La Vie Des Demons Et Les Visions
1. C’était… J’étais chez ma mère, et j’allais y passer toute la nuit. J’étais allé prier pour les malades, et j’étais rentré tard. Et c’est ainsi que je m’étais arrêté chez ma mère. J’ai causé avec elle. Puis, nous sommes allés au lit. Peu après, je suis venu… je me suis levé. Je n’arrivais simplement pas à me reposer. Avez-vous déjà passé ces nuits agitées ? Faites attention, si vous êtes un chrétien, il se pourrait que ce soit Dieu qui traite avec vous. Voyez-vous ? Je me suis donc levé et je me suis mis à faire les cent pas. Puis, j’ai tourné… j’ai senti un fardeau, je me suis dit : « Eh bien, il se peut que quelqu’un soit malade quelque part, et on veut que je prie pour lui. »
Alors, je me suis agenouillé, mais je n’arrivais pas à prier comme il faut. Et j’ai juste continué un instant et, peu après, j’ai parcouru la pièce du regard. Y a-t-il des femmes parmi vous qui aient déjà fait la lessive, puis ont fait entrer les habits lavés, comme ça, et les ont empilés sur une chaise ? Ça, c’est ma mère. Et ensuite, on les repasse, pieds nus dans… Et si elle apprenait que j’ai raconté cela, elle me retournerait sur son tablier à carreaux une fois de plus. Mais j’ai vu la pauvre vieille créature, bien des fois, debout là, debout avec son fer à repasser, vous savez, pieds nus, en train de repasser. Et elle…
2. Je pensais qu’elle avait déposé ses habits sur une chaise dans un coin, là, dans la chambre à coucher. Et c’était comme quelque chose de blanc. Et cela a commencé à s’approcher de moi. J’ai regardé cela. Mais ce n’était pas une chaise, c’était quelque chose qui bougeait, quelque chose de blanc. Et cela… On dirait que j’y entrais, ou plutôt cela entrait en moi. Et peu après, je parcourais une région sauvage, et j’entendis un agneau bêler, faisant « bê ! bê ! ». Avez-vous déjà entendu un petit agneau bêler ? C’est l’animal le plus pitoyable au monde. Alors, il bêlait. J’ai dit : « Cette pauvre petite créature ! Je vais voir si je peux la repérer. »
Alors, je me suis dirigé vers les buissons et autres. Et au fur et à mesure que je m’en approchais, ce n’était pas un agneau, c’était un être humain. Il appelait, disant : « Milltown. Milltown. » Eh bien, je n’avais jamais de ma vie entendu parler de cette ville. Alors, quand je suis revenu à moi-même… Je suis allé à l’église le soir du mercredi suivant. J’ai demandé à certaines personnes : « Y a-t-il quelqu’un qui sait où se trouve Milltown ? » Personne ne le savait.
3. Ainsi donc, le dimanche soir, j’ai demandé cela : « Y a-t-il quelqu’un qui sait où se trouve Milltown ? » Il y eut un frère du nom de George Wright ; je pense que beaucoup parmi vous qui fréquentez le tabernacle le connaissent.
Et il a dit : « Oui, Frère Branham, c’est au sud, à environ 35 miles [56 km]. » Il a dit : « J’habite près de là. »
J’ai dit : « J’y serai le samedi prochain. Dieu veut que j’aille à Milltown. Il y a là-bas quelqu’un en difficulté. »
Il a dit : « C’est une petite ville d’environ 500 ou 1.000 habitants, là, au sud, là… » Il a dit…
J’ai dit : « Eh bien, j’y serai. »
4. Nous y sommes allés, et je me rappelle, je suis allé à cette épicerie située au virage. Je me suis dit : « Je me demande ce que le Seigneur veut de moi. » J’y suis entré, j’ai acheté une caisse ; puis, j’en suis sorti, me disant que je prêcherais là même au coin. » Eh bien, je suis monté sur la caisse, mais je–je n’arrivais pas à avoir à l’esprit quelque chose à prêcher. Et tous ces gens de la campagne, là, vous savez, affluent le samedi pour les achats.
Frère Wright a dit : « Je vais là-haut sur cette colline pour une petite transaction, Frère Branham, je dois fournir des œufs à un homme là-haut. » Il m’a demandé : « Veux-tu y faire un tour avec moi en voiture ? »
J’ai dit : « Oui. » Alors, en route vers là-haut, j’ai vu une grande église peinte en blanc, là sur la colline.
Et j’ai dit : « Dis donc, regarde. C’est une belle église, n’est-ce pas ? »
Il a dit : « Oui. C’est dommage pour cette église. » Il a dit : « C’est une
église baptiste, mais son pasteur a eu des ennuis. » Il a dit : « L’église est tombée, ils n’ont plus jamais eu de pasteur là depuis lors. » Il a dit : « La municipalité l’a récupérée. Tous les membres ont quitté et ils sont tous partis dans d’autres églises. »
5. Alors, j’ai entendu l’Esprit de Dieu me dire : « Arrête-toi. » Je suis allé là, mais la porte était fermée. Et j’ai dit : « Continue, Frère Wright. Et je… Reviens me prendre d’ici là. »
Et après son départ, je me suis agenouillé là et j’ai prié. J’ai dit : « Seigneur, si Tu veux que j’entre dans cette église, ouvre-moi ces portes. »
Et alors, pendant que je priais, j’ai entendu quelqu’un venir, je me suis relevé. C’était un homme qui passait par là. Il a dit : « Salut ! »
Et j’ai dit : « Salut ! »
Il a dit : « Je vous ai vu prier. »
J’ai dit : « Oui, oui. Je–je… Je suis prédicateur, je priais simplement ici sur les marches. »
Il a dit : « Voulez-vous y entrer ? »
J’ai dit : « Oui, oui. »
Il a dit : « J’ai les clefs. »
J’ai dit : « Merci, Seigneur. » J’ai dit : « Merci, Seigneur. » Croyez-vous tous cela ? Oui, oui. Oui, oui. Il est réel.
6. Alors, il m’a ouvert la porte, et j’y suis entré; cela avait à peu près 300 ou 400 sièges. Je suis allé jusqu’à la chaire. J’ai incliné la tête et j’ai prié. J’ai demandé : « A qui appartient-elle ? »
Il a dit : « Oh ! à la municipalité. » Il a dit : « Nous… Moi, je ne fais qu’en prendre soin ici. » Il a dit : « Tout ce qu’on y tient, ce sont des services funèbres et autres. »
J’ai dit : « Je me demande si je peux tenir un réveil ici. »
Il a dit : « Voyez l’autorité municipale. »
Alors, je suis allé là le lui demander. Il a dit : « Assurément, si vous y installez un compteur. »
J’ai dit : « Eh bien, je travaille pour le service public, j’y installerai mon propre compteur. »
Il a dit : « Ça va. »
J’y ai installé un compteur, j’ai annoncé partout là-bas que j’allais tenir un réveil. Je n’oublierai jamais le premier homme que j’avais invité. Je lui avais dit : « On va tenir un réveil, monsieur, allez-vous venir ? »
Il a dit : « Dites donc, nous élevons des poules par ici. Nous n’avons pas le temps de fréquenter une église. »
J’ai dit : « Eh bien, ne pourriez-vous pas laisser les poules de côté un petit moment pour venir à la réunion ? »
7. Il a dit : « Oh ! nous n’avons pas le temps pour pareille chose. » Il a dit : « Je m’occupe de mes affaires. » Il a ajouté : « Vous, occupez-vous des vôtres. »
J’ai dit : « Je n’avais pas l’intention de vous blesser, monsieur. »
Environ dix jours plus tard, vous savez, on a dû prendre du temps pour enterrer cet homme. Il était mort. Ainsi donc, on l’a enterré là même devant l’église. Nous avons commencé le réveil. Et… Oh ! Je suis allé prier dans les bois, je me disais que le Seigneur m’avait donné un grand message, et je brûlais vraiment de l’apporter. J’ai dit : « Oh ! Nous aurons probablement une grande foule là ce soir. Peut-être que le Seigneur veut que je tienne un réveil. »
8. Alors, je suis arrivé là. Savez-vous qui était là ? George Wright, sa femme, son fils et sa fille. J’avais une assemblée de quatre personnes. J’ai malgré tout prêché le message que le Seigneur m’avait donné. Et puis, le soir suivant, un gars d’apparence drôle s’est approché là dehors. C’était un…On m’a dit que c’était un nazaréen rétrograde ; autrefois il était un membre de l’Eglise nazaréenne, mais il avait rétrogradé. Il avait à la bouche sa pipe en épi de maïs, il l’a cognée sur le côté du bâtiment pour la vider, les cheveux lui tombaient au visage, et une dent lui ressortait sur le côté. Il regarda à l’intérieur et demanda : « Où est ce petit Billy Sunday dont on parle par ici ? », comme cela.
Monsieur Wright est allé là derrière, l’a pris et l’a fait asseoir. J’étais sur l’estrade là en train de lire la Bible, derrière la chaire. Frère Wright est monté, il a dit : « Le gars le plus dur à cuire de la contrée vient d’entrer. » Il a dit : « Oh ! c’est du fil à retordre. » Il a dit : « Il s’appelle William Hall. Il gère un magasin de fleurs ici sur la colline. »
J’ai dit : « C’est peut-être lui que le Seigneur cherche. » Puis, je me suis mis à prêcher. Frère Wright est retourné auprès de lui, il lui a dit : « Voudriez-vous vous avancer et aller devant ? »
Il a dit : « Je vais m’occuper des choses ici derrière. Vous, allez devant. » Et au cours de la réunion, vers la fin de la réunion, monsieur Hall s’était agenouillé sur une barre en train de prier Dieu. Il est actuellement mon pasteur associé là-bas. Et cependant… Il y a eu des cas de guérison pendant quelques soirées. Et alors, cela a attiré la foule. Nous avons dû installer les systèmes de sonorisation dans des arbres. Mais on dirait que, cependant, ce n’était pas tout.
