ECOUTEZ-LE
1. Aujourd'hui, ça a été un grand et merveilleux jour pour moi, cet après-midi et toute la journée, avec beaucoup d'entretiens et autres, avec différentes délégations qui viennent et des réunions à préparer pour l'avenir et tout. Et puis, de temps en temps, un malade passait dans la rue et voyait la main de notre Seigneur s'étendre dans la miséricorde jusqu'à lui.
Ce soir, pendant que je prenais un sandwich à un point de vente de sandwich, mon cœur a vraiment tressailli de joie quand quelques frères italiens sont venus, et l'un d'eux a dit qu'il était ami à mon jeune garçon chargé de l'enregistrement, ici, Gene Goad. Il a dit : " Gene ne me reconnaissait plus, a-t-il dit, à peine, en effet quand lui et moi, nous courions ensemble, c'était dans des salles de billards. Mais aujourd'hui, nous sommes au service du Seigneur. " Il a dit : "Je - je crois cela… "
Et il m'avait amené son enfant. Un catholique, sa femme est une catholique italienne, et le petit enfant avait un cancer de dernier degré. J'ai prié pour lui, et l'adorable Seigneur Jésus a guéri cet enfant. Il est vivant ce soir après deux ou trois ans, en parfaite bonne santé. Et eux, tous deux sont sauvés et remplis de l'Esprit de Dieu. Cela ferait tressaillir de joie le cœur de n'importe qui.
2. Il y a juste quelques instants, une chérie se trouvait ici dans l'allée, un autre cas de dernier degré, la leucémie, pour que je prie et que je lui impose les mains, et les jeunes père et mère fidèles… Ça me rappelle ce qui s'est passé il y a environ deux ans. Un jour, je revenais de loin, j'étais tellement fatigué que j'arrivais difficilement à me tenir debout. Bien avant l'aube, il y a eu un appel téléphonique d'un motel : " L'enfant n'a que sept jours pour vivre ", et ils avaient affronté les tempêtes de neige à Kansas, à Missouri et en Illinois, pour que l'on prie pour l'enfant. Je suis allé là, il y avait un prédicateur presbytérien, sa belle-fille et son fils dans une chambre, avec la petite chérie, et les médecins lui avaient juste accordé sept jours.
Le Saint-Esprit est descendu et Il a révélé au jeune garçon et à la jeune fille, le père et la mère de cette enfant, leur situation, ce qu'ils devaient faire et comment ils devaient accepter Christ. Avec leurs mains levées tout autour de l'enfant mourant, ils ont promis à Dieu avec respect de Le servir désormais. Et deux semaines après, l'enfant était en train de sauter à la corde à l'école, elle avait été déclarée en bonne santé par les médecins. Elle vit ce soir, glorifiant Dieu, à cause de la gloire de Dieu.
3. Lors des entretiens privés cet après-midi, dans une pièce, une jeune femme, je dirais une femme d'âge moyen, est entrée, elle a été une enseignante pendant des années. Et il y avait quelque chose qui clochait chez cette dame depuis longtemps. Même quand Docteur Lee Vayle, celui qui a été présenté ici, le pasteur de la Première Eglise Baptiste à Spencerville, dans l'Ohio, un ami intime à moi, faisait respecter les dix minutes d'interview pour chacun d'eux au fur et à mesure qu'ils passaient... Alors cette dame est entrée, et pour son cas, il fallait que Dieu agisse, qu'Il montre quelque chose. Elle avait tout fait, on avait prié pour elle. Mais alors, l'adorable Saint-Esprit est descendu et a tout dévoilé, Il a montré la chose, et la dame a été parfaitement délivrée. Après plusieurs… vingt ans ou plus de tourments, le Saint-Esprit l'a délivrée. Un large sourire s'est dessiné sur son visage, quand ses dix minutes étaient terminées, elle a quitté la pièce en se réjouissant. Que dirons-nous ? La foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes est de nouveau transmise ce soir à ceux qui croient. Que le Seigneur soit béni.
4. Eh bien, je souhaiterais consacrer juste un moment ici ; je pense qu'Il m'incombe d'enseigner ici, au tabernacle, demain après-midi, je pense. Sera-ce à quatorze heures trente ? A quatorze heures trente, pendant environ trente minutes, je suppose, ou n'importe quel temps qui m'est imparti [Frère Joseph dit : "Deux heures. " - N.D.E.] Je ne pourrai pas faire cela, Frère Joseph. Mais Il…
Nous en avons quelques-uns au… C'est très gentil de votre part de dire des choses comme ça, en effet, je - je sais qu'il y a juste - il n'y a qu'une seule chose… Quelqu'un cherchait à me décerner un diplôme de docteur il n'y a pas longtemps. Et j'ai dit : "Je suis trop intelligent pour ça. " J'ai dit : "Je - je suis mieux avisé ; les gens aussi. " Ainsi… Si un homme connaît ses limites et… " Bon, avec mon vieux parler du Kentucky le " his ", et "haint's " et "tote ", et "fetch ", et " carry ", vous savez, les gens savent que je ne pourrais pas être un docteur en théologie. Ainsi donc, je - je suis juste frère Branham, vous voyez, ainsi…
Ainsi donc, mais il y a dans l'assistance ce soir beaucoup de véritables hommes, qui méritent, qui sont des docteurs en théologie. Combien je souhaiterais avoir leur instruction et avoir leur intelligence pour faire ce dont ils sont capables, mais je n'en ai pas. Je dois donc uniquement compter sur Dieu pour qu'Il travaille sur vos cœurs, de telle manière que vous croyiez ce que je dis, c'est tout, c'est l'unique moyen que je connaisse.
5. Ainsi donc, que le Seigneur vous bénisse alors que je lis juste un tout petit texte, le Seigneur voulant, au chapitre 17 de l'Evangile de saint Matthieu, et les trois derniers mots du verset 5. Et comme je suis occupé, je n'ai pas assez de temps pour lire et prier, mais j'aimerais aborder ce sujet ce soir, le Seigneur voulant,
Ecoutez-Le.
Trois petits mots. Mais cela… Vous direz : "C'est un texte très court, Frère Branham. " Mais ce - ce n'est pas la taille du texte qui compte, c'est son contenu. C'est cela qui - qui déterminera la destination éternelle de chaque homme qui entend cela, son attitude vis-à-vis de cela. Parfois nous ne pouvons pas juger d'après la dimension de la chose.
6. Je parlais, ou plutôt j'ai suivi, il y a quelque temps, je pense, à la radio l'histoire de ce jeune garçon qui fouillait dans un grenier. Et il est tombé sur de vieilles malles, et il en a ouvert une. Et en fouillant là, il a trouvé un petit timbre-poste, peut-être d'environ un demi inch carré [ 1,27 cm - N.D.T.]. Eh bien, il a regardé cela, il s'est dit que c'était, que ça devait être un vieux timbre. Alors, là dans la rue, il s'est rendu compte, il s'est souvenu qu'il y avait là un philatéliste. Il a très vite couru dans la rue, et il a dit au philatéliste : " Je viens de trouver un vieux timbre. Que me donnerez-vous pour ce timbre ?
Et il paraissait jauni et vieux, alors le philatéliste l'a examiné et a dit : "Je te donnerai ce billet d'un dollar pour ce timbre-poste. "
Eh bien, comme le timbre mesurait 1,27 cm et le billet de dollar avait beaucoup, environ cinq cm2 sur neuf, le billet de dollar était sur un papier beaucoup plus grand que celui du petit timbre, alors le petit garçon a dit : "Voilà votre timbre et mon dollar. "
Et ensuite, deux semaines plus tard, ce philatéliste a vendu ce timbre à cinquante dollars. Et environ deux mois après cela, ce même timbre-poste a été vendu à cinq cents dollars. Et la dernière nouvelle que j'ai eue concernant ce timbre, c'est qu'il avait la valeur d'un quart du million de dollars.
7. Vous voyez, ce n'est pas la taille qui compte, ce sont les écrits qui sont la-dessus. Il y en a assez dans le texte de soir, sa valeur, car ce sont trois mots de la Parole éternelle de Dieu. Quand tous les cieux et la terre passeront, cette Parole demeurera cependant éternellement.
Au cours des âges, l'homme a enseigné ce même sujet, pendant deux mille ans. Et Ça inspire chaque génération tout autant que Cela avait inspiré la première génération à laquelle on avait lu Cela, parce que C'est la Parole éternelle de Dieu. Et si le temps devait continuer pendant plusieurs milliers d'années ou des éons de temps, Elle aura toujours la même signification.
Si je vous écrivais une lettre, vous pourriez l'apprécier, mais vous seriez le seul à pouvoir l'apprécier, en effet elle provient de moi et elle vous est adressée. Mais Ceci est pour quiconque veut. Et Cela ne meurt jamais. Ma lettre cessera d'être utile à votre mort. Mais la Parole de Dieu ne peut jamais passer, parce que c'est Dieu Lui-même : "Au commencement était la Parole, la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. "
8. Personne ne vaut donc plus que sa parole. Je ne vaux pas plus que ma parole. Vous ne valez pas plus que votre parole. Dieu ne vaut pas plus que Sa Parole. Et Sa Parole est une partie de Lui. Votre parole est une partie de vous. Ma parole est une partie de moi. Dieu étant donc infaillible, Sa Parole doit être infaillible. Dieu étant omnipotent, Sa Parole doit être omnipotente. Vous voyez donc, c'est ça Sa valeur. Et c'est une - c'est une - une invitation à chaque mortel sur la terre, si Elle est reçue comme il faut. Mais si vous La rejetez, alors Elle n'a pas du tout de valeur.
Il y a quelques années, une affaire a été jugée par les cours fédérales de notre pays là-dessus. Un homme avait commis un crime, et le gouverneur de l'Etat l'avait condamné à - à être fusillé, ou plutôt à être tué en public. Et pendant que cet homme était en prison, attendant son tour d'être exécuté, quelqu'un a plaidé en sa faveur auprès du gouverneur au point que le gouverneur a trouvé fondé de le pardonner. Le gouverneur a juste griffonné une courte phrase sur un morceau de papier et a signé de son nom : " Cet homme est pardonné, Gouverneur Untel. "
Et quand cela fut apporté à cet homme, c'était son avocat qui le lui avait montré, il a dit : "Je n'accepterais pas ça. Un pardon a plus que ça. Je crois que c'est un faux. Je pense donc que quelqu'un cherche à m'impliquer dans une histoire."
9. Oh, comme le diable dit cette même chose à l'Eglise ce soir : "La Bible est mal interprétée, et Elle ne veut plus dire la même chose. Elle était uniquement pour une autre génération. " Mais, oh ! mon ami, laissez-moi déclarer ceci ce soir : Elle est pour quiconque veut, qu'il vienne. C'est tout aussi puissant ce soir que Cela l'était la nuit où C'était sorti, ou le jour où C'est sorti de Sa bouche.
Cet homme, en rejetant ce pardon, du fait qu'il n'était pas écrit de façon assez élaborée, cet homme donc, pour l'avoir rejeté, a été exécuté le lendemain matin. Et alors, voici d'une part le pardon du gouverneur, et d'autre part, un homme exécuté après que le gouverneur eut signé le pardon. Ainsi, l'affaire a été jugée devant la Cour fédérale. Et la décision a été prise en ces termes, et j'aimerais que chacun de mes auditeurs de ce soir pense sérieusement à ceci. Et quand la décision de la Cour fédérale de notre pays, la Cour Suprême de notre pays plutôt a pris sa décision, voici ce qui a été dit : "Un pardon n'est pardon que s'il est reçu comme pardon. "
Et la grâce de Dieu qui pardonne, la guérison divine de Dieu est une propriété de chaque croyant si cela est reçu comme tel. Mais si cela est rejeté, alors ça n'a pas d'effet. Dieu n'est pas coupable, parce qu'Il vous l'a offert.
10. Jésus notre Seigneur, pendant qu'Il marchait ici sur terre, Il n'errait pas simplement de lieu en lieu, pour beaucoup de divertissements, les applaudissements des hommes, les applaudissements des audiences, et de grandes choses fleuries avec lesquelles les hommes de ce monde, ou des enseignants, Le louaient. Mais chaque pas qu'Il effectuait était ordonné par le Seigneur. Oh, j'aime vraiment ça ; quand, même à l'âge de douze ans, Il avait dit : "Ne savez-vous pas que Je dois M'occuper des affaires de Mon Père ? " Combien cela nous fait-il donc honte, alors que nous courrons tout le temps ça et là. Et la Bible dit : "Les pas de justes sont ordonnés de l'Eternel. " Nous devrions marcher selon ce qu'Il a ordonné pour nous. Marcher comme un chrétien ; parler comme un chrétien ; vivre comme un chrétien.
Et nous Le voyons se réunir avec de grands groupes d'hommes. Oh, parfois Il se réunit avec des groupes d'hommes. Une fois, nous Le voyons se réunir avec cinq cents, une autre fois avec soixante-dix, une autre fois avec douze, une autre fois avec trois. Et Il a même promis que " là où deux ou trois sont réunis, Je serai au milieu d'eux. " Et c'est ordonné par Dieu qu'Il se réunisse en assemblée. Peu importe combien elle est petite, c'est Son devoir, et Son privilège, et Son amour de garder les commandements de Dieu, de vous rencontrer " là où deux ou plus sont rassemblés en Mon Nom. " Il se réunira avec une seule personne dans le lieu secret, et là où leurs cœurs ont été déversés, Dieu a promis de les rencontrer.
11. Vous voyez donc qu'il ne faut pas de très grandes choses pour faire venir Christ ; il ne faut pas de grandes organisations ; ni non plus de grandes églises, de grands rassemblements ; mais il faut la sincérité du cœur pour Le faire venir.
Je pense, dans la Bible, quand Philippe tenait une grande campagne de guérison et que le Saint-Esprit l'a retiré de sa campagne, et il est allé au désert rencontrer un seul Ethiopien pour l'amener à la connaissance du salut par le Seigneur Jésus…
Comment Jésus a-t-Il une fois traversé la mer houleuse pour aller au pays de Gadara, et venir en aide à un seul fou ? Et Il a quitté le pays de Gadara, et Il avait traversé pour cela. Non seulement cela, mais Il quittera les portails de la Gloire pour venir au Cadle Tabernacle ce soir pour quiconque croira en Lui et L'acceptera.
12. Dans ce texte dont nous parlons ce soir, Jésus a pris trois de Ses disciples. En effet, il est écrit dans la Parole : " Toute parole sera établie sur la déposition de deux ou trois. " Dieu était bien sur le point de faire quelque chose. Et Dieu ne fait rien sans avoir premièrement apprêté les choses. Il a apprêté la scène pour Son grand drame qui va se dérouler.
Laissez-moi dire ceci ce soir, même si jamais je ne dis autre parole. Je crois que Dieu est en train de préparer la scène pour le plus grand drame qui ait jamais frappé la terre, la préparation de l'Eglise et la Venue de Son Adorable Fils, le Seigneur Jésus-Christ. Il rassemble Son petit troupeau, et manifeste l'Evangile par chaque signe, chaque prodige et sous chaque aspect aux yeux du monde, de telle sorte que ceux qui sont participants du monde périront avec le monde. C'est le temps de choisir, aujourd'hui.
