Les Exploits de la Foi
1. Merci, Frère Boze. Merci, monsieur. Merci, chers amis chrétiens, pour ce grand accueil, et à notre cher frère Mattsson Boze pour sa belle présentation et pour l’amour qui est partagé si librement entre nous. Nous avons une grande communion fraternelle, ce petit pasteur et moi, ainsi que tous les gens par ici.
Nous sommes en effet très heureux de pouvoir venir à Chicago. Nous sommes toujours contents de venir ici. Nous nous sentons toujours si chaleureusement accueillis. Je crois que c’est la ville qui est vraiment prête maintenant pour le déversement de l’Evangile et de la puissance de Dieu. Et je ne connais pas de meilleur endroit que l’Eglise de Philadelphie pour que cela commence.
Je m’abstiens plutôt un peu de faire cette déclaration que je vais faire, mais cela me vient constamment, et je sais ce que le bureau va être à la maison cette semaine qui commence. A ce que je sache, c’est ma dernière réunion avant mon voyage outre-mer, et je vous demande maintenant de prier pour moi comme je me rends là-bas dans les – les régions ténébreuses de l’Afrique, et de l’Inde, et à de différents endroits, pour prêcher l’Evangile, ce même Evangile à ces gens là-bas qui sont dans le besoin.
2. Je serai... Quand les nuits seront sombres et que les tempêtes s’abattront et – et que toutes sortes de sorciers et tout vont vous défier à chaque... Je me souviendrai que j’ai un groupe fidèle qui prie pour moi à Chicago. Je vais – je vais me souvenir de cela. Que Dieu vous bénisse. Et vous prendrez part à la grande résurrection quand Jésus notre Seigneur viendra. Alors nous serons parfaitement à Son image et nous n’aurons plus de peines, ni de chagrins.
Je voudrais tout d’abord dire que ma femme m’a harcelé aujourd’hui. Elle a dit : « Billy, hier soir, tu as parlé de l’argent aux gens. » Elle a dit : « Tu ne recevras rien. » Elle a dit : « La manière dont tu as dit la chose, les gens vont mal comprendre. » Je... Et après qu’elle m’a dit ce que j’avais dit, ça sera le cas.
3. J’ai dit : « Je ne suis pas ici pour la popularité. Ce n’est pas pour ceci et cela. » J’ai dit : « Je suis ici suite à – suite à un choix; c’est le Seigneur qui m’a envoyé. » Et j’ai dit : « Ce n’est pas pour l’argent ; en effet je ne prélève rien. » Voyez-vous ? Eh bien, c’est ce qui... Ce n’est pas ce que je voulais dire, de dire que je ne prélève pas un sou, car comment pourrais-je vivre ? Voyez-vous ? Je ne pourrais pas vivre sans en accepter. Mais je veux dire que ce n’est pas pour que je... Je ne cours pas derrière l’argent. Ce n’est pas l’objectif que je poursuis en venant. Voyez-vous ? Je ne veux pas dire que cela...
A la fin de la série de réunions, on me donne une offrande d’amour. Et avec cette offrande d’amour, je paie mes dettes et ce qu’il me faut pour manger moi et ma famille. Et la plupart de nos vêtements nous sont offerts. C’est vrai. Et nous ne méritons pas cela. Et pourtant, ce que je... Et chaque petit sou qui reste du peu que j’ai, si j’ai... Mes dépenses s’élèvent à environ cent dollars par jour. Voyez-vous ?
4. J’envoie des milliers de mouchoirs par semaine. Et ces expéditions à la poste et tout vont en Suède, en Finlande, partout dans le monde. Voyez-vous ? Et donc certains de ces colis qu’on expédie coûtent autant que deux colis et demi ou quelque chose comme ça, quand on les expédie outre-mer. Et en faisant un envoi express...
Voyez-vous, nous avons quelqu’un pour traduire les lettres et tout et les envoyer en Allemagne, en – en Irlande, en Angleterre, en – en Finlande, et en, eh bien, allemand... Afrique et dans le monde entier. Elles vont partout, jusqu’en Corée et au Japon. Et il faut donc payer cela.
5. Et alors tout ce qui me reste dans un – de – de chaque sou, Dieu est mon grand Juge, ça va tout droit dans les missions à l’étranger. En effet, un jour je vais devoir rendre compte de ce que j’aurai fait ici sur terre. Je vais devoir rendre compte de ma gestion.
Je me suis tenu à la chaire à des moments où j’étais certainement si fatigué et si épuisé que je devais prendre appui sur les bords, et me demander si j’étais vraiment à la chaire, ou là où je me trouvais. Mais ma gestion consiste à prêcher l’Evangile, et à faire ces choses. Et j’ai fait cela, que j’en aie éprouvé le désir ou pas, parce que je dois en rendre compte un jour.
6. Ça, c’est une chose ; une autre est qu’il y a dans mon coeur quelque chose qui me donne tant d’amour, car je – je – je sais que c’est maintenant la seule occasion où je serai jamais un mortel. Et je dois faire tout ce que je peux faire juste maintenant. Et j’aime les gens, et je – et je... Si je ne vous aimais pas, je ne pourrais pas aimer Dieu.
J’ai donc ici ce soir dans la réunion un garçon, une fillette et une toute petite fille de deux ans. Et vraiment, s’il faut faire le – le choix, si vous… qui vous devriez aimer, entre moi et mes enfants, aimez mes enfants si vous ne m’aimez pas. J’aurai plus d’estime pour vous si vous aimez mes enfants. Eh bien, c’est pareil avec Dieu. Vous êtes Ses enfants. Et si je ne peux pas vous aimer, alors comment pourrai-je aimer Dieu ? Voyez-vous ? Je – je crois donc qu’Il vous bénira.
7. Maintenant, voici la – la chose que j’étais sur le point de dire, que j’allais dire : Tant de questions ont été posées et Billy et frère Boze me parlaient [Frère Branham tousse – N.D.E.] (Excusez-moi.), et beaucoup d’autres de la convention. Je n’aime pas en faire mention, mais la raison pour laquelle je suis venu à la convention, à la convention de La Voix de la guérison, c’est que frère Lindsay m’y a invité. Il voulait que je passe par cette convention; je ne pouvais pas rester, faire cela parce que j’étais avec le Dr Lee qui est, je pense, dans la salle ce soir.
Les baptistes avaient une série de réunion en Floride, et j’ai dû interrompre ma participation à ces réunions. J’étais censé y rester jusqu’au quinze. Et j’ai interrompu ma participation à ces réunions pour avoir une soirée à la convention de La Voix de la guérison. Et il y avait un aimable groupe de frères à cette convention. Et je voulais donc les rencontrer tous encore une fois et leur serrer la main.
8. Frère Boze, la dernière fois que j’étais ici, l’été dernier, a dit : « Eh bien, pendant la convention voudriez-vous m’accorder une soirée ? Juste après que vous aurez fini avec la convention, prenez alors le dimanche suivant chez moi. »
Et ça, c’est juste l’amour qu’il a pour moi. Et j’ai donc dit : « Eh bien, assurément, Frère Boze, je serais heureux de faire cela. »
Eh bien, en considérant alors la convention, mon tour de prêcher intervenait le onze, je lui ai téléphoné depuis la Floride l’autre soir, je lui ai téléphoné et je lui ai dit que je serais aussi ici le samedi soir. Je prendrais le samedi, et bien sûr, cela lui a vraiment plu. Et alors il a dit : « Eh bien, c’est très bien, venez. »
9. Eh bien, je me suis mis en route pour rentrer chez moi, mon fils et moi. Nous conduisions notre camionnette. Nous avons eu un trajet long et difficile. Et quand nous sommes arrivés à la maison, j’étais très fatigué. Et ce matin-là, vers trois heures, l’Ange du Seigneur est venu vers moi et Il a dit : « Quelque chose ne marche pas à Chicago. »
Eh bien, je me suis demandé si c’était ici. Et alors Il m’a montré frère Gordon Lindsay en train de faire quelque chose. Et il chargeait quelqu’un d’autre de venir me dire quelque chose. Et Il m’a montré un homme qui allait me rencontrer pour me faire quitter la réunion. Eh bien, je n’arrivais pas à comprendre; c’est tout ce qu’Il m’a dit. Et j’en ai parlé à ma femme et à beaucoup d’amis qui sont aux environs de chez moi : « Il y a quelque chose qui ne marche pas. »
10. Et quand je suis arrivé à Chicago, ici à l’hôtel, à l’hôtel Belmont où nous restions... M. Moore y avait fait une réservation pour moi. Et quand je suis arrivé à l’hôtel, eh bien, M. Moore a dit : « Frère Branham, quelque chose ne vas pas. » Et je vous le raconte en détail pour que vous compreniez. Il a dit : « Quelque chose ne va pas. »
J’ai dit : « Je... le Saint-Esprit m’a dit qu’il y a quelque chose qui ne va pas. De quoi s’agit-il, Frère Moore? »
Il a dit : « Eh bien, La Voix de la guérison a décidé que si vous tenez cette réunion pour l’Eglise de Philadelphie, ils ne vous permettront pas de prêcher ce soir à leur chaire, à leur convention. »
Et j’ai dit : « Eh bien, qu’y a-t-il de mal en cela? »
11. Il a dit : « Eh bien, vous... Certaines églises ici dans la ville et La Voix de la guérison ont décidé ensemble que si – si vous alliez prêcher pour frère Mattsson Boze, à l’église, ils ne pourraient pas vous avoir comme leur orateur. » Eh bien, il a dit : « Maintenant vous devez vous décider. Et si vous annulez votre réunion avec frère Boze et continuez pour avoir la... Vous pouvez prêcher ce soir à la convention. Mais autrement, ils ne vous permettront pas de le faire. »
J’ai dit : « Eh bien, je ne le ferai pas, car je ne veux pas annuler ma réunion avec frère Boze, parce que je lui ai fait la promesse, et je veux être un homme de parole. Je veux tenir ma promesse. Vous comprenez ? »
Il a dit : « Eh bien, a-t-il dit, eh bien, Frère Branham, a-t-il dit, vous – ils sont... Je – je suis votre ami. » Et il a dit : « Je voulais juste vous le dire avant que vous y rendiez. »
12. J’étais... J’ai dit : « Bien, j’y vais. Je veux y aller, parce que je veux que les gens sachent que j’ai tenu ma parole, car ils en ont fait des annonces dans la ville. » Et je... Maintenant, bien des fois les gens annoncent que je vais être à tel endroit, les amis, alors que je n’en sais rien, je – je ne suis pas au courant de cela.
Mais si j’ai fait une promesse, et Dieu étant mon aide, je – je vais faire tout mon possible pour être là, car moi-même je n’aimerais pas être déçu. Je ne voudrais pas que Christ me promette quelque chose ici et ensuite se rétracte sur Sa Parole. Et Il ne le fera pas. Et si je suis Son enfant, eh bien, je ne le ferai pas non plus. Je veux être comme mon Père. Voyez-vous ?
13. Et j’avais donc promis d’être ici, alors je suis monté dans la voiture et nous sommes partis. Et juste quand j’entrais par la porte de devant, frère Velmar Gardener (je crois que c’est ça son nom) m’a pris par le bras, et m’a vite entraîné dans un bureau à côté. Il a dit : « Venez ici juste une minute, Frère Branham. »
Et je n’ai pas pu voir la… entrer dans l’auditoire. Il... Et alors frère Hall est entré, un des gens de La Voix de la guérison. Et il m’a pris et il a dit : « Maintenant, Frère Branham », ils m’ont dit la même chose. Et j’ai dit... Il a dit : « Maintenant, faites votre choix. »
J’ai dit : « Je vais rester avec frère Mattsson Boze en vertu de ma promesse. » Et j’ai dit : « Je... ça, c’est certain. »
Il a dit : « Bien. » Et alors quelques ministres sont venus et ont dit : « Je ne pense pas que ce soit correct. »
J’ai dit : « Eh bien, n’en pensez rien, frères, ça ira très bien. »
14. Ainsi donc ils en ont discuté un petit moment. Et alors, aussitôt, je me suis mis à sortir pour entrer dans l’auditoire, et ils m’ont gardé à l’extérieur avant que je puisse entrer dans l’auditoire. Et alors, je n’ai donc même pas eu l’occasion de... Et je les ai entendus annoncer que je n’étais pas là. Et j’avais un frère qui était malade ou quelque chose d’autre. Eh bien, c’est...
