde la citerne propre. Très bien.
Remarquez. Elle est donc allée dans les montagnes. Et je peux la voir tandis qu'elle commence à approcher. Je vois une femme sortir en courant. Elle était assise là. Présentons cela sous forme d'un petit drame. Je peux la voir assise là, en train de tricoter, vous savez, ou de crocheter, ou tout ce que les femmes faisaient à cette époque-là. Elle aperçoit Marie venir; elle jette par terre son crochet et ce qu'elle tricotait. La voilà qui part en toute hâte, elle l'étreint dans ses bras, elle l'entoure de ses bras, elle l'embrasse et dit : «Oh! Marie, je suis si heureuse de te voir.» L'amour les uns pour les autres, aujourd'hui, il n'y en a presque plus. Eh bien, n'est-ce pas la vérité? Entièrement parti...
33 Eh bien, aujourd'hui vous ne savez même pas que votre voisin est décédé, jusqu'à ce que vous lisiez la nouvelle dans le journal. N'est-ce pas vrai? Je me souviens du moment où nous pouvions emprunter l'argent et tout de la ferme, de l'autre fermier. Maintenant, essayez de faire cela. Il vous faut avoir une certaine garantie. C'est honteux. L'amour, c'est faute de cela que le monde se meurt aujourd'hui, faute d'amour. On n'a pas besoin d'être si orthodoxe dans son enseignement. Une personne, peut-être qu'il n'y en a pas deux parmi nous ici qui sont d'accord sur la même chose, mais nous pouvons être d'accord sur ceci : l'amour de Dieu a été répandu dans nos cœurs par le Saint-Esprit. Aimons-nous les uns les autres
Jésus a dit : «A ceci tous connaîtront que vous êtes Mes disciples, si vous avez de l'amour les uns pour les autres.»
34 Eh bien, il n'y a pas longtemps, j'étais en Floride. Je voudrais simplement laisser passer ceci. Monsieur Bosworth, beaucoup d'entre vous le connaissent, le vieux papa Bosworth, F. F. Bosworth, il y a quelques années il a tenu de grandes réunions ici. Certains d'entre vous, les mères et les pères âgés de Chicago, vous vous souvenez de lui. Et quand nous étions là-bas, il... La première fois qu'il est venu à mes réunions, nous tenions... Je suis allé là, il y avait un petit garçon qui tenait une série de réunions. Ils avaient... Il a dit : « Il était tout simplement sur le point d'échouer.» Je suis donc allé et j'ai tenu une réunion, et ce soir-là une duchesse est venue. Je pense que c'est ainsi qu'on appelle cela, une de ces femmes, vous savez, de la haute société.
Et frère Bosworth a donc dit : «Frère Branham, cette duchesse qui est propriétaire de ceci, de toute cette propriété, désire vous voir.»
J'ai dit : «Eh bien, ce n'est pas possible maintenant.»
35 Et alors, quand nous traversions la tente ce soir-là, derrière dans la petite salle de prière, voilà qu'elle était là. Oh! frère, elle était peu vêtue et trop maquillée, vous savez. Elle avait deux très grosses boucles d'oreilles qui pendaient, on dirait des étriers du diable, vous savez, la selle étant posée juste au milieu de sa nuque, et il chevauchait. Et elle était assise là. Et elle avait une paire de lunettes qu'elle tenait. Je ne me moque pas de cette femme, mais elle ne portait pas assez de vêtements pour bourrer un bon mousquet. Et elle se tenait là avec ces lunettes montées sur une tige comme ceci, vous savez, qu'elle tenait comme cela. Elle a dit : «Etes-vous Docteur Branham?»
J'ai dit : «Non, madame.»
Elle a dit... J'ai dit : «Je suis frère Branham.»
Elle a dit : «Eh bien, je suis très charmée de faire votre connaissance.»
36 Eh bien, je ne comprenais pas ce que disait la femme. J'ai tendu la main et j'ai saisi cette énorme main, cette main grasse, là, chargée d'environ quarante bagues, me semblait-il. Je l'ai saisie. J'ai dit : «Baissez-la, afin que je puisse vous reconnaître si je vous revois.» Oui. Elle se donnait de grands airs. Qu'était-elle? Une motte de terre de 1,80 m, là. C'est vrai.
Oh! c'est ce qu'il en est aujourd'hui. Comment peut-Il attendre davantage, quand les gens baignent tout simplement leurs âmes dans toutes sortes de corruption et tout.
