ELIE (ELISEE ET LA SUNAMITE)
1. Bonsoir, les amis. C'est un privilège d'être de nouveau dans ce Shriner Auditorium juste pour cette soirée de la veille de la clôture de cette merveilleuse campagne. Je crois que cette campagne se classe pratiquement parmi les - les meilleures que j'aie jamais tenues et vues. La première fois, bien sûr, c'était quand j'étais ici, lorsque nous étions restés très longtemps. Je ne pense pas que nous ayons eu une série de réunions meilleures que celle que nous avons tenue cette fois-ci. Ç'aura été une très belle série des réunions. Et nous en sommes très reconnaissants. Et nous prions Dieu de bénir richement chacun de vous.
2. Maintenant, demain soir, c'est notre soirée de clôture, nous devons nous dépêcher pour aller en Californie, au Angelus Temple. Et ensuite, samedi matin nous devrons être à l'Association des Hommes d'Affaires Chrétiens du Plein Evangile, c'est international, ce sera radiodiffusé et nous y prêcherons. Ainsi donc, nous serons au Angelus Temple jusqu'au jeudi de la semaine prochaine. Et puis, vendredi nous commencerons à la place de l'exposition du bétail, là où nous étions l'an dernier avec les Hommes d'Affaires du Plein Evangile du monde entier. Nous avons là-bas une belle et grande salle qui a, je pense, une capacité de onze mille, douze mille places, peut-être un peu plus. Et c'est une très belle salle, spacieuse et dotée d'une bonne acoustique, et c'est un très bel endroit. Et nous sommes… Vous êtes cordialement invité à venir à tout moment pour nous visiter, si vous êtes dans cette région-là. Si vous avez des bien-aimés là-bas, nous serons très, très heureux que vous leur écriviez et leur demandiez, s'ils sont malades, de venir ; nous ferons de notre mieux pour les assister au Nom du Seigneur.
3. Aujourd'hui ça a été un jour un peu meilleur pour moi. Je me suis reposé un peu plus. Dimanche c'était très dur. Et aujourd'hui, ou plutôt hier, j'en ai ressenti un peu les effets. Vous savez, je ne suis plus un jeune homme. Après que vous avez dépassé vingt ans, bien sûr, vous savez, je viens de dépasser de peu vingt ans, et ainsi - ainsi vous ressentez vraiment cela après.
Eh bien, vous savez, il y a quelque temps, frère Bosworth… Combien connaissent Fred Bosworth, frère F. F. Bosworth? Presque tout le monde le connaît, je pense. C'est un merveilleux vieux vétéran de l'Evangile. Et nous étions là dans son Etat, en Floride, et il y avait… Nous venions de prendre notre dîner, et nous nous sommes rendus à la plage ; et je me tenais là, à quarante ans, avec mes épaules tombantes, et lui était là, ayant près de quatre-vingts ans, et ses épaules étaient redressées comme cela. Je l'ai regardé et je me suis dit : "Oh! la la!"
J'ai dit : "Frère Bosworth, ai-je dit, à quel moment étiez-vous en pleine forme?"
"Oh ! a-t-il dit, c'est juste maintenant. " Il a dit : "Vous comprenez tout simplement mal, Frère Branham." Il a dit : "Je ne suis qu'un gosse vivant dans une vieille maison ", dit-il.
4. Je me suis donc dit : "Ô Dieu, aide-moi à me sentir comme cela, si jamais je vivais jusqu'à cet âge-là. Il garde sa nouvelle… renouvelle constamment sa jeunesse dans son esprit. Quand il se lève le matin, il doit dire… il se tient là et ne cesse de réciter les Ecritures. Il dit, et cela va de soi, que sa tension artérielle baisse, un vieil homme comme cela.
Et il avait fait un voyage avec moi en Afrique, nous sommes revenus, il est reparti seul, à peine revenu du Japon. Il y a environ six mois, il m'a appelé disant : "Billy, dit-il, n'aimeriez-vous pas aller au Japon avec moi?"
J'ai dit : "Eh bien, quand est-ce que vous y allez, l'été prochain?"
Il a dit : "Maintenant même." Pour lui, il n'y avait pas à attendre; il est parti pour le Japon, puis il est revenu. Il était avec moi à Dallas, ou plutôt pas à Dallas, mais à Lubbock, il y a quelques semaines. Il est en meilleure forme à quatre-vingts ans environ. Si donc lui peut se sentir ainsi, nous devrions avoir honte de nous, n'est-ce pas? C'est vrai. De nous voir tels que - tels que nous sommes, jeunes comme nous le sommes, et puis un vieil homme de quatre-vingts ans qui continue de prêcher l'Evangile !
Eh bien, croyez-moi, un de ces jours, il posera son pied de l'autre côté. Les choses auront changé à ce moment-là. Pensez-y. Pendant que vous êtes ici ce soir, chrétien ou pécheur, sans distinction, je voudrais vous donner matière à réflexion pendant que je vous parle juste un instant.
5. Par exemple, demain ce sera le temps de faire nos valises. Nous devons partir. Peut-être ce soir. Nous devons quitter ce monde, aller ailleurs. Et vous savez qu'il peut bien en être aussi ainsi.
Aujourd'hui, j'ai entendu un de mes associés dire (cela ne concerne pas seulement cette ville-ci, mais c'est toutes les villes partout en Amérique) l'un de mes associés a dit qu'il a vu une voiture s'ouvrir et une adolescente s'est mise à en descendre, et des boîtes de bière, de whisky et tout sont tombées de la voiture. Cette enfant les a tout simplement laissées là et est allée se procurer quelque chose et est revenue. " Il a dit : "Si Dieu n'envoie pas aussitôt le jugement sur l'Amérique, Il devra ressusciter Sodome et Gomorrhe et leur présenter des excuses (C'est juste), ressusciter Sodome et Gomorrhe et leur présenter des excuses pour les avoir englouties (C'est juste), s'Il n'envoie pas aussitôt le jugement."
Nous y sommes, les amis, c'est tout. Certainement. Mais l'Eglise aussi en est arrivée là : l'enlèvement. Amen. C'est le côté merveilleux, l'enlèvement, qui vient pour l'Eglise. Ce sera alors un jour triste pour l'incrédule. Mais ce sera le moment le plus merveilleux que nous ayons jamais connu ou auquel nous ayons jamais pensé, pour ceux qui seront alors prêts, quand Jésus viendra.
6. Qu'en serait-il si vous alliez dans cet autre monde que vous ne connaissez pas, que vous vous en alliez tout simplement? Vous êtes âgé et tremblant, vous avez servi le Seigneur des années durant, et le lendemain vous allez monter à bord du navire qui va vous emporter quand vous devenez vieux. Et vous allez vers le navire qui est venu ici au quai. Et vous allez là et vous montez dans ce navire, et la vieille sirène retentit. Et le navire se met à traverser la mer et aussitôt que vous aurez traversé, il aura fait des voyages aller retour pendant des milliers d'années.
Et quand vous poserez votre pied sur cette nouvelle terre (quelque part on venait de découvrir une nouvelle terre) et dès que vous poserez votre pied là-bas, alors chacun de ces cheveux gris redeviendra noir. Et toutes ces rides et tous ces corps usés redeviendront un jeune homme et une jeune femme, pour vivre éternellement. Aussitôt que votre pied foulera cette terre, c'est ce qui arrivera. Eh bien, c'est très exactement ce qui arrive. C'est juste.
Quand le vieux bateau de Sion viendra chercher la victime, il l'emportera. Moi-même, je m'attends un de ces matins à entendre ce sifflet retentir dans ma chambre, quand les brumes se rassembleront, cette vie mortelle sera finie. J'espère que tout sera alors en ordre. Je crois qu'il en sera ainsi. Il m'a fait la promesse. Je crois de tout mon cœur que je traverserai de l'autre côté. Eh bien, pas seulement moi, mais tous ceux qui auront aimé Son avènement seront là.
Ce soir, gardez donc vos pensées là-dessus, mon ami pécheur. Et qu'en serait-il si c'était vous, et que vous alliez au loin, quelque part vers une chute où vous descendrez en tourbillonnant dans un gouffre sombre pour une éternité sans fin, dans les ténèbres de minuit, avec des cris, des lamentations, des gémissements… Ça pourrait être ce soir, vous pouvez décider de changer de bateau. J'espère que vous le ferez. Tous ceux qui n'ont pas Christ vont dans cette direction-là. Tous ceux qui ont Christ vont dans cette direction-ci. Toute la différence, c'est si oui ou non vous croyez en Lui et L'acceptez. Faites donc votre choix ce soir, et prions maintenant alors que nous inclinons la tête.
7. Notre Père céleste, nous sommes rassemblés ici ce soir dans ce grand auditorium, où Tu nous as rencontrés soirée après soirée, et où Tu as béni nos âmes affamées, en nous donnant le Pain de Vie, la nourriture pour nos âmes, Seigneur, le salut pour ceux qui étaient dans le besoin, la guérison pour ceux qui étaient nécessiteux, et Tu as pourvu à ces choses que nous avons demandées. Et nous Te sommes reconnaissants de Te voir dans Ta puissance de résurrection. Et je Te prie, Père, d'être avec nous ce soir, de nous assister et de nous bénir. Ce soir bénis les enfants errants, Père, ceux qui sont errants, ne sachant pas dans quelle direction aller ni que faire, qui sont instables, qui ne sont pas encore ancrés en Christ. Je prie, ce soir, pour qu'ils jettent l'ancre là au-delà du Rocher des âges. Alors que ce navire tourbillonne et est ballotté, nos petites barques sur l'océan de la vie, nous savons que notre ancre tient bon à l'intérieur du voile. Ô Dieu, accorde-le. Entre dans la Parole, nous Te prions, Père, et révèle-Toi à chaque personne ici présente à travers l'enseignement de la Parole. Que le Saint-Esprit prenne la Parole de Dieu et L'apporte à chaque cœur, exactement selon notre besoin. Que la gloire du Seigneur soit sur les gens à la fin du service, car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.
Juste pour quelques instants, car d'habitude nous essayons de commencer la ligne de prière vers vingt et une heures, si possible. Et maintenant juste… C'est quelque chose de nouveau pour moi, d'apporter un enseignement aux gens. Et puis je pense qu'en fait c'est ma première réunion, depuis des années, où j'essaie d'apporter un enseignement aux gens avant de tenir la ligne de prière.
Et cela a tout simplement fait beaucoup de bien à mon cœur, de voir les mains se lever pour accepter le Seigneur Jésus. Et je… Quand je rentre chez moi le soir et que je sors un peu des visions, parfois je m'étends simplement là, après que tout le monde est allé se coucher, et je pleure tout simplement de joie, en pensant : "Ce soir, Dieu était content ; en effet, je sais qu'Il l'était. Des pécheurs sont revenus à la maison." C'est vrai. Puis Il nous honore de Ses bénédictions, Il déverse Son Esprit, guérit les malades, Il donne la foi. Que pourrions-nous désirer de plus?
8. Maintenant, dans II Rois, ce soir… Hier soir nous avons parlé d'Elie le prophète. Et ce soir… Hier soir, nous l'avons suivi jusqu'au moment où Elie, ou plutôt Josaphat et les autres sont venus à sa rencontre. Ce soir, nous le voyons dans une autre scène, dans II Rois chapitre 4. Et juste comme texte, je désire lire le verset 24 de II Rois chapitre 4.
Et elle… Puis elle fit seller l'ânesse, et dit à son serviteur : Mène et pars; ne m'arrête pas en route sans que je te le dise.
Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de ce verset des Ecritures.
9. Eh bien, ce soir notre scène s'ouvre sur une famille en détresse. Et ce soir ce serait peut-être une bonne chose de reconnaître qu'il y a peut-être assises ici ce soir plusieurs familles en détresse.
Et si seulement nous pouvons trouver quelque chose ici dans l'Ancien Testament, qui était un modèle de ce que faisaient les croyants en ce temps-là, quand ils étaient en détresse, eh bien, peut-être, nous pourrions les prendre comme modèles et trouver alors notre position et ce qu'il faut faire.
Du temps d'Elie le prophète… Après… hier soir, nous avons vu qu'il était le type de l'Eglise. Après Elie qui, étant le type de Christ, fut enlevé, et la double [portion] vint sur le prophète… Nous voyons qu'il est allé jusque dans une contrée des Gentils, à Sunem. Et il s'y trouvait une noble femme. Et elle n'était pas une Israélite; elle était une Sunamite.
Et alors qu'Elie traversait cette contrée, elle a remarqué qu'il était un saint homme, un homme de Dieu. Quelle leçon nous pouvons tirer de cela ? C'est que nous… dans notre marche et nos relations avec les gens, que les gens reconnaissent que nous sommes des enfants du Roi. Que Dieu nous aide à être ainsi.
Je crois que les Ecritures disent que nous sommes des épîtres écrites et lues de tous les hommes. Et Elisée se conduisait là dans cette contrée des Gentils d'une manière telle que cette Sunamite s'est rendu compte qu'il était vraiment un serviteur de Dieu. Son caractère, sa conduite, et les choses que Dieu faisait par lui, cela fit qu'elle reconnaisse en lui un vrai serviteur de l'Eternel. Elle voulut donc lui témoigner de la bienveillance. Elle l'invitait donc à venir dîner ou que sais-je encore, elle lui donnait une petite offrande pour l'aider à payer quelque chose. Elle l'a traité avec bienveillance, pas parce qu'elle voulait une quelconque récompense.
10. Les gens qui donnent aux autres tout en s'attendant à une récompense pour cela, eh bien, ils n'ont pas de récompense. Ce sont ceux qui donnent gratuitement du fond du cœur, en disant : "Je donne cela gratuitement, ce n'est pas parce que je m'attends à quoi que ce soit en retour."
Jésus a dit : "Les Gentils ou plutôt les incroyants agissent de même. Ils donnent quand ils s'attendent à recevoir quelque chose en retour." Mais nous, les enfants de Dieu, nous donnons sans rien attendre en retour. Nous donnons tout simplement la chose.
Et maintenant, la femme n'avait pas de… Elle a prouvé cela peu après. Elle ne visait pas l'une ou l'autre chose en donnant à cet homme, les - les bénédictions qu'elle représentait pour lui en lui donnant à manger, de l'argent, tout ce qu'elle lui donnait ; elle avait une petite offrande pour lui quand il passait, elle donnait cela, seulement par respect pour Dieu. Elle disait : "Je sais que c'est un saint homme. Je sais que c'est un homme de Dieu. Et je… Il n'est pas membre de ma dénomination. Il n'est pas membre de mon église, peut-être, et il se peut que mon pasteur ne soit pas d'accord avec lui; mais cependant, je crois que c'est un saint homme de Dieu. Je crois qu'il est un serviteur de Dieu. Je vais donc simplement lui donner cette petite offrande." Elle le faisait donc par bienveillance.