Eh bien, j’ai un frère qui, depuis deux ans, manque à son devoir ; en effet, le Seigneur m’en avait parlé il y a deux ans, et je vous en ai parlé juste ici à la chaire, qu’il ne vivra pas, un jeune homme, parce qu’il n’avait pas servi le Seigneur; et – et il ne survivra pas, je le sais. Et j’ai vu mon père venir de la gloire et marquer sa tombe. Je – je sais donc qu’il doit partir.
Mais, oh ! la la ! je ne sais pas quand cela arrivera. Mais quant à dire que je n’étais pas là, j’étais bien là quarante-cinq minutes avant que le pasteur monte à l’estrade pour prêcher. Et j’étais assis dans la pièce, attendant d’être appelé. Et alors ils... Puis ils ont dit que je n’étais pas là. Et alors j’ai dit : « Oh ! ça c’est déf-… c’est déformer quelque chose. » Voyez-vous ? J’ai dit : « Quelqu’un devrait dire que ce n’est pas ça. »
15. Et maintenant, je ne suis pas contre les frères, mais c’était une défor-… une déformation de quelque chose, car je – j’étais là dans le bâtiment et à temps pour
prêcher, quarante-cinq minutes avant qu’ils ne commencent la prédication, et j’étais dans le bâtiment. Mais la chose s’est donc passée comme cela.
Maintenant, n’en voulez pas aux frères pour cela. C’est juste ; c’est ce que vous obtenez avec les organisations. Cela devient… cela devient un tas de politique. Et Dieu ne prend plaisir en aucune d’elles, et aucune organisation ne sera représentée au ciel. L’église elle-même, le mot église signifie appelé hors de. Et elle sera appelée ; « Sortez de Babylone », de la confusion.
16. Et voici ce que du fond de mon cœur je veux que tout le monde sache : Vous ministres qui êtes assis ici, que vous soyez des Assemblées de Dieu, des unitaires, des baptistes, des méthodistes, ou que vous soyez de la première pluie, de la deuxième pluie, de la pluie de la première saison, de l’arrière-saison, je ne sais combien de pluies, peu m’importe qui vous êtes; peu m’importe l’église que vous représentez; j’irai partout où Dieu me conduit d’aller. C’est tout à fait interdénominationnel, on ne dresse aucune barrière du tout. Et je dois être ainsi, parce que c’est Lui qui me conduit; et je dois aller où Il me conduit (Voyez-vous ?), sans regarder à quoi que ce soit.
C’est donc tout à fait interdénominationnel. Je ne... Et je crois que parmi ces gens dans les Assemblées de Dieu, dans les… dans les autres églises et partout Dieu a Ses enfants et Son peuple. Il y a de braves gens dans toutes ces églises. Et c’est... Quand Jésus viendra, Il ne va pas juste prendre ceux des Assemblées, ou les unitaires, ou ceux de l’Arrière-Saison, ou de ceci. Il va amener dans la gloire juste ceux qui ont un cœur droit. C’est juste. Je crois que c’est ce qu’Il va faire ...?... [L’assemblée applaudit – N.D.E.] Merci. Merci beaucoup. Et je suis ravi que vous soyez du même avis.
17. Ce sont ceux qui ont le cœur pur qui verront Dieu. Et il n’y a jamais eu une église qui est... Si vous êtes historien, ou un lecteur de l’histoire de la Bible, Dieu n’a jamais relevé une église qui a commencé à se retrouver dans ce genre de condition, Dieu l’a toujours laissée de côté pour aller ailleurs.
18. Et les organisations, c’est ce qu’elles font. Maintenant, par exemple, le premier groupe des apôtres était bien. Le deuxième groupe a commencé à avoir sa doctrine, la doctrine de Laodicée et ainsi de suite, et il... Et alors cela a commencé. Eh bien, il en a été ainsi avec Luther, il en a été ainsi avec Wesley. Il en a été ainsi pour chaque réveil, tout du long en passant par les Nazaréens, les Pèlerins de la Sainteté. Les suivants sur la ligne sont les Pentecôtistes. Voyez-vous ? C’est... Ils arrivent juste à un point où ils commencent à adopter ceci, de la politique, et avoir de l’influence, et des choses de ce genre.
Jésus a dit : « Comment pouvez-vous », voyons donc, je ne sais pas si je peux bien citer mon Ecriture ou pas. « Mais quand vous désirez recevoir des honneurs les uns des autres (C’est juste.), comment pouvez-vous avoir la foi? » C’est juste. « Comment pouvez-vous avoir la foi quand vous désirez recevoir des honneurs les uns des autres? » Voyez-vous ? Frère, depuis l’ap-… apôtre jusqu’au plus petit du corps... J’aime autant ce doigt que mon nez. Et je – j’aime le tout. Le tout, c’est moi. Et je... C’est ça l’attitude que Dieu a envers nous. Nous sommes – nous sommes tous à Lui, ne le pensez-vous pas ? Et Il nous aime tous.
19. Et que le Seigneur vous bénisse maintenant. J’espère que j’ai bien fait comprendre cela et que je n’ai blessé personne, mais je… seulement je – je m’abstiens de dire ces choses. Et je l’ai fait avant-hier soir et aujourd’hui, et seulement je... Ils ne cessent de me dire : « Eh bien, vous feriez mieux de bien vous faire comprendre. Il y a un groupe de gens ici, et ils vont à... » Et puis certains de ces hommes-là ont des magazines, ils allaient partout et prenaient des photos, et je ne savais pas ce qu’ils allaient faire. Et j’ai appris aujourd’hui qu’ils publient cela dans leurs magazines et des choses comme cela.
Donc je ne sais pas, il se peut que cela sorte un peu de la ligne. Nous... Mais cela les regarde. Pour moi, c’était en ordre, la seule chose pour ce qui est de parler est que j’étais très fatigué. Je suis rentré m’endormir. Mais j’étais... Mais pour moi, la seule chose qu’il y avait, c’est quand ma femme m’a raconté alors qu’elle se tenait à la porte, qu’un pauvre petit homme était venu, la poitrine toute enfoncée, et avec de pauvres petits bras frêles ; il était probablement rongé par le cancer ou la tuberculose, et il avait probablement dépensé son argent et ce qu’il avait pour venir là, parce que cette réunion avait été annoncée.
Et peut-être que si j’avais prié pour lui, il se peut... Ou bien s’il avait vu quelque chose se produire à l’estrade, cela aurait pu l’aider à croire au Seigneur. Et s’il est venu là dans l’intention... Or, il n’était pas nécessaire que moi je prie pour lui, un autre frère aurait dû prier pour lui ou l’un des – des laïcs, là, aurait pu prier pour lui, ç’aurait été pareil. Voyez-vous ?
20. N’aurais-je pas dû... Mais en réalité, il s’attendait à ce que je sois là. Et ’est plutôt une – une déception, vous savez; cela gâche plutôt l’atmosphère. Alors que j’avais promis d’être là, et il a peut-être dit : « Eh bien, frère Branham ne tient pas sa parole. » Mais j’ai tenu ma parole ; Dieu le sait. Ainsi donc, que le Seigneur vous bénisse. Aussitôt que je serai de retour, j’espère venir à Chicago pour une très longue série de réunions, quand nous serons de retour. [L’assemblée applaudit – N.D.E.] Je vous remercie vraiment. Que le Seigneur vous bénisse et vous ...?... C’est très bien. Merci beaucoup. Merci beaucoup. Que Dieu vous bénisse. Cela – cela montre que vous m’aimez vraiment et que vous aimez le Seigneur. Et je – je vais faire de mon mieux pour revenir aussi vite que possible auprès de vous. Priez donc pour moi comme je vais dans d’autres pays.
21. Que Dieu vous bénisse. Mattsson Boze, autre chose, il a dit qu’il a prélevé une offrande d’amour pour moi. Je ne m’y attendais pas, mon ami. Non. Une petite dame ou un petit homme, qui était assis là-derrière l’autre soir, a donné une carte de Noël à ma femme ; il se peut que cette personne soit ici maintenant. La carte contenait assez d’argent pour couvrir mes dépenses ici et quand je rentrerai, et cela suffirait pour le tout. Et je – j’apprécie vraiment cela. [L’assemblée applaudit – N.D.E.] Tous mes remerciements.
Que le Seigneur bénisse chacun. Et ce que vous donnez, je... Jésus a dit : « Toutes les fois que vous avez fait ces choses au plus petit de Mes petits (ce qui pourrait être moi), c’est à Moi que vous les avez faites. » Afin que... Je – je prie qu’Il vous bénisse selon la même mesure.
22. Et maintenant, je suis très heureux, ce soir, de revoir, je crois, là derrière mon brave ami, frère Ryan. D’habitude, il me suit partout dans les réunions et... Frère Ryan, je serai un peu déçu si je ne vous vois pas en Afrique, en Inde, quelque part. Amen. C’est un ami de longue date.
C’est lui l’homme qui m’avait donné la bicyclette. Je pense que vous m’avez entendu raconter qu’une fois je voulais prélever une offrande, et que je n’avais pas assez de courage pour le faire. Et il m’a offert une bicyclette, et je l’ai repeinte et l’ai vendue à cinq dollars. Et... Il était venu en bicyclette, puis il l’a laissée là, il a dit qu’elle n’était pas en très bon état. J’ai donc acheté une boîte de peinture de dix cents, et elle présentait très bien. Un enfant a donné... Et je n’avais plus besoin de prélever l’offrande.
23. Que Dieu vous bénisse donc, Frère Ryan, ainsi que mes autres braves amis. Si je ne me trompe pas, voici une jeune sœur, juste ici, qui vient d’ici d’habitude d’ici avec Mme Dommico. Est-ce juste ? Je me disais il y a quelques instants que je vous reconnaissais. Et est-ce vous qui avez été guérie cette fois-là du cancer, ou l’une de vos amies ? C’est Mme Dommico, l’une de ses amies qui avait été guérie du cancer, n’est-ce pas ? C’était Mme Dommico elle-même.
Et est-elle dans la salle ? Est-elle là ? Bien, c’est très bien. Je ne l’ai pas encore repérée, ainsi... Oh ! oui, là au coin, ce... Que Dieu vous bénisse, Sœur Dommico. Je pense qu’ils sont originaires d’ici à Chicago. Son mari est propriétaire d’une fabrique des spaghettis. Ce sont des amis très, très intimes. Et j’en suis très reconnaissant.
24. Bon, si je... S’il y a quelqu’un assis ici que je ne reconnais pas, eh bien, rappelez-vous, je ne les ai pas appelés juste pour les mettre en vedette. Je suis vraiment ravi de vous voir aussi, chacun de vous. Bien entendu, frère Beeler qui est ici en bas, il est juste, il est en train d’enregistrer ici. Il va à la réunion et c’est un homme très humble et très bien.
Si frère Beeler venait par ici, recevez-le avec la grâce de Dieu ; en effet, c’est un – un vétéran de la guerre qui s’était fait arracher la main outre-mer par un éclat d’obus, et qui a donné son coeur à Christ et après son retour il est devenu un prédicateur interdénominationnel du Plein Evangile. Et il vit maintenant à Jeffersonville, et c’est un très bon frère chrétien et un orateur loyal. Nous sommes donc heureux d’avoir le frère avec nous.
25. Maintenant, que Dieu vous bénisse. Et j’ai encore deux cent quatre-vingts miles [450,5 km – N.D.T.] et quelques à parcourir en voiture ce soir, je voudrais donc parler juste un instant et ensuite appeler la ligne de prière. Merci pour votre gentillesse et pour tout.
Maintenant, je voudrais lire dans le Livre de l’Exode 23, juste un – juste pour un court laps de temps. Je pense par rapport à l’heure, j’ai environ quatorze minutes.
Voici, j’envoie un ange devant toi, pour te protéger en chemin, et pour te faire arriver au lieu que j’ai préparé.
Tiens-toi sur tes gardes en sa présence, et écoute sa voix ; ne lui résiste point, parce qu’il ne pardonnera pas vos péchés, car mon nom est en lui.
Mais si tu écoutes sa voix, et si tu fais tout ce que je te dirai, je serai l’ennemi de tes ennemis et l’adversaire de tes adversaires.
Mon ange marchera devant toi, et te conduira chez les Amoréens, les Héthiens, les Phérésiens, les Cananéens, les Héviens, et les Jébusiens, et je les exterminerai.
Tu ne prosterneras point devant leurs dieux et tu ne les serviras point ; tu n’imiteras point ces peuples dans leur conduite, mais tu les détruiras, et tu briseras leurs statues.
Vous servirez l’Eternel, votre Dieu, et il bénira votre pain et vos eaux, et j’éloignerai la maladie du milieu de toi.
