Les Maladies et les Afflictions
1. J’aimerais expliquer quelque chose… [Le système de sonorisation produit un écho fort. – N.D.E.] … des choses capitales que vous devriez connaître. Ma voix ne porte pas très loin, ainsi, il me faudra probablement m’avancer ici. Si le Seigneur le permet, le dimanche après-midi, j’aimerais vous apporter un sermon d’évangélisation, la Bonne Nouvelle, le dimanche après-midi. Et nous nous attendons à de grandes choses que le Seigneur va faire pour nous cette semaine.
2. Une chose concerne… Beaucoup ici ne comprennent guère comment ces cartes de prière sont–sont distribuées aux malades et aux affligés. Après trois ans d’essai, ceci s’avère l’unique système que je trouve donc vraiment béni de Dieu, on dirait.
3. Au début, nous arrivions simplement sans cartes du tout, et nous laissions les gens s’aligner simplement. Il y avait eu un grand encombrement pour… Alors, je me mettais à prier peut-être pendant quinze, vingt minutes d’affilée ; les foules me tombaient dessus, et on devait me retirer de là.
4. Et puis, la chose suivante, c’est par là qu’on a commencé, nous envoyions d’avance des cartes de prière aux prédicateurs. Et chaque prédicateur qui parrainait (il y avait dans une région peut-être cinquante églises ou plus, qui parrainaient la réunion) ; alors chaque prédicateur recevait au moins cent cartes. Chaque prédicateur tenait à ce que son assemblée passe en premier. Il donnait ces cartes à son assemblée, et probablement pendant quatre ou cinq soirées, il n’y avait que l’assemblée de ce seul prédicateur qui passait, et les autres en étaient mal à l’aise.
5. Puis, nous avions pensé avoir les gens de sur place, seulement les gens de sur place, dans une communauté ; et parfois, les gens venaient d’environ sept, huit mille miles [11.265, 12.874 km] pour assister aux réunions. Ce n’était pas correct.
6. Et l’unique moyen que nous avons trouvé réellement… laisser le Seigneur en disposer, c’est de venir prendre les cartes de prière, environ cinquante, et les distribuer simplement aux groupes de gens ; et personne ne sait qui sera appelé.
7. J’ai vu des fois où je distribuais cinquante cartes et aucune d’elles n’était appelée. Je commençais la réunion et l’Esprit du Seigneur me conduisait droit parmi les gens, comme cela ; je n’utilisais même pas les cartes de prière.
8. J’ai vu des fois où j’étais assis à l’estrade, je me mettais simplement à parler, je me perdais bien pendant une heure ou plus, des fois, alors que j’appelais la première personne, et puis, une autre, comme cela. J’ai… Tout le monde était guéri.
9. Beaucoup de gens se rassemblaient alors pour la–la ligne. C’est ce que j’avais constaté. C’est la vérité. Cela a marché depuis cinq ans… depuis trois ans maintenant. Excusez-moi. Tout celui qui venait à cette estrade était guéri. Il n’y a jamais eu un cas, peu importe à quel point on était difforme, estropié, ou affligé, on était toujours guéri. Il y avait des cas horribles. Mais je… Peut-être qu’en l’espace d’une nuit, je pouvais prendre peut-être trois, quatre ou cinq personnes. Peut-être, des fois…
10. J’ai vu une fois à Calgary, au Canada, deux personnes seulement sur les 25.000 personnes qui s’étaient rassemblées : deux.
11. L’une était un jeune homme affligé pendant dix-huit ans, il avait une main recroquevillée. Il était dans un fauteuil roulant. Sa mère avait mis en gage son alliance pour qu’il reste aux réunions. Il avait assisté à environ sept ou huit réunions, sans jamais arriver à avoir une carte. Finalement, le temps arriva pour lui de passer à l’estrade. Le jeune homme a quitté l’estrade en marchant. Le lendemain matin, il s’est rasé lui-même pour la première fois de sa vie. Il m’a rencontré là sur la passerelle, à l’atterrissage de l’avion à Vancouver, pour me serrer la main.
12. La suivante, une petite fille. Une petite fille de foi catholique, avec une jambe courte par rapport à l’autre de quatre pouces [10cm]. Nous avions passé environ une heure et quelques minutes avec cette petite fille. Et cette même Bible… Quand on l’avait amenée là, elle marchait fortement penchée d’un côté. J’ai posé cette Bible sur sa tête ; elle a marché tout aussi normalement que n’importe quel enfant, d’un bout à l’autre de l’estrade, alors que–alors que 25.000 personnes étaient assises là, regardant. Mais ces choses, nous disons simplement…
13. Je ne connais personne ici qui a reçu une carte de prière, ou qui sera le premier. Nous distribuons ces cartes, et puis, nous arrivons.
14. Je vais essayer de vous donner une idée. Mon frère dit : « J’ai distribué 50 cartes. »
15. J’entre dans la salle; je trouve peut-être un petit enfant. Je lui demande : « Sais-tu compter ? »
16. Il répond : « Oui, oui. »
Je dis : « Mets-toi à compter. »
17. Il pouvait compter, peut-être jusqu’à dix, quinze, ou vingt, et puis, il s’arrêtait ; là où il s’arrêtait, c’est là que je commençais la ligne de prière. S’il s’arrêtait à vingt, je commençais la ligne de prière à vingt. et il se pouvait que je suive l’ordre croissant ou décroissant. Peut-être que le prochain soir, je pouvais compter le nombre de gens dans une rangée et le diviser par deux, et voir quel chiffre ça donnait ou quelque chose comme cela.
18. Jusqu’à ce soir, personne ne sait par où la ligne de prière commencera, ce sera simplement n’importe où que ça semble…. Des fois, cela tombe en plein sur les estropiés. Des fois, cela tombe sur les malades. Je ne sais pas. Personne ne sait. Nous distribuons simplement les cartes ; et puis, nous laissons le Seigneur conduire le reste, et ça a toujours bien marché comme ça, avec succès. Soyez en prière.
19. Je pense que ceci est tout nouveau ici chez vous. De toutes les réunions auxquelles j’ai déjà assisté, celle-ci est la deuxième soirée de réunion où il y a le moins des gens, depuis que je suis dans le champ missionnaire. Généralement, la deuxième soirée, dans n’importe quel auditoire, ou, que cela ait été annoncé n’importe comment, généralement la deuxième soirée, on compte dans les sept, huit, dix mille personnes. Naturellement, cela a été annoncé juste sur place. Ce qui attire les foules, ce sont les annonces au niveau international, et alors beaucoup de centaines affluent d’un Etat, ou d’autres Etats, pour former ce groupe.
20. La prochaine série de réunions que je vais tenir après ici, ce sera à Houston, au Colisée. Je pense que cela offre 17.000 sièges, je pense. Cela est déjà annoncé dans environ quatre ou cinq journaux internationaux.
21. C’est là que les gens affluent de l’autre côté des océans et tout, partout…?... Ce soir, je souhaiterais lire juste une courte portion de la Parole, car la Parole de Dieu ne faillit jamais. Mes paroles failliront, Sa Parole ne faillira pas. C’est dans Psaume 103, les versets 1, 2 et 3.
Mon âme, bénis l’Eternel ! Que tout ce qui est en moi bénisse son saint Nom !
Mon âme, bénis l’Eternel, et n’oublie aucun de ses bienfaits !
C’est lui qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes maladies.
22. Que Dieu ajoute Ses bénédictions à Sa Parole. Tout ceci parle des maladies et des afflictions. Je souhaiterais juste, pendant quelques instants, faire quelques déclarations à ce sujet. Et j’aimerais que vous écoutiez et que vous accordiez à cela toute votre attention.
23. Les maladies et les afflictions sont toutes des résultats du péché, peut-être pas dans votre vie, mais dans la vie de quelqu’un avant vous. Le diable est l’auteur des maladies et des afflictions. Avant que nous ayons un quelconque démon, nous n’avions pas de maladie ni d’affliction. Mais quand Satan est venu, il s’est amené avec les maladies et les afflictions.
24. Bien des fois, nous nous y référons comme des bénédictions. Je ne peux jamais m’imaginer que Dieu puisse tirer une bénédiction d’une personne malade, à moins que ça soit un pécheur qu’on conduit à Dieu, ou un enfant désobéissant qu’on réconcilie avec son Père. Mais les maladies sont causées par le diable et la chute. Il y a…
25. Aujourd’hui, nous avons les meilleurs médecins jamais eus. Nous avons la meilleure médecine, les meilleurs hôpitaux jamais eus ; et nous avons plus de maladies que jamais. Et au jour où nous avons la meilleure médecine jamais eue, on bâtit constamment des formations médicales pour les malades incurables. Juste au moment où nous avons les meilleurs œuvres scientifiques sur les afflictions et les maladies qu’on ait jamais eues, on construit chaque année des formations médicales pour les malades incurables.
26. Mais rien n’est jamais passé devant Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qu’Il n’ait été plus que capable de maîtriser. Et Il est tout autant le même aujourd’hui qu’Il était hier et qu’Il sera éternellement. Il le prouve. Vous le verrez soirée après soirée. Et si ce n’est pas le cas, alors vous avez le droit de douter.
Quelqu’un a demandé : « Les guérisons durent-elles ? »
27. Elles dureront tant que durera la foi. Mais quand la foi faillit, alors votre guérison faillit. Voulez-vous dire que tout celui qui est venu à l’autel et qui s’est converti restera chrétien toute sa vie ? Il peut être un enfant de Dieu ce soir et demain, un enfant du diable. Dès qu’il perd la foi en Dieu, il rétrograde.
28. Et toute puissance qui peut vous guérir ici à cette estrade peut vous garder en bonne santé. C’est pourquoi j’ai déclaré que rien ne peut passer par ici sans être délivré. En dehors d’ici, ça dépend de votre foi, si elle subsiste.
29. J’ai vu des gens totalement aveugles venir à l’estrade, puis lire cette même Bible. En moins de cinq jours, ils reviennent tout aussi aveugles que jamais. Pourquoi avaient-ils lu ici ? La puissance du diable avait reconnu ce don de Dieu et avait dû quitter. Eh bien, c’est un–c’est un… Je sais que c’est une forte déclaration à faire, mais je sais où je me tiens. Je sais en Qui j’ai cru, et je connais Sa puissance de guérison.
30. Il n’y a pas longtemps, quand j’étais à Phoenix, quelqu’un a dit… Les lignes de prière allaient jusque dans les rues ; on ne pouvait même pas entrer dans l’auditorium. Alors que la ligne passait, quelqu’un m’a demandé : « N’avez-vous pas peur, Frère Branham, de vous tenir là devant tous ces cas, sachant que les critiqueurs sont là, les reporters des journaux et autres, pour critiquer ? »
31. J’ai dit : « Je n’ai pas peur tant que je sens qu’Il est tout près. Mais si je ne sens pas Sa Présence, je quitterai l’estrade et rentrerai chez moi. » Personne ne peut rien faire. Tout doit venir de Dieu.
32. Par exemple, nous prendrons le… pour parler pendant quelques instants du cancer. Il semble être l’un des plus grands ennemis aujourd’hui. Qu’est-ce que le cancer ? D’où vient-il ? La tumeur, la cataracte, l’ulcère, la pneumonie, la tuberculose, tous ces noms sont des termes médicaux que la médecine leur a donnés. La Bible déclare que ce sont des démons. Par exemple, le cancer, qu’est-ce qu’un cancer ? Il provient généralement d’une contusion.
33. Tout, dans le naturel, sur la terre, est un type du spirituel. Tout, dans le naturel, est un type du spirituel. Vous le savez, la plupart d’entre vous.
34. Par exemple, la naissance d’un enfant et la naissance d’un enfant de Dieu. Quand un enfant–quand un enfant naît dans le Royaume de Dieu… La Bible dit : « Il y a trois choses qui rendent témoignage au Ciel : le Père, le Fils et le Saint-Esprit. » [Quelqu’un pousse plusieurs cris forts. – N.D.E.]
35. Eh bien, c’est un malade ou quelque chose comme cela ; accordez-moi donc toute votre attention. Si vous manquez ces choses, vous allez probablement manquer complètement votre guérison.
36. « Il y en a trois qui rendent témoignage au Ciel. » Eh bien, quand nous sommes… Lors de notre conversion… Les éléments qui sont sortis du corps de Jésus-Christ à Sa mort étaient l’eau, le sang et l’Esprit, et ces trois choses constituent la nouvelle naissance. Est-ce vrai, prédicateurs ? Ces trois éléments constituent la nouvelle naissance : l’eau, le sang et l’Esprit.
37. Ce qui produit la naissance naturelle, à la naissance d’un enfant… Quelle est la première chose ? L’eau, le sang et la vie. Tout, dans le naturel, est le type du spirituel.
38. Et un cancer, dans le naturel… Dans le spirituel, c’est un démon. Il est le type du charognard et de la buse : ils se nourrissent de substances mortes.
39. Le cancer provient d’une contusion. Par exemple, ma main, il–il–il–il n’y a pas de cancer dessus. Et elle peut le contracter à un moment. Eh bien, ce qui cause le cancer, c’est un… une cellule, un germe dans mon corps, qui rétrograde, soit qu’on s’est blessé soit que quelque chose s’installe. Et de ce germe, ou de cette cellule, commence une multiplication des cellules, elles se multiplient et forment le cancer, et cela commence à ronger le corps.
40. Eh bien, toute vie, et toute petite vie qui existe, est provenue… provient d’un germe. Vous même, vous provenez d’un germe de vie. Vous êtes venu ; autrefois, vous étiez un tout petit germe, si petit que l’œil naturel ne pouvait pas le percevoir. Vous êtes venu de votre père. Vous n’avez rien du sang de votre mère, rien du tout. La cellule de sang vient du sexe mâle. Et puis, à partir de ce germe, les cellules commencent à se multiplier. Et tout se reproduit selon son espèce : le germe du chien reproduira un chien ; celui de l’oiseau, un oiseau ; celui de l’être humain, un humain. Si rien n’interrompt cela, le programme de Dieu, si rien ne l’interrompt, il produira un enfant parfait, normal. Il grandira jusqu’à maturité, jusqu’à devenir un adulte normal, si rien n’interrompt cela. Mais quand quelque chose interrompt cela, alors, ça doit nécessairement être le démon qui interrompt le programme de Dieu.
