LA REDEMPTION PAR LA PUISSANCE (LA REDEMPTION PAR LE SANG)

Date: 54-0329 | La durée est de: 1 heure 18 minutes | La traduction: Shp
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1.         Tous mes remerciements. Bonsoir, mes amis. C’est un privilège de me retrouver ici ce soir pour vous parler de nouveau au Nom de notre bien-aimé Seigneur Jésus-Christ. Et c’est toujours un privilège de rencontrer le peuple de Dieu à n’importe quel endroit, et de parler de ce glorieux Nom de Jésus.

2.         J’apprécie vraiment le cantique que notre frère venait de chanter. Cela – c’est mon chant préféré. Dans ce jour où l’on essaye de faire de Jésus juste un simple prophète, un homme de bien ou un enseignant, cela fait vraiment ressortir Sa divinité, ce qu’Il était. Et je crois qu’Il était…

3.         Il n’y a jamais eu quelqu’un comme Lui sur la terre, il n’y en aura jamais. Il était Emmanuel. Il était l’Alpha, l’Oméga, le commencement et la fin, Celui qui était, qui est, et qui vient, la Racine et le Rejeton de David ; l’Etoile du matin. La divinité habitait en Lui. Dieu était en Lui.

4.         «Dieu était dans Son Fils, en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.» Jésus a dit : «Ce n’est pas Moi qui fais ces œuvres, mais c’est Mon Père qui habite en Moi. Mon Père et Moi, nous sommes un.» Dieu manifesté dans la chair. Quelle merveilleuse révélation de l’amour de Dieu envers nous ! Il a bien voulu se révéler et descendre pour habiter dans la chair humaine en vue d’ôter le péché et la maladie de la race humaine, et de nous racheter en nous ramenant auprès du Père. C’est merveilleux, n’est-ce pas ? [L’assemblée dit : «Amen.» – N.D.E.] Nous apprécions vraiment cela.

5.         Eh bien, hier soir… Je pense qu’il me faudra en quelque sorte m’excuser. Je… Billy m’a pris un peu plus vite hier soir parce que j’étais un peu… J’étais devenu faible. Mais ces réunions, ce discernement, personne ne saura jamais ce que c’est, à moins que ça soit tout simplement… Il vous faut entrer dans cela pour savoir ce que c’est. Voyez ? Il n’y a pas moyen d’essayer d’expliquer cela. Il n’y a aucun – aucun moyen de pouvoir le faire. C’est tout simplement une expérience que – que personne ne connaît, si ce n’est ceux qui passent par cela. Voici ce que cela fait à la race humaine, à l’homme : ça apporte la vie même de Christ à l’individu.

6.         Eh bien, vous vivez dans deux mondes. Vous êtes dans un monde ici, et vous êtes dans un monde là-bas ; vous êtes avec quelqu’un d’autre qui a peut-être cinquante ans ; et vous pouvez être avec quelqu’un dans le futur plusieurs années à partir d’aujourd’hui ; et pourtant, vous êtes conscient que vous êtes debout ici à l’estrade et vous dites quelque chose qui est arrivé il y a bien des années : peut-être il y a des semaines, des mois, dans une autre nation, à un autre endroit ou autre chose. Et ensuite, vous essayez de garder vos idées claires à ce sujet ; je vous assure, ce n’est pas une mince affaire. Mais le Seigneur nous a béni là-dedans jusqu’ici. Et nous sommes très heureux, et nous espérons donc que Dieu va tirer gloire de cette réunion.

7.         Maintenant, dans le – le service de ce soir, je me disais qu’alors que nous ne sommes qu’un rassemblement d’une poignée de gens, nos réunions ne sont annoncées que localement ici, et c’est tout simplement pour les gens d’ici. Et avant que nous n’entrions dans la partie la plus importante des réunions, pour aujourd’hui je me proposais d’essayer d’apporter aux gens peut-être un enseignement à l’ancienne mode tiré de la Bible, de sorte que lorsque le grand événement aura lieu, si Dieu nous l’envoie, nous soyons alors en mesure de mieux comprendre cela.

8.         Après tout, la guérison divine n’est que le – l’appât qui est attaché à l’hameçon pour attraper le poisson, comme vous le savez. C’est tout simplement… C’est ce qui… Le poisson saisit l’appât et avale l’hameçon.

            Ainsi, l’important pour nous, notre seule option principale, notre seule option est que les âmes soient gagnées à Jésus-Christ.

9.         Si Dieu vous guérissait ce soir, il se peut que vous tombiez encore malade avant que vous ne mourriez. Vous pouvez encore tomber malade dans une année ou dans deux ans. Vous pouvez tomber malade dans une semaine ou dans un jour à partir de maintenant, je ne sais pas. Mais une chose est sûre ; c’est que vous allez quitter ce monde l’un de ces jours, parce que ça, ce n’est qu’une histoire rafistolée.

10.       Mais, si jamais cette âme entre en contact avec le Saint-Esprit et naît de nouveau, vous avez la Vie Eternelle. Peu importe ce qui arrive ici, vous ne mourrez jamais. Jésus a dit : «Celui qui entend Mes Paroles et croit en Celui qui M’a envoyé, a (c’est au temps présent) la Vie Eternelle, il ne passera pas en jugement ; mais il est (au temps passé) passé de la mort à la vie.» Cela devrait faire que nous tous les méthodistes, nous nous mettions à pousser des cris, n’est-ce pas ? C’est vrai. De penser que – que c’est Dieu qui a fait cela. Eh bien, ce n’est pas ma Parole, c’est Sa Parole : Saint Jean 5.24.

11.       Dans Saint Jean 6, Jésus a dit : «Celui qui mange Ma chair et boit Mon Sang, a la Vie Eternelle ; et Je le ressusciterai au dernier jour.» C’est vrai. «Celui qui mange Ma chair, et boit Mon Sang, a (c’est au temps présent) la Vie Eternelle.» Eh bien, si c’est «éternel», c’est qu’Elle ne dure pas d’un réveil à l’autre, mais Elle prend toute l’éternité.

12.       Et maintenant, pour certains d’entre vous les ministres qui êtes assis tout près, nous savons que cette Vie Eternelle vient du même mot qui signifie la Vie de Dieu, le mot Zoé, le mot grec, qui signifie la Vie même de Dieu.

13.       Nous devenons alors fils ou fille de Dieu, un rejeton de Dieu, ayant une partie de la Vie de Dieu en nous. Nous ne pouvons plus mourir ; pas plus que Dieu ne peut mourir, s’Il essayait de le faire. Ainsi, nous avons la Vie Eternelle et nous serons ressuscités au dernier jour. N’est-ce pas merveilleux ? [L’assemblée dit : «Amen.» – N.D.E.] Cela devrait faire que les baptistes et les méthodistes se serrent la main et poussent des cris, n’est-ce pas ? Certainement. C’est vrai.

14.       C’est ce qu’il y a de bien avec la vieille religion. Elle amène tous les hommes à s’asseoir ensemble et à s’aimer les uns les autres. Certainement. Ça ôte toutes les divergences ; ça fait de nous de nouvelles créatures. Ça fera qu’un – qu’un smoking et une paire de salopettes puissent s’entourer de leurs bras et se dire : «Frère, comment allez-vous ?» C’est vrai. Certainement. Cela fera qu’une robe de soie et un calicot s’entourent de leurs bras et se disent : «Sœur, je t’aime.» C’est ce que ça fait. Certainement, cela brise tout simplement les barrières. «Riches ou pauvres, esclaves ou libres, nous sommes tous un en Jésus-Christ.»

15.       Le dimanche au Tabernacle… En fait, je vois qu’il y a tout un groupe de gens de Tabernacle qui sont assis ici. Nous avions – nous avions une – une leçon d’école du dimanche sur La Rédemption par le Sang. Et cela m’a tellement emballé que je – je sens comme si j’étais toujours dans une autre sphère quelque part sur La Rédemption par le Sang.

16.       Et ce soir, et après que la famille s’est déplacée pour venir ici très tôt, afin de pouvoir assister au service des chants et tout…  J’étais dans la chambre et il semblait que… Je me suis mis à lire les Ecritures et j’ai trouvé quelque chose. Je me suis dit : «Eh bien, si le Seigneur le veut, je vais parler tout simplement sur cela un tout petit peu ce soir.»

17.       Il s’agit de La Rédemption par le Sang, le dimanche. Eh bien, ce soir je vais parler sur La Rédemption par la puissance. Et demain soir, je vais parler sur La Rédemption dans la totalité (si Dieu le veut), c’est-à-dire dans la joie. Dans le Sang, dans la puissance et dans la joie ; la rédemption.

18.       Et pour faire ressortir ceci… Eh bien, beaucoup de gens, tels que les braves érudits, les hommes instruits, savent comment percer et donner ce genre de révélation, peut-être pour ceci ou cela, ou en jeter une partie. Mais moi, je suis plutôt l’un de ces prédicateurs du type illettré par ici, qui sont… L’unique chose que je sache faire pour m’assurer que je suis presque dans le vrai de toute façon, c’est me référer aux ombres.

            Si je me mettais à marcher en me dirigeant vers le mur à l’aide de la lumière de ce côté-ci, je pourrais dire ce que – presque comment je suis, si je suis un quadrupède ou – ou un oiseau, ou peu importe ce que c’est, si je vois le genre d’ombre que je reflète.

19.       Eh bien, l’Ancien Testament était l’ombre du Nouveau Testament. C’était le négatif, comme la lune par rapport au soleil. Le soleil éclaire la lune, et celle-ci reflète la lumière [du soleil] sur la terre. Oh! j’aime vraiment l’Ancien Testament. Il est plein de paraboles comme cela ou autant que possible. Eh bien, le parfait…

20.       Dans la Genèse, lorsque Dieu a d’abord fait le – le soleil, pour faire ensuite la lune… Cette lune et le soleil représentent Christ et l’Eglise. Juste comme le soleil s’élève dans sa puissance et sa gloire, lorsqu’il se couche, il renvoie sa lumière sur la lune dans l’obscurité, pour qu’elle reflète la lumière sur la terre en l’absence du soleil. Lorsque Jésus est parti, Il est entré dans la Gloire et a renvoyé Sa Lumière sur l’Eglise, pour donner à Celle-ci la Lumière de l’Evangile jusqu’à Son retour (Oh ! la la !), et ensuite ils vont se marier. Ce sera merveilleux. Ce sera une grande lumière de la lune et… «L’Agneau est Sa Lumière.» On n’avait plus besoin du soleil dans cette Cité.

21.       Maintenant, pour une petite avant-première, retournons dans Exode. Et j’espère que vous n’en avez pas marre de moi lorsque je parle d’Exode.

22.       Une fois, dans mon église de l’autre côté de la rivière, j’ai prêché, je crois pendant environ une année et six mois, sur Job chaque soir. Les gens revenaient, et je prenais tout simplement une petite portion dans Job, et on continuait ; nous avons parcouru toute la Bible avec cela.

23.       Toutes les Ecritures s’emboîtent les unes dans les autres. Il n’y a aucune contradiction dans la Parole de Dieu. Non, non. Chaque petite portion, c’est parfait… C’est l’unique Livre qui soit jamais écrit et inspiré comme cela et qui peut parfaitement… Il a été écrit par plusieurs écrivains, et à plusieurs centaines d’années d’intervalle ; et chacun d’eux parlait par le Saint-Esprit, et le tout s’emboîte parfaitement. C’est la raison pour laquelle dans tous ces livres qui Y ont été ajoutés, les Maccabées et autres, ça ne concorde pas avec Ceci. Je n’accepte donc pas cela. Pour moi, Ceci  est la Parole de Dieu.

24.       Et une femme m’a écrit une lettre disant… Je prêchais sur Job sur le tas de cendres. Elle a dit : «Frère Branham, vous avez été… Ne voyez-vous pas que vous avez gardé Job assez longtemps sur ce tas de cendres ? Et il est là depuis environ six semaines.» Elle a dit : «Eh bien, n’allez-vous pas l’ôter de ce tas de cendres ?»