26. Maintenant, inclinons la tête et parlons-Lui juste un instant, s’il vous plaît.
Maintenant, notre Père, nous venons devant Toi avec une sainte révérence pour Te rendre grâces et Te louer pour tout ce que Tu as fait, sachant que nous sommes indignes de chacune de Tes bénédictions. Et de penser qu’il y a maintenant quelques années, j’étais éloigné de Toi, et je ne Te connaissais pas. Mais ce soir, Tu m’as aimé et Tu m’as racheté d’une vie de péché ; et maintenant, Tu nous as introduits dans cette grande communion fraternelle, les uns avec les autres, pendant que le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous purifie de toute iniquité, et Tu m’as fait trouver grâce et amour devant Tes enfants. Et combien je les aime, Seigneur. Et je Te prie de les bénir. Bénis cette petite église, Seigneur, ainsi que toutes les églises à travers la nation, qui sont représentées ici.
Et je Te prie de bénir frère Boze qui est ici, Seigneur, alors que ce jeune frère a loyalement fait de son mieux, a tenu bon, a travaillé dur et a peiné. Je Te prie de le bénir, lui ainsi que son aimable assemblée. Donne-lui avec surabondance. Et de voir la faim qui est dans son cœur, ô Dieu, il a une vision de l’effusion de l’Esprit à Chicago.
27. Et il est juste… A ce qu’il paraît, il ne peut tout simplement pas lâcher prise. Il est déterminé à voir la chose s’accomplir, car cela brûle dans son âme. Ô Dieu, puisse cela venir rapidement. Et que le désir de son cœur soit accordé, qu’un réveil balaye cette grande ville, Seigneur, d’un bout à l’autre, comme autrefois. Et qu’un – un Feu du Saint-Esprit brûle partout dans cette… partout dans la ville.
Accorde-le, Seigneur. Et qu’il y ait un réveil qui fera que des milliers et des dizaines de milliers viennent à Christ. Accorde-le, Seigneur. Bénis ce précieux peuple. Et bénis Ton serviteur maintenant, alors que je vais à d’autres endroits de l’autre côté des océans, si telle est Ta volonté. Et puisses-Tu garder ce peuple dans une paix parfaite. Accorde-le, Seigneur.
Et puissent leurs cœurs être remplis d’amour et que les autels soient embrasés. Et que cette petite église croisse et prospère dans la grâce de Dieu. Et que de grands miracles et prodiges se déversent de cette église, Seigneur, afin que les gens sachent, qu’il y a un phare de Dieu dans cette ville. Maintenant, si j’ai trouvé grâce devant Toi, Seigneur, je Te prie d’exaucer ma prière. Et accorde ces choses au Nom de Ton Fils, Jésus-Christ. Amen.
28. Dieu parle ici à Moïse, et Il lui dit : « J’enverrai Mon Ange devant toi pour te protéger en chemin. » Maintenant, je change simplement d’atmosphère partant des événements passés dont il est parlé, j’aimerais juste ramener la chose à ceci, sur base de la Parole de Dieu, avant que nous n’appelions la ligne de prière, juste pour quelques instants.
Eh bien, Dieu avait fait une promesse aux enfants d’Israël, selon laquelle Il allait… Il l’avait faite à Abraham, depuis plusieurs, plusieurs années. Quatre cent vingt ans auparavant, Dieu avait promis à Abraham, ou plutôt Il avait dit que la postérité de celui-ci séjournerait dans un pays étranger pendant quatre cents ans et qu’Il les ferait sortir par une main puissante et leur donnerait le pays où Abraham habitait alors.
29. Et Abraham crut Dieu. Et Dieu lui a donné cela inconditionnellement ; c’est par la grâce qu’Il lui a donné cette promesse, et Abraham, un vieil homme sans enfants à ce moment-là, attendait depuis vingt-cinq ans. A l’âge de soixante-quinze ans, Dieu le rencontra et lui donna la promesse d’un enfant. Et Sara, qui avait soixante-cinq ans à l’époque, avait largement dépassé l’âge d’avoir des enfants…
Ils crurent donc Dieu. Et ils marchèrent par la foi, et Abraham s’attendait à ce que Dieu accomplisse Sa promesse, et il appelait les choses qui n’étaient pas comme si elles étaient. Quel merveilleux avant plan pour le christianisme ! J’aimerais que vous voyiez cela, que nous sommes les enfants d’Abraham.
Eh bien, Dieu a promis de sauver Abraham et ses enfants sans condition. « Je l’ai (au temps passé) déjà fait. » Eh bien, vous dites : « Eh bien, j’aurais souhaité être un enfant d’Abraham. » Vous l’êtes, si vous êtes chrétien. « Car nous qui sommes morts en Christ nous devenons la postérité d’Abraham et sommes héritiers selon la promesse. »
30. Si donc nous sommes les enfants d’Abraham en étant héritiers, donc héritiers du Royaume, héritiers d’Abraham, alors nous devrions marcher comme notre père Abraham a marché, et appeler ces choses qui ne sont pas comme si elles étaient, puisque Dieu a dit qu’elles étaient. Voyez-vous ? Si Dieu a dit qu’elles sont, nous ne savons donc pas comment cela va se passer ; mais Dieu l’a dit, nous croyons donc tout simplement cela et nous allons de l’avant, marchant par la foi. Quelle vie merveilleuse!
Pensez-y, à cent ans, Abraham, malgré tant de déboires, tant de chagrins qu’il avait eus, comme en ont tous les chrétiens, en attendant la promesse, mais cependant il avait… La Bible dit qu’il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu. Bien des choses sont arrivées ; la famine, la souffrance et tout sont arrivées, mais Abraham n’a pas douté. Il croyait toujours que Dieu allait lui donner le bébé.
31. Et quand le bébé fut né et qu’il est devenu un jeune homme de quinze, seize ans peut-être, Dieu a dit : « Maintenant, prends cet enfant, monte à la montagne et offre-le en sacrifice. » En d’autres termes : « Abraham, J’ai fait de toi un père des nations ; maintenant tu as environ cent vingt ans, et voici le garçon, la postérité ; tu l’as attendu pendant vingt-cinq ans. Eh bien, Je vais toujours faire de toi un père des – des nations, mais Je veux que tu prennes et détruises le seul fondement même que tu as maintenant. Je t’avais promis l’enfant et le voici. Je veux que tu te débarrasses de cet enfant. » Voyez-vous ce que je veux dire, les deux choses ? Et comment va-t-il être le père de beaucoup de nations puisqu’il a attendu tout ce temps cet enfant et ensuite Dieu lui dit d’aller offrir cet enfant ?
Alors il y va et offre l’enfant, et comme il était sur le point de lui ôter la vie, Dieu lui a parlé. Vous connaissez l’histoire, comment Dieu a confirmé Sa – Sa fidélité envers la promesse qu’Il avait faite à Abraham. Alors Il lui a dit que sa postérité séjournerait dans un pays étranger. Et c’est ce qui est arrivé. Mais Il a dit qu’Il les ferait sortir et leur donnerait ce pays-là où Abraham habitait.
32. Or, depuis cette époque-la, les Amoréens, les Phérésiens, les Héviens, les Jébusiens et tous les autres… Les nations païennes des Gentils s’étaient emparées de ce beau paradis qui était là et elles avaient occupé ce pays-là, bien que Dieu avait promis… C’est un très beau type du Millénium, oh ! comme c’est merveilleux ! Ils y sont entrés carrément, ils se sont emparés des villes déjà construites, du blé qui était déjà planté, ils sont tout simplement entrés ; c’est un beau type.
Et maintenant, Dieu se prépare à accomplir la promesse qu’Il avait faite à Abraham quatre cent vingt ans auparavant. Les ennuis ont commencé. Et alors Dieu a envoyé Son Ange et Il a dit à Abraham ou plutôt à Moïse : « Eh bien, J’ai promis à Abraham de lui donner ce pays. Et Je l’ai promis à sa postérité. Et vous êtes la postérité qui allez bénéficier de cette promesse. Et maintenant, ces différentes nations sont toutes établies sur cette terre, mais Je vous l’ai donnée. »
33. Remarquez l’ordre des Ecritures. « Je te l’ai déjà donnée. Elle t’appartient ; maintenant, va t’en emparer. » Saisissez-vous cela ? « Maintenant, Je vais envoyer Mon Ange devant toi, et Il va préparer le chemin. Et J’enverrai les frelons devant toi, et J’enverrai… Ils chasseront loin de ta face l’ennemi. Et J’enverrai Ma terreur devant toi, et cela fera que la terreur s’empare de ce peuple. »
Maintenant, suivez, il y avait un pays. Eh bien, c’était comme si Dieu était descendu là et qu’il avait envoyé un fléau pour exterminer tout le monde, et qu’Il a dit : « A présent, les maisons sont là, entrez-y et enterrez les morts. » Ou bien – ou bien qu’Il avait envoyé une tempête là où Il les avait tous fait fuir par la frayeur ou quelque chose comme ça, mais au lieu de cela, Il a dit : « Maintenant, Je vous ai donné le pays ; maintenant vous avez quelque chose à faire. Eh bien, la promesse vous appartient ; le pays vous appartient. Je vous l’ai déjà donné ; maintenant allez et prenez-en possession. Maintenant, Je ne vais pas tout vous donner en une seule année. Si Je vous donne tout en une seule année, alors les bêtes sauvages, a-t-Il dit, viendront et se multiplieront contre vous. Mais au fur et à mesure que vous progresserez, et que vous serez capables de vous emparer du pays, Je vais vous le donner au fur et à mesure que vous serez capables de – de vous emparer du pays. »
34. Quelle chose merveilleuse ce soir pour la guérison divine ! La promesse vous a été donnée : « C’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéris. » Cela vous appartient sur base d’une promesse. Eh bien, nous devons entrer et nous en emparer. Peut-être que vous ne pouvez pas vous emparer de tout en une seule fois. Peut-être que ce soir vous pouvez juste l’accepter.
C’est comme je l’ai dit ce matin, si vous voulez qu’il y ait un chêne dans votre cour de devant et que quelqu’un vous donne un gland, vous avez déjà le chêne. Vous l’avez sous forme de semence. Tout ce que vous avez à faire, c’est de planter cette semence ; elle produira l’arbre. Ainsi, dès que vous avez la semence, vous avez l’arbre (C’est juste) sous forme de semence. Et dès que… « La foi vient de ce que l’on entend, de ce que l’on entend la Parole. » Et quand vous entendez que Jésus-Christ est le Guérisseur, qu’Il est ressuscité des morts, qu’Il manifeste de nouveau Sa Vie, qu’Il a guéri les malades, vous avez déjà votre guérison sous forme de semence. C’est juste. Cela est déjà vôtre, là même. « La foi vient de ce que l’on entend. »
35. Eh bien, la seule chose que vous devez faire, c’est chasser les Amoréens et les histoires comme « les – les jours des miracles sont passés », tout le ceci cela et autres, et entrer tout simplement pour vous emparer du pays ; c’est tout. Repoussez toutes ces théologies et toutes ces explications, et dites : « La promesse est mienne. » Entrez tout simplement et emparez-vous-en ; cela vous appartient. Oh ! quelle merveilleuse promesse !
