Melchisédek le grand prince
1 Bonjour les amis. Je suis certainement heureux
d'être ici ce matin, en cette belle matinée d'hiver, le soleil brille.
Et alors que j'étais assis là avec le Révérend monsieur Beeler, pendant
qu'il faisait les enregistrements, nos coeurs sont heureux du
Saint-Esprit qui se déverse dans le bâtiment et des gens qui se
réjouissent, des enfants qui sont heureux. Nous sommes reconnaissants
d'être en vie et parmi ceux qui peuvent venir à la réunion aujourd'hui.
Maintenant, nous sommes reconnaissants pour chacun de vous.
2 Et pour les huissiers qui sont là-derrière, si
quelqu'un entre, il y a quelques places ici, ils peuvent s'asseoir le
dos contre l'autel, et d'autres sur un banc ici, devant également,
si--si des gens entrent un peu plus tard.
3 Maintenant, la semaine prochaine, nous commençons
le tour de l'année, un autre tour du monde. En commençant le 12
prochain, mercredi prochain, à Chicago, à l'église de Philadelphie et
en campagne. Et ensuite, je suppose, de là, nous, ce matin, en
commençant le 3 février, nous commencerons alors à Lubbock au Texas.
Ensuite, de là, à Phoenix. Et ensuite à l'exposition au bétail entre
Los Angeles et South Gate, en Californie. Et alors, Dieu voulant, nous
désirons aller de là, à Honolulu.
4 Maintenant, j'apprécie certainement tous les gens
qui prient. S'ils voulaient simplement adresser au Seigneur, chaque
jour, une petite prière pour--pour ma santé. Je... Vous ne saurez
peut-être jamais, de ce côté-ci de l'éternité, combien je dépends de
vos prières quand je suis parti.
5 Je suis reconnaissant d'avoir entendu Frère Tommy,
ce matin, dans son témoignage, à savoir comment Dieu, les bras ouverts,
est toujours prêt à vous recevoir. Peu importe ce que vous avez fait,
Il est toujours avec les bras tendus pour recevoir chaque âme
repentante qui viendra à Lui, peu importe ce que vous avez fait ou
quelle que soit la grandeur du péché. Il est toujours désireux de
pardonner. Que Dieu vous bénisse, mon jeune frère.
6 J'ai remarqué les résultats de la réunion de
Dimanche dernier, les gens pour qui on a prié. Nous avons des
entretiens, en privé, pour amener les gens...
7 Je vous le dis, les amis, vous voyez, la raison
pour laquelle nous n'avons pas de service de guérison ici, c'est parce
que nous n'avons pas de pièce adéquate pour nous occuper des gens.
C'est ainsi. On n'annonce jamais les services de guérison, ici au
Tabernacle, bien que nous priions pour les malades, chaque fois que je
suis ici.
8 Et il est difficile de trouver des salles, et ainsi
de suite. Et vous, les étrangers, qui venez de différentes parties du
pays, qui entrez ici, il n'y a pas tellement de gens du plein Évangile
dans la communauté ou--ou ici dans les environs. Mais ils... Ce ne sont
pas tous ceux qui parrainent les réunions ou qui coopèrent dans les
réunions plutôt qui sont des gens du plein Évangile, parce qu'il y en a
beaucoup qui viennent de différentes églises. Nous n'essayons pas de
représenter une certaine organisation d'église. Nous essayons
seulement, avec l'aide de Dieu, de représenter le Seigneur
Jésus-Christ, et--et librement pour tous, chacun.
9 J'ai remarqué qu'il y avait un--un frère de
Couleur, à la réunion de Dimanche dernier, qui venait d'être sauvé, il
y a quelques mois, et sa femme bien-aimée. Elle était infirme, avec un
support. Il avait une très mauvaise hernie. Et tout en parlant avec lui
lors d'un entretien particulier, dans le bureau des diacres, dans un
entretien privé, comme il avait téléphoné à l'avance et fait les
arrangements. Chaque Dimanche, il y en a autant que nous pouvons
prendre, chaque Dimanche. Alors que j'étais assis là, j'ai senti, et
par l'inspiration du Saint-Esprit...
10 Une femme venait juste de sortir, elle avait des
béquilles; et elle les avait laissées, elle était sortie sans.
11 Et cet homme, qui croyait très certainement le
Seigneur Jésus; il avait une mauvaise hernie. Et je lui ai dit, j'ai
dit: «À partir de ce moment même, cette hernie va commencer à retourner
à sa place.» J'ai dit: «Maintenant, alors qu'elle--alors qu'elle
rentrera, alors vous l'observerez en train de rentrer et cela vous
donnera plus de foi.»
12 Vous voyez, la foi doit être basée sur quelque
chose, pas simplement sur une pensée mythique. Elle doit avoir quelque
chose de fondamental, sur quoi se tenir; c'est ce que fait la foi. Et
c'est la raison pour laquelle nous croyons que la Parole de Dieu
enseigne la guérison Divine, la délivrance de l'âme, la délivrance du
corps. Et nous la basons sur la Parole Éternelle de Dieu.
13 Et j'ai dit au frère: «Afin que vous sachiez que
je vous ai dit la vérité», car je le voyais devant moi dans la vision,
j'ai dit: «Quand vous rentrerez à la maison, prenez un ruban, serrez-le
autour de cette hernie et mesurez-la. Et ensuite coupez ce morceau de
ruban, et n'y touchez plus jusqu'au Dimanche suivant. Et avant de
venir, prenez un autre ruban et enroulez-le autour de cela, et
apportez-moi la différence, ce qui a rétréci.»
Il a dit: «Je le ferai.»
14 Eh bien! voici le ruban, il en a coupé environ
quatre centimètres, quelque chose comme ça. Voici l'homme assis ici,
afin que vous puissiez simplement voir ce qui est arrivé.
15 Maintenant quelque chose est arrivé. Je n'ai
jamais vu, de ma vie, quelque chose que Dieu ait dit, ou montré par une
vision ou une révélation qui n'ait pas exactement été de la manière
avec laquelle Dieu avait dit que ce serait, juste exactement.
16 Dimanche dernier, sa femme était venue en marchant
avec un support, comme une béquille ou un bâton, une canne. Et je l'ai
vue aujourd'hui. Elle ne pouvait presque plus marcher. Je lui ai dit
que le Seigneur allait la rétablir. Elle avait un--un membre qui
s'était raidi. Et je l'ai vue en train de marcher, elle avait mis la
canne sur son épaule. Et la voici aujourd'hui.
17 Là, voilà... [Une Soeur dit: «Gloire au Seigneur,
je suis cette femme.» Ndt.] Là, voilà une autre dame, une autre qui...
Qui? Qui était... Elle était dans un tel état, avec tant de maladies,
Dimanche dernier, infirme. Et elle habite du côté de Georgetown,
n'est-ce pas, madame, ou quelque part là-bas? [«Georgetown, Indiana.»]
Georgetown, Indiana. Elle a dit: «Mais Frère
Branham, je suis vieille.»
18 J'ai dit: «Mais Abraham était également bien plus
âgé que vous, quand on lui a demandé de croire quelque chose qui était
impossible.» Et elle l'a accepté et la voici.
19 Et voici l'autre dame assise juste derrière la
dame dont je parlais, juste là, derrière son mari. La dame de Couleur,
assise ici; et l'autre dame là-bas.
20 Les rubans, comme évidence. La béquille est
partie, comme preuve. Jésus-Christ vit et règne, c'est l'évidence
suprême qu'Il est ressuscité des morts et est avec nous en ce jour.
Comme nous Le remercions de la profondeur de notre coeur, parce qu'Il
vit encore, Il n'est pas mort. Il est ressuscité des morts et Il est
vivant parmi les mortels aujourd'hui, toujours désireux, capable d'agir
abondamment et au-delà de ce que nous pouvons faire ou penser. Nous Le
louons de tout notre coeur, pour Sa bonté loyale à notre égard.
21 Maintenant voyez si... Y a-t-il encore des bancs
là? [Frère Neville dit: «Il y en a quelques-uns de larges là derrière.»
Ndt.] Très bien. Ils en ont quelques-uns de plus, que nous pourrions
amener ici pour qu'ils s'asseyent sur l'estrade, si vous le désirez.
22 Maintenant, pour la leçon d'école du Dimanche,
nous allons... Ce fut mon tour d'enseigner un peu au sujet des leçons
d'école du Dimanche. Et, Dieu voulant, nous allons essayer de terminer
un sujet que nous avons commencé il y a quelques jours, ici à l'église,
il y a quelques Dimanches.
23 Et maintenant, frère Junior, ils pourraient
peut-être apporter... Je me demande si vous ne voudriez pas vous
asseoir ici sur l'estrade et laisser simplement certaines dames... Vous
pouvez l'apporter ici, et ce serait peut-être un peu plus confortable,
si vous l'ameniez ici devant. Et dès que la classe d'école du Dimanche
sera terminée, dans cette pièce, il y aura davantage de sièges,
davantage de sièges disponibles.
24 Maintenant, s'il y a quelqu'un... peut-être
quelqu'un qui est affilié avec cette église ici. Le fait de monter
jusqu'ici est peut-être un peu embarrassant pour des étrangers. Mais
vous, qui êtes affilié avec cette église, si vous voulez venir vous
asseoir ici, cela donnera probablement l'occasion d'avoir un siège à
quelqu'un qui entrera.
25 Maintenant, aujourd'hui, nous étudions dans la
Parole bénie de Dieu. Si vous vous souvenez du dernier message, c'était
dans le Livre des Hébreux.
26 C'est merveilleux d'étudier la Parole de Dieu!
Cela nous donne la Vie éternelle. Jésus a dit: «Sondez les Écritures,
car en Elles vous pensez avoir la Vie éternelle; et ce sont Elles qui
témoignent de Moi.» Comme il est bon de savoir qu'Il nous a bénis en
nous donnant la Parole vivante! Dieu est dans Sa Parole.
27 Maintenant, prenez tous votre Bible, au septième
chapitre des Hébreux.
28 Nous essayerons de ne pas prendre trop de temps ce
matin, si ce n'est pour une petite exaltation de Christ, par la Parole,
afin que nous puissions vous montrer ce qu'Il est et pourquoi nous
sommes ici aujourd'hui, pourquoi la Chrétienté est ce qu'elle est, en
parlant de la Parole. «Et la foi vient de ce qu'on entend, ce qu'on
entend de la Parole de Dieu.» La Parole!