«Ce qui se ressemble s'assemble.» Vous savez, parmi les oiseaux qui ont la plus belle apparence se trouvent les charognards. C'est juste. Eh bien, même si l'extérieur n'est pas remarquable, c'est l'intérieur qui compte. C'est juste. Très bien.
Alors, Marie a couru voir... Marie est allée voir Elisabeth, et elle l'a embrassée. Et elle a dit : «Oh! la la! Je suis si heureuse de savoir que tu vas avoir un enfant.»
Elle a dit : «Oui, je vais avoir cet enfant. C'est vrai.»
Elle a dit : «Tu sais, le Seigneur m'est apparu aussi.» Vous voyez? Elle avait une bénédiction à-à expliquer. Elle a dit : «Le Seigneur m'est apparu et m'a dit que j'allais avoir un Enfant sans connaître d'homme. Et que je Lui donnerai le Nom de Jésus.»
38 Et, le petit Jean, à ce que nous sachions, n'avait pas encore reçu la vie. Elisabeth a dit qu'elle avait peur. Elle était à son sixième mois de grossesse, avec le bébé à ce moment-là, avec ce bébé sans vie. C'est anormal. C'est tout à fait anormal, après environ deux ou trois mois. Et ici, ça faisait six mois, il n'y avait pas de vie.
Et dès que Marie a prononcé le Nom de Jésus, le petit Jean a reçu la vie, il s'est mis à bondir de joie dans le sein de sa mère. Si le Nom de Jésus-Christ, la première fois qu'il a été prononcé par des lèvres humaines, a apporté la vie à un bébé mort, qu'est-ce que cela devrait faire à une Église née de nouveau? Alléluia! Qu'est-ce que cela devrait faire à une personne malade? Ce Nom de Jésus a ramené à la vie un bébé mort.
39 Et la Bible dit que Jean a reçu le baptême du Saint-Esprit ou plutôt a reçu le Saint-Esprit dans le sein de sa mère, et qu'il est né rempli du Saint-Esprit. Alléluia! Vous y êtes! Il a reçu la joie et il s'est mis à bondir et à sauter. Et le Saint-Esprit est venu sur sa mère et elle a prophétisé. Oh! la la! Et ne pas parler du Royaume de Dieu? Certainement.
Ensuite, Marie est retournée, après être restée avec elle plusieurs jours. Considérez ce petit Jean, quand il est né. «Quel genre d'enfant doit-il être?»
« Eh bien, je pense que nous devrions l'envoyer au séminaire», au cimetière, tout ce que vous voulez. Les deux sont des lieux de morts.
40 Un prédicateur de séminaire me fait penser à un poulet d'incubateur. Un petit poulet d'incubateur est produit mécaniquement, et le petit ne fait que pépier sans arrêt, cherchant une maman, mais il n'y en a pas une auprès de qui aller. C'est très exactement comme un prédicateur d'incubateur. Il connaît bien la lecture, l'écriture, l'arithmétique, il sait se tenir vraiment comme il faut, incliner la tête, crier amen comme un veau à l'agonie. Mais il n'en sait pas plus au sujet de Dieu qu'un hottentot au sujet d'un chevalier égyptien. C'est juste. Vous savez que c'est vrai. Vous pouvez ne pas dire amen à cela, mais c'est la vérité. C'est juste.
41 Oh! cela m'importe peu si mon fils ne connaît même pas son abc, je veux qu'il connaisse Christ, le plein pardon des péchés, et qu'il reçoive le baptême du Saint-Esprit. Alléluia! Il ne distingue pas des pois cassés du café. Ça ne change rien pour moi, aussi longtemps qu'il connaît Christ et le pardon des péchés.¶Observez ce brave petit gars de neuf ans, il est allé dans le désert, pas à un séminaire pour recevoir une injection d'embaumement. Pas du tout. Il est allé dans le désert. Il a vécu là avec Dieu jusqu'à l'âge de trente ans. Vous connaissez la naissance de Jésus... Notre temps s'amenuise, je ne vais donc pas prendre du temps pour répéter cela. Vous connaissez cela. Et à l'âge de trente ans, « quel genre de prédicateur devrait-ce être?» Le voilà sortir du désert, non pas avec un col retourné, et le dos... en smoking, prenant chaque jour comme dîner du poulet frit avec de petits pains. Absolument pas. Alléluia! Il est sorti du désert vêtu d'un pantalon poilu, ceint d'une ceinture en peau de brebis, comme cela. Mais il a prêché la repentance.
