Que Pensez-vous de Christ ?
1.
... à Celui qui calma les vents cette
nuit-là sur la mer et arrêta les vagues qui mugissaient ; puisse-t-Il
venir au
secours de cette barque où mille vies sont en danger. Puisse-t-Il
calmer la
mer. Puisse-t-Il envoyer la miséricorde, le pardon du péché ou
n’importe quoi.
Et puisse Son Esprit venir maintenant sur eux, les consoler et les
secourir
rapidement, et qu’aucune vie ne se perde. Nous le demandons au Nom de
Jésus-Christ. Amen.
Que Dieu vous bénisse.
Bonjour, mes amis. Que les bénédictions de Dieu reposent sur vous. Mon…
Les
gens ont toujours dit que quand je–quand je prêche, je prêche toujours
pendant
très longtemps. Je ferai de tout mon mieux ce matin pour que ce ne soit
pas le
cas. Je dépose ma montre ici, et peut-être que je pourrais surveiller
cela,
pour une quinzaine de minutes.
C’est toujours un plaisir
pour moi de me retrouver dans cette église de Philadelphie, parmi ses
membres
et avec son pasteur. Je–je considère frère Mattsson Boze comme l’un de
mes
meilleurs amis sur cette terre, comme dans le… Parmi les prédicateurs,
il est
pour moi un précieux frère. Et je–je l’aime, j’aime son peuple, car
c’est le
peuple de Dieu.
2.
J’ai eu tout à l’heure le privilège
de faire connaissance avec frère Stonewell, un homme de science
converti. Et
j’aurais bien voulu que toute cette église ait la passion des âmes
comme frère
Stonewell en a en ce moment-ci.
Je pensais donc, alors que
je lui parlais, à l’innocence de petit enfant, combien donc son cœur
languissait et brûlait. Pendant qu’on était assis là à causer, il avait
des
larmes aux yeux, comment ce pécheur très endurci a fait… a été brisé
jusqu’à ce
niveau-là par la puissance de Dieu. Si seulement nous pouvions tous
afficher
une telle attitude !
3.
J’ai dit : « Frère
Stonewell, ne perdez jamais cette chose merveilleuse que–que… C’est la
crème du
lait. » Je prie Dieu de garder cet homme tel quel et–et de le bénir,
car il a
un très bon esprit, il a un… Ce n’est pas parce qu’il est assis ici sur
l’estrade, mais je… C’est vrai.
Et j’ai dit : « Peu
importe ce que quelqu’un dit, ce qu’un groupe de gens dit, gardez
simplement
votre esprit bien fixé sur Lui. Voyez ? Et vous… Ils peuvent
vous voiler
la vue avec tout, ça apparaît si sombre que vous pouvez à peine voir
au-delà,
ne vous en faites donc pas. Il–Il est capable de nous élever au-dessus
des
ombres et nous faire passer au travers. » Sa Puissance attire.
Il a
dit : « Et Moi, quand J’aurai été élevé, j’attirerai
tous les hommes
à Moi. »
4.
Et maintenant, ce soir, le
service que nous devons tenir ce soir doit être le–le... évidemment,
c’est le
dernier. Nous venons d’en tenir deux, et ça, je l’ai fait pour frère
Boze et
pour vous les bien-aimés qui êtes ici. Et plus j’entends parler de
votre amour
pour Christ, évidemment, plus je vous aime. C’est vrai. Et je crois que
nous
vivons dans l’âge le plus merveilleux qui ait jamais existé sur terre.
Nous allons… Un… Un jour,
là dans le glorieux Millénium, nous allons bien nous dire : «
Oh ! si
seulement j’avais su qu’il en serait ainsi, qu’est-ce que j’aurais fait
! » Voyez. « Oh ! combien j’aurais pu faire plus si
seulement j’avais
su ce que ça allait être ! »
Eh bien, maintenant, on ne
le sait pas, mais nous agissons par la foi. « La foi est une ferme
assurance
des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit
pas. »
Est-ce vrai ? Voyez. La foi ne voit pas ; elle ne
voit pas avec
ces yeux-ci, elle voit avec des yeux intérieurs. Voyez ?
Toutes les armes
du chrétien, toutes les armes du christianisme, sont surnaturelles. Il
n’y a
rien de visible. C’est… La personne toute entière traite avec le
surnaturel.
5.
Considérez les armes du
chrétien : l’amour, la joie, la paix, la longanimité, la
bonté, la
douceur, la gentillesse, la patience. Est-ce vrai ?
Voyez ? Toutes
ces vertus constituent les armes du chrétien. Voyez ? Ça,
c’est l’homme
intérieur qui, par la foi, regarde à travers ces yeux et voit des
choses qui
n’existent pas.
Abraham était un homme, il
était vieux et sa–sa vie était… Il n’avait plus de vigueur, et Sara, sa
femme,
avait une centaine d’années. « Et–et cependant, il ne douta point, par
incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu, mais il fut fortifié,
donnant
gloire à Dieu. » Voyez ? En effet, il persévéra comme
voyant Celui
qui est invisible. Il n’eut pas–il n’eut pas à regarder au naturel, il
regarda
tout le temps au surnaturel. C’est de cette manière que nous voulons
nous y
prendre : Regarder à l’invisible.
6.
L’invisible, c’est
quoi ? Eh bien, pour ce qui est de votre guérison, Dieu vous a
promis la
guérison ; Dieu a dit qu’elle est là. Eh bien, vous… Combien
croient que
c’est la vérité ? Dites : « Amen. »
[L’assemblée dit : «
Amen » – N.D.E.] Je–j’aime vraiment entendre… Le mot «
Amen » veut
dire « ainsi soit-il. » Aviez-vous… Combien
expriment le désir
d’avoir un chêne, un chêne dans la cour de devant, et si quelqu’un vous
donne
un gland, eh bien, vous avez cet arbre sous forme de semence. Est-ce
vrai ? Eh bien, vous feriez tout aussi mieux de vous réjouir
parce que
vous avez eu cet arbre. Est-ce vrai ? Vous l’avez en fait sous
forme de
semence, mais il va–il va se reproduire. Puis vous prenez ce gland,
vous le
semez dans une petite boîte quelque part, vous le placez dans la maison
et vous
continuez à l’arroser. La chose suivante, vous savez, un petit chêne
poussera.
Est-ce vrai ?
7.
Ensuite, vous le
transplantez dans la cour, et il continuera bien à pousser. Mais vous
pouvez
louer Dieu aussitôt que vous recevez le gland. Est-ce vrai ?
En effet,
vous avez déjà l’arbre. Est-ce vrai ? Or, quand Dieu
dit : « Je suis
l’Eternel qui te guérit », mettez-vous simplement à Le louer.
Vous avez
reçu cela ; vous l’avez aussitôt reçu.
Vous direz : « Eh
bien, je ne vois pas de résultats, mais ça ne change rien, vous l’avez
de toute
façon. Voyez ? En effet, la Parole de Dieu est une Semence.
Est-ce
vrai ? Et nous sommes ensemencés de cette Semence
incorruptible de Dieu.
Voyez ? Elle ne peut pas périr ; Elle est
incorruptible. Et je… Voici
une déclaration que je fais souvent dans des services de
guérison : « Une
bonne attitude mentale envers n’importe quelle promesse de Dieu amènera
celle-ci à s’accomplir. » Voyez ? En effet, c’est une
semence.
Absolument.
8.
Et si une bonne attitude
mentale… Adoptez simplement une bonne attitude mentale envers n’importe
quelle
promesse de Dieu, et vous verrez cela se matérialiser. Voyez ?
Peu importe
comment ça paraît, que ça paraisse impossible, si c’est Dieu qui l’a
dit, Il le
rendra possible… Est-ce… ?… Merveilleux.
Très bien donc. Je disais
à Billy ce matin… Il a dit : « Eh bien, papa, tu vas retenir
ces gens là
jusqu’à ce qu’ils ratent leur dîner ou n’importe quoi d’autre et nous,
il nous
faut sortir de cet hôtel à un certain moment. » Il a dit : «
Dès que tu te
mets à prêcher, je te connais. »
Je lui ai dit : «
Trouve-toi un siège et assieds-toi. Accorde-moi quinze minutes. » Il
s’est
trouvé un siège. Il m’observe. Et me voici consommer mes quinze
minutes. C’est
comme ça que ça se passe, malgré tout, n’est-ce pas ?
9.
Mais, eh bien, je–je vous
assure, c’est vraiment réel. Vous voyez, je–j’ai une Nourriture dont je
me
nourris et dont le monde ne connaît rien. Et votre esprit s’approche de
moi
avec foi, croyant que ce que je vous dis est la vérité, c’est de cette
Nourriture
dont je me nourris. C’est la Vie Eternelle pour moi. Si je ne nourris
pas cet
homme naturel, il mourra. Et si je ne nourris pas cet homme spirituel,
il
mourra.