11. Après quelque temps, elle commença à réaliser que cet homme avait quelque chose de très bien. Elle parla donc à son mari, elle dit : "Tu sais, cet homme qui passe par ici est un - un homme de Dieu. Il est un serviteur de Dieu. Et maintenant, nous avons un peu d'argent. Nous lui en donnons un tout petit peu quand il est de passage. Montrons-lui de la bienveillance. Construisons juste une petite pièce ici quelque part. Quand il passe, il a l'air très fatigué et épuisé, quand il se rend à la montagne pour prier et jeûner. Des fois, il monte là-bas pour y passer des journées entières. Préparons un petit endroit ici sur notre… Nous avons assez de terrain, alors construisons-lui une petite pièce ici, plaçons-y une petite table, un cierge et un petit siège, afin que lorsqu'il passe, eh bien, il puisse venir s'y rafraîchir, s'étendre sur le lit et se reposer un peu." C'est ça - c'est ça se soucier beaucoup de quelqu'un.
Ainsi ils… Elle lui a préparé cet endroit. Et le mari, étant peut-être un homme juste et bon, a dit : "Eh bien, ce serait une bonne chose."
Ils s'y sont donc mis et ont construit une petite pièce pour l'offrir au prophète quand il passerait.
Et un jour, il arriva que, quand Elie arriva là, il - il s'arrêta. Et il vit ce petit endroit. Bien sûr, il fut très heureux de voir que ces gens l'aimaient.
Eh bien, tout le monde désire être aimé. Je vous dis la vérité. J'aime être aimé. Je désire que Dieu m'aime et je désire que les gens m'aiment. C'est l'exacte vérité. Et si Dieu m'aime, alors le peuple m'aimera. Et si j'aime Son peuple, alors Il m'aimera de ce fait. Dieu préférerait que je vous aime, vous plutôt que Lui. Savez-vous cela? Je préférerais que vous aimiez mon fils qui est là derrière, peu importe ce que vous dites à mon sujet. Je désire que vous aimiez mes enfants. Et tout père est de cet avis. Le Père divin pense donc la même chose, car Il a dit : "Tout ce que vous avez fait à l'un de ces plus petits, à Mes petits, c'est à Moi que vous l'avez fait." Si donc vous désirez aimer Dieu, commencez tout simplement à aimer tous Ses enfants. Et Dieu vous récompensera. Si seulement vous aimez Ses enfants, cela montre que l'amour de Dieu est en vous.
12. Jésus a dit : "A ceci tous connaîtront que vous êtes - vous êtes des enfants de Dieu et que vous êtes passés de la mort à la Vie, si vous avez de l'amour les uns pour les autres." Alors vous le saurez. Non pas parce que vous pouvez avoir une grande église, ce qui est très bien. Non pas parce que beaucoup de bons ministres passent chez vous, ce - ce qui est aussi une bonne chose, mais parce que vous avez de l'amour les uns pour les autres.
Eh bien, quand ce réveil sera terminé et que vous retournerez tous à vos églises respectives… Nous ne sommes pas ici pour faire des prosélytes et vous dire : "Quittez tous telle église et allez à telle autre église." Restez dans votre église. Essayez d'amener des pécheurs dans cette église.
Quand vous retournerez donc à votre église respective, rentrez avec un cœur plein d'amour. Et cette - cette femme que vous n'arrivez simplement pas à supporter, ou cet homme, aimez-le ou aimez-la de toute façon. Ils sauront alors que vous avez tiré quelque chose de ces réunions. C'est juste. Si vous ne faites pas cela, alors vous - vous - vous n'avez encore rien gagné. En effet, vous devez avoir de l'amour les uns pour les autres. Alors les gens… Le - le monde extérieur saura que vous êtes passés de la mort à la vie, quand vous avez de l'amour les uns pour les autres.
Jésus a dit : "Vous êtes le sel de la terre. Et si le sel perd sa saveur (c'est-à-dire sa vertu), il ne sert plus qu'à être jeté dehors, et foulé aux pieds par les hommes." Il y a environ une année, je tenais votre convention pour les gens du Four Square [Mouvement religieux fondamentaliste originaire du sud de la Californie ayant vu le jour après la première guerre mondiale - N.D.T.] en Californie, et je suis passé par le désert Salt Lake, et c'est ce que j'ai vu alors, le sel qui a perdu sa saveur, il ne sert qu'à être foulé aux pieds.
13. Mais le sel a une saveur quand il entre en contact. Vous - vous avez un morceau de viande ici, un fût de sel ici, vous devez les mettre ensemble pour… mettre le sel sur la viande ou la viande dans le sel, pour conserver cette viande. Il en est donc ainsi. On doit mettre le croyant avec l'incroyant. C'est juste. Vous devez les amener à l'église, auprès d'un groupe de gens salés. Et, vous savez, le sel - le sel donne aussi soif, n'est-ce pas? Et quand vous mangez du sel, vous avez soif. Et Dieu veut que Son Eglise soit si salée que le monde entier aura soif d'être comme elle (C'est juste. Vous voyez?), qu'il sera simplement assoiffé, simplement assoiffé. Ils pensent tout simplement, en se disant : "Oh! si seulement je pouvais vivre comme cette femme. Si… Elle est la personne la plus douce, la plus paisible, elle n'est jamais de mauvaise humeur, jamais difficile. Elle est toujours aimable, essayant de faire quelque chose pour aider quelqu'un d'autre. Eh bien, elle ferait l'honneur de l'église de n'importe qui."
Certainement, cet homme était… C'est un voisin; c'est un gentleman; il est si plein de l'amour de Dieu. Vous pouvez le voir à toutes les heures de la nuit à genoux quelque part en prière. Il est toujours disposé à aller faire quelque chose; il parle toujours du Seigneur Jésus et de Sa miséricorde. Voilà comment rendre le monde salé. Agissez comme cela.
Eh bien, Elie était ce genre de personne. Ainsi donc, un jour, il était de passage, il était fatigué et épuisé dans son voyage, je peux le voir dire : "Eh bien, regarde ici", un petit écriteau suspendu à la porte disait : "Ceci est la propriété de l'homme de Dieu qui passe par ici." Je peux l'entendre dire à son serviteur : "Eh bien, Guéhazi, regarde ici, ces Sunamites nous ont donné cette petite propriété-ci, afin que nous puissions - nous puissions y rester un moment." Il ouvre la porte car cela lui appartient, il entre, il s'étend sur le lit, il s'allonge. Il dit : "Tu sais, elle a été si aimable envers nous, Guéhazi. Elle nous a servis pour chaque besoin que nous avons eu. Va lui parler." Normalement c'est lui qui aurait dû y aller. Mais il dit : "Va lui parler pour voir si elle désire que je parle au roi ou au chef de l'armée. Ils m'aiment tous. Nous sommes de bons amis. Peut-être qu'elle désire une faveur ou quelque chose comme cela." Je pense qu'Elie ne faisait que la tester.
14. Il - il est donc allé, il lui a demandé et elle a dit : "Non, j'habite au milieu de mon peuple, et je ne voulais aucune récompense pour ceci part ailleurs. J'ai fait cela parce que moi-même j'aime le Seigneur, et je désire faire quelque chose pour Lui. Aussi la seule manière dont je pouvais le faire, j'ai vu que c'est un véritable serviteur de Dieu et un homme de Dieu, j'ai donc fait cela dans ce but-là. Je ne désire aucune récompense."
Et il est donc rentré et Elisée a dit… ils en ont parlé un petit peu. Et j'imagine que Guéhazi a dit : "Elisée, je vais te dire une chose, a-t-il dit, elle n'a pas d'enfant et son mari est vieux."
"Oui", dit Elisée. J'imagine qu'il se retourna sur ce petit lit qu'il avait là-dedans, il s'étendit là quelques minutes et réfléchit. Au bout d'un moment, une vision apparut devant lui et il vit cette femme portant un enfant, il dit : "Va la chercher et amène-la ici."
Il alla donc chercher la femme et l'amena à la porte, et quand elle s'avança à la porte, il dit : "AINSI DIT LE SEIGNEUR, quand ton terme sera là, l'année prochaine, à cette même époque, tu embrasseras un fils."
15. Elle dit : "Non, eh bien, dit-elle, je - je… mon mari est vieux", mais malgré tout Elie avait dit cela, c'était au Nom du Seigneur ; cela réglait donc la question. Quand Dieu dit quelque chose, c'est terminé sur-le-champ. C'est tout. Il est inutile de se poser encore des questions, Dieu l'a dit.
Si Dieu a dit que Christ retournerait sur la terre, je le crois. C'est juste. Si Dieu a dit que des temps comme cela viendraient, et que les hommes seraient emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, je le crois. C'est juste. Tout ce que Dieu dit, je le crois.
Il a dit : "Il était blessé pour nos péchés." Je le crois. Il a dit : "C'est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris", je le crois. Cela règle donc la question. Vous voyez? Si vous le croyez, alors acceptez-le, agissez en conséquence et c'est… Les résultats viendront.
Peu importe combien ça traîne, continuez à le croire. Abraham tarda, ou plutôt attendit vingt-cinq ans pour que la promesse s'accomplisse. Mais il était tout le temps fortifié, donnant gloire à Dieu : Le bébé allait naître de toute façon. Il a fait des préparatifs pour cela, tout, il s'est préparé pour l'évènement. Dès que Dieu lui a dit que cela arriverait, il a tout préparé. Et alors, il a attendu vingt-cinq ans, il a continué à attendre jusqu'à ce que la chose est finalement arrivée, il était tout le temps fortifié. Quand Dieu parle, cela doit finalement s'accomplir.
16. Elisée lui dit donc qu'elle allait avoir un enfant. Et très exactement au moment où Elisée avait dit que cela arriverait, la chose arriva. En effet, il était un prophète. Il était sous l'onction du - du Saint-Esprit, et cela devait arriver.
Le petit garçon atteignit donc environ douze ans, et Elisée passait par-là et s'étendait sur le lit, puis continuait jusqu'au mont Carmel ; il avait là-haut une caverne où il allait prier. Et, un jour, le petit garçon était dans le champ avec son père, et les moissonneurs. A une heure avancée de la journée, vers onze heures, quelque chose comme ça… Et je crois que le petit garçon eut une insolation, car il se mit à crier : "Oh, ma tête, ma tête!" Et à cette heure-là du jour, dehors dans le champ, peut-être un petit garçon à la tête découverte courait ça et là, un garçon d'environ douze ans, derrière les moissonneurs, tout au fond, c'était le désert comme ici. Peut-être que le petit attrapa une insolation. Son père ordonna alors à un jeune homme de le prendre et de le ramener à la maison. Et il resta assis sur les genoux de sa mère jusqu'à midi, et puis il mourut.
Eh bien, apparemment, tout était terminé. La mère prit alors le petit… Maintenant, remarquez, la première chose qu'elle fit avec ce petit garçon, elle le fit directement sortir de sa propre maison et l'amena dans la maison d'Elie, et l'étendit sur le lit, là où le prophète s'était étendu. Je crois que c'était vraiment très sage.
17. Elle l'éloigna, l'enferma loin de l'incrédulité et le plaça dans la chambre où avait été le prophète, puis elle ferma la porte pour ne permettre à personne d'y entrer tripoter sur lui, elle le mit plutôt dans la chambre et ferma la porte. Et son mari arriva, bien sûr, il y avait beaucoup de cris, de pleurs et d'histoires. Et elle dit : "Tout ira bien. Maintenant, sellez-moi une ânesse, je vais vers l'homme de Dieu."
Eh bien, elle n'avait pas perdu tout espoir, quelque chose dans son cœur se mit à lui dire que quelque chose pouvait être fait. Toutes les herbes, et peut-être, un médecin était passé là et avait fait tout ce qu'il pouvait. Rien n'avait pu être fait, et elle avait épuisé tous les remèdes qu'elle connaissait. Et rien ne put être fait. Le petit mourut.
Or, elle s'est dit… Ou peut-être, les autres se sont peut-être dit cela, que tout espoir était perdu. Mais elle savait qu'il y avait toujours un Dieu qui vivait et régnait. Oh! la la! Si seulement nous pouvions saisir cela.
Eh bien, quelque chose au fond de son cœur commença à battre. "Je voudrais trouver l'homme de Dieu. Je voudrais aller encore à l'église." D'habitude, c'est ce qui vient dans le cœur d'une personne, quand des ennuis frappent sa maison. "J'aimerais revoir l'homme de Dieu."
18. Et son mari dit : "Eh bien, il n'est pas passé par ici. Il monte à la nouvelle lune et lors de l'adoration du sabbat. Il monte à la montagne, mais ce n'est ni la nouvelle lune ni le sabbat. Il ne s'y trouve donc pas."
Elle a dit : "Tout va bien."
Pourquoi? Comment pouvait-elle se baser sur une telle idée? Parce que quelque chose ici, au fond de son cœur, lui disait : "Va vers l'homme de Dieu." Voyez-vous cela?
Eh bien, elle savait qu'il y avait un Dieu qui gouvernait l'univers. Elle savait que le Dieu qui a fait le soleil pour briller, fait pousser le blé, les arbres, apportait la vie. Et elle savait que ce Dieu avait un représentant ici sur terre. Et ce représentant, c'était - c'était le prophète. Et elle savait que si elle pouvait parvenir auprès du prophète, non pas qu'elle… Je ne pense pas qu'elle avait à l'esprit l'idée que le fils ressusciterait. Mais elle pensait que si elle arrivait auprès du prophète qu'elle pourrait comprendre pourquoi Dieu avait pris son enfant.
19. Et maintenant, les gens ne comprennent tout simplement pas ce que Dieu peut faire au travers de Son serviteur. La raison pour laquelle aujourd'hui les gens ne peuvent pas voir beaucoup de choses s'accomplir, c'est parce qu'ils ont perdu la foi dans les serviteurs de Dieu. C'est juste. En partie, c'est la faute du serviteur. Il a essayé de vous parler d'un Dieu d'autrefois, d'il y a des années, mais Dieu est toujours Dieu ici sur terre, Il utilise Ses serviteurs comme Il l'a toujours fait. Il ne faillit pas; Il est le même Dieu. Dans tous les âges, dans chaque âge, Il a eu quelqu'un sur qui mettre la main. Et nous devons nous attendre à ce que Dieu fasse quelque chose au travers de Ses serviteurs. Amen.
" Oh, a-t-elle dit, tout ira bien. Qu'on ne touche à rien. " J'aime ça. Quelque chose s'était établi au fond de son cœur, disant que si elle arrivait auprès d'Elisée, elle découvrirait exactement la cause de la mort de l'enfant, car elle savait qu'il était serviteur de Dieu.
On sella donc l'ânesse. Et j'aime cet ordre qu'elle donna au serviteur. Elle dit : "Pars; ne stoppe pas ni ne m'arrête, ni quoi que ce soit, sans que je te le dise."
20. Voici ce que je pense : L'Eglise devrait avoir un tel ordre. Partez; ne vous arrêtez pas; continuez simplement à avancer. Quand ce réveil-ci sera terminé, commencez un autre quelque part. N'attendez pas; n'attendez pas là; continuez à avancer pour Dieu. Continuez simplement à avancer car les gens se meurent. Chaque jour, quelque part, peut-être plus de cent mille personnes meurent chaque jour dans le monde. Je crois que c'est cent vingt-cinq mille personnes qui meurent chaque jour dans le monde. Et environ cent mille parmi ces personnes meurent sans connaître Christ. Nous n'avons pas le temps à perdre. Nous devons partir et ne pas nous arrêter du tout.