13. Et comme Il gravissait la montagne appelée la montagne de la Transfiguration… ça devait être un endroit merveilleux. Plus tard, Pierre a considéré cela comme une sainte montagne, il a dit qu'il y avait été. Or, cela ne veut pas dire que la montagne était sainte, cela voulait dire que le Dieu saint était sur la montagne. Oh, je souhaiterais pouvoir vous faire comprendre cela. Il n'y a pas de sainte église ; c'est le Saint-Esprit dans l'Eglise qui fait d'Elle ce qu'Elle est. Il n'y a pas de saint homme ; c'est le Saint-Esprit dans l'homme qui fait de lui ce qu'il est.
Alors, sur la route vers là-haut, comme Dieu était sur le point d'exécuter une scène, Il a pris trois témoins : Pierre, Jacques, Jean. Eh bien, j'aime vraiment regarder cela sous cet angle-ci : Pierre représentait la foi, Jacques, l'espérance, et Jean, l'amour, la charité ; l'espérance, la foi et la charité, ces trois grands témoins. Et sur la terre, il y a ces trois témoins, la foi, l'espérance et la charité. C'est ce qu'enseigne la Bible. Et Il a fait venir la foi, l'espérance et la charité pour qu'elles rendent témoignage de ce qu'Il était sur le point de faire.
14. Bon, je sais que beaucoup d'enseignants de la Bible, ce soir, se demandent : " Où va-t-il en venir ? " Je sais l'application correcte de cela, frères, c'est la préfiguration de la Venue de Jésus. Mais ce soir, j'aimerais considérer cela sous un angle un peu différent, d'une façon un peu différente. Cela ne… Chaque sujet dans la Bible, tout dans la Bible se rattache à chaque Parole de la Bible. La Bible entière, chaque mot se rattache à Jésus-Christ, chaque chose. Chaque type, chaque ombre, tout se rattache. C'est donc la raison pour laquelle ce soir, je crois solennellement dans la Parole du Dieu vivant, cette vieille sainte Bible. Je crois que tout fondement autre que celui-là s'écroulera aussi sûr que deux fois deux font quatre.
Alors nous les voyons gravir la montagne. Et il y avait là trois témoins : l'espérance, la foi et la charité. Et alors, Dieu va accomplir quelque chose ; Il a fait venir trois témoins du Ciel. Pierre, Jacques et Jean, sont de la terre ; et Il a amené Moïse, Elie et Jésus sur la montagne : Trois êtres célestes, trois êtres terrestres. Oh, je L'aime vraiment quand Il fait ça. Je m'imagine que les feuilles avaient même cessé de bouger quand cela a eu lieu. Vous savez, il est écrit dans la Bible : " Soyez… tenez-vous tranquilles et sachez que Je suis Dieu. "
15. C'est là qu'il y a le problème aujourd'hui parmi les églises. Dieu n'arrive pas à les faire se tenir tranquilles assez longtemps. Elles courent ça et là, courent après ceci, et après cela, trottant de mission en mission, adhérant à l'église. Pourquoi n'arrêtez-vous pas cela et ne vous tenez-vous pas tranquilles une minute ? Quand Dieu allait faire traverser la mer Rouge à Ses enfants, Il a arrêté la mer Rouge. Pourquoi ? Il manifestait Sa puissance.
Un jour, alors que le soleil se couchait à l'ouest, Dieu manifesta Sa puissance, Il arrêta le soleil alors qu'Il montrait aux fils de l'homme ce qu'Il allait accomplir. Un jour, Il allait restituer la vue à un aveugle. Et la Bible dit : "Jésus s'arrêta ", pendant que Dieu oeuvrait avec Lui, ou plutôt oeuvrait au travers de Lui. Et j'en suis sûr ce soir, mes amis pentecôtistes, méthodistes, baptistes, et quoi que vous puissiez être, si vous vous tenez tranquilles assez longtemps, et que vous n'êtes pas tout agités, que vous vous tenez tranquilles, Dieu vous révélera Son dessein divin. Tenez-vous tranquilles, restez calmes devant Lui.
16. Il n'y a rien de comparable à ces belles heures, oh, comme j'aime sortir le matin, après que la nuit est passée, et quand la terre est devenue calme, sortir pour aller dans un jardin de fleurs. Tout le parfum des fleurs se répand un peu et le parfum de… Ici dans l'Indiana, nous avons le chèvrefeuille. Oh, comme j'aime faire une promenade juste à l'aube ! Mais quand l'agitation, et le bruit de la journée arrivent, on dirait que le parfum est enlevé d'un coup de balai.
C'est ainsi qu'est l'église aujourd'hui ; elle ne sait pas ce qu'elle croit ; elle va simplement d'un lieu à l'autre. Et dès qu'une petite chose apparaît, elle court après cela. Et par conséquent, toute la beauté et tout le parfum de l'église se sont vaporisés. C'est vrai. Tenez-vous tranquilles. Un jour, tout va s'arrêter. Le temps va s'arrêter, et il s'unira à l'Eternité. La lune s'arrêtera ; le soleil s'arrêtera. Les hommes s'arrêteront. Je le déclare ce soir, frère, que ce sera un temps glorieux. Le pécheur sera là.
17. Oh, vous qui courez d'un night-club et partout, à la recherche de la paix, vous vous tiendrez tranquilles un jour. Frère, Elvis Presley sera là, et il sera aussi vraiment tout ébranlé, en ce temps-là, s'il ne se repent pas. Arthur Godfrey sera là avec toutes ses petites fanatiques blondes, brunettes et autres ; et ça sera un temps de secousse pour lui. Tous les " Je vous salue Marie " qu'il y a dans le monde ne purifieront jamais son âme coupable ; il faudra le Sang de Christ. De non-sens tel que, quatre ou cinq psychiatres cherchant à le maintenir en forme. Il faut le Sang de Jésus-Christ pour purifier l'âme d'un homme. Et la pollution et les âmes…
Il se peut que je détruise votre petite conception chouette là, votre idole. Ceci est une chaire. Ce genre de choses, c'est ce qui attire une damnation sur notre nation. Tous les rock'n'roll, les boogie-woogie et toutes les autres sortes de sottises, de non-sens que le diable a placés dans les cœurs par de telles sottises. Que Dieu soit miséricordieux, tenons-nous une fois tranquilles et restons devant Dieu.
Ils se tinrent tranquilles, Dieu montrait une image de ce qu'Il allait faire. Dieu n'a jamais demandé à un homme de faire quelque chose que Lui ne ferait pas. Dieu a frayé une voie pour l'homme.
18. Bon, voici l'image que je désire placer devant vos yeux ce soir : Dans l'Ancien Testament, il y avait une - une loi appelée le placement de fils. Ou on en parle dans Ephésiens 1. 5, je pense, que Christ, Dieu nous a prédestinés à être Ses fils d'adoption par Jésus-Christ. Si vous parcourez vos références là-dessus, vous trouverez que cela remonte à l'Ancien Testament, c'était le placement d'un fils, un fils étant placé.
Eh bien, dans la Bible, nous voyons par exemple Jean 14, on dirait, cela paraît très étrange à certains parmi nous : "Il y a plusieurs demeures dans la maison de Mon Père. " Cela ne nous semble pas correct, n'est-ce pas ? "Il y a plusieurs demeures dans la maison de Mon Père ? " Il y a quelque chose qui cloche, semble-t-il. Je pense que c'était Moffatt, un des traducteurs, qui a rendu cela de façon plus ridicule que jamais, en disant : "Il y a plusieurs appartements dans la maison de Mon Père ", comme si vous irez là pour louer un appartement. Ça, c'est ridicule.
Mais la version originale est la suivante : " Il y a plusieurs palais dans le Royaume de Mon Père. " Eh bien, la raison pour laquelle les traducteurs l'ont rendu ainsi pour King James, c'est qu'il l fallait à l'époque du roi d'Angleterre. Un grand royaume était appelé une maison. Et le roi était le père de cette maison. C'est la raison pour laquelle ils ont rendu cela par : "Dans la maison de mon Père… " C'était Son Royaume. Cela provenait des enseignements de l'Ancien Testament.
19. Jadis, dans l'Ancien Testament, un père possédait une grande concession de terre. Il avait là de petits bâtiments. Et il avait là des serviteurs. Et quand un fils naissait dans sa famille, ce fils, aussitôt qu'il naissait, était un fils, parce qu'il était né fils. Eh bien, ceci peut paraître un peu étrange, mais j'espère que vous allez le recevoir et l'examiner d'abord.
Quand l'Eglise pentecôtiste et les gens du Plein Evangile ont reçu le Saint-Esprit, ils ont dit : "C'est ça la chose. Nous sommes entrés dans le Royaume par la naissance ; tout est réglé. " C'était une erreur. Quand un fils naissait dans une famille, c'est vrai qu'il était fils dès la naissance. Mais ce père était un homme occupé ; il avait beaucoup à faire. Il cherchait donc dans tout le pays, et se trouvait le meilleur tuteur qu'il pouvait trouver, un homme pour éduquer son fils, élever son fils, faire de lui le bon genre de garçon.
20. Et, oh, comme c'est le type de notre Père céleste. Quand Ses enfants entrent dans le Royaume par la naissance, il ne leur est pas donné un évêque, il ne leur est pas non plus donné une personne terrestre, mais Dieu le Père a donné le meilleur tuteur que l'Eglise puisse avoir, le Saint-Esprit, comme celui qui doit élever l'Eglise. "Quand Il viendra, Il vous enseignera et vous guidera dans toute la vérité ", le Saint-Esprit.
Et alors, en exécutant ce devoir de précepteur, chargé d'élever le fils, on devait faire rapport au Père sur l'évolution du fils. Et sa conduite déterminait son droit à l'héritage. S'il était un bon fils, il héritait de tout ce que le père avait. S'il n'était pas un bon fils, alors il ne recevait rien ; il n'était pas digne, quoiqu'il fût fils.
Et le seul fait pour vous d'avoir reçu le Saint-Esprit ne veut pas dire que tout va bonnement vous être déversé entre les mains. C'est la raison pour laquelle si l'Eglise se tient tranquille, juste un tout petit peu, et cesse de chercher à dire : "Je suis des Assemblées. Je suis unitaire. Je suis trinitaire. Je suis - je suis ceci, je suis cela et autre. " Vous êtes de Christ, racheté par Son Sang. On n'a pas le droit de briser la communion avec de telles gens, à moins qu'ils mènent une mauvaise vie, de dresser des clôtures ou des barrières. Nous sommes tous un en Jésus-Christ. Car nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps, le Corps des croyants.
21. Remarquez donc, et si ce tuteur, ce précepteur… Paul enseigne cela très clairement là dans les Evangiles, ou plutôt dans les Epîtres du Nouveau Testament. J'aimerais que vous remarquiez bien : En tant que tuteur, il devait être un homme sincère. Eh bien, il ne devait pas faire des manigances. Le fils ne pouvait pas faire des manigances avec le tuteur, parce que le tuteur, ou l'enseignant, devait faire un rapport exact au père sur la conduite du fils. Et comment le tuteur devait baisser la tête de honte, en allant devant le père pour dire : "Votre fils n'est pas obéissant ! Il est trop négligent ! " Oh, comme il devait cacher son visage !
Et je me demande ce que fait le Saint-Esprit, comment Il doit rougir, comme un prophète de jadis avait rougi en se tenant dans la Présence de Dieu, quand Il fait un rapport sur le caractère et la conduite de l'église de ce jour-ci. Comment Il doit rougir quand Il se tient devant le Père pour dire : "Oh, ils sont tous séparés ; ils agissent comme le monde. Ils se marient et donnent en mariage. Les femmes s'habillent et agissent pratiquement comme des prostituées, dans la rue. Comment les hommes fument la cigarette, disent de sales plaisanteries, restent à la maison le soir pour suivre " Qui aime Sucy ", et toutes ces histoires à la télévision, négligeant l'église… Comment le pasteur abandonne son poste de devoir pour avoir plus d'argent ailleurs… Comment le conseil des diacres gère les livres et autres … " Combien cela a dû faire rougir le Saint-Esprit dans la Présence de Dieu !
22. Permettez-moi de dire ceci. Vous direz : "Frère Branham, chaque fois que vous venez ici, vous martelez les gens. " Eh bien, si vous… Peut-être qu'ils en ont besoin. Il nous faut nous conformer à ce Livre. Permettez-moi de dire quelque chose, sœur. Qu'est-il arrivé à l'Eglise de la sainteté ? Qu'est-il arrivé à notre peuple ? J'apprécie votre décence. Mais, saviez-vous qu'il y a des années, c'était une mauvaise chose pour vous de vous couper les cheveux ? La Bible dit que c'en était une. Eh bien, pourquoi avons-nous tant de femmes aux cheveux coupés aujourd'hui ? C'était une mauvaise chose pour vous que de porter ce manucure, quoi que ce soit, oh, ce n'est pas ça le terme exact pour ça, mais cette histoire qu'on se met au visage, le maquillage. Il n'y a eu qu'une seule femme dans la Bible qui s'était donc maquillée le visage, et Dieu l'a livrée en pâture aux chiens. C'est vrai. Quand vous voyez donc une femme porter cela, vous pourrez lui dire : "Bonjour, mademoiselle viande pour chien. " C'est exactement ce qu'elle est dans la Présence de Dieu. Eh bien, c'est la vérité. C'est mauvais. Voilà votre modèle dans la Bible.
23. Et tout ce que j'aimerais demander, c'est ceci : Nous sommes censés vivre dans une haute civilisation ; parfois, je me pose des questions. Les femmes des églises aujourd'hui, modernes, et beaucoup de pentecôtistes qui ont adopté ce mouvement de libération de femmes… Cela a-t-il blessé? Il le fallait. Elles se dévêtissent autant que la loi les laissera faire. Et puis, vous vous dites chrétienne vivant dans une civilisation.
Dans les territoires de l'Afrique noire, là où les femmes éthiopiennes étaient venues par milliers à mes réunions, de pures païennes, de véritables indigènes, qui ne savaient même pas distinguer la main droite de la main gauche, elles venaient revêtues juste d'un petit habit, qui couvrait ici devant, suspendu à une corde nouée autour de la hanche, tout leur corps exposé, mais quand Dieu était descendu dans Sa puissance et les avait sauvées du péché, personne n'avait rien dit au sujet des habits, mais quand elles ont commencé à quitter l'assistance (Je me tenais là, regardant, pleurant.), ces femmes avaient croisé leurs mains comme ceci, pour se couvrir, afin qu'elles puissent aller porter des habits. Et, nous nous disons civilisés. Nous nous disons chrétiens ayant le Saint-Esprit. Honte à vous qui prêchez la libération des femmes. Frère, nous devrions prêcher la libération du péché. Que Dieu nous délivre de toute cette sottise.