Or, notre frère, homme de
science, qui est assis là, confirmerait que tout celui qui ne mange pas
beaucoup et qui fait continuellement un régime, son estomac va se
rétrécir. Et
puis, si vous vous mettez à beaucoup manger, votre estomac vous exigera
plus.
Je suis certainement un gourmand de Ceci, je vous assure. Et j’En exige
vraiment beaucoup. En effet, je… Ma capacité ne connaît simplement pas
de
limites.
J’ai souvent dit : «
Si seulement j’étais un peu plus gros, peut-être que je me sentirais
mieux. »
Vous savez, et–et… Si c’était le cas, je ne sais pas comment cela
pourrait
contenir la Chose. Je pense qu’il nous faudra avoir un corps immortel
pour
contenir… Je pense à… Qu’en pensez-vous, ami ?
10.
Eh bien, nous sommes bien
entre nous ici, les gens de la maison, n’est-ce pas ? Ainsi
donc, juste…
ce que… Après que la bataille sera complètement terminée, que le
dernier coup
de feu aura été tiré, que les armes auront été entassées et que la
fumée se
sera complètement dissipée, alors nous nous assiérons pour le Souper
des noces.
Oh ! la la ! Pouvez-vous vous imaginer
cela ? Je peux bien me
représenter cela, parcourir du regard cette longue table dressée là sur
des
centaines de kilomètres.
Je promène mon regard là,
je regarde de l’autre côté, et là est assis Mattsson Boze, assis ici
même,
frère Stonewell, tous ces frères assis là. Je les entends
dire : « Voilà
frère Branham, il est arrivé. » Oh ! la la !
Vous savez, il
devra couler des larmes, n’est-ce pas ?
Je regarde là et je me
dis : « Oh ! la la ! Regardez là, c’est mon
vieux papa. Voilà
maman, voilà ma femme, mes enfants. Eh bien, nous sommes tous ici. »
Alors les
larmes se mettront à nous couler sur les joues. Et les êtres angéliques
seront
à l’écart, jouant une douce musique angélique. Quel matin !
Hum!
Alors, je peux voir,
pendant que nous nous regardons les uns les autres, regardant là de
part et
d’autre de la table, voyant tous ceux qui sont là, les larmes nous
coulant sur
les joues, alors que nous nous tendrons les mains de part et d’autre de
la
table, nous donnant une poignée comme ça, de part et d’autre de la
table.
11.
Ensuite, je pourrais entendre
les anges se retirer, la tête inclinée. Je regarde, je vois sortir de
derrière
ces portes-là le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs. Il longe la
table,
essuie les yeux de tout le monde et fait passer Son bras autour d’eux,
en
disant : « Maintenant, ne pleurez donc pas ; tout est
fini
maintenant. » Voyez ? Eux tous seront là. «Aucun
d’eux n’est
perdu ; ils sont tous ici. Maintenant, entrez dans la joie du
Seigneur. »
Oh ! mon cœur tressaille de joie quand j’y pense ! ça, ce ne
sont pas de
petites histoires fictives de père Noël. Ça, c’est AINSI DIT LE
SEIGNEUR.
C’est–c’est la Semence qui est maintenant même en train de se
matérialiser,
maintenant même. Cela est en cours.
Que le Seigneur vous
bénisse. Maintenant, nous allons offrir un mot de prière, et ensuite,
commencer
directement le service pour quelques instants seulement.
Père, nous T’aimons et nos
cœurs saignent pour Toi. Et maintenant, il incombe pour le moment à Ton
pauvre
serviteur inutile de parler pendant quelques instants. Je Te prie de
nous venir
en aide, ne sachant quoi dire, mais nous savons que Tu as
dit : «
Lorsque vous ouvrirez la bouche, J’y placerai Mes
Paroles. »
12.
Tu as aussi dit : « Ne
vous inquiétez pas de ce que vous direz, car ce n’est pas vous qui
parlerez ; c’est votre Père qui demeure en vous qui
parlera. » Et je
crois que c’est la vérité. Je sais que c’est la vérité, car Tu l’as
dit. Et Tu
es toute la Vérité, la Fontaine même de la Vérité. Rien d’impur n’en
sort, rien
qui profère le mensonge. Cela doit être la source de toute la Vérité.
Et de là,
Tu as dit ces Paroles.
Maintenant, ô Dieu,
bénis-nous aujourd’hui. Bénis cette petite église. Bénis son humble
petit
pasteur ici, notre frère, et tous les autres frères, frère Stonewell,
ainsi que
les étrangers qui sont dans nos murs. Et fais de nous tous une
bénédiction pour
Ton Royaume aujourd’hui, alors que nous nous bénissons les uns les
autres. Nous
le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Je peux être capable
d’ouvrir les pages de la Bible, mais il n’y a qu’Un seul qui peut
ouvrir les
Ecritures. Dans le Livre de l’Apocalypse, il est dit qu’il y avait un
Livre
scellé de sept Sceaux. Et personne au Ciel, ni sur la terre, ni sous la
terre
n’était–n’était digne de venir prendre le Livre, de L’ouvrir et d’En
rompre les
sceaux.
13.
Et alors, Jean a vu un Agneau
qui avait été comme immolé depuis la fondation du monde, Il est venu et
a pris
le Livre, Il a rompu les sceaux et les… Tous les êtres angéliques ont
crié : « Tu es digne, car Tu as été immolé depuis la fondation
du monde. »
Et c’est… Je peux tourner
les pages, comme ceci ; je peux, par une quelconque théologie,
être
capable de vous donner mon point de vue là-dessus, mais il n’y a qu’Un
seul qui
peut ouvrir Cela ; c’est l’Agneau qui a été immolé depuis la
fondation du
monde. Et puisse Sa Présence se manifester maintenant, prendre la
Parole de
Dieu et La placer dans chaque cœur, juste là où on En a besoin. Je prie
qu’Il
le fasse, pendant que j’En lis une portion dans la Parole… dans la
Bible.
14.
Dans Saint Matthieu, chapitre
22, à partir du verset 41, j’aimerais lire jusqu’au verset 46 compris.
Bon, je
suis… Comme tout le monde le sait, je ne suis pas prédicateur, ce que
j’appellerais prédicateur. Je suis, comme je le disais, un pneu de
réserve. Et
on n’utilise le pneu de réserve qu’en cas de crevaison. Mais ce matin
nous
n’avons pas connu de crevaison, mais il se fait simplement que c’est le
moment
pour moi de parler juste quelques instants. Alors, priez pour moi
pendant que
je vous parle au sujet de ce passage.
Comme les pharisiens
étaient assemblés, Jésus les interrogea,
en disant : Que
pensez-vous du Christ ? De qui est-il fils ? Ils lui
répondirent : De David.
Et Jésus leur dit :
Comment donc David, animé par l’Esprit, l’appelle-t-il Seigneur,
lorsqu’il
dit :
Le Seigneur a dit à mon
Seigneur : Assieds-toi à ma droite, jusqu’à ce que je fasse de
tes ennemis
ton marchepied ?
Si donc David l’appelle
Seigneur, comment est-il son fils ?
Nul ne put lui répondre un
mot. Et, depuis ce jour, personne n’osa plus lui proposer des
questions.
Puisse-t-Il ajouter Ses
bénédictions à cette Parole. Et maintenant, pendant quelques instants,
j’aimerais prendre ceci, si on peut l’appeler un sujet : Que
pensez-vous
du Christ ? Après avoir vu toutes ces réunions et
tout, que
pensez-vous du Christ ? De qui est-Il Fils ?
15.
Cela a été l’objet d’une–une
vieille controverse au cours des âges, parmi les hommes de science,
les–les
évolutionnistes et autres : Qu’était Christ ? Qui
était-Il ?
Et–et, c’est tout aussi simple que… C’est comme la question de savoir
ce qui a
existé avant entre la poule et l’œuf. Vous en avez entendu parler. En
effet, la
poule vient de l’œuf, et ce qui a existé avant, la poule ou l’œuf.
Eh bien, c’est la poule.
Dieu a créé la
poule, et la poule a
pondu l’œuf. C’est aussi simple que bonjour, mais on se la pose
toujours :
« La poule provient de l’œuf, alors comment… Qu’est-ce qui a précédé,
la poule
ou l’œuf ? » Dieu a donc créé la poule ; la
poule a pondu l’œuf.
C’est la poule qui a existé avant.