29 Maintenant, nous pouvons prendre les pages et les
tourner comme ceci. Mais il n'y en a qu'Un seul qui soit capable
d'ouvrir la Parole, c'est Christ. Car ils L'ont vu dans la vision comme
«l'Agneau immolé avant la fondation du monde», lorsque Jean a regardé.
Et il n'y avait personne dans le ciel qui soit digne d'ouvrir le Livre
ou qui pouvait, ou d'en rompre les Sceaux. Et il vit un Agneau comme
immolé avant la fondation du monde, qui est venu et a pris le Livre de
la main droite de Celui qui est assis sur le Trône, et Il a ouvert le
Livre et en a rompu les Sceaux.
30 Maintenant, Il est l'Auteur du Livre. Parlons-Lui
un instant, juste avant d'ouvrir le Livre.
31 Notre aimable Père Céleste, nous venons
aujourd'hui avec des coeurs grands d'amour profond, nous venons
aujourd'hui pour offrir notre hommage de louanges et d'actions de
grâces à l'égard de Ton Nom glorieux. Il s'est tellement soucié de
nous, car «lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort à notre
place, l'innocent pour le coupable. Il a porté sur Lui les péchés de
nous tous, Il les a emmenés au loin», et Il a payé le prix suprême; Il
a satisfait Dieu. «Et Il est ressuscité pour notre justification, Il
est assis à Sa droite, toujours vivant pour intercéder sur notre
confession.» Oh! Comme nous Te remercions pour cette ferme espérance
que nous avons! Alors que tout cède du terrain autour de nous, même la
vie mortelle elle-même, nos coeurs sont branchés sur cette espérance
bénie, Éternelle.
32 Beaucoup ici sont nécessiteux ce matin, Père, pour
leur esprit, pour leur âme. Nous Te prions de sauver ceux qui ne sont
pas sauvés. Accorde-le, Seigneur. Donne une marche plus proche à ceux
qui sont indifférents envers Toi. Et nous Te prions de guérir tous ceux
qui sont malades, afin que s'accomplisse ce qui a été parlé par notre
Seigneur Lui-même: «Les choses que Je fais, vous les ferez aussi.» Et
Il a dit cela afin que nous devions «aller dans le monde entier et
prêcher l'Évangile; imposer les mains aux malades, et ils seront
guéris.»
33 Et nous voyons ici dans ce bâtiment, ce matin,
beaucoup de personnes qui marchaient avec des béquilles il y a quelques
jours et qui marchent sans elles aujourd'hui, normalement. Ils ont été
élevés et soutenus par le soutien des bras éternels de notre Seigneur
Jésus-Christ; ils marchent! Ceux qui mouraient de cancer sont ici, en
bonne santé. Tes serviteurs, les médecins, ont statué qu'ils ne le
trouvent plus. C'est parti. Nous Te remercions pour ces choses.
34 Pardonne nos manquements, et remplis nos coeurs
d'amour. Parle-nous par Ta Parole maintenant, car nous le demandons en
Son Nom. Amen.
35 Juste une petite présentation, pour comprendre les
sentiments de notre leçon sur les Écritures de ce matin. C'est, nous
avons parlé de l'assurance de l'espérance qui est en nous,
magnifiquement rendue ici dans la lettre aux Hébreux. Après avoir lu
comment Dieu a traité avec Son peuple, Israël, dans les jours passés,
ensuite nous voyons que la promesse a été étendue jusqu'à nous, cela
nous donne une grande assurance alors que nous voyons que toutes ces
choses qui sont arrivées en ces jours-là sont un exemple de ce que Dieu
fait pour nous aujourd'hui, Ses enfants qui croient.
36 Et maintenant, une petite rétrospective de la
leçon de Dimanche dernier; le sixième chapitre des Hébreux. Nous
commencerons au douzième ou au treizième verset ici.
Car lorsque Dieu fit la promesse à Abraham, ne
pouvant jurer par plus grand que Lui, Il jura par Lui-même.
37 Je suis certain que la classe se souvient comment
nous sommes entrés là-dedans, pour voir ce que Dieu avait fait, comment
Il avait promis à Abraham de lui donner cette alliance, comment Il
l'avait établie avec lui et sa Semence après lui, pour toujours.
38 Et Dieu jura par un serment. Et quiconque jure par
un serment jure par quelqu'un de plus grand que lui. Ainsi, Dieu
n'avait personne plus grand que Lui, par lequel jurer, ainsi Il jura
par Lui-même qu'Il garderait cette alliance avec Abraham. Que notre
fondation est donc solide, vous qui êtes les saints du Seigneur!
39 Si nous voulions nous approcher de ce sujet
aujourd'hui, d'une manière vraiment sensée, calme, sans jamais être
excité. La foi ne s'excite jamais. La foi ne se précipite jamais. La
foi sait ce dont elle parle.
40 Vous n'avez jamais vu notre Maître excité au sujet
de quoi que ce soit. Alors qu'Il se tenait devant le tombeau d'un homme
mort, Il était tout aussi calme que lorsqu'Il se tenait sur la montagne
et regardait Jérusalem.
41 Alors qu'Il se tenait dans la barque, sur une mer
agitée, les vagues écumantes, Il se reposait entièrement en Dieu, au
point même où cela n'attira pas assez son attention pour le réveiller.
La foi n'est jamais dérangée.
42 Nous découvrons ici la raison pour laquelle nous
pouvons nous tenir sans être dérangés; c'est parce que cela fut donné à
notre père Abraham et à ses enfants. Et le Dieu qui a donné la
promesse, a juré par un serment qu'Il le confirmerait et le garderait.
Et c'est ce qu'Il a fait.
43 Et nous voyons que les enfants d'Abraham ne sont
pas les Juifs extérieurement, qui étaient la tribu de... la lignée
d'Abraham. Mais par Abraham est venu Isaac; par Isaac est venu Christ;
par Christ le monde a été béni. Car il est dit: «En Abraham et Sa
Semence, qui était Christ.» Et par là, le fait que toutes les tribus de
la terre devaient être amenées dans cette alliance.
44 L'alliance a été donnée à Abraham de façon
inconditionnelle. Non pas: «Abraham, si tu fais quelque chose, Je ferai
ceci.» Mais: «Je l'ai déjà fait.» Voyez-vous?
45 Ce n'est pas ce que nous faisons; c'est ce qu'Il a
fait pour nous. Ce n'est rien que nous puissions faire pour mériter
quoi que ce soit. Comment pourrions-nous jamais, nous qui sommes
injustes, faire quoi que ce soit pour mériter quelque chose devant le
grand Dieu Jéhovah et Sa suprême Sainteté? Voyez? La seule chose que
nous puissions faire est d'accepter et d'être reconnaissants pour ce
qu'Il a déjà fait pour nous. Oh! c'est si simple, n'est-ce pas?
46 Et je suis certain que bien souvent, dans la
pensée des gens, ils essaient de rendre la guérison Divine et ainsi de
suite, loin de leur portée, quelque chose qui est bien loin: «Si je
pouvais seulement l'atteindre!»
47 Pourriez-vous imaginer Jésus en train de dire:
«Maintenant, laissez-Moi vérifier Ma foi pour voir si J'ai assez de foi
pour faire ceci. Je vais voir s'il faut que Je jeûne un peu afin de
voir si J'aurai assez de foi pour le faire.»
Il était parfaitement inconscient de la foi qu'Il
avait. Il le parlait simplement, et Il savait que ce serait ainsi.
48 Tout comme vous avez quitté vos foyers
aujourd'hui. Vous désirez probablement rentrer chez vous. Vous avez dit
à votre femme ou à vos bien-aimés: «Je serai de retour cet après-midi.»
Comment le savez-vous? Vous ne vous demandez pas:
«Ai-je suffisamment la foi pour rentrer à la maison? Ai-je suffisamment
la foi pour conduire ma voiture?» Mais simplement, de manière
inconsciente, vous tournez la clé, vous démarrez et vous rentrez à la
maison. Voyez-vous? C'est la foi inconsciente qui le fait.
49 C'est ainsi en Christ. Nous disons simplement, de
manière inconsciente: «C'est Sa Parole. Cela règle simplement la
question. Il n'y a rien à ajouter.» Et nous allons de l'avant. C'est
ainsi qu'ils obtiennent de l'aide. Donc, «Dieu a juré par Lui-même,
n'ayant personne de plus élevé au-dessus de Lui.»
50 Nous allons nous dépêcher, car notre sujet
aujourd'hui est Melchisédek le Grand Prince et Roi.
51 Maintenant, le quatorzième verset dit:
Certainement, Je te bénirai et Je te multiplierai.
52 Car Il devait se multiplier dans toutes les
nations. Et l'Évangile, par Christ... Maintenant, cela n'aurait pu se
faire sous la dispensation de la loi, car elle ne pouvait pas s'étendre
jusque là; c'était seulement pour les circoncis, c'était les Juifs.
Mais dans la sphère du Saint-Esprit, Il a circoncis chaque coeur,
voyez-vous, toutes les nations. Il devait multiplier Abraham dans
toutes les nations.
Et ainsi, après avoir enduré avec patience, il
obtint la promesse.
53 Comme nous sommes restés là-dessus: «Abraham a
enduré avec patience.» Endurer, c'est voir (quoi?) le Dieu invisible
comme s'Il était visible, se tenir devant lui. «Et après avoir enduré,
après avoir supporté le dur combat, il hérita la promesse.»
54 N'est-ce pas étrange? Il semblait que Dieu aurait
pu descendre et lui donner la promesse directement, accomplir l'oeuvre
à ce moment-là. Il aurait pu le faire.
55 Anne, lorsqu'elle était au temple, elle était en
train de prier. Et Éli est sorti et pensait qu'elle était ivre. Et elle
a dit: «Je ne suis pas ivre, mais je prie que Dieu ôte mon opprobre.»
Il a dit: «Que Dieu t'accorde ta--ta requête.»