9. Il y a eu aussi une jeune fille, membre d’une certaine église là, je n’aimerais mentionner aucun nom, ces gens-là ne croient pas du tout dans l’Esprit, ils ne croient qu’à la Lettre : « Nous parlons quand la Parole parle, nous nous taisons lorsqu’Elle se tait. »
Et ils avaient annoncé là que quiconque irait à cette réunion recevrait de leur église une lettre et serait excommunié. Le père de la jeune fille était diacre dans cette église. Et elle avait donc eu l’une de mes brochures. Et, cette dame, cette jeune fille, d’environ 25 ans maintenant, son nom, c’est mademoiselle Georgie Carter, était alitée neuf ans et huit mois, elle n’avait jamais relevé la tête du lit la tuberculose. Et on ne pouvait même pas mettre un bassin hygiénique sous elle. On gardait un drap en caoutchouc et on avait une alèse. Je pense que vous savez, Frère Ryan, qu’on devait retirer l’alèse comme ça. Elle n’avait jamais vu l’extérieur, nulle part dehors, même pas par la fenêtre, pendant neuf ans et huit mois.
Et quelqu’un est venu m’en parler, mais il a dit : « Ne pouvez-vous pas aller prier pour elle ? Il a dit : « Elle vous réclame. » Et aussitôt qu’il m’a dit cela, il m’a semblé que c’était la personne que je devais aller voir.
10. Eh bien, sa mère et son père ne voulaient pas me laisser venir. Ils disaient : « Non, nous ne permettrons pas que ce séducteur vienne. » Et puis après, j’étais sur le point de terminer le réveil, son papa a dit : « Eh bien, je vais quitter la maison. » Et sa mère a dit qu’elle–qu’elle quitterait pour faire plaisir à la jeune fille. Je pense donc qu’ils devaient avoir été autorisés par ce prédicateur, pour juste me laisser aller là-bas.
Alors, je suis allé la voir. Et la pauvre petite créature avait ma brochure là. Et sur la partie arrière du lit, avant qu’elle puisse… faisait passer, elle faisait passer les mains derrière, toute la peinture avait été enlevée du lit, là où elle tenait, pleurant, priant pour la délivrance. Mais son église ne croyait pas dans la guérison divine. Donc, elle avait reçu cette brochure, elle a lu dans un journal qu’une autre jeune fille avait été guérie ; j’avais été envoyé auprès d’elle par une vision. Elle voulait aussi être guérie.
11. Alors, oh ! pauvre petite créature, elle ne faisait que pleurer beaucoup. Alors, je suis entré, elle a dit : « Frère Branham, j’ai toujours cru que si vous venez, Jésus me rétablira. »
Et je lui ai demandé : « Allez-vous Le servir, sœur ? »
Elle a dit : « De tout mon cœur. »
Et avec ses pauvres bras, elle n’arrivait pas à soulever son crachoir. Dès qu’elle s’y mettait, elle faisait : « Ha ! ha ! ha ! » Et alors, on devait soulever le crachoir. Elle faisait : « Ha ! ha ! ha ! » pour cracher là-dedans comme ça. Et c’était ça son état. Je me suis agenouillé, j’ai prié pour elle, je suis sorti de la pièce.
12. Environ deux semaines plus tard, j’étais rentré pour commencer une autre série de réunions. Nous avions eu trois, quatre soirées de réunion. Et il y avait là un autre prédicateur qui ne croyait pas dans le baptême par immersion. J’allais baptiser un groupe là dans la rivière. Et ce prédicateur avait eu un réveil sous tente. Alors, il a dit : « Si quelqu’un, une personne de mon assemblée, ose même entrer dans cette église-là, où ce toqué de guérisseur divin… disait-il, je pourrais… je l’expulserai carrément de l’église. » Il a dit : « A l’idée même de… » Il disait : « Cet homme va vous noyer dans l’eau, vous le savez. » Il disait : « Eh bien… »
Je suis allé là-bas tenir un service de baptêmes cet après-midi-là. Et la petite Georgie, je lui avais parlé, disant : « Bon. Maintenant, sœur, je peux prier pour vous, c’est tout ce que je sais. »
Elle m’a demandé : « Allez… pouvez-vous le faire pour moi, comme vous l’aviez fait pour cette jeune fille Nail ? »
J’ai répondu : « Non, là, c’était une vision, chérie. Il me faut premièrement avoir une vision. »
J’ai dit : « Si jamais Il me renvoie, je reviendrai. Mais je crois que vous allez vous rétablir. » J’encourageais sa foi.
13. Ainsi donc, le dernier jour de la réunion, je suis allé baptiser à Totten Ford. Beaucoup parmi vous des environs de Corydon, vous savez où ça se trouve. Et alors, je suis allé baptiser là. Et là, ce prédicateur avait terminé sa réunion, et toute l’assemblée se tenait sur le rivage. Je suis entré là dans l’eau, vous savez. Oh ! la la ! Quel sentiment glorieux, l’eau s’éclaboussant partout ! Et j’ai baptisé environ cinquante personnes cet après-midi-là. Et pendant que j’étais là, on dirait que des anges étaient perchés sur chaque branche de l’arbre.
14. Alors, je me tenais là, je me suis mis à prier comme ça, disant : « De même que Dieu avait envoyé Jean baptiser… » J’ai dit… Il a dit : « Allez par tout le monde, faites de toutes les nations Mes disciples, baptisez-les ; voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. » Vers ce moment-là, le Saint-Esprit balaya ce rivage, et toute l’assemblée de ce prédicateur-là, dans leurs bons habits, entra dans la rivière, poussant des cris. Je les ai tous baptisés, eux tous, cet après-midi-là. C’est vrai. C’est vrai. Des femmes, en robe de soie, poussaient des cris ; des jeunes dames, des mères et des pères, et ils amenaient leurs enfants et tout. J’ai baptisé jusqu’au crépuscule. On a dû me tirer de l’eau. Et puis, je devais tenir une réunion là à l’église baptiste ce soir-là. Je suis allé avec frère Wright et les autres prendre le souper. La mère Wright, c’est vraiment une cuisinière. Ils habitent là au fin fond de la campagne. Et j’ai dit : « Je n’ai pas besoin de souper maintenant même. » J’ai dit : « Je m’en vais prier là. Le Seigneur veut que je prie. J’ai un fardeau. »
Et alors, il a dit : « Eh bien, quand je sonnerai la cloche pour le dîner, viens, Frère Branham, a-t-il dit ; en effet, nous allons devoir nous dépêcher. »
J’ai dit : « Très bien. »
15. Je suis donc allé là, je me suis agenouillé. Vous est-il déjà arrivé, vous savez, d’être piqué par les ronces et d’être sur une terre dure ? Avez-vous déjà connu cela ? C’est le moment de persévérer. C’est le diable qui cherche à vous en empêcher. Avancez carrément. Tant que vous faites ce qui est correct, vous ne pouvez pas être en erreur. Voyez ? Vous ne pouvez pas aller dans telle direction, tout en allant dans telle autre. Et je sais que prier est une bonne chose. Alors, j’ai simplement continué à prier, le–le vent soufflait, et les épines me piquaient au visage. Je disais tout simplement : « Merci, Seigneur. » Et je continuais à prier.
Et peu après, je m’étais perdu dans l’Esprit. Vous est-il déjà arrivé de vous perdre dans l’Esprit ? Excusez-moi de parler vite comme un buisson ardent, mais j’essaie de me dépêcher. Mais je m’étais simplement perdu dans l’Esprit. C’est à peine si je savais où j’étais. J’avais entendu sonner cette cloche, mais je passais de trop bons moments avec Dieu pour penser au souper. La cloche sonnait sans cesse. Je savais qu’il commençait à faire sombre. Et je ne faisais que prier. Je disais : « Merci, Seigneur, pour Ta bonté. »
16. Et juste à ce moment-là, c’était devenu calme. Je me suis dit que j’allais alors me lever pour partir. Peut-être que le premier groupe avait quitté la table. Et j’ai dit : « Merci, Seigneur. »
Et quand j’ai ouvert les yeux, il y avait une Lumière qui brillait juste là dans un petit cornouiller, là ; Elle était, on dirait, émeraude, une Lumière jaunâtre, Elle brillait juste là sur moi. Alors une Voix s’est fait entendre, comme une Voix très profonde, là au fin fond des bois, disant : « Passe par chez les Carter. » C’était suffisant. C’était ça la chose. Je me suis levé d’un bond, je me suis mis à crier, tout en courant. Ils avaient formé des équipes de recherche pour me retrouver dans les bois. J’ai sauté par-dessus le mur et je suis tombé juste dans le champ, je suis tombé juste dans les bras de frère Wright.
Il a dit : « Frère Billy, a-t-il dit, c’est depuis une heure que maman t’attend pour le souper. »
Il a dit : « Les gens sont partout là sur la colline à te chercher. »
17. J’ai dit : « Eh bien, Frère Wright, je ne vais pas prendre le souper. » J’ai dit : « Georgie Carter va être complètement guérie dans les prochaines minutes. » Elle était à environ 8 miles [13 km.]
Il a demandé : « Quoi ? »
J’ai dit : « Oui, oui. AINSI DIT LE SEIGNEUR. »
Il a demandé : « Veux-tu dire qu’elle va se relever ? »
J’ai dit : « Elle va redevenir normale et bien portante dans les prochaines minutes, aussitôt que je serai là. »
Il a dit : « Puis-je t’accompagner ? »
J’ai dit : « Oui, oui. »
Et il y avait là un homme de Texas, il avait amené sa femme et celle-ci avait été guérie.
Il a dit : « Frère Branham, puis-je vous accompagner. » Il avait vu la guérison de la jeune fille Nail quelques semaines auparavant.
J’ai dit : « Oui, oui. »
Il a dit : « Voulez-vous dire que ce petit tas d’os que… »
J’ai dit : « Elle va être guérie dans quelques minutes. »
Nous avons sauté dans la voiture et nous sommes allés là. Or, Dieu opère aux deux bouts du fil. Vous croyez cela, n’est-ce pas ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]
18. Alors qu’ils tenaient une réunion de prière chez les Jean Marc, Pierre était en prison, l’Ange du Seigneur était là. Vous savez ce que je veux dire.
Et alors, cette femme, la mère, madame Carter… J’aimerais que vous tous, vous lui écriviez si vous le voulez. Elle était très critique. Mais elle… La petite Georgie pleurait. Elle avait promis à Dieu que si elle pouvait guérir cet après-midi-là, elle irait se faire baptiser. Alors… et elle ne s’était pas levée du lit, là, relevé sa tête depuis neuf ans et huit mois. Et alors, elle était couchée là, pleurant, et sa mère était très émue. Sa mère restait assise là, une jeune belle femme, elle grisonnait, et elle avait attrapé la paralysie, à force de rester assise là tout le temps à côté de ce lit-là, jour et nuit, juste un peu de sommeil autant qu’elle le pouvait. Très bien.