24. Remarquez, si une véritable païenne, qui ne sait pas distinguer la main droite de la main gauche, a été enseignée par le Saint-Esprit Lui-même qu'elle est nue, vous qui prétendez donc avoir le Saint-Esprit, et qui vous dépouillez de tout ce que la loi vous laisse faire, il y a quelque chose de faux quelque part. Oh ! la la ! Ce que le Saint-Esprit doit penser en entrant dans la Présence de Dieu, à voir comment Ses enfants agissent. Vous direz : " Qu'en est-il des hommes ? "
Vous, frère, c'est votre tour. Vous vous dites un homme, le chef de la maison, et si vous laissez votre femme se déshabiller et sortir là, à cette tondeuse, avec une cigarette en main, devant des hommes, cela montre à quel point vous êtes homme. C'est tout à fait identique. C'est exact. Vous savez que c'est la vérité.
Ce dont nous avons besoin, c'est d'un réveil du Saint-Esprit à l'ancienne mode, pour nettoyer l'Eglise. C'est vrai. Je ne dis pas cela pour faire une plaisanterie ; ceci n'est pas un lieu où plaisanter, car nous nous occupons de la destination éternelle des âmes des hommes, chose dont je répondrai au Jour du Jugement. Mais, c'est vrai. Il n'est pas étonnant que l'Eglise cherche à suivre toutes sortes de petits ismes, des choses fantastiques, de petites sensations et autres.
Pourquoi prendre ce substitut ? Pourquoi ne vous purifiez-vous pas et ne vous tenez-vous pas tranquille ? Les cieux pentecôtistes sont remplis du véritable Saint-Esprit qui fera de vous ce que vous devrez être. Pourquoi prenez-vous quelque chose de ce genre, de petits ismes ? C'est parce que vous cherchez à vivre dans le péché et avoir le Saint-Esprit au même moment. Il s'est envolé et vous a abandonné. C'est ça le problème de l'église. C'est tout à fait vrai. Ça suffit, nous en parlerons un peu plus tard.
25. Mais alors, si cet enfant est obéissant, un très bon enfant, ô combien le Précepteur aimerait se tenir devant le Père et dire : "Oh, Seigneur, Ton petit garçon est un véritable gentleman. Oh, il est bien à la tâche, il ne reste pas à la maison devant la télévision, mais il est à la réunion de prière chaque soir, à son poste de devoir, témoignant dans la rue. Il mène une vie sans reproche. Il s'occupe bien des affaires du Père. Pendant que les gens prennent leur déjeuner au moulin, ou n'importe où, il a Ton livre sous le bras. Il Le lit, il témoigne aux autres. Après, le soir, quand il rentre chez lui et qu'il s'est lavé, il ne se retrouve pas là dans la cour-arrière, avec de la bière, mais il est là quelque part en train de rendre témoignage de l'amour de Dieu qui est dans son cœur. " Le Précepteur dit : "Tu sais, Seigneur, oh, Tu as vraiment un bon enfant. " Je peux voir le Père bomber le torse, et dire : "Oh, oui, c'est bien le fils de son père. Oui. "
26. Parfois le soir, pendant que les enfants dorment, madame Branham et moi nous entrons furtivement dans la chambre et nous regardons le petit Joseph. Et je le regarde pendant qu'il est couché là endormi, et je dis : "Maman, sais-tu qu'il a de grands yeux comme les tiens. "
Elle dit : "Oui, il a des lèvres comme les tiennes. "
Ce sont nos traits à nous deux qui se retrouvent dans cet enfant-là. Oh, combien Dieu aimerait voir Son reflet, et Son Eglise reflétant la puissance et la gloire aux yeux du monde.
Dans l'Ancien Testament, quand les batteurs battaient l'or… Quand on trouvait de l'or qui avait beaucoup de pyrites (c'est l'or de fou), il brille en fait plus que l'or véritable. Et cela a de la boue et tout. Mais le batteur battait cet or. Et le moyen pour lui de savoir que l'or était débarrassé de toutes les saletés, c'est qu'il voyait son reflet là-dedans, comme dans un miroir poli. Il bat cela, et il bat cela, et il le bat jusqu'à ce qu'il vît son propre reflet.
C'est ce que le Saint-Esprit essaye de faire à l'Eglise, c'est de La battre, La retourner, et La battre jusqu'à ce que Christ se reflète dans Son Eglise aux yeux des gens, prouvant Sa résurrection. Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement. Il cherche à prendre des gens pour faire sortir le monde d'eux à force de les battre. Le diable déverse cela là-dedans. Et le Saint-Esprit, si seulement vous vous tenez tranquille et que vous Le laissez faire, Il battra votre vie jusqu'à ce que la paix d'amour de Christ se reflète dans votre vie.
27. Bon, si cet enfant était obéissant, alors il arrivait un jour où cet enfant devenait mûr. C'est en ce jour-là que l'Eglise pentecôtiste devrait se retrouver aujourd'hui. Vous les presbytériens, vous devriez être ainsi il y a longtemps, les baptistes et les méthodistes, mais qu'y a-t-il ?
Alors, un certain jour arrivait, où ce père appelait tout le monde de la contrée, ils entraient dans la ville, ou allaient à une grande place. Alors il amenait son fils et le plaçait à un lieu élevé, il le revêtait d'une belle robe. Et on tenait une cérémonie, ce Père adoptait ce même fils qui était né, il l'adoptait dans sa famille. Ou, en d'autres termes, il le plaçait dans sa position, ce qu'il était dans la famille, et alors ce dernier devenait héritier de tout ce que le père avait. En d'autres termes, son nom sur un carnet de chèques était tout aussi valable que celui de son papa.
Et c'est là que l'Eglise devrait être aujourd'hui ; Elle devrait être à un niveau où… Et je le dis à moi-même et à vous : oh, que c'est pitoyable, lorsque je vais ça et là, de voir les afflictions, la maladie des gens et tout. Nous devrions avoir atteint un niveau de foi en Dieu, être tellement séparés que ce que nous demanderons au Père au Nom de Son Fils, Il nous l'accordera. C'est vrai.
28. Il l'amenait à un endroit, et là il l'adoptait dans sa famille, ou à un moment spécial où il l'amenait à l'écart ; il devrait en être ainsi de l'église ce soir, un Ange vient vers vous, Il vous met à l'écart, Il vous montre votre position, là où vous êtes. Pas un groupe de gens qui vous imposent les mains, ça, c'est terrestre ; Je parle de Dieu ; Dieu vous met à l'écart à votre place, dans votre position ; C'est Dieu qui fait ça, c'est votre Tuteur qui fait ça. Il est présent quand cela se passe.
Remarquez donc, Dieu faisait ici, exactement ce qu'Il avait demandé à l'homme de faire ; Son fils avait été obéissant, il s'était occupé du père. Il n'avait pas erré ça et là, à des endroits, disant : " Voyez-vous qui je suis ? Ma campagne est la plus grande du pays. Oui, oui. "
Il avait été obéissant. Il avait été obéissant au père. Il n'avait pas vagabondé autour des choses du monde, s'en mêlant, il avait été obéissant. Et Dieu a pris les témoins de la terre, Pierre, Jacques et Jean, Il a fait descendre Elie et Moïse du Ciel, Il les a placés là, et Il a adopté Son propre Fils. Il a été glorifié en présence de ces témoins. Et le - Dieu est descendu et L'a couvert de l'ombre. Et la Bible dit : " Ses vêtements étaient étincelants comme le soleil. " Vous voyez la robe, Sa glorification ? Il L'a revêtu d'une robe devant les témoins célestes, devant les témoins terrestres.
29. Vous savez, Pierre devint tout excité. Evidemment, il y a de quoi exciter un homme. Il devint un peu excité quand le surnaturel se produisit. Ecoutez attentivement. C'est ce qui excite les hommes. Mais vous ne devriez pas être excités. Vous voyez, c'est ce qui a amené une foule de gens de toutes espèces à sortir de l'Egypte, ceux qui ont péri lors de la révolte de Coré. C'est ce qui a fait que l'Eglise pentecôtiste soit dans la confusion où elle se trouve ce soir. Le surnaturel avait été accompli, et une foule de gens de toutes espèces était sortie.
Pierre devint excité, il dit : " Seigneur, c'est si grandiose que nous ferions mieux de former des dénominations ici. " C'est vrai. " Construisons une cathédrale ici, ou une école. Et nous l'appellerons " l'école de la loi ", pour Moïse et tous les siens. Oui, nous aurons cela. "
30. Eh bien, qui pouvait être sauvé par la loi ? Personne ne pouvait être sauvé par la loi. La loi n'était pas venue pour nous sauver. La loi était pour magnifier nos péchés, pour nous les montrer. Et écoutez, à vous croyants légalistes, j'aimerais vous poser une question : Il n'y a rien que vous puissiez faire pour vous sauver. Non, non. Vous êtes sauvés par la grâce et par elle seule, et vous n'avez rien à faire avec cela. C'est Dieu qui vous a choisis en Christ avant la fondation du monde. C'est vrai.
Il n'y a rien que vous puissiez faire pour le mériter. Ainsi, gardez tous les commandements que vous voulez, adhérez à toutes les églises auxquelles vous voulez, vous êtes néanmoins perdus. Vous pourriez connaître votre catéchisme, dire le " Je vous salue Marie. " Vous pourriez connaître " le Credo des apôtres ", la Doxologie; vous pourriez connaître toute la doctrine de la Bible. Mais connaître la Bible, ce n'est pas la Vie. Connaître les credos de l'église, ce n'est pas la Vie. Mais Le connaître Lui, c'est la Vie. Seulement Le connaître… Vous pourriez être baptisé de telle façon, de telle autre, de telle façon, de telle autre, ou être aspergé, ou avoir un déversement, quoi que ça puisse être ; vous êtes néanmoins perdu tant que vous ne Le connaissez pas. Le connaître, c'est la Vie. L'Eglise dans sa condition…
31. Remarquez, ils étaient là. Et Pierre a dit : " Nous construirons un tabernacle ici pour Moïse. " Or, la loi ne fait que vous mettre en prison. La loi ne fait que vous condamner ; la loi ne fait que magnifier. C'étaient les policiers qui venaient, vous attrapaient par le bras et disaient : " Vous êtes coupable, vous êtes passible d'une peine de mort. " La loi n'a pas de grâce rédemptrice. La grâce est venue par Jésus-Christ, non pas par la loi. Je ne plaide pas pour la loi ; je ne voudrais avoir rien à faire avec la loi.
Eh bien alors, Pierre a dit : " Je vais donc vous dire, nous nous bâtirons un autre tabernacle : Nous le bâtirons pour Elie. " Qu'est-ce que Elie représentait ? La justice de Dieu. Qui veut la justice ? Frère, pas moi ; je veux la miséricorde, pas la justice. Nous sommes tous nés dans le péché, conçus dans l'iniquité, venus au monde en proférant des mensonges. Nous sommes coupables sur toute la ligne. Il n'y a personne parmi nous qui puisse racheter un autre, que nous soyons des archevêques, des papes, quoi que nous puissions être, que nous soyons des prophètes, ou quoi que ce soit, même si nous étions des Anges, nous ne serions toujours pas dignes de nous racheter les uns les autres, certainement pas. Je ne veux pas la justice ; je ne réclame jamais la justice ; je veux la miséricorde. Ô Dieu, accorde-moi Ta miséricorde.
32. Considérez Elie, la dureté de la justice de Dieu, assis sur la montagne par la - la volonté de Dieu. C'est Dieu qui lui avait dit de faire cela. Et un roi avait envoyé un groupe de gens, leur disant : " Montez le prendre là. "
Quand ils se sont approchés d'Elie, ce dernier s'est levé, un agent de la justice de Dieu, et a dit : " Si je suis un homme de Dieu, que le feu descende du ciel et vous consume. " Le feu est descendu et a consumé les cinquante.
" Eh bien, a dit le capitaine, vous savez, cela doit avoir été juste un éclair ; un orage qui passait. Nous essayerons une fois de plus. Vous savez, ce n'était qu'un fait de la nature. " Aussi a-t-il envoyé un autre groupe de cinquante.
Et la justice de Dieu a été suscitée dans Son prophète et ce dernier a dit : " Si je suis un homme de Dieu, que le feu descende du ciel et vous consume. " Et le feu est descendu et les a consumés. La justice de Dieu… Miséricorde, frères, nous ne voulons pas la justice.
33. Mais à peine Pierre a-t-il fait sortir cela de sa bouche, quand il voulait organiser l'église en dénomination, quand il voulait ériger des barrières dénominationnelles, une pour ceci, une pour cela, qu'une voix se fit entendre du Ciel, disant : " Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le. " Et quand ils se sont retournés, ils ont vu Jésus seul. La loi avait disparu ; tous les jugements étaient passés ; et Dieu a dit : " Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le. "
Que représentait-Il ? L'amour de Dieu. " Dieu a tant aimé le monde qu'Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. "
Dieu, Sa nature, est tellement aimante, que quand l'amour divin… C'est ce dont l'église a besoin. C'est là que nous nous sommes, nous n'avons pas besoin de la doctrine de la Bible, ni de dénominations, nous avons besoin de l'amour de Dieu. C'est cela qui a été mon thème et qui le sera jusqu'à ma mort. L'amour de Dieu, c'est ce dont l'église a besoin.
34. Si nous avions l'amour de Dieu chez les Assemblées, chez les unitaires, chez l'Eglise de Dieu, chez les méthodistes, chez les baptistes, alors les barrières dénominationnelles seraient brisées, ce Cadle Tabernacle serait bondé ce soir jusque dans des rues ici, la puissance et la gloire de Dieu, et un réveil à l'ancienne mode balayerait cette ville et… ?… là.
Si les gens de cette ville, sur qui le Nom du Seigneur Jésus est invoqué, comme des croyants, se rassemblent comme ça demain soir, dans une semaine, on ne retrouvera plus dans cette ville un contrebandier ni un point de vente du Whisky. Qu'y a-t-il ? Le manque d'amour. Que représentait Jésus? Moïse, la loi. Elie, sa dureté, sa justice. Que représentait Jésus ? Son amour. Et comme Dieu est amour, et Il était… a tant aimé le monde. Et quand l'amour divin est projeté, il produit son objet. Dieu ne peut rien faire d'autre qu'envoyer quelque chose prendre la place de Son amour. La loi ne pouvait donc pas faire cela ; Sa justice ne pouvait pas faire cela, aussi l'amour a-t-il pris sa place.
Oh, cher agneau mourant,
Ton précieux sang,
Ne perdra jamais sa puissance,
Jusqu'à ce que toute l'église de Dieu racheté,
Soit sauvée pour ne plus pécher.
Depuis que par la foi j'ai vu ce flot,
Que tes plaies saignantes ont alimenté,
L'amour rédempteur a été mon thème,
Et le sera jusqu'à ma mort.
35. L'amour, l'amour de Dieu, il prendra la place de parler en langues, et c'est vrai. Il prendra la place des dons, des prodiges, des signes, et tout le reste. Si vous n'avez pas l'amour pour qu'il accompagne cela, à quoi vous serviront les signes ? Dieu a essayé d'accomplir cela à travers la nation, mais cela n'a pas marché. Le don le plus grand de tous, c'est la sagesse ; le deuxième, c'est la connaissance. Si vous n'avez pas de connaissance, vous n'avez pas de sagesse, comment pouvons - contrôler votre sagesse, à quoi vous servira votre connaissance ? Voyez-vous ce que je veux dire ? Cherchez d'abord les premières choses. Nous avons cherché les dons ; nous avons cherché ceci ; nous avons cherché cela, parce que le surnaturel a été accompli. Mais, frère, ne cherchez pas les dons ; ne recherchez pas la faveur d'une dénomination ; cherchez l'amour de Dieu. Cherchez ça, frères.