56 Dieu aurait pu placer le petit Samuel directement
dans les bras d'Anne. Nous savons tous cela. Il est le Créateur de
toutes choses, Il les appelle simplement à l'existence. Il aurait pu le
mettre directement dans les bras d'Anne. Mais au lieu de cela, il y eut
le processus habituel de neuf mois avant que le petit bébé n'arrive. Il
aurait pu le faire instantanément, mais Il ne l'a pas fait
instantanément. Il lui a simplement donné la promesse.
57 Quand Dieu a dit à Moïse, quand il est parti pour
entrer dans le pays promis: «Toute cette promesse, dit-Il, que J'ai
faite à Abraham il y a des années, elle est fortifiée avec des
Philistins et toutes sortes de gens là, des guerriers.» Il a dit: «Tout
cela vous appartient.» Il y avait des Amoréens, des Héthiens et des
Phéréziens; et tous les autres, les Héviens, les Jébusiens, les
Philistins et tout, en Palestine. Maintenant, Dieu a dit: «Je vous l'ai
donné. C'est à vous. Allez vous en emparer.»
58 Oh! j'espère que vous le voyez. C'est quelque
chose que je désire que vous saisissiez, pour mettre votre foi à sa
place. Beaucoup de personnes, comme je le découvre, peuvent... Ils ont
la foi, s'ils savaient seulement comment la mettre en action.
59 Quand Benjamin Franklin a découvert l'électricité,
il a dit: «Je l'ai! Je l'ai!»
Mais il ne savait pas ce qu'il avait.
60 Puis Thomas Edison vint et dit: «Cela va agir pour
nous.» Et il ne se soucia pas du temps que cela prenait. Il essaya dix
mille fils. Mais finalement il trouva un fil qui pouvait transporter
l'électronique, ou l'électricité, dans le fil. Il savait que c'était
une puissance, et que cette puissance agirait à notre profit.
61 Et maintenant nous avons trouvé le Salut, qui nous
sauve du péché; qui prendra la femme ou l'homme le plus vil, un
ivrogne, une prostituée pour en faire un enfant de Dieu. Eh bien! cette
même foi, cette même puissance qui peut élever un homme ou une femme
déchu hors de cet état, agira pour nous de différentes manières. Elle
guérira nos corps, si vous pouvez simplement trouvez l'approche
correcte. Vous devez découvrir comment le faire.
62 Tout comme, si j'avais une--une ferme de ce
côté-ci de la colline, pleine de bon blé, qui serait presque mort par
manque d'eau. Et j'ai un puits artésien de ce côté-ci de la colline. Eh
bien! je ne peux pas faire que le puits artésien lance l'eau ici, en
haut, de ce côté de la colline, pour l'arroser. Mais je dois examiner
ce terrain et découvrir comment cette eau peut s'écouler en suivant son
propre cours pour contourner et venir arroser cette récolte. Elle le
fera, si je la laisse simplement suivre son propre canal.
63 Et c'est la même chose avec le Saint-Esprit et la
promesse de Dieu. Si nous voulons seulement Le laisser suivre Son
propre chemin, sans nous mettre nous-mêmes dans ce chemin, sans que
nous y mettions nos doutes, parce que ceci n'a pas... ou cela n'a
pas... Laissez simplement le Saint-Esprit de Dieu agir, et reposez-vous
sur la promesse; elle accomplira exactement ce que Dieu a dit qu'elle
ferait.
64 Abraham était un vieil homme, âgé de cent ans,
lorsque Dieu lui apparut sous le Nom de Dieu Tout-Puissant. Le
'Tout-Puissant' là, vient du mot hébreux El Shaddaï, qui signifie 'la
poitrine ou le sein d'une femme'. Maintenant il était vieux. Sa force
s'en était allée. Mais El Shaddaï est le Tout-Puissant, «Celui qui
donne la force». Et tout ce qu'Abraham a dû faire pour obtenir la
promesse, était de se reposer directement sur cette promesse. En
d'autres mots, comme le bébé à l'égard de sa mère, qui tire sa
nourriture de sa mère, la force pour le bébé.
65 Et nous faisons la même chose quand nous venons à
Dieu et que nous voyons Sa promesse. Nous nous reposons directement sur
Lui et nous tirons de Sa Parole la force de Dieu, donnée selon Son
cours, sans prendre notre propre pensée, en La croyant simplement.
66 «Après avoir persévéré, il obtint la promesse.»
Oh! comme j'aime cela! Maintenant, la même chose qui agit pour le Salut
agit pour la guérison Divine. Comment Dieu, dans Son grand amour et sa
miséricorde infinie, nous l'a donnée! Maintenant:
...en disant: «Certainement, Je te bénirai et je
multiplierai ta postérité.
Et c'est ainsi qu'Abraham ayant persévéré, obtint
l'effet de la promesse.
67 Au verset 16:
Or, les hommes jurent par celui qui est plus grand
qu'eux, et le serment est une garantie qui met fin à tous leurs
différends.
68 En d'autres mots, quand on a prêté serment, c'est
la fin de toutes choses. Si vous venez dire: «Frère Branham, en tant
que Chrétien, je mets la main sur la Bible et je jure solennellement de
faire une certaine chose. Si Dieu me laisse vivre pour l'accomplir, je
le ferai.» Très bien. Alors, pour moi, c'est la fin de tous les doutes.
Voyez-vous? Vous m'avez juré de le faire.
69 Et Dieu a juré à Abraham qu'Il garderait cette
alliance avec lui et sa Semence pour toujours. Dieu a juré par
Lui-même, qu'Il le ferait. Et en faisant ainsi...
70 Sous la loi ancienne, quand vous faisiez un
serment sous la loi ancienne, vous deviez tuer un animal et le couper
en deux. Et alors les deux hommes, par lesquels le serment était pris,
se tenaient entre l'animal et ils écrivaient un certain contrat sur un
morceau de papier. Et ce morceau de papier était déchiré en deux et
donné à chacun des deux hommes. Et ils faisaient le serment sur cet
animal mort, que s'ils brisaient l'alliance entre eux, qu'ils soient
comme cet animal mort.
71 Ainsi Dieu, n'ayant nul autre par qui jurer, jura
par Lui-même, et fit le serment sur le corps du Seigneur Jésus-Christ,
voyant cela à l'avance, comme une ombre. Et dans l'alliance, quand Il a
pris Christ au Calvaire, Il a déchiré Son corps et Son âme en deux. Et
Il éleva Son corps, pour le faire asseoir à Sa droite et Il renvoya le
Saint-Esprit afin d'être dans le Chrétien, pour accomplir les mêmes
choses ici dans l'Église que ce qu'Il avait fait en Christ quand Il
était ici sur Terre. Il prouvait par là qu'Il nous ressusciterait dans
les derniers jours, pour nous asseoir avec Lui et être avec Lui dans
Son Royaume.
72 Et aujourd'hui, nous voyons le même Saint-Esprit
qui était en Jésus-Christ, agir dans l'Église, confirmant tout ce que
Dieu a dit! Quelle merveilleuse espérance se construit en nous, de
penser que nous sommes Ses enfants et bénis par Sa Présence! Et
maintenant, Il est ici avec nous, comme preuve infaillible qu'Il est le
Seigneur Dieu qui a fait la promesse à Abraham.
73 Écoutez maintenant, au verset 17:
C'est pourquoi Dieu, voulant montrer avec plus
d'évidence aux héritiers de la promesse l'immutabilité de sa
résolution, intervint par un serment, afin que, par deux choses
immuables, dans lesquelles il est impossible que Dieu mente, nous
trouvions un puissant encouragement, nous dont le seul refuge a été de
saisir l'espérance qui nous était proposée.
74 Quelle merveilleuse promesse: «Deux choses
immuables!» Dieu ne peut pas mentir et rester Dieu. Maintenant, si Dieu
a fait une promesse dans Sa Bible ici, nous croyons que la Bible est la
Parole infaillible de Dieu. Et si Dieu a fait une promesse dans cette
Bible, nous avons cette consolation et nous savons qu'il est impossible
à Dieu de mentir. Ainsi, lorsque nous voyons qu'Il l'a promis dans la
Bible, nous le croyons, âme, corps et esprit. Il est impossible qu'Il
mente. S'il y a une faute quelque part, elle est en nous, pas en Dieu.
Car Dieu est lié à Sa Parole, car Il a juré par Sa Parole. Oh! la la!
75 Je suis certain que lorsque nous commençons à le
voir sous cette lumière, les choses commencent à se former et à se
présenter différemment d'avant. La guérison du corps ne devient pas une
fiction. Elle devient une réalité. Le baptême du Saint-Esprit ne
devient pas une substance émotionnelle, fabriquée. Il devient une
réalité de la Présence du Seigneur Jésus-Christ, qui habite à
l'intérieur, pour changer la vie.
76 Un soir précédent, dans une réunion de prière, un
homme me disait: «Le Saint-Esprit n'a pas été donné... seulement aux
dix, ou aux douze, le jour de la Pentecôte.»
77 J'ai dit: «Eh bien! alors, qu'en est-il des cent
vingt qui étaient là en même temps, qui L'ont reçu? Et à la maison de
Corneille, lorsque les Nations L'ont reçu? Trente-trois ans plus tard,
quand Paul a demandé aux--aux Baptistes s'ils avaient reçu le
Saint-Esprit depuis qu'ils avaient cru; il leur imposa les mains et ils
reçurent le Saint-Esprit. Il a mis l'église de Corinthe en ordre: «Il a
également mis dans l'Église des apôtres, des prophètes, des docteurs,
des évangélistes, des dons de guérison» et tous ces merveilleux dons,
des années et des années après la Pentecôte.
78 Ensuite, c'est aujourd'hui, pour chaque croyant.
«Allez dans le monde entier et prêchez l'Évangile à chaque créature.»
Jusqu'où? «Le monde entier.» Combien? «Tout le monde.» «Celui qui
croira et sera baptisé, sera sauvé. Celui qui ne croira pas, sera
condamné. Et ces signes suivront ceux qui croient: en Mon Nom ils
chasseront les démons, et guériront les malades, et ainsi de suite.»