Eh bien, Il a dit : « Ne te prosterne pas devant leurs dieux. » Or, beaucoup de ces gens essaient de dire : « Eh bien, maintenant, regardez celui-ci et regardez celui-là. » Vous savez, c’est comme certaines femmes qui prendraient probablement un petit bébé Phérésien, et dirait : « Eh bien, regardez ici, n’est-il pas mignon ? N’est-il pas mignon ? Gardons-le. »
Eh bien, l’ordre disait : « Non, tuez-le. Il est très mignon quand il est petit, mais il grandira pour être exactement comme son père. » C’est exactement… « Débarrassez-vous-en tout simplement dès le départ. Débarrassons-nous de ce gars et allons carrément de l’avant. »
36. Il ne nous faut rien d’autre qu’une foi pure et sans mélange lors de ce prochain réveil, des hommes et des femmes qui vont croire en Dieu et dire : « C’est la Parole de Dieu, c’est la vérité. Peu m’importe ce que les autres disent, je vais m’en tenir à la vérité de Dieu. C’est juste. Voyez-vous ? Je ne veux rien d’autre ; je ne veux pas avoir un quelconque… »
Eh bien, on dit : « Cet homme, c’est un brave homme, mais – mais il ne croie tout simplement pas . » Eh bien, je… Je veux m’en débarrasser tout de suite. Je… « Ils ne croient pas à la guérison divine, ils ne croient pas à la puissance du Seigneur. » Eh bien, alors débarrassez-vous-en aussitôt. N’ayez rien à voir avec leurs enfants, car ils grandiront et deviendront aussi incrédules. C’est le… Certainement, je crois qu’aujourd’hui…
37. C’est comme le docteur Palai qui s’en va en Inde. Il a dit : « Eh bien, frère Branham, dois-je – dois… » Et ces convertis, on déclare qu’ils seront un million. Dieu a promis trois cent cinquante mi-… trois cents mille convertis. Et il a dit : « Qu’allons-nous en faire ? Devons-nous les amener tous à l’Eglise anglicane ? »
J’ai dit : « Si vous commencez [avec eux] dans vos organisations, vous allez bâtir encore la chose sur de grands personnages de cette terre, vous aurez la même chose que nous avons maintenant. Ne bâtissez pas cela sur une certaine organisation, une certaine personne, mais bâtissez cela sur Jésus-Christ. C’est de Lui dont Il est question. Placez cela juste sur Christ. Et que toutes les dénominations, quelles qu’elles soient, regardent à ce serpent d’airain qui a été élevé dans le désert. Et que les hommes regardent et vivent. »
38. S’ils se mettent à regarder à leur église, combien son accroissement est rapide, combien elles prospèrent matériellement, bien vite, ils détourneront leurs regards de ceci pour les tourner vers cela. Regardons ici et oublions ça. Regardons toujours en haut. Or, Il a dit : « Je vous donnerai la… (ce n’est pas que Je vous donnerai), Je vous ai donné… » Amen. C’est au temps passé. « Je vous ai déjà donné cela ; maintenant entrez-y et emparez-vous-en. »
Et quand ils sont arrivés à Kadès Barnéa, qui était le grand siège de jugement du monde à cette époque-là, il y avait là un très grand puits et plusieurs petits puits. Donc le type même de l’Eglise, de la grande Eglise au ciel avec ses petits affluents ici bas sur la terre, produisant ses petites sources d’eau qui bouillonnent jusque dans la Vie Eternelle ; le peuple, les enfants de Dieu, remplis de l’Esprit, se réjouissant tout simplement dans l’Esprit.
39. Puis est venue la confrontation, et je crois (je n’aurai pas le temps, il reste deux ou trois minutes), mais je crois que la – l’Eglise du Dieu vivant… Eh bien, voici la chose; j’aimerais que vous voyiez cela. Je crois que l’Eglise du Dieu vivant est arrivée maintenant à Kadès Barnéa. Je crois que nous sommes devant le siège de jugement. Maintenant que nous sommes juste sur le point de traverser, ne commettons pas cette erreur qu’ils ont commise.
Ils ont alors rassemblé des hommes choisis de chaque tribu, et les ont envoyés de l’autre côté, douze espions. Et dix d’entre eux sont rentrés en disant : « C’est impossible. Oh ! nous ne sommes que des sauterelles à leurs yeux. Leurs villes sont fortifiées ; c’est un pays de délices », tout en doutant de la promesse de Dieu ; ils ont dit : « C’est un pays de délices. » Mais ils ont dit : « Nous ne pouvons pas nous en emparer, car nous sommes trop petits de taille. Ils ont de grandes villes fortifiées, ce sont des géants, et nous paraissons comme des sauterelles. »
40. Mais il y avait là deux personnes, Josué et Caleb ; eux ne considéraient pas combien les murailles étaient grandes, combien les hommes étaient grands; ils regardaient à ce que Dieu avait dit. Ils ont dit : « Nous pouvons nous en emparer. » C’est juste. Et en retournant, ils ont ramené une évidence, de très gros boisseaux de raisins ou plutôt grappes de raisins, ils ont ramené cela comme évidence que Dieu avait tenu Sa Parole.
A vous précieux peuple de Philadelphie, peu importe que le vent souffle, que la chose semble être comme ceci ou comme cela, ou le nombre de menaces qui viennent du monde extérieur, gardez votre pensée sur ce que Jésus a dit. Il nous a donné une promesse ; cela nous appartient déjà. Peu m’importe combien l’opposition semble être grande. Dieu accomplira Sa Parole. Regardons à la Parole de Dieu. Elle est ici pour nous.
41. « Je vous ai déjà donné cela. Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai. (Certainement.) Voici, Je suis toujours avec vous, jusqu’à la fin du monde. Les choses que Je fais, vous les ferez aussi. »
Tenez encore : « Si vous demeurez… » Oh ! j’aime ce mot, « demeurer », pas courir sans cesse çà et là. Mais : « Si vous demeurez en Moi et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez alors ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. » C’est juste. « Si vous demeurez… » J’aime l’Eglise qui demeure, pas vous ? Demeurer constamment, Jésus est mien. Vous chantez ce vieil hymne. Dieu a promis cela; cela nous appartient. Tout homme et toute femme ici a le droit maintenant même de réclamer sa guérison.
42. Ecoutez, que Dieu vous bénisse. J’aimerais vous dire juste une chose. Je sais que je suis long, mais j’aimerais dire cette seule petite chose. Je suis certain, et j’aimerais que vous vous en souvenez, quelque chose est sur le point d’arriver. Rappelez-vous, je vous l’ai dit. L’Eglise va franchir une nouvelle étape maintenant. Voyez-vous ? Ces choses que vous voyez maintenant seront des petites choses dans peu de temps. Quelque chose est en route.
Et je dis ceci par la puissance de la révélation de Jésus-Christ dont je… Nous sommes tous arrivés à un point avec notre doctrine, avec notre baptême, mais il y a une clé qui va ouvrir quelque chose ici. Or, il a vu le Livre scellé de Sept Sceaux. Et quand le… Daniel a vu la même chose, et quand les tonnerres ont fait entendre leurs voix, Il a dit : « N’écris pas. » C’est ce qui était dans les Ecritures, mais cela serait révélé dans les derniers jours. Nous sommes en ce temps-là. Nous sommes à Kadès maintenant même.
43. Il y a quelques soirs, je suis allé chez frère Vibbert, en partant de – à Paducah, dans le Kentucky, je suis allé de l’autre côté jusqu’à Evansville. Oh ! frère Bosworth était avec moi. Et j’ai dit, ce jour-là j’ai dit… Un message ne cessait de brûler dans mon cœur, car je savais que Dieu avait promis quelque chose en rapport avec la manifestation de la puissance ; toutefois je m’attends encore à Lui maintenant, je crois en effet qu’Il m’apparaîtra visiblement.
Je dis ceci avec respect ; je L’ai déjà vu deux fois. C’était bien sûr une vision. Il se tenait en l’air. Un soir je me tenais là, et j’ai même arraché de champ un brin de paille, je l’ai mis dans la bouche et je l’ai mâché. J’ai encore regardé, j’ai dit : « Certainement, ceci n’est pas une vision. » Je me tenais là à regarder, dans le champ de genêts. J’avais prié toute la nuit. Et j’ai encore regardé ; je L’ai vu, les pieds comme cela et avec les bras croisés, regardant vers l’est.
44. Et j’ai fait le contour comme ceci et je me suis raclé la gorge. Et quand Il s’est retourné pour me regarder, Il a levé les bras, je me suis évanoui et je ne suis revenu à moi que le lendemain matin. Et j’ai une idée sur Son aspect. Et ces quelques derniers mois, je sens que je Le verrai encore. Ici dans… très bientôt qu’Il révélera encore Sa… quelque chose qui est sur le point d’arriver.
Oh ! frère, si je comprends bien la chose, que Dieu me pardonne si je me trompe, voyant pourtant cela dans les Ecritures, voyant que lorsqu’Il est ressuscité et qu’Il est monté au ciel, Il a reçu un nouvel homme… Nom que personne ne connaissait. Je Le vois ensuite venir dans Sa puissance. Je suis allé et j’ai dit : « Que personne ne me dérange aujourd’hui. Laissez-moi tout seul. »
45. Et ce soir-là, à l’église de frère Vibbert, j’ai prié, j’ai crié, j’ai appelé Billy et j’ai dit : « Quelle série des cartes de prière as-tu distribuées ? » Et nous en avons appelé environ vingt-cinq. D’un bout à l’autre de cette ligne je n’ai pu rien voir du tout, que j’ai regardé, et moi pour… seulement une femme qui était dure d’une oreille. J’ai donc simplement continué à parler. J’ai dit : « Appelez un autre groupe. »
Et quand j’ai reçu l’autre groupe, la toute première personne dans la ligne, c’était un pauvre vieux papa qui conduisait son fils, et il a dit : « Frère Branham, je viens de Cincinnati. » Il a dit : « J’ai amené mon fils à Owensboro, je l’ai amené par bus. » Il a dit : « Je n’ai pas pu obtenir une carte de prière pour entrer dans la ligne. Mais je suis si heureux d’être ici maintenant. »
Et j’ai regardé, et j’ai dit : « Qu’a votre fils ? » Et il avait la tête baissée, un jeune homme d’environ dix-huit ans.
46. Il a dit : « Quand il a eu environ huit ans, il a frappé une amorce de dynamite à l’aide d’un marteau. Et cela lui a complètement crevé l’œil, et il n’en restait que l’orbite. Et cet œil-ci, en explosant le bout de l’amorce est entré droit dans l’œil et a démoli tous les nerfs. » Et il a dit : « Depuis que nous avons entendu parler de vous, nous avons cru que Dieu répondra à votre prière si vous priez pour mon fils. »
Il se tenait là avec une vieille veste sale, pas sale, je ne voulais pas dire cela, mais délavée. Sa chemise était déboutonnée, ses vêtements de l’intérieur ici, vraiment un papa âgé typique qui tenait si respectueusement son fils, un beau jeune homme qui se tenait là. Et j’ai dit : « Eh bien, approchez, frère, et que je prie pour vous. »
47. Et j’ai posé mes mains sur lui. Et j’ai dit : « Père céleste, je Te prie, si telle est Ta volonté, ô Dieu, d’avoir pitié de lui et d’ouvrir cet œil aveugle. » Et quand j’ai demandé cela, c’était deux grands, dans l’auditorium, il y avait deux grands projecteurs qui brillaient comme ceci. Et j’ai dit : « Fiston, regarde cette lumière et voyons si tu peux voir. »
Le pauvre gars a regardé tout autour comme ceci, essayant de voir la lumière dans le coin sombre. Et j’ai tourné sa tête. J’ai dit : « Non, par ici. » Et je lui ai fait tourné le visage dans cette direction-là. Il a dit : « Je suis désolé, gentil monsieur, mais je – je ne vois rien. »
Et son papa a dit : « Frère Branham, même si vous braquiez une – une torche puissante en plein dans son œil, il ne le saurait jamais. » Il a dit : « Tous les nerfs de son œil ont éclaté. »
J’ai dit : « Et vous avez toujours la foi. »
Il a dit : « Oui. »
48. Eh bien, d’habitude j’aurais laissé ce jeune homme partir (Voyez-vous ?), et j’aurais dit : « Eh bien, fiston, que le Seigneur te bénisse, et puisse-t-Il te redonner la vue. » Mais alors là, ce que j’avais dans le cœur, qui creusait…
Il a dit : « Si vous… » Quand Il a dit à cet arbre : « Que cet arbre soit maudit, qu’aucun fruit ne pousse sur toi. » Il a dit : « Si vous dites à cette montagne : ‘Ôte-toi de là.’ »
J’ai dit : « Qui devrait avoir la foi ? Si quelqu’un devrait avoir la foi… » J’ai honte après que depuis là-bas quand je n’étais qu’un tout petit enfant, l’Ange… La première chose dont je me souviens presque, c’était que Dieu me parlait dans une vision. Et tout au long de l’âge, Il n’a jamais failli une seule fois. Quand Il m’a rencontré en personne sous forme de l’Ange et qu’Il m’a dit : « Je ne t’abandonnerai pas. Je serai avec toi », je me suis demandé : « Qui devrait avoir la foi ? Je devrais avoir honte. » Je suis resté debout là ; je me suis dit : « Si c’est vrai, si Dieu a dit : ‘Je suis le Cep, vous êtes les sarments.’ Si nous sommes en Dieu, alors nous sommes vivifiés par Son Esprit. Et Ses… mes mains sont Ses mains. »
49. J’ai regardé de nouveau le garçon et j’ai commencé à sentir Quelque chose au-dedans de moi. Eh bien, mes amis, je sais que ça marchera. J’ai vu cela au moment des épreuves, quand quelque chose est effectivement sur le point d’arriver. Vous ne pouvez pas faire semblant ; ça doit être là. Ça doit être la chose.