42 Je peux le voir. Hérode s'est présenté, vous savez, il vivait avec la femme de son frère Philippe. Je peux entendre certains des anciens venir en disant : «Ne prêche pas sur le mariage et le divorce aujourd'hui, là. Hérode est assis là.» Le brave Jean, rempli du Saint-Esprit (Pourriez-vous vous l'imaginer être retenu?), il s'est avancé droit en face de lui et a dit : «Il ne t'est pas permis de l'avoir.» C'est juste. O Dieu, donne-nous des Jean.
Eh bien, je dis aujourd'hui que ce dont l'Église baptiste a besoin, c'est davantage de Jean de la race de Jean-Baptiste, qui ne feront pas des compromis, mais qui prêcheront les richesses inaccessibles... insondables de Christ. Frère, il n'avait pas d'instruction, on sait qu'il n'avait jamais passé un seul jour à l'école. Il n'avait aucun diplôme, il n'avait pas un licencié ou plutôt un diplôme de licence, ou peu importe comment vous voulez appeler cela, D.D.D.D ou peu importe comment vous voulez appeler cela.
Vous savez ce que signifie D.D.? «Dead dog» [Chien mort, en anglais- N.D.T.] Très bien. Il ne connaissait rien de cela. Mais il disait aux gens où ils habitaient et ce qu'ils devaient faire. O Dieu, donne-nous davantage de Baptiste de ce genre. C'est tout à fait juste.
Il a dit : «Il ne t'est pas permis de l'avoir.» C'est vrai.
43 L'autre jour, un homme... Je parlais d'une dame; je racontais l'histoire d'une dame qui jouait au piano. Et maintenant, vous pouvez... Eh bien, ceci vous regarde. Cela dépend de vous. Vous voyez? Mais cette dame-là avait mis trop de maquillage, cette femme avait sur elle assez de peinture pour peindre pratiquement une grange. Et alors il a dit, cet homme a dit : «Frère Branham, c'est mon épouse.» Il a dit : « C'est une sainte.»
J'ai dit : «Frère, je ne veux pas blesser vos sentiments; mais elle n'en a pas l'air. [Frère Branham utilise le mot « hain't», forme abrégé de « have not» qui signifie « n'a pas»-N.D.T.] Elle ne m'a pas l'air d'une sainte.» C'est ce que...¶Savez-vous ce que signifie « hain't»? Dans le Sud, c'est un fantôme. Très bien. Permettez que je vous le dise. Écoutez. La seule femme dans la Bible qui se soit jamais peint le visage pour aller à la rencontre d'un homme, ce fut Jézabel, et Dieu l'a donnée en pâture aux chiens. Si donc vous vous tenez... Ces gens qui sont censés être si braves et avoir le Saint-Esprit. Vous pouvez dire : «Bonjour, Mademoiselle Viande pour Chiens.» C'est ainsi que Dieu les appelle, de la viande pour chiens, c'est ce qu'elles sont à Ses yeux. Vous voyez? Très bien.
44 Permettez-moi de vous dire que ce dont nous avons besoin aujourd'hui, c'est des prédicateurs qui ôteront leurs gants et qui se tiendront à la chaire et proclameront le Plein Évangile de Jésus-Christ avec la puissance et la démonstration du Saint-Esprit. Les gens aiment bien être là où on les secoue un petit peu d'un côté, et on fait un peu de compromis de l'autre côté. C'est très exactement ce qu'ont fait les luthériens. C'est ce qu'ont fait les méthodistes, c'est ce qu'ont fait les baptistes. Et c'est ce que font les pentecôtistes. Fiou! Après ceci, vous ne m'apprécierez plus. Mais, je ne... Permettez-moi de vous dire une chose. C'est la chose la plus importante, je suis responsable devant Dieu. C'est juste. Je crois... Je crois que c'est la vérité solennelle de Dieu. Absolument. La seule chose que vous devez faire, c'est mettre ce cœur en ordre.
45 Eh bien, nous avons tous vécu ici dans ces États situés vers l'est, vers l'est. Ici, nous avons le chêne. Chaque année, pendant tout l'hiver, le chêne porte toujours des feuilles. Pendant le printemps, les vieilles feuilles tombent de l'arbre. Vous n'avez pas besoin d'aller les arracher. Laissez simplement la nouvelle vie monter, les vieilles feuilles tomberont. Quand un homme est réellement né de nouveau et un... son cœur, qu'il s'agisse d'une femme ou d'un homme, la vieille vie tombe et la nouvelle vie vient et prend place. Qu'ils se mettent simplement-simplement en ordre avec Dieu, alors vous verrez. C'est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.