25.       Eh bien, je lui ai répondu : «Lorsque le Saint-Esprit arrêtera d’envoyer les Paroles là-dessus, je pense que je devrais tout simplement arrêter de prêcher.» Mais – mais aussi longtemps qu’Il m’a laissé continuer de parler de Job sur ce tas de cendres, eh bien, je m’en suis tenu exactement à cela. Et les âmes ont été sauvées.

26.       Ainsi, c’est comme cet évangéliste qui est venu dans la ville. Il a prêché un soir. Il a prêché sur la repentance. Le soir suivant, il a prêché sur la repentance. Le soir suivant, il a prêché sur la repentance.  Après environ quatre ou cinq soirées, le comité des diacres est allé le voir et lui a demandé : «Frère, ne pouvez-vous pas prêcher autre chose que la repentance ?»

27.       Il a dit : «Oh, oui. Laissez tous ces gens se repentir premièrement, ensuite je vais prêcher sur autre chose.» Ainsi, c’est une – une bonne idée. Qu’ils se repentent tous, nous pourrons alors prêcher sur quelque chose d’autre. Très bien.

28.       En guise d’une petite avant-première maintenant, pour ceux –  spécialement pour ceux qui n’étaient pas au Tabernacle le dimanche matin, nous aimerions retourner au chapitre 12. Mais notre pensée de base ce soir se trouve au chapitre 14, à partir du verset 13 dans Exode. Eh bien, le dimanche matin, nous nous sommes arrêtés au verset 10, sur le sujet suivant : La Rédemption par le Sang. Presque vous tous, vous connaissez bien cette histoire, j’en suis sûr.

29.       Maintenant, nous savons que nous pourrons bien tourner les feuilles de ce Livre, en tourner les pages, mais il n’y a qu’un Seul qui peut ouvrir ce Livre : C’est Jésus-Christ.

30.       Jean a vu le Livre. Il était scellé. Et il a pleuré parce qu’il n’y avait aucun homme dans le Ciel qui pouvait L’ouvrir ; aucun homme sur la terre, aucun homme sous la terre. Mais il y avait un Agneau qui avait été immolé depuis la fondation du monde, qui est venu prendre le Livre de la main droite de Celui qui était assis sur le trône. Il a ouvert les Sceaux et – et Il a ouvert le – le Livre et Il a brisé les Sceaux du Livre. Et c’est Lui qui était digne, car Il avait été immolé depuis la fondation du monde.

31.       Parlons-Lui ce soir et demandons-Lui de L’ouvrir pour nous juste en ce moment.

32.       Eh bien, notre Aimable et Bienveillant Père, nous nous approchons de Toi et nous nous adressons à Toi premièrement, au Nom de Jésus, et nous prions maintenant, pendant que nous nous tenons ici, étant abrités sous ce toit ce soir, alors que cette tempête fait rage à l’extérieur, la pluie tombe dru, tordant les choses avec ce vent qui souffle… Nous sommes très reconnaissants d’avoir la maison de Dieu où nous pouvons venir. Et nous sommes reconnaissants qu’il y ait une tour, un refuge. Tu as dit : «Le Nom de l’Eternel est une tour forte ; le juste s’y réfugie et se trouve en sûreté.» Nous sommes si heureux de connaître le Nom du Seigneur et nous sommes venus nous Y réfugier.

33.       Maintenant, Père, nous Te prions de nous ouvrir cette Parole ce soir. Puisse le Saint-Esprit venir entrer dans la Parole. Circoncis les lèvres de cet humble pauvre serviteur ainsi que les cœurs de ceux qui écouteront, tes enfants. Et puisse le Saint-Esprit prendre les Paroles de Dieu et Les placer dans chaque cœur, exactement là où on En a besoin.

            Bénis-nous maintenant. Renouvelle nos esprits ce soir dans Ton Esprit. Tire la gloire de ce service. Sauve les perdus. Guéris les malades. Ramène à la maison les rétrogrades, Seigneur. Et nous Te rendrons la gloire, car nous le demandons en Ton Nom, le Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus. Amen.

34.       Maintenant, prenons Exode, chapitre 12 verset 10. Voici ce que nous avons lu : La rédemption par le Sang. Dieu avait ordonné qu’on immole un agneau dans chaque maison, et on ne devait rien en laisser.

35.       Les jugements étaient en train de tomber, et le dernier jugement était donc prêt à tomber. Dieu allait accomplir Sa Parole à la lettre. Et tous ces jugements en ce temps-là étaient un signe parfait, ou plutôt un type parfait des jugements qui sont prêts à tomber maintenant.

36.       Et si vous le remarquez bien, avant que le jugement tombe… Eh bien, les ministres peuvent ne pas être d’accord avec moi là-dessus, ce qui est en ordre. Mais avant que le jugement commence à frapper l’Egypte, Dieu avait envoyé Israël à Goshen. Ils étaient à Goshen, et aucun fléau n’était tombé sur eux ; c’était un type parfait de l’Eglise qui est transportée au-dessus de la Tribulation. Vous voyez ? Très bien.

37.       Ensuite, la dernière plaie qui a frappé la terre là-bas, ou plutôt qui a frappé l’Egypte, c’était la mort. Vous tous, lecteurs de la Bible qui êtes ici présents, vous connaissez vos leçons de l’école du dimanche et tout ; vous avez peut-être utilisé plusieurs fois ce passage des Ecritures. Mais la mort était le dernier ennemi qui a frappé l’Egypte.

38.       Et le dernier ennemi qui va frapper l’église maintenant, c’est la mort, du point de vue spirituel. Ceux qui ne suivront pas Christ dans – dans le baptême du Saint-Esprit, sécheront et mourront spirituellement; les églises. On peut voir cela maintenant. Après que beaucoup et beaucoup de grands réveils et d’évangélistes ont parcouru le pays, l’église demeure cependant… C’est-à-dire, en ce qui concerne la politique de l’église, elle devient pire tout le temps. Ses membres vivent comme ils veulent, faisant tout ce qu’ils veulent, prétendant néanmoins qu’ils sont chrétiens et qu’ils sont en ordre.

39.       Être chrétien signifie «être semblable à Christ.» N’allez pas à un endroit où vous ne voudriez pas être si Christ venait ; ne dites rien que vous ne voudriez pas être en train de dire lorsque Christ viendra ; ne faites pas quelque chose que vous n’aimeriez pas être en train de faire lorsque Christ viendra. Ne pensez pas à quelque chose à laquelle vous n’aimeriez pas être en train de penser lorsque Christ viendra.  Gardez votre seul objectif : votre cœur centré sur le Calvaire. Amen. «Marchez dans la Lumière comme Lui est dans la Lumière ; et nous avons  communion les uns avec les autres ; le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous purifie de toute injustice.» Il s’agit des méthodistes, des baptistes et de nous tous ensemble ; cela fait de nous un en Lui.

40.       Eh bien, la dernière – la dernière chose était la mort. Et avant que cette mort survienne, une expiation avait été faite pour être préservé de cette mort, pour tous ceux qui désirent y échapper.

41.       Une expiation avait été faite avant la première destruction du monde antédiluvien. Dieu avait un prédicateur de la justice, Noé, et celui-ci a prêché cent-vingt ans pour que les gens entrent dans l’arche. Et pour ceux qui volontairement avaient refusé d’y entrer, il n’y avait rien qui était resté sinon le jugement.

42.       Et aujourd’hui, les hommes qui refusent de marcher dans la Lumière de Christ, vous avez rejeté la grâce, il n’y a donc rien qui reste sinon le jugement. C’est tout. Il n’y a que le côté droit et le côté gauche, vous ne pouvez suivre que l’un de deux. Et faites votre choix.

43.       Eh bien, nous voyons qu’avant que cette – cette nuit très effroyable n’arrive, Israël avait reçu l’ordre. Et nous avons déjà appris cela, on devait immoler l’agneau.

44.       Dieu faisait entrer son Eglise dans cet exode pour la faire sortir de l’Egypte et la faire entrer dans la terre promise. J’aime cela. Ils devaient traverser de l’autre côté  pour posséder le pays. Dieu leur avait donné ce pays, cependant il était complètement entouré de grandes forteresses et de grandes clôtures. Et [la ville de] Jéricho était entourée des murs au-dessus desquels pouvaient se faire des courses de chars. Et pensez-y. Mais Dieu avait dit : «Je vous l’ai donnée. Elle vous appartient.» Mais ils devaient détruire – la détruire complètement.

45.       Et c’est ce que Dieu a fait en ce jour. Il vous a donné à chacun de vous qui en avez besoin le baptême du Saint-Esprit. Mais vous devez entrer et posséder cela ; c’est tout. Combattez toutes les divergences et démolissez les murs et entrez là et possédez-Le.

46.       Vous direz : « Le pasteur a dit : ‘Ce n’est pas pour nous en ce jour-ci’.» Continuez à marcher et dépassez cela.

            Maman a dit : «Je vais te chasser de la maison.» Continuez tout simplement et dépassez cela.

            Mon mari a dit : «Je vais t’abandonner.» Continuez et dépassez cela. C’est tout. Il faut aller posséder cela. C’est tout.

47.       La guérison divine est pour chacun de vous. Chacun de vous qui êtes assis ici ce soir avec le cancer, un problème cardiaque, peu importe ce que c’est, Dieu a donné la promesse. Et elle est vôtre, mais vous devez aller la posséder.

48.       Eh bien, vous direz : «Eh bien, je ne me sens vraiment pas très bien.» Cela n’a rien à voir avec la chose. La promesse est vôtre. Dieu vous l’a donnée. Entrez tout simplement et tuez les Philistins, d’une extrémité à l’autre. Et boutez dehors tous les Héviens ainsi que – ainsi que les Amoréens ; exterminez-les. Entrez là et possédez cela. Dieu a dit : « C’est à vous. Allez le posséder. »

49.       Mais Dieu n’a pas dit : «Eh bien, Moi Dieu, Je vais entrer là, Je vais tout balayer, Je vous bâtirai de belles villes et Je vous établirai là et Je vous ferai rouler sur l’or.» Il n’agit pas ainsi.

50.       Il vous donne cela ; et vous devez faire quelque chose. Il est assez bon pour vous avoir donné le pays. Il a dit qu’Il sera votre secours et qu’Il sera avec vous. Allez posséder cela.

51.       Et si vous êtes malade ce soir, infirme, aveugle, sourd-muet ou peu importe la maladie que vous avez, allez posséder la chose. Dieu a dit que c’était à vous. C’est votre possession. Dieu vous l’a donnée.

52.       Il leur avait dit qu’Il leur donnerait le pays. Il enverrait un Ange devant eux pour prendre soin d’eux sur le chemin, pour les faire entrer dans le lieu dont il était question.

53.       Considérez les espions lorsqu’ils ont traversé de l’autre côté. Voici dix d’entre eux qui reviennent, disant : «Oh ! nous ne le pourrons pas. C’est impossible. Eh bien, nous sommes des scientistes, et nous avons examiné la chose. Scientifiquement c’est impossible. Nous n’y arriverons pas.»

54.       Mais il y avait deux hommes, l’un d’eux s’appelait Josué et l’autre, Caleb. Eux ne regardaient pas le côté scientifique de la chose ; ils regardaient à ce que Dieu avait dit. Ils ont dit : «Nous en sommes capables.» Et c’est vrai. Et ils ont ramené l’évidence [prouvant] que c’était un bon pays.

55.       Je suis si heureux de cette évidence (pas vous ?) qui prouve qu’il y a un bon pays juste au-dessus de nous ; et ce soir, nous sommes en route vers ce pays. Alléluia. Très bien.

56.       Voici qu’ils étaient là maintenant, juste avant la rédemption. Pour être sûr qu’ils seraient protégés, Dieu avait exigé que les enfants d’Israël tuent cet agneau et appliquent le sang sur le linteau, au-dessus de la porte comme ceci, et à chaque montant de porte.