79 Vous y voilà! C'est la promesse de Dieu, qu'Il a
juré d'accomplir. Peu importe le nombre de ceux qui se lèvent pour Le
contrefaire ou L'imiter, le nombre de choses qui s'élèvent pour Le
contredire ou L'abattre, Cela ira de l'avant, pour toujours, car Dieu a
juré par Lui-même qu'Il le garderait. Si je manque de Le prêcher et que
je Le laisse tomber, Dieu suscitera quelqu'un d'autre à ma place pour
aller de l'avant avec cela. Si vous manquez de le croire, quelqu'un
d'autre prendra votre place pour le croire, à votre place, car Dieu a
juré qu'Il le ferait. Oh! quelle consolation cela nous donne!
80 Et ce qui est beau là-dedans, mon ami Chrétien,
est de penser que nous en avons maintenant la preuve. Nous L'avons ici
en bénédiction. Nous L'avons ici en puissance. Nous L'avons ici en
miracles. Nous L'avons ici en signes. Nous L'avons ici dans une image.
Nous L'avons ici de chaque manière où Dieu l'a promis, même davantage
qu'Il a promis de nous le donner. Et c'est infaillible, la Vérité. La
vérité, non de l'homme, non la vérité d'un docteur ou d'un philosophe,
mais c'est la Vérité du Dieu Tout-Puissant. Quelle espérance cela nous
donne! Pas étonnant que nous puissions chanter:
Mon espérance n'est construite sur rien d'autre
Que le Sang de Jésus avec sa justice;
Lorsque tout s'écroule autour de moi,
Alors Il est toute mon espérance et mon fondement.
Car c'est en Christ, le Roc solide, que nous nous tenons;
Tous les autres terrains ne sont que sable mouvant.
81 Que ce soit la popularité, que ce soit notre
église, que ce soient nos amis, nos associés, qui que ce soit; que ce
soit notre médecin, que ce soit notre prêtre, que ce soit notre
prédicateur; tous les autres terrains sont des sables mouvants. Christ
seul! Et si quelqu'un est jamais parvenu quelque part dans ce grand
champ de bataille, ce furent des hommes et des femmes qui se sont tenus
seuls sur leurs convictions. Quand tout le reste a échoué et que tout
s'est écroulé autour d'eux, ils se tenaient encore debout.
82 Jadis, Abraham Lincoln était convaincu avoir
raison. Il s'est tenu seul sur ses convictions, mais il a prouvé et a
scellé son témoignage par son sang.
83 Jésus-Christ s'est tenu seul, en Son jour, comme
un exemple que tout homme, sur ses convictions de la Vérité Éternelle
de Dieu, et qui prendra position, se tiendra seul. Mais pas seul; avec
Dieu! Le compagnon invisible Qui nous suit au travers du voyage de la
vie, au travers des ombres, dans la vallée de l'ombre de la mort, et
dans l'Éternité. Il ira toujours avec nous, et sera Dieu.
84 Alors, sur quoi notre espérance est-elle bâtie ce
matin? Parce que Dieu a juré à Abraham qu'Il le ferait. Il l'a juré non
seulement à Abraham, mais à chacune de ses Semences. Qui est la
Semence? C'est... vous qui avez eu l'invitation de venir au Seigneur
Jésus-Christ, la Semence d'Abraham. Certainement, il y a des gens qui
ne sont pas appelés. Mais à chacun de vous ici, qui avez eu l'appel.
85 Pourquoi êtes-vous à l'église ce matin? [Frère
Branham frappe sur la chaire trois fois. Ndt.] Quelque chose vous a dit
de venir. Vous savez que ce n'était pas l'ennemi, qui essayait de vous
faire mal agir; qui essayait de vous faire mal agir en venant à
l'église. Vous ne pourriez pas faire cela. Quand vous venez à l'église,
vous faites la chose juste.
86 Et Jésus a dit, avec Ses propres Paroles, que:
«Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l'attire. Et tous ceux
qui viendront, Je leur donnerai la Vie éternelle, et Je le
ressusciterai au dernier jour.» Pensez-y, la Vie éternelle et la
résurrection sont promises à chaque personne qui vient à l'invitation
du Seigneur Jésus-Christ; par Jéhovah Dieu, Qui a juré qu'Il le ferait,
et Il a envoyé Son Fils et confirmé la Parole. Et Il a juré de le
faire; Il l'a montré en type à Abraham; Il l'a accompli en
Jésus-Christ, Il l'a ressuscité!
En vivant, Il m'a aimé; en mourant, Il m'a sauvé,
Enseveli, Il a emmené au loin mes péchés;
En ressuscitant, Il m'a justifié gratuitement pour toujours;
Un jour Il reviendra, oh quel glorieux jour!
87 Vous y voilà! Notre justification! Chaque fois que
vous entendez les mottes tomber sur le cercueil, en entendant: «Les
cendres retournent aux cendres, la poussière à la poussière et la terre
à la terre», notre foi regarde à un autre pays là-bas, où il y a une
tombe vide, où un jour glorieux, viendra Celui qui a promis de venir.
Et tout aussi certainement que Jésus est ressuscité des morts, nous
ressusciterons avec Lui dans la résurrection. Quelle belle espérance
nous avons!
88 Avançons rapidement maintenant. Notre temps sera
passé avant que nous ne nous en rendions compte. Maintenant, je crois
que c'est au 19ième verset:
Cette espérance, nous la possédons comme une ancre
de l'âme, sûre et solide; elle pénètre au-delà du voile...
89 L'ancre de notre âme qui est allée au-delà du
voile, derrière le voile, et qui est ancrée!
90 Vous savez, un bateau, parfois... Les matelots et
ainsi de suite, vous le savez, et vous qui avez été sur les mers.
Lorsque, véritablement, les vagues sont trop fortes pour le bateau, ils
l'ancrent. Et il y a une ligne, qu'ils font descendre, qui le tient. Et
cela peut glisser de ce côté-ci et de ce côté-là, mais cette ancre le
tient. L'ancre! Ils ne peuvent pas voir la terre, nulle part! Mais ils
laissent descendre l'ancre derrière le voile, ce qui est l'eau, et
cette ancre descend au fond de la mer, sur le sommet--sommet d'une
grande montagne, quelque part. Et elle est traînée jusqu'à ce qu'elle
accroche quelque chose sur cette montagne, elle tient à cette crevasse
là, et toute la mer ne peut plus la déplacer. C'est ancré, hors de vue.
91 Et toute personne qui a reçu Jésus-Christ comme
Sauveur personnel, qui est née de nouveau du Saint-Esprit, vous avez
laissé tomber l'ancre. Si vous êtes malade, et que votre espérance est
bâtie sur Christ, vous avez jeté l'ancre. Le docteur peut dire ceci,
cela ou autre chose; mais aussi certainement que votre foi regarde
là-bas! Les vagues, les crises, la fièvre peuvent surgir, et toute
autre chose, mais votre ancre tient derrière le voile.
92 Quelque part, là-bas dans le pays mystique, ils
disent: «Sur quoi votre espérance est-elle bâtie? Le médecin a dit que
c'était terminé. La médecine dit qu'elle ne peut rien faire. La
chirurgie a échoué.»
Mais mon espérance n'est pas bâtie là-dessus.
93 Nous avons notre espérance derrière le voile. Quel
voile? Par le Sang répandu, qui a déchiré Son Esprit de Son corps. Et
derrière ce voile-là, l'ancre s'est accrochée à Quelque chose.
94 Un jour, j'ai vu un bateau qui était secoué par
les vagues. Et je pensais: «Qu'est-ce qui maintient ce bateau au même
endroit?» Je ne pouvais pas comprendre. «Il était là sur la mer?» Je
remarquais que les vagues ne pouvaient pas l'emporter de ce côté-ci, ni
en arrière de ce côté-là; il ne quittait pas cet endroit. Je ne voyais
rien. Mais il y avait un petit fil, une corde qui courait le long de la
coque de ce bateau, vers une ancre qui était accrochée quelque part en
dessous de mon... où je ne voyais rien, au-delà des eaux. Et elle était
accrochée là. Et j'ai dit: «Gloire à Dieu!»
95 Oui, un jour, j'ai découvert une ancre. J'ai lu
ici qu'Il était dit: «Quiconque veut, qu'il vienne.» J'ai jeté cette
ancre derrière quelque chose que je ne pouvais voir. Elle s'est
accrochée à Quelque chose. Et lorsque la bataille fait rage, l'Ancre
tient derrière le voile. Lorsque des infidèles s'élèvent, et que les
problèmes surgissent, et que tout cède autour de moi, notre ancre tient
derrière le voile. Où cela se trouve-t-il? Je ne sais pas. Mais c'est
au-delà du voile, quelque part là-bas, ancré dans le Rocher des Âges.
Notre ancre tient ferme, elle est inébranlable. Elle
tient, derrière le voile.
Laquelle espérance nous avons comme une ancre de
l'âme, à la fois sûre et solide...
96 «Sûre et solide.» Oh! si nous avions un peu plus
de temps, pour voir ce que «assurance» signifie. «As-sur-ance», quelque
chose que vous savez, et votre assurance. Qu'est-ce que l'assurance?
«Dieu a juré par un serment qu'Il le ferait.» C'est l'assurance.
97 Il y a quelque temps, un homme est venu vers moi,
et il disait: «Billy, je désire te vendre une police d'assurance.»
98 Maintenant, les assurances, c'est en ordre. Je
n'en ai pas, moi-même. Je pense que je suis allé dans les extrêmes avec
cela. Une--une compagnie avait abusé de mon pauvre vieux papa, un jour,
parmi d'autres, parce qu'il était trop illettré pour lire le contrat.
Et un juriste de Philadelphie n'a pas pu en lire un d'une traite, de
toute manière. Ainsi, il a dit... Il lui avait vendu cette police. Et
il paya pour elle, pour mon frère et moi, vingt dollars. Il disait:
«Cela vaudra cinq cents dollars, en bout du compte!»
Et le pauvre gars travaillait au milieu des années
de la 'Depression' et tout! À la fin, ils nous ont dit qu'ils avaient
mal lu la police. «Cela valait sept dollars et cinquante cents.» Ainsi,
cela m'a quelque peu rendu amer. Maintenant, ils ne sont pas tous comme
ça. Il y a des agents d'assurance assis ici même.
99 Bien souvent, des gens sont venus dire: «Billy, je
désire te vendre une assurance.» Maintenant, je pense que c'est tout à
fait en ordre. J'ai dit: «Regardez, j'ai déjà une assurance.»
100 Et il dit: «Quel genre d'assurance as-tu?»
Il disait: «Quelle police as-tu?»