Et permettez-moi de vous le dire, mon frère. Je ferais mieux de fermer ma bouche ici. C'est juste. Je me souviens, dans l'histoire de ma vie, de la première fois que j'ai eu à goûter un peu à une sortie. J'avais une petite amie et je pensais... Vous savez, votre première petite amie. Oh ! elle avait des yeux comme une colombe et un cou comme un cygne, et des dents comme des perles. Je pensais que c'était la plus belle créature que j'aie jamais vue. Et quand nous sommes sortis, nous... un ami et moi, nous avons acheté du coca et des sandwiches. Je suis venu donner un sandwich à ma petite amie. Et elle mangeait le sandwich et on prenait du coca. Je suis allé remettre les bouteilles. A mon retour... C'était juste à l'époque où les femmes commençaient à perdre¶leur décence, vous savez. Et ainsi, elle était là, fumant la cigarette. Je l'ai regardée. J'avais toujours eu mon opinion sur la femme qui fume, et je l'ai encore aujourd'hui. C'est la chose la plus vile qu'elle ait jamais faite. Ne soyez pas embarrassé. Vous voyez? Ne vous levez pas pour sortir, vous savez, alors que vous êtes coupable. Très bien. Mais permettez-moi de vous dire quelque chose. Si Dieu pense... S'il pense que c'est ainsi que l'Ange de Dieu rend témoignage de moi ici, cet après-midi même à l'estrade, vous passerez un mauvais moment en franchissant ces portes là-bas, je vous assure, quand vous comparaîtrez devant Lui. D'abord, cessez. Arrêtez. Mettez ces choses de côté. L'heure du jugement est proche. Et si la vierge Marie a dû aller là-bas dans la chambre haute et attendre jusqu'à ce qu'elle ait reçu le baptême du Saint- Esprit, et qu'elle soit sortie en titubant comme une femme ivre, vous n'arriverez jamais au Ciel avec quelque chose de moins coûteux que cela. C'est juste. Quand un homme... Écoutez-moi. Je vous dis la vérité. Placez Dieu ici dedans et II prendra soin du reste. Et alors, regardez ensuite tout autour. Vous n'avez pas à dire... « Eh bien, je L'ai.» Les fruits montrent que ce n'est pas le cas. Ainsi c'est... Ne dites pas cela. Allez de l'avant; vous savez où vous en êtes. Très bien.
Maintenant, regardez. Alors, je vois Jean quand il est apparu là et a commencé à prêcher, oh! la la! juste la repentance, aussi durement qu'il le pouvait. Mettant la cognée à la racine de l'arbre, et chaque arbre qui ne porte pas de bons fruits sera coupé et jeté dans la mer. Et alors remarquez, ou plutôt au feu.
Ensuite Jésus est venu. Quand II fut baptisé, Il sortit directement de l'eau et la Voix de Dieu se fit entendre, disant : «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui J'ai trouvé Mon plaisir.» Il est allé dans le désert pour être tenté par le diable. Chaque homme et chaque femme, dès que vous êtes baptisé du Saint- Esprit, immédiatement le diable surgit de toute part. S'il ne le fait pas, alors vous feriez mieux de retourner.
Donc, chaque fois que vous êtes guéri, voilà les symptômes qui apparaissent partout et ils vous tentent. Si ce n'est pas le cas, faites attention. Voyez-vous? La foi est toujours là pour accepter ce que Dieu a fait.
Son ministère grandit donc et II s'en alla. Il est allé dans un... Alors nous arrivons à notre texte. Rapidement maintenant.
Alors nous voyons que Lazare... Il s'est éloigné de la maison. Et aussitôt que Jésus a quitté la maison, la maladie s'est installée, le chagrin s'est installé. Et suivez, chrétiens, quand Jésus quitte votre maison, la maladie et les ennuis vont s'installer aussitôt après. Quand II quitte votre maison, préparez-vous à avoir des ennuis, car ils sont alors en route. Faites-Lui bon accueil dans votre¶maison. Qu'il soit l'Hôte invisible. Quand vous vous mettez à table, ne mangez jamais sans Lui rendre grâces pour cela. Je vois beaucoup de gens qui se disent chrétiens, qui ne rendent jamais grâces, ils sont tout aussi maladroits qu'un cochon sous un pommier. Un cochon peut se mettre là sous un pommier, et les pommes lui tombent sur la tête pendant toute la journée, et il va en manger jusqu'à ne plus pouvoir grogner, ou presque; mais il ne lèvera jamais les yeux pour voir d'où elles tombent. C'est juste. C'est tout à fait vrai. Les gens sont si ingrats, impies, sans affection naturelle, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, ayant une forme de piété, mais reniant ce qui en fait la force. Éloigne-toi de ces hommes-là. C'est ce que l'Esprit dit dans Timothée. Est-ce juste?