21. Pas ce réveil-ci… Vous passez de bons moments et voyez des âmes être sauvées, continuez simplement à avancer, ne vous arrêtez pas du tout. Et les prédicateurs, n'attendez pas qu'Oral Roberts vienne ou William Branham ou - ou quelqu'un d'autre. Pratiquez la guérison divine dans votre église. Allons de l'avant, les gens se meurent. Amenons-les à l'Homme de Dieu qui est Christ. N'attendez pas un événement spécial, partez maintenant. Vous êtes serviteur de Dieu, tout autant que quiconque d'autre. Vous êtes appelé, vous méthodiste, baptiste, presbytérien. Si vous avez reçu une commission de la part de Dieu, les ordres généraux disent : "Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Imposez les mains aux malades, et les malades seront guéris. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru." Si vous avez reçu une commission de la part de Dieu, vous êtes ordonné par Dieu à faire ces choses. Amen.
Qui? Vous dites : "Oh! Jésus peut les faire."
Il a dit : "Vous pouvez les faire. En Mon Nom, Je ne… Ils…" Amen. Vous avez mis la charrue avant les bœufs. Vous voyez? Très bien.
"En Mon Nom, ils chasseront les démons. Ils imposeront les mains aux malades." Est-ce juste? "Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris." Voilà la commission. Prenons-la et partons. Aujourd'hui, nous négligeons trop ces choses.
22. On a un petit réveil parmi les gens, et puis on devient calme, le diable souffle sa brise sur nous, et on prend un vieux magazine True Story quelque part dans la maison au lieu de prendre la Bible. Il y a ce soir dans cette ville beaucoup de chrétiens qui peuvent tout vous dire au sujet d'Hollywood, mais qui n'en savent pas davantage au sujet de Dieu, et ils se disent chrétiens. C'est une honte. Amen.
Quand c'est la soirée de la réunion de prière, vous restez à la maison pour regarder la télévision, au lieu d'aller à la réunion de prière. N'est-ce pas vrai? Certainement. Tout, on a le temps pour lire les journaux, le temps pour faire ceci, le temps pour vos fêtes et tout, mais pas de temps pour Dieu. Ce qu'il nous faut aujourd'hui, c'est un bon réveil à l'ancienne mode à la saint Paul et du retour du Saint-Esprit de la Bible dans l'Eglise, des signes, des prodiges et des miracles. On a le temps pour tout, sauf pour la chose juste.
C'est la raison pour laquelle le monde est dans cette condition aujourd'hui. On n'a pas le temps de s'occuper des enfants, on les laisse courir les rues.
Vous femmes, vous vous dites de véritables mères, et la moitié du temps, vous ne savez même pas où se trouvent vos enfants. Ce n'est pas seulement chez les méthodistes et les presbytériens, c'est aussi chez les pentecôtistes. C'est juste. Vous savez que c'est la vérité. Vous parlez de la délinquance juvénile, il s'agit essentiellement de la délinquance des parents. Ce dont les parents ont besoin aujourd'hui, c'est de faire sortir ces vieilles boites de bière de ce réfrigérateur là-bas, c'est d'ôter les cartes de la table, et de placer la Bible juste là, de L'ouvrir et d'appeler les enfants autour d'Elle pour une réunion de prière. Voilà de quoi nous avons besoin aujourd'hui. C'est juste.
23. Et certains d'entre vous là dans mon Etat, le Kentucky, on a de vieux petits dictons qui parlent de l'analphabétisme du Kentucky, de l'ignorance et de la stupidité des gens.
Un ministre m'a dit qu'il ne voulait pas se rendre au Kentucky, parce que les gens y sont trop stupides, ceux qui y vivent. Laissez-moi vous dire quelque chose : Certaines de ces vieilles mamans aux cheveux gris, qui sont là-bas, peuvent vous enseigner quelque chose. C'est juste.
Vous laissez votre fille courir pratiquement toute la nuit avec de sales renégats fumeurs de cigarette et buveurs de whisky, et revenir le matin à moitié vêtue, et tout comme cela, et vous vous dites chrétien et ne lui dites rien! Que cela se produise là au Kentucky, et l'une de ces vieilles mamans arrachera un de ces hickorys [arbre de l'Amérique du Nord au bois très résistant - N.D.T.] là-bas, et la fille ne sera plus en mesure de bouger pendant six mois. Certainement.
Ce dont nous avons besoin aujourd'hui, c'est de véritables vieilles mamans américaines d'autrefois, qui croient qu'il faut leur donner une petite raclée de temps à autres. C'est tout à fait juste. Vous savez que c'est juste. Amen.
24. L'église a complètement laissé tomber les barrières, tous chantent : "On a laissé tomber les barrières; nous avons fait des compromissions avec le péché. Nous avons laissé tomber les barrières, les brebis sont sorties, mais comment les boucs sont-ils entrés?" Vous avez simplement laissé tomber les barrières, voilà le problème. Vous avez laissé tomber les normes du christianisme. Amen.
Il est possible que le diable se soit retiré de la mode, mais il ne s'est pas encore retiré des affaires. Il est toujours aux affaires. Nous allons garder cela pour les prédicateurs. Je suis venu ici pour prêcher la guérison divine. Très bien.
Mais c'est bon pour vous. Amen. Cela va vous redresser. C'est du pain de maïs à l'ancienne mode, avec des doliques et un café fort pour le déjeuner, mais cela vous tiendra bon au corps pour une bonne journée de travail. Certainement. Très bien.
Remarquez, bien sûr que oui. Dans le jour, à l'heure et au temps où nous vivons, l'Eglise devrait avancer ; au lieu de cela, elle recule. C'est juste. Vous ne pouvez pas aller… Qui n'avance pas recule. Dieu ne veut pas que Son Eglise recule ou reste immobile; Il veut que nous avancions et que nous ne nous arrêtions pas du tout. Le Saint-Esprit ne dit pas : "Arrêtez-vous là, attendez quelques années."
Il a dit : "Avancez tout le temps, constamment. Continuez votre chemin."
Où allait-elle? Chez l'homme de Dieu, gravissant continuellement la montagne. J'avais l'habitude de chanter un petit cantique :
Amène-moi plus haut sur la montagne,
Accorde-moi de communier avec Toi.
(Vous souvenez-vous de ce vieux cantique?)
Cela va nous éclairer jusqu'à la fontaine et au Sang qui me purifie.
25. Là-haut sur le flanc de la montagne, elle a dit à ce serviteur : "Ne laisse même pas cette ânesse reprendre son souffle. Ne la laisse pas s'arrêter." Voilà comment y aller. Mettez cela sur l'église; continuons à avancer. Le problème en est que vous chargez lourdement l'église.
Il n'y a pas longtemps, j'ai entendu un vieil homme de couleur qui prêchait sur les mages qui venaient pour voir Jésus. Et il - il a évidemment bien illustré cela. Il a dit que les… "Ils se sont mis à charger les vieux chameaux, vous savez, a-t-il dit. Bien vite, a-t-il dit, deux d'entre eux se sont déchaînés." Et il a dit : "Alors cet homme s'est mis à charger le chameau, il l'a tellement surchargé que le pauvre animal ne pouvait plus bouger." Et il en a été ainsi de l'église. Nous y amenons toutes sortes de petites associations et toutes sortes de petits ceci et cela, et de petits divertissements et tout, et nous ôtons la vraie valeur de la réunion de prière. La chambre haute est transformée en chambre de souper. C'est juste. C'est bon pour vous. Ils peuvent se procurer un vieux coq coriace et le faire bouillir, puis vendre le plat à environ un dollar, pour payer le prédicateur. Si vous pouviez accepter le plan de Dieu, et si tous payaient la dîme et faisaient ce que le Seigneur vous a ordonné de faire, vous seriez de loin mieux et transformerez cette chambre en une chambre de prière la nuit. Amen.
26. Oh! la la! Avançons. Si nous n'avons prêché à l'église que la justification, maintenant amenons les gens un peu plus loin que ça. Allons un peu plus haut. Si nous arrivons là et que Dieu commence à remplir du Saint-Esprit, alors allons vers la guérison divine et recherchons cela.
Eh bien, le Saint-Esprit est simplement une énorme réserve d'un appartement. Les gens qui sont devenus chrétiens ne savent pas ce qu'ils possèdent. Pourriez-vous m'imaginer acheter une maison sans d'abord l'explorer entièrement? Pourriez-vous m'imaginer possédant un endroit comme une grande arcade que quelqu'un m'aurait donnée, une très vaste endroit où on a simplement tout partout. Le tout m'appartient. Eh bien, c'est comme cela quand vous venez à Christ, tout vous appartient. Toutes les bénédictions rédemptrices pour lesquelles Christ est mort sont vôtres. Chaque croyant possède chaque bénédiction rédemptrice (Amen!), cela est donné au croyant.
Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former cette grande Arcade : Jésus-Christ. Oh! la la! Sur cette étagère-ci, c'est la justification par la foi; ici, c'est la sanctification au travers du Sang. Ici, c'est la joie; ici c'est la paix; là, c'est la patience, la bénignité et la bonté. Oh ! Oh! la la! tout. Certaines choses peuvent être suspendues un peu haut, je n'arrive pas à les atteindre, mais il y a une échelle là dans le coin. Montons, regardons cela, et voyons de quoi cela a l'air. Si vous n'arrivez pas à atteindre la guérison divine, prenez l'échelle de Dieu. Montez et voyez tout ce qu'il en est; tout vous appartient. C'est juste. C'est ainsi que l'Eglise devrait avancer, monter la route.
27. La femme a donc dit : "Eh bien, avance. Ne t'arrête pas du tout, car nous devons maintenant arriver là-haut; nous devons nous hâter."
Eh bien, le serviteur de Dieu se trouvait là dans son petit bureau, où que ce fût, là dans les montagnes. Et il a regardé et il a vu venir la Sunamite. Il a dit : "Guéhazi, dit-il, voici venir cette Sunamite; je me demande ce qui ne va pas." Eh bien, Dieu ne dit pas tout à Ses prophètes. Il leur dit juste ce qu'Il veut qu'ils sachent. Ce qu'ils ne… Il ne veut pas qu'ils sachent, Il le garde pour Lui-même.
Mais voilà venir cette Sunamite et ce petit serviteur frappant l'ânesse dans son empressement. Il dit : "Je me demande pourquoi cet empressement."
Il dit : "Va à sa rencontre." Et il dit : "Demande-lui si elle se porte bien, si son mari se porte bien et si l'enfant se porte bien."
Ainsi il cria, disant : "Te portes-tu bien? Ton mari se porte-t-il bien? L'enfant se porte-t-il bien?"
Ecoutez. Voici ce que j'aime dans cette leçon. Elle a dit : "Tout va bien." Amen. L'enfant était un cadavre, mais : "Tout va bien." Qu'était-ce? Tout était donc pris en compte. Elle avait la situation sous contrôle. Le désir de son cœur, son cœur lui disait d'aller auprès de ce prophète. Et elle était là en plein dans la présence du prophète. Si donc Dieu avait pris l'enfant, c'était Sa volonté, tout irait bien. Tout va bien. Mon mari va très bien. Je vais très bien. Et l'enfant va très bien."
28. Elle accourut immédiatement vers Elisée et tomba à ses pieds, peut-être qu'elle s'est mise à donner des baisers à ses mains ou quelque chose comme ça. Guéhazi s'est dit : "Il n'est pas correct qu'elle se comporte ainsi devant mon maître." Alors il la releva en la secouant. Et il la repoussa loin de lui. "Tiens, tu ne peux pas faire ça. Tu ne peux pas t'approcher de mon maître comme ça."
Elisée dit : "Laisse-la. Car son cœur est dans le chagrin et Dieu me l'a caché. Je ne sais pas ce qu'est son problème, mais son cœur est dans le chagrin."
Alors, elle se releva. Elle se mit à lui révéler ce qui était arrivé, disant ce qui s'était produit, à savoir que son enfant était mort. Et elle dit : "Ne t'avais-je pas dit de ne pas me mentir? Maintenant, mon enfant est mort. Je l'ai étendu dans ta chambre. Les voisins sont tous là. On s'apprête à embaumer son corps. Et je suis venue à toi."
Maintenant, suivez. Elisée a dit : "Prends ce bâton, Guéhazi, et pars, et si quelqu'un te parle, ne lui réponds même pas. Amène ceci directement là où est l'enfant et pose cela sur l'enfant. Ou si quelqu'un te parle, ne réponds pas. Ne t'arrête pas pour une quelconque histoire du monde."
29. Voilà le problème que nous avons aujourd'hui. Quand nous recevons un message de Dieu, au lieu d'aller directement et de faire ce que Dieu nous demande, nous nous arrêtons pour une petite histoire du monde. Il faut qu'on ait ceci, quelques soupers à la crème glacée, et tous ces autres genres de choses, on a introduit des histoires du monde dans l'église. Nous devrions apporter le message de Dieu aux morts, à ceux qui sont morts dans le péché et les offenses. Amen.
Remarquez. Maintenant, pourquoi Elisée a-t-il envoyé ce bâton? Vous êtes-vous déjà arrêté pour y réfléchir? C'est parce qu'Elisée savait que les vêtements qu'il portait étaient bénis; Il savait que Dieu vivait dans son cœur. Il savait que les vêtements qu'il portait étaient bénis; il savait que tout ce qu'il touchait était béni. Lui-même le savait, aussi sa foi reposait-elle là-dessus. Ainsi il…?… le bâton dessus. Je pense que c'est de là que Paul a tiré la pratique de prendre des mouchoirs et des linges qui avaient touché son corps pour les appliquer sur les malades et les affligés.
Ainsi il… Mais la Sunamite… Eh bien, cela aurait très bien marché; cela aurait été bien, si la Sunamite avait cru cela. Mais elle ne savait pas si Dieu était dans ce bâton ou pas, elle savait que Dieu était dans l'homme. Ainsi, elle a dit : "L'Eternel est vivant et ton âme ne meurt jamais, je ne te quitterai point; je suis maintenant entre tes mains. Je vais rester juste ici jusqu'à ce que je comprenne." Vous savez, j'aime ça, cette détermination, s'en tenir à la chose.
Voilà le problème qu'ont les gens aujourd'hui, ils lisent là où il est dit que Dieu est le Guérisseur, puis ils regardent tout autour et disent : "Eh bien, madame Dupont n'a pas compris cela." Et vous… puis vous abandonnez. Frère, tenez-vous-en à cela. Amen. Si Dieu l'a dit, Dieu est tenu de prendre soin de Sa Parole, pas de la vôtre, de la Parole de Dieu. Tenez-vous-en à Elle.
Elle a dit : "Je ne te quitterai point."
30. Et Elisée ceignit donc ses reins, et le voilà partir sans une vision, sans savoir ce qu'il fallait faire. Et ils sont partis. Guéhazi les devança. Il les précéda, il entra dans la chambre et posa le bâton sur l'enfant, et attendit. La vie ne revint point. L'enfant était toujours mort. Guéhazi se tourna puis observa un moment, l'enfant était toujours mort. Il prit donc le bâton et retourna à toute vitesse, et il rencontra Elisée et la Sunamite qui venaient.
Et alors il dit : "J'ai posé le bâton sur l'enfant, et il n'y avait point de vie, point de souffle; il n'a pas ouvert les yeux; il est toujours mort."