Ainsi donc, c’est pareil
pour la recherche scien–scientifique sur le Sang de Jésus-Christ. Nous
savons
tous que–que Christ est le Fils de Dieu né de la vierge. Et
aujourd’hui,
beaucoup d’incroyants osent nier qu’une femme puisse avoir un enfant
sans avoir
premièrement eu un–un désir sexuel de … né du sexe de–de l’homme.
16.
Eh bien, on disait qu’une
poule ne peut pas pondre un œuf sans… Si elle n’est pas fécondée,
évidemment,
si l’oiseau mâle… La poule peut pondre un œuf, mais elle… cet œuf ne
pourra pas
éclore à moins que la poule ait été avec le mâle. Voyez ? Et
un homme de
science m’a dit une fois… Je ne parle pas
des hommes de science parce que mon frère est ici, mais
une fois un
homme de science était allé chasser avec moi là à l’ouest. J’avais fait
sa
connaissance, c’était l’homme le plus rude que j’aie jamais rencontré.
Il a dit : «
Voulez-vous me dire… » Quand je lui ai dit que j’étais
prédicateur, il a
dit : « Vous avez l’air trop intelligent pour
l’être. »
Et j’ai dit : « Eh
bien, ai-je dit, eh bien, sans vous contredire, monsieur, mais je crois
que
c’est la preuve qu’on est intelligent. »
Et il a dit–il a
dit : « Eh bien, quiconque croirait pareille
histoire… »
Et je lui ai
demandé : « Eh bien, que voulez-vous
dire ? »
Et il a dit : « Eh
bien, une histoire comme la naissance virginale. » Il a
dit : «
Vous–vous savez, vous êtes mieux avisé que ça. »
J’ai dit : « Non,
monsieur, j’avouerai bien que je ne suis pas mieux avisé.» J’ai
dit : «
C’est–c’est simplement tout ce que je sais. Voyez ? »
17.
Et il a dit : « Eh bien,
voulez-vous me dire que cette femme a pu avoir un Enfant sans
être… » Il a
dit : « L’homme qui la fréquentait, c’était Joseph, et il y a
eu une
petite gaffe, comme nous en avons tout le temps. »
J’ai dit : «
Oh ! non, non. Dieu ne commet pas de gaffes. C’était
absolument le Fils de
Dieu. »
Il a dit : « Eh bien,
pareille chose n’existe pas. »
J’ai dit : «
Voulez-vous dire qu’il n’existe pas de Créateur qui ait créé les cieux
et la
terre ? »
Il a dit : « Non,
bien sûr que non. » Il a dit : « Oh ! c’est
de la psychologie.»
J’ai dit : « Eh bien,
comment le monde s’est-il retrouvé ici ? »
Il a dit : « Il était
ici quand moi, je suis venu ici. »
Et j’ai dit : « Oui,
c’est vrai. Et cette chambre où vous êtes né était là quand vous êtes
venu là.
Et les meubles y étaient disposés, mais il a dû y avoir une
intelligence qui a
arrangé cela comme ça, c’est exact… »
Eh bien, si… Ce serait de
la folie si je disais : « Eh bien, comment cette horloge
existe-t-elle ? Eh bien, c’est une horloge; un point trait,
c’est
tout ; elle est là par hasard, c’est tout. Eh bien,
maintenant, le temps,
les rubis et tout, n’importe qui ayant–ayant le bon sens reconnaîtrait
que
cette horloge a été fabriquée par un être intelligent. C’est lui qui a
dû
déterminer le temps, la régler et placer les aiguilles, les rubis et un
fonctionnement.
18.
Eh bien, combien alors plus
important est votre corps par rapport à l’horloge ? Voyez, en
effet, c’est
un homme qui a fabriqué cette horloge. Et Quelqu’Un a dû créer l’homme.
Si donc
quelqu’un dit que nous sommes ici par hasard, cela témoigne d’une
déficience
mentale quelque part. C’est vrai, cela…
Il a donc dit : « Eh
bien, alors, il s’est mis à me parler de la théorie de Darwin et des
autres,
comment s’est fait l’évolution, comment la terre, le soleil et la lune
(vous
avez peut-être lu cela) ont eu une affaire d’amour, un petit morceau
s’est
détaché, s’est envolé et a formé le monde.
Puis, que le premier homme
fut une éponge et qu’il avait une petite excroissance sur le côté,
alors un
bras est sorti. Et puis, il décida d’avoir un petit bras sur l’autre
côté,
alors il a roulé quelques milliers d’années de ce côté-là et un autre
bras en
est sorti.
19.
J’ai dit : « Ecoutez,
mon ami ; ma foi est plutôt faible. » J’ai
dit : « Je–je ne
crois pas ça ; je ne peux pas croire cela. » J’ai
dit : « Je le
crois tel que Dieu l’a dit. » Je–j’ai dit : «
L’unique moyen pour
vous de pouvoir prouver cela, c’est par la foi. Vous ne pouvez pas le
prouver
autrement. » Et j’ai dit : « Ma foi est trop faible
pour cela. »
J’ai dit : « Donc, je–je n’ai pas une aussi grande foi. Je
crois
simplement que Dieu a fait cela comme Il dit l’avoir fait. »
Et il a dit… J’ai
dit : « Le… » Il a dit : « Oh !
concernant la naissance
virginale, a-t-il dit, il est–il est établi, Révérend Branham, que–que
le maïs,
tout le reste, doit avoir un pollen. Le–le pollen de l’épi, et
pour les
arbres, et les abeilles transportent cela ; en fait pour tout,
il faut
qu’il y ait un mâle et une femelle. »
J’ai dit : «
Assurément, il y a eu dans ce cas un Mâle. » J’ai
dit : « C’était
Dieu. »
« Eh bien, est-ce
que Dieu est un homme ? »
J’ai dit : « Dieu est
Esprit. »
« Oh ! Il est
impossible qu’Il entre en contact avec un être humain réel; cela doit
se passer
par le sexe. »
20.
J’ai dit : « Oh !
non. » J’ai dit : « Ecoutez donc, vous conviendrez
avec moi (n’est-ce
pas ?) que cette femme a eu cet Enfant. Nous dirons que
c’était vrai, la
femme a eu l’Enfant, et c’était Jésus. »
« Oui, cela–cela… je suis
d’accord avec vous jusque là, car il y a quelque chose qui se passe
dans le
monde et c’est un fait historique, et tout, que Quelqu’Un du Nom de
Jésus a
existé ici, mais Il n’est pas né d’une vierge. »
J’ai dit : « Nous
admettrons donc qu’Il a eu une mère naturelle. »
« Oui. »
« Eh bien, Il… A votre
avis, Il a dû avoir un–un père naturel, un homme de la terre ici pour
père,
sinon Il n’aurait pas pu naître. »
Il a dit : « C’est
tout à fait vrai. »
J’ai dit : «
Allez-vous vous accrocher à cela, Monsieur
Jeffries ? »
Il a dit : «
Oui. »
21.
J’ai dit : « Très bien,
j’aimerais vous poser alors une question. Si–si cette femme a eu cet
Enfant, et
vous avez dit que c’était impossible, Il devait avoir un père naturel,
Il
devait avoir un père terrestre de même qu’Il avait eu une mère
terrestre ? »
Il a dit : « C’est
l’exacte vérité. »
J’ai dit : « Comment
donc le premier homme s’est-il retrouvé ici sans père ni
mère ? D’où
est-t-il venu ? Qu’il ait été un têtard, un singe ou tout ce
qu’il voulait
que ce soit. Selon la science, il devait avoir un père et une mère,
est-ce
vrai ? » J’ai dit : « Qui étaient son père
et sa
mère ? »
Eh bien, depuis ce
moment-là, il n’a plus posé des questions. Vous… Cela avait bien réglé
la
question ; c’était tout. Il–il–il n’avait pas… Oh !
je vous assure,
son argument est plus mince que le bouillon fait à base de la
silhouette d’un
poulet qui a crevé de faim. Je–je vous l’assure, il n’avait absolument
pas–il
n’avait pas de fondement où se reposer.
Non, non. Jésus-Christ
était le Fils de Dieu. Je le crois de tout mon cœur. Et le glorieux
Saint-Esprit avait couvert de Son ombre cette vierge et elle a enfanté
un Fils,
selon la Parole de Dieu, car il est dit : « Une vierge
concevra et elle
enfantera un Enfant ; on L’appellera Emmanuel. » Et
je… C’était Dieu
avec nous (Je crois cela.), et non pas un Dieu qui sera avec nous
pendant un
laps de temps, mais qui sera avec nous éternellement. Nous sommes Ses
enfants,
nous vivons maintenant dans Sa Présence.
22.