36. L'amour L'a contraint. C'est ce qu'Il était : l'amour dans Son grand sein, s'est lancé vers la race déchue d'Adam et les a rachetés par Son Fils, Jésus-Christ. Les lois, les prophètes, les dénominations, ont tous disparu : " Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le. " L'amour prend sa place.
Vous ne pouvez pas imiter l'amour. Il vous faut l'avoir ; ça doit être un produit que Dieu vous a donné. Ce n'est pas ce que vous imaginez ; c'est quelque chose que Dieu a accompli. C'est comme je le disais à quelqu'un aujourd'hui, quand je suis sur le point de partir Outre-mer, je ne fais pas venir ma femme pour lui dire : " Ecoute, madame Branham, je vais te dire quelque chose : Tu n'auras pas d'autres maris ; c'est moi ton mari. Si j'apprends que tu étais sortie avec quelqu'un d'autre, sais-tu ce que tu vas avoir à mon retour ? Tu ne flirteras avec personne d'autre. "
Eh bien, ne serait-ce pas là un foyer ! C'est à peu près comme ça qu'est l'église : " Si vous allez à ce réveil-là, je vous donnerai vos documents, à votre église. " C'est vrai. Oh, nous sommes l'Eglise de Dieu rachetée, vous y êtes. Oh, nous avons besoin de l'amour, assurément.
37. Bon, elle ne me prend pas par le col, elle ne me fait pas pivoter et ne dit pas : " Une minute, mon jeune homme : que j'entende dire que tu étais sorti avec une femme pendant que tu étais au loin, tu en auras pour ton compte à ton retour à la maison. " Ce n'est pas ça. Ce n'est pas la loi ; c'est l'amour. Je l'aime ; elle m'aime. Quand nous sommes sur le point de partir, nous pleurons un peu tous deux ; nous nous agenouillons sur le pavement et nous prions Dieu de prendre soin de moi et de m'aider, et que Dieu m'aide à gagner des âmes pour Lui. Et je prie Dieu de l'aider et de prendre soin des enfants. Nous nous levons et je l'embrasse pour lui dire au revoir ; elle dit : " Billy, je prierai pour toi pendant que tu seras parti, chéri. "
" Très bien, chérie. " Ça règle la question ; il n'y a pas d'autres pensées là-dessus. Pourquoi ? Je l'aime. Si je faisais une année outre-mer, loin de la maison, peu m'importe quelle - quelle femme est-ce, qui s'avancerait, une jeune fille, ou une femme quelconque et dirait : " Billy, voudras-tu m'amener souper ? "
Je me dirais : " Meda ne voudrait pas que je fasse cela. " Mais quand bien même je savais que je pourrais m'en tirer, si je savais que je pourrais revenir et lui dire : " Meda, j'ai pris quelques jeunes filles, ou quelques femmes, et nous sommes allés souper. J'ai fait telle ou telle autre chose. Je - je - je t'assure, j'ai tenu l'une par la main avant de quitter, pardonne-moi, ne le voudras-tu pas, Meda ? "
Je pense qu'elle me le pardonnerait. Mais, frère, je ne le ferais pour rien. Je ne blesserais ses sentiments pour rien. Je l'aime. Et tant que je l'aime, elle n'a pas à se faire des soucis. Et tant qu'elle m'aime, je n'ai pas à me faire des soucis. Et tant que vous aimez Christ, vous n'avez pas à vous faire des soucis, et Christ vous aime, vous savez. C'est l'amour qui fait cela. Il n'y a rien que je fais pour mériter cela, c'est l'amour divin de Dieu.
38. Pour terminer, on pourrait dire ceci. Il y a quelque temps, comme vous le savez, j'aime chasser ; j'aime vraiment chasser, pas tellement pour tuer l'animal, mais pour me retrouver dans la nature. Et j'avais l'habitude de chasser là dans le bois du Nord, là, loin, dans les régions du Nord de New Hampshire, et là dans le Maine.
Et j'avais l'habitude de chasser avec un gars là, un drôle de petit Yankee ; c'était un bon jeune garçon. Je l'aimais beaucoup. Son nom, c'est Burt Caul. Et j'avais beaucoup d'estime pour lui, c'était un très bon chasseur. J'aimais marcher, vingt cinq et trente cinq miles [40 km et 56 km - N.D.T.] par jour dans la nature. C'était un bon marcheur, il faisait de bons progrès. Et c'était un bon traqueur ; c'était un bon jeune garçon, un bon chasseur. Mais c'était la personne la plus cruelle que j'aie jamais vue. Il aimait vraiment tirer sur les petits faons, juste pour me faire du mal. Eh bien, si la loi dit qu'il peut avoir un faon, c'est en ordre. Mais pas huit ou dix par an.
39. Il aimait donc faire ça, juste pour faire le méchant. Et il tirait ces petits faons pour rire. Je disais : " Burt, comment peux-tu faire telle chose ? "
" Oh, disait-il, toi prédicateur poule mouillée, je pensais que tu étais un chasseur. "
J'ai dit : " Je suis chasseur, mais je ne suis pas tueur. "
Et il disait : " Ah, n'est-ce pas bien en ordre ? "
Et je disais : " Abraham, assurément, a tué un veau pour nourrir Dieu. C'est bien. Mais, Burt, non pas juste pour être brutal comme toi. "
Il a dit : " Ah, tu es une poule mouillée. "
Une année, je suis allé là, il a dit : " Viens ici, Billy, j'aimerais te montrer quelque chose. " Et il s'était fabriqué un petit sifflet. Et cela pouvait émettre un son semblable à celui du petit d'une biche, un petit faon, en train de pleurer. J'ai dit : " Burt, tu ne vas pas utiliser ça ? "
Il a dit : " Ah, ressaisis-toi, prédicateur. "
40. Nous sommes allés chasser ce jour-là, et nous étions là, dans la nature, en train de nous promener. Nous avions peut-être fait une demi-journée. On approchait du temps de dîner ; nous n'avions même pas vu une piste d'animal. C'était une grande clairière comme ça, et la neige avait assez bien fondu là où le soleil avait frappé. Et il s'est un peu incliné. Je me suis demandé : " Que va-t-il faire? "
Je l'ai vu introduire la main dans sa poche, il en a fait sortir ce petit sifflet. Je me suis dit : " Oh ! la la ! " Et il a pris ce petit sifflet et a imité le cri du petit d'une biche en pleurs. Et aussitôt qu'il a fait cela, une grosse et belle mère biche, appelée une daine, a traversé le chemin, et elle s'est levée. Elle a regardé tout autour.
Je peux bien la voir maintenant, avec ces gros yeux bruns, ces grosses oreilles, les veines au visage ; oh ! quelle belle stature elle avait. Elle a regardé tout autour. J'ai vu Burt me regarder et faire un large sourire; je me suis dit : " Oh, Burt, tu ne vas pas faire ça. "
Il a souri et il a baissé la tête. Je ne pouvais pas voir cela. J'ai détourné la tête. Et j'ai entendu la chambre basculer alors que le - le levier revenait pour pousser sa cartouche dans le tube du canon. Oh, il était un vrai tireur.
41. Et je savais que cette biche ne se trouvait pas à plus de trente yards [27m - N.D.T.] Et j'ai de nouveau regardé ça et là ; je l'ai vu braquer ce nerf solide, il a juste visé le cœur de cette mère-là. Elle a regardé ça et là, elle avait entendu le cri de son petit. Elle s'est avancée là, en plein milieu de ce petit espace, juste là dans cette clairière.
Pourquoi ? Elle n'y pouvait rien ; elle était une mère. Elle était une mère par nature. Elle ne faisait pas semblant, mais elle était une mère pour commencer, et un petit était en difficulté là, et elle devait aller auprès de lui, il était en difficulté. Il y avait quelque chose en elle. Elle aurait eu peur à mort dans d'autres circonstances ; c'est pourquoi elle se cachait derrière le buisson, loin de ce lieu éclairé jusqu'à ce qu'il fasse nuit, et alors elle allait sortir pour se nourrir. Mais un petit était en difficulté. L'instinct de mère l'avait fait venir. C'était un devoir.
42. Elle est sortie, écoutant de nouveau l'oreille avec ces grosses oreilles. J'ai vu son nerf alors qu'il se calmait, j'ai détourné la tête ; je me suis dit : " Oh, Dieu, ne le laisse pas faire cela. " Je savais que dans quelques instants, en une ou deux secondes, cette balle de fusil 30 - 06 ferait exploser le cœur de cette mère et le ferait sortir de l'autre côté. Et je me suis dit ; cette vaillante démonstration du véritable amour, cette mère qui aimait son petit au point qu'elle s'est avancée là… Et je regardais, elle avait vu le chasseur ; elle s'était arrêtée. Ces grosses oreilles étaient devenues pointues ; elle l'avait flairé, et elle s'est arrêtée là. Mais à cause de l'amour maternel, elle n'y pouvait rien. Elle s'est avancée à la recherche de ce petit-là. Ce n'était pas du plaqué ; c'était une chose réelle. Elle s'est avancée droit en face de la mort, parce qu'elle était une mère.
J'ai détourné la tête, j'ai dit : " Ô, Dieu, comment cet homme cruel peut-il faire cela ? " Et pendant que je priais, j'ai constaté un silence. Je n'ai rien entendu ; je me suis demandé : " Pourquoi ce fusil ne fait-il pas mouche ? "
Et quand je me suis retourné pour voir, j'ai vu le canon du fusil faire comme ceci. Il a jeté le fusil par terre, il s'est tourné, il m'a saisi par les jambes du pantalon et a dit : " Billy, j'en ai marre. Je ne peux plus supporter cela. Parle-moi de ce Jésus qui a mis un tel amour dans le cœur de l'homme. " Là, sur ce terrain neigeux, cet homme cruel, à cause de la manifestation du véritable et authentique amour, a été conduit à Christ.
43. Quand l'Eglise du Dieu vivant en arrivera à ce point et qu'elle se débarrassera de ses drôles de petits ismes et sensations, au point qu'Elle pourra manifester le véritable et authentique amour de Dieu, alors vous deviendrez le sel de la terre qui suscitera la soif dans le cœur du pécheur, qui l'amènera à désirer être comme vous. Que Dieu accorde cela à chaque incroyant ce soir, alors que nous inclinons la tête.
" Celui-ci est Mon Fils bien aimé ; écoutez-Le ", le cœur de Dieu.
Bien-aimé Jésus, alors que mon esprit remonte à cette petite clairière sur le sommet de - ou plutôt sur le flanc de la montagne ce jour-là, il y a de cela douze, quatorze ans, près de cet endroit appelé Pond of Safety et que je vois cette brave mère biche, qui n'y pouvait rien, elle était mère par nature. Ô Dieu, elle devait manifester son amour, son vaillant amour, parce que c'était sa nature.
Ô Jésus, il y a dans cette salle ce soir des gens qui ont adhéré à l'église ça fait des années, peut-être que certains parmi eux ne l'ont pas fait, mais ce sont des êtres humains à qui Tu as envoyé Ton Fils et vers qui Tu as projeté l'amour de Dieu. Et ils ont juste adhéré à l'église par un formalisme froid, ou peut-être qu'ils ont tout à fait négligé cela. Mais ils ont toujours désiré un moment où ils pourraient avoir la chose réelle. Ils ont eu leurs hauts et leurs bas, un pied dedans et un pied dehors. Ô Dieu, accorde à chaque personne ce soir, pendant que Ta glorieuse Présence est ici, d'accepter Jésus, le Sauveur, et que Lui place dans leur nature, dans leur caractère, les traits caractéristiques de Jésus-Christ, de sorte qu'ils puissent s'aimer les uns les autres, et T'aimer tellement qu'ils rentreront chez eux, et agiront comme des chrétiens, vivront comme des chrétiens, auront communion avec tous les chrétiens, et seront Tes enfants, et seront ainsi dans le quartier, comme cette mère biche qui avait manifesté l'amour maternel, au point qu'un incroyant est venu à Christ, puissent-ils manifester le sel du Royaume de Dieu par l'amour chrétien, au point qu'ils gagneront des voisins et ceux qui sont tout autour d'eux à Christ de Dieu. Accorde-le, Père. Tu connais le cœur de l'homme. S'il Te plait, Saint-Esprit, entre dans cet auditoire, et touche chaque cœur maintenant même.
44. Pendant que nous avons nos têtes inclinées, nos yeux fermés, ceci peut être la dernière fois où Dieu touchera donc votre cœur. " Oh, direz-vous, je suis membre de l'église ça fait des années, Frère Branham. " Ce n'est pas ce dont je parle. " Oh, j'ai dansé en Esprit, Frère Branham. " Ce n'est toujours pas ce dont je parle. " " Frère Branham, j'ai parlé en langues ; j'ai eu l'interprétation. J'ai même prié pour les malades, et ils ont été guéris. " Ce n'est toujours pas ce dont je parle, ami. Je parle de l'amour de Dieu, quelque chose qui est dans votre cœur, qui vous amène simplement à mettre Christ en premier lieu en toute chose.
Si vous n'avez pas cela, voulez-vous faire quelque chose ce soir ? Voudriez-vous lever la main, pas vers moi, mais vers Dieu pour dire : " Ô Dieu, donne-moi l'amour chrétien pour les frères, pour l'église, comme cette mère biche avait l'amour maternel pour son petit. "
Voudriez-vous lever la main vers Lui ? Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu bénisse. C'est bien. C'est trop pour être compté à la fois, des centaines ou plus de mains des gens se sont levées ici. C'est bien, que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, là, assurément. Yen a-t-il un autre ? Que Dieu vous bénisse, vous, madame, vous, vous.
45. [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Si madame, s'il y avait une chose que je pouvais faire, au cas où vous auriez besoin d'argent, ou de guérison, ou de n'importe quoi, si je - il y avait une seule chose que je pouvais faire pour vous aider, et que je ne le faisais pas, je ne serais pas - je serais un hypocrite, ou je serais une personne indigne. Mais je n'ai rien, j'ai un peu d'argent ; je pense, environ quarante dollars. Je serais content de partager cela avec vous. Mais quant à votre guérison, si vous en avez besoin, Christ était déjà mort pour cela. Si - si vous avez besoin de salut, si vous avez besoin d'un don spirituel, ou de quoi que ce soit, Christ était mort pour cela. Tout ce qui était dans l'expiation appartient au croyant.
Mais je dis donc maintenant, que vous êtes une croyante, en effet, votre esprit semble être accueillant. Voyez ? Je - je sais que vous êtes chrétienne. Je ne veux pas dire une auto-stoppeuse ; vous êtes une chrétienne née de nouveau. C'est vrai. Vous êtes une chrétienne. Et si Dieu veut me révéler ce pour quoi vous êtes ici, madame, allez-vous accepter cela comme étant Christ ? Vous savez que cela devra venir par le surnaturel. Madame, il y a quelque chose qui se tient là. Je vois cela remonter à un passé lointain. C'est quelque chose au niveau de la gorge. Et ça se développe et se transforme en quelque chose de grave. Vous avez peur du cancer. C'est vrai. Eh bien, si c'est vrai, levez la main.