41. Le dessein de Dieu n’était pas que vous tombiez malades. Dieu vous a créé à Son image. Il veut que vous soyez en bonne santé. Il a fait tout Son possible pour vous garder en bonne santé.
42. Et Satan est contre vous. C’est pourquoi ce cancer qu’il–qu’il commence, ou cette tumeur, quoi que ce soit… A partir d’un germe, cela commence à se multiplier pour devenir, par exemple, une tumeur devient maligne et tout. C’est un corps, tout comme vous, un corps. Cela a un esprit tout comme vous aussi, un esprit ; seulement, cela n’a pas d’âme. Mais cela a une vie comme vous en avez une. Et par conséquent donc, en vous, dans votre chair, il y a deux vies. L’une, c’est vous, et l’autre, c’est un autre être, une multiplication de cellules qui forment un corps, tout comme vous, vous avez grandi dans un corps. Est-ce vrai ?
43. Eh bien, qu’est-ce qui fait alors cela ? Le diable. Le–le germe est une vie. D’abord, le germe, c’est une toute petite cellule contenant une vie. Et cette vie ne peut provenir que de deux sources : soit de Dieu, soit du diable. Et vous provenez du germe de vie, par Dieu. Le cancer, la tumeur et les autres proviennent d’un germe de vie, par le diable. Et il cherche à détruire votre vie. Il ronge votre sang et–et opère sur vous de diverses manières.
C’est pourquoi, je sais que ce sont des démons. Jésus-Christ les a appelés des démons. Et ce qu’Il dit est la Vérité. Ce sont des démons. Un démon est un tourmenteur. Il est ici pour déchirer votre corps, vous ronger, vous détruire, écourter vos soixante-dix ans, s’il le peut.
44. C’est pourquoi, quand cet Ange de Dieu descend là où je me tiens… Je ne sais rien sur aucun de vous. Mais ce qui fait qu’Il vous révèle le genre de maladie dont vous souffrez dans votre corps, c’est que cette vie-là est soumise à la Vie que Dieu a envoyée discerner cela. Et puis, ce que vous avez fait dans votre vie, si c’est discerné par la puissance de Dieu, alors, je peux dire si cela est là ou si c’est parti. Et vous pouvez voir cela par des réactions physiques visibles. Vous pouvez voir le patient, quand son corps se redresse et devient normal, ou que ses yeux s’ouvrent, ou que ses oreilles sont débouchées.
45. Eh bien, qu’est-ce ? Vous dites qu’un homme, comme ce petit garçon ici… Ou je pense que certains d’entre vous étaient au tabernacle il y a quelques soirées, pour voir cela. Voici une photo de neuf muets que le Chicago Tribune avait publiée, et ceux qu’ils avaient montrés là, ils venaient d’un hôpital, des sourds- muets de naissance ; l’un d’eux était sourd, muet et aveugle. Eh bien, peut-être que l’un des organisateurs vous a lu ces articles. Eh bien, ces gens, des journaux comme le Chicago Tribune, ne sont pas des fanatiques. De tels cas ont été absolument bien examinés avant d’être publiés dans un tel journal ou dans le Waukegan Sun, le Post Dispatch, ou l’un de ces journaux. Ce n’est pas du fanatisme. Ce n’est pas une croyance fabriquée et mythique, ni une théorie. C’est la puissance du Dieu Tout-Puissant. Et Il est ici pour confirmer Cela ce soir, et Il le fera. Et aussitôt que notre auditoire sera d’une même pensée et d’un même cœur…
46. Si ce–si ce groupe de gens assis ici, probablement ceux pour qui on va prier, s’ils viennent à l’estrade ce soir, étant d’un même cœur et d’un commun accord, juste dans les quelques cinq minutes qui vont suivre, il n’y en aura aucun dans ces fauteuils roulants ou sur ces civières. S’ils croient que ceci est la vérité… Et au fur et à mesure qu’ils viennent un à un ce soir, à l’estrade, s’ils ne se lèvent pas tous de ces fauteuils roulants et de ces civières et autres, et ne quittent l’estrade en marchant normalement, alors vous pouvez dire que je suis dans l’erreur.
47. Je me réfère à Dieu, Lui, qui est infaillible. Vous serez guéris. Eh bien, Il est ici pour accomplir Sa Parole. Chaque Parole que Dieu prononce est vraie. Mais vous ne devez pas croire cela à moitié ; vous devez en être sûr.
48. Certaines personnes viennent et disent : « Je crois. » Ils pensent qu’ils croient, mais vous en trouverez un sur mille qui croit réellement. « La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. »
49. Nous sommes dirigés, nos corps, par cinq sens. Combien savent que c’est vrai ? Faites voir la main. Cinq sens : La vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe, c’est ce qui dirige l’homme naturel.
50. Eh bien, il y a un autre homme à l’intérieur, qui est l’homme de la foi, l’esprit. Il a deux sens : l’un, c’est la foi ; l’autre, l’incrédulité. En effet, cela donne le nombre parfait de Dieu, sept, les sens que vous avez.
51. Eh bien, la plupart d’entre vous ici pourraient certainement jurer par leurs cinq sens. Eh bien, remarquez ceci juste un instant.
52. Voudriez-vous bien vous tenir ici, juste un instant, Dr Cauble ? Eh bien, je pense que devant moi se tient un homme portant un petit costume à carreaux ; il porte des lunettes et une cravate rouge. Combien pensent que j’ai raison ? Faites voir la main. Eh bien, comment savez-vous qu’un homme se tient ici ? C’est parce que vous le voyez. Est-ce vrai ? Eh bien, c’est l’unique moyen, l’unique sens que j’ai maintenant, qui me permet de dire que quelqu’un se tient là, parce que je le vois. La vue le déclare.
53. Eh bien, maintenant, je ne le vois pas, mais je pense toujours qu’Il est là. [Frère Branham détourne la tête de frère Cauble, mais il le touche.– N.D.E.] Maintenant, vous direz : « Voir, c’est croire. » Est-ce vrai ? Je pense que Dr Cauble se tient là maintenant, mais je ne le vois pas. En effet, je suis doté d’un sens distinct, autre que la vue, appelé le toucher ; et je sens, par le toucher, qu’il est là. Et je sais que c’est Dr Cauble. Ce n’est pas Dr Bosworth. En effet, Dr Cauble tenait en main un petit Testament, et cela est toujours là. Je–j’ai une fois fait cette déclaration, et quelqu’un m’a furtivement mis quelqu’un d’autre sous la main. Mais j’avais vu que Dr Cauble tenait en main cette petite Bible, et c’est Dr Cauble. Maintenant, l’unique moyen pour moi de pouvoir dire qu’il se tient là maintenant, c’est par le sens du toucher. Et je sais que c’est vrai.
54. Mais maintenant, je ne le touche pas du tout. Ce sens est inopérant pour moi, mais je sais qu’il est là parce que je le vois. Voyez-vous ce que je veux dire ?
55. Il y a deux sens distincts du corps qui déclarent qu’il est là. Avec l’un, je le vois ; avec l’autre, je le touche. Maintenant, il se fait que… Tenez-vous juste là une minute, frère.
56. Maintenant, j’ai un autre sens, et c’est l’ouïe. Jouez une note. [Le pianiste se met à jouer. – N.D.E.] Combien croient qu’on joue de la musique ? Faites voir la main. Voyez-vous cela ? Combien voient cette musique ? Sentez-vous cela ? Goûtez-vous cela ? Touchez-vous cela ? Eh bien, comment savez-vous que c’est de la musique ? Vous êtes dotés… Et si quelqu’un n’avait donc pas le sen… le sens de l’ouïe ici maintenant ? Il ne saurait pas qu’on joue de la musique ; ce sens serait inopérant pour lui. Il ne pourrait pas entendre cela parce qu’il n’entend pas. Mais vous qui êtes dotés du sens de l’ouïe, vous savez qu’on joue cela, parce que vous l’entendez. Vous ne pouvez pas voir cela, vous ne pouvez pas toucher cela, vous ne pouvez pas sentir cela par l’odorat, vous ne pouvez pas goûter cela, mais vous pouvez entendre cela.
57. Or, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas, qu’on ne goûte pas, qu’on ne touche pas, qu’on ne sent pas, qu’on n’entend pas. Mais le sens de la foi est tout aussi réel que votre vue ou n’importe lequel de vos sens. Voyez-vous ce que je veux dire ? Vous croyez cela, vous… Personne ne peut vous faire douter de cela, parce que vous êtes doté de ce sens qui vous dit qu’il en est ainsi.
58. Vous direz : « Cette chemise est blanche. » Et si je vous disais qu’elle est rouge ? Eh bien, vous ne croiriez pas cela, parce qu’elle est blanche. Votre sens de la vue déclare que c’est blanc. Votre œil le déclare.
59. Eh bien, alors, si vous croyez, vous qui êtes ici pour qu’on prie pour vous, qui que vous soyez, si vous croyez ce soir, tout aussi fermement que votre vue déclare que cette chemise est blanche, que vous allez être guéri, l’œuvre sera accomplie maintenant même.
60. Merci, Dr Cauble. C’est vrai. La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas, qu’on ne goûte pas, qu’on ne touche pas, qu’on ne sent pas, ou qu’on n’entend pas. C’est un autre sens. C’est dans une autre dimension. Il n’y a rien de naturel.
61. Vous ne pouvez recevoir quelque chose de la part de Dieu que par la foi. C’est par la foi que les murailles de Jéricho tombèrent. C’est par la foi que Moïse refusa d’être appelé fils de la fille de Pharaon. C’est par la foi que Gédéon a fait telle et telle chose. C’est par la foi, l’unique voie… Et sans la foi, il est impossible d’être agréable à Dieu.
62. Et si vous voulez Lui plaire, vous devez être… venir à Lui avec foi, croire que Sa Parole est la Vérité.
63. Qu’est-ce qui fait que je me tiens debout et je déclare que rien ne peut venir à cette estrade sans être diagnostiqué et que les maladies et les secrets du cœur soient révélés ? Et peu importe à quel point on est estropié, il n’y a personne, ayant assisté à d’autres réunions, qui ignore que chaque fois ils étaient guéris. Pourquoi ? Quand l’Ange m’avait rencontré, Il avait dit : « Si tu amènes les gens à être sincères… », ou plutôt : « Si tu es sincère et que tu amènes les gens à te croire, rien ne résistera à ta prière. » Je crois cela. Et si je peux vous amener à faire la même chose, Louisville, dans le Kentucky, connaîtra une secousse qu’elle n’a jamais connue auparavant. C’est un défi.
64. Mais ce que j’essaie de faire ce soir, c’est–c’est vous amener à voir ce que je veux dire. Puis, quand vous venez ici pour être délivré, tenez-vous ferme sur cette Parole. Il–Il est le Souverain Sacrificateur de votre confession. Dieu ne peut rien faire pour vous avant que vous confessiez d’abord qu’Il existe. Alors, quand vous confessez cela, qu’ensuite vous le croyez, que vous agissez sur base de cela, et vous vous y accrochez, alors Dieu vous tirera d’affaires. Croyez-vous cela ? Exact. Il n’y a pas longtemps à Fort Wayne, dans l’Indiana…
65. En fait, j’ai une petite déclaration là, Dr Bosworth, dans la poche de mon pardessus ; on va vous l’apporter, c’est sur la–la réunion que nous venons de clôturer, dans We the people. Je pense qu’il s’agissait d’une petite fille aveugle, c’est ce qu’ils ont publié. Cela va donc paraître dans We The People, un magazine qui va dans le monde entier, écrit par un reporter de la presse écrite, qui avait fait une déclaration critique, disant : « La jeune fille prétendait avoir été guérie, mais elle ne l’était pas. » Et la petite fille a des attestations médicales et tout, comme cela, et elle a fait publier cela. Et alors, on a examiné cela ; et maintenant, c’est même publié dans We The People. Dieu va agir, et il n’y a personne qui puisse… Je vais laisser Dr Bosworth vous lire cela, peut-être, lors du service de demain après-midi. Cela vient d’être envoyé par le–par le journal de Fort Wayne là.
66. Madame Bosworth, dans les réunions, les gens continuaient, certains disaient… Il y avait un homme assis là, souffrant d’une sclérose en plaques, paralysé depuis dix ans. Il souffrait d’une paralysie progressive qui avait atteint la colonne vertébrale. C’était un homme d’affaires de la ville. Et on ne savait pas… On l’avait fait asseoir là. Et on en avait vu beaucoup dans des fauteuils roulants et des affligés être délivrés. Et ce soir-là, une petite fille aux yeux louches, au fond de la salle, avait vu beaucoup de gens être délivrés des yeux louches.
67. Je n’ai jamais vu un enfant qui louche venir à l’estrade sans être guéri. Nous avons vu plus de trois cents cas des yeux louches être guéris en moins de six mois. Nous en avons des témoignages. Quarante mille témoignages des malades, à ce jour, sur la guérison, des témoignages signés par les médecins et tout.
68. L’heure a sonné, mes amis. Le temps est arrivé. Voici ce que je déclare, et vous pouvez me taxer de fanatique si vous le voulez : Je crois que ceci est un signe de la Seconde Venue de Jésus-Christ. Amen. En effet, il y aura des signes et des prodiges. Et la chose est que, si vous n’êtes pas dans le Royaume de Dieu, hâtez-vous d’Y entrer. Certainement, je dois savoir un peu de quoi je parle, sinon Dieu n’honorerait jamais ma prière en faisant ce qu’Il fait. Et vous qui êtes en dehors du Royaume, cherchez Christ comme votre refuge maintenant, pendant qu’il est temps et pendant que vous en avez l’occasion.