Vous voyez donc, la femme n'avait pas foi dans le bâton; elle avait foi dans le prophète. Eh bien, cela dépend de là où repose votre foi. Certaines personnes disent : "Il faut que l'on vous impose les mains."
L'autre dit, le Romain a dit : "Prononce simplement la Parole, et mon fils vivra."
Et pourtant, une femme ne voulut pas qu'Il lui imposât les mains; elle toucha Son vêtement. Et dans la leçon d'il y a quelques soirées, le petit Jaïrus, eh bien, lui a dit : "Viens et impose les mains à ma fille." Cela dépend de là où repose votre foi. Elisée avait donc raison.
31. Maintenant, je crois qu'il était simplement en train de sonder. Mais il savait que Dieu bénissait tout ce qu'il touchait. Vous comprenez cela? Il croyait que Dieu bénissait cela. Il a donc dit : "Dieu a béni ceci. Et si tu poses cela sur l'enfant, je crois que Dieu va le rétablir."
Maintenant, peu importe sa foi, si la femme n'avait pas la même foi, alors ça ne marcherait pas. Voyez-vous ce que je veux dire? Il faut votre foi et la foi de votre pasteur ensemble. Vous aussi vous devez avoir la même foi. Et si vous croyez la même chose que ce que l'homme de Dieu vous a dit, alors quelque chose doit arriver. L'homme de Dieu croyait donc qu'il ne serait pas obligé d'aller là; qu'il enverrait tout simplement le bâton. Mais la femme a dit : "Non, non, non. Je ne te quitterai point. Je vais rester juste ici jusqu'à ce que je comprenne."
Ainsi donc Guéhazi a dit : "Il n'y a point de souffle dans l'enfant. Il est toujours mort."
Ils sont donc partis, ils sont entrés dans la cour, et alors ils ont vu la foule, tout le monde tout autour, en train de se lamenter et de crier. Quel endroit pour la foi! Elisée se tenait là, sans vision, ne sachant quoi faire, tout ce qu'il pouvait faire c'était regarder tout autour. Le père était là, en train de crier, tous les voisins étaient là, et tout le monde faisant des histoires. Eh bien, il se rendit dans sa vieille petite chambre et la femme avait étendu l'enfant sur le lit, il fit donc sortir tout le monde, tira la porte et resta seul. Il est allé dans un coin, s'est agenouillé et s'est mis à prier. Quand il eut fini de prier, il se releva, se mit à faire les cent pas, marchant de long en large, faisant des va et viens, parcourant le plancher jusqu'à ce que l'Esprit de Dieu vînt sur lui. Quand l'Esprit de Dieu vint sur lui, sans doute qu'il vit une vision. Il avança et étendit sur l'enfant, mettant son nez sur son nez, sans prier; juste le nez sur son nez, les lèvres sur ses lèvres, les yeux sur ses yeux, les mains sur ses mains, et l'enfant éternua sept fois et revint à la vie. Qu'était-ce? Ce n'était pas ce prédicateur. C'était Christ dans ce prophète qui ramena l'enfant à la vie. Alléluia!
Oh! la la! Quand il se tint là cette fois-là, il dit : "Guéhazi, appelle cette Sunamite." Amen. La femme vint à la porte. Alors toutes les bonnes choses qu'elle avait faites, elle ne se doutait pas, quand elle faisait faire ce lit-là pour Elisée (et elle avait fait son lit de ses propres mains) qu'un jour son enfant mort y serait étendu et que le corps de ce prophète, par Christ, ramènerait cet enfant à la vie. Vous ne savez pas ce qui se passe quand vous essayez de faire quelque chose les uns pour les autres. Essayez de vous entraider les uns les autres. C'est juste. C'est comme le pain jeté sur l'eau, cela vous retournera un jour.
32. Son attitude envers Elisée lui donna la victoire. Si elle était allée vers Elisée en disant : "Eh bien, regarde ici, espèce d'hypocrite. Après tout, mon pasteur avait raison." Vous voyez, si elle y était allée avec ce genre d'attitude, elle n'aurait jamais rien obtenu de lui. Mais son attitude envers l'homme de Dieu a produit exactement ce qu'elle a obtenu, sa victoire, car elle croyait. C'est la seule manière d'y arriver. Si vous croyez que Jésus-Christ est une histoire mythique, une histoire de père Noël qu'on raconte aux enfants, ou quelque chose comme ça, vous n'obtiendrez jamais rien, jusqu'à ce que vous croirez vraiment dans votre cœur qu'Il est le Fils de Dieu, qu'Il est mort, est ressuscité, est monté dans les hauteurs et qu'Il est vivant juste ici parmi nous ce soir, et qui fera tout ce qu'Il a promis dans la Bible qu'Il ferait. Quand vous en arrivez là, quelque chose va se produire.
Elle prit alors l'enfant et se prosterna devant lui, et elle reconnut qu'il était un serviteur de Dieu, et elle s'inclina et sortit, sortit le cœur plein d'amour. Toute la grande crise… Que serait-il arrivé si elle s'était tenue tout simplement tranquille et avait dit : "Eh bien, tout espoir est perdu. Le docteur vient de partir et il a dit qu'il n'y a plus rien à faire. Et maintenant mon enfant est mort, je pense donc que c'est tout ce qui pouvait être fait." Si elle avait dit : "C'est désespéré," cette histoire n'aurait jamais été racontée. Si la foi n'était pas venue dans son cœur, cela aurait été ainsi. Mais Dieu dans Sa miséricorde plaça quelque chose dans le cœur de cette mère, qui fit qu'elle soit sûre que quelque chose pouvait être fait. Il se peut que vous soyez dans le même cas ce soir dans votre famille. Peut-être que tout espoir que vous aviez eu, que vous aviez eu de vous rétablir, les médecins vous ont découragé. L'homme a fait tout ce qu'il pouvait et a dit : "Cela dépasse la médecine. On ne peut plus rien faire." Mais si quelque chose peut se produire ici au fond de ce cœur, quelque chose qui vous dit : "Si, quelque chose peut être fait. Si, quelque chose peut être fait." Alors accrochez-vous à cela.
33. Paul Rader, un ami, un prédicateur baptiste (il est mort il y a quelques années ici en Californie) était un homme merveilleux, un missionnaire, et un grand croyant de la guérison. Une fois, il a raconté une petite histoire, il a dit qu'il se trouvait loin en Amérique du Sud, quelque part dans un voyage missionnaire, lui et son épouse. Et il contracta une sorte de fièvre, la fièvre jaune. Je crois qu'il s'agissait de la fièvre bilieuse hémoglobinurique. Et cela vous tue juste en quelques heures. Et il était dans un coin reculé, à des kilomètres et des kilomètres dans les jungles avec les indigènes, il était allé là au fond à bord d'une petite embarcation.
Et il a dit que ce soir-là, après le souper qu'ils avaient pris, il alla dans sa chambre. Il devenait de plus en plus malade. Et il parla à sa tendre épouse et lui dit : "Chérie, si tu veux bien t'agenouiller ici et te mettre à prier pour moi, dit-il, je crois que… c'est comme si je suis… il fait sombre dans la chambre."
Elle s'est donc agenouillée, elle a levé les mains et a dit : "Chéri, veux-tu que j'aille chercher un médecin?"
Il dit : "Non, ne va pas chercher le médecin; ça prendrait trop de temps." Il a dit : "C'est difficile à expliquer, il commence à faire nuit comme ceci, dit-il, tu ne pourrais pas amener le médecin maintenant." Il a dit : "Prie tout simplement pour moi, chérie, et garde les mains sur moi." Et il faisait de plus en plus sombre dans la chambre, tandis que sa vie commençait à s'éteindre, et au bout d'un moment il faisait complètement noir.
Il dit qu'il fit un songe dans lequel il était de retour dans l'Oregon. C'était chez lui, là où il abattait les arbres. Et c'était un homme très fort. Et il dit qu'il… Son patron lui parlait une fois. Dans le songe il lui disait : "Gravis la montagne, Paul, et coupe-moi un rondin de telle taille et amène-le."
Il a dit : "D'accord, patron."
34. Il gravit le flanc de la colline en courant, dit-il, ayant encore la souplesse de la jeunesse dans ses jambes, dans son songe pendant qu'il était inconscient. Et il dit qu'il abattit l'arbre très facilement. Il dit qu'il pouvait sentir la hache, tandis qu'elle s'enfonçait dans le tendre sapin de l'Oregon. Et l'arbre tomba; il le tailla comme cela, enfonça sa hache dans l'arbre pour essayer de le soulever.
Oh! il dit que sa force l'avait quitté. Il dit qu'il fit tout son possible pour le soulever. Il dit : "Eh bien, ma force s'en est complètement allée." Peut-être que c'est là que vous en êtes ce soir, votre force s'en est complètement allée. L'espoir est parti, tout est parti. Il dit qu'il peina. Et il dit : "Eh bien, je devrais être en mesure de soulever ceci. Je devrais être en mesure de ramasser ceci. Eh bien, j'en ai soulevé de pareils auparavant."
Il se peut que vous ayez été guéri auparavant, il se peut que vous soyez passé par des lignes de prière et que vous ayez été guéri, mais cette fois-ci vous - vous n'arrivez simplement pas à réunir assez de foi pour soulever cela d'une manière ou d'une autre.
Il dit qu'il était complètement épuisé. Il s'est donc simplement assis, il a baissé la tête et s'est mis à pleurer. Il a dit : "Je suis si faible que je ne peux pas bouger; et je n'ai plus de force et je ne sais que faire. "
Il dit qu'il entendit la voix de son - la voix de son patron, si aimable et si gentille. Il dit que le patron dit : "Paul, qu'y a-t-il?"
Il dit : "Patron, je - je - je - je n'ai simplement pas la force pour soulever cela. Je ne peux simplement pas amener cela là-bas."
Il dit : "Paul, tu t'efforces en vain. Tu te débats en vain." Et il dit : "Paul, ne vois-tu pas ce ruisseau qui descend là?" Il dit : "Ce ruisseau va directement jusqu'à côté du camp." Il dit : "Pourquoi ne fais-tu pas rouler cela jusque dans l'eau et ne sautes-tu pas dessus pour le chevaucher?"
Et il dit que lorsqu'il regarda en arrière, son Patron, c'était Jésus. Il dit : "Fais-le simplement rouler jusque dans l'eau, Paul; n'essaie plus. Monte simplement dessus et chevauche."
35. Il dit qu'il le fit rouler jusque dans l'eau, sauta dans l'eau, il se mit à patauger dans l'eau, et le courant emporta cela directement jusqu'au camp. Il s'est mis à crier de toutes ses forces, en effet, toute sa force lui revenait, il hurlait : "Je chevauche dessus." Et il dit qu'il revint à lui dans la chambre, criant de toutes ses forces. Sa femme, qui avait gardé ses mains posées sur lui en priant, dit qu'il sauta d'un bond au milieu de la chambre en criant, quand il revint à lui-même : "Je le chevauche. Je le chevauche. Je le chevauche."
36. Frère, c'est ce qu'il en est ce soir. Je prends Jésus-Christ à Sa promesse, je jette la chose dans les eaux du Saint-Esprit et je la chevauche. Alléluia! Peu importe ce qui arrive, je la chevauche. C'est juste. Je continue simplement à la chevaucher.
Peu importe ce que tout le monde, ce que qui que ce soit d'autre dit, peu importe combien de fois vous avez essayé, poussez tout simplement cela et commencez à le chevaucher. Dieu vous amènera tout droit jusqu'à l'endroit où vous devriez être. Ne croyez-vous pas cela?
Eh bien, il n'y a pas sept ans, les frères Mayo m'ont regardé en face et ont dit : "Révérend Branham, vous n'avez aucune chance de survivre." Mais je L'ai pris au mot. Je chevauche cela. Amen.
37. Il a promis qu'un jour, Il me fera passer de l'autre côté. L'âge avance, mais je chevauche cela. Un de ces jours, je quitterai cette vie-ci, mais ce soir, je chevauche cela. "Et chaque promesse dans le Livre est mienne, chaque chapitre, chaque verset est mien. Oh! la la! Dieu a promis : "Celui qui entend Ma Parole, qui croit en Celui qui M'a envoyé, a la Vie Eternelle, et ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie." Je chevauche cela. Je crois cela. Christ l'a dit. Quoi? "Celui qui entend Mes Paroles et qui croit en Celui qui M'a envoyé a (maintenant même) la Vie Eternelle et ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie."
Voici vingt-deux ans que je chevauche cela. Alléluia! Le voyage continuera et quand viendra la fin, je continuerai à chevaucher.
38. Eh bien, autrefois j'étais aveugle, je portais des verres très épais, on me conduisait par la main comme ceci dans les rues, je ne pouvais voir que sur une petite distance devant moi. Et ce soir, par la grâce de Dieu, je peux lire le journal à cinq pieds [environ 1,50 m - N.D.T.] de moi. J'ai subi un test des yeux il y a des années, c'était dix dix. C'est vingt vingt, puis quinze - quinze, puis dix - dix. Qu'était-ce? J'avais pris Dieu à Sa promesse et j'ai chevauché cela, jusqu'à ce que Dieu m'a rendu la vue.
Maintenant, je peux chanter :
Grâce étonnante! Combien doux est le son
Qui sauva un malheureux comme moi!
Autrefois j'étais perdu, mais maintenant je suis retrouvé ;
J'étais aveugle, mais maintenant je vois.
C'est la grâce qui m'a enseigné la crainte,
La grâce a ôté mes craintes;
Combien précieuse parut cette grâce
Au début, quand j'ai cru.
Alléluia! Oh! Quand je pense à cela… Prenez Dieu à Sa promesse et allez de l'avant, allez de l'avant dans la foi. Quoi? La foi dans quoi ? Croyant que ce que Dieu a dit est ancré ici dans mon cœur et que c'est ma propriété personnelle, car Jésus est mort pour cela. Je chevauche cela. Je crois cela.
39. Et, mon ami pécheur, ce soir, alors que le monde est dans le chaos, les bombes atomiques et au cobalt sont suspendues partout. Une bombe… Il y a quelque temps, je parlais à un prospecteur qui m'a dit la puissance qu'il y a dans une livre [453,6 g - N.D.E.] d'uranium, des milliers et des milliers et des milliers de tonnes de TNT [abréviation de trimtotoluène, un explosif puissant - N.D.T.] qu'il faudrait pour produire la - la pression de cette livre d'uranium.
Et j'ai entendu monsieur Moore dire qu'un de ses amis pilotes des avions à réaction lui a raconté qu'il transportait une bombe dans son avion, et j'oublie combien de centaines de wagons remplis de TNT, bien chargés sur tout le trajet de Shreveport à Houston, au Texas. Ou que si on envoie des wagons comme cela chargés de TNT ; cette bombe avait plus de pression et de puissance que toute cette file de wagons contenant du TNT. Une grosse bombe au cobalt, la bombe au cobalt qui est proche de la bombe atomique peut être lancée là-bas avec force par nos ennemis à partir d'un - un missile dans l'air, et en quelques heures, la terre entière sera totalement détruite.