Bon, il n'y a rien qui se fait voir sur elle. Mais si je disais… Eh bien, je ne vois pas quelqu'un d'infirme, mais si je disais qu'un certain homme… Tenez, je vois un petit garçon ici. Si je dis : " Ce jeune garçon est infirme. "
Vous direz : " Assurément. "
Mais cette femme-ci a l'air d'être en bonne santé, qu'en est-il d'elle ? Voilà le mystère. Voilà le miracle ; voilà le miracle. Bon, regardez, plus je parle à cette dame…
46. C'est un don que Dieu a promis : " Les apôtres, les prophètes, les docteurs, les évangélistes et les pasteurs. Est-ce vrai ? Un esprit, un voyant… Bon, si je parlais à cette dame… Combien aimeraient perdre juste un peu de temps pour que l'on parle à cette dame ? Faites voir la main. Très bien. Très bien, sœur, bon, que vous a-t-Il dit ? Est-ce bien votre maladie ? Bon, voyez, le seul moyen pour moi de savoir ce qui a été dit ; il faudra… Il me faudra suivre cela sur bande. Voyez ?
Eh bien, veuillez être vraiment respectueux et croyez de tout votre cœur, peut-être qu'Il fera quelque chose d'autre, nous verrons quelque chose, peut-être une cause, ou quoi que ce soit, quelque chose à ce sujet. Je ne sais pas.
47. Bon, il y a quelque chose d'étrange, cette dame est une espèce de travailleuse, ou - ou quelque chose comme ça dans une chorale. Non, elle porte une espèce de robe de femmes, et c'est une, oh, elle est de Four Square Church, vous en êtes membre. Vous êtes une enseignante à Four Square Church. C'est tout à fait vrai. Et vous êtes en train de perdre votre voix, c'est pourquoi vous ne pouvez plus enseigner. Et vous venez de Chicago. Et vous… Je vous vois serrer la main à quelqu'un, un homme âgé qui est un peu chauve… C'est frère Bosworth. Vous connaissez frère Bosworth, vous avez des liens avec lui. Et je vois une dame que je connais, c'est une dame gentille… eh bien, voyons si je trouve… C'est madame Domico. Vous avez des liens avec madame Domico ; c'est la vérité. C'est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C'est… Croyez-vous maintenant ? Allez et recevez votre guérison au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen.
Ayez foi. Si tu peux… Combien croient ? Croyez simplement. Si ce n'est pas là Christ ressuscité, le même hier, aujourd'hui et éternellement…
48. Pendant qu'on fait venir, qu'en est-il de certains parmi vous là, croyez-vous ? Vous venez de recevoir Christ il y a quelques minutes, vous madame assise là, au bout du siège. Je vous ai vu lever la main pour accepter Christ. Vous avez votre main levée maintenant. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu ? Avez-vous une carte de prière ? Non ? Très bien, vous n'en avez pas besoin. Croyez-vous que Dieu peut me révéler ici, ce qu'est votre problème ? Croyez-vous que Dieu peut révéler cela ? Alors, le cancer ne vous tuera pas ; vous pouvez être guérie si vous croyez. Amen. Très bien, que Dieu vous bénisse donc. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant.
Bonsoir, monsieur. Nous sommes inconnus l'un à l'autre. Eh bien, soyez juste… Veuillez rester assis juste un instant. Voyez ? Quand vous bougez, chacun est un esprit ; et quand vous bougez, cela interrompt le contact que j'ai avec le monde des esprits, c'est-à-dire, les Anges de Dieu et le Saint-Esprit, dans l'assistance.
Vous rappelez-vous que Jésus a fait sortir tout le monde de la chambre quand Il a ressuscité la fille de Jaïrus ? Combien s'en souviennent ? Il a fait sortir une personne de la ville… Voyez, soyez vraiment respectueux. Voyez ? Combien ont déjà lu mon livre ? Il a dit : " Si tu es sincère et que tu amènes les gens à te croire ", et quand je dis quelque chose, croyez-le, c'est tout, croyez-le. Et si Dieu ne confirme pas que c'est la vérité, alors je suis un menteur. S'Il confirme donc cela, c'est la vérité, ce n'était pas moi, c'était Lui.
49. Je ne vous connais pas, monsieur, mais Dieu vous connaît. Il sait tout à votre sujet. Mais si… Voici… L'autre, c'était une femme, celui-ci est un homme. Bon, si Dieu me révèle ce qu'est votre problème, allez-vous croire ? Vous êtes très gravement malade et vous êtes couvert par un cancer. C'est dans le rectum. C'est vrai. Vous n'êtes pas de cette ville-ci ; vous venez de loin, n'est-ce pas ? Vous êtes d'une ville située sur le flanc d'une colline. Elle a une grande fontaine sur la route. Je vois que vous avez eu… C'est Hot Springs, dans l'Arkansas, c'est de là que vous venez ; c'est vrai. C'est vrai. On vous appelle Mack, n'est-ce pas ? C'est vrai. Permettez-moi de vous dire quelque chose : Vous - vous avez un bon esprit. Je vais vous dire autre chose. Votre femme est ici avec vous. Elle aussi veut qu'on prie pour elle, n'est-ce pas ? Si je vous dis ce qui ne va pas chez votre femme, croirez-vous que je suis Son prophète ? Elle souffre de côlon, le côlon et les intestins. C'est vrai, n'est-ce pas ? Très bien, rentrez tous à Hot Springs en vous réjouissant. Ce que les eaux de Hot Springs ne peuvent pas faire, le salut en Christ le fait, au Nom de Jésus. Amen. Ayez simplement foi, croyez simplement.
50. Monsieur, vous là-bas, en train de prier avec la tête inclinée. Croyez-vous qu'Il vous a exaucé ? Croyez-vous ? Leroy, c'est à vous que je m'adresse, Leroy Carl. Vous venez de Midland, en Pennsylvanie, n'est-ce pas ? Je ne vous ai jamais vu de ma vie, je ne vous ai jamais connu. Mais vous souffrez de l'hernie, et vous priez que Christ vous guérisse. Si c'est vrai, levez la main. Très bien, rentrez chez vous et recevez ce que vous avez demandé. Vous L'avez touché. Amen. N'ayez pas peur de ce qu'Il connaît les noms ; Il sait qui vous êtes ; certainement.
Cet homme-là peut se tenir debout s'il le veut. Je ne l'ai jamais vu de ma vie, autant que je sache, est-ce vrai ? Mais vous étiez assis là, en train de prier que Dieu fasse cela. Bon, Il a exaucé votre prière. Maintenant, soyez simplement… Croyez, croyez de tout votre cœur, vous pouvez obtenir ce que vous demandez. Que Dieu vous bénisse.
51. Croyez-vous, madame ? De tout votre cœur ? Si je pouvais vous guérir, je le ferais. Je ne le peux pas, Christ le peut. Mais Daniel a dit, dans l'Ancien Testament, au monarque, que Dieu connaissait les secrets du cœur des gens. Quand Dieu était manifesté dans la chair, en Jésus-Christ, Il connaissait les secrets du cœur et Il connaissait leurs pensées. Est-ce vrai ? S'Il est le même hier, du temps de Daniel, qu'Il l'était du temps de Jésus, Il est le même aujourd'hui dans Son Eglise, sinon Sa Bible est fausse. Sa Bible n'est donc pas fausse, Il se manifeste donc comme étant le même.
Puissé-je prendre juste cette dame, alors vous tirerez tous vos conclusions, peu importe ce que vous pensez. A propos, vous n'êtes pas ici pour vous-même ; en effet, je vois un homme. Et cet homme est dans un état terrible. Et ce n'est pas - c'est - c'est votre pasteur. Et vous n'êtes pas - vous êtes - il est de Columbus, dans l'Ohio. Il est originaire de l'Illinois. Et il a eu une crise cardiaque ; il est paralysé. Et son nom est Ginter, Ganter. C'est vrai ; vous croyez que je suis le prophète de Dieu. Alors, ce mouchoir que vous tenez en main, envoyez-le-lui. Au Nom du Seigneur Jésus. Que Dieu vous bénisse.
52. Croyez-vous de tout votre cœur ? Qu'en est-il de vous ici ? Votre rangée. Quelqu'un croit. On commence à avoir la foi. Voyez, ceci peut bien continuer sans cesse. Eh bien, qu'est-ce que ça fait ? Cela ne fait que confirmer Sa résu… Je défie votre foi de croire. Quelle chose ! La Bible dit qu'Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités. Est-ce vrai ? Il est maintenant le Souverain Sacrificateur. Il a toujours été le Souverain Sacrificateur. Il est maintenant le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités.
Eh bien, une femme toucha Son vêtement, Il se retourna, identifia qui elle était et Il lui révéla sa maladie. Et sa foi l'avait guérie. Et s'Il est toujours le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments des infirmités, Il est le Cep ; nous sommes des sarments. Ce sont les sarments qui portent le fruit. Vous Le touchez et le sarment réagit ; Est-ce vrai ? Croyez-vous cela ?
53. Que pensez-vous, vous la dame assise là ? Croyez-vous de tout votre cœur ? Croyez-vous ? Si vous croyez, vous arrêterez donc de tousser. Amen. Qu'êtes-vous, madame, vous qui avez levé la main à côté d'elle ? Croyez-vous de tout votre cœur ? Votre mal de gorge va aussi se terminer donc. Amen.
Qu'en est-il de vous, madame, assise à côté d'elle ? Croyez-vous de tout votre cœur ? Croyez-vous ? Vous souffrez de jambes, de dos, et de gastrite. Est-ce vrai ? Vous pourrez donc avoir cela.
Qu'en est-il de vous assise à côté d'elle ? Croyez-vous ? Vous soufrez de l'arthrite. Ou vous en aviez souffert. De là, à Chicago… C'est vrai. Croyez-vous ? Pourquoi ne pouvez-vous pas croire ? Attendez, nous avons un autre patient ici devant nous, on a amené cette dame ici. Je ne vous connais pas, madame ; Dieu vous connaît effectivement. Vous étiez très heureuse quand on vous a appelé à cette estrade-ci, car ceci est votre dernière soirée ici. Il vous faut rentrer chez vous tout de suite. C'est vrai. Cela veut dire que vous n'êtes pas d'ici ; vous venez d'une ville appelée Canton, dans l'Ohio. C'est vrai. Vous aimeriez que je prie pour vous, car vous êtes nerveuse. La raison pour laquelle vous rentrez chez vous, c'est que vous avez deux enfants qui sont sur le point de subir une opération chirurgicale très bientôt. C'est vrai, n'est-ce pas ? Rentrez chez vous et trouvez cela tel que vous l'avez cru. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ.
54. Je défie… Ne vous déplacez pas. Je défie votre foi de croire cela. Ne croyez-vous pas cela ? Croyez-vous cela ? Qu'en est-il là, dans la ligne de prière, croyez-vous cela de tout votre cœur ? Si vous croyez, vous pouvez tous être guéris. De quoi ceci est-il le signe ? Ceci est le signe que vous êtes guéri, ce n'est pas une histoire fictive. C'est la vérité de Jésus ressuscité, le même hier, aujourd'hui et éternellement. En voilà une idée. Assurément : " Alléluia " signifie " Gloire à notre Dieu. " Il est parmi nous, Il mérite toutes les louanges. Vous ne pourrez pas trop Le louer.
Croyez-vous qu'Il vous a guérie, vous là débout, madame ? Poursuivez donc votre chemin en vous réjouissant, disant : " Gloire au Seigneur. " Amen.
Qu'en est-il de vous autres ? Croyez-vous de tout votre cœur ? Voici l'heure de votre guérison. Je vous demande de croire cela, vous tous. D'abord la Bible le dit. L'Esprit le témoigne. Christ le confirme. Je vous dis la vérité. Vous êtes déjà guéris, et vous l'avez été depuis que Christ est mort pour vous. Il vous faut avoir assez de foi pour vous élever et recevoir cela. Le croyez-vous ? Si c'est le cas, levez-vous et réclamez cela au Nom de Jésus-Christ. Levons-nous et rendons-Lui gloire.
Père céleste, je vais maintenant défier l'esprit de doute et je lui ordonne de quitter cette salle et de partir d'ici. Au Nom de Jésus-Christ.
E-1 Today has been a great and
wonderful day for me, this afternoon and through the day, of many
interviews and so forth, with the different delegations that's coming
and the planning for services in the future and so forth. And then,
once in a while on the street passing someone who is sick and see the
hand of our Lord reach out in mercy to them.
Tonight, while having a sandwich in the sandwich shop, I was really
thrilled when some Italian brethren come up, and one of them said that
he was a friend to my recording boy here, Gene Goad. Said, "Gene didn't
hardly know me any more," he said, "because when he and I run around
together we were in pool rooms. But now we're in the service of the
Lord." He said, "I--I believe it..."
And he brought his baby to me. Catholic, his wife an Italian Catholic,
and the little baby was last stages of cancer. And I prayed for it, and
the blessed Lord Jesus healed the baby. It's a living tonight after two
or three years, perfectly sound and well. And they're both saved and
filled with God's Spirit. That would thrill the heart of anyone.
E-2 Just a few moments ago, is
a darling here in the pathway, another last stages of leukemia, to pray
and lay hands on it, the faithful little mother and father... Brings my
memory to about two years ago, one day I just come in from way away,
and I so tired I could hardly stand up. Long about daylight was a call
come from a motel, "Baby, seven days to live," and they'd braved
snowstorms across Kansas and through Missouri, and Illinois, to have
the baby prayed for. I went down there, and a Presbyterian minister,
and his daughter-in-law, and his son was in the room with the darling
little thing, and the doctors had just give it seven more days.
The Holy Spirit came down and told the boy and the girl, father and
mother of the baby, their condition of what they must do and how they
must accept Christ. They with their hands up around their dying baby,
promised God that they'd serve Him reverently from that day on. And two
weeks from then the baby was skipping the rope in school, pronounced by
the doctors sound and well. It's living tonight glorifying God, because
of the glory of God.
E-3 On the private interviews this afternoon, in a room, a young woman, I'd say middle aged, come in, been a teacher for years. And something has been wrong with the lady for a long time. Even when Doctor Lee Vayle, has been introduced here, the pastor of the First Baptist Church up at Spencerville, Ohio, bosom friend of mine, was keeping the ten minute interviews with each one as they passed. And the lady come in, and in her case it was a required for God to move and to show something. She'd done everything, been prayed for. But then the blessed Holy Spirit came down and undone the whole thing, and showed the thing, and the lady was perfectly delivered. After many, twenty years or more, of torment, the Holy Spirit delivered her. The great smile on her face when her ten minutes was up, left the room rejoicing. What do we say? The faith that was once delivered to the saints is delivered again tonight to those who believe. The Lord be blessed.
E-4 Now I wish to take just a
moment here; I think it's my lot to teach tomorrow afternoon here I
believe, at the Tabernacle. Is that two-thirty? At two-thirty for just
about thirty minutes I suppose, or whatever the 'lotted time is. [Brother
Joseph says, "Two hours."--Ed.] Couldn't do that, Brother
Joseph. But He...
We have some at... It's very nice of you to say those things, because
I-I know there's just--there's one thing... Someone was trying to give
me a doctors degree not long ago. And I said, "I'm too smart for that."