Je me souviens de ce soir-là où ce maniaque s’est avancé vers l’estrade, à Portland, dans l’Oregon. Beaucoup d’entre vous en ont lu le récit. Ce n’est qu’un seul cas, que je cite parce que c’est dans le livre. Quand cet homme s’est avancé vers l’estrade, un fou qui pesait environ cent [environ 45 kg – N.D.T] ou plutôt environ deux cent quarante [environ 109 kg – N.D.T.], deux cent cinquante livres [environ 113 kg – N.D.T.], il mesurait environ sept pieds [environ 2,13 m – N.D.T.], comme il s’avançait vers l’estrade, cinq cents prédicateurs se sont retirés.
Il m’a craché au visage et il a dit : « Espèce d’hypocrite, espèce de séducteur. » Il a dit : « Tu te dis un homme de Dieu. » Il a dit : « Je vais briser chaque os de ton misérable petit corps ce soir. » Et les gens ont commencé à se disperser en reculant. Et en principe, j’aurais su ce qu’il fallait faire. Mais quand je me suis tourné vers cet homme, j’ai su qu’il était vaincu juste là. Quelque chose à l’intérieur est monté et a dit : « N’aie pas peur, Je me tiens à tes côtés. »
50. C’était ça. Quand cela arrive, j’ai vu cela au moment terrible, de cette minute capitale. Et quand j’ai su que cet homme allait être vaincu… Quand je… Il a ramené son poing, et j’ai dit : « Puisque tu as défié l’Esprit de Dieu, ce soir tu tomberas en travers de mes pieds. »
Il a dit : « Je vais te montrer en travers des pieds de qui je vais tomber, espèce d’hypocrite. » Et il m’a encore craché au visage. Ses yeux étaient exorbités et ses dents comme cela… Il ramena son poing pour me frapper, comme cela; j’ai dit : « Satan, sors de lui. »
Il a fait : « Héééééééé ! », et a commencé à tournoyer et à tournoyer, puis il est tombé clouant mes pieds sur le plancher au point qu’il a fallu que la police vienne l’ôter de mes pieds. Qu’était-ce ? La puissance de Jésus-Christ omniprésent était là, parce qu’il avait défié l’Esprit du Dieu vivant.
51. Je me souviens il n’y a pas longtemps quand mon fils a attrapé une habitude qu’il n’aurait pas dû avoir parmi les jeunes garçons, et je lui parlais sans cesse. Dieu l’avait mis en garde. Il a failli être tué. Puis une nuit Il m’a montré dans une vision ; Il a dit : « Regarde, Billy. » Et je l’ai vu tomber, les jambes continuellement en l’air, allant comme cela, tomber jusqu’au sol. Et je me suis dit… J’ai crié : « Ô Dieu, aie pitié de mon fils. C’est le seul fils que j’ai, Seigneur. Ne le laisse pas mourir comme cela. »
Et il continuait à aller, tombant dans l’espace comme cela. Et je suis revenu à moi-même, de la vision, j’étais debout dans la chambre en train de crier. Je me suis dit : « Ô Dieu ! Ai-je réveillé mon épouse ? » J’ai regardé tout autour, je me suis dit : « Non. » Je me suis dit : « Ô Dieu ! » Et je me suis agenouillé et j’ai commencé à prier. Ça semblait être de l’airain devant moi. Je me suis dit : « Oh ! la la ! Ô Dieu, ne laisse pas mon fils être tué comme cela. »
52. Je suis allé en parler à Billy. Quelques jours sont passés, il était allé faire la pêche à la rivière. Il est rentré, et il m’a dit… Nous avons un ami médecin là-bas qui est un très bon copain à moi, le docteur Sam Adair. Et alors un homme est venu de l’Inde, et je suis allé à New Albany, nous parlions des possibilités que les églises pentecôtistes de l’Inde ont de coopérer dans les réunions et ainsi de suite.
Et pendant que nous étions là-bas, mon épouse était là en train de faire meuler la dent du bébé. Et pendant que j’étais assis dans la voiture, Quelque chose a dit : « Sors de la voiture, mets-toi à marcher. » Il ne voulait pas parler là où se trouvaient ces hommes. Je me suis dit : « Est-ce une impression ? » Je suis allé comme cela, et c’est comme si je (ne) faisais que m’en aller. Je pouvais entendre mes oreilles se gonfler. J’ai entendu une voix dire : « Sors immédiatement de cette voiture. »
53. Je suis sorti de la voiture et je me suis mis à descendre la rue. J’ai dit : « Excusez-moi, frères. » J’ai descendu la rue. Il a dit : « Rentre à la maison aussi vite que possible. Quelque chose est arrivé à Billy. » Et très vite nous… que mon épouse est venue ; nous sommes montés dans la voiture et nous sommes rentrés à la maison.
Quand je suis arrivé à la véranda, ma belle-mère se tenait à la véranda et criait, disant : « Billy Paul est allé chez le docteur Adair ; il avait mal à la gorge, et le Dr Adair lui a injecté de la pénicilline ; son cœur s’est arrêté. Il est maintenant à l’hôpital. L’ambulance était ici. On l’a enveloppé ; on a fait venir un spécialiste de Louisville. Et il est inconscient, il est étendu là mourant, a-t-elle dit, même ses orteils sont gros comme ça. »
54. Eh bien, j’ai débarqué tout le monde, je suis monté dans la voiture, et j’ai couru là, et voilà le jeune médecin qui traverse la salle. Il m’a vu ; il a jeté son chapeau par terre comme ça. Il a dit : « Bill, j’ai tué ton fils. »
Et j’ai dit : « Ô mon Dieu ! » Je me suis précipité dans la chambre. Voilà que Billy était étendu là, avec une sonde dans le nez, et la bouche ouverte comme cela, le visage noir au possible. On lui avait donné des injections d’adrénaline, son sang était de vingt sur trente, je crois, son cœur… Et il était là en train de dépérir. On a injecté de l’adrénaline dans son cœur, ça a encore baissé, on lui a donné une autre injection d’adrénaline, ça a baissé davantage.
Il a dit : « J’ai tué ton fils, Bill. » Et il marchait dans le hall en pleurant. Je suis entré.
55. J’ai dit : « Fermez la porte. » Je me suis agenouillé ; j’ai dit : « Ô Dieu, maintenant… » Et à peine m’étais-je agenouillé, Quelque chose s’est approché là. Et je savais que quelque chose se passait à l’intérieur. A ce moment-là, au moment où il le fallait, Cela est venu là; j’ai dit : « Ô Dieu, selon la médecine c’en est fini de lui, mais je Te demande d’être miséricordieux et de ne pas laisser mon fils s’en aller. »
Et quand j’ai calmement tendu mes mains vers lui, cette vision est apparue devant moi, et je l’ai vu partir, tourbillonnant encore dans l’espace. Et j’ai vu deux gros bras se placer sous lui, le saisir comme cela et commencer à le ramener comme cela. Quelques instants après il était assis sur le bord du lit en train de me parler. Oui, oui. Et les gens ne le savaient pas. Il n’y avait pas…
56. Qu’est-ce ? Frère, à cet instant-là, sans réfléchir… Eh bien, si cette foi peut se manifester à ce moment-là, pourquoi ne peut-elle demeurer tout le temps ? Alors que ce jeune homme se tenait là avec ses yeux crevés comme cela, je l’ai regardé et quelque chose… J’ai dit : « Seigneur, c’est ce que je crois. Maintenant, il y a une clef dominante sur la manière d’entrer là-dedans, et je crois que Dieu va me le révéler. »
Ainsi donc, quand cela arrivera, ces choses que vous voyez seront si petites à côté de ce que cela sera quand ce sera pleinement révélé. Et alors en me tenant là à côté de ce garçon, j’ai dit : « Seigneur Dieu, si j’ai trouvé grâce à Tes yeux, que cela soit connu maintenant même. Si j’ai dit la vérité, je Te prie de bénir. » Je me suis tourné vers le jeune homme, j’ai commencé à pleurer. Je ne pouvais pas m’en empêcher. Quelque chose au-dedans de moi faisait pression, je ne pouvais pas m’en empêcher.
57. J’ai posé ma main sur ses yeux et j’ai dit : « Ô Dieu, sois miséricordieux envers lui. Et maintenant, Satan, tu as fait ceci. Cela n’a jamais était l’intention de Dieu que ce garçon soit aveugle, jamais. Je redonne donc la vue à ce jeune homme. Au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je lui redonne la vue, en tant que serviteur de Dieu alors que mes mains représentent les Siennes. » Et ce que je pensais qu’Il devrait me dire de dire, je l’ai dit.
Et quand j’ai baissé mes mains, ce jeune homme poussa un cri et dit : « Papa, me voici. Je vois. » Et il a étreint son père au cou et est devenu si excité qu’un prédicateur baptiste qui était assis à l’estrade a saisi une chaise et l’a mise sur la tête et a traversé l’auditoire en courant, les gens aussi fort qu’il le pouvait avec une chaise retournée sur la tête. Quoi ? Frère, excusez-moi, je ne… Amen.
58. Nous sommes au seuil, frère. Quelqu’un est revenu de Canaan ; les raisins sont excellents. C’est notre pays. Dieu qui nous l’a donné. Nous pouvons nous en emparer, c’est Dieu qui l’a dit, n’est-ce pas ? Dieu a dit que nous l’avions ; il est à nous. Et nous vivons dans les derniers jours ; ne le croyez-vous pas ? Il a dit : « Dans les derniers jours, J’enverrai la pluie en abondance comme cela. La pluie de la première et de l’arrière-saison tomberont en ce jour. » Et ce que les gens avaient autrefois plus ce que Dieu va nous donner, c’est maintenant même tout proche. Amen.
Je suis… Je le crois de tout mon cœur. Et je crois que nous sommes dans l’âge de la bataille. Ne le pensez-vous pas ? Ne reculons pas. Si les gens veulent reculer, qu’ils reculent. Mais nous, nous allons de l’avant. Amen. Cela nous appartient. Dieu a dit : « Ça vous appartient ; maintenant allez-y et emparez-vous-en. »
59. Peu après Josué s’est levé là et il a pris cette épée en sa main, il est allé là de l’autre côté, et juste avant qu’il ne franchisse les murailles de Jéricho, eh bien, là se tenait le – un Homme avec Son épée nue dans la main. Il a dit… Josué a tiré son épée et a dit : « Es-Tu des nôtres, ou es-Tu pour eux ? »
Il a dit : « Non, mais Je suis le Chef de l’armée de l’Eternel. » Absolument. « Et Je suis venu… » Et Ils ont fait le tour de ces murailles et ont poussé un cri, et ils se sont emparés de la Palestine parce que Dieu la leur avait donnée par une promesse. Cela leur appartenait jadis au commencement ; ils devaient tout simplement aller et en prendre possession.
60. La guérison divine, la puissance de Dieu, vous appartiennent ce soir. Prenons-en possession. Cela nous appartient. Chassez tous les Cananéens, tous les Phérésiens, tous les Héviens, les Jébusiens et toutes les autres nuits et allons-y et emparons-nous du jour. Amen. C’est juste. En effet, le soleil levant est venu d’en haut avec la gloire et la bénédiction. Amen. L’aimez-vous ?
Inclinons la tête. Père céleste, ce soir mon cœur bat fort, car je sais qu’il y a quelque chose juste là-bas. Le soleil levant est sur le point de poindre maintenant. Et nous Te remercions, Seigneur, pour cette grande bénédiction que nous avons. Et maintenant, bénis Ton église ce soir. Accorde-nous la grâce et la puissance. Donne-nous Ta propre personne dans notre propre être pour apporter la délivrance aux autres, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
61. Beaucoup d’entre vous chrétiens qui êtes ici ce soir ne savent pas où ils en sont. Vous avez droit à ces choses. Etes-vous déjà allés quelque part ici à la galerie, ou êtes-vous déjà entrés dans un très grand bazar ? Vous regardez tout autour, peut-être que maintenant vous ne vivez que d’une seule chose. Mais dans un bazar vous avez quelque chose par ici, quelque chose par là, et quelque chose par là.
Et entrer en Christ c’est comme entrer dans un grand bazar. Nous avons la joie ; nous avons la paix ; nous avons la patience ; nous avons la guérison divine. Nous avons le parler en langues ; nous avons l’interprétation des langues ; nous avons la prophétie ; nous avons tout. C’est un grand bazar. Est-ce juste ? Et nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former ce grand bazar. C’est juste.