Il suffirait que le vent commence à souffler, et pas un seul vivant ne pourrait subsister dans la zone, et la terre serait complètement annihilée, cela pourrait se faire juste en quelques minutes. Nos ennemis mêmes, de véritables athées qui sont insensibles, brutaux et dépourvus de bon sens, ont cette chose entre leurs mains ce soir. Et pourquoi vous confierez-vous dans la chair des chevaux? Pourquoi vous confieriez-vous dans la puissance atomique? Pourquoi vous confieriez-vous dans les choses de ce monde, dans vos maisons, dans vos lieux d'habitation, dans vos postes ? Prenez Dieu au mot et chevauchez cela à travers les atomes là-bas, jusque dans les sphères là-bas, jusque dans les cieux. Tout ce que Dieu a promis, Il le fera. Croyez-vous cela ce soir?
40. Dieu, sois miséricordieux. Entrons en contact avec les représentants de Dieu. Qui sont les représentants de Dieu? En ce temps-là, c'était Elie. Qui est-ce aujourd'hui? Jésus-Christ; c'est Son représentant. Femme, homme, garçon, fille qui êtes ici ce soir, si cette Sunamite pouvait croire pour son fils mort, au moment où il n'y avait plus aucune chance, elle pouvait croire dans un homme naturel, croire que Dieu était dans Elisée, à combien plus forte raison pouvez-vous croire que Dieu est en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même? Venez et soyez réconcilié ce soir avant qu'il ne soit trop tard. Prions.
41. Notre Père céleste, alors que nous regardons autour de nous et voyons l'heure à laquelle nous vivons, ces grandes choses arrivent et nous les voyons diffusées aujourd'hui par les journaux. Dans cette ville, ce médecin jaloux a tué quatre petits enfants, il a abattu sa propre épouse puis s'est suicidé. Juste ici dans cette ville, le diable s'est emparé de lui. Ô Dieu, les gens ne croient pas que c'est le diable. Fais qu'ils ouvrent les yeux ce soir et voient.
Et puis, ô Père, qu'ils regardent au-delà de ce médecin et voient qu'il y a un Dieu vivant qui est plein d'amour et de compassion, qui attend pour les sauver. Accorde-le, Seigneur. Approche-Toi de nous maintenant, Père. Nous croyons que ce que nous demandons en Ton Nom, nous le recevrons.
Il y a ici des hommes, des femmes, des garçons et des filles, Seigneur, qui, peut-être, ne T'ont pas encore accepté comme leur Sauveur. Ils ignorent ce que cela signifie que d'avoir la paix dans l'âme. Et toutes ces vieilles choses de la terre passent. Et l'âme, la partie immortelle qui va au-delà de chaque sphère atomique, qui va au-delà de la lumière cosmique, du pétrole, qui va dans le domaine spirituel, c'est la partie qui est éternelle; c'est la partie qui ne peut périr, quand elle a cru au Seigneur Jésus. Combien Tu as simplifié la chose : Venez simplement, recevez. "Demandez, vous recevrez."
42. "Celui qui entend Mes Paroles et qui croit en Celui qui M'a envoyé a la Vie Eternelle." Ça a l'air simple. Tu as dit : "Même un insensé ne pourrait s'égarer." Il n'y a aucune contrainte, rien de compliqué, il s'agit simplement d'accepter la chose, de croire la chose, parce que Christ parle au cœur. Tu as dit : "Nul ne peut venir à Moi, si le Père ne l'attire premièrement."
Père divin, sur base du Sang versé du Seigneur Jésus, sur base de Son sacrifice suprême et de la Parole de Dieu, je Te prie ce soir de frapper au cœur de chaque pécheur, de chaque rétrograde qui est dans la salle. Ramène-les tendrement à Toi. Encore une soirée et alors nous devrons poursuivre notre chemin. Accorde, ô Père, que ce soir plusieurs Te trouvent, car nous le demandons en Son Nom.
43. Pendant que nous avons la tête inclinée, que la musique joue doucement, tendrement, le Saint-Esprit est juste au-dessus de vous, regardant en bas, et Dieu frappe à votre cœur, en disant : "Ô pécheur, rentre à la maison." Peut-être que vous ne serez pas ici demain pour accepter cela. Ne voulez-vous pas venir ce soir? Si Dieu est en train de frapper à votre cœur et que vous sentiez que c'est Dieu qui vous parle… Pas vers moi maintenant, mais vers Dieu, voulez-vous lever la main vers Lui en disant : "Ô Dieu, pardonne-moi, j'accepte maintenant Jésus comme mon Sauveur."
Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame, tout au fond. Que Dieu vous bénisse, jeune demoiselle. Que quelqu'un d'autre lève la main en disant : "Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi un pécheur; je viens maintenant. Le prédicateur a prêché…"
Que Dieu vous bénisse, madame qui pleurez là-bas. Que Dieu vous bénisse, madame là au bout. Je vous vois. "Le ministre a prêché. J'ai été ici soirée après soirée, observant pour voir le Saint-Esprit Se mouvoir, guérir les malades, prédire, annoncer des choses, des choses mystérieuses pour les hommes. Nous ne pouvons pas comprendre cela. Je ne vais plus chercher à comprendre, Seigneur. Je vais simplement T'accepter maintenant même pendant que Tu frappes à mon cœur, car je sais que Ton Esprit ne contestera pas à toujours avec moi. Ainsi, pendant que Tu m'appelles maintenant, voici ma main, Seigneur, je viens."
Quelqu'un veut-il bien lever la main quelque part ailleurs? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame, là au coin. Que Dieu vous bénisse tout au fond derrière. Que Dieu vous bénisse ici en bas, au milieu de l'allée. Que Dieu vous bénisse, par ici au coin, là au balcon, à ma gauche. Oh! la la! Que Dieu vous bénisse, vous tous là-bas, cette grande rangée de mains. Que Dieu soit avec vous. Rappelez-vous quand [Espace vide sur la bande - N.D.E.]… quand vous avez été sauvé, là même vous l'étiez pour l'éternité. Là au balcon à ma droite, que quelqu'un lève les mains là au-dessus, quelqu'un qui veut régler cela ce soir une fois pour toutes, du fond de votre cœur, Dieu parle…
44. [Espace vide sur la bande - N.D.E.]…?… Le mot c'est Zoé , la Vie même de Dieu. Si donc Dieu ne peut périr, vous non plus vous ne pouvez périr. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, madame, par-là au coin, une jeune dame. Je vois votre main. Que Dieu vous bénisse, qu'Il vous donne maintenant la Vie Eternelle. Que Dieu te bénisse, jeune fille là en bas. Je vois aussi ta main, chérie.
Très bien, ici en bas, dans l'allée, oui, je vous vois. Par ici derrière, Dieu vous voit. Je vois le frère espagnol là derrière, lui et sa famille avec leurs mains levées. Que Dieu vous bénisse. C'est juste. Vous avez la Vie Eternelle.
Que pourrait vous faire la bombe atomique? La bombe atomique peut exploser juste dans votre cour avant, mon frère, et la seule chose qu'elle pourrait faire, c'est vous amener auprès de Jésus et vous donner un nouveau corps, une nouvelle Vie. Vous avez cela maintenant même. Vous avez cela maintenant même. Vous avez reçu en vous la véritable semence qui produira cette Vie, la Vie Eternelle, parce que vous avez cru au Fils unique de Dieu.
45. Quelqu'un d'autre? Ecoutez, si vous pouvez lever la main et être guéri, vous pouvez être sauvé. Que Dieu te bénisse, jeune fille espagnole. Que Dieu te bénisse. Et l'autre dame, là-bas, que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Oh! c'est bien, beaucoup d'autres mains se sont levées. Que le Saint-Esprit pénètre tout simplement. Que Dieu vous bénisse, monsieur, qui êtes assis ici en lunettes, l'homme aux cheveux gris. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Tout au fond derrière, je vois votre main, madame, là tout au fond. Dieu la voit aussi. Que Dieu vous bénisse, la jeune femme blonde là-bas, avec les mains levées. Que Dieu vous bénisse, les deux jeunes dames ici en bas, qui avez les mains levées. Que Dieu te bénisse, chérie. C'est bien. Ici au-dessus, la petite demoiselle au balcon. Vous voyez, et aussi le petit garçon là derrière.
Vous dites : "Qu'en est-il de ces petits enfants?"
Certainement, Jésus parle à leurs cœurs. Des fois, les adultes sont si endurcis que le Saint-Esprit ne peut simplement pas leur parler. Jésus a dit : "Laissez les petits enfants venir à Moi. Ne les en empêchez pas ; le Royaume des Cieux est pour ceux qui leur ressemblent."
46. Très bien, maintenant chaque pécheur qui est dans la salle, si vous n'avez pas levé la main vers Christ, voulez-vous la lever maintenant même et accepter Jésus comme votre Sauveur personnel, et croire à partir de ce soir? Que Dieu vous bénisse, monsieur, je vous vois là tout en haut au balcon avec votre main levée. Maintenant, recevez Christ, et recevoir Christ, c'est la Vie. Vous passez maintenant de la mort au péché à la Vie Eternelle.
Si seulement vous pouviez vous rendre compte… Que Dieu vous bénisse, madame, là derrière, la jeune dame qui a la main levée. Que Dieu vous bénisse, madame. Le petit là-bas, en chemise rouge, j'ai vu ta main, mon petit chéri. C'est très bien. Oui, tu n'es pas… tu es en ordre. J'ai baptisé mon fils quand il avait pratiquement ton âge. Juste… C'est juste. Que Dieu te bénisse. Vous ici derrière, la jeune dame et le jeune homme, là, que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Toi aussi, fiston, par ici. Que Dieu te bénisse, jeune homme. Avoir la Vie Eternelle…
Pensez tout simplement comment Dieu a simplifié la chose. Croyez simplement, acceptez. Tout ce que vous pouvez faire, c'est croire. Il n'y a rien d'autre que vous puissiez faire. Jésus a dit : "S'ils croient, Je leur donnerai la Vie Eternelle, Je les ressusciterai au dernier jour."
Oui, ici en bas, que Dieu vous bénisse. C'est bien. Que Dieu vous bénisse. Très bien. Maintenant, gardons la tête inclinée juste un instant. Nous allons présenter ceux-ci au Père, sous le Sang de Jésus, sous Sa propre Parole.
47. Maintenant, Père, Ton Bien-aimé Fils, le Seigneur Jésus, quand Il était ici sur terre, selon les Ecritures qui sont la Parole infaillible de Dieu qui ne peut faillir, Il a dit : "Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M'a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie." Nous Te remercions, Père, pour ce miracle qui est le plus grand de tous : des pécheurs qui reçoivent Christ. Nous T'en remercions. Ô Dieu, accorde que pas un seul d'entre eux, ô Père, ne manque de garder sa foi et de se souvenir de cette soirée. Et, ô Père, quand je viendrai devant Toi au jugement pour rendre compte, ces paroles… J'ai présenté Ta Parole aux gens, afin qu'ils ne périssent pas, mais qu'ils aient la Vie Eternelle.
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque (l'Espagnol, l'homme de couleur, l'Ethiopien, l'Indien, l'Anglo-Saxon), quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu'il ait la Vie Eternelle", parce qu'ils ont cru que Dieu a envoyé Son Fils mourir à la place du pécheur. Nous Te remercions pour ces gens. Nous prions pour que chacun d'eux ait un long séjour sur la terre, une bonne santé, et qu'il soit heureux pendant qu'il est ici. Et en ce jour-là, quand j'aurai prêché mon dernier sermon, fermé la Bible pour la dernière fois et que nous nous tiendrons dans Ta Présence, que je puisse les voir là et que nous puissions tous nous rassembler autour du trône, étant si heureux. Que nous disions : "Là à Phœnix, ce soir-là, j'avais levé la main. J'avais cru que Dieu avait frappé à mon cœur et je - j'ai répondu. Oh! quelle vie j'ai eue, servant merveilleusement le Seigneur." Et les voici maintenant immortels. Accorde-le, Père.
48. Et ce soir, quand la réunion sera terminée, que chacun d'eux revienne ici dans la salle de prière et qu'il s'agenouille et dise : "Merci, Père, pour m'avoir sauvé. Maintenant, remplis-moi du Saint-Esprit. Baptise-moi de l'onction." Déverse avec abondance Ton Esprit sur leur vie. Accorde-le, Seigneur, car nous l'avons demandé au Nom de Christ. Amen.
Oh, combien vous aimeriez L'entendre dire : "Bien fait",
En ce jour éternel.
Ne rejetez pas le précieux Sauveur de votre cœur,
Ne Le rejetez pas.
Oh ! ne vous sentez-vous pas bien? Vous qui avez levé la main il y a quelques instants, levez la main si vous sentez que quelque chose vous est arrivé, levez la main, tous ceux qui avaient levé la main. Oh! la la! N'est-ce pas merveilleux? Certainement.
49. Je me souviens que là tout au fond des montagnes du Kentucky, dans cette église missionnaire baptiste à l'ancienne mode, les gens se mettaient à chanter cela, les vieilles femmes ainsi que les autres : Ne Le rejetez pas. De voir ces vieux gars là autrefois, ces vieux…?… le chapeau sur la tête, crier, s'avancer à l'autel et accepter la Vie Eternelle, croire au Seigneur Jésus.
A présent, à vous les nouveaux convertis maintenant, vous qui venez d'entrer dans le Seigneur Jésus, qui avez accepté la Vie Eternelle, je voudrais vous poser une question. Maintenant, Jésus… Les Ecritures enseignent qu'Il est ressuscité des morts. Et Il déclare que les œuvres mêmes qu'Il a faites ici, quand Il était ici sur terre, Il les fera au travers de l'Eglise jusqu'à Son retour. "En vérité, en vérité, Je vous le dis, les œuvres que Je fais, il les fera aussi, et il en fera davantage, car Je M'en vais au Père." Là, l'expression utilisée c'est de plus grandes. De plus grandes signifie en plus grand nombre, vous ne pouvez rien faire qui soit supérieur en qualité, c'est plutôt en quantité, pas en qualité, davantage de cela. Il peut être partout dans toutes les églises depuis qu'Il est ressuscité des morts.
50. Maintenant, Il avait des visions, Il a dit : "Je ne fais que ce que le Père Me montre, et ce que le Père Me montre, Je le fais." Il vit le problème de la femme au puits. Il savait où Nathanaël avait trouvé, plutôt Philippe avait trouvé Nathanaël, quand celui-ci priait. Un homme est venu et Il connaissait son nom, Il savait qui il était, Il lui a dit son nom, Il a regardé dans l'auditoire, Il a connu leurs pensées. Une femme toucha Son vêtement. Et Il se retourna et dit : "La force est sortie de Moi." Il chercha du regard dans l'auditoire là où elle était, jusqu'à ce qu'Il la trouvât ; Il dit : "Ta foi t'a guérie." Voilà le genre de Jésus qu'Il était quand Il était ici sur terre.
Eh bien, s'Il est le même en puissance, le même en considération, le même en attitude, le même en tout, Il est le même en tout, hier, aujourd'hui, et éternellement. Il a dit : "Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus (c'est-à-dire les incrédules), mais vous, vous Me verrez (c'est-à-dire les croyants), car Je (je, comme je le dis, c'est un pronom personnel), Je serai avec vous, même en vous (pas juste dans l'âge des apôtres) jusqu'à la fin du monde", Jésus-Christ le même hier, aujourd'hui, et éternellement.