Sa mère est entrée dans la cuisine, elle s’est agenouillée et a dit : « Ô Dieu bien-aimé… » En toute sincérité, seulement, elle avait été mal enseignée. Elle a dit : « Ô Dieu bien-aimé, a-t-elle dit, aie pitié de ma pauvre petite fille là, cette pauvre petite créature couchée là, elle n’a plus que quelques jours à vivre. Elle est couchée là. Et cet imposteur est passé dans cette contrée, prétendant être quelque chose. » Et elle a dit : « Et il a mis mon enfant dans tous ses états. » Elle a dit : « Ô Dieu, aie pitié. » Elle s’est mise à prier comme ça.
19. Maintenant, voici son témoignage. Moi, je ne sais pas ça, ce sont ses paroles. Elle a dit qu’elle avait relevé la tête comme ça et s’était essuyée les larmes aux yeux. L’une de ses filles habitait tout près de chez eux. C’étaient de bonnes gens. Le soleil se couchait à l’ouest, et ses rayons frappaient le mur, comme ça. Elle a dit qu’elle avait vu une ombre apparaître sur le mur. Elle a pensé que c’était sa fille qui venait à la maison. Mais quand Il s’est approché d’elle, a-t-elle dit, c’était le Seigneur Jésus-Christ. Elle a dit : « Il s’est approché comme cela. » Il a dit : « Qui est-ce ? »
Et elle dit qu’elle a regardé. Et elle m’a vu venir avec mon front fuyant, cette Bible sur mon cœur, j’entrais dans la maison. Et elle a dit : « Oh ! miséricorde ! Je–je–je me suis mise à… je me suis endormie. » Elle n’avait jamais eu de vision. Elle a dit : « Je me suis–je me suis endormie. » Et elle est entrée en courant et elle en a parlé à Georgie, disant : « Georgie, j’étais là il y a quelques instants en train de prier ; il m’a semblé voir une forme se dessiner sur le mur, on dirait que c’était Jésus. Puis, j’ai vu ce frère Branham venir, a-t-elle dit, accompagné de deux hommes. Il tenait une Bible sur son cœur. » Et vers ce moment-là, la porte s’est refermée derrière moi, et je suis entré, accompagné de deux hommes.
20. Je vous assure, oh ! la la ! je me sens bien. Frère, vous ne saurez jamais quel sentiment est-ce jusqu’à ce que vous sachiez où vous vous tenez. Alors, tous les démons de l’enfer ne peuvent pas arrêter cela ; rien ne peut le faire. Vous savez alors où vous vous tenez.
Je me suis avancé vers le porche. Jamais je… On dirait que je me suis senti sortir de mon corps, et j’ai vu mon corps ouvrir cette porte-là et y entrer. Cette jeune fille était couchée là. Sa mère venait de tomber évanouie. Je me suis avancé vers le lit où elle se trouvait. J’ai dit : « Sœur Georgie, le Seigneur Jésus même que tu aimes et en qui tu as fait confiance tout ce temps, m’a rencontré dans les bois et m’a dit que je devais venir et que tu te rétablirais. Donc, par obéissance à la commission qui m’a été donnée il y a quelques instants dans les bois, je te tiens par la main et te dis : ‘Au Nom de Jésus-Christ, tiens-toi debout et sois rétablie.’ »
21. Alors, cette pauvre petite fille, qui ne pesait pas plus de 36 ou 37 livres [16 ou 17 kg], juste un tas d’os… Eh bien, elle ne pouvait même pas se tenir debout s’il le lui fallait. Elle s’est non seulement tenue debout, mais elle a sauté, criant à tue-tête. Et les gens ont commencé à crier là. Elle était parfaitement normale et rétablie. Alors, sa mère s’est évanouie. Sa sœur est entrée là en courant. Elle ne savait que faire. Elle s’est mise à crier, ses cheveux… Elle a détalé dans la rue, se tirant les cheveux comme cela, parce que quelque chose était arrivé. Son père revenait de l’étable, tenant un petit récipient contenant du lait comme ceci. Il a entendu le piano jouer, il est entré dans la maison en courant pour voir ce que c’était. Et là se trouvait sa fille, qui n’avait jamais quitté le lit depuis neuf ans et huit mois, assise au piano en train de jouer « Jésus, garde-moi près de la croix. Il y a une Fontaine précieuse, gratuite pour tous, un flot guérissant qui coule de la Fontaine du Calvaire ». Elle était parfaitement normale et rétablie !
Oh ! la la ! Voilà venir le prédicateur baptiste Marengo, et tous les autres, ils sont arrivés là. Elle a couru dans la cour. Elle a béni les feuilles. Elle a béni la pelouse. Elle était très heureuse.
Frère, sœur, il y a de cela environ six ans. Ce soir, Georgie Carter est en train de jouer du piano à l’église baptiste de Milltown, où je suis toujours pasteur. Ecrivez-lui. Mademoiselle Georgie, G–e–o–r–g–i–e C–a–r–t–e–r, Milltown, Indiana. Requérez son témoignage personnel. Ce même Jésus-Christ qui a guéri Georgie cette nuit-là est ici même ce soir pour faire la même chose pour chaque individu qui est dans la Présence divine. Croyez-vous cela ?
22. Notre Père céleste, puisse Ta Présence être proche. Ô Dieu, puisse-t-Elle oindre chaque personne qui est dans cette Présence divine maintenant. Puisse la puissance de Dieu saturer ce petit groupe qui est en attente ici. Les hommes et les femmes assis là, la sueur coulant au visage, ils sont fidèles, Seigneur. Maintenant, je Te le demande, ô Dieu, sachant que Tu es absolument Souverain vis-à-vis de Ta Parole. Tu nous guéris uniquement quand nous croyons. Mais si c’est possible, Seigneur, que les Anges de Dieu se mettent à chaque rangée, qu’ils visitent partout ici ce soir ici, sur cette estrade, là dans cette audience. Et puisse chaque personne recevoir une touche divine de Sa part, Lui au sujet de Qui je rends témoignage.
Ô Dieu, accorde que cette soirée soit la plus glorieuse que nous ayons jamais vue de toute notre vie. Puisse la puissance de Dieu envelopper cette salle. Et puissent ces gens qui ont été fidèles à attendre, s’éventant, puisse l’Esprit de Dieu descendre sur chacun d’eux et guérir chaque personne dans cette salle ce soir. Accorde-le, Dieu éternel, au Nom de Ton Fils, Jésus-Christ. Amen. Bien-aimés frères, priez. Je crois que Dieu va faire quelque chose pour nous ce soir.
23. Voudriez-vous faire cela pour moi, assistance ? Voudriez-vous attendre, veiller et, à la première touche du Saint-Esprit sur vous, en réponse à votre prière d’il y a juste quelques instants, voudriez-vous vous lever et rendre gloire à Dieu ? Pendant que des choses se passent ici, Dieu agit dans l’Esprit par Son peuple. Quand Dieu fait quelque chose pour quelqu’un, alors mettez-vous debout et acceptez aussi votre guérison.
Je vous assure, si vous faites cela, une vague de gloire va frapper cette salle, et quand le Saint-Esprit y descend, c’est alors que l’eau est agitée. Entrez-y directement et recevez votre guérison à ce moment-là. Je ne pourrais pas être capable de prier pour chacun de vous. Mais le Saint-Esprit peut toucher chacun de vous au même moment. Vous le croyez, n’est-ce pas ? Puis, sortez de ce bâtiment, confiant cela à Dieu. Rendez-en témoignage, croyez cela de tout votre cœur, accrochez-vous-y et voyez ce qui arrive. Dieu exaucera. Amen. Croyez-vous cela ?
24. Combien de cartes avez-vous distribuées ? Très bien. Commencez directement à partir de ça, mettez-les bien en ligne. Il a distribué la série F à partir de 51. Commencez cela, ici même, 51, 52, 53, 54, 55, autant que vous pouvez en entasser là, je pense. Prenez-en jusqu’à environ… Eh bien, vous pouvez prendre… pouvez-vous prendre plus de 10 là ? Très bien. Essayez les 10 premiers, et puis, peut-être que nous pouvons en prendre plus après cela. 51 à 60, ça fait 6… 51 à 60. Et puis, aussitôt que ce groupe diminuera, aussitôt que ça sera réduit, s’il y a encore de la place, progressez, commencez juste avec 61, 62, 63, 64, 65 jusqu’à 70. Si cet autre groupe diminue, continuez jusqu’à 80, comme cela. Et puis, quand cela commence… A ce moment-là, chacun de vous devra afficher une bonne attitude, le Saint-Esprit sera en train de descendre dans cette salle pour la guérison de chacun de vous. Allez de l’avant, Frère Baxter.
Très bien. Nous allons très vite commencer pendant qu’ils–ils se mettent en ligne là et qu’on les… les huissiers sont en train d’apprêter ces gens. Très bien.
25. Qui a cru à ce qui nous a été annoncé ? Croyez-vous que c’est la vérité ? Magnifique. Combien savent qu’ils ont reçu la guérison cette semaine ? Faites voir la main, là dans l’assistance, partout. Regardez là, Frère Baxter. Je sais que c’est vrai. Combien croient qu’ils vont recevoir la guérison ce soir de la part de Dieu? Faites voir la main. Il ne vous rejettera jamais. Il ne peut pas vous rejeter. Il est Celui qui ne peut pas vous rejeter, parce qu’Il est Dieu. Eh bien, quant aux gens assis comme cela, assis ici, amis, je regarde ces gens ici, je vois un, deux, trois fauteuils roulants, quatre fauteuils roulants. Eh bien, le reste, ouais, cinq, en voici un placé ici.
26. Eh bien, vous qui êtes sur des fauteuils roulants, ne pensez pas que votre cas est… Eh bien, voici ce qu’il vous faut faire : accepter votre guérison. Voyez ? Dites simplement : « Je suis guéri maintenant. Je suis guéri maintenant même. » Voyez ? Et continuez simplement à croire cela. Et si seulement vous exercez assez votre foi, assez pour vous lever, Dieu me le montrera ; alors, vous vous lèverez, comme l’avait fait la dame qui était assise là l’autre soir. Aviez-vous vu cette dame qui était assise là dans ce fauteuil roulant, qui s’est levée–levée comme cela ? J’ai regardé là et je l’ai vue. J’ai vu qu’elle avait été chez un médecin et tout. Et la chose suivante, vous savez, je l’ai vue partir en marchant, comme cela. J’ai dit : « Mettez-vous debout. C’est fini. » En effet, Dieu l’avait rétablie. Eh bien, soyez en prière et soyez respectueux pendant que nous prions. Très bien.