48 Et voici qu'en ce jour où nous vivons, les pentecôtistes se plongent en plein là-dedans. Vous, les gens de la sainteté, vous vous plongez en plein là- dedans, la tête la première. C'est vrai. Oh! la la! Quel triste spectacle! Ce dont nous avons besoin aujourd'hui, frère, c'est d'un réveil, d'une secousse, d'une démolition, d'une mise en morceaux, de nouveau chez le potier.
Suivez. Je vois maintenant Jésus quitter la maison. Lazare est tombé malade. Maintenant, ceci c'est d'après l'histoire; on apprend qu'elle-qu'elle avait une hémorragie aux poumons. Je ne sais pas. Ce n'est pas la Bible; ce sont juste des écrits des historiens. Il avait une hémorragie. Quand Jésus a quitté la maison, alors Marthe et Marie ainsi que tous les autres ont quitté la synagogue, et ils suivaient Jésus. Ils ont envoyé chercher Jésus pour qu'il vienne prier pour Lazare. Pensez-vous qu'il l'a fait? Il a continué Sa route.
49 Maintenant, si c'était vous, oh, si vous envoyiez chercher votre pasteur et qu'il ne venait pas, vous diriez : «Eh bien, ce vieil hypocrite! Je n'irai plus jamais à l'église de Philadelphie. Je n'y retournerai plus jamais.»
Jésus n'est pas venu. Et si Marie avait eu de telles pensées, ainsi que Marthe, quel jour cela aurait été! Maintenant, il ne m'a pas demandé de dire cela, j'ai simplement dit cela. Cela s'adresse à n'importe quelle église. Vous devriez avoir foi en votre pasteur, en tant qu'un homme de Dieu. S'il ne l'est pas... S'il ne l'est pas, faites-le partir et placez là quelqu'un qui l'est. C'est juste. Ne fermez pas l'église. C'est juste, continuez. Si ce n'est pas un homme de Dieu, s'il ne vit pas, n'agit pas, ne fait pas, ne prêche pas tel qu'il le devrait, faites-le partir et placez quelqu'un d'autre qui le fera.
Maintenant, maintenant, vous devez donc avoir confiance. Ceci, c'est la maison du jugement, c'est la maison de Dieu où Dieu descend et prononce Son jugement. Votre pasteur est censé être un homme juste. L'assemblée est censée être d'accord avec lui à cent pour cent. Vous êtes censés être unis à cent pour¶cent. Et là, si ce n'est pas le cas, alors Satan a une brèche par où entrer. Vous avez une lacune quelque part, vous allez tout perdre.
Alors, lorsqu'ils ont de nouveau envoyé chercher Jésus, au lieu de venir, Il a tout simplement continué; Il n'est pas venu et II n'a pas dit un mot à ce sujet. Il avait reçu une vision du Père. Je vais prendre cela là ce soir, si possible. Il avait une vision du Père, montrant que Lazare allait mourir, et II devait suivre Sa vision. Bien sûr, Il le fit. Il a continué Son chemin. Au bout d'un moment, les gens ont dit...
Il a dit : «Mon ami Lazare dort.»
Eh bien, les disciples ont dit : «Eh bien, s'il dort, alors il fait bien; il récupère. Il va mieux.»
Ensuite, Il le leur dit dans leur propre langage. Il a dit : «Il est mort. Et à cause de vous, Je suis content que Je n'aie pas été là. Mais Je pars le réveiller.» Il savait où II allait. Dieu Lui avait déjà dit. Il suivait ce que le Père avait dit de faire, pas ce que l'homme Lui avait dit; ce que Dieu avait dit. Il savait exactement ce qu'il fallait faire.
51 Je peux entendre certains de ces gens dire : «Eh ! Ce saint exalté était juste ici, prêchant la guérison divine. Et, oh ! Il a vu que l'autre souffre de l'hémorragie, la tâche était trop ardue pour Lui. Il s'en est allé. Maintenant, nous allons voir ce qu'il en est.» Très bien. Il a alors dit : «Je vais le réveiller.»