I said, "I--I know better; the people does too." So... If a man knows
his limitations and..." Now with my old Kentucky "his," and "haint's,"
and "tote," and "fetch," and "carry," you know people know how I
wouldn't be a doctor of divinity. And so I--I'm just Brother Branham,
you see, so...
And so, but in the audience tonight is many real men deserving who are
doctors of divinity. How I wish I had their education and had their
ability to do that they can, but I haven't got it. So I just have to
depend on God to work on your hearts that to believe what I say, that's
all, only way I know.
E-5 So now, the Lord bless you
as I read for just a little short text, the Lord willing, in the 17th
chapter of Saint Matthew's Gospel, and the last three words of the 5th
verse. And being busy I don't get much time to read and pray, but I
would like to approach this subject tonight, the Lord willing, on:
Hear Ye Him.
Three little words. But that... You say, "That's an awful small text,
Brother Branham."
But it--it isn't the size of the text; it's the contents it holds. It's
what it--it will determine the eternal destination of every man that
hears it, and his attitude towards it. Sometimes we can't go by the
size of things.
E-6 I was speaking, or heard
sometime ago it was, I believe, on the radio that where this boy was
searching around through an attic. And he run into some old trunks, and
he opened up one. And searching through there he found a little postage
stamp, just perhaps about a half inch square. Well, he looked at it,
and he thought it was, must be an old stamp. So down the street he
realized, remembered that there was a stamp collector. And he runs down
the street real quick, and he said to the stamp collector, "I have now
found an old stamp. What would you give me for this stamp?"
And it looked yellow and old, so the stamp collector examined it, and
he said, "I'll give you this one dollar bill for the postage stamp."
Well, the stamp being one half inch and the dollar bill many, about two
by four inches square, there was much more paper in the dollar bill
than there was in the little stamp, so the little boy said, "It's your
stamp and my dollar."
And then that stamp collector, two weeks later, sold that stamp for
fifty dollars. And about two months after that, that same postage stamp
was sold for five hundred dollars. And the last I heard of that stamp,
it was worth a quarter of a million dollars.
E-7 You see, it isn't the size,
it's what is wrote on it. There's enough in this text tonight, the
value of this, because it's three words of God's eternal Word. When all
the heavens and earth will pass away, but that Word will endure forever.
Down through the ages man has taught on this same subject for two
thousand years. And it's just as inspiring to every generation as it
was to the first generation it was read to, because it is the eternal
Word of God. And if time should roll on many thousands of years or eons
of time, it would still have the same meaning.
If I'd write you a letter, you might appreciate it, but you'd be the
only one that could appreciate it, because it's from myself to you. But
this here is to whosoever will. And it never dies. My letter would
cease when, to be of a value, when you cease. But God's Word can never
cease, because it is God Himself. "In the beginning was the Word; the
Word was with God, and the Word was God."
E-8 So no man is any better
then his word. I'm no better then my word. You're no better then your
word. God's no better then His Word. And His Word is part of Him. Your
word's part of you. My word's part of me. So God being infallible, His
Word has to be infallible. God being omnipotent, His Word has to be
omnipotent. So you see, it's the value of it. And it's a--it's a--an
invitation to every mortal on the earth if it be received right. But if
you turn it down, then it's no value at all.
Here some years ago there was a case tried on that in the federal
courts of our land. A man had committed a crime, and the governor of
the state had sentenced him to--to be shot, or to be killed by public
execution. And while the man was in the prison waiting his time of
execution, someone interceded to the governor until the governor found
reasons to pardon the man. The governor wrote just a little line on a
piece of paper and signed his name, "This man is pardoned, Governor
So-and-so."
And when it was brought to the man, showed him by his attorney, he
said, "I will not receive it. A pardon's got more to it then that. I
believe it's bogus. Therefore, I believe someone's trying to put
something over on me."
E-9 How that the devil says
that same thing to the church tonight, "The Bible's misinterpreted; and
it doesn't mean the same. It was only for another generation." But oh,
my friend, let me say this tonight; it's for whosoever will, let him
come. Just as forceful tonight as it was the night that it fell, or the
day it fell from His lips.
The man, by rejecting this pardon, because it wasn't enough wrote out,
the man then to reject it was executed the next morning. And then here
is the governor's pardon, and here is the man executed after the
governor had signed the pardon. So it was tried in federal court. And
the decision came to this, and I want every one of my listeners tonight
to think this real seriously. And when the decision of the federal
courts of our land, and the Supreme Court, rather, of our land made
it's decision, here's what it said, "A pardon is not a pardon if it's
not received as a pardon."
And God's pardoning grace, God's Divine healing is the property of
every believer if it's received as that. But if it's turned down, then
it's of none effect. God is not guilty, because He's offered it to you.
E-10 Jesus our Lord, as He
walked here on earth, He did not just go about from place to place with
great entertainments, and the applause of men, and the applauding of
the audiences, and of the great flowery things that the men of this
world, or the teachers, would praise Him by. But every footstep that He
made was ordered by the Lord. Oh, I just love that, when He said even
at twelve years old, "Know ye not that I must be about My Father's
business?" How that brings us then to shame when we're so all the time
gadding around. And the Bible said, "That the footsteps of the
righteous is ordered of the Lord." We should walk in His ordination for
us. Walk like a Christian; talk like a Christian; live like a Christian.
And we see Him meeting with the councils of men. Oh, He meets sometime
with great councils of men. One time we see Him meet with five hundred,
again with seventy, one time with twelve, once with three. And He even
promised that "wherever two or three were gathered, I'll be in their
midst." It's God's ordination for Him to meet in the council. No matter
how small, it's His duty, and His privilege, and His love to keep the
commandments of God to meet with you wherever two or more are gathered
in My Name. He will meet with one in a secret closet, and there where
their hearts are poured out God promised to meet.
E-11 So you see that it doesn't
take great big things to bring Christ; it doesn't take great
organizations; neither does it take great churches, great gatherings;
but it takes the sincerity of one heart to bring Him.
I think in the Bible, when Philip was having a great healing campaign
and the Holy Spirit called him from his campaign and went into the
desert to meet one Ethiopian to lead him to a saving knowledge of the
Lord Jesus...
How did Jesus cross the stormy sea one time to the land of Gadara, to
come to the aid of one maniac? And left the land of Gadara and crossed
for that. Not only that, but He will come from the portals of glory to
the Cadle Tabernacle tonight for any person that will believe Him and
accept Him.
E-12 In this text that we're
speaking of tonight, Jesus was taking three of His disciples. For it is
written in the Word that "In the mouth of two or three, let every word
be established." God was just about ready to do something. And God
never does do anything without first He makes things ready. He sets a
scene for His great drama.
Let me say this tonight if I never utter another word. I believe that
God is setting the scene of the greatest drama that ever struck the
earth, the readying of the Church and the coming of His blessed Son,
the Lord Jesus Christ. He's pulling His little flock together, and
showing the Gospel in every sign and wonder and form to the World that
those who are partakers of the world will perish with the world. And it
is a choosing time now.
E-13 And as He goes up to the
mount called Mount Transfiguration, it must have been a wonderful
place. Peter later regarded it as a holy mount he said he was in. Now,
that doesn't mean the mountain was holy; it meant the holy God was on
the mountain. Oh, I wished I could get that to you. It's not the holy
church; it's the Holy Spirit in the church what makes it what it is. It
isn't the holy man; it's the Holy Ghost in the man that makes him what
he is.
And on the road up, as God was fixing to set a drama, He taken three
witnesses: Peter, James, John. Now, I just love to look at this in this
respect, as Peter representing faith, James representing hope, and John
love, charity; hope, faith and charity, those three great witnesses.
And in the earth that is the three witnesses, faith, hope, charity. The
Bible teaches that. And He brought forth faith, hope, and charity to
give a witness of what He was just fixing to do.
E-14 Now, I know that many Bible
teachers tonight are saying, "What's he going at?" I know the correct
picture of this, brethren, is foreshadowing the coming of Jesus. But
tonight I wish to take it in a little different sphere, little
different way. It don't... Every subject in the Bible, and everything
in the Bible ties together in every Word in the Bible. The entire
Bible, every word ties into Jesus Christ, everything. Every type, every
shadow, everything ties in. So that's the reason tonight I believe
solemnly in the Word of the living God, this blessed old Bible. I
believe on any foundation outside of that it'll crumple as sure as the
world.
And we find them going up into the mount. And there was three
witnesses: hope, faith, and charity. And then God's going to do
something; He brought three witnesses from heaven. Peter, James and
John of the earth, and He had Moses, Elijah, and Jesus on the mount:
three heavenly beings, three earthly beings. Oh, I just love Him when
He does that. I'll imagine the leaves even stop blowing when this taken
place. You know in the Bible it is written, "Be, stand still and know
that I am God."
E-15 That's where the trouble is
today among the churches. God can't get them to stand still long
enough. They're running here and running here, and chasing here and
chasing there, and mission trotting, and church joining. Why don't you
stop that and stand still a minute? When God was going to take His
children through the Red Sea He made the Red Sea stand still. Why? He
showed His power.
One day when the sun was setting in the west, and God showed His power,
He made the sun stand still when He showed the sons of man what He was
going to do. One day He was going to give sight to a blind man. And the
Bible said, "Jesus stood still," while God worked with Him, or worked
through Him. And I'm sure of this tonight, my Pentecostal friends,
Methodist, Baptist, and whatever you may be, if you'd stand still long
enough, don't get all flusterated, stand still, God will reveal His
Divine purpose to you. Get quiet, get still before Him.
E-16 There's nothing like those
beautiful hours, how I love to go out of a morning after the night has
passed, and the earth has become still. Go out in the flower garden.
All the fragrance of the flowers is hanging low and the perfume of
the... Here in Indiana we have the honeysuckle. How I love to take a
ride just at the break of day. But when the fluster, bluster of the day
comes, the fragrance seems to be brushed away.
That's the way the church is today; it doesn't know what it believes;
it just jumps from pillar to post. And every little thing comes along
it jumps after it; and therefore, all the beauty and the perfume of the
church has been sprayed away. That's right. Be still. Someday
everything's going to stand still. Time's going to stand still, and
it'll blend into eternity. The moon will stand still; the sun will
stand still. Men will stand still. I'm saying this tonight, brother,
that'll be a great time. The sinner will be there.
E-17 Oh, you that's running from
nightclub and everywhere trying to find peace, you'll stand still one
day. Brother, Elvis Presley will be there, and he will really be all
shook up too, at that time if he don't repent. Arthur Godfrey will be
there with all his little Godfrey's, blondes, brunettes, and so forth;
it'll be a shaking time for him. All the hail Mary's in the world will
never clean his guilty soul; it'll take the Blood of Christ. Such
nonsense as that, that four or five psychiatrist trying to keep him a
going. It takes the Blood of Jesus Christ to clean a man's soul. And
the pollution and the souls...
I might hurt your little pet idea now, your idol. This is a pulpit.
Them kind of things is what's damning our nation. All the
rock-and-rolls and boogly-woogly and all the other kind of stuff and
nonsense the devil has placed into the hearts through such tommy-rot as
that. God be merciful, let's get still once and get before God.
They stood still, God was showing a picture of what He was going to do.
God never asked a man to do anything that He wouldn't do. God made a
way for man.
E-18 Now, the picture that I
wish to place before you tonight is this: In the Old Testament there
was a--a law called the placing of sons. Or it is said in Ephesians
1:5, I believe, that Christ, God has predestinated us to the adoptions
of sons by Jesus Christ. If you'll run your reference on that, you'll
find out it comes back into the Old Testament as placing of a son, the
son being placed.
Now, in the Bible we find like John 14, it seems to be met very strange
to some of us. "In My Father's house is many mansions." That doesn't
sound right to us does it? "In My Father's house is many mansions"?
There's something seems to be wrong. I believe it was Moffatt, one of
the translators, made it more ridiculous than ever, said, "In My
Father's apartment house is many apartments," like you're going up
there to rent an apartment. That's ridiculous.
But the original translation is this, "In My Father's Kingdom is many
palaces." Now, the reason the translators translated for King James
like that, ought to the day of king of England. A great kingdom was
called a house. And the king was the father over this house. That's the
reason they put it in "In My Father's house..." It was His Kingdom. It
come from the Old Testament teachings.
E-19 Back in the Old Testament a
father owned a great portion of ground. On this he had little
buildings. And in there he had servants. And when a son was born into
his family, this son, as soon as he was born, was a son, because he was
born a son. Now, this may be a little strange, but I trust that you'll
take it and look at it first.
When the Pentecostal church and the Full Gospel people received the
Holy Spirit, they said, "This is it. We're borned into the Kingdom;
it's all settled." That was an error. When the son was born into the
family, that's true he was a son at his birth. But this father, he was
a busy man; he had much to do. So he looked out through all the
country, and he got the best tutor he could find, a man to educate his
son, and to raise up his son, and to make him the right kind of a boy.
E-20 And how typical that is of
our heavenly Father. When His children is born into the Kingdom,
they're not given a bishop, neither are they given any earthly person,
but God the Father has given the best tutor the Church could have, the
Holy Spirit, as a raiser of the Church. "When He comes He will teach
you and guide you into all truth," the Holy Spirit.
And now, when this duty of this teacher of raising the son, was to
bring word to the father how he progressed. And his conduct determined
his inheritance. If he was a good son, he would inherit all the father
had. If he wasn't a good son, then he got nothing; he wasn't worthy,
yet he was a son.
And just because you have received the Holy Spirit; that doesn't mean
that everything's just going to be poured into your hands. That's the
reason if the Church would get quiet just a little bit and quit trying
to say, "I'm Assembly. I'm a Oneness. I'm a Trinitarian. I'm--I'm this,
I'm that, and the other." You're Christ's, and the purchase of His
Blood. Got no right to break fellowships with people like that, unless
they're living the wrong life, draw any fences or barriers. We're all
one in Christ Jesus. For by one Spirit we're all baptized into one
body, the body of the believers.
E-21 Notice now, what if this
tutor, this raiser... Paul teaches it very plain over in the Gospels,
or in the books of the New Testament. I want you to notice: as this
tutor, he must be an honest man. Now, he mustn't pull any strings. The
son couldn't pull any strings with the tutor, because the tutor, or the
teacher, had to tell the father just exactly the conduct of the son.
And how the tutor must've bowed his head in shame when he went before
the father to say, "Your boy is not obedient. He's so loosely." How he
must've hid his face...
And I wonder how the Holy Spirit is, how It must, as a prophet of old,
blushed when He stood in the Presence of God, when He brings the
character and the conduct of the church in this day. How He must blush
when He stands before the Father and says, "Oh, they're all separated;
they're acting like the world. They're marrying and giving in marriage.
The women are dressing and acting just like almost harlots on the
street. How the men are smoking cigarettes, and telling dirty jokes,
and staying home at night and listening to "Who Loves Sucy," and all
those things on television, and neglecting the church... How the pastor
is leaving his post of duty for more money somewhere else... How the
deacon board is running the bookies and so forth..." How it must make
the Holy Spirit blush in the Presence of God.