69. Je n’oublierai jamais cette déclaration. Une fois, j’étais au…
70. En fait, pour terminer le récit de la petite fille à Fort Wayne, Madame Bosworth lui a parlé, disant : « Chérie… » Madame Bosworth vendait des livres au fond de la salle.
71. La jeune fille est allée là en pleurant, disant : « Madame Bosworth » (c’est la femme de frère Bosworth), elle a dit : « J’ai vu tous ces gens aux yeux louches être guéris. » C’était une jeune fille d’environ 18 ans, elle louchait horriblement. Elle a dit : « Si vous… » Elle a dit : « Si seulement je pouvais arriver là et entrer dans cette ligne de prière… Mais je n’arrive même pas à avoir une carte. »
72. Madame Bosworth éprouva de la compassion pour cette enfant. Elle dit : « Chérie, si vous retournez droit là où vous pouvez le voir et que vraiment… Ne–ne faites donc pas des suppositions, mais croyez de tout votre cœur que c’est un don de Dieu, je vous assure, il vous appellera dans quelques minutes. »
73. Je priais pour les malades à l’estrade, j’avais le dos tourné à la jeune fille. Tout à coup, j’ai senti cela s’établir, la foi agir. J’ai regardé tout autour, et je n’arrivais pas à repérer cela ; il y avait trop de gens, ils se tenaient là très serrés. Et je savais que ça venait de là, et j’ai essayé de discerner quel genre d’esprit c’était. Voyez, sa foi avait atteint ce niveau-là.
74. Et quand je me suis retourné, je l’ai finalement repérée. Oh! c’était à une distance qui était le double de ce bâtiment, j’ai repéré là où elle se trouvait. Elle portait un manteau vert. J’ai dit : « Vous jeune fille debout là derrière, avec des yeux louches, en manteau vert, n’ayez plus peur. Dieu vous a guérie. » Ses yeux devinrent parfaitement normaux. Là, ce n’est qu’un cas sur des milliers qui sont arrivés comme cela.
75. Eh bien, quand… Si nous pouvons tenir des réunions, si vous, vous pouvez vous rassembler et juste vous débarrasser de ce que vous pensez que ceci est, juste mettre cela de côté. Ne venez pas ici en spectateurs. Venez en croyant, et voyez si ces mêmes choses ne se produisent pas ici même dans cette salle.
76. La première fois que j’ai rencontré Dr Bosworth que voici, c’était à Miami. Nous tenions une série de réunions. Dr Bosworth est connu à travers le monde, il a une expérience de quarante ans sur l’enseignement de la guérison divine. Il se disait qu’un jour Dieu enverrait un–un don à l’Eglise. Et alors, quand il a appris que j’étais là, il s’est dit : « Eh bien, voilà la chose une fois de plus, quelqu’un qui prêche la guérison divine. » Il est venu à la réunion un soir. Et quand nous terminions la réunion… Nous avions, ce qu’on appelle, une ligne rapide, des milliers se tenaient là.
77. Cet après-midi-là, deux petits garçons sur le WBAY (c’est une station radio) avaient été interviewés, ils étaient nés aveugles. Tous les deux avaient recouvré la vue, et on les avait amenés là, à la station radio, pour être interviewés.
78. Frère Bosworth était donc venu à la réunion. Et il s’est fait que quand on a commencé la ligne rapide, ce soir-là, nous avions fait passer des milliers de personnes ; et nous ne faisions que leur imposer les mains alors qu’ils passaient, quatre de front.
79. On a amené une fillette. Je n’oublierai jamais cette enfant. Elle était une mignonne petite créature. C’était une petite fille blonde, avec une dent qui lui ressortait par-devant, et sur les cheveux une toute petite manucure, ou je ne sais comment vous appelez ces histoires que les femmes mettent dans leurs cheveux. On l’a amenée… Elle portait un appareil orthopédique qui lui descendait jusqu’à la taille, ici. Et on l’a amenée dans la ligne, et je lui ai imposé les mains. Elle a quitté l’estrade, puis on l’a ramenée dans la ligne. Eh bien, la pauvre petite créature… Et elle revenait sans cesse. Et donc, quelqu’un la ramenait et on lui imposait les mains. Et pendant qu’elle passait de nouveau, elle a levé les yeux, avec un de ces tout petits sourires, vous savez, avec cette dent qui ressortait. Et Quelque Chose m’a dit : « Arrête cette enfant. »
80. J’ai dit : « Chérie… » J’ai vu qu’elle n’avait pas la foi pour être guérie en ce moment-là.
81. Mais, vous voyez, c’est à cela que sert le don. Vous voyez, des fois ici à l’estrade, on doit travailler. Les gens disent : « Oh ! je crois, Frère Branham. » Mais ils sont ici, en bas ; cependant, ils devraient être ici en haut. Eh bien, puis, quand on leur révèle leurs maladies et les secrets de leur cœur, la foi s’éleve au niveau où j’amène la personne à me croire.
82. C’est ce qu’Il a dit : « Si tu amènes les gens à te croire, qu’ensuite, tu es sincère quand tu pries, aucun démon ne peut donc résister là. » Il doit reconnaître le Maître. Puis… Et je sais qu’Il me l’a dit.
83. Et quand je peux amener la foi d’un patient à ceci, c’est ce qui me donne une foi parfaite. Je n’ai jamais vu cela faillir. Et cela ne faillira jamais. Ça ne peut pas faillir.
84. Et alors, quand on a amené la jeune fille, j’ai dit : « Chérie, tiens-toi juste derrière moi. » Et elle s’est tenue là derrière, elle tenait juste son… elle tenait juste les basques de mon costume. J’ai dit : « Prie, chérie. » Et elle tenait sa petite tête inclinée, priant.
85. Et frère Bosworth était assis, accumulant tout ça, il était toujours un tout petit peu sceptique. Et il observait, comme il était dans l’assistance, observant comment se terminerait la dernière partie de la réunion. Et elle était… c’était la dernière soirée, je pense.
86. Et elle tenait ma veste, et je continuais à prier. J’avais oublié cette enfant. Je me suis encore retourné, j’ai dit : « Chérie, continue à prier », comme cela.
87. Et, peu après, j’ai commencé à sentir que la foi avait commencé à s’établir, comme un battement de cœur : pan, pan, pan. Et quand cela s’est mis à… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… faisant comme cela, je me suis retourné vers elle. J’ai dit : « Maintenant, chérie… », et je lui ai imposé les mains, j’ai prié le Seigneur Jésus.
88. J’ai dit à la mère, j’ai dit : « Maintenant, ôtez-lui l’appareil orthopédique. »
Elle a dit : « Mais, Frère Branham, je vous assure, elle est… »
J’ai dit : « Oui, oui, n’en doutez pas, madame. Faites ce qu’on vous dit de faire. » Elle s’est avancée là et a ôté l’appareil orthopédique de l’enfant.
89. Elle est revenue là, tenant cet énorme appareil orthopédique au milieu de ces gens comme cela, parfaitement normale, normale au possible, avec ces petites jambes. Est-ce vrai, Dr Borsworth ? Et nous avons continué la réunion. Juste quelques instants, j’ai continué…
90. Oh ! deux fois la longueur de cette salle, ou peut-être plus, sous cette grande tente de cirque où les gens se tenaient, jusque là à la grand-route, là au Princess Gardens. Donc, je continuais derrière…
91. J’ai perçu que quelque chose s’était établi, ça a repris : « Fiou, fiou. » J’ai reconnu que c’était la foi. Je ne pouvais pas repérer l’endroit exact d’où ça venait. Je me retournais sans cesse, et je regardais; mais les gens passaient très vite, et il y en avait qui pleuraient, d’autre cherchaient à vous toucher et tout.
92. Peu après, j’ai localisé Cela, c’était là tout au fond, un homme en chemise blanche. J’ai attendu pour voir quel genre d’esprit le liait. Cet homme-là était estropié. Il était tombé d’un cheval, quelques années auparavant. C’était un négociant de Miami. Il avait une main vraiment estropiée, son bras aussi, comme ça. Il était venu comme un critiqueur pour critiquer dans la réunion. Et puis, il a commencé à avoir la foi.
93. Je me suis arrêté, et j’ai dit : « Monsieur, vous, là au fond, le quatrième dans la rangée, vers cette direction, vous en chemise blanche, levez-vous. Jésus-Christ vous a guéri. » Et quand il s’est levé, sa main s’est redressée. Sa petite femme au visage très fardé, on aurait pensé qu’elle était une sainte exaltée, comme le jeune frère l’a dit ce matin dans son émission, à l’entendre crier. Il était là, parfaitement délivré.
94. Frère Bosworth a mené une enquête sur ce cas, puis il est venu me voir. Il a interrogé cet homme sur tout cela. Et quand il a fini par découvrir que c’était ainsi, il a dit, il m’a posé la question, disant : « Comment avez-vous su que c’était lui ? »
95. J’ai dit : « Monsieur, j’ai commencé à me sentir faible. J’ai su que cela venait de quelque part. »
96. Et il a dit, il est allé au micro, il a dit : « Cela prouve que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Cela le prouve. » Il a dit : « Eh bien, le don qui était en Jésus-Christ est comparable à tout l’océan ici, déferlant sur le rivage. Le don qui est dans notre frère est comparable à une cuillérée d’eau puisée de l’océan. Mais les mêmes éléments chimiques qui sont dans la cuillerée d’eau sont les mêmes qui sont dans tout l’océan. » C’est exact.
97. Et je–je me suis senti plus faible. Et cet homme était là parfaitement délivré.
98. Eh bien, c’est arrivé des centaines de fois. Et je pense qu’il y a dans cette salle des gens qui ont assisté à d’autres réunions, pour en témoigner. Ai-je des amis ici qui ont assisté à d’autres réunions, qui peuvent témoigner et confirmer que c’est la vérité ? Levez la main si vous êtes ici. Eh bien, vous pouvez voir. La Bible dit : « Sur la déclaration de deux témoins ou plus… »
99. Eh bien, quand… Vous pouvez avoir la même chose ici à Louisville. Ça ne sert à rien que quelqu’un parte d’ici sans être parfaitement délivré. Peut-être que je n’aurais pas le temps pour chaque personne ici à l’estrade, mais tout le monde peut en bénéficier. Si Dieu peut se manifester ici comme Dieu, et ce que… a confirmé que ce que j’ai dit est la vérité, alors croyez en Dieu. Puis, agissez sur base de votre foi, et mettez votre foi en action avec vivacité, et Dieu se mettra à agir sur vous là même, et Il vous guérira.
100. A Hot Springs, là, il y a eu… Je pense que c’était à Little Rock. Un soir, les ambulances s’étaient tellement entassées qu’elles avaient bloqué les voitures dans les rues. Il a fallu faire venir la police là pour les amener à dégager le virage, juste en bas du château, à Hot… à Rock… à Little Rock, en Arkansas.
101. Révérend monsieur Brown était l’un des pasteurs là. Si vous voulez avoir son témoignage, écrivez à Révérend G.H. Brown, 505, Victory Street, à Little Rock, en Arkansas, et suivez ça. Vous parlez de la puissance démoniaque… Je venais de… C’était environ ma quatrième ou cinquième réunion, vers 11 heures, après que ma main était devenue très engourdie.
102. Des fois, quand je rentre chez moi, ma main est si engourdie, complètement, qu’il me faut y verser de l’eau chaude pendant environ une demi-heure pour recouvrer la sensibilité, physiquement. Et si je porte une montre et que je tienne la main d’un homme, en la portant, cela arrête complètement cette montre. J’ai une montre Longines maintenant, venant directement de l’usine. Je m’en suis emparé. Par quelle réaction physique ou par quel mécanisme ça se produit, je ne sais pas.
103. Mais monsieur Brown m’a dit : « Descendez au sous-sol de l’auditorium, Frère Branham. » Il a dit : « J’ai un cas ici en bas et vous n’avez jamais vu pareille chose. » Eh bien, je suis allé là pendant mon repos.
104. J’ai vu des spectacles horribles, mais jamais je n’avais vu quelque chose de tout à fait pareil. Je suis allé dans des asiles pour fous, où les jeunes filles folles se servaient de bassins hygiéniques pour se débarbouiller. J’ai vu des choses horribles, mais jamais pareille chose. Une jeune femme d’environ trente ou trente-cinq ans, forte, était étendue par terre. Et ses–ses jambes étaient dressées comme ceci, et elles saignaient.
105. Il y avait un homme debout sur les marches, juste un bon vieux frère d’Arkansas en salopette en chemise bleue. Mes amis, je dirai ceci : des fois, les meilleurs cœurs battent sous cela. C’est exact. C’est vrai, je crois. Je–je n’aime pas les histoires artificielles. Je–j’aime les vrais hommes et les vraies femmes à l’ancienne mode. (C’est vrai.), sauvés par Dieu, nés de nouveau. Alors, il se tenait là, dans ses vieux habits délavés. J’ai dit… Je suis descendu.
106. J’ai dit : « Bonsoir. »
Et il a dit : « Bonsoir. Est-ce vous frère Branham ? »
J’ai dit : « Oui, oui. »
Il a dit : « Je me le disais bien. »
Le système de sonorisation transmettait aussi cela là à l’intérieur. Il y avait un groupe de fous d’un côté.
107. Mais on ne pouvait garder cette femme avec les autres. Il avait fallu au moins huit ou dix hommes pour l’amener là. On ne pouvait pas l’amener par l’ambulance. On n’arrivait pas à la mettre à bord de l’ambulance. Et ils ont envoyé quelqu’un là dans une voiture, et elle a cassée toutes les vitres de la voiture, pendant que ces hommes essayaient de la retenir dans la voiture. Et elle était là, couchée sur le dos. Le médecin lui avait donné des piqûres à cause de la ménopause précoce et c’est ce qui l’avait entraînée dans cet état-là. Et elle était là, couchée sur le dos.