La faiblesse de l’église
aujourd’hui, l’une des–des raisons fondamentales pour lesquelles nous
ne voyons
plus de progrès dans l’église, c’est la première chose à laquelle je
pense,
c’est qu’il n’y a pas assez de ravissement de l’âme pour amener la
personne à
entrer en contact avec son Créateur.
Et l’autre chose, c’est que
la personne qui trouve en fait Dieu ne réalise pas qui Dieu est, après
L’avoir
trouvé. Voyez ? Si seulement vous réalisiez que vous êtes
assis maintenant
même avec Christ Jésus ! Beaucoup de gens cherchent à renvoyer cela à
un autre
grand âge, toute la guérison, là dans le Millénium et tout, tous les
miracles
aussi, là dans le Millénium.
23.
A quoi les miracles nous
serviront-ils dans le Millénium, alors que nous serons des êtres
surnaturels ? Voyez ? Comment allons-nous avoir
besoin de ces
choses…? Eh bien, la Bible dit : « Nous sommes maintenant les
fils de
Dieu. » Pas… « Maintenant », c’est–c’est maintenant,
au temps
présent. « Nous sommes maintenant les fils. » Pas que nous le
serons, nous
le sommes maintenant. Nous le sommes ce matin, nous le sommes en cette
heure
même. « Nous sommes maintenant les fils de Dieu, assis ensemble, assis
ensemble
dans les lieux célestes en Christ Jésus, maintenant. »
En cette minute même, nous
sommes–nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes en Christ
Jésus. Nous
avons tous été baptisés dans un seul Esprit, tout le monde, pour former
un seul
Corps; nous sommes devenus membres de ce Corps par le baptême du
Saint-Esprit.
Et maintenant, nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes en
Christ
Jésus, quittes du jugement. Nous ne pourrons jamais passer par le
jugement.
Comment pourrez-vous être jugés deux fois ? Par… Vous…
Dieu a jugé Jésus-Christ,
Il a mis notre jugement sur Christ, et Christ a payé le prix de notre
jugement
au Calvaire. Si nous sommes en Christ, nous sommes en sécurité en
Christ. Par…
Comment entrons-nous en Christ ? « Nous avons tous été
baptisés dans un
seul Esprit pour former un seul Corps. » Est-ce vrai ?
24.
Nous sommes dans ce Corps de
Jésus-Christ, et comme nous y sommes, nous avons accepté le châtiment
qu’Il
avait subi à notre place : Lui qui n’a point connu le pêché a
cependant
été fait péché pour nous. Et puis, c’est de notre maladie qu’Il s’est
chargé.
Ce sont nos pêchés qu’Il a portés. Et nous entrons en Lui, nous sommes
quittes
de ces jugements.
Dieu ne peut pas, en toute
justice, me juger ou vous juger pour la deuxième fois s’Il nous a déjà
acceptés
en Christ Jésus, et qu’Il a châtié Son propre Fils pour nous. Comment
peut-Il
donc nous châtier alors qu’Il a déjà fait payer le prix à Christ pour
nous ?
Si j’allais au magasin de
prêt sur gages, et–et que j’aie quelque chose… C’est tout à fait pareil
pour la
vie humaine, le diable nous a mis dans un magasin de prêt sur gages.
C’est
vrai. Le diable nous a mis dans un magasin de prêt sur gages à cause du
péché.
Mais si vous avez mis quelque chose en gage, qu’ensuite vous êtes allés
là avec
le… et que vous avez racheté cela, vous recevez une quittance pour
cela, vous
avez le droit de le récupérer.
Eh bien, c’est inutile de
chercher à aller… Si j’avais donné ma montre en gage, et que vous
alliez me la
racheter, il serait inutile pour moi d’y aller pour essayer de la
racheter. Je
ne peux pas la racheter parce qu’on avait déjà payé le prix pour ça.
Oh !
quand j’y pense, quelque chose en moi, sous la cinquième côte, du côté
gauche,
bondit plus haut que les cieux.
25.
En effet, je sais que le
diable m’avait une fois mis dans un magasin de prêt sur gages, à cause
du péché
et de l’offense, mais Jésus-Christ m’a fait sortir du magasin de prêt
sur gages,
m’a racheté et ramené à Dieu. Cela fait de moi Son fils ce matin. Et ce
n’est
pas ici ce que… ce que je serai à la fin n’a pas encore été manifesté.
Mais je
sais que j’aurai un corps semblable à Son propre corps glorieux, car je
Le
verrai tel qu’Il est, je serai quitte de la maladie, quitte du péché.
Eh bien, assurément, Il
était le Fils de Dieu. C’est une vieille question, l’homme cherche
Dieu, il a
faim de Lui. Si je devais faire venir ce matin certains de Ses amis,
pour
savoir… Evidemment, nous allons prendre Ses ennemis pendant une minute.
Intérogeons quelqu’un dont la reponse jouit de l’autorité des Ecritures.
26.
Nous pouvons continuer sans
cesse. Mais demandons simplement… Ayons un fondement scripturaire de
qui était
Jésus-Christ. Que pensez-vous de Lui ? Si je… « Evidemment,
Ses amis,
diriez-vous, Frère Branham, témoigneront en Sa faveur. »
Demandons alors à
Ses ennemis qui Il était. Voyons ce que l’ennemi dit. Le diable
lui-même savait
qu’Il était le Fils de Dieu.
Eh bien, les prédicateurs
de jadis ne savaient pas qu’Il était le Fils de Dieu. Ils
disaient : «
C’est le télépathe en chef. Il est Béelzébul, le prince des démons. »
Mais les
démons, eux, disaient : « Nous savons qui Tu es, le
Saint de Dieu.
Pourquoi viens-Tu nous tourmenter avant notre
temps ? » Là, le diable
dit qu’Il était le Fils de Dieu. Est-ce vrai ?
27.
Considérez l’ennemi le plus
vil, le plus méchant qu’Il ait jamais eu, Judas Iscariot. Quand Judas
Iscariot
s’est rendu compte de ce qu’il avait fait et qu’il a vu ce Fils
immaculé de
Dieu suspendu là entre les cieux et la terre, souffrant, saignant, Son
corps…
Il a pris l’argent qu’il avait perçu comme prix, les trente pièces
d’argent, il
l’a jeté devant le souverain sacrificateur, en disant : « J’ai
trahi le
Sang innocent. » C’est vrai.
Son–Son ennemi le plus–le
plus vil a témoigné qu’Il était le Fils de Dieu. A la mort du Fils de
Dieu, il
y eut des ténèbres dans les cieux et sur la terre; ça devient noir
comme le
four. c’était Dieu rendant témoignage à cela. Le centurion romain, qui
avait
percé le flanc de Jésus, a dit, main sur le cœur : « En vérité, c’était
le Fils
de Dieu. » Est-ce vrai ?
28.
Considérons le vieux Pilate
debout là, de mauvaise humeur, il s’était levé tôt le matin et avait
été appelé
à siéger dans le prétoire, il Lui a enfoncé une couronne à la tête et
l’a
placée là ; il s’était réveillé après une grande fête la veille,
peut-être, il
était là, tout embrouillé par ces Juifs de toute façon. Il L’a condamné
et tout
le reste.
Et j’entends un cheval
venir au galop dans la rue. Qu’est-ce ? C’est le–c’est le
laquais du
palais qui arrive. Il descend en trombe devant le–l’empereur, se
prosterne
devant lui et lui présente une–une note venant de sa femme. Observons
Pilate,
là, il est dans tous ses états et ses dents resserrées. Il se met à
lire la
note ; ses mains se mettent à trembler ; ses genoux
s’entrechoquent,
il devient tout pâle.
29.
Jetons un coup d’œil
par-dessus son épaule et voyons ce qu’il lit : « N’aie rien à
faire avec
cet Homme juste, car aujourd’hui j’ai beaucoup souffert en songe à
cause de
Lui. » Une femme païenne écrit une note à son mari
païen : « N’aie
rien à faire avec cet Homme, car aujourd’hui j’ai beaucoup souffert en
songe. »
Pilate a dit : «
Apportez-moi de l’eau. Je ne trouve rien de coupable en Lui, pas du
tout. » Qu’était-ce ? C’étaient Ses ennemis qui
témoignaient. C’est
vrai. Dieu fait tout trembler et s’agiter à ce Nom, Jésus-Christ.
Frère, c’est
là que l’église a perdu aujourd’hui la–la solennité de ce Nom-là, la
puissance
de ce Nom-là.