62. On a tout. Il se peut que quelque chose soit un peu plus haut et hors de votre portée; Dieu a un escabeau par ici ; montons tout simplement dessus. J’aime regarder tout autour pour voir ce que j’ai, pas vous ? Voyez ce que nous avons. Dieu a mis toutes ces choses ici tout autour pour nous ; tendons tout simplement la main et emparons-nous-en. Si ce soir vous avez besoin de la guérison divine, allons nous en emparer.
Si c’est un peu haut pour vous, dites : « Ô Dieu, fais-moi vite monter sur l’échelle ; je veux voir ce qu’il en est. » Il vous élèvera. Elève-moi par-dessus les ténèbres, accorde-moi de communier avec Toi. A la lumière, je vois la Fontaine et le Sang qui me purifie, et cela me donne ces droits que Dieu accorde. Amen. Excusez-moi, je – je …?…
63. Quelle – quelle – quelle série de cartes de prière as-tu distribuée, F, F ? Très bien, très bien, voyons maintenant. Le jeune homme a dit qu’il a distribué les cartes de prière de la série F. Prenons… Je pense qu’hier soir il a distribué F-2.
[Espace vide sur la bande – N.D.E.]
[L’assemblée chante « Ma foi regarde à Toi. » – N.D.E.]
Que Dieu vous bénisse. Que le Seigneur bénisse chacun. Puisse le Bienveillant Seigneur bénir chacun de vous maintenant. Je suis désolé de prendre votre temps comme ceci. Mais vous êtes un peuple si aimable. Je – je ne suis pas tenu de dire cela. Mais je – je le dis parce que c’est réellement ce que je pense. Ma sincère prière est que Dieu soit donc avec vous et bénisse chacun de vous.
Très bien, voudriez-vous venir ? Bien sûr tout le monde, vous avez tous assisté à mes réunions auparavant, je pense. Y a-t-il quelqu’un ici qui n’y a jamais assisté auparavant ? Levez la main. Jamais, ja-… Il y a quelques nouveaux venus. Merci.
64. Je… Amis chrétiens, je – je ne suis pas le… Parfois les journaux et les magasines disent : « Frère Branham, le guérisseur divin. » Je ne suis pas le guérisseur divin. Je – je suis le frè-… votre frère. Voyez-vous ? C’est Jésus qui opère la guérison. Maintenant, si notre Seigneur… Je… Voici ce que je crois et que je soutiens : je crois qu’Il est ressuscité des morts.
Et je crois que s’Il est ressuscité des morts, qu’Il a dit : « Les choses que Je fais vous les ferez aussi, et vous en ferez de plus grandes, car Je M’en vais au Père. Je serai avec vous, en vous jusqu’à la fin du monde. » Quand Il était ici, Il n’a pas prétendu être un guérisseur, n’est-ce pas ? Il a dit : « Ce n’est pas Moi qui fais les œuvres ; c’est Mon Père qui demeure en Moi ; c’est Lui qui fait les œuvres. »
65. Et quand Il est passé au milieu de tous ces gens estropiés et ces gens tordus à la piscine de Béthesda dans Saint Jean 5, eh bien, Il était très… Les gens étaient bien sûr dérangés parce qu’Il n’avait guéri qu’une seule personne ; quelqu’un qui était couché sur un grabat, souffrant peut-être de la prostatite ou de quelque chose comme ça. Eh bien, Jésus a dit : « En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement. » Est-ce juste ? En d’autres termes…
Qu’y a-t-il sœur, êtes-vous un peu déçue parce que vous n’êtes pas entrée dans la ligne de prière ? Je vous ai vu rentrer par là. Les gens… Vous êtes venue en retard dans la ligne de prière. Eh bien, c’est bien. Il n’est pas nécessaire que vous veniez dans la ligne de prière si vous croyez. Croyez-vous que je suis Son prophète, de tout votre cœur ? Vous croyez, vous croyez.
66. Si, avec l’aide de Dieu, je suis en mesure de vous dire à partir d’ici ce qui ne va pas en vous, maintenant même, pendant que le Saint-Esprit est ici pour oindre, allez-vous accepter votre guérison ? Vous avez un problème aux intestins, n’est-ce pas ? Il s’agit de troubles intestinaux et vous souffrez aussi du diabète. Est-ce juste ? Si c’est juste, levez la main. Très bien, maintenant rentrez chez vous et soyez rétablie de cela. Que Dieu vous bénisse.
Jésus ne déçoit jamais les gens. Il… toujours. Très bien, venez, frère. Je pense peut-être que pour ce qui serait de vous connaître, nous ne nous connaissons pas à ce que je sache. Je ne vous connais pas. Toutefois Dieu nous connaît tous deux, n’est-ce pas ? Et maintenant, si Jésus se tenait ici, Il – Il ne… Ce qu’Il ferait, Il pourrait tout simplement… Pour ce qui est de votre guérison, Il pourrait vous dire, Il dirait : « J’ai acquis votre guérison là-bas, autrefois quand J’étais mort. »
67. Mais la seule chose qu’Il essayerait de faire, c’est de faire quelque chose pour élever votre foi pour que vous croyiez cela. Est-ce juste ? Eh bien, Il est toujours le même aimable Jésus. Maintenant, Il est… Il – Il n’a pas des mains ce soir en dehors – en dehors de nos mains. Il… Il a comme lèvres, nos lèvres… Et Ses… Et la Bible dit : « Ayez en vous les sentiments qui étaient en Christ. »
Eh bien, Il s’est tourné exactement comme Il le fit avec cette femme à l’époque, Il connaissait les pensées des gens. Est-ce juste ? Il a dit à l’auditoire, connaissant les pensées des gens, Il a dit à une certaine personne : « Pourquoi avez-vous de telles pensées dans votre cœur ? » Le même Jésus qui est ressuscité des morts vient de parler à cette femme-là. Est-ce juste ? C’est le même Jésus qui agit dans Sa puissance.
68. Commencez tout simplement là-bas, vous autres. Combien là-bas n’ont pas de cartes de prière et veulent être guéris ? Faites voir vos mains. Est-ce que… ? Très bien, partout. Oh ! la la ! Un grand nombre, surtout derrière. Très bien. Croyez tout simplement – tout simplement. C’est la seule chose que je vous demande de faire. Croyez donc tout simplement et Dieu va vous rétablir. Oui.
Maintenant, la raison pour laquelle je fais venir les gens à l’estrade, c’est que, d’habitude, je dois parler à quelqu’un. Mais ce soir dès que cette pauvre femme a levé les yeux vers moi, là, j’ai vu cette Lumière se tenant au-dessus d’elle, et Elle l’a suivie jusqu’à son siège, comme cela. Et j’ai su qu’Il se tenait là ; si j’ai pu attirer son attention juste un instant, eh bien, je savais qu’Il me dirait ce qu’elle avait comme problème. C’est tout ce dont elle avait besoin, juste un peu de foi pour l’élever, pour la faire monter jusqu’au niveau ; c’est tout. Voyez-vous ?
69. C’est juste si vous… Il faut avoir ceci et cela pour se mettre d’accord. Voyez-vous ? Voyez-vous ? Si vous avez la foi ici, c’est bien, mais il faut aussi que cela soit ici. Voyez-vous ? C’est celui-ci qui fait fonctionner le petit bateau ici en bas (Voyez-vous ?), celui-ci par ici. Si celui-ci et celui-là s’accordent avec celui-là, alors vous… C’est – c’est en ordre alors ; vous avez fait faire cela. Voyez-vous ? c’est… Et là-dessus… C’est juste quelque chose que Dieu fait.
Maintenant, Dieu envoie d’abord Sa Parole. C’est la première chose et la chose initiale. Tout ce qui est contraire à cela n’est pas de Dieu. Voyez-vous ? Dieu en premier. Puis Il a placé dans l’Eglise des prophètes pour apporter Sa Parole. Est-ce juste ? C’est un moyen secondaire pour que la Parole de Dieu soit apportée à l’individu. Voyez-vous ? Peut-être que si vous avez fait quelque chose dans votre vie qui vous a empêché d’être guéri, Dieu pouvait parler directement.
70. Eh bien, Il a dit : « Je suis l’Eternel qui te guérit. » Mais il y a peut-être une raison pour laquelle vous ne pouvez pas être guéri. Alors Il parle au travers de Sa Parole, en second lieu au travers de Ses prophètes, et Il révèle les secrets du cœur.
Combien d’entre vous ici croient au parler en langues ? Très bien. Quiconque croit la Bible croit au parler en langues. Vous ne pourriez pas dire que la chose était fausse, en vous appuyant sur ce que dit la Bible. Quand les gens ont chassé le docteur Reedhead des champs missionnaires au Soudan parce qu’il avait parlé en langues, eh bien, j’ai dit : « Vous devriez chasser Jésus, Il avait parlé en langues. » Vous devriez chasser tous les apo-… Vous ne pourriez pas accepter les enseignements de Paul, car Paul a dit : « N’empêchez pas de parler en langues. » C’est juste. Voyez-vous ? Voyez-vous donc ce que je veux dire ? Paul… Vous ne pourriez pas accepter les enseignements de Paul, car Paul a dit : « N’empêchez pas de parler en langues. » Mais les gens empêchent effectivement de parler en langues, et ils chassent le meilleur homme qu’ils ont parce qu’il se rapproche suffisamment de Dieu pour parler en langues. Voyez-vous ? Voyez-vous ? Vous ne pourriez donc accepter aucun disciple.
71. Une précieuse personne, un frère nazaréen, un frère très doux et très précieux, a dit : « Frère Branham, je… Nous ne permettons pas aux gens qui parlent en langues de venir dans notre église. »
J’ai dit : « Alors Jésus ne pourrait pas venir, car Il est mort en parlant en langues. » C’est vrai. Et Il a enseigné le parler en langues. La Bible enseigne le parler en langues. Tous les apôtres, tous les saints et tout le monde croyaient à cela, ont enseigné cela, et ont reçu cela.
Eh bien, maintenant, Paul a dit : « Si vous parlez tous en langues et s’il n’y a aucune interprétation pour l’édification de l’église, une personne du peuple pourrait dire : ‘Eh bien, n’êtes-vous pas tous fous ?’ Si cependant il y a un prophète qui révèle les choses qui sont dans le cœur de cette personne, alors elle tombera à terre et dira : ‘ Dieu est avec vous !’ » Est-ce juste ?
72. Eh bien, maintenant, tous ces dons sont en action dans l’Eglise. Est-ce juste ? Voyez-vous ? Comment ai-je connu cette femme-ci ? Je ne l’ai jamais vue, je n’ai jamais rien su à son sujet. Il semblait qu’elle allait là-bas pour entrer dans la ligne de prière, peut-être sans carte de prière, alors on l’a simplement retournée. Voyez-vous ? Ainsi, c’était donc ça. Mais il n’est pas nécessaire qu’elle ait une carte de prière ; il lui faut simplement avoir la foi. Et Dieu a honoré cela quand elle est passée.
Maintenant, voici un homme ; je ne le connais pas. Dieu sait que je ne le connais pas. Je ne sais rien à son sujet. Mais Dieu le connaît et sait tout à son sujet. S’il a même le souffle pour respirer maintenant c’est par la miséricorde de Dieu. Et si Dieu ôtait de lui ce souffle de vie, tout ce pétrole, toute cette lumière et toute cette matière dont ce corps est constitué vont tout simplement s’en aller, et il – il mourrait. Il ne pourrait plus fonctionner. Il serait mort.
73. C’est donc Dieu qui opère la guérison. C’est Lui qui connaît toutes choses. Vous êtes conscient que quelque chose est en train de se passer. Voyez-vous ? Vous êtes conscient qu’il y a Quelque Chose qui traite avec vous depuis que vous vous tenez là, et vous le savez. C’est l’Ange du Seigneur. Avez-vous déjà vu sa photo ?
Cette Lumière, vous savez, qui est sur la photo. Vous avez déjà vu cela. Maintenant, c’est juste… Sur la photo qui a été prise de moi ce soir là où ce débat… Eh bien, le docteur Stonewell a simplement expliqué cela scientifiquement, juste comme…
C’est la puissance, le Saint-Esprit. Il vous connaît. Il nous connaît, Il sait que nous sommes des frères. Et je sais que vous êtes un chrétien. Et je sais que vous êtes un croyant. Et je sais que vous souffrez de nervosité. Et je sais autre chose, que vous souffrez du rhumatisme articulaire aigu. Et je sais une chose, que vous êtes… vous – vous avez un appel pour prêcher l’Evangile. Mais vous ne savez pas de quel côté aller et ce qu’il faut faire. Est-ce juste ?