57.       Ils devaient entrer dans la maison et manger cet agneau sans rien en laisser. Remarquez : tout l’agneau ; non pas une partie. Chaque petite partie de l’agneau devait être mangée.

58.       Certaines personnes disent : «Je prendrai tout simplement cette partie-ci, et je vais – je vais croire cette partie-ci.» Mais vous devez accepter le tout, chaque partie de cela. Dites : «Oh! je crois qu’Il a été blessé pour nos péchés, mais, ‘par Ses meurtrissures,’ je n’en sais rien.» Nous voulons la totalité. Chacune des parties de cet Agneau doit être mangée, le tout. Une partie de cela devient dure, mais nous devons manger cela de toute façon. Dieu l’a dit.

59.       Remarquez le verset 10 maintenant.

              Vous n’en laisserez – laisserez rien jusqu’au matin ; et, s’il en reste quelque chose jusqu’au matin, vous le brûlerez au feu.

60.       Et maintenant, il ne devait rien en laisser. Tout… Eh bien, Dieu avait dit : «Lorsque vous en mangerez, vous ne le mangerez point à demi-cuit ou bouilli dans l’eau ; mais vous devez en manger bien préparé.» Et j’aime cela.

61.       Les gens essaient de manger la Parole de Dieu, et ils La prennent comme si Elle était crue. Ils La mâchent et La crachent, et que sais-je encore, disant : «Oh! je ne peux vraiment pas La prendre. Je ne saurais pas La supporter.» Elle n’a pas été bien cuite. C’est tout.

62.       Il a dit : «Rôtissez-le au feu.» Le feu représente le Saint-Esprit. Acceptez premièrement Dieu dans votre cœur, et Il La rôtira pour vous. C’est vrai. Faites-La rôtir, [bien] cuite et assaisonnée, et alors Ça goûtera bien.

63.       Eh bien, vous ne pouvez pas vous tenir à l’écart comme cela, dehors, disant : «Oh! je – je ne sais pas si c’est pour moi ou pas. Cela pourrait être pour une époque passée.» Recevez tout d’abord le Saint-Esprit et observez alors ce que la guérison divine signifie pour vous.

64.       Observez alors ce que signifie une religion sincère pour vous, si vous avez le Saint-Esprit pour rôtir l’Agneau lorsqu’Il vient. Amen. C’est vrai. Rôtissez d’abord l’Agneau. Et il vous faut avoir du feu pour le rôtir. Il – Il devrait être rôti. Oh ! la la ! C’est à ce moment-là que Ça devient bon. Faites-Le rôtir, et tous les… seront complètement brûlés.

65.       Il n’y a pas longtemps, je me tenais ici tout près d’une grande fonderie, et j’ai vu à quel degré ce feu chauffait, et on y faisait fondre continuellement [des métaux]. Et plus ces métaux chauffaient, les – les impuretés des métaux, de l’or, tout cela montait à la surface et on enlevait cela. Et on chauffait davantage le feu dans cette fonderie ; et ensuite lorsque le contenu bouillait davantage, on obtenait d’autres substances différentes, la pyrite et d’autres substances qui en dérivaient.

66.       La première chose qui montait, c’était la saleté, quelque chose comme de la saleté ou de la boue. La chose suivante qui montait, c’étaient des choses semblables aux minerais, oh, quelque chose de moins important : du vif-argent et toutes ces choses, ça montait à la surface, et on enlevait cela. Puis, on continuait à descendre Et la dernière chose qu’ils enlevaient, c’étaient les pyrites. Il s’agit de l’or du sot [la pyrite de fer –N.D.T.].

67.       Vous savez qu’on trouve beaucoup de choses dans les gens qui essayent de se tromper les uns les autres qu’ils sont des chrétiens, ou qui font semblant de l’être, de toutes les façons. Voyez-vous ? Mais laissez tout simplement le Saint-Esprit aller bouillir tout cela et le faire sortir, ôter – ôter aussi de vous tout cet or des fous.

68.       L’or des fous, bien des gens s’en vont à l’Est et ils en trouvent. Et ils se disent (Oh!) qu’ils ont trouvé une mine d’or. Ça brille plus que le véritable or. Mais c’est l’or des fous, ça n’a pas de valeur.

69.       Et maintenant, on chauffe l’or et on enlève la pyrite de fer, et on continue tout simplement à le chauffer jusqu’à ce qu’on obtienne de l’or pur; à la fin il ne reste que de l’or à cent pour cent.

70.       Et c’est ainsi que Dieu agit dans Son Eglise : «Il répand le Saint-Esprit sur Elle, et là, à l’intérieur, Il chauffe les choses jusqu’à ce qu’Il jette dehors toute la mondanité, toutes les divergences, l’égoïsme et tout cela, jusqu’à ce qu’Il fasse tout simplement sortir cela, par ébullition, de chaque individu qui veut venir à Lui. Amen.

71.       Alors, vous pouvez donc manger cela. Voici une autre belle pensée ici, au – au verset 11.

  Quand vous le mangerez, vous aurez vos… (Ecoutez ceci) vos reins ceints… (j’aime cela) vos souliers aux pieds… votre bâton à la main, et vous le mangerez à la hâte. C’est la pâque de l’Eternel.

72.       J’aime cela. Pendant que vous serez en train de le manger, soyez prêts à partir. Voilà la question.

73.       Prenons Ephésiens, Ephésiens chapitre 6, et voyons ce que Paul a dit au sujet de la préparation de l’Eglise : Ephésiens chapitre 6, à partir du verset 14, chapitre 6.

  Tenez donc ferme : ayez à vos reins la vérité pour ceinture, revêtez la cuirasse de la justice ; mettez pour chaussures à vos pieds le zèle que donne l’Evangile de paix ; prenez par-dessus tout cela le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre… les traits enflammés du malin ; prenez aussi le casque du salut, et l’épée de l’Esprit, qui est la Parole de Dieu.

74.       Voyez, Paul est en train de revêtir un homme pour le champ de bataille, pour la marche.

75.       Quand la délivrance d’Israël a commencé, Dieu a dit : «Maintenant, vous devez être prêts pour la marche. Lorsque vous serez sous le sang, mettez vos chaussures. Ceignez vos reins. Prenez votre bâton dans la main et soyez prêts pour l’appel.» J’aime cela.

76.       Eh bien, quand un homme entre en Christ, pour prêcher l’Evangile, il porte ses souliers de l’Evangile, le casque du salut, la cuirasse de la justice ; et il a ses reins ceints. Il y a un…

77.       D’habitude, chez les soldats d’autrefois, lorsqu’ils portaient ces ornements de guerre, ils avaient une grande ceinture avec laquelle ils attachaient cela ensemble et qui soutenait cela aux reins, ces boucliers, pour se protéger contre les lances de l’ennemi. Quelle véritable leçon pour nous ! Et lorsque les – les reins commençaient à se relâcher, à baisser, ou plutôt le bouclier, ils resserraient la ceinture et la faisaient monter ; ils resserraient ces ornements de guerre et les faisaient remonter.

78.       Quelle belle image de ce jour! Lorsque vous sentez comme si vous commencez à vous relâcher, ou lorsque le diable dit : « Ça ne sert à rien», baissez la main et resserrez la ceinture un petit peu, tenez votre épée un peu plus fort dans la main et avancez. J’aime cela. Soyez prêts pour la marche.

79.       Tout homme qui marchait sous ce sang ce soir-là avait reçu l’ordre de rester là et de ne pas sortir avant d’avoir reçu l’ordre de marcher.

80.       Et tout homme qui est né de l’Esprit de Dieu entre en Christ ; il a la Vie Eternelle ; il revêt son bouclier, sa cuirasse ; il se tient prêt et il lui est défendu de partir avant d’avoir reçu l’ordre de marcher.

81.       Oh ! n’est-ce pas merveilleux ? N’êtes-vous pas heureux que vous ayez attaché tout cela, ce soir, vous les soldats ?

82.       Autrefois, on avait un conducteur de chants au Tabernacle ; notre chant habituel, c’était :

C’est la bataille, ô soldats chrétiens !

Et face à face en rangs serrés,

Avec brillante armure, bannières flottantes,

Le bien et le mal s’affrontent aujourd’hui ;

C’est la bataille, ne vous lassez pas,

Fortifiez-vous et tenez ferme par Sa force ;

Si Dieu est pour nous, Sa bannière sur nous,

Nous chanterons le chant de victoire.

83.       Plusieurs de ces vieux saints sont allés dans la tombe. Mais l’un de ces jours, là-bas dans un nouveau monde, lorsqu’ils entreront dans la Terre promise, la bannière de la Croix sera au-dessus de nous, et nous chanterons le chant du vainqueur. Quand nous nous assiérons au Souper des noces, autour de la table, cette table longue de cent mille miles peut-être, avec les saints qui sont lavés par le Sang, qui y seront assis tout autour. J’aimerais longer cette table et serrer la main à chacun d’eux (Amen!) en poussant des cris. Vous voulez m’entendre crier ? Attendez jusqu’à ce que j’arrive là, et observez-moi. Je ne suis pas encore assez grand pour ça. Mais remarquez donc en ce qui concerne la marche. Soyez prêts. Nous allons partir.

84.       Voici une triste image avant que nous passions à notre leçon ordinaire. C’est au verset 38. Là… Ecoutez.

  Et une multitude de gens de toute espèce montèrent avec eux ; ils avaient aussi des troupeaux…

85.       C’est là qu’Israël a commis l’erreur. Le surnaturel avait été accompli. Des gens non convertis ont suivi à cause du surnaturel ; et finalement cela leur a causé des ennuis. Et en descendant, nous remarquerons cela aux versets 42 et 43. Dieu s’est adressé à Moïse et lui a dit que personne sauf ceux qui étaient sacrifiés… ou plutôt personne ne pouvait manger le sacrifice excepté ceux qui étaient circoncis. Aucun étranger, personne du dehors, personne ne devait en manger, si ce ne sont les circoncis.

86.       Et quelle disgrâce pour nous aujourd’hui, mes chers amis, en ce jour où, dans l’église, tous ceux qui sont membres de l’église prennent la communion. Et c’est faux. Tous ceux qui sont rachetés sont les seuls qui en sont dignes.

87.       Esaïe a parlé en ces termes : «Les tables du Seigneur seraient pleines de vomissements.» Il a dit : «A qui enseignerai-je la doctrine ? A ceux qui sont sevrés de la mamelle.» Il a ajouté : «C’est précepte sur précepte, règle sur règle ; un peu ici et un peu là. Et retenez ce qui est bon.» Quand Dieu parlait, Il savait qu’en ce jour dans lequel nous vivons, l’église entrerait tellement dans la politique qu’elle laisserait toute chose, les gens, entrer ; tant qu’ils ont fait inscrire leur nom dans le registre de l’église et qu’ils sont devenus membres, ils prennent la communion.

88.       Et la Bible dit : «Celui qui mange et boit cela indignement, est coupable du Corps et du Sang du Seigneur.» C’est Jésus qui parle dans Saint Jean au chapitre 13.

89.       Des années plus tard, dans II Corinthiens 11, Paul a dit : «Celui qui mange et boit ceci indignement sera coupable du Corps et du Sang du Seigneur. Que chacun s’examine, dit-il, avant de prendre cela.» Je cite l’Ecriture. C’est vrai. «Celui qui mange et boit ceci indignement, il mange et boit sa propre condamnation, car il ne discerne pas le Corps du Seigneur. Et c’est pour cela que plusieurs sont malades et que beaucoup parmi vous sont faibles et que plusieurs sont morts.» Rassurez-vous que vous, vous êtes en ordre avec Dieu.

90.       Voici ici l’ombre de cela. Personne, excepté le circoncis… Peu importe combien la personne était loyale, peu importe combien elle aidait l’église juive, elle devait être un prosélyte, elle devait être un véritable croyant circoncis avant de pouvoir prendre la communion ou de manger la Pâques. Oh! combien nous nous sommes éloignés de la ligne aujourd’hui!