108. Et j’ai dit : « Eh bien, je vais m’avancer pour voir si je peux sentir des vibrations. »
Il a dit : « Frère Branham, n’y allez pas. » Il a dit : « Elle vous tuerait. »
J’ai dit : « Oh ! je ne pense pas », juste comme cela.
109. Alors, je me suis avancé. Elle était couchée là, le regard fixé sur moi, battant un peu les yeux. Et j’ai dit : « Bonsoir. » Elle n’a point dit un mot. Je l’ai prise par la main.
110. J’ai dit : « Bonsoir. »
111. Il a dit : « Elle ne connaît même plus son propre nom, Frère Branham, et ce, depuis deux ans. »
112. Et je l’ai prise par la main. Et c’est vraiment que, par la grâce de Dieu, j’étais sur mes gardes. D’une secousse, elle m’a tiré de ses deux mains, comme ça, et elle m’aurait probablement brisé les os du corps. J’ai dégagé mon pied et je l’ai touchée à la poitrine. Elle m’a tiré vers le bas. Je me suis dégagé d’elle d’une secousse. Et puis, quand je la fuyais pour monter les marches, j’ai vu un spectacle jamais vu auparavant. Cette femme, avec ses deux jambes pointées en l’air, comme ceci, me pourchassait en rampant sur son dos comme un serpent. On pouvait l’entendre ramper comme cela, par terre.
113. Eh bien, ça, c’est le diable. Vous pouvez dire tout ce que vous voulez, mais cette femme-là était possédée par un démon. Elle s’est avancée vers moi en rampant sur son dos comme un serpent, et elle est arrivée là et a cogné le plancher comme cela. Elle s’est retournée, elle a levé ses membres très forts contre… a donné des coups de pieds comme cela. Il y avait là un banc. Elle y a cogné la tête ; le sang a giclé d’un côté de sa tête. Et–et elle en a arraché un morceau en cognant. Elle a saisi cela de sa main, l’a lancé à son mari, et ça a cogné le mur. Et le plâtre s’en est détaché, là où elle avait donné un si terrible… La folie l’avait rendue vingt fois plus forte, probablement… Et là, ce gros… Elle était de toute façon une femme corpulente, forte.
114. Et ensuite, elle s’est mise à produire un bruit vraiment drôle, faisant : « Eeeee, eeeee », comme ça.
Je l’ai regardée, et je me suis dit : « Eh bien, je n’ai jamais rien vu… Que Dieu ait pitié d’un pauvre être humain possédé comme cela. »
115. Alors, cet homme s’est mis à pleurer. Il s’est avancé, a placé ses mains, ses bras autour de moi et a dit : « Frère Branham, maintenant, vous dites qu’il n’y a pas des vibrations ? » Il a dit : « Je ne sais pas ce que je vais devenir. » Il a fondu en larmes, pleurant. Il a dit : « Elle a cinq petits enfants à la maison. » Et il a dit : « Je–je … Elle a été une bonne femme. » Il a dit : « Elle hersait cette motte de terre et m’aidait à cultiver mon champ de cotons. » Et il a dit : « Quand elle est tombée malade, a-t-il dit, j’ai fait tout mon possible. Je–j’ai vendu ma ferme. » Et il a dit : « Pour l’amener ici, Frère Branham, j’ai vendu l’unique chose qui me restait, les deux mulets, pour que le frère parcourt un trajet de deux cents miles [321,8 km] afin de l’amener ici. Et alors, elle a cassée les vitres de la voiture, c’est pourquoi ses jambes saignent. » Il a dit : « Elle ne s’est pas relevée de son dos depuis deux ans, et elle ne connaît même pas son propre nom. »
J’ai dit : « Eh bien, frère, assurément, Dieu peut la guérir. »
116. Et à ce moment-là, elle s’est retournée, elle a dit : « William Branham, tu n’as rien à faire avec moi. C’est moi qui l’ai amenée ici. »
117. Il a dit : « Eh bien… »
118. J’ai dit : « Ce n’est pas elle. C’est ce démon qui parle au travers elle. » C’est vrai. Il reconnaît. Il sait.
119. Il a dit : « Eh bien, Frère Branham, c’est le premier mot qu’elle prononce depuis deux ans. »
J’ai dit : « Le démon se sert simplement de ses lèvres, juste comme dans le cas de légion. »
120. Elle s’est avancée vers moi en rampant, elle a dit : « Tu n’as rien à faire avec moi », rampant comme cela.
121. J’ai demandé : « Frère, croyez-vous l’histoire que vous m’avez entendu raconter au sujet de la visitation de cet Ange ? »
122. Il a répondu : « De tout mon cœur », a-t-il dit, en m’entourant de ses bras.
123. Je suis allé au coin de la marche, et j’ai prié de tout mon cœur le Seigneur Jésus. J’ai dit : « Ô Dieu, regarde cette pauvre femme, cinq petits enfants innocents à la maison sans mère, et un nourrisson. » J’ai dit : « Qu’est-ce qui peut arriver ? Ô Dieu, aie pitié. » Alors, l’Esprit du Seigneur est venu. Et j’ai ordonné au diable de quitter cette femme.
124. Je me suis retourné, j’ai dit : « Maintenant, croyez-vous cela ? »
Il a dit : « De tout mon cœur. Que dois-je faire d’elle, Frère Branham ? »
125. J’ai dit : « Ramenez-la. Ramenez-la directement au sanatorium. » J’ai dit : « Si vous ne doutez pas d’une seule chose que je vous ai dite, observez ce qui va se passer. »
126. Deux mois après cela, j’étais à Jonesboro, en Arkansas, où beaucoup de choses se passaient. Quelques vingt-huit mille personnes s’étaient rassemblées dans la ville. Je parlais et j’ai vu une femme se hâter, ou me faire signe de la main.
127. Elle m’a demandé : « Ne me reconnaissez-vous pas, Frère Branham ? »
J’ai dit : « Non, madame. » Elle était assise là, comme ça, et tout le monde…
128. J’ai dit : « Je… Vous tous, excusez-moi, vous tous. » Elle a dit : « J’aimerais vraiment vous voir. »
129. Alors, j’ai vu quelqu’un rire là, c’était son mari. Et elle était assise là avec ses cinq petits enfants, tout aussi normale, dans son bon sens, et tout aussi parfaite que possible.
130. On l’avait ramenée. Au retour, elle n’avait point donné un seul coup de pied à la voiture. On l’avait ramenée dans une cellule capitonnée. Le deuxième matin, on était allé lui donner à manger, elle était assise. Et le quatrième, le troisième ou le quatrième matin, on l’avait fait sortir, étant rétablie, et on l’avait renvoyée chez elle auprès de ses enfants. « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. »
131. Ecoutez, mes amis, des fois, les démons reconnaissent la puissance de Dieu avant les prédicateurs et les chrétiens. Saviez-vous cela ? Bien des fois… Lisez la Bible.
132. Alors que le sacrificateur disait : « Oh ! Il est Béelzébul », le diable disait : « Nous savons qui Tu es, le Fils de Dieu, le Saint d’Israël. » Est-ce vrai ?
133. Vous vous rappelez quand Paul et Silas, alors que les prédicateurs disaient qu’ils étaient des imposteurs, cette petite diseuse de bonne aventure a dit qu’ils étaient des hommes de Dieu, qui avaient la voie de la Vie.
134. Si je ne me trompe pas, c’est le révérend Hooper, de Phoenix, en Arizona, qui est assis au fond de la salle, il peut confirmer ce témoignage. Vous étiez là, ce soir-là, n’est-ce pas, révérend Hooper ? Voilà un homme qui était là même quand ça s’est passé. Ecrivez à révérend G.H. Brown, 505, Victory Street, Little Rock, en Arkansas, et demandez-lui le témoignage. Qu’il vous envoie… Que le sanatorium témoigne de cela. C’est un cas sur des milliers.
135. Encore un seulement. Le lendemain du jour où l’Ange du Seigneur était venu dans la salle… Et puis, je vais commencer la ligne de prière.
136. J’étais–j’étais à El Dorado. Je dois être là au terrain de course pour environ deux soirées, aussitôt que je quitte ici, j’irai à Shreveport, et puis, à El Dorado, et ainsi de suite. Je–j’étais là dans une petite église. Les gens disaient : « Si vous allez prêcher dans cette église… »
137. La ville était bondée de milliers de gens. Et un journaliste avait été converti à partir de cette photo, et un gardien de–de l’hôtel, tous deux au même moment. Ils voulaient savoir comment accepter Jésus. Ils étaient membres des églises depuis des années, mais quand ils ont vu l’œuvre de Dieu, ce que Dieu faisait avec cela, parmi Son peuple… Ils m’ont invité dans une–une–une petite pièce. Et je prêchais.
138. Et quand j’en suis sorti, il y avait quatre hommes rassemblés autour de moi, ils s’engageaient à la porte. Et dehors, sous la pluie, il y avait des gens qui attendaient, sur une distance de plusieurs pâtés de maisons, tenant des toiles pour couvrir leurs bien-aimés et tout ; il n’y avait pas de place où aller, aucune, ils ne pouvaient même pas entrer, il n’y avait de place nulle part, pas de maisons privées. Il y avait des journaux par terre, on les couvrait des toiles, quand une averse s’abattait, des petits enfants estropiés attendaient leur tour pour essayer d’entrer dans la ligne de prière. Je vous assure, frère, ce sont des gens qui aiment Dieu. C’est vrai. Je n’oublierai jamais cela. Beaucoup de choses surnaturelles, mystiques, se sont produites dans la ligne. Je sortais du bâtiment, les gens pleuraient, se précipitaient, essayant d’arriver là où nous étions, comme cela. On avait formé une ligne allant vers la voiture.
139. J’entendais continuellement quelqu’un crier : « Miséricorde ! Miséricorde ! Miséricorde ! »
140. Alors, j’ai regardé tout autour. Je pouvais entendre cela quelque part, on dirait Quelque Chose tressaillant dans mon cœur. J’ai regardé. Debout là loin, de l’autre côté… Il y a une loi en Arkansas qui interdit que les noirs et les blancs soient ensemble. Il y avait, debout d’un côté, un homme de couleur qui tenait en main juste une petite casquette, il était debout là sous la pluie, et la pluie le frappait au visage. Il était avec sa femme, il criait : « Miséricorde ! Miséricorde ! Miséricorde ! »
141. Je me suis rappelé l’aveugle Bartimée. Et je m’en allais, et on dirait que Quelque Chose me disait de ne pas le faire. Des centaines de gens faisaient pression, j’ai dit : « Je tiens à aller là où se trouve cet homme de couleur. »
142. Ils ont dit : « Frère Branham, vous ne pouvez pas faire cela. » Deux d’entre eux étaient des policiers. Ils ont dit : « Vous allez aussitôt déclencher une émeute raciale. » Ils ont dit : « Vous ne pouvez pas faire cela. »
J’ai dit : « Mais le Seigneur me dit d’aller là où il se trouve. »
143. Et je me suis échappé vers un côté et j’y suis allé là. Ils ont formé un petit cercle. Et j’ai entendu sa femme lui dire, alors que je m’approchais, sa vieille femme dire : « Voici venir le pasteur, chéri. » Oh ! la la ! Je me suis approché un peu plus de là où il était…
Il a dit : « Est-ce vous pasteur Branham ? »
Et j’ai dit : « Oui, oui. »
144. Il s’est mis à me tâter le visage de sa main. Et il a dit : « Pasteur, avez-vous juste une minute pour entendre mon histoire ? »
J’ai dit : « Oui, oui. »
145. Il a dit : « Pasteur, a-t-il dit, ma vieille maman était une bonne femme pieuse. » Il a dit : « Elle ne m’avait jamais dit un mensonge de toute sa vie. » Il a dit : « Elle est morte il y a de cela dix ans maintenant. » Il a dit : « Je n’ai même jamais entendu parler de vous de toute ma vie. » Il a dit : « J’habite à environ cent miles [160 km] d’ici. » Il a dit : « Hier soir… » Il a dit : « ça fait plusieurs années que je suis aveugle. » Il a dit : « Hier soir, je me suis réveillé, et à côté de mon lit se tenait ma vieille maman. Et elle a dit : ‘Mon enfant chéri, va à El Dorado, en Arkansas, et demande quelqu’un du nom de Branham.’ Elle a dit : ‘Le Seigneur a donné un don de guérison divine. Tu recouvreras la vue.’ » Oh ! la la ! On dirait que mon cœur devenait gros comme ça. J’ai vu que c’est Dieu qui parlait.
146. Si l’homme ne veut pas croire cela, Dieu le déclarera d’une autre façon à celui qui a un cœur sincère. Il le fera.
147. Je lui ai imposé les mains, j’ai dit : « Frère, le Seigneur Jésus qui vous a donné cette vision se tient ici maintenant pour vous guérir. » J’ai ôté mes mains de lui. Je l’ai tenu par la main, la cataracte était morte. Les larmes ont commencé à… coulaient de ses joues.
148. Il a dit : « Je Te remercie, Seigneur. Je Te remercie, Seigneur. »
Elle a dit, sa femme a dit : « Chéri, est-ce que tu vois ? »
Il a dit : « Oui, je vois. »
Elle a dit : « Oh ! Vraiment, tu–tu vois, chéri ? »
149. Il a dit : « Oui. » Il a dit : « C’est une voiture rouge qui est stationnée là. » Oh ! la la ! Elle s’est mise à crier comme cela. Et alors, on m’a pris, on m’a amené à la voiture.