J'ai dit: «Vie Éternelle.»
Il a dit: «Vie Éternelle?»
J'ai dit: «Oui, monsieur.»
Il a dit: «Qui vend ces polices-là?»
J'ai dit: «Le Seigneur Jésus.»
Il a dit: «Et tu as une assurance?»
J'ai dit: «Oui, monsieur.»
Il a dit: «Quel genre est-ce vraiment? Qu'est-ce,
Billy?»
J'ai dit: «C'est une assurance.»
Il a dit: «Quoi?»
101 J'ai dit: «Assurance bénie, Jésus m'appartient!
Oh quel avant-goût de la gloire Divine!»
102 Il mit les bras autour de moi; un camarade
d'enfance. Nous étions ici même, de l'autre côté de la rue. Il dit:
«Billy, ce n'est pas cela qui te mettra au cimetière.»
103 J'ai dit: «Je sais, mais c'est ce qui m'en fera
sortir! Cela ne m'inquiète pas d'y aller. Mais cela m'en fera sortir.»
C'est exact.
104 Je pouvais penser à ma police d'assurance quand
j'étais malade, mais cela ne me faisait pas de bien. Mais mon assurance
de Jésus, j'avais une ancre, «ferme», l'assurance que «Dieu a juré par
Lui-même,» qu'Il garderait chaque Parole qu'Il a promise.
105 Quand Mayo a dit: «Il n'y a pas d'espoir pour
toi.»
Je n'avais plus l'espoir de vivre, j'avais cette
rumination qui allait finalement me tuer. Mais mon ancre tenait
derrière le voile.
- Eh bien! que vois-tu?
Je ne sais pas ce que je vois. Il y a quelque chose
que je sais.
106 C'est ce que c'est. Vous le savez. Ce n'est pas
par les oeuvres. C'est par la foi. Nous le croyons.
107 Quel genre d'assurance Abraham avait-il du
médecin, de l'association médicale d'Ur, ou de n'importe où? Alors
qu'il avait cent ans et Sara quatre-vingt-dix, ils allaient avoir un
bébé. Mais son ancre tint derrière le voile, car Dieu lui avait donné
la promesse et il se reposait dessus. «Et il appela les choses qui
n'étaient pas comme si elles étaient», sachant que Dieu était capable;
le voici, Dieu était capable d'accomplir ce qu'Il avait promis.
108 Il a fait le monde. Il m'a fait. Il a tout fait.
Il vous a fait. Il a tout fait par Sa Parole. Et Sa Parole fera
exactement ce qu'Elle dit, Elle le fera.
109 Maintenant, oh! quelle espérance! «Laquelle
espérance nous avons, assurance de l'espérance, à l'intérieur du voile.»
110 Nous devons nous dépêcher maintenant, parce que
nous allons avoir une grande ligne de prière.
111 Remarquez: «Là où...» Oh! la la! Très bien,
regardez ici, chacun, maintenant. Regardez juste ici au verset 20:
«... là où Jésus est entré pour nous comme précurseur...»
112 Le précurseur de quoi? Le précurseur de notre
Salut, physiquement et spirituellement. «Car Il a été blessé pour nos
transgressions, brisé pour notre iniquité, le châtiment de notre paix
est sur Lui et par Ses meurtrissures nous avons été guéris.» Le
précurseur de notre Salut est déjà entré. «L'assurance, déjà entré,
Jésus.»
...Il a été fait Souverain Sacrificateur pour
toujours selon l'ordre de Melchisédek.
113 Maintenant nous arrivons à ce texte dans lequel
nous désirons entrer directement.
114 Toutes ces grandes promesses se rassemblent en un
goulot: «Jésus, notre précurseur, Qui était la Semence d'Abraham» par
le Saint-Esprit qui nous a appelé à cette espérance bénie que nous
avons maintenant: «une ancre de l'âme, ferme et sûre, ancrée derrière
le voile.» Ce Jésus, étant fait précurseur, qui était selon l'ordre de
Melchisédek.
115 Maintenant, nous désirons parler de ce grand
Homme, Melchisédek, pour les prochaines dix ou quinze minutes.
116 Et ensuite, pour la ligne de prière, construire
maintenant votre foi. Ne laissez pas le diable vous dérober quoi que ce
soit. Vous êtes ici ce matin, dans ce petit bâtiment, où le Dieu
Tout-Puissant va venir dans cette humble petite demeure. Vous dites:
«Cela a l'air assez moche.»
Mais Il est venu dans une mangeoire.
117 Il viendra vers n'importe quel coeur humble qui
s'ouvrira et dira: «Oui, Seigneur Jésus, Je Le crois. Je ne le
comprends peut-être pas, mais je Le crois de toute manière.»
118 Nous avons cette espérance bénie: «Christ, le
précurseur, est déjà venu.» Vous savez ce qu'est un précurseur? Quelque
chose qui court devant, ou qui marche en tête. Christ est alors le
précurseur de notre Salut; Il est venu sur Terre pour être un exemple
de l'Église, afin que l'Église termine Ses oeuvres, ou continue Ses
oeuvres, après qu'Il ait accompli Son sacrifice au Calvaire. Vous le
voyez? Notez-le.
119 Ainsi Il est né dans l'humilité, dans une
mangeoire. On s'est moqué de Lui; comme vous le seriez ou quiconque Le
sert. Mais alors qu'Il était ici sur Terre, Lui qui ne faisait
acception de personne, Il les aimait tous. Lui, Il les guérissait tous.
Il les bénissait tous. Il faisait du bien partout où Il allait. Il a
donné Sa vie en sacrifice; Il est mort et fut enseveli. Il est
ressuscité et est monté en-Haut, comme précurseur pour nous.
120 Et l'Esprit même qui était sur Lui est revenu
pour être avec l'Église, pour la conduire et la guider. Il a dit:
«Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus; cependant vous Me
verrez, car Je... («Je» est un pronom personnel) Je serai avec vous,
même en vous, jusqu'à la fin du monde.» Comme dirigeant nos esprits
vers Son grand sacrifice suprême, comme précurseur de notre espérance
bénie que nous avons maintenant derrière le voile.
121 Alors nous le croyons par la foi. Notre ancre va
là-dehors et elle se dirige vers cela, dans la Parole de Dieu, elle est
accrochée derrière le voile. Et une ligne de prière, ici, nous tient
fermement à la promesse. «Sans chanceler, sans être emportés à tout
vent de doctrine. Mais étant fermes, inébranlables, abondant toujours
dans la grâce du Seigneur, car vous savez que votre travail n'est pas
vain dans le Seigneur.» Quelle espérance!
122 Maintenant, en parlant juste de ce Melchisédek
ici... C'est Paul qui parle aux Hébreux de l'Ancien Testament, en type.
123 Retournons à la Genèse, au chapitre 14, et
lisons simplement un petit peu avant de continuer, qui était ce
Melchisédek. Nous lisons au quatorzième chapitre de la Genèse, en
commençant au verset 14.
124 Vous savez qu'Abraham avait été appelé hors de
Chaldée, le pays de--de Ur... la ville d'Ur, plutôt, le pays de
Chaldée. Et Dieu lui avait dit: «Sépare-toi de ton peuple et sors de
là.» Laissez-moi mettre l'accent là-dessus. Oh! si nous avions
davantage de temps là-dessus aujourd'hui! C'est si limité.
125 «Sépare-toi de ton peuple et tiens-toi à part, et
Je te bénirai.» Voyez?
126 Et afin d'obtenir cette même promesse qu'Abraham
avait, vous devez vous séparer de tous les contacts mondains, toutes
les choses du monde. Vos désirs pécheurs, vos convoitises, les passions
du monde, et toutes ces choses, séparez-vous de la chose. Tenez-vous à
part, dans un pays étranger, dans lequel vous n'êtes jamais allé
auparavant, afin de marcher non par la vue, mais par la foi.
127 Car Abraham n'avait rien. Et regardez, il...
Personne n'avait traversé ce fleuve Euphrate et séjourné dans ce pays.
«Mais Abraham, par la foi, a abandonné les siens et est allé de
l'avant, en s'étant séparé.»
128 Comme le Sang de Jésus-Christ, aujourd'hui, par
le Saint-Esprit, nous sépare des choses du monde, pour marcher dans une
vie nouvelle, en étant critiqués, ridiculisés, appelés «saints
comédiens», incompris; mais notre ancre tient.
129 Hébreux 11 dit: «Ils errèrent en peau de brebis
et de chèvres, ils furent rejetés, allant d'un endroit à l'autre, car
ils croyaient qu'ils cherchaient une Cité dont le Constructeur et
l'Architecte était Dieu.» Quelque chose en eux leur disait: «Il y a un
Pays, une Ville dont le Constructeur et l'Architecte est Dieu. Et c'est
ce qu'ils cherchaient, sans savoir où ils allaient.»
130 C'est ainsi avec chaque pèlerin aujourd'hui. Il
cherche quelque chose sur quoi il ne peut pas poser les mains, mais il
en voit l'évidence tout autour de lui. «Qu'est-ce qui m'a fait faire
ceci? Qu'est-ce qui a fait marcher cette femme infirme? Qu'est-ce qui a
fait marcher cette femme-là? Qu'est-ce qui a fait disparaître cette
hernie de cet homme? Qu'est-ce qui a fait disparaître le cancer de
cette femme? Qu'est-ce qui a fait s'ouvrir les oreilles sourdes ici,
l'autre soir, à l'âge de quatre-vingt-deux ans? Qu'est-ce qui a fait
cela?»
Ce sont les attributs surnaturels que l'ancre...
Cette Cité dont le Constructeur et l'Architecte est Dieu, et que nous
cherchons sans pourtant la voir, mais il y a quelque chose qui est
ancré là-bas. «L'ancre à l'intérieur du voile. Notre espérance est
ferme, inébranlable.»
131 Et Abraham a quitté le pays, il a séjourné, il
s'est appelé lui-même un étranger et un pèlerin.
132 Et regardez, Abraham était comme tous les
mortels, ce n'était pas un homme immortel, ce n'était pas un homme qui
ne pouvait pas faire de faute, mais il faisait constamment des fautes.
Mais importe le nombre de fautes qu'il faisait, son ancre tenait
toujours ferme, car il avait la promesse.