Quand Moïse est descendu
en Egypte, si ces gens… Il tenait un bâton devant lui. Oh !
comme c’était
ridicule ! Voir cet homme là, tout vieux, âgé de quatre-vingts
ans,
portant une barbe blanche longue jusqu’ici, ses cheveux blancs lui
retombant dans
le dos, et le voici partir avec sa femme assise à califourchon sur un
mulet
avec un–avec un enfant à chaque hanche… Voilà Moïse s’en aller tout en
louant
Dieu, descendant là comme ça. Et les gens lui posaient la
question : « Où
vas-tu, Moïse ? »
« Je m’en vais conquérir
l’Egypte. »
30.
Pouvez-vous vous représenter
cela ? C’est du non-sens. Un vieil homme de quatre-vingts ans,
avec une
femme et deux enfants sur un âne, avec une verge devant lui, descendant
conquérir l’armée la mieux équipée du monde. Il n’y avait pas… Eh bien,
l’Egypte avait conquis le monde. Mais on lui demandait :
«Comment sais-tu
que tu vas la conquérir ? »
« Dieu l’a dit, et je le
crois. » C’est vrai. C’est vrai, Dieu l’avait dit. Et Il l’a
fait. Amen.
Car il a pris Dieu au Mot. Comme c’est Dieu qui dit ce qu’Il a fait au
sujet de
Christ, moi, je crois que c’est la vérité.
Mais si jamais ces
Egyptiens avaient arraché cette verge de la main de Moïse, ils
l’auraient
fouetté avec. Ce n’était pas Dieu… Ce n’était pas la verge de Moïse,
c’était la
verge du jugement de Dieu. C’est ce qui avait frappé le rocher. C’est
ce qu’il
tendait. Et si jamais ils avaient pu la lui arracher, ils l’auraient
fouetté
avec. Mais il veillait bien sur le bâton.
31.
Et aujourd’hui, si seulement
les gens pouvaient avoir de la considération pour le Nom de Jésus qui a
été
confié à l’Eglise… Il a dit : « Tout ce que vous demanderez au
Père en Mon
Nom, Je le ferai. » Je… Il a donné Son Nom à l’Eglise pour
que–pour qu’en
ce Nom on marie, on ensevelisse, on baptise, tout ce que nous faisons
sur la
terre. « Tout ce que vous faites en parole et en acte, faites tout cela
au Nom
de Jésus-Christ. »
Mais nous avons perdu le
caractère sacré de ce Nom. Nous Le prenons en vain, dans des
plaisanteries et…
D’une même source ne peuvent jaillir de l’eau amère et de l’eau douce,
ami.
Vous devez en arriver à avoir de la révérence pour ce Nom-là, à Le
croire, à Le
reconnaître, L’utiliser tout à fait à propos.
Or, si on m’invitait ce
matin pour témoigner comme l’un de Ses amis… Et si j’appelais Noé
aujourd’hui
et que je disais : « Noé, descendez des cieux et venez ici
juste une
minute. J’aimerais que vous témoigniez devant cet auditoire ce matin :
Que
pensez-vous du Christ ? De qui était-Il
Fils ? »
Eh bien, Noé dirait :
« C’est le Fils de Celui qui m’avait appelé ce jour-là dans le champ,
disant : ‘Construis une arche pour le salut des gens de ta
maison.’ »
Noé reconnaîtrait vite que c’était Lui.
Et si je pouvais faire
venir Esaïe, le prophète, aujourd’hui et que je disais : «
Esaïe, descendez
ce matin de ces magnifiques sphères de la Gloire et témoignez devant
cet
auditoire : De qui pensez-vous qu’Il est le
Fils ? » Esaïe
dirait… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] « C’est la Voix qui m’avait
parlé,
disant : ‘Un Enfant nous est né, un Fils nous est
donné : On
L’appellera Conseiller, Prince de la paix, Dieu Puissant, Père
éternel.’ »
Eh bien, il reconnaîtrait vite que c’était le Fils de Dieu. Eh bien, il
était
un prophète sous inspiration.
32.
Si je faisais venir Job et
que je lui disais : « Job, vous étiez un vieil homme. Vous
avez été
couvert d’ulcères ; vous avez perdu tous vos biens. Vos
enfants étaient
morts. Votre femme s’était pratiquement retournée contre vous et avait
dit : ‘Pourquoi ne maudis-tu pas Dieu et ne meurs ?’
Que pensez-vous
du Christ ? Job, de qui est-Il Fils ? »
Il dirait : « J’étais
en détresse ; j’étais assis sur un tas de cendres. Les membres
d’église
m’avaient tourné le dos pendant sept jours, cherchant à me consoler.
Quelle
consolation ! Pendant que j’étais assis là à me gratter les
ulcères, un
jeune homme du nom d’Elihu est venu et s’est mis à me parler de Dieu.
Et alors,
j’ai eu une vision. Et j’ai dit : ‘Je sais que Mon Rédempteur
est vivant,
et qu’Il se lèvera le dernier sur la terre. Quand bien même les vers
qui sont
dans mon corps auront détruit celui-ci, je verrai Dieu, je Le verrai de
mes
propres yeux. Mes yeux Le verront et non ceux d’un autre.’ »
Certainement.
Et si je faisais venir
Ezéchiel, et que je disais : « Ezéchiel, voudriez-vous ouvrir
les portes
de Dieu et descendre ici ce matin dans cette église de
Philadelphie ?
J’aimerais que vous témoigniez : ‘Que pensez-vous du Christ,
Ezéchiel ?’ »
Il dirait : « Quand
je L’ai vu venir, les nuages étaient comme de la poussière sous Ses
pieds. » Quel témoignage ! Oh ! la
la !
33.
Je demanderais à un autre qui
pourrait venir. Je dirais : « Daniel, » ce grand prophète, «
que
pensez-vous du Christ ? Venez ici juste une minute,
Daniel, et donnez
votre témoignage à cette église de Philadelphie ce matin. Que
pensez-vous du
Christ ? De qui est-Il Fils ? »
Je peux entendre Daniel
dire : « Eh bien, un jour, je me tenais là, en train d’écrire
comme le
Saint-Esprit était sur moi, et je L’ai vu comme une Pierre détachée de
la
montagne, Elle a roulé dans Babylone et a écrasé les royaumes du
monde. »
Certainement. Je peux l’entendre dire : « Et, autre chose, un
jour, à
cause de mon témoignage, ils m’ont jeté dans la fosse aux lions.
Pendant que
j’y étais, tout d’un coup, j’ai vu des lions. J’ai entendu le bruit de
leurs
sabots doux et feutrés, ou plutôt leurs pas, leurs pattes. Et je
pouvais sentir
pratiquement leur souffle sur moi. Je savais que c’était… Dans cette
prison
sombre, je serais mis en pièces en quelques instants. Et, tout d’un
coup,
Quelque Chose a remué chaque fibre de mon corps. J’ai senti Quelque
Chose
picoter, mon visage devint chaud, et les frissons m’envahirent. Et je
vois là
où le… des lions… les regards de ces lions qui approchent. Et tout d’un
coup,
vous savez, ils ont commencé à détourner leurs têtes et se sont
éloignés. Et
lorsque cette sensation m’a quitté, j’ai regardé, et là, dans un coin,
se
tenait Celui qui est le Fils Dieu, Il se tenait là ; Il se
tenait là. Dieu
avait envoyé Ses anges pour me délivrer. » Je peux l’entendre
dire
ceci : «Cette puissance était sur moi. Mes muscles ne
faisaient que
trembler. La puissance me parcourait ; les larmes me coulaient
sur les
joues. Il est le Fils de Dieu.» Certainement.
34.
Il y eut là d’autres jeunes
gens, une fois, du nom de Schadrac, Méschac et Abed Nego. Appelons-les
ce matin
et demandons-leur de témoigner de qui Il est Fils. Observons-les alors
que
Shadrac, Méschac et Abed Nego… « Que pensez-vous de Lui ? De
qui est-Il
Fils ? Eh bien, vous avez vécu des années avant donc Sa
naissance. »
Eh bien, ils diraient :
« Il est arrivé un jour, là à Babylone, qu’on avait publié un décret
royal
scellé de telle manière qu’il ne pouvait pas être violé, et qui disait
que
quiconque ne servirait pas leurs dieux, leurs idoles et autres, pour
être
populaire avec les autres, serait jeté dans la fournaise ardente. Mais
nous
avions résolu, lors d’une réunion de prière une nuit, de ne pas nous
souiller
avec leurs dieux et de prendre position pour la Parole de Dieu sans
tenir
compte de ce que disait le reste du monde. » Amen. Je me sens
religieux
maintenant même. Pensez-y, frère, lorsque je pense : « Oui,
oui, nous
avions résolu de ne pas nous souiller avec le reste du monde. »
35.
Très bien, la chaleur
montait, oh ! la la ! jusque ce matin-là !