Alors, le premier jour passa... Des afflictions étaient arrivées, et on a pris Lazare, on l'a amené, on a embaumé son corps, on l'a amené là et on l'a enseveli dans la tombe. Tout espoir était parti. Le deuxième jour passa, il faisait toujours noir. Le troisième jour passa, la corruption s'installa dans son corps. Il était bien mort depuis quatre jours.
52 Puis, immédiatement, vous savez, quelqu'un est venu, et la jeune Marthe et la jeune Marie étaient assises dans la maison, en train de pleurer. Le soutien de la famille était mort. Oh ! elles disaient... Considérez qui était mort. Ils avaient renoncé à leur église. Eh bien, le ...?... normalement, Il devait les encourager. Tout espoir était parti. Leur frère était mort. On les avait chassées de leur église. Cet Homme prêchait la guérison divine, et celui qui était comme leur-leur pasteur était mort. Tout espoir, tout était perdu.
Et presqu'à ce moment-là, Jésus est revenu. C'est d'habitude à ce moment- là qu'il vient : juste à l'heure la plus sombre. C'est à l'heure la plus sombre que Jésus est revenu.¶J'étais étendu là à l'hôpital. Le médecin est entré et m'a regardé. Il a dit : «Mon fils, il te reste trois minutes à vivre. Ton cœur bat dix-sept fois à la minute.» L'heure la plus sombre, alors Jésus vint. Oui.
E. Howard Cadle, ici à Indianapolis, était étendu là dans la rue, ivre, les mouches bourdonnant sur sa bouche. Il est entré en titubant dans l'église d'où il avait rétrogradé (Et les démocrates en avaient fait un très grand hall de rassemblement), et il est descendu au sous-sol, ivre, il est allé en titubant vers le tas de charbons et il y avait là la photo de sa mère. Il a prié là. L'heure la plus sombre qu'il n'avait jamais connue; il avait froid, il était ivre, il s'est évanoui. Puis Jésus vint. Oui.
53 Et là-bas, quand les frères Mayo m'ont dit que je n'avais que peu de temps à vivre, Jésus est venu. C'est toujours à l'heure la plus sombre, c'est à ce moment-là qu'il vient. C'est toujours le cas, c'est juste à temps, au bon moment que Jésus vient.
Alors, la petite Marthe, elle avait vraiment traîné les pas, à son sujet, au sujet-au sujet du Royaume de Dieu et ainsi de suite. Mais, j'admire son courage. Aussitôt qu'elle a appris que Jésus venait, voilà qu'elle est allée aussi vite que possible. Je peux entendre les gens dire : «Eh bien, voyez-la partir. J'ai entendu dire là-bas que ce saint exalté revient.» Elle a simplement repoussé la personne. Elle voulait arriver auprès de Jésus.
Marthe avait lu un passage quelque part là dans la Bible. Une fois, il y avait une Sunamite qui avait fait une grande faveur à un prophète. Elle savait qu'il était un prophète. Vous voyez? C'était Elie. Et Elie l'a bénie et lui a dit qu'elle allait avoir un enfant, un certain jour, à une certaine époque. Et ce bébé naquit quand elle n'était plus en âge d'avoir un enfant. Et elle a eu le bébé. Le petit enfant devait avoir attrapé une insolation ou quelque chose de ce genre. Il a crié : «Ma tête! Ma tête!» Il était dans le champ avec son père, vers onze heures du matin. Il a envoyé un serviteur qui a mis l'enfant sur les genoux de sa mère. Et l'enfant est resté couché là jusqu'à midi, et il est mort. Considérez cette Sunamite, combien elle était confiante.
54 Elle a pris le bébé et l'a directement amené dans la petite chambre où Elie avait dormi. Elle lui avait préparé là un endroit où il pouvait dormir quand il était de passage. Quel bon endroit où l'amener, sur le lit du prophète, là où dormait le prophète. Elle l'a couché sur le-sur le lit. Elle est sortie vers le serviteur, elle a dit : «Selle maintenant un âne et on y va ; ne t'arrête pas (Oh! la la !), à moins que je te le dise.» Elle a dit : «Allons là-bas au mont Carmel, là où se trouve ce prophète.»
Son mari a dit : «Ce n'est ni la nouvelle lune ni le sabbat. Il n'y sera pas.»¶Elle a dit : «Tout va bien. Laisse-moi aller.» J'aime cette détermination. J'aime cela. Alléluia. «Alléluia» signifie «que notre Dieu soit loué» en hébreu. Ne-ne vous inquiétez donc pas à ce sujet. Très bien.