133 Donc il prit Saraï avec lui. Il emmena Lot. Il
emmena son papa. Et aussi longtemps qu'ils furent avec lui, Dieu ne put
pas le bénir. Le vieil homme mourut finalement et ils l'ensevelirent.
Il alla un peu plus loin et Lot rétrograda. Et vous savez ce qui est
arrivé là-bas. Et ensuite il se sépara de lui. Alors Dieu lui apparut à
nouveau, disant: «Maintenant, Abraham, regarde le terrain, partout.
Tout t'appartient.» Quand il eut fait le choix correct. C'est cela:
Séparez-vous de tout.
134 Je devrai dire ceci. Regardez, j'espère que Cela
trouvera son lieu de repos, parce que je n'y ai jamais pensé, ce n'est
pas prémédité.
135 Peut-être est-ce la raison pour laquelle certains
d'entre nous n'avancent pas trop bien. Nous nous attachons à des choses
que nous devrions laisser tomber, dans la séparation. Un petit doute,
une petite question, un peu de scepticisme: «Je me demande si c'est
correct. Cela se pourrait-il? Cela pourrait-il être? Comment cela se
pourrait-il?»
Coupez, dégagez-vous ce matin!
136 Hébreux 12:1 dit: «Rejetons tout fardeau et le
péché qui nous enveloppe si facilement.» Le 'péché', qu'est-ce?
L'incrédulité qui nous enveloppe si facilement. «Et courons avec
patience la course qui est devant nous, ayant les regards fixés sur
Christ, l'Auteur et le consommateur de notre foi.»
137 Observez Abraham ici. Ensuite il eut des
problèmes; Lot s'en alla à Sodome et Gomorrhe. Vous connaissez
l'histoire.
138 Nous devons nous dépêcher, nous sommes pressés.
Nous n'y arrivons pas; le quatorzième verset.
139 Et la première chose que vous voyez, tous les
rois des nations sont descendus là, sont entrés dans Sodome et ont
déclaré la guerre, et ils ont pris Lot et le neveu d'Abraham, ils
l'emmenèrent, la femme de Lot et les enfants et tout le reste, et ont
quitté le pays.
140 Et l'un des rois de Sodome, quand il commença à
s'enfuir, il alla dans les terrains vaseux là-bas et tomba mort. Le
limon, c'est ce avec quoi ils font leurs briques et leur mortier, avec
quoi ils construisent leurs cités.
141 Juste comme une petite pré-lecture de ceci. Vous
pourrez le lire quand vous rentrerez à la maison. Mais comme le temps
est limité, nous devrons nous dépêcher. Et au verset 14: «Et quand
Abraham entendit que son frère était emmené captif...»
142 Frère, j'aime cela: «Son Frère»; et regardez ce
que Lot lui avait fait! Mais malgré tout, il y avait une sorte de lien
qui les unissait, même si le Frère avait rétrogradé. Comme ce jeune
homme a dit, il y a un moment, le jeune prédicateur ici, qu'il avait
rétrogradé et qu'il était parti. Malgré tout, le Saint-Esprit continue
à appeler cette personne. Quand il est dans les difficultés, Il est
directement là avec lui.
Le frère d'Abraham était emmené captif et il équipa
ses serviteurs formés, et les porta... nés dans sa propre maison, trois
cent dix-huit et les poursuivit jusqu'à Dan.
Il divisa sa troupe, pour les attaquer de nuit, lui
et ses serviteurs; il les battit, et les poursuivit jusqu'à Choba, qui
est à la gauche de Damas.
143 Abraham a pris tous ses serviteurs et ses hommes
armés. Pensez simplement à cet homme qui était pauvre lorsqu'il sortit
du pays, là-bas en Chaldée, à Ur, et qui avait trois cent dix-huit
hommes armés comme serviteurs. Vous dites que Dieu ne vous bénit pas?
«Trois cent dix-huit.»
Vous dites: «Eh bien! est-ce exact?»
144 C'est ce que disent les Écritures. Il avait assez
de serviteurs pour combattre une armée. Et il a vaincu! Remarquez: «Et
il apporta...» Il les poursuivit; prit tout ce qu'ils avaient.
Il ramena toutes les richesses; il ramena aussi Lot,
son frère, avec ses biens, ainsi que les femmes et le peuple.
Et le roi de Sodome sortit à sa rencontre après
qu'il fut revenu du massacre... et les rois... dans la vallée... et qui
est la vallée du roi.
Melchisédek, roi de Salem, fit apporter du pain et
du vin; et les lui donna; il était sacrificateur du Dieu Très-Haut.
145 Après que ces rois des nations soient venus et
aient enlevé son frère, Abraham prit ses serviteurs et les poursuivit;
il alla après eux et les attrapa; et il revint et massacra les rois et
les ramena.
146 Et remarquez-le, le roi de Sodome sortit. Le roi
de Gomorrhe fut tué. Mais le roi de Sodome sortit et lui fit des
présents en disant: «Tous les biens que--que tu as pris, que ces gens
ont emportés, je te les donne.»
147 Plus tard dans ce chapitre, nous voyons
qu'Abraham a dit: «Je ne prendrai pas un fil, un lacet de chaussure, de
peur que vous ne puissiez dire que vous avez enrichi Abraham.»
148 Mais la pensée à laquelle nous voulons arriver
est ici même.
Et Melchisédek, roi de Salem, fit apporter du pain
et du vin; il était sacrificateur du Dieu Très-Haut.
Il bénit Abram, et dit: Béni soit Abram, par le Dieu
Très-Haut, maître du ciel et de la terre! Béni soit le Dieu Très-Haut,
qui a livré tes ennemis entre tes mains! Et Abram lui donna la dîme de
tout.
149 J'aime cela. Remarquez maintenant, après Abraham,
l'image spirituelle ici, Abraham, «son frère» qui s'était égaré. Une
image de la vraie Église, ou du véritable croyant de Dieu, qui est béni
de Dieu et a la promesse de Dieu, il a l'alliance de Dieu et a foi dans
l'alliance.
150 Pensez-y maintenant. Si vous voulez les compter
ici, il y avait environ dix ou quinze rois là, et combien de serviteurs
avaient-ils probablement?
151 Mais Abraham a compté ceux qu'il avait, qui
étaient fidèles, «nés dans sa propre maison.» Oh! la la! Les fidèles,
«nés dans sa propre maison.» C'était ses serviteurs qu'il avait
circoncis, qui étaient inclus dans la même promesse que lui. Et il est
allé après son frère rétrograde, et a poursuivis les rois avec une
petite poignée d'hommes, trois cent dix-huit hommes et les a vaincus.
Il les saisit et les massacra. Et il ramena tous ceux qui étaient
perdus.
152 Une image parfaite de Christ! Et l'Église, le
Saint-Esprit qui conduit les fidèles qui sont nés dans la même maison
du Saint-Esprit, où Christ est né, étant à la recherche des égarés et
rétrogrades; et massacrant chaque mauvaise chose qui les a vaincus.
Amen! Remportant la victoire sur le péché, rejetant tous les fardeaux,
parlant aux gens de leurs convoitises et des choses qu'ils font. Coupez
cela! Leurs maladies et tout, en leur prêchant l'Évangile, et en les
ramenant dans la pleine communion avec Dieu.
153 Remarquez, quand il est revenu, Melchisédek l'a
rencontré. Qui était ce Melchisédek? Et notez-le, la première chose,
maintenant. Melchisédek ne lui a pas offert de l'argent. Melchisédek
lui a simplement offert «du pain et du vin.» Melchisédek était un
Prêtre du Tout-Puissant, le Roi de Jérusalem.
154 À l'époque son nom était Salem. Voici le
Cruden's. Je pensais qu'on poserait une question à ce sujet après, je
peux le prouver, que Jérusalem s'appelait premièrement Salem.
J-é-r-u-s-a-l-e-m, voyez-vous, Salem, Jéru-salem. Voyez-vous? Son nom
était d'abord H-i-r-u-a-m, Hieru-salem, c'est exact, ce qui était alors
une possession des nations. Oh! j'espère que vous saisissez ceci
maintenant. Jérusalem était premièrement une possession des nations.
155 «Et le Roi de Jérusalem, ou de Salem, ce qui
signifiait le Roi de paix, le Roi de justice, rencontra Abraham alors
qu'il revenait. Et il lui donna la «communion», «le pain et le vin»,
des milliers d'années, ou des centaines d'années avant que le pain et
le vin ne deviennent une ordonnance dans l'Église. Et Il était le Roi
de Jérusalem. Amen;
156 Qui était ce grand Homme? Revenons à notre texte
maintenant, le verset 7... ou le chapitre 7.
Car ce Melchisédek, roi de Salem, sacrificateur du
Dieu Très-Haut...
157 Il n'était pas seulement un Roi, mais il était un
Prêtre.
...rencontra Abraham en revenant du massacre des
rois, et l'a béni;
158 Les bénédictions ne viennent que de quelqu'un de
plus haut. Observez.
À qui tout... à qui aussi Abraham donna la dîme de
tout; étant premièrement interprété Roi de justice... après que... le
Roi de Salem, qui est le Roi de Paix;
159 Qui était ce grand Homme, il y a tant d'années?
Qui était-Il? Écoutez. Lisons un peu plus à Son sujet.
Sans père ni père... sans commencement de jours, ni
fin de vie...
160 S'Il n'avait pas de père, Il n'avait pas de mère,
Il n'avait pas de commencement de jours ni fin de vie, Melchisédek
existe encore. Est-ce vrai? [L'assemblée dit: «Amen.» Ndt.]
Fait selon l'ordre... N'ayant ni père, ni mère.
...mais qui est rendu semblable au Fils de Dieu--ce
Melchisédek demeure sacrificateur à perpétuité.
161 Il ne peut pas... Il n'avait pas de commencement.
Il n'a pas de fin. Il n'avait pas de père, Il n'avait pas de mère.
Cependant, c'était un Homme, et Il est venu de Salem. La paix, Il était
le Roi de la paix. Il était le Roi de la justice.
162 Il n'était pas seulement un Roi, mais Il était un
Prince. Et Il est le Prince de la Paix. Il est la Rose de Saron. Il est
le Lys de la Vallée, l'Étoile du Matin, l'Alpha, l'Oméga; Celui qui
était, Celui qui est, et qui vient; la Racine et le Rejeton de David.