91.       Eh bien, allons-y vite alors. Ce soir, Dieu les a fait sortir. Nous passons maintenant au verset 13 du chapitre 14.

92.       Dieu leur avait donné la Colonne de Feu pour aller devant eux. Je pense qu’ils avaient ici cette image ce soir. Et je le dis avec révérence. Sincèrement, pendant que nous sommes ici dans ce groupe ce soir, je crois qu’Elle est au milieu de nous ce soir. La même Colonne de Feu qui a conduit les enfants d’Israël va devant nous, accomplissant les mêmes miracles et prodiges. Et tout enseignant ici présent ou tout érudit de la Bible sait bien que l’Ange qui accompagnait Israël et qui les conduisait vers la Terre promise, c’était l’Ange de l’alliance, c’était Jésus-Christ.

93.       Et aujourd’hui : Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement accompagne et va devant ce groupe que vous aimez appeler les saints exaltés, si vous le voulez (Ça va) ; Il continue à les conduire de victoire en victoire. Gloire à Dieu !

94.       Dans ces nations, en ce temps-là, ils étaient méprisés, haïs, rejetés et repoussés par les nations, et ils étaient traités de tous les noms.

95.       Il en est de même aujourd’hui avec les véritables croyants. Vous, dans vos églises, vous savez que lorsque vous prenez position pour Christ et que vous défendez la vérité, toute l’église dit : «Regardez-le. Il a perdu la tête. Il est devenu fou.» Voyez ?

96.       Ne prêtez pas attention à cela. Continuez votre route. Maintenant, vous êtes complètement revêtu de votre armure. Et le Sang va devant vous, le Saint-Esprit vous conduit. Continuez tout simplement à avancer. Ne faites pas attention à ce que quelqu’un vous dit. Regardez droit au Calvaire et continuez à marcher. Quel beau type !

97.       Eh bien, ils étaient sortis, en passant par… Et ils sont arrivés… Et maintenant, remarquez, la rédemption par le sang les avait fait sortir de l’Egypte. Eh bien, ils devaient donc avoir quelque chose d’autre pour les faire entrer dans la terre. Eh bien, ils n’étaient qu’à leur début. Ils étaient sortis, ils étaient circoncis, ils étaient passés sous le sang, et ils étaient en marche.

98.       Eh bien, ils étaient parvenus à quelque chose. Ils continuaient leur route, sachant qu’ils étaient passés de la mort à la Vie, ils savaient qu’ils avaient la Vie Eternelle, mais les voici, en train de monter maintenant, et les difficultés commencent à surgir. Voici venir l’armée de Pharaon, les poursuivant pour les attraper. Les ennuis sont survenus

99.       Ecoutez. «Dieu est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais dans la détresse.» Oh! J’espère que vous voyez ceci. Vous voyez ? Voici la chose. Sachez… Mais écoutez, maintenant le verset 13.

                 Et Moïse dit au peuple : ne craignez point…

100.     J’aime cela. Après que Jésus était ressuscité des morts, Il disait constamment : «Ne craignez point.»

101.     C’est cela l’ennui avec l’église aujourd’hui, vous avez terriblement peur de connaître un échec. Comment pouvez-vous échouer alors que vous êtes en Christ ? Vous ne pouvez pas faillir. Vous avez la Vie Eternelle. Tous les démons de l’enfer ne peuvent pas vous ébranler. Vous avez la Vie Eternelle. Jésus l’a dit. N’ayez donc pas peur de l’échec.

102.     Vous direz : « Eh bien, je crains de devenir fanatique.» Je préférerais avoir un peu de fanatisme plutôt que de me tenir tranquille et de ne rien faire. Certainement. Un homme qui est prêt à faire quelque chose…

103.     On parle de Ballard par ici. Un homme est venu chercher auprès de lui du travail et il lui a dit : «Apposez votre signature ici.» Il a pris son stylo pour signer. Ballard lui a demandé : «Où est votre gomme ?»

            L’homme a répondu : «Je n’ai pas de… Je ne commets pas d’erreurs.»

            Il a dit : «Je ne saurais pas vous employer ; vous n’allez rien faire.»

104.     C’est vrai. Si vous ne commettez pas d’erreurs, vous n’êtes pas – vous ne faites rien. Allons-y, mon frère. Soyons actifs et pleins d’entrain. J’aime Longfellow là :

Ne me dites pas en poésie mélancolique,

Que la vie n’est qu’un rêve dénué de sens !

Et que l’âme qui sommeille est morte,

Et les choses ne sont pas ce qu’elles semblent être.

Oui, la vie est réelle ! Et la vie est solennelle !

Et la tombe n’en est pas le but.

Tu es poussière et tu retourneras à la poussière,

N’a pas été dit de l’âme.

Soyons actifs,

De tout cœur dans le combat;

Ne soyez pas comme un troupeau muet qu’on conduit ;

Soyez un héros !

105.     N’attendez pas que les gens vous persuadent d’aller à Christ. Tenez-vous comme un homme ou une dame, acceptez-Le, et marchez en avant, victorieux. Amen. C’est ce que Dieu cherche, des soldats qui sont prêts et qui sont rudes. Vous pouvez ne pas être – peser soixante-quinze kilos, mais vous pouvez néanmoins être tenace, frère, et rempli de puissance, si seulement vous laissez Dieu faire les choses à Sa manière. J’ai vu des hommes qui pesaient cent kilos, qui n’avaient même pas un brin de virilité en eux. C’est vrai. C’est juste. Remarquez.

          Moïse dit au peuple : Ne craignez point ; tenez-vous tranquilles, et voyez la délivrance de l’Eternel…

106.     C’est bien. Continuez à marcher. Ne craignez rien. Si vous avez accepté Christ comme votre Sauveur, continuez à avancer.

107.     « Frère Branham, j’ai besoin du baptême du Saint-Esprit.» Continuez tout simplement à avancer. N’ayez pas peur.

108.     Vous direz : «Je suis malade maintenant, Frère Branham. Je ne peux pas aller plus loin.» Ne vous lassez point. Continuez tout simplement à avancer ; observez la délivrance de notre Seigneur. Acceptez cela, continuez tout simplement à marcher.

109.     «Comment cela va-t-il se faire ? Les médecins m’ont abandonné.» Eh bien, ce médecin a fait le mieux qu’il pouvait, mais Dieu n’a pas encore fait le mieux qu’Il peut. C’est vrai. Juste un instant, écoutez-Le, maintenant. Très bien.

          … L’Eternel, Il opérera pour vous aujourd’hui : car les Egyptiens… (les assaillants, ces fauteurs des trou… des troubles)…

110.     Vous direz : «Frère Branham, si je pouvais tout simplement cesser de fumer… Si je pouvais tout simplement cesser de boire… Si je pouvais tout simplement cesser de voler… Si je pouvais tout simplement cesser de faire ceci et cela.» Ne vous lassez pas. Continuez à marcher. Dieu prendra soin du reste.

111.     «Si j’étais sûr de pouvoir le faire, Frère Branham, j’accepterais Christ maintenant même.»

112.     Ne vous en faites pas. Allez de l’avant. Continuez tout simplement à avancer. Vous verrez la délivrance de l’Eternel.

  Car ces Egyptiens que vous voyez aujourd’hui, vous ne les reverrez plus jamais. (Amen. La chose sera réglée dans quelque temps.)

  L’Eternel combattra pour vous et vous, soyez – gardez le silence.

  Et l’Eternel dit à Moïse : pourquoi cries-tu vers Moi ? Parle aux enfants d’Israël, qu’ils se mettent en marche. (J’aime cela.)

113.     N’essayez pas de dire – de dire : «Eh bien, j’ai adhéré à l’église il y a dix ans, Frère Branham. J’ai été un bon et fidèle membre.» C’est bien ; j’apprécie cela. Mais continuons à avancer, ce soir. Dieu continue à avancer. Aujourd’hui, les gens d’ici font marche arrière ; ils disent : «Eh bien, maintenant…»

114.     La science… Il y a cent cinquante ans, en France, un savant a fait cette déclaration : «Si jamais un homme allait à la vitesse vertigineuse de trente miles [18,65 km – N.D.T.] à l’heure, la gravitation l’ôterait de la terre et il serait parti.» Hein ! Trente miles [18,65 – N.D.T.] à l’heure ? Il file environ à mille six cents miles [2.574,4 kilomètres – N.D.T.] à l’heure de nos jours. Vous n’entendez plus jamais la science se référer à ce monsieur. Il avait raison en son jour, mais on vit dans un autre jour. C’est vrai.

115.     Mais nous les prédicateurs… Oh! non ! «La guérison divine ? Eh bien, faites-moi voir ce que – ce que Saint Moody, Finney, Knox, Calvin, l’un d’eux a dit à ce sujet.» Ils avaient raison en leur temps. Mais nous continuons à avancer, nous allons de l’avant. Nous avons autre chose.

116.     Et là dans la parabole du semeur, Jésus a dit qu’un semeur est sorti pour semer des semences. Et des… L’ennemi est passé par-là et a semé de mauvaises herbes au milieu du blé. Il a dit : «Laissez-les croître ensemble.»

117.     Vous montrez toujours combien le monde devient méchant, mais vous manquez de voir combien l’Eglise devient puissante en même temps. Elle se lève ; elle se tient dans le champ. Oh! elle est constituée d’un petit troupeau, mais, frère, Dieu est avec Elle. Elle va triompher tout aussi sûr que Christ est ressuscité d’entre les morts. Amen. L’Eglise de Dieu ne faillira jamais. «Les portes de l’enfer ne prévaudront point contre Elle.» Il a montré qu’elles seraient contre Elle, mais qu’elles ne prévaudraient point. L’Eglise va triompher par le Sang de Jésus-Christ pour une marche triomphale. Je suis certain d’une chose, c’est que Dieu aura une Eglise sans tache, ni ride et irrépréhensible. Amen. Je suis très heureux à cause de cela.

118.     Eh bien, si je suis dans cette Eglise, amen… «Frère Branham, comment Y entre-t-on, par une lettre ?» Non. «Comment Y entre-t-on ?» Par la naissance, on Y naît.

119.     Le six avril prochain, ça fera quarante-cinq ans depuis que je suis dans la famille des Branhams. Ils ne m’ont jamais demandé de me joindre à leur famille. Je suis né un Branham. Je resterai toujours un Branham.

120.     Je suis né un chrétien en Jésus-Christ. Je serai un chrétien, parce que Dieu l’a ordonné ainsi par élection. Il nous a appelés par la grâce de Son propre Fils bien-aimé. Nous L’avons accepté et nous avons reçu la Vie Eternelle. Par une poignée de main ? Non. En devenant membre ? Par une lettre ? Par un seul Esprit nous sommes tous baptisés pour former un seul Corps, Jésus-Christ ; et là, nous devenons des concitoyens du Royaume.

121.     Aujourd’hui, pendant que je priais là-bas, je pensais au fait que celui-ci est le jour pour lequel nous aurons à répondre. Je n’aurai pas à répondre pour la génération qui a été avant moi ou la génération qui sera après moi. Mais au Jugement, je devrais me tenir avec cette génération-ci. Et j’ai dit : «Ecoutez, il y avait sur le panneau la photo d’une femme qui était en train de prendre de la bière ou quelque chose du genre, et on disait qu’elle était  sans souffle ou quelque chose de ce genre; moi, j’ai dit : ‘Oui, et même sans vie.’» Très bien. Voilà. J’ai dit : «Quelle disgrâce !»

122.     «Avec toute la prédication, ai-je dit, parfois il semble que…» J’en ai parlé à ma femme ; j’ai dit : «Parfois, il semble que cela ne fait aucun bien. Mais de toute façon, je dois être la voix d’avertissement sans tenir compte de ce que les gens en font. Je dois prêcher l’Evangile de toute façon et témoigner de la résurrection et de la puissance de Jésus-Christ.» Laissez-les abandonner cela, et tournez-leur le dos ; Dieu les jugera au Jugement pour cela. Je ne suis responsable que de prêcher, et les autres ministres aussi, qui prêchent l’Evangile.