55 Elle est partie. Elle a dit : «Ne t'arrête pas. Mène maintenant, mène ce mulet aussi vite que possible.» Quand elle s'est approchée du mont Carmel, elle savait une seule chose, c'est que Dieu lui avait donné cet enfant. Et le plus proche représentant sur terre qu'elle connaissait, c'était Elie, Son prophète. Elle ne savait pas pourquoi Dieu avait repris l'enfant, mais elle savait que si elle pouvait entrer en contact avec ce prophète... En effet, Dieu était dans le prophète. «Si je peux parvenir auprès de ce prophète, je saurai pourquoi mon enfant est mort. C'est lui qui m'a dit que cet enfant viendrait. Et je sais qu'il est le prophète de Dieu. Et si seulement je peux parvenir auprès de lui, il se peut que je sois obligée de chevaucher vite, il se peut que je sois obligée de chevaucher sur une longue distance... Mais si je peux parvenir auprès de ce prophète, il pourra me dire pourquoi cet enfant est mort.»
Le prophète se tenait donc là. Dieu ne dit pas toujours tout ce qui se passe à Ses prophètes. Elie s'est dirigé alors vers la porte, et Guéhazi était avec lui, et il a dit : «Voilà venir cette Sunamite.» Il a dit : «Elle a l'air inquiète. Quelque chose ne va pas.»
Il a dit : «Dieu me l'a caché. Je ne sais pas quel est le problème.» C'est ce qu'il a dit, quand il l'a vue venir. Elle s'est approchée. Il a dit : «Te portes-tu bien? Ton mari se porte-t-il bien? L'enfant se porte-t-il bien?» Écoutez ceci. «Tout va bien.»
Gloire! Je ne... C'est à peine si on a assez de place ici pour prêcher en ce moment même.
Laissez-moi vous dire quelque chose. «Tout va bien.» Pourquoi? L'enfant était un cadavre, son mari se tordait les mains en faisant les cent pas, et elle avait le cœur brisé. « Tout va bien.» Hum!
56 Elle avait la foi, si elle pouvait parvenir auprès du prophète. C'est tout ce dont elle avait besoin. «Je t'ai trouvé, Elie. Tu es le représentant de Dieu. Dieu est dans Son prophète. Et je suis venue ici maintenant. Je suis convaincue que Dieu le révélera. Tout va bien.» Elle a couru et elle est tombée à ses pieds. Guéhazi s'est dit : «Tiens!» Il était censé retenir les gens loin de son maître. Il l'a écartée brusquement.
Elie a dit : «Laisse-la tranquille.» Il a dit : «Son cœur est attristé. Mais je ne sais pas de quoi il s'agit.»
Et elle a commencé à lui révéler ce qui était arrivé. Maintenant observez. Il a dit : «Guéhazi, prends mon bâton et va, va vers l'enfant. Si quelqu'un te¶parle, ne lui répond pas. Si quelqu'un te salue, ne le salue pas. Si quelqu'un te dit : 'Bonjour', ne lui dis rien. Va tout droit.»
56 Voilà le problème aujourd'hui. Alors que nous avons un Message, nous nous arrêtons pour des affaires mondaines, pour des dîners et des fêtes, et tout comme cela, pour de petites réunions de couture, et on parle de madame Untel. Il n'est pas étonnant que nous ne puissions arriver nulle part. Un homme qui a un Message de Dieu dit : «Allons de l'avant.» Très bien.
«Mais prends mon bâton.» Elie toucha ce bâton. Elie savait que tout ce qu'il touchait était béni. Pourquoi imposons-nous les mains aux malades? Pourquoi ordonnons-nous les anciens par l'imposition des mains? Elie savait que ce qu'il touchait était béni. Je pense que c'est de là que Paul a tiré la pratique d'appliquer les mouchoirs qui avaient touché son corps. Vous voyez?
Paul savait que tout ce qu'il touchait était béni. Si les gens veulent le croire, on dit que vous obtenez la même bénédiction, juste comme s'il avait prié pour vous et vous avait imposé les mains, quel que soit le cas.
57 Et Elie savait que ce bâton était béni. Il a dit : «Guéhazi, prends mon bâton à la main, tiens-le devant toi et vas-y maintenant. Et ne t'arrête pour rien. Si quelqu'un te parle, ne parle pas. Maintenant, tu as une commission. Amène ce bâton.» C'était très bien. Le mouchoir, c'était une bonne chose. Mais cette Sunamite ne savait pas si Dieu était dans le bâton ou pas, par contre elle était convaincue que Dieu était dans le prophète. Elle a dit : «L'Eternel... »
Il a dit : «Va maintenant avec elle.»