Pensez donc à ce que
c’était ! « On avait chauffé la fournaise sept fois plus que
jamais
auparavant. Et il nous fallait entrer dans cette fournaise. Mais nous
savions
que quelque chose en nous nous poussait et l’Esprit nous rendait
témoignage que
nous étions les enfants de Dieu, que Dieu était capable de nous
délivrer de la
fournaise ardente. Mais néanmoins, nous ne nous prosternerions jamais
devant
leur statue. Alors, ce glorieux matin, quand nous nous étions mis à
marcher,
les mains liées derrière, gravissant la passerelle pour entrer dans la
fournaise ardente, le roi Nébucadnestar était assis là derrière et il a
dit : ‘Eh bien, nous allons simplement faire sortir d’eux
cette religion
de saint exalté à force de les brûler.’ »
Pouvez-vous
vous représenter le Saint-Esprit sortir d’un homme à force de brûler
celui-ci,
alors que le Saint-Esprit Lui-même est un Feu ? Le feu
combattant le Feu.
Oui, oui. Pouvez-vous vous représenter pareille chose ?
Ils se sont avancés là
comme ça, ils sont entrés dans la fournaise ardente. Oh ! la
la !
Quel moment ! Je peux entendre Schadrac dire à
Méschac : « Frère,
avez-vous bien prié ? »
36.
« Tout est en
ordre. » Amen. « Montons. » Que pensez-vous
du Christ ? Et
ensuite, il arriva bien au bout, d’où ils devaient se jeter dans la
fournaise
ardente, et c’était là l’heure la plus sombre qu’ils aient jamais
connue. Ils
s’approchèrent de cette fournaise ardente et juste au moment où ils
étaient sur
le point d’entrer…
Tournons
nos caméras ce matin, braquons-les là au Ciel, sortons de cette
dimension-ci et
regardons là-haut. Quand les choses semblent aller très mal ici, il y a
toujours quelque chose qui se passe dans un autre monde. C’est vrai.
Oui, oui.
Je peux Le voir assis
comme un Prince, assis là, Ses larges vêtements pendant autour de Lui.
Alléluia ! Daniel L’avait aussi vu une fois et il a
dit : « Il vient
comme l’Ancien des jours, dont les cheveux étaient blancs comme de la
laine. »
Pendant qu’Il était assis
là sur SonTrône, je peux voir un ange du nom de Gabriel s’avancer vers
Lui,
avec son épée dégainée. Et il a demandé : « Maître, as-Tu vu
ce qui se
passe ce matin sur terre, là à Babylone ? Eh bien,
ils sont sur le
point de brûler trois croyants là-bas. La chaleur est vraiment intense.
Oui,
oui. Et ils sont sur le point de brûler trois croyants. Les as-Tu
vus ? »
37.
Je peux L’entendre
dire : « J’ai veillé sur eux toute la nuit durant. »
Alléluia ! Son
œil veille sur le passereau et je sais qu’Il veille sur moi. Il veille
sur
vous, Il veille sur moi. Oui, oui. « Son œil est sur le passereau. Je
chante parce
que je suis heureux, je chante parce que je suis libre. Car Son œil est
sur le
passereau, et je sais qu’Il veille sur moi. »
Il était là, Il a
dit : « Oui, Gabriel, Je sais que tu es un bon ange. Tu peux
descendre là
et détruire cette chose-là. Mais J’ai veillé sur eux toute la nuit
durant. J’ai
suivi leur réunion de prière. Je savais qu’ils croyaient en Moi, quand
bien
même ils ne M’ont jamais vu, mais ils croient de toute façon en
Moi. »
38.
Je peux voir un autre ange
s’avancer, son nom est Absinthe. C’est lui qui avait détruit le monde
antédiluvien avec des eaux. Il a le contrôle des eaux. Il va faire
quelque
chose dans les derniers jours avec les eaux, les rendre complètement
amères.
Alors, je peux l’entendre
courir vers Lui en toute vitesse et se prosterner devant Sa Majesté
divine et
dire : « Oh ! Maître, as-Tu regardé là sur la
terre ? » Les
anges se préoccupent de ce que nous croyons de Christ. « As-Tu
considéré la
situation là sur terre ? Ils sont sur le point de brûler trois
croyants.
C’est moi qui contrôle les eaux, sur Ton ordre. Permets-moi seulement
de
descendre, j’effacerai Babylone de la face de la terre. »
Je crois qu’il en était
capable. Oui, oui. « Permets-moi de descendre sur la terre, je
changerai la
situation ce matin. Il y a là des hommes qui croient en Toi. Ce sont
des
mortels et cependant ils croient. Il n’ont jamais vu, mais ils savent
que Moïse
avait dit : ‘L’Eternel ton Dieu te suscitera un prophète comme
moi’. Ils
savaient qu’Il viendrait ; par la foi, ils ont impatiemment
attendu la
Venue du Fils de Dieu. »
Ecoutons leur témoignage,
ils disent que je… Puis, je regardai là derrière et je L’ai vu. Il a
dit :
« Absinthe, tu es un bon ange. Tu M’as toujours obéi. Tu as toujours
fait
exactement ce que Je t’ai dit. Mais Je ne peux pas te permettre de
partir, car
ça, c’est un travail concernant l’homme. J’y vais Moi-même. »
39.
Je peux L’entendre, alors
qu’Il tend la main là, dire : « Venez ici, vent d’est, vent
d’ouest, du
nord et du sud. » Je vous assure, tout, dans les systèmes
solaires et dans
les cieux, Lui obéit et agit sur Son ordre. Mais le cœur de l’homme
pense
connaître plus que Dieu, et Il n’arrive pas à toucher le cœur de pierre
de
l’homme.
Je pense que, ce matin, Il
peut dire : « Que l’hiver devienne l’été, que l’été devienne
l’hiver. » Cela Lui obéira comme ça. Il peut dire : «
Mars, va ici,
et Jupiter, va là-bas. Ils Lui obéiront. » Oui, oui. Il peut le dire
(Il se
tient là, dans Sa Majesté.) alors que l’homme manque de Le reconnaître.
Quand
Il était là, il est dit : « Qui… qu’est-ce que
l’homme pour que Tu en
fasses cas. »
Pendant qu’Il était là,
alors qu’il n’y avait rien d’autre dans l’espace, avant qu’il y ait
même une
étoile dans les cieux, avant qu’il y ait le soleil dans les cieux, Il a
soufflé
de Sa main [Frère Branham souffle bruyamment. – N.D.E.] et les étoiles,
les
lunes, les mondes, les systèmes, ont été créés par Sa Parole parlée.
Alléluia !
40.
Oh ! la la ! Quand
j’y pense, c’est mon Dieu. Alléluia ! Et une partie de Lui vit
en moi
maintenant. En effet, c’est maintenant que j’ai la Vie Eternelle.
Chaque homme,
chaque femme ici, a la Vie Eternelle par la Parole créatrice de Dieu
qui a créé
les choses par la Parole. Alléluia ! Oui, oui. Ne pensez pas
que je suis
excité, je sais où je me tiens.
Ecoutez, frère, quand… Je
vous assure, quand j’y pense ! ça vous emporte dans un autre monde,
dont le
monde ne sait rien. Là, je Le vois dans Sa Majesté. Il a dit :
« Venez
ici, vents d’est, du nord, du sud, venez ici. Passez en-dessous de ce
cumulo
nimbus, cette immense colonne de nuée là. Ce matin, vous Me servirez de
chevaux. »
41.
Je Le vois se lever de Son
Trône, Ses vêtements se répandant tout autour de Lui, Il s’avance et
s’assoit
sur ce gros nuage, ce cumulo nimbus là, Il tend la main et s’empare de
l’éclair
en zigzag et fend les cieux avec, comme ça. Et Il va se servir de ces
vents
chevaux. Amen.
Pourquoi ? Ces
croyants étaient en difficulté. Vers ce moment, Schadrac a regardé et a
dit : « Que Dieu vous bénisse, Méschac et Abed Nego, nous y
entrons au Nom
du Seigneur. » La chaleur était intense, la fournaise était
ardente. Ils
effectuent ce dernier pas et aussitôt qu’ils sont entrés dans la
fournaise
ardente, ce char descendit en hâte des cieux comme un vent impétueux et
entra
dans la fournaise ardente avec un éventail à la main, Il les débarrassa
de
toute l’ardeur du feu en éventant, Il se tint là et leur parla.
Le roi demanda : «
Combien de gens avez-vous mis là ? »
On lui répondit : «
Trois. »
Il dit : « J’en vois
quatre, et l’Autre est comme le Fils de Dieu. »
42.
Alléluia ! Ce roi
infidèle, incroyant et impie a dû reconnaître qui est Jésus-Christ. Il
est le
Fils du Dieu vivant. Amen. Que pensez-vous du Christ ? De qui
est-Il le
Fils ? Certainement qu’Il est le Fils de Dieu.