150. Plus tard, je suis descendu d’un avion un soir, près de Memphis, dans le Tennessee, et je m’en allais, j’ai entendu quelqu’un crier : « Bonjour, pasteur Branham. » Je suis allé là. Et qui était-ce ? C’était lui là, normal, il pouvait lire sa Bible ou n’importe quoi. »
151. Je me suis dit : « Grâce étonnante, oh ! quel doux son, qui sauva un malheureux… »
152. Il est toujours le même ce soir qu’Il était alors. Il est ici, mes amis. Tout ce que je vous demande de faire, c’est croire que je vous ai dit la Vérité. Puis, observez la puissance du Dieu Tout-Puissant agir, comme je l’ai dit. Si ça ne se fait pas, alors dites que frère Branham est un faux prophète. Si ça se fait, alors croyez en Dieu à cause du témoignage. Inclinons la tête.
153. Notre Père céleste, oh ! je me dis qu’un jour, quand nous serons arrivés à la fin du voyage, et que j’atteindrai Ta maison, je Te prie de me laisser entrer, et que je puisse m’asseoir quelque part là avec toutes ces chères personnes que j’ai rencontrées. Nous pourrons parler des choses, des souvenirs que nous avons de ces grandes œuvres que Tu as accomplies pour nous. Et comme c’est merveilleux, dans le pèlerinage ici, de Te voir et de savoir que Tu es près, et que Tu es ici ce soir pour délivrer ces malades et ces affligés.
154. Seigneur, jusqu’à ce moment, nous ne savons qui Tu as choisi pour entrer dans cette ligne. C’est Toi qui le sais. Quelqu’un est ici. Il y a cinquante personnes qui ont des cartes. Seigneur, Toi, Tu pourvoiras. Tu connais qui ici viendra. Et nous recommandons cela entre Tes mains, Seigneur.
155. Maintenant, bénis chaque personne. Et, Seigneur, puissent ceux qui ne seront pas en mesure d’entrer dans la ligne de prière, après qu’ils auront les autres qui sont affligés et tourmentés tels qu’ils le sont, être délivrés, ô Dieu, je prie ; puissent-ils voir leur foi monter et qu’ils croient. Et, ô Père, accorde qu’il y ait un réveil à l’ancienne mode qui va commencer partout dans la ville, Seigneur, de telle manière que chaque église aura des réveils et que les âmes perdues entreront, croyant en Ton Fils bien-aimé. Accorde-le, Dieu bien-aimé.
156. Maintenant, Père, Tu connais la–la faiblesse de l’homme. Et nous connaissons la puissance de Dieu. Et je Te prie d’envoyer Ton Ange, Celui qui m’a séparé du sein de ma mère pour me faire entrer dans cette vie, et qui m’a ordonné pour ce but ; qu’Il se tienne ici ce soir. Dieu bien-aimé, j’ai courageusement fait cette forte déclaration devant des milliers et des centaines de milliers de gens, que Tu n’as encore jamais failli. Et je sais que Tu ne nous décevras pas ce soir, mais Tu accorderas ce soir que chaque péché secret du cœur soit révélé aux gens, que leurs maladies leurs soient révélées, les démons qui les lient. Et chaque personne sera délivrée, n’est-ce pas, Père ? En effet, nous avons confiance en Toi, nous T’aimons, nous croyons en Toi, et nous demandons cela en Ton Nom et pour Ta gloire. Exauce maintenant la prière de Ton serviteur, Père, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
157. Très bien. Celui qui s’occupe de la ligne de prière maintenant. [Un frère vient au micro et dit : « J’aimerais que ceux qui ont les cartes de prière B-85 jusqu’à B-100 se tiennent dans la ligne, à ma droite et à ma gauche suivant votre numéro, sur les marches de l’estrade : de B-85 à B-100. Tous les autres, restez assis. » – N.D.E.]
158. Je pourrais dire, pendant qu’il forme la ligne, que chaque personne ici connait le… Voici ce que nous essayons de dire, que vous devez être respectueux. Nous ne serons pas responsable… Chaque soir, je dois dire ceci au regard de la loi. Je ne suis pas responsable d’un quelconque critiqueur dans la réunion. Ces maladies vont d’une personne à une autre, spécialement l’épilepsie et tout comme cela. J’ai vu des gens venir dans des réunions parfaitement normaux, j’ai vu un handicapé moteur assis là, et il sort normal tandis que le critiqueur sort estropié. J’en ai vu venir du coup à vingt-huit, piquer une crise d’épilepsie dans la salle. Ces puissances démoniaques se trouveront où aller.
159. Et, mes amis, c’est la Bible. Combien savent que c’est la doctrine de la Bible ? Faites voir la main. Ceci n’est que l’Eglise du Nouveau Testament en action, n’est-ce pas, mes amis ? La puissance du Dieu Tout-Puissant pour délivrer.
160. Et pendant qu’on aligne les gens, je pense que ceux qui sont dans des fauteuils roulants, on souhaiterait que vous restiez assis tranquillement ; on viendra vous prendre n’importe quand qu’on… Quand le numéro de votre carte est prêt, on va–on va vous appeler.
161. Maintenant, j’aimerais que tout le monde s’en souvienne. Vous êtes–vous êtes toujours le bienvenu aux réunions, tout le monde. Mais quand je vous demande d’incliner la tête, vous devez incliner la tête. Et puis, quand je… Ne relevez pas la tête avant de m’entendre dire à ce micro, ou par frère Bosworth qui se tient là, de relever la tête. Si vous le faites avant cela, je ne serai pas responsable de ce qui va se passer.
162. Monsieur Hooper assis tout près, il était au… J’aimerais voir quelqu’un qui avait assisté à une autre réunion. Il était avec nous à Phoenix, en Arizona, où l’une des autorités de la ville assistait à la réunion.
163. Il a dit : « Eh bien, c’est un bon cas de psychologie, a-t-il dit, je vais simplement… il n’y a rien là. » Je continuais à sentir la présence de cet homme. Il était assis au fond, à ma droite. J’ai dit : « Quelqu’un à ma droite a levé la tête. » Il ne voulait pas baisser la tête.
164. Un des huissiers lui a parlé, disant : « Baissez la tête. » C’était une autorité de la ville. Il a donc dit : « Je ne suis pas obligé. »
« D’accord. »
On m’en a donc juste fait part.
165. J’avais un petit enfant là, et il portait des haillons rattachés avec des épingles et il cherchait… Il piquait des crises d’épilepsie, il en avait alors piqué une juste à l’estrade. Des fois, quand un épileptique vient, cela lui fait piquer une crise.
166. Et j’ai dit : « D’accord, monsieur ; je vous l’ai demandé. C’est tout ce que je peux faire. »
J’ai prié. J’ai dit : « Ô Dieu, ne laisse pas cet enfant innocent souffrir à cause de cet enfant… de cet homme, de sa désobéissance. » Cela a quitté l’enfant. L’homme a tout simplement souri, et il s’en est allé.
167. Environ deux jours plus tard, il est venu… Il commençait à éprouver un drôle de sentiment, il s’est dit : « Oh ! c’est juste moi qui pense cela, c’est tout. » Il s’est dit : « C’est juste–c’est juste mon imagination qui cherche à me gagner. » Il essayait de s’en débarrasser.
168. Un jour ou plus, plus tard, les autorités l’ont ramassé en ville, errant çà et là. Environ six semaines plus tard, il est venu…
169. Je tenais une réunion chez Charles Fuller… avec Charles Fuller, là à Long Beach. Si quelqu’un parmi vous y a été, vous savez combien de gens il y avait là. Il y avait littéralement des milliers là, debout le long de la plage, alors ils… Il n’a pas pu entrer là. Il est allé à Los Angeles, il n’a pas pu entrer là.
170. Et finalement, à Modesto, sa femme, par une nuit pluvieuse, est tombée en travers du chemin. Il avait le visage couvert de barbe. La barbe avait poussé sur son visage, c’était horrible, hideux. Et il était là. Elle a dit : « Frère Branham, quelque chose doit être fait. » Elle a dit : « Il–il–il ne–il ne veut même pas manger. On ne peut pas lui faire avaler de l’eau. » Oh ! il avait l’air horrible, assis là, alors qu’il avait le regard fixe.
171. Je suis entré. Il s’est mis à faire : « Hmm », s’éloignant de moi, comme cela.
172. Je leur ai demandé de fermer les portes. Et nous étions fatigués ; ayant passé le samedi soir, quatre heures, là dans une maison de club nous occuper des malades. J’ai demandé à frère Brown et frère Moore de fermer la porte et de disperser les gens. Sa femme était couverte de boue pour être tombée en chemin. Alors, la femme de cette autorité s’était accrochée aux jambes de mon pantalon. Je ne pouvais même pas bouger. On ne pouvait pas me traîner, avec elle accrochée, pour que j’aille vers son mari.
173. Environ quarante-cinq minutes plus tard, cela l’a quitté. Il m’a entouré de ses bras et m’a étreint ; il plaça son chapeau sur la tête comme cela, me serra la main et rentra chez lui, un homme bien portant.
174. Je vous assure, mes amis, si j’étais critiqueur, je ne resterais même pas là où ceci se passe. Je suis ici pour vous aider et non pour vous faire obstacle. Eh bien, maintenant, ne l’oubliez donc pas. Si vous gardez votre tête inclinée, et que quelque chose arrive, j’en serai alors responsable. Eh bien, vous ne pourrez pas en parler, car je reconnaîtrais alors cela quand vous viendrez ici. Mais maintenant, soyez vraiment respectueux, soyez en prière. Quand je vous demande d’incliner la tête, gardez la tête inclinée. Vous l’avez fait hier soir, c’est très gentil. Et faites de même ce soir, tout ira bien. Est-ce que vous… Apprêtez vos lignes. Inclinons donc la tête maintenant juste un instant.
175. Père, je me rends compte que–que ceci est un grand moment. C’est le moment où nous faisons face à l’adversaire. Et voici des estropiés, des affligés, et des gens mourants. Voici des gens debout ici dans la ligne, souffrant peut-être du cancer du cœur. Je ne sais donc pas ce qui cloche en eux. Mais Toi, Tu le révéleras à Ton serviteur. Et je Te prie de délivrer chacun d’eux et de le rétablir parfaitement. Et que Satan soit chassé à chaque fois et qu’il soit exposé devant l’auditoire. Que tout le monde soit gentil, Seigneur, qu’il collabore, tous les chrétiens. Que nous ayons une glorieuse réunion ce soir. Que la puissance du Saint-Esprit balaye toute la salle, guérisse chaque personne qui est dans la salle, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Chantons encore une fois seulement, s’il vous plaît.
176. Crois seulement… (Tout le monde, tout aussi respectueux que possible.)
Tout est possible, crois seulement ;
Crois seulement, crois seulement.
Tout est possible, crois seulement.
Je me demande si nous pouvons le chanter maintenant comme ceci :
Maintenant, je crois…
Combien croient ? Levez juste la main pendant que vous chantez cela.
Maintenant, je crois, (Louez le Seigneur.)
177. [Espace vide sur la bande. La ligne de prière a commencé. – N.D.E.] … a le cancer ou une maladie gynécologique. Et juste un instant, tous deux se manifestent de la même façon. C’est une maladie gynécologique, c’est ce que c’est. Est-ce vrai ? Oui. Ça tend pratiquement vers le cancer, cependant, c’est ça. La vie n’a pas été facile pour vous, n’est-ce pas ? Nous vous aviez eu beaucoup d’ennuis…1 I want to explain something... [Public address system causes loud
feedback noise--Ed.]... some vital things that you should know. My
voice is not very loud, so I probably have to get over here. If the
Lord permits, Sunday afternoon, I want to speak to you in a
evangelistic Gospel sermon, for Sunday afternoon. And we are expecting
some great things for the Lord to do for us this week.
One thing is concerning... Many here would not hardly
understand just how that these prayer cards are--are given out to the
sick and the afflicted. In three years of trying, this is the only
program that I've ever found that was really looked like was blessed of
God.
3 First we would just go in and have no cards at all, and just let the
people line up. It was such a congestion too. Then I'd get to pray
maybe fifteen, twenty minutes at a time; the crowds would get on me,
and they'd have to pull me out.
And then the next, started, we would send the prayer cards
ahead to the ministers. And each minister sponsoring, maybe there'd be
fifty or more churches throughout the area would sponsor the meeting,
and each minister would have at least a hundred cards. Every minister
wanted his congregation first. He would give them to his congregation
and probably the entire four or five nights, just one minister's
congregation would get in, the rest of them would feel very bad about
it.
Then we thought about having the local people, just the local
people in the community; and sometimes people come for as many as
seven, eight thousand miles to the meetings. That wasn't right.
6 And the only way that we found that we could be really... let the
Lord make the way, is to come and take prayer cards, about fifty of
them, and just give them out to the groups of the people, and no one
knows just who is going to be in.
I seen the time that I give out fifty cards and not one of
them be called. Start into the meeting, and the Spirit of the Lord lead
me right out amongst the people, like that, never even use the prayer
cards.
I seen the time I'd sit on the platform, and I'd just start
to speak, and I'd just lose my whole self for an hour or more, time,
while calling the first one, and then the other like that. I'd... Every
one healed.
Many people rally for the--the line then. I've made this
remark; it's the truth; it's been good for five year... for three years
now. Pardon me. Every person comes to this platform is healed. There's
never been nothing, no matter how bad it was twisted, and crippled, or
afflicted, it's always healed. There's been some hideous cases. But
I... Maybe, in one night's time, I'd just be able to get maybe three or
four or five. Maybe sometime...
10 I seen once at Calgary, Canada, where only got two, where
twenty-five thousand people had gathered: two.
One was a boy been afflicted for eighteen years; his hand was
drawed under him. He was in a wheelchair. His mother had pawned her
wedding ring to keep him. He had been in about seven or eight meetings,
never could get a card. Finally his time arrived for him to be at the
platform. Boy walked off the platform. Next morning, he shaved himself
for the first time in his life. Met me out there on the ramp when the
plane came down at Vancouver to shake my hand.