A présent, nous allons prier pour les malades. Dans quelques instants… Je ne suis pas un guérisseur. Je suis juste comme vous, un pécheur sauvé par grâce ; c'est tout. Mais le Seigneur a…
A ma naissance, encore petit bébé là-haut dans les montagnes, cette Lumière ici présente que nous avons (beaucoup d'entre vous L'ont vue) était suspendue au-dessus de mon petit berceau où je me trouvais, le petit lit à roulettes. Elle m'accompagne depuis lors. Ce n'est pas moi qui vois les visions; c'est Lui qui les montre. Ce n'est donc pas quelque chose que je possède. Vous voyez? C'est ce que Dieu vous a donné. Ce n'est pas ma foi qui fait cela; c'est votre foi. C'est votre foi qui fait que Cela agisse. Je ne peux pas faire agir Cela; c'est vous qui faites agir Cela. Vous voyez? Vous-même vous devez croire Cela. Et en croyant ainsi, si vous croyez correctement, Dieu vous accordera votre requête. Ce n'est pas parce que c'est… C'est parce que c'est le Seigneur Jésus.
51. Combien savent que lorsque Jésus apparut la première fois pour conduire les gens, Il était sous la forme d'une Colonne de Feu? L'Ange de l'Alliance conduisait les enfants d'Israël. Lorsqu'Il apparut la seconde fois, Il était sous la forme d'un Homme appelé Jésus. Lorsqu'Il apparaît la troisième fois, Il est sous la forme de l'Esprit appelé le Saint-Esprit : Père, Fils, Saint-Esprit. Saisissez-vous cela? Amen. C'est - c'est Lui.
Eh bien, aujourd'hui, Il est exactement le même qu'Il était quand Il conduisait les enfants d'Israël sous la forme de la Colonne de Feu. Ce n'est que la condescendance de Dieu, Dieu s'abaissant Lui-même.
Là-haut sur la montagne… Moïse, personne… même si un animal touchait la montagne, il devait être tué ; pas de sacrifice. Le sang d'aucun sacrifice ne pouvait prendre cette place, donc les pécheurs ne pouvaient pas s'approcher du Dieu saint.
Ensuite, Il descendit pour naître d'une vierge, par une naissance virginale. Et Dieu entra dans Son Fils, Jésus-Christ, pour réconcilier le monde avec Lui-même. Vous pouviez Le toucher, mais Il était une Personne différente. Que fait Dieu? Il brise cette cellule de sang pour sanctifier une Eglise, afin qu'Il puisse descendre Lui-même communier avec le peuple. Vous voyez combien Dieu vous aime? Il a amené… Vous ne pouviez rien faire à ce sujet. Il s'est abaissé Lui-même et a nettoyé Sa voie tandis qu'Il venait…?… ôter le péché, au point qu'Il pouvait descendre et communier de nouveau avec Adam. Comprenez-vous cela?
52. Il communiait avec Lui avant que le péché n'intervienne, ensuite Il a dû venir et frayer une voie pour ôter le péché. Maintenant, Il communie de nouveau avec lui : le même Saint-Esprit, le même Père, agissant au milieu de Son peuple. C'est très simple, il n'y a rien d'étrange à cela, c'est Dieu. Maintenant, Il sera ici ce soir, je crois, et Il fera la même chose qu'Il fit quand Il était ici sur terre sous la forme physique. Dieu a ressuscité ce corps-là, Il est assis aujourd'hui sur le trône de Dieu. Christ n'est pas sur Son propre trône; Il est maintenant sur le trône de Dieu au Ciel. Mais quand Il reviendra, Il occupera le trône de David dont Il est l'Héritier.
Maintenant, remarquez, maintenant Il est ici ce soir sous la forme de l'Esprit pour faire la même chose, aimer du même amour; Il a tout simplement sauvé les pécheurs là-bas; c'est de cet amour qu'Il aimait. Maintenant, Il va guérir les malades, avec le même amour qu'Il avait. Il opérera des miracles et des prodiges avec exactement le même amour qu'Il avait. Le même Jésus, s'Il le fait, allez-vous Le recevoir? Que Dieu vous bénisse donc.
Père divin, nous Te prions d'accorder ceci. Et je me soumets maintenant à Toi, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
53. Bill… Quelle carte de prière avons-nous… C'est la série Q que nous appelions à partir d'hier soir, n'est-ce pas? Je pense que c'était les cartes de prière Q. Je pense que nous avons appelé le premier lot. Ce soir, appelons le dernier lot de la série Q. Il n'est pas ici en ce moment. Que nous… Il s'agit des cartes de prière Q, y a-t-il de gens qui en ont? Regardez là-bas. C'est bien. D'accord, appelons alors à partir de la série Q. Appelons-en à partir du - du dernier lot, du dernier… Combien en avions-nous ? Quinze hier soir…?… Quinze ou seize? [Frère Branham parle à quelqu'un. - N.D.E.] Très bien, appelons les quinze dernières, ce qui serait de 85 à 100. Q-85, quelqu'un l'a-t-il? Levez vite la main. Q-85, levez la main, s'il vous plaît. Quelqu'un l'a-t-il? La jeune fille? Très bien, sœur, venez ici. 86, vite, c'est juste une petite carte avec ma photo dessus et le numéro - et le numéro, avec une lettre au verso. Q-85, 86. Qui a 86? La dame. 87, levez vite la main maintenant pour que nous gagnions du temps. Est-ce cela? 87, 88, très bien, carte de prière Q-88. Très bien.
La carte de prière Q-89, 89? Q-90? Q-90, celui qui l'a, voudrait-il lever la main rapidement? Carte de prière Q-90. Jetez un coup d'œil sur la carte de quelqu'un quelque part. Cela… Oui, très bien. 90, 91, levez la main pour que nous voyions. Aidez-moi ici, s'il vous plaît. 91, quelqu'un qui est sourd ou qui est incapable de se lever, vous savez, alors… 91? Venez aux réunions de l'après-midi; on distribue des cartes de prière. 91? Est-ce que le Q-91 est ici? 92? Très bien, madame. 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99 jusqu'à 100. Maintenant, regardez autour de vous et voyez si - s'ils entrent dans la - la réunion - s'ils entrent dans la ligne. Et maintenant, si nous pouvons… Si tout le monde est respectueux, peut-être que nous pourrons alors sortir et distribuer, et appeler d'autres à partir du - d'autres cartes de prière. Si tout le monde essaie de garder la foi et de croire…
Pendant que les gens viennent, je désire prier de nouveau pour ces linges qui sont ici. Inclinons la tête un instant.
54. Précieux et tendre Jésus, sur base de la Parole de Dieu, nous réalisons qu'Elie, la Bible dit : "Il était un homme de la même nature que nous." Il avait des hauts et des bas. Il avait des problèmes comme nous. Mais il a envoyé un bâton avec lequel il marchait pour qu'il soit posé sur un enfant mort. Paul s'appelait lui-même le premier des pécheurs. Tandis qu'il était sur le chemin de Damas pour arrêter tous ceux qui étaient de la nouvelle doctrine, le Saint-Esprit le terrassa et le choisit comme vase pour apporter la Parole de Dieu aux Gentils. Et les gens croyaient tellement en cet apôtre qu'ils prenaient des mouchoirs et des linges qui avaient touché son corps, les posaient sur les malades et les mauvais esprits sortaient, le mal, les infirmités ; et les gens étaient guéris.
Maintenant, nous réalisons, Seigneur, que le prophète s'en est allé et Paul aussi, mais Jésus demeure éternellement. Et nous prions, Père, qu'en ce jour où les gens ont la foi, ils croient que Tu vas bénir maintenant ces mouchoirs et ces petits colis qui sont ici, et lorsqu'ils seront posés sur les malades, que chacun soit guéri, car nous les envoyons au Nom de Jésus-Christ. Amen.
55. Maintenant, que tout le monde soit respectueux. Et je pense qu'il fait un peu froid ici; j'ai vu les femmes porter leur manteau, peut-être que si on arrêtait les ventilateurs, ça irait un peu mieux. Que le concierge veille bien le faire.
Et puis, remarquez, mon ami. Je voudrais vous poser une question pendant qu'on aligne les gens. Maintenant, si Jésus de Nazareth se tenait ici ce soir, portant ce complet que j'ai sur moi, qu'Il m'a donné en Suède il y a plusieurs années, si - s'Il était ici, portant ce complet et que, par exemple, cette jeune fille-ci ou quelqu'un là dans la ligne venait ici à Lui et disait : "Seigneur, veux-Tu bien me guérir?" Que pensez-vous que Jésus lui répondrait?
Il dirait : "Je ne peux pas le faire. Je l'ai déjà fait." Quand Jésus est mort au Calvaire, Il a guéri chaque personne malade qui croirait qu'Il a fait cela pour elle à ce moment-là. Est-ce juste?
Qu'en serait-il si, il y a un instant, un pécheur disait : "Eh bien, Seigneur, veux-Tu bien me sauver?" Qu'en serait-il si un pécheur montait ici sur l'estrade et disait… et que Jésus se tenait ici, qu'il disait : "Jésus, veux-Tu bien me sauver?"
Il dirait : "Eh bien, fiston, Je t'ai sauvé il y a mille neuf cents ans. L'acceptes-tu maintenant?"
S'il disait : "Eh bien, je veux que Tu le fasses maintenant."
Il dirait : "Je l'ai déjà fait."
Si donc quelqu'un vous disait qu'il peut vous sauver ou vous guérir, c'est une erreur, car personne ne peut faire ce qui a déjà été fait. Vous voyez? Jésus est mort pour sauver les pécheurs et guérir les malades. C'est ce que… Et ce soir, Il est assis à la droite de Dieu, en tant que le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Est-ce juste? Faisant quoi? L'intercession sur base de notre confession. Vous voyez? Il ne peut rien faire pour vous, à moins que vous croyiez dans votre cœur qu'Il l'a fait et qu'ensuite vous confessiez qu'Il l'a fait. Et aussitôt que vous croyez cela et confessez cela, donc devant Dieu, Il dit que c'est juste. Il est là pour faire intercession sur base de votre confession.
56. Eh bien, vous pourriez venir ici à l'autel et crier, pleurer, faire les cent pas et crier : "Ô Dieu, sauve-moi, un pécheur." Cela ne ferait pas le moindre bien. Vous pourriez faire cela ce soir, toute la nuit, toute la journée de demain, et le soir suivant, marteler le plancher, tout ce que vous voulez. Vous donnez simplement libre cours à vos émotions. Mais vous ne pourrez jamais être sauvé, à moins que vous croyiez premièrement cela et qu'ensuite vous le confessiez. Car Il a dit : "Si vous Me confessez devant les hommes, Je vous confesserai devant le Père et les saints Anges." Est-ce juste? A la minute où vous faites… Et si vous le faites juste avec votre tête, eh bien, ça ne change rien. Si vous le faites du fond du cœur, cela est réglé sur-le-champ. Absolument. Une nouvelle personne, régénérée juste à l'instant… "Celui qui entend Mes Paroles et qui croit en Celui qui M'a envoyé a (maintenant même) la Vie Eternelle et ne périra jamais, mais il est passé de la mort à la Vie", simplement parce que vous croyez. C'est tout.
Il en est de même de la guérison divine. Vous n'êtes pas obligé d'être ici sur l'estrade. Croyez tout simplement juste là où vous êtes assis. Regardez à Jésus et dites : "Maintenant je crois et accepte cela. Et Tu es mon Guérisseur maintenant même."
A cet instant même, Lui confesse la même chose devant le Dieu Tout-Puissant, en disant : "C'est par Mes meurtrissures que Je reconnais qu'il est guéri." Vous voyez? Et vous êtes tout à fait sûr de vous rétablir, aussi sûr - aussi sûr qu'Il est Dieu. Il doit le faire. Dieu ne peut pas juste dire quelque chose pour le retirer ensuite; Il doit tenir Sa Parole. Moi, je peux dire quelque chose puis le retirer; vous aussi, mais Lui ne le peut pas. Il est Dieu, une fois que la chose est prononcée, c'est réglé. Très bien.
57. Maintenant, que pourrait-on donc faire pour ces gens? Eh bien, ces gens qui se tiennent dans la ligne, il y en a juste quelques-uns ici; nous en avons appelé quelques-uns ici à l'estrade. Et mon Père céleste sait que pour autant que je sache, je n'ai jamais vu une seule personne de ceux qui sont dans cette ligne. Franchement, il n'y a personne dans la salle… Je pensais, il y a quelques instants, que cet homme qui est assis juste ici est frère G. H. Brown de Little Rock, mais ce n'est pas lui. Et vous savez cela, il ne lui ressemble pas beaucoup, mais je - je pensais que c'était frère Brown, mais ce n'est pas lui.
Si je ne me trompe pas, c'est frère Fuller qui est assis juste par ici, si je ne me trompe pas ; il est assis juste là. Et cet homme-ci, je ne le connais pas, mais je - je le connais de visage, mais je ne connais pas son nom. En dehors de ceux-là, en dehors de mes propres frères qui sont juste ici, il n'y a personne de ceux que je vois dans cette salle que je connaisse. C'est juste.
58. Maintenant, je ne dis pas que si vous me connaissez, je suis… Vous voyez, je ne vous connais pas. Vous voyez? Voyez? Ou plutôt, je ne vous reconnais pas. Dieu sait cela.
Et, oui, je connais la dame qui est assise là, sa sœur. Je connais cette dame, elle est de Tucson, madame Morgan. La première vision que j'ai eue dans ma vie… Sa soeur était une infirmière diplômée depuis vingt et un ans, à Louisville, dans le Kentucky. Cela fait environ quatorze ans qu'elle est morte. Elle est infirmière à l'hôpital Clark County Memorial. Elle était venue après que l'Ange du Seigneur m'avait apporté ce… m'avait dit ce qu'il en était, au sujet de ces visions, dont les ministres disaient que les… que c'était le diable ; mais Lui m'a révélé que c'était l'Esprit de Dieu. Et ils ne comprenaient pas, de même que les gens ne comprenaient pas dans les autres jours. Et madame Morgan était la première à venir. Monsieur McDowell avait été guéri des yeux. Madame Morgan, monsieur Morgan, son mari, a dit : "Venez, a-t-il dit, eh bien, je ne sais pas si ça agira sur mon épouse; elle est mourante, elle est traitée au radium, aux rayons X…?… Oh! la la! Elle a perdu la tête."
Il est donc venu me demander. J'ai dit : "Ce n'est pas à moi de me poser des questions là-dessus, c'est vous. Croyez-vous cela? Moi, je crois cela." Il l'a donc amenée, et la dame qui est juste ici était là ce soir-là. Et alors que la femme souffrait du cancer, cela s'était propagé allant de la poitrine pour descendre dans l'abdomen, jusque dans la voie intestinale ; et le médecin, quand il l'a ouverte, il a dit : "Oh! c'est juste comme les racines d'un arbre. Cela couvrait…" Il ne pouvait même pas lui faire un lavement. Et il a dit : "Il n'y a rien à faire, sinon la laisser mourir." Et son état avait tellement empiré que le médecin a parlé à son mari, disant : "Eh bien, est-ce que vous… Si vous voulez la faire sortir de l'hôpital pour l'amener à Jeffersonville, a-t-il dit, vous pouvez l'amener, car elle disait toujours qu'elle aimait la rivière ; laissez-la voir la rivière avant qu'elle ne meure." Mais il a dit : "Il n'y a plus rien à faire pour elle."