123.     Eh bien, j’aime vraiment cela. Remarquez : Maintenant, allez de l’avant, et vous verrez la gloire de Dieu. Mais écoutez maintenant le verset 16, nous lisons ceci :

            Mais lève la verge…

124.     «La verge», c’était la verge du jugement. Eh bien, ce n’était pas la verge de Moïse. C’était la verge de Dieu. Si vous remarquez, Moïse, il a pris cette verge, il l’a soulevée comme ceci. Les mouches sont venues. Il l’a soulevée au-dessus des eaux ; et l’eau est devenue du sang. C’était la verge du jugement de Dieu. Et cette même verge… Saisissez cela. C’était avec cette même verge qu’il avait frappé le rocher ; et une fissure s’est faite sur le côté du rocher, et les eaux sont sorties du rocher.

125.     Eh bien, ce rocher était Christ, et c’était le jugement de Dieu (Le jour où vous en mangerez, ce jour-là même vous mourrez) qui a frappé Christ au Calvaire, et Il a payé cette mort amère et atroce. Personne n’a jamais pu décrire ce que c’était et personne ne saura jamais le faire. Là, Dieu a mis tout le jugement divin sur Lui et L’a frappé au côté, et de Son côté sont sortis l’eau, le sang et l’Esprit pour notre rédemption.

126.     Parfois les gens Le peignent revêtu d’une robe ou de quelque chose d’autre, sur la croix. Ce n’est pas ainsi. Ils ont fait de cet Homme tout ce qu’il y a de vulgaire et de sale qu’ils pouvaient; mais Il devait subir cela. Il était là, le plus élevé et le plus loyal du monde, qui ait jamais existé ou qui existera, et puis Il a été exposé nu à la croix : blessé, frappé, saignant, les crachats des moqueurs Lui coulant sur le visage, et on Lui a mis sur la tête une couronne d’épines par raillerie. Mais c’est à ce moment-là qu’Il a vaincu la mort, l’enfer, le péché, la maladie et la tombe, et qu’Il a payé le prix pour nous tous.

127.     Parfois… Il est dit souvent, : «C’est là qu’Il a ôté l’aiguillon de la mort.»

            C’est là que Paul a dit : «Ô mort, où est ton aiguillon ?»

128.     On dit que beaucoup d’insectes, les abeilles et autres, ils possèdent un aiguillon et cet aiguillon contient du poison. Mais une fois que l’insecte a piqué, il perd son aiguillon.

129.     La mort avait autrefois un aiguillon, mais Christ au Calvaire a ôté l’aiguillon de la mort. Alléluia! Oh! lorsque je pense à cela, là Il a arraché l’aiguillon de la mort pour vous et pour moi, tout l’aiguillon de la mort.

130.     Paul a dit, lorsqu’on s’apprêtait à lui trancher la tête dans la prison romaine, il a dit : «Ô mort, où est ton aiguillon ?» Il a pointé le Calvaire ; et c’est là que l’aiguillon de la mort avait été ôtée. «Ô tombe, où est ta victoire ?» Il a dit : «Mais grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ.» Amen. Très bien.

          …la verge (le jugement), étends-la ta… sur la – la mer, et fends-la ; et les enfants d’Israël entreront au milieu de la mer à sec.

          Et moi, Je vais endurcir le cœur des Egyptiens, pour qu’ils entrent après toi : et Pharaon et toute son armée, ses chars et ses cavaliers feront éclater ma gloire.

          Et les Egyptiens sauront que Je suis l’Eternel quand Pharaon, ses chars et ses cavaliers auront fait éclaté ma gloire. Et l’Ange de Dieu…

131.     Ecoutez. Resserrez votre harnais maintenant.

          Et l’Ange de Dieu, qui allait devant le camp d’Israël… (Il est toujours ici) L’Ange de Dieu, qui allait devant le camp d’Israël, partit et alla derrière eux ; et la Colonne de nuée qui les précédait, partit et se tint derrière eux : (ou, Il est parti d’ici là, et est allé se tenir là derrière, un médiateur en temps de détresse.)

132.     Lorsque les ennuis commencent à vous arriver, la maladie de toute part, des troubles, l’Ange de Dieu vient et se met entre vous et la maladie ; Il se tient là sur le chemin, vous invitant à accepter la Parole de Dieu.

133.     Dieu avait donné la promesse à Israël comme quoi ils devaient se rendre au pays. Il y avait probablement un million d’hommes qui venaient à leurs trousses pour les attraper et les tailler en pièces comme une troupe d’animaux. Mais l’Ange de l’Eternel, qui était là pour les conduire vers la Terre promise, s’est levé du milieu du camp et est allé se tenir entre eux et le danger. Alléluia.

134.     Il le fait toujours. Il frayera la voie. Oh! je L’aime vraiment pour cela, pas vous ? Il frayera maintenant même la voie pour chaque personne malade ici présente, qui est assise là. Il a déjà frayé la voie, et Il se tient entre vous et le problème.

135.     Et je sais qu’Il est ici juste en ce moment-même. Vous pouvez me traiter de fanatique si vous le voulez bien ; je ne suis pas responsable de ce que vous dites. Mais je suis responsable de ce que je dis devant Dieu. Mais Celui qui conduisait les enfants d’Israël, si j’ai fait un bon jugement de la chose, concernant cette Lumière que vous voyez ce soir ou que vous avez vue sur cette photo… Je pense qu’on en a affiché une ce soir. Ce même Ange de Dieu est dans ce bâtiment juste en ce moment pour faire exactement ce que Jésus avait fait en ce jour-là. Il est ici pour la confirmation. Exactement ce qu’Il avait fait à l’époque, Il est ici maintenant, et Il sera toujours le même Ange de Dieu, qui s’en va pour se tenir entre nous et la maladie, pour se tenir entre nous et la mort.

136.     Il n’est pas étonnant que David ait dit : «Oui, quand bien même je marcherais dans les vallées de l’ombre de la mort, je ne craindrai aucun mal, car Tu es avec moi.» Certainement.

137.     Il se tenait là, l’Ange de Dieu qui allait devant le camp d’Israël, et Il est parti et s’est tenu entre eux et l’ennemi.

138.     Et l’Ange de Dieu se tient ce soir entre chaque individu ici et l’ennemi. Et je sais de quoi je parle. Et je sais que pendant que je me tiens ici en ce moment sur cette estrade, devant ce petit groupe de gens ce soir, je sais que Dieu est descendu, Il est descendu de la Gloire et se tient dans ce bâtiment en ce moment. Si seulement vous osez sortir sur base de la Parole de Dieu, voyez s’Il ne va pas aussi avancer devant vous maintenant. Observez.

139.     Et cette Colonne de Feu est allée se tenir entre le camp et les Egyptiens. Cet Ange vient se tenir entre vous et votre maladie. Il se tient entre vous et vos péchés juste en ce moment. Pourquoi ? Nous sommes dans l’exode de l’église. L’Egypte a toujours été considérée comme étant le monde. Et lorsque Israël est sorti de… Rappelez-vous, ils étaient des membres d’église là-bas. Mais après que le sang et l’expiation avaient été offerts, ils sont devenus les circoncis de Dieu.

140.     Et la circoncision aujourd’hui, c’est le baptême du Saint-Esprit. «Tous, a dit Etienne, vous tous incirconcis de cœur et d’oreille, pourquoi vous opposez-vous toujours au Saint-Esprit ? Ce qu’ont fait vos pères, c’est ce que vous faites aussi.» Le Saint-Esprit a fait la circoncision dans le cœur, retranchant les choses du monde. Autrefois, c’était l’église de la sainteté à l’ancienne mode qui vivait cela, qui agissait comme cela et qui vivait comme cela. Mais aujourd’hui, elle est exactement comme le reste du monde. C’est une disgrâce. Nous avons laissé tomber les barrières.

141.     Autrefois, le vieux frère Spurgeon disait… C’était un vieux prédicateur méthodiste, un ami à moi, qui chantait un cantique :

Nous avons laissé tomber les barrières, nous avons laissé tomber les barrières,

Nous avons fait des compromis avec le péché.

Nous avons laissé tomber les barrières, les brebis sont sorties.

Comment les boucs sont-ils entrés ?

142.     Parce que vous avez laissé tomber les barrières. C’est cela. Vous avez laissé tomber le modèle de la vie chrétienne, parce que les séminaires ont produit quelques prédicateurs et les ont envoyés là pour faire des compromis avec la vérité. Mais le Saint-Esprit a toujours été là pour condamner le péché et Il se tient ce soir entre le croyant et les choses du monde. Amen.

...et se plaça entre le camp des Egyptiens et le camp d’Israël. Cette nuée était ténébreuse d’un côté, et de l’autre elle éclairait la nuit. Et les deux camps n’approchèrent pas l’un de l’autre pendant toute la nuit.

143.     Ecoutez, la même chose qui a été donnée à ce groupe de croyants, la Lumière, aveuglait les autres.

144.     Très bien, mettez votre gilet antichoc. Voici la chose venir. Ecoutez, tout homme qui rejette la Lumière devient aveugle et marche dans les ténèbres parce qu’il n’accepte pas la Lumière. Amen. Dieu envoie les ministres pour prêcher l’Evangile. Il envoie des signes et des prodiges parmi les hommes pour confirmer cela comme étant la vérité ; et les hommes rejettent cela. Il ne reste rien excepté les ténèbres pour vous. Marchez dans la Lumière pendant que la Lumière brille, mon frère. Recevez la Lumière. Christ est la Lumière. Il est venu pour vous apporter la Lumière. Mais ceux qui ont rejeté la Lumière avaient reçu les ténèbres. Et tout homme et toute femme ce soir, qui rejettent la Lumière, marchent dans les ténèbres, ne sachant pas où ils vont. Ils trébuchent vraiment, ils seront populaires parmi les gens, mais on se demande comment ils se tiennent dans la Présence de Dieu.

145.     Remarquez cela. Comme c’est merveilleux ici ! Il était la Lumière pour les uns et les ténèbres pour les autres. Alors les Israélites, après que Moïse avait prié, ils ont pu rester en paix. Maintenant, observez.

          Moïse étendit sa main sur la mer. Et l’Eternel refoula la mer par un vent d’orient, qui souffla avec impétuosité toute la nuit ; et Il mit la mer à sec, et les eaux se fendirent.

            Les enfants d’Israël entrèrent au milieu de la mer à sec…

146.     Si vous remarquez bien, pendant que les enfants d’Israël qui étaient sortis des ténèbres et qui avaient accepté la Lumière, lorsqu’ils ont eu des problèmes, la Lumière est passée derrière eux. Et ils se sont endormis pendant toute la nuit. Et pendant qu’eux dormaient, Dieu avait envoyé un vent qui a soufflé sur la mer et qui a ouvert une voie pour échapper.

147.     Alléluia à l’Agneau! Je suis très heureux d’avoir été rempli du Saint-Esprit ce soir. Pendant que nous sommes endormis, que nous nous réjouissons et que nous nous reposons dans la promesse de Dieu…

148.     Dieu leur a promis de leur frayer une voie pour échapper. Et pendant qu’eux étaient en repos sur cette promesse, Dieu était là devant eux, frayant une voie.

149.     Chaque homme et chaque femme ce soir, qui voudront bien accepter Jésus-Christ sur cette base, le Saint-Esprit, pendant que vous êtes endormi, pendant que vous êtes en repos sur Sa promesse… Peut-être que vous êtes infirme; peut-être que vous êtes aveugle ; peut-être que vous n’entendez pas; peut-être que vous ne voyez pas ; peut-être que vous êtes malade : un problème de cœur, le cancer ou autre chose; peut-être que vous êtes mourant. Acceptez la Lumière ce soir et reposez-vous là-dessus.