The little girl was the next. The little girl, Catholic by
faith, one leg was four inches shorter than the other. We had about a
hour and something with that little girl. And this same Bible... When
they brought her there, she would go way down to the side. I laid this
Bible on her head; she walked just as normal as any child, back and
forth across the platform, when the twenty-five thousand people
setting, looking on. But those things, we just say...
13 I don't know no one in here who has a prayer card, or who will be
first. We give out those cards and then we come in.
I will try and give you an idea. My brother says, "I gave out
fifty cards."
I come into the building; I might meet a little child. I'd
say, "Can you count?"
Say, "Yes, sir."
I say, "Start counting."
Maybe he'd count up to ten, fifteen or twenty, and stop;
wherever he stopped, I'd start the prayer line. If he stopped at
twenty, I'd start the prayer line at twenty, and maybe go forward or
backward. Maybe the next night I would count off so many people in a
row and divide it by two, and see what number it is, or something like
that.
18 No one knows yet tonight, where the prayer line will start; just
wherever it seems like. Sometimes it falls right among the cripples.
Sometimes it falls among the sick. I don't know. No one knows. We just
give out the cards and then let the Lord lead for the rest, and it's
always worked successfully that way. Be in prayer.
19 I believe this is all new to you people here. In all the meetings
I've ever been, this is the smallest second night meeting I ever had in
any meeting since I been in the field. Usually, on the second night,
any auditorium, or been announced any way, usually runs seven, eight,
ten thousand by the second night. 'Course, it's just locally
advertised. What makes the crowd, because it's internationally
advertised, and so many hundred come from one state, and the other
states, to make up the group.
My next meeting after here will be in Houston, at the
coliseum. I think it seats seventeen thousand, I believe. It's already
in about four or five international papers. That's where the people
come, from across the seas and all, everywhere.
I wish to read just a little bit of the Word tonight, for
God's Word never fails. My words will; His Word will not. It's found in
Psalms 103, the 1st, 2nd, and 3rd verse.
Bless the LORD, O my soul: and all that is within me, bless his holy
name.
Bless the LORD, O my soul, and forget not all his benefits:
Who forgiveth all of thine iniquities; who healeth all thy diseases;
May God add His blessings to His Word. All of this, speaking
of "Diseases And Afflictions," I wish just for a few moments to make
some statements concerning it. And I want you to listen and give it
your undivided attention.
23 Diseases and afflictions are all the results of sin, maybe not in
your life, but in somebody's life before you. The devil is the author
of sickness and afflictions. Before we had any devil, we had no
sickness or affliction. But when Satan came, he brought with him
sickness and afflictions.
There's so many times that we refer to them as blessings. I
never could think that God could get a blessing out of a sick person,
unless it was a sinner, driving him to God, or a disobedient child,
bringing him back to be reconciled to his Father. But sicknesses are
the results of the devil and of the fall. There's...
Today, we have the best doctors we've ever had. We got the
best medical science, best hospitals we've ever had; and more sickness
than we ever had. And in the day that when we've got the best medical
science we ever had, they're constantly building institutions for the
incurable. Right when we got the best scientific work on afflictions
and sickness we ever had; building institutions, yearly, for the
incurable.
26 But there never was nothing that came before Jesus Christ, the Son
of God, but what He was more than a match for it. And He's just the
same today as He was yesterday, and will be forever. And He proves
that. And you'll see it night after night. And if it isn't so, then you
have a right to doubt.
Someone said, "Does the healings last?"
They last as long as faith lasts. But when faith fails, then
your healing will fail. Would you say every person that came to the
altar and got converted would be a Christian all their days? He could
be tonight a child of God, and tomorrow be a child of the devil. It's
when he loses faith in God, what sends him back.
28 And any power that could heal you here at this platform can keep you
well. That's the reason I made this statement, that nothing comes here
but what it's delivered here. Outside here, it's according to your
faith whether it stays.
I've seen people come to the platform, totally blind, and
read this same Bible. In less than five days, come back again just as
blind as they ever was. Why did they read here? The power of the devil
recognized that gift of God and he had to leave. Now, that's an aw...
that's a... I know that's a real statement to make, but I know where I
stand. And I know Who I have believed, and I know His power to heal.
30 Someone said, not long ago when I was in Phoenix. Prayer lines was
way down the streets; they couldn't even get into the auditorium. Going
in the line, someone said, "Are--aren't you afraid, Brother Branham, to
stand there before all those things and realize that critics are
standing there and newspaper reporters, and so forth, to criticize?"
I said, "I'm not afraid as long as I feel that He's near. But
if I can't feel Him, I would get off the platform and go home." No man
can do nothing. All has to come from God.
32 For instance, we'll take the... to speak for a few moments about
cancer. It seems to be one of the major enemies today. What is a
cancer? Where did it come from? Tumor, cataract, ulcer, pneumonia,
tuberculosis, all of those names are medical names that medical science
gave them. The Bible declares them to be devils. For instance, cancer,
what is a cancer? It usually comes from a bruise.
33 All the natural things of the earth type the spiritual. Everything
in the natural types the spiritual. You know that, most all of you.
34 For instance, like when a baby is born, and when a child is born of
God. When a baby, when a child is born in the Kingdom of God... The
Bible said, "There are three that bear record in the heaven, the
Father, the Son, and the Holy Ghost." [Someone has been crying out,
several times--Ed.]
Now, it's someone is sick or something, so just give me your
attention. If you miss these things, you'll probably miss your healing
altogether.
36 "There are three that bear record in heaven." Now, when we're... On
our conversion... The elements came from Jesus Christ's body when He
died; there was water, blood, and Spirit, and these three things make
up the new birth. Is that right, ministers? These three elements make
up the new birth: water, blood, and Spirit.
That make up the natural birth, when a baby's born... What's
the first thing? Water, blood, life. All the natural things type the
spiritual.
38 And a cancer, in the natural... In the spiritual he's a devil. He
types the scavenger and a buzzard: eats dead things.
The cancer comes from a bruise. For instance, my hand,
it--it--it hasn't got any cancer on it. And it may have sometime. Well,
what causes a cancer, is a... Some cell, germ in my body, backslides,
gets bruised, or something sets in. And from that germ, or cell, it
starts a multiplication of cells, multiplying, and it forms a cancer,
and it starts eating into the body.
40 Now, every life, and every bit of life there is, came--comes from a
germ. You yourself are from a germ of life. You came; one time you were
just a teeny little germ, so small that couldn't be seen by the natural
eye. You came from your father. You're nothing, none of your mother's
blood at all. The blood cell comes from the male sex. And then from
that germ, it becomes to multiplying cells. And everything after its
kind: a germ from the dog will bring forth dog, from a bird a bird, a
human a human. If nothing interrupts that, God's program, nothing
interrupts it, it'll bring forth a perfect, normal child. And it'll
grow to a perfect, normal adult, if nothing interrupts it. But when
something interrupts it, then it's bound to be the evil that interrupts
God's program.
God didn't intend you to be sick. God made you in His
likeness. He wants you to be well. He's done everything He can to keep
you well.
42 And Satan's against you. Therefore, this cancer he--he starts, or
this tumor, whatever it is; from a germ he begins to multiply, like a
tumor becomes malignant, so forth. It's a body, just like you're of a
body. It has a spirit just like you are spirit; only it has not a soul.
But it has a life like you have a life. And therefore, then, in you, in
your flesh, there is two lives. One are you and the other one is
another being, multiplying cells, growing a body, just like you growed
in a body. Is that right?
Well then, what does that? The devil. The--the germ is a
life. First, the germ is a teeny little cell with a life in it. And
that life only can come from two resources: either from God or the
devil. And you came from the germ of life, by God. The cancer, tumor,
or so forth, come from the germ of life by the devil. And he's trying
to destroy your life. He eats up your blood stream and--and different
ways he works upon.
Therefore, I know that they are devils. Jesus Christ called
them devils. And what He says is the truth. They are the devil. The
devil is a tormentor. He's here to tear up your body, to eat you up, to
destroy you, shorten your three score and ten, if he can.
44 That's why that when this Angel of God comes down to where I am... I
know nothing about any of you. But that's the reason He tells you the
kind of disease that you have in your body, because that life is
subject to the Life that God has sent down to discern it. And then the
things that you've done in your life, if it's done by the power of God,
then I can tell whether it's there or whether it's gone. And you can
see it by a physical results shown. You can see the patient, when its
body becomes straight and normal, or its eyes opens up, or its ears
become unstopped.
45 Now, what is it? You say a man, like the little boy here, or I
believe some of you was over at the Tabernacle a few nights ago to see.
Here's a picture here of where the "Chicago Tribune" gave of nine
mutes, that they set out there, that came from the institution, born
deaf and dumb, one of them deaf, dumb and blind. Now, perhaps some of
the managers has read those notes to you. Now, those people, newspapers
like "Chicago Tribune," are not fanatics. Them cases has to be
absolutely thoroughly examined before that can be placed in a paper
like that or "Waukegan Sun," or "Post Dispatch," or any of those
papers. It's not a fanaticism. It's not a work up, mythical belief, or
a theory. It's the power of Almighty God. And He's here to confirm It
tonight, and will do it. And the sooner that our audience gets with one
mind and one heart...
If this--if this group of people setting here, probably the
one's that's to be prayed for tonight, to come on the platform, if they
will be in one heart and one accord, just in the next five minutes,
there won't be one of them in these wheelchairs or cots. If they'll
believe that this is the truth... And as they come, one by one tonight,
to the platform; if they're, each one, not taken from those wheelchairs
and cots and things, and walk off this platform normal, then you can
say I'm wrong.
47 And I refer back to God, Who, He's infallible. You will be healed.
Now, He's here to make His Word good. Every Word God says is true. But
you've got to not half way believe it; you've got to know it.
Some people come, say, "I believe." They think they believe;
but you find one out of every thousand that really believe. "Faith is
the substance of things hoped for, the evidence of things not seen."
49 We're controlled, our bodies are, by five senses. How many knows
that to be true? Let's see your hand. Five senses: see, taste, feel,
smell, and hear, that controls the natural man.
Now, there's another man on the inside, which is the man of
faith, the spirit. He has two senses: One of them is faith; the other
is unbelief. Which, makes the perfect number of God, seven, senses you
have.
Now, most any of you in here would certainly swear by your
five senses. Now, notice this just a moment.
52 Would you stand here, just a moment, Dr. Cobbles? Now, I believe
that there's a man standing before me, wearing a little checkered-like
suit; he has glasses on, with a red tie. How many thinks I'm right,
let's see your hands? Well, how do you know there's a man standing
there? Because you see him. Is that right? Now, that's the only way,
the only sense, that I have now would tell me there's someone standing
there, because I see him. Sight declares him.
Well, I do not see him now, but I still believe he's there.
[Brother Branham turns his head away from Brother Cobbles, but touches
him--Ed.] Now you say, "Saying is believing." Is it? I believe that Dr.
Cobbles is standing there now, and I do not see him. Because I'm
possessed with an individual sense, outside of sight; it's called
feeling, and I feel he's there. And I know it's Dr. Cobbles. It isn't
Dr. Bosworth. Cause, Dr. Cobbles had a little Testament in his hand,
and it's still there. So I--I made that statement one time and someone
slipped someone else up on me. But I noticed that Dr. Cobbles had this
little Bible in his hand, and it's Dr. Cobbles. Now the only way that I
could tell that he was standing there now is by the sense of feeling.
And I know it's true.
54 But now I do not feel him at all. That sense is dead to me, but I
know he's there because I see him. See what I mean?
There's two distinct senses of the body that says that he's
there. One of them: I see him, the next one, I feel him. Now there
happens... Just stand right there just a minute, brother.
56 Now, I have another sense, and that is of hearing. Strike some music
of something. [The pianist begins playing--Ed.] How many believes
there's music playing? Let's see you hand. Do you see it? How many sees
that music? Do you smell it, taste it, feel it? Well, how do you know
it's music? You're possessed... What if someone didn't have the--the
sense of hearing now in here? They wouldn't know that music is playing;
that sense is dead to them. They couldn't hear it, because they can't
hear. But you who have a sense of hearing know it's playing, because
you hear it. You can't see it, you can't feel it, you can't smell it,
you can't taste it, but you can hear it.
Now, faith is the substance of things hoped for, the evidence
of things you do not see, taste, feel, smell, or hear. But the sense of
faith is just as real as your sight is or any other of your senses. You
see what I mean? You believe it, you just... There's no one can make
you doubt it, because you're possessed with that sense that tells you
it's so.
58 You'd say, "That shirt was white." What if I'd tell you it was red?
Well, you wouldn't believe it, because it's white. Your sense of sight
says it's white. Your eye says so.
Well, now if you believe, you here to be prayed for, whoever
you are, if you believe tonight that you're going to be healed, just as
firmly as your sight says that shirt's white, the work's done right now.
Thank you, Dr. Cobbles.
That's right. Faith is the substance of things hoped for, the
evidence of things you do not see, taste, feel, smell, or hear. It's
another sense. It's in the other realm. It's nothing natural.
61 You can't have anything from God, only by faith. By faith the walls
of Jericho fell. By faith Moses refused to be called the son of
Pharaoh's daughter. By faith Gideon did so-and-so. By faith, only
way... And without faith it's impossible to please God. And if you want
to please Him, you must be--come to Him with faith, believing His Word
is Truth.
63 Why is it I stand and make this declaration of words and say that
nothing can come to this platform without being diagnosed and tell the
diseases, the secrets of the hearts? And no matter how bad it's
crippled, there's no one, that's been in other meetings, but know that
every time they're healed. Why? When the Angel met me, He said, "If
you'll get the people to be sincere..." Or, "If you'll be sincere and
get the people to believe you, nothing will stand before your prayer."
I believe it. And if I can get you to do the same thing, Louisville,
Kentucky, will have a shaking like it's never had before. That's a
challenge.
64 But what I'm trying to do tonight, is--is to get you to see what I
mean. Then when you come here, and delivered, stand right on that Word.