74. Croyez-vous alors qu’Il se tient ici ? Est-ce juste ? Je vais vous dire ce que vous devez faire : n’attendez pas qu’un… quelqu’un vous donne quelque chose que vous ne méritez pas et dont vous n’avez pas besoin ; restez près de Dieu et prêchez l’Evangile. Voyez-vous ? Ne regardez pas et ne laissez pas ceci vous embarquer et ceci vous endoctriner avec telle ou telle chose. Allez de l’avant, commencez une petite réunion de prière dans une chaumière quelque part, tenez bon, observez et voyez ce que Dieu fait pour vous.
Alors dès qu’Il avance, avancez tout simplement par là. Puis dès qu’Il avance par là, avancez avec Lui. Continuez tout simplement. Laissez-Le vous conduire, alors allez carrément de l’avant. Vous – vous… Que Dieu vous bénisse. Votre rhumatisme articulaire aigu va vous quitter et votre nervosité est partie. Que Dieu vous bénisse donc, mon précieux frère, et vous accorde le désir de votre cœur au Nom de Jésus-Christ. Amen. Partez.
75. Vous dites ? [Le frère pose une question à frère Branham – N.D.E.] Laissez-Le tout simplement vous conduire. Quoi qu’il en soit, continuez tout simplement à avancer et… Quand Il… Juste là où Il vous a pris, restez simplement là jusqu’à ce que vous sentiez qu’Il vous amène quelque part ailleurs.
Maintenant, n’acceptez pas (Voyez-vous ?), n’acceptez pas n’importe qui, ce que quelqu’un d’autre dit. Avancez juste avec Lui. Et quand Il vous amène quelque part ailleurs, continuez simplement à avancer. Il va – Il va… C’est ce que moi j’ai fait, mon frère, depuis mon enfance. Il – Il fera donc la même chose avec vous. Que Dieu vous bénisse.
76. Bonsoir, sœur ! Evidemment, je pense que nous ne nous connaissons pas aussi. C’est bien le cas. Et croyez-vous que je suis prophète de Dieu, ou Son serviteur ? Croyez-vous cela ? Eh bien, quand j’ai dit… Prophète veut dire prédicateur (Voyez-vous ?), juste un – un ministre. Très bien, notre Père céleste vous connaît donc, Il me connaît. Il nous connaît depuis notre enfance, depuis que… Il nous connaissait avant notre naissance. Nous sommes en vie ici dans un but. Et Dieu nous a donné quelque chose à faire.
Eh bien, vous êtes une croyante. Vous êtes une croyante chrétienne. Je sens cela maintenant. Et vous souffrez de… Oui, vous faites comme une espèce de crises. Il s’agit de l’épilepsie. Est-ce juste ? Vous tombez. Je vois cela quand ça... L’épilepsie, c’est juste. Et c’est comme s’il y a quelqu’un à côté de vous qui… Oh, c’est votre mari. Et il a un… Il est nerveux et il est cardiaque. Et il… Et… N’est-ce pas juste ?
77. Et vous n’êtes pas de cette ville. Vous venez de l’ouest, du Nebraska, d’un endroit comme cela, de quelque part dans l’ouest. Est-ce juste ? Croyez-vous – vous que Dieu va vous rétablir maintenant ? Maudit soit ce démon qui a tourmenté cette femme, et qu’il sorte d’elle alors que je lui impose les mains. Au Nom de Jésus-Christ, qu’elle s’en aille d’ici et soit rétablie. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame. Partez maintenant, réjouissez-vous et soyez heureuse.
Croyez-vous en Jésus-Christ le Fils de Dieu ?
Bonsoir, madame. Je pense que nous ne nous connaissons pas, c’est la première fois que nous nous rencontrons dans la vie. Mais Dieu nous connaît tous deux. Si nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant dans la vie, et puis si Dieu sait quelque chose… Voyez-vous, madame, plus on parle aux gens, plus il y a des visions. Mais je cherche simplement à découvrir ce qui ne va pas dans la personne, ensuite je vais simplement de l’avant. En effet, on en a déjà appelé d’autres dans la ligne. J’essaie de les prendre tous.
78. Cela fait maintenant six semaines que je tiens des réunions, si bien que je deviens très nerveux. Vous pouvez voir ce que cela a comme effet sur moi dans quelques instants. Et, franchement, vous continuez constamment à venir vers moi et à aller, comme cela, après que ceux-ci soient déjà passés par la ligne. Mes amis chrétiens, vous ne saurez jamais ce que cela a comme effet sur l’être humain. En effet, après des heures, vous vous demandez si c’est dans une vision que vous vous entretenez avec quelqu’un ou pas.
Imaginez-vous que vous êtes ici en cet instant avec quelqu’un qui se tient ici, et vous retournez dans un monde d’il y a quarante ou cinquante ans, et vous voyez ce que font les gens, et vous êtes là dans le passé avec eux, et vous dites ce que vous voyez. Vous êtes – vous êtes là avec eux, et pourtant vous savez que vous vous tenez ici à l’estrade. Mettez-vous là-dedans quelques instants et voyez ce qui arrive.
79. Daniel a eu une vision, et son esprit fut troublée pendant plusieurs jours. Pourtant avec toutes ces semaines de travail, j’en suis arrivé au point où je deviens tout simplement très bavard. Je peux sentir la chose agir sur moi maintenant même. Mais je voudrais que vous priiez. Je voudrais que vous… Priez silencieusement dans votre – votre cœur tout en croyant.
Maintenant, je – je veux que vous ayez la foi. Je veux que chacun de vous s’élève tout simplement avec le cœur en action. Restez calmes. Soyez respectueux. Restez assis, et continuez simplement à être respectueux et calmes au possible.
Et j’aimerais que vous me regardiez, madame. Quand je dis cela, « regardez-moi », c’est juste comme… Le prophète Elie a dit : « Si je n’avais égard à Josaphat, je ne te regarderais même pas », a-t-il dit.
80. Mais nous sommes… Vous dites que nous ne nous connaissons pas. C’est juste. Nous ne nous connaissons pas. Mais maintenant, nous sommes… Vous êtes une chrétienne. Vous êtes une croyante chrétienne. Mais vous avez quelque chose de bizarre. Je vois de – de l’eau. Elle déferle; c’est une mer. Et vous n’êtes pas de ce pays. Vous – vous venez de l’Italie. Vous êtes une Italienne. Et vous étiez catholique. Et vous êtes devenue chrétienne. Et vous êtes une mariée de la guerre. Est-ce juste ? Votre mari est en quelque sorte un petit homme à la chevelure plutôt abondante. Est-ce juste ?
Et vous… Vous vous tenez là pour un oncle, ou un membre de famille quelque part en Italie. Il souffre d’une – d’une maladie vénérienne, la syphilis. Et il est catholique. Cela a quitté. Est-ce juste ? Ce que je vous ai dit là, ce que cela… Vous avez entendu ma voix, mais ce n’était pas moi ; c’était Quelqu’un d’autre qui parlait. Voyez-vous ?
81. Mais je vous vois, telle que vous êtes maintenant, telle que vous êtes effectivement dans cette vie. Je vous ai vue il y a quelques instants, ce que vous étiez ailleurs. Vous paraissez une fillette ou quelque chose comme cela allant à l’église catholique ou quelque chose de ce genre. Etait-ce juste ? Approchez. Ô Dieu du ciel, que Ton Nom soit béni. Toi qui peux tout, bénis cette jeune femme. Je Te prie d’être avec elle et – et de lui accorder sa requête, Seigneur, quelle qu’elle soit, que Tu la lui accordes.
Et en mémoire de notre Seigneur Jésus-Christ qui est ressuscité des morts et qui se tient ici maintenant au milieu de nous, manifestant des miracles et des prodiges de Sa résurrection, des preuves infaillibles qu’Il est – qu’Il est ressuscité des morts et qu’Il n’est pas mort, mais qu’Il est vivant dans Son Eglise… Nous Te remercions pour ceci. Et bénis cette jeune fille et accorde-lui sa requête au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu te bénisse, jeune sœur, et que Sa miséricorde repose sur toi.
82. Excusez-moi. Ne pensez pas que je suis hors de moi. Des fois vous… Je – je ne peux pas l’expliquer, les amis, cela… Vous – vous vous posez des questions. Vous êtes quelque part ailleurs et puis vous – vous devez vous demander où vous êtes. C’est… C’est vous le malade ? C’est vous le ma-… Vous – vous venez… C’est vous – vous la personne qui êtes ici pour être – pour me voir. Très bien, monsieur. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu ? Croyez-vous cela ? Eh bien, que Dieu vous bénisse. Alors je peux vous aider. En effet, l’Ange du Seigneur m’a dit : « Si tu amènes les gens à te croire, et puis si tu es sincère en priant, rien ne résistera à la prière. »
83. Et j’ai dit : « Les gens ne voudront pas me croire parce que je suis sans instruction. Je ne suis pas capable de présenter la chose de façon à pouvoir… »
Il a dit : « Des signes seront donnés comme c’était le cas avec le – le prophète Moïse, pour confirmer que c’est la vérité. » Et Il m’a dit ce qui arriverait. Il a dit : « Fais ceci et les gens te croiront. »
Eh bien, étant donné que nous ne nous connaissons pas, peut-être que nous avons été élevés à des kilomètres de distance et que nous sommes nés à des années d’intervalle, mais Dieu nous connaît tous les deux, n’est-ce pas ? Mais ce n’est pas pour votre propre cas. Vous vous tenez là pour un ami. Et cet ami a un problème de vessie. Il ne le sait pas, ce dont il souffre. Mais il – il a un problème de vessie, et une opération est déjà programmée. Et vous êtes venu pour vous tenir là à sa place, juste pour qu’il s’en tire.
84. Approchez. Dieu Tout-Puissant, que Ta miséricorde soit accordée à cette femme, et qu’elle reçoive cette bénédiction. Qu’elle soit en bonne santé, normale et bien portante, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Madame, juste un instant, cette dame est hospitalisée, n’est-ce pas, dans un hôpital suédois ? Tout à fait, c’est tout à fait ça. Que Dieu vous bénisse. Rentrez chez vous. Amen.
Bonsoir, monsieur. Croyez-vous que je suis Son serviteur, le serviteur du Seigneur ? Que Dieu vous bénisse. Et je – je suis sûr que si vous croyez cela, je pourrais vous aider par – par Sa grâce. Je constate bien vite que vous êtes un croyant. Vous êtes un chrétien. Et vous – vous souffrez des – des nerfs. Et cela a entraîné des troubles cardiaques. Vous avez des troubles cardiaques.
85. Et vous êtes un prédicateur. Oui, monsieur. Et vous êtes de l’Ontario, au Canada. Est-ce juste ? Continuez votre chemin, vous allez vous rétablir, frère. Que Dieu vous bénisse. Que le Seigneur bénisse mon frère et le rétablisse. Amen.
Croyez-vous de tout votre cœur ? Ayez la foi. Ayez simplement foi en Dieu, voilà tout ce que je vous demande de faire.
Bonsoir. Que Dieu vous bénisse, mère. Je pense que cela fait bien des jours que vous êtes dans ce monde. Mais malgré tout vous… Tout le monde désire vivre aussi longtemps que possible, n’est-ce pas ? Eh bien, vous souffrez, sœur. Je ne vous blâme pas. Dieu est… L’âge ne représente rien pour Dieu.
L’un de ces jours vous allez redevenir une belle jeune fille, telle que vous l’étiez il y a bien des années. Tous ces cheveux gris… La mort s’est installée, un de ces jours elle va l’emporter. Mais quand vous reviendrez, ce que la mort vous aura fait… La mort sera ôtée et alors vous serez éternellement comme lorsque vous étiez en pleine forme. Ne sera-ce pas beau et merveilleux ? C’est ce qu’enseigne la Parole de Dieu, mère.
86. Maintenant, vous avez un ulcère situé à l’extérieur de l’estomac. Et puis vous souffrez aussi d’une hernie. Et vous souffrez de l’hypertension. Est-ce juste ? Et vous souffrez de l’arthrite. Est-ce juste ? Vous ne pourriez pas cacher votre vie. Mais maintenant, je vais demander à Dieu de vous guérir. Dieu Tout-Puissant, accorde-lui des bénédictions, Seigneur, qu’elle demande alors qu’elle vient, étant âgée, mais cependant elle s’est traînée jusqu’ici, croyant que Tu accorderas cela.
Tu l’as nourrie pendant toute sa vie, Tu as pris soin d’elle. Et maintenant, Seigneur, qu’elle soit à l’aise et guérie pour le – le reste de ses jours. Je prie au Nom de Jésus. Amen.