58 Elle a dit : «L'Eternel est vivant, et ton âme est vivante ! Je ne te quitterai point.» Oh ! vous y êtes! «Je vais rester juste ici, juste à côté de toi, je suis entre tes mains maintenant, jusqu'à ce que nous sachions ce qu'il en est.»
Il a dit : «Va avec...»
- Non. Et Guéhazi a précédé, alors lui, il a ceint ses reins et s'est mis en route avec elle. Les voilà partir, la femme en compagnie du prophète, le désir de son cœur, faisant le chemin.
Elie a dit : «Je ne sais pas. Il ne m'a rien dit à ce sujet. Je ne sais rien te dire. Je vais donc aller là-bas.»
Voilà revenir Guéhazi. Le prophète a dit : « As-tu posé le bâton sur lui?»
-Oui.
59 Y avait-il des signes quelconques?¶« Pas de vie. Il est toujours endormi. Il est toujours mort. Il est parti.» Vous voyez? La foi de la femme n'était pas dans cela. Elle était dans le prophète. Elle savait que... Si elle avait cru que Dieu était dans ce bâton, cela aurait produit le même effet. Mais elle savait que Dieu était dans Son prophète.
Voilà donc venir Elie. Tous les voisins s'étaient rassemblés à la porte, et ils pleuraient, criaient, gémissaient et continuaient ainsi. Le vieil Elie avança au milieu d'un tel groupe. Il est entré, il a tiré les battants de la porte, il a refermé la porte. Le petit cadavre gisait là, il était mort depuis plusieurs, plusieurs heures, peut-être très tard dans la soirée. Elie a fait les cent pas dans la chambre. Oh! la la! Alléluia ! Il a fait les cent pas dans la chambre, il s'est approché... Il savait que Dieu était en lui. Il a étendu son corps sur l'enfant, il a placé ses lèvres contre les siennes, son nez contre le sien, le front contre le sien. Il a gardé son corps là, il n'a pas prié; il a placé son corps. Il s'est étendu là.
61 Au bout d'un moment, il a senti la chair de l'enfant se réchauffer. Il s'est levé. Il s'est remis à marcher. Oh! la la! Il faisait les cent pas, allant et revenant; à l'extérieur on hurlait, on criait et on continuait ainsi. Elie marchait... Il est encore retourné et a étendu son corps sur l'enfant, et l'enfant a éternué sept fois. Il l'a pris et a dit : «Appelle donc cette Sunamite.» Vous y êtes!
Et sans doute que Marthe avait lu cela. Elle savait que si Dieu était dans Son prophète, certainement qu'il était dans Son Fils. Alléluia. « Mon frère est mort, mais laissez-moi parvenir auprès du Fils de Dieu. Je serai consolée quand j'arriverai là.» Elle court vite là-bas.
Maintenant, écoutez. On dirait qu'elle aurait pu Le réprimander. On dirait qu'elle aurait pu Le repousser.
Elle pouvait dire : «Pourquoi n'es-Tu pas venu vers mon frère? Pourquoi n'es-Tu pas venu quand nous T'avons appelé? Nous avons tout abandonné pour Te suivre. Nous avons quitté l'église. Nous avons perdu tout notre prestige dans la ville. Nous avons tout fait. Et quand nous T'avons envoyé chercher pour que Tu viennes prier pour Ton ami intime, Tu as refusé de le faire.» On dirait qu'elle en avait le droit. Si elle avait fait cela, cette histoire n'aurait jamais été écrite.
II s'agit de votre attitude envers cela. Votre attitude envers le don de Dieu fera que vous obteniez ce que vous demandez. Comprenez-vous? Oh! combien j'aurais aimé m'arrêter juste ici, Frère Boze, et enfoncer cela pendant environ une demi-heure ! Mais je ne saurai pas le faire. Votre attitude : Dieu peut envoyer un don et peu importe ce que vous... Cela dépend de votre attitude envers le don. Considérez ceux qui Le frappèrent au visage et qui crachèrent sur Lui et tout; là, il n'y avait aucune vertu. Mais une femme qui croyait la¶Parole toucha le bord de Son vêtement et fut guérie. Est-ce juste? Très bien. Cela dépend de ce que vous en pensez. Dieu envoie cela. Mais c'est votre attitude envers tout don divin qui détermine ce que vous en obtenez.
62 Ainsi, il...