He--He's the High Priest of your confession. God can't do nothing to
you till first you confess that He is. Then when you confess it, then
believe it, act upon it, and stay with it, and God will bring you out.
Do you believe that? Truly. Here not long ago at Fort Wayne, Indiana...
65 By the way, I have a little statement there, Dr. Bosworth, in my
overcoat pocket, they'll bring it to you, of the--the meeting we just
come out, in "We The People." I believe it was a little blind girl,
that they published it. It's going to come in "We The People" now, a
book that goes over the world, of a newspaper reporter that wrote up a
critical statement, said, "The girl claimed that she was healed, and
wasn't." And the little girl's got the doctor's statements, and so
forth like that, and published it. And then they examined it, and now
it's even went to "We The People." God will move, and there's no one
that can... I'll let Dr. Bosworth read it for you, maybe, in tomorrow
afternoon's service. It's just sent down by the--by the Fort Wayne's
paper up there.
66 Mrs. Bosworth, in meetings they were going on, some of them were
saying... There was a man setting there with multiple sclerosis, been
paralyzed for ten years. He had creeping paralysis, came into his
spine. He was a business man of the city. And they didn't know... They
had him setting there. And they'd seen many in the wheelchairs, and
afflicted people, delivered. And that night, a little cross-eyed girl
at the back of the building had seen many people delivered, cross-eyed.
I have never seen any cross-eyed child ever come to the
platform but what was healed. And we seen better than three hundred
cases of cross-eyes, healed, less than six months time. We had record
of it. Forty thousand testimonies to the sick, to the date, of healing,
witnesses, signed by doctors, and so forth.
68 The hour is here, people. The time is here. I say this, and you can
brand me a fanatic, if you wish to. I believe that this indicates the
second coming of Jesus Christ. Amen. For there'll be signs and wonders.
And the thing of it is, if you're not in the Kingdom of God, press into
It. Surely I would have some knowledge of what I'm speaking of, or God
would never honor my prayer to do what He does. And you outside the
kingdom, seek Christ as your refuge now, while it's time and while you
have the opportunity.
I shall never forget a statement. One time I was standing at
the...
70 By the way, to finish telling you of the little girl at Fort Wayne,.
Mrs. Bosworth told her, said, "Honey..." She was selling literature
back at the back of the building.
She come out there, crying, said, "Mrs. Bosworth," that's
Brother Bosworth's wife, said, "I seen all those cross-eyed people
healed." She was a young lady, about eighteen, hideously cross-eyed.
Said, "If you'll..." Said, "If I could just get in there and get in
that prayer line... But I can't even get a card."
Mrs. Bosworth's compassion went out to the child. She said,
"Honey, if you'll walk right back around there where you can see him,
and really... Don't--don't just imagine now, but believe with all your
heart that that's a gift of God, I'll assure you he will call you out
in a few minutes."
73 I was praying for the sick on the platform, had my back turned to
the girl. All at once, I felt that set in, faith moving. I looked
around, and I couldn't pick it out; there was too many, just standing
so congested. And I knew it was coming from there, and I tried to
discern what kind of a spirit it was. See, her faith had moved up into
that category.
And when I turned around, I finally found her. Oh, twice the
distance of this building, spotted where she was. She had a green coat
on. I said, "The young lady standing back there, with cross-eyes, and a
green coat, don't fear no more. God has healed you." Her eyes went
perfectly normal. That's just one of the thousands of cases that
happened that way.
Now, when--if we can get the meeting, if you people can get
together and just throw off what you think is this, that, just cast it
aside. Don't come just spectating. Come, believing and see if those
same things don't take place right here in the building.
76 The first time, when I met Dr. Bosworth, here, was in Miami. We were
having meeting. Dr. Bosworth's internationally known, forty years
experience in teaching Divine healing. He thought that someday God
would send the--the gift to the church. And then when he heard I was
down there, he just thought, "Well, there it is again, just somebody
preaching Diving healing." He came to the meeting one night. And coming
through the meeting... We were having, what they call, the fast line;
thousands were standing.
That afternoon, two little boys on WBAY, broadcasting
station, been interviewed, been born blind. Both of them had their
sight, and they had them down there at the broadcasting station,
interviewing.
So Brother Bosworth came out to the meeting. And it happened
to be, while the fast line started, there was several thousand had to
pass by that night, nothing but just laid hands on them coming by, four
abreast.
79 They pushed a little girl through. I shall never forget the child.
She was a cute little thing. She was a little, blond- headed girl, one
tooth out in front, and had a little, new little manicure in her hair,
or what you call them things that women put in their hair. They pushed
her... She was in braces, down over her--her little waist here. And
they'd push her through the line, and I'd lay hands on her. She'd get
off the platform, and they'd push her back in the line. Why, the poor
little thing... And she kept coming through. And then someone would
bring her through, and they lay hands on her. And while she passed
through again, she looked up, kind of one of those little bitty grins,
you know, and that tooth out. And Something just said, "Stop the child."
I said, "Honey..." I seen she didn't have faith to be healed
at that time.
81 But, see, that's what the gift is for. Here on the platform, you
notice how He sometimes, you have to work. The people say, "Oh, I
believe, Brother Branham." But here they are, down here; and here's
where they ought to be, up here. Well, then those things of telling
their diseases and the secrets of their heart, the faith rises up till
I get the person to believe me.
That's what He said, "If you get the people to believe you,
then be sincere when you pray, no demon can hold over there, then." He
has to know the Master. Then... And I know He told me that.
And when I can get that patient up to a place till their
faith comes to this, that's what gives me a perfect faith. I've never
seen it fail. And it never will fail. It can't fail.
84 And then when the girl, they pushed her through, I said, "Honey, you
stand right behind me." And she stood back there, just holding her; she
held on to my coat tail. I said, "You pray, honey." And she'd have her
little head down, praying.
And Brother Bosworth was setting, taking all this in, still
just a little bit skeptic. And he was watching, 'cause he was out
there, just watching the last of the meeting going through. And she
was... It was the last night, I believe it was.
And she was holding my coat, and I just kept on praying. I'd
forgot about the child. I turned around again; I said, "Honey, keep
praying," like that.
87 And after while, I begin to feel that faith begin to set in, like a
heart beat, pump, pump, pump. And when it begin to...
[Blank.spot.on.tape--Ed.]... go like that, I turned around to her. I
said, "Now, sweetheart," and I laid my hands upon her and asked the
Lord Jesus.
I said to the mother, I said, "Now, take the braces off of
her."
She said, "But, Brother Branham, I tell you, she..."
I said, "Don't you doubt that, lady. You do what you're told
to do." She walked over there and took the braces off the child.
Here she come back down and holding those great big braces,
to those people like that, perfectly normal, just as normal as she
could be, those little legs. Is that right, Doctor Bosworth? And went
on with the meeting. Just a few moments, I kept...
90 Oh, twice the distance, or maybe better, of this building, under the
great circus tent where the people were standing, plumb back out into
the highways, there at the Princess Gardens. Then on back, I kept...
I felt something set in, begin to again, "Whew, whew." I knew
it was the faith. I couldn't tell just where it was coming from. I kept
turning, looking; but the people passing so fast, and them crying,
trying to touch you and things.
After while, I spotted It, way back towards the back, a
fellow with a white shirt on. I waited, find out what kind of a spirit
had him bound. The man was crippled. He'd fallen off of a horse, a few
years before that. Was a merchant in Miami. His hand was crippled up
and his arm, like that. He came down as a critic to criticize in the
meeting. And then he begin to get faith.
I stopped, and I said, "Sir, you way back, fourth from the
row, going back this way, with a white shirt up, on, stand up on your
feet. Jesus Christ has healed you." And when he stood up, there went
his hands up. His little painted-up wife, you'd thought she was a
holy-roller, as the little brother said this morning on his broadcast,
to hear her screaming. There he was, perfectly delivered.
94 Brother Bosworth investigated the case, then he come to me. He asked
the man all about it. And when he come to find it this way, he said,
asked me, said, "How did you know that that was the man?"
I said, "Sir, I begin to get weak. I knew it was coming from
somewhere."
And he said, got to the microphone, he said, "That proves
Jesus Christ the same yesterday, today, and forever. It proves it."
Said, "Now, the gift that was in Jesus Christ would be like this whole
ocean out here, beating against the bank. The gift in our brother would
be like a spoonful of water taken out of it. But the same chemicals
would be in the spoonful of water, the same kind of chemicals that's in
the entire ocean." That's right.
And I--I could feel myself getting weaker. And there was the
man perfectly delivered.
98 Now, that's happened hundreds of times. And there's people in this
building, I believe, that's been in other meetings, to witness it. Have
I got friends in here that's been in other meetings, could witness and
say that's the truth? Raise your hands if you are here. Now, you can
see. The Bible said, "In the mouth of two or more witnesses..."
99 Now, when, you can have the same thing here in Louisville. There's
no need of anyone going away from here without being perfectly
delivered. I might not have just the time for everyone at the platform,
but everyone can benefit by it. If God can prove Hisself here to be
God, and what... has confirmed what I've said to be the truth, then
believe God. Then act upon your faith, and put your faith as living
action, and God will go to work on you right there, and will make you
well.
100 Hot Springs, now, it was... I believe it was in Little Rock. One
night the ambulances had got so thick, till it blocked the street cars.
They had to bring the police down there to make them get off the
corner, just below the castle in Hot... in Rock... Little Rock,
Arkansas.
Rev. Mr. Brown was one of the pastors there. If you wish to
get this testimony, write to Rev. G. H. Brown, 505 Victory street,
Little Rock, Arkansas, and listen to this. Talk about demon power...
I'd just... That was about my fourth or fifth meeting, 'long about
eleven o'clock; after my hand had got so numb.
Sometimes when I go home, my hand is so numb, plumb, till I
have to run hot water on it for pretty near a half hour, to get
feelings back to it again, from the physical. And there's a watch; I
take a hold of a human's hands, with that on there, it'll stop that
watch dead still. I've got a Longines watch now, just come from the
factory. I took a hold of it. What physical reaction, or what
mechanical thing does it, I do not know.
103 But Mr. Brown said, "Come down into the basement, Brother Branham,
of the auditorium." He said, "I've got a case down here that you've
never seen anything like it." Well, I went down while I was resting.
I've seen some horrible sights, but I never seen anything
quite like that. I've went into institutions where young ladies used
the bed pans, smear it on their face, insane. Seen some horrible
things, but never nothing like this. Lying on the floor was a woman
about thirty years old, thirty-five, strong-looking woman. And her--her
legs were sticking right up like this, and they were bleeding.
105 There was a man standing on the steps, just a good old Arkansas
brother with a pair of overalls on and a blue shirt. Friends, I will
say, sometimes the best of hearts beat under that. That's right. That's
true, I believe. I--I don't like any put on. I--I like real old fashion
men and women (That's right.) God-saved, twice borned. And he was
standing there, his old faded-out-looking clothes on. I said... Walked
down.
I said, "How do you do?"
And he said, "Good evening. Are you Brother Branham?"
I said, "Yes, sir."
Said, "I thought you was."
The PA system was taking it down in there also. They had a
bunch of insane on one side.
107 But they couldn't keep this woman with no one. Taken about eight or
ten men to bring her in. They couldn't bring her in an ambulance. They
wouldn't put her in an ambulance. And they sent someone up there in a
car, and she kicked all the glasses out of the car, and them men trying
to hold her in the car. And there she was, laying on her back. Doctor
had give her some shots for premature change of life had run her into
this. And there she was, laying on her back.
And I said, "Well, I will walk out and see if I feel any
vibrations."
He said, "Brother Branham, don't you go out there." Said,
"She'd kill you." I said, "Oh, I think not," just like that.
And I walked out. She was laying there, looking at me, kind
of batting her eyes, staring. And I said, "Good evening." She never
said a word. I took a hold of her hand. I said, "Good evening."
Said, "She don't even know her own name, Brother Branham. She
hasn't known for two years."
112 And I took a hold of her hand. And just by God's blessing I
happened to be on the guard. She just gave me a jerk with both hands,
like that, and she would've probably broke the bones of my body. And I
threw my foot out and caught her right across the bosom. She just
pulled me way down. I jerked away from her. And then when I run from
her to get on the steps, I seen a sight that I've never seen before.
That woman, with her two limbs sticking up in the air, like this, come
chasing me, on her back, like a snake. You could hear her crawling like
that, on the floor.
Now, that's the devil. You can say other, what you desire,
but that woman was bound by the devil. She came to me on her back, like
a serpent, and she got up there and she hit against the side of the
floor like that. She turned around, put her big strong limbs up
against... kicked like that. There was a bench setting there. She hit
it with her head; the blood flew out of the side of her head. And--and
she knocked a piece of it off. And she grabbed it in her hand, threw it
at her husband and struck the wall. And the plastering fell from the
wall, where she hit it with such a terrific... Maniac, twenty times her
strength, probably... And there that great... She was a good size,
strong woman, anyhow.
114 And then she started making a real funny noise, going,
"E-e-e-e-e-e, eeeeee," like that.
I looked at her, and I thought "Why, I've never seen
nothing... God have mercy on a poor human being bound like that."
And the man commenced to crying. He walked over and put his
hands around, his arms around me, said, "Brother Branham, now you say
there's no vibration?" Said, "And I don't know what I'm going to go."
He just broke down, to crying. He said, "She's got five little children
at home." And said, "I--I... She's been a good woman." Said, "She
harrowed these old clods and helped me to raise cotton crops." And
said, "When she taken sick," said, "I've done everything that I could
do. I--I sold my farm." And said, "In order to get her here, Brother
Branham, I had one thing left, a pair of mules. And I sold them to get
the brother to bring her two hundred miles, to bring her down here. And
now she's kicked the glasses out of the car, that's why her limbs are
bleeding." Said, "She hasn't been off her back for two years, and don't
even know her own name."
I said, "Well, brother, sure, God can heal her."