27. Je crois que Dieu va exaucer la prière. J’apprête bien tout, afin que… Je crois cela, pas vous ? Je crois que quelque chose va se passer ce soir. J’attends bien cela. Je sens bien cela. Très bien.
Bonsoir, monsieur. Allez-vous croire là maintenant ? Très bien. Ayez foi. Allez-vous tous croire là ? Par ici, là derrière, allez-vous croire de tout votre cœur ? Très bien, c’est bien donc.
Très bien, frère. Je suis… Après avoir parlé, je me sens un tout petit peu secoué, vous savez, j’attrape… je pense qu’humainement, je suis nerveux, vous savez, c’est juste… c’est comme ça que ça se passe, je pense. Mais, de toute façon, je dois me calmer pour l’onction de cet Ange du Seigneur.
Eh bien, je ne veux pas dire que cela vous guérira. Ça n’a rien à faire avec votre guérison : Tout ce que cela peut faire, c’est rendre votre foi plus grande (Voyez-vous ?), ou quelque chose comme cela. En effet, je présume que vous et moi, nous ne nous connaissons pas. Je ne crois pas vous avoir déjà rencontré. Je ne vous connais pas. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
28. Vous–vous semblez souffrir de maux de tête ou quelque chose comme cela. Une espèce de… c’est vrai, n’est-ce pas ? Quelque chose qui cloche au niveau de… disons, du sinus. Je vous vois assis comme ça. Voyez ? Et vous êtes… il vous arrive aussi de vous sentir faible, n’est-ce pas ? Vous devenez très faible. Dites donc, vous êtes aussi un prédicateur. Je vous vois. Vous êtes–vous êtes un prédicateur de l’Evangile. Je vois ça. Et vous souffrez du cœur, vous étouffez, n’est-ce pas ? Je vous vois tenir votre… Est-ce vrai, frère prédicateur ? Venez ici juste une minute. Nous sommes frères.
29. Notre Père céleste, j’implore miséricorde pour mon bien-aimé frère. Je prie que Ton Esprit, qui est ici maintenant, bénisse mon frère. Viens sur lui et guéris-le, Seigneur. Que, dès ce soir, il ne soit plus jamais dérangé, désormais. Au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Allez donc, allez aussi vous rétablir. Disons : « Gloire à Dieu ! » [L’assemblée dit : « Gloire à Dieu ! » – N.D.E.] Oh ! la la ! Eh bien, quand je me suis retourné comme cela, j’ai senti on dirait toute une forte traction.
Vous aviez subi une intervention chirurgicale. Si je suis… Voyez si je suis en erreur. N’ai-je pas… quand je vous ai vu couvert, mais on vous a amputé un organe de votre corps, une côte ou quelque chose comme cela, n’est-ce pas ? Oh ! Sept côtes de votre corps. J’ai vu le chirurgien alors qu’il se retournait. C’était un homme élancé, mince, qui vous avait opéré. Est-ce vrai ? Il portait un–un masque blanc sur le visage. Il s’est retourné… Ils étaient nombreux autour de la table. Je vois une infirmière blonde retourner vers un côté. Vous êtes nerveuse et faible depuis lors, n’est-ce pas, sœur ? Vous avez été au sanatorium, rien ne semble s’améliorer. Est-ce vrai ? Venez ici.
30. Bien-aimé Père céleste, cette pauvre petite femme mourante s’est approchée pour recevoir sa bénédiction. Je me demande : Que ferais-Tu ? Père, Tu lui imposerais les mains. Tu réprimanderais ce démon, il T’obéirait absolument. Et maintenant, que Tu es monté en haut, Tu as fait des dons aux hommes, et sa… on a prié pour elle, et sa foi, Seigneur, essaye de croire. Mais avant qu’elle meure, Seigneur, viens-lui en aide.
Satan, en tant que croyant en Jésus-Christ, en tant que Son représentant, en vertu des souffrances qu’Il a endurées à notre place au Calvaire, je t’adjure par Jésus-Christ de quitter cette femme. Sors d’elle ! Partez d’ici ce soir, mangez ce que vous pouvez. Prélevez votre poids dans quelques jours et écrivez-moi votre témoignage. Que Dieu vous bénisse, sœur.
Autre chose, depuis votre enfance, vous avez une vue… l’un de vos yeux…?... les fait monter…?... [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Je lui disais juste quelque chose que j’ai vu dans la vision, qui était…?... cela… Disons : «Gloire au Seigneur ! » [L’assemblée dit : « Gloire au Seigneur ! » – N.D.E.]
Très bien, faites venir la dame. Maintenant, tout le monde, soyez tous tout aussi respectueux que possible.
31. [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Eh bien, saisissez cette autre main, touchez-la, touchez cette main-ci. Voyez ? Voyez-vous ce que je veux dire ? Or, c’est juste… Cela me va droit au cœur. Cela produit un bruit comme brrrrr. Ça, c’est ce cancer. Ça vit. Et maintenant, les Ecritures déclarent… Eh bien, quand je vous observe, je vois le cancer à votre gorge, n’est-ce pas ? Est-ce vrai ? Oui, madame. Je vois où ça se trouve… Evidemment, on ne peut pas le remarquer visiblement, mais on–on peut…?... par la vision.
Eh bien, n’est-ce pas étrange que cet autre être humain puisse placer sa main là et qu’il ne se passe rien ? Et puis, vous, vous vous avancez ici et vous placez la main là, et ça y est. N’est-ce pas ?
Eh bien, c’est qu’il y a alors ici Quelque Chose, qui me oint, qui est capable de savoir ce qui cloche en vous. Est-ce vrai ? C’est ce qu’il y a ici. Avez-vous vu cette photo de l’Ange du Seigneur que j’avais montrée ? Vous l’avez vue. Eh bien, c’est Ce qu’il y a maintenant. Oui. La photo que j’avais montrée ici, avec cet Ange du Seigneur au dessus de Cela, là où je me tenais.
32. Eh bien, alors, il y a quelque chose qui cloche en vous (voyez ?), un cancer. Et vous placez votre main ici, et aussitôt que nous établissons un contact, quelque chose bondit. Qu’est-ce donc ? C’est le cancer qui est sur vous, et l’Ange du Seigneur ici. Eh bien, cela cherche à vous retenir, et Dieu veut vous guérir. Eh bien, moi, je ne peux pas faire partir cela, mais votre foi en Jésus-Christ vous en débarrassera. Voyez ? C’est une vie. Eh bien, le cancer, c’est quoi ? C’est un germe. C’est une multiplication de cellules. Cela se trouve à votre cou, ça suce votre sang, ça vous tuera bientôt. Voyez ?
Eh bien, maintenant, sous l’angle de la guérison divine, si vous étiez un cancer, je chasserai bien votre vie de vous, et votre corps tomberait raide mort. Peu après, vous vous décomposeriez et disparaîtriez. Pendant les quelques premiers jours, si cela vous quitte, vous vous sentirez très bien. Votre gorge sera dans un très bon état. Mais après, son état va s’empirer plus que jamais. Et vous cracherez de gros morceaux et tout. Et souvent, quand les gens tombent gravement malades, comme cela, ils disent : « J’ai perdu ma guérison. » Ne croyez pas cela, si cela vous quitte. Continuez à témoigner. L’homme… Jésus a parlé à un homme, disant : « Ton fils vit », et cet homme a cru ce qu’Il avait dit. Voyez ? Croyez ce qui vous est dit.
33. Eh bien, si par l’Esprit de Dieu, j’ai été capable de voir ce qu’était votre maladie et votre vie, et vous savez que c’est vrai, alors, ce qu’Il dit dans ce sens sera aussi vrai, n’est-ce pas ? Si cela a été vrai sans que je le sache, ceci le sera comme je le sais, est-ce vrai ?
Eh bien, j’aimerais que vous placiez votre main ici une fois de plus. J’aimerais que vous regardiez. Maintenant, j’aimerais que vous regardiez ; ce n’est pas la position dans laquelle la main est tenue (voyez ?), c’est tout à fait pareil n’importe où que c’est…?... ici.
Eh bien, la Bible dit : « Toute parole sera établie sur la déposition de deux ou trois témoins. » Est-ce vrai ? Vous êtes venue, une étrangère. Je ne vous connais pas. Vous avez placé votre main sur la mienne, quelque chose est apparu. Et je vais vous dire ce que c’est. Voilà un témoin, n’est-ce pas ? Et vous voyez cela maintenant. Regardez cela là. Maintenant, observez cela. J’aimerais que vous vous approchiez d’ici afin que vous voyiez ; regardez ici comment cela apparaît et disparaît. Eh bien, le voilà se calmer. Voyez ?
Eh bien, je sens cela venir… Le voilà réapparaître. Eh bien, regardez ça. Voyez ? C’est juste comme des vagues. Eh bien, ce cancer est agité. La vie du cancer, la vie de ce germe là-dedans, est agitée. C’est un esprit ; en effet, tout près d’ici, entre vous et moi, se tient la Chose qui peut faire partir cela par votre foi.
34. Eh bien, je vais prier pour vous, comme vous savez que vous avez le cancer. Vous avez été très nerveuse et bouleversée. Je ne suis pas en train de lire vos pensées. Mais vous savez de quoi je parle, n’est-ce pas ? Je n’ai même pas à dire cela. Mais maintenant, ce que j’essaie de faire, c’est faire partir cela. Maintenant, je vais prier, je vais demander à l’assistance d’incliner la tête. J’aimerais que vous regardiez ma main. Si cela–si cela disparaît, c’est que vous êtes guérie. Il y aura trois témoins. Est-ce vrai ? Si cela persiste là, vous avez toujours le cancer.