150.     Et le vent, qui est venu comme un vent impétueux au jour de la Pentecôte, descendra et passera par-là pour ouvrir une voie pour vous (Alléluia!), afin que vous traversiez cette vallée de la maladie, pour juste retourner dans la terre de la bonne santé une fois de plus. Vous traverserez d’un trait cette terre des religions indifférentes, froides, formalistes et enchaînées vers un cœur rempli du Saint-Esprit, de la joie, qui est heureux et qui se réjouit.

151.     Dieu manifeste Sa puissance ; et Il était en train de la manifester (Excusez-moi, je parle trop fort) ; Il montrait la rédemption par la puissance. Il a montré le sang jadis là sur une chose. Il a montré Sa puissance ici par Son Sang, par la rédemption, Il a montré Sa puissance pour échapper à la mort, par le Sang. Il a montré Sa puissance pour frayer un moyen d’échapper par la rédemption par la puissance.

152.     Et aujourd’hui, vous qui avez accepté (Amen), vous qui avez accepté le Sang de Jésus-Christ pour vous nettoyer du péché, la puissance du Saint-Esprit est ici pour vous conduire au baptême du Saint-Esprit. La puissance de Dieu est ici pour vous transformer afin que vous passiez de la maladie à la bonne santé. Dieu continue à avancer dans l’exode de Son Eglise ; l’Eglise est en plein épanouissement, là où Dieu rassemblera bientôt Son grain. C’est merveilleux de sortir des ténèbres pour entrer dans la merveilleuse Lumière. Combien nous aimons cela ! Oh ! j’aime vraiment cela. Ce que cela représente pour mon âme ce soir, mes amis, vous…

153.     Aujourd’hui, je parlais à un homme qui venait de me rencontrer quand j’étais à l’extérieur. Et il m’a dit : «J’ai essayé de parler aux gens.» Il a dit : «J’ai beaucoup changé, Billy, depuis que tu étais un enfant.» Il a dit : «Tu passais à mon lieu de travail me dire que je devais me mettre en ordre avec Dieu, que je devais être en ordre avec Dieu.» Et il a dit : «Et je me suis plutôt moqué de toi.» Mais il a dit : «Billy, à présent, les choses ont changé.» Il a dit : «Maintenant, je sais de quoi tu parles.» Je me suis dit : «Gloire à Dieu !»

154.     Il a dit : «Quand j’essaie d’en parler aux autres, a-t-il ajouté, ils changent de sujet et se mettent à parler d’un journal amusant ou d’autres choses.» Oh ! Il ne s’agit pas de moi. Ce type qui vient après, là au coin, il peut mourir. Il est le suivant. Peut-être que son numéro vient juste après, ne sachant pas à qui est attribué le numéro suivant. Cela peut être le vôtre ce soir, mon ami. Celui-ci peut être le temps où Dieu vous appelle.

155.     Ô Dieu! le Glorieux Saint-Esprit, qui se tient ici ce soir entre la vie et la mort, qui se tient ici ce soir entre la maladie et la bonne santé… Je sais de quoi je parle. C’est vrai. Juste en ce moment, le même Saint-Esprit que vous sentez maintenant, chaque personne qui est née de nouveau est tenue de sentir cet Esprit dans la salle. Vous n’y pouvez rien. Si vous avez la Vie en vous, vous savez qu’Il est là. Très bien.

156.     C’est comme un aimant, lorsqu’il… Lorsqu’un grand aimant s’approche d’un métal, celui-ci commence à bouger et à se déplacer. Pourquoi ? Plus l’aimant s’approche… C’est comme un grand aimant qui descendait ici autrefois, à Hammond, dans l’Indiana. J’étais en train d’observer les gens pendant qu’ils ramassaient des copeaux sur le plancher. On tirait un très grand levier et un très grand aimant descendait. Et on balayait tous les copeaux et on les ramenait au milieu du plancher. Et pendant que l’aimant passait, tous ces copeaux qui avaient été magnétisés par l’aimant, le fer, montaient directement et étaient emportés par l’aimant. Et on les démagnétisait, et on les laissait tomber dans la coupole, et on les faisait fondre une fois de plus. Il y avait beaucoup de copeaux d’aluminium qui étaient restés. J’ai demandé : «Pourquoi ces copeaux-là ne sont-ils pas partis ?»

157.     L’homme a répondu : «Ils n’ont pas été magnétisés par l’aimant.»

            J’ai dit : «Gloire à Dieu.» J’ai demandé : «Pourquoi ces copeaux-ci ne sont-ils pas descendus ici, ces morceaux de fer ?»

            L’homme m’a répondu : «Si vous remarquez bien, cela est cloué au sol.»

158.     Et il en est presque ainsi de beaucoup de gens ce soir, mes amis. Vous devenez membre d’église, mais vous n’êtes pas magnétisé par le baptême du Saint-Esprit. Alors vous laissez quelque chose vous enchaîner, un point de divergence vous enchaîne.

159.     Mais l’un de ces jours, il y aura un grand Aimant qui viendra de l’Est, appelé le Fils de Dieu, Il balayera ce pays. Et chaque personne qui est mort en Christ ressuscitera avec Lui pour aller dans l’au-delà. Et ces vieux corps seront transformés et seront rendus semblables à Lui, semblables à Son propre Corps glorieux, dans lequel nous vivrons éternellement, libérés de la maladie, libérés de la vieillesse, libérés de toute autre chose, et dans la gloire de Dieu, pour vivre dans Sa Présence bénie éternellement. Amen. Que cela ne vous effraie pas. Je me sens religieux juste en ce moment. Certainement. Très bien.

160.     «Car je sais que mon Rédempteur est vivant et que, dans les derniers jours, Il se tiendra sur cette terre ; même si les vers de ma peau détruisent ce corps, mais dans ma chair je verrai Dieu ; Il me sera favorable, mes yeux Le verront, non pas ceux d’un autre.»

161.     Ne pensez pas que je suis fou. Je ne le suis pas. Si je suis fou, laissez-moi tranquille. Je suis plus heureux comme ceci que je l’étais de l’autre façon. Oui, oui. Laissez-moi tout simplement rester comme ceci. Oh! certainement, fou vis-à-vis du monde, car ces choses que le monde traite de folie, Dieu les traite de bénies. Vous devez être insensé aux yeux de ce monde. Pourquoi ? Vous n’êtes pas de ce monde.

162.     Lorsque vous traversez cette ligne de séparation, vous devenez des concitoyens du Royaume de Dieu. Oh ! la la ! Comme c’est bon ! Eh bien, vous devenez une nouvelle créature (oh ! la la !), vous êtes changé de ceci, ce que vous êtes maintenant. Vous êtes maintenant des fils de Dieu. Maintenant, nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes, non pas que nous le serons dans le millénium. Nous le sommes maintenant, juste en ce moment nous sommes des fils de Dieu. Juste en ce moment nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ, non pas tout simplement dans l’église ; nous sommes en Jésus-Christ.

163.     Le Seigneur Jésus ressuscité est ici. Il est ici dans Sa puissance. Il est ici dans Sa puissance de rédemption. Il est ici pour l’exode. Il est ici pour faire entrer chaque membre d’église dans la communion avec Lui. Il est ici pour faire entrer chaque pécheur, peu importe combien vous êtes vil, Il est ici pour faire entrer la puissance de Sa résurrection dans votre vie et faire de vous une nouvelle créature.

164.     Il y a quelques années, toutes les religions du monde se sont réunies, je pense que c’était à Londres, en Angleterre, ou ailleurs. Je ne me rappelle plus exactement. Mais lorsque tous parlaient [en faveur] de différentes églises, les mahométans, les bouddhistes, et tout, un petit homme qui représentait l’église de la sainteté de l’Amérique, John Witt, je crois, c’était cela son nom… Ainsi donc, lorsqu’il s’est levé à son tour pour parler dans ce grand rassemblement où toutes les religions étaient représentées, il a raconté l’histoire de Lady Macchabée, combien cette femme était vile : on l’avait arrêtée dans l’Oklahoma avec un cigare à la bouche, conduisant un – ou transgressant la loi sur la limitation de vitesse, elle parcourait les rues dans un carrosse. Elle avait commis tant de meurtres et elle était tellement souillée et tellement méchante que lorsque les bourreaux sont allés pour mettre du goudron et des plumes sur elle, ceux-ci n’ont pas voulu mettre la main sur elle, ils craignaient  de se souiller.

165.     Et après avoir raconté cette histoire de façon dramatique au point que tous ceux qui écoutaient étaient assis au bout de leur siège, il a demandé : «Messieurs, vous qui appartenez aux religions de ce monde, votre religion possède-t-elle quelque chose qui pourrait purifier les mains de Lady Macchabée ?» Personne n’a dit mot. Il a sauté en l’air et a claqué ses talons, et il a claqué ses mains et a dit : «Le Sang de Jésus-Christ ne purifiera pas seulement ses mains, mais Il purifiera aussi son cœur.» Amen. C’est vrai.

166.     Le Sang de Jésus-Christ prendra la prostituée la plus vile de Louisville dans le Kentucky et fera d’elle une sainte, une dame. Il prendra le contrebandier d’alcool de cet endroit, là en-bas, et fera de lui un gentleman et un saint de Dieu.

167.     Mes amis, citoyens du Royaume, mes compatriotes du Kentucky, de l’Indiana et des environs, ce soir ne pensez-vous pas qu’il est temps pour vous de considérer ce Seigneur Jésus avant que la dernière occasion ne vous soit retirée?

168.     Lorsque vous voyez l’église entrer dans ce glorieux exode, quand vous voyez la Colonne de feu marcher au-devant de nous, se tenir là et accomplir des prodiges et des miracles… Il est ici ce soir dans toute Sa puissance de la rédemption. Il est ici pour guérir chaque pécheur et pour ramener chaque rétrograde. Il est ici pour guérir chaque personne malade.

169.     Il est le Plein Evangile. Et nous prêchons le Plein Evangile. Mangez tout l’Agneau. Rôtissez-Le avec le Saint-Esprit, et sachez qu’Il est bon à manger, car le Saint-Esprit nous a prédit qu’Il est vraiment bon. Goûtez et voyez combien le Seigneur est bon. Cela goûte comme du miel sur le rocher.

170.     Notre Seigneur Jésus est ici dans Son amour et dans Sa puissance, dans Ses glorieuses bénédictions rédemptrices. Oh ! Il se tient entre l’Eglise et le péché ce soir. Il se tient entre vous et le jugement, saignant, priant…

171.     Il n’y a pas longtemps, je suis entré quelque part ici dans l’Ohio, où j’étais allé juste pour donner mon jugement d’après mon opinion. Je mangeais à un petit restaurant des Dunkards [secte des baptistes germano-américains qui s’opposent au service militaire et  aux serments ; ils sont aussi appelés Eglise des frères. – N.D.T.]. Nous tenions une grande série de réunions. Je devais rester dans un petit motel à plusieurs kilomètres en dehors de la ville. Je mangeais dans un restaurant des Dunkards; ce sont des gens braves et aimables. Et le dimanche, ils avaient fermé et ils étaient allés à l’église. Il me fallait aller de l’autre côté dans un petit restaurant américain ordinaire, pas extraordinaire, pour y prendre mon dîner.

172.     Lorsque j’ai franchi la porte, à ma grande surprise, un policier de l’Etat se tenait là, entourant une fille de son bras et jouant à une machine à sou. Eh bien, jouer à l’argent est illégal dans l’Ohio, et là, l’homme de la loi était lui-même en train de violer la loi ; et peut-être c’est un homme de mon âge, peut-être marié, ayant une famille  quelque part; il avait entouré de ses bras une jeune dame qui était debout là.

173.     J’ai regardé au fond de l’autre côté du restaurant ; et là au fond, des garçons ivres étaient assis avec une jeune dame qui n’agissait pas du tout avec moralité. J’ai regardé et une vieille dame qui avait environ cinquante-huit ans ou soixante ans (elle était aussi âgée que ma mère), à la peau toute ridée, était assise là à ma droite sur un box où je m’apprêtais à m’asseoir, et elle portait de tous petits vêtements.