E-22 Let me say this. You say, "Brother Branham, every time you come here you beat down on the people." Well, if you... Maybe they need it. We've got to tally up with this Book. Let me say something, sister. What's happened to the holiness church? What's happened to our people? I appreciate the decency that you do show. But did you know, years ago it was wrong for you to cut your hair? The Bible says it was. Well, why do we have so many bobbed haired women today? It used to be wrong for you to wear that manicure, ever, how that's the wrong name for it, but that stuff you put on your face, paint. There was only one woman in the Bible ever painted her face, and God fed her to the dogs. That's right. So when you see a lady wearing that, you can say, "How do you do, Miss Dog meat." That's exactly what she is in the Presence of God. Now, that's the truth. It's wrong. There's your example in the Bible.
E-23 And the one thing I want to
ask is this: We're supposed to be living in the height of civilization;
sometimes I wonder. The women of the churches today, modern, and a lot
of Pentecostals whose got this liberation of women... Did that hurt? It
ought to. They take off just as much clothes as the law will let them
take off. And then you say you're a Christian living in civilization.
In the dark lands of Africa where the Ethiopian women come to my
meeting by the thousands, raw heathens, blanket natives, who did not
know which is right hand or left, coming with just a little clout over
the front of them here on a string around their waist, their whole body
exposed, but when God came down in His power and saved them from sin,
no one said a thing about clothes, but when they started to leave the
audiences (I stood looking, weeping.), women folded their hands like
this to cover themselves so they could get out to put some clothes on.
Then we call ourselves civilized. We call ourselves Christians with the
Holy Spirit. Shame on you preaching liberation of women. Brother, we
ought to preach liberation from sin. God deliver us from all that stuff.
E-24 Notice, if a raw heathen,
that don't know right from left hand, the Holy Spirit Itself teaches
her that she's naked, then you claim to have the Holy Ghost and
stripping off everything that the law let you do, there's wrong
somewhere. Oh, my, what the Holy Spirit must think when It comes in the
Presence of God, how His children are acting. Say, "What about the men?"
You brother, it's your time. You call yourself a man and the head of
the house, and if you let your woman strip herself off and get out
there at that lawn mower with a cigarette in her hand before men, that
shows how much man you are. That's just the same. That's right. You
know that's the truth.
What we need is an old fashion Holy Ghost revival to clean up the
church. That is right. I'm not saying that jokingly; this is not a
joking place, because we're dealing with eternal destination for men's
souls that I'll answer for at the day of judgment. But that's true. No
wonder the church has to go after all kinds of little isms, and
fantastics, little sensations and things.
Why take that substitute? Why don't you clean up and stand still?
Pentecostal skies are full of the real Holy Ghost that'll make you what
you should be. Why do you take anything like that, little isms? Because
you're trying to live in sin and possess the Holy Ghost at the same
time. She's took Her flight and left you. That's what's the matter with
the church. That's exactly right. So much, we'll get on that a little
later on.
E-25 But then, if that child is
obedient, a very good child, how the Teacher would like to stand to the
Father and say, "Oh, Sir, Your little boy is a perfect gentleman. Oh,
he's so up-and-at-it, not home with the television, but at prayer
meeting every night, at his post of duty, on the street testifying. He
lives a life above reproach. He's just about the Father's business.
When they're eating lunch at the mill, or wherever it is, he has Your
Book under his arm. He reads It; he testifies to the other men. After
evenings when he goes home and washes up, it isn't out in the back yard
with some beer, but he's out somewhere giving testimony to the love of
God that's in his heart." Say, "You know, Sir, oh, You got such a fine
child."
I can see the Father pushing His chest out, say, "Oh, yes, he's a chip
off the block. Yes."
E-26 Sometime of the evening
when the children are asleep, Mrs. Branham and I slip into the room and
look at little Joseph. And I look at him as he's laying there sleeping,
and I say, "Mama, do you know he's got big eyes just like yours."
She say, "Yes, he's got lips like yours."
It's the features of both of us that's represented in that child. Oh,
how that God wants to see the reflection of Himself, and His church
reflecting the power and glory to the world.
In the Old Testament when the beaters was beating gold... When you get
gold that's full of pyrite (That's fool's gold.), it really shines
better than the real gold. It's got sludge and everything in it. But
the beater used to beat the gold. And the way he knowed he had all the
dirt out of it, he seen the reflection of himself in it, like a
polished mirror. He beat it, and he beat it, and he beat it, until he
seen his own reflection.
That's what the Holy Spirit is trying to do to the Church, is to beat
it, and turn it over, and beat it, until Christ reflects in the Church
to the people, proving His resurrection. He's the same yesterday,
today, and forever. He's trying to get the people to beat the world out
of them. The devil's pouring it in. And the Holy Spirit, if you'll just
stand still and let Him, He will beat your life, until the loving peace
of Christ reflects into your life.
E-27 Now, this child was
obedient, then there come a certain day when this child become matured.
That's the day the Pentecostal church ought to be now. You
Presbyterians ought to been that way a long time ago, Baptist and
Methodists, but what's the matter?
Then there's a certain day come, that when that father draw all the
people around the regions that had come into the city, or some great
place. And he took and set this son on a high place, and he put him on
a beautiful robe. And they had a ceremony, and that father adopted that
same son that had been born, he adopted it into his family. Or in other
words, he placed him, positionally what he was in the family, and then
he become an heir of everything the father had. In other words, his
name on a checkbook was just as good as his daddy's.
And that's where the church should be today; it should be to a place...
And I say this to myself and to you: oh, what a pity it is when I walk
around and see the sin, and the afflictions, and the sickness of the
people and so forth. We ought to be to a place in faith in God, so
separated that what we ask the Father in the Name of His Son, He'd
grant it to us. That's right.
E-28 He took him into a place,
and there he adopted him into his family, or as a special time when he
set him apart. The church ought to be that way tonight, an Angel come
to you, set you apart and tell you your position, where you're at. Not
a bunch of men to lay hands on you, that's earthly. I mean God; God
sets you apart in a place where you belong. God does it; your Tutor
does it. He's present when it takes place.
Now, notice, God was doing here just exactly like He asked man to do.
His Son had been obedient, he had minded the father. He hadn't been
gadding about in places and say, "You see who I am? My campaign's the
biggest there is in the country. Yes, sir."
He'd been obedient. He'd been obedient to the father. He hadn't been
gadding around the things of the world, associating with them; he'd
been obedient. And God took witnesses of the earth, Peter, James, and
John, brought down Elijah and a Moses from heaven, and stood them
there, and adopted His own Son. He was glorified in the presence of
these witnesses. And the--God came down and overshadowed Him. And the
Bible said "His garments glistened like the sun." You see the robe, the
glorification of Him? He put Him on a robe before the witness of
heaven, 'fore the witnesses of earth.
E-29 You know Peter got all
excited. 'Course it is enough to make a man excited. He got kinda
excited when the supernatural came. Listen close. That's what makes men
get excited. But you shouldn't be excited. You see, that's what made a
mixed multitude go out of Egypt, that perished in the gainsaying of
Korah. That's what's made the Pentecostal church is the confusion it is
tonight. The supernatural's been done, and a mixed multitude went out.
Peter got excited; he said, "Lord, this is so great we better start
some denominations here." That's right. "Let's build a cathedral here,
or a school. And we'll call this a school for the law, for Moses and
all his. Yes, we'll have that."
E-30 Now, who could be saved by
the law? No one could be saved by the law. The law didn't come to save
us. The law was to magnify our sins, to point them out to us. And
listen, to you legalist believers, I want to ask you something: There's
not one thing you can do to be saved in yourself. No sir. You are saved
by grace and that alone, and you have nothing to do with it. God chose
you in Christ before the foundation of the world. That's right.
There's not one thing you can do to merit. So you keep all the
commandments you want to, join all the churches you want to, you're
still lost. You might know your catechism, say Hail Mary's. You might
know the Apostles Creed, the Doxology; you might know all the doctrine
of the Bible. But to know the Bible is not Life. To know the church
creed is not Life. But to know Him is Life. Alone to know Him... You
might be baptized this way, that way, this way, that way, or sprinkled,
poured, whatever it may be; you're still lost until you know Him. To
know Him is Life. The church in its condition...
E-31 Notice, there they were.
And Peter said, "We'll just build a tabernacle here for Moses." Now,
the law only puts you in jail. The law only puts you under
condemnation. The law only magnifies. It was the policeman that come,
and caught you by the arm, and said, "You're guilty, and you're under
the penalty of death." The law has no redeeming grace. Grace come by
Jesus Christ, not by the law. I don't plead for the law; I don't want
nothing to do with the law.
Well then, Peter said, "I'll tell you then; we'll build a us another
tabernacle: we'll make it for Elijah." What did Elijah represented? The
justice of God. Who wants justice? Brother, I don't; I want mercy, not
justice. We're all borned in sin, shaped in iniquity, come to the world
speaking lies. We are guilty from the beginning to the end. There's not
one of us could redeem one another, if we're archbishops, popes,
whatever we might be. We're prophets, or whatever, even if we were
Angels, we would still be unfit to redeem one another, certainly. I
don't want justice; never do I call for justice; I want mercy. God,
give me Your mercy.
E-32 Look at Elijah, the
sternness of God's justice set upon the mountain under the--the will of
God. God told him to. And the king sent a bunch of men, said, "Go up
there and get him."
When they got close to him he raised up the line of God's justice,
said, "If I be a man of God, let fire come from the heavens and burn
you up." Fire fell and burned up the fifty.
"Well," the captain said, "You know, that must've been just the
lightning; a storm went over. We'll try it again. You know, it's just
one of the acts of nature." So he sent another fifty.
And the justice of God raised up in His prophet, and said, "If I be a
man of God, let fire come from heaven and to consume you." And fire
came and consumed them. The justice of God... Mercy brethren, we don't
want justice.
E-33 But Peter had no more then
got it out of his mouth, when he wanted to denominate the church, when
he wanted to have denominational barriers, one for this and one for
that. A voice spoke from heaven and said, "This is My beloved Son; hear
ye Him." And when they looked back they saw Jesus only. The law had
passed away; all the judgments had passed away; and God said, "This is
My beloved Son; hear ye Him."
What did He represent? God's love. "God so loved the world, that He
gave His only begotten Son, that whosoever believeth in Him should not
perish, but would have Everlasting Life."
God, His nature, is so loving, that when Divine love... That's what the
church needs. That's where we're standing, not in the need of Bible
doctrine, not in the need of denominations; we're standing in the need
of the love of God. That's been my theme and will be till I die. The
love of God is what the church needs.
E-34 If we had the love of God
in the Assemblies, in the United, in the Church of God, in the
Methodist, in the Baptist, then denominational barriers would be broke
down, this Cadle Tabernacle tonight would be packed to the streets
here, and the power and glory of God, and an old fashion revival would
sweep this city and...?... out.
If the people in this city that's called by the Name of the Lord Jesus
as believers, would come together in that condition tomorrow night, a
week from now, a bootlegger and a whiskey joint wouldn't be found in
this city. What's the matter? Lacking of love.
What did Jesus represent? Moses, the law. Elijah, his sternness, his
justice. What did Jesus represent? His love. And when God being love,
and He was--so loved the world. And when Divine love is projected it
produces its subject. God could do nothing else but send something to
take the place of His love. So the law couldn't do it; His justice
couldn't do it; so love took its place.
O dear
dying lamb, Thy precious blood
Shall
never lose its power,
Till
all the ransomed Church of God
Be
saved, to sin no more.
Ever
since by faith I saw that stream
Thy
flowing wounds supplied,
Redeeming
love has been my theme,
And
shall be till I die.
E-35 Love, God's love, it'll
take the place of speaking in tongues, and that's all right. It'll take
the place of gifts, and wonders, and signs, and everything else. If you
haven't got love to accompanies that, what good does the signs do you?
God's tried to do it across the nation, but it wouldn't work. The
greatest of all the gifts is wisdom, the second is knowledge. If you
haven't got knowledge, you haven't got wisdom, how can--to control your
knowledge, what good's your knowledge going to do? See what I mean?
Seek the first things first.
We've gone after gifts; we've gone after this; we've gone after that,
because the supernatural was done. But, brother, don't seek gifts;
don't seek favor with denomination; seek the love of God. Do it,
brethren.
E-36 Love constrained Him.
That's what He was: love in His great bosom, went out to Adam's fallen
race and redeemed them through His Son, Christ Jesus. Laws, prophets,
denominations is all faded away, "This is My beloved Son; hear ye Him."
Love takes its place.
You can't impersonate love. You've got to have it. It's got to be a
product that God has given you. It's not what you imagine. It's
something God had done. Like I was talking today to someone. When I get
ready to leave and go overseas, I don't get my wife and say, "Here Mrs.
Branham, tell you something: Thou shalt not have no other husbands; I'm
your husband. Let me hear you being out with somebody else, you know
what you're going to get when I get home? Thou shalt not flirt with
anyone else."
Now, wouldn't that be a home. That's about like the church is. "If you
go to that revival, I'll give you your papers to your church." That's
right. Oh, we're the ransomed church of God, there you are. Oh, we need
love, sure we do.
E-37 Now, she don't catch me by
the collar, and pull me around, and say, "Wait a minute, my young man:
Let me hear you being out with one woman while you're gone, you're
going to get it when you come home." That isn't it. It isn't law; it's
love. I love her; she loves me. When we get ready to go, we're both
crying a little; we kneel down on the floor and pray God would take
care of me and help me, and for God to help me win souls for Him. And I
pray that God helps her and takes care of the children. We raise up and
I kiss her good bye; she says, "Billy, I'll be praying for you while
you're gone, honey."
"All right, dear." That settles it. No more thought of it. Why? I love
her. If I was overseas and away from home for a year, I don't care who
the who the woman was, if she walked up, some young girl, or some
woman, and say, "Billy, would you take me out to supper?"
I'd think, "Meda wouldn't want me to do that." But if I knowed that I
could get by with it, if I knowed I could come back and tell her,
"Meda, I took some girls, or women, went out to supper. I did, this,
that, or the other. I--I--I tell you, I held her hand before I left,
you forgive me, won't you, Meda?"
I believe she'd do it. But brother, I wouldn't do it for nothing. I
wouldn't hurt her for nothing. I love her. And as long as I love her,
she don't have a worry. And as long as she loves me, I don't have a
worry. And as long as you love Christ, you don't have a worry, and
Christ loves you, you know. It's love that does it. Not something that
I do to merit it, it's God's Divine love.
E-38 In closing you might say
this. Some time ago, as you know I like to hunt; I just love to hunt,
not so much to kill the animal, but to be in the wilderness. And I used
to hunt up in the north woods, way up in northern New Hampshire, and up
in Maine. And I used to hunt with a fellow up there, little old Yankee;
he was a nice boy. I liked him real well. His name was Burt Caul. And I
thought a whole lot of him; he was a dandy hunter. I loved to walk,
twenty-five and thirty-five miles a day through the wilderness. He was
a good walker, come right along. And he was a good tracker; he was a
good boy, good hunter. But he was the most cruel hearted person I ever
seen. He would just love to shoot little fawns just to make me feel bad.
Now, if the law says he can have a fawn, all right. But not eight or
ten of them a year.
E-39 So he liked to do that just
to be mean. And he used to shoot those little fawns and laugh. I'd say,
"Burt, how can you do that?"