116 And about that time she turned around. She said, "William Branham,
you have nothing to do with me. I brought her here."
He said, "Why..."
I said, "That's not her. That's that devil speaking out of
her." That's right. They recognize. They know.
He said, "Why, Brother Branham, that's the first word she
spoke in two years."
I said, "The devil's just using her lips, just like it was in
the case of legion."
She come crawling over that way to me, said, "You ain't got
nothing to do with me," crawling like that.
121 I said, "Brother, do you believe the story that you heard me tell
about the coming of that Angel?"
He said, "With all my heart," he said, as he threw his arms
around me.
I walked to the corner step, and I prayed with all my heart
to the Lord Jesus. I said, "God, look at that poor woman, five little
innocent children at home, no mother, one suckling baby." I said, "What
can happen? O God, have mercy." And the Spirit of the Lord came. And I
asked the devil to leave the woman.
Turned back around, I said, "Now do you believe it?"
He said, "With all my heart. What shall I do with her,
Brother Branham?"
I said, "Take her back. Take her right on back to the
sanatorium." I said, "If you don't doubt one thing that I've told you,
watch what'll happen."
126 Two months after then, I was at Jonesboro, Arkansas, there where
many things was being happening. Some twenty-eight thousand people had
gathered into the city. And I was speaking, and I seen, pressing or
waving their hands at me, some woman. She said, "Don't you recognize
me, Brother Branham?"
I said, "No, ma'am." She was setting out like that, and
everyone...
Said, "I... You all, all of you excuse me." She said, "I just
wanted to see you."
And I seen somebody laughing; it was her husband. And there
she was setting there just as normal and in her right mind, with her
five little children, just as perfect as she could be.
They'd taken her back. She never kicked the car one time,
going back. They put her back in the padded cell. The second morning,
they went in to feed her, and she was setting up. And on the fourth,
third or fourth morning, they dismissed her as a well person, and sent
her home to her children. "Jesus Christ is the same yesterday, today,
and forever."
131 Look, friends, demons recognize God's power sometimes before
ministers do and Christians. Did you know that? Many times... Read the
Bible.
When the priest said it, "Oh, He is Beelzebub."
The devil said, "We know who you are, the Son of God, the
Holy One of Israel." Is that right?
You remember when Paul and Silas, when the ministers said
they were impostors, that little old fortuneteller said they were men
of God, who had the way of Life.
134 If I'm not mistaken, Rev. Hooper, from Phoenix, Arizona, setting in
the back of the building, he could verify that statement. Wasn't you
there that night, Rev. Hooper? There's a man there was right there when
it taken place. Write to Rev. G. H. Brown, 505 Victory Street, Little
Rock, Arkansas, and ask him for the testimony. Let him send you... Let
the sanatorium testify of it. That's one of the thousands.
135 Just once more. The day after this, the Angel of the Lord came into
the building... And then I will start the prayer line.
I was--I was down to El Dorado. I'm to be there at the race
track about two nights, just soon as I leave here, I go to Shreveport,
and then to El Dorado, and on down. I--I was over to a little church.
They said, "If you'll come over to speak at this church..."
Thousands had packed the city. And the reporter had been
converted on this picture, the keeper of the--the hotel, both the same
time. They wanted to know how to find Jesus. Been members of churches
for years, but when they seen the work of God, that God was doing with
it, in among His people... They had me in a--a--a little room. And I
was preaching.
138 And when I went out, there was four men gathered around me, started
out the door. And stand in the rain out there, a holding canvas over
their loved ones and everything, for city blocks, people waiting; no
place to go, no, couldn't even get in, place nowhere, no private homes.
They had newspapers laying down, holding canvas, when a shower rain
would come over, little crippled children, and waiting for their turn
to try to get in the prayer line. I tell you, brother, that's people
who love God. That's right. I never will forget. So many phenomenal
things, mystics has happened along the line. I was started out of the
building, people crying, pressing, trying to get over where he was at,
like that. They had this line moving on towards the car.
139 I kept hearing somebody hollering, "Mercy. Mercy. Mercy."
And I looked around. I could hear it somewhere, look like
Something just jumping in my heart. I looked. Standing way over to one
side... In Arkansas they have a--a law: the colored and the white can't
be together. Standing off to one side was a colored man, just a little
cap hold in his hands, standing there in the rain, and the rain hitting
him in the face. His wife hollering, "Mercy. Mercy. Mercy."
I thought about old blind Bartimaeus. And I started to go on,
and looked like Something just telling me not to do that. Hundreds of
them, pressing, I said, "I want to go over to where that colored man
is."
They said, "Brother Branham, you can't do that." Two of them
was police. They said, "You'd start a race riot right now." Said, "You
can't do that."
I said, "But the Lord's telling me to go over where he's at."
143 And I just broke out to one side and went over there. They formed a
little ring. And I heard her say, when I come up; the old wife, she
said, "Here comes the parson, honey." My, my. Got over a little close
to where he was...
He said, "Is this you, Parson Branham?"
And I said, "Yes, sir."
He begin to feel me on the face with his hand. And he said,
"Parson, have you just a minute to hear my story?"
I said, "Yes, sir."
145 He said, "Parson," he said, "my old mammy was a good religious
woman." Said, "She never told me a lie in all her life." Said, "She's
been dead now about ten years." Said, "I never heard of you in all my
life, even." Said, "I live about a hundred miles from here." And said,
"Last night..." Said, "I been blind now for many years." Said, "Last
night, I woke up, and standing by the side of my bed, stood my old
mammy. And she said, 'Honey, child, you go down to El Dorado, Arkansas,
and ask for somebody by the name of Branham.' Said, 'The Lord has given
a gift of Divine healing. You shall receive your sight.'" Oh, my, it
feel like my heart would get that big. I seen God was speaking.
If man won't believe it, God will declare it some way to the
honest in heart. He will.
147 I put my hands upon him; I said, "Brother, the Lord Jesus that has
sent this vision to you is standing here now to make you well." I took
my hands off of him.
Took a hold of his hand; cataract was dead. Tears begin to...
dripped off his cheek. He said, "I thank You, Lord. I thank You, Lord."
She said, his wife said, "Honey, do you see?"
Said, "Yes, I see."
Said, "Oh, you--you really sees, honey?"
Said, "Yes." Said, "That's a red car setting there." Oh, my.
She just started screaming like that. And then they grabbed me, took
out for the car.
Later on, I come off of a plane down near Memphis, Tennessee,
one night. I started in; I heard somebody holler, "Hello, Parson
Branham." I went over there. And who was it? There he was, normal,
could read his Bible or anything.
151 I think, "Amazing grace, how sweet the sound, that would save a
wretch..."
He's still the same tonight as He was then. He's here,
friends. The only thing I'm asking you to do is believe that I've told
you the truth. And watch the power of Almighty God do as I have said.
If it doesn't, then you say that Brother Branham is a false prophet. If
it does, then you believe God for His testimony. Shall we bow our head.
153 Our heavenly Father, oh, I think, someday when we come down to the
end of the journey, and I come up to Your house, I pray that You'll let
me in, and I can have a seat somewhere over there with all these dear
people that I've met. We can talk over the things, the memories we have
of these great things that Thou has done for us. And how wonderful,
along the pilgrim journey here, to see You and know that You're near,
and You're here tonight to deliver these sick and afflicted people.
Lord, to this time, we know not who Thou has chosen to come
into this line. Thou does know. Someone's here. There's fifty people
that has cards. Lord, Thou will provide. You know who's here to come.
And we commit it to Your hands, Lord.
155 Now, bless every one. And may those, Lord, who will not be able to
be in the prayer line, when they see others that's afflicted and
tormented, as they are, see them delivered, O God, I pray that their
faith will mount up and believe. And, O Father, grant that there'll be
an old fashion revival just start all over the city, Lord, that every
church will have revivals and lost souls will be coming in, believing
upon Thy beloved Son. Grant it, dear God.
Now, Father, Thou knowest the--the weakness of man. And we
know the power of God. And I pray that You'll send Your Angel, the One
Who separated me from my mother's womb, bringing me into this life, and
has ordained for this purpose, will stand here tonight. Dear God, upon
making this great statement, boldly before the thousands, and hundred
of thousands of people, Thou has never failed yet. And I know that You
will not fail us tonight, but You will grant tonight that every secret
sin of the heart will be told to the people, their diseases will be
told them, the demons that's binding them. And every one will be
delivered, won't they, Father? because we trust You, and love You, and
believe You, and ask it in Your Name and for Your glory. Hear the
prayer of Your servant now, Father, for we ask it in Jesus' Name. Amen.
157 All right, the prayer line manager now. [A brother comes to the
microphone and says, "I want those with prayer cards from B-85, to
B-100, stand in line according to your number at my right, and your
left, at the platform steps: from B-85, to B-100. Everyone else remain
seated."--Ed.]
158 Might say, while he's getting the lines lined up, every one in here
knows the... We're trying to say this, that you must be reverent. We
will not be responsible... I have to say this by law every night. I am
not responsible for any critic in the meeting. These things go from one
to the other, especially epileptic and so forth like that. I've seen
people come in the meeting perfectly normal; see a spastic setting
here, and this spastic go out normal and the critic go out crippled.
I've seen them come in as many as twenty-eight at a time, fall with
epilepsy, in the floor. These demon powers will find a place to go.
And, friends, that's the Bible. How many knows that's Bible
doctrine? Let's see your hand. This is just the New Testament church in
action, isn't it, friends? the power of Almighty God to deliver.
160 And while they're lining the peoples up, I think those in the
wheelchairs, they just wish you to set still, they'll come get you
whenever they... When your card number is ready, they'll--they'll call
you.
161 Now, I want everyone to remember this. You're--you're always
welcome at the meetings, everyone. But when I ask you to bow your head,
you must bow your head. And then when I... Do not raise your head until
you hear me say over this microphone, or Brother Bosworth standing
here, to raise your head. If you do before that, I will not be
responsible for what happens.
162 Mr. Hooper, setting close, he was at a... I like to see someone
that was in other meetings. He was at Phoenix, Arizona, with us, where
one of the officials of the city, setting in the meeting.
He said, "Well, that's a good case of psychology," said, "I
will just... Nothing to it."
I kept feeling the man. He was setting back to my right. I
said, "Someone to my right, with their head up." He wouldn't keep his
head down.
One of the ushers told him, said, "Keep your head down."
He was an official of the city, so he said, "I don't have to."
"All right."
So they just brought me word back.
165 I had a little child there, and he had a clothes pin with a rag
wrapped around it, trying... He'd had an epileptic fit, was having one
right on the platform then. Sometimes when an epileptic comes, it just
throws them into fits.
And I said, "All right, sir, I asked you. That's all I can
do."
I prayed. I said, "God, don't let this innocent child suffer
for that child--for that man, his disobedience." Left the child. The
man just smiled and went on.
About two days later, he come--begin to have a funny feeling,
said, "Oh, it's just me thinking that, that's all." Said, "It's
just--it's just my imagination, is just getting the best of me." Tried
to shake out of it.
A day or so later, the officers picked him up downtown,
walking around and around. About six weeks later, he come over...
169 I was having a service at Charles Fuller... with Charles Fuller,
over in Long Beach. If any of you was there, you know how many was in
there. There was literally thousands in there, standing up-and-down the
beach, so they... He couldn't get in there. Went up to Los Angeles,
couldn't get in there.
And, finally, at Modesto, His wife, on a rainy night, fell
across the path. Beard had growed out on his face, horrible,
hideous-looking. And there he was. Said, "Brother Branham, something's
got to be done." Said, "He--he--he don't, won't even eat. We can't poke
water down him." Oh, he looked horrible, setting there, his eyes just
stared.
I walked in. He started going, "Hummmm," getting back from
me, like that.
172 I told them to lock the doors. And we was tired, been in the
Saturday night clubhouse there for hours, dealing with the sick. I had
Brother Brown and Brother Moore to lock the door, to keep the people
away. His wife was muddy from falling across the path, and held onto my
trouser legs. I couldn't even move. They couldn't drag me, her holding
on, to get to her husband.
About forty-five minutes later, it left him. He put his arms
around me and hugged me, put his hat on his head like that, shook my
hand, went home to be a well man.
174 Tell you, friends, if I was a critic, I wouldn't even set around
where it was going on. I'm here to help you and not to hinder you.
Well, now, just remember that. If you'll keep your head bowed, if
something would happen, I'm responsible for that then. Now, you
couldn't story about it, because I'll know it when you come here. But
now, you just be reverent, be in prayer. When I ask you to bow your
head, you keep your head bowed. You did last night, very lovely. And
you do the same thing tonight, everything will be all right. Are you...
Have your lines ready. Shall we bow our heads now just a moment.
175 Father, I realize that--that this is a great time. It's a time when
we standing face to face with the adversary. And here's crippled,
afflicted, and dying people. Here's people that's standing here in the
line, that maybe with cancer or maybe with heart trouble. I don't know
what's wrong with them now. But Thou will tell Thy servant. And I pray,
Thee, that Thou will deliver every one of them perfectly well. And may
Satan be called out each time, and may he be exposed before the
audience. May every one be lovely, Lord, co-operating, all Christian.
May we have a great meeting tonight. May the power of the Holy Ghost
just sweep through the building, heal every one that's in the building,
for we ask it in Jesus' Name. Amen.
Let's sing, just once, if you will.
Only believe... (Everyone just as reverent as you possibly can be.)
All things are possible, only believe;
Only believe, only believe,
All things are possible, only believe.
Wonder if we could sing it like this now:
Now I believe...
How many believe? Just raise your hand while you're singing
it.
Now I believe, (Praise the Lord.)
177 [Blank.spot.on.tape. Prayer line has begun--Ed.]... has a cancer or
a female trouble. And just a moment; they both hit almost alike. It's
female trouble, is what it is. That right? Yes. It's almost to a cancer
though, that's what it is. Life hasn't been a flowery bed of ease for
you, has it? No, you had a lot of troubles...