174.     Et oh, c’était horrible ! Et les ongles de ses orteils étaient peints en rouge-vif ; ses lèvres étaient peintes en rouge-vif ; c’était le spectacle le plus horrible que vous ayez jamais vu ; ses cheveux étaient coupés court avec des franges relevées comme cela, et elle était en train de boire.

175.     Deux hommes lui tenaient compagnie, ils étaient assis là, ils avaient un aspect horrible, des ivrognes, et l’un d’eux était étendu en travers de la plaque de la table. Et lorsqu’ils se sont excusés et qu’ils sont sortis pour se rendre aux toilettes…

176.     Je me tenais là. Je me suis dit : «Ô Dieu, comment peux-Tu supporter cela ? Comment peux-Tu regarder cela comme ça ? Alors que même dans mon cœur, et aussi mauvais que je le suis, pourtant… Je me demande cependant si ma petite Sara et ma petite Rébecca devront grandir dans une telle génération pour voir se passer de telles choses. Seigneur, pourquoi n’effaces-Tu pas ceci de la surface de la terre ?» Je me suis dit : «Pourquoi ne le fais-Tu pas, Seigneur ?»

177.     Je me suis assis là et j’ai commencé tout simplement à pleurer. J’ai eu une vision. J’ai vu comme si le monde était en train de tourner dans l’air ; et l’arc-en-ciel se tenait là autour de cette terre. Et quelqu’un qui était en train de me parler a dit : «C’est le Sang de Jésus-Christ qui entoure ce monde et qui empêche Dieu de le détruire. Si Dieu peut voir le péché : ‘Le jour où tu en mangeras, ce jour-là même tu mourras.’ Tout homme qui se trouve sous ce Sang là a un – a le libre arbitre de faire son choix. Mais si jamais vous mourez, et que votre âme monte au-delà de la grâce de ce Sang, vous êtes déjà jugé avant d’atteindre cet endroit-là. Il ne vous reste plus rien.»

178.     Alors je me suis vu moi-même. J’ai vu mon Seigneur Jésus se tenir là avec une couronne d’épines sur Sa tête, et les larmes mêlées au Sang coulaient de Lui, dégoulinant sur Sa barbe. Et j’ai vu mes péchés venir devant Lui. Et chaque fois qu’ils venaient devant Lui comme cela… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… au point qu’Il tremblait. Et les épines s’enfonçaient davantage dans Son front. Il reculait en titubant. Il disait : «Père, pardonne-lui ; il ne sait pas ce qu’il fait.» Quand je faisais encore quelque chose, Son Sang agissait alors comme le pare-chocs sur la voiture, protégeant la voiture, me protégeant de la colère de Dieu, sans mérite.

179.     Et je me suis doucement avancé vers Lui et je me suis agenouillé devant Lui. J’ai dit… J’ai baissé le regard, et devant moi, il y avait un vieux livre de péché qui était posé là, et mon nom y était écrit au-dessus.

            J’ai dit : «Seigneur, veux-Tu me pardonner ?»

180.     « Certainement », a-t-Il dit avec Ses yeux aimables ; Il a mis Sa main sur Son côté, Il en a pris du Sang, et Il a écrit sur ce livre : « Pardonné.» et Il a jeté cela dans la mer de l’oubli.

            Il a dit : «Maintenant…»

            J’ai dit : « Merci, Seigneur.»

181.     Il a dit : «Eh bien, Je te pardonne ; mais toi, tu es en train de la condamner.» Oh! Cela a changé le tableau pour moi.

182.     Je – je suis sorti de la vision. Je me suis avancé là et je me suis assis près d’elle, et j’ai commencé à lui parler. Et avant, dans sa vie, elle en avait vu de toutes les couleurs. Et je lui ai demandé : «N’avez-vous jamais été une chrétienne ?»

            Elle a répondu : «J’ai été élevée dans une maison chrétienne.»

            Et je lui ai demandé : «Qu’est-il arrivé ?»

183.     Elle m’a parlé d’un écart de conduite vis-à-vis de son mari, des enfants et tout. Je lui ai demandé : «Toutes… Pendant toutes ces années, vous n’avez jamais mené une vie paisible depuis que vous avez rencontré Dieu ?»

            Elle a répondu : «Monsieur, c’est la vérité.»

            J’ai dit : «Ne voulez-vous pas Le recevoir maintenant même ?»

            Elle a répondu : «Va-t-Il m’accepter ?»

184.     J’ai répondu : «Il est en train de frapper à votre porte en ce moment.» Et là sur ce box, sur le plancher, nous nous sommes agenouillés devant cette audience de gens ; la machine à sou s’est arrêtée, les jurons vulgaires ont cessé, et tout. Et j’ai levé mes mains et mes mains… et ces pauvres mains ridées, je l’ai conduite à Jésus-Christ. Puis elle est partie… C’est cela, mes amis. Ne… Regardez… Jésus…

185.     Peu m’importe ce que vous avez fait, combien vos péchés sont noirs, combien votre vie est souillée, ce soir, Dieu se tient là, Il est en train de frapper à la porte de votre cœur, pour vous pardonner peu importe qui vous êtes.

186.     Inclinons la tête pendant une minute. Sœur, veuillez passer à l’orgue là, s’il vous plaît.

187.     Père céleste, (oh !) je Te prie juste maintenant pendant que le Saint-Esprit est en train de se mouvoir dans le bâtiment… Laisse-nous chercher premièrement le Royaume, pour trouver faveur auprès de Toi, et alors je crois que Tu guériras les malades. Juste en ce moment, Père, pendant que nous ressentons qu’il y a un grand et profond intérêt et une conviction, et que les gens savent que Ton Eglise est dans un exode, et que nous nous dirigeons vers le jugement… Nous ne savons pas, mais le matin, quelqu’un peut venir au chevet, et nous serons déjà étendus là morts. D’ici demain soir, nous pourrons nous retrouver dans une morgue quelque part et nos âmes seront de l’autre côté dans l’éternité.

188.     Ô Dieu, celle-ci peut être la dernière heure. Celle-ci peut être la dernière occasion que les hommes recevront. Plusieurs, sans doute, sont assis ici, des hommes et des femmes, qui ont désiré, qui ont mené une vie aussi normale que possible, une bonne vie, mais qui ne sont jamais nés de nouveau, et qui ne savent pas ce que ça représente que d’être rempli du Saint-Esprit, une vie d’abandon total, avec toute la honte et la timidité enlevées d’eux et l’Esprit de Dieu qui les baptise et les introduit dans Sa grâce.

189.     Père bien-aimé, ne veux-Tu pas, ce soir, au Nom de Ton Fils bien-aimé Jésus, aller à chaque cœur et leur parler en ce moment même? Et puissent-ils, dans la simplicité de leur cœur, élever leurs pensées vers Toi, élever leur cœur et dire : «Me voici, Jésus. Prends-moi maintenant tel que je suis, façonne-moi et rends-moi différent. Fais de moi le genre d’homme que Tu veux que je sois. Pendant toute ma vie, Tu m’as parlé. Tu m’as parlé. Tu as cherché à me persuader à agir différemment. Tu as essayé de m’amener à faire cet abandon. Mais maintenant, le jour est fort avancé pour moi, Seigneur, mais je suis prêt à venir maintenant.» Accorde-le, Père. Pendant que la grâce appelle avant le jugement, et que l’Eglise est en plein exode, quittant l’Egypte, puissent-ils venir, qu’ils aillent avec le grand groupe de ceux qui sont appelés à sortir. Nous demandons cela en Son Nom.

190.     Et pendant que nous avons nos têtes inclinées, et nos yeux fermés, et que les chrétiens sont en train de prier, je vous demanderais de bien vouloir lever la main en disant : «Frère Branham, souvenez-vous de moi. Je – je crois que chaque parole que vous prononcez concernant Jésus-Christ est la vérité. Et nous avons tous besoin d’être remplis de l’Esprit, mais je ne le suis pas encore. J’ai été un membre d’église.» Ou peut-être que vous ne l’avez pas été du tout. Peut-être que vous avez été un pécheur, vous n’avez jamais accepté Christ, ou vous avez été un membre d’église, et vous n’êtes pas né de nouveau. Voudriez-vous lever la main, disant : «Souvenez-vous de moi, Frère Branham, dans votre prière. J’aimerais être en ordre» ?

191.     Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous, vous, vous, vous et vous, mon frère ; vous, ma sœur ; et vous, frère ; vous, vous, vous, frère, sœur. Je vois.

192.     Oh ! là à ma gauche, combien de personnes y a-t-il là ? Levez la main et dites : «Souvenez-vous de moi, Frère Branham; je veux naître de nouveau.»

193.     Eh bien, rappelez-vous, c’est le Saint-Esprit qui vous parle. Si je suis serviteur de Dieu, je sais, aussi sûr que je me tiens sur cette estrade, que c’est le Saint-Esprit qui parle aux cœurs ici.

            Mes amis, je peux être particulier pour vous, mais je ne suis pas un fanatique. Je sais bien de quoi je parle, si je connais votre maladie là-bas, et ce dont vous souffrez, et Dieu entend ma prière pour vous. Et juste ici dans ce bâtiment, il y a des gens assis ici qui ont été guéris du cancer, de la cécité, de la surdité, des infirmités et de beaucoup d’autres maladies. Regardez aux millions de gens à travers le monde. Qu’en est-il de vous maintenant ? Qu’en dites-vous maintenant ? S’Il entend ma prière pour cela, ne voudra-t-Il pas aussi écouter ma prière pour la maladie de votre âme ? S’Il me révèle où se situe votre maladie, ne me révèlera-t-Il pas donc où se trouve votre maladie aussi ?

194.     Combien y en a-t-il encore qui aimeraient lever la main et dire : «Frère Branham, souvenez-vous de moi. Je veux en ce moment-ci demander à Dieu d’être miséricordieux envers moi.» Que Dieu vous bénisse, vous, vous et vous encore. Oh ! la la ! A travers tout le bâtiment et partout…

195.     Pendant que vous avez vos têtes inclinées, pourriez-vous, vous qui avez levé la main, avoir juste un peu plus de grâce pour dire : «Seigneur, j’ai eu assez de grâce pour lever la main, donne-moi assez de grâce pour me lever pendant qu’il prie ? Si Tu venais pour moi avant le lever du jour, Seigneur, ceci est mon signe pour Toi montrant que je veux être en ordre. Je veux Te rencontrer un jour. Je serai à l’agonie et je vais me serrer contre un oreiller, étant à l’article de la mort. Le médecin quittera mon chevet ; rien ne pourra être fait. Alors, ô Dieu, aie pitié de mon âme. Pendant que le brouillard froid de la mort va remplir la chambre, puisse le vieux bateau de Sion venir m’emmener. Je vais me lever, Seigneur. Il faut beaucoup de grâce, mais quelque chose me pousse. Je me tiens debout.» Que Dieu vous bénisse, frère.

196.     Que quelqu’un d’autre se lève, disant : «Je me lève, Seigneur.» Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, frère, sœur. Restez tout simplement debout. Que tout celui qui veut qu’on se souvienne de lui dans cette prière pour le salut de son âme, se lève. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, ma sœur. Que Dieu vous bénisse, vous, sœur et frère.

197.     Que quelqu’un d’autre se lève maintenant et dise : «Me voici. Frère Branham, je ne me lève pas devant toi. Je me lève devant Dieu. Quelque Chose m’a dit de me lever, et je me lève.» Voulez-vous le faire ? Tenez-vous tout simplement debout. Acceptez Dieu comme ceci. Que Dieu vous bénisse, madame.

198.     Il y en a encore d’autres. Que Dieu vous bénisse, madame. C’est vrai. Cette pauvre mère qui tient son petit bébé, qui essaye de se lever et qui a les larmes aux yeux. Ne voulez-vous pas venir ? Lèvez-vous encore. Que Dieu vous bénisse, madame ; la dame âgée qui s’est levée là, elle est très âgée, et elle sait qu’elle doit rencontrer Dieu l’un de ces jours. Que Dieu vous bénisse. Qui voudra bien se lever après maintenant, disant : «Je veux me lever.» Restez tout simplement debout pour la prière.