Maintenant, rappelez-vous, moi, je ne peux pas faire partir cela. Eh bien, la raison pour laquelle je vous ai demandé de–de–de regarder (voyez ?), c’est que c’est vous qui avez le cancer. Si cela part, il y aura un cancer en fuite, voyez, puisque ceci, eh bien, puisque votre foi est tout ce qui peut faire partir cela, alors, j’aimerais que vous croyiez pendant que je prie. Et j’aimerais que vous observiez ma main, voyez si elle change de quelque manière que ce soit. Voyez ? Et puis, si cela diminue, si le gonflement disparaît, si la vibration quitte là, si ça devient normal juste comme cette main, c’est que vous êtes guérie. Sinon, vous ne l’êtes pas. Voyez ? Je n’ai rien à faire avec ça. C’est désormais votre foi. Voudriez-vous incliner la tête, assistance ?
Notre Père céleste, c’est juste afin que cette petite femme et ces prédicateurs assis ici en train de regarder ma main, puissent savoir que Tu es Christ, le Fils de Dieu, et qu’ils sachent que Ton serviteur dit ce qui est vrai… Tu as dit au prophète Moïse : « Par ces deux signes, ils croiront. » Et ceux-ci croient sans ces signes. Ils croient en Toi. Et maintenant, Père, j’implore miséricorde pour cette pauvre petite femme ; nous savons qu’elle ne peut pas vivre plus longtemps comme ça. Aie pitié d’elle, guéris-la au Nom du Seigneur Jésus. Je réclame sa guérison.
35. Maintenant, avant que je relève la tête, ou que je regarde, cela ne s’est pas arrêté ; cela bouge toujours, n’est-ce pas, madame ? C’est juste comme c’était. Eh bien, à l’intention de l’assistance, cela ne s’est pas arrêté. Cela bouge toujours. Eh bien, je ne peux pas arrêter cela maintenant, sœur, parce que…?... exposant cela…?... Mais, maintenant, regardez ça. Regardez…?... [Espace vide sur la bande – N.D.E.] … réclamant la puissance sur toi, par les souffrances de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, sors de la femme… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
Eh bien, amis, je ne cherchais pas juste à vous parler à haute voix. Je ne cherche pas à vous abasourdir les oreilles. Mais, parfois, ces démons se font désobéissants, et alors, il vous faut les chasser. S’ils peuvent sortir facilement, tant mieux, mais si vous veniez chez moi et vous… et que je vous disais de sortir, et que vous sortiez, ce serait en ordre. Mais quand on doit vous chasser, là, c’est différent. Voyez ? Et vous–vous ne pouvez simplement pas dorloter ces choses. Très bien. Amenez les…
36. Aimez-vous Jésus ? Il est merveilleux, n’est-ce pas ? Eh bien, s’Il se tenait ici même ce soir, portant mon costume, Il ne pourrait pas faire pour vous plus que ce qu’Il est en train de faire maintenant même. Il pourrait savoir ce qui cloche, Il pourrait vous dire ce qui ne va pas, mais Il dirait : « Le Fils ne fait que ce que le Père lui montre. » Est-ce vrai ?
Et Il a dit : « Eh bien, vous ferez aussi les œuvres que Je fais. »
Vous rappelez-vous ce qu’Il avait dit à Nathanaël quand celui-ci était venu auprès de Lui ? » « Je te connaissais. Tu es un chrétien », autrement dit.
« Quand m’as-Tu connu ? »
« Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu. »
Qu’a-t-Il fait ? Il l’avait vu en vision. Est-ce vrai ?
37. Eh bien, voici une petite fille ici debout devant moi. Je ne crois pas te connaître. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre, chérie ? Je ne sais rien à ton sujet, n’est-ce pas ? Rien du tout. Et ce que, juste dire… D’où viens-tu ? Ontario, dans le Canada. Nous sommes nés à des endroits séparés de plusieurs kilomètres, avec un décalage d’âge. Jamais de ma vie je ne t’ai vue. Et s’il y a quelque chose au monde que je peux savoir à ton sujet, ça doit certainement se passer par une puissance surnaturelle. Est-ce vrai ? Connaissez-vous la jeune fille, Frère Baxter ? Lui aussi vient du Canada. Par Jésus-Christ, nous pouvons nous rencontrer sur un terrain commun, n’est-ce pas ? C’est vrai.
Je voudrais que tu t’approches un peu plus. Je vois que tu es très frêle. Je ne sais pas ce qui cloche chez toi. Mais je voudrais juste que tu me parles comme je te parle. Je ne voudrais pas que tu sois…
38. [Espace vide sur la bande – N.D.E.] … l’asthme, n’est-ce pas ? L’asthme. Dis donc, on te–t’a examinée à l’hôpital, ou quelque chose comme ça, à cause de cela. N’est-ce pas ? Je vois un médecin à tes côtés. Dis donc, je vois autre chose. Tu as aussi connu un accident. Tu as été victime d’un accident, n’est-ce pas ? Tu as eu des lésions, n’est-ce pas ? dans un–dans un accident d’automobile. Est-ce vrai ?
Maintenant, voyons si je peux revenir encore. Il y a quelque chose au sujet d’un médecin, n’est-ce pas ? M’as-tu entendu parler ? Ce n’était pas moi. C’était–c’était… Ce n’était pas moi. C’était au travers de ma voix, mais ce n’est pas moi qui le disais. Eh bien, quelque soit la Chose qui a parlé par moi, tout ce que Cela t’a dit était la vérité, n’est-ce pas ? Maintenant, dis simplement–simplement si c’est la vérité. Lève simplement la main pour montrer que ce–c’est la vérité. Et ce n’était pas à cela que tu pensais. Tu ne pensais pas à ces choses-là, n’est-ce pas ? Il serait donc impossible que je sois en train de lire tes pensées, n’est-ce pas ? Cela a dû dépasser ce niveau-là, n’est-ce pas ? Des choses que, je pense, personne dans cet auditoire ne sait, à part toi. Vois-tu ? Ou à moins qu’il y ait quelqu’un de très proche à toi, qui le sait.
39. Eh bien, je t’ai dit la vérité, n’est-ce pas ? Maintenant, me crois-tu, en tant que prophète de Dieu, que je t’ai dit la vérité ? Fais ce que je t’ai dit, je vais t’imposer les mains, sœur bien-aimée. J’ai une fillette à la maison. Et je sais que si elle était malade… Eh bien, en commémoration de ce que Jésus a dit en mourant au Calvaire, Il t’a guérie. Et maintenant, tu sais qu’un Etre surnaturel est ici maintenant et tu crois que tu es dans Sa Présence. Est-ce vrai ? Je te bénis, ma sœur, au Nom du Seigneur Jésus-Christ ; qu’Il te débarrasse de cet asthme. Et puisses-tu partir d’ici ce soir pour retourner dans ce beau pays, étant une femme rétablie, témoignant de la grâce de Dieu envers toi, tous les jours de ta vie. Puisse-t-Il t’utiliser pour déclencher un réveil à l’ancienne mode dans ta communauté, par ton témoignage. Car je place ces bénédictions sur toi au Nom de Jésus-Christ. Amen.
40. Que penses-tu, que tu es guéri ? Très bien. Tu l’es. Maintenant, tu peux quitter l’estrade, guérie. Que Dieu te bénisse, sœur. Disons : « Gloire à Dieu ! »…
E-1 It was... I was at my mother's house, and I was going to stay all
night down there. I'd been praying for the sick, and I got in late. And
so I just stopped off at mother's. And I was talking to her. And we
went to bed. In a little while I come--I got up. And I just couldn't
rest. Did you ever have those restless nights? Be careful, if you're a
Christian, that might be God dealing with you. See? So I'd got up and
was walking around. And I turned... I got a burden; I thought, "Well,
maybe somebody's sick somewhere, and they want me to pray for them."
And I got down, and I couldn't pray through. And just went on
for while, and after while, I looked across the room. And did any of
you women ever wash, and bring your wash in like that, and pile it down
in a chair? That's my mother. And then iron barefooted in... And if she
knew I said that, she'd turned me over her checkered apron again. But
I've seen the poor old thing, many times stand there, and standing with
her iron, you know, barefooted, ironing. And she...
E-2 I thought she'd laid her clothes in a chair in the corner, in the
bedroom there. And it looked like something white. And it begin coming
in closer to me. I looked at it. And it wasn't the chair; it was
something moving, white. And it... It seemed like I went into it, or it
come into me. And in a few moments, I was walking down through a
wilderness country, and I could hear a lamb bleating, going "Baa-baa."
Did you ever hear a little lamb cry? It's the most pitiful thing in the
world. And it was bleating. I said, "That poor little thing. I'm going
to see if I can find it."
And I started up towards the brush and stuff. And as I got
closer to it, it wasn't a lamb. It was a human. It was calling, saying,
"Milltown. Milltown." Well, I never heard of the place in my life. So
when I came to myself... I went to church the following Wednesday
night. And I said to some of them, "Anybody know where Milltown is?" No
one knew.
E-3 So then, Sunday night, I announced it. "Does anyone know where
Milltown is?" And a brother by the name of George Wright, I guess many
of you that go down the Tabernacle know him.
And He said, "Yes, Brother Branham, about thirty-five miles
down the Southern here." Said, "I live close to it."
I said, "I will be down next Saturday; God wants me to go to
Milltown. There's somebody down there in trouble."
He said, "Small city about five hundred people, or a
thousand, down on the Southern there..." Said...
I said, "Well, I'll be down."
E-4 We went down, and I remember, I went to that grocery store where
the street corner turned. I thought, "Wonder what the Lord wants of
me?" I went in and bought a box. And come out there, and I thought I'd
preach right here on the corner." Well, I got up on the box, and I--I
couldn't think nothing to preach about. And all the folks there in the
country, you know, come in on Saturday and do their shopping.
Brother Wright said, "I'm going up on the hill to do a little
trading, Brother Branham, got to take some eggs up there to a man."
Said, "You want to ride up with me?"
I said, "Yes." And as I went up, there was a big white church
standing up on the hill. And I said, "Say, look. Isn't that a lovely
church?"
He said, "Yes, it's a pity about that church." Said, "That's
a Baptist church, and the pastor there got in some trouble." And said,
"The church went down, and they never had a pastor there since." Said,
"The city taken it over. Congregation all left and went to other
churches."
E-5 And I felt the Spirit of God tell me, "Stop." I went over there and
the door was locked. And I said, "You go ahead, Brother Wright. And
I... You come back and pick me up after while."
And after he got gone, I knelt down there, and I prayed. I
said, "Lord, if You want me in this church, unlock these doors for me."