Interrogeons
Jean-Baptiste. Faisons-le venir ce matin, que son témoignage retentisse
ici
parmi nous. Que dites-vous de Lui, Jean ? Eh bien, le… Vous
avez reçu le
Saint-Esprit six mois avant votre naissance. Oui, oui. Vous avez reçu
le
baptême du Saint-Esprit. Vous étiez mort dans le sein de votre mère, et
la
première fois que le Nom de Jésus-Christ a été prononcé…
Oh ! la la !
Cette petite mère, Marie, était allée là chez–chez Elisabeth, sa
cousine, elle
l’avait entourée de ses bras et l’avait étreinte. Elle était enceinte.
Jean
avait déjà six mois, mais il n’avait pas vu… il n’avait pas encore reçu
la vie.
Elle a dit : « ça m’inquiète, l’état de cet enfant, et
tout. »
Et la petite mère, Marie,
a dit : « Eh bien, moi aussi, je–je vais avoir un
Enfant. » Et quand
elle a dit quel serait Son Nom, le petit Jean a reçu le Saint-Esprit et
s’est
mis à tressaillir d’allégresse dans le sein de sa mère.
43.
Et Marie a dit… Marthe a
dit : « Comment m’est-il accordé–comment m’est-il
accordé que la
mère de mon Seigneur vienne auprès de moi ? Car, aussitôt que
la voix de
ta salutation a frappé mes oreilles, l’enfant a tressailli d’allégresse
dans
mon sein. »
Je me demande, si la
première fois que le Nom de Jésus-Christ a été jamais prononcé par les
lèvres
d’un mortel, Cela a donné la vie à un enfant mort, qu’est-ce que cela
devrait
faire à une église née de nouveau (Oh ! la la !),
remplie du
Saint-Esprit ? Amen.
Remarquez, mon cher ami…
Billy, mes quinze minutes se sont écoulées, mais je–je me sens toujours
bien.
Laisse-moi tranquille encore quelques minutes. Très bien. Quand j’y
pense, à
cette–cette–cette puissance de Dieu la ! Si je demandais à
Jean,
disant : « Qui est cet Homme ? Que pensez-vous du
Christ ? De
qui est-Il Fils ? »
Jean dirait : « Quand
j’étais… j’ai reçu le Saint-Esprit dans le sein de ma mère, d’après ce
qu’on
m’a raconté. A neuf ans, je suis allé au… » pas au séminaire,
il est allé,
pas dans une école, il est allé au désert vivre avec Dieu. Frère, c’est
cela le
séminaire dont nous avons tous besoin aujourd’hui, pas trop de choses
sur la
généalogie, mais juste un peu sur vos genoux, c’est ce qui règle la
question.
44.
A trente ans, il est sorti du
désert, pas en smoking ni en col roulé, avec les titres de révérend,
docteur,
père, l’une ou l’autre chose, mais il est sorti du désert vêtu de peaux
de
brebis et il a prêché la repentance jusqu’à bouleverser toute la région
environnante.
Frère, il était rempli du
Saint-Esprit. Il ne ménageait rien. Il mettait la cognée à la racine de
l’arbre. Et chaque arbre qui ne portait pas du bon fruit était coupé.
C’est ce
dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est davantage de Jean-Baptiste de
ce
genre, remplis du Saint-Esprit, qui ne ménageront rien, mais qui diront
la
vérité, peu importe qui ça blesse. Les histoires de l’église, manipuler
avec des
gants… Ôtez les gants et tenez cela à main nue. Là, Jean, on lui
a demandé: « Que pensez-vous du Christ ? De qui
est-Il
Fils ? »
45.
Il a dit : « Celui qui
m’a parlé au désert a dit : ‘Celui sur qui tu verras l’Esprit
descendre et
s’arrêter, c’est Celui qui baptisera du Saint-Esprit et du Feu, Il a
Son van à
la main. Il nettoiera entièrement Son aire, et Il amassera le blé dans
Son
grenier, mais Il brûlera la paille dans un feu qui ne s’éteint point.’
» Quel
témoignage de la part de Jean-Baptiste !
Faisons venir la mère de
Jésus. S’il y a quelqu’un qui devrait savoir qui Il était, c’est bien
Sa mère,
elle devrait savoir de qui Il était Fils. Ne le pensez-vous
pas ? Marie,
descendez de la Gloire juste pour quelques minutes et témoignez devant
cette
église de Philadelphie ce matin. Que pensez-vous du Christ ?
De qui est-Il
le Fils ? Bon, c’est vous Sa mère, vous devez le savoir.
46.
Elle avait dit : « Je
n’ai pas connu d’homme. » Alléluia ! « Je n’ai pas
connu d’homme,
mais un jour, c’était un lundi, le jour de la lessive, je transportais
de l’eau
dans mes bras, à la main, j’allais au puits, je revenais des sources de
vierge.
Alors, sur mon chemin, une grande Lumière a brillé devant moi et
l’Archange
Gabriel s’est tenu là et a dit : ‘Je te salue,
Marie ; tu es heureuse
parmi les femmes, car tu auras un Enfant sans avoir connu d’homme.’ »
Elle
avait dit : « Comment cela se fera-t-il,
Seigneur ? »
Elle a dit… L’Ange a
dit : « Le Saint-Esprit te couvrira de Son ombre, et le Saint
Enfant qui
naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu. » Amen. Je crois que
le témoignage
de Marie est vrai. C’est vrai. Que pensez-vous du Christ ? De
qui est-Il
le Fils ? Peu m’importe combien d’athées se lèvent, combien de
ceci, cela
ou autre, Il est toujours le Fils de Dieu né de la vierge. Certainement.
Elle a dit : « Je
n’ai pas connu d’homme, mais Il m’a dit : ‘Va…’ que là–que–que
le
Saint-Esprit me couvrira de Son ombre et que cet Enfant sera appelé le
Fils de
Dieu. »
47.
Qu’arriverait-il si je
faisais venir ce matin… Et si je pouvais faire venir E. Howard Cadle,
un vieil
ami à moi du Cadle Tabernacle ; c’était un ivrogne invétéré, il s’est
retrouvé
étalé là dans un bar, couvert des vomissement, avec des mouches
voltigeant sur
sa bouche, et… Que pensez-vous si je pouvais aller dans les sphères
célestes de
la Gloire et faire venir Howard Cadle ici ce matin pour rendre
témoignage ? Vous avez suivi son émission pendant plusieurs
années ici.
48.
Un ami intime à moi de
Milltown, dans l’Indiana, où j’étais pasteur d’une petite église
baptiste. Je
disais : « Frère Cadle, je veux que vous me disiez ce matin,
devant
l’église de Philadelphie : ‘Qui pensez-vous que le Fils de Dieu
est ?’»
Alléluia !
S’il pouvait descendre ce
soir, il dirait : « J’étais un ivrogne invétéré. J’étais
couché là, ivre,
débauché et mourant. Et une petite mère quelque part là, derrière le
grenier à
maïs, priait au Nom de Jésus-Christ, quand celui-ci a envoyé Son Ange
me
délivrer et faire de moi un prédicateur qui a envoyé des milliers
d’âmes dans
la Gloire. »
Et je demanderais à ce
petit cordonnier de Boston, Dwight Moody : «Que pensez-vous du
Christ ? » S’il pouvait ressusciter d’entre les morts
ce matin, il
dirait : « Il est le Fils de Dieu. »
49.
Que dirais-je ce matin si je
faisais venir la petite Georgie Carter, ma pianiste de l’église
baptiste de
Milltown, qui était alitée sur son dos neuf ans et huit mois ? Elle ne
pesait
que 36 livres [16kg] à cause de la tuberculose. Cela s’était généralisé
en
elle. Son église, l’Eglise du Christ, ne croyait pas dans la guérison
divine.
Elle a entendu parler d’un témoignage. Et si elle pouvait se tenir ici
pour
témoigner ce matin…
Un jour, là, alors que je
ne l’avais jamais vue, je ne savais rien sur elle, l’Ange du Seigneur
est venu
vers moi et m’a dit : « Va à Milltown. » Je ne savais
même pas où ça
se trouvait. J’y suis allé, et aujourd’hui, huit ou neuf ans après,
elle est un
témoignage vivant de la puissance de Dieu.
Elle dirait : «
Jésus-Christ est le Fils de Dieu ressuscité d’entre les morts et manifesté dans la chair.
Il est apparu dans
une vision et a épargné ma pauvre vie. »
50.