Il était avant David, en David et après David.
163 Qui était ce Prêtre? Nul autre que le Seigneur
Jésus-Christ incarné, dans sa puissance magnifique. Il était le Même,
un peu plus tard, après avoir rencontré Abraham, et Il lui donna la
communion, en tant que peuple de l'Alliance. Alors, maintenant, par la
même Alliance, nous prenons... Et Il était une ombre. Ce Melchisédek,
quand Il devint un Homme de chair, allait être brisé en deux. Et la
communion serait distribuée, l'évidence de Son corps brisé, comme nous
la prenons aujourd'hui.
164 Là, ce Melchisédek a rencontré Abraham, et
Abraham Lui a payé la dîme. Amen. Abraham, le plus grand homme sur
Terre, a payé la dîme à Melchisédek: le Roi de Paix, le Roi de Salem,
le Roi de Justice.
165 Et Il était un Prince. Et Il était--Il était un
Prince. Il était un Roi. Et Il était le Serviteur du Tout-Puissant, qui
était Jésus.
166 Et quand Abraham, quelques années plus tard, ou
peu après cela, quand Lot avait rétrogradé et que Sodome soit brûlée.
Et Abraham fut laissé seul, avec Sara, sur une terre stérile. Alors
qu'il y avait... leur bétail mourait de faim. Et il semblait que Dieu
les avait abandonnés. Mais il avait une foi forte, afin de croire.
167 Et un jour, il était assis à la porte de sa
tente, sous le grand chêne. Il est toujours là, comme un mémorial,
aujourd'hui, il est conservé, tout noirci. Et là, Abraham, assis à la
porte de sa tente, a vu Melchisédek venir à lui; trois hommes qui
marchaient.
168 Je m'imagine simplement Abraham en train de dire:
«Je L'ai déjà vu...» Et il se lève et dit: «Laissez-moi simplement...
Venez, mon Seigneur, et laissez-moi aller chercher de l'eau pour vos
pieds.» D'une certaine manière, profondément dans son coeur, cet homme
de l'alliance savait que c'était Quelqu'un de plus grand qu'un homme.
169 Il dit: «Nous sommes des étrangers.» Il dit:
«Nous venons d'un pays étranger.» Leurs vêtements étaient poussiéreux.
Oui, ils venaient de loin; ils venaient de la Gloire. Donc ils
parlaient là et dirent à Abraham... Ils leur apportèrent quelque chose
pour se laver. Et Abraham commença à les regarder.
170 Il se glissa dans la tente et dit: «Saraï,
tiens-toi ici une minute!» Il alla chercher le veau le plus gras qu'il
puisse trouver dans le troupeau et il le tua et le ramena.
171 Et Il donna à cet Homme de la viande, et du pain,
et du lait, et du beurre. [Passage blanc sur la bande. Ndt.]
172 Maintenant, lorsque Melchisédek, le Roi de Salem,
le Prêtre du Tout-Puissant, le Roi de Paix, qui n'était nul autre que
le précurseur du Seigneur Jésus-Christ. Et quand Il rencontra Abraham,
Il nourrit Abraham avec la communion, et le bénit. Et ici, Abraham Le
rencontre alors qu'Il est en chemin vers Sodome, et il Le nourrit de
viande et de pain.
173 Oh! ne voyez-vous pas le lien entre ces hommes?
Il l'a promis. Notre pain et notre eau sont assurés. Et Dieu le fera,
c'est tout aussi sûr que nous sommes assis ici. Et chaque promesse
Divine qu'Il a faite, Il est obligé de l'accomplir.
174 Et lorsque les deux Anges allèrent vers Sodome,
Abraham s'est tenu là. Il regarda aux alentours, avec cet Homme. Il
dit: «Si j'en trouve tant et tant», tout en continuant à parler, il
descendit à dix. Et lorsqu'Il s'en alla, alors cet Ange, ou l'Homme qui
se tenait devant lui, disparut et se volatilisa, par le sacrifice. Et
Abraham dit: «J'ai parlé face à face avec le Dieu Tout-Puissant.»
Melchisédek et Christ, en premier plan.
175 Mes amis, si nous pouvions prendre ce voile ici,
ce matin, qui est devant nos yeux, alors que la chair nous a aveuglé,
et déchirer ce voile comme ceci et regarder simplement au-delà du
rideau du temps, pour nous demander ce que ce serait. J'avais
l'habitude de chanter un petit cantique:
J'ai le coeur malade, j'ai la nostalgie de voir Jésus.
Je veux entendre sonner les douces cloches du port.
Oui, si je pouvais seulement Le voir,
Et regarder au-delà du rideau du temps,
Cela me donnerait plus de foi, et cela me donnerait,
Me donnerait toute ma force,
Si je pouvais seulement regarder au-delà du rideau du temps.
176 Qui était Celui-là, dans cette Jérusalem, sur
Terre là-bas, celui qui «n'avait pas de commencement de jours, ni de
fin d'années» et qui est venu donner la communion à Abraham, qui avait
la promesse? Et la promesse est étendue jusqu'à nous, ce matin. C'est
pour chacun de nous.
177 Nous pourrions passer plus de temps, je
souhaiterais en avoir, sur ce grand sujet; peut-être un jour, après la
fin de ce voyage.
178 Et je vais traverser les nations, maintenant, des
pays étrangers, pour prêcher l'Évangile. Laissez-moi vous laisser cette
pensée, mes enfants bien-aimés, mes frères et ouvriers avec moi dans
l'Évangile de notre Seigneur Jésus-Christ. N'ayez pas de crainte, ayez
un courage neuf ce matin. Relevez la tête. Affermissez les genoux
faibles et les mains fatiguées. Regardez à l'Auteur et au Consommateur
de notre foi, le Seigneur Jésus-Christ, qui nous a donné ces promesses.
Cette chose que j'ai essayé de vous prêcher, par la révélation qui m'a
été donnée par le Seigneur Jésus-Christ, alors que je suis ignorant et
sans instruction, illettré; cependant le Dieu Tout-Puissant L'a placé
devant le monde, car Elle est infaillible.
179 Ceux qui étaient malades et affligés la semaine
passée ou cette semaine, sont assis ici ce matin, normaux et en bonne
santé. Il y en a qui étaient sourds, ils se tenaient ici il y a
quelques jours; et ils sont ici maintenant, entendant aussi bien que
les autres. Qu'est-ce? C'est l'alliance inconditionnelle que Dieu a
faite avec Abraham et sa Semence. Il a promis de le faire, ainsi donc
croyons-le ce matin, de tout notre coeur.
180 Certains parmi nous, qui sont assis ici, sont
vieux, d'autres deviennent gris. Certains parmi nous seront peut-être
passés derrière le voile, avant que nous ne nous revoyions. Mais quoi
que vous fassiez, quoi que la vie produise, si elle produit la maladie,
si elle produit quoi que ce soit dans le monde, gardez votre ancre
derrière le voile. Continuez de regarder à l'Auteur et au Consommateur
là-bas, le Seigneur Jésus-Christ. Appelez ces choses qui semblent être,
comme si elles étaient.
181 Il y a trois éléments qu'un homme suit.
Premièrement, il y a l'humain; deuxièmement il y a la révélation
Divine; troisièmement, c'est une vision, c'est AINSI DIT LE SEIGNEUR.
Bien souvent, nous sommes en bas, ici, et nous ne grimpons jamais
jusqu'ici. Si vous n'êtes pas là, lancez votre espérance au-travers de
ce voile, en-haut vers le AINSI DIT LE SEIGNEUR. Bien que vous n'ayez
pas de vision; bien que la révélation ne vienne pas; bien que, quand on
prie pour vous, vous dites: «Je souhaiterais simplement pouvoir
croire.» Cela ne fait aucune différence. Jetez votre ancre là-bas, et
appelez-le ainsi de toute manière. Abraham ne pouvait pas voir. Il a
dit: «Comment cela se peut-il?»
182 Marie ne pouvait pas comprendre. Comment
pouvait-elle avoir un bébé «sans connaître d'homme»?
183 Il a dit: «Mais le Saint-Esprit te couvrira de
Son ombre. Il le fera s'accomplir.»
184 Elle a dit: «Voici la servante du Seigneur. Qu'il
me soit fait...» Comment cela allait-il se faire? Elle ne savait pas.
Mais elle a jeté son ancre derrière le voile, et est allée de l'avant
en témoignant qu'elle allait avoir un bébé, avant qu'elle ne sente la
vie ou quoi que ce soit. Elle appela ces choses qui n'étaient pas comme
si elles étaient.
185 Abraham, quand il eut soixante-quinze ans, Dieu
lui donna la promesse. Et Il donna la promesse à Saraï alors qu'elle
avait soixante-cinq ans. Et vingt-cinq années se sont écoulées avant
que cela n'arrive. «Mais Abraham ne chancela pas à la promesse de Dieu
par incrédulité; mais il était fort dans la foi, donnant gloire à Dieu.
Et il appela ces symptômes, et ces choses qui étaient, comme si elles
n'étaient pas.» Et il témoigna seulement de ce que Dieu avait dit être
vrai, parce qu'il avait la promesse.
186 Ô Dieu, sois miséricordieux. Oh! la la! Votre foi
est-elle tranquille ce matin? Lorsque soufflent les vents agités, que
les nuits sont noires, et que le vent et les éclairs illuminent, votre
ancre tient-elle? Bâtissez votre espérance ce matin sur rien de moins
que le Sang de Jésus avec Sa justice. Je sais que c'est difficile. Cela
semble difficile. Mais saisissez-le une fois, et prenez Dieu à Sa
Parole, et voyez quelle espérance bénie c'est de marcher simplement de
l'avant, dans la foi.
187 Dans cette grande bataille de foi, comme j'ai
essayé de la mener, j'ai rencontré des obstacles terribles, je suis
allé par des chemins rudes. Cela se voit sur moi. Je suis passé par là.
Mais cela a été la chose la plus bénie. Je ne l'échangerais pour rien
au monde.
188 Et voici mes plus grandes victoires, les plus
grands plaisirs que j'ai, c'est lorsque je me heurte à quelque chose.