And so while I was praying, I got up, and I heard somebody
coming. It was a man walking around. He said, "Hello!"
And I said, "Howdy do?"
He said, "I seen you were praying."
I said, "Yes, sir. I--I just... I'm a preacher, and I just
was praying here on the steps."
He said, "You want go in?"
I said, "Yes, sir."
Said, "I got the keys."
I said, "Thank You, Lord." I said, "Thank You, Lord." All you
believe in that? Yes, sir. Yes, sir. He's real.
E-6 And he opened the door for me, and I went in there, seat about
three or four hundred people. And I walked up to the place. And I bowed
my head and prayed. I said, "Who owns it?"
Said, "Oh, the city." Said, "We just... I just take care of
it here." Said, "Only thing we have in it is funerals, and so forth."
I said, "Wonder if I could have a revival here?"
Said, "See the city official."
And I went down and asked him. He said, "Sure, if you'll put
a meter in it."
I said, "Well, I work for the Utility Company, I'll put my
own meter in."
He said, "All right."
I put the meter in, and announced around there that I was
going to have a revival. I never will forget the first man I asked. I
said, "Going to have a revival, sir, will you come?"
He said, "Say, we raise chickens around here. Ain't got time
to go to no church."
I said, "Well, couldn't you just let the chickens alone for a
little while and come to the meeting?"
E-7 He said, "Oh, we ain't got time for nothing like that." Said, "I
got my business to take care of." Said, "You take care of your own."
I said, "I didn't aim to hurt your feelings, sir."
About ten days from then, you know, they had to take out time
to bury the man. He died. And so they buried him right down there in
front of the church.
We started a revival. And... Oh, I went out and prayed in the
woods, and I thought the Lord give me a great message, and I was just
burning at my heart, to deliver it. I said, "Oh, we'll probably have a
big crowd there tonight. Maybe the Lord wants me to hold a revival."
E-8 So I got down there. You know who was there? George Wright, his
wife, and son and daughter. I had four in the congregation. I preached
the message the Lord had give me just the same. And then the next
night, there was an odd-looking fellow walked up to the outside. And he
was a... They told me he was a backslidden Nazarene, once belonged to
the Nazarene church and had backslidden. Had his corn cob pipe in his
mouth, and he knocked it out on the side of the building, hair hanging
down in his face, and tooth out on the side. And looked in, said,
"Where is that little Billy Sunday they're talking about in here?" like
that.
Mr. Wright went back and got him, and set him down. I was up
there reading the Bible, behind the pulpit. Brother Wright come up,
said, "The hardest boiled fellow there is in the country, just walked
in." Said, "Oh, he's a rip-snorter." Said, "His name is William Hall.
He runs the florist up here on the hill."
I said, "Maybe that's the one the Lord's after."
So I got to preaching. Brother Wright went back to him, said,
"Do you want move up front?"
He said, "I'll take care of things back here. You go on up
front."
And as the meeting come on, when the service closed, Mr. Hall
was kneeling on the rail, a praying to God. He's my associate pastor
down there now. And still... A few nights there was some healing taken
place. And then that started the crowd. We had to hang the PA systems
out in the trees. But it seemed like, yet, it wasn't all.
E-9 So there was a young lady that belonged to a certain church there,
that I won't call no name; they don't believe in any Spirit; just the
letter, "We speak where the Word speaks, and silent where It's silent."
And they had made a proclamation there, that anybody that
went to that meeting would be given their church letter and sent home.
Her daddy was a deacon in the church. And so she got a hold of one my
little books. And this lady, girl, she's about twenty-five years old
now. Her name is Miss Georgie Carter. She'd been laying nine years and
eight months, that she'd never raised her head off the bed: TB. And
they couldn't even put a bed pan under her. They kept a rubber sheet,
and had a draw sheet. I guess you know, Brother Ryan, have to pull the
draw sheet like that. She'd never seen the outside world, nowhere out,
even the windows, for nine years and eight months.
And somebody come told me, but said, "You can't go pray for
her," said, "she's crying for you." And just as soon as they said that,
seemed like that was the one I was to go see.
E-10 Well, her mother and dad wouldn't let me come. Said, "No, we won't
let that deceiver come." And then after I got ready to leave the
revival, her daddy said, "Well, he'd leave the house." And her mother
said she'd--she'd leave and if to satisfy the girl. So I think they
must've got permission from the preacher, just to let me come down
there.
So I went in to see her. And the poor little thing had my
little book laying there. And on the back of the bed, before she
could... Got passed, putting her hands back, the paint was all rubbed
off the bed where she had held, and cried, and prayed for deliverance.
But her church didn't believe in Divine healing. And she got this book,
and she seen in the paper where another girl had been healed, had been
sent in a vision. And she wanted to be healed.
E-11 So, oh, poor little thing had just cried so. And I went in; she
said, "Brother Branham, I just believed if you would come; Jesus would
let me get well."
And I said, "Will you serve Him, sister?"
Said, "All my heart."
And her little old arms, she couldn't raise her sputamin cup.
She'd start, and she'd go, "uh, uh, uh," and then they'd have to hold
the cup. She'd go, "uh, uh, uh," to spit in it like that. And that's
the condition she was in. I knelt and had prayer for her, and went out
of the room.
E-12 And about two weeks from then, I was back again to start another
meeting. We'd had a three, four night's meeting. And there was another
minister up there, who didn't believe in immersing. And I was going to
baptize a bunch down there in the river. And he'd had a revival in a
tent. And he said, "If anybody, one of my congregation, even walk in
that church, where that crazy Divine healer," said, "I would... I'd
absolutely take them out of the church." He said, "The very idea..."
Said, "That fellow will drown you in the water, you know." He said,
"Well..."
I went up there to have a baptismal service that afternoon.
And little Georgie, I told her, I said, "Now, now, sister, I can pray
for you. That's all I know."
She said, "Will can you do for me, like you did for that Nail
girl?"
I said, "No, that was a vision, honey. I have to see the
vision first."
I said, "If He ever sends me back, I'll come back. But I
believe you're going to get well," encouraging her faith.
E-13 And so, the last day of the service I went over to baptize at
Totten's Ford. Many of you people around Corydon know where that's at.
And so I went over there to baptize. And here this minister had closed
his service, and all the congregation was standing on the bank. And I
walked out there in the river, you know. Oh, my, that glorious feeling,
the water, splashing around everywhere. And I baptized about fifty
people that afternoon. And while I was standing there, just seemed like
an Angels was setting on every branch of the tree.
E-14 And I was standing there, started to pray like that. I said, "As
God sent John to baptize..." And I said, he said, "Go ye into all the
world and make disciples of all nations and baptize them. These signs
shall follow them that believe." And about that time, the Holy Spirit
swept down across that bank, and the entire congregation of that
minister walked out into the river, screaming with their good clothes
on. I baptized every one of them that afternoon--every one of them.
That's right. That's true.
Women screaming with silk dresses on, young ladies, and
mothers and dads, and bringing their kiddies, and everything. I
baptized till it was almost dark. They had to pull me out of the water.
And so I was to have the meeting down at the Baptist church that night.
I went with Brother Wright and them to eat supper. And mother Wright,
she's a real cook. Way back up in the country is where they live. And I
said, "I don't want supper right now." I said, "I'll go over here to
pray. The Lord wants me to pray. There's something leaning heavy on my
heart."
So then, he said, "Well, when I ring the dinner bell, you
come, Brother Branham," said, "'cause we're going to have to hurry."
I said, "All right."
E-15 And I went over there, and I knelt down. Did you ever feel like,
you know, the briars stuck you, and the floor was too hard? Did you
ever have that? That's the time to press on. That's the Devil trying to
keep you from it. Move right on. As long as you're doing right, you
can't be doing wrong. See? You can't go this way, when you're going
this way. And I know it's right to pray. And I just kept on praying;
the--the wind blew, and a sticker hit me in the face. I just said,
"Thank You, Lord." And kept on praying.
And after while, I got lost in the Spirit. Did you ever get
lost in the Spirit? Excuse me for talking fast like a bush on fire, but
I'm trying to hurry up. But I just got lost in the Spirit. I didn't
hardly know where I was at. I heard that bell ring, but I was having
too good a time with God then to think about supper. And the bell rang
and rang. And I knowed it was getting dark. And I was just praying. I
said, "Thank You, Lord, for Your goodness."
E-16 And just then it kinda quietened down. I thought, I'd get up and
go on over then. Maybe the first bunch would be away from the table.
And I said, "Thank You, Lord."
And as I opened my eyes, shining right down though a little
dogwood bush there, was a Light, kind of an emerald-green, yellowish
Light, shining right down on me. And a Voice spoke like a great deep
Voice, way back there in the woods, and said, "Go by the way of
Carter's" That was enough. That had it. I jumped up and started
screaming, I run down. They had search parties looking for me out in
the woods. I jumped over the fence and down there in the field, and
jumped right into Brother Wright's arms.
He said, "Brother Billy," he said, "mama's been waiting
supper on you for a hour." He said, "They're out everywhere over hill
here, hunting for you."
E-17 I said, "Well, Brother Wright, I'm not going to eat supper." I
said, "Georgie Carter is going to be healed completely in the next few
minutes." She was about eight miles away.
He said, "What?"
I said, "Yes, sir. THUS SAITH THE LORD."
He said, "You mean she's going to get up?"
I said, "She's going to be normal and well in the next few
minutes, soon as I can get there."
He said, "Can I go with you?"
I said, "Yes, sir."
And there was a man there from Texas, just brought his wife
up, and she was healed. He said, "Brother Branham, can I go with you?"
He had seen the Nail girl healed, few weeks before that.
I said, "Yes, sir."
He said, "You mean that little pile of bones that..."
I said, "She's going to be healed just in a few minutes."
We jumped in the car and went down. Now, God works on both
ends of the line. Don't you believe that? [Congregation says,
"Amen."--Ed.]
E-18 When they was having a prayer meeting down at John Mark's house,
Peter in the prison, the Angel of the Lord was there. You know what I
mean.
And then this woman, the mother, Mrs. Carter... I want you
all to write to her if you want to. She was very critical. But she...
The little Georgie cried. She promised God if she could get healed that
afternoon, she'd go down and be baptized. So... And she hadn't raised
off that bed, now, her head up, for nine years and eight months.
And then, she was laying there crying, and her mother got so
worked up. Her mother set there, a fairly young woman, went gray-headed
and took the palsy, just setting there by that bed all the time, day
and night, just what little sleep she could get. All right.