59. Eh bien, cela étant ma première…?… étendue là comme cela, une femme mourante, mais quand j'ai saisi sa main… Deux ou trois soirées avant cela, le Seigneur Jésus m'avait rencontré là-bas. Et cet Ange s'est tenu près de moi et Il a dit que cette chose se produirait, que j'irais dans le monde entier, et j'en ai témoigné à l'estrade ce soir-là. Quand j'ai prié pour elle, le Saint-Esprit a répondu en disant : "AINSI DIT LE SEIGNEUR." Et aujourd'hui elle est en bonne santé, elle est forte, une gentille et aimable femme, et c'est sa sœur qui est assise là, un témoin. Est-ce juste, sœur? Si c'est… C'est - c'est juste. …aimable…
Et un grand avocat est venu du Nord. Il en a entendu parler. Il est venu, il voulait en savoir plus. Il est donc allé à la clinique cancérologique de Louisville, et elle était morte depuis des années. Il a dit : "Vous-voulez la rencontrer?" Il a dit : "C'est la personne morte la plus vivante que vous n'ayez jamais vue", elle est toujours infirmière.
60. Moi et mon épouse, maintenant nous aurons le bébé dans quelques semaines ; elle a suivi le cas depuis le début, c'est la plus aimable des amies, l'une des amies les plus aimables que j'ai au monde.
Oui, je ne vous avais pas vue, sœur. Je m'excuse. Je n'avais pas remarqué que vous étiez assise derrière dans la foule, surtout que je me tiens ici en haut et que les lumières brillent dans une autre direction. C'est un peu difficile. N'importe qui qui se tiendrait ici en haut verrait que c'est difficile de distinguer les gens là-bas.
Et maintenant, remarquez, mais si Jésus est ressuscité des morts, qu'a-t-Il fait quand Il était ici sur terre? Je… Prenez votre temps. Ne soyez pas pressé. Que fit-Il? Pour reconnaître la vérité une seule chose devrait régler le problème une fois pour toute. Quand Jésus était ici sur terre, a-t-Il prétendu être un guérisseur? Pas dut tout. Il a dit : "Je ne guéris pas du tout." Il a dit : "C'est Mon Père qui demeure en Moi qui guérit." Est-ce juste? Il a dit : "Moi, en tant que le Fils, Je ne peux rien faire." Qu'a-t-Il fait? Il avait la puissance de Dieu sans mesure. Nous, nous avons cela avec mesure. Lui, Il l'a sans mesure. C'est juste comme aller à l'océan et prendre une cuillerée d'eau; c'est juste une cuillerée de l'océan. C'est juste un petit don ici à côté de Lui. Mais, souvenez-vous que les mêmes éléments chimiques qui sont dans la cuillerée d'eau sont dans l'océan entier, vous voyez, c'est la même chose mais en moindre quantité, vous voyez, en quantité de loin moindre.
Mais quand Il se tenait là, les gens regardaient et croyaient. Et certaines choses… et Il appelait dans l'auditoire et disait des choses. Philippe a amené Nathanaël, Il a dit : "Voici un Israélite, dans lequel il n'y a point de fraude."
Il a dit : "Comment m'as-Tu connu, Rabbi?"
Il a dit : "Avant que Philippe te trouvât, quand tu étais sous l'arbre, Je t'ai vu."
61. Il a révélé à la femme au puits après lui avoir parlé un peu pour contacter son esprit. Il y avait en Lui Quelque chose qui faisait qu'Il ait des visions. Et Jésus a dit, quand Il est passé à côté de beaucoup de gens estropiés, tordus et tout, et Il est allé vers un homme qui était couché sur un grabat et a dit… Maintenant, soyez attentifs. Jésus savait que cet homme était là. Dieu le Lui avait montré. Et Il a guéri l'homme, Il lui a dit de prendre son lit et de rentrer chez lui. Eh bien, oh! la la! quand les Juifs l'ont trouvé, ils L'ont interrogé. Ils ont remis Jésus en question; voici ce qu'Il a dit : "En vérité, vérité Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu'Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement." Est-ce juste? Donc d'après les propres Paroles de Jésus, Il ne pouvait rien faire de Lui-même, si le Père ne Lui montre premièrement ce qu'il faut faire.
62. Considérez la résurrection de Lazare, et beaucoup d'autres choses, là. Une fois, un aveugle est venu, il voulait qu'on prie pour lui. Jésus n'avait eu aucune vision pour lui. Il a simplement touché ses yeux, Il a dit : "Maintenant, qu'il te soit fait selon ta foi. " La femme toucha Son vêtement et retourna dans l'assistance, elle s'est tenue un petit instant là dans les environs. Et Jésus a regardé tout autour et a dit… quand Il l'a repérée, Il a dit : "Ta foi t'a guérie." Ta foi t'a sauvée, t'a sauvée physiquement. C'est le même mot : Sozo. C'est le même mot, c'est le même mot dans la Bible chaque fois, qu'il s'agisse de la guérison ou du salut, c'est le même mot que Sozo. Tout ministre qui a étudié le sait. Sozo, ta foi t'a sauvé physiquement, t'a sauvé spirituellement.
Eh bien, si Jésus était ici ce soir… Puis quand Il s'en est allé, Il a dit ceci : "Encore un peu de temps et le monde…" Les incroyants ne croiront pas cela. Ce jour-là, qu'en pensaient les gens? Qui disaient-ils qu'Il était? Eh bien, ils…
Est-ce qu'on disait que "c'est vraiment le Fils de Dieu", dans le grand monde religieux ? On disait : "C'est le plus grand diseur de bonne aventure du pays. Il est Béelzébul, le chef des démons." Est-ce juste? Mais qui les démons disaient-ils qu'Il était? "Le Fils de Dieu." Le diable était donc plus avisé que les prédicateurs. Ainsi… Et puis, vous savez quoi? Ils étaient plus portés aux esprits, ces diseurs de bonnes aventures, que les prédicateurs. C'est tout à fait juste.
Et voici un petit quelque chose en plus. C'était quoi tout ça, là à la réserve l'autre jour, là à la réserve indienne? Comprenez-vous ce que je veux dire? Plus portés aux esprits. Nous, nous sommes tous des érudits, des gens instruits, "oh! la la! eh bien, ce sont des choses d'autrefois, dépassées." Mais l'homme oriental, frère, il croit.
63. Maintenant, si Jésus était ici ce soir, qu'Il venait et faisait les mêmes choses qu'Il fit quand Il était ici sur terre, que ferait-Il pour ces gens-ci? Eh bien, s'Il les a déjà guéris, que ferait-Il maintenant? Eh bien, ce serait d'un bout à l'autre la prédication de la Parole, Il leur ferait savoir ce qu'Il - Il croit et ce qu'Il faisait. Eh bien, s'ils ne peuvent accepter cela ainsi, c'est là - c'est là le meilleur moyen, c'est là la guérison initiale. Est-ce juste? C'est là le moyen initial. La foi vient de ce qu'on entend, de la Parole.
Eh bien, ce n'est pas ça, Il a alors envoyé des dons dans l'Eglise, les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, docteurs, évangélistes, des dons des langues, d'interprétation des langues, tous ces dons pour l'édification de l'Eglise.
Eh bien, je ne suis pas vraiment un prédicateur. La seule chose que je peux faire, c'est que par un don de visions, pas ici, pas ici dans l'église : la miséricorde. Ça, c'est le côté amateur de la chose. Demandez à mes associés qui traitent avec moi à d'autres endroits. Eh bien, des visions viennent constamment de partout, annonçant des choses qui vont arriver sur la route et tout du long. Et demandez simplement à n'importe qui si Cela a déjà failli une seule fois. Si c'est William Branham, cela faillira toujours; mais aussi longtemps que c'est le Seigneur Jésus-Christ, cela ne peut pas faillir. C'est juste.
64. Et Sa photo qui est ici prouve au monde scientifique que j'ai dit la vérité. C'est - c'est - c'est Sa - Sa photo, ce n'est pas la mienne. C'est sous droit réservé à Houston, au Texas, et nous devons simplement acheter cela pour permettre donc aux gens de l'avoir.
Et maintenant, s'Il vient dans Sa puissance de résurrection, car nous en tant que chrétiens, nous proclamons, les gens du Plein Evangile, tous proclamons que Jésus est ressuscité des morts. Si donc Il est ressuscité des morts et qu'Il est le même hier, aujourd'hui, et éternellement, Il doit faire aujourd'hui la même chose qu'Il a faite hier, et qu'Il fera éternellement. Est-ce juste? Il doit faire cela pour être Le Même.
Maintenant, j'espère que je… Je sais que vous n'êtes pas à cent pour cent avec moi ce soir, mais je - je… Vous ne pouvez pas cacher cela, mon frère. Mais à… Je… C'est donc de toute façon le cas. Vous voyez, vous voyez?
65. Eh bien, puisse-t-Il venir et accomplir à cause de ces croyants… Maintenant, combien ici n'ont pas de carte de prière mais veulent que Jésus les guérisse? Levez la main. Juste… Vous voulez que Jésus vous guérisse, mais vous n'avez pas de carte de prière, je peux simplement avoir une idée générale de là où vous êtes. Très bien. Prions.
Père, au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus, je Te soumets maintenant ce pauvre et humble corps indigne, afin que Tu puisses parler au travers de ces lèvres, regarder au travers de ces yeux. Entre dans le cœur des gens là-bas, Seigneur, et donne-leur la foi pour croire, afin que Tu puisses œuvrer au travers de Tes serviteurs réunis ce soir, pour la gloire de la résurrection de Ton Fils, le Seigneur Jésus. Amen.
Maintenant, s'il vous plaît, que chacun garde maintenant sa place; gardez vos sièges, ne vous déplacez pas; accordez-nous juste un peu de temps. Et je voudrais dire que comme la soirée de demain est la dernière, si l'Esprit de Dieu tombe sur moi, bien sûr, c'est un peu pendant que je suis plutôt… C'est une autre dimension, c'est un autre monde. Je ne sais pas ce que je dis. Et ce sont les gens qui me le disent. Voyez-vous, cet enregistrement qui se fait là, c'est par ce moyen-là que j'apprends cela. Tout celui qui désire savoir ce qu'ils… ce qui leur est dit, qu'il se procure simplement l'enregistrement là et vous pouvez entendre cela. Nous faisons cela parce que c'est absolument l'infaillible vérité chaque fois. Allez et voyez. Et il en a été ainsi… J'ai quarante-cinq ans; il en a été ainsi depuis la première chose dont je peux me souvenir, quand j'étais un petit bébé.
Maintenant, soyez respectueux. Vous dites : "Qu'est-ce qui fait cela, Frère Branham?" Il s'agit de se soumettre à l'Esprit de Dieu, savoir juste se soumettre. Et vous, faites de même. Vous pourriez ne pas être en mesure d'avoir des visions, mais vous pouvez vous soumettre pour que le Saint-Esprit travaille.
66. Maintenant, au Nom de Jésus-Christ le Fils de Dieu, je prends chaque esprit ici présent sous mon contrôle, pour la gloire de Dieu. Amen.
Maintenant, si l'ingénieur peut veiller (des fois, je constate cela sur la bande) ma voix n'est pas très forte.
Maintenant, cette jeune fille qui se tient ici m'est inconnue. Je ne l'ai jamais vue de ma vie, à ce que je sache. Si tel est le cas, je ne sais rien à son sujet. Mais Dieu sait tout au sujet de cette enfant. Il sait exactement quel est son problème ou la raison pour laquelle elle est ici, tout.
Si donc l'Ange du Seigneur vient maintenant vers cette demoiselle qui se tient ici, lui parle et lui dit quelque chose qui s'est produit dans sa vie passée et révèle cela, quoi que ce soit que tu sais que j'ignore… Et nous, étant donné que nous sommes des inconnus, et tu as peut-être quatorze, quinze ans, peut-être pas autant, et moi, j'en ai quarante-cinq. Et nous sommes donc nés à des intervalles d'années, et peut-être à des endroits séparés par des centaines de kilomètres. C'est la première fois que nous nous rencontrons. Ainsi donc, il faut que cela vienne de Dieu, n'est-ce pas, mademoiselle? Eh bien, alors s'Il fait cela, l'auditoire croira-t-il qu'Il est ressuscité des morts et qu'Il est vivant ici aujourd'hui, le même hier, aujourd'hui, et éternellement?
67. Eh bien maintenant, mademoiselle, je… Etant donné que tu es la première personne ici, bien sûr, tu es consciente qu'il se passe quelque chose. Eh bien, juste comme une enfant, tu es - tu es une chrétienne, tu es une croyante, car ton petit esprit se sent le bienvenu. Vous voyez? Si ce n'était pas le cas, cela se détournerait tout simplement de Lui; mais tu te rends compte qu'il se passe quelque chose, n'est-ce pas? C'est l'Ange du Seigneur qui s'établit en descendant. Eh bien, cela ne te fera pas de mal. Si simplement tu crois à Cela, Cela te fera du bien.
Et maintenant, pendant que je te parle, juste comme le… ce que notre Seigneur fit avec la femme au puits. Eh bien, Il devait donc entrer en contact avec elle quelque part, cela devait donc être dans son esprit.
68. Une chose, tu es toute nerveuse, bouleversée au sujet de quelque chose. Et tu souffres d'une maladie des reins. C'est dans tes reins. C'est juste, n'est-ce pas, sœur? Que Dieu bénisse ton cœur, ma chérie, ne - ne t'inquiète pas. Crois-tu maintenant? Toute bouleversée, tu souffres des reins, peut-être que c'est ce qui est à la base de cette maladie de reins. Eh bien, que le Seigneur te bénisse, ma sœur.
69. Eh bien, s'Il est ici maintenant pour - pour faire cela pour toi, tu sais donc que je ne suis qu'un homme, que je ne te connais pas, et s'Il peut te dire ton problème, eh bien, c'est certainement Sa Présence, alors croiras-tu que c'est le Seigneur Jésus? Alors de toute façon, dans ce temple indigne, Jésus-Christ parle, n'est-ce pas? Si donc je t'impose les mains conformément à Sa Parole, tu devras te rétablir, si tu crois cela. N'est-ce pas juste?
La demoiselle semble s'éloigner de moi de nouveau. Oh! tu es… Je vois un homme; c'est un homme très malade; il y a quelque chose qui ne va pas chez… C'est ton père; il y a quelque chose; il a un… Oh! il est mourant; il a la tête… quelque chose qui ne va pas dans la tête. C'est une pression ou quelque chose comme ça dans sa tête. Et cet homme est mourant, ton père. C'est la vérité.
Dieu bien-aimé, sois miséricordieux ce soir. Viens ici vers cette jeune enfant, Seigneur, qui se tient ici, profondément affligée et brisée. Toi, Tu connais toutes choses, Père. Tu peux tout. Et je Te prie de la bénir maintenant. Bénis son bien-aimé qui est dans un état si critique ce soir. Que le Glorieux Saint-Esprit soit dans la chambre. Arrête la main de la mort. Seigneur, il y a des croyants dans cet auditoire ; nous demandons cette bénédiction maintenant. Cette jeune fille est debout ici pour cela, qu'elle reçoive tout ce pour quoi elle est venue. Au Nom de Jésus-Christ, je demande cela en tant que Ton humble serviteur. Amen.