Que Dieu vous bénisse. Maintenant, partez en croyant de tout votre cœur et que Dieu vous rétablisse. Ayez simplement foi en Dieu. Croyez de tout votre cœur ; Dieu va accomplir cela.
87. Bonsoir, jeune homme. Croyez-vous ? Si je suis serviteur de Dieu et – et qu’Il est ici, Sa Présence ; en effet je suis sûr que vous êtes conscient. Maintenant, cela dépend de votre attitude, de ce que vous pensez de cela ; c’est ce qui va déterminer ce que vous allez obtenir. Mais je ne peux pas vous guérir. Si vous êtes malade, je ne sais pas. Mais si vous l’êtes, je ne peux pas vous guérir parce que Christ l’a déjà fait.
Mais vous êtes… Vous êtes malade. Et votre maladie c’est la nervosité. Vous êtes très nerveux. Et voici une autre chose : vous cherchez quelque chose ; c’est le baptême du Saint-Esprit. Ô Dieu, donne-Le-lui. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il parte ce soir et soit guéri et bien portant au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Ayez bon courage ; vous allez recevoir cela. Une bénédiction vous attend.
88. Très bien. Croyez-vous que je suis Son serviteur, madame ? De tout votre cœur ? Croyez-vous que Dieu va vous rétablir ? Vous avez une grosseur au sein, n’est-ce pas ? Croyez-vous que cela va vous quitter ? Puis-je venir… Veuillez avancer par ici.
Ô Seigneur, Toi en Qui il y a la Vie et en Qui il y a la guérison, je demande que ceci quitte notre sœur, au Nom de Jésus-Christ. Qu’elle vive. Accorde-le pour Ta gloire. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame. Maintenant, allez en remerciant Dieu, vivez respectueusement et fidèlement vis-à-vis de Lui toute votre vie.
Croyez-vous ? Croyez-vous que Dieu va ôter de vous cette anémie et vous rétablir ? Vous croyez ? Partez en vous réjouissant, en disant : « Merci, Seigneur. »
Maintenant, Père, je Te prie de lui accorder cette bénédiction au Nom de Jésus-Christ. Amen. Maintenant, partez en remerciant Dieu. Ne doutez de rien, dites tout simplement : « J’ai reçu cela ; j’ai obtenu cela. »
89. Eh bien, bonsoir. Croyez-vous ? Que Dieu vous bénisse. Croyez-vous que si Dieu est ici, Il peut vous rétablir ? Vous croyez ? Très bien. Eh bien, ce dont vous souffrez, d’un côté c’est le diabète, de l’autre ce sont des troubles cardiaques. Est-ce juste ? Croyez-vous qu’Il est… Croyez-vous que vous êtes guérie maintenant ? Que Dieu vous bénisse. C’est cela. Amen. Que Dieu soit avec elle et qu’Il la bénisse au Nom de Jésus.
Très bien. Maintenant, quand j’ai dit troubles cardiaques à cette dame-là, quelque chose vous a envahie, n’est-ce pas ? Vous avez été guérie de la même chose. Que Dieu vous bénisse. Oui, c’est… Cela vous a quittée donc ; vous êtes bien portante. Partez et que Dieu vous bénisse.
90. Très bien, vous souffrez des troubles rénaux. Et vous souffrez aussi de l’arthrite. Est-ce juste ? Dieu Tout Puissant, ôte la malédiction de cette femme alors que je la bénis. Au Nom de Jésus-Christ, puisse-t-elle partir et être rétablie Amen. Maintenant, écoutez sœur, vous devez exercer votre foi. Croyez-vous cela ? Alors descendez de cette estrade en vous réjouissant, étant heureuse, en disant : « Merci, Seigneur Jésus. Merci, Seigneur Jésus. »
La nervosité et les troubles cardiaques, oh ! la la ! Est-ce juste ? Croyez-vous qu’Il va vous guérir maintenant ? Je maudis cette maladie de son corps et lui ordonne de quitter au Nom de Jésus-Christ. Sors d’elle. Amen. Que Dieu vous bénisse. Partez, sœur, en vous réjouissant et en étant reconnaissante.
91. Très bien, croyez-vous de tout votre cœur ? Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Je le crois de tout mon cœur. Et parce que vous avez honoré non pas pour moi, mais Dieu dans la présence de qui vous vous tenez, ces troubles de reins vous ont quittée. Et vous aviez des troubles féminins. Et cela aussi est parti. Vous pouvez donc descendre de l’estrade et vous réjouir en disant : « Merci, Seigneur. »
Me crois-tu, jeune homme ? Crois-tu de tout ton cœur ? Quelqu’un croit par ici ; cela me pousse fortement et sans cesse à me retourner. Eh bien, juste un instant. Cela m’a quitté et est allé par là. C’est… Le – le Saint-Esprit est maintenant au-dessus de l’auditoire ; Il n’est pas à l’estrade. Il est au-dessus de l’auditoire.
92. Cette dame assise juste là-derrière, elle souffre des troubles féminins et de l’estomac. Que Dieu vous bénisse. Rentrez chez vous ; soyez bien portante maintenant. Dieu vous rétablit. Voyez vers qui Cela se dirige. Oh ! ayez foi en Dieu.
Frère Beeler ? C’est… Non, il s’agit de cette dame qui est assise là. Oui, il s’agit de troubles du rectum, n’est-ce pas ? C’est elle. Il vous rétablit ; vous pouvez donc vous lever et accepter maintenant votre guérison. Soyez rétablie au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse.
Vous étiez assise là en prière ou croyant avec anxiété, et essayant d’entrer parce que vous Lui demandiez de permettre que je vous parle, car vous avez vu que vous n’alliez pas entrer dans cette ligne de prière. Est-ce juste ? Maintenant, je ne suis pas en train de lire votre pensée. Mais vous ne pourriez pas cacher votre vie maintenant. C’est juste. Vous allez vous rétablir. Eh bien, ne vous inquiétez pas. Continuez simplement votre chemin et soyez heureuse et réjouissez-vous.
93. Croyez-vous, monsieur qui êtes assis là ? Vous souffrez des maux de tête persistants, n’est-ce pas ? Est-ce juste ? Croyez-vous qu’Il va vous rétablir ? Très bien. Levez-vous et acceptez votre guérison. Soyez rétabli. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, que Dieu vous rétablisse.
Voulez-vous guérir de cette épilepsie, vous qui êtes assis juste là ? Oui. Croyez-vous ? Croyez-vous qu’Il vous rétablit ? Mettez-vous debout et acceptez alors votre guérison et soyez rétabli. C’est comme ça ; continuez à louer Dieu, continuez à croire. Dieu va vous rétablir.
Pourquoi criez-vous, monsieur ? Vous essayez de chercher le Saint-Esprit, n’est-ce pas ? Le petit gars assis là, n’est-ce pas juste, monsieur ? Levez-vous et dites : « Seigneur, je crois que Tu vas me donner le Saint-Esprit. » Que Dieu vous bénisse. Vous allez Le recevoir. Voilà, vous avez reçu le Saint-Esprit maintenant même. Voyez-vous ? Gloire à Dieu !
94. C’est comme ça ; soyez profondément sincère. Qu’en pensiez-vous, mon ami, quand il est pratiquement tombé là à vos pieds ? Un Dieu qui peut l’envoyer… Cet homme est venu de la Suisse. Il est venu autrefois de là ; il habite maintenant à Fairbanks en Alaska, et il descend la route. Il a des camions qui font des va-et-vient, il a des piscines et tout. C’est juste.
Vous souffrez de la tuberculose. Voulez-vous être guéri ? Croyez-vous que Dieu va vous rétablir ? Le croyez-vous ? Croyez-vous qu’Il vous guérit de la tuberculose ? Quelque chose d’étrange est arrivé ; vous avez eu une pensée étrange quand cet homme est tombé là, n’est-ce pas ? Hein ? Très bien, levez-vous et acceptez votre guérison de la tuberculose. Que Dieu vous bénisse. Partez et que le Seigneur vous rétablisse.
95. Ayez foi en Dieu. La seule chose que vous ayez à faire, c’est avoir la foi. Amen. La sœur de couleur qui est assise là, voulez-vous guérir de ces troubles féminins ? Vous qui portez la petite robe verte, croyez-vous ? Voulez-vous guérir de ces troubles féminins ? Vous vous demandiez si j’allais dire quelque chose. Est-ce juste ? Très bien. Cela vous a quitté maintenant. Vous avez subi un drainage, ce – c’était un abcès, mais cela vous a quittée maintenant. Que Dieu vous bénisse, vous pouvez partir et être rétablie.
Vous avez une toux asthmatique, n’est-ce pas, sœur, juste là-bas, ce qui provoque aussi des troubles cardiaques ? Vous qui êtes assise juste par là, après trois ou quatre personnes à partir de cette dame-là, ce – c’est juste ; levez-vous. Que Dieu vous bénisse maintenant ; rentrez chez vous et soyez rétablie au Nom de Jésus-Christ. Amen.
96. Cela reste encore suspendu sur cette… de couleur. Non, il s’agit de cette autre dame de couleur juste… Oh ! vous avez des ennuis gastriques, n’est-ce pas, madame ? Vous qui êtes assise juste… oui… Il vous a guérie juste à l’instant. Rentrez chez vous, mangez ce que vous désirez maintenant. C’était un ulcère à l’estomac. Vous êtes nerveuse. C’est le temps de la vie qui a causé cela, mais vous êtes – vous êtes guérie maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous en vous réjouissant et en étant heureuse en Christ. Que Dieu fasse…
Juste un instant. Eh bien, vous aviez aussi des troubles gastriques, n’est-ce pas ? C’est juste. Vous aviez aussi un ulcère à l’estomac. Vous avez été guérie au même moment, vous pouvez donc rentrer chez vous maintenant et manger ce que vous désirez et être rétablie. Vous…
Croyez-vous ? Etes-vous prêts à recevoir votre guérison ? Notre Seigneur Jésus est ici pour rétablir chacun de vous.
97. Inclinons la tête juste un instant. Maintenant, Père, nous venons à Toi aimablement et respectueusement, croyant de tout cœur que… Je ne sais pas quoi d’autre Tu pourrais faire, Père. Une fois Tu as envoyé un serpent d’airain, et il était placé sur une perche, et ceux qui regardaient vivaient. Tu avais une piscine, Béthesda, et tous ceux qui y plongeaient avec foi étaient guéris. Tu as envoyé Ton Fils, et Il est mort afin que nous soyons délivrés du péché et de la maladie.
Tu nous as guéris tout du long et Tu as dit : « Les choses que Je fais, vous les ferez aussi, et de plus grandes parce que Je m’en vais au Père. » Tu as dit : « Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, et ces choses que Je fais, vous les ferez aussi. » Et nous voyons ce soir et nous sommes certains que Tu es ici, et que Tu guéris et que Tu fais les mêmes choses que Tu as faites quand Tu étais ici dans… sur terre il y a plusieurs années.
98. Et ! oh ! Glorieux Père, Je Te prie de bénir la prière de Ton serviteur. Et je le demande pour ces précieuses personnes qui sont assises ici et que Satan essaie d’arracher de la vie. Et je – je prie et Te remercie. Et je Te remercie, Père céleste, pour m’avoir guéri pendant que je me tenais ici à la chaire ce soir. Je suis entré ici après avoir manqué le sommeil pendant plusieurs nuits à cause d’un terrible mal de tête et maintenant cela est parti. Et je suis si reconnaissant.
Et je – je Te prie de guérir chaque personne qui est ici. Accorde-le, Seigneur. Tu – Tu as dit juste d’agir… croire cela. Et maintenant en tant que Ton serviteur, je condamne chaque maladie qui est ici. Je prends chaque esprit sous mon contrôle au Nom de Jésus-Christ. Je – je – je fais ceci pour Ta gloire, Seigneur.
99. Et je dis à chaque puissance démoniaque qui a lié les gens, vous ne pouvez plus les retenir maintenant. Je viens en tant qu’agent de Dieu. Je viens en tant que Son serviteur délivrer un mandat contre vous ce soir. Je viens pour vous aviser que Jésus-Christ a libéré ces gens il y a mille neuf cents ans, et que vous ne pouvez plus les retenir.
Ce soir, ils croient. Ce soir, nous voici. Les murailles de Jéricho vont tomber. Le peuple va entrer, et nous allons posséder le pays. Je vous ordonne au Nom de Jésus-Christ, chaque esprit de maladie, d’affliction, sortez d’eux au Nom de Jésus-Christ, afin qu’ils soient rétablis dans le Nom de Jésus-Christ.