Her mother went in the kitchen; she knelt down, she said, "O
dear God..." Sincerely now, just been taught wrong. Said, "O dear God,"
said, "have mercy on my poor little girl in there, poor little thing
laying there, just a few days from death. And she's laying there. And
that impostor come through this country here, claiming to be
something." And said, "And he's got my child all tore up." Said, "God,
have mercy." Started praying like that.
E-19 Now, here is her testimony. I don't know this; this is her words.
She said, "She raised her head up like that; she was wiping the tears
from her eyes. Her daughter lived next door. They was good people. And
the sun was setting in the west, and was shining in like this against
the wall." She said, "She seen a shadow coming down the wall." And she
thought it was her daughter coming around the house. But when He got
right up to her, she said, "It was the Lord Jesus Christ." Said, "He
walked right up close like that. He said, 'Who's this?'"
And said, they looked. And she was seeing me with this high
forehead, and this Bible laying on my heart, coming, walking into the
house. And she said, "Oh, mercy, I--I--I've went to... I'm asleep." She
never seen a vision. She said, "I'm--I'm asleep."
And she run in and told Georgie, said, "Georgie, I was out
there a few minutes ago, praying, and it looked like I seen a form on
the wall, looked like Jesus. And I seen that Brother Branham coming,"
said, "with two men following him. He had a Bible over his heart." And
about that time my door closed outside, and here come me and the two
men.
E-20 I tell you. Oh, my, I feel good. Brother, you'll never know how it
feels till you know just where you're standing. Then all Devils out of
hell can't stop it; there's nothing can. You know where you're at then.
And walked up to the porch. I never... It seemed to me like
that I felt myself come out of my body, and seen my body open that door
and go in. And there was that little girl was laying there. And the
mother just keeled over on the floor and fainted. And I walked up to
the bed where she was at. I said, "Sister Georgie, even the Lord Jesus,
Who you love and trusted all this time, has met me in the woods, and
said that I must come and you would be made well. Therefore, in
obedience to the commission that was just given me some few moments ago
in the woods, I take you by the hand, and say, 'In the Name of Jesus
Christ, stand to your feet and be made well.'"
E-21 And that poor little girl, weighing not over thirty-six or
thirty-seven pounds, just a bunch of bones... Why, she couldn't have
stood if she had to. Not only stood, but she jumped to her feet,
screaming to the top of her voice. And there the people begin to
scream. Perfectly normal and well. And her mother fainted. And her
sister come running in there. And she didn't know what to do. She begin
screaming, her hair... running down the road, pulling her hair like
that, 'cause something has happened. Her father was coming across from
his barn with some milk, in--in a little container like this. And he
heard the piano playing, and he run into the house to find what it was.
And there was his daughter that had never moved from that bed for nine
years and eight months, setting at the piano, playing, "Jesus, Keep Me
Near the Cross. There's a precious fountain, free to all, a healing
stream, that flows from Calvary's fountain," perfectly normal and well!
My, here come the Marengo Baptist preacher, and all of them,
coming in there. And she run into the yard. She blessed the leaves. She
blessed the grass. She was so happy.
Brother, sister, that's been about six years ago. Tonight,
Georgie Carter is playing the piano at the Milltown Baptist church
where I'm still the pastor. Write to her. Miss Georgie G-e-o-r-g-i-e
C-a-r-t-e-r, Milltown, Indiana. Get her own personal testimony.
That same Jesus Christ that healed Georgie that night, is
right here tonight, to do the same thing for every individual that's
standing in the Divine Presence. Do you believe that?
E-22 Our heavenly Father, may Thy Presence come near. O God, may It
anoint every person that's in this Divine Presence now. May the power
of God saturate this little waiting group here. Men and women setting
there, and perspiration running off their face, they're faithful, Lord.
Now I ask You, God, knowing that You have to be sovereign to Your Word.
You can only heal us as we believe. But if it's possible, Lord, may the
Angels of God set at every row, visit up-and-down here tonight, around
on this platform, down through this audience. And may every person
receive a Divine touch from Him, Who I testify of.
God, grant tonight, that this will be the greatest night that
we've ever seen in all the days of our life. May the power of God
enshroud this building. And may these people who are faithfully
waiting, fanning with the fans, may the Spirit of God move upon every
one of them and heal every person in the building tonight. Grant it,
eternal God, through the Name of Thy Son, Jesus Christ. Amen.
Dear brethren, pray. I believe God's going to do something
for us tonight.
E-23 Would you do this for me, audience? Would you be waiting,
watching, and the first touch of the Holy Spirit that touches you, in
answer to prayer, just a few moments ago, will you rise to your feet
and give God glory? While the things are going on here, God is moving
in the Spirit through His people. When God does something for somebody,
then you stand and accept your healing also.
I tell you, if you'll do that, there will be a wave of glory
hit this building, and when the Holy Spirit falls in that, that's when
the water is troubled. Step right in and get yours at that time. I
won't be able to minister to every one of you. But the Holy Spirit can
touch every one of you at the same time. Don't you believe it? Then
walk out of this building, committing it to God. Testify of it; believe
it with all your heart; hold unto it, and watch what happens. God will
answer. Amen. You believe that?
E-24 How many cards did you give? All right. Start right from this,
just line up the line. He give F from 51. Get start it right here, 51,
52, 53, 54, 55, just as many as you can crowd in there, I guess. Let it
get up to about... Well, you can get... Can you get more than ten in
there? All right, try the first ten, and then maybe we can get some
more after that. 51 to 60, that's six... 51 to 60. And then as soon as
that crowd gets down, as soon as they level down, if there's more room,
step right up. Just start 61, 62, 63, 64, 65, up to 70. That crowd gets
down, start right on to 80, like that. And then when that gets... By
that time, every one of you ought to be in the right position, the Holy
Ghost falling over this building for every one of you to be healed.
Go ahead, Brother Baxter.
All right, we're going to start right quick, while
they're--they're lining up there and getting them--the ushers are
getting those people ready. All right.
E-25 Who has believed our report? Believe it's the truth? Wonderful.
How many knows that you've received a healing this week? Let's see your
hands, over the audience, anywhere. Look at there, Brother Baxter. I
know that's true.
How many believes you're going to get a healing tonight, from
God? Let's see your hand. He will never turn you down. He can't turn
you down. He's One Who can't turn you down, because He's God. Now, as
far as just the people setting like this, setting in here, friends, I
look down here at these people; I see one, two, three wheelchairs, four
wheelchairs. Now, the rest of it, yeah, five, here's one setting here.
E-26 Now, you people in the wheelchairs, don't think your case is...
Now, what you want to do is this: accept your healing. See? Just say,
"I'm healed now. I'm healed right now." See? And just keep believing
it. And if you'll just only exercise enough faith, enough to get up,
God will show it to me, then you get up, like that lady did setting
over there, the other night. Did you see that lady setting there in
that wheelchair, all up--up like that. And I looked over there and I
seen her. And I seen she'd been to a doctor and all. The first thing
you know, I seen her going walking, like that. I said, "Stand up. It's
over." Because God had made her whole.
Now, you be in prayer, and be reverent while we pray. All
right.
E-27 I believe God's going to answer prayer. I just get everything
ready, so that... I believe it, don't you? I believe there's something
going to happen tonight. I'm just looking for it. I just feel it. All
right.
How do you do, sir? You going to believe down there now? All
right. Have faith. You all going to believe along here? Along here, and
back in here, going to believe with all your heart? All right, that's
fine now.
All right, brother. I'm... After speaking, makes me just a
little shook up, you know, I get... I guess that's humanly nervous, you
know, just it's... It just happens that way, I guess. But, anyhow, I've
got to get myself quietened down to the anointing of that Angel of the
Lord.
Now, I don't mean that that would heal you. That has nothing
to do with your healing: only might make your faith greater (You see?),
or something like that. 'Cause I presume that you and I are strangers.
I don't believe I ever met you. I don't know you.
[Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-28 You, you look like you have headaches or something. Some kind of
a... Isn't that right, something wrong up in... Let's say it's sinus. I
see you setting like that. You see?. And you're--have kind of a weak
spells come over you too, don't you? Get real weak. Say, you're a
minister too. I see you. You're--you're a minister of the Gospel. I see
that. And you got a heart trouble; you smother, isn't that right? I see
you hold your... Is that true, minister brother? Come here just a
minute. We are brethren.
E-29 Our heavenly Father, I ask for mercy for my dear brother. And I
pray that Your Spirit that's here now, will bless my brother. Go on
him, and heal him, Lord. And may from this night, henceforth, he will
never be bothered no more. In the Name of Jesus Christ. Amen. God bless
you, brother. Go now, and go to be well too.
Let's say, "Praise be to God." [Congregation says, "Praise be
to God."--Ed.] Oh, my! Now, when I turned around like that, it just
feels like a whole solid pull.
You've had an operation. If I'm... See if I'm wrong. Didn't
I... When I seen you covered, but didn't they remove something from
your body, a rib or something like that? Oh, seven ribs from your body.
I seen the surgeon as he turns. One was a tall, thin man, that done the
operating. Is that right? He had a--a white thing over his face. He
turned... There was several at the table. One blond nurse, I see go
back to one side. You been nervous and weak ever since, haven't you,
sister? You've been at sanitarium; nothing seems to do any good. Was
that true? Come here.
E-30 Dear heavenly Father, the poor little dying woman, comes up close
to receive her blessing. I'm thinking, what would You do? Father, You'd
lay your hands upon her. You'd rebuke that demon; he'd have to hear You.
And now as Thou has ascended on High and give gifts unto men,
and her... She's been prayed for, and her faith, Lord, is trying to
believe. But ere she die, Lord, help her.
Satan, as a believer in Jesus Christ, as representing Him in
His vicarious suffering at Calvary, I adjure thee, by Jesus Christ to
leave the woman. Come out of her.
You go from here tonight, eat what you can. Weigh yourself in
a few days and write me your testimony. God bless you, sister.
Another thing, since you was a child, you have a
seeing...?... One of your eyes...?... move them up...?...
[Blank.spot.on.tape--Ed.]
Just telling her something that I seen in a vision, which
was...?... it... Let's say, "Praise the Lord." [Congregation says,
"Praise the Lord."--Ed.]
All right, bring the lady. Now, every one just reverent as
you can be.