Je ne peux pas voir au-dessus, autour, ou en dessous. Je continue
simplement à marcher dans cette direction en croyant ceci, que Dieu
fera un chemin quand j'arriverai là. Je ne suis jamais arrivé cette
année, aussi loin... et sur toute la distance que j'ai parcourue, je
Lui ai fait confiance. Il ne m'a jamais fait défaut. [Frère Branham
chante les trois dernières strophes de «Grâce infinie.» Ndt]
C'est la grâce qui a enseigné mon coeur à craindre
C'est la grâce qui m'a libéré de mes craintes;
Combien précieuse cette grâce m'est apparue
À l'heure où j'ai cru pour la première fois!
Et par de nombreux dangers et pièges
Je suis déjà passé;
C'est la grâce qui m'a amené ici en sécurité,
C'est la grâce qui me conduira de l'avant.
Et lorsque nous serons là depuis dix mille ans,
Éclatants comme le soleil;
Nous n'aurons pas moins de jours pour chanter Ses louanges
Que lorsque nous avons commencé.
189 Quand nous nous rallions là autour d'Abraham,
Isaac et Jacob, ceux qui étaient héritiers de la promesse, se
réjouissant à l'avance que nous ne faillirons pas, «car sans nous, ils
ne peuvent pas être rendus parfaits.» Et comme ils dépendent de nous,
ce matin! Ne faiblissons pas. Gardez votre ancre en Christ.
190 Si vous êtes un pécheur, il n'est pas nécessaire
de venir à l'autel. C'est la coutume de le faire. Mais si vous ne
voulez pas venir et s'il n'y a pas de place pour que vous puissiez y
venir, dites: «Seigneur, je rejette toutes les choses du monde,
maintenant même. Je me mets devant Toi, tel que je suis, nu et dénudé
et je suis la honte, la disgrâce. Mais je jette mon ancre sur Toi. Et
je crois en Toi. Ce n'est rien que je puisse faire, mais ce que Tu as
fait pour moi.»
191 Si vous êtes malade et que le docteur dise qu'il
n'y a aucun moyen pour que vous soyez rétabli, que rien de peut être
fait, regardez simplement dans ce taber... ce petit groupe de gens ce
matin, une petite poignée, une infime partie des milliers qui ont été
guéris dans les quelques dernières semaines, partout dans le monde.
192 De grandes campagnes! Le monde rugit avec les
campagnes de guérison Divine; des hommes de foi sortent, osant prendre
Dieu à Sa Parole. Les jours des Nations arrivent à leur fin. C'est un
signe. Regardez-y. N'attendez pas trop longtemps.
193 Ils attendirent trop longtemps pour reconnaître
Élie. Et les disciples ont même dit: «Pourquoi les scribes disent-ils
qu'il faut qu'Élie vienne premièrement?»
Il a dit: «Il est déjà venu, et vous ne l'avez pas
reconnu.»
Ils ont dit: «Qui était-il?»
Il dit: «Jean le Baptiste.»
«Eh bien! dirent-ils, certainement, c'était lui.»
194 Jésus est venu, et ils ne L'ont pas reconnu.
Après que les Romains L'aient crucifié, quand il était trop tard pour
faire quoi que ce soit, ils dirent: «Vraiment, c'était le Fils de
Dieu.» Considéré comme un malfaiteur, on a craché sur Lui, on s'est
moqué de Lui et Il a été persécuté; mais Dieu L'a confirmé avec des
signes et des prodiges.
195 Aujourd'hui, n'attendons pas trop longtemps.
C'est la fin de la dispensation des Nations. Nous sommes à la fin.
Les Nations se disloquent, Israël se réveille,
Les signes prédits par la Bible;
Les jours des Nations sont comptés, encombrés d'horreurs;
Revenez, vous qui êtes dispersés, à vous-mêmes.
Le jour de la Rédemption est proche,
Les coeurs des hommes défaillent d'effroi;
Soyez remplis de l'Esprit, que vos lampes soient nettoyées et brillent,
Levez les yeux, votre Rédemption approche!
196 Notre Père, nous Te remercions ce matin, pour
cette espérance bénie. Oh! un jour glorieux, quand Tu te tiendras à
nouveau sur Terre, on dira: «N'était-il pas écrit dans les chants:
«Votre Rédemption approche?» Quand Tu étais ici la première fois, Tu as
dit: «David n'a-t-il pas écrit ces choses dans les Psaumes?»
197 Quand nous pensons à ce chant: «Il va y avoir une
rencontre dans les airs», car tous les prophètes, et les rachetés, et
le petit David, et Moïse, et tous les patriarches seront présents, Là.
Alors, nous dirons: «N'était-il pas écrit dans le chant que nous
verrions ceci?» Et les rachetés de tous les âges se réjouiront ensemble.
198 Père, pardonne tout homme, femme, garçon ou fille
égaré ce matin. Puisse ceci être un nouveau jour dans leur vie, ce
moment où par la foi, ils acceptent le Seigneur Jésus comme leur
Sauveur personnel et qu'ils soient scellés dans le Royaume de Dieu, par
le Saint-Esprit.
199 Prends ces quelques paroles, prononcées à la
hâte, Père, et fais les descendre profondément dans le coeur des gens,
exactement selon leurs besoins.
200 Dans quelques minutes maintenant, les gens vont
passer ici pour être guéris. Il y en aura ici Seigneur, qui sont
aveugles, affligés, infirmes, et malades de toutes sortes de maladies.
C'est Satan qui fait cette chose mauvaise, Père. Ces pauvres gens,
Seigneur, ne viendraient pas ici s'ils ne croyaient pas qu'ils
pourraient être guéris.
201 Tu as dit: «Nous avons la victoire par le Sang de
l'Agneau et notre témoignage.» Et il y a ici des attelles, sur
l'estrade. Des béquilles et ces choses sont empilées et ont été amenées
ici; et des chaises roulantes, et, oh! des civières et des lits. Des
hommes et des femmes sont partis d'ici, Seigneur, libérés de toutes
sortes de maladies que Satan avait mises sur eux. Ce n'est pas à cause
de l'endroit, mais c'est à cause de leur foi qui a rencontré Ton
exigence, ici même.
202 Je prie, ô Dieu, que chaque personne malade ait
la foi suffisante, ce matin, pour ce souvenir de ce grand Melchisédek,
là-bas, qui n'avait pas de commencement de jours. Il n'avait ni père,
ni mère. Il n'a jamais eu de fin de vie; Il est encore vivant
aujourd'hui. Ensuite Il fut incarné, appelé Jésus-Christ, Il s'est fait
chair; Il est mort et est retourné vers cela. Il est toujours le Roi de
la Paix, le Roi de la Justice qui nous promet ces grandes choses
Éternelles. Dieu a juré à Abraham qu'Il garderait l'alliance, la
promesse, au-travers de Lui et de Sa Semence, pour toujours. Aide-nous,
aujourd'hui, à nous approcher de cette estrade maintenant, avec une foi
immortelle.
203 Il y en a certains, Seigneur, qui sont liés par
des habitudes impures, de vieilles habitudes sales de la chair. Ô Dieu,
comme dit la Bible: «Rejetons tout fardeau et le péché qui nous
enveloppe si facilement.» Ô Dieu, puissent-ils rejeter cela comme
l'éclair, ce matin, et regarder à Jésus, qui nous purifie de toute
injustice. Accorde-le, Père.
204 Et quand nous nous en irons aujourd'hui,
puissions-nous partir avec un coeur plein d'amour et en nous
réjouissant. Bénis cette petite église. Bénis notre cher Frère Neville,
Seigneur, dans son ministère de pasteur, alors qu'il travaille ici jour
et nuit, essayant de faire de cet endroit un lieu où les gens peuvent
venir adorer, voir le Seigneur Jésus dans Sa manifestation d'amour et
de puissance.
205 Bénis la réunion de ce soir, Seigneur.
Apporte-nous une grande bénédiction. Et Père, nous prions que dans
toutes ces choses, Tu reçoives toute la gloire.
206 Et un jour, quand la vie sera terminée, que le
dernier sermon sera prêché, la Bible sera refermée; le clairon aura
retenti, les armes seront rangées, les fumées de la bataille évanouies,
le soleil couché; alors, Père, reçois-nous dans Ton Royaume.
Puissions-nous arriver comme des vieux vétérans pleins de cicatrices de
guerre. Accorde-le, Seigneur, afin que nous recevions un nouveau corps,
où nous ne serons plus jamais malades, où nous n'aurons plus de peine
de coeur, ni de tristesse.
207 Mais soyons fidèles, dans toutes ces choses,
alors que nous sommes ici sur Terre maintenant, afin de croire et
d'appeler toutes ces choses qui ne sont pas, qui sont contraires à la
Parole de Dieu comme si elles étaient. Car nous le demandons dans le
Nom de Jésus-Christ. Amen.
208 Que tous ceux qui ont envie de le dire, disent:
«J'aimerais simplement accepter le Seigneur Jésus-Christ. Je ne l'ai
jamais fait avant. Je désire simplement lever ma main.» Vous dites: «En
levant la main, je L'accepte.» Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu
vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse; Que Dieu vous bénisse.
C'est... Que Dieu vous bénisse, frère. «Je désire accepter le Seigneur
Jésus-Christ.» Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse. Et
que Dieu vous bénisse. Dieu vous bénisse. C'est juste.
209 Vous pensez qu'Il n'entend pas cela? Il connaît
votre coeur. Il est Celui qui vous a dit de le faire. Quelqu'un d'autre
dira: «Je--je désire croire maintenant. Je--je dis maintenant:
«Seigneur, je désire T'accepter maintenant même. Je désire que mon
ancre soit bien accrochée, là-bas derrière le voile, afin qu'elle n'en
bouge jamais. Je T'accepte comme mon Sauveur.»
Voudriez-vous lever la main, quelqu'un d'autre? Que
Dieu vous bénisse. [Passage blanc sur la bande. Ndt.]
Quoi alors?
Quand le grand Livre sera ouvert, quoi alors?
Quand, à ceux qui ont rejeté ce Message aujourd'hui,
Il sera demandé de donner une raison, quoi alors?
210 Que le Seigneur vous bénisse maintenant. Alors
que vous allez avoir... combien y a-t-il ici de personnes pour qui l'on
doive prier? Montrez votre main, partout dans le bâtiment, ceux qui
sont malades.