199.     Quelqu’un d’autre ? Je sens comme si quelqu’un d’autre aimerait se lever. Peut-être que vous voulez tout simplement vous rapprocher un tout petit peu. Ne remettez plus cela à plus tard. Levez-vous tout simplement. Voudriez-vous le faire, vous qui aimeriez vous rapprocher de Dieu ? Que Dieu vous bénisse. C’est vrai. Quelqu’un voudrait-il… Que Dieu vous bénisse, madame. Oui, oui.

200.     Il y a au moins trois personnes encore, je suis en train de les regarder droit en face, ils devraient se tenir debout, parce que l’Ange de Dieu se tient là. Que Dieu vous bénisse, madame. C’est vrai. Maintenant, très bien, frère, qu’en pensez-vous ? Très bien. L’Ange du Seigneur se tient là, je le sais. Je vois cela, et je sais que quelqu’un devrait se lever juste en ce moment. J’attendrai juste une minute encore. Que Dieu… Vous savez qu’Il fait pression sur votre cœur. Il se tient là, mon ami. C’est Lui qui vous dit de vous lever. Ne voulez-vous pas le faire ? Tenez-vous simplement debout et acceptez-Le juste en ce moment. Très bien.

201.     Etes-vous sûr maintenant ? Si Dieu vous appelait ce soir dans cette réunion, [par] ce sermon, cette invitation va vous rencontrer là de l’autre côté lorsque vous allez mourir. Qu’en avez-vous fait ? Si vous n’êtes pas très sûr, tenez-vous debout maintenant pour qu’Il voie que vous voulez bien accepter de marcher dans la Lumière.

202.     Maintenant, notre Bienveillant Père céleste, Tes enfants bien-aimés que voici ont attendri leurs cœurs, la Parole est tombée dans leurs cœurs ce soir. «La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend de la Parole.» Et ils ont entendu. Et Toi, Tu as attendri leurs cœurs, beaucoup sont debout, des hommes et des femmes, des garçons et des filles ; ils Te confessent comme leur propre Sauveur et Conducteur bien-aimé.

203.     Et ce soir, que l’Ange de Dieu, qui est ici maintenant, (qu’Il) les guide dans la vie. Qu’ils soient guidés au Calvaire maintenant même dans leurs cœurs et qu’ils acceptent Jésus comme leur Sauveur. Et que le Saint-Esprit, par le Sang de Christ, descende dans leurs âmes et ôte toute indifférence, et qu’Il les remplisse du baptême du Saint-Esprit. Que ceci soit la soirée la plus glorieuse de leur vie. Nous savons que c’est le cas, car ce soir ils Te reçoivent. Accorde-le, Seigneur, juste en ce moment. Qu’ils rentrent à la maison à partir d’ici, ce soir, étant heureux, qu’ils se réjouissent et louent Dieu de tout leur cœur. Je demande cette bénédiction au Nom de Jésus-Christ. Maintenant, que le Seigneur vous bénisse pendant que vous êtes assis.

204.     Laissez-moi vous poser une question maintenant. Chacun de vous qui étiez debout et qui sait que quelque chose lui est arrivé pendant qu’il était debout, levez la main. Levez tout simplement la main, si vous savez que quelque chose vous est arrivé. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est vrai ? Absolument, mes amis. Absolument. Je me suis tenu debout, j’ai vu ici juste à l’instant le même Ange dont je parle circuler ici à travers ce bâtiment, le même Ange du Seigneur, la Colonne de Feu. Au cours des cinq ou dix dernières minutes, j’ai prêché sous cette inspiration-là. Je sens Cela, je vois cette Colonne de Feu circuler à travers ce bâtiment. Eh bien, vous pouvez penser que je suis en train de vous raconter des histoires, mais c’est la vérité.

205.     Maintenant, je ne pense même pas que je vais appeler une ligne de prière. Je pense que je vais me tenir juste ici, et je demande simplement à Dieu de confirmer par des signes et des prodiges que je vous ai dit la vérité. C’est vrai.

206.     Combien ici veulent être guéris, les malades ? Levez la main. Où que vous soyez, levez tout simplement la main et dites : «J’accepte cela.» Très bien.

207.     Je veux que vous regardiez, que vous viviez, et que vous croyiez. Quelqu’un dans cet auditoire, par ici, quelqu’un par ici, regardez et dites : «Seigneur Jésus…»

208.     Comme ceci… Je crois que la raison pour laquelle j’ai fait cet appel à l’autel, c’est parce qu’il nous faut d’abord trouver grâce à Ses yeux. Ceci est quelque chose de nouveau pour moi. Il me faut premièrement trouver grâce à Ses yeux. Alors si j’ai trouvé grâce et que j’ai rendu un service… Et vous, une douzaine ou deux douzaines d’âmes sont venues à Lui juste en ce moment-là. Certainement, certainement…

209.     Maintenant, chacun de vous qui êtes venus à Christ, cherchez donc une bonne église remplie du Saint-Esprit et rendez-vous là, et là cherchez Son baptême jusqu’à ce que vous l’ayez reçu ; allez tout simplement là, chaque jour, le jour et la nuit, continuez tout simplement à prier. Et lorsque vous cherchez…

210.     Eh bien, vous qui êtes malades, si je vous ai dit la vérité, Dieu témoignera que c’est la vérité. C’est vrai. La seule chose qui puisse faire cela… Et Dieu fera connaître cela, si vous priez tout simplement et que vous croyiez de tout votre cœur. Regardez et dites ceci…

211.     Lorsque l’Ange du Seigneur m’a rencontré là à Green’s Mill dans l’Indiana il y a huit ans de cela, après avoir été… Depuis mon enfance, Il m’a accompagné, Il m’a montré des visions ; lorsque je suis allé vers Lui, Il m’a dit : «Si tu es sincère, que tu amènes les gens à te croire, rien ne résistera à ta prière.»

212.     Eh bien, Il peut faire la même chose pour vous maintenant comme à cette époque-là. Il est ressuscité d’entre les morts. Et Il… Là, l’auditoire qui est là dehors devant Lui, Il sait ce qu’a chacun de vous, ce que vous avez fait, votre problème, tout. Croyez-vous cela ? Alors, croyez cela de tout votre cœur.

213.     Je remarque un jeune homme qui est assis là, il croit, il essaie de… Il a la foi. Croyez-vous que Dieu peut me permettre de connaître votre problème ? Le croyez-vous ? S’Il le fait, accepterez-vous votre guérison ? Vous souffrez du cœur. N’est-ce pas vrai ? Et si je vous disais donc que vous en êtes guéri, allez-vous croire cela ? Levez-vous juste un instant. Vous êtes tendu et vous avez un souffle au cœur. Cela vous a dérangé pendant un temps. Le seul moment… Lorsque vous vous couchez aussi, cela vous étouffe, et vous avez beaucoup de palpitations, des battements irréguliers. N’est-ce pas vrai ? En effet, cela provoque une indigestion qui part de votre estomac, ça monte à travers ces veines. N’est-ce pas vrai? Cela ne vous dérangera plus. Tenez-vous-en simplement à ce que vous avez juste en ce moment. Vous pouvez rentrer chez vous, et soyez guéri.

214.     Je ne suis pas en train de lire votre pensée. Vous m’êtes totalement inconnu. Vous êtes tout simplement un homme qui est assis là. Est-ce vrai ? Je ne vous ai jamais vu de ma vie, je n’ai jamais rien su à votre sujet. N’est-ce pas vrai ? Eh bien, l’Ange de Dieu est ici.

215.     Franchement, jeune homme, j’aimerais vous demander quelque chose, et voyez si cela est vrai ou pas. Il y a environ quelques instants, tout d’un coup quelque chose d’étrange vous a traversé lorsque j’ai commencé à parler de l’aiguillon qui est arraché de l’insecte qui pique. N’est-ce pas vrai ? Vous avez eu une sensation étrange. N’est-ce pas, un… ?… N’est-ce pas vrai ? Ne m’avez-vous pas regardé au même moment et mes yeux n’ont-ils pas rencontré les vôtres au même moment ? C’est à ce moment-là que vous avez été guéri de votre problème cardiaque, juste là. Amen. C’est exact. Il est ici.

216.     Je ne suis pas en train de lire vos pensées, mes amis. Je dis tout simplement la vérité, et Dieu confirme que c’est la vérité.

217.     Qu’en pensez-vous, vous qui êtes assis là à côté de cet homme ? Croyez-vous ? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu ? Croyez-vous que si Dieu… Vous qui êtes assis sur les sièges de devant, je vous parle beaucoup parce que vous êtes devant. Voyez, c’est là derrière, au fond et tout autour de moi. Mais croyez-vous que, si je peux contacter votre esprit, Dieu révèlera ce qu’est votre problème? Accepterez-vous votre guérison ? Vous êtes diabétique. Est-ce vrai ? Levez la main si c’est la vérité. Tenez-vous debout. Acceptez-vous votre guérison maintenant? Que le Seigneur Jésus-Christ vous guérisse complètement. Que Dieu vous bénisse.

218.     Ayez la foi. Y a-t-il ici quelqu’un qui croit ? Ayez la foi, de tout votre cœur.

219.     Je vois un jeune homme qui est assis là en complet bleu. La Colonne de Feu se tient là juste au-dessus de lui. Vous avez une maladie de la peau, n’est-ce pas, jeune homme ? N’est-ce pas vrai, mettez-vous debout. Oh! je vois; vous êtes avec cette délégation. Est-ce vrai ? Eh bien, voulez-vous rentrer chez vous guéri ? Levez la main, dites : «Seigneur Jésus, maintenant je crois que l’Ange de Dieu vous conduit, et je crois que je suis guéri.»

220.     Qu’en pensez-vous, monsieur qui êtes là à côté de lui, croyez-vous aussi ? Mettez-vous debout un instant pour que je puisse vous regarder. Croyez-vous de tout votre cœur que je suis serviteur de Dieu ? Voulez-vous être guéri de cette maladie de cœur ? C’est ce que vous aviez, n’est-ce pas ? Je dis bien : C’est effectivement ce que vous « aviez». Vous n’avez plus cela maintenant. Vous pouvez aussi rentrer chez vous.

221.     Vous qui venez après lui, qu’en pensez-vous, monsieur ?  Croyez-vous de tout votre cœur ? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu ? Mettez-vous debout. Croyez-vous de tout votre cœur maintenant ? Vous souffriez des nerfs. N’est-ce pas vrai ? Vous voyez ? Est-ce vrai ? Levez la main. Maintenant, vous pouvez rentrer à la maison, guéri. Jésus-Christ vous a guéri.

222.     Qu’en est-il de l’homme qui vient après, celui qui est assis dans cette rangée ? Croyez-vous de tout votre cœur ? Mettez-vous debout. Croyez-vous que je suis prophète et serviteur de Dieu ? Croyez-vous qu’Il peut me révéler votre problème pour que vous acceptiez votre guérison ? C’est dans votre gorge. Est-ce exact ? Rentrez chez vous et soyez guéri, au Nom de Jésus-Christ.

223.     S’il y a dans le bâtiment quelqu’un d’autre, qui voudrait être guéri, il peut se lever et recevoir sa guérison. Si vous m’avez cru comme étant un serviteur de Dieu, mettez-vous debout. Que Dieu vous bénisse. Problèmes gynécologiques, cancer, cela vous a quittée. Que Dieu soit béni. Que chacun de vous lève les mains vers Dieu.

224.     Notre Père Céleste, je condamne maintenant toute maladie dans ce bâtiment ; je chasse tout mauvais esprit, que le Saint-Esprit prenne le contrôle maintenant et que chaque personne soit guérie.

225.     Posez vos mains les uns sur les autres et dites : « Gloire à Dieu !», partout. Et réjouissez-vous et soyez heureux car Jésus-Christ, l’Agneau de Dieu, est ici pour guérir chacun de vous.

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