E-31 [Blank.spot.on.tape--Ed.] Now, take this other hand, and feel it,
touch that hand here. See? See what I mean? Now, it's just... That
comes right to my heart. It kind of like a "brrrr." That's that cancer.
It's alive. And now, the Scripture says... Now, being watching you, the
cancer is in your throat, isn't it? Is that right? Yes, ma'am. I see
where it's found... 'Course, you couldn't tell it outwardly, but
you--you can...?... by the vision.
Now, isn't it strange, that other human will put their hand
on there and it doesn't make any difference? And then you walk up here
and put your hand on there, and there it is. Isn't it?
Now, then, there's Something here, that's got me anointed,
that's able to know what's wrong with you. Is that right? What it is on
here: did you see that picture of the Angel of the Lord, that I showed?
You've seen It. Now, that's what It is now. Yes. The picture that I
showed here, had that Angel's picture above It, where I was standing.
E-32 Now, now, there's something wrong with you (See?), a cancer. And
you lay your hand on here, and as soon as we make contact, something
jumps. Now, what is it? It's the cancer on you, and the Angel of the
Lord here. Now, it's trying to hold you, and God is wanting to heal
you. Now, I can't make it go, but your faith in Jesus Christ will make
it leave it you. See? It's a life. Now, what is a cancer? It's a germ.
It's a developing of cells. It's laying in your neck, sapping your
blood, soon will have you gone. See?
Now, now in the way of Divine healing, if you were the
cancer, I'd just call your life out of you, and your body would drop
down dead. After while you'd just decay and go away. For the first few
days, if it leaves you, you'll feel wonderful. Your throat will feel
good. But then, it'll get worse than ever. And you'll spit up big
pieces and things. And many times, people when they get real sick, like
that, they say, "I've lost my healing." Don't you believe that, if it
leaves you. You keep on testifying. The man, Jesus told the man, said,
"Thy son liveth," and the man believed what He said. See? You believe
what's told you.
E-33 Now, if by the Spirit of God, I was able to see what your trouble
was, and your life, and you know that's true, now, what He says this
way, will be true too, won't it? If that was true, not knowing, this
will be true by knowing. Is that right?
Now, I want you to put your hand here again. I want you to
watch. Now, I want you to see; it isn't the position the hand's held in
(You see?), it's just the same anywhere it's...?... here.
Now, the Bible said, "In the mouth of two or three witnesses,
let every word be established." Is that right? You come a stranger. I
don't know you. You put your hand on mine, something flashes up. And
I'll tell you what it is. There's one witness, isn't it? And you're
watching it now. Look at it there. Now, watch it. I want you get up
here close, so you can notice. Watch here how it comes and goes. Now,
there it's dying down. See?
Now, I feel it coming... Here it comes again. Now, look at
it. See? It's just like waves. Now, that cancer is excited. The life of
the cancer, the life of that germ in there, is excited. That's a
spirit, because near here, you and I, stands the thing that can make it
leave there by your faith.
E-34 Now, I'm going to pray for you, because you know you got cancer.
You've been very nervous and upset. I'm not reading your mind. But you
know what I'm talking about, don't you? I don't even have to say it.
But now, what I'm trying to do, is to get this to leave. Now, I'm going
to pray, and I'm going to have the audience to bow their heads. I want
you to watch my hand. If it--if it goes away, you're healed. That'll be
three witnesses. Is that right? If it stays there, you still got cancer.
Now, remember, I can't make it go. Now, the reason I ask you
to--to--to watch (See?), you're the one that's got the cancer. If it
goes out, there'll be a cancer at large. See? And if this, now, if your
faith is all can make it go. Now, I want you to believe while I pray.
And I want you to watch my hand, see if it moves in any way at all.
See? And then if that just drops down, the swelling leaves, the
vibration off of there leaves, if it comes normal, just like this hand,
you're healed. If it doesn't, you're not. See? I have nothing to do
with it. It's your faith from here out.
Will you bow your head audience?
Our heavenly Father, just in order that the little woman and
these ministers sitting here looking at my hand, might know that Thou
art Christ, the Son of God, and know that Thy servant is telling that
which is true... You said to the prophet Moses, "With them two signs,
they would believe." And these people believe, without these signs.
They believe You. And now, Father, I ask for mercy for this poor little
woman, which we know that cannot live much longer this way. Have mercy
upon her, and heal her, in the Name of the Lord Jesus. I ask for her
healing.
E-35 Now, before I raise my head, or look, it hasn't stopped; it's
still running. Isn't it, lady? It's just like it was. Now, to the
audience, it hasn't stopped. It's still running. Now, I can't make it
stop now, sister, because...?... exposing that...?... But now looky
here. Look...?...
[Blank.spot.on.tape--Ed.] Claiming power over you, by the sufferings of
Jesus Christ, the Son of God, come out of the... [Blank.spot. After the
blank.spot, the tape continues to duplicate the previous parts of the
message--Ed.]
Now, friends, I wasn't just trying to talk loud to you. I'm
not trying to deafen your ears. But sometimes them demons gets
disobedient, and then you've got to cast them out. If they could go out
easily, all right, but you come to the house and you... And I told you
go out, and you went on, it was all right. But when you have to throw
you out, it's different. See? And you--you just can't be babying them
things around. All right.
Bring the... [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-36 Are you in love with Jesus? Isn't He wonderful? Now, if He was
standing right here tonight, wearing my suit, He could do no more for
you, than what He's doing right now for you. He could know what was
wrong; He could tell you what was wrong, but He'd say, "The Son can do
nothing except the Father show Him." Is that right?
And He said, "Now, these things that I do, shall you."
You remember when Nathanael came to Him, told him? "I knew
you. You're a Christian," in other words.
"When did You know me?"
"Before Philip called you, when you were under the tree, I
saw you."
What did He do? He saw him in a vision. Is that right?
E-37 Now, here stands a little girl, standing before me. I don't
believe I know you. Are we strangers, honey? I don't know nothing about
you, do I? Nothing at all. And what, just to say... Where are you from?
Ontario, Canada. And we're born many miles apart, years difference.
I've never seen you, in my life. If there's anything in the world that
I could know about you, it'd certainly have to come through
supernatural power. Is that right? You know the girl, Brother Baxter?
He's from Canada too. Through Jesus Christ we can meet on common
ground, can't we? That's right.
I want you to walk just a little closer. I see you're very
frail. I don't know what's wrong with you. But I just want you to talk
to me, as I talk to you. I don't want you to be...
E-38 [Blank.spot.on.tape--Ed.] An asthma, isn't it? Asthmatic
condition. Say, you--you've been examined in a hospital, or something
for that. Isn't that right? I see a doctor is around you. Say, I see
something different. You was in an accident too. Haven't you been in an
accident? You were hurt, wasn't you, in a--in a auto accident? Is that
true?
Now, let's see if I can go back again. There's something
about a doctor, wasn't it? Did you hear me talking? That wasn't me.
That was--that was wasn't me. It was in my voice, but I wasn't doing
that. Now, whatever talked through me, and whatever It said to you, was
that the truth? Now, just--just say if that's the truth. Just raise up
your hand that--that was truth. And it wasn't what you was thinking
about. You wasn't thinking about those things, was you? So it couldn't
be my mind-reading, could it? It'd have to go back behind that, didn't
it? Things that, I guess, nobody in this auditorium would know about,
'less it was you. See? Or unless somebody that's real close to you
would know it.
E-39 Now, I told you the truth, haven't I? Now, do you believe me as
God's prophet, that I've told the truth? You do what I tell you to do.
I'm going to lay my hands upon you, sister, dear. I've got a little
girl at home. And I know if she was sick... Now, in commemoration of
what Jesus said when He died at Calvary, He healed you. And now, you're
aware that some supernatural Being, which you believe to be His
Presence, is here now. Is that right? I bless thee, my sister, in the
Name of the Lord Jesus Christ, that He take this asthma from you. And
may you leave from here, tonight, to go back to that lovely country, to
be a well woman, and testify of God's grace to you, all the days of
your life. May He use you in starting an old fashion revival in your
community, by your testimony. For these blessings I place upon you in
the Name of Jesus Christ. Amen.
What do you think, you're healed? All right, you are. Now,
you can go off the platform, healed. God bless you, sister.
Let us say, "Praise be to God." [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-40 He was the voice of one crying in the wilderness. Do you believe
that? God told Jeremiah, said, "Before you was even formed in your
mother's womb, I knew you, sanctified you, and ordained you a prophet
over the nation." Before he'd ever come from his mother's womb? Do you
believe that? Then you have to believe in foreordination. See? That's
grace. Not by choice, it's by the grace of God.
Now, only one way I could teach this, and know it's true,
which it is by the Scripture. What? I do not know. Later it just begin
to come, and it would just tell...
[Blank.spot.on.tape. After the blank.spot.on.tape, the tape continues
to duplicate previous parts of the message--Ed.]
E-41 Then if He could do nothing, take no credit for nothing, only done
what the Father showed Him to do, that settled it, didn't it? Then that
Spirit that was upon Him... He went away. "A little while and the--you
see Me no more, yet... the world see Me no more, yet you shall see Me,
for I'll be with you, even in you, to the end of the world." Is that
right? "Jesus Christ the same yesterday, today, and forever."
If I said I done these things, I'd be a liar. I'd say, "I do
them not." I'd say, "Jesus Christ shows them to me, through His
sovereign grace and mercy," not for my sake, for it's not my healing.
It's your healing. And after He sent His Word, sent His ministers, now
He sent His prophetic gift to increase the faith of the people, to get
them to believe on Him. If that isn't mercy, if that isn't grace, I
don't know what is.
E-42 Now, if I come to you tonight... Listen closely. If I come to you
tonight, and said that I had the spirit of--of a criminal, John
Dillinger, the John Dillinger spirit was upon me, you'd expect me to
have big guns and be an outlaw like he was. If I had his spirit, that's
what I would do.
You know, God never takes His Spirit from the earth? God
takes His man, but never His Spirit. Do you know that...?... When He
took Elijah, a double portion of Elijah's Spirit come upon Elisha. Is
that right? And several hundred years later it come out in John the
Baptist. Is that right? And is predicted to come out again in the last
day. Is that right? God takes His man but not His Spirit. His Spirit
remains here. When the Spirit's gone, the Church is gone then. There'll
no more salvation, no more here. Mercy's over then; the Spirit is gone.
The Holy Spirit...