"Oh," he'd say, "you chicken hearted preacher, thought you was a
hunter."
I said, "I'm a hunter, but I'm not a killer."
And he said, "Aw, ain't that all right?"
And I'd say, "Abraham, sure, killed a calf for God to eat. That's
right. But Burt, not to be brutal just like you are."
He said, "Aw, you're chicken hearted."
One year I went up there, he said, "Come here, Billy, I want to show
you something." And he'd made hisself a little whistle. And he could go
just like a little baby deer, little fawn, crying. I said, "Burt,
you're not going to use that?"
He said, "Aw, get next to yourself preacher."
E-40 We went hunting that day,
and we were out in the wilderness walking around. We'd been maybe a
half a day. It was getting near dinner time; we hadn't even seen a
track. It was a great opening like that, and the snow had been melted
off pretty well there where the sun had hit. And he kinda stooped down.
I thought, "What's he going to do?"
I seen him reach in his pocket; he comes out with this little whistle.
I thought, "Oh, my." And he took that little whistle and he went just
like a little baby deer crying. And no more then he'd did that, till
just across the way a big beautiful mother deer, called the doe, raised
up. She looked around.
I can just see her now, those big brown eyes, those big ears, the veins
in her face; how pretty she stood. She looked around. I seen Burt look
up at me and grin; I thought, "Oh, Burt, you're not going to do that."
Smiled and he ducked his head down. I couldn't watch it; I turned my
head. And I heard the chamber come back as the--the lever come to pull
his cartridge up into the barrel. Oh, he was a dead shot.
E-41 And I knowed that deer
wasn't standing over thirty yards. And I looked around again; I seen
him level that steady nerve, putting that cross hair right across the
heart of that mother. She looked around; she heard that baby's cry. She
come walking right out into the middle of that little place, right out
in the open.
Why? She couldn't help it; she was a mother. She by nature was a
mother. She wasn't putting that on, but she was a mother to begin with,
and there was a baby in trouble, and she must get to it; it was in
trouble. It was something in her. Any other time she'd been scared to
death; that's what she was hiding back in the bushes for, to keep away
from that light place till it got night, and then she'd go out and
feed. But the baby was in trouble. The mother instinct called her. It
was duty.
E-42 She walked out, listening
again with those big ears up. And I seen his nerve as he quieten down;
I turned my head; I thought, "Oh, God, don't let him do that."
I knowed in a few moments time, just a second or two, and that bullet
of that .30-06 rifle would blow that mother's heart plumb through the
other side of her. And I thought; that gallant display of real love,
that mother loving that little baby so much that she was walking out
there... And I looked, and she'd seen the hunter; she stopped. Those
big ears come to a point; she caught the scent of him, and she stood
there. But the mother's love, she couldn't help it. She went walking on
hunting that baby. It wasn't put-on; it was the real thing. She was
walking right in the face of death, because she was a mother.
I turned my head, I said, "God, how can that cruel hearted man do that?"
And while I was praying, I noticed the silence. I heard nothing; I
thought, "Why don't the gun fire?"
And when I turned to look, I seen the rifle barrel going like this. He
dropped the rifle on the ground, and turned around, and grabbed me by
the pants leg, and he said, "Billy, I've had enough of it. I can't
stand it no more. Tell me about that Jesus that put that kind of love
into a man's heart." There on that snowy ground, that cruel hearted
man, by the display of a real genuine love, led that man to Christ.
E-43 When the Church of the
living God gets to a place and get out of its little old isms and
sensations, until it can display the real genuine love of God, then
you'll be the salt of the earth that'll create a thirst in the heart of
the sinner, that'll make him want to be like you. God grant it to every
disbeliever tonight, as we bow our heads.
"This is My beloved Son; hear ye Him," the heart of God.
Dear Jesus, as my mind slips back to that little opening upon the top
of the--or the side of the mountain that day, some twelve, fourteen
years ago, near that place called Pond of Safety, to see that old
mother deer that she could not help it; she was a mother by nature.
God, she had to display her love, her gallant love, because it was her
nature.
O Jesus, there's people in this building tonight, that's joined church
years ago, maybe some of them has not, but they're human beings that
You projected Your Son to them, and the love of God to them. And they
just cold formally joined the church, or maybe neglected it altogether.
But they've always wanted the time that when they could have the real
thing. They've had their ups-and-downs and ins-and-outs. God, grant to
every person tonight, while Your great Presence is here, that they will
accept Jesus, the Saviour, and let Him place into their nature, into
their character, the characteristics of Jesus Christ, that they might
love one another, and love You so much, that they'll go home, and act
like Christians, and live like Christians, have fellowship with all
Christians, and be Your children, and be such in the neighborhood,
until as that mother deer displayed the love of a mother, and one
unbeliever to Christ, may they display the salt of the Kingdom of God
in Christian love, until they'll win their neighbors and all around
them to the Christ of God. Grant it, Father, Thou knowest the heart of
man. Please, Holy Spirit, move into this audience and touch every heart
just now.
E-44 While we have our heads
bowed, our eyes closed, this may be the last time that God will ever
touch at your heart. "Oh," you say, "I belonged to church for years,
Brother Branham." That's not what I mean. "Oh, I have danced in the
Spirit, Brother Branham." That's isn't still what I mean." "Brother
Branham, I've spoke with tongues; I've had the interpretations. I've
even prayed for the sick, and they got well." That's still isn't what I
mean, friend. I'm meaning the love of God, something in your heart that
just makes you just puts Christ first in everything.
If you haven't got it, will you do something tonight? Would you raise
up your hand, not to me, but to God, and say, "God, give me the
Christian love for the brethren, for the church, that that mother deer
had in mother love for the baby?"
Would you raise your hand to Him? God bless you, lady. God bless you,
sir. God bless you. God bless. That's right. Too innumerable to count
at the time, hundred or more hands up in here of people. That's right,
God bless you. God bless you, there, sure. Is there another? God bless
you, you, lady, you, you.
E-45 [Blank.spot.on.tape--Ed.] If lady, if there was one
thing that I could do, if you're in need of finances, or healing, or
whatever it is, if I--there was one thing that I could do to help you,
and wouldn't do it, I wouldn't--I would be a hypocrite, or I'd be an
unworthy person. But I have nothing; I have a little bit of money; I
think about forty dollars. I'd be glad to share it with you. As far as
your healing, if you need healing, Christ has already died for that.
If--if you need salvation, if you need a spiritual lift, whatever it
is, Christ died for that. Anything was in the atonement belongs to the
believer.
But I say now that you're a believer, because your spirit seems to be
welcoming. See? I--I know you're a Christian. I don't mean a
hitchhiker; you're a borned again Christian. That's right. You are a
Christian. And if God will reveal to me what you're here for, lady,
will you accept it as Christ? You know it'll have to come through
supernatural. The lady, it's been a standing something; I see it start
back long ago. And something about the throat. And it's developing into
something severe. You're scared of cancer. That's right. Now, if that's
right raise up your hand.
Now, there's nothing showing to her. But if I'd say... Well, I don't
see a crippled person, but if I'd say a certain man... Here I see a
little boy down here. If I say, "That boy's crippled."
You'd say, "Sure."
But this is a healthy looking woman, what about her? There's the
mystery. There's the miracle; there's the miracle. Now, look, more I
talk to the lady...
E-46 It's a gift that God
promised: apostles, and prophets, teachers, evangelists, and pastors.
Is that right? A spirit, a seer...
Now, if I'd talk to the lady... How many would just like to forfeit a
little time and talk to the lady, let's see your hands. All right. All
right, sister, now, what did He tell you, just your trouble? Now, see,
the only way I know what was said; it'll have to... I have to pick it
up on the recorder. See?
Now, if you'll just be reverent and believe with all your heart, maybe
He would do something else, we'd find something, maybe a cause, or
what, something about it. I do not know.
E-47 Now, there's something
strange, the lady is some sort of a worker, or--or something in a
choir. No, she's got some kind of a robe, women, and it's a, oh, it's a
Four Square church that you're associated with. You are a teacher in
the Four Square Church. That's exactly right. And you're losing your
voice, and therefore you cannot teach any more. And you come from
Chicago. And you... I see someone you're shaking hands with, an elderly
man that's a little bald... It's Brother Bosworth. You know Brother
Bosworth, or associated with him. And I see a lady that I know; it's a
lady kindly... Well, see if I get... It's a Mrs. Domico. You're some
way associated with Mrs. Domico. That is the truth. That's THUS SAITH
THE LORD. That's... You believe now? Go and receive your healing in the
Name of the Lord Jesus Christ. Amen.
Have faith. If thou canst... How many believes? Just believe. If that
isn't Christ the resurrection, the same yesterday, today, and forever...
E-48 While they're bringing, how
about some of you out there, do you believe? You just receive Christ a
few minutes ago, lady, setting on the end of the seat. I seen you raise
up your hand to accept Christ. You got your hand up now. Do you believe
me to be God's servant? You got a prayer card? You don't? All right,
you don't need one. Do you believe that God can reveal to me here what
your trouble is? You believe that God can reveal it? Then the cancer
won't kill you; you can be healed if you believe. Amen. All right, God
bless you now. Just go on your road rejoicing.
How do you do, sir? We're strangers to each other. Now, be just... If
you can be seated just a moment. See? When you move, each one's a
spirit. And with you moving, it interrupts the contact that I have with
the spirit world, which is the Angels of God and the Holy Spirit, in
the audience.
Remember Jesus taking the people and put them all out of the room when
He rose Jairus' daughter? How many remembers that? Taking the man out
of the city... See, be real reverent. See? How many's ever read my
book? He said, "If you'll be sincere and get the people to believe
you," and when I say anything, believe it, that's the thing, believe
it. And if God doesn't vindicate it's the truth then I'm a lair. Then
it He does vindicate it's the truth, it wasn't me, it was Him.
E-49 I don't know you, sir, but God does know you. He knows all about you. But if... Here's... The other one was a woman; this is a man. Now, if God will reveal to me what your trouble is, will you believe? You're very seriously sick and a shadowed with cancer. It's in the rectum. That's right. You're not from this city; you come from away from here didn't you? You're in a city what sets on kind of a side of a hill. It's got a big fountain in the street. I see you've had... It's Hot Springs, Arkansas, where you're from. That's right. That's right. They call you Mack, don't they? That's right. Let me tell you something: you--you got a good spirit. I'll tell you something else: your wife's here with you. She wants to be prayed for too, doesn't she? If I'll tell you what's wrong with your wife, will you believe me to be His prophet? She's got colon trouble, colon and bowels. That's right, isn't it? All right, you all return back to Hot Springs and rejoice. What the Hot Springs water wouldn't do, salvation in Christ does it, in the Name of Jesus. Amen. Only have faith, just believe.
E-50 Sir, you there praying with
your head down. You believe He heard you? You do? Leroy, I'm talking to
you, Leroy Carl. You're from Midland, Pennsylvania, aren't you? I never
seen you in my life, never knowed of you. But you're suffering with a
rupture, and you're praying for Christ to heal you. If that's right
raise up your hand. All right, go home and receive what you asked for.
You touched him. Amen. Don't get scared of Him knowing names; He knows
who you are, certainly He does.
That man can stand if he will. I never seen him in my life, as I know
of, is that right? But you were setting there praying for God to do
that. Now, He's answered your prayer. Now, you just be... Believe,
believe with all your heart, you can have what you ask for. God bless
you.
E-51 Do you believe, lady? With
all your heart? If I could heal you, I'd do it. I can't, Christ can.
But Daniel told, in the Old Testament, to the monarch, that God knowed
the secrets of the hearts of the people. When God was manifested in the
flesh in Christ Jesus, He knowed the secrets of the hearts and
perceived their thoughts. Is that true? If He's the same yesterday, in
Daniel's time as He was in the days of Jesus, He's the same today in
His Church, or His Bible's wrong. So His Bible's not wrong, so He's
declaring Himself to be the same.
May I just have this lady, then you all draw your conceptions, whatever
you think. By the way, you're not here for yourself, because I see a
man. And that man is in a terrible shape. And it's not--it's--it's your
pastor. And you're not--you're--he's from Columbus, Ohio. He's
originally from Illinois. And he's had a heart attack; he's paralyzed.
And his name is Ginter, Ganter. That's right. You believe me to be
God's prophet. Then that handkerchief you got in your hand, send it to
him. In the Name of the Lord Jesus. God bless you.
E-52 You believe with all your
heart? What about you out here? A line of you. Somebody believe. Just
start having faith. See, this could just go on, and on, and on. Well,
what does it do? It only vindicates His resur... I challenge your faith
to believe. What a thing. The Bible said He's a High Priest that can be
touched by the feeling of our infirmities. Is that right? He is now a
High Priest. He always has been a High Priest. And He's now a High
Priest that can be touched by the feeling of our infirmities.
Well, the woman touched His garment, and He turned and recognized who
she was and told her her condition. And her faith healed her. And if
He's still the High Priest that can be touched by infirmities, He is
the Vine; we are the branches. The branches bears the fruit. You touch
Him and the branch answers back. Is that right? Do you believe it?
E-53 What do you think, setting
there, lady? You believe with all your heart? You do? If you do, you'll
stop that coughing then. Amen.
What are you, lady, that raised your hand next to her? Do you believe
with all your heart? Your throat trouble will be done with then. Amen.
What about you, lady, setting next to her? Do you believe with all your
heart? You do? You got trouble with your legs, with your back, and
trouble in your stomach. Is that right? Then you can have it.
What about you setting next to her? Do you believe? You got arthritis.
Or you did have. All the way from Chicago... That's right.
You believe? Why can't you believe? Wait, we got another patient here
before us, the lady's been brought here. I know you not, lady; God does
know you. You was very happy when you was called to this platform,
because this is your last night here. You have to go home right now.
It's true. That means you're not from here; you're from a place called
Canton, Ohio. That's right. You want me to pray for you being nervous.
The reason you're going home; you got two children that's got to have
an operation pretty soon. That's right, isn't it? Go home and find it
so, as you have believed. In the Name of the Lord Jesus Christ.
E-54 I challenge... Don't move
around. I challenge your faith to believe it. Don't you believe it? Do
you believe it? What about down in the prayer line, do you believe it
with all of your heart? If thou canst believe, you can be healed every
one of you. What is this the sign of? This is the sign that you are
healed, that this is not a fiction story; it's the truth of a
resurrected Jesus, the same yesterday, today and forever. That's the
idea. Sure, "Hallelujah" means "Praise our God." He's in our midst,
He's worthy of all praises. You could not over praise Him.
You believe He healed you standing there, lady? Then go on your road
rejoicing, saying, "Praise the Lord." Amen.
What about the rest of you? Do you believe with all your heart? This is
the hour of your healing. I challenge you to believe it, every one of
you. The Bible says so first. The Spirit witnesses it. Christ
vindicates it. I'm telling the truth. You are already healed, and have
been since Jesus died for you. You've got to have faith enough to reach
up and get it. Do you do it? If you do, rise to your feet and claim it,
in the Name of Jesus Christ.
Let us raise and give Him praise.
Heavenly Father, I will now challenge the spirit of doubt and ask it to
leave this building and go from hence. In Jesus Christ's Name.