Que Dieu te bénisse, chérie. Que Dieu soit avec toi.
Il a dit : "Si tu peux croire, tout est possible." Aie la foi. Ne doute pas; aie simplement foi en Dieu. Ne crois-tu pas maintenant de tout ton cœur? La Bible dit : "Celui qui croit ne sera pas condamné. Celui qui croit ne sera pas condamné." Très bien.
70. Madame, je vois que vous êtes ministre indépendante. Mais je pense que nous sommes des inconnus l'un à l'autre. Juste… Nous sommes des inconnus pour ce qui est de me rencontrer, mais étant ministre indépendante, bien sûr, vous m'avez déjà vu. Mais je veux dire se connaître, nous sommes - nous sommes des inconnus l'un à l'autre. Mais le Seigneur Jésus nous connaît tous deux, n'est-ce pas?
A présent, s'Il m'aide à vous connaître, à savoir quelque chose à votre sujet ou quelque chose comme cela, allez-vous alors L'accepter? Eh bien, vous savez, madame, qu'il m'est impossible de connaître la raison pour laquelle vous - vous - vous vous tenez là. N'est-ce pas juste? Il n'existe aucun moyen… Pour ce qui est de cela, je n'y peux rien du tout. Je ne le sais que par la grâce de Dieu.
Mais vous souffrez de quelque chose au cœur, des troubles cardiaques. C'est de cela qu'il s'agit. C'est vrai. Maintenant, croyez-vous - croyez-vous que Dieu va vous guérir? Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Eh bien, ce que je devrais faire, ne sachant pas ce qu'était votre maladie, franchement, je ne pense pas donc que je savais ce que c'était, mais peu importe ce que c'était, j'ai vu quelque chose qui m'a dit que c'est de cela qu'il s'agissait. Maintenant, c'est assez pour faire de vous une croyante, n'est-ce pas?
71. Je vois que vous êtes aussi préoccupée pour quelqu'un d'autre. Et c'est une… quelqu'un de plus jeune que vous. C'est votre - c'est votre enfant; c'est - c'est votre fille. Et votre fille a environ… Il s'agit d'un problème familial. C'est un… Comprenez-vous de quoi je parle? Ce qu'il y a dans votre cœur maintenant? Que Dieu vous bénisse. Croyez-vous que vous allez recevoir ce que vous avez demandé? Approchez juste une minute.
Dieu Tout-Puissant, sois miséricordieux maintenant et permets que Ton Esprit vienne sur notre sœur ici présente. Tandis que je lui ai imposé les mains, accorde-lui, Divin Père, le profond désir de son cœur, ce qu'elle a demandé. Au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Que Dieu vous bénisse, sœur, et puisse-t-Il vous accorder Ses riches bénédictions.
Bonsoir, madame. Je pense que nous sommes aussi des inconnus l'un à l'autre. Des inconnus, je ne - je ne vous connais pas, mais Jésus-Christ vous connaît, n'est-ce pas ?
Quelqu'un Le toucha. Il n'y eut pas de vision, mais c'était juste là à l'intérieur. Excusez-moi, je ne suis pas hors de moi. Seulement je… Seulement c'est… Je ne saurai l'expliquer. Vous comprenez?
72. Vous souffrez des poumons. N'est-ce pas que vous venez de l'hôpital, ou allez à l'hôpital ou quelque chose comme cela? Je vois comme un hôpital qui apparaît. Croyez-vous que Jésus-Christ va vous rétablir et ôter cette - cette chose de vous? Croyez-vous qu'Il va faire cela? Approchez.
Précieux Seigneur, j'impose les mains à cette dame. Ôte d'elle cette ombre de la mort, Père, et que la Lumière de la Vie prenne place. Accorde-le, Seigneur, je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame. Partez en croyant maintenant. Ayez la foi.
Croyez-vous en Lui de tout votre cœur?
73. Sœur, vous qui venez juste d'incliner la tête et de dire : "Ô Seigneur, aie pitié de moi", vous qui êtes assise là et qui souffrez des nerfs, qui êtes assise juste là. Oui, Il vous a entendue. Maintenant, n'est-ce pas pour cela que vous priiez? Si c'est le cas, levez la main, si ce n'est pas juste. Vous souffriez d'une espèce de nervosité mentale, n'est-ce pas? Vous avez aussi l'habitude de faire tomber les choses, n'est-ce pas? Je vous vois debout, vous avez fait tomber une assiette ou quelque chose tout récemment et elle s'est brisée. C'est juste. Très bien. N'est-ce pas juste? Si vous dites que ce n'est pas le cas, levez la main. Vous voyez? Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît. Maintenant vous êtes guérie; cela vous a quittée. Vous allez rentrer à la maison et être bien portante.
Est-ce ma… la malade? Croyez-vous là haut pour cette…?… l'enfant, la jeune fille? Crois-tu que Dieu ôtera d'elle le diabète, et la rétablira? Il y a quelques instants tu pleurais, n'est-ce pas? As-tu une carte de prière? Tu n'en as pas? Tu n'en as pas besoin. Que Dieu te bénisse, ma chérie. Toi qui es assise là et qui as donc baissé ta petite tête, priant, n'était-ce pas toi? Si c'est juste, chérie, lève ta petite main comme cela. Tu vois, Jésus a entendu ta prière et Il est revenu et m'a dit que tu disais : "Ô Jésus, est-ce que je peux être guérie ce soir?" Tu le peux certainement, chérie, accepte simplement cela. C'est tout ce que tu as à faire, et tu peux rentrer à la maison et être bien portante.
Disons : "Gloire à Dieu!", Qui nous donne la victoire. [L'assemblée dit : "Gloire à Dieu!" - N.D.E.] La foi d'un petit enfant… Croyez seulement. Croyez-vous, tout le monde croit-il? Vous pouvez être guéri si seulement vous croyez.
74. La dame qui est assise là, vêtue de cette robe rouge, vous avez en quelque sorte un… Vous étiez donc vraiment en train de vous dire : "Ô Dieu, vas-Tu me désigner ce soir?" C'est la vérité, n'est-ce pas? Ce n'est pas que je lise votre pensée, mais c'est exactement ce que vous avez dit. C'est juste. En effet, vous voulez guérir de l'arthrite, n'est-ce pas? Et vous avez aussi une bursite, n'est-ce pas? C'est juste? Très bien, maintenant vous pouvez guérir de cela, si seulement vous… votre foi touche le Seigneur Jésus. Amen.
Oh, mes frères, comment pouvez-vous Le rejeter? Comment pouvez-vous dire qu'Il n'est pas vivant ce soir ? Comment n'est-Il pas vivant? Le voici faisant la même chose qu'Il faisait quand Il était ici sur terre. Croyez simplement en Lui; c'est tout ce que vous avez à faire. Vous voyez, ces gens là-bas, sans carte de prière ni rien du tout, ils n'ont pas la possibilité de monter ici sur l'estrade, ils - ils ont toutefois la foi là-bas loin d'ici, de cet endroit. Et quand vous faites cela, ça touche la chose. Maintenant, je sens chaque esprit ici présent. C'est tout à fait juste. Et si Dieu le voulait, vous ne pourriez pas cacher votre vie, même si vous deviez le faire. Vous voyez? Très bien maintenant, c'est où?
Bonsoir, monsieur. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? La raison pour laquelle je dis cela, monsieur, ce n'est pas pour un… Je suis un de Ses piètres représentants. Mais avec le peu que je peux, et de tout mon cœur, je L'aime de tout mon cœur et de toute mon âme. Je L'aime.
Et je pense, mon frère, que vous et moi nous sommes des inconnus l'un à l'autre. Peut-être que nous ne nous sommes jamais vus de la vie. Vous m'avez vu, mais moi, je ne vous connais pas. Vous m'avez probablement vu par le - en assistant aux réunions et tout comme cela. Oui, oui, monsieur. Bien, alors, le seul moyen par lequel Dieu puisse savoir - dont je puisse savoir quoi que ce soit à votre sujet ou la raison pour laquelle vous êtes ici, c'est par Dieu. Est-ce juste? Maintenant, s'Il me montre votre problème, c'est la vision qui m'affaiblit. Vous voyez? En effet, je… S'Il me montre votre problème, eh bien, ce sera suffisant pour vous. Vous croirez cela alors, n'est-ce pas? De tout votre cœur…
Si vous pouvez être aussi respectueux que possible.
75. Maintenant, mon frère, bien sûr, il y a des esprits tout autour, partout. Votre frère, moi-même, maintenant c'est dans un autre monde, mais vous vous éloignez de moi. Et je vois que vous souffrez du cœur. C'est dû à une maladie nerveuse, c'est ce qui a provoqué ces troubles cardiaques. C'est une maladie nerveuse. C'est juste. Vous avez une - une femme qui est aussi malade. C'est comme si elle souffre du colon, d'une sorte d'affection. Vous avez un… Je vois une fille. Vous avez une fille, elle est handicapée motrice ou quelque chose comme ça. Vous en avez une. Et vous avez une autre fille qui souffre des troubles nerveux. Elle fait quelque chose à l'école; n'est-elle pas une enseignante ou quelque chose comme ça à l'école? C'est juste, c'est une enseignante. Ces choses sont vraies, monsieur. Maintenant, ce n'était pas moi qui parlais. C'était ma voix, mais c'était Lui qui parlait.
Maintenant, quoi que ce soit qu'Il vous a dit, c'est la vérité. Car Il est la même Personne qui a dit ici : "Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris." Croyez-vous cela? Alors approchez.
Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, envoie Ta bénédiction sur cet homme et donne-lui, ô Père, le désir de son cœur. Je demande ceci au Nom de Jésus, le Fils de Dieu. Amen.
Que Dieu vous bénisse, mon frère.
Bonsoir, monsieur. Nous sommes des inconnus l'un à l'autre, je pense, monsieur? Quand je parle aux gens, c'est comme si tout le monde… que… Je voudrais juste vous parler un instant. Je vois que vous avez une Bible et cette photo. J'espère que vous les appréciez et que Dieu vous bénit quand vous en faites la lecture. Nous sommes des inconnus l'un à l'autre. Je ne vous ai jamais vu de ma vie, à ce que je sache. Nous sommes de parfaits inconnus l'un pour l'autre. Si donc il y a quelque chose qui vous concerne, ou la raison pour laquelle vous êtes ici, Dieu devra me donner cela d'une certaine manière. Si moi, par l'Esprit de Dieu, je connais ces choses, exactement comme Jésus les connaissait lorsqu'Il était ici, alors vous devrez savoir que cela vient d'une source surnaturelle. Alors allez-vous accepter que cela vient de Dieu? Que Dieu vous bénisse.
76. L'auditoire fera-t-il de même? J'aurai souhaité avoir plus de force pour continuer ; mais à présent, juste pour vous parler une minute…
Vous souffrez de la nervosité. C'est juste. Vous êtes cependant une personne merveilleuse. Vous avez un esprit fort, la vision apparaît rapidement pour vous. Vous êtes - vous êtes un vétéran handicapé. Vous avez une femme; vous êtes marié. Elle aussi est traquée par la nervosité. Vous êtes du Texas. Vous êtes ici… Vous êtes dans les affaires, une sorte de… Vous êtes - vous êtes dans les stations service, vous tenez une station service. Vous avez reçu un appel au ministère dans votre vie; vous sentez cela. Et vous essayez de rassembler de l'argent pour aller dans une école quelque part étudier, étudier cela. C'est vrai. Croyez-vous? Eh bien, alors, AINSI DIT LE SEIGNEUR, allez et recevez ce que vous avez demandé, au Nom de Jésus.
77. Croyez-vous que le Seigneur Jésus vous a guéri pendant que vous étiez là? Vous l'avez été. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez partir maintenant et être bien portant.
Mère, croyez-vous que Jésus va vous débarrassez de cette arthrite, que vous allez être bien portante? Partez tout simplement et dites : "Merci Seigneur Jésus!" Juste…
Vous avez des maux de tête, n'est-ce pas? Vous avez souffert de toutes sortes de maux de tête. Dieu vous a béni. La personne qui est assise là à côté de vous, vous souffrez des oreilles, n'est-ce pas? Croyez-vous que Jésus va vous rétablir?
La dame qui est assise juste là a quelque chose dans les yeux. Vous avez une tumeur dans les yeux, n'est-ce pas, madame? Mettez vos mains sur les yeux et essuyez-les comme ça. Maintenant, partez et voyez. Jésus-Christ vous rétablit.
Gloire à Dieu! Vous souffrez d'une maladie des femmes et de l'arthrite aussi. Vous croyez que Jésus va vous… Que Dieu vous bénisse alors ; partez et Dieu va vous rétablir. Partez en vous réjouissant, étant heureuse.
78. Votre problème, c'est dans le dos, n'est-ce pas, madame? Voulez-vous être bien portante? Marchez jusque là et penchez-vous comme ceci, puis repliez votre dos en arrière et dites : "Jésus, j'accepte cela." Puis partez et Jésus-Christ va vous rétablir. Disons : "Gloire à Dieu." [L'assemblée dit : "Gloire à Dieu!" - N.D.E.]
Frère, vous voulez aller prendre votre souper, être de nouveau bien portant? Très bien, partez, cet ulcère vous a quitté; vous pouvez partir et être rétabli maintenant.
Approchez. Croyez-vous? Madame, croyez-vous? De tout votre cœur? Alors vous n'aurez pas à subir l'opération; la tumeur va vous quitter et vous pouvez rentrer chez vous…?…
Le diabète n'est rien pour que Jésus-Christ ne puisse guérir cela. Amen. Croyez-vous en Lui?
Vous voulez aussi être guéri de cette tumeur? Que Dieu vous bénisse. Alors partez et soyez rétabli au Nom de Jésus. Amen.
Ayez foi en Dieu.
79. Qui a appuyé sur l'interrupteur? Très bien, soyez calmes. Etes-vous tous ensemble? Est-ce là le reste de la ligne?
Très bien, vous jeune fille, ayez foi maintenant. Croyez de tout votre cœur. Une ombre noire de la mort est suspendue au-dessus de cette famille. Ces gens sont à la charge de cette dame. Ces gens sont des Indiens. Vous venez d'une école indienne. On vous a renvoyée de l'école à cause de la tuberculose. Ils disent que les enfants vont tous mourir. Celui-ci, c'est le père. Regardez-moi, monsieur. Cette dame-ci a contracté la tuberculose en travaillant, et elle fait travailler sa foi. Vous sentez que vous avez un appel au ministère. Vous voulez prêcher l'Evangile. Vous… L'ombre de la mort est au-dessus de vos enfants. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Croyez-vous que cette ombre peut être ôtée ce soir, que vous pouvez rentrer vers les vôtres avec ces enfants et être rétablis et vivre? Irez-vous prêcher l'Evangile et croyez au Seigneur Jésus? Alors Dieu Tout-Puissant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je condamne chaque puissance démoniaque. J'ôte la malédiction qui est sur ces gens. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, que chaque esprit malin les quitte. Oh! ces gens sont en train de perdre l'espoir. Sors, Satan, je t'adjure au Nom du Seigneur Jésus.