Et si ce matin je pouvais
aller à Londres, en Angleterre, et faire venir Florence Nightingale, la
faire
venir ici pour témoigner sur cette estrade ce matin, elle
dirait : «
J’étais alitée là à cause du cancer dans le duodénale de l’estomac. Il
n’y
avait plus d’espoir. Je pesais environ 30 ou 40 livres [13 ou 18 kg.]
Et là, ce
jour-là, Frère Branham, alors que vous étiez à genoux, priant, Dieu a
envoyé
une petite colombe qui a vite traversé les buissons, et qui est venue
se
percher sur une fenêtre là. Et quand la Voix de Dieu a retenti, Elle a
dit que
je vivrais, et je vis par la grâce de Dieu et par la puissance de la
résurrection de Son Fils. »
Que pensez-vous du
Christ ? De qui est-Il le Fils ? Vous
direz : « Prédicateur, que
pensez-vous du Christ ? De qui est-Il le
Fils ? » Ô frère !
mon cœur ne me permettrait pas d’exprimer cela. Il est la Rose de
Sharon, le
Lys de la vallée, l’Etoile du matin, l’Alpha et l’Omega, Celui qui
était, qui
est et qui vient (Alléluia !), le Fils du Dieu vivant, mon
Sauveur, mon
Guérisseur, mon Roi. Oh ! Lui ici maintenant, au temps
présent, illumine
mon âme et enflamme chaque fibre de mon corps par Sa Présence
glorieuse. »
51.
Comment pourrais-je parler ou
trouver des mots pour dire ce qu’Il est ? Quand Esaïe s’est
retrouvé tout
enchevêtré, il a dit : « Il–Il est le–Il est le Père, le Père
éternel, le
Prince de la paix, le Dieu Puissant. » Combien Il est
grand ! Il a
dit : « Il est Merveilleux ! » Il n’arrivait
même pas à exprimer
cela; comment pourrais-je l’exprimer ?
Chaque homme ou chaque
femme, qui ait jamais abouti à quelque chose dans cette vie, a été un
homme ou
une femme qui a cru qu’Il était le Fils de Dieu. Chaque poète, chaque
écrivain,
tout le reste, qui ait jamais abouti à quelque chose, avait cru qu’Il
était le
Fils de Dieu.
52.
Faisons venir quelques poètes
ensemble juste quelques minutes. Nous pouvons prendre des poètes, nous
pouvons
prendre des prophètes, nous pouvons prendre des écrivains. Faisons
venir
quelques poètes juste quelques minutes. Je pense à Eddie Perronett,
c’est l’un
de mes favoris. Quand il était persécuté… Vous connaissez son histoire,
le
grand compositeur des chansons.
Et pendant qu’il était au
plus sombre de la persécution, les gens disaient qu’il était un
névrosé, qu’il
avait perdu la tête. Et il se tenait… Il a dit : « Un jour
j’étais assis
au bureau… » Si nous pouvons le faire venir de sa tombe ce
matin, donc il
était là, les larmes lui coulant sur les joues, il eut une vision. Et
Dieu
lui accorda de
composer le message qui
est utilisé lors de la remise des diplômes de baccalauréat et au début
de culte
; quand il a saisi son stylo, il a écrit :
Que tous acclament la puissance du Nom de Jésus !
Que les anges se prosternent ;
Apportez le diadème royal,
Couronnez-Le Seigneur de tous.
Et je vois un autre :
« Que pensez-vous de Lui ? » Il a dit :
Quand je considère la croix.
Où le Prince de Gloire mourut,
Je considère toute ma réputation comme une perte.
53.
Oh ! la la ! Quand
je pense à l’aveugle Fanny Crosby, faisons-la venir, voyons ce qu’elle
pense de
Christ. « Vous n’avez jamais vu la lumière du jour dans votre vie,
madame ; que pensez-vous du Christ ? » Voici
ce qu’elle a
dit :
Ne m’oublie pas, ô doux Sauveur,
Ecoute mon humble cri ;
Pendant que Tu appelles les autres,
Ne m’oublie pas.
Toi, la Fontaine de tout mon réconfort,
Plus que la vie pour moi,
Qui d’autre ai-je sur terre à part Toi ?
Qui au Ciel à part Toi. ?
Alléluia ! Pauvre
femme aveugle! Un autre a dit :
Vivant, Il m’aima ;
Mourant, Il me Sauva ;
Enseveli, Il emporta mes péchés au loin ;
Ressuscitant, Il me justifia gratuitement pour toujours
Un jour, Il viendra. Oh ! glorieux jour !
54.
Que pensez-vous du
Christ ? De qui est-Il le Fils ? Je crois qu’Il est
l’Immortel Fils
de Dieu ressuscité, qu’Il vit parmi nous ici même ce matin. Je crois
que ce que
nous sentons maintenant même, c’est Sa Présence. Croyez-vous
cela ? Que
pensez-vous du Christ ?
Vous avez entendu
l’Evangile être prêché ; vous avez senti Sa puissance, vous
avez vu Ses
œuvres. Que pensez-vous du Christ ? Combien parmi vous croient
qu’Il est
le Fils de Dieu ? Levez la main. Amen. Levons-nous. Tout le
monde,
levez-vous, et j’aimerais que le pianiste nous donne un accord.
Louons-Le, tout
le monde.
Je Le louerai, je Le louerai,
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs.
Rendez-Lui gloire, vous tous, peuple,
Car Son… ôte chaque tache.
55.
L’aimez-vous ? Que
pensez-vous du Christ ? De qui est-Il le Fils ?
Disons
ensemble : « Il est le Fils du Dieu vivant. »
[L’assemblée répète
après frère Branham. – N.D.E.] Très bien. Chantons maintenant. Très
bien.
Donnez-nous un accord : Je Le louerai. Combien connaissent ce
cantique ? Levez la main. Très bien. Très bien, donnez-nous-en
un accord,
s’il vous plaît, frère.
Je Le louerai, je Le louerai,
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs.
Rendez-Lui gloire, vous tous, peuple,
Car Son Sang a ôté chaque tache.
Maintenant, reprenons
cela, chantons-le. Allons-y donc, levez les mains.
Je Le louerai, je Le louerai.
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs.
Rendez-Lui gloire, vous tous, peuple,
Car Son Sang a ôté…
(Continuez à jouer cela.
Continuez à jouer.)
56.
Maintenant, inclinons la tête
juste un instant. Je me demande s’il y a ici ce matin quelqu’un qui ne
connaît
pas Jésus comme son Sauveur, qui aimerait dire : « Maintenant,
je crois
qu’Il est le Fils de Dieu. Je veux L’accepter comme mon Sauveur
personnel. » Voudriez-vous lever la main, pour dire :
« Souvenez-vous
de moi, Frère Branham ; j’aimerais accepter Christ comme mon
Sauveur» ? Levez la main.
Que Dieu vous bénisse,
madame. Quelqu’un d’autre ? Là au balcon, n’importe où, qui
dit : «
Je ne suis pas chrétien, Frère Branham, mais je crois qu’Il est le Fils
de
Dieu. Souvenez-vous de moi dans le mot de prière. » Allez-vous
le faire,
pendant que vous levez la main, partout dans l’assistance ?
Que Dieu vous bénisse,
monsieur. Quelqu’un d’autre qui dit : « Souvenez-vous de moi,
Frère
Branham, je crois maintenant et je vais accepter Jésus comme mon
Sauveur. »
57.
Combien n’ont pas reçu le
baptême du Saint-Esprit et disent : « J’ai besoin de Sa
Présence en moi.
Je crois qu’Il est le Fils de Dieu. J’ai besoin du Saint-Esprit. Je
lève la
main, Frère Branham » ?
Levez la main. Puisse Dieu
regarder du haut des cieux maintenant et remplir chacun de vos cœurs de
Sa
Présence. Combien sont malades ce matin et disent : « Je L’ai
accepté. Je
suis né de nouveau et j’ai besoin de Lui comme mon Guérisseur
maintenant. Et
l’Agneau de Dieu immolé pour les pécheurs ôte mon péché et me guérit.
Je lève
la main pour la guérison » ?
58.
Levez la main. Que Dieu vous
bénisse. Le même Dieu qui avait couvert Marie de Son ombre, couvre
cette église
ce matin de Son Auguste Présence. Et je sais qu’Il est ici. Très bien.
Pendant
que vous avez vos têtes inclinées maintenant, tout le monde, chantons
doucement
maintenant : Je Le louerai. Très bien.
Je Le louerai, je Le louerai,
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs.
Rendez-Lui gloire, vous tous, peuple,
Car Son Sang a ôté chaque tache.
Maintenant, avec vos têtes
inclinées, fredonnez cela. [Frère Branham se met à fredonner Je Le
louerai. –
N.D.E.] Conduis-nous